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C'est dingue quand même toute cette histoire! Son biquet quitte Gotham City sans elle, elle fait ses clic et ses clac pour le rejoindre et sa seule réaction est bien sûr la surprise avant de retourner sur ses projets! C'est un monde ça! Elle comprenait qu'il ne soit pas venue la libérer et que ce soit White Rabbit qui soit venue la sortir de sa cellule, son canard était parfois tellement occupé et il avait confiance en elle, elle pouvait facilement quitter sa chambre là-bas, il lui fallait juste un peu de temps. Mais quitter le pays pour aller dans un autre, complètement différent et à peine la remarquer! Non, ça c'est trop! Si, à la limite, il travaillerait sur un plan pour tout faire sauter ou même juste écraser une bonne fois la chauve-souris, elle aurait pu passer l'éponge mais là, il maudissait encore le chevalier noir car il l'avait retrouvé dans cette ville et continuait de le persécuter et en plus selon les rumeurs, il ne serait pas le seul. Paraît qu'il y aurait Catwoman, ses batmanounettes et surement pleins d'autres! Mais qu'avait cette ville pour réunir assez de monde pour en faire un Gotham II? C'est peut-être pour ça que son biquet est venue ici? En tout cas, vu sa mauvaise humeur, elle avait préférer le laisser en paix, tout seul! Si ses retrouvailles ne sont ni romantiques ni même de bonnes humeurs, à quoi ça sert qu'elle soit dans ce pays! Elle aurait dû rester là-bas tiens! Quoi qu'il en soit, elle s'était installé dans une chambre d'hôtel, un boui-boui minable mais au moins elle était en paix.
De plus, selon ses informations, si Ivy trainait dans le coin, autant voir ce qu'elle fait? Elle devait au moins avoir plus d'informations à partager? Elle aurait enfin le fin mot de cette drôle d'histoire? Qui sait? Ivy peut-être du coup? Sur le coup, elle avait du mal à croire ses nouveaux informateurs dans cette ville, ils se foutaient d'elle dans ce quartier Toussaint? Ivy en prof dans le lycée de la ville? Oh, c'est elle qui fait les blagues d'habitudes! Mais même en le menaçant et en changeant de type, ils étaient tous clairs, la belle rouquine bossait dans le lycée? Certains disaient qu'elle était prof', d'autres jardinière mais tous disaient la même chose, elle bossait dans un lycée! C'est le monde à l'envers! Faut bien croire qu'il y a eu une attaque toxique quand elle était enfermée! Monsieur J qui n'en fait qu'à sa tête, Ivy en prof et pourquoi pas Batman qui braque une banque? Pour le coup, il lui restait l'après-midi pour se préparer et elle fit tout en règle. Elle avait dans sa valise un costume de petite lycéenne qu'elle enfila en laissant les boutons du bas détacher pour sa chemise, un joli décolleter en haut, deux belles couettes blondes, un petit sac pour prendre le nécessaire et ah oui! Des collants bicolores! En rouge et noir, ça devrait le faire? Arrivant devant ce fameux lycée rempli de japonais et japonaises – logique – elle entra dedans comme dans un moulin, il n'y avait personne pour la stopper? Eh bien, la sécurité n'est pas optimale mais devrait-elle s'en plaindre?
Arrivant dans le hall, elle trouva rapidement les toilettes pour un brin de maquillage, elle se poudra le visage pour retrouver ce blanc parfait et posa son petit masque autour des yeux, voilà qui était bien? Elle pouvait quand même pas venir sans rien sur elle? Elle aurait l'impression d'être nue! Elle passa devant chaque salle, passant un coup d'œil aux vitres pour trouver la bonne salle et quand ce fut enfin le cas, elle n'en revenait pas! Où était passé son empoisonneuse qui se baladait en vert, dans des tenues légères sans pour autant être trop érotique? Elle ouvrait la porte en éclatant de rire, n'oubliant pas de fermer derrière elle. Elle ne dit pas bonjour ou bonsoir, elle ne va même pas lui faire la bise, elle reste éclater en deux à la regarder avant de se poser sur une chaise.
« Nan mais là, il faudra m'expliquer ce qui se passe ici? C'est vraiment du n'importe quoi! Rassure-roi, tu te sers de tes ''élèves'' comme terreau ou au moins tu compte faire ça? Parce que tu vois, j'ai vraiment l'impression que ce pays change tout le monde sauf moi? C'est quoi votre problème à tous à la fin? »
Écartant la chaise, elle était tourné vers le bureau du professeur Ivy en posant ses pieds sur la table, jambes croisées alors qu'elle posait son coude sur la table et soutenait sa tête qui pesait soudainement une tonne en faisant une grimace d'incompréhension. Le Japon, c'est vraiment un monde différent pour changer les gens à ce point! Et elle, elle va devoir changer elle aussi?
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(http://img99.xooimage.com/files/2/3/9/harley-ivy-4000cd0.jpg) (http://img99.xooimage.com/files/a/0/1/harley-ivy-3fc986c.jpg)
C’était la phase critique de son opération. Silencieusement, Ivy ne laissait pas sa nervosité l’envahir, alors qu’elle penchait l’éprouvette renfermant le liquide vers la solution. C’était une expérience chimique assez infernale, qu’elle réalisait tranquillement dans son petit laboratoire, au milieu de plantes et de végétaux affamés. L’objectif de cette solution était simple : renforcer la protection naturelle de ses plantes adorées, les rendre plus endurantes aux agressions extérieures, comme la pollution. Un travail qu’elle effectuait depuis des années, et dont elle avait connu, à Seikusu, de singuliers progrès. Maintenant qu’elle ne cherchait plus à transformer les hommes en plante, ou les plantes en hommes, Ivy pouvait se consacrer à des recherches plus nobles, des recherches qui n’étaient pas susceptibles de provoquer l’ire du SHIELD, et des justiciers qui protégeaient la ville. Bien sûr, ceci ne l’empêchait pas de procéder à des rapts, mais ils ne duraient jamais plus de quelques jours, et les « victimes » ne s’en plaignaient jamais. Ivy les capturait pour les enfermer dans ses plantes, et les transformer, en affinant leur sensibilité à la nature. Puisque personne ne s’en plaignait, personne ne pouvait la poursuivre en justice... Et puis, généralement, ses cobayes oubliaient ce qui leur était arrivé, se réveillant tout simplement dans le parc de la ville, hagards, et voyant différemment la Nature. C’était la manière d’Ivy pour amener progressivement les mentalités à évoluer sur le sort cruel qui était réservé à la Nature.
Poison Ivy continuait à travailler, lentement, tout en tournant sa tête vers le tentacule qui filait sous sa machine. De la vapeur s’en échappait parfois, quand elle rajoutait de l’eau chaude, afin de lutter contre l’acidité de la substance. Du tentacule, un liquide verdâtre avec des tâches blanches s’échappait par intermittence, alors que, dans son dos, la plante qui émettait cette substance gémissait à l’intérieur. C’était une plante-cocon, et Pamela ne s’en faisait pas trop pour l’hôte contenu à l’intérieur. Elle s’appelait Seika (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=1329759), et c’était une lycéenne extrêmement perverse, assignée au service d’Ivy depuis qu’elle avait fait la rencontre du Cercle*, il y a quelques mois.
Elle avait de plus en plus chaud, et attrapa une autre substance, violette, mais constata que l’une de ses éprouvettes était vide.
*Merde !*
Cette éprouvette-là comprenait une sorte de sève végétale, et la plante se trouvait dans sa salle de cours. Si elle se permettait une telle expérience, c’était parce qu’elle avait fini tous ses cours. Le Jeudi après-midi, elle n’avait que deux cours, lui laissant donc tout le reste de la journée pour peaufiner ses expériences. Ivy remit sa blouse, afin de ne pas choquer quelqu’un qui passerait par là, puis sortit de son laboratoire, s’avançant dans la salle silencieuse. Elle traversa les rangées de tables, et arriva à côté de son bureau, où trônait une belle petite plante verte. Elle s’en rapprocha, et entreprit de prudemment récoler la sève, effectuant un travail de chirurgien, extrêmement précis et pointilleux, afin de récolter la sève de la plante. Ivy s’y appliquait, et ne vit donc pas une curieuse lycéenne regarder par la fenêtre de la porte, avant de l’ouvrir subitement.
Surprise, Pamela se redressa. Elle vit une lycéenne dans une tenue extrêmement provocante, et n’en crut pas ses yeux. Ce maquillage blanc, ce masque autour de ses yeux, cette chevelure blonde avec deux longues couettes... Non !
« Harley Quinn ?! » s’exclama une Ivy interloquée.
Surprendre Pamela était un exercice difficile, et peu de gens pouvaient s’enorgueillir d’avoir réussi à la surprendre. Batman l’avait fait, en survivant à l’effet de ses spores, la neutralisant à chaque fois qu’elle avait tenté de purifier Gotham. Et, dans un autre registre, Harley Quinn, ou plutôt Harleen Quinzel, l’avait fait. Dans une tenue de lycéenne qui lui allait comme un gant, Harley Quinn se tenait face à Pamela Lilian Isley. Harley éclata alors de rire en la regardant, avant de s’affaler sur une chaise, dans une position des plus sensuelles, devant une Pamela médusée sous l’effet de la surprise. Mais que fabriquait-elle ici ?!
*Je n’hallucine pas... Son entrée n’a pas du être discrète, mais elle n’a jamais été connue pour sa discrétion, après tout.*
Aux dernières nouvelles, Harley avait été libérée d’Arkham lors d’une évasion massive de détenus et de criminels, qui avaient semé le trouble dans Gotham. Les rapports de police et les reportages mentionnaient la présence d’une « bunny girl » responsable de l’évasion, et qui aurait fait tourner en bourrique les policiers, ainsi que Batman et ses compères, dans une nuit infernale d’émeutes et de rapports de force musclés entre le GCPD et les criminels évadés. Ivy ignorait si Harley avait été parmi les prisonniers. Elle aimait énormément Harley, mais elle détestait la passion obsessionnelle que cette dernière vouait au Joker, ce taré psychopathe qui se jouait d’elle, alors que cette petite biquette était incapable de l’admettre.
Elle se mit à lui parler, sur ce ton fort, direct, clair et moqueur, que Pamela aimait tant. Il faut bien dire que, entre la Poison Ivy de Gotham, l’un des plus dangereux criminels de la ville, et la Pamela Isley de Seikusu, il y avait une grande marge de différence, qu’on peinait à expliquer. Ceci semblait troubler Harley, et Ivy, elle, secoua lentement la tête, ressortant de sa surprise. S’écartant de la chaise, Harley entreprit ensuite de grimper sur son bureau, dans une pose des plus sensuelles, qui excita Ivy.
« Hum... Harleen... Je ne m’attendais pas vraiment à te voir par ici... »
Ivy la regarda, fronçant légèrement les sourcils, et tendit un doigt. Sa peau beige se mit à se modifier, devenant pâle, verdâtre, renforçant ses ongles verts. Un doigt grossit, s’allongea, formant un long tentacule qui se rapprocha de la femme, s’enroulant autour de son cou gracieusement.
« Et, si je suis heureuse de te voir, tu devrais savoir que même toi, tu te dois de respecter la politesse... Comment oses-tu entrer ici, rire, sans même m’embrasser ? »
Disant cela, Pamela relâcha le tentacule, et se pencha vers Harleen, s’asseyant sur le rebord du bureau, et l’embrassa, ses lèvres vertes se glissant contre les siennes, les embrassant chaudement et tendrement. Le baiser fut bref, et Ivy se releva ensuite.
« Rassure-toi, ce n’est pas parce que je suis prof’ que j’ai oublié qui je suis. »
Elle défit alors lentement sa blouse, et la laissa tomber sur le sol, révélant, dessous, son habituel corset vert sexy, tandis que sa peau était devenue verdâtre.
« Que me vaut l’immense joie de croiser ma petite Harleen ici, hum ? Et... Belle tenue. »
Harleen n’avait pas l’âge requis pour être une lycéenne, mais, comme elle était très immature, Ivy était sûre qu’elle pouvait se faire passer sans réel problème pour une lycéenne.
* : Cf. RP « Un cours insoutenable (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=8183.0) »
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Difficile pour elle de comparer Poison Ivy qui avait su l'aider si souvent, avec qui elle avait travaillé aussi et s'était amusé et cette femme, prof', qui semblait... banale! Elle avait entendu dire que le Japon était un pays très différent, qu'en allumant la télé, on se croyait débarquer dans un monde totalement étrange, serait-il possible qu'il y avait sur ce pays un portail pour arrivée dans une dimension parallèle ou les méchants bien connus de Gotham étaient de gentils petits chatons et où Batman et son minable acolyte Robin soient les plus grandes terreurs de cette ville? Cela serait bien étrange mais dans ce cas, pourquoi son biquet ne changeait-il pas? Serait-il tellement unique qu'il ne peut être changé ailleurs? Mais pourquoi chercherait-il alors à éliminer Batman? Harley se lançait dans une trop grosse pensée inutile! Les portails, les mondes parallèles, elle n'y croyait pas vraiment. Pourtant Gotham n'est pas un exemple de ville parfaite et bien seine quand on voit le glaçon vivant, le tas de boue ambulant, le Crocodinou, le petit pingouin tout moche, bref, on est loin des contes pour enfants.
Ne tenant jamais en place, elle quitta la chaise pour s'installer sur le bureau, d'une façon sensuelle pour Ivy, d'un air blasé pour l'arlequin. C'est vrai qu'elle était curieuse mais il y avait de quoi en voyant cet étrange pays qui changeait tout le monde ou presque! Sa copine était une prof, son biquet ne la voulait pas dans ses pattes – ce n'était pas la première et ça ne sera pas la dernière fois – et tout Gotham semblait migrer vers cette étrange ville à en croire ses informations. Elle aurait quand même dû remercier White Rabbit? En plus elle aurait pu être une alliée à son petit canard? Elle faisait assez univers de clown pour cela bien qu'elle continuait surement de bosser pour le Chapelier Fou? C'est dommage... et c'est tant mieux! Que Monsieur J apprécie la compagnie de certains de ses mauvais camarades de Gotham, c'est une chose mais qu'il se rapproche d'une autre fille, aussi mauvaise soit-elle, Harley ne risquait pas d'accepter ça! Mais heureusement, après avoir tant parler, tant poser de questions, le masque semblait tomber et elle retrouvait la Ivy qu'elle avait jadis tant aimée. C'est vrai, elle était toujours une sublime femme et la plus belle créature quand le Joker la rejetait. Hélas pour l'empoisonneuse, il suffit qu'Harley reçoive un appel de ce dernier pour qu'elle en retombe amoureuse et retourne se blottir contre lui. Disons que le Joker était unique et le plus bel homme de cette planète, quant à Ivy, elle était la plus belle femme, comme ça, il y avait un compromis.
Harley finissait de bouder pour retrouver un grand sourire en voyant ça, de même que cette liane ou ce doigt plutôt qui s'enroulait doucement autour d'elle. Apparemment, l'arlequin avait encore manqué à l'empoisonneuse puisque cette dernière se fichait du reste de la politesse, au diable les bonjours et autres, elle voulait son bisou? Comme c'est mignon mais elle ne bougea pas d'un pouce, laissant Ivy se pencher sur elle avant de partager ce baiser avec elle, répondant normalement à son baiser bien qu'elle avait peur de lui mettre un peu de rouge? Non, ça allait, elle n'avait rien sur les lèvres à part son vert à lèvre. Quoi que c'était naturel pour elle, non? Laissant tomber sa blouse pour retrouver dessous ce mythique corset vert foncé qui lui allait si bien, surtout quand elle retrouvait cette couleur de peau verdâtre très pâle. Cette dernière s'intéressa enfin à sa venue ici en la complimentant sur sa tenue. Elle souriait en soulevant un peu sa jupe, posant ses yeux dessus?
« Merci ~♪ Quand j'ai pris mon billet pour le Japon, j'ai de suite acheté cette petite tenue! Après tout, je ne voulais pas qu'on me remarque dans la rue. »
En ayant l'air de tourner dans un film érotique? Est-ce que c'est sa faute si les Japonais sont de gros cochons pour obliger les lycéennes à porter ce genre de petite chose? Eh non, ce n'est pas sa faute non si elle est si ravissante, quoi qu'elle fasse, au naturel, en arlequin, en lycéenne, pas sa faute du tout! Mais passons la vérité vraie, elle roula des yeux quand elle devait expliquer le pourquoi du comment qu'elle était là?
« En arrivant ici, mon biquet n'a même pas fait attention à moi, il râlait même car je le gênais dans ses recherches. Pff... je pensais que nos retrouvailles seraient un peu plus romantiques! Et avec quelques tuyaux, j'ai réussi à savoir que tu bossais ici alors fidèle à moi-même, je viens demander l'asile politique chez toi! »
Combien de fois avait-elle dormi chez elle une nuit, une semaine voire un peu plus le temps que le Joker ait besoin d'elle pour un plan ou simplement pour la ravoir à ses côtés. Certains croyaient qu'il ne faisait que se servir d'elle mais monsieur J est un grand timide alors il n'ose pas lui dire les mots magiques. Mais ce n'est pas grave, Harley a vu juste en lui donnant son cœur. Elle changea de position, se plaçant plutôt sur le ventre en tournant ses yeux par-dessus sur épaule pour garder Ivy à l'œil, elle n'a pas oublié que la belle plante reste aussi dangereuse que belle.
« Ça te dérange du coup si je m'installe un peu chez toi? J'ai loué rapidement une chambre dans la ville mais au pire je récupère mon argent et je prends mes valises pour dormir chez toi? Ce sera plus drôle que rester seule dans ce trou à rat. »
Pas sur qu'on lui redonne comme ça son argent mais Harley avaient aussi de bons arguments pour obtenir ce qu'elle voulait. De plus, elle savait que si elle rejoignait Ivy, elles allaient s'amuser comme des petites folles! Elle remua ses jambes en arrière, balançant sa jambe gauche en relevant la jambe droite et vice-versa.
« Mais au fait, qu'est-ce que vous avez tous à rejoindre cette ville? D'après mes infos, il n'y a pas Monsieur J, toi et la chauve-souris qui se trouvent dans cette ville, j'ai entendu dire que beaucoup de Gotham était ici? Y a une réunion secrète, une chasse au trésor ou un truc dans le genre? »
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[HRP] J’ai été dans l’obligation d’honorer de satisfaire mon côté fan par des références aux dessins animés ^^[/HRP]
Qu’on ne la remarque pas... Elle avait toujours le mot pour rire. Mais Pamela ne lui en tint pas rigueur. Elle n’était pas très expressive, mais revoir Harley lui faisait naturellement plaisir. Il y avait toujours eu un truc entre elles. Leur rencontre initiale avait été le fruit du hasard, une rencontre qui avait failli mal tourner : un braquage conjoint dans un musée1. Le Joker avait alors jeté Harley, et, pour se faire racheter, elle avait entrepris de voler un objet très précieux, son « biquet » estimant qu’elle ne servait à rien. La relation entre le Joker et Harley était fondée ainsi, à un seul sens. Le Joker ne l’aimait pas, n’importe qui pouvait le savoir. Il avait abandonné Harley à de nombreuses reprises, l’avait même défenestré1 quand Harley, pour lui faire plaisir, avait réussi à capturer Batman. Harley était assez incompréhensible. Poisn Ivy, en prison, l’avait même vu rouler une pelle à Batman2 une fois ! Difficile de la comprendre, et Ivy avait toujours du mal quand elle la revoyait filer revoir son psychopathe d’amant.
Harley lui expliqua, encore une fois, qu’elle s’était fâchée avec le Joker, et qu’elle venait, encore une fois, demander asile à Ivy. Cette dernière fronça lentement les sourcils. Ce n’était pas la première fois qu’elle hébergeait cette petite sotte quand le Joker l’abandonnait, et qu’elle revenait ensuite, avant de repartir. Harley était un cas irrécupérable, et, si Pamela avait été un peu plus ferme, elle aurait refusé d’entrer dans ce jeu... Seulement, Harley la faisait craquer. Avec ses airs de gamine, sa bonne humeur, et cette espèce de naïveté candide dissimulant un esprit pervers et retors, elle était très agréable. Poison Ivy n’avait pas oublié tout ce qu’elles avaient pu faire ensemble à Gotham City, jusqu’à faire les boutiques avec l’argent de ce milliardaire orphelin, Bruce Wayne4 ! Avec Harley, Ivy retrouvait une seconde jeunesse, dont elle avait été plus ou moins privée. Pour cette raison, elle arrivait toujours à lui pardonner ses égarements.
Couchée sur le ventre, elle lui demanda donc clairement la possibilité de dormir chez elle, remuant ses jambes comme une petite fille. Ivy, elle, s’était assise sur le rebord du bureau, et caressait les hanches de la belle, lorsqu’elle lui demanda pourquoi tant de gens venaient à Seikusu. Il est vrai que, depuis quelques mois, la ville connaissait une forte recrudescence de mutants et de super-personnes. Ivy glissa sa main sur le postérieur d’Harley, le pressant. Il était tentant de lui faire l’amour sur ce bureau. Est-ce qu’elle la tentait ? Ou est-ce que c’était sa manière naturelle d’être ? Il était difficile de déchiffrer les réactions d’Harley. Pamela se pencha sur elle, et l’embrassa dans la nuque, ses seins venant se heurter à son dos.
