Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => Discussion démarrée par: Shani Stevens le jeudi 24 octobre 2013, 01:26:32

Titre: Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: Shani Stevens le jeudi 24 octobre 2013, 01:26:32
Shani étouffa un bâillement en quittant, sous un ciel d’encre, le secrétariat du lycée Mishima. L’administration du lycée était assez élaborée, comprenant une sorte de bureau central regroupant toute l’administration principale du lycée. Une sorte de sanctuaire infranchissable pour les élèves, où Shani passait l’essentiel de sa journée. Il était 23 heures, et le lycée, comme elle pouvait s’y attendre, était désert à cette heure-là. Toutes les lumières étaient fermées, que ce soit l’éclairage extérieur, les lumières des fenêtres... Plus aucun cour du soir, plus aucune réunion des différents clubs du lycée, le couvre-feu s’était abattu sur le complexe, et Shani avançait rapidement dans un décor sombre, sinistre, le décor typique pour un film d’horreur pour adolescents américains. Le lycée était tellement grand que, quand on s’y promenait le soir, on pouvait avoir cette impression qu’un tueur en série avec un masque de hockey ou un masque d’Halloween vous espionnait dans un coin, prêt à vous égorger avec vos propres intestins.

La belle secrétaire, pour se protéger du froid, portait un long manteau beige recouvrant partiellement ses formes élégantes. Sous ce manteau, elle portait sa tenue de travail habituelle : une chemise blanche, une petite jupe, et un corset noir. Au lieu de ses traditionnels bas, elle avait opté pour des jarretelles, car elle savait que son supérieur hiérarchique fantasmait dessus. En venant travailler ce matin, elle les lui avait montrées de manière subtile, en croisant les jambes à son passage, relevant légèrement l’ourlet de sa courte jupe. Il avait vu, et elle savait qu’il avait eu une érection. Tandis qu’elle tapait un rapport, il l’avait appelé, pour, officiellement, se renseigner sur le dernier rapport qu’elle avait rendu, afin de préciser plusieurs corrections. Les corrections avaient duré trois quarts d’heure, dans un bureau fermé à clef, aux murs capitonnés. Trois heures où elle avait senti le sexe de l’homme lui pilonner le cul tandis que ses mains grasses s’accrochaient à ses jarretelles, et qu’elle devait ensuite nettoyer les tâches qu’elle avait fait sur le sol, et sur la queue de son supérieur. Kimiyasu-san était un homme avec un léger embonpoint, qui usait de son autorité pour satisfaire des pulsions sexuelles qu’il n’arrivait pas à satisfaire dans sa vie privée. Le rectorat l’avait repéré, et il avait été muté d’Osaka à Seikusu. Il l’avait partiellement violé quand elle avait, en déposant un rapport dans son bureau, vu un carton rempli de magazines érotiques, des hentaïs assez trashs où de jeunes lycéennes étaient violemment gang-bangées par des mâles en rut et par des monstres inesctoïdes. Il avait initialement cherché à négocier, à dire que ces livres avaient été pris dans des casiers d’élèves, et qu’il comptait les remettre au service adapté (un mensonge partiel ; les livres appartenaient bien aux élèves, mais Kimiyasu les conservait pour lui), mais, quand il avait réalisé que la petite secrétaire mouillait en s’imaginant à la place d’une lycéenne subissant un bukkakedans les règles de l’art, son sexe avait jailli de sous son estomac légèrement poilu à hauteur du nombril, et il l’avait baisé.

Shani y pensait alors qu’elle s’écartait des cours, se dirigeant vers la station de métro. Kimiyasu-san lui avait demandé de boucler un dossier important, ce qui l’amènerait à finir tard. En échange, comme on était Vendredi soir, elle ne travaillerait pas de toute la semaine. En effet, Shani avait passé toutes ses soirées à finir assez tard, afin de rattraper le retard accumulé dans les préparations aux examens d’entrée aux universités. Un travail compliqué et de longue haleine, et elle n’était pas fâchée d’en avoir fini. Certes, elle avait fait l’amour tous les jours avec son supérieur, mais elle aimait bien aussi se retrouver chez elle, et profiter du confort de quelques amies le soir pour partager son lit, Shani n’aimant pas dormir toute seule.

Elle savait que ce quartier était mal famé. Mishima n’était pas dans les profondeurs de la Toussaint, mais le lycée était encore assez éloigné du centre-ville. Elle savait qu’il y avait fréquemment des agressions sexuelles, ou des tags. Des bandes de délinquants n’hésitaient pas à balancer des pierres sur les portes vitrées du lycée, ou à tagguer les murs. La police évitait de passer par là. Atteignant le trottoir, Shani se dépêcha d’avancer. Ses talons claquaient sur le trottoir, alors qu’on pouvait percevoir les quelques flagrances du délicat parfum parisien qu’elle se mettait le main, un parfum que Kimiyasu adorait renifler tout en lui bourrant le cul comme une « chienne ».

*Au moins, demain, je pourrais faire la grasse matinée...*

C’était une bien maigre récompense.

Shani s’avançait en soupirant, se rapprochant de la station de métro, quand son cœur se mit à trembler en voyant deux individus en sortir. Ils portaient des jeans sombres, des débardeurs, des lunettes de sport, et louchèrent rapidement sur les jarretelles et les talons de Shani, avant que leurs regards ne montent lentement, devinant l’ourlet de ses seins, sa longue chevelure, et sa paire de lunettes si sexy sur elle. Elle baissa la tête, tremblant en se rapprochant des deux hommes

*Dépêche-toi, dépêche-toi, ne t’arrête pas, ne les regarde pas...*
Elle se mit presque à espérer qu’elle pourrait passer sans anicroche, et elle dépasse en effet les deux hommes... Avant de voir qu’il y en avait deux autres, dans l’escalier menant à la station de métro, et que l’un d’eux, avec un sourire prétentieux sur les lèvres et une longue crinière noire, jouait avec la lame d’un couteau à cran d’arrêt, la frottant légèrement contre son pouce.

« Vous allez quelque part, Madame ? » lâcha l’homme.

Le cœur de Shani s’emballa, et elle se mordilla les lèvres, continuant à fixer obstinément le sol. Elle allait les dépasser quand la main de l’homme au couteau se posa sur son épaule, dans son dos.

« Hey, c’est pas très poli de nous snober ainsi...Tu crois que, parce que nous, on a été recalés aux examens d’entrée à la fac’, on mérite pas le respect d’une professeur du lycée ?
 -  Je... Je ne suis pas professeur, et je... Lâchez-moi, s’il-vous-plaît... »

Elle parlait d’une voix faible, et se retourna subitement, voyant les quatre hommes s’avancer vers elle.

« Hey, relax, on fait que causer, toi et moi ! J’sais pas, moi, genre comme deux personnes adultes, et tout, et tout. C’est beau d’être dévoué à son travail, c’est une tâche qu’on apprécie, nous, surtout quand on sait combien les gaijins ont tendance à rien branler et à se mastiquer le poireau en glandant sur des sites pornos au lieu de travailler comme ils devraient le faire. »

L’humour de cette phrase échappa à Shani, mais pas aux comparses de l’homme, qui rigolèrent doucement. Il n’y avait pas d’agents de sécurité à cette heure, et la caméra de sécurité était probablement en panne, ou débranchée, comme d’habitude. Shani se rapprochait des guichets automatiques, où il fallait normalement composter son billet. Elle avait évidemment peur, car elle savait de quoi les bandes du coin étaient capables. L’homme au couteau se rapprochait d’elle, un sourire amusé sur les lèvres.

« Alors, Madame est pas prof’ ? ‘Vrai que t’es un peu jeune pour être une prof’... Même si je sais que le corps enseignant de ce lycée est rempli de filles plutôt canons... Mais, tu sais, joli cœur, c’est pas parce que tu te trouves au Japon que tu peux t’habiller comme une pute... C’est quoi l’histoire de ce conte, déjà ? Avec la salope habillée en rouge qui se fait défoncer la chatte par un loup, ou un truc comme ça ? Ouais, j’suis sûr que tu vois le parallèle, trésor... »

Shani se mordilla les lèvres, et releva la tête, essayant de retrouver son calme.

« Écoutez, je n’ai pas d’argent, alors... »

Elle se reçut une gifle qui l’envoya sur le sol. Des mains attrapèrent alors son manteau, et l’arrachèrent. Elle se mit à avancer à quatre pattes, essayant de se relever, mais un homme tomba sur elle, s’asseyant à califourchon sur elle.

« Lâchez-moi !! Lâchez-moi !!
 -  TA GUEULE, SALOPE !!! »

La lueur qu’elle vit dans les yeux de l’homme l’incita à se taire... Ainsi que le contact froid de la lame sur sa gorge.

« Bien, c’est mieux... Tu vois, tu sais te la fermer quand il faut, ma chérie... On discute gentiment, comme des personnes raisonnables, et toi, tu nous prends pour de vulgaires voleurs ? Je voulais juste flirter un peu, moi... Mais, puisque tu veux agir comme une pute, alors, c’est que tu dois aimer ça, qu’on te fourre des queues dans le corps.#

Shani écarquilla des yeux, terrorisée par cette idée. Ces quatre types n’étaient pas très beaux, et elle avait surtout peur qu’ils ne l’égorgent par la suite et ne balancent son cadavre dans le métro. L’homme se redressa, et l’attrapa par les cheveux. Elle hurla en se débattant, alors que le quatuor se rendait vers les toilettes. Il y avait un homme à l’intérieur, qui urinait tranquillement, ses oreilles bouchées par son baladeur. Il entendit la porte claquer violemment, et eut à peine le temps de tourner sa tête qu’une puissante main s‘agrippa à sa tête, et l’envoya heurter douloureusement le rebord de l’urinoir. Il y eut des traces de sang, et l’homme s’affala sur le sol, inerte. Shani, recroquevillée sur le sol, poussa un hurlement de terreur. Elle se reçut une nouvelle gifle, forte, tandis que les malfrats observèrent les cages des toilettes. Il n’y avait aucun témoin compromettant, et celui que le chef avait assommé en envoyant sa tête s’écraser contre l’urinoir, s’il n’était pas mort, était toutefois dans le coma.

« Bon... On va passer aux choses sérieuses, ma salope... Vu que tu caquètes comme une pute de gaijin, je crois qu’il va falloir t’apprendre le respect, avant de te montrer ce qu’est un vrai homme, pas comme ces puceaux de lycéens que tu dois te farcir à longueur de journée, comme n’importe quelle salope. »

L’homme porta la main à son ceinturon, afin de la fouetter avec.

« AU SECOURS !! QUELQU’UN, AU SECOURS !! » hurla alors Shani.
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: The xXx Gang le jeudi 24 octobre 2013, 18:24:48
Dans les rues mal famées de Seikusu, il ne faisait pas bon être une belle femme sans défenses. Mais la jeune femme brune qui arpentait les rues était loin d'être sans défenses. Belle, elle l'était, il ne fallait cependant pas compter sur elle pour jouer les proies. Non, cette fille qui faisait claquer ses talons sur le bitume crasseux, c'était Mistress Magician, une sorcière perverse, une dominatrice dont les veines renfermaient une puissance démoniaque. Ce soir, la bibliothécaire corrompue était de sortie, chargée de trouver et de capturer des spécimens afin de les faire passer de l'autre côté du miroir, au travers d'un des portails menant à Terra, dans le but de les vendre. Mais elle avait fait chou blanc, personne ne disposant de la plastique adéquate. Dans les faits, il n'y avait aucun réel critère de sélection, mais le Gang xXx avait tendance à kidnapper de beaux jeunes hommes ou de ravissantes jeunes femmes. La raison ? Les membres du gang se servaient allègrement des corps de leurs proies, afin de satisfaire leurs pulsions primaires et corrompues. Ainsi, n'ayant décelé personne d'assez beau pour éveiller son intérêt, Mistress Magician retournait à la planque du groupe. Cette planque, en l'occurrence, était un squat situé dans ce quartier abandonné des forces de l'ordre. Il était évidemment plus facile de se cacher dans une zone de non respect des lois que dans un voisinage bien propret...

Sur le chemin du retour, la sorcière perverse eut un étrange relent. Au milieu de la crasse ambiante, elle sentait une odeur suave, captivante... De toutes les maîtresses, Magician n'était pourtant pas celle qui disposait du meilleur odorat, cette qualité étant réservée à la bestiale Mistress Feral. Pourtant, ce délicieux fumet lui parvenait malgré tout. S'arrêtant au milieu de sa marche, la bibliothécaire corrompue analysait la situation. Etant versée dans la pratique de la magie noire, ayant des notions étendues des flux magiques et de leur perception, il ne faisait aucun doute à ses yeux que cette odeur n'en était pas une. En réalité, ce que son corps analysait comme une fragrance délicieuse n'était autre que les pulsations ésotériques d'un être surnaturel. Mistress Magician était curieuse de savoir ce qui était à l'origine du phénomène. Elle était certes perverses jusqu'à la déviance, mais c'était malgré tout une chercheuse, quelqu'un qui aimait se perdre dans les mots et le papier, quelqu'un qui avait commencé à pratiquer la sorcellerie avant même qu'une blonde démoniaque ne lui injecte de la puissance infernale par son étoile sombre. En l'occurrence, ses deux passions se mêlaient l'une à l'autre, car ce parfum surnaturel avait quelque chose de sensuel. Se laissant porter par ses perceptions ésotériques, Mistress Magician marchait à l'aveuglette, tournant instinctivement ici, prenant ce virage là sans le savoir. Au final, ce fumet suave la conduisit jusqu'au métro, puis vers des toilettes publiques, des toilettes pour hommes. L'endroit puait la pisse au travers même de la porte fermée. Mais la piste que notre perverse bibliothécaire demeurait très claire.


- AU SECOURS !! QUELQU'UN AU SECOURS !!

Un voyou levait son ceinturon, prêt à fouetter une pauvre femme sans défenses avec.

- Ce n'est pas très gentil ce que vous vous apprêtez à faire là...

L'homme au ceinturon se retourna, grognant son déplaisir : T'as choisis les mauvais chiottes, gro... Wow ! Il s'arrêta net dans sa phrase, le sifflet coupé par ce qu'il voyait. Cette femme sur le seuil qui l'avait interrompu avait sa parka ouverte, ne reposant même plus sur ses épaules. Lui et ses petits camarades pouvaient tous voir cette brune sculpturale, vêtue d'un unique corset de cuir un peu trop serré et de bottes montantes à talon. La poitrine de cette nouvelle venue était si opulente que ses mamelons dépassaient largement des bonnets, percés de bijoux d'or et de rubis. Et plus bas, son cul nu, sa chatte rasée, ornée d'un tatouage rappelant vaguement un cœur stylisé doté d'ailes de chauve souris, avaient de quoi dérouter. Là où leur victime première était habillée de manière trop sexy pour son propre bien, la brune sur le seuil des toilettes était vêtue de manière carrément vulgaire. Un silence pesant recouvrit la scène, l'espace d'une minute. Même des violeurs comme eux étaient capable de reconnaitre une prédatrice sexuel quand ils en voyaient une. Mais les hommes sont si aisément aveuglés par les attraits féminins. La tenue de Mistress Magician n'avait rien de subtile, mais elle était diablement efficace.

- En fait, quand j'te vois comme ça, j'dirais qu't'as choisis le bon endroit. Tu veux t'amuser avec nous hein ? Avec une tenue pareille, tu ne peux être qu'une chaude du cul qui cherche à se faire défoncer par de vrai mecs ?

Ses comparses, tout autour, ricanaient bêtement. La bibliothécaire se délectait de cet effet qu'elle avait sur les hommes : Moins subtile était sa séduction, plus idiots ceux qui y répondaient étaient. Et les idiots étaient si facilement manipulables. Analysant rapidement la situation, Mistress Magician n'eut aucun mal à comprendre qu'ils s'apprêtaient à violer la pauvre fille qui était recroquevillée dans le fond. Les propos du chef de la bande tendaient d'ailleurs à le confirmer :

- On s'apprêtait à apprendre à cette gaijin ce que c'est qu'un vrai mec. Mais je crois qu'on va même pas avoir besoin de te donner du ceinturon sur les fesses pour que tu nous les présente genti...
- Les vrais mecs n'ont pas besoin de s'y mettre à quatre pour soumettre une femme sans défenses. Tout ce que je vois, c'est une bande de tocards qui vont bientôt me supplier de les épargner.
- PARDON ?! Choppe la toi, elle aussi a besoin d'apprendre sa place apparemment.

L'air mauvais, l'un des types s'approcha de la brune à demi nue, trop sûr de lui. Il y avait deux choses que les hommes pouvaient accepter sans réfléchir, concernant les femmes : C'était qu'elles étaient faibles et qu'elles les trouvaient attirants. Persuadé que ses muscles virils suffiraient à avoir le dessus. Mais il ne pouvait pas savoir que cette bibliothécaire perverse disposait d'une puissance surnaturelle. A peine avait il levé le bras, dans le but d'attraper les cheveux de Mistress Magician, que celle ci lui attrapa le poignet. Tirant dessus, elle le fit avancer vers le mur, où elle lui écrasa le visage en appuyant derrière sa tête. Un craquement sinistre retentit - probablement le nez du malheureux - avant que le présomptueux ne s'écroule à terre, inconscient. La surprise passée, les trois autres violeurs sortirent tous une lame, visiblement pas plus impressionnés que ça.

- Ok, ma poule, j'vois qu'tu fais un peu d'arts martiaux. Mais tu comptes faire quoi ? On est trois, avec des couteaux et moi aussi j'fais d'la boxe !
- On ne vous a jamais dit ? Fumer tue.
- Hein ?

Ils ne pouvaient pas comprendre, ils ne pouvaient pas imaginer. Pourtant, instinctivement, les deux types non fumeurs se tournèrent instinctivement vers celui qui avait une clope au bec. Tandis que la sorcière effectuait un curieux mouvement de la main, le bout rougeoyant du tube de tabac s'enflamma, avant de devenir une véritable boule de feu qui englobait la tête du malheureux. Hurlant sa douleur, le malheureux se jeta vers l'urinoir le plus proche, y plongeant la tête, avant d'actionner la chasse d'eau. Mistress Magician eut un autre geste ésotérique et, répondant à son ordre, l'eau qui s'écoulait faiblement de la chasse d'eau se changea en torrent, avant de geler, emprisonnant la moitié supérieure du corps masculin. Ses jambes gigotaient, il essayait de se libérer mais sans les mains et dans une position qui diminuait sa force, c'était peine perdue. Réalisant alors leur erreur, les deux voyous restants reculèrent de quelques pas. Ils avaient totalement oublié la pauvre Shani, dans l'histoire, plus concentrés sur leur survie désormais.

- Putain mais qu'est ce que t'es ?
- Si tu sais lire l'anglais... Commença la bibliothécaire corrompue, en tirant un peu sur son collier frappé du mot Mistress, pour le mettre en évidence. ...alors tu devrais savoir que je te suis supérieure.
- Maî-maîtresse ?
- Maintenant supplie moi de t'épargner, petite merde, ou je te noie dans les chiottes.

Terrifié, le violeur tomba à genoux, la voix tremblotante.

- Pi-pitié mai-maitresse... Je... je ne savais pas... je ne recommencerais plus, promis.
- En effet.

Sa main pivota à nouveau, signe que Mistress Magician faisait appel aux forces obscures qui existaient dans son corps, afin de manipuler les éléments. Les deux hommes, déjà à genoux, tournèrent en même temps la tête vers les cabines qui venaient de s'ouvrir sur le côté. Sortant des trônes de faïence, l'eau obéissait à la sorcière, pour se diriger vers les malheureux. Ils avaient beau crier, se débattre, le liquide infâme s'insinua par leurs bouches et leurs narines, trouvant le chemin vers leurs poumons, où il s'installa, les faisant étouffer. Les pauvres violeurs convulsaient encore sur le sol que la terrible brune enjambait le corps de l'un d'eux, allant à la rencontre de Shani. Se penchant un peu en avant, sa remettre sa parka en place, elle lui tendit la main pour l'aider à se relever, un sourire carnassier aux lèvres.

- Bonsoir, ma belle. Je m'appelle Mistress Magician... mais tu peux m'appeler Maîtresse, tout simplement. Ca t'embêterait de me conduire dans un coins moins puant de ce métro pour me montrer toute ta gratitude d'avoir été sauvée ?

Cela ne sonnait pas vraiment comme une question. Shani ne le savait pas encore, mais la femme qui lui faisait face, sa sauveuse, était probablement pire que ces mâles en rut qui l'avaient coincée dans ces toilettes publiques.
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: Shani Stevens le vendredi 25 octobre 2013, 00:30:02
Shani leva les mains, recroquevillée, s’attendant à se faire battre. OIh, elle n’était pas une petite femme sensible qui n’aimait pas se faire battre lors du coït, mais ces types-là l’effrayaient, et ne l’excitaient pas, car elle savait qu’ils allaient la tuer, pour éviter un témoignage par la suite... Ou pire, la droguer, et en faire une esclave sexuelle qui se retrouverait défoncée à de puissants narcotiques dans un sinistre bordel. Cette perspective ne la tentait pas du tout, et elle poussa un petit cri... Mais le coup de ceinturon ne s’abattit jamais.

Quelqu’un venait d’entrer, et Shani, instinctivement, se recroquevilla au fond de la pièce. Était-ce un hasard que cette femme soit là ? Ou est-ce que la mystérieuse « bonne étoile » de Shani était encore intervenue ? Une femme dans un long parka venait d’entrer. Elle était musclée, très belle, habillée comme une prostituée de nuit, avec des lunettes de sport, un corset tellement serré que ses tétons ressortaient, de longs gants, un collier, le tout en cuir et en latex. Ses longues bottes avec des jarretelles firent frissonner Shani. Est-ce que c’était leur chef ? Une super-héroïne ? Vu la réaction des types, elle penchait à une femme venue la secourir. Cependant, Shani ne voyait pas ce qu’elle comptait faire contre ces quatre individus à la fois. Celui avec le ceinturon s’approcha d’elle, et Shani avait pu discerner la forme de sa bosse. Une belle érection. Il avait un sourire sur les lèvres, et une lueur prédatrice, de dominateur. Il devait déjà s’imaginer lui pilonner les fesses en la plaquant contre la cuvette des toilettes, avant de plonger sa tête dans son vomi. Elle faillit dire à la femme de se méfier, de surmonter sa peur pour lui conseiller d’appeler la police, mais, à sa grande surprise, elle la vit bondir sur l’homme, l’empoigner, et, avec une force surhumaine, l’envoyer contre le mur des toilettes. Il y eut un craquement sinistre, un soupir. Le choc délogea l’une des tuiles du mur, et l’homme heurta violemment l’accoudoir de l’urinoir, s’écroulant sur le sol, lâchant son ceinturon, ayant laissé une traînée de sang sur le mur et sur le rebord de l’urinoir.

Muette de stupeur, Shani vit ensuite la femme utiliser des sorts magiques. Elle enflamma la tête d’un autre voyou, qui poussa un hurlement terrorisé en se rendant vers un lavabo pour s’asperger la tête, alors que des flammes dansaient autour de lui. Shani vit alors l’eau le recouvrir, et congeler une partie de son corps, le plongeant dans le coma.

*C’est... C’est une magicienne ?!*

Bien malgré elle, elle écouta la conversation, et entendit la référence à la « maîtresse ». Elle remarqua alors l’inscription sur le collier sadomaso en or qu’elle portait autour du cou. Il avait des clous, mais, en caractères d’imprimerie, elle voyait clairement la mention « MISTRESS ». Les deux hommes implorèrent sa pitié, mais la femme n’avait pas envie de les satisfaire. Shani entendit des grondements sinistres venant des canalisations, et, en tournant sa tête, elle entendit la porte d’une cabine s’ouvrir violemment, des trombes d’eau heurtant les bouches des hommes, qui poussèrent des couinements étouffés, avant de s’affaler sur le sol, et de se tortiller, leurs jambes glissant inutilement sur le sol. Ils se débattaient comme des poissons sortis hors de l’eau, se tortillant frénétiquement, les corps agités de spasmes nerveux. De leurs bouches, des bulles d’eau ressortaient parfois, alors que leurs yeux étaient écarquillés, des vaisseaux sanguins explosant à l’intérieur. Ils en pleuraient, l’eau sortant de leurs narines, se massant la gorge, puis les côtes.

*Elle les a noyés...*

Muette de stupeur, Shani réalisa qu’elle venait d’assister à un carnage. Leur chef, celui au couteau à cran d’arrêt, ne bougeait plus, probablement mort. Il avait du avoir une commotion cérébrale, et l’autre avait la tête en piteux état. Ses cheveux avaient disparu, laissant un crâne noirci avec des bouts rouges et blancs, probablement des morceaux d’os. Les deux autres cessaient lentement de se débattre... Et il ne restait plus qu’elle. Un témoin... Un témoin trop horrifié pour oser s’enfuir pendant ce combat. La femme laissa son parka ainsi, sans la remettre, couvrant ainsi la vue de ses seins proéminents, tout en s’avançant lentement vers elle. Shani ferma les yeux, s’attendant à se faire tuer sur place. Elle espérait juste que ce serait rapide, qu’on ne chercherait pas à l’étouffer, car elle trouvait que c’était une mort atroce... Shani ignorait qu’il existait en ce bas-monde une force supérieure qui avait toujours veillé, à sa manière, que sa progéniture ne meure pas. Cette force ne s’opposait nullement à ce qu’elle se fasse violer, mais trouvait toujours un moyen de la sauver.

C’est donc à sa réelle surprise que Shani vit la main gantée s’arrêter près de son visage, tendue vers elle, comme pour l’aider à se relever. Le sourire de cette femme n’était pas vraiment le gentil sourire hospitalier qu’un moine franciscain pouvait faire quand il accueillait une bohème devant sa paroisse, mais il collait au charme de la dame.

« Bonsoir, ma belle. Je m'appelle Mistress Magician... mais tu peux m'appeler Maîtresse, tout simplement. Ca t'embêterait de me conduire dans un coins moins puant de ce métro pour me montrer toute ta gratitude d'avoir été sauvée ? »

La gratitude d’avoir été sauvée... Un délicieux euphémisme. Shani l’observa, surprise, pendant quelques secondes... Avant qu’un soulagement indicible ne s’échappe sur ses lèvres. Sa tête s’adossa contre le rebord, alors qu’elle réalisait que cette femme en cuir et en latex n’allait pas la tuer sur place. Elle en fut soulagée, comme si elle avait un poids en moins, et tendit sa main, l’attrapant, frissonnant au contact du cuir et du latex. Les gants comme ça, longs et moulants, ça l’excitait toujours comme une petite pucelle. Elle se releva rapidement, et épousseta sa minijupe. Ses collants n’étaient pas déchirés, et elle remit ses lunettes en place, tête baissée. En la relevant, elle s’arrêta en louchant sur la poitrine de la femme, rougissant légèrement.

« Je... Euh... Merci beaucoup... » réussit-elle à dire.

Elle tourna la tête sur la droite, s’observant brièvement dans le miroir. Ses mèches de cheveux n’étaient pas trop décoiffées, et elle se racla la gorge, repensant à ce que la femme avait dit. Mistress Magician... Sûrement un nom de scène.

« Je... Je crains fort que tout ce métro soit... Soit puant... Je... Je peux vous ra... Ramener chez moi, si... Si vous voulez, Maî... Maîtresse... »

Elle la vouvoyait instinctivement, ce qui trahissait une certaine expérience du sadomasochisme, où on ne tutoyait jamais la femme qui s’appelait « Maîtresse ». La femme ne portait pas de culotte, découvrant un curieux tatouage noir. Shani soupira lentement, revenant peu à peu elle, et posa ses mains sur le corset de la femme. Elle n’alla pas embrasser ses lèvres, mais suça plutôt, brièvement, l’un des clous dorés de son collier. Un geste de soumission, tout simplement, la forme de remerciement qu’elle attendait.

« Il.. Il faudra cinq à dix minutes pour retourner chez moi, c’est... Près d’une station de métro... »

Elle s’avança alors, hésitante, évitant soigneusement les cadavres. La femme la suivait, et Shani avait les joues rouges en descendant les marches menant à la station. Il n’y avait pas un chat, et le métro s’approcha rapidement. Il fonctionnait de manière automatique, sans chauffeur, et elle rentra dans la rame. Cette dernière fila ensuite, et Shani observait la femme, tête basse, observant à vrai dire surtout ses bottes.

*C’est une magicienne... Pourquoi est-ce que je l’invite chez moi, ça pourrait être très dangereux...*

Et ça le serait sûrement, mais Shani était ainsi, paradoxale. Ce viol l’avait terrifié, mais elle savait que, si les hommes l’avaient pénétré, elle aurait joui comme une catin. Elle était ainsi, tout simplement. Une infâme traînée. Trois à quatre stations plus tard, Shani sortit. Il y avait quelques badauds, qui jetèrent des regards étonnés vers Mistress Magician, mais sans oser la voir. Shani sortit de la station de métro, arrivant à une rue assez proche du centre-ville, où on pouvait déjà noter qu’il y avait plus d’animation. Elle se hâta vers un petit immeuble à six étages, l’ouvrit, et fila dans l’ascenseur. Elle appuya sur le bouton menant à son étage.

Shani vivait dans un modeste appartement. Ce n’était pas un studio, mais pas non plus une suite. La chambre était à part du salon, et elle avait une remise, qui contenait, dans des cartons, divers jouets sexuels. La garde-robe de sa chambre abritait également des tenues assez érotiques, le genre de trucs qu’on ne montrait à son petit ami qu’après lui avoir fait faire le tour du propriétaire. C’est dans le salon que Shani conduisit l’énigmatique Mistress, la tueuse de sang-froid.

Elle retira alors son manteau, finissant dans sa tenue de secrétaire, tenue qui, tout en étant respectable selon les normes en vigueur, si on faisait exception de la minijupe un peu trop courte, la rendait terriblement exquise.

« La chambre est par là, Maîtresse... Je... Pardonnez-moi si je me répète, mais je vous remercie vraiment de m’avoir aidé, ces individus m’auraient probablement tué. Je... je suis prête à faire tout ce que vous voudrez pour... Vous satisfaire... »

Et également se satisfaire, en vérité.
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: The xXx Gang le vendredi 25 octobre 2013, 20:42:35
Mistress Magician se délectait de voir le trouble de celle qu'elle venait de sauver, remarquant le regard de cette dernière, captant le ton hésitant de sa voix. Shani se révéla tout de suite très obéissante envers sa sauveuse. Était-ce de la gratitude, de la peur, une excitation à l'idée de la soumission ? Peut être un peu des trois. A vrai dire, la bibliothécaire corrompue n'était pas la plus fine psychologue de toute sa bande de dominatrices. Son expertise, c'était la littérature et la recherche d'informations dans les écrits et sur internet. Des années à vivre au milieu de livres, à pratiquer en secret de la petite sorcellerie qu'elle espérait un jour voir fonctionner pour de vrai, l'avait rendue plutôt asociale. Mais le gain d'une puissance réelle et l'accentuation d'une perversion latente lui avait permis de surmonter sa timidité. Maintenant, c'était elle qui créait la gêne, elle qui poussait les gens à détourner le regard. Aussi ne se posa-t-elle pas plus de question face à la docilité de sa vis à vis, se contentant d'apprécier.

La surprise la gagna, cependant en voyant jusqu'où cette professeur allait pour montrer sa soumission, en se penchant pour suçoter un des clous de son collier. Instinctivement, la brune glissa une main caressante dans sa chevelure. Lorsque Shani lui proposa de l'emmener chez elle, Mistress Magician répondit d'un doux :


- Mais avec plaisir.

Shani la conduisit alors en direction des rames de métro, décidée à lui faire découvrir son domicile. En sortant des toilettes, la bibliothécaire perverse remet son manteau sur ses épaules, cachant ses formes aux éventuelles caméra ou passants que l'étrange couple pourrait croiser. Pendant que le train souterrain avançait, la brune se laissa aller à détailler un peu plus sa prise : Shani était belle, son corps était admirablement bien sculpté... certes moins voluptueux que la dominatrice elle même, mais non moins séduisant. Mistress Magician n'avait pas encore eu l'occasion de détailler les traits du visage de la divine professeur, cette dernière gardant la tête basse. Une fois sorties du métro, quelques badauds se retournaient sur la sorcière. Bien que son manteau cachait l'aspect le plus vulgaire de sa tenue, on pouvait facilement l'imaginer nue sous ce vêtement, prête à l'ouvrir telle ces nudistes cherchant à choquer les passants. Ses bottes montantes, accessoire peu commun, laissait aisément courir l'imagination. Mais la belle brune ne s'en souciait pas le moins du monde : Son attention était focalisée sur le délicieux postérieur de Shani, qui marchait devant elle. D'une certaine manière, Magician fut déçue de ne pas emprunter l'escalier, pour pouvoir jouir davantage de cette vision enchanteresse.

Une fois dans le petit appartement, la bibliothécaire corrompue regarda distraitement autour d'elle, observant le mobilier, la disposition... s'imaginant déjà prendre son hôte sur contre chacun d'eux. Puis, revenant vers l'hôte elle même, Mistress Magician s'en rapprocha doucement, glissant son index sous le menton féminin pour lui relever doucement le visage. Puis, sans un mot, elle approcha ses lèvres de celles de la professeur, l'embrassant avec une tendresse qui ne collait pas bien avec le personnage. Puis, à mesure que le baiser s'échauffait, que la sorcière insinuait sa langue plus avidement entre les lèvres de Shani, les corps des deux femmes se collaient un peu plus l'un à l'autre. Sans rompre ce ballet de langues, la bibliothécaire fit glisser sa main gantée sur le dos de la belle, la laissant descendre jusqu'à une des fesses féminines puis, plus pas encore, avant de tirer la mini-jupe vers le haut, dévoilant ce cul sublime encadré par de jarretelles affriolantes.

Et puis, mettant brusquement un terme au baiser, tout en se décollant de son hôte, Mistress Magician se dirigea vers le canapé comme si elle était en terrain conquis. Retirant son manteau qu'elle laissa négligemment tomber sur un des accoudoirs, la brune provocante s'avachit au milieu du sofa, croisant les jambes le plus naturellement du monde.


- Bien, bien... Fais moi un strip-tease, trésor. Danse un peu et caresse toi un peu aussi. Garde tes lunettes... j'adore les femmes à lunettes.
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: Shani Stevens le samedi 26 octobre 2013, 00:06:54
Le cœur de Shani s’emballait rapidement, alors que la femme, Mistress Magicien, se rapprochait d’elle. Cette femme était aussi dangereuse qu’attirante, aussi redoutable qu’exotique. Shani déglutit en sentant es mains gantées sur son menton, puis releva la tête, croisant son regard. Elle vit le visage de la femme se rapprocher, et Shani entrouvrit ses lèvres, acceptant son baiser, soupirant de plaisir, sentant les mains de la femme remuer sur son corps, provoquant une multitude de frissons sur tout son corps. Elle sentait la main gantée glissa jusqu’à sa minijupe, la relevant pour caresser ses fesses. Shani soupira tendrement, fermant les yeux, sentant les seins de la femme s’écraser contre sa poitrine. Elle n’avait jamais dénigré la taille de sa poitrine, deux beaux seins qui lui permettaient volontiers d’enchaîner les cravates de notaire, mais il fallait bien reconnaître que, par rapport à l’opulente poitrine de sa Maîtresse, ses seins avaient l’air ridicules. Les mains de Shani ne restaient pas en reste, caressant le corset de la femme, remontant le long de ce dernier. Il était serré, mais, honnêtement, Shani doutait qu’il existât, même aux Etats-Unis, un corset suffisamment volumineux pour un tel tour de poitrine. Cette femme n’avait rien de naturelle, et c’était peut-être ce frisson de magie, de surnaturel, qui l’excitait autant... Comme une espèce de valeur ajoutée à sa beauté ambiante, une sorte de sentiment qui l’amenait à courber l’échine, à frissonner devant cette femme puissante... Ça, ou le fait de l’avoir vu commettre en quelques secondes un quadruple meurtre sans aucune hésitation, et faire ensuite l’amour à Shani comme si rien d’anormal ne s’était passé auparavant. Cette femme était une tueuse, potentiellement dangereuse, et, sans oser se l’avouer, Shani adorait ça.

Elle sentit les doigts de la femme caresser ses jarretelles, et elle gémit à nouveau, mordillant tendrement l’une des lèvres de la Maîtresse, qui s’écarta ensuite. Shani rouvrit les yeux, et la vit s’écarter. Sans rien lui dire, Mistress Magician s’avança lentement, faisant glisser son manteau, qui atterrit sur un accoudoir, avant que la gravité ne le fasse négligemment tomber sur le sol. Le cœur de Shani tambourinait encore dans sa poitrine, prêt à exploser. La femme avait un fessier magnifique, et elle s’assit au milieu du sol, croisant les jambes de manière sexy.

« Bien, bien... Fais-moi un strip-tease, trésor. Danse un peu et caresse-toi un peu aussi. Garde tes lunettes... j'adore les femmes à lunettes. »

C’est en l’entendant parler que Shani réalisa qu’elle était en train de mouiller. Elle déglutit, les joues légèrement rouges, et porta sa main sur ses lunettes, les remettant en place. Si elle devait les retirer, ça risquait d’être problématique. Certes, ses lunettes étaient sexy, tellement sexy que, la dernière fois qu’elle avait été voir son opticien pour les régler, elle lui avait fait une fellation dans son atelier, avant qu’il ne la prenne contre le mur, mais, sans elles, elle était aussi myope qu’une taupe.

« Très... Oui, Maîtresse... »

Elle s’avança un peu, et commença par allumer sa lampe de chevet, éteignant l’éclairage central, permettant ainsi d’avoir une ambiance tamisée. Elle avait tout de même besoin d’un peu d’ambiance pour ça. Elle alla ensuite devant sa chaîne Hi-Fi, et, en essayant de calmer les tremblements nerveux de sa main, liés à cette onde d’excitation qui la traversait, elle sortit un CD. Il ne comprenait qu’une piste, qu’elle avait trouvé sur Internet, et qu’elle mit dans le lecteur optique, avant de le refermer, et d’appuyer sur le bouton « PLAY », ainsi que sur »REPEAT ». Elle se replaça ensuite devant la femme, debout, et, lorsque la musique (http://www.youtube.com/watch?v=PuOk2i-FqWI) se mit en marche, elle put se laisser aller.

Shani avait déjà fait des strip-teases, notamment à l’époque où elle était à Paris. Elle se mit à faire des déhanchés avec son bassin, pour commencer. Rien de bien choquant, mais il fallait y aller crescendo, et il fallait qu’elle se dégourdisse, qu’elle commence à sentir le sang remuer en elle pour se laisser aller. Elle voyait le strip tease comme une sorte de danse érotique, et la danse était une lente machine, un moteur cahoteux qui, une fois lancée, ne s’arrêtait pas. Elle dansait sur une musique lente, aux sonorités sensuelles et basses, et ondulait des hanches, remuant devant la femme, dansant, essayant de ne pas trop l’observer, comme une artiste qui ferait un numéro. Lentement, ses mains glissaient sur ses collants quand elle fléchissait les genoux, et elle se laissait aller.

Elle avait du faire un strip tease dans un bel appartement parisien du 16ème arrondissement, une fois. Une petite soirée étudiante où elle avait perdu à un jeu stupide, et avait du faire uns trip devant l’assemblée. Sa danse avait terminé en orgie. Elle dansait lentement, remuant ses jambes, puis bougeant sa tête, déplaçant ses mèches de cheveux, prenant tout son temps, pliant les genoux en s’abaissant, ses mains glissant de ses jambes pour heurter ses seins. Elle connaissait ses instructions, et, plus elle dnansait, plus ses doigts se rapprochaient des boutons de sa chemise. Parfois, elle devait glisser un doigt près de ses cheveux pour remettre ses lunettes.

Petit à petit, elle tournait également sur elle-même, défaisant petit à petit ses boutons de chemise, commençant par ceux du haut, puis ceux du bas, tirant à chaque fois sur sa chemise blanche pour les retirer. Sa minijupe, quant à elle, était retenue essentiellement par des boutons qu’on pouvait déclipser sur les côtés, et, alors qu’elle se retournait, elle commençait à se pencher en avant, dans une position très gymnastique, puisque son dos finissait à la perpendiculaire de ses jambes, soulevant ainsi son minishort pour permettre à la femme de voir sa croupe, ses deux mains touchant le bout de ses chaussures.

Elle se relevait alors, se tournant sur le côté, souriant délicatement à sa Maîtresse, et continua à jouer avec les boutons de sa chemise. Peu à peu, tous les boutons sautèrent, et elle la replia alors, en continuant à remuer ses hanches. Elle la replia en plusieurs endroits, au niveau des manches, du ventre, et du torse, ce qui amena sa chemise à se retrouver dans son dos, le col autour du cou. Ses bras étaient immobilisés, mais ça ne l’empêchait pas de remuer. Elle en avait profité pour déclipser quelques boutons de sa minijupe, et, en remuant, les ouvertures s’élargissaient, permettant de voir un peu mieux sa culotte.

Shani se retourna ensuite, et se pencha en arrière, faisant lentement glisser sa chemise. Elle finit par se retrouver le dos orienté vers le sol, la tête en arrière, observant le corps de sa Maîtresse, avant de se retourner, soulevant bien haut ses jambes pour frotter son corps contre le sol, ses seins heurtant le parquet. Bénies soient ses leçons de gymnastique quand elle était une petite fille, elle en avait conservé la souplesse. Elle se mit à frotter le sol, d’avant en arrière, mimant de manière grossière un coït, ses yeux plantés sur celui de sa Maîtresse, avant de se relever rapidement. Elle s’était ainsi rapprochée de sa Maîtresse, et remua des hanches juste devant elle, ses mains empoignant ses seins, les malaxant, le bout de ses doigts jouant avec les boutons de soncorset.

Un strip tease était quelque chose qui ne lui faisait pas honte du tout, et elle se laissait pleinement aller. Après tout, c’était une danse érotique, une exaltation des plaisirs sensuels. Peu à peu, elle écarta le corset, en tirant sur les boutons, déchirant à moitié le corset, et, tout en le laissant tomber, elle continua à remuer, et glissa ses mains dans les ouvertures de sa minijupe, et retira sa culotte, sans pour ôter défaire la minijupe. Elle la fit lentement glisser, et, comme elle pouvait s’y attendre, elle était trempée. Shani fit lentement glisser le sous-vêtement, relevant ses jambes, puis serra le sous-vêtement dans sa main, sans le laisser tomber. Elle se rapprocha encore un peu, et leva bien haut son bras, celui qui tenait sa culotte noire, et ouvrit sa bouche, avant de le lécher, l’approchant de ses lèvres. Elle le mordilla, et entreprit petit à petit de l’avaler, de l’enfoncer dans sa bouche, et, pendant ce temps, avec son autre main, elle fit tomber sa minijupe. Elle se retrouva avec son caleçon roulé en boule, et bondit alors sur le sofa, ses jambes de part et d’autre du corps de la femme.

Debout sur son sofa, sa moule proprement taillée et rasée un peu au-dessus de la tête de Mistress Magician, elle entreprit de se doigter devant elle, avec deux doigts qui s’enfonçaient alternativement en elle, répandant un peu de mouille qui glissait le long des jambes de Shani, des gouttes allant tomber sur le nez de la femme, tandis que, avec son autre main, elle se frottait un sein.

Elle estimait que c’était un beau final.
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: The xXx Gang le samedi 26 octobre 2013, 19:51:31
Quand la belle professeur commençait à préparer le lieu pour sa petite danse, Mistress Magician, elle, tendait la main vers son manteau laissé sur un des rebords du sofa. A tâton, ne pouvant pas détacher son regards du corps de cette délicieuse miss Stevens, la bibliothécaire glissa ses doigts dans une des poches du vêtement, pour en tirer un joli téléphone cellulaire. Après tout, il fallait vivre avec son époque, être une sorcière n'empêchait pas d'avoir un portable. Oh, bien sûr il existait des rituels pour contacter les gens à distance, mais ça restait bien moins simple que d'appuyer sur un ou deux boutons, puis composer un numéro. Aussi, la musique commençait à peine que la plantureuse brune portait l'appareil à son oreille. Pouvant ainsi communiquer tout en profitant du spectacle, elle soufflait :

- Ouais... C'est Leather ? Ouais... J'suis dans un joli appartement, en compagnie d'une fille... Quoi ? Non, celle là est d'un autre calibre, crois moi. Vous devriez venir, les filles, on va s'amuser. Hmmmm ? Dis lui qu'elle a une odeur que seul elle et moi pouvons sentir. Ouais. Je vous envoie l'adresse, à toute.

Et puis elle raccrocha. Ouvrant dès lors le panneau des SMS, la sorcière eut toutes les difficultés du monde à en écrire un, même s'il s'agissait simplement de noter l'adresse et le numéro de l'appartement où habitait Shani. Son regard passait davantage de temps à observer la danse sensuelle de la femme à lunettes que sur le petit écran... dans ses conditions, inutile de dire que le temps d'écriture du SMS s'étirait de manière déraisonnable. Mais, une fois qu'elle eut fini, la bibliothécaire corrompue jeta son téléphone sur le manteau, sans prendre le temps de le ranger dans une poche. Le spectacle captait toute son attention. A mesure que Shani ondulait, Mistress Magician décroisait et recroisait les jambes. Cette vision l'enfiévrait, détrempant son entre-cuisses, lui chatouillant le sexe. La brune avait furieusement envie de glisser quelques doigts entre ses lèvres intimes, pour calmer cette délicieuse démangeaison. Mais elle ne pouvait se le permettre : C'était une Mistress du Gang xXx, une dominatrice. Pour espérer pouvoir être la maîtresse de quelqu'un, notre ravissante bibliothécaire devait avant tout être maitresse de son propre corps.

Outre l'aspect érotique de la danse, le corps de rêve de miss Stevens, le côté acrobatique qu'elle avait décidé d'y donner plaisait à Mistress Magician. Certains auraient pu trouver ça ridicule, y préférer davantage de sobriété... mais la brune perverse se projetait déjà dans le futur, un futur proche où les deux femmes danseraient une autre danse, moins chaste, plus animale. La souplesse dont faisait preuve la jolie professeur était une promesse supplémentaire des délices que serait ce moment. La bibliothécaire s'humectait régulièrement les lèvres, impatiente de pouvoir les faire glisser sur le corps féminin. La vision d'un fessier ici, une pression sur un sein là... Magician était impatiente.

Et puis l'effeuillage s'acheva. Shani vint coller son sexe juste au dessus de la tête brune de sa sauveuse, y insinuant ses doigts, afin de lui offrir un autre genre de spectacle. Cette fois, la bibliothécaire corrompue ne se contentait pas de s'humecter les lèvres, y passant régulièrement une langue avide. N'y tenant plus, elle décroisa ses jambes, posant ses mains sur l'intérieur des cuisses de cette petite nymphomane à lunettes. Se penchant en avant, le cou tordu, visage relevé, Mistress Magician vint déposer un baiser sur le sexe féminin. Sa langue se coupla aux doigts de Shani, s'insinuant entre eux, jouant avec eux, avant de partir à la recherche du petit bourgeon de chair. La brune adorait ce goût sur sa langue, sentir ce jus d'excitation échauffer ses papilles. Plus elle buvait ce liquide chaud, plus la sorcière avait soif. Plus la sorcière avait soif, plus elle léchait passionnément... Au final, Mistress Magician avant les mains refermées sur les hanches féminines, pour mieux attirer le bassin de sa docile partenaire à elle, ses lèvres pulpeuses collées aux lèvres intimes de Shani, comme si elle ne voulait perdre aucune goutte de ses sucs érotiques.

Mais toutes les bonnes choses ont une fin et ce cunnilingus, aussi délicieux fut il prit finalement fin. Reculant le visage, un sourire carnassier éclairant son visage, la bibliothécaire se léchait les babines. Détachant une de ses mains de la hanche de Shani, elle murmura quelques paroles ésotériques, que la professeur était bien incapable de comprendre. Ses mots semblaient vibrer dans l'air, remontant jusqu'à la poitrine de miss Stevens pour y prendre forme solide. Faisant appel à sa magie, la magicienne venait de conjurer deux petites pinces ouvertes, reliées par une longue chainette d'onyx, noire, scintillant à la lumière. Les dents des pincettes se refermèrent d'elles mêmes sur les mamelons de la femme à lunettes, tandis que Mistress Magician crochetait son doigt à la chaînette. Tirant un peu dessus, par à coups, la brune intimait l'ordre à la belle de descendre. Chaque traction étant un peu plus forte à chaque fois, Shani était forcée d'obéir sous peine de subir une souffrance graduelle. Et, au moment où elle finirait à genoux, les jambes écartées de part et d'autres des cuisses musclées de la dominatrice, la divine professeur aurait une petite surprise : Le gland épais d'un membre virile et, n'ayons pas peur de le dire, de gros calibre, n'attendait qu'un orifice à explorer... et, en l'absence d'instructions de la part de la bibliothécaire perverse, miss Stevens avait tout le loisir d'enfouir ce vit où bon lui semblait.


- Je sens que toi et moi allons beaucoup nous amuser, avant que mes copines n'arrivent. Tu vas encore devoir bouger tes si jolies petite fesses, pour récupérer la sève au fond de moi... Une main gantée toujours posée sur la hanche féminine, l'autre tenant la chaînette comme on le ferait des rennes de sa monture - bien qu'en réalité, c'était Mistress Magician qui était chevauchée - la brune ajouta :[/b] Allez, trésor, fais jouir ta maîtresse.
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: Shani Stevens le dimanche 27 octobre 2013, 01:44:25
Toute la difficulté d’un strip tease était, pour l’observateur, de ne pas pouvoir agir, ni toucher. C’était une véritable torture, mais Mistress Magician n’y était évidemment pas soumise. En sauvant les fesses de Shani dans la station de métro, elle bénéficiait d’un droit sur elle, une sorte de pouvoir que Shani reconnaissait et admettait. Elle se soumettait d’autant plus volontiers à l’autorité de cette femme que sa perversion et sa beauté étaient redoutables. Elle se masturbait sous ses yeux, tendrement, sans rien simuler, agissant avec l’énergie de la passion et du désir, avec la force de l’érotisme. Elle savait que sa Maîtresse ne pourrait pas résister, et sa satisfaction fut donc d’autant plus grande quand elle sentit la bouche de la femme se rapprocher de son intimité, pour que sa langue se mêle à ses doigts. En sentant cet appendice caresser ses doigts, Shani ressentit un léger frisson, des picotements le long de ses doigts. Les joues légèrement rouges, elle soupira à nouveau, sentant la langue de la femme s’immiscer dans sa fente, cherchant son bouton de plaisir, titillant sa fleur intime. Ce contact fit gémir Shani, qui serra les dents, finissant progressivement par écarter ses doigts, afin de ne sentir rien d’autre que la langue et les mains gantées de la femme.

Silencieusement, la musique s’était tue, et Shani, lentement, posa ses mains sur les longs cheveux de la femme, les pressant. Elle se demandait vraiment qui était cette femme. Elle avait entendu quantité de rumeurs et de légendes à propos d’habitants surnaturels vivant à Seikusu, comme les super-héros, mais elle n’avait jamais pensé que ces légendes existaient réellement. Était-elle une magicienne vieille de plusieurs millénaires ? Ou une femme menant une double vie ? Bimbo perverse et tueuse la nuit, caissière la journée ? Cette idée excitait Shani... Tout comme le coup de téléphone que cette femme avait appelé. Est-ce qu’elle faisait partie d’un gang ? Shani aurait probablement du se sentir nerveuse à l’idée de voir toute une bande débarquer chez elle, mais, si les autres femmes étaient du même gabarit qu’elle, elle se sentait surtout plus excitée qu’autre chose.

Pendant un certain temps, Mistress Magician lécha ainsi le sexe de Shani. C’était un beau cunnilingus, qui témoignait de l’expérience de la femme dans ce domaine. Shani ne se faisait pas d’illusions : elle ne devait pas être la première femme que la femme sauvait ainsi. Si elle avait été un peu plus paranoïaque, elle se serait même demandée si les minables qui l’avaient agressé n’avaient pas été initialement envoyés par elle. C’était une théorie farfelue, car Shani était ce genre de femmes qui croyait aux coïncidences, qui pensait que le hasard, le hasard pur et simple, jouait un rôle fondamental dans l’existence. Oh oui, cette femme, vu l’assurance dont elle avait fait preuve, avait déjà du exiger de la part d’autres femmes ce genre de paiement. Fort heureusement, Shani n’était pas une jeune vierge effarouchée.

Mistress Magician la faisait mouiller, et Shani se laissait aller, soupirant de plaisir, frissonnant au contact des mains de la femme sur son corps. Elle n’avait pas retiré ses jarretelles, estimant qu’elle était plus sexy ainsi, et, vu que la femme ne lui avait pas reproché ceci, c’est qu’elle devait également aimer ça. Après tout, il suffisait de voir comment elle s’habillait pour constater qu’elle avait bon goût.

*Le goût de sa langue est divin...*

Divin, c’était bien le mot, mais tout plaisir avait une fin... Avant que Shani n’eusse vraiment l’occasion de jouir, la femme écarta sa langue, et, tout naturellement, Shani libéra ses cheveux. Elle baissa la tête, le visage légèrement crispé, car son sexe l’élançait, comme si son intimité était en feu. Le sourire malicieux sur les lèvres de sa Maîtresse n’était pas de très bon augure, et Shani sentit alors quelque chose s’activer à hauteur de ses seins. Quelques instants après, elle eut l’impression que deux petites mâchoires venaient mordre ses tétons, et elle poussa un couinement, mélange de surprise et de douleur.

« Haa ! »

Une sorte de pinces à poitrine venait de se former comme par magie ! Et c’était bel et bien de la magie. Shani observait la chaîne noire. Les pinces évoquaient vaguement des morsures, et la douleur allait en s’intensifiant graduellement. La secrétaire soupirait et se dandinait sur place, et, alors qu’elle couinait et gémissait, l’un des doigts gantés de la femme s’agrippa à la chaînette, imposant une traction. Shani se laissa tomber petit à petit, son visage rougi, contorsionné par la douleur, glissant le long des seins, de son corset... Pour finir plus ou moins accroupie devant elle.

Les yeux de Shani s’écarquillèrent de stupeur en voyant que quelque chose venait de pousser entre les cuisses de sa Maîtresse. Une verge énorme venait d’apparaître. Tout chez cette femme était disproportionné, il en allait donc de même pour...

*Sa verge ?!*

Shani avait vu des trucs bizarres à Seikusu, même une élève hermaphrodite disposant d’une verge, mais c’était bien la première fois qu’elle voyait un sexe pousser depuis un vagin, et ce de la manière la plus naturelle possible ! Elle était incrédule, alors qu’elle sentait la douleur sur ses seins s’atténuer, se stabiliser. Elle observait cette queue massive et tendue devant elle. Les veines saillaient le long de la verge, des lignes bleuâtres qui semblaient pulser sous la surprise de la jeune secrétaire. Devait-elle lui faire une fellation ? À cette idée, elle avait soif, mais, comme pour l’orienter, les ordres de sa Maîtresse fusèrent alors à ses oreilles.

« Allez, trésor, fais jouir ta maîtresse. »

Shani déglutit, comprenant l’ordre. Elle aurait pu faire une fellation, et même une belle gorge profonde, mais elle était gourmande. Le cunni’ de Maîtresse l’avait échauffé, et elle voulait aussi en profiter pour palper un peu son corps. Elle posa donc une main sur la verge de la femme, la pressant, en éprouvant la fermeté. Ses doigts avaient du mal à s’enrouler tout autour, et elle eut un léger frisson, de peur ou d’excitation, en se demandant s’il était vraiment raisonnable de vouloir s’enfoncer un tel pieu dans le corps. Sa gourmandise prit rapidement le dessus, et elle se hissa un peu, avant d’abaisser lentement son bassin, ses genoux s’enfonçant dans le sofa, de part et d’autre du corps de la femme. Elle planta son regard sur celui de sa Maîtresse, avant de lentement s’empaler en elle, utilisant sa main pour que la verge de la femme ne bouge pas.

« Huuuuuuu... !! »

Shani serrait les dents en sentant le sexe écarter ses parois vaginales, et respira longuement, des plaques rouges de sueur éclairant son corps. C’était un membre vraiment très imposant, et elle se força à descendre, gémissant et soupirant, jusqu’à ce qu’il soit enfoncé jusqu’à la garde. En sueur, Shani haletait, et entreprit de se relever. Elle mouillait bien, fort heureusement, ce qui allait rapidement rendre cette pénétration plus lisse, plus élastique.

« Aaaaah, Maî... Maîtresse... Elle... Si grosse, haaaa... »
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: The xXx Gang le dimanche 27 octobre 2013, 19:10:14
La bibliothécaire corrompue retint un gémissement de plaisir en sentant l'intimité ruisselante envelopper son vit nouvellement crée. Dieu que cette professeur était serrée... Bien sûr, l'épaisseur du membre viril devait être pour quelque chose dans l'étroitesse du sexe féminin qu'il perforait. Mistress Magician trouvait cet étau chaud et soyeux parfaitement délicieux. Elle aurait bien besogné cette femme ravissante tout de suite, mais la brune était d'un naturel joueur. De plus, les efforts et la docilité dont faisait preuve Shani poussait sa maîtresse du moment à se montrer plus douce, plus aimante, qu'avec une femelle récalcitrante. Aussi, prenant son mal en patience, la sorcière laissa sa cavalière s'habituer à la taille du sexe qui la remplissait. Ce temps de latence fut d'ailleurs mis à profit par Mistress Magicia, à qui il vint une idée subite. Le sourire carnassier accroché à ses lèvres se mua en un sourire mutin, trahissant le fait que quelque chose se passait dans sa jolie tête. Shani n'eut d'ailleurs pas beaucoup à attendre avant que le plan de la dominatrice ne lui fut révélé.

Sa main gauche toujours accrochée à la chaînette d'onyx, la sorcière abandonna le flanc féminin de la droite, pour agiter ses doigts à la vue de la demoiselle à lunettes. Subissant de nouveau les intonations surnaturelles d'une formule magique, l'air sembla se troubler, s'étirer et s'assombrir dans la paume gantée. Peu à peu, des formes rondes, reliées par un trait noir, se tracèrent dans la main féminine. Au bout de quelques secondes, l'objet conjuré avait pleinement prit forme entre les doigts experts de Mistress Magician : Il s'agissait d'un chapelet fait d'une dizaine de boules noires, semblant faites de la même matière que la chaînette, reliées les une avec les autres par une ficelle sombre. Chacune de ces petites sphères d'onyx n'était, en définitive, pas si petite : Leur diamètre avoisinait les six centimètres. Portant l'instrument à ses lèvres, la bibliothécaire perverse suça la première de manière provocante, avant de faire disparaitre l'instrument dans le dos de la professeur. Cette dernière put rapidement sentir le contact froid de cette boule humidifiée dans la cambrure de ses reins, avant que celle ci ne descende le long du sillon de ses fesses, pour s'arrêter devant sa petite porte. Restant là l'espace d'une seconde, une pression progressive la fit écarter l'anneau culier, avant que l'orifice ne "gobe" la petite sphère. A peine fut elle bien au chaud que la grosse bille se mut à vibrer délicieusement, mue par une étrange magie. Mistress Magician prit son temps avant de ce saisir de la suivante, pour la presser à son tour contre l'étoile serrée. Une fois encore, le muscle anal se détendait lentement sur la surface lisse avant de laisser passer l'intrus et, une fois encore, l'onyx se mit à vibrer à l'intérieur du fondement féminin. Chacune des boules du chapelet subit le même sort, enfoncées une à une dans ce petit trou, commençant à trembler une fois au chaud, jusqu'à ce que celle la poignée qui permettrait plus tard de retirer le tout ne dépasse.


- Bien... Je vais bien m'amuser avec toi, le temps que mes petites copines arrivent. Je vais tacher de ne pas trop te fatiguer d'ici là... Fufufu...

Sans lâcher la longue chaînette qui reliait les mamelons de Shani, Mistress Magician replaça sa main droite sur la hanche de cette dernière, lui intimant un rythme. Dans un même temps, son bassin commençait un doux mouvement de va et viens. Sa verge, tendue à tout rompre, sortait lentement du sexe ruisselant de la professeur, avant qu'une puissante pression sur de sa main gantée ne la fasse retomber de tout son poids sur l'épieu. Pour l'instant, la sorcière pouvait se contrôler. malgré le plaisir intense que lui prodiguait cette chatte serrée, la bibliothécaire corrompue ne laissait échapper aucun gémissement. C'était tout juste si les pénétrations lui arrachaient quelques soupires de plaisir. La dominatrice contemplait le corps de sa partenaire, jouissant aussi bien de la vision de ce ventre plat et de cette somptueuse poitrine, de ce visage aux traits harmonieux et aux expressions qui les déformaient, qu'au coït lui même.

Mais Mistress Magician était une jouisseuse assez égoïste. Si le plaisir de Shani lui importait, c'était surtout parce qu'il flattait l'égo de la sorcière. Elle aimait faire jouir ses proies, car elle aimait l'idée d'avoir un contrôle si total sur elles que même les réactions de leurs corps lui appartenaient. Mais, bien sûr, son propre plaisir passait en premier et, bien vite, la bibliothécaire lubrique ne se contenta plus juste des déhanchés de la professeur, même si ceux ci n'étaient que l'obéissance à un ordre non prononcé. Son bassin se mit à onduler plus franchement, faisant remonter ses hanches à la rencontre de celles de Shani lorsque cette dernière retombait, remplissant le petit salon des bruits de chairs qui s'entrechoquaient. Au bout d'un moment, le déhanché de Magician suffisait à assurer seul la pénétration : Quand les pubis des deux femmes se retrouvaient collés l'un à l'autre, après que le vit massif ai buté contre la matrice féminine, la sorcière donnait un coup de reins assez puissant pour propulser la dame à lunettes, assez haut pour que seul la pointe du vit magique reste prisonnier des parois vaginales. En d'autre termes, Shani n'avait plus besoin de rien faire : Sa croupe rebondissait, le vit raclant ses parois intimes à chaque rebond. Même le maintien de l'équilibre n'était pas requis, car si la professeur tombait en avant, la poitrine moelleuse de la bibliothécaire pouvait aisément supporter son corps et, si elle basculait en arrière, la chaînette reliée aux bouts de ses seins l'empêchait de chuter. Bien sûr, cette dernière éventualité impliquait une bonne dose de douleur...


- Hmmmm... hmmmm... aaaah... Ton... oooouh... ton con est... délicieux... tésor !

Emportée par son plaisir, Mistress Magician laissait enfin sa voix tinter dans l'air, trahissant le plaisir qu'elle ressentait, ce plaisir qui montait pas saccades dans son bas ventre, injecté dans son corps par le biais de cette verge qui coulissait entre les cuisses de Shani, par le frottement de ses muscles intimes couplé aux vibrations du chapelet, perceptible au travers de la fine paroi séparant ses deux puits à plaisir.

Puis, alors même que la chevauchée battait son plein, la sorcière glissa son bras au creux des reins de la belle, gardant sa verge plantée au plus profond. Se redressant, elle fit basculer Shani vers l'arrière, utilisant sa prise dans son dos pour empêcher que sa poitrine ne soit inutilement martyrisée. Se déplaçant de quelques pas, Mistress Magician allongea la divine professeur sur la table basse, avant que le coït ne reprenne de plus belle. Dans cette position, la brune avait davantage de contrôle sur le rythme, la cadence des pénétrations, ce qui lui autorisait davantage de rapidité dans ses déhanchés... et ce fut très ce qui en découla : La bibliothécaire corrompue lançait son mandrin plus fort, plus vite, faisant grincer le pauvre meuble sous la pression de leurs corps, sous l'impact de chaque coup de reins.

Se courbant, devenant un peu plus animale, la brune plantureuse coinça la chaînette d'onyx entre ses dents afin d'avoir les mains libres. Se saisissant alors des hanches féminines, les soulevant pour pouvoir leur imposer un rythme encore plus soutenu, Mistress Magician s'en donnait à coeur joie. Des gouttelettes de sueur se formaient sur sa peau claire, ruisselant sur ses seins, sur son front et ses temps, s'accumulent sur ses mamelons et son nez, pour perler sur le ventre et la poitrine de Shani.

Il n'y avait pas besoin d'être particulièrement observateur pour comprendre que la sorcière arrivait au bout de sa chevauchée et que, bientôt, elle se répandrait dans le ventre de sa partenaire.
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: Shani Stevens le lundi 28 octobre 2013, 01:51:12
Ce sexe était atroce. Il était particulièrement gros, et Shani se sentait sur le point d’imploser en le sentant en elle. Rien à voir avec ses amants parisiens, celui-là était à la hauteur des proportions gargantuesques de la femme. Soupirant lentement, Shani était en sueur, haletait et gémissait, en remuant lentement, s’empalant sur cette queue en essayant d’activer le rythme. Elle avait souvent été pénétrée comme ça pour savoir que les trous féminins étaient relativement élastiques. Il suffisait de donner le bon rythme, et son sexe finirait par s’adapter à la présence de ce membre énorme. Elle se sentait comme écartelée, haletant et couinant en essayant de se faire à la présence encombrante de cette queue. Le plaisir était là, oui, mais il se noyait dans un océan de souffrance. Elle avait terriblement mal entre les cuisses, comme si ces dernières étaient en feu, et elle savait que ce n’était qu’un avant-goût. De manière explicite, sa Maîtresse lui avait dit que ses « petites copines » allaient arriver... Or, Shani doutait qu’elles soient de proportion normales. Ce qu’elle vivait s’apparentait à une espèce de rêve, de fantasme éveillé, ce genre de fantasmes qu’on caressait au lycée sans oser se l’avouer, de peur de passer pour la nymphomane de service... Être prise dans une tournante de cuir, de latex, et de sexes brutaux, être l’attention d’une dizaine d’hommes qui vous feraient jouir comme la pire des putes. Les hommes étaient ici remplacés par des femmes membrées, leurs muscles saillants par des poitrines évoquant vaguement de confortables coussins. Shani y prenait d’ailleurs appui, chacune de ses mains en appui sur les tétons de la femme.

La douleur était intrinsèquement lié au plaisir sexuel. Shani était en train de l’approfondir. Ses tétons la démangeaient, car les dents la mordaient, et cette douleur, pourtant, n’était rien par rapport à celle que la brave secrétaire ressentait entre les cuisses. Elle se laissait lentement aller, afin de s’accommoder à ce membre, à cette queue turgescente, mais sa Maîtresse avait visiblement envie de continuer à torturer Shani. Elle la vit faire apparaître une sorte de chapelet en remuant les doigts devant elle.

« Haaa... ? »

C’était bien une question, mais Shani n’arrivait pas à formuler ses mots. Ses lunettes glissaient, et elle bascula rapidement la tête en arrière, afin de les remettre à leur place, et continua lentement à s’empaler sur le corps divin de cette femme. Elle vit la femme sucer l’une des grosses boules de ce collier, en se demandant ce qu’elle avait derrière la tête. Elle eut sa réponse quand elle glissa le chapelet dans le creux de son rein. Instinctivement, Shani s’était rapprochée de la femme, frissonnant. Le chapelet se mit à rouler le long de son dos comme un serpent, atteignant son bassin. Ses fesses s’écartèrent alors, et Shani se crispa, serrant les dents, avant de sentir quelque chose forcer le passage dans son anus. Les grosses boules se mirent à rentrer, et elle se mit à couiner, fermant les yeux, des gouttes de sueur roulant le long de ses joues, ainsi que quelques larmes. Les doigts experts de Mistress Magician, qui ne tremblaient pas, restaient dans le dos de Shani, tenant le chapelet, et elle sentit la boule remuer en elle, vibrant, comme si elle se tortillait, remuait et enflait dans l’étroit corridor de ses fesses. Shani eut un nouveau soupir, s’écrasant contre le corps de la femme, son sexe glissant le long du pieu de sa Maîtresse.

« Haaaaaaaaaaa... »

Elle réalisa que de la salive coulait, et entreprit de la ravaler, quelques gouttes glissant le long des seins de la femme. Instinctivement, elle entreprit de la lécher, la nettoyant, avant de sentir les doigts de la femme, très lentement, enfoncer les autres boules en elle, la faisant hoqueter à chaque fois. Une par une, la femme les enfonça dans le corps de Shani, ne laissant plus qu’une petite queue. Shani était en sueur, sentant les boules remuer en elle... Cependant, elle savait qu’elle devait faire jouir la femme. Elle soupira, devant se forcer, et commença donc vraiment à s’empaler sur elle, à danser. En soi, ce n’était pas une danse compliquée : haut, bas, haut, bas. Une litanie assez classique. Elle faisait généralement son numéro sans la moindre difficulté, mais, ici, elle affrontait une sacrée spectatrice. Outre sa queue démesurée, l’absence de réactions notables sur le corps de la femme la surprenait également. Oh, Shani pouvait sentir l’excitation de la femme, mais il n’y avait pas de grands soupirs, ni de couinements. Il n’y avait qu’elle qui gémissait et se tortillait sous l’effet du membre avide de sa partenaire.

Shani mouillait follement... Et elle prenait son pied, dans tous les sens du terme. Son cul était en feu, ses seins lui donnaient l’impression d’être des tisons, et son sexe lui faisait un mal de tous les diables. Pourtant, elle ne pouvait s’empêcher d’être excitée, et de se dandiner toujours un peu plus sur le corps de la femme. C’était une expérience tellement intense, tellement énorme qu’elle était savoureuse. Cependant, Shani était restreinte par des limites physiques, et ne pouvait pas danser aussi bien qu’elle l’aurait voulu. C’est probablement ce qui amena Mistress Magician à devoir agir par elle-même, posant ses mains gantées sur les hanches de Shani, la soulevant, presque à la limite de sa verge, avant de la laisser s’écraser dessus.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNNNNNNNNN !!! HAAAAAAAAAAAAANNNNNNNNNNNNNNN !!!! HOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO !!!! »

Comme on pouvait s’y attendre, se faire ainsi défoncer la chatte mettait Shani dans un état second, et elle se mit à hurler, à hurler de douleur et de plaisir, ses cheveux remuant dans tous les sens. Son corps partait parfois en arrière, et, alors, une douleur particulièrement vive lui donnait l’impression qu’on lui dépeçait les seins. Elle eut un orgasme avant de se rapprocher sur la table basse, à sentir la femme lui labourer la chatte. Shani haletait et gémissait, se tortillant sur sa table, qui craquait. Elle se mit même à craindre que cette dernière ne se brise. La table, fort heureusement, sembla supporter son poids.

Shani eut un second orgasme. Mistress Magician la défonçait, et elle adorait ça, sa mouille venant éclairer sa table, glissant le long du rebord pour tomber sur le sol.
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: The xXx Gang le lundi 28 octobre 2013, 21:31:31
Le moins qu'on puisse dire, c'est que le petit salon de Shani était devenu plutôt bruyant. Entre les cris de plaisir et de douleur de la professeur, les gémissements fiévreux de celle qui lui ramone l'entre-cuisses et les craquements sinistres de la table basse, l'endroit n'était pas particulièrement tranquille. La bibliothécaire ne se laissait pas de sentir son vit aller et venir dans ce fourreau de velours, chaud et soyeux. Elle se délectait des éclats de voix de son hôte à chaque coup de reins et, la première fois que le délicieux étau vaginal convulsait autour du chibre magique, Mistress Magician manqua de l'accompagner dans son orgasme. Mais la folle cavalcade n'était pas finit et, chaînette entre les dents, fermement cramponnée aux hanches féminines, la sorcière continuait son office pénétrant, élargissant sans pitié l'orifice orgasmique. Ce traitement eut bientôt raison de Shani qui, à nouveau, subissait l'explosion du plaisir, l'ultime jouissance qui, bien que souvent terminal pour les hommes, n'empêchait pas une femme de continuer ses ébats. Cependant, les contractions des muscles intimes autour d'un vit rendu déjà hypersensible par le plaisir finit par pousser la brune au delà du point de non retour. Soudant ses hanches sour le bas ventre féminin, s'affalant sur le corps de son hôte, Mistress Magician laissait échapper la chaînette d'onyx de sa mâchoire.

- Aaaaaaaaaaah ! hnnnnnnnnn...