« Seikusu est une ville très spéciale, ma beauté. Elle offre beaucoup d’opportunités... J’en avais assez de passer mon temps à Arkham. Et puis, Gotham était une ville trop polluée pour moi. J’ai déménagé, et, du fait de mes connaissances en biologie, j’ai décidé de m’offrir une nouvelle vie, une vie où je serais une femme respectable, et où je pourrais lutter pour la Nature, et avoir une conduite respectable. »
Même à Gotham, Ivy savait déjà tenté de se racheter une conduite, même si ça n’avait jamais été innocent : quand elle avait été la fiancée d’Harvey Dent5, elle droguait ce dernier à l’aide de ses plantes. Quand elle avait ouvert un institut6, elle utilisait une toxine transformant les clients, des patrons et des actionnaires majoritaires de grands groupes industriels, en arbres vivants. Elle avait même épousé son docteur, fondant en secret, dans sa cave, à l’aide de son sperme, une famille d’hommes-plantes7 ! Autant dire que, après tant d’exploits, rester à Gotham était très difficile. Elle continuait à embrasser Harley, s’allongeant progressivement sur elle, lui mordillant la peau.
« Mais ne crois pas que je me suis assagie, j’ai juste... Changé de méthodes. Seikusu m’a donné la possibilité de perfectionner mes plantes. Tu veux que je te montre ? »
Elle se redressa alors, tendant la main, et attendit qu’Harley la saisisse pour s’avancer le long de la salle, revenant dans son petit laboratoire. Il y avait énormément de plantes, deux tables au centre, avec des plantes luxuriantes dans les coins. Ivy s’avança lentement, et se rapprocha d’une gosse plante. Elle plaça Harley devant, se glissant dans son dos, caressant ses hanches, retournant frotter ses seins contre son dos.
« Tu peux venir chez moi, Harleen, mais, comme tu le sais, rien n’est jamais gratuit dans la Nature... »
L’une des couches de la plante s’écarta, révélant l’apparence interne de cette dernière : une sorte de grosse bulbe dans laquelle flottait une lycéenne. C’était Seika, totalement nue. Un tentacule s’enfonçait dans sa bouche, deux tentacules-ventouses malaxaient férocement ses seins, et elle avait deux tentacules remuant alternativement dans son intimité, tandis qu’un autre défonçait son fondement. D’autres tentacules s’étaient enroulés autour de sa taille.
« Mes nouvelles formules nécessitent un nectar très intime pour fonctionner. Tu peux venir, Harleen, mais le prix sera plus élevé qu’à Gotham... »
Elle maintint sa phrase en suspens, glissant sa main sur le ventre de cette dernière, le bout de ses doigts filant sous sa jupe d’écolière pour titiller sa culotte.
« ...Car je suis beaucoup plus gourmande. »
Tout en le disant, elle vint lécher le cou de la belle blonde.
1 : Épisode #56 « Harley & Ivy », de la première série animée des années 1990’s, « Batman, la série animée ».
2 : Épisode #24 « Amour Fou », de la deuxième série animée, « Les nouvelles aventures de Batman ».
3 : Épisode #81 « La journée d’Harley », de la première série animée, « Batman, la série animée », où, à la fin, Harley embrasse fougueusement Batman x)
4 : Épisode #02 « Trouble-fête », de la deuxième série animée, « Les nouvelles aventures de Batman ».
5 : Épisode #05 « Poison d’amour », de la première série animée, « Batman, la série animée ».
6 : Épisode #29 « Jeunesse éternelle », de la première série animée, « Batman, la série animée ».
7 : Épisode #70 « Le Jardin d’Enfants », de la première série animée, « Batman, la série animée ».
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Harley charmait Ivy où l'arlequin était simplement elle-même? Il serait temps d'ouvrir les paris avec Double-Face pour savoir qui aurait la bonne réponse et qui ne l'aurait pas? Mais elle préférait garder cette question pour elle-même, seule elle connaissait la réponse et personne ne pourrait deviner la vérité! Enfin si, mais les gens auront toujours un doute? Elle joue où elle ne joue pas? Cela n'empêchait pas Ivy de commencer à la caresser, posant sa main sur son postérieur avant de doucement s'allonger sur elle. Oh~Oh? Elle lui manquait à ce point? La balle est dans le camp de Poison Ivy et pas dans celui du Joker! Lui, il n'avait qu'à la laisser tranquille un peu! Elle ne demandait pas grand-chose, sans lui demander Pamela savait comment agir et Monsieur J n'avait eu que des reproches à lui faire et même annoncer une nouvelle fois son départ ne lui avait pas fait regretter ses paroles! Au moins ici, elle avait l'amour qu'elle voulait. Il faudrait que le Joker en prenne un peu de la graine! Ha! De la graine! Si cette blague n'est pas drôle alors... ha peu importe, il n'était pas là pour profiter de son humour alors à quoi bon? Néanmoins, elle ne voyait pas sa copine en femme respectable... Elle avait peut-être essayé dans le passé de faire quelques bons gestes, elle ne dirait pas le contraire mais... elle ne la voyait pas dans ce rôle. De même pour Harleen. Auparavant, elle était une femme normale et brillante mais son canard à tout changer... Qui ne pourrait résister à son charme fou? Ha, encore une! Charme FOU! Eh bien, changer de pays lui réussit!
« Ha! Tu m'excuseras mais j'ai un peu de mal à te croire? Au service de la nature, ok, c'est bien toi ça. Mais respectable? Humph! Tu as la mémoire un peu courte après ce qu'on a pu faire ensemble? Tu n'es pas si innocente que ça, je le sais et si ce n'est pas le cas, je veux bien distribuer des bonbons aux enfants demain! »
Pamela, une femme respectable? Attendez qu'elle trouve son placard pour voir les cadavres qu'elle y cache! Une fille comme elle ne devient pas aussi gentille, comme ça, du jour au lendemain, impossible! À moins qu'elle ait perdu la mémoire mais rien que son entrée en scène prouve le contraire. Et sa façon de se coller à elle, sa poitrine dans son dos, voilà une chose qui lui a manqué et que son biquet n'a pas. Heureusement, Monsieur J avec ses deux là sur la poitrine? Ce n'était pas un clown, c'était le Joker! Néanmoins, une telle chose aurait de quoi choquer la chauve-souris à leur prochaine rencontre? Hum, c'est donc à noter dans un coin-coin! Ha oui mais non, il pouvait aller se rhabiller, elle ne retourne pas avec lui avant d'avoir de vraies excuses! Elle veut le voir ramper par terre et la supplier de revenir sinon c'est non! Quittant enfin le bureau sur le drôle de parole, Harley prit la main de l'empoisonneuse, marchant à ses côtés vers sa petite serre personnelle. Elle l'arrêta devant une grosse plante avant de se placer dans son dos. Commençant à fixer un tarif, elle observa une plante qui laissait tomber une feuille pour voir ce que la plante abritait. Bah tiens! Une fille violée par tous les trous par une plante! En voilà une, de cadavre! Elle gloussa sur le coup, ayant vu juste dans son jugement pendant que la belle rouquine avait les mains baladeuses. Tant que ce n'est pas une liane.
« Au moins pour ça, tu n'as pas changé! Et ta plante fonctionne aussi avec les hommes où ses justes les petites lycéennes qui servent de nectar? »
Simple curiosité. Ivy donnait un coup de pouce aux fantasmes japonais, elle avait vu quelques bandes dessinées ou des filles se faisaient capturer par de gros extraterrestres tentaculaires? Bon, ce n'était pas un monstre tentaculaire mais ça y ressemblait au moins. Harley pencha sa tête sur le côté pour se laisser lécher le cou, passant une main dans les cheveux d'Ivy.
« Hum... bon, mieux vaut que ce soit chez toi que dans un trou paumé après tout! Mais plutôt que la remplacer elle, tu voudrais pas remplacer la plante? Ça me permettra de pas trop avoir le mal du pays! »
Tant de souvenir dans Gotham. En dehors des coups fourrés, combien de fois Ivy et Harley avaient fait l'amour normalement, en combinaison, avec ses plantes? Elle n'avait pas oublié tout cela puisque Pamela était sa partenaire féminine la plus fréquente. Il lui était arrivée de profiter un peu de certaine otage mais c'était surtout pour exciter son canard. Harleen en profita pour tourner le dos à la plante pour passer ses mains autour du cou de Pamela en se laissant doucement tomber dans ses bras, souriante à pleine dent.
« Ça serait une bonne façon de fêter mon retour dans le circuit! Je suis arrivée dans la mâtinée donc ça fait déjà... quelques heures? Le temps passe vite dis donc! En plus j'ai une surprise pour toi ma petite Iv-y~ »
Elle se pencha vers son oreille, gardant un long sourire que Pamela ne pouvait voir pour le moment.
« Depuis qu'on m'a enfermé et libéré... je n'ai pas joui une seule fois! … Donc... comme je me réservais pour mon biquet mais qu'il m'a repoussée... je serais heureuse d'ouvrir les jambes pour toi~♥ »
En voilà une bonne surprise! Mais bon, il faut déjà retourner récupérer ses valises, récupérer son argent aussi et ensuite, direction sa nouvelle demeure! Provisoire, surement.
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« Au moins pour ça, tu n'as pas changé! Et ta plante fonctionne aussi avec les hommes où ses justes les petites lycéennes qui servent de nectar ? »
À quoi pensait-elle ? Ivy hésita un peu, embrassant le cou d’Harley, avec une tendresse infinie, ses mains glissant sur son ventre. Seika remuait dans la plante, silencieuse, émettant parfois de discrets soupirs quand elle avait des orgasmes. Pamela remonta ses mains, près de ses seins, et continua à lui parler, tout en l’embrassant, encore :
« J’aime être égalitaire, ça fonctionne sur les deux sexes, mon trésor... »
Avec les hommes, c’était un peu plus compliqué. Le sperme était un liquide plus riche, mais plus difficile à obtenir, car il fallait droguer le sujet pour qu’il soit perpétuellement en érection, ce qui pouvait toutefois le tuer. Sur le long terme, les femmes étaient plus rentables, surtout Seika, qui était une prodigieuse perverse. Elle était enfermée là-dedans depuis trois jours, nourrie par les jus de la plante. Un exploit, tout simplement. Seika ne cessait de la surprendre, par sa redoutable perversion, son appétit sexuel, et sa soif insatiable. Ivy l’aimait, oui. Ce n’était probablement pas l’amour entre deux amants, plutôt quelque chose de filial... Comme si Harley était sa sœur, et qu’elle veillait sur elle. Elle continuait à l’embrasser, Harley penchant sa tête pour lécher sa peau, la mordillant.
« Hum... bon, mieux vaut que ce soit chez toi que dans un trou paumé après tout ! Mais plutôt que la remplacer elle, tu voudrais pas remplacer la plante ? Ça me permettra de pas trop avoir le mal du pays ! »
Elle sourit, frottant son nez contre son cou. Oui, revoir cette tonitruante et explosive jeune femme lui plaisait beaucoup. Elles formaient un très beau duo. Ivy était calme et réfléchie, sensuelle et envoûtante, alors qu’Harley était dynamique et explosive, une véritable bombe sur pattes, excentrique et enchaînée. Elle était stimulante, et, dans leur couple atypique, c’était souvent Ivy qui prenait les décisions, et Harley qui agissait. Si seulement elle arrivait à se débarrasser de sa lubie ridicule pour le Joker, elles formeraient un couple parfait. Sans ce « Monsieur J. », Ivy serait sans doute prête à aimer Harley.
La femme se retourna alors, enroulant ses mains autour de son cou, tandis que la plante se refermait, la première couche laissant ainsi Seika seule, avec son plaisir interminable, langoureux, et irrésistible. Pamela et Harley s’embrassèrent, Pamela sentant une bouffée de désir remonter le long de son corps. Ses mains se posèrent sur ses belles hanches. Le baiser fut malheureusement bref, tandis qu’Harley continuait à la titiller. Pamela ressentait des frissons de plaisir, des spasmes nerveux. Le plaisir sexuel montait tendrement, tandis que la jeune femme lui fit un aveu... Depuis Arkham, elle n’avait pas joui encore une fois. Pamela cligna des yeux, surprise, et, après cette confidence, Pamela ne dit rien pendant quelques instants, avant de glisser ses mains le long de son dos, les posant sur ses fesses, se pressant, avant de l’embrasser ardemment, fourrant sa langue dans sa bouche. Le dos d’Harley heurta la plante dans laquelle Seika végétait, et elle la retourna alors, l’envoyant près d’une table.
« Ma pauvre chérie... Ma pauvre petite Harley, comme tu dois souffrir... Je ne comprendrais jamais pourquoi tu tiens tant à lui... »
C’était un aveu honnête, et elle frotta son nez contre le sien, l’embrassant encore. Elle avait vraiment des lèvres attirantes, et ses mains continuèrent à se déplacer, soulevant un peu Harley, ses mains filant sous sa jupe pour tirer sur sa culotte, la faisant très légèrement glisser. Le sexe était une chose qu’Ivy prenait très au sérieux, en partie parce qu’elle était maintenant beaucoup plus sensuelle. Sa visite dans la forêt magique d’Alraunya, avec pour guide Weldenela, lui avait permis de renforcer ses plantes à l’aide de fluides sexuels, des fluides qui, par le lien symbiotique unissant Poisn Ivy à ses plantes, influaient aussi sur elle.
« Il est temps de te soulager, ma chérie... Tu ne peux pas rester comme ça, ce n’est pas sain. »
Elle se concentra, et la végétation à hauteur de son intimité changea, tandis qu’une verge apparut. Un petit tour qu’Ivy était maintenant capable de faire à la perfection. Comme quoi, Seikusu influait sur elle. Dans le dos d’Harley, le long de ses jambes, quelques délicats tentacules sortaient du corps de Pamela, ayant pour origine ses veines, et s’enroulèrent contre son corps, afin de bien la plaquer contre elle.
Le sexe végétal de Pamela, une belle verge verte tendue, en érection, à l’image de son désir, pénétra alors Harley.
« Ah, ma beauté !! » soupira Pamela de joie.
Son membre se mit à remuer en elle, lentement, tendrement, comme Ivy le souhaitait.
« Là, là, ma puce, vas-y, laisse-toi aller... »
Le reste attendrait. Pour l’heure, il y avait une urgence médicale à satisfaire.
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Oh, pauvre petite Harley! Oui, la pauvre petite Harley Quinn qui était si pure et intacte depuis son évasion, tout cela pour rendre son biquet plus heureux sans pour autant avoir ce qu'elle avait souhaité. Ce n'est pas grave, elle offrait cela à sa copine plante pour la peine! Elle aimait bien qu'on la prenne en pitié mais dans le bon sens. Pour ce genre de chose par exemple car attention, elle n'était pas si malheureuse que ça. Oui, se retenir trop longtemps devenait de plus en plus dur chaque jour et même si elle pensait que son canard allait lui sauter dessus en la retrouvant – ce qui n'était pas le cas – elle était prête à sacrifier son si beau sourire du Joker pour les jolies petites lèvres d'Ivy. Ça restera tout aussi bon avec elle qu'avec lui? Le Joker était son idéal masculin et Ivy son idéal féminin. Voilà de quoi équilibrer la balance au final. Sa petite remarque sur son biquet ne lui plaisait pas mais elle le lui avait dit tellement de fois que c'était une routine pour elle.
« Pff... c'est pas de ma faute si je suis la seule à voir tous ses bons côtés. »
Et c'est vrai! Il avait beau avoir des hommes de main mais à part pour l'argent ou par la peur, ils voulaient tous éviter d'avoir à affronter le Joker en face à face. Ils sont tous des idiots de toute façon. L'empoisonneuse acceptait de la soulager en la poussant vers une table avant se lui retirer doucement sa culotte. Rien de bien fantaisiste, une simple culotte des plus banales, blanche et propre évidemment. Mais comme elle ne se plaçait pas face à ses lèvres intimes, elle ne pouvait pas voir sa particularité? Enfin, son cadeau destiné au Joker mais qui irait aussi à Ivy finalement. Elle n'était pas totalement épilée entre les jambes, elle avait gardé une petite zone touffue puis couper court mais qui laissait une petite zone douce, blonde et en forme de cœur. Elle le verra bien plus tard car pour le moment, c'était l'arlequin la plus surprise! Qu'est-ce qu'elle avait mijoté durant son absence? Auparavant, elle avait juste les plantes qui aimaient la maintenir et maintenant voilà qu'elle se prenait pour un homme? Non, ici, ça avait un autre nom? Bref, restons-en au terme du dictionnaire, une hermaphrodite! Une femme avec les deux sexes! Ou un seul? Ça dépend où se loge ce joujou? Quand on parle du loup, voilà qu'elle avait toujours ses plantes qui la maintenaient, elle les sentait s'enrouler autour de ses cuisses.
« Hurrrph! »
Grogna Harley en sentant que la plante entre ses jambes était si dur et si agréable à la fois. Elle enroula ses bras derrière la tête de Pamela pour ne pas lâcher prise, surtout pour préparer la suite.
« Je vais croire que... hum... ce pays à déteint sur toi? »
Eh oui, c'était bien un délire de Japonais/Japonaise ses femmes à bite. Elle pourrait évoquer le coup des tentacules mais les plantes d'Ivy faisaient l'affaire et Harley avait déjà essayé ça avec elle lors d'une de ses nuits avec la belle rouquine. Elle colla ses lèvres rouges aux belles et fines lèvres vertes de son amie. Elle l'embrassait doucement et fougueusement à la fois. La jolie blonde était capable du meilleur comme du pire mais c'est dans le pire qu'elle est la meilleure. Ses mains retombaient finalement dans son dos, une passant sur sa chevelure rousse, la seconde palpait avec plaisir son fessier adorable et envoutant. Elle adorait la reluquer quand elle s'éloignait, elle avait un tel déhanché! Mais au final, ses mains étaient très bien en haut, dans ses cheveux orange.
« Je veux... bien en profiter de... ceci~ Alors attention-hum... va falloir me prouver que t'est toujours aussi endurante et forte surtout. »
Oui, forte pour soutenir une Harley surtout car à peine avait-elle fini de parler qu'elle sautait, accrochant ses jambes autour de la taille de l'empoisonneuse, ses bras bien serrer autour de la tête de son amie. Elle était prête pour la suite! Bien enfoncer sur son sexe vert, elle remuait déjà un peu plus, se voulant excitante et prête, elle tentait de se redresser pour mieux s'enfoncer sur elle mais ce n'était pas facile sans aide.
« Pose tes mains sur mon cul que je t'aide à me baiser ma belle~♥ »
Oui, qu'elle savoure un peu ses retrouvailles de cette façon. Quelle meilleure façon d'inaugurer tout cela que par la jouissance?
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Ah, Harley Quinn... L’inimitable Harley, complètement folle, extravertie, sauvage... Aussi stupide qu’intelligente, c’était une femme redoutable. Ivy la connaissait bien, car Harley se confiait volontiers à elle. Elle savait ainsi qu’Harley pouvait, quand elle le voulait, inventer des plans particulièrement élaborés. Après tout, elle avait déjà réussi à vaincre le Chevalier Noir*, l’irritante chauve-souris que Pamela détestait encore plus que ses copines étaient arrivées sur les toits de Gotham. Il était tellement dommage qu’elle soit à ce point amoureuse d’un individu aussi méprisable. Mais, d’un côté, sans lui, Harleen Quinzel se serait-elle rapprochée de Pamela Isley ? À Arkham, Ivy s’intéressait très peu au personnel féminin, privilégiant les mâles, car ils étaient bien plus faciles à séduire avec ses spores. C’était probablement la seule chose sur laquelle elle pouvait remercier ce psychopathe costumé : il avait permis de créer Harley Quinn... Une femme bien plus intéressante qu’Harleen Quinzel, scientifique introvertie, qui avait probablement un penchant manifeste pour les tueurs en série.
Pour l’heure, Ivy pensait à son plaisir naissant. Harley était, sur ce point, assez endurante. Elle s’amusait beaucoup avec ses plantes, et, pour Ivy, voir Harley baigner dans ses plantes avait toujours été une immense joie, une grande satisfaction. Elle y était très bien, et elle jouissait quantité de fois, avant qu’elles ne fassent l’amour. Maintenant, Harley retrouvait une nouvelle Poison Ivy. L’Empoisonneuse ne cherchait plus à détruire la ville, ni à changer le genre humain. Ses ambitions étaient plus modestes, plus subtiles, consistant à des rapts discrets dans le parc. Elle renvoyait ensuite les individus kidnappés, et personne n’y trouvait à redire. L’enlèvement durant moins de quelques jours, la police n’ouvrait aucune enquête, et l’individu revenait ensuite au sein de sa famille, inventant une excuse potable. Quelques jours pour racheter toute une vie de péché, ce n’était pas cher payé...
Les lèvres d’Harley se pressèrent contre les siennes, et Ivy gémit. Oh oui, sa petite était en manque, Ivy le sentait dans la manière dont son corps se serrait contre elle, dont elle laissait ce membre l’engloutir. À Gotham, Poison Ivy n’avait pas vraiment développé son hermaphrodisme. C’est à Seikusu qu’elle s’était perfectionnée pour réussir ça. L’hermaphrodisme était quelque chose de naturel, et beaucoup d’animaux l’étaient. L’escargot, par exemple, était hermaphrodite... Alors, pourquoi pas elle ? Elle avait mené ses recherches, et cet état s’était encore amélioré après sa visite dans la forêt de Weldenela. Pamela avait amélioré ses plantes, et elle aussi, par la même occasion. Moins cruelle, plus perverse... Son esprit avait légèrement changé, et Harley allait le découvrir.