L'épaisse queue gonfla un peu, l'espace d'une seconde, tandis que la sève montait à l'intérieur. Shani put bientôt sentir l'onctueux fruit de l'orgasme de sa partenaire remplir son puits à plaisir, retapissant un peu plus ses parois vaginales à chaque giclée. Bientôt, le liquide visqueux débordait de la chatte investie, coulant le long de la raie fessière de la professeur, pour venir gouter sur le parquet, formant une petite flaque blanchâtre. Même si l'intimité de la femme à lunette ne pouvait accueillir la colonne de chair en même temps que la semence qui en sortait, Mistress Magician refusait obstinément de se retirer tant qu'elle n'avait pas finit de se vider...

- Hmmmm... Si bonne... J'espère que les autres vont mettre du temps à arriver, que je profite encore un peu de toi pour moi toute seule.

Tout en prononçant ces paroles, la sorcière restait allongée sur le corps de Shani, savourant le contact de sa poitrine sur ses propres seins, caressant lal chevelure châtain d'une de ses mains gantés. Le déversement de son vit s'était arrêté, déjà, mais la bibliothécaire lubrique profitait encore quelques instants de la chaleur accueillante de cette petite chatte, savourant les vibrations issues du chapelet qui, lui, n'avait toujours pas arrêté son office. Puis, après avoir déposé un rapide baiser sur les lèvres pulpeuses de sa partenaire, Mistress Magician se redressa, quittant le fourreau humide de Shani. Malgré l'intense chevauchée, malgré l'importante quantité de sperme déversée et malgré sa peau luisante de sueur, la sorcière ne semblait pas fatiguée : Sa respiration était normale, son vit toujours tendu, prêt à l'emploi. Au certes, il était poisseux de cyprine des jus mêlés des deux femmes, mais cela ne sembla pas gêner la brune le moins du monde.

- Repose toi, trésor, tu vas avoir besoin de force pour ce qui t'attends Ses lèvres s'étirèrent à nouveau pour former un sourire carnassier. Et je ne parle pas de l'arrivée de mes copines. Pendant ce temps, je vais m'amuser un peu avec tes jolis seins.

Posant un genou sur la table basse, la bibliothécaire corrompue avançait au dessus du corps féminin, jusqu'à se retrouver à califourchon sur sa partenaire. Son vit bien lubrifié fut glissé sous la chaînette sombre, posé au centre du délicieux canyon mammaire de Shani. Sans se départir de son sourire, Mistress Magician leva sa main à hauteur de sa tête, pour claquer des doigts. Tandis que la note sèche raisonnait dans la pièce, les petits maillons d'onyx commencèrent à grincer, avant de disparaitre un à un, en partant du centre. Mais, plutôt que de libérer la poitrine féminine en s'effaçant, la chaînette se raccourcissait, rapprochant toujours un peu plus les deux globes charnus de l'épieu vulgaire qui reposait entre eux. Bientôt, le vit magique était comprimé dans un étau tout aussi chaud et soyeux que précédemment, mais bien moins humide. Heureusement, les sécrétions qui le couvraient permettrait à ce membre de glisser convenablement. Il y eut un moment de flottement, quelques secondes de silence et d'immobilité, avant que la table basse de recommence à grincer sous les déhanchés de la sorcière.

Cette dernière faisait aller et venir son sexe entre les seins de la professeur avec une vigueur renouvelée. Renouvelée ? En réalité, elle ne lui avait pas fait défaut. Ayant les mains libres, la chaînette se chargeant seule de maintenir sa verge comprimée par cette succulente paire de seins, Mistress Magician jouait avec sa propre poitrine. Du bout des doigts elle avait saisit le bijoux relié à son téton droit, tirant dessus, le faisant tourner pour torsader son mamelon, tandis que son autre main malaxait énergiquement la mamelle gauche. De nouveau, la voix de Mistress Magician remplissait la pièce, couvrant les protestation du pauvre meuble qui devait souffrir de subir tant d'efforts. Ainsi, Shani pouvait voir cette brune muscler la chevaucher sans retenue en se triturant la poitrine, toute à son plaisir. Plus bas, le gland épais la narguait, se rapprochant et s'éloignant de son visage, menaçant de buter contre son menton si elle ne faisait pas attention.

Au bout de quelques minutes, la bibliothécaire perverse posa sa paume contre le crâne de sa monture, resserrant ses doigts dans sa crinière pour lui ramener le visage vers ce gland taquin. Un ordre simple, entrecoupé de gémissement, claqua dans l'air :
Hmmm... Aaah... Ouvre la bouche.... ouuuh... Mistress Magician n'attendait même pas que Shani ai obéit, la pointe de son vit venait buter contre cette bouche pulpeuse, prête à s'engouffrer à la moindre ouverture. Et c'est ce qu'elle fit, dès que les lèvres de tentatrice de la professeur furent écartées, la sorcière augmenta la pression sur la tête de sa servante du moment, afin d'être sûr que Shani commence à sucer. Rabattant sa propre tête en arrière, la brune corrompue exhala un profond soupir de plaisir, sans cesser de se déhancher. La fille à lunette pouvait sentir, juste en dessous de sa poitrine, la cyprine de sa cavalière s'étaler sur sa peau tendre, les lèvres intimes de Magician glissant dessus comme sur une patinoire. Mistress Magician avait une curieuse conception du repos.

D'un autre côté, même s'il était massif, il ne s'agissait que du gland de la sorcière. Shani pouvait le sucer, l'aspirer et le lécher, il n'allait jamais trop loin, permettant ainsi à la divine prof de respirer comme bon lui semblait. Alors certes, le chapelait vibrait toujours entre les fesses de la professeur, mais ces vibrations n'étaient pas assez intense pour se révéler réellement fatigantes. Mistress Magician se masturbait presque littéralement entre les seins et dans la bouche de sa partenaire et, contrairement à précédemment, où elle savourait un coït et le faisait durer pour son plus grand plaisir, l'objectif ici était de jouir le plus vite possible. Malgré tout, l'endurance inhumaine de la bibliothécaire fit durer cette cravate de notaire de longues minutes. Mais la sorcière arriva finalement jusqu'à l'orgasme, maintenant le crâne féminin immobile à l'aide de ses deux mains, le pubis écrasé contre le dessous des seins de Shani. Les jets onctueux furent à nouveau expulsés, remplissant la bouche féminine.


- Hmmmmmmmmmaaaaaaaaaaaaah... Avale tout ! Je ne veux pas voir une goutte dépasser de la commissure de tes lèvres !

Plus facile à dire qu'à faire. Malgré la bonne quantité libérée précédemment, Mistress Magician semblait disposer d'autant de sperme. Oh, la quantité n'était pas suffisante pour remplir l'estomac de Shani, fort heureusement, mais ça n'avait quand même rien à voir avec un orgasme de mâle humain normal. Une fois encore, la bibliothécaire lubrique ne relâcha pas sa vis à vis tant que son vit n'avait pas cessé de décharger son foutre. Puis, comme précédemment, la brune se retira, avant de poser un pieds à terre, pour se mettre debout. Et une fois encore, Mistress Magician semblait en pleine forme, prête à remettre le couvert avec la même fougue, la même force.

- Boooon. Les filles ne devraient pas tarder. Va sur le balcon et penche toi sur la rambarde, comme ça, on pourra les voir venir, tout en s'amusant... fufufu...

Si toutes les "copines" de cette brune insatiable étaient comme elles, Shani avait du soucis à se faire...
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: Shani Stevens le mardi 29 octobre 2013, 01:49:07
Se faire pilonner par cette femme était une expérience incroyable. Shani était littéralement transportée ailleurs, dans un autre monde. Une humaine normale aurait probablement atteint un coma, sous la pression d’un tel membre. Shani avait toujours su qu’elle avait, dans ce domaine, une résistance exceptionnelle, et ceci se justifiait en ce moment. En réalité, elle avait une résistance divine, puisque son père était Éros, ce qu’elle ignorait. La secrétaire était défoncée par la magicienne, et elle entrouvrait les yeux, les joues rouges, en sentant cette dernière s’écraser sous elle. La femme comprimait ses seins, les chaînes dorées de ses tétons heurtant ses seins. Soupirant, Shani leva ses mains, et les enroula autour du cou de la femme, afin d’accompagner ses mouvements. Sa table basse gémissait encore, sous le poids épais de Mistress Magician. Indéniablement, cette dernière, avec une telle poitrine, ne devait pas peser 50 kilos. Elle s’écrasait sous Shani, l’étouffant sous un cocon de plaisir, et finit par s’abandonner en elle.

La secrétaire la sentit jouir, et hoqueta silencieusement, glapissant en sentant son bas-ventre se remplir. Comme elle pouvait s’y attendre, Mistress Magician jouissait à la hauteur des proportions de son corps : son énorme chibre se contractait en expulsant des jets de sperme en elle. La masse de sperme vint bien évidemment à déborder, glissant entre les cuisses de Shani, qui relâcha le cou de sa Maîtresse en s’écrasant contre la table basse, ses cheveux étalés de part et d’autre de sa tête. La femme continuait à éjaculer, et Shani eut bien l’impression qu’elle mit plusieurs minutes à se vider. Le bas des jambes de Shani flottait dans une espèce de petite flaque qui s’égouttait sur son parquet. La secrétaire soupira en sentant ce gros membre se retirer de son corps, ayant presque l’impression qu’on lui arrachait un organe, tant ce membre était encombrant. Quand il se retira, un jet de sperme, que son organisme n’avait pas pu ingérer, jaillit. Soupirant, la secrétaire se redressa lentement, appuyée sur ses avant-bras. Ses jarretelles étaient partiellement bonnes pour une bonne séance dans la machine à laver, mais son regard était surtout fixé sur le sexe de la femme.

Comme elle s’y attendait presque, il n’avait pas décru, continuant à se dresser, tacheté ici et là de traces de sperme et de cyprine. Toujours tendu, il observait le plafond avec avidité. Shani reprenait son souffle, sachant que ce moment de pause ne durerait pas... Si on pouvait toutefois parler de pause, car les pinces continuaient à torturer ses seins, et elle avait toujours les boules qui remuaient dans son fondement. Cependant, après avoir subi un tel coït, ces instruments étaient très supportables. La secrétaire soupirait lentement, avant que la femme ne retourne vers elle.

La table basse dut à nouveau supporter le poids de la femme, alors que Shani sentit un long frisson la traverser quand la femme s’assit sur elle, son sexe heurtant son estomac, tandis que Shani retournait docilement s’allonger. Elle avait du mal à parler, se contentant d’hoqueter et de soupirer. La magicienne avait dit qu’elle comptait jouer avec ses seins. La secrétaire savait ce qu’elle avait en tête, en sentant son sexe glisser contre son ventre, remontant près de ses seins. Seulement, il y avait la chaîne qui gênait, et la magicienne, semblant le réaliser, posa ses doigts gantés cette dernière, la transformant légèrement. Shani se demanda si elle ne comptait pas la supprimer, mais, au lieu de ça, elle sentit la chaîne se relever et se raccourcir légèrement, permettant d’accomplir deux choses : permettre à son chibre disproportionné de se glisser entre ses seins, et à ses derniers de se rapprocher, arrachant au apssage des gémissements de douleur entre les lèvres de la brave secrétaire.

« Haa... »

Elle n’avait pas grand-chose à faire, car la femme se mit à remuer elle-même son corps, glissant sur le corps de Shani, un corps qui, sous le mélange de fluides sexuels et de sueur, était devenu très élastique, très glissant. Le corps de la Maîtresse remuait donc sans difficulté, et Shani se tortillait sous le corps de cette dernière. Elle était sa prisonnière, indéniablement. Une sorte de prisonnière sexuelle qui se félicitait de la bonne isolation de son appartement. Autrement, elle risquait fort d’être l’objet d’une pétition pour expulsion, ou de voir les flics débarquer pour tapage nocturne. Ses mains moites vinrent s’agripper aux hanches de la femme, remontant pour se glisser près des fesses de Mistress Magician. Insatiable aussi. Elle se pressait contre les fesses de la femme en gémissant, observant son plafond. L’une des mains de la femme ne tarda pas à agripper ses cheveux, soulevant son visage, la maintenant.

« Hmmm... Aaah... Ouvre la bouche.... ouuuh... » ordonna-t-elle, entre deux soupirs.

Le temps que Shani reçoive cette information, le gland du membre heurtait ses lèvres entrouvertes, déposant un filet de sperme dessus. Elle ouvrit alors sa bouche un peu plus grand, et soupira quand le bout du sexe entra en elle. Sa queue était si longe qu’elle formait comme un bâton de chair découpant son corps en deux à hauteur de ses seins. Gémissant et soupirant, Shani entreprit donc de sucer l’extrémité du gland, son regard oscillant entre le corps de la Maîtresse, la manière dont elle titillait ses seins en jouant avec les espèces d’anneaux dorés, les soupirs qu’elle faisait, et sa queue enfoncée en elle. Shani sentait la queue glisser sur son ventre, et décala progressivement l’une de ses mains pour caresser le haut de cette queue, glissant ses doigts dessus, recueillant une texture qui était un mélange de plusieurs liquides corporels.

Les minutes s’écoulèrent ainsi. Shani suçait tendrement, remuant sa langue contre le gland, sentant la main de la Maîtresse posée fermement sur ses cheveux. Cette dernière finit par jouir, et Shani eut l’impression que quelque chose explosait dans sa bouche, tant son orgasme était puissant. Shani sentait le sperme filer dans sa gorge, et essaya de ne pas perdre le rythme. Elle savait que cette femme allait longuement éjaculer, et le risque était qu’elle s’étouffe, que sa gorge soit irritée, et qu’elle se mette à éternuer. Il ne fallait pas aller trop vite, et se faire à l’idée qu’elle allait devoir conserver du sperme dans sa bouche, et respirer par le nez. Elle avait de l’expérience, mais ça n’empêchait pas qu’elle recevait en elle une quantité assez impressionnante de sperme. Shani avalait goulument, jusqu’à ce que Mistress Magician ait visiblement largué toute la sauce.

Les joues de Shani étaient alors gonflées et tendues, et elle ferma la bouche, ressemblant à une espèce de gros hamster joufflu :

« Hmmmmmmmmmaaaaaaaaaaaaah... Avale tout ! Je ne veux pas voir une goutte dépasser de la commissure de tes lèvres ! »

Shani hocha lentement la tête, remuant surtout du nez pour marquer son approbation, et avala donc, lentement, déglutissant faiblement. On pouvait voir son cou remuer à chaque fois qu’elle en avalait une gorgée. Elle retenait le sperme dans sa bouche pour mieux le diluer, les joues toutes rouges, et déglutissait longuement, jusqu’à tout avaler. Comme pour marquer son approbation, en souriant légèrement, elle frotta son estomac.

Mistress Magician lui demanda alors d’aller sur le rebord de la terrasse, en attendant que ses copines arrivent. Shani hocha la tête, et se laissa glisser le long de la table basse, en se disant que se relever risquait d’être difficile. Elle tomba sur les genoux, et sa tête arriva à côté du sexe de la femme. Il était toujours aussi tendu, ce qui, vu les litres de sperme que la femme avait balancé, tenait du prodige. Des traces de sperme éclairaient le dos de Shani, et il y avait plusieurs flaques sur le sol. Shani se rapprocha, et lécha un peu le sexe, tendrement, avant de déposer un baiser dessus.

« J’y... J’y vais, Maîtresse... »

Elle entreprit de se redresser, sentant ses fesses et ses seins la faire souffrir. Shani s’avança lentement, constatant que le sort qui lui torturait les seins quand elle s’éloignait de la femme semblait rompu. Oh, les chaînes continuaient à la mordre, mais pas de manière insoutenable. Elle respirait lourdement, et tituba un peu, devant s’appuyer contre le dossier d’une chaise. Elle respira lourdement, puis recommença à marcher, plus normalement. Sa main se posa sur la porte de la baie vitrée, et elle l’écarta. Un vent frais l’accueillit. Elle avait une petite terrasse avec un transat, et la terrasse donnait sur la rue. Plusieurs voitures circulèrent en bas, ses cheveux remuaient dans le vent, et elle se pencha donc, observant plusieurs piétons qui passaient par là. Elle était aussi gênée qu’excitée, à l’idée que des passants puissent la voir, la photographier... Il y avait des lumières en face, et, en s’attardant, elle put discerner des silhouettes affalées dans leurs sofas, probablement à observer la télévision.

Shani se hissa un peu, et glissa une main dans ses cheveux, se tournant face à sa Maîtresse, pour l’attirer :

« Il fait bon dehors ! Aérer l’appartement ne peut pas faire de mal, surtout si vos... ‘‘Copines’’... Sont aussi énergiques que vous. »

Mine de rien, elle avait quand même envie de se renseigner.

Après tout, c’était son appartement.
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: The xXx Gang le mardi 29 octobre 2013, 22:15:20
Mistress Magician prenait plaisir à observer la prise de ce soir, appréciant cette nudité qui n'était tempérée que par ces portes jarretelles. Portes jarretelles qui ajoutaient une note coquine à ce corps déjà plus qu'attirant. La sorcière ne put retenir un sourire amusé en voyant ses difficultés à se déplacer. Shani était une fille courageuse et docile, qui ne désobéissait ni ne répondait aux ordres de sa sauveuse pour dire autre chose que "Oui maîtresse". Cette obéissance plaisait à la brune, lui donnant envie de faire elle même des efforts pour satisfaire son hôte. La bibliothécaire corrompue avait deviné que cette femme a lunette aurait probablement jouit avec autant de force si Mistress Magician s'était montrée plus sadique, plus rude, mais cela n'éteignait pas son envie de faire preuve de douceur. Après tout, elle était Magician et non Leather, son plaisir était de jouir d'une servante, plutôt que de la martyriser. Et la lubricité de la divine professeur devait probablement avoir un rapport avec ce parfum ésotérique, cette odeur de luxure qui émanait de son corps parfait...

Tandis que le regard de la sorcière détaillait le fessier de Shani, cette dernière tira sa sauveuse de sa rêverie en pivotant, avant de poser une question apparemment innocente, mais où l'on décelait la pêche aux informations. Reprenant son sourire carnassier, Mistress Magician rejoignit l'esclave consentante sur le balcon en répondant tout naturellement :


- Oui, mes copines sont toutes aussi... énergiques que moi. La sorcière se pencha un peu en avant, après être arrivée au niveau de la femme à lunettes, susurrant : Et toutes aussi bien membrées que moi, quand elles veulent. Se redressant, tout en reprenant un ton plus naturel, la bibliothécaire corrompue poursuivit : Mais si tu veux des jouets pour t'amuser, je suis la seule à pouvoir te les fournir. D'ailleurs, en parlant de ça...

D'un claquement de doigts, Mistress Magician fit totalement disparaitre la chaînette d'onyx, ainsi que les petites pinces refermées sur les tétons féminins. La poitrine ne fut pas libérée longtemps car, déjà, les mains gantées empoignaient ces globes ronds et fermes, les écartant avec douceur. La brune se penchait sur la poitrine de la divine professeur, appliquant sa langue en son milieu, pour récolter les sécrétions orgasmiques des deux femmes déposées là au cours de la masturbation mammaire. Consciencieusement, la sorcière nettoyait l'endroit, avant de diriger ses lèvres avides vers un des mamelons martyrisé, l'enrobant avec amour avant de le lécher et de le suçoter. Magician prenait soins de ces pointes meurtries, faisant preuve d'une douceur en total décalage avec sa précédente fougue. La donzelle corrompue comptait bien récompenser Shani pour sa docilité et il était bon de commencer par effacer les douleurs qui lui avaient été infligées. Une fois que la sorcière fut suffisamment amusée avec la pointe du premier sein, elle s'attaqua à la seconde, lui infligeant le même délicieux traitement, avec une expertise qui collait bien avec le caractère pervers du personnage. Curieusement, alors que Mistress Magician cajolait les mamelles de Shani, cette dernière pouvait sentir les vibrations du chapelet augmenter en intensité dans son fondement. Etait ce le simple effet d'une excitation renouvelée ou bien est ce que l'objet vibrait réellement plus fort. Au bout d'un moment, l'intensité de ces tremblements ne laissait plus aucun doute : L'objet vibrait plus fort.

Finalement, la bibliothécaire lubrique abandonna la poitrine de son hôte, glissant une main sur son épaule. D'une pression douce, mais ferme, la brune intima l'ordre à sa vis à vis de se retourner pour être de nouveau face au vide. D'une pression entre ses omoplates, la sorcière la poussa à s'accouder contre la rambarde. Laissant ensuite sa paume glisser le long du dos féminin, tout en collant son autre main sur le ventre de Shani, Mistress Magician descendait lentement vers la partie inférieure du corps de son hôte. La professeur pouvait sentir des doigts se frayer un chemin jusqu'à ses lèvres intimes, les écartant pour s'attaquer à son petit bouton de chair, tandis que d'autres s'insinuaient dans son sillon fessier. Tout en s'occupant du sexe féminin, la bibliothécaire lubrique s'était saisie de la poignée du chapelet, tirant lentement dessus. La première boule vibrante ralentit sa course en rencontrant la barrière des sphincters de Shani, sans pour autant arrêter sa course. Ecartelant doucement l'anneau musculeux, la sphère d'onyx finit par sortir, expulsée à l'extérieur par la pression sur sa surface lisse. A peine arrivée à l'air libre que cette boule s'arrêta de vibrer, comme si elle avait perdue toute vie. Une seconde suivit bientôt son chemin, puis une troisième, une quatrième et une cinquième... Mais, alors que le rythme lent et fiévreux avait été imposé à l'expulsion du chapelet, Mistress Magician tira d'un coup sec sur la poignée, faisant ressortir les cinq boules restantes en une fois, couplant cette surprise avec l'insertion de plusieurs doigts dans le sexe encore visqueux de sperme. Jetant négligemment le sex-toy dans le vide, la sorcière abandonna également l'entre-cuisses de Shani pour se placer derrière elle.


- Cambre toi bien, trésor, que je puisses t'enculer comme il se doit.

Mistress Magician ne doutait pas que sa servante du soir obéirait bien sagement à son ordre, mais ses pulsions dominatrices la poussaient malgré tout à la saisir par les hanches pour bien s'en assurer. Frottant son membre tendu entre les fesses de sa vis à vis dans toute sa longueur, la brune ne tarda pas à reculer le bassin pour aligner le gland sur la rosette plissée, se mettant directement à pousser. Bien qu'elle en avait la force, la bibliothécaire perverse y allait tout en douceur, ouvrant lentement l'anus de la pointe de son vit. Petit à petit, le rectum féminin se retrouvait envahit par cette longue et grosse queue jusqu'à ce que, enfin, Shani puisse sentir les hanches de sa sauveuse toucher la peau tendre de ses fesses. Une fois enfoncée à son maximum, Mistress Magician laissa à sa partenaire un peu de temps pour s'habituer à l'intrus. Elle profitait d'ailleurs de ce temps pour se courber, allant recueillir un peu du sperme présent sur le dos de la professeur, remontant jusqu'à son oreille qu'elle mignotait du bout des lèvres, avant de murmurer :

- J'espère que tu aimes, mas jolie esclave à lunettes, parce que moi j'adore.

Puis, une fois cette phrase lancée, la sorcière commença à faire ressortir son épieu viril de l'étroit boyau, avec une lenteur toute calculée, pour le renfoncer tout aussi lentement. Son rythme était volontairement doux, pour épargner un maximum de douleur à sa partenaire. Mais, bien vite, la brune perverse accentua la puissance de son déhanché, augmentant la cadence. Dans un premier temps, Mistress Magician conservait une extraction lente du vit d'entre les fesses féminines puis, lorsqu'il ne restait plus que le gland à l'intérieur, se replantait avec rudesses, laissant ces même fesses claquer sous au contact des hanches de la sorcière. A chaque coup de reins, cependant, la rapidité du retrait phallique augmentait, jusqu'à ce que, finalement, le déhanché se révèle fluide, homogène.

Mistress Magician burinait joyeusement le cul de Shani, ululant son plaisir à la lune, sans pudeur aucune. Elle ne se souciait pas de savoir si on la verrait, si on la filmerait ou la photographierait. Au contraire, cette idée l'excitait même davantage, augmentant son ardeur à défoncer l'arrière train de la belle. Et, les mains fermement cramponnées à sa taille elle la défonçait sans s'arrêter. Allant et venant en elle, encore et encore.

Plus bas, dans la rue, une camionnette noire se garait. Mais Mistress Magician, trop occupée à enculer la divine professeur, ne s'en rendait pas compte. De cette camionnette, sortit tout un lot de femmes toutes aussi vulgaires les unes que les autres. Si Shani faisait attention, elle pouvait compter la présence de quatre femmes : Deux couvertes de cuir de la tête aux pieds et coiffées de casquettes - l'une rouge, l'autre noire - une autre engoncée dans une combinaison de chat qui ne laissait à l'air libre qu'une énorme paire de seins - encore plus énorme que celle des autres filles, s'entend - et, enfin, une autre qui, bien que portant elle aussi une casquette, ne semblait vêtue que d'un T-shirt trop petit pour elle. L'une d'elle leva la tête dans leur direction et sourit, avant de dire quelque chose à ses camarades. Puis, après que toutes aient regardé dans la direction du couple, ce petit groupe s'engouffra dans le hall de l'immeuble.

Bientôt, l'appartement serait envahit par les "copines" de Mistress Magician. Mais cette dernière était à des lieues de ce genre de considérations... ou, plutôt, elle était enfouie dans un cul qui n'avait pas finit de se faire élargir. La soirée ne faisait que commencer...
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: Shani Stevens le mercredi 30 octobre 2013, 01:52:49
L’air frais lui faisait du bien. Vraiment. Elle la refroidissait, l’électrisait, la ramenait à la réalité. Elle sortait d’une douce rêverie érotique, intense et passionnée. Son esprit revenait à la réalité, et elle se cramponnait au rebord, entendant les voitures passer. N’importe qui pouvait la voir en tournant la tête. Elle n’était pas à un étage particulièrement élevé, et elle observa à nouveau la rue, en entendant la femme arriver. Sa Maîtresse répondit à sa question, en lui expliquant que les autres étaient aussi bien membrées qu’elle, une information qui était aussi effrayante qu’excitante... Shani se demanda si le frisson qui la traversa à cette information témoignait de sa peur, ou d’une sorte de forte et latente excitation. Elle se mordilla en tout cas les lèvres. Elle était l’objet sexuel de cette femme, un objet de désir que la femme prenait sans chercher à savoir si elle était consentante ou non. C’était une forme de viol, un viol consentant. Shani acceptait pleinement d’être la poupée de cette femme, ainsi que de ses copines. Dans quel état finirait-elle ? Cette idée l’intriguait. La femme lui expliqua qu’elle était la seule du gang à pouvoir créer des objets magiques... La seule magicienne ? Shani ne savait pas trop comment l’interpréter, et sentit alors la douloureuse pression sur ses seins disparaître. Shani se mordilla les lèvres, et sentit la Maîtresse la retourner. Ses fesses heurtèrent le rebord, et elle vit alors les lèvres tendres de sa Maîtresse s’attaquer à l’un de ses tétons endoloris.

« Haa... »

Elle soupira de plaisir, s’attendant à ce que la femme la mordille... Mais elle se contenta simplement de sucer son téton. Clignant des yeux sous l’effet de la surprise, ainsi que de son désir, qui se réveillait lentement, s’égayant comme un feu de cheminée qui se réveillerait en soufflant sur les braises, elle tendit ses mains, et caressa les mèches de cheveux de la femme, en soupirant lentement. La jeune femme s’appliquait à presser ses seins, voulant visiblement montrer à Shani qu’elle pouvait alterner entre la sauvagerie des ébats précédents et une sorte de tendresse infinie. Elle suçait divinement bien, et les seins de Shani restèrent tendus, alors que la secrétaire soupirait lentement. La Maîtresse s’attaqua à ses deux seins, prenant tout son temps, comme pour effacer la douleur qui y traînait, comme si sa salive et ses belles lèvres agissaient comme un baume. La secrétaire soupirait silencieusement, recommençant à mouiller, à sentir son intimité la titiller... Ainsi que ses fesses. Les boules en elle continuaient à remuer, à vibrer, la faisant soupirer et gémir, alors que les minutes passaient. Shani hoquetait et gémissait silencieusement, jusqu’à ce que sa Maîtresse s’abaissa, fléchissant les genoux, en entreprenant de lui retirer le chapelet, tout en la doigtant.

Gémissant, Shani la laissa faire, crispant ses mains sur le rebord de la terrasse. Elle soupira à nouveau, remuant un peu, sentant sa mouille glisser le long des doigts experts de la femme, des doigts qui se concentraient sur son clitoris, pressant son bouton d‘amour, tandis que l’autre main jouait avec le chapelet. Shani émit un couinement quand la femme enleva la première boule... Et un cri quand elle retira d’un coup sec tout le reste. Sa maîtresse se releva alors, et continua à donner ses ordres à une pauvre secrétaire qui avait les joues rouges, tendues par l’excitation.

« Cambre toi bien, trésor, que je puisses t'enculer comme il se doit. »

L’intéressée hocha lentement la tête.

« Oui... »

Elle s’avança alors, le haut de son corps passant par-dessus la rambarde, tandis qu’elle sentait les mains gantées de la femme glisser sur ses hanches, afin d’amener ses fesses. Shani savait désormais ce qui allait se passer. Une belle sodomie, bien comme elle les aimait. Elle avait honte de le dire, mais Shani avait toujours adoré qu’on lui défonce le cul. Elle savait qu’elle allait prendre cher, et, curieusement, ce phénomène l’excitait. Le chapelet avait légèrement dilaté son anus, mais elle savait que, vu la taille de ce membre, sentir ce chibre en elle allait la perforer.

Elle appréhenda donc, fort logiquement, ce moment, et, si la douleur fut bien au rendez-vous, Mistress Magician choisit d’y aller avec douceur, pour autant qu’on puisse parler de douceur dans une sodomie. Le sexe de la femme s’enfonça en elle, et Shani poussa un couinement, avant de respirer lourdement. Ses lunettes glissèrent à nouveau sur son nez, et elle releva la tête en inspirant, remettant, par ce mouvement, ses lunettes sur son nez. Elle put alors voir que plusieurs voitures roulaient en contrebas. Un scooter portant des pizzas, ou de la nourriture japonaise, passa rapidement. Shani se sentait dans cette situation paradoxale où elle craignait et souhaitait qu’on la remarque, qu’on l’observe, qu’on se masturbe en la voyant. Le sexe parlait, les inhibitions tombaient, et les soupirs de Mistress Magician la guidaient. Elle poussait des espèces de feulements en la prenant, et le corps de Shani glissait contre la rambarde. Shani s’appuyait à cette dernière pour se maintenir, haletant silencieusement.

Ce sexe était énorme, et la femme accélérait progressivement le rythme, donnant à Shani l’impression qu’on lui enfonçait une torpille dans le corps. Shani hoquetait et gémissait. Le sexe de la femme sortait de son fondement, avant d’y retourner, la faisant bondir à chaque fois. Ses pieds manquaient même de toucher le sol, tant ce membre épais arrivait à la soulever. Même avec l’air frais, Shani ne tarda pas à avoir de nouveau chaud. Elle aurait presque pu tomber dans le vide, et entendait le défilement des voitures, les klaxons au loin, les quelques hurlements que les piétons passaient dans d’autres rues. Shani n’arrivait plus à retenir ses hurlements, et il était désormais certain que les riverains pouvaient les voir. Elle soupirait et gémissait, ne sentant plus les minutes passer, hurlant dans la rue, sa mouille glissant le long du garde-fou pour s’égoutter faiblement le long du mur, tombant en contrebas.

Baissant la tête en entendant une voiture se garer, Shani vit une camionnette noire. Plusieurs femmes en sortirent, et elle sut que les autres arrivaient.

« Maî... Maî... Aaaaaahh... »

Elle avait essayé de lui dire que le reste du groupe arrivait, mais elle en était désormais incapable, ne pouvant que soupirer et gémir, sous la présence de ce membre qui la torturait joyeusement.
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: The xXx Gang le mercredi 30 octobre 2013, 20:36:40
Les couinements et les cris des deux femmes continuaient de résonner dans l'air nocturne, tandis que la queue magique perforait impitoyablement l'arrière train de Shani. Cette vigueur surnaturelle qui habitait Mistress Magician était de nouveau à l’œuvre et la sorcière savourait les plaisirs de cette sodomie, oubliant tout ce qu'il se passait autour. Seul comptait ce cul sublime dans lequel elle s'enfonçait, ces fesses divines sur lesquelles elle abattait ses hanches et cette jouissance graduelle qui montait de son bas ventre. L'immeuble aurait pu prendre feu que la bibliothécaire corrompue ne se serait pas arrêtée. La brune perverse enculait la secrétaire nymphomane... et c'était tout.

Vraiment tout ? Non. Toute à son bonheur, Mistress Magician n'entendit pas la poignée de la porte, pas plus que le chuintement des gonds de cette dernière. Les autres maîtresses entraient dans l'appartement de Shani en terrain conquis, s'arrêtant un peu pour regarder la décoration, observer l'agencement des meubles. Mais, très vite, ce petit groupe de femmes se dirigea vers le balcon. Mistress Willpower fut la seule à mettre les pieds dehors, cependant, laissant les autres s'installer dans le petit salon. Un sourire amusé étirant ses lèvres rouges, la chatte de latex vint s'accouder à la rambarde, laissant son regard tomber directement sur ce vit qui coulissait dans le postérieur féminin. Après s'être humecté les lèvres, Willie tourna la tête vers l'intérieur, soufflant d'un air victorieux :


- J'avais raison les filles, elle est en train d'l'enculer !
- T'étais la seule à parier hein. Répondit aussitôt une voix venant de l'intérieur. Y a qu'toi qui s'rait pas en train de défoncer la rondelle d'sa dernière prise à l'heure qu'il est.
- Ouais, moi j'suis pas une sauvage comme vous autres.

Ce petit échange terminé, la blonde en costume de chat revint vers l'intérieur, pour commencer une conversation enjouée. Mistress Magician s'en moquait, elle ne lâcherait pas sa servante du soir tant qu'elle ne lui aurait pas repeint les boyaux en blanc crème. Se penchant un peu en avant, sans cesser de buriner le cul de la divine prof, la sorcière abandonna les hanches féminines pour se saisir des seins de Shani, les malaxant fiévreusement. Son visage s'enfouit dans la crinière ondulée de la femme à lunettes, respirant son odeur. La rambarde commençait à grincer elle aussi, comme la table basse le faisait précédemment, sous les assauts passionnés de la brune. Personne d'autre ne vint déranger le couple dans ses ébats, comme si le reste du gang respectait le plaisir de chacune de ses membres. Elles papotaient tranquillement, ne parlant pas assez fort pour que Shani ou celle qui lui ramonait le fion ne puisse entendre, leurs voix couverte par les grincements du métal, les claquements de la chair et les couinement des amantes. Peut être savaient elles qu'elles ne pourraient de toute façon pas décoller la sorcière de sa monture tant que la chevauchée n'arrivait pas à son terme ? Au bout d'un moment, la voix chantante de la petite Willie raisonna à nouveau, voilée de quelques intonations taquines.

- Eh, ça fait une demi-heure qu'on attend qu'vous ayez finis dehors.

Mistress Magician n'avait que faire des remarques de sa camarade, quelle importance le temps pouvait il avoir dans pareille situation ? Les fesses de Shani commençaient à rosir un peu, à force de recevoir le choc du bassin corrompu. En face, ceux qui regardaient la télé avaient quitté leur canapé, collés à leur fenêtre, ils observaient la scène en se passant une paire de jumelles à tour de rôle. Puis, enfin, la sorcière donna un ultime coup de reins contre le fessier de sa partenaire, gardant son sexe tendu bien au chaud, avant de lâcher sa copieuse semence. Les jets onctueux remplissaient peu à peu le colon de la professeur, sans déborder, cette fois... Après tout, les capacités de stockage du conduit anal n'était pas si limité que celui d'un vagin. Une fois la sauce envoyée, Mistress Magician se retira de l'orifice élargit, donnant une tape affectueuse sur une des fesses de Shani.

- Aaaaaah ça fait du bien ! Suivante !

La pauvre secrétaire n'avait pas le temps de souffler que, déjà, des mains féminines se posaient sur ses hanches et un gland épais - aussi épais que celui de sa précédente sodomite - se présenta devant l'entrée lubrifiée. Sans autre forme de procès, ce petit cul ravagé fut de nouveau investit par un chibre d'une taille invraisemblable. Si Shani tournait la tête pour voir qui s'occupait à présent de son cas, elle pouvait constater qu'il s'agissait d'une femme vêtue d'une tenue de cuir moulante et d'une casquette noire. Comme la brune, celle là pourtait un collier ras du cou orné d'une plaque d'or frappée du mot "Mistress" et, comme sa sauveuse, cette fille était dotée d'une poitrine des plus conséquentes. La taille de ces seins était d'autant plus évidente que le costume de la nouvelle maîtresse était ouvert jusqu'à l'entre-cuisses, laissant apparaitre un tatouage sur son pubis glabre, deux Z en miroire situés autour d'un 8 ou d'un B au tracé anguleux. Autre différence notable, outre la tenue et le tatouage, entre Mistress Magician et cette fille, se situait dans la couleur de leurs cheveux : Si Magician était brune, celle là était blonde. Et cette blonde, sans laisser le temps à la pauvre Shani de souffler, commença à l'enculer puissamment.

Si elle était encore en état de remarquer ce genre de choses, la divine professeur put remarquer une différence dans le déhanché : La blonde défonçait méthodiquement son cul plutôt que passionnément. Le rythme était sensiblement plus lent lorsque le sexe coulissait hors de son boyau anal, pour s'y replanter avec une force légèrement supérieure. La différence était subtile cependant et un spectateur pouvait très facilement penser qu'il s'agissait de la même chose. Loin de se laisser aller à ululer son plaisir comme la bibliothécaire lubrique, cette blonde se révélait également plutôt silencieuse. Oh, bien sûr, les vibrations du vit ainsi que sa tension trahissaient le désir de cette femme, mais elle semblait davantage observatrice... comme si elle analysait celle qu'elle était en train de sodomiser. Et, après une bonne minute de pilonnage anal, la femme tourna la tête en direction des autres filles.


- Tu avais raison, Magician, cette fille a une odeur particulière...

Même dans sa voix, Mistress xXx ne semblait pas à l'effort. Pourtant, elle était bel et bien en train de défoncer Shani. Pourtant, elle n'y allait pas de main morte. Mais la patronne du Gang xXx n'était pas du même calibre que ses subordonnées, l'énergie démoniaque qui l'habitait était supérieur à celle de toutes les autres maîtresses réunies. Mais, une fois cette phrase lancée, la leader de ce petit groupe de dominatrices commençait à exhaler quelques soupirs fiévreux. L'analyse terminée, la sodomite se laissait enfin aller à son plaisir. Elle gardait malgré tout un certain contrôle, caressant le dos féminin d'une main sans cesser ses coups de reins. Ses doigts, après avoir un peu joué avec les reliefs sensuels de ce dos, vinrent glisser sur le flanc de Shani pour, finalement, venir taquiner un sein. Compte tenu de la puissance avec laquelle elle défonçait le popotin de la professeur, la douceur avec laquelle elle titillait la mamelle était remarquable.

Désormais sur le seuil du balcon, les autres filles discutaient librement. De par leur proximité, Shani pouvait tout entendre... si elle y prêtait l'oreille. Il fallait croire que le spectacle de leur patronne sodomisant une pauvre femme les intéressait plus que lorsqu'il s'agissait de Mistress Magician. La fille munie d'une casquette pourpre et engoncée dans une parodie d'uniforme militaire en cuir tourna la tête vers la brune encore luisante de sueur, avant de demander :


- Dis moi, Magician, elle s'appelle comment cette fille ?
- Heu... Ben... Il me semble qu'elle s'appelle... Heu...
- Tu vois Willie, moi j'ai parié sur quelque chose de moins évident. Tu étais curieuse de savoir ce que ressentent mes proies ? Et bien ce sera l'occasion, quand on en aura finit avec cette fille, tu seras à moi pendant une heure.
- Méééheeeeu c'est pas juste ! Puisque c'est ça, j'te suce pas ce soir !
- En voilà une idée qu'elle est bonne ! Viens par là toi...
- Eeeeeeeh ! Bas les pattes espèces d-huck ! Haack ! Guuuck ! Gheeerrrk !

La situation évoluait. Juste à côté du couple sodomite, un autre couple s'était formé. Mistress Magician avait coincé la petite à forte poitrine - plus forte que celles de ses camarades, s'entend - contre la rambarde et, après l'avoir assise par terre, s'était enfournée sans douceur entre ses lèvres purpurines. Et, tandis que Mistress xXx baisait le cul de Shani, Mistress Magician baisait la gorge de Willie. La pauvre en pleurait, ses doigts se crispant sur les sangles du corset de cuir de la bibliothécaire à la recherche d'un échappatoire.

- Vraiment, Magician, tu n'as aucun savoir vivre.
- Aaaah... ooooh... hmmmm... Et c'est... hmmm... celle qui prend son pied à... aaaaah... fouetter les... les gens qui... hnnnnn... dit ça ?
- L'un n'empêche pas l'autre.

De son côté, Mistress xXx ralentissait un peu la cadence, sans pour autant cesser le mouvement. Son vit continuait son travail d'élargissement du conduit étroit, coulissant entre les fesses féminines avec une remarquable aisance. D'une voix un peu enfiévrée par le plaisir, elle souffla à l'oreille de Shani :

- Comment t'appelles tu... hmmm... ma douce ?
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: Shani Stevens le jeudi 31 octobre 2013, 01:14:51
Le membre de cette femme était du genre envahissant. Shani ignorait si elle avait mal, ou si elle était tout simplement surexcitée. Quand, lors d’une sodomie, on dépassait le stade de la douleur, on atteignait une nouvelle conception de ce que le plaisir signifiait. Il fallait être joueur pour apprécier un rapport anal... Et avoir aussi une certaine expérience de la chose, surtout quand on avait un sexe aussi lourd et tendu dans le corps. Shani était incapable de déterminer combien de centimètres de chairs tendus et durs s’enfonçaient en elle, mais il y en avait assez pour la transformer en cul-de-jatte. Elle continuait à heurter la rambarde, et ne voyait pas le public qui se formait depuis les fenêtres des riverains, ainsi que des quelques passants qui, en marchant, ne pouvaient qu’entendre les hurlements de Shani. Cette dernière se faisait tringler comme une hyène, et n’arrivait plus à retenir sa salive, crachant cette dernière par dessus la rambarde, l’envoyant tomber en contrebas. Elle n’entendit pas la porte s’ouvrir, ni les autres femmes entrer chez elle. Ce membre lui labourait bien trop le cul pour qu’elle puisse les entendre. Shani se forçait à cesser de hurler, à soupirer longuement, mais elle recommençait à couiner, haletant, se crispant à la rambarde.

C’est quand Willpower se rapprocha que Shani tourna la tête. Elle cligna les yeux en voyant une espèce de femme dans une tenue noire, en latex, lui recouvrant presque intégralement le corps, à l’exception de deux seins volumineux, et de son visage. Elle avait des oreilles de chat, et Shani comprit alors que les femmes qu’elle avait vues sortir de la camionnette étaient là. Elle s’était demandée si sa Maîtresse allait cesser de la prendre pour les accueillir, mais il aurait fallu une bombe pour la stopper. Mistress Magician ne décrut nullement son rythme, ce qui, en réalité, rassura Shani. Que cette sodomie royale soit inachevée aurait été une véritable souffrance, quelque chose d’inacceptable. Elle entendait la femme en latex parler, mais sans pouvoir comprendre vraiment ce qu’elle disait. Shani gémissait et haletait, et, de manière générale, elle était dans un tel état second qu’il lui était impossible de faire fonctionner son cerveau pour ressentir autre chose que les coups qui lui défonçaient le cul. Le sexe avait pour lui d’être un sentiment très monopolisateur : quand il s’instaurait en vous, progressivement, il vous coupait de tout le reste. Savoir que Shani avait un public ne faisait que l’exciter davantage, lui donnant l’impression d’être une artiste, et de devoir offrir une belle prestation, afin que ces femmes ne se soient pas déplacées pour rien.

*Rends-toi compte, Shani, des femmes membrées rien que pour toi ! Tu risques de battre des records ce soir !*

Et probablement de finir à l’hôpital. Shani était désormais certaine que les femmes étaient là, car elle pouvait percevoir les relents sonores de sa télévision. Elles prenaient leurs aises, tandis que sa Maîtresse continuait à la prendre, sans s’arrêter. Depuis combien de temps est-ce que cette sodomie durait, au juste ? Cinq minutes ? Une heure ? Sa perception du temps était floutée, mais elle commençait à se sentir anesthésiée, comme si son cul arrivait, petit à petit, à se faire à la présence encombrante de ce membre. C’était à croire que les capacités d’adaptation sexuelle de Shani étaient surhumaines... Ce qui, évidemment, était le cas, même si elle l’ignorait. Elle sentait sa Maîtresse se presser, remuant son membre énorme de manière plus vigoureuse en elle, avant de finir par jouir en elle. Shani hoqueta, poussant des petits soupirs, en sentant le sperme de la femme en elle. Elle la sentait jouir, son sperme filant dans son corps, l’inondant progressivement. Ce fut une longue éjaculation, comme elle pouvait s’y attendre. Shani était convaincue que, si elle regardait encore le membre de la femme, elle constaterait qu’il était toujours aussi tendu.

Mistress Magician se retira donc, et Shani s’appuya contre la rambarde, ses pieds retombant sur le sol. Elle tourna brièvement la tête, et eut juste le temps d’apercevoir une femme ressemblant à une nazie, avant qu’une autre femme ne vienne lui pilonner le cul. Shani poussa un cri en sentant un nouveau sexe s’enfoncer en elle, et se crispa à nouveau à la rambarde. Cette fois, ce n’était plus Magician... Elle ignorait quel était le surnom de cette femme. Cette dernière lui labourait le cul, et Shani se laissa pleinement faire. Elle ne pouvait pas vraiment tourner la tête, sous l’effet des pénétrations, mais sentit un rythme différent. Cette femme y allait différemment, mais, quoiqu’il en soit, l’effet restait le même : Shani avait une lance dans le cul, et se contentait de subir, sans pouvoir rien faire d’autre. Shani sentit des doigts gantés remuer sur son corps, avant de pincer l’un de ses seins.

« Haaa... »

Elle bascula sa tête en arrière, la glissant dans le creux du cou de cette femme. Elle savait, pour l’heure, trois choses sur cette créature :




Il fallait croire que c’était l’apanage de ce petit gang. En se fourrant dans le creux de son cou, Shani sentit des mèches blondes, et une sorte de col. Elle glissa son nez dessus, et entendit alors une conversation, mêlant sa Maîtresse, la femme nazie, et celle en tenue de chatte noire en latex. Une espèce de variante sexy et vulgaire de Catwoman, qui se retrouva rapidement à avoir une fellation, le sexe énorme de Mistress Magician s’engouffrant dans sa bouche. Du peu de ce que Shani avait réussi à comprendre, Catwoman (Shani ignorait son patronyme) n’avait pas l’air trop consentante, mais ces femmes étaient tellement hors-normes que la question du consentement ne devait pas se poser. Shani avait toujours un sexe planté dans son cul, et cessa donc assez rapidement d’observer cette délicieuse fellation, son regard glissant ailleurs.

La tête proche de celle de la femme, Shani entendit alors cette dernière lui demander, sur un ton relativement calme, son nom. La secrétaire soupira, et tendit une main derrière elle, s’agrippant à la longue chevelure de la femme, y trouvant un appui. Elle cherchait surtout à ménager un peu la rambarde de sa terrasse, car elle avait le sentiment que cette dernière devait être en train de souffrir.

« Je... Haaa... »

Elle déglutit, peinant à parler, et dut respirer longuement pour se concentrer.

« Sha... Sha... Nii... Shaaa-ni-haaaannn... »

Remuer les lèvres était toujours très difficile pour elle, dans cet état. Sa mouille se répandait le long de ses cuisses. Elle aurait aimé savoir comment appeler cette femme, mais il lui était difficile d’articuler. Elle émettait des espèces de borborygmes, ne cherchant même plus à déglutir, laissant sa salive glisser de sa bouche.

C’était si bon, de se faire ainsi défoncer le cul, qu’elle ne voulait surtout pas que ça s’arrête.
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: The xXx Gang le samedi 02 novembre 2013, 19:40:20
...et ça ne s'arrêtait pas.

Peu importait que Shani se serve de la chevelure de Mistress xXx pour s'aider à supporter son propre poids, cette petite torture du cuir ne sembla pas gêner le moins du monde la patronne du gang. Se servant de la main qui taquinait la poitrine de la divine professeur, la dominatrice en chef la laissa glisser un peu plus bas, sur le plexus féminin. Forte de ce nouvel appuis, xXx attira le corps de Shani à elle, faisant en sorte que sa la demoiselle à lunettes se retrouve adossée contre son opulente poitrine. Son autre main, quand à elle, glissait de la hanche où elle s'était cramponnée jusqu'au sexe ruisselant de mouille autant que du sperme de Magician. Et, dans cette position, debout devant la rambarde plutôt que contre elle, Mistress xXx reprit sa démolition anale. La puissance de déhanché demeurait la même, mais la proximité entre les deux femmes en limitait cependant l'amplitude. Ainsi, l'énorme épieu de chair ne ressortait que de moitié avant de replonger entre les fesses de la secrétaire. Une autre conséquence directe fut une nette accélération de la sodomite qui, n'ayant plus besoin de bouger autant les hanches qu'avant, se permit un peu plus de rapidité... Mistress xXx savourait pleinement le corps de sa partenaire, l'enculant avec force et vitesse, l'empêchant de partir vers l'avant à l'aide de ses bras, enroulés respectivement autour de sa taille et de sa poitrine, tandis que ses mains s'activaient à caresser et titiller con et téton. Le bruit de son bassin percutant les fesses de Shani n'était plus aussi bruyant, désormais.

En matière de bruit, le couple formé par Mistress Willpower et Mistress Magician n'était pas mal non plus. La pauvre petite chatte de latex subissait les assauts de sa camarade magicienne avec difficulté, ses gémissements se faisant étrangler par la queue de son assaillante, créant ainsi d'obscène gargouillis qui couvraient sans difficulté les claquements chair voisins. Plus haut, la bibliothécaire lubrique couinait et gémissait avec passion, chantant son plaisir en choeur avec la pauvre petite prof qui en prenait plein dans l'arrière train. Et, sur le seul, les deux filles restantes observaient la scène. La rouquine masturbait un vit massif - aussi énorme que ceux de ses copines - tout en se malaxant un sein, visiblement toute émoustillée par le spectacle pendant que, à ses côtés, la dominatrice en uniforme de cuir et coiffée de sa caractéristique casquette rouge observait le tout, bras croisés sous sa poitrine. Elle était la seule qui, dans cette bande, n'avait pas encore ne serait ce qu'un sein à l'air libre.

Au bout d'un moment, Mistress xXx vint taquiner le lobe de l'oreille de sa partenaire, avec une douceur et une sensualité qui tranchaient avec la sodomie brutale qu'elle lui faisait subir. Sodomie qui, d'ailleurs, ne ralentit pas, tandis que les lèvres pulpeuses s'entre-ouvraient doucement et que la voix chaude de la blonde glissait jusqu'aux creux de cette oreille.


- Hmmm... hmmmm... Et bien Shani... je ne vais pas tarder à... jouir... Mais rassure toi... hmmm... j'ai encore deux amies qui meeeeeurent d'envie de tester ton petit cul...

Bien sûr, ne pas tarder était une notion toute relative et, pour quelqu'un de l'endurance de Mistress xXx, cela impliquait que la divine professeur se fasse ramoner le popotin pendant encore quelques looooongues minutes. Enfouissant son visage dans le cou de Shani, la dominatrice en chef apposait quelques suçons sur sa peau tendre, ses gémissement étouffés faisant vibrer sa bouche vorace, tandis que son vit vibrait de plaisir. Et finalement, ce qui ne devait pas tarder prit suffisamment de retard pour que Mistress Magician ai le temps de jouir, expulsant une copieuse dose de sperme dans le gosier de la pauvre Willie. Cette dernière, ayant cessé de se débattre depuis quelques instants, déjà, démontra une exceptionnelle habilité orale en avalant le tout, buvant à cette verge envahissante jusqu'à la dernière goutte. Elle se permit même d'aspirer encore le gland, y imposant une puissante succion qui fit couiner la brune perverse. Libérant finalement un sexe qui, malgré ses récents exploits, demeurait d'une fermeté à toute épreuve, Mistress Willpower commença à nettoyer ce sceptre viril de la langue, jusqu'à ce qu'il fut parfaitement lisse et propre, à peine luisant de salive. Un sourire satisfait aux lèvres, cette petite qui se faisait violer la gorge il n'y avait pas deux minutes, tourna la tête vers le couple sodomite.

- Eeeeeeh... Mistress xXx est encore en train d'oublier de jouir. Elle a faillit en tuer une, la dernière fois, comme ça.
- T'en fais pas. Souffla la sorcière, dont la voix trahissait un vague - très vague - début de fatigue. Cette fille est spéciale, elle peut encaisser.
- Ouais, ben c'est pas comme si on attendait notre tour nous, hein...

Décidément, la leader du Gang xXx devait sérieusement revoir sa notion de tardif. De son côté, la petite chatte de latex compatissait avec ses deux camarades qui se contentaient de regarder. Aussi, après avoir laissé la patronne savourer le cul de Shani encore une petite minute, Willie contourna les deux femmes à quatre pattes sur le balcon, pour se placer derrière elles. Faufilant une de ses mains entre les cuisses de Mistress xXx, l'ex-stripteaseuse lui enfonça automatiquement deux doigts dans le vagin, lui arrachant son premier véritable cri de plaisir de la soirée. La cheffe blonde stoppa net ses déhanchés et cramponna ses mains aux hanches de Shani, pour la faire coulisser sur son chibre à la seule force de ses bras. Profitant de l'immobilité de la dominatrice en chef, Mistress Willpower enfouit son visage entre ses fesses - seule partie laissée nue par combinaison - pour pointer une langue avide contre son anus. Subissant une triple dose de plaisir, Mistress xXx ne tarda pas à jouir et, après avoir agité la pauvre secrétaire avec la fébrilité des derniers instants, la patronne maintint ce cul sublime collé à son bas ventre, sentant avec délice l'anneau musculeux serré autour de sa base. Le vit enfla un peu, avant de cracher plusieurs jets de semence. Ce flot crémeux semblait aussi copieux que celui précédemment déposé par Magician dans le fondement de Shani et, même si cela ne suffisait pas à lui faire enfler le ventre, la sublime secrétaire commençait à être plutôt bien remplie.

- Pas trop tôt.
- Je suppose que tu prends la suite ?
- Ouais, j'peux plus attendre là.

Mistress xXx, après un coup de langue taquin derrière l'oreille de sa partenaire à lunettes, se décolla d'elle, déclouant le succulent arrière train de la prof de son bas ventre encore vigoureux. Et, comme précédemment, la place fut à peine libérée qu'une autre queue s'enfonçait dans l'orifice désormais bien assouplis par l'usage. C'était à croire que les maîtresses ne voulaient pas qu'une goutte de sperme s'échappe des intestins de la jeune femme, se dépêchant d'obstruer l'ouverture avec un bouchon des plus appropriés... Mais, au lieu de commencer partir directement sur un rythme de folle furieuse, Mistress Futa resta immobile. Peut être avait elle pitié de cette pauvre humaine qui venait de se faire enculer près de deux heures durant par des monstres infatigables et membrés comme des recordmen mondiaux de la dimension pénienne ? Caressant gentiment les seins de Shani, la ravissante rousse se pencha un peu en avant, forçant sa partenaire à courber l'échine pour suivre le mouvement, puis glissa ses mains sous les genoux de la professeur. Se servant de ces prises, la stratège du Gang souleva la divine secrétaire, sans déloger son vit du conduit dans lequel il était enfouit.

En face, les voyeurs avaient sortis leurs portables et prenaient quelques photos. Il fallait dire qu'ils avaient une vue imprenable : Ainsi portée, le dos appuyé contre la poitrine moelleuse de sa nouvelle partenaire, Shani avait les cuisses largement écarées, les genoux remontés au niveau de sa poitrine. Entre son sexe encore maculé de blanc et son anus perforé bien en vue, la professeur devait offrir un spectacle des plus ravissants. De son côté, Mistress Futa ne bougea toujours pas. Après avoir reniflé la chevelure de l'esclave divine, la rousse tourna la tête vers Mistress Willpower.


- Je crois que la minette de cette fille mérite un peu d'attention, Willie. Après tout, elle en prend plein le cul depuis un moment, faut savoir varier un peu... Héhé...
- Ooooh, j'me demandais quand j'aurais l'occasion de gouter à son petit abricot. Hmmmm... Voyons voir ça...

S'étant faufilé jusqu'à l'entre-cuisses de Shani, la chatte de latex posa ses mains sur l'intérieur de ces mêmes cuisses, reniflant le sexe encore baveux des multiples sécrétions qui s'en échappaient. Après s'être léché les babines, Mistress Willpower déposa un doux baiser sur les lèvres intimes de la secrétaire, se léchant à nouveau les babines pour gouter le mélange des jus qui s'y étaient déposées. Puis, pointant sa petite langue, l'ex-stripteaseuse démarra les hostilités. De son côté, Mistress Futa se mit à onduler, faisant aller et venir son vit entre les reins de ShanI. Mais cela n'avait rien à voir avec la puissance et la rapidité de ses deux précédentes amantes... cette rouquine la pénétrait avec davantage de douceur, de fluidité. Certes, la cadence augmentait graduellement, mais cette augmentation demeurait lente aussi lente que cette langue qui explorait le sexe féminin. De toute évidence, Willpower et Futa n'en étaient pas à leur premier duo sodo-cunni, le crescendo du déhanché se mariant parfaitement avec l'affermissement de des coups de langue.

Et en parlant de langue... Mistress Willpower était une pucelle, ou, plutôt que de l'appeler pucelle, on pouvait dire que ses orifices intérieurs n'avaient jamais été pénétrés. Mais ce manque d'expérience semblait avoir été compensé par une expertise du sexe oral... Sa bouche, ses lèvres, sa langue, ses dents... Willie n'avait pas son pareil pour faire jouir quelqu'un et, à force d'exercices, elle savait comment contrôler la montée du plaisir chez ses partenaires. Bien sûr, la sodomie changeait ici la donne et lui faisait perdre ce contrôle, mais son expertise demeurait la même. La petite chatte de latex mettait du coeur à l'ouvrage, pour que Shani prenne un maximum de plaisir.

Sur le seuil du balcon, les trois autres femmes phalliques discutaient tranquillement, comme si de rien n'était.


- Tu vois ? J't'avais dis que cette fille a une odeur spéciale, le genre qui risque de surexciter notre petit Bitchie... Fufufu... Au fait, où est Feral ?
- Bitchmaker est au centre de production et, donc, elle aussi.
- Dommage, elle en rate une belle là.
- Elle ne va rien rater du tout, on y emmène Shani dès que Leather a pu s'amuser un peu avec.
- Ooohoooh ! Ca promet d'être amusant.
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: Shani Stevens le lundi 04 novembre 2013, 01:44:42
Shani avait l’impression de flotter dans une espèce de rêve éveillé. Le chibre tendu de la femme lui pilonnait le cul, et Shani continuait à gémir et à haleter, en sueur, épuisée. Elle se demandait si ce qui se passait était réel, ou le fruit de son imagination délirante et perverse, tant elle avait le sentiment persistant de flotter dans un autre monde. Tout ça était si gros, si épais, qu’elle avait le sentiment de délirer. Oh, Shani savait bien que tout ça était réel, que ces membres qui la perforaient sur son balcon n’étaient pas un fruit tordu issu de son imagination. La douleur qu’elle ressentait était trop vive pour être fictive. Shani avait mal, oui, mais cette douleur se mélangeait avec d’autres émotions, l’ensemble formant un cocktail invraisemblable de sensations onctueuses circulant dans tout son corps. La brave Shani était ailleurs, et revint un peu à la réalité quand elle sentit son corps être plaquée contre celui de la femme, des mains en latex parcourant son corps, la ceinturant étroitement. Un couinement s’échappa des lèvres de la secrétaire, qui continuait à haleter et à gémir, impuissante, incapable de résister contre une telle créature. Le contact de ses mains sur son corps, de ses caresses, était très agréable, mais Shani n’était plus vraiment au stade où ça pouvait faire une différence. Elle sentait des doigts en latex la triturer, mais ils étaient insignifiants face à cette épée de chair qui lui striait les fesses.

La secrétaire n’accordait plus aucune importance au couple formé par Mistress Magicien et par l’autre, cette femme de latex ressemblant à une chatte. En d’autres circonstances, elle aurait probablement salivé sur cette fellation, mais sa tête était penchée en arrière, fixant les toits au loin, les gratte-ciel du centre-ville, et le ciel, d’un noir d’encre. Elle avait beau sentir le souffle du vent sur son corps, remuant le long de ses cheveux, elle avait toujours aussi chaud. Sa salive continuait à s’échapper, et, au moins, ne criait-elle plus. Sa voix était sèche, cassée. À force d’hurler, elle s’en était épuisée les cordes vocales, et se contentait de subir en silence, acceptant silencieusement, avec un plaisir certain, son sort : être sodomisée comme une truie. Elle ne vit donc pas la femme de latex lécher le sexe de sa maîtresse, le nettoyer proprement, ne voyant rien d’autre qu’un sexe planté dans son corps. De même, elle ne vit pas la chatte se déplacer pour faire plaisir à la femme. Elle sentit, en revanche, son corps remuer, mais, dans son esprit, elle ne visualisait qu’une seule scène : son derrière, écartelé, avec un sexe planté en elle, qui remontait le long de son corps pour la torturer de l’intérieur.

Elle avait entendu la femme lui parler, lui dire qu’elle allait « bientôt » jouir. Shani répondit par un léger borborygme. Elle entendit également la femme parler de « deux amies ». Dans un soupir, Shani comprit que cette sodomie n’était pas encore terminée, loin de là... Et il fallait déjà que cette mystérieuse femme, dont Shani ne connaissait, ni le nom, ni l’apparence, jouisse en elle... Et, comme elle s’y attendait, sa partenaire prit son temps. Shani avait du mal à se repérer dans le temps, ayant le sentiment d’être dans une espèce de bulle temporelle, où les minutes ressemblaient à des heures, et les secondes à des journées. La secrétaire ne contrôlait plus rien, et finit par sentir la femme l’immobiliser, enfonçant son sexe aussi loin que possible dans son fondement, avant de jouir, longuement, avec profusion, généreusement, comme Mistress Magician avant elle. Shani gémit faiblement, ses cheveux plaqués contre sa tête, retenus par sa sueur. Elle était toute rouge, et sentit la Maîtresse se retirer.

Shani n’eut même pas le temps de reprendre son souffle que d’autres mains la touchèrent, et qu’une verge vint la pénétrer. Elle couina, ses mains s’agrippant sur le rebord, trempé et maculé par sa sueur. Le sexe s’enfonça sans réelle difficulté dans son corps. Son fondement était après tout tellement dilaté qu’il n’était guère plus difficile d’y aller. Shani respira lourdement. La troisième femme avait choisi de ne pas remuer son sexe, le laissant bien planté, ce qui amena Shani à se tortiller un peu, maladroitement, sous une douleur latente, qui montait progressivement. Elle sentit les mains de la femme pétrir ses seins, avant de glisser vers ses genoux, pour la soulever.

« Haaa... »

En sentant ses genoux remuer, la secrétaire anesthésiée poussa un couinement, ses articulations se mettant à craquer. Elle se retrouva dans une position assez improbable, ses genoux remontant. C’était comme si son corps était en train de glisser, ses jambes filant de part et d’autre, ses pieds atterrissant hors de la rambarde. Elle remua maladroitement une main, avant d’entendre la femme parler, probablement à une autre femme. Soupirant, Shani sentit une tête se glisser entre ses cuisses, et, alors qu’une langue heurtait son sexe, la femme qui la sodomisait se mit à remuer son corps, commençant enfin les mouvements de balancier. Shani finit ainsi par comprendre l’objectif de la manœuvre : alterner sodomie et cunnilingus. La secrétaire n’était plus qu’une espèce de poupée sexuelle, de jouet offert aux plaisirs sexuels des femmes l’entourant, des prédatrices sexuelles qui comptaient bien la baiser toute la nuit.

La sodomie de cette troisième personne était différente des deux premières. Celle de Mistress Magician avait été rapide et brutale, douloureuse et lourde, à l’image qu’on se faisait d’une sodomie. Celle de la femme aux gants de latex et aux cheveux blonds avait été un peu plus rythmée, et celle-ci était relativement plus lente. Shani cligna des yeux, lentement, sentant sa mouille disparaître sous la langue d’une femme. Elle baissa la tête, et reconnut les oreilles de chat de la femme en latex.

*Elle a du finir sa fellation...*

La secrétaire soupira, et plaqua à nouveau sa tête en arrière, glissant contre la nuque de cette femme, essayant, comme elle l’avait auparavant, d’en savoir plus. Des gouttes de sueur glissaient sur ses joues, sur son front. Avec ses jambes immobilisées, elle ne disposait plus que de ses mains pour agir, pour tenter de faire quelque chose. Elle en tendit une vers le bas, et réussit à effleurer la tête de la femme, glissant entre ses oreilles. C’était... Du latex. Guère surprenant, en réalité. Ses doigts glissèrent sur la tête, et elle les ramena en arrière, les faisant glisser sur son corps.

C’est dans ces circonstances qu’elle contracta un orgasme.
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: The xXx Gang le mardi 05 novembre 2013, 21:28:20
Transformée en objet et ramonée inlassablement par cette bande de femelles corrompues, la pauvre Shani commençait visiblement à perdre quelque peu ses forces. Mais son corps, alimenté par une énergie divine, une énergie divinement perverse, parvenait malgré tout à encaisser le choc... Après tout, sa main bougeait encore et, à en juger par les spasmes orgasmiques qui massèrent le vit de Mistress Futa, la demoiselle était toujours réceptive au plaisir. Mais, tandis que la rouquine balançait joyeusement des hanches, une main gantée vint tapoter son épaule. Tournant la tête, la joueuse d'échecs vit sa camarade Leather. Cette dernière était toujours aussi inexpressive, comme à son habitude, mais on sentait à sa poigne insistante qu'elle ne devait pas être d'excellente humeur. Ses propos confirmèrent d'ailleurs cette impression :

- Je ne voudrais pas t'interrompre au milieu de ton plaisir, très chère, mais cela fait plus d'une heure et demi que je regarde cette beauté se faire sodomiser sur ce balcon. La dame à casquette rouge retira sa main de l'épaule de sa collègue. Outre le fait que je désire moi aussi visiter son arrière train, le spectacle commence à devenir lassant.
- Hmmm... Hnnn... Tu as raison.... Les ondulations du bassin de la rousse s'arrêtèrent, avant qu'elle ne poursuivre sur un ton moins fiévreux : On va se la partager un peu.

Joignant le geste à la parole, la femme vêtue d'un unique débardeur et de sa fausse casquette de police - frappée du symbole hermaphrodite - lâcha un des genoux de la divine professeur, laissant sa jambe retomber à la verticale, jusqu'à se poser sur le sol. Glissant un bras sous la poitrine de sa partenaire, afin de soutenir son poids, elle abandonna l'autre jambe, pour que Shani puisse tenir debout seule. Ayant compris ce qu'il se passait, la petite chatte de latex s'était écartée à contrecoeur de l'entrecuisse qu'elle lapait, se léchant les lèvres avec gourmandise, bien décidée à ne gaspiller aucune goutte de cyprine. Cependant, lorsque Mistress Futa retira son bras de sous les beaux seins de la belle, la laissant libre de tout soutient, cette dernière s'écroula lamentablement sur le sol du balcon, au milieu du triangle des Maîtresses. Pas plus inquiètes que ça, les trois dominatrices allèrent rejoindre les deux autres qui s'étaient déjà réfugiées dans le salon. Sur le seuil, Mistress Leather tourna la tête pour souffler avec son habituelle politesse teintée d'autorité :

- Quand tu pourras tenir debout, je te prie de bien vouloir nous rejoindre dans le salon, esclave.

Et voilà, Shani se retrouvait toute seule dehors. Toute seule ? Une sensation étrange perdurait entre ses reins. La rousse qui coulissait dans son succulent postérieur il n'y avait pas une minute était partie et, pourtant, elle avait toujours l'impression d'avoir sa verge tendue profondément plantée entre ses fesses. Une contraction de l'anneau culier pouvait aisément confirmer l'impression : La pauvrette avait une bite dans le fion. Il ne s'agissait pas d'un vulgaire simulacre de plastique, la chaleur de l'objet, ses frémissements excités étaient bien ceux d'un authentique pénis. Au bout de quelques secondes, Shani put sentir plusieurs contacts humides et collants se poser sur la peau de son arrière train, comme si des petits tentacules étaient sortis de la base de ce godemiché vivant.

En réalité, c'était exactement ça : Mistress Futa avait certes abandonné sa partenaire ici, mais elle lui avait aussi abandonné son sexe viril. En se détachant du bas ventre de la dominatrice, le membre masculin formait ce que la rouquine appelait un futarasite, un parasite de forme destiné à se greffer aux sexes féminins pour les transformer en futanari. C'était à ça que servait les tentacules, d'ordinaire : Ils s'introduisaient dans le puits intime de la victime, entrant en symbiose avec cette dernière et partageant ses nerfs sensitifs avec ceux des parois vaginales. Mais, ici, la joueuse d'échec n'avait pas l'intention de faire de Shani une femme membrée... Ces tentacules de fusion, se fixant à la peau des succulentes fesses de la secrétaire, imprimèrent un rapide mouvement de va et viens. Même loin de ces étranges femmes, la pauvre professeur continuait à en prendre plein le cul ! Cela dit, la puissance des pénétrations du futarasite seul n'avait rien à voir avec la force des coups de reins d'une des membres du Gang xXx.

Lorsque Shani viendrait enfin rejoindre ses maîtresses pour la soirée - si tant est qu'elles la laissent repartir une fois lassées d'elle - l'hôte pourrait constater l'occupation de ses invitées. Celle qui l'avait sauvée des griffes des violeurs du métro, Mistress Magician, était en train de discuter avec la dominatrice qui l'avait sodomisée en second, et dont le jus étaient encore mélangés dans son ventre. à celui de la brune. De quoi parlaient elles ? A en juger par les quelques coups d'oeils que les deux femmes lançaient à la divine secrétaire, cela devait certainement la concerner un peu. De leur côté Les trois filles qui lui tournaient autour avant de l'abandonner au froid nocturne s'amusaient bien. Mistress Willpower, toujours aussi féline, était assise sur son canapé, devant les deux autres qui, sexes tendus en direction de ses lèvres, se faisaient sucer à tour de rôle. Cette courte donzelle au costume de chat avait décidément une bouche des plus expertes et une langue très habile, car la blonde en pseudo-uniforme militaire perdait son masque de neutralité face à ses succions répétées. En voyant Shani entrer dans le salon, la rousse arborait un grand sourire, avant de l'appeler :


- Aaaah... Notre hôte. J'espère que ça va mieux. Viens donc t'assoir sur le bas ventre de Willie, là. Ne t'en fais pas, les tentacules de la chose vont adhérer à son costume, tu pourras onduler dessus comme si c'était vraiment sa queue.

Préparant le terrain, la chatte de latex abandonna les mandrins qu'elle dégustait, pour mieux s'avachir au milieu du sofa, cuisses largement écartées. Les deux autres dominatrices s'écartèrent un peu, pour permettre à leur hôte et esclave de passer. Puis, une fois que la professeur lubrique fut assise sur le pubis de Mistress Willpower, les deux sexes tendus se rapprochèrent de son visage. Mistress Futa et Mistress Leather fixaient intensément Shani, avant que la rouquine ne reprenne :

- Ondule bien, Shani, fais jouir cette bite qui te remplit bien. Et utilises tes jolies lèvres pour nous satisfaire. Magician et Mistress xXx ont l'air persuadées que tu es une salope née, alors prouve le nous.
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: Shani Stevens le jeudi 07 novembre 2013, 03:18:12
Ce fut quand la femme l’abandonna que Shani commença à revenir à la réalité. Elle n’avait alors conscience que deux choses : le sexe pilonnant ses fesses, et la bouche joueuse de la femme de latex. Elle avait eu un orgasme, et se sentait légèrement mieux, plus sereine, comme si un nœud qui s’était formé dans son corps venait de se retirer. L’un de ses pieds heurta le sol, puis le second, et Shani revint définitivement à elle quand elle s’écroula sur le sol, poussant un soupir. Son bassin heurta une sorte de flaque, un mélange informe de sperme et de cyprine, tandis que les femmes s’écartaient lentement.