« Hum... »
Grosse et tendue, sa verge s’enfonçait avec plaisir dans l’intimité d’Harley, et Pamela envoya sa langue dans la bouche de sa partenaire, échangeant ainsi son baiser, tandis que cette dernière venait se cramponner autour d’elle. Les tentacules l’empêchaient de s’éloigner, pas de se rapprocher. En sentant son corps contre le sien, sn parfum, son désir, son envie, Pamela se sentait envahie par un désir violent et ardent de lui faire sauvagement l’amour. Harley remuait contre son corps, et Pamela buvait ses paroles.
Elle lui demanda de poser ses mains sur son postérieur, et, avec un sourire, Ivy obtempéra, posant chaque main sur les fesses d’Harley : la main gauche sur la fesse droite, et la droite sur la gauche, avant de presser, plaquant ainsi le corps d’Harley contre le sien, son membre s’enfonçant loin en elle, perçant jusqu’à la garde, heurtant avec rage son clitoris.
« Huummm... Harley, haaaa... »
Nouveau baiser. Ivy mordilla les lèvres de la femme, tout en serrant ses fesses. Elle avait un cul si tendre, si attirant ! Ivy s’amusa à écarter chacune de ses fesses, tout en plaignant le Joker. Il ne savait pas ce qu’il loupait, en rejetant ainsi la belle Harley Quinn...
« Hummm... Ohhhh... »
Ivy soupira à nouveau, et embrassa Harley sur le cou. Les tentacules les enlaçaient ensemble à hauteur de la taille, dans une délicieuse danse. C’était si bon que Pamela ne traîna guère. Au bout de quelques minutes, elle sentit le plaisir atteindre le point culminant, et se vida dans l’antre d’Harley, en poussant un long soupir joyeux.
« Aaaah... Crois-moi, ça soulage ! »
* : Dans l’épisode #24 de la deuxième série animée des années 1990, « Amour fou », Harley, pour faire plaisir au Joker, qui la voit comme une incapable, réussit à tendre un piège pour capturer Batman. Fou de jalousie à l’idée qu’Harley puisse réussir là où lui échoue, le Joker, quand il s’apprend, la défenestre... Et offre ainsi à Batman le temps de se libérer.
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L'arlequin et l'empoisonneuse. Elle devait garder son nom de scène au féminin? Bah oui, avec un truc pareil entre les jambes, ce n'est plus vraiment une femme et pas vraiment non plus un homme à dire vrai? La jolie rousse ajoutait un peu de piment à sa libido avec ce nouveau jouet? Harley s'en fichait, du moment que c'était drôle et qu'elle ne gardait pas cette chambre minable pour dormir mais plutôt partager la sienne avec Ivy, cela ne sera que plus drôle. Il y avait mieux, le fait de pouvoir jouer avec son biquet mais ce n'était pas le moment de lui parler de ce clown, ce n'était qu'un lunatique qui n'avait besoin d'elle que quand ça l'arrange! Bien sur, là, elle ouvre enfin les yeux, voyant vraiment qui est le Joker mais il lui suffit de le revoir, d'entendre sa voix mélodieuse lui demander de revenir pour qu'elle cours. Hélas, ainsi était la jolie blonde. Deux opposés, elle crache sur ce clown qui la prend pour une conne mais elle l'adore tant quand il l'aime enfin. Mais pour le moment, qu'il se préoccupe de sa chauve-souris plutôt que son arlequin d'amour, elle commençait à l'oublier pour mieux s'amuser avec la belle plante. Pendue à son cou, elle adorait sentir son poids jouer avec la gravité. Elle s'enfonçait toute seule sur sa queue végétale! Bien sur, elle l'aidait un peu en essayant de se redresser pour mieux s'empaler ou que Pamela puisse s'amuser un peu aussi.
Après tout, c'était plutôt bon. D'ordinaire, c'était les plantes de Pamela qui lui ou leur faisait ça mais... ce n'est pas plus mal comme ça. Embrassant ses belles lèvres vertes, Harley se plaisait à ne pas avoir le mal du pays, retrouver son ancienne copie de jeu, ici. Certes, qu'elle soit un prof' lui avait un peu fait peur mais... elle n'avait pas tant changé que ça. Et au bout d'un moment, comme avec un homme, elle était arrivée à bout, comme les femmes aussi d'ailleurs. Sauf que d'habitude les femmes n'ont pas de tige entre les jambes, ni même de semence aussi épaisse qui s'infiltrait en elle pour remplir son utérus. Cela arracha un gémissement de plaisir en laissant ses doigts doucement griffer les épaules de la femme plante.
« Ha-ha! Je pensais pas que c'était réaliste à ce point? … Mais ça me plait! »
Harleen se retira assez joyeusement en récupérant sa culotte par terre. Bien sur, elle ne minimisait pas l'envie en se penchant bien en avant pour la ramasser avant de s'éloigner un peu avant que ses lianes ne veuille de nouveau la maintenir sur place. Elle remonta le tout avant de se sentir un peu humide entre les jambes. Une fois encore, la gravité... ça fait couler la semence. À moins que ce ne soit sa mouille encore? Avec un sourire qui en disait long, elle prenait appui sur une table, posant à peine ses fesses dessus avec un doigt près de ses lèvres qui lui donnait un air aguicheuse.
« Alors maintenant tu me fais visiter ton appart' belle plante? Au cas où tu serait en forme, ça serais toujours plus confortable sur un lit plutôt qu'ici? On a beau être à l'arrière de ta salle de classe, ça me rappelle l'école et bordel ce que je peux pas aimer ça! »
Dit-elle avec une grimace, celle qui a passé de longue étude pour avoir un diplôme bien spécial! C'est peut-être ça qui a fini par la dégouter? Son doigt coulait doucement vers son décolleté qui avait quelques boutons bien ouverts, contrairement au règlement du lycée.
« Puis je suis pas à l'aise dedans... j'ai l'impression de pas être moins même... Retournons à l'hôtel que je récupère mon argent et mes affaires. Et après... »
Elle leva les yeux au plafond, l'air de chercher sa réponse avant d'observer Ivy, étirant un peu plus son sourire d'une façon bien spéciale.
« On pourra aller enfin chez toi. C'est pas tout mais j'ai une certaine plante à arroser~ »
Voilà une phrase qui voulait tout dire! C'était à Ivy de prendre la version qui lui plaisait car Harley changeait vite d'avis comme de chemise et même Double-Face n'aurait pas assez de face sur sa pièce ou un dé pour laisser de choix au hasard.
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C’était Pamela qui avait montré à Harley qu’elle n’était pas une hétérosexuelle convaincue, mais une bisexuelle affirmée. Elle doutait qu’Harley ait jamais couché avec une autre femme qu’elle, mais le doute était permis. Après tout, Harley avait ce petit côté qui la rendait terriblement irrésistible, et ce bien qu’elle soit éperdument amoureuse d’un psychopathe qui ne pensait qu’à sa propre personne. Il était dommage qu’Harley ne reste pas près d’Ivy. Bien que l’Empoisonneuse soit une solitaire, elle avait déjà partagé son intimité avec Harley, et était volontiers prête à le refaire. Leurs longues virées nocturnes à Gotham City étaient probablement le meilleur souvenir qu’elle avait de cette ville infernale. Elle avait une espèce de don naturel pour égailler n’importe quel moment, faisant preuve d’un dynamisme étonnant, qui avait toujours réussi à motiver Pamela. Elles avaient fait l’amour à de nombreuses reprises, et leurs séances avaient toujours été très tentaculaires, au milieu des plantes d’Ivy. Harley ne s’en était jamais plainte, et elle venait de plutôt bien s’adapter aux transformations physiques ayant eu lieu sur le corps parfait de Pamela Isley.
Elles venaient donc de faire l’amour, une manière de se saluer, comme Ivy en avait l’habitude. Elle n’était pas aussi expressive qu’Harleen, mais Pamela était heureuse de la revoir... Un visage familier de Gotham, Harley était toujours de bonne compagnie, même si elle avait la fâcheuse tendance de s’acoquiner avec des personnes peu recommandables... Et de mettre Ivy dans des situations problématiques, notamment en l’amenant à se rapprocher du Joker et de tous les tarés de Gotham. Elle espérait qu’Harley ne ferait pas pareille à Seikusu, mais Ivy en doutait. Maintenant qu’elle était suffisamment proche du SHIELD pour éviter de voir Iron Girl débarquer chez elle pour tout brûler, Pamela savait que Batgirl était en ville. Si jamais Harley l’apprendrait, elle voudrait sûrement la traquer et la capturer pour faire plaisir à son « Monsieur J ».
Pour l’heure, Harley voulait retourner à son hôtel, afin d’avoir des vêtements plus confortables. Elle venait beau de jouir, elle continuait à aguicher Pamela. L’intéressée en souriait. Fondamentalement, Harleen, comme toutes les femmes soumises, souffrait d’un gros problème d’estime de soi, et c’était probablement ce qui l’amenait à être si tactile, afin qu’on daigne lui accorder de l’attention... Ce qui était paradoxal, puisqu’elle aimait quelqu’un qui n’éprouvait rien pour elle... Ou, en tout cas, rien qui ne s’apparente à de l’amour.
« Très bien, ma beauté. »
Elle se rapprocha d’elle, et l’embrassa tendrement.
« Tu devrais quand même conserver cette tenue, ça te va très bien... Qui sait, peut-être même que tu pourrais assister à l’un de mes cours ? »
Elle resta blottie contre elle, l’embrassant encore, tout en pressant ses fesses entre ses mains.
« Imagine donc la scène... De beaux adolescents et adolescentes ayant des problèmes hormonaux, avec mes phéromones naturels qui les torturent pendant des heures... Il ne se passe pas un seul cours sans qu’il n’y ait un garçon voulant filer aux toilettes pour éjaculer en douce... Je suis sûre que ça te plairait... »
Elle lui mordilla tendrement le nez, avant de le frotter avec le sien, puis s’écarta un peu.
« Il y a plusieurs moyens de rentrer chez moi... Notamment par le parc. Mais allons récupérer tes fringues, d’abord... »
Pamela entreprit de remettre sa blouse. Ce n’était pas une tenue particulièrement discrète dehors, mais c’était toujours mieux que sa tenue verte, qu’elle ne préférait porter que la nuit, car elle se confondait mieux dans le paysage... Et, à bien y réfléchir, Ivy avait peut-être quelques petites choses de prévues à Harley pour lui faire découvrir Seikusu. Elle ne comptait toutefois pas lui en parler tout de suite : autant lui faire la surprise.
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On pouvait traiter son biquet de taré ou même elle de gamine à l'humour douteux, Pamela avait elle aussi de l'humour à revendre en s'approchant d'elle, lui palpant ses fesses. Cette tenue qui lui allait bien? Eh bien, la femme plante risque de devoir mettre des lunettes. Oh elle n'était pas l'aide dans cette tenue mais Harley n'aimait pas trop ça? Elle se déguisait volontiers pour aider Monsieur J à se sortir d'un mauvais pas ou de la sa cellule mais elle préférait sa tenue d'arlequin. En fait quand c'était souvent bicolore – rouge et noir. Elle avait des tenues autres que son fameux costume qui lui valait son surnom mais la jeune femme en avait d'autres, souvenir d'Arkam City et autres aventures, plus ghetto, voire punk comme diraient certaines personnes en Amérique mais elle n'en portait pas pour le moment. Elle ne frappe pas le jour tout comme ses camarades du crime, le jour, non, le jour les vilains préparent leur plan, la nuit, ils agissent!
« Tu plaisantes? J'ai l'air d'un clown comme ça! »
Non Monsieur J n'était pas un clown, il avait une classe inégalable pour commencer! Puis c'était le Joker, pas un clown bon marché avec des blagues douteuses. Et pour ce qui était d'assister à l'un de ses cours... D'accord elle faisait plus jeune que son âge mais elle n'était pas japonaise puis au milieu de ces personnes, elle ferait clairement plus âgée! Mais l'idée n'était pas mauvaise, elle gardait ça en réserve, au cas où, un jour peut-être? Qui sait de quoi demain est fait après tout? Mais comme l'empoisonneuse l'avait si bien dit, les affaires d'abord. Elle se redressa et s'installa près d'un lavabo pour retirer son maquillage ainsi que son petit masque autour des yeux. C'est bien gentil de faire une surprise mais il fallait attendre un peu avant de faire parler d'elle dans cette ville. Ça viendra bien rapidement, surement en récupérant son argent? Mais pour l'heure, elle avait juste l'air d'une jolie blonde un peu dévergondé qui se tiendrait auprès de la jolie rouquine. D'une balade en ville courte et pas très instructif... logique, une ville, y a rien de bon à savoir surtout qu'elle savait déjà que le quartier de la Toussaint était le coin malfamé de Seikusu, là où elle pourrait croiser des collègues nouveaux ou anciens et préparer leur mauvais coup en toute « tranquillité ». Retournant dans son bouiboui d'hôtel, elle passa devant le type de l'accueil qui garda un œil sur elles sans non plus insister. Il avait dû reconnaître sa cliente.
Une fois dans sa chambre, elle ferma sa valise, sortie deux ou trois petites choses qu'elle bloqua dans son dos, entre sa jupe et elle avant de vérifier qu'elle avait bien tout.
« Vivement que je sois chez toi, je sens qu'ici j'aurais pu devenir folle! C'est trop petit et trop crade. »
Devenir folle? Car elle ne l'était pas? Mais non, elle était saine d'esprit voyons. Elle ferma sa valise avant de bouger, se dirigeant vers la porte, la fermant à clé avant de faire demi-tour et retourner à l'accueil en posant les clés sur le comptoir. Début des négociations, enclenché.
« Je reste pas ici finalement, redonne-moi l'argent. »
Le type un peu dégarni sur le crâne avec un maillot blanc mais taché d'une quelconque sauce l'observa en fermant son journal, l'air pas aimable déjà. Le sens du commerce ne devait pas être très présent chez lui.
« Et puis quoi encore? Ta payé alors que tu dormes ici ou que t'aille t'éclater ailleurs je m'en fous, ta payer pour la nuit alors t'attend demain si tu veux mais je te redonnerais pas ton blé! »
« Rend-moi ça tête de fion ou tu vas le regretter! »
« Ha ouais? Tu vas me griffer? Ta tes ragnagnas? La belle affaire! Barre-toi d'ici mais je garde le pognon! »
Lâcha-t-il en tapant sa main sur le comptoir avec sa main, bien à plat pour appuyer qu'il ne reviendrait pas en arrière. On parie? Harley sortit de son dos un bon maillet en bois si classique pour l'abattre sur sa main avec un délicieux bruit de craquement. Quelle phalange avait lâché? Oh elle avait envie de parier ça avec Double Face! Le type hurla en retirant sa main, la menaçant avec beaucoup de noms d'oiseaux.
« Rends-moi l'argent! »
« Va chier sale pute! Je vais appeler les flics tu vas voir! »
Elle le tira et posa sa main intacte sur le comptoir avant de recommencer l'opération avec double dose de coup cette fois. Elle n'était pas aussi fort que Bayne mais pour une frêle demoiselle, elle avait de la force! Elle éclata de rire en le voyant se torde de douleur, ne pouvant user de ses mains sans avoir mal.
« Avec ton nez que tu vas appeler les poulets? Essaie et je te réserve le même sort qu'à tes mains. Alors une dernière fois... »
Sa main glissa dans son dos, prenant cette fois un pistolet automatique qu'elle colla sous son menton. Avec un délicieux sourire sadique cette fois.
« Mon fric, connard ♥ »
Difficilement et pas sans douleur, il tira de sa caisse approximativement l'argent qu'Harley avait lâché, il devait y avoir un peu plus mais Harley était contente d'avoir la somme de base. Elle rangea ses armes sous sa chemise avant de le saluer chaleureusement, toute contente! Elle savait que si une couille arrivait en quittant cet endroit, elle savait à qui elle irait se plaindre et ça fera mal, ça? C'était des menaces en l'air.
« Bien, bien, bien... On va chez toi maintenant? Et si je te payais une petite fleur au passage pour te remercier de m'héberger? Ça te fera une copine en plus chez toi? »
Provocation comme simple cadeau innocent d'une gamine, elle savait qu'une fleur arrachée à son milieu naturel ne plaisait pas à la belle rouquine mais elle savait leur redonner tout le pétillant d'une fleur avec ou sans terres. Suffit de bien s'en occuper après tout.
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Ces retrouvailles étaient aussi inattendues que revigorantes. Pamela ne s’était vraiment pas attendue à voir Harley débarquer à la fin de son cours, déguisée (plus ou moins) en lycéenne. La surprise était de taille, mais Ivy n’en était pas déçue. Bien au contraire. Harley était toujours aussi impulsive et énergique, une véritable torpille. Elle retira son maquillage, et fila vers son hôtel. Pamela la suivit silencieusement, s’emmitouflant dans une blouse de scientifique. La tenue n’était pas très discrète, mais Pamela avait des problèmes avec les vêtements synthétiques. Elle ne mettait guère que des blouses sur son corps, car elle était, à la base, une scientifique. Ce curieux couple attirait bien des regards dans la rue. Il fallait bien dire qu’Harley était plutôt belle, et qu’Ivy détonait également. Elles avaient toujours formé un très beau couple.
Le duo rejoignit donc l’hôtel d’Harley, un petit immeuble miteux de la Toussaint. Les murs étaient mal sonorisés, le métro aérien passait à proximité dans un bruit infernal, à en faire trembler les murs, et il y avait, dans les couloirs, une odeur persistante de moisi et de sueur. Pas d’ascenseur, on pouvait entendre les bruits exagérés des télévisions à travers certains murs. Les disputes conjugales devaient être coutumières ici. C’était une sorte d’immeuble où on louait des studios miteux à la tête du client, sans lui demander de caution. De ce qu’Ivy comprit, Harley y avait donné de l’argent pour une seule nuit, probablement dans l’espoir de se loger ailleurs... Ivy ne se faisait pas d’illusions, elle savait très bien que, dans la petite vie d’Harley, elle était toujours derrière le Joker. Si elle venait voir, c’était, soit qu’elle n’avait pas trouvé son bichon, soit que ce dernier, agacé par elle, par les surnoms ridicules qu’elle lui donnait et par son romantisme mielleux à son égard, l’avait encore jeté dehors. Cette seconde hypothèse était la plus crédible.
« J’avoue..., fit Pamela, alors qu’Harley ramassait ses affaires. Une vraie cage à poules. »
Harley méritait mieux que ça. Elle n’accorda qu’un bref regard à son studio, suivant la jeune femme vers la loge du gardien, au rez-de-chaussée. Ce dernier, un Japonais au ventre proéminent, probablement un otaku qui se matait des films pornos ou des hentaïs en douce, se révéla assez hostile à l’idée de laisser Harley partir avec l’argent qu’elle lui avait donné. Ivy restait en retrait, bras croisés, sachant qu’il ne fallait pas intervenir, que c’était à Harley seule d’agir. Le gardien voulait probablement « négocier » à sa manière, en envoyant Harley dans sa chambre, mais cette dernière ne lui laissa pas vraiment le temps de discuter. Ivy eut de légers frissons en l’entendant hurler quand elle lui brisa plusieurs doigts avec un maillet.
*D’ailleurs, où est-ce qu’elle a caché son immense marteau ?*
Est-ce qu’elle l’avait oublié à Gotham ? Ce n’était pas le genre d’Harley d’oublier ses petites affaires. Elle avait probablement du le cacher ailleurs. En attendant, le bailleur finit par remettre l’argent, pleurnichant à moitié, et les insulta copieusement quand elles sortirent, leur promettant d’envoyer sur elles les Yakuzas, les flics, de retrouver ces deux salopes de gaijins afin de leur faire apprendre le respect... Pamela se disait surtout qu’il appellerait les urgences pour soigner ses doigts.
Le duo sortit dans la rue. Il y avait une petite cour à proximité, et quelques voitures passaient par là. Harley lui demandait ailleurs quelle était la suite du programme, savoir si elles allaient rentrer chez elle, ou aller prendre une fleur. L’idée fit sourire Ivy, qui se rapprocha d’Harley, l’enlaça, et l’embrassa tendrement sur les lèvres.
« Si nous allons chez le fleuriste, il faudra le dévaliser... Tu me connais, je suis incapable de choisir entre plusieurs fleurs... »
Elle lui sourit.
« On ira faire les courses plus tard, ma beauté. Pour l’heure, il faut que tu déposes tes petites affaires dans un endroit plus approprié. »
Leur marche reprit, et il leur fallut une demi-heure pour rejoindre le parc central de Seikusu. Il existait plusieurs entrées vers le refuge d’Ivy, mais celui du parc était le plus rapide. Tout en rejoignant le parc, ce qui avait nécessité de prendre les transports en commun, l’Empoisonneuse avait expliqué à Harley dans quoi elle vivait. Son refuge était une ancienne station d’épuration située sous le lycée Mishima, avant que le lycée ne soit un lycée. La station d’épuration avait été abandonnée quand la municipalité avait racheté les bâtiments qui avaient servi à fonder le lycée Mishima par la suite. Poison Ivy se l’était réappropriée, en faisant son refuge.
Elle continuait à marcher, se rapprochant d’un kiosque. Il y avait beaucoup de monde, et elle s’isola, filant à travers des bosquets et une série d’arbres. Le parc central de Seikusu ressemblait assez à Central Park, dans la mesure où il était vaste, si vaste qu’il conduisait à un sous-bois. Un endroit très propice aux agressions sexuelles et au viol, si bien que la municipalité déconseillait aux gens de l’emprunter le soir. Le parc était d’ailleurs fermé le soir, mais il était très facile d’enjamber les murets.
Le duo rejoignit une petite cabane en bois isolée, qui faisait office de station de maintenance.