« Quand tu pourras tenir debout, ordonna l’une des femmes, je te prie de bien vouloir nous rejoindre dans le salon, esclave. »

Shani secoua la tête, lentement, gémissant faiblement... Avant de sentir quelque chose entre ses fesses. Cependant, il n’y avait plus personne qui la tenait, mais on continuait à la remplir. Ce qui la convainquit que ce n’était pas un rêve, c’était l’absence d’air qu’elle ressentait à hauteur de son fondement. Vu la manière dont on lui avait défoncé les fesses, sa rondelle aurait du être tellement écartée qu’elle aurait senti les courants d’air dessus. Au lieu de ça, son fondement était toujours rempli, mais elle avait été sodomisée depuis tellement longtemps qu’elle ne savait pas si c’était une sensation réelle, ou simplement un souvenir de son esprit... Pour autant, quelque chose lui pilonnait bien le fessier. Elle secoua lentement la tête, revenant peu à peu à elle. Ses jambes étaient lourdes, son corps était courbaturé, elle avait chaud, et comprit qu’il y avait effectivement un truc planté en elle... Une espèce de gode. Elle tendit sa main vers l’arrière, et sentit une espèce de substance molle, visqueuse, et chaude, qui lui évoquait vaguement un chibre. Des espèces de petites pattes étaient appuyées contre ses fesses, permettant d’enfoncer le chibre en elle.

*C’est... C’est un phallus VIVANT ?! Dieu, je crois que je vais vomir...*

Elle gémit encore, en comprenant ce qu’elle avait dans le corps, et secoua la tête, la relevant pour voir son salon. La femme de latex était allongée sur le canapé, et deux autres femmes étaient en train de lui faire une double fellation. Elle pouvait voir la scène, ainsi que Mistress Magician. Assise dans un fauteuil, elle discutait tranquillement avec la blonde qui avait sodomisé Shani. Clignant lentement des yeux, la secrétaire soupira, et commença à lentement ramper, incapable de se relever. Elle réussit ainsi à pénétrer dans son salon, haletant et soupirant, laissant une traînée de sueur derrière elle. Sa main agrippa le rebord d’une chaise, et elle s’en servit pour se relever. En essayant de se mettre sur ses genoux, le sexe planté en elle, elle sentit ce dernier la faire souffrir, et grimaça de douleur. Jouir lui avait fait du bien, mais elle en avait encore envie.Elle entendait les bruits de succion de la chatte de latex, et réussit à se tenir debout. Ses jambes tremblaient, et elle s’avança gauchement, respirant lourdement, la poitrine lourde. Elle tangua sur la droite, et s’appuya sur l’une des jambes de Mistress Magician, avant de rejoindre les trois autres.

Haletant comme un coureur athlétique après avoir fait son 500-mètres, Shani glissa une main sur son front, écartant une mèche de cheveux qui courrait sur ses lunettes.

« Jee... Làààà... »

Celle qui venait de lui défoncer les fesses, une belle rousse avec un habit évoquant vaguement une policière, se retourna.

« Aaaah... Notre hôte. J'espère que ça va mieux. Viens donc t'assoir sur le bas ventre de Willie, là. Ne t'en fais pas, les tentacules de la chose vont adhérer à son costume, tu pourras onduler dessus comme si c'était vraiment sa queue. »

Shani hocha la tête, incapable de répondre. Willie... C’était le nom de la femme en latex, donc ? Shani se demandait bien qui étaient toutes ces femmes membrées, capables de créer des godes vivants. Elle savait qu’il existait quantité de créatures paranormales à Seikusu, mais c’était bien la première fois qu’elle était confrontée à un tel schéma. Elle vit Willie écarter ses jambes, accueillant bien Shani, qui s’assit lentement, les joues rouges. Elle se retrouva contre le corps de la femme, sentant les lourds seins de Willie dans son dos. Elle tendit ses mains, afin d’attraper celles de Willie, glissant dessus, cherchant surtout à caresser le latex, tout en se mettant à onduler. Elle le faisait autant pour satisfaire ses Maîtresses que pour sentir le latex contre elle. Un léger soupir s’échappa des lèvres, et la jeune femme soupira encore, avant de voir deux membres tendus se dresser devant elle.

Clignant des yeux, Shani comprit qu’elle allait remplacer Willie, et déglutit faiblement, avant de se rapprocher. Elle redressa chacune de ses mains, et caressa chacun des deux phallus brandis devant elle, tout en haletant et en gémissant, se tortillant sur les cuisses de Willie. Lentement, elle prit un sexe en bouche, sans savoir à qui elle appartenait, et le mastiqua légèrement. Les deux chibres étaient tendus comme des cordes de violons prêts à exploser. Elle goûta à l’un des sexes, le mastiquant donc brièvement, puis se déplaça vers l’autre, fermant les yeux à chaque fois qu’elle ouvrait ses lèvres pour le prendre. Goûtant au mandrin, Shani se mit à le sucer, creusant ses joues en avançant ses lèvres le long de cette longue tige.

Sa main attrapa ensuite le sexe de l’autre femme, et, tout en agissant sur le premier, elle le rapprocha, et entreprit ainsi d’avoir les deux en bouches. L’extrémité des deux chibres se croisa entre ses dents, et sa langue se mit à remonter sur eux, les titillant et les caressant, glissant joyeusement dessus.

« Hum-hummm... » haleta-t-elle.
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: The xXx Gang le vendredi 08 novembre 2013, 15:03:05
La sorcière releva à peine lorsque la courageuse professeur s'appuya sur sa cuisse, lorsque ses jambes lui firent défaut. Après tout, vu tout ce qu'elle avait prit dans le derrière, c'était déjà miraculeux qu'elle parvienne encore à marcher. Voir Shani ramper, avant ça, impressionna les membres du Gang xXx. Non pas que cette situation - à savoir, le fait qu'une de leurs victimes ai été baisé pendant tellement de temps qu'elle ne pouvait plus que ramper - fut une première pour elles, mais les dominatrices n'avaient jamais vu un garçon ou une fille en venir à de telles extrémités par pure obéissance, avant d'avoir été brisé psychologiquement. La plupart du temps, leurs proies rampaient pour leur échapper et non l'inverse. Mistress Magician et Mistress xXx discutaient d'ailleurs vivement, bien que discrètement, de la divine professeur. Leurs propos étaient inaudibles pour le reste des personnes présentes, mais les dites personnes avaient de toute façon d'autres choses qui captaient leur attention.

Lorsque Shani vint s'assoir sur l'entrecuisses de Mistress Willpower, le gode vivant enfouit entre ses fesses cessa tout mouvement. Les tentacules qu'il utilisait pour ce mouvement de va et viens quittèrent la peau moite du délicieux popotin pour venir se lover amoureusement contre le latex de la chatte blonde. Le tentacule principal, plus large et long que les autres, cherchait à s'insinuer dans le sexe de Willie, mais sa combinaison fermée empêchait la chose d'y arriver. Ses tentatives répétées, cependant, caressaient délicieusement l'intimité de la l'ex-stripteaseuse, qui en émit quelques feulements de plaisir. Feulement qui se changèrent en ronronnements, lorsque la secrétaire salope commençait à se tortiller sur le parasite pénien, s'empalant d'elle même tout en cherchant à éprouver le contact avec le latex de celle qu'elle chevauchait. Mistress Willpower, fidèle à son animal totem, se lovait contre le dos féminin, y écrasant son opulente poitrine, glissant son visage dans le cou de la belle, y déposer des petits baisers, de doux mordillements. Les mains de la chatte de latex se dirigèrent tout naturellement vers la poitrine de la divine professeur, empoignant ses seins avec amour, avant de les malaxer et de les caresser avec une douceur et une tendresse félines. La queue de son costume se fraya un chemin vers l'entre-cuisses féminin, encore un peu poisseux des jus de jouissances, comme si elle était douée d'une volonté propre. Après s'être faufilé entre les grandes lèvres, ce curieux tentacule de latex s'enfonça dans le sexe de Shani, ondulant à l'intérieur, coulissant avec délicatesse. De toute évidence, celle qui se faisait appeler Willie était sans conteste la plus gentille des cinq Maîtresses présente.


- ¨Purrrrr... Gentille petite dame, obéissance et passionnée... Hmmm... Tu avais raison, Magician, elle est différente des autres filles qu'on trouve en ville.
- Oouuuuh oui. Sa langue est... hmmm... divine. T'es sûre qu'elle est humaine ?
- Aussi humaine que toi et moi... Fufufu...
- Hmmmm... Toi et moi ne sommes plus... tout à fait humaines.
- Elle est bien humaine, mais il y a quelque chose... J'pense que c'est une salope née.

Et la dite salope née faisait de son mieux pour satisfaire ses insatiables maîtresses. Futa et Leather profitaient bien de cette bouche pulpeuse, de cette langue agile. L'une comme l'autre avaient furieusement envie de violer la gorge de Shani, mais elles se retenaient, préférant à ce plaisir brutal une jouissance plus frustrante, plus raffinée et modulée. Lentement, le plaisir montait au sein du quatuor, se traduisant par des frissons, des soupirs et des gémissements. Au bout d'un moment, la dominatrice à la casquette rouge glissa ses doigts dans la chevelure de la secrétaire, lui écartant les quelques mèches qui pouvaient se placer devant son visage. Tout en apposant cette caresse, Mistress Leather utilisa son pouvoir, faisant suinter sa puissance démoniaque le long de ses doigts, jusque dans le corps de Shani. Cette dernière eut une curieuse sensation alors... toute la fatigue, toute la douleur qui pouvait encore exister dans son corps semblait s'évaporer peu à peu. S'évaporer ? Non, en réalité, douleur et fatigue se changeaient une seule et unique chose : du plaisir. Un plaisir qui s’additionnait à celui que la divine professeur devait déjà ressentir. Petit à petit, les trois dominatrices commençaient à approcher du plaisir ultime. Lorsque le point de non retour fut atteint, la rouquine et sa camarade au monocle retirèrent leurs vits de la délicieuse bouche qui les cajolait, se masturbant frénétiquement.

- Hmmmm... Ouvre la bouche, esclave.

Sans se soucier de savoir si la jeune femme obéissait ou non à cet ordre, les deux Maîtresses s'immobilisèrent, tous les muscles de leurs corps tendus par l'orgasme. Leurs mandrins, après avoir gonflé l'espace d'une seconde, arrosèrent copieusement le visage de Shani. Peut être la professeur avait elle déjà pratiqué l'éjaculation faciale, mais il s'agissait  ici d'un véritable déluge de sperme. Les précédents orgasmes injectés dans son con et son cul avaient donné une idée du volume de semence que ces étranges femmes pouvaient produire... et, ici, elles étaient deux. Le visage féminin fut bientôt recouvert de substance crémeuse... substance qui s'écoulait de son menton, pour venir atterrir sur les seins de la secrétaire. De son côté, Willie se trémoussait sur l'effet de l'orgasme. Ses ondes de plaisir se transmettant au gode-ceinture organique provoquèrent chez lui aussi une éjaculation. Cependant, la quantité de jus qu'il fournissait était somme toute quelconque, comparée à celle d'une Mistress. Peut être le fait que ce phallus n'était plus fusionné à personne avait il une influence ? Quoi qu'il en fut, le sexe autonome devint rapidement flasque une fois l'orgasme atteint, démontrant à nouveau que seules les membres du gang semblaient douées d'une endurance hors du commun.

- Bon, on y va les filles.
- Mais je n'ai pas eu le loisir de goûter à son fessier... Souffla Mistress Leather, déçue.
- Tu pourras rester au centre de production si tu veux, mais il faudra partager avec Bitchmaker et Feral.
- Bien.

Pendant que les dominatrices se regroupaient près de la sortie, Mistress Willpower continuait ses caresses et ses léchouilles. Après avoir retiré le gode vivant du fondement féminin, la chatte de latex le remplaça rapidement par la queue de son costume, afin d'empêcher toute la semence accumulée de s'échapper. Elle jeta le phallus solitaire dans un coin de la pièce, comme on le ferait d'une vieille chaussette, puis se mit à laper la semence qui couvrait le corps de Shani en ronronnant. Elle avalait tout, nettoyant consciencieusement la secrétaire cochonne de toute trace blanche. Puis, une fois chose faite, elle se passa la langue sur les lèvres, avant de déposer un petit bisou sur la joue féminine.

- Tu vas faire la connaissance de notre Bitchie adoré, petite veinarde.
- C'est bon, Willie, je m'occupe de Shani, maintenant.

Puis, ni une, ni deux, la chatte de latex se leva pour rejoindre les autres filles à la sortie. La sorcière brune, pour sa part, faisait face à la divine professeur, soufflant quelques paroles ésotériques dans sa direction. Malgré le fait qu'il ne restait plus rien pour boucher l'orifice probablement béant, le sperme présent dans le fondement de Shani ne semblait pas vouloir s'écouler au dehors. La bibliothécaire lubrique imposait sa magie au corps de la femme à lunettes. Manipulant l'eau présente en grande quantité dans le sperme, elle contrôlait ses mouvements, faisant en sorte qu'il reste bien à l'intérieur du ventre féminin. Puis, faisant apparaitre un collier de chier relié à une laisse, Mistress Magician fixa l'objet autour du cou féminin. S'éloignant, elle tirait doucement sur la longe de cuir, pour faire comprendre à Shani qu'elle devait suivre.

A aucun moment on ne lui laissa le temps de se rhabiller. Visiblement, les dominatrices comptaient promener la pauvre professeur nue, vêtue de ses seules jarretelles et des bas qu'elles soutenaient. Heureusement pour Shani, la promenade ne fut pas longue car, à peine sortit de l'immeuble que la camionnette du gang se situait à quelques mètres de la porte d'entrée. Sans un mot, Mistress Futa monta à l'avant, côté conducteur, tandis que Mistress xXx se mit du côté passager. Les autres montèrent à l'arrière de la camionnette qui n'avait, pour seul confort, que des matelas étalés sur son sol. La chatte de latex, la dominatrice à casquette ruge et la brune s'y installèrent confortablement, laissant tout juste à la professeur la place de se mettre à genoux. Pendant le trajet, Mistress Magician prenait un malin plaisir à jouer avec la poitrine de Shani, pinçant ses mamelons, les suçotant parfois. Tournant la tête pour regarder par dessus son épaule, la leader du gang prit finalement la parole :


- Shani, tu es une fille bien docile, j'en suis heureuse. Profite du trajet pour te reposer et essaie de refermer un peu ton délicieux petit cul. Feral et son amant Bitchmaker voudront y gouter. Elle marqua un temps d'arrêt, avant de reprendre sur un ton moins mielleux, plus autoritaire. Et laissez lui la place de s'allonger, vous autres ! Shani a mérité qu'on la traite avec un peu d'égards.
- Hmmm... Pas faux. Et puis elle va avoir besoin d'énergie pour ce qui va suivre.
- Hihi... Oui. Viens ici ma jolie, tu peux utiliser mes seins comme coussins si tu veux.

Mistress Leather et Mistress Magician se décalèrent, pour laisser à Shani l'espace nécessaire afin qu'elle puisse s'allonger tout près de la chatte de latex. Cette dernière accueillit d'ailleurs la secrétaire avec la même douceur dont elle avait fait preuve quelques instants plutôt, dans l'appartement : Elle la caressait gentiment mais, cette fois, n'essayait pas de le faire de manière sensuelle, ne visant pas les zones érogènes du corps. Non, il s'agissait juste d'une affection innocente et sincère. Le trajet se déroula ainsi sans encombres et dura assez longtemps. La camionnette roulait jusqu'à l'extérieur de la ville, vers une vieille ferme animalière désaffectée. Les enclos avaient été remplacés par des murs assez hauts, surmontés de barbelés, faisant ressembler l'endroit à un genre de prison. On ne voyait pas quel genre de bêtes pouvaient y être dressées mais, en sortant de la camionnette, les grognements et les jappements audibles ne laissaient aucun doute, il y avait bel et bien des animaux qui étaient élevés ici.

Tenue en laisse par Mistress Magician - qui empêchait toujours à la semence de s'échapper du fondement féminin - Shani fut conduite à une large grange. Par delà les grognements bestiaux, on pouvait parfois percevoir des cris ou des gémissements d'hommes et de femmes. Entrant dans l'enceinte de la ferme, la professeur put enfin voir quel genre de bestioles étaient élevées. En réalité, il s'agissait d'humanoïdes musclés et pourvus d'attributs virils plutôt impressionnants. Mais leur faciès trahissaient aisément leur nature non humaine. Ces étranges créatures ne semblaient penser à rien d'autre que baiser : Ils s'enfilaient entre eux, ou enfilaient des personnes qui leur étaient laissées en pâture. Sur le passage de Shani, les monstres les plus proches s'élancèrent dans sa direction, percutant de solides barreaux de métal qui grincèrent sous la puissance de ces monstres. Malgré son côté écoeurant, ce spectacle avait quelque chose d'excitent. En réalité, l'odeur persistante de sueur que dégageait ces monstres était sérieusement entêtante et semblait ramollir le cerveau de la secrétaire, liquéfiant son sexe sans même qu'elle n'y fasse attention. Il ne fallait pas être bien intelligent pour comprendre que ces créatures étaient aphrodisiaques.

Magician, qui semblait insensible aux relents excitants, entraina Shani à l'intérieur de la grange ou un spectacle plus étrange encore se présenta à elle : Des femmes au ventre gros, probablement enceintes, étaient parquées dans des box pour chevaux. Une femme à la peau légèrement sombre et à la chevelure blanche, à la taille et à la musculature impressionnante, supervisait un curieux accouplement. Au milieu d'une série de matelas, une femme couinait incontrôlablement, à quatre pattes, langue pendante, tandis qu'un puissant dogue allemand était collé à elle, cul à cul. Les dogues allemands étaient des animaux réputés pour être les plus massifs des chiens, mais ce spécimen là semblait encore plus imposant. Sa musculature saillante le rendait intimident, mais sa tête de gentil toutou donnait malgré tout envie de lui faire des câlins. Le moment où Mistress Magician se racla la gorge coïncida avec le moment où la bête se détacha finalement de la femelle, la laissant avachie sur les matelas, le ventre gonflé, sexe dégoulinant de semence. Le sexe canin était d'une taille impressionnante et, à vrai dire, il semblait invraisemblable que la femme à moitié comateuse ai pu accueillir un tel morceau de chair en elle et survivre. Mais à part une extrême fatigue, la pauvrette n'était pas blessée. La femme musclée porta la pauvrette sous son bras, comme si elle ne pesait rien, avant de la déposer dans un box.


- Feral ?
La donzelle à chevelure blanche se retourna.
- Ma sorcière bien aimée ! Tu m'amènes une autre femelle pour Bitchmaker ?
- Oui, mais celle là est spéciale, je pense qu'on va bien s'amuser avec.

Entendant ce nom, l'animal se rapprocha de sa maîtresse à la peau colorée, langue pendante, avec un air idiot propre à sa race. A le voir comme ça, il était difficile de croire qu'il avait pu remplir le ventre de toutes ces filles endormies dans les box. Désormais assez près de la professeur, celle ci put enfin lire l'inscription sur son large collier : "Bitchmaker". C'était donc de lui dont les Maîtresses parlaient depuis le début. Commençant à tourner autour de la pauvre secrétaire, l'animal renifla le sexe de cette dernière, écrasant sa truffe humide contre son pubis, avant de donner un petit coup de langue. Puis s'écartant, il vint lui renifler le derrière, émetant un petit grognement. Mistress Feral le remarqua et demanda à sa camarade brune :

- Vous lui avez remplis le cul avant de venir ?
- Fufufu... en effet.
- Vous savez toutes que ça l'énerve, pourtant, quand une femelle est remplie d'un autre sperme que le sien.
- Bien sûr qu'on sait.
- Z'êtes vraiment des saloperies. On va s'amuser en effet.

Les deux femmes discutaient entre elles en ignorant totalement la pauvre Shani, dont le derrière recevait quelques coups de museau de la part du chien, comme si ce dernier voulait la pousser vers les matelas. Finalement, la divine professeur fut forcée d'obéir à l'animal quand la brune qui la tenait en laisse tira dessus pour l'emmener vers ces même matelas. Une fois arrivés là, la sorcière lubrique souffla, une touche prédatrice dans la voix :

- A quatre pattes, petite chienne. Réclame la saillie à ton mâle, demande lui gentiment de te défoncer comme une chienne... et peut être qu'il sera gentil.

L'animal faisait des allées et venues, émettant des grognements à intervalle réguliers. Il était impatient... et ses maîtresses aussi.
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: Shani Stevens le samedi 09 novembre 2013, 01:03:44
Dans d’autres circonstances, si Shani n’avait pas été sodomisée pendant plusieurs heures, elle aurait sans doute été un peu plus active. Oh, elle suçait plutôt bien, mais elle se connaissait assez pour savoir que son corps, aussi résistant et endurci soit-il, commençait à accuser le coup. Qu’elle ne soit pas dans le coma était en soi surhumain, mais Shani avait toujours su qu’elle était spéciale. Elle pensait qu’elle avait été conçue pour le sexe, pour le plaisir charnel, pour l’érotisme. Comment expliquer autrement le nombre de fois où, au cours de sa vie, tant de personnes avaient cherché à lui faire l’amour ? Elle savait qu’elle avait quelque chose de spéciale, sans pouvoir se l’expliquer. Ça n’avait rien de sensationnel pour elle, mais, à force de voir son cul être ramonée par tant de personnes, allant même jusqu’au policier qui l’arrêtait pour excès de vitesse, et ramenait son collègue pour la prendre en sandwich entre deux arbres, Shani s’était progressivement convaincue qu’elle avait un truc... Une sorte d’aura superficielle qui attirait à elle les gens, réveillant leurs hormones et leurs pulsions bestiales. Naturellement, Shani ignorait qu’elle avait pour père le Dieu de l’érotisme, et que son aura s’exprimait à travers elle. Ce n’était pas un aphrodisiaque, c’était quelque chose de plus diffus, de plus ténu... L’érotisme s’égayait chez les gens, de manière assez perverse, car la nature humaine, par définition, était perverse. Ça, Shani ne pouvait évidemment pas la savoir, et, dans sa petite tête d’humaine, elle avait fini par se dire que c’était l’effet Shani. Cet effet venait d’attirer chez elle un troupeau de femmes membrées issu d’un fantasme libidineux, comme si elle venait d’entrer dans la tête d’un célibataire endurci venant d’astiquer son manche après avoir regardé pour la énième un film porno d’Europe de l’Est.

Les deux chibres remuaient dans sa tête, et elle sentit quelque chose d’autre caresser ses cuisses. Un frisson la parcourut en sentant cette texture. Du latex. La texture parfaite dans toutes les soirées BDSM, d’un bout à l’autre du monde. Elle comprit que c’était la queue de cette espèce de femme-chat. Qu’elle remue comme un être vivant, à vrai dire, n’était pas vraiment surprenant... Ou, du moins, vu tout ce que Shani avait enduré, elle n’était plus à ça près. Un sexe vivant lui labourait le cul, elle allait probablement trouver son corps sur YouPorn... Sentir une queue en latex s’enfoncer en elle n’était donc pas ce qui allait lui donner l’impression d’être en train de rêver. Ajoutons à cela que Shani sentait effectivement ses muscles s’engourdir qu’elle avait le sentiment de planer. Elle gémissait et haletait, remuant son corps, l’ondulant, mais plus par automatisme qu’autre chose. Elle était comme une machine fonctionnant sur le moteur de secours. C’est probablement ce qui incita Mistress Magician à utiliser sa magie.

Sur le coup, Shani ne le comprit pas, mais elle sentit comme un électrochoc heurter sa tête, la réveillant lentement. Ses muscles engourdis semblaient se réveiller, et, surtout, elle n’avait plus cette torpeur, ce sentiment de flotter ailleurs. Son corps était encore en sueur, elle avait encore chaud comme si elle était dans le cul d’un volcan, mais la femme se réveillait. Elle lécha les sexes s’offrant à elle avec un peu plus d’enthousiasme, essayant de conserver les deux en même temps dans sa bouche. L’exercice était assez difficile, et elle ne pouvait pas faire une gorge profonde. Surtout, elle sentait encore mieux la double et intense pénétration dont elle faisait l’objet. Un chibre gros en latex était en train de la baiser, et ça, ça, c’était le pied ! Shani laissait ce membre remuer en elle, écartant les jambes, lorsque l’une des deux femmes lui ordonna d’ouvrir bien haut sa bouche. Les deux créatures se masturbaient sous ses yeux, leurs sexes tendus prêts à exploser, et Shani obtempéra, sans rien dire. Elle savait ce qui allait se passer. Plusieurs amants lui avaient déjà éjaculé en pleine face. Apparemment, c’était un fantasme masculin assez répandu, qui avait toujours amusé Shani. Les hommes avaient toujours l’impression de cracher des litres et des litres de semence... Au moins, en jouissant dans le corps d’une femme, leur sperme disparaissait, et on ne pouvait donc que présumer sur la quantité de sperme lâchée... En d’autres termes, Shani avait toujours été amusée par la mine légèrement déçue que ses amants prenaient en voyant que la secrétaire avalait rapidement leur sperme, en les regardant avec une petite lueur dans les yeux, comme pour demander quand la vraie cargaison de spermatozoïdes allait arriver.

Là, en revanche, ce ne fut pas un petit voilier qui lui explosa à la gueule, mais deux cargos pleins à craquer de conteneurs. Shani dut refermer les lèvres quand elle sentit un hoquet la saisir, et éternua, la gorge rauque, tout en étant mitraillée par des jets de sperme, de *SPLOUITCH ! SPLOUITCH !*qui lui explosèrent à la figure, sur le cou, glissant sur le haut de son torse, s’approchant de ses seins. Elle se retrouva, au bout de quelques secondes, complètement sonnée, et sentit le supplément crème du venir : le sexe dans ses fesses jouit, la faisant sursauter.

Les femmes s’écartèrent ensuite, laissant une Shani pantoise. Elle les entendit parler, dire qu’il était temps de partir, et qu’elles comptaient emmener Shani avec elles... Ce qui, curieusement, l’excita. Elle entendit parler d’un « centre de production », ainsi que d’autres personnes : Feral, et... Bitchmaker ?

*Diable... Dans quoi est-ce que je mets les pieds ?*

Elle avait, pour le coup, l’impression de plonger dans un univers de SF, et se demanda alors si ces femmes n’étaient pas des espèces d’extraterrestres. Des petits hommes en gris transformés en femmes plantureuses avec des membres gargantuesques, qui cherchaient à renverser le monde en baisant des femmes, et en les transformant en esclaves sexuels. Ce scénario, digne d’un mauvais film pornographique, la quitta quand elle sentit Willie se déplacer. Elle lui ôta la verge enfoncée dans les fesses, pour la remplacer par sa queue en latex, faisant couiner Alice. Elle vit la verge atterrir contre le mur, avant de tomber sur le sol, et jura que cette dernière remuait sur le sol, les petits tentacules formant comme des pattes d’araignées. On aurait dit une verge que quelqu’un venait d’arracher à un homme... Ça, ce n’était pas un vulgaire jouet. Elle avait affaire à des magiciennes... Ou des extraterrestres... Ou les deux. N’était-ce pas Clarke, après tout, qui avait estimé que, passé un certain niveau, il était impossible de dissocier magie et technologie ? Shani plongeait dans une nouvelle application de la Troisième Loi de Clarke, alors qu’elle sentait la langue joueuse de la chatte Willie glisser sur son corps, nettoyant sa peau. Shani, secouée par tout ce sperme qui avait éclaté sur son visage, posa ses mains sur les hanches de la femme, caressant brièvement sa combinaison, tout en sentant la langue de la femme remuer rapidement, avidement, sur son corps. Elle s’attaqua à ses seins, et, quand elle remonta, Shani l’accompagna. Elle pencha sa tête en arrière, afin que la langue de Willie, joueuse, excitante, et légèrement drôle, puisse atteindre son cou. Willie continua ainsi à la lécher, jusqu’à un ultime baiser, auquel Shani répondit.

Willie se retira alors. Shani se sentait propre, et vit alors Mistress Magician se mettre devant elle, avant d’utiliser encore sa magie. Shani se tortilla en sentant quelque chose à hauteur de ses fesses se dérouler. Shani se tortilla un peu, posant sa main sur son ventre, et reçut alors un collier autour du cou. Shani resta assise, titillant ce collier, avant que sa Maîtresse ne tire dessus. Shani se releva rapidement, et s’avança, lentement, assez maladroite. Elle pensa à éteindre les lumières, et ferma la porte à clef, dissimulant cette dernière sous son paillasson, comme elle n’avait aucun endroit pour le mettre.

Les deux femmes rejoignirent les autres. Shani avait du mal à marcher, et comprit rapidement pourquoi. Son cul était vide. Après avoir été sodomisée pendant plusieurs heures, Shani s’était adaptée à cette présence encombrante, et, maintenant que ses fesses étaient à l’air libre, il y avait comme une sorte de déséquilibre. Elle suivit le curieux groupe dans l’escalier. Aucun voisin ne survint, à cette heure avancée de la nuit, et le petit groupe se retrouva dans la camionnette noire que Shani avait aperçue tantôt.

L’arrière du van était rempli de matelas de fortune, et Shani se retrouva agenouillée contre les portes arrière, tandis que le véhicule déroulait. Curieusement, elle n’était pas inquiète. Elle savait, sans pouvoir rationnellement se l’expliquer, qu’elle finirait par retourner chez elle. Le van démarra donc, et Shani se laissa faire, laissant Magician palper ses seins. Elle était leur chose, et la seule idée de se révolter s’était envolée au loin de son esprit, tant elle était absurde et irréalisable. Les femmes se mirent à lui parler, et Shani rougit en s’entendant dire qu’elle était « bien docile ».

*Elle me traite comme un vulgaire sex toy bon à baiser... Et, le pire, c’est que ça me plaît...*

Elle avait envie de se sermonner, mais elle trouvait tout ça follement excitant.

« Hihi... Oui. Viens ici ma jolie, tu peux utiliser mes seins comme coussins si tu veux. »

Shani regarda Willie, et se rapprocha d’elle, acceptant son invitation. Elle avait pu remarquer que, de tout ce troupeau de perverses psychotiques, Willie semblait être la plus douce... Une impression qui pouvait tout à fait être un faux-semblant. Shani avait suffisamment vu de slashers et de thrillers, pour savoir que, dans le groupe de psychopathes, celui qui était le plus calme était, en réalité, le plus dangereux. Les caresses de Willie étaient tendres et douces, et Shani se surprit effectivement à utiliser l’un de ses seins comme coussin, frottant son nez dessus, caressant le latex de la femme avec ses mains, glissant vers sa longue queue. C’était un tendre câlin, qui l’accompagna durant un trajet assez long.

Quand le van finit par s’arrêter, Shani sortit de ce dernier. Elles étaient en pleine forêt, et elle avait de plus en plus l’impression d’être la victime d’un film d’horreur. C’était une ferme, perdue au long d’un sentier forestier, avec des murs épais surmontés de barbelés. Shani avait légèrement froid, et reporta son attention sur son estomac. Elle sentait le sperme, en elle... Il ne s’écoulait pas de son corps, et formait un petit embonpoint. Elle sentit Mistress Magician la tirer, la ramenant à elle, et elle suivit la femme, vers une espèce de grange, d’où des bruits bestiaux s’imaginaient. Shani sentit bien malgré elle un frisson d’angoisse la saisir.

« Euh... Qu’est-ce qui se passe... Là-dedans ? »

Soit Magician ne l’entendit pas, soit elle estima inutile de lui répondre. Shani entra dans une espèce de grange sombre, ressemblant à une espèce d’écurie où on stockait des chevaux. La pièce était plutôt grande, et la femme se mit à marcher. Nerveuse, grelottant sous l’effet du froid, Shani la suivit. Elle se rapprochait de cages sombres, et sursauta, sous l’effet de la surprise, quand une bête s’écrasa contre les barreaux. Shani cligna des yeux, surprise, et sentit sa peur s’atténuer devant un léger sentiment de désir, en voyant les muscles saillants du monstre, sa langue pendante, cette absence totale d’inhibition dans ses yeux, sa longue langue visqueuse, et son chibre tendu entre les barreaux, pointé comme un fusil d’assaut vers Shani. Glauque... Et foutrement bandant.

*Ça y est, je deviens dingue...*

Elle vit, dans des enclos, des femmes qui avaient l’air enceintes, et comprit que ce devait être le centre de reproduction... Savoir à quoi cet endroit servait était encore un peu obscur. Shani s’avança, et vit une autre femme, au milieu de la grange, devant un ensemble de matelas où une scène grotesque se déroulait sous ses yeux. La femme avait une peau basanée, des seins épais, et une peau musclée et saillante. À l’image des autres femmes de ce gang, en somme. Une autre femme était en train de se faire labourer le cul par un énorme chien, une espèce de monstre qui, la langue pendant, s’affalait sur elle en la baisant. De la zoophilie... Shani observa la scène sans rien dire. La femme comatait à moitié, sa salive coulant hors de ses lèvres.

La femme musclée écarta finalement la femme, l’affalant dans un box.

*C’est ce chien qui les a engrossé ? C’est possible ?!*

Shani en aurait probablement entendu parler, si c’était possible... Elle essayait d’imaginer à quoi pouvait ressembler le bébé d’une femme mise enceinte par un chien génétiquement modifié pour féconder des femmes... Et une autre idée de film porno, une ! Revenant à elle, elle entendit Magician appeler l’autre femme Feral. Et Bitchmaker... Shani comprit alors qu’il s’agissait du nom du chien ! Bitchmaker ! Un nom curieux... Faiseur de salopes... Il fécondait vraiment les femmes ? L’énorme chien se rapprocha d’elle, tournant autour d’elle, reniflant ses fesses... Puis fourra sa truffe contre son sexe, faisant sursauter Shani.

Elle ne connaissait pas grand-chose des chiens. Elle avait eu un amant, à Paris, qui avait un chien. Un insupportable cabot qui passait son temps à chier partout. Le meilleur ami de l’Homme... Shani préférait les chats. Ils savaient mieux se débrouiller. Ce n’était pas un saint-bernard, celui-là. Il lui faisait penser à ces chiens utilisés par la police pour courser les délinquants, ou repérer les sachets de drogues. Bitchmaker se mit ensuite à grogner, et Shani se mit à craindre qu’il ne cherche à la bouffer. Les deux femmes parlèrent, et Shani comprit que ce chien devait renifler le sperme. Elle n’osait pas parler, et savait ce qui allait se passer.

« A quatre pattes, petite chienne. Réclame la saillie à ton mâle, demande lui gentiment de te défoncer comme une chienne... et peut être qu'il sera gentil. »

L’ordre ne la surprit pas. Shani inspira lentement, fermant les yeux. Elle ne fit rien pendant quelques secondes, comme si elle réfléchissait, puis ses jambes se dérobèrent sous son poids, et elle tomba sur le sol. Elle ne se mit pas tout de suite en position de chienne, et tendit sa main pour caresser la tête du gros chien. Elle remonta près de ses oreilles, et avança son autre main, caressant son museau, voyant les dents pointues de Bitchmaker. Elle déglutit, et rapprocha son visage de sa langue.

« Bitchmaker... »

Elle embrassa alors le chien, sur ses grosses lèvres, avalant un peu de sa salive, et lécha sa langue. Elle sentit le chien remuer la sienne, comme s’il était aiguillé, et l’enfonça dans sa bouche. Elle gémit lentement, ses seins venant à se durcir, et glissa sa main sous le corps de Bitchmaker, sentant sa queue. Elle était encore plus longue que celles des femmes qui l’avaient successivement baisé. Elle la caressa du bout des doigts, simplement pour pouvoir en apprécier la dureté, et retira ensuite ses lèvres.