« C’est par là... »
Pamela ouvrit la porte, qui n’était pas close. La pièce était silencieuse, avec des vitres crasseuses, envahies par une odeur persistante de moisi. La délicieuse femme s’avança au sous-sol, et souleva une trappe menant aux égouts. Si elle aimait bien cet accès, c’était parce que ses plantes agissaient dès cette entrée, afin de purifier l’air et chasser les odeurs. Pamela sauta en contrebas, atterrissant sur le sol froid des égouts, puis attendit qu’Harley arrive. Les deux femmes marchèrent ensuite à travers un long égout sombre, et en prirent un autre, sur la droite. L’égout se rapetissait progressivement, jusqu’à ce que leurs pieds foulent une sorte de mousse duveteuse élégante sur le sol.
« Nous approchons, ma belle... »
On pouvait discerner, ici et là, les mouvements grouillants et rampants des tentacules, des plantes carnivores qui surveillaient l’entrée. L’éclairage venait d’espèces de cristaux lumineux poussant le long des murs. Bientôt, les deux femmes entrèrent dans la pièce principale du repaire d’Ivy : une grande salle toute verte, avec une quantité de plantes assez incroyables. Elles poussaient dans les coins, et plusieurs ouvertures menaient à d’autres pièces, recouvertes de vert. Il y avait une sorte de pelouse agréable sur le sol, et une grosse plante se rapprocha d’Ivy. Elle s’ouvrit en deux, révélant une sorte de lit rouge tendre.
« Bienvenue chez toi, Harley ! Tu seras toujours la bienvenue ici. »
Il y avait d’autres pièces, notamment une où Ivy détenait tous ses prisonniers, dans des sortes de plantes similaires à celle figurant dans son laboratoire. Un autre couloir menait dans les niveaux souterrains de la station d’épuration, qui n’était pas encore totalement recouverte par la végétation d’Ivy.
« Suis-moi, je vais te montrer où entreposer tes affaires. »
Pamela s’enfonça dans un couloir, et rejoignit ce qui, jadis, faisait office de salle de détente. Les meubles étaient encore là, entourés de vert. Elle ouvrit un placard.
« Tu pourras mettre tes costumes ici... Quant à dormir... Si tu veux un lit à l’ancienne, il faudra aller en chercher un quand on fera nos courses. »
Ivy alla embrasser une nouvelle fois Harley, savourant encore ses magnifiques lèvres.
« J’espère que cet endroit te plaira... Il m’a fallu des mois pour transformer cette station d’épuration. L’odeur était vraiment affreuse, avant... »
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Et voilà, maintenant le peu d'argent qu'elle avait en poche, elle pouvait une fois encore, recommencé son arrivée dans cette ville en oubliant ses retrouvailles avec monsieur J et cet hôtel minable. Pour l'argent d'ailleurs... il va surement falloir qu'elle trouve une banque à attaquer? Ça ne devait pas manquer dans le coin? Seikusu n'était pas Tokyo mais ce n'était pas non plus un patelin paumé du Japon. Passant sa petite blague sur une fleur à lui acheter pour la payer pour le gite et le couvert, Pamela s'amusait à se voir acheter la boutique et non une seule fleur. Ça lui rappelait qu'à Arkham City, le quartier général de l'Empoisonneuse était dans un ancien fleuriste mais bon, une fois dedans, il fallait faire attention aux plantes qui étaient plus dangereuse parfois qu'une bande de pitbull affamé. Marchant en ville avec son arme glisser dans sa jupe, idem pour son maillet, elles reprenaient leur route. Ivy pouvait se dire mais ou était son précieux maillet qui était un peu l'arme fétiche d'Harley comme le parapluie du Pingouin mais il était là son maillet! Non, pas cette version de poche, dans sa valise! Ce n'était pas un maillet suédois ou Ikéa à monter soit même mais séparer en deux ou trois parties, avec de quoi bien le maintenir, ça redevenait son joujou! Oh et puis faut pas stigmatiser! Harley aime bien les armes à feu puis les bombes puis les pièges puis les hommes de main. C'était pratique pour faire le sale boulot et stopper les fouilles merde. Jamais utile pour mettre la chauve-souris en cage par contre.
Passant dans le parc en continuant sa marche, elle avait de la chance que sa valise ne soit pas trop lourde et que la jolie blonde ne soit pas seulement une jolie blonde pimbêche et un peu gamine à sa façon de parler. Sous-estimé Harley serait une erreur, la surestimé... ça dépend. Elle n'était pas aussi puissante que Bayne, pas aussi froide que Freeze, pas aussi laide – heureusement – et fortuné – malheureusement – que le Pinguouin mais elle savait se débrouiller pour toutes ses taches. C'est bien, elle apprenait des choses sur sa future chambre voire maison temporaire mais elle aurait préféré apprendre des choses plus utiles? Que faisait Batman ici? Sur quoi pouvait bien bosser son canard? Ivy se serait-elle vraiment lasser d'être une vilaine femme plante qui voulaient faire des plantes les reines de la ville, du monde même? Pour l'Arlequin, il y avait un truc bizarre dans tout ça mais pour le moment, elle ne saurait pas dire quoi? Outre le fait de ce changement chez son amie en plus. Arrivant enfin chez Pamela après avoir passé moult passage donc un dans les égouts, elle fut étonné du résultat! Elle s'attendait bien sur à trouver des plantes puisque Ivy sans ses plantes, c'était Harley sans une touche bicolore quand elle devenait Harley Quinn. La plante à leur accueil était intéressante? Une plante lit? Marrant! Elles s'avançaient vers une pièce avec une armoire pour ses affaires. Mais vue la petite remarque d'Ivy, elle balança sa main en avant en soufflant avec ses lèvres en grimaçant.
« Pfffff... T'en fais pas pour ça, ça sera marrant de dormir dedans. J'aurais l'impression d'être une mouche trop bête qui s'est fait gober, tu sais, bzz bzz MIAM! »
Elle insista bien à la fin en faisant claquer ses dents en jouant la plante carnivore avant d'observer un peu mieux les locaux de Pamela. Se retrouvant rapidement dans ses bras pour de nouveau se faire embrasser avant de reparler de son ancienne station d'épuration. Pour sur, il y avait du progrès niveau odeur, même sans en connaître l'odeur originelle, elle ne voulait pas le savoir mais c'était bien mieux comme ça.
« T'en fais pas, c'est beaucoup mieux que ma cage à poule. Mais j'ai l'impression que je t'ai beaucoup manqué ma belle plante? Hey, je me suis juste comparé à une mouche hein, va pas m'avaler hein! »
Et pourtant, Harley l'embrassa de plus belle mais de façon plus sauvage et improvisée, c'était bien son genre. Elle passa les mains sur sa blouse, passant sur ses seins sans pour autant en profiter, juste la maintenir contre elle.
« Va falloir me laisser un peu seule par contre. J'ai encore mes valises à défaire et à me changer aussi car je vais pas rester comme ça maintenant que mon numéro est fini... Enfin bon, profitons que tu sois là pour avoir ton avis! Je suis ton invitée alors autant mettre ce qui te plairait le plus. »
Elle lâcha l'Empoisonneuse pour ouvrir sa valise, retirer quelques affaires pour sortir tout d'abord une combinaison rouge et noir, bicolore, le Classique, de Harley Quinn avec le chapeau à grelot ou bien, quelque chose de plus urbain, plus punk et rock avec sa tenue souvenir d'Arkam, un pantalon noir et rouge moulant, un petit bustier, le tout assorti à sa touche Harley.
« Alors, tu préfères laquelle pour ce soir? Je te laisse l'honneur de m'habiller comme une poupée, ta le choix entre le classique ou le Arkam? »
Elle remuait des fesses doucement comme une puce électrique, qu'allait choisir Ivy? Selon son choix, elle devra peut-être faire une ou deux retouches sur elle? Avec la tenue Arkam par exemple, elle se teintait les cheveux, juste les mèches de ses couettes pour être encore plus assorti et elle n'avait pas son masque non plus mais elle devait plus se maquiller que dans l'école.
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Harley était un délicieux vent de fraîcheur. Son baiser était aussi inattendu qu’appréciable. Elle se pressa contre le corps d’Harley, qui glissa ses mains dans le dos de la belle blonde, y répondant avec un plaisir non dissimulé. Visiblement, l’idée de dormir dans la plante d’Ivy semblait faire plaisir à Harley... Si Ivy avait bien compris ce qu’elle lui avait dit. Communiquer avec Harley Quinn pouvait parfois être assez difficile, mais, de ce que l’Empoisonneuse arrivait à comprendre, elle était heureuse, et pressée de découvrir cette ville. La connaissant, Poison Ivy s’attendait au pire. Elle avait passé des mois à se faire discrète ici, ce qui n’était pas particulièrement facile, vu la forte hausse d’agences secrètes espionnant la ville, et d’individus costumés qui la voyaient volontiers comme une éco-terroriste... Ce qu’elle était, naturellement, même si elle le cachait mieux.
Son invitée voulait qu’Ivy choisisse entre deux tenues à mettre pour ce soir : l’uniforme classique d’Harley, cette combinaison rouge et noir avec le chapeau à grelots qui avait fait son charme d’un bout à l’autre de la ville, ou une tenue plus moulante, celle qu’elle avait porté à l’époque où Gotham City était dirigé par Quincy Sharp. L’ancien directeur d’Arkham avait, après la révolte des prisonniers d’Arkham, et l’incendie de la prison de Blackgate, réussi à obtenir un plan insensé. Tenant compte de circonstances exceptionnelles, il avait transformé toute une partie désaffectée de la ville en immense prison. Arkham City était un projet exceptionnel, qui avait dégénéré en une zone de non-droit. Ivy avait pris possession dans un immeuble, et avait veillé à rester à l’écart des affrontements entre le Joker, le Pingouin, et son ancien amant, Harvey Dent, pour le contrôle de la prison. Elle n’avait guère eu la visite de quelques prisonniers et gardes, qu’elle avait réussi à soumettre très facilement, formant sa garde personnelle, ainsi que celle, plus appréciable et plus redoutable, de Catwoman. Tout ceci remontait à loin, maintenant, mais elle savait qu’Harley avait opté pour une tenue plus sexy, probablement pour que son « biquet » la remarque mieux.
« Hum... »
Ivy observa les deux tenues. Elle ne se faisait pas d’illusions. Harley était certes une femme énergique et explosive, du genre à défoncer l’intérieur d’un magasin simplement parce qu’on avait oublié de lui rendre la monnaie, mais elle avait besoin de se raccrocher à quelqu’un, pour ne pas déprimer. Elle était folle, mais Pamela était mal placée pour lui reprocher ça. Elle avait pour coutume de penser que tous ceux venant de Gotham étaient potentiellement fous. Ce devait être quelque chose dans l’air de cette ville infernale, une sorte de molécule qui faisait progressivement perdre la raison des gens.
« Optons pour le changement, ma belle... Ton fessier mérite d’être mis en valeur. »
De plus, Pamela n’avait pas eu l’occasion de voir la tenue d’Harley à Arkham City. Elle était ensuite partie pour Seikusu, de l’autre côté du Pacifique, et n’avait guère eu l’occasion de repenser à Gotham City, ayant bien d’autres problèmes en tête depuis qu’elle était ici. Son passé était finalement en train de la rattraper. Elle savait que Batgirl traînait dans la ville, que le Pingouin avait ouvert un club, et voilà maintenant que l’Arlequin était là. Diable, il ne manquait plus qu’Harvey Dent revienne pour renouer avec le bon vieux temps, à cette époque où elle avait séduit ce dernier, afin de se rapprocher des puissants, et pouvoir mieux défendre, à sa manière, la Nature.
Ivy l’embrassa sur les lèvres, puis s’écarta.
« Quand tu seras prête, tu n’auras qu’à me rejoindre dans la salle principale. »
Ce faisant, l’Empoisonneuse sortit, et se défit rapidement de sa blouse, qu’elle avait oublié de retirer. Elle se sentait mieux sans vêtement, car son corset, après tout, n’était qu’une sorte de seconde peau, qu’elle obtenait en concentrant sa pilosité. Elle n’était pas une mutante pour rien. Elle rejoignit la salle principale, tout en réfléchissant à ce qu’elle allait faire avec Harley. La connaissant, ce serait loin d’être une simple virée dans une boîte de nuit.
*Comme d’habitude, elle ne risque de ne m’attirer que des ennuis... Mais c’est ainsi...*
Leur relation était très particulière, et, en un certain sens, Ivy se sentait responsable de Harley. Si cette dernière n’avait pas été capturée par la police, et envoyée dans l’asile d’Arkham, Ivy lui aurait probablement proposé de la rejoindre ici. Cependant, elle était là. Il était inutile de remuer le passé. Ivy devait aller de l’avant.
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C'était un choix comme un autre? Harley comptait bien refaire sa garde-robe dans cette nouvelle ville, ce nouveau pays. On la connaissait bien à Gotham et moins bien ici. Il fallait donc faire en sorte que chaque personne ici, qu'ils ont les yeux bridés ou non, sache qui est Harley Quinn! Elle allait se refaire une réputation, un nouveau look pour une nouvelle vie peut-être? Haha! Elle la sentait bien cette ville! Dans peu de temps, les journaux parleront d'elle avec peur! Il pouvait bien y avoir du monde ici, des malfrats de Gotham ou non, elle allait les écraser avec son maillet comme de vulgaires cafards qui squattent son appartement. Il en est de même pour son Joker. S'il revenait à elle, il a tantôt intérêt à mettre le paquet car quelques roses et son charmant sourire ne suffiront pas à la faire revenir dans ses bras! Après une si longue absence, quel homme ne serait pas content de revoir sa dulcinée? Pff, les hommes sont parfois si stupides et insensées. C'est ce qui fait leur charme pour certain mais pas un sourire, pas un mot gentil, Monsieur J ne pourra pas compter sur elle, même s'il trouve le plan parfait pour écraser la chauve-souris ou un de ses copains!
Ivy ayant fait un choix, elle allait donc opter pour une tenue plus récente et moins marque de fabrique. Après tout son ancien costume est celui qu'elle porte le plus souvent sous les ordres du Joker? Bof, elle ne bosse pas pour lui, là! Alors autant changer de style et l'oublier! Elle devrait peut-être avoir une tenue spéciale lors de ses futures plans? Après tout, elle n'y croyait pas une seconde à sa reconversion. Elle avait peut-être un peu perdue la main mais Harley saura lui redonner les bonnes manières de faire et ça iras comme sur des roulettes! D'ailleurs, c'est comme le vélo, ça ne s'oublie pas si facilement. Elle voyait bien un truc avec plein de pétales bien rouges et noires pour son costume? Ça couterait une fortune et ça ne sera pas résistant mais au pire, ça peut être des fleurs artificielles, comme ça Ivy ne sera pas outré de voir porter des restes d'innocentes fleurs sur elle. Mais chaque chose en son temps! Elle se changea donc dans la pièce, gardant cette petite ficelle entre les fesses, remontant bien les côtés pour lui donner une touche d'érotisme avant de ranger ses fesses dans ce beau petite pantalon noir, et en cuir s'il vous plaît. Installant son corset, elle finit par une touche de maquillage bien blanc sauf autour des yeux. Du noir, ça lui allait si bien. Quant à ses cheveux, c'est le retour des couettes! Mais pas simplement. Elle sortit de son sac un petit tube de colorant pour que les pointes de ses mèches soient rouges et l'autre noires. Voilà qui était parfait! À défaut d'un chapeau à grelot, elle avait au moins la bonne couleur sur la tête. Un petit rouge à lèvres bien rouge et Tada!!! La voilà prête!
« Aloooors~? »
Harley s'amusait à prendre différentes poses en ayant les mains derrière la tête ou l'une sur sa hanche ou mettant en avant ses fesses bien moulées. Elle était parfois si gamine mais c'est ce qui faisait son charme après tout. Après quelques petits tours sur elle-même comme un top-modèle, elle se rapprocha de Pamela en gardant son long sourire joyeux.
« Quel est le programme ce soir? Je suis ton hôtesse mais j'exige d'être surprise! Tu veux faire quoi alors? Te faire un peu d'argent? Contrôler un territoire en donnant quelques genoux dans les bijoux de famille de ses machos qui pensent être les seuls à contrôler cette ville? Ce ne sera pas des vrais bijoux mais ça peut être amusant de frapper très fort pour tenter de leur faire cracher par la bouche? »
Ivy n'était certainement pas très tentée par ça, chercher à rester discrète plutôt? Sauf qu'être discret n'est pas vraiment un mot de son dictionnaire? Il lui arrive de se faire petite mais il faut que le jeu en vaille la chandelle ou qu'elle dorme? Elle se dandina à nouveau en remuant son bassin comme une pendule.
« Ou alors tu peux toujours me prouver que je t'ai VRAIMENT manquée depuis tout ce temps? Ce qu'on a fait dans ton arrière-salle n'était qu'un avant-goût? Je n'ai même pas eu le temps de la fatiguée cette belle fleur entre tes jambes! Remarque... faut bien trouver un juste milieu? »
Dit-elle en posant son index sur son menton en levant les yeux au ciel dans un faux air de réflexion.
« Ce serait dommage de m'habiller et me préparer pour déjà être à poil deux minutes plus tard? Une petite idée? »
Ou comment lui faire penser à aller faire quelques mauvais coups dehors? Ce serait étonnant de voir Ivy opter pour faire un monopoly afin de passer le temps. Mais si elle avait mieux qu'un mauvais tour et autres choses à faire que se foutre déjà en tenue d'Eve, elle était preneuse! Pour peu que ce soit drôle aussi! Ha oui, elle va pas aller étudier dans une bibliothèque à cette heure-ci... ni même à une autre heure.
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Laissant Harleen se changer, Ivy se déplaça, retournant dans d’autres pièces de son antre. Elle se rapprocha de plusieurs grosses plantes, et observa la manière dont elles vivaient. Manifestement, ses plantes allaient plutôt bien, ce qui était toujours rassurant à savoir. Elles se portaient bien, vivantes, réactives. Il n’y avait aucun problème à signaler de ce côté-là, ce qui rassura Ivy. Ses plantes, comme toujours, constituaient pour elle un sujet de préoccupation permanente. L’Empoisonneuse alla ensuite s’asseoir sur ce qui faisait office de trône, une grosse bouche végétale dans la pièce principale. C’est dans cette position qu’elle revit sa belle Harley.
Son nouveau costume était plutôt sexy, moulant très bien ses formes, et, comme si elle savait qu’elle était belle, Harleen se mit à se dandiner. Poison Ivy arqua sur ses lèvres un léger sourire amusé, avant de se laisser descendre sur le sol. Ses bottes touchèrent l’herbe végétale créée par les potions de la belle rousse, et elle se rapprocha de la femme, sa partenaire et concubine. Revoir Harley lui faisait tout drôle. Elle savait que la jeune femme avait une mauvaise influence sur elle, par son comportement excessif et survolté. Harley lui laissait le choix entre plusieurs approches : faire sauvagement l’amour, ou sortir en ville. Tandis qu’elle parlait, envisagent les différentes possibilités, Ivy se rapprocha. Lorsqu’Harley posa un doigt sur son menton, dans un faux signe de réflexion, Pamela se pressa contre elle, et posa chacune de ses mains sur les belles fesses de la femme. Elle les pressa en se rapprochant, et l’embrassa sur les lèvres, ses doigts glissant sur son joli postérieur, finement moulé et mis en avant par ces vêtements aguicheurs.
Pendant plusieurs secondes, il ne se passa ainsi rien de plus qu’un long et tendre baiser, le corps de Pamela se pressant contre celui d’Harleen, l’une de ses mains remontant le long de son dos, glissant sur son espèce de corset pour se poser sur sa nuque, caressant le collier qui entourait le cou d’Harley, une sangle qui donnait vraiment l’impression qu’Harley avait versé dans les arts du BDSM... Ce en quoi Ivy n’aurait été nullement surprise, en réalité. Sa langue se glissa dans la bouche de la femme, et elle soupira faiblement, de plaisir, avant de finir par rompre ce baiser.
« Si tu veux qu’on sorte, mon chou, il nous faut une voiture... »
Seikusu était une ville relativement grande, elle aussi. Se déplacer à pied n’était pas forcément recommandé.
« Et puis, tu viens d’arriver... Il faut bien que je te présente un peu les lieux. »
Elle lui sourit, glissant ensuite ses mains le long des bandes du corset, se rapprochant de ses beaux seins. Elle restait proche d’elle, tactile. Leur relation avait toujours été assez fusionnelle. Initialement, passé l’hostilité des premières minutes, il y avait eu une sorte de relation entre dominant et dominée. Larguée par le Joker, Harley était déboussolée, et Ivy, solitaire, l’hébergeant chez elle, avait essayé de la forcer à reprendre du poil de la bête. Une curieuse scène, qui aurait probablement fait plaisir aux associations féministes du monde entier, car Ivy avait essayé de convaincre Harley qu’elle n’avait pas besoin du Joker pour vivre. Elle essayait toujours, depuis lors, de la convaincre de vivre seule, qu’elle avait les arguments nécessaires pour se séparer de ce psychopathe qui ne la conservait près de lui que pour avoir un jouet à torturer, mais l’exercice s’avérait particulièrement difficile.
Maintenant qu’elles étaient à Seikusu, il était peut-être temps de lui donner le fouet... L’idée séduisit brièvement Ivy. À bien y réfléchir, leur situation actuelle semblait être un retour dans le passé : Harley qui s’hébergeait chez Ivy, et qui avait besoin de cette dernière pour évoluer dans la ville.