« Baise-moi fort, Bitchmaker... Je suis ta chienne, ta belle petite pute… Alors, je veux que tu me défonces sauvagement… »

Et, après cette tirade, Shani entreprit de se mettre à quatre pattes, serrant les poings.
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: The xXx Gang le jeudi 14 novembre 2013, 21:19:22
Le spectacle qu'offrait Shani était assez incroyable, même pour des êtres aussi dépravés et incroyables eux même que les membres du Gang xXx. Bien sûr, les Maîtresses avaient déjà croisé la route d'êtres à la sexualité surréaliste, mais jamais au sein de la race humaine. Mistress Magician avait beau savoir ce que la divine professeur renfermait une forme d'énergie ésotérique qui boostait sa libido, la jeune femme restait pourtant très humaine. De son côté, Mistress Feral sifflait d'admiration devant cette monumentale galoche que la donzelle à lunettes offrait à un chien. D'ordinaire, les femmes ramenées pour servir de pondeuses de Bitchmongers pleuraient et suppliaient qu'on les épargne. Toutes subissaient déjà des sévices suffisantes pour briser leurs résistances, mais l'idée de tomber aussi bas dans les contrées obscures de la sexualité redonnaient quelque énergie... l'énergie du désespoir. Mais Shani, elle, non content de ne pas chercher à fuir, accueillais l'animal à bras ouvert, réclamant la verge bestiale avec conviction.

- Eh bé, c'pas souvent qu'on peut voir une chienne pareille. Pendant que sa maitresse causait, le chien répondait joyeusement au baiser de la belle, lui léchant la langue et le palais avec une avidité toute animale Tu disais qu'elle est spéciale, mais j'avais pas idée à quel point...
- Pour tout t'avouer, moi non plus.
- Personnellement, j'ai pu déceler sa docilité et sa lubricité... et sans utiliser une quelconque perception magique.

La voix calme et posée de Mistress Leather provenait de l'entrée de la grange. La reine des douleurs avait finalement quitté son poste de conductrice pour venir se joindre aux festivités présentes. Après tout, de toutes les dominatrices présentes dans l'appartement de la professeur, elle seul n'avait pas pu gouter à l'arrière train de la belle. Bien sûr, on pourrait arguer que Willie n'y avait pas réellement gouté, se servant d'un godemiché vivant pour y parvenir... mais il n'était pas dans ses habitudes d'utiliser son sexe, se contentant de ses doigts, de sa bouche et de la queue de son costume. Désormais présente, la blonde rajusta son monocle, remit sa casquette rouge en place sur sa tête, avant de se rapprocher de ses deux camarades.

Pendant ce temps, Shani présentait sa croupe à Bitchmaker, attendant que l'animal la monte. le chien faisait des alées et venues, tournant autour de l'humaine comme un prédateur autour de sa proie. Il s'arrêta finalement derrière la petite secrétaire, passant sa truffe le long de la raie féminine, reniflant le parfum de son anus remplit de foutre en émettant quelques grognements. Sa longue langue vint entrer en contact avec les lèvres intimes de la divine professeur, s'insinuant entre elles, trouvant le bourgeon de chair avec une précision proprement diabolique. Peut être était ce l'entrainement, à moins qu'il ne s'agisse de la corruption démoniaque qui coulait dans ses veines... voire un peu des deux. Quoi qu'il en fut, l'animal prodiguait à Shani un cunnilingus d'une rares expertises. Peu d'hommes étaient capables de tant de précision et de douceur. Mais Bitchmaker n'était pas humain pour autant et il ne comprenait pas totalement la notion de plaisir, aussi s'arrêta-t-il rapidement dans son entreprise... comme si avoir le goût de l'entre-cuisses féminin était tout ce qui l'intéressait en définitive. Après s'être léché les babines, l'animal passa à la vitesse supérieure : Il sauta sur le dos féminin, serrant ses pattes autour de la taille de Shani, approchant son bassin de cette croupe tant convoitée. Mais contrairement à ce qu'on aurait pu croire, il n'eut pas besoin d'aide, ni de tâtonnement pour trouver un orifice... le bestiau connaissait le chemin, pour l'avoir si souvent emprunté sur d'autres. La pointe effilée de son monstrueux vit buta contre l'anus de la binoclarde. Il y eut un moment de flottement, durant lequel les trois dominatrices retenaient leur souffle. Puis, en trois coups de reins saccadés, Bitchmaker fit entrer sa queue dans le fondement de Shani. Il était gros. Très gros. Plus gros encore que les membres du Gang xXx, déjà dignes d'entrer dans le livre des records.


- Bitchie stop ! Le chien s'immobilisa, toujours cramponné à sa femelle humaine, le sexe enfoncé jusqu'à la garde entre ses délicieuses fesses. Il faisait preuve d'une obéissance remarquable, compte tenu de la situation. S'approchant de Shani, avant de s'accroupir devant elle, Mistress Feral reprit : T'as l'air enthousiaste, p'tite chienne. J'espère qu'tu vas savourer ce moment. N'hésite pas à l'dire, si mon brave toutou te fait jouir, parc'que t't'à l'heure t'auras la bouche occupée.

Puis la femme à la peau colorée regarda son chien dans les yeux, avant de lui faire un hochement de tête. Le bestiau comprit et se mit à enculer la pauvre petite prof avec toute la force et la sauvagerie dont un animal pouvait faire preuve. Le poids de Bitchmaker, sa musculature saillante sous son poil ras, Shani les ressentait pleinement désormais, tandis qu'il s'en servait pour lui buriner l'arrière train. A vrai dire, si le chien ne s'était pas servit de ses pattes pour ceinturer la divine secrétaire, le couple déviant se serait mit à avancer à chacun des coups de reins du bestiau. Les bijoux de famille canins fouettaient l'intimité luisante de la professeur en rythme, remplissant l'air d'un claquement rapide et humide des plus obscène. Parfois, Bitchmaker venait plonger son museau dans la chevelure féminine, ouvrant la gueule pour refermer ses crocs sur la nuque de la belle, réflexe de domination canine. Mais il relâchait rapidement prise, comme s'il se souvenait d'une interdiction soudaine. Et il continuait à perforer la rondelle de Shani, encore et encore, inlassable, infatigable.

Mistress Feral, pour sa part, gardait les yeux rivés au visage féminin. Elle n'hésitait pas à lui relever la tête en soutenant son menton du bout de l'index. Visiblement, la dominatrice bestiale se délectait de voir comment la belle parvenait à encaisser pareille sodomie. De son côté, Mistress Magician s'était postée juste derrière le couple inter-espèce, jouissant du spectacle qu'offrait cette énorme barre de chair qui distendait un cul déjà bien malmené. Trop excitée, la sorcière ne put se retenir davantage et commença à se masturber, se malaxant un sein tout en enfouissant quelques doigts dans son antre humide. De son côté, Leather observait calmement, aucune preuve d'excitation ne se lisant su son visage... même si la tension de ses mamelons était suffisante pour être visible sous le cuir de sa tenue. Au bout de plusieurs longues minutes, la femme aux cheveux blanc bougea un peu, passant de la position accroupie, à la position agenouillée, s'avançant du même coup vers la secrétaire en tombant sur ses genoux. D'où elle était, Shani pouvait voir un curieux phénomène qu'elle connaissait pourtant déjà, mais n'avait encore eu l'occasion de voir de ses yeux : Le clitoris de Mistress Feral se mit à gonfler, enfler et s'allonger. Fidèle aux normes du reste du Gang xXx, ce clitoris géant se stabilisa à des proportions bien plus qu'honorables. Une ombre rosée passa dessus, l'enveloppant avant de se dissiper. Quand la dite ombre eut disparut, la chose était devenue un pénis classique, avec un corps couvert d'une peau aussi colorée que le reste de l'épiderme féminin, un gland rose et épais et même quelques veines apparentes.


- Bien, j'sais pas si tu as encore envie de crier, mais c'est l'heure d'me montrer ce que ta bouche a pipe vaut. Suce moi, chienne.
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: Shani Stevens le samedi 16 novembre 2013, 02:06:25
À Paris, Shani avait eu comme amie une greffière, Véronique, qui travaillait au tribunal de grande instance de Paris, et s’occupait notamment des affaires de divorces. Quel était le rapport entre l’expérience professionnelle de Véronique et le fait d’être sodomisée par un chien ? Véronique, dans le lit, en pelotant les seins de Shani, et en parlant avec elle de ses différents fantasmes, lui avait expliqué qu’elle avait jour vu, dans un dossier, une photographie unique. Un mari, pour obtenir le divorce pour faute de sa femme, avait avancé que cette dernière était une nymphomane dangereuse, en produisant, comme preuves, une photographie montrant sa femme, tout sourire, se faire défoncer le fondement par un gros chien. Shani ne se souvenait plus si l’affaire avait été gagnée ou non, mais cette image, curieusement, lui revint en tête, alors que le chien la reniflait, tournant autour d’elle.

Sentir sa queue en elle était terrible. Il posa ses pattes, et son corps énorme sur le sien. Shani soupira, gémissant en crispant les dents. Elle savait très bien que ce qu’elle faisait était pervers, infiniment pervers, mais il n’y avait tout simplement pas de limite à sa perversion en un tel endroit. On l’avait sodomisé pendant des heures, fouillé son appartement... La belle secrétaire Shani laissait parler ses pulsions, et, sur ce point, elle avait de quoi épuiser un esclavagiste russe voulant transformer les jeunes femmes en prostituées. Le chien était énorme, et sentir sa queue en elle lui coupa le souffle.

Le visage de Shani se redressa soudainement, ses lèvres s’arquèrent en une sorte de grimace, évoquant aussi bien le plaisir que la douleur. Le membre tendu du chien était énorme, beaucoup plus gros que celui des autres femmes. Shani poussa un faible couinement, sentant son poids battre dans sa tête, alors que le chien remuait en elle, la défonçant. Elle sentait sa langue près de ses cheveux, son museau, alors que le chien la défonçait. Sauvage, brutal, terrible. Rien à voir avec le petit chat de Véronique, qui léchait l’intimité de sa maîtresse le matin pour la réveiller, et recevoir des câlins. Là, c’était beaucoup plus trash, beaucoup plus lourd... Un véritable pieu lui défonçait les fesses, les explosait, et Shani ne pouvait rien faire d’autre que subir, et ne pas s’affaler. Si les pattes avant du chien ne l’accrochaient pas, elle se serait déjà affalée sur le sol. Elle soupirait longuement, des gouttes de sueur glissant le long de son visage, incapable de déplacer sa main, comme si tout son corps était écrasé par cette bête. Le chien tombait sur elle, et était suffisamment gros pour la coucher sur le sol. Ses bras tremblaient. Ils servaient à maintenir son buste en hauteur, et elle n’arrivait même pas à crier, se contentant de gémir et de soupirer, au fur et à mesure que la bête la prenait.

Elle était tentée de demander grâce, qu’on arrête ça, mais elle n’avait même plus la force de parler. Shani fermait les yeux, sentant la douleur la dominer intégralement, faisant couler quelques larmes le long de ses joues. Elle était rouge, haletante, tremblotante, la douleur l’annihilant. Pourtant, ça ne l’empêchait pas de mouiller, et d’avoir chaud à hauteur de son sexe, au fur et à mesure que le chien continuait ses puissants coups de rein, continuait à la démonter sans aucune gêne, sans ménagement.

*Ce que c’est gros, putain...*

Elle devait reprendre son soufflé, essayer de respirer. Sa salive glissait le long de ses lèvres, et elle cligna des yeux rapidement, secouant la tête. Qu’elle n’ait pas encore vomi tenait du miracle, et, alors qu’elle commençait à reprendre son souffle, elle vit une femme se planter devant elle. Relevant la tête, cessant d’observer ses doigts, Shani vit un sexe apparaître devant elle. La femme noire était devant elle, celle qui avait ce chien.

« Bien, j'sais pas si tu as encore envie de crier, mais c'est l'heure d'me montrer ce que ta bouche a pipe vaut. Suce moi, chienne » lui ordonna-t-elle.

Shani se contenta de déglutir, voyant ce sexe, bien trop loin pour elle. Le chien continuait à la prendre, et Shani se mit à nouveau à couiner, rabaissant sa tête vers le bas. Elle serra ses poings, ferma sa bouche, et se força à respirer, à essayer d’inspirer longuement. D’une manière ou d’une autre, il fallait qu’elle arrive à contrôler ça. Elle savait que ce chien ne s’arrêterait pas avant d’être rassasié. Bien sûr, il était toujours possible que ses Maîtresses arrêtent le carnage, mais elles ne le feraient très certainement que si Shani tombait dans les pommes. La secrétaire avait elle-même joué avec le jeu ; c’était à elle de réussir à surmonter ça, de montrer qu’elle était digne d’une telle chose. Ce chien ne serait pas le point d’orgue de sa captivité volontaire, elle allait devoir faire avec.

Shani soupira à nouveau, et entreprit de se pencher en avant. Elle parvint à lécher le côté du sexe, avant de gémir à nouveau, et de manquer s’affaler sur le sol, ses épaules s’affaissant d’un seul coup. La jeune femme heurta le tapis avec sa tête, alors que le chien continuait à glisser en elle, et elle se releva à nouveau. Elle savait ce qu’elle devait faire, mais c’était comme si son cul était en feu, qu’une barre la coupait en deux. Elle la sentait, cette queue, cette queue énorme qui s’enfonçait en elle, qui la maltraitait sauvagement.

*Si ces femmes ont quelque chose de plus gros, je meurs sur le coup, moi...*

Shani aurait bien aimé tendre l’une de ses mains pour prendre appui sur le corps de cette femme, mais c’était tout simplement impossible. Si elle décollait l’une de ses mains du sol, elle s’écroulerait lamentablement du sol.

« Ffffuuuu..., fit-elle en expirant de l’air. Haaa... Haaaa... »
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: The xXx Gang le dimanche 24 novembre 2013, 23:07:29
Bien que courageuse et, bien que partiellement divine, Shani n'en demeurait pas moins humaines. Après une piteuse, bien qu'excitante, tentative de fellation, la pauvrette ne parvint pas à supporter son propre poids, laissant ses épaules et sa tête tomber sur le matelas sale. Comme si Bitchmaker attendait ce signal, il desserra ses pattes des hanches féminines, pour monter encore davantage sur la professeur. Ses pattes avant se posèrent sur les omoplates de la belle, l'empêchant définitivement de se redresser. Dans cette position, l'animal pouvait se déchainer avec davantage d'amplitude sur le sublime cul dressé, y plantant sa trique effilée, bien que massive, dans doute sa longueur, ne laissant à peine que la pointe à chaque retrait, pour mieux rengainer dans le fourreau anal la seconde qui suivait. L'animal couinait et grognait, tout à son plaisir, ne se souciant absolument pas de celui de sa partenaire.

De son côté, Mistress Feral semblait déçue. Cerclant son vit à peine mouillé de salive de sa main puissante, la femme à la peau colorée poussa un soupire, avant de commencer à se masturber doucement. A chacune des allées et venues de sa main sur son membre tendu, le chien avait lui asséné deux fois plus de coups de reins entre les fesses de la divine secrétaire. Relevant la tête, Feral soupira :


- Pffff, j'croyais qu'cette fille était exceptionnelle...
- Cela fait plusieurs heures qu'elle se fait grimper dessus presque sans discontinuer. Je trouve son endurance remarquable, n'importe qui à sa place aurait été incapable de passer la langue sur ton sexe.
- Mouais... c'vrai qu'elle a été un peu plus réactive qu'la plupart des filles qui viennent ici.
- Et moi j'ai eu droit à l'avant première. J'ai pris mon pied, j'peux t'le dire !
- Salope.
- Chiennasse.
- Chiennasse toi même.
- Je plaide coupable... Fufufu...

Et pendant que les trois femmes discutaient, le dogue continuait de ramoner le fion de la pauvre Shani, sans décélérer, sans s'adoucir. Il semblait bien décidé à lui briser les os du bassin à force d'y asséner ses hanches, à transformer ses entrailles en purée. Mais, tandis que plaisir et douleur se mélangeaient dans le corps de la divine professeur, Mistress Leather s'approcha d'elle, s'agenouillant à ses côtés pour venir lui caresser le bras avec douceur. Comme la dernière fois, la blonde au monocle injecta son pouvoirs dans le corps de la femme à lunettes. Toute sa fatigue et toute sa douleur se changèrent instantanément en plaisir, se combinant, s'ajoutant à celui que Shani ressentait déjà. Les deux autres Maîtresses qui jacassaient se turent alors, observant la scène, sachant pertinemment ce qu'il se passait. Curieuses, toutes deux voulaient savoir comment leur jouet du soir encaisserait pareille vague. Mistress Magician qui, jusqu'alors, était restée derrière le couple bestial afin de bien voir ce sexe canin maltraiter la rondelle de sa femelle du moment, s'était décalée vers l'avant pour pouvoirs mieux observer le visage de Shani.

Une fois l'observation faite, Mistress Feral perdit rapidement patience. D'une poigne cruelle, la femme musculeuse attrapa la crinière féminine, tirant cruellement la tête de sa vis à vis vers le haut, lui tordant un peu le cou pour que la divine professeur se retrouve le menton posé sur le matelas. Mais, toujours sous l'emprise des dons de la dominatrice à casquette rouge, Shani n'en ressentit aucune douleur, aucune sensation cuisante ou désagréable... Ce qui émanait de son cuir chevelu, de ses cervicales, n'étaient que jouissance. Une fois la secrétaire salope en position, la donzelle à crinière blanche présenta son énorme gland devant les lèvres de la belle et, sans même attendre que cette dernière ai ouvert la bouche, commença à appuyer. Si jamais Shani n'écartait pas les lèvres, Feral lui pincerait le nez pour l'y forcer et, alors, s'enfoncerait jusqu'à la garde. Mais là encore, malgré la brutalité du geste, les sensations de la pauvrette restaient biaisées.


- Hmmm... J'adore quand tu fais ça Leather. J'peux y aller franco tout en sachant qu'en face l'autre n'fait qu'prendre son pied. Hmmm...

Feral se mit en marche. Faisant presque le grand écart, pour avoir le bassin le plus près du matelas possible, la dominatrice bestiale baisait la gorge de Shani sans aucune douceur. Ses mouvements se calquaient à la sauvagerie de Bitchmaker, qui continuait à jouer les marteaux piqueurs dans l'arrière train féminin. La pauvre professeur était embrochée par les deux bouts et, si Leather ne se souciait pas de son bien être, cette épreuve aurait pu être plutôt désagréable. Même la sensation d'étouffement se révélait plaisante... Mais si plaisant fut il, cet étouffement était réel et Feral ne laissait à Shani pas la moindre petite seconde pour pouvoir respirer. C'était un jeu que plusieurs membres du Gang xXx adoraient : imposer une gorge profonde à leurs partenaires jusqu'à ce que ces derniers soient sur le point de s'évanouir. Mistress Feral scrutait le visage de la secrétaire, observant ses yeux rouler dans ses orbites jusqu'à ce que le fourreau soyeux cesse de se contracter autour de son sexe, relâché par les prémices de l'inconscience. C'était juste alors qu'elle se retirait, rendant son oxygène à Shani, se masturbant frénétiquement devant elle. La pauvrette reçut alors la dose de sperme désormais habituelle sur le visage.

De son côté, Bitchmaker sodomisait la divine professeur de manière plus chaotique. Après un ultime coup de reins, il se planta tout au fond du rectum féminin. La base de son vit se mit à gonfler, formant un gros noeud, une véritable boule qui, non content d'écarteler le conduit anal, rendait tout retrait impossible. Cette grosseur avait la largeur d'une grosse pomme, chaude, pulsante... et son apparition coïncida avec l'éjaculation du chien. Si Shani avait été étonnée par le fait que les membres du gang avaient des orgasmes copieux, alors elle n'était pas au bout de ses surprises. Bitchmaker ne dérogeait pas à la règle, ayant bénéficié des mêmes améliorations que ses maîtresses, il disposait d'une quantité de semence largement supérieure à la norme de son espèce. Le truc, c'était que la norme de son espèce était déjà importante. Se retournant, cul à cul avec la secrétaire, l'animal se déversait entre les reins de la belle. Le flot de sperme chaud ne semblait pas vouloir s'arrêter, remplissant toujours plus les entrailles féminines. Petit à petit son ventre commençait à gonfler, se faisant toujours plus gros. A bien y réfléchir, il était possible que ce que Shani avait prise pour des femmes enceintes ne l'étaient en fait pas réellement et qu'il s'agissait juste du résultat de l'orgasme canin.

Pendant que l'animal remplissait sa femelle, les trois Maîtresses discutaient entre elles de la suite des évènements. Elles parlaient trop doucement pour que la professeur puisse entendre mais, à en juger par les coups d'oeils réguliers qu'elles lui lançaient et les sourires carnassiers de Magician et de Feral, la pauvre Shani n'était pas encore au bout de ses peines.
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: Shani Stevens le mardi 26 novembre 2013, 02:45:03
Shani avait l’impression que ce chien ressemblait plus à une sorte de taureau qu’à un chien. Une véritable masse s’abattait sur son corps, brisant ses reins, et elle ne put supporter un tel poids. Shani s’écrabouilla lamentablement sur les tapis, en gémissant faiblement, trempant dans un mélange indistinct de mouille et de sueur. Ses lunettes rebondissaient le long de son nez, sans pour autant partir, alors que le chien continuait à lui ramoner les fesses, avec une implacabilité féroce. De ce qu’elle savait, l’un des principaux problèmes des séances de sexe zoophile tenait justement à ce que, contrairement à un être humain, qui pouvait éventuellement calmer le rythme en voyant que sa partenaire était en train de succomber, un animal, lui, imposait le rythme jusqu’à la fin. Une fois qu’on avait pris le ticket, on ne pouvait pas arrêter le manège en cours de route. Il fallait s’accrocher jusqu’à la fin, et serrer les dents. Pour autant, même si Shani avait bénéficié des sorts magiques des dames, son corps avait tout de même supporté des heures et des heures de sodomie brutale. Sans cette nature semi-divine dont elle ignorait l’existence, la délicieuse secrétaire serait depuis longtemps dans les vapes, magie ou pas. On ne pouvait pas non plus tirer sur la corde indéfiniment. Shani soufflait et soupirait, sentant les dents, lorsque l’une de ses femmes vint à se rapprocher d’elle. La magie fusa à nouveau dans son corps, et Shani se mit à frissonner nerveusement en sentant le plaisir augmenter, sa fatigue disparaître, comme si on était en train de la droguer. Elle haletait, tellement hagarde, qu’elle n’arrivait même plus à retenir sa salive, son apparence globale évoquant alors celle de ses jeunes femmes de mangas érotiques, subissant tellement de coïts qu’elles en avaient la langue pendante, et une air de junkie complètement défoncée sur la tête. Shani commençait vaguement à ressembler à ça, avec ses joues rouges, et ses petits soupirs. Elle se tortillait faiblement sur le matelas, savourant cette queue énorme, partagée entre une sorte de plaisir vif particulièrement pervers et une peur profonde et indécise : celle de finir pliée en deux. Elle estimait pourtant avoir déjà eu l’occasion de faire des trucs assez hardcore au cours de sa vie, comme quand elle avait rejoint ces orgies parisiennes dans des endroits particulièrement huppés, où les participants portaient des masques, afin de pleinement se laisser aller à leurs ébats, sans craindre leurs identités, festoyant dans de terribles orgies dignes des Antiques, où elle avait fini avec le cul en chou-fleur. Cependant, n’en déplaise aux soirées parisiennes, cette soirée-ci était d’un autre niveau. Ce qu’elle vivait lui semblait toujours relever de l’onirisme. Était-ce réel ? Ou est-ce qu’elle n’était toujours pas en train de délirer ? Comment penser autrement, quand on débarquait dans une ferme avec des femmes ayant des seins gargantuesques, des femmes enceintes dans des enclos, et des espèces de monstres ressemblant à des extraterrestres ? Ainsi qu’un gros chien vous labourant le fondement en haletant près de vous ? Oui, c’est dans cet état d’esprit que Shani se trouvait : elle avait le sentiment de rêver, de flotter dans un songe de sexe, de perdre peu à peu ses repères, son identité, son passé, comme si tout se diluait dans ces coups de trique qu’elle recevait dans le fondement, sous le corps chaud et lourd de ce gros chien qui aurait pu lui briser les reins.

*Shani... Souviens-toi de ça... Shani... Ton nom...*

L’une des femmes se déplaça alors, s’asseyant sur le sol, devant elle, glissant ses jambes de part et d’autre, avant de rapprocher son corps du sien. Shani avait du relever les mains, et les posait sur les jambes de cette femme. C’était la femme basanée. Ses jambes étaient solides, athlétiques. Shani se rappelait juste qu’elle était la propriétaire du chien. Dans son esprit fragmenté, qui ressemblait à l’état d’une maison venant de se recevoir un missile, son nom lui échappait. Les testicules de la femme tapèrent contre son nez, et elle lui attrapa alors autoritairement les cheveux, tirant dessus. Vive, la douleur explosa dans son esprit, mais sans répandre la souffrance, simplement une sorte de profond plaisir masochiste qui l’électrisa.

« Hun ! »

La tête relevée, Shani vit le sexe marron de la femme se déplacer, heurtant ses lèvres. Il rentra sans difficulté dans sa bouche, car cette dernière était toujours ouverte, du fait de la queue du chien enfoncé en elle, et elle sentit le sexe glisser sans difficulté, atteignant le fond de sa bouche, se perdant dans sa gorge. Shani gémit et hoqueta, le souffle court, essayant de remuer, de se déplacer. L’air lui manquait, même en respirant depuis le nez, car sa gorge était bloquée par cette longue verge, cette espèce de grosse sucette. Si elle pouvait certes remuer la tête, ce qu’elle faisait, elle n’avait nullement assez de force et d’amplitude pour pouvoir respirer, et se mit donc à gémir faiblement, à suffoquer, se tortillant comme elle le pouvait. Cette version féminine de Rambo allait l’étouffer, si elle continuait ! Shani se débattait, soufflait, gémissait, essayait de mordre, mais il n’y avait rien à faire. D’impuissance, des larmes se mirent à couler, alors que des points noirs dansaient devant ses yeux.

Cette femme était forte, suffisamment forte pour empêcher Shani de bouger en temps normal, alors, dans cette circonstance... Voulait-elle la tuer ainsi ? Shani avait-elle donc échoué à satisfaire pleinement ses femmes ? Curieusement, cette idée imposait en elle une sorte de honte, de gêne. Elle avait pourtant fait du mieux qu’elle pouvait ! Alors que son cerveau hurlait à la mort, la femme, dont la queue, interminable, semblait s’être durcie dans sa bouche, au point d’écarteler ses lèvres, se retira, avant de lui jouir en pleine face. Des jets de sperme vinrent éclabousser ses verres, formant des tâches blanches sur ses verres, ainsi que sur ses mèches de cheveux et ses branches, la majorité du sperme éclaboussant son nez et ses lèvres. Shani se mettait toutefois à tousser, en sentant brusquement l’air venir.

Le plus troublant était surtout qu’elle n’avait pas envie de vomir. Quand on lui faisait une telle gorge profonde, Shani avait toujours un haut-le-cœur, une espèce de malaise, comme quand on enfonçait deux doigts dans sa bouche. Elle avait même vomi un jour sur le sexe d’un de ses amants qui, aveuglé par son désir, avait négligé les signaux d’alerte. Heureusement, la scène avait eu lieu chez le brave homme, et Shani avait ruiné son tapis en vidant toute sa pizza dessus. Or, ici, rien de tout ça. Aucune sensation de malaise, simplement la sensation d’être étranglée. Clignant des yeux, Shani entreprit de tendre sa main, et attrapa le sexe de Feral (le nom lui était revenu) entre ses doigts, pour le masturber encore, glissant ses doigts sur la hampe, avant de venir le lécher.

C’est à cet instant que le chien entreprit de balancer la sauce. Shani, qui avait déjà la sensation d’avoir un marteau-piqueur en elle, se mit à suffoquer et à gémir quand son ventre se mit à gonfler et à enfler, le chien se déversant en elle. Elle soupira devant cette prise de kilos, et, tout en conservant une main sur la verge de Feral, déplaça l’autre, pour sentir son estomac, qui se mettait à s’arrondir et à grossir, jusqu’à donner l’impression qu’elle était enceinte. Il devait bien y avoir des litres et des litres de sperme là-dedans.

« Haaa... Haaaa... »

Difficile de pouvoir articuler autre chose. Shani se mettait à respirer comme un buffle, devant cette subite prise de poids.

D’un coup, elle avait une envie phénoménale de faire pipi.
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: The xXx Gang le lundi 16 décembre 2013, 00:05:01
L'animal arrivait à la fin de sa jouissance. Oh, bien sûr, vu la quantité de sperme qui remplissait - et déformait - le ventre de Shani, percevoir l'arrêt de ce déluge s'avérait quelque chose de difficile... mais le noeud, cette boule de la grosseur d'une pomme qui empêchait la bite fanine de sortir du fondement féminin, commençait à désenfler quelque peu. D'ailleurs, Bitchmaker se mettait à tirer un peu sur ses pattes, comme pour s'extirper de force. Mais, malgré le rapetissement du noeud, ce dernier restait trop gros et le chien, en avançant, trainait la pauvre professeur sur les matelas. Finalement, un plop se fit entendre, tandis que le sexe animal sortait enfin du cul féminin. Pourtant, malgré la quantité de sperme présente dans le ventre de la secrétaire, aucune goutte ne s'échappa de l'anus distendu. Mistress Magician n'était pas loin, utilisant son pouvoir pour empêcher les fluides de s'échapper du corps de leur jouet de ce soir. La sorcière tourna d'ailleurs sa jolie tête brune en direction de la blonde au monocle, soupirant :

- Dis, c'est vraiment obligé ?
- Ecoute, Magician, on en a déjà parlé. Tant que tu le peux, fais en sorte que les pondeuses ne se vident pas sur les matelas. C'est moi qui m'occupe de gérer notre pognon et je peux te dire que cet endroit nous coute une fortune en matelas, alors si on peut augmenter leur durée de vie, c'est pas plus mal...
- Ouais, puis au bout d'un moment ça pue trop, même pour moi.
- Humpf...

Après ce bref échange, Mistress Leather se dirigea vers le mur du fond de la grange, où plusieurs clous avaient été plantés et pù de nombreux colliers noirs étaient posés. Elle en attrapa un, avant de revenir vers la pauvre Shani. S'agenouillant devant cette dernière, la blonde à la casquette rouge caressa gentiment la chevelure de sa vis à vis, avant de lui redresser gentiment la tête, glissant sa main sous son menton. Une fois chose faite, elle lui passa le collier autour du cou, les lettres dorée - Bitch - luisant sous à la lueur des lampes. Une fois chose faite, la dominatrice manipula calmement le corps de la jeune femme, la mettant sur le dos, pour mieux pouvoir la prendre dans ses bras. Enfin, Leather conduisit la divine professeur jusqu'à l'un des box vides, la déposant délicatement sur le tas de paille, avant de la laisser là.

Revenant auprès de ses camarades, les trois membres du Gang xXx se dirigèrent vers un autre box où une femme était déjà, l'en faisant sortir. Visiblement, c'était au tour de quelqu'un d'autre de subir les assauts vigoureux de Bitchmaker ainsi que de ses maîtresses. Shani, elle, pouvait enfin se reposer : N'étant plus sur les matelas, Mistress Magician relâcha son pouvoir, permettant à la secrétaire cochonne de se vider, enfin, de tous les fluides qui encombraient son ventre. Avant que les Maîtresses n'en aient finit avec leur nouvelle proie, Shani avait quelques heures devant elle pour récupérer. Étant aux yeux du gang un jouet de qualité, la jeune femmes à lunettes jouissait d'un traitement de faveurs... et ne serait pas brisée tout de suite.


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Peut être que Shani avait réussi à trouver un peu de sommeil, ou peut être pas, vu les couinements, les gémissements et les aboiements qui emplissaient presque continuellement la grange. Au bout d'un moment, la grille du box de la divine professeur s'ouvrit. Mistress Feral dominait la docile secrétaire de toute sa hauteur, s'approchant de cette dernière, une laisse à la main. S'accroupissant près de la femme à lunettes, la bestiale approcha rapidement la laisse de son cou, avant de la fixer au collier. Puis, s'éloignant, elle tira un peu sur la longe, pour faire comprendre à Shani qu'il fallait suivre. La maîtresse des animaux n'était pas très insistante, laissant le temps à sa vis à vis de se réveiller, de s'étirer et de se mettre en mouvement. Puis, une fois le mouvement amorcé, Feral conduisit la professeur en dehors de la grange.

Là, le duo de nudistes se trouva de nouveau face à l'enclos des Bitchmongers qui, en les voyant, s'agglutinèrent contre les solides barreaux de métal, cherchant de toute évidence à attraper les deux femelles. Mais la bestiale, émettant un sifflement agressif, les fit reculer avec une redoutable efficacité. C'était comme si ces bêtes humanoïdes comprenaient qu'ils avaient affaire à une alpha, à leur supérieure et qu'ils devaient obéir à sa volonté. Cette petite démonstration d'autorité faite, Mistress Feral entraina son "invitée" jusque dans une bâtisse à l'aspect délabré. Si l'extérieur de cette maison faisait peine à voir, l'intérieur trahissait des travaux de rénovation récents. L'électricité y avait été refaite et, si la décoration était proprement inexistence, le tout demeurait parfaitement fonctionnel. Rapidement, Shani fut entrainée jusque dans une pièce sombre. La dominatrice bestiale appuya sur l'interrupteur, allumant la lumière pour révéler aux yeux de la professeur un petit salon de tatouage. Lâchant la laisse, Feral souffla gaiement :


- Place toi sur la table, là, dit elle en désignant une table de massage placée à côté d'un confortable fauteuil, il va être temps de te marquer.

Et puis, attendant que Shani s'exécute, Mistress Feral commença à rassembler le matériel nécessaire.
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: Shani Stevens le mardi 17 décembre 2013, 02:09:51
Shani était en léthargie, et ne réagit guère quand les deux femmes la traînèrent. Son ventre lui faisait atrocement mal, et son corps était épuisé. Ses yeux divaguaient, et elle se trouvait, en somme, dans cet état où se retrouvent les femmes après avoir subi un gang bang pendant des heures. Elle ne retenait même plus sa salive, et, quand on la traîna dans une grange, pour la balancer sur le sol, la secrétaire ne réagit pas, n’émettant aucun son. Elle se retrouva couchée sur le dos, jambes écartées, clignant lentement des yeux, peinant à entendre tout ce qui se passait autour d’elle, avec le ventre prêt à exploser. Son ventre lui faisait mal. C’était comme être au beau milieu d’une épreuve, et avoir une formidable envie d’uriner, tout en sachant que vous ne pouviez pas le faire, car il fallait attendre la fin de la première heure règlementaire pour sortir. Shani était ainsi, poussant, poussant, mais sans que rien ne daigne sortir. Finalement, ce fut comme si tout son corps se libéra d’un coup, et elle se vida longuement, balançant tout un tas de substances liquides hors de son corps : urine, sperme, cyprine, tout fut expulsé, fusant sur le sol, éclaboussant la porte de l’enclos, salissant ses jambes et ses fesses, formant petit à petit une flaque qui allait en s’épaississant sur le sol. Chaos et sonnée, avec les fesses déformées, Shani hoquetait silencieusement, si heureuse de pouvoir soulager sa vessie que des larmes en glissaient sur ses joues, filant le long de ses yeux, traçant deux délicats sillons.

Elle resta ainsi, inerte, à moitié sonnée, à moitié consciente qu’on lui avait greffé un collier autour du cou. Plongée dans une semi-obscurité, les gémissements et les cris des filles qui étaient prises par ces femmes et leur chien insatiable lui arrivaient de très loin, comme si elle était dans un rêve. Oui... Tout ça était irréel, surréaliste. Elle ne pouvait pas réellement avoir été défoncée par un chien dans une grange, sur un matelas, et être balancée dans un enclos comme une vache bonne à traire. Elle ne pouvait pas avoir vu ces espèces de gobelins sexuels issus d’une version tordue d’un conte de Tolkien taper contre les cages, avec une lueur de pire pervers dans le regard.

*Tout ça... Tout ça n’est pas réel... Je suis tranquillement allongée chez moi, en train de rêver, oui, voilà...*

Sa tête était posée elle ne savait trop où, son corps oscillant entre l’éveil et le sommeil, dans un ailleurs illusoire, à mi-chemin entre le fantasme et le réel. Son esprit était vide, les minutes se mélangeaient aux heures, les secondes se diluaient dans une flaque de dilatation temporelle, et son esprit voguait au large, tel un navire à la déroute, un bateau dénué de capitaine. Elle errait dans un autre monde, et c’est dans cet état d’esprit que Féral dut la trouver en rouvrant la porte de l’enclos.