« Allez, ma jolie, suis-moi... Tu aimes toujours conduire, non ? Je connais une voiture qui pourrait te faire plaisir... »
Pamela s’enfonça dans les égouts, en compagnie d’Harley, et sortit à proximité du parc. Telle deux Tortues Ninjas sortant des égouts, elles atterrirent dans une ruelle, d’où on sentait de délicieuses effluves. Entre-temps, la nuit était tombée sur la ville.
« Ce restaurant est tenu par l’équivalent japonais de la pègre de Gotham : les Yakuzas. »
C’était un restaurant de luxe, planté le long du parc, comprenant cinq à six étages, et un parking privé, à l’arrière. Cette ruelle abritait les poubelles du restaurant, et il fallait passer par-dessus un mur pour accéder au parking, où il y avait d’élégantes voitures de sport, les plus luxueuses appartenant aux Yakuzas dirigeant ce club.
« Je vais t’attendre sur le trottoir... Tu es plus agile que moi. Escalade ce mur, et pique une caisse. »
Le parking était surveillé par des caméras, mais Ivy savait que ce n’était pas ça qui allait décourager la belle blonde sulfureuse.
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N'était-elle pas sexy comme ça! Elle se savait sexy et à croquer mais c'est à se demander comment son Joker fait pour lui résister et l'avoir jeté comme une vieille chaussette? Mais peu importe, ce soir, Harley était avec Ivy, comme au bon vieux temps alors pas la peine de s'en faire pour lui! Qu'il cherche donc à concevoir un piège à chauve-souris géante dans son coin, elle ne va pas aller lui donner de coup de main, pour sur, non! Dans sa nouvelle tenue, l'Arlequin se dandinait en attisant les flammes du désir de la belle plante et après un petit baiser pour... se mettre en bouche... elle proposa la petite sortie. Oh oh! Elle n'aurait pas cru qu'elle serait d'accord, elle qui voulait se faire petite et discrète.... aurait-elle donc oublier que la discrétion est loin d'être son fort? Oh et puis zut, c'était tout aussi drôle comme ça! Mais pour la voiture, que trouver? Si possible, une qui ne pollue pas trop pour Ivy mais reste quand même le problème du choix? Heureusement, la belle plante avait ses sources et gentiment, elle la suivait même si cela voulait dire passer une nouvelle fois par les égouts, beurk!
Le retour dans la ville, près du parc était aussi un retour près d'un restaurant qui lui donnait faim quand même. C'est qu'elle avait pratiquement rien manger depuis sa descente de l'avion, à peine un petit truc à grignoter comme ça dans un distributeur. Autant dire que ça lui donnaient les crocs de sentir ça. Ivy lui présenta le restaurant tenu par la mafia locale, les Yakuzas. Voilà qui va lui changer des escrocs et bandit habituels de Gotham.
« Ha oui, j'en ai entendu parler? Logique qu'ici on doit pas trop trouver de spaghettis qui se prennent pour le parrain ni même pour le par deux, hahaha! »
Et oui, un soupçons de blague raciste sur les Italiens, tous des mafieux et une blague tout droit sortie de l'imagination d'Harley! Et oui, côtoyer le Joker et votre sens de l'humour en prendra un coup. Mais bon, mafia italienne, yakuza japonais, ça jouait les gros bras en voulant faire respecter la loi comme n'importe où? Peu importe la couleur ou la nationalité, les gros voyous sont tous les mêmes. Pour Ivy, la suite était simple, à elle de piquer une caisse pour une petite balade romantique à fond les ballons dans la ville dans une voiture volé. Idée intéressante, elle prend! Un petit sourire éclaira son visage alors qu'elle sortit un couteau à cran d'arrêt de sa ceinture. Elle était agile et avait un peu de force dans les bras mais pas assez pour tenir facilement face à Bane, dit Monsieur Muscle de Gotham donc une arme était la bienvenue après tout.
« Attention, je prépare mon numéro! Je viens te chercher dans quelques secondes alors soi à l'heure au rendez-vous! »
Et hop, elle profita de ses talents d'acrobate pour grimper le grillage avec le couteau à la bouche, comme les pirates! Évidemment, ce couteau n'était pas pour voler une caisse mais plutôt pour foutre sa petite merde. Autant dire que l'Empoisonneuse allait vite retrouver Harley Quinn comme au bon vieux temps. Pourquoi voler une voiture en silence quand on peut foutre un bordel pas possible avant de quitter les lieux. Une fois dans le parking, elle chercha une belle voiture, de préférence noir et rouge mais toutes étaient d'une seule couleur. Elle opta finalement pour une voiture bleu foncé, elle se fondrait bien dans la nuit. Maintenant que le choix est fait, elle approcha de toutes les voitures pour leur crever les pneus, toutes, un à un! Parfois elle était gentille... elle laissait un pneu en bon état. Sa bonté la perdra un jour! C'est dommage, ici, il n'y avait pas de poubelle comme dans les ruelles de Gotham, elle aurait bien vidé les poubelles sur les voitures blanches pour que ça se voit bien. Plutôt que ça, elle empruntait donc sa nouvelle voiture en donnant un bon coup de pied dans la vitre afin d'ouvrir la porte et tant pis pour l'alarme. Faisant une manœuvre pour quitter la place en bataille, Harley vit une belle voiture noire derrière elle... c'était tentant même si le restaurant s'agitait... Elle attacha sa ceinture – important ça, les jeunes. Allez, une bonne marche arrière pour abimer un peu cette belle voiture et une fois l'arrière de sa voiture abimé, elle fit crisser les pneus pour quitter le parking, quitte à abimer le devant de sa voiture. Question d'équilibre comme ça.
Même si quelques gros bras quittaient le restaurant, elle filait déjà dans les rues pour trouver Ivy, freinant à fond pour s'arrêter à côté d'elle en ouvrant la fenêtre.
« Je vous amène quelque part, jolie demoiselle? »
Que la virée nocturne commence! Cela n'était que le prélude de son retour sur la scène, la suite pourrait bien être pire pour Seikusu? À moins que la nuit soit « tranquille », avant la fin de la semaine, Seikusu allait savoir qu'Harley Quinn était arrivée en ville.
« Alors~ où dois-je avertir ma venue? »
Harley passa sa main sur le levier de vitesses qu'elle frôla à peine pour venir caresser la cuisse d'Ivy en allant vers son entrejambe... bah quoi, elle en profite un peu quand même! Enfin, surtout pour la blague!
« Oups! Je me trompe de levier de vitesses! Quoique tu ne l'as plus pour le moment? Tu l'invites à la petite fête quand tu veux où bien c'est grâce à une drogue ou un truc du genre que t'obtiens ton arbre entre les jambes? »
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Laisser Harley en électron libre n’était peut-être pas une idée très judicieuse, mais Ivy ne savait pas trop comment lui faire comprendre que Seikusu était une ville assez différente de Gotham. À Gotham, la pègre fermait plus ou moins les yeux sur les agissements du Joker, car les mafieux savaient qu’ils pouvaient parfois faire appel à lui, quand bien même c’était risqué. Le Joker était incontrôlable, mais il avait des ennemis en commun. Black Mask en avait notamment fait les frais, quand il avait fait libérer le Joker pour se débarrasser du Red Hood, un justicier qui, contrairement à Batman, avait des méthodes nettement plus tranchées. Ici, à Seikusu, le Joker n’était rien de plus qu’un illuminé, et les Yakuzas s’attachaient à entretenir leur image de « policiers de l’ombre », d’hommes respectables, quand bien même cette image était fortement atténuée. Si Harley se mettait àf aire n’importe quoi, elle allait se retrouver avec les Yakuzas aux fesses, et, si Pamela savait que cette circonstance ne ferait qu’exciter encore plus Harley, elle, en revanche, ne serait guère rassurée. Aussi, quand Ivy entendit les cris de quelques videurs, suivi de crissements de pneus, elle comprit qu’Harley avait encore fait des siennes.
« Hey ! Vous ! Stop ! » entendit-elle.
La voiture débarqua rapidement depuis l’allée longeant le restaurant, effrayant plusieurs passants. Harley s’engagea à l’arrache dans al circulation, grillant la priorité à une voiture qui pila de justesse, avant de s’arrêter, dans un nouveau crissement, devant la ruelle où se tenait l’Empoisonneuse. Pamela esquissa un sourire, quand la porte du restaurant s’ouvrit, livrant passage à des hommes en costume.
« Stop ! Cette voiture ne vous appartient pas !
- Rattrapez-les ! »
Plusieurs passants, ainsi que des couples mangeant sur la terrasse, les observèrent. Ivy se dépêcha. Elle contourna la voiture en glissant sur le capot du moteur, et rentra dedans. Le temps que les Yakuzas s’approchent, Harley avait déjà décampé. À l’intérieur de la voiture, Ivy prit quand même le soin de regarder dans le rétroviseur. Les Yakuzas cessèrent de courir, en soupirant, et ils disparurent ensuite de son champ de vision quand Harley tourna dans une autre rue. Pamela nota alors la main de la jeune femme, s’égarant sur ses cuisses. Elle soupira légèrement, avant de la regarder, résistant à l’envie de l’embrasser sur-le-champ. Après tout, elle tenait le cerceau, et, vu sa conduite rapide, Poison Ivy n’avait pas spécialement envie de se retrouver à manger le décor. Harley lui posa alors une question concernant son sexe, et Pamela se mit à sourire, avant de tourner la tête, observant brièvement la ville, avant de lui répondre.
« Beaucoup d’animaux sont par nature hermaphrodites... Ainsi que des plantes. Je ne vais pas te faire un cours de biologie, trésor, mais, pour simplifier, il est établi que certaines fleurs disposent simultanément des deux organes reproducteurs nécessaires dans la reproduction biologique : l’étamine, le sexe mâle, et le pistil, le sexe féminin. Un exemple notable et classique est le pommier, dont les fleurs sont par nature hermaphrodites. »
La voiture filait assez rapidement, sans tenir compte des feux rouges, et Ivy poursuivit. Harley, à la base, était une scientifique, une psychologue. Ce genre de raisonnements ne devait donc pas lui être totalement inconnu. En un sens, en prenant Harley sous son aile, Ivy avait toujours secrètement espéré stimuler son intellect, afin de la convaincre que le Joker était un psychopathe, et qu’elle valait mieux que ça. Malheureusement, il fallait bien admettre que l’obsession d’Harley pour son « bichet » la rendait, de fait, particulièrement idiote et sotte... Pour autant, elle était parfois capable d’élaborer des plans d’une ingéniosité redoutable.
« Et beaucoup d’espèces animales sont également hermaphrodites... Ce genre de cas existe aussi chez les êtres humains, mais de manière plus atténuée. L’Homme étant par nature un animal hostile à tout ce qu’il ne comprend pas, ou ne répond pas à des schémas comportementaux et catégoriels, les hermaphrodites sont perçus comme des aberrations. Il existe des cas avérés et naturels d’hermaphrodisme total, c’est-à-dire qu’une personne de sexe féminin disposera d’un sexe masculin. Ce sont des cas rarissimes, qui résultent de chromosomes sexuels variables... Je me suis basée sur ce genre de personnes, ainsi que sur le fonctionnement des plantes, pour modifier mon sexe. »
Pamela continuait à parler, de cette voix sensuelle qui faisait que tous ces élèves adoraient l’entendre parler, même s’ils ne comprenaient généralement pas grand-chose, vu que les cours d’Ivy étaient souvent très denses et très poussés.
« En bref, ce sexe fonctionne sous mon autorité. Je le fais sortir quand je veux. Je pourrais volontiers le faire sur toi, mais, comme tu n’as pas mes particularités génétiques, ça risque d’être un peu plus compliqué... »
Ivy soupira alors, et regarda autour d’elle. Elle trouva alors la commande permettant de rétracter le toit, afin de transformer la voiture en décapotable, et l’enclencha.
« Ah, on se sent mieux comme ça ! Bon... Je crois qu’il est temps de manger, afin de prendre des forces. Pizza, ou fast food ? »
Pendant ce temps, dans le restaurant, les gérants avaient rapidement remarqué, sur leurs caméras de sécurité, une sorte de saltimbanque qui s’était amusé à crever tous les pneus des clients, ainsi que des employés des lieux, avant de voler une voiture, qui s’avérait être celle du gérant de l’établissement.
« Deux femmes, oui... Je ne sais pas, elles sont Occidentales... Une espèce de dingue ressemblant à un clown de rue, et une autre qui était habillée avec des espèces de fleurs... Non, putain, je suis pas bourré, merde ! Elles ont volé ma caisse, bordel ! Je veux qu’on les retrouve, et qu’on nique ces salopes de gaijin ! »
L’homme ne s’était pas adressé à la police, mais à ses complices.
Autant dire que, pour les deux jeunes femmes, la soirée promettait d’être mouvementée...
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Voilà qui étaient fun et marrant! Une bonne virée nocturne à bord d'un puissant bolide pour se balader et faire doucement ses premiers pas dans cette ville. Attention les mafieux japonais, l'arlequin est dans la place et elle compte bien s'y installer un certain temps! Ne cherchant aucun respect de la sécurité routière, elle se fichait des autres véhicules en faisant quand même attention à leur sécurité à elles. Peu importe les passants, elle pourrait en faucher, jeune ou vieux, ce n'est pas sa caisse alors elle s'en fout! Harley venait de tenter de profiter un peu de la situation en cherchant à en apprendre plus sur Ivy et ses nouvelles facultés mais il faut croire que la belle plante avait pris son rôle de prof trop au sérieux. Un simple oui ou non et quelques détails auraient suffi, pas besoin d'avoir un exposer. Elle eut à peine un soupire quand elle avait fini de lui exposer sa façon de faire fonctionner son attirail. Qu'est-ce qu'elle s'en foutait des plantes mâles et femelles, ce n'était pas sexy une plante qui se reproduit.
Alors qu'elle se mettait à son aise, elle vint proposer de manger. En voilà une bonne idée! Pizza ou fast-food? Mhh... elle serait bien tentée par une pizza mais le problème restait l'attente. Elle n'allait pas attendre au minimum une demi-heure à rien foutre sur un parking, elle avait un planning à respecter! Là, elle venait à peine de faire parler d'elle, fallait que demain matin, les journaux ou au moins le bouche-à-oreille fonctionne dans le milieu, quitte à ne pas encore faire résonner le nom d'Harley Quinn mais celle de « la blonde » ou autres, pas grave.
« Va pour la rapidité, comme cette bagnole! »
L'arlequin poussait un peu plus la vitesse en espérant que le GPS Ivy fonctionnait bien. Mais le temps de trouver de quoi manger était une bonne occasion aussi pour se mettre les points sur les I, car cette ville à trop changer certaines personnes.
« Mais dis-moi, qu'est-ce qui t'a poussé à te calmer comme ça? À Gotham, tu étais prête à écarteler le premier qui écrase la moindre fleur et ici, tu vas rester bien sagement dans ton école à t'occuper de tes plantes, les nourrir et laisser le reste se faire ailleurs? Pourtant, Batman est ici d'après ce que j'ai compris? Que tu mettes un bémol, je comprend un peu... mais comment tu peux lui pardonner à lui et le laisser tranquille? Il t'a malmené plus d'une fois et c'est tout? Rappelles-toi tout le mal qu'il a pu faire à tes bébés, ne serait-ce que sur l'île d'Arkham. »
Ouais, si elle pouvait remettre Ivy dans la bonne direction, elle aura fait sa bonne action de la journée. Car vouloir mettre un frein à sa carrière, passe encore mais lui pardonner à cette chauve-souris, hors de question pour elle en tout cas. Harley comptait bien l'écraser si l'occasion se présente. Quoi que non pour le moment? Certes, elle avait été aussi malmené par lui mais c'est plus le Joker qui avait été frapper par son « vieil ami ». Si elle n'est pas avec lui, elle n'a rien contre lui. Sauf s'il vient lui mettre des bâtons dans les roues, alors là, à la guerre!
« D'ailleurs, tu l'as gardée ta petite tenue d'Arkham? T'étais sexy dedans... puis tu me dois un service, sans moi tu aurais continué à croupir dans ta cage en verre. »
Et oui, bien qu'elle n'était pas sur la liste de Monsieur J, elle avait libéré sa bonne copine Ivy alors que la chauve-souris était prête à la laisser dans sa cage, sans eau, sans lumière. Même une inculte sait qu'une plante a besoin d'un peu d'air, d'eaux et lumières. Finissant sa route en se garant sur un parking, elle sortait son arme de sa ceinture avec un petit sourire aux lèvres.
« Alors, j'utilise la façon citoyenne modèle ou bien je fais ça à MA façon? »
Bonne question... ça serait un plus pour se faire remarquer mais... braqué un fast food pour manger, ça fait moche sur un CV du crime... même les petites frappes du coin ne le font pas...
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La voiture circulait à toute allure, entraînant moult klaxons de la part des autres usagers. Harley se moquait de toutes les règles de circulation, s’insérant sauvagement dans le trafic, faisant des virages secs, qui faisaient crisser les pneus de la voiture, avant de repartir de plus belle. Elle emprunta plusieurs routes en sens interdit. Que les deux femmes ne se soient pas crashées tenaient en soi du miracle, mais Ivy faisait confiance à Harley. Cette dernière, tout en conduisant follement, se mit à lui poser une série de questions. Poison Ivy se mit à sourire, avant de commencer par lui répondre, évoquant son changement d’attitude :
« Seikusu est différente de Gotham... Les Japonais sont un peu plus respectueux de l’environnement. Je crois que l’air vicié de cette ville influait sur mon comportement et sur mon agressivité, car je me sentais perpétuellement menacée par ces usines à gaz, ces cheminées infernales crachant du dioxyde de carbone, et polluant toute forme de végétation. Ici, l’air est beaucoup plus sain, et les modalités bien différentes. Les Japonais sont traditionnellement conscients de l’importance qu’il y a à préserver la Nature, et du fait que l’être humain n’est pas le maître de la Nature, mais un simple élément qui, sans elle, ne pourrait survivre. »
Pamela avait sans doute conscience qu’une tirade aussi longue pourrait ennuyer Harley, qui était généralement adepte des phrases courtes, et des explications rapides. C’était comme si rejoindre le Joker l’avait conduit à verrouiller l’accès à ses matières grises pour devenir une petite dinde écervelée accomplissant tout ce que « Monsieur J. » lui disait. Poison Ivy n’en savait pas assez sur le passé d’Harleen pour trouver une raison de justifier ça, mais elle continuait à trouver ça dommage. Peut-être espérait-elle susciter l’intérêt intellectuel d’Harley en lui parlant de la manière dont elle avait évolué ? C’était fort possible. Poison Ivy regarda autour d’elle. Harley manqua écraser un piéton, qui poussa un hurlement en sautant sur le sol, insultant copieusement les jeunes femmes. Le capot de la voiture heurta la roue arrière d’un scooter mal garé, qui livrait des ramens. Le scooter partit en arrière, et heurta une voiture, faisant sonner l’alarme. En regardant par le rétroviseur, Ivy vit le livreur, scandalisé, leur hurler également dessus.
Effectivement, Harley passait difficilement inaperçue.
« Mon désir a toujours été de protéger la Nature, et, ce que Gotham m’a fait comprendre, c’est que je ne pouvais pas le faire par moi-même. Ce n’est pas un combat qui se terminera par une réponse rapide et violente. Je préfère éduquer les gens, et les corriger à ma manière. Quand je vois quelqu’un abîmer des fleurs, je n’essaie pas de le tuer, mais je le kidnappe, et je l’enferme dans mes cosses. Pendant quelques jours, il subit un lavage de cerveaux destiné à le rendre beaucoup plus sensible à la question de la Nature. Quelques jours, ce n’est rien dans une vie... »
Poison Ivy n’était pas devenue une vulgaire professeur de chimie, elle était toujours cette sulfureuse criminelle qui faisait de l’écologie une vertu cardinale et centrale. Elle était juste un peu plus discrète. Concernant Batman, elle se contenta de hausser les épaules, alors qu’Harley débordait un bus, lui refusant la priorité, et renversait le caddie d’une jeune femme près d’une épicerie, faisant voler un stock de boîtes de pâtés pour chats, des patates, et de la nourriture japonaise, tout en renversant la jeune femme.
« Batman est ici, je le sais... Je crois juste que je le hais un peu moins que toi. Je trouve juste qu’il se fourvoie en préférant attaquer de simples criminels, plutôt qu’à s’en prendre à la racine de ces problèmes. S’il était un peu plus clairvoyant, il aurait sans doute pu m’être un allié utile... Mais bon, peu importe... Je t’ai, toi, et c’est amplement suffisant. »
Pamela estimait qu’il ne valait mieux pas irriter Harley, notamment en lui disant qu’elle avait déjà fait affaire avec Batman, et que Batgirl connaissait sa planque, et que, dans une certaine mesure, elles travaillaient ensemble. Face à la menace de voir débarquer le SHIELD si jamais Ivy menait de nouvelles actions écoterroristes, cette dernière n’avait pas hésité. Le SHIELD tolérait ces kidnappings, tant qu’ils n’étaient pas excessifs, et ne menaçaient pas la santé des gens. Il s’avérait que les gens qu’Ivy transformaient redevenaient de bons amants, ou de bons pères de familles. Certes, ils n’étaient pas parfaits, car la perfection n’était pas de ce monde... Mais ils étaient mieux.
Tandis que la voiture se rapprochait d’un fast food, à l’un des centres commerciaux de la ville, Harley lui posa une nouvelle question, concernant sa « tenue sexy », avant de lui rappeler que c’était Harley qui l’avait libéré de la cage, à l’époque de l’asile. Cette dernière se mit à sourire.
« De mémoire, tu avais hésité avant de le faire... Ce n’est pas très amical, ça... Quant à ma tenue de prisonnière... Tu sais que je n’ai jamais aimé porté de vêtements sur moi, mais... Il se peut que je l’ai encore dans mes affaires. »
Il faudrait faire des recherches. La voiture s’arrêta en fanfare devant le fast food, attirant quelques regards de la part des gens situés dehors, tandis qu’Harley se mit à poser une question : la manière forte, ou la manière douce ? Ivy se pencha vers elle, et posa un doigt sur son nez, avant de l’embrasser.
« Et si on utilisait plutôt MA méthode ? »
Poison Ivy sortit de la voiture, et attrapa la main d‘Harley, avant de lui sourire.
« Je te parie que je ferais jouir le serveur. »
Pamela entra dans le fast food, et se concentra un peu, répandant ses spores aphrodisiaques. Tous les clients tournèrent la tête vers elle, hommes ou femmes. Les spores marchaient toujours mieux chez les hommes, mais les femmes aussi avaient des hormones. De cette démarche lente et élégante qui la caractérisait, Poison Ivy s’avança vers le comptoir. Il y avait une belle queue, mais les hommes s’écartèrent d’eux-mêmes. Esquissant un sourire, elle caressa le menton de l’un d’entre eux.
« Merci, mon joli. »
Elle continua à s’avancer, et rejoignit le comptoir. Tous les serveurs l’observaient. De beaux adolescents, mais le regard de Poison Ivy s’attira rapidement vers un autre serveur, musclé, et bien bâti, avec une légère barbe qui allait toujours bien chez les hommes. Il y avait, sur son badge, inscrit « JÉRÔME (http://nathie.deviantart.com/art/Jerome-Walker-373740681) ». Poison ivy tourna sa tête vers Harley.
« Il te plaît, lui ? Tu n’as pas du avoir l’occasion de coucher avec beaucoup d’hommes depuis ton arrivée à Seikusu, non ? »
Autant voir jusqu’à quel point Harley se considérait comme débarrassée de « Monsieur J. », et ce brave serveur, qui avaiut els joues rouges, et une belle érection, semblait être un bon moyen de le savoir.
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Gotham qui aurait une mauvaise influence sur elle? Tiens donc? C'est vrai qu'en observant d'un œil distraient les informations, ne serait-ce qu'aux États-Unis, on en voit des belles et des pas mûrs! Une invasion d'extraterrestre à New York sauvé par une bande de Super Héros nommé les Avengers, du racisme envers les mutants et pourtant ces derniers tentaient d'aider les gens. À force, même les plus purs d'entre eux risquent de retourner leur veste comme ce type il y a quelques années qui ne cessaient de monter des plans que les X-Mens détruisait... Magneti? Magneton? Magnétoscope ou quelque chose du genre? Et quand on voit pour Gotham, il n'y a pas vraiment de bons membres face à des méchants avec une certaine cause ou une menace pure et simple, c'était surtout le Batman qui tape Gueule d'Argile, Mister Freeze et compagnie car ils ont un plan... Nuance, ils ont tous une bonne raison d'agir de la sorte mais lui, ne voit que sa justice! Après tout, elle n'était pas très fan des autres barons du crime à Gotham mais elle devait bien reconnaître que le frigo sur patte avait au moins le mérite d'avoir un peu d'humanité. Elle ne savait pas tout de Freeze mais elle savait que sa femme était cryogénisée et ce dernier tentait toujours de la délivrer sans la tuer. Si c'est pas beau ça! À quand Monsieur J qui en faisait autant pour elle? Elle ne savait pas... faudrait déjà qu'il lui arrive malheur mais autant que possible, elle préférait rester en bonne santé que jouer les princesses endormis en haut d'une tour.
Elle parlait de quoi déjà? Ha oui, l'air de Gotham... C'est vrai que cette ville réunit un bon potentiel de criminalité, surement la plus grande! Sans Batman, Batgirl, Batwoman, Nigthwing, Robin et autres, Gotham ne serait que le point central du crime et tous les criminels se feront la guerre ou alors s'allieront pour avoir plus de territoire... Mais elle ne voyait pas son Joker s'associer à d'autres si ce n'est pour leur planter un couteau dans le dos. Joker avait beau être imprévisible, c'est aussi cela qui faisait son charme... Mais qu'est-ce qu'elle dit! Elle ne doit plus penser à lui!!! Gotham était peut-être une ville à haut taux de criminalité, ça ne justifiait en rien son comportement! Harleen est comme elle est ici, non? De plus en plus, elle avait l'impression que cette ville lui avait changé sa Ivy... En était-il de même pour les autres résidents de Gotham dans cette ville? Même pour Batman, elle lui passait l'éponge! Mais quel cauchemar! Une chance qu'elle se soit rattrapé sur la fin. Harley se fichait de la route, elle eut un petit regard vers elle en souriant avant de reprendre. Qu'elle ne croit pas non plus que ça sera simple de la manipuler, elle se fourre la tige dans l'œil et jusqu'à la racine.
Une fois arrivée à destination, elle reparlait du temps d'Arkham, une de leurs dernières rencontre, lui rappelant qu'elle avait une dette envers elle. Oui, elle n'avait pas oublié son hésitation mais elle n'était pas sur la liste, ce n'était pas de sa faute! Et puis elle avait quand même décidé de la sortir de là, avec tout ce qu'elle avait fait pour Joker. En plus, par la suite, Ivy avait même absorbé du Titan et collaborer avec son biquet... enfin, si on peut appeler ça une collaboration puisque si elle aurait pu, elle aurait surement fait souffrir Joker... Pour ce qui était de sa tenue, ça serait à voir une fois de retour à la maison, pour le moment, elles avaient faim!
A peine entré, Harley voyait bien qu'Ivy usait de ses spores et sans protection, même elle était un peu touchée par ça même si elle avait une certaine résistance grâce à Pamela depuis le temps. Mais pour les autres, ça ne changeait pas, au Japon, en Amérique, ils étaient tous rapidement tourné vers Ivy. Vers elle aussi mais c'était surtout la belle plante qui était le centre des attentions. Elle lui montra un homme, loin de ses petits ados qui doivent encore être en couple avec leur main droite. Harley se pencha sur le comptoir en remuant ses fesses vers ses spectateurs et spectatrices.
« Hum je suis toute fraiche voyons, je suis arrivée dans la journée... n'empêche... il est plutôt mignon, du moins comparé aux autres mais tu me déçois ma belle... Moi qui me réservais seulement pour toi, tu veux déjà me voir tomber dans les bras d'un inconnu juste pour t'amuser? Et après c'est moi qu'on traite de folle. »
Elle avait à peine eu le temps de retrouver un brin de nostalgie avec elle dans sa serre qu'elle veut déjà se faire plaisir en l'observant dans les bras d'un homme. Quelle vilaine plante. Elle passa son regard sur la petite foule qui n'avaient d'yeux que pour Ivy et un peu pour elle. Elle eut un petit sourire...
« Un instant... »
Elle passa derrière le comptoir pour prendre un balai qui trainait avant de détruire une caméra, puis une seconde, chaque caméra qu'elle voyait était comme un moustique dans sa chambre en pleine nuit. Elles devaient être exterminées! Quand ce fut fini, elle lâcha son balai en retrouvant Ivy. La prenant dans ses bras en se frottant contre elle.
« Par contre, si tu veux leur en mettre plein la vue avec moi, ça marche! Mais tu pourrais refaire la déco? Je trouve qu'il y a un peu trop de fenêtre ici... »
Oui, s'envoyer en l'air au milieu de parfait inconnu pourrait être amusant. Tant qu'il y avait Ivy au moins. Mais pour le reste, les caméras en moins, des plantes pour boucher la vue, oui, elle pourrait bien se laisse tenter par ce délire. Comme son canard, Harley était du genre, imprévisible... Elle pouvait bien être chaude comme la braise comme vouloir tous les dépouiller de leurs biens dans deux petites minutes.
« On leur offre un petit show, on prend à manger et on continue la visite ensuite, ça roule ma poule? »
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Les spores aphrodisiaques d’Ivy avaient séduit tout le public. Harley y résistait plus facilement, car son organisme était habitué à ces derniers, et pouvait donc développer une résistance, résistance à laquelle tous les autres étaient dénués. Hommes comme femmes les regardaient, mais observaient surtout Ivy. Combien de fois avait-elle usé de ses spores à Gotham, pour défier Batman ? Elle séduisait tout le personnel d’une usine, et les envoyait pour la défendre contre le vil Chevalier Noir. Même à Arkham City, elle avait contaminé ainsi de nombreux hommes qui se rapprochaient de son antre. Ses spores avaient toujours fonctionné sur les deux sexes, même si le succès était plus notable chez les hommes. Ivy se rappelait de cette époque avec dégoût, mais aussi avec une certaine nostalgie. Selina Kyle et son costume en cuir lui manquait, quand bien même Catwoman était une petite garce.
La réplique d’Harley la fit sourire. Ivy l’abandonnerait donc à de jeunes hommes ? Cherchait-elle à faire jouer la culpabilité de Poison Ivy ? Pamela ne lui dit rien, avant de la voir briser les caméras, pour lui soumettre une autre idée : coucher ensemble, sous le regard du public. Un public qui était silencieux, mais qui risquait aussi de devenir très agressif, si les deux femmes se laissaient aller. Pamela réfléchit donc rapidement, et trouva rapidement une solution. Pamela enlaça Harley, et l’embrassa tendrement sur les lèvres.
« Ça roule, ma belle… Attends un peu. »
Elle s’avança un peu, et sa main vint caresser un menton. Un homme soupira, un autre l’attrapa, et elle l’embrassa tendrement, avant de le repousser. Les spores les rendaient tous amorphes, dans un premier temps, mais, quand le corps commençait à s’habituer, ils pouvaient devenir violents. Pamela devait donc se méfier, mais, à force de jouer avec ses spores, elle avait appris à savoir comment les utiliser. Le fait est que coucher avec Harley était une offre qui ne se refusait pas, a fortiori devant un public aussi large. Pour autant, ce scénario impliquait nécessairement de devoir prendre quelques précautions élémentaires. Ainsi, Pamela, tout en marchant, rejoignit les bacs de fleurs et de plantes vertes mises ici pour décorer le restaurant.
« J’ai reproduit quelques souvenirs de mon séjour à Gotham, ma belle... Seikusu, sur ce point, a été une ville très prolifique. »
Poison Ivy esquissa un léger sourire, et se rapprocha des bancs de terre. Elle avança alors ses doigts sur sa peau, et se la pinça, jusqu’à faire couler un peu de son sang. C’était un sang verdâtre, évoquant de la sève, et qu’elle fit couler sur la terre. Au bout de quelques secondes, cette dernière commença à trembler, et Pamela se rapprocha des autres pots de fleurs, répandant d’autres gouttes de sa précieuse sève.
« Déshabillez-vous » intima-t-elle aux individus ensorcelés.
Ces derniers, comme ensorcelés, obéirent rapidement, et des tentacules jaillirent des différents pots, venant recouvrir les murs, formant comme des bras interminables qui s’enroulèrent tout autour du restaurant. Entre-temps, d’autres tentacules saisirent les hommes et les femmes du restaurant, et les plaquèrent contre les tentacules, les enroulant, tout en s’activant sur leurs sexes, soit en les pénétrant, soit en absorbant leurs verges pour les masturber avec de nombreuses petites langues roses qui glissaient sur eux. D’autres tentacules vinrent également tous les sodomiser, tandis que d’autres s’enfoncèrent dans leurs bouches, les faisant ainsi taire, remuant lentement en eux.
Poison Ivy observa cela, avec un léger sourire, puis se retourna vers Harley. Les gens étaient contre les murs, mais pouvaient naturellement les voir. Ivy se rapprocha donc de sa belle Harley, près du comptoir, et la prit entre ses bras, l’embrassant longuement, tout en posant une main sur ses fesses, le tapotant en la plaquant contre elle.
« Ohhh, ma belle Harley... Comment peux-tu croire que je voudrais t’abandonner, hum ? Plusieurs fois, j’ai hésité à revenir à Gotham rien que pour te récupérer... Mais j’avais tellement peur que tu restes proche de ton ‘‘biquet’’, ou de retourner en prison, que je n’ai jamais osé le faire. »
Elle l’embrassa à nouveau.
« Oh, j’ai tellement envie de toi, Harley... »
Pamela lui mordilla les lèvres, tendrement, aventurant sa langue dans sa bouche, jouant avec sa propre langue, tout en continuant à la maintenir contre elle, tandis que les gens autour d’eux gémissaient et soupiraient, leurs fluides sexuels renforçant la durée des tentacules qui les immobilisaient et les pénétraient tendrement.
« Je ne veux t’offrir aux autres hommes que parce qu’ils aient la chance de pouvoir profiter de ton corps, ma belle... Mais jamais je ne te laisserai entre eux, tu es trop vitale pour moi. »
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Harley avait bien réussi son coup, il suffisait de rouler des hanches et provoquer Ivy pour que cette dernière lui prête une oreille attentive. En deux temps, trois mouvements, chaque personne ici avait sa plante pour lui tout seul – ou toute seule – alors que les plantes prenaient le pouvoir en fermant le fast-food comme la vue. Eh oui, seules les heureuses personnes ici auront droit à un petit show à l'œil. Pamela se frottait déjà contre elle en l'embrassant et Harley ne se fit pas prier pour en faire tout autant, passant ses mains dans le dos, caressant le corset de la belle plante, remontant doucement pour lui caresser la peau du dos. Si certaines personnes seraient impressionnées par la vue comme par les pouvoirs de l'écoterroriste, Harley y était habitué depuis belle lurette. Ivy avoua ce qu'elle avait sur le cœur, en partie et cela la fit glousser en remontant sa main dans ses cheveux roux en penchant la tête sur le côté.
« Tiens? Dommage que tu sois pas venue. Moi aussi, je me suis ennuyé de toi en tout cas. »
Harley fit une petite moue d'enfant triste avant de se faire à nouveau embrasser. Depuis Arkham City, elle avait eu quelques prises de bec avec son canard comme toujours mais comme toujours, elle serait revenue vers lui, avec ou sans Ivy. La seule façon de plus venir vers lui, ça serait qu'il meurt... Mais elle penserait surement au suicide dans cette situation. Elle se demandait quelle tête ferait Pamela en apprenant qu'Harley a failli être enceinte du Joker mais sans succès. Elle le prendrait bien ou non? Reste à savoir mais cela restera dans les dossiers privés de l'Arlequin. Harley se laissait embrasser en gardant ses yeux fermées, ça lui faisait un bien fou après s'être tant retenu pour monsieur J puis finalement être délaissée. Là, elle revivait un peu grâce à Ivy. Sans elle, dans cette nouvelle ville, déjà jetée par son biquet, elle aurait surement fait pire que voler une voiture. Surement pilier une banque ou commettre un petit acte de pur banditisme quelque part? À moins qu'elle se serait tenue à carreau dans un coin à pleurer ou à bouder?
Relâchant le dos de la belle plante, Harley détacha sa ceinture en baissant à peine son pantalon en cuir en se serrant contre son amie.
« Je suis p't'être vital pour toi mais ça marche aussi dans l'autre sens, hein ma belle plante? »
Elle se recula à peine de quelques centimètres, plaçant ses pouces aux extrémités de son pantalon, remuant doucement des hanches comme une pendule en abaissant son pantalon doucement, laissant voir son joli petit string blanc, pour une fois que ce n'était pas rouge et noir! Elle laissait son pantalon en bas des chevilles en caressant le menton d'Ivy avec son index, d'un air provocateur.
« Si longtemps éloigné, c'est que tu as dû être triste ma pauvre petite rose? Haha... allez, viens donc. Je vais te donner à boire ma belle plante. »
Harley laissait sa seconde main caresser l'entrejambe d'Ivy alors que son propre regard se posait entre leurs jambes. Oui, Pamela pouvait venir faire jouir Harley avec sa petite bouche, elle lui donnera tout plein de jus intime pour nourrir sa petite rose.
« Je dois bien reconnaître que ton coup de langue m'a manqué. Tu embrasses si bien ma bouche... j'ai un peu oublié par contre comment tu embrasse mes secondes lèvres? »
Plaisanta-t-elle en levant les yeux au ciel en posant son index sur son menton. Oui, Harley savait toujours y faire, c'est une chose qui n'avait toujours pas changé.
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Les portes étaient closes, les fenêtres étaient obstruées. Le fast food baignait dans une luminosité verdâtre. Ivy revenait, encore une fois, éclairer la vie d’individus ignares, de personnages incapables de comprendre toute la beauté de la Nature. Là, plaqués contre les murs, ils pouvaient comprendre, et admirer à loisir, sans restriction. Ils allaient jouir, c’était évident. Le fast food baignait des spores aphrodisiaques de l’Empoisonneuse, qui se répandaient dans toute la zone. Les hommes et les femmes gémissaient silencieusement, se tortillant lentement. Cette atmosphère accroissait l’influence d’Ivy, sa puissance, son excitation. Lentement, Harley se déshabillait devant ses yeux, et Ivy devait se retenir pour ne pas la prendre contre le mur. Plusieurs tentacules, ressentant l’excitation grimpante de leur maîtresse, s’approchaient lentement d’Harley, glissant sur le sol, comme des espèces de serpents silencieux, à l’affût, prêts à bondir dès que leur proie serait suffisamment proche pour leur permettre d’attaquer. Le sex appeal naturel d’Harleen se renforçait avec leur passé commun. Ce n’était pas la première fois qu’elles faisaient l’amour, et ce ne serait pas la dernière.
Ivy pensait être celle qui avait montré à Harleen tout le bonheur qu’il y avait à coucher avec une autre femme. Avant elle, il était probable que les aventures amoureuses d’Harleen avaient du se contenter du sexe masculin, et être axés autour de la frustration, et d’une forte attirance pour les bad guys. Harleen, c’était, pour Pamela, l’archétype de la bonne élève studieuse qui fantasmait sur les mauvais garçons de la classe. Elle ne connaissait pas le passé d’Harleen, mais elle l’imaginait mal en jeune fille battue vivant dans les immeubles ravagés de Park Row. Non, elle la voyait plutôt en jeune fille bien élevée, dans une situation familiale où son père exerçait une forte autorité sur sa femme. Une petite soumise très douée, qui était attirée par ce qui était anormal... Comme Elizabeth Swann et Jack Sparrow, pour reprendre un exemple moderne.
Faisant lentement glisser son pantalon, Harleen s’offrit à Pamela, qui loucha sur son petit string, ainsi que sur sa promesse. Lécher son minou, ses lèvres intimes... Ivy esquissa un léger sourire.
« Ça, je suis sûre que ça a du te manquer, Harleen... Quelle autre langue que la mienne peut ainsi te faire jouir, hum ? »
C’était comme ça que leurs relations sexuelles avaient commencé, en réalité... Par des coups de langues. Qu’Harleen exprime le désir d’y goûter à nouveau n’avait rien d’exceptionnel. Cependant, depuis Gotham, le corps d’Ivy avait changé. Elle pouvait par exemple transformer sa langue, en faire un tentacule qui s’enfoncerait en elle... Mais Pamela n’allait utiliser que sa langue, normale. Cette dernière était rouge (elle pouvait toutefois en changer le coloris, comme pour tout son corps). Ivy fléchit les genoux, et posa ses mains sur le string d’Harley.
« Lui, je crois qu’il ne servira à rien ce soir... »
D’un coup sec, elle le déchira en deux, et le laissa tomber sur le sol, puis respira l’intimité d’Harleen. Elle avait encore des résidus de leur séance de sexe au lycée, quelques traces... À moins qu’il ne s’agisse de l’excitation qu’elle ressentait en ce moment ? Après tout, Harley ressentait aussi les aphrodisiaques de Poison Ivy, et, même si son organisme avait pu s’y habituer, il restait encore légèrement exposé. Poison Ivy fronça alors les sourcils en voyant la manière dont Harley avait épilé son intimité... Ses poils pubiens formaient un petit cœur.
*Seigneur, Harley...*
Ivy soupira, et secoua la tête.
« Harley... Espérais-tu donc vraiment que je poserais ma langue sur tes poils ? »
Les tentacules jaillirent alors, et saisirent chacun des membres d’Harley, afin de la mettre en croix, tout en la soulevant légèrement. Les tentacules à hauteur de ses bras s’enroulèrent autour de ses poignets, tandis que ceux au niveau de ses jambes filèrent autour de ses chevilles. Ses membres furent fermement écartés, ce qui devait tirer un peu sur ses muscles. Pamela aimait bien les intimités épilées. La sienne était d’ailleurs proprement épilée, une conséquence positive de sa transformation.
« Je vais m’occuper de ça... »
Un tentacule se rapprocha de l’intimité d’Harley, et, sans la pénétrer, cracha une espèce de liquide entre ses jambes. Ivy s’approcha ensuite, et durcit ses ongles, les allongeant légèrement... Et coupa, très proprement, avec ce sang-froid de scientifique qui la caractérisait. Le tentacule continua à cracher son jus, jusqu’à ce que, au bout de quelques minutes, Harley soit proprement épilée. Ce n’était pas définitif : les poils pubiens repousseraient, mais Ivy voulait lécher une délicieuse peau tendre. Elle laissait les duvets et les poils aux hommes et aux félins. Elle se rapprocha un peu, tandis que les tentacules qui avaient immobilisé Harley se retiraient.