Shani n’était plus sonnée, simplement fatiguée. Elle rêvassait à moitié quand onla réveilla, et, quand elle sentit des secousses s’exercer sur son cou, la jeune secrétaire regarda autour d’elle. Elle revit l’enclos, le décor, et une femme, dans l’embrasure de la porte, tirant sur une laisse pour que Shani la suive. Elle déplaça sa main, et la posa sur une sorte de flaque écœurante, qui lui fit secouer la main. Elle la frotta contre le mur en se relevant, sans rien dire. Sa démarche était chancelante, hésitante, et elle dut s’appuyer contre les murs et les autres enclos à plusieurs reprises, titubant comme une espèce de droguée en train de planer. Sa vision était floue, les lumières l’agressaient, et elle bâilla à s’en décrocher la mâchoire, frottant d’une main faible ses yeux affaiblis. Dans le coltard, Shani ne savait plus trop ce qui se passait. Ses fesses étaient douloureuses... Non, tout son corps lui faisait mal, en réalité. Elle avançait lentement, et se retrouva à nouveau dehors. Le vent frais de la nuit s’immisça entre ses entrailles, la faisant frissonner, caressant son sexe mis à vif, effleurant la rondeur de ses fesses. Elle titubait à moitié, secouant la tête, clignant des yeux, jusqu’à se retrouver dans une nouvelle pièce.

Shani suivit la femme, jusqu’à se retrouver dans une pièce sombre.

*Où est-ce que je suis ? Qu’est-ce que je fais là ?* songea-t-elle.

L’éclairage révéla un salon de tatouage. La lumière lui piqua brièvement les yeux, et, en clignant ces derniers plusieurs fois, elle vit ce qui s’apparentait à une table de tatouage.

« Place toi sur la table, là, il va être temps de te marquer. »

De ? Shani cligna des yeux, et regarda la femme.

« Hein, quoi ?! s’exclama-t-elle. Me... Me marquer ?! »

Elle regarda a table, puis la femme, trouvant cette idée répugnante, comme si… Comme si elle était une bête, ou une espèce d’esclave.

« Ça va pas, non ?! J’suis pas une bête, je refuse ! »
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: The xXx Gang le samedi 09 août 2014, 19:18:19
- Tu refuses ? Les lèvres de Mistress Feral s'arquèrent en un sourire narquois, ce genre de réaction de la part des proies du Gang ne cessant jamais de l'amuser. Je comprends, tu es une chienne en chaleur, qui acceptes ma queue, celle de mes copines et même celle de mon chien, mais tu es trop bien pour qu'on marque ça sur ton cul, pas vrai ? Elle hausse les épaules. Soit, on va se contenter de ce que tu préfères, alors...

Alliant le geste à la parole, la bestiale attrapa l'épaule de Shani, pour plaquer cette dernière contre la paroi aussi nue que la secrétaire. Les seins de la belle se retrouvèrent écrasé contre les agglos froids, tandis que la titanesque poitrine de son bourreau s'écrasait contre son dos. La divine secrétaire pouvait sentir le souffle chaud de la dominatrice contre son épaule, tandis qu'une sensation familière longeait la raie de ses fesses : Feral frottait un vit, nouvellement repoussé, entre ses fesses souillées, visiblement peu incommodée par la saleté de sa victime. Peut être que demoiselle à lunettes avait encore assez de conscience pour éprouver la texture, la forme du mandrin qui glissait contre son corps, auquel cas, elle se serait rendu compte que la forme de ce sexe n'avait rien d'humain, ressemblant bien plus à celui que Bitchmaker lui avait enfoncé entre les reins quelques heures plus tôt. Après quelques secondes de ce petit jeu vulgaire, la reine des bêtes se cambra, pour mieux aligner son sexe monstrueux. Son ? Non, Shani pouvait sentir deux pointes de chair contre ses deux orifices, l'un prêt à pourfendre son anus, l'autre s'insinuant entre ses lèvres intimes. Un coup de reins - et un grognement - plus tard, la secrétaire se retrouvait embrochée jusqu'à la garde par le double bélier de sa tortionnaire, qui se léchait les babines.

- Hmmm... Encore serrée...

On pouvait décemment penser que même si Shani avait été élargie par ses précédents ébats, la taille invraisemblable des queues qui la remplissait devait forcément se retrouver à l'étroit. Consciente de cet état de fait, Mistress Feral laissa à sa proie le temps de s'accommoder, avant de commencer un déhanché qui n'avait rien de doux. Le grésillement de l'ampoule fut bientôt couvert par le claquement régulier des fesses de la secrétaire contre le bassin de Feral, ainsi que les protestations du mur lui même. La puissance des coups de reins de la bestiale semblaient secouer la pauvre bicoque autant que le corps féminin... mais peut être n'étais-ce là qu'une impression, due à la fatigue et à l'épuisement, suite aux assauts répétés des Maîtresses Démoniaques. Ce qui était sûr, c'est que la dominatrice nudiste n'y allait pas de main morte, se concentrant sur son seul plaisir qu'elle ne cherchait d'ailleurs pas à faire durer, comme si elle était pressée. Très vite, la fougueuse double pénétration atteignit son paroxysme, quand Feral resta enfouie au plus profond des orifices féminines, poussant une plainte presque douloureuse. La base des vits se mirent à gonfler, fidèles à leur nature canine, formant des noeuds épais qui empêchaient définitivement tout retrait. Mais, au lieu de déverser des torrents de sperme, la bestiale se contenta de laisser échapper de minces filets salés entre les fesses et dans le sexe de Shani. Feral tremblait, geignait, comme si elle se retenait, faisant un réel effort pour ne pas éclater à l'intérieur de la secrétaire salope. Harponnée à cette dernière, la dominatrice glissa ses mains sous les genoux de la belle et s'écartant de la paroi, pour la soulever au dessus du sol. En quelques pas, elle avait rejoint la table de tatouage, reposant Shani et se penchant en avant pour la forcer à faire de même. Shani pouvait protester autant qu'elle voulait, elle était désormais à plat ventre sur le plan de travail, la pointe de ses pieds touchant à peine le sol. Avec les énormes sexes canins bloqués à l'intérieur, elle n'aurait pas pu s'échapper même si elle en avait eu la force.

Sifflotant, comme si de rien n'était, Mistress Feral tendit la main vers le plateau sur lequel tous les instruments se trouvaient, commençant par se munir d'une éponge, qu'elle humidifia dans une bassine, pour nettoyer amoureusement le dos et la croupe féminine. La douceur de ses gestes tranchaient avec sa précédente sauvagerie et Feral prenait son temps. Lentement, l'éponge venait glisser sur ses courbes, retirant peu à peu la sueur et le sperme qui la couvraient. Dans cette position, tout le corps de la secrétaire n'était pas accessible à la reine des animaux, mais cette dernière fit de son mieux pour rafraichir le corps de sa "patiente". Quand elle fut jugée assez propre, la bestiale se munit d'un torchon pour sécher la peau de la binoclarde, avec la même douceur et la même prévenance que précédemment. Pendant tout ce temps, les vits canins ne dégonflaient pas, les noeuds toujours aussi épais, le sperme s'écoulant très faiblement de leur pointe, de manière continue.


- Et - voi - là, souffla la dominatrice en chantonnant. Tu vas être magnifique avec de beaux tatouages. Bien sûr, il y aurait écris xXx juste au dessus de ton cul, mais on peut toujours discuter du reste. L'ongle de Feral glissait contre la cambrure des reins de Shani, tandis qu'elle poursuivait : Tu veux quoi, un "SLUT" ou un "SLAVE" avec ton "xXx" ? Si tu as d'autres idées, n'hésite pas...
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: Shani Stevens le lundi 11 août 2014, 02:27:42
Le bref éveil de Shani fut aussi éphémère que le vacillement d’une étincelle. Elle se retrouva plaquée contre une paroi, le contact froid de cette surface la réveillant un peu. Cherchait-elle à dire quelque chose ? Peu importe, en réalité, car, quand elle sentit cette verge se glisser contre ses fesses, Shani trembla sur place... Et soupira quand elle en sentit une autre se rapprocher de son intimité. Deux verges pour le prix d’une ! Pour autant qu’elle se souvienne, on ne l’avait encore jamais tringlé comme ça, aussi longtemps, et avec autant de force. Une humaine normale serait dans les vapes depuis longtemps... Si Shani survivait à chaque fois, retrouvant ses forces, c’était en raison du sang divin qui filait dans ses veines, ce sang dont elle ignorait la présence. Elle sentit les deux gros vit se planter en elle, et poussa un couinement, sentant la femme s’enfoncer en elle, son énorme poitrine heurtant son dos, deux obus de chair chauds qui la plaquèrent davantage contre la vitre.

La secrétaire soupira, sentant la femme la tringler, la prenant doublement. Deux fois plus de plaisir pour Shani, deux fois plus de souffrance, deux fois plus de... De tout ! La belle secrétaire planait, prise sans relâche depuis des heures, prise par des femmes membrées dont la libido semblait sans fin. Shani était sûre qu’elles auraient pu enfanter tout un pays en le voulant, et en un temps record. Rien de tout ça n’était naturel, elle en avait de plus en plus conscience, mais, si elle avait naturellement peur pour sa survie, elle ne pouvait aussi s’empêcher de prendre son pied. Fondamentalement, elle avait toujours été attirée par la notion de pouvoir et de contrôle qui s’écoulait d’une relation sexuelle. Il y avait toujours un dominant et un dominé, et elle se complaisait dans les deux rôles. Ici, elle était la soumise, l’esclave, un sac à foutre et à queues, et cette situation, si elle faisait objectivement horreur à l’être rationnel qu’elle était, la faisait également saliver de désir et d’envie.

Shani rebondissait contre la paroi, et y laissa même des dépôts de salive. Mistress Feral était similaire aux autres dans ses coups de reins. Shani était pleinement remplie, sur le point de craquer, et la secrétaire en arrivait à ne pas avaler son salive, la laissant alors s’échapper de ses lèvres, se retenant de s’aplatir à chaque fois contre la paroi en posant ses mains dessus. La femme la prenait dans le dos sans difficulté. Elle était surpuissante. La beauté de ses formes se couplait à la perfection à ses muscles. Elle avait l’endurance d’un rhinocéros. Ce fut pour autant plus bref que dans l’appartement, ou même quand le gros chien de cette femme l’avait allègrement défoncé. Les mouvements décrurent assez vite, et tout le corps de Shani tremblait, comme si la moindre bise pouvait la casser en deux. Dans ce bref laps de temps, elle avait réussi à avoir un orgasme, et sa mouille s’échappait lentement de son corps, glissant délicatement le long de la grosse verge tendue et juteuse de Mistress Feral... Qui jouit très légèrement. Shani en fut surprise, tout comme quand elle sentit les deux queues grossir en elle, gonflant.

« Haaa... Haaa !! » gémit-elle en fermant les yeux, se mordant les lèvres.

Ses ongles crissèrent contre la paroi, et elle respira par à-coups, les joues rouges, le corps aussi chaud qu’une cocotte-minute. Que faisait-elle ? Shani sentit ensuite la femme la soulever, et la porter, ses sexes profondément enfoncés en elle. Soupirant lentement, Shani revit le fauteuil de tatouage, et Mistress Feral s’assit dessus, emmenant avec elle son bien. Plus que jamais, Shani avait l’impression d’être une espèce de poupée humaine que cette femme manœuvrait selon son bon vouloir... Mais il était trop tard pour en avoir horreur, et ce serait mentir que de dire que cette situation, inconsciemment, n’échauffait pas la secrétaire. Tout d’un coup, la nymphomane voyait avec plus de plaisir la possibilité de se faire tatouer, marquer comme une bête.

Avec une espèce d’horreur mêlée de fascination, Shani comprit ce que la femme voulait quand elle s’assit, et entreprit, avec une éponge, de nettoyer la carasse sur son corps. Les mains de Shani se crispaient et s’appuyaient sur les rebords du long fauteuil, tandis qu’elle avait toujours, en elle, les deux grosses queues de cette femme. Elle couinait et gémissait, sentant les mains de la femme nettoyer son corps, pour la tatouer sans problème.

*Bordel !!*

Shani ne savait plus quoi en penser. Tout s’embrouillait dans sa tête. Ses mains posées sur le plan, elle remuait légèrement son corps... Mais ce dernier ne se déplaçait guère plus que de quelques infimes millimètres. La pression exercée par cette femme était trop forte, et ses deux verges semblaient comme coincées en elle. Il s’écoula un temps interminable, tandis que Shani couinait et gémissait, serrant les dents, incapable de parler... Et qu’aurait-elle pu dire ? Mistress Feral comptait la tatouer en la baisant comme une vache.

Mistress Feral se mit ensuite à parler, une fois Shani propre, en lui laissant l’embarras du choix. La secrétaire soupira, et, pendant quelques secondes, elle ne dit rien. Elle reprenait son souffle, et tendit sa main gauche vers l’arrière de son corps, tendant ensuite le doigt pour le poser sur sa fesse gauche.

« L-Là... ‘‘BITCH’’… »

Parler était éprouvant, et elle soufflé à nouveau, avant de déplacer sa main pour designer son autre fesse.

« E-Ett... ‘‘SLAVE’’… Hnnnn… !! »

Elle soupira à nouveau, yeux clos. Ses chibres étaient vraiment gros, la défonçant sans relâche, mais cette douleur était, en un sens, bienvenue.

Autrement, Shani aurait pu croire qu’elle était en train de rêver.
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: The xXx Gang le vendredi 15 août 2014, 14:12:00
Mistress Feral restait le plus immobile possible, avant de se munir de l'aiguille motorisée. Ses vits tremblaient à l'intérieur de Shani, pulsant d'un désir de bouger, de se vider plus complètement, plus puissament. Mais la bestiale avait un travail à accomplir, un travail qui nécessitait de ne pas bouger. Après tout, dessiner sur une toile mouvante était rarement une bonne idée, il n'y avait donc aucune raison pour que cela soit différent lorsque la toile se réveillait être la peau d'une somptueuse secrétaire. Prenant plusieurs inspirations profondes, afin de calmer ses pulsions, la donzelle à la peau halée se pencha sur la croupe de sa vis à vis, son instrument se mettant à vrombir, une fois activé. La pointe mobile du dermographe commença à attaquer la peau de la cambrure féminine, dans un mouvement d'aller et retour qui n'était pas sans rappeler celui de pénétration que la pauvrette avait déjà subit pendant de trop longues heures. Mais, ici, il ne s'agissait pas de faire jouir, il s'agissait d'imprimer, d'injecter du noir sous la peau. La première aiguille utilisée par Feral, le Liner, était plus fine, donnant une sensation de piqûre plus aiguë, mais également plus brève. D'habitude, les personne recevant un tatouage n'avaient que cette sensation, aussi Shani pouvait elle espérer que les deux énormes queues canines qui lui remplissaient con et cul détournaient l'attention de la sensation désagréable qui mordait le creux de ses reins. Peu à peu, le xXx se dessinait, simple, sobre, la centrale étant plus grosse que les croix qui l'encadraient, le tout suivant la forme du corps féminin. Régulièrement, pendant le travail, Mistress Feral épongeait les goutelettes de sang et de sueur qui pouvaient s'accumuler sur la zone travaillée, avant de poursuivre. Une fois le motif terminé, la tatoueuse se tordit sur le côté, afin d'atteindre la fesse gauche... Mais la position, la proximité induite par la présence des verges bloquées à l'intérieur de sa "cliente", rendait tout travail correcte plutôt difficile.

- Hmmm... Petite pause, je vais devoir te remplir un peu avant de continuer.

Shani put sentir les noeuds canins dégonfler, permettant à Feral d'effectuer un mouvement de pénétration sans blesser sa partenaire. Se penchant sur le dos de la secrétaire salope, la bestiale commença à se déhancher. Cependant, contrairement aux différents rapports, elle n'était plus sauvage, coulissant avec une lenteur presque affectueuse dans les orifices féminins. Son énorme poitrine s'étalant sur le dos féminin, Feral venait grignoter l'oreille de sa vis à vis, avant de venir lui bécoter le cou. Tout d'un coup, c'était comme si toute la féminité effacée par les manières brutales et la musculature de cette créature pourtant si voluptueuse refaisait surface, le temps d'une étreinte.

Toute à son plaisir, empoignant amoureusement les seins de la binoclarde, Feral n'entendit pas la porte s'ouvrir en grinçant dans leur dos, ne s'en souciant de toute façon pas le moins du monde. Même lorsqu'une voix féminine s'éleva, la reine des bêtes ne s'arrêta pas une seconde, poussant même le vice jusqu'à glisser une main vers le clitoris de Shani, pour le chatouiller fiévreusement.


- Je me doutais bien que ça finirait comme ça... ça finit toujours comme ça.

La femme en question fit le tour du petit couple, se révélant être Mistress Leather. Une cravache dans la main droite, sa tenue pourtant si vulgaire toujours impeccablement en place, elle posa sa main sur le dossier du fauteuil de tatouage, avant de l'abaisser. Même sans son soutient, Shani ne risquait pas de tomber en avant, sa tatoueuse l'enlaçant dans ses bras puissants. Un sourire amusé aux lèvres, la blonde se pencha, rapprocha son visage tout près de celui de la divine secrétaire, plongeant son regard d'azur dans celui de la jeune femme. Elle resta ainsi à l'observer quelques minutes, pendant que Feral continuait à la double-pénétrer. Il semblait que Leather attendait quelque chose, un moment précis, avant de faire quoi que ce soit. Et ce moment arriva bientôt, quand les coups de reins de la bestiale se firent moins doux et plus désordonnés, preuve qu'elle commençait à cogner aux portes de l'orgasme. Se saisissant de la chevelure féminine, la reine des douleurs pressa ses lèvres contre celle de Shani, introduisant sa langue dans sa bouche, pour lui prodiguer un onctueux baiser. C'est ce moment que choisit Mistress Feral pour se figer à l'intérieur de la belle, la base de ses deux queues gonflant pour reformer la boule canine, avant de libérer des cascades de sperme chaud.

La scène resta figée ainsi, quelques instants, Feral couinant comme une chienne en se vidant à l'intérieur de sa proie qui, bloquée entre ses bras solides, voyait sa bouche prise d'assaut par une pseudo-militaire vorace. Mais, bientôt, les noeuds dégonflèrent, permettant à la maîtresse des animaux de s'extirper des orifice déjà bien usés de la pauvrette.


- Oufff... Décidément, cette fille est une perle. J'vais pouvoir reprendre mon travail, maintenant.
- Hmm hmm... Fais donc ça... souffla Leather en rompant le baiser, je vais la garder occupée pendant ce temps.

Il devait être écrit quelque part que la pauvre Shani n'aurait pas une seconde de répit pendant qu'on la marquait comme une bête. Se redressant et achevant d'abaisser le dossier du fauteuil - formant ainsi une sorte de couchette plutôt qu'un siège - Mistress Leather se frotta l'entre-cuisses, y faisant pousser une large queue. S’asseyant à califourchon sur le dossier de cuir, la blonde au monocle glissa sa cravache derrière la nuque féminin, lui intimant ainsi de pencher le visage vers cette verge tendue. Pendant ce temps, Mistress Feral était accroupie, le visage au niveau du croupion de sa cliente, son dermographe dans une main et l'éponge dans l'autre. L'éponge servit à retirer l'éventuelle sueur présente sur la rondeur de ses fesses... mais c'est avec sa langue qu'elle récupérait la sauce blanche qui pouvait s'échapper de ses orifices.

Une fois le postérieur féminin suffisamment propre, la bestiale commença à y tracer le contours des lettres, formant peu à peu les mots demandés par la secrétaire elle même. A chaque fois que son succulent popotin ou sa chatte juteuse suintait de jus masculin, Feral l'y récoltait du bout de la langue, sans oublier de titiller la zone quelques secondes, avant de se remettre au travail.
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: Shani Stevens le samedi 16 août 2014, 02:22:52
Affalée contre le fauteuil de tatouage, Shani soupirait lentement. Avoir deux grosses verges plantées dans le corps, dont une qui lui déflorait le cul, c’était plutôt... Lourd comme sensation ! La belle secrétaire se crispait contre le siège en soupirant longuement, des gouttes de sueur filant tout le long de son corps. Elle respirait lourdement, essayant de ne pas trop bouger, afin de ne pas déranger cette femme. Est-ce qu’elle comptait vraiment la tatouer ainsi, avec ses deux verges plantées en elle ?! Pour Shani, ça semblait impossible ! Comment pourrait-elle se concentrer dans cette situation ? Shani n’arrivait même plus à penser rationnellement, et, tout en soupirant, elle sentit Mistress Feral se déplacer. Elle avoua avoir besoin d’une petite pause, et, par la suite, elle s’écrasa sur le corps de Shani, s’affalant lourdement sur le sien, ses lourds seins heurtant son dos.

« Haaann !! » gémit Shani quand les mains de la femme, fermes et solides, empoignèrent ses seins.

Elle s’étala contre elle, et commença à remuer, la grosseur de ses verges se dégonflant légèrement, atteignant un niveau tout juste tolérable... Mais, surtout, Mistress Feral se mit enfin à remuer, expliquant les soupirs de soulagement que la secrétaire se mettait à pousser. Ses mains se crispaient contre les rebords du fauteuil, ses phalanges devenant blanches. Ses joues étaient rouges, son corps en sueur, et elle continuait à mouiller. La verge de sa Maîtresse était tellement grosse que peu de cyprine ressortait de son corps. On pouvait entendre le claquement de leurs chairs, le bruit des membres remuant dans sa chair, la pétrissant et la malmenant. Elle couinait et gémissait, comme anesthésiée sous la vague de plaisir et de douleur qui lui labourait le bassin... Et elle entendit alors des bruits de pas.

Une voix reconnaissable se mit à parler. Shani gémissait lentement, et poussa un petit cri quand la main de Mistress Feral chatouilla son sexe, ses doigts glissant le long de sa propre verge. Les talons rouges de Mistress Leather claquaient sur le sol, et elle se positionna devant Shani, l’observant. Peinant à parler, peinant même à avaler sa propre salive, Shani releva son regard, croisant celui de la femme. Pendant plusieurs minutes, la femme se contenta de l’observer, tandis que Mistress Feral la pénétrait de plus en plus vite, labourant son corps avec une intensité croissante, une intensité qui traduisait l’accroissement de son désir, et son envie de jouir. Shani gémit à nouveau, son regard essayant de se fixer sur celui de la femme. Elle savait que, parmi toutes ces femmes, elles n’étaient pas toutes égales. Oh, elles étaient toutes des perverses, mais avec des degrés différents. Shani ne savait quasiment rien sur elles, mais elle savait que Mistress Leather faisait partie de la branche du groupe qui aimait le fouet, les chaînes... La femme branchée SM, en somme.

Les minutes défilaient rapidement, Shani gémissant et couinant... Jusqu’à ce que Mistress Leather vienne lui rouler une longue pelle. Soupirant, Shani ferma les yeux, ouvrant sa bouche, accueillant sans problème la langue de la femme. Elle était leur poupée, tout simplement, et elle se confortait dans ce rôle, baignant depuis des heures dans une orgie de sexe sans fin. Son esprit était épuisé, mais son corps, lui, n’en avait toujours pas assez, en redemandant toujours, encore et encore. Était-il seulement possible de lasser une demie-Déesse ? Elle ignorait que son père était l’un des plus puissants Dieux de l’Olympe, et cette puissance se ressentait dans sa résistance sexuelle, faisant d’elle une sorte d’Hercule du cul... Pour la secrétaire, elle était juste une perverse, et n’arrivait pas à s’expliquer son attirance. Ce qu’elle vivait ici était, d’un strict point de vue rationnel, tout simplement horrible... Mais elle prenait terriblement son pied !

Elle gémissait dans la bouche de Mistress Leather, relevant ses mains pour s’appuyer sur ses épaules. Mistress Feral la félicitait pour son endurance, et Shani frissonna. Retrouverait-elle un jour son appartement ? Plus le temps passait, et plus une partie d’elle-même, une partie de son esprit qui était versée dans le sexe et la luxure, souhaitait rester ici... Être leur esclave sexuelle, être baisée jour après jour... N’était-ce pas ça, le Paradis ? Être la poupée sexuelle de ces femmes fortes ? Shani peinait à comprendre, à réfléchir consciemment... Et Mistress Feral finit par jouir.

« Uuuuuuuuuuuughhhh !! »

Pour un orgasme, ce fut un bel orgasme ! La fmeme se vida en elle, jouissant généreusement en la serrant contre elle, l’étouffant. Son ventre se mit à onduler, son estomac accueillant ce trop-plein de foutre. Les yeux de Shani s’écarquillèrent, ses ongles s’enfoncèrent dans la tenue en cuir de Leather, et elle gémit, ses yeux allant même jusqu’à se révulser. Elle avait déjà remarqué que l’orgasme de ces femmes était à la hauteur de leurs formes. On n’entendait alors plus que les couinements frénétiques de Feral, qui se vidait dans le corps de la secrétaire esseulée.

Finalement, après un laps de temps qui lui sembla interminable, Shani sentit ces deux piques de chair se retirer d’elle, libérant un jet de sperme. Shani soupira, et, quand le baiser de Mistress Leather se rompit, elle s’écroula sur le fauteuil, reprenant lentement son souffle, ses bras ballants pendant quelques secondes. Reprenant son souffle, elle vit Mistress Leather se masturber, faisant rapidement sortir une verge disproportionnée de son intimité. Un véritable mandrin de chair devant elle, tandis que la femme allait s’asseoir sur le fauteuil de tatouage, à califourchon, sa verge pointant vers le visage de Shani.

Comme pour l’inciter à comprendre, Mistress Leather approcha sa cravache de sa nuque. Shani, qui réalisa qu’elle avait probablement eu un orgasme ou plusieurs, se releva lentement, avalant sa salive, ses mains s’appuyant sur les hanches de la femme, ses doigts se crispant sur le cuir. Dans son dos, elle sentait Mistress Feral se rapprocher de ses fesses.

*Elle va me tatouer pendant que je vais sucer la queue de l’autre...*

Shani ne disait rien, reprenant son souffle, et se redressa lentement, sa bouche arrivant au-dessus de ce sexe. Une grosse lance de chair qui la toisait, et qu’elle commença à sucer. Elle commença par le lécher, sur les côtés, puis le fourra dans sa bouche, commençant à remuer, d’avant en arrière. C’était une grosse queue... Et elle sentit ses fesses vibrer. Mistress Feral était vraiment en train de la tatouer ! Shani suçait cette verge, remontant lentement, essayant de l’enfoncer le plus loin possible, serrant ses doigts en gémissant. Sa langue remuait le long de cette chair, s’enfonçant à l’intérieur, et elle sentit la queue taper contre le fond de sa bouche, s’enfonçant dans sa gorge. La secrétaire soupira en sentant un haut-le-cœur s’emparer d’elle, avec une sorte d’envie de vomir... Elle sut tenir bon, et finit par relever sa tête, libérant brièvement le sexe de la femme.

Son regard se redressa vers la femme, et elle se mit à parler :

« Fouettez-moi pendant que je suce votre divine queue, Maîtresse... » demanda-t-elle, sur un ton langoureux.
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: The xXx Gang le jeudi 21 août 2014, 20:46:17
Mistress Leather admirait la scène, appréciant tout particulièrement de voir ce magnifique visage abaissé au niveau de son sexe tendu, se délectant du contraste entre la beauté harmonieuse des traits de la belle et l'épaisseur vulgaire du vit. Et, au delà de la beauté du paysage, la Reine des Douleurs devait bien reconnaître que l'endurance de la jeune femme était remarquable. Continuer à jouir, après tout ce qu'elle avait subis, continuer à en réclamer, encore plus, toujours plus... Mistress xXx en avaient parlé, de la possibilité que cette fille ne fut pas totalement humaine, la blonde au monocle commençait à le penser également. En tout cas, sa bouche divine faisait des merveilles, faisant monter le plaisir par vagues successives, à chaque succion, comme si elle l'aspirait peu à peu de ses tréfonds. La secrétaire cochonne poussait même le vice jusqu'à réclamer des coups de cravache, dévoilant sa part masochiste... ou jouant habilement des goûts de ses bourreaux. D'ordinaire, Leather ne faisait pas ce que ses esclaves lui réclamaient, mais Shani exerçait une chez la dominatrix une fascination lubrique. Le regard enflammé, son bassin ondulant malgré elle, Mistress Leather éleva sa cravache au dessus du corps féminin.

- Hey, non ! La blonde se figea, surprise, ayant presque oublié sa camarade bestiale qui tatouait le derrière de sa partenaire. Je suis en train de tatouer moi, faut pas qu'elle bouge sinon je risque de la blesser... et de foirer le tatouage. Alors on s'calme, la mère fouettarde.
- Hmpf...

Le sentiment de plénitude que ressentait Leather fut quelque peu douché par ce rappel à l'ordre de la part de Feral. Mais c'était elle qui avait raison et la femme au monocle ne pouvait le nier. Cependant, son humeur en avait prit un coup et celle qui en fit lee plus immédiatement les frais fut Shani. Se redressant un peu sur ses genoux, afin de donner davantage de mobilité à ses hanches, la blonde à la cravache bloqua le crâne féminin entre ses mains, pour pousser son membre jusqu'au fond de sa gorge. Il n'était plus question d'admirer son expertiser, de se délecter de la beauté du geste, de la beauté de sa partenaire... non... il était désormais temps de lui baiser la gueule à grand coup de burin. Grognant son plaisir, Mistress Leather se déhanchait sans se soucier le moins du monde du plaisir de la pauvre secrétaire qui, d'où elle était, ne devait voir que le tatouage xXx, imprimé sur le pubis de son bourreau, venir obstruer sa vision à chaque fois que le membre viril obstruait sa gorge. Shani ne pouvait pas respirer, elle ne pouvait pas bouger la tête, prisonnière entre les mains puissantes de la dominatrice.

Mais, au bout de quelques coups de reins, la colère née de la frustration passa et Leather s'immobilisa. Bien sûr, elle choisit de s'immobiliser quand le petit nez mignon de sa vis à vis touchait son pubis glabre, sa viande profondément enfouie au delà de son arrière gorge... Gardant une main derrière le crâne féminin, la blonde empêchait la divine secrétaire de se libérer, la laissant s'étouffer sur sa queue avec un sourire sadique accroché au visage. Le doigt de sa main libre vint écarter les quelques cheveux qui coulaient sur le front de la belle et, dans ce simple geste, Shani put ressentir quelque chose. Toute la douleur, toute la fatigue qui pouvait occuper son corps... tout ça s'évaporait. Comme précédemment, lors de la saillie de Bitchmaker, Mistress Leather utilisait son pouvoir pour transformer sa douleur en plaisir. Même la morsure du dermographe sur sa fesse droite était devenue agréable. La femme au monocle profita encore quelques secondes de l'étroitesse soyeuse de la gorge de Shani, avant de se retirer, lui permettant de respirer à nouveau... ou presque. A peine Shani avait elle reprit une goulée d'air que, déjà, l'épieu de chair s'engouffrait au fond de sa gorge, pour une cavalcade plus violente encore que la précédente, mais où seul le plaisir était perceptible.

De son côté, Mistress Feral achevait la dernière lettre sur la fesse droite de sa "cliente". Se redressant, elle positionna ses vits canins à l'entré des orifices souillés de la belle, pour l'embrocher une nouvelle fois. Pourtant, elle ne donna aucun coup de reins supplémentaire, restant immobile à l'intérieur. Se couchant sur la secrétaire, la Reine des Animaux immobilisait le corps féminin de son poids, écartant la chevelure qui s'étalait sur le dos de sa vis à vis, avant d'essuyer sa peau nue à l'inde d'un torchon. Shani put alors sentir le dermographe venir torturer son épiderme, au niveau de son omoplate... une torture rendue exquise par les pouvoirs de Mistress Leather.


- Hmmm... J'ai une idée, encore. Des pattes de chien sur tes omoplates t'iraient à ravir, juste pour qu'on voit quel genre de chienne tu es.
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: Shani Stevens le samedi 23 août 2014, 02:41:41
Shani n’en menait vraiment pas large, pour le coup. Mistress Leather n’eut pas le droit de la fouetter, et, en représailles, la Mistress se saisit durement du visage de la secrétaire, et commença à la torturer, en multipliant les gorges profondes. La secrétaire redevint cette poupée de chiffon qu’elle était depuis qu’elle avait rencontré le Gang, et le membre tendu et énorme de Leather s’enfonça en elle, tapant contre le fond de sa gorge. On put entendre Shani soupirer et gémir, poussant des couinements étouffés par la verge démesurée de la Mistress. Elle remua lentement, très faiblement sur le fauteuil, car elle avait bien compris que Mistress Feral ne voulait pas qu’elle bouge... Ce qui était particulièrement difficile ! Elle étouffait à moitié, sa salive recouvrant cette verge. Mistress Leather la toucha alors, et Shani sentit un inexplicable changement dans son corps. La douleur qu’elle ressentait avec le tatouage de Mistress Feral était toujours là, mais... Comment dire ? Elle ne lui faisait plus juste mal. Shani ressentait maintenant autre chose, autre chose que la douleur... Le plaisir, encore, qui éclatait en elle. Elle soupira lentement, et sentit les mains de Mistress Leather déplacer sa tête. La Mistress commença ainsi à remuer la tête de Shani, qui se laissa faire.

Ses lunettes tressautaient sur son nez, et ses mains se posèrent sur les hanches en latex de la femme, y trouvant un moyen de se retenir sans trop bouger. Shani soupirait et gémissait, et put enfin respirer... Juste le temps de sentir sa tête foncer à nouveau contre le corps de la femme, s’enfonçant si profondément que le bout de son nez heurtait sa peau propre et tendre. Shani soupirait, les joues rouges, le corps coupé en deux. Mistress Leather avait beau jouer avec ses sens en usant de sa magie, si la respiration était coupée, Shani se retrouvait au même point. Elle gémissait, mordillant involontairement ce vit tendu et énorme. Tout ça était tellement surnaturel... Ces femmes démesurément proportionnées et membrées... Elles semblaient infatigables, lui faisant l’amour sauvagement depuis un temps impossible à calculer. Shani serrait la tenue de la femme, le plaisir irradiant en elle, explosant sauvagement et salement. Sa salive coulait le long de la verge de la femme, tombant sur le fauteuil, salissant un peu sa tenue en latex, et il jaillit ainsi de son intimité, son nectar intime se répandant sur le fauteuil de tatouage.

Mistress Feral en avait visiblement fini, et Shani l’entendit se redresser, posant ses mains sur ses hanches. Elle frissonna, son corps se contractant instinctivement... Et puis, la redoutable femme retourna la pénétrer, ou, plutôt, la double-pénétrer. Un nouveau couinement s’échappa des lèvres de la secrétaire, qui sentit ces deux verges s’enfoncer à nouveau en elle, sans aucune réelle difficulté. Shani avait été tellement pénétrée depuis le début de cette soirée qu’elle avait la rondelle ouverte comme la Porte des Étoiles. Elle serra les dents, couinant, et sentit la femme s’écraser contre elle, tout son corps s’aplatissant sur celui de la secrétaire, immobilisant encore plus cette dernière contre la verge de Mistress Feral. Avec cette queue plantée en elle, Shani aurait du étouffer depuis longtemps... Pour autant, elle arrivait encore à tenir. Elle ne pouvait presque plus rien bouger, si ce n’est ses mains, mais tout son corps était écrasé, pris entre les deux femmes et le fauteuil de tatouage. Mistress Ferla recommença à la nettoyer. Que comptait-elle faire ? À quoi est-ce que tout ceci rimait ? Shani gémit silencieusement, incapable de faire quoi que ce soit, se contentant de subir... Elle n’était rien de plus qu’une prisonnière. Une prisonnière salope heureuse de son sort, mais une prisonnière quand même.

La femme recommença à lui parler, en lui disant qu’elle voulait désormais lui mettre des pattes de chien sur ses omoplates. Shani se contenta de couiner.

« Hummm !! »

Dans sa position, elle ne pouvait pas s’opposer, ni même acquiescer, et son corps utilisa donc les maigres moyens mis à sa disposition pour donner son aval.

Elle eut un orgasme, et soupira lentement en fermant les yeux.