Posant ses mains sur les fesses d’Harley, Ivy frotta son nez contre son bassin, et lécha son intimité, glissant sur ses lèvres intimes, avant de s’enfoncer dans son intimité, perdant sa langue dans sa grotte. Les lèvres s’écartèrent docilement, et elle glissa le long des parois internes, chaudes, tendres, légèrement visqueuses. Le bout de sa langue alla rapidement titiller le bouton d’amour de sa belle, le pressant généreusement.
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La soirée continuait de plus belle dans ce fast-food, elles n'étaient pas prêtes de manger tout de suite mais une chose est sûre, elles risquent de bien s'amuser et de rattraper le retard qu'elles avaient prise ayant coupé les ponts si longtemps. Faut bien dire ce qui est, Harley avait quand même faim mais pas que de nourriture soi-disant mauvais pour la santé en grosse quantité, de la bouffe de jeunes. Là, ce qu'elle avait sous les yeux étaient quand même bien plus intéressant qu'un repas constitué d'un hamburger et de frites. Une belle rouquine perverse qui avait déjà donné une bonne leçon à leur petit fan-club et qui voilait déjà gouter au plat de résistance, voir le dessert... Dans quelle catégorie se range-t-elle? Plat ou dessert? Bof, elle était les deux à la fois. Elle pourrait bien répondre à Pamela, lui dire que le Joker pourrait la faire jouir facilement avec sa langue mais elle risquait de voir rouge et de finir comme tous les autres. Accroché au plafond avec une multitude de lianes pour s'occuper d'elle. Puis ce n'était pas son but de la rendre colérique, au contraire, avec le coup que son biquet lui avait fait, c'était bel et bien sa belle langue qui pouvait la faire jouir aussi facilement que voler la sucette à un bébé! Arrachant sa petite ficelle sans ménagement, elle la laissait trainer sur le sol, comme une vulgaire serpillère. Penser à le reprendre avant de partir, ça pourrait être une preuve.
« Tu pourrais faire attention quand même sinon je risque de finir par me balader à poil chez toi~ »
Pour sur, Pamela ne serait pas contre une telle chose mais cela ne serait pas facile de rester concentré trop longtemps chez elle... à force, ça ressemblerait au jardin d'Eden et que ce soit Ivy ou Harley, l'une finira par sauter sur l'autre. En revanche, si la première fois, son petit cœur avait été mignon, vu de près, ce n'était pas charmant?
« Bah quoi? Pourtant je me suis dit qu'une belle plante comme toi aimait brouter le gazon? »
Voyez le double sens de la phrase quand même! Puis bon, ce n'était pas moche? Elle avait payé une esthéticienne pour ça. Payer est un bien grand mot vu les menaces qu'elle lui avait faite mais le résultat était là. Un petit cœur, taillé court, c'était tout mignon pourtant! Mais vu les tentacules qui s'enroulaient autour d'elle pour la soulever et Ivy qui s'amusait à jouer le rôle de l'esthéticienne, ça ne lui plaisait pas. Ce liquide était froid, amusant mais froid. Elle gardait Pamela à l'œil et une fois que ce fut fini, que ses bottes pouvaient toucher le sol, elle déposa sa main dans les cheveux roux de l'Empoisonneuse alors que sa seconde main détacha une à une les ficelles de son corset.
« Huuum... voilà la petite langue qui m'avait tant manqué. »
Les fesses posées sur le rebord du comptoir du fast-food, Harley se caressa un sein en observant son amie venir retrouver de bons souvenirs en elle grâce à de telles sensations, léchant sa cyprine, enfonçant sa langue dans ce petit coin? Toujours aussi doué. Mais attention, n'oublions pas qu'Harley était à double tranchant, elle pouvait être la plus adorable des petites chattes ou la pire des petites pestes. Actuellement, c'était un peu entre les deux... Sa main si douce qui lui caressait la tête la maintenait un peu plus contre elle, son regard se fit un peu plus dominatrice, hautaine, comme son ton d'ailleurs.
« Oui... lèche-moi bien Ivy... tu m'as tellement manqué qu'une nuit ne suffira pas... »
Mais elles pourraient recommencer plus tard bien sur, ça n'empêchait pas la suite de se faire bien entendu. Sa seconde main se caressait la poitrine face aux délicieux petits coups de langue de son amie de longue date. Elle gémissait doucement, gardant essentiellement un œil sur Ivy et rien d'autre. Si son pantalon ne serait pas sur ses chevilles, elle lui aurait surement bloqué sa tête entre ses jambes mais pour coup, c'est raté si elle voulait faire ça. Disons plutôt que le temps de se mettre en place que l'Empoisonneuse aurait deviné. Pour le moment, elle laissait donc travailler Pamela, à sa façon. À part sa main qui la maintenait entre ses jambes, elle était libre de tout mouvement après tout.
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Lorsqu’Harley retira son corset, et que Pamela le sentit sur sa tête, il y eut d’autres orgasmes qui éclatèrent de la part des silencieux spectateurs observant la scène. L’un d’entre eux se tortillait faiblement dans les tentacules, soupirant en regardant les deux femmes. Cette scène était terriblement excitante, il fallait bien le reconnaître. Sensuelle et surréaliste, c’était à se demander ce qui se passait. De mémoire, Harley et Ivy couchaient assez rarement de cette manière, avec un public. Elles préféraient faire ça discrètement, généralement parce qu’Harley craignait qu’un homme du Joker ne l’aperçoive. Un choix que Poison Ivy comprenait tout à fait, mais qu’elle admettait difficilement. Visiblement, il fallait croire que l’atmosphère de Seikusu décoinçait un peu la belle Harley. Elle n’avait manifestement plus peur que le Joker la voie, et ne réalise qu’elle ne le trompe.
*D’un autre côté, elle a quand même tenu à ce que mes plantes obstruent toute vue à l’extérieur...*
Il y avait largement matière à interprétation, mais c’était Harleen la psychologue, pas Pamela. Ivy léchait son intimité sans hésitation, savourant le contact de la main d’Harley sur sa tête. Elle était désormais totalement nue, son corset ayant glissé, ainsi que son pantalon, que Poison Ivy avait achevé de lui enlever. Nue, Harley était une femme d’une beauté renversante... Tout comme quand elle était habillée. Un véritable appel au sexe sauvage. Ensemble, dans l’atmosphère érotique de cette ville, Poison Ivy ne se faisait pas trop de doute sur la nature de leur relation, si Harleen se décidait à emménager chez elle. Ce serait loin, très loin, d’être purement chaste.
La langue de l’Empoisonneuse remuait dans l’intimité de sa partenaire, tandis que ses mains caressaient ses jambes, glissant le long de son aine, avant de se déplacer pour peloter ses fesses...Ou, tout du moins, la partie qui n’était pas assise sur le comptoir. Derrière elle, le brave Jérôme, le serveur qui aurait pu coucher avec Harleen, en était à son deuxième orgasme, jouissant dans un tentacule, soupirant silencieusement. Il avait, après tout, une vue des plus magnifiques : le dos d’Harleen, un dos qui avait beaucoup servi avec Ivy. Sa langue jouait longuement dans son intimité, avant sa mouille, pressant son clitoris, le nez de Poison Ivy se pressant contre sa peau. Sans relâche, elle léchait, avec un certain talent buccal, et finit par amener l’une de ses mains. L’autre glissait sur le bas du dos d’Harleen. Les soupirs et les gémissements de sa partenaire la motivaient, et elle avançait sa main, glissant un doigt en elle, alternant entre sa langue baladeuse et son doigt. Un deuxième doigt se glissa rapidement, et, peu à peu, Ivy se contenta de la doigter, relevant alors la tête pour voir le corps d’Harleen se contorsionner de plaisir, pour la voir en sueur, pour l’entendre gémir, pour se délecter de cette magnifique vision. Ses doigts, enfoncés dans son jardin secret, titillaient son bouton de plaisir, appuyant dessus, le pressant tendrement. Elle continuait ainsi, avant de ramener sa langue, la glissant dans son intimité.
Oh, ce n’était pas la première foufoune qu’Ivy visitait, elle savait y faire, à force. Ses mains ne tremblaient pas, elle n’avait pas cette nervosité qui vous amenait à faire n’importe quoi durant l’acte, mais une maîtrise de soi, maîtrise confortée par ses années d’expérience en la matière. Elle ne comptait pas lâcher Harley avant que cette dernière ne finisse par jouir, et par pouvoir exaucer d’autres de ses fantasmes. Ivy finit par retirer ses doigts, et recommença à lécher son minou, longuement, passionnément, gémissant lentement, respirant par le nez. Ses jambes vertes étaient posées sur le sol, et elle était également toute nue, magnifiquement nue, dans un corps de rêve, aux proportions féériques, enchanteresses. Il était normal que les hommes et les femmes du fast food louchent sur ce corps magnifique. On ne pouvait guère leur jeter la pierre, après tout.
« Jouis, ma belle, l’encouragea Ivy, laisse-toi aller, je veux sentir ta mouille éclabousser mon visage... »
Ivy se sentait chaudement excitée. Tandis que les hommes se faisaient prendre et jouir, un poison insidieux se répandait dans leurs veines. Il ne les tuerait pas, mais les transformait peu à peu en véritables prédateurs sexuels, durcissant leurs sexes, accroissant leurs queues, et leur appétit sexuel.
Elle comptait bien se servir de son public. Harley allait en effet réaliser que la perversion de Poison Ivy ne s’était pas atténuée au pays du Soleil Levant.
C’était même tout le contraire.
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Que faire de plus? Harley au naturel était déjà des plus imprévisible, pouvant avoir l'air d'un gentil chaton tout doux comme un véritable rottweiler agressif la seconde d'après. Dans les situations de tous les jours comme au lit bien entendu. Harley ne pouvait donc pas se laisser dompter si facilement. Dire qu'avant de tomber sur la route du Joker, elle était une femme comme les autres, brillante, sérieuse, une femme... banale, banale à mourir et heureusement, le clown de service à su réveiller la véritable Harley Quinn que tout Gotham connait et que Seikusu ne tarderait pas à connaître aussi. Pas de jaloux après tout. Maintenant nue, elle caressa les cheveux de feu de la belle Pamela, l'ayant à l'œil cette belle plante. Ivy n'avait jamais vraiment été en colère contre elle, pas à sa connaissance en tous cas, surtout dans ce genre de situation mais elle préférait rester sur ses gardes. Ce n'était pas une perte de confiance, simplement, elle voulait savoir quand elle, pourra mieux agir sur Ivy, eh oui, elle ne va pas rester indéfiniment comme ça à se faire lécher le minou par la belle rose. De son petit sourire hautain, Harley appuya un peu plus la tête d'Ivy entre ses jambes, frissonnant quand son bouton d'amour venait se frotter au nez de Poison Ivy. Harley gémissait doucement, parfois ses gémissements étaient saccadés par le plaisir, parfois sa main était plus douce dans ses cheveux, parfois au contraire plus forte pour mieux la forcer à aller la connaître plus au fond.
La blonde ne remuait pas tellement, plus occupé à gémir en observant Pamela avec une certaine lueur dans le regard. Sa langue faisait un excellent travail après tout, autant s'assurer que cela dure. Dommage qu'elle ne puisse pas vraiment profiter de ce corps superbe, le lécher, le toucher simplement, baver dessus... c'est bien la seule chose qu'elle pouvait faire pour le moment. Mais bon, vu leur position, à part sa tête et légèrement son dos, Harleen ne voyait pas grand-chose d'intéressant alors que dieu sait qu'il y a bien plus à observer chez cette femme splendide! Quand elle vint la faire approcher de l'orgasme en se reculant, lui demandant cette petite chose, c'était comme la cerise sur le gâteau. Harley gloussa en étirant son sourire.
« C'est ce que je compte faire Ivy d'amour~ je compte bien arroser la belle plante que tu es. »
Elle aurait pu rajouter salope mais... la partie ne faisait que commencer. Elle attira sa tête entre ses cuisses une nouvelle fois en frissonnant de plaisir, elle allait la reculer de son intimité quand il le faudra, pour l'heure, elle laissait cette langue si douée venir lui caresser l'intimité et quand elle sentait enfin l'orgasme venir, elle poussa la tête de Pamela, usant de ses doigts pour écarter ses lèvres et asperger Ivy de sa cyprine dans un délicieux gémissement. Elle en aurait presque fermé les yeux si elle n'avait pas autant envie de voir Ivy se faire arroser. Elle aurait pu donner à cela une version plus scatophile en urinant, elle en était capable. Mais elle se demandait si Ivy serait d'accord? L'urine, c'est pas bon pour les plantes après tout? Mais bon, pour le moment, elle avait surtout envie de jouir, pas de pisser. Relâchant enfin sa tête, elle posa sa main dessus, comme pour la prévenir de ne pas se relever car l'Arlequin rejoignait l'Empoisseuse en se collant à son corps sexy et chaud, venant l'embrasser à pleine bouche, remuant sur elle comme un poisson hors de l'eau en la poussant par terre.
« T'a aimé hein? J'ai pas fini de te cultiver mon petit potager sexy ♥ »
Il n'y a bien que de sa bouche que ce genre de « compliment » pouvait sortir. Elle aurait bien pu dire mon petit cul d'amour mais c'était d'un vulgaire! Alors que là, tout en finesse et en romantisme, c'est bien mieux, non? Alors qu'elle avait repris ses baisers, elle cessa à nouveau, comme si elle venait de remarquer une chose? C'est d'ailleurs ce qu'elle a fait.
« Dis donc toi? Depuis le début, tu profites beaucoup de mon corps mais c'est pas beaucoup le contraire... C'est donc à mon tour! »
Se glissant plus bas, elle abandonna les belles lèvres vertes d'Ivy pour venir lécher sa belle poitrine si douce, si confortable, haa, ses précieux oreillers de secours, elle les avait oubliés ces deux-là! Toujours la forme apparemment. Sa main caressa en douceur, palpait cette zone bien moelleuse et agréable et sa bouche ne semblait pas dire le contraire. Léchant ce petit bout de chair, elle venait le sucer tantôt doucement, tantôt avec passion, pas encore avec les dents mais si son comportement change soudainement, peut-être bien? Pas pour le moment, Harley était bien trop occupé à savourer en gémissant, se tortillant doucement. On pourrait presque croire qu'elle offre cette vue à son public et pourtant... elle se fout royalement de la déco vivante dans cet endroit puant la graisse et l'huile.
« Y a pas a dire, eux aussi ils m'ont autant manqué que toi ma fleur sexy! On continue? »
Bien sur que oui! Harley se remettait déjà joyeusement au travail!
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Comme quoi, tout, à Gotham, n’était pas à jeter. De cette période de sa vie, Poison Ivy ne gardait pas un très bon souvenir. L’atmosphère viciée de la ville se mélangeait à la corruption ambiante, les produits toxiques d’Ace Chemicals Plant se mélangeaient aux lourds nuages chargés par les gaz polluants que les usines expulsaient sans vergogne. La Sionis Steel Mill, avant de devenir le repaire du Joker, en avait été un très bon exemple. Une usine où aucune norme écologique n’était respectée, seulement la loi du dollar, sous la férule du redoutable Roman Sionis, PDG de Sionis Industries, et accessoirement psychopathe et criminel célèbre, connu sous le nom de Black Mask. Dans cet enfer, Pamela n’avait jamais vraiment réussi à développer un jardin d’Éden, à purifier cette ville contaminée de sa souillure, et il était donc naturel qu’elle ait de Gotham un avis très négatif. Cependant, il y avait eu des à-côtés positifs, généralement des courbes féminines. Catwoman avait été l’un d’eux. L’insolente petite chatonne avait été une partenaire très agréable, aussi irritable qu’insupportable. Soit Ivy lui faisait l’amour, soit elle essayait de la tuer, c’était tout l’un, ou tout l’autre... Et, par ailleurs, il y avait eu Harley. Une schizophrène compulsive, oscillant entre deux personnalités : Harleen Quinzel, l’étudiante modèle effacée, une interne en psychologie, qui avait travaillé à Blackgate, avant d’être réaffectée à l’asile d’Arkham, et Harley Quinn, une tueuse extravertie capable du meilleur comme du pire... Une amante assez personnelle, avec laquelle il y avait eu de multiples séances de sexe, aussi douces et tendres que crades et ardentes. Harley était tout simplement une femme qui bne se refusait à aucune excentricité, et Pamela était une femme qui considérait que les fantasmes ne devaient pas être restreints par des considérations morales ou des restrictions sociétales. Dans l’intimité, il fallait se faire plaisir, et elle appliquait pleinement ce principe.
Leur public muet gémissait en se tortillant, les tentacules les immobilisant. Il était probable que, après leurs ébats, Pamela utiliserait une potion de son invention pour les rendre amnésiques, pour qu’ils voient en cette séance une sorte de rêve. Ainsi, il n’y aurait pas de risques qu’ils en parlent à leurs proches, que la police s’y mêle, et, au-delà de ça, que les agents du SHIELD reviennent voir Pamela. Elle n’avait encore pas eu l’envie et l’occasion d’expliquer à Harley que, légalement, sa situation avait quelque peu changé. Harley aurait pu s’inquiéter, car l’Arlequin savait qu’elle était une fugitive. Ivy ne voulait pas l’effrayer.
Pour l’heure, elle retourna lécher le sexe de l’intéressée, aventurant sa langue dans son minou. C’était une partie du corps d’Harley qu’Ivy connaissait beaucoup. C’était elle qui l’avait initié à ce genre de plaisir, à une époque où Harley était une hétérosexuelle convaincue n’ayant de yeux que pour le Joker. Pamela avait initialement presque du la forcer, mais, ensuite, c’était Harley qui y était revenue. Avec les femmes, et surtout avec Ivy, c’était bien plus différent. Poison Ivy s’y connaissait, et les spores que son corps émettait ne faisaient que rendre ce genre de scènes encore plus excitantes, libérant Harley dans ses fantasmes les plus pervers. La langue de l’Empoisonneuse glissait dans le corps de sa belle partenaire blonde, heurtant son clitoris, goûtant à sa mouille. Sa partenaire se faisait plaisir, elle prenait son pied, et Pamela posa ses mains sur son corps, agrippant ses belles fesses, s’en servant comme appui, tout en léchant voracement, soupirant et gémissant.
*Je ne peux pas le nier, ça m’avait également manqué...*
Ivy frottait son nez contre la peau douce et chaude de sa partenaire, et il s’écoula encore quelques minutes, avant qu’Harley ne finisse par tirer le visage de Pamela en arrière. La langue d’Ivy claqua dans le vide, avec un peu de la semence d’Harley sur ce muscle. Harley lui jouit ensuite sur le visage, balançant un jet de mouille. L’éjaculation faciale était un truc qu’elle aimait bien, au même titre que l’ondinisme. Harley avait des fantasmes sexuels déviants, qu’elle ne pouvait pas forcément laisser s’exprimer devant son « biquet ». À défaut, Ivy, qui était également une bonne plante sexuelle, servait de réceptacle.
Pour le coup, Harley se contenta simplement de lui jouir en pleine figure, et Ivy, toute excitée, mouillant également, lécha le pourtour de ses lèvres avec sa langue, avant que sa partenaire ne se rapproche, et ne la force à s’allonger sur le sol. Les deux femmes s’embrassèrent tendrement, sur le carrelage froid du fast food. Si Ivy avait eu le temps, elle aurait fait pousser une mousse végétale sur le sol, mais c’était plus compliqué à faire. Elle conservait une main sur le joli cul de sa partenaire, son doigt glissant dans sa croupe, sans encore la sodomiser. Oh, bien sûr, il n’y avait pas à s’en faire, le joli cul d’Harley serait exploré par le doigté expert de Pamela, ou par ses plantes... Mais, pour l’heure, Ivy comptait laisser Harley s’amuser.
« Viens, ma belle... Je suis si heureuse de te revoir, Harley, toi et ta passion... »
Elle n’avait pas à rougir des talents d’Harley, et, en délaissant ses lèvres, l’intéressée fila vers ses seins, qu’elle se mit à lécher et à compresser, les suçant et les embrassant. Elle frottait le corps de Pamela contre le sien, remuant de haut en bas. Sentait-elle la mouille de l’Empoisonneuse sur son estomac ? Ressentait-elle tout le désir de cette dernière ? Pamela se mit à soupirer lentement, caressant les cheveux de sa partenaire, plaquant un peu son visage contre ses seins, afin qu’Harley s’en occupe, comme elle aimait si bien le faire.
« Oh oui... Humm... Continue, ma belle, continue… Pourquoi vouloir t’arrêter ? Mon corps est à toi, tu le sais bien... »
Les jambes de Pamela frottaient le corps d’Harley. Elle aimait tellement ça !
« Encore, Harley, encore !! »
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Voilà des choses qui lui avaient manqué dans sa cellule sombre et très étroite, une présence comme Ivy aurait rendu l'asile d'Arkham digne d'un décors porno à petit budget. Sa cellule en aurait vu et entendu des choses si elles se seraient croisé en même temps. Mais bon, hélas, des prisonniers comme elles, elles étaient dans des cellules individuelles, loin des autres. C'est sur qu'elle n'aurait pas aimé partager sa cellule avec un nabot comme le Pingouin ou se frotter à Killer Croc mais bon, une belle plante pour égayer sa cellule, ça ne mange pas de pain quand même! Mais il était temps d'oublier ses prisons froide et ennuyante à Gotham, une nouvelle vie l'amenait à Seikusu et elle comptait bien entendre tous ses petits Japonais prononcer son nom avec leur petit accent tout mignon en prononçant les R en L ce qui Harley donnerait quelque chose comme Halueyu Quinu. Ça changeait complètement la donne! Mais ça faisait marrant! C'est sur qu'elle n'était pas une professionnelle en japonais, elle savait parler cette langue couramment mais après le reste, ses années auprès de son biquet lui ont un peu ramolli ses connaissances. Heureusement, il y a des choses qui ne changent pas ici, les petits malfrats, les armes, la pègre locale, Ivy... Elle pouvait bien dire qu'elle avait laissé le crime de côté, qu'elle était prof et qu'elle aimait ça, Harley n'y croyait pas une seule seconde. C'est comme du maquillage, tôt ou tard, ça va s'effacer et elle montrera son véritable visage.