Qu’est-ce qu’elle pouvait bien faire d’autre, après tout ?
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: The xXx Gang le mercredi 27 août 2014, 22:36:19
La pauvre Shani était littéralement prise par tous les trous, même si les deux sexes canins restaient immobiles en elle. Du côté de la gorge, cependant, le mouvement se poursuivait, rude, brutal, mais pourtant plaisant. Même le manque d'oxygène, la douleur aiguë induite par la suffocation, envoyait des signaux de pure bonheur au cerveau de la secrétaire. Cela n'empêchait pas son organisme de réagir correctement, son visage rougissant à cause de cet étouffement. Au dessus de la divine binoclarde, Mistress Leather arborait un sourire carnassier, se délectant de cette vision, jouissant autant grâce au gosier féminin que par la détresse clairement visible sur son visage torturé. Shani pouvait bien se débattre, elle n'avait les moyens de bouger, le poids de Feral la plaquant sur le fauteuil, la poigne de la blonde bloquant sa tête. Seuls ses bras étaient libres de s'agiter, sans réelle prise, sans réel support, pour essayer de se dégager. Et même quand sa tête commençait à lui tourner, quand sa vision commençait à se voiler, la cruelle dominatrice ne lâchait pas prise, son regard bleuté plongé dans celui de sa proie.

Mistress Leather était Reine de la Douleur, maîtresse de ces jeux dangereux et savait repérer l'instant où sa proie était prête à sombrer dans l'inconscience, où le manque d'air devenait trop intense pour que l'organisme supporte. Les jeux de strangulations, elle les avait tous pratiqués, des centaines de fois. Quand Shani se trouvait sur le point de tomber dans les pommes, son bourreau à l'opulente poitrine libéra finalement sa gorge, cessant de la lui violer pour laisser à nouveau l'air s'y engouffrer. Laissant sa victime se remettre de ses émotions, probablement en crachant ses poumons, Feral grognait :


- Putain Leather, j'fais un travail de précision moi !
- Tssk, tssk, tu as fini.
- Non j'ai pas fini, faut encore faire le remplissage.

Pour toute réponse, la blonde se leva du dossier abaissé du fauteuil, pour contourner ce dernier. Elle marchait lentement, calmement, sa verge dressée encore luisante de bave mais vierge de toute semence... La dominatrice sadique n'avait pas encore jouit et était prête à continuer à s'amuser. A en juger par le demi sourire qu'elle arborait, Leather était excitée. Pour qui ne la connaissait pas, cela pouvait paraitre anodin, mais Mistress Leather était quelqu'un qui ne souriait que rarement, généralement par politesse, ou lorsqu'elle commençait à réellement s'amuser avec un de ses jouets. Et le jouet, en ce moment, c'était Shani. Arrivant finalement derrière Mistress Feral, la femme au monocle caressa gentiment les reliefs musculeux du dos de cette dernière, en murmurant d'une voix suave :

- Tu as fini pour l'instant. Laisse nous.
- Dans tes rêves, eh ! La bestiale déposa soin instrument de tatouage sur le plateau situé à portée de main, avant de saisir la secrétaire aux hanches en se redressant. J'veux bien reporter la fin du tatouage à plus tard, mais j'en ai pas fini avec elle.
- Oh si... répondit la blonde, une intonation menaçante dans la voix.
- Que... sursauta Feral ...arrête ça tout de suite !
- Tant que je n'en aurais pas décidé autrement, tu ne sentiras aucun plaisir. Tu t'es déjà assez amusée avec et j'ai à peine pu y goûter. Maintenant c'est mon tour, alors laisse la moi et dégage de là.

Un silence pesant s'abattit sur la pièce, laissant encore davantage de temps à Shani pour reprendre ses esprits. Les deux dominatrices se regardaient, yeux dans les yeux, comme deux prédatrices prêtes à se sauter à la gorge. Ce fut la donzelle à peau foncée qui détourna le regard la première, émettant un sifflement de dépit. Après un dernier regard à cette croupe qu'elle occupait pleinement, Feral se recula, extrayant son double vit des orifices féminins sans douceur aucune, pour finalement sortir en claquant la porte. De son côté, Mistress Leather attendit calmement que la divine secrétaire ai regagné des couleurs plus naturelles, en lui caressant gentiment les fesses, retraçant du bout de ses doigts gantés les lettres tatouées sur sa peau.

- Dis moi, petite chienne, tu es prête pour un nouveau jeux ?
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: Shani Stevens le vendredi 29 août 2014, 01:24:00
Elle était un vulgaire objet sexuel entre leurs mains, subissant leurs assauts. Mistress Leather multipliait ses fellations, et semblait à chaque fois savoir exactement quand laisser Shani respirer. Cette dernière haletait alors, respirant rapidement, si perdue qu’elle en oubliait d’avaler sa salive, qui tombait sur la verge de la femme. Une verge énorme, un véritable pieu de chair, que Shani retournait ensuite engloutir en gémissant et en remuant. Tout son corps était rempli, plein à craquer, mais les évènements finirent par évoluer. Elle entendait ses Maîtresses se disputer entre elles, et Mistress Leather alla jusqu’à retirer. Shani se retrouva avec la bouche à l’air libre, un peu pâteuse, et tourna la tête vers sa Maîtresse. Elle la trouvait d’une beauté terrifiante et enivrante, comme toutes les autres femmes de ce gang improbable et surréaliste. Sa verge était dressée vers le ciel, tendue, solide, assoiffée, recouverte de la salive de Shani. La secrétaire ne disait rien, tout simplement parce qu’elle n’en avait pas la force. Elle n’avait pas senti de foutre en elle, mais elle avait quand même du subir les assauts d’une queue énorme et disproportionnée qui lui avait écartelé la bouche... Et elle avait toujours deux grosses queues plantées en elle, qui ne bougeaient pas, et qui continuaient à la faire couiner.

La secrétaire s’aplatit contre le fauteuil en fermant les yeux et en serrant les dos, enroulant ses bras autour du dossier du fauteuil de tatouage, soupirant lentement. Des plaques rouges ornaient encore, ici et là, son magnifique corps, et elle soupirait lentement, poussant de grandes respirations, en tentant de remuer ses jambes, de remuer un peu son bassin, pour que les sexes se déplacent en elle. Concrètement, elle ne faisait rien d’autre que se déplacer de quelques millimètres, mais, malgré son esprit embrumé et son corps fatigué, elle entendit les deux femmes se disputer entre elles... Pour elle. Ceci surprit Shani. Elle pensait que ce gang était globalement rempli de psychopathes perverses s’entendant globalement bien entre elles, comme si, en un sens, la folie commune les rapprochait. Visiblement, il y avait des tensions sous-jacentes dans le groupe. En d’autres circonstances, Shani aurait pu les analyser et s’en amuser, mais son esprit était tout simplement trop éclaté, et son corps trop fatigué, pour se livrer à cette analyse. Elle se demandait juste ce qui allait se passer.

Visiblement, Mistress Leather avait une certaine influence, et Mistress Feral se retira d’elle, tout en promettant à Shani de retourner s’occuper d’elle plus tard. Shani se contenta de soupirer en sentant les deux queues se retirer de son corps, délivrant un chapelet de mouille qui déborda du rebord du fauteuil, tombant lentement sur le sol.

« Haaaaa... » soupira-t-elle.

Elle respirait lentement, sentant son cul frissonner. Quand Mistress Feral sortit de la pièce en ouvrant la porte, il y eut un léger courant d’air, du au déplacement de la porte, et Shani sentit le vent s’insinuer dans son anus dilaté, la faisant frissonner. C’était une sensation qu’elle aimait beaucoup, après le sexe... Mais, ici, elle n’allait pas se reposer. Mistress Leather voulait s’occuper d’elle, et Shani, en un sens, n’avait pas encore envie d’en finir... Elle était sexuellement apaisée, et avait fait suffisamment de sexe en une journée pour contenter toute une vie de cul... Mais, quand on avait dans le corps le sang d’un Dieu de l’érotisme, on avait tendance à être assez insatiable.

Reprenant ses esprits, retrouvant ses forces, Shani sentait sur ses fesses les mains fermes et solides de Mistress Leather, les massant lentement. Cette dernière finit par lui demander quand elle serait prête pour un « nouveau jeu ».

« Je... »

Elle se racla la gorge, et se retourna lentement, se couchant sur le flanc. Son cul lui faisait un mal de chien, mais ce n’est pas ce qu’elle dit. Son regard oscilla entre le regard de la femme et sa verge disproportionnée. Comment faisait-elle pour rester aussi calme avec une telle érection ? Ça défiait la logique ! Elle devait avoir une terrible expérience.

« Je suis prête... Mistress Leather. »

Son rythme cardiaque était toujours un peu emballé, et elle aurait probablement un peu de mal à marcher... Mais elle était toujours consciente.
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: The xXx Gang le lundi 01 septembre 2014, 18:52:40
Mistress Leather referma ses doigts sur la laisse, toujours fixée au cou de Shani, tirant un peu dessus pour lui faire comprendre qu'elle devait suivre. Une fois la secrétaire debout et prête à emboîter le pas, la blonde au monocle se mit en marche, refaisant le chemin en sens inverse dans la bicoque décrépite. Ses talons claquaient sur le sol dur du bâtiment, jusqu'à ce que le duo de femme ne se retrouve à l'extérieur. Là, Leather longea calmement l'enclos, traînant Shani à sa suite. Elle n'allait pas trop vite, autant parce que laisser la divine binoclarde monter en pression que pour s'ajuster aux jambes de la belle, affaiblies par tant de chevauchées érotiques. La femme à la casquette rouge longeait l'enclos des Bitchmongers qui, sentant l'odeur de femelle, se plaquaient aux barreaux, passant les bras entre les tiges de métal pour essayer agripper les deux demoiselles. Leather ne paraissait pas du tout effrayée, leur distance vis à vis de l'enclos ne permettant de toute façon pas aux mains rapaces de la toucher. Cependant, la donzelle s'amusait parfois à frapper une de ces imposantes paluches, ce qui les rétractait automatiquement de l'autre côté e la barrière avec un couinement plaintif.

Si les homme-bêtes pouvaient sentir l'odeur de Shani, Shani pouvait également sentir la leur... Des relents de sueur et d'excitation qui, curieusement provoquaient des fourmillements délicieux dans les parties intimes de la secrétaire. Les sécrétions de ces créatures étaient aphrodisiaques et la transpiration ne faisait pas exception, chargeant l'air d'une chape brûlante. Malgré son self-control, Leather aussi en était affectée, comme le prouvait la cyprine qui s'écoulait le long de sa cuisse et son vit pulsant, qui ne débandait pas. Finalement, le couple formé par la dominante et sa soumise arriva devant une grille. La masse de Bitchmongers agglutinée dessus rendait l'ouverture à priori impossible, pourtant...


- Reculez.

Le mot avait été lancé, froid, autoritaire. Contre toute attente, ces homme-bêtes, décérébrés, comprirent ce qui leur était demandé et se calmèrent, pour former un arc de cercle autour de l'entrée. Mistress Leather s'approcha de la chaîne qui maintenant le portail fermé, attrapant le cadenas à code en faisant rouler ses molettes. Quelques seconde plus tard, le déclic retentit dans l'air nocturne, accompagné du tintement des chaines. La blonde entra, tirant sur la laisse par à coups pour faire comprendre à Shani qu'elle n'avait pas intérêt à traîner. Une fois toutes deux à l'intérieur, Leather referma l'entrée, remettant la chaîne en place. Mais, au moment de referme le cadenas, elle y glissa la poignée de la longe qui était accrochée au collier de la secrétaire, l'empêchant ainsi de s'éloigner trop loin de l'ouverture. Tout autour, les Bitchmongers formaient un arc de cercle, grognant, geignant, attendant l'autorisation de leur maîtresse pour sauter sur cette magnifique femelle qu'on leur apportait. Ils étaient tous grands, taillés comme des armoires à glace et aussi bien montés que les membres du Gang xXx... et à en juger par la petite balade pour trouver l'entrée de l'enclos, il devait probablement y en avoir des centaines.

- Ces monstres que tu vois... et à qui tu vas bientôt servir de vide couilles... sont les fils de Bitchmaker, le chien qui t'a élargit l'anus il n'y a pas si longtemps. Notre toutou a la fabuleuse capacité de féconder des humaines. Tu as le résultat sous les yeux. Mistress Leather s'approcha de Shani, caressant un de ses seins d'une main. Ils ne te feront rien tant que je ne leur en aurais pas donné l'autorisation. Du moins, s'ils ne sont pas trop excités. Masturbe toi devant eux, j'aimerais tester leur résistance...
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: Shani Stevens le mardi 02 septembre 2014, 01:52:33
En se retrouvant dehors, Shani se mit à frissonner. L’air frais la surprit un peu, surtout quand il s’insinua dans ses fesses élargies. Elle suivait Mistress Leather en essayant de ne pas trop traîner, mais ses jambes étaient lourdes. La secrétaire ignorait comment elle faisait pour ne pas s’écrouler, ou d’où lui venait cette énergie inépuisable. Les rares fois où elle avait fait du sport, à Paris, elle s’était écroulée comme une pierre... Or, là, elle venait d’assurer un véritable marathon. En marchant, elle sentait du sperme et de la mouille filer le long de ses cuisses, formant comme un discret chemin capable de la suivre. Les deux femmes retournaient dans cette ferme sinistre, cette espèce de grange où elle s’était fait enculer par un chien, tout en devant sucer la queue disproportionnée de la femme qui lui avait ensuite tatoué le cul. Tant de souvenirs et de sensations se mélangeaient dans son corps que ce dernier était dé&jà en manque. Elles retournèrent dans la grange, et, si Shani ne disait rien, elle avait un pressentiment sur ce qui allait se passer.

Ce pressentiment se confirma quand les Bitchmongers apparurent, la faisant sursauter. Mistress Leather, elle, semblait habituée, car elle ne broncha pas, et avec son sexe toujours durci, elle leur ordonna d’une voix ferme de se retirer. Shani, avec toujours un collier autour du cou, ne disait rien, baissant la tête. Il n’y avait pas besoin de la sueur aphrodisiaque des Bitchmongers pour l’exciter, mais, loin d’être inutile, elle contribuait en fait à la « réveiller », et à stimuler sa perversion. Se pinçant les lèvres, Shani était quand même impressionnée de voir Leather réussir à les repousser. Pour elle, ces créatures avaient l’air totalement incontrôlables, et, quand la femme s’approcha de la cage, puis l’ouvrit, la secrétaire sentit une bouffée d’air frais la traverser. Qu’est-ce qui dominait le plus ? La peur ? L’excitation ? Assurément un mélange des deux. Elle ignorait ce qui allait se passer, mais, vu ce qui avait déjà eu lieu ici, elle avait une bonne idée.

Shani, toujours sans rien dire, mais en déglutissant, se retrouva dans la cage, et Leatherla referma derrière elles, avant d’attacher sa laisse au barreau de la porte, l’immobilisant ainsi. La secrétaire avait presque cru que sa Maîtresse l’aurait laissé là, pour revenir dans plusieurs heures. Au lieu de ça, Mistress Leather resta à côté, avec sa verge disproportionnée, en érection... Presque un état normal pour elle. Shani l’entendit alors lui expliquer que ces monstres, ces Bitchmongers, étaient les enfants du gros chien qui lui avait explosé le cul, Bitchmaker. Eberluée devant ce qui s’apparentait à de la science-fiction, Shani cligna des yeux. Par quel procédé magique les bébés d’un chien pouvaient donner ces espèces de démons ? Elle avait l’impression de voyager encore plus dans l’improbable et le rêve. Un troupeau de monstres chauves avec des mandrins démesurés se tenait face à elle, la regardant comme du bétail, et elle ne pouvait s’empêcher de frissonner en voyant leurs muscles épais, leurs queues tendues... Son corps était parfaitement remis des assauts sexuels frénétiques de Mistress Feral, et, si con cul sifflait encore un peu, c’était essentiellement dû aux tatouages.

Mistress Leather frotta l’un des seins de Shani, qui sentit également sa verge taper contre ses fesses. Elle gémit silencieusement, écoutant ses instructions, et hocha lentement la tête.

« Très... Très bien. »

Elle devait tester leur résistance... Ce truc était complètement masochiste. La respiration de Shani s’emballa un peu. Elle était toujours debout, mais se laissa tomber à genoux, face aux monstres, qui semblaient grogner de dépit. Tous ces regards étaient fixés sur elle, et Shani bascula en arrière, s’appuyant sur ses fesses, relevant ainsi un peu son bassin... Et se fourra deux doigts dans sa chatte, les enfonçant en elle, et bascula sa tête en arrière en gémissant. La corde était tendue à son maximum, maintenant en position la tête de Shani, qui gémit en remuant ses jambes. Elles étaient en équerre, écartées, révélant une vue magnifique sur sa vulve luisante.

Les doigts de Shani remuaient frénétiquement en elle, et elle les regarda en souriant légèrement, un sourire malicieux et suggestif.

« Haaann... Vous... Vous me voulez, hein ?!! Hummm... »

Les gémissements étaient très légèrement exagérés, mais, par expérience, Shani que ça faisait mieux craquer les hommes. Elle ne savait pas trop si ces monstres la comprenaient, mais, dans l’absolu, ça n’avait aucune importance concrète. Parler l’aidait surtout à continuer à faire feu ça. Il fallait sans doute être la reine des idiotes pour chauffer ainsi une bande de violeurs monstrueux s’apprêtant à lui faire une tournante sauvage. Ses doigts remuaient frénétiquement, de plus en plus vite, sa mouille les remplissant, et elle les regardait, maintenant, dans les yeux... Et elle jusqu’à se sucer ses propres doigts, en parfaite petite salope fière d’elle, et recommença ensuite à se doigter. Elle avait tellement joui, ce soir, qu’elle savait que de simples doigts ne contenteraient pas son corps.

Shani continuait à soupirer et à gémir, se trémoussant sur place, sentant l’érection des monstres se renforcer.

« Venez... Venez me baiser, hannn... T-Tous... Venez, huummmm !! »
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: The xXx Gang le lundi 08 septembre 2014, 15:05:23
La dominatrix blonde observait la scène, un sourire fendant son visage sévère. S'installant confortablement contre les barreaux de l'enclos, Mistress Leather s'y laissa glisser, jusqu'à poser ses fesses gainées de cuir sur le sol. Empoignant son vit laissé trop longtemps sans attention, elle le pressa entre ses doigts, avant de donner un ample mouvement du poignet. Tout en se masturbant la trique, la demoiselle n'oubliait pas son autre intimité, ruisselante de désir, qui dut subir de multiples intrusions digitales. D'autres regardaient la secrétaire divine, également, mais ils ne se masturbaient pas : Les Bitchmongers semblaient manquer de conscience ou d'intelligence pour se rendre compte que leurs larges mains griffues pouvaient servir à autre chose qu'empoigner une femelle, mais également à se donner du plaisir. Non, ils restaient là, debout, tendus, aussi bien du corps que de la queue... Leurs membres turgescents pulsaient sous l'excitation, laissant perler quelques gouttes de sperme, prémices d'un plaisir réprimé.

Ils restaient sages, malgré leurs plaintes et grognements, ne sautant pas sur Shani comme leur hurlait leur instinct, attendant qu'on leur en donne l'ordre. La succulente binoclarde eu largement le temps de s'échauffer, de hululer ses demandes à son auditoire bestial, avant que l'un d'eux n'ose s'avancer. Il n'avait pas l'air sûr de lui, jetant des coups d’œils à la blonde au monocle à chacun de ses pas. Mais à chacun d'eux, l'inaction de sa maîtresse l'enhardissait et, bientôt, il surplombait la secrétaire salope de toute sa musculature. Émettant tout juste un grognement, il l'empoigna aux hanches, la soulevant comme si elle ne pesait rien pour l'embrocher sur sa verge sans autre forme de procès. A peine son gland aux rebords bosselés buta contre l'utérus de la belle que, déjà, il commençait à la faire gigoter sur sa verge, la pénétrant avec une sauvagerie qui rappelait vaguement le celle du chien, Bitchmaker. Les autres Bitchmongers étaient de plus en plus agités, attendant malgré tout de voir comment réagirait Mistress Leather. Mais il leur fallut bien moins de temps pour se décider à s'approcher à leur tour. Très vite, Shani se retrouva encerclée de corps musculeux et de têtes canines, son petit cul - plus si petit après autant d'ébats - fut rapidement pris d'assaut par un autre homme-bête, qui se mit à la buriner avec la même fougue que le premier.

Cette simple double pénétration dégénéra très rapidement. Désormais conscients qu'ils étaient libres de toute autorité, les Bitchmongers cherchaient tous à s'en payer une tranche : Des mains griffues couraient sur son corps, ses seins, ses épaules. L'une d'elle agrippa ses cheveux pour l'attirer vers un faciès canin, qui tirait une langue démesurément longue... langue avec laquelle il envahit rapidement la bouche féminine. Au bout d'à peine quelques minutes, l'homme-bête qui sodomisait Shani fut tiré en arrière, quittant le trou accueillant de la belle, pour être aussitôt remplacé par un autre. Autre qui subit le même sort en encore moins de temps, arraché à sa femelle, au profit d'un autre mâles. De deux mâles, en fait. Deux Bitchmongers étaient collés l'un à l'autre, épaule contre épaule, se poussant l'un l'autre afin d'atteindre cet anus tant convoité. Et, évidemment, une telle compétition ne pouvait avoir de vainqueur : La divine secrétaire sentit rapidement les deux glands presser contre son anneau culier, avant de s'y enfouir en même temps. Visiblement satisfaits de leur situation, ce duo bestial se mit à ramoner l'arrière train de la belle, alternant leurs pénétrations avec une surprenante précision.

Mais la mêlée était loin de se terminer. Celui qui occupait le sexe féminin ne tarda pas à jouir, son vit gonflant tandis qu'il jetait sa tête en arrière, hurlant à la lune tout en envoyant plusieurs jets de foutre dans l'antre accueillant de la binoclarde. Il n'avait même pas finit de se répandre qu'un autre Bitchmonger l'avait poussé, pour occuper la place. Shani ne touchait plus le sol et, à en juger par l'empressement des monstres, ne risquait plus de le toucher avant un long moment. Chaque fois que l'un d'eux giclait en elle, un autre venait prendre sa place. Même lorsque le duo de sodomites lui remplit le cul de leur semence, d'autres étaient là pour profiter de ce lubrifiant naturel. Peu importe où elle posait le regard, tout ce qu'elle voyait semblait n'être qu'une marée de ces créatures, affluant inexorablement vers elle. Dans leur empressement, il n'était pas rare que l'un de ses trous soit occupé par plus d'un membre à la fois.

Combien de temps s'écoulait ? Difficile à dire. Finalement, Mistress Leather apparut devant Shani, comme sortie du flot de créatures, sirène parmi les monstres. Son membre était tendu, rivalisant aisément avec ceux de ses serviteurs humanoïdes, frottant contre les lèvres suintantes de crème de la secrétaire. Les monstres avaient tellement jouie en elle, dans ses orifices, que son ventre avait gonflé, donnant l'impression d'un début de grossesse. Loin de s'en offusquer, la blonde arborait un sourire sadique, posant sa paume sur ce ventre, avant d'appuyer dessus. Elle n'attendit même pas que tous le jus de mâle se soit échappé de l'orifice inoccupé pour le boucher de son propre vit, se plantant d'un seul coup brutal jusqu'à la garde.


- Alors, tu arrives encore à penser, ou le plaisir t'a déjà lavé le cerveau ?

Empoignant fermement les hanches féminines, là où des mains griffues n'étaient pas déjà posées, Mistress Leather commença son déhanché, glissant aisément dans l'intimité gluante de la binoclarde, plaquant sa poitrine contre la sienne.
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: Shani Stevens le mardi 09 septembre 2014, 01:36:21
Le Bitchmonger se rapprocha d’elle, comme les autres. Shani remuait ses doigts presque mécaniquement, et, en voyant cette verge remplir sa vision, elle eut un frisson. Elle gémit, sans savoir si c’était l’excitation ou la peur. Mistress Leather s’était écartée, et Shani ne savait plus où elle était. En regardant autour d’elle, elle ne voyait que des monstres membrés qui se dressaient autour d’elle. L’un d’eux finit par la saisir, et, sans attendre, la pénétra lourdement, sa verge s’enfonçant profondément en elle, tapant le long de ses os, déformant son bassin, la faisant gémir.

« Huuuuuuuuuuu !! »

Elle sentit un autre monstre la pénétrer par l’arrière, se plaquant dans son dos, la prenant en sandwich. Ses jambes filaient à gauche et à droite du monstre qui la prenait sur le devant, et elle sentit des mains griffues tirer sur ses jambes, de longues langues visqueuses s’attaquer à ses pieds. Elle sentit une main attraper sa tête, et la tourna, la penchant sur le côté. Le gémissement de Shani mourut quand une langue énorme s’enfonça dans sa bouche, allant caresser sa gorge, la faisant soupirer. Elle essaya bien d’user de ses mains, mais elle sentit les monstres l’attraper, posant ses mains à hauteur de leurs verges. Elle se mit à les serrer, et remua légèrement, allant de plus en plus vite, couinant et soupirant, tout en sentant également ses pieds se mettre à frotter des verges, devant les masturber aussi. Les Bitchmongers grognaient et hurlaient, poussant de longs hurlements quand ils jouissaient en elle. Shani était complètement larguée, et sentait des mains partout sur elle, caressant sa peau en la griffant, ceux ne pouvant pas la baiser lui pétrissant les seins, le ventre le haut des jambes.

Ohlàlà ! Shani ne pouvait plus rien faire de normal, sentant les verges la défoncer royalement. Les monstres se pressaient dans son dos, léchant sa nuque en la pénétrant. Deux queues s’enfoncèrent progressivement dans son anus, amenant Shani à écarquiller les yeux, hurlant de douleur dans la bouche sale et lourde du Bitchmonger. Les monstres jouissaient sans relâche, s’agglutinant autour d’elle, les minutes se mettant à défiler à toute allure. Shani tournait de l’œil, au cœur d’une tournante monstrueuse. Elle ne contrôlait tout simplement plus rien, et était poussée ici au paroxysme de cette soirée interminable. Les Bitchmongers la prirent encore et encore, sans relâche, léchant sa peau, la griffant, la pinçant, grognant contre elle, se remplaçant à chaque fois, ne lui laissant quasiment aucune seconde de répit. Ils jouissaient dans ses fesses, contre ses mains, dans son vagin, gonflant son estomac au fur et à mesure que le foutre arrivait, lui faisant mal au ventre.

Elle multipliait les orgasmes, l’esprit vide. Une femme normale aurait été brisée sous un tel élan, mais, encore une fois, les pouvoirs semi-divins de Shani influaient inconsciemment sur son esprit, l’empêchant d’être brisée. Elle clignait lentement des yeux, en sentant à chaque fois son esprit revenir. Son cul était violemment malmené, pris violemment, et, alors que Shani planait, elle sentit une femme se rapprocher. Plusieurs Bitchmongers s’écartèrent, et la bouche de Shani fut libérée, libérant tout un tas de salive. Les monstres sales et gras, musclés et intenses, avaient bien du la baiser pendant une bonne heure, mais le temps avait filé à la vitesse de l’éclair, se diluant à toute allure. Mistress Leather se tenait désormais devant elle, et Shani avait mal au ventre. Il était plein à craquer, rempli de foutre, et Leather ne lui laissa guère le temps de dégonfler, enformant son vit en elle.

« Haaaaannnn !!! »

Mistress Leather lui parlait, et Shani soupirait, clignant lentement des yeux, sans arriver à parler. Mistress Leather s’aplatit contre elle, provoquant un curieux changement de contact. Ses mains étaient ruisselantes de sperme, tout comme ses pieds, et elle avait toujours une bite dans le cul, labourant son fondement avec rage, l’envoyant rebondir contre les deux verges tendues. A la grosse poitrine de Leather venait répondre l’estomac distendu de la secrétaire. Qui aurait cru qu’elle puisse avoir droit à un tel traitement ? Leather s’était enfoncée en elle sans problème, et Shani, la bouche débordante de salive, déglutit lentement, et se pencha contre elle lors d’un coup de reins d’un Bitchmonger. Les autres recommençaient à la toucher, et ses mains furent à nouveau occupées, s’écartant à droite et à gauche.

« Je... Haaaa... Haaaaannnn… »

Non, elle n’arrivait tout simplement pas à parler. Son esprit n’était pas déconnecté, mais elle planait, tout simplement, épuisée, éreintée... Mais son corps, lui, continuait à répondre, et le prouva encore, en jouissant. Sa peau était rouge sous l’effort, décorée ici et là par les traces des griffes des monstres de cette femme. Tout le corps de Shani n’était plus qu’un atome de douleur, le plaisir sexuel ne venant plus qu’à travers l’intense expérience de la douleur et la perversion qui se dégageait de ce moment. Elle se laissait faire, sans pouvoir vraiment réagir, son ventre toujours aussi tendu.

On aurait effectivement presque pu la croire enceinte, et elle ne pouvait rien faire d’autre que s’accrocher au tour de manège.
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: The xXx Gang le mercredi 17 septembre 2014, 21:17:21
Mistress Leather ne put s'empêcher de sourire en voyant les difficultés qu'avait Shani à répondre à sa simple question. Cependant, le simple fait qu'elle essaie et arrive à former ne serait ce qu'un mot cohérent était une nouvelle preuve de la nature unique, de la résistance surhumaine de la belle face au plaisir et à la fatigue. Ces pensées quittèrent rapidement l'esprit de la dominatrix, à mesure que son déhanché se faisait plus rapide. Le plaisir était son soucis premier et il convenait d'en profiter avant que la secrétaire n'explose sous la pression. Chaque coup de reins donné, la blonde pourtant si froide, modérée, laissait échapper un peu plus de voix, commençant par quelques soupirs, les emplifiant lentement en gémissements, puis en plaintes de jouissance. L'élévation de cette voix semblait d'ailleurs intimider les Bitchmongers, cessaient peu à peu leurs assauts, gardant une distance de sécurité entre eux et le petit couple... laissant ainsi l'anus libéré suinter du trop plein de foutre. Pour eux, entendre les vocalises de Leather signifiait bien souvent que quelqu'un, quelque part, souffrait atrocement.

La part divine de cette succulente binoclarde semblait réagir avec la corruption démoniaque de sa vis à vis, lui faisant perdre ce self-control qui la caractérisait habituellement. Même lors de ses ébats pervers, Mistress Leather parvenait à garder une certaine classe. Mais pas là. Là, les mains cramponnées aux hanches féminines, faisant rebondir le corps de Shani à chaque coup de reins, elle laissait ses pulsions sadiques refaire surface. Son bras glissa sous les reins de la belle, pour pouvoir la soutenir, afin que son autre main puiss s saisir d'un sein qu'elle pressa méchamment, pinçant cruellement le mamelon entre ses ongles. A mesure que le plaisir montait par vagues dans son corps, les hululements de Leather se changeaient en grognements.


- Hnnn... A te voir... comme ça... hmmm... j'ai envie... de te... ooooh... de te maltraiter !

Mistress Leather ponctua sa phrase au laissant tomber la divine secrétaire sur le sol, après un énième coup de butoir, sans chercher à atténuer la chute ou à la retenir d'une quelconque façon. Sa main gantée vint se refermer sur son propre vit, pulsant, le comprimant de manière visiblement douloureuse, comme pour calmer la fièvre sauvage qui s'en dégageait. Mais, très vite, son regard prédateur quitta le membre tendu, pour se poser sur la pauvre binoclarde qui n'était pas au bout de ses peines. Pressant le pied sur son épaule, la blonde força sa proie à rester à plat dos, parcourant son corps de ses yeux bleu acier, avant de finalement rester focalisée sur son ventre gonflée. Tout autour, les Bitchmongers couinaient, compatissant, comme s'ils anticipaient un malheur à venir. Les ignorant royalement, Leather libéra l'épaule féminine, pour faire quelques pas le long de Shani. Puis, sans prévenir, elle posa son pied sur l'abdomen distendu de la demoiselle, appuyant cruellement dessus, comme on le ferait d'un ballon remplit d'eau. Pour la première fois de la soirée, son sourire était complet, dévoilant ses dents blanches, comme prête à dévorer la pauvrette. Et, pendant que les semences mélangées des homme-bêtes s'échappait des orifices féminins, la blonde au monocle soufflait d'une voix excitée :

- Regarde toi, pauvre chose. Tu te fais troncher depuis des heures, remplie, puis vidée, puis re-remplie, avec une misérable pause pour récupérer et tu continues à jouir, encore et encore. La pression de cette chaussure à talon aiguille se fait plus insistante sur la panse de la belle, tandis que le débit de parole augmente : Même la pire des salopes serait en train de demander grâce, de supplier qu'on arrête. Mais toi, tu jouis, comme une grosse truie. Même le langage, d'habitude plus mesuré et recherché de Leather, se dégrade. Alors dis moi, sac à foutre, tu en veux encore ?
Titre: Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]
Posté par: Shani Stevens le vendredi 19 septembre 2014, 01:55:17
Rien n’allait plus pour Shani... Partie ailleurs, elle était défoncée par cette femme au monocle, Mistress Leather... Ses pensées étaient confuses, inconsistantes, brisées sous l’effet de toutes es verges qui se frottaient contre et en elles. Tout son corps lui faisait mal, et elle continuait à jouir, à enchaîner les orgasmes, son corps puisant dans des ressources insoupçonnables. À ce stade, n’importe quelle femme normalement constituée serait déjà dans les pommes depuis longtemps. Shani, elle, continuait à se faire tringler comme la pire des putes, et Mistress Leather finit par la relâcher. Shani tomba sur le sol, mollement, crachant sa salive, n’arrivant plus à la retenir. Elle tournait de l’œil, et la Mistress posa ensuite son talon sur son épaule, la plaquant sur le dos. Dans l’esprit de la secrétaire, tout continuait à se mélanger. Elle clignait des yeux à plusieurs reprises, sa vision floue, sa respiration s’emballant. Les monstres qui les entouraient grognaient comme au loin, mais sans oser s’approcher. Shani clignait des yeux en voyant Mistress Leather lui tourner autour, comme un rapace tournant autour de sa proie, cherchant comment la dévorer.

Elle reprenait son souffle, peu à peu, comme un sportif épuisé après un marathon. Ses bras étaient à gauche et à droite de son corps, près de sa tête. La jeune femme avait juste besoin de quelques secondes pour reprendre des forces... En soirée, quand il y avait des orgies sexuelles, elle était toujours la dernière debout, ce qui faisait que tous les mecs se ruaient sur elle. Shani n’avait jamais compris d’où venait cette incroyable capacité à être sexuellement inépuisable, alors même qu’il lui suffisait d’un tour de piste pour qu’elle se retrouve à cracher ses poumons. C’était comme si on organisme carburait à toute allure, et utilisait l’énergie sexuelle pour se ressourcer et se réapprovisionner. Certains l’avaient même parfois surnommé « La Succube », mais elle-même n’avait jamais compris pourquoi...

Mistress Leather posa alors son pied sur son estomac, et appuya dessus, faisant jaillir tout ce trop-plein de sperme. Shani en écarquilla les yeux, revenant à elle.

« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa... » gémit-elle.

Elle se tortilla sur place, en sentant une épaisse flaque d’elle-ne-savait-pas-trop-quoi se former entre ses jambes, une flaque qui allait en s’épaississant. Shani se tenait le ventre, un ventre endolori. Son estomac était en souffrance, et elle respirait lourdement, ayant l’impression d’avoir accouché. Se tenant au-dessus d’elle, avec sexe tendu, Mistress Leather continuait à faire chauffer ses oreilles en l’insultant, lui demandant si elle était satisfaite, ou si elle en voulait plus.

La secrétaire s’humecta les lèvres. Elle avait mal partout, et posa ses mains à plat, en essayant de se relever. Elle réussit à soulever son dos. Son ventre avait pas mal dégrossi, et elle avait craché sur le sol un beau mélange de pisse et de foutre, pissant comme une vache. Ses jambes trempaient là-dedans de manière obscène et dégueulasse, mais, vu le spectacle autour d’elle, c’était presque naturel. Elle était en sueur, et remit ses lunettes sur son nez. Elles avaient tendance à glisser naturellement.

Elle ferma les yeux à nouveau, pendant quelques secondes, sa respiration se calmant, puis releva la tête vers la femme.

« Ce serait dommage de terminer maintenant, après un aussi beau parcours... Il faut bien que je mérite les tatouages que Mistress Feral m’a mis sur le cul. »

Impertinente, elle rajouta alors, après s’être mordillée les lèvres pendant quelques secondes sous le signe de la réflexion :

« À moins que vous n’en ayez assez de moi ? »