Pour le moment, son véritable visage attendre, Harley savourait ce corps qui lui avait que trop manqué! Elle aurait pu profiter de tout ça avec son canard mais comme ce dernier l'a jeter comme un vieux mouchoir sous prétexte qu'il bosse sur son plan, Harley l'a renié! Surement pas pour très longtemps mais pour le moment, c'était la dernière personne à qui elle adresserait la parole! Alors du coup, double ration de plaisir pour Ivy! L'arlequin s'accrochait à sa poitrine, la léchant du bout de la langue avec de longs gémissements ou parfois comme un gros bébé affamé, accroché à ce tout petit morceau de chair bien dur, elle mordrait quiconque voudrait la retirer de son petit plaisir. Son corps se frottait à celui de la belle plante, sentant sa sève s'étaler sur son ventre, c'était assez mignon. Les mains de sa petite rose passait dans ses cheveux, abimant ses couettes qu'elle a si bien fait pourtant, elle remuait comme un poisson hors de l'eau en se collant le plus possible à Pamela. C'est con mais sentir ses jambes qui la caressent, ça lui donne envie d'en faire autant. Mais pour l'instant, elle allait faire plaisir à Pamela et se concentrer surtout sur sa poitrine. Après tout, pourquoi elle irait s'en détacher? C'était si doux et délicieux, ce serait pas juste de laisser une telle poitrine s'ennuyer. Voir la belle rousse en demander autant était savoureux et ça avait un petit quelque chose d'amusant...
« Petite gourmande~ »
Oui mais c'était compréhensible aussi. Une si belle femme qui devait s'ennuyer avec tous ses gamins prépubères. Ça a besoin d'une vraie femme pour l'amuser et faire passer le temps. Fini pour elle le temps de se tourner les pouces, Harley comptait bien lui faire rappeler qu'elle était de retour. C'est sur qu'elle en avait des projets, faire parler d'elle dans Seikusu ce qui risque de ne pas se faire en un seul soir, retrouver le lapin blanc pour la remercier de sa liberté et lui accorder une petite faveur à la limite, bref, elle ne risquait pas de s'ennuyer mais elle aura bien l'occasion de s'amuser avec Pamela, ça, c'est l'évidence même. Au final, elle relâchait sa poitrine avec sa bouche mais c'était pour mieux s'amuser bien sur. Elle attrapait les mains de sa partenaire qui se baladait ici et là sur son corps pour les plaquer contre le sol alors qu'Harley remontait en frottant sa poitrine contre elle, venant plaquer ses seins contre les siens. Elle ne faisait pas ça pour rire, elle plaquait vraiment Ivy au sol. Elle souriait assez pour montrer quelques-unes de ses dents derrière ses lèvres bien rouges.
« Tu es à moi Ivy... tu l'as dit toi-même ma petite trainée, haha! »
Une pointe de folie dans son regard passait dans le regard de sa partenaire mais ce n'était rien de dangereux, juste la facette si imprévisible d'Harley qui faisait surface. Elle venait l'embrasser à nouveau fougueusement en dandinant son corps contre le sien. Elle pouvait se laisser faire ou se rebeller, elle s'en fichait en vérité. L'arlequin en profitait pour bien sentir les lèvres intimes de la belle plante se frotter contre les siennes avant de doucement relever les fesses pour mieux écraser son petit minou contre le sien, mêlant leur jus intimes et leurs lèvres entre elles avant de recommencer l'opération plusieurs fois. Avec un gode ou un pénis végétal, ça serait aussi bien mais cette relation lesbienne avec aussi ses petits avantages. N'était-ce pas si agréable de sentir leurs lèvres s'embrasser de la sorte et avoir un doux frisson de plaisir quand elles se frottent entre elles?
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Ah, Harley... Harley, Harley, Harley... Ivy en irait jusqu’à se damner pour elle. Elle ne comprenait pas l’attraction que cette petite hystérique apportait chez elle. Ce n’était pas que purement sexuel, il y avait nettement quelque chose de plus, quelque chose qui avait amené à la prendre sous son aile, quelque chose qui l’amenait à se fâcher à chaque fois que cette petite sotte retournait entre les griffes de son « biquet », et se retrouvait ensuite en prison. Harley était une tueuse, une psychopathe, une femme qui n’hésitait pas à torturer, à violer, à commettre des rapts, et, bien évidemment, à tuer. Comment expliquer cette attraction ? Harley revenait dans sa vie, et Pamela avait déjà commis un trip fatal : voler une voiture appartenant à des Yakuzas, et emprisonner tout le personnel d’un fast food, clients y compris... Est-ce qu’Harley lui rappelait le bon vieux temps ? Mais Ivy peinait à considérer Gotham City comme le bon vieux temps. Une ville hyper-polluée, ravagée par la corruption et la criminalité, une ville où les véritables criminels étaient du bon côté de la loi, et lâchaient sur les criminels leurs chiens de guerre, comme le Chevalier Noir. Il y avait autre chose, une chose qui n’était pas rationnelle, qui n’était pas scientifiquement quantifiable, mais bel et bien présente, et c’était cette chose qui amenait Ivy à se rapprocher ainsi d’Harley, et à lui faire joyeusement l’amour en public. Les gens, excités, les observaient, jouissant silencieusement, en harmonie. Il aurait été tellement facile d’en faire ses nouveaux esclaves... Une simple petite poussée de spores, et ces hommes et ces femmes se seraient mis à son service sans réfléchir.
En attendant, elle caressait les doux cheveux de sa partenaire, veillant à ne pas défaire ses belles couettes. Elle connaissait suffisamment la belle blonde pour savoir que c’était à elle de décider quand elle les enlèverait, si elle les enlevait. Elle la laissait jouer avec ses seins, faisant frémir Pamela, qui sentait l’excitation monter. Harley se contorsionnait contre elle, et, avec son autre main, elle frottait le bas du dos de sa partenaire, se rapprochant lentement de ses fesses, les pelotant un peu... Harley poussa ensuite un peu, et, à la surprise d’Ivy, cette dernière se retrouva couchée sur le sol, Harley attrapant chacun de ses poignets, maintenant ses bras en équerre, au-dessus de sa tête. L’Empoisonneuse cligna des yeux, sous l’effet de la surprise, voyant briller une vive lueur dans les yeux d’Harley, un frisson de domination qui était étonnant... Étonnant, oui, car Harley avait plutôt le profil d’une soumise. Si elle commettait tant d’atrocités, tant de crimes, c’était toujours pour plaire à son « bichon ». Avec Pamela, elle avait plutôt tendance à laisser ce côté dangereux aux vestiaires, afin d’être une sorte de pile sexuelle sur batteries. Cependant, dans les deux cas, elle était toujours assez docile. Cette lueur était surprenante, cette attitude étonnante, mais pas désagréable.
Ivy se mit à sourire, et Harley s’écrasa ensuite sur elle, l’embrassant langoureusement. Soupirant de plaisir, Poison Ivy ferma les yeux, et apprécia avec délice ce baiser, remuant très légèrement ses bras, sentant son corps se tendre. Les lèvres intimes d’Harley frôlaient contre les siennes, remuant un peu, leurs jus intimes venant se mélanger, provoquant de nouveaux frissons d’excitation dans le corps de Pamela, qui était tout simplement fiévreuse de ce moment, enivrée par cette sensation. Le corps d’Harley était délicieux, et que cette dernière puisse ainsi dominer Pamela était un exploit. Harley, effectivement, avait raison, quand elle pensait qu’Ivy méritait une vraie femme. Les lycéennes étaient généralement des potiches. Oh, leur faire l’amour était délicieux, mais elles manquaient de cette maturité et de cette expérience propre à d’autres. Certes, il y avait bien quelques femmes qui permettaient de rehausser un peu le niveau, comme Félicia Hardy, ou même certaines élèves, comme cette Mélinda Warren, mais, de manière générale, il fallait bien avouer que peu de gens arrivaient à prendre les devants sur Poison Ivy et ses spores. Il fallait croire qu’Harley les avait tellement ressenti qu’elle en était presque immunisée.
Les deux femmes s’embrassèrent assez longuement, dans ce qui avait tout d’un câlin sensuel et tendre. Elles soupiraient lentement, Ivy en ayant totalement oublié les autres, totalement plongée dans la contemplation du corps d’Harley, et dans des sentiments qui étaient en train de s’affirmer, de s’imposer à son esprit. Seikusu n’était pas Gotham City, la ville était moins souillée par le crime, même si ce dernier était présent. Elle n’avait pas ce couperet au-dessus de la tête, et se sentait nettement plus libre, plus détendue, plus à même de se poser, et de réfléchir.
Lorsque le baiser se rompit, Ivy observait lentement Harley, allongée sous elle, des pensées assez inédites la traversant. Elle sourit lentement à cette dernière, les mains toujours immobilisées.
« Je suis tellement heureuse de te revoir, Harley... »
Tout pouvait s’interpréter avec cette phrase, et, pour ne pas laisser place à un moment de sentiment larmoyant, Ivy remua un peu.
« Est-ce que cela te plairait, dis ? De soumettre la belle plante que je suis ? »
Voilà, en tout cas, qui serait inhabituel !
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Dans cet échange buccal torride, Ivy se surprenait à voir une Harley plutôt dominante. C'est vrai qu'elle avait le plus souvent le rôle de la soumise mais n'oublions pas un détail. Harley est folle. Peut-être pas autant que le Joker mais elle n'est pas très saine d'esprit alors un brutal changement de comportement venant d'elle, c'est bizarre? Non, c'est naturel tout simplement. Son corps se frottant contre la belle plante, Harley continua d'embrasser Ivy en adorant le goût de cette langue, la chaleur de son corps et son odeur de plantes. Logique. Ça changeait de la sentir d'aussi près, vu l'odeur de graisse et de friture ici, déjà que ses lianes qui s'occupaient du reste des spectateurs dégageaient une agréable odeur de fleur, ça la rendait plus délicieuse. La belle plante était sa chose, Harley avait dressé cette plante carnivore en une petite rose toute gentille? Possible et pas possible à la fois. Harvey Dent s'amuserait à parier cela à pile ou face avec sa pièce fétiche. Décrochant ses lèvres des siennes, la belle rouquine semblait sous son emprise, c'était elle qui dégageait des spores maintenant pour rendre les autres fous d'elle? Amusant mais venant de l'Arlequin, ils seraient justes fou et non de désir! Pamela ne se priva pas de lâcher une phrase qui pouvait avoir plus d'une signification, même d'un éventuel amour naissant ou grandissant entre elles? Mais pour Harley, elle prenait juste cela au pied de la lettre sans chercher plus loin. Elle était heureuse de la revoir.
« Oh mais c'est réciproque ma belle femme en fleurs. Sinon je serais pas là à adorer ton joli corps contre le mien. »
Ivy venait même à se proposer de se soumettre à elle. Harley arqua un sourcil en souriant. Voilà une chose peu banale mais qui méritait d'y réfléchir quelques instants même si avec elle, c'était déjà tout trouvé. Quoi que non. On pouvait croire connaître sa réaction et la voir faire le contraire. On parlait du bras droit du Joker après tout. Harley se rapprocha un peu plus d'elle – son visage du moins – en étirant leur bras de plus en plus, venant coller son front et son nez contre le sien.
« Mais que crois-tu que je fais là? Que je danse la salsa avec Sancho le Cubain? Tu veux être soumise? Alors ma belle rose, je vais couper une à une tes épines comme ça, si je lèche la tige, je me couperais pas la langue. »
Quand elle parlait de tige, elle parlait surtout de son corps mais c'est vrai que ça pouvait prêter à confusion. Mais profitant de cette offre en édition limitée et même collector, elle se redressa en lâchant Ivy de son emprise, venant même l'aider à se redresser mais ce n'était que pour mieux la soumettre. Gardant le sourire, elle se dépêcha – à genoux – de se mettre dans le dos de Pamela en collant sa poitrine contre son dos, passant sa tête par-dessus son épaule et posant ses mains sur sa poitrine.
« Ton public est en délire ma belle plante. Rends les dingues avec ton corps, tes p'tits gémissements et surtout, rends les dingues de pas pouvoir ne serait-ce qu'être arrosé de ton nectar ♥ mais... Ton miel m'appartient~♥ »
Bah quoi? Les abeilles butinent les fleurs pour faire du miel, c'est pareil non? Quoi qu'il en soit, elle lécha le coup d'Ivy en pressant sa belle poitrine, ça lui avait manqué en prison. Ça, c'était mieux que les oreillers merdiques donner à Arkham. Elle se fichait du public à vrai dire, ce n'était que pour la soumettre qu'elle faisait tout cela, pressant ses seins avec délicatesse, douceur et passion avant de rapidement quand même, faire glisser une de ses mains entre ses jambes pour la caresser, elle et ses douces lèvres humides. Sa rose en fleur perlé par la rosée du matin. Elle y passera sa langue une prochaine fois, pour le moment, c'était ses doigts qui s'amusaient. Elle caressait ses belles lèvres de haut en bas en titillant son bouton d'amour. Elle laissa passer une ou deux minutes de pures douceurs avant de corser les choses. Sa main pressait ce sein si moelleux et délicieux en bouche entre ses mains, venant pincer ce petit bourgeon au bout, peut-être une fleur allait-elle naître comme ça? De même avec son petit bouton d'amour qu'elle pinçait entre son pouce et son index.
« Allez ma belle, couine. Je me suis toujours demandé comment crie une petite fleur~? Alleeeeeeez ma belle et après, tu pourras en faire autant avec moi si tu le fait bien. Fait moi rê-ver... »
Ivy soumettre Harley comme bon lui semble? Ça avait un air de déjà-vu mais de là à dire que ce serait lassant et toujours la même chose? Là, c'est se mettre le doigt dans l'œil et le faire ressortir par ses lèvres intimes. Harley était un de ces œufs surprises enrobés de chocolat, toujours surprenante! Elle était bientôt prête à avoir son Arlequin pour elle mais faut-il encore que la belle plante s'ouvre totalement sous l'un de ses plus beaux jours. Un jour qui restera quand même dans les trous du cul. Bah, quoi? C'est anal ça! Parlant de ça, Harley venait cogner son bassin contre ses fesses en enfonçant son index et son majeur entre les jambes d'Ivy, laissant son clitoris tranquille mais la faisait quand même bien mouiller. Pauvre plante qui perd son eau, Harley va devoir lui donner tout plein d'eau alors si ça continue.
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Ah, c’était à se demander comment Ivy avait bien pu faire avant qu’elle ne soit là ! Harley était déjantée, ce qui était complètement à l’opposé du caractère pragmatique et rationnel de Pamela, qui, bien qu’elle soit passionnée dans ce qu’elle entreprenait, restait avant tout une scientifique. Elle n’avait rien fait de la gaminerie d’Harley, des manies de cette dernière de voir la vie comme un grand terrain de jeu, et de se moquer perpétuellement des conséquences de ses actes. Que les deux femmes aient ainsi pu se rapprocher était bien la preuve, en soi, que l’amour avait ses raisons, et que, dans la nature, les contraires pouvaient s’attirer. Poison Ivy peinait encore à y croire, mais c’était pourtant le cas. Elle aimait cette boule de nerfs, elle aimait cette blonde, et l’idée de la voir retourner à chaque fois entre les pattes du Joker lui faisait tout simplement horreur. Elle ne pouvait pas lutter contre ses sentiments. Si elle pardonnait à chaque fois à Harley, et la réconfortait à chaque fois que le Joker la laissait tomber, ce n’était pas sans raison. Elle lui avait même pardonné son comportement lors de la révolte du Joker à Arkham, quand cette dernière l’avait abandonné dans sa cellule. Comme quoi, Pamela était une fleur bleue.
Elle se releva, suivant Harley, et laissa cette dernière filer dans son dos, appréciant le contact de ses seins contre ses omoplates. Pamela soupira de plaisir, écartant lentement les jambes. Qu’Harley puisse la dominer était exceptionnelle. On pouvait ici se fier aux apparences : généralement, c’était Ivy qui domptait ses partenaires, les enroulant dans ses tentacules, dans ses plantes. Harley disposait d’une chance exceptionnelle, qu’Ivy était disposée à lui accorder, afin de célébrer leurs retrouvailles... En espérant bien que, cette fois, le Joker ne serait pas de la partie ! Pamela ne savait pas si ce taré était à Seikusu, mais, par analogie, elle savait que, quand Harley Quinn était là, le Joker n’était jamais très loin... Surtout qu’il y avait aussi d’autres héritiers de Gotham à Seikusu, comme Batgirl. Même si Pamela avait tiré un trait sur son passé de terroriste écologique (ce que, manifestement, Harley ignorait), elle n’était jamais très rassurée quand elle voyait Batman. Le Chevalier Noir était un paranoïaque, et, si Batgirl était dans le coin, c’est que lui ne devait pas être loin non plus. Ceci étant dit, Pamela était en compagnie d’Harley, et elle n’avait nullement envie de songer à des chauves-souris de mauvais augure.
L’Empoisonneuse observa donc les proies... Le public silencieux continuait à gémir en se tortillant, et Harley voulait qu’Ivy les excite... Sans faire quoi que ce soit avec eux. C’était assez contradictoire, mais, venant d’Harley, rien ne pouvait la surprendre. Fermant les yeux, Pamela sentit l’une des mains d’Harley glisser le long de son tendre et doux corps, pour se rapprocher de son intimité.
« Hmmm... » soupira Ivy.
La femme bascula lentement sa tête en arrière, dans le creux du cou d’Harley. Pamela soupira contre son cou. Harley la tentait, l’excitait, et les tentacules végétaux d’Ivy resserrèrent instinctivement leurs prises sur les proies, en sentant leur génitrice ressentir de la frustration. Rien de bien dangereux pour le public, mais on put les entendre soupirer. Jadis, Pamela ne se serait jamais abaissée à attaquer un fast food. Ses cibles préférées étaient plutôt les usines de Gotham, notamment celles de Sionis Industries, et elle transformait les employés de l’usine, aussi bien les agents de sécurité que les ouvriers. Là, c’était bien différent... Elle embrassa le cou d’Harley, frottant ses lèvres et sa langue contre sa peau, et envoya une main en arrière, afin de s’agripper à la nuque de la belle blonde, se crispant contre son corps.
« Haaa, Harley, Haaaaarleeeeyy-haaaannn !! »
À force d’être entraînée par Ivy, Harley avait fini par égaler son maître. Son doigté était superbe, remuant avec un talent exquis dans son corps, tournant dans son sexe, titillant de près son clitoris, mais sans jamais appuyer dessus. Pamela se mordilla les lèvres, ses doigts se crispant sur la nuque d’Harley, ses ongles heurtant ses cheveux, et, utilisant son autre main, elle caressait le bas de son ventre, frottant son estomac, se retenant de ne pas aller attraper la main d’Harley pour la forcer à la doigter mieux que ça.
« Harley, sale... Diablesse, haaaa... !! »
L’Empoisonneuse remuait contre le corps de la femme, mouillant de plus en plus. Il était désormais sûr que, si elle venait à jouir, les tentacules en feraient de même. Ils étaient reliés à l’esprit de Poison Ivy, leur plaisir dépendant donc, logiquement, de celui de leur Maîtresse.
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La petite sauterie battait son plein ici, dans ce fast food comme un autre, au Japon ou en Amérique, il y avait cette odeur de graisse et d'huile, un repas soi-disant bon pour la santé avec modération et en petite quantité mais... faut bien dire que c'est bon cette cochonnerie! Mais pas autant qu'une belle rose, oh ça non. Ivy était peut-être surprise de voir ce changement de comportement chez la gentille Harley qui se laissait faire avant mais justement, elle a tant trainé avec le Joker, il était imprévisible, pourquoi il en est pas de même pour son bras droit? Jusque-là, elle aimait bien être la chose d'Ivy mais pourquoi pas changer un peu les choses? Elle s'amusait bien elle aussi à caresser ce beau corps. Ce beau corps qui lui appartenait pour le moment. Harley caressa ses belles lèvres en écoutant les gémissements de la belle rouquine, sentant son souffle sur son cou, c'était elle pour le moment sa chose et si elle se laisse faire, ça prouve que la belle plante n'est pas tant dominante que ça et qu'elle pourrait surement recommencer que ce serait la même chose. Soit Harley est la seule à pouvoir le faire, soit Pamela avait ses faiblesses et l'Arlequin en avait trouvé une?
Pamela prenait doucement son pied face aux doigts experts de son élève. C'est elle après tout qui l'a mis dans ce cercle vicieux car avant, elle n'avait d'yeux que pour son Monsieur J puis Pamela lui a montré les autres facettes du sexe et elle y a pris goût. Ivy est celle qui a pris sa virginité entre filles. Ce n'est pas rien, sachant qu'elle a eu par la même occasion des tas de premières fois de la jolie blonde. Les mains de la femme plante se baladait sur son corps, caressant son estomac, sachant que sa position n'était pas des plus simples pour en profiter non plus mais pas grave. Elle ne lui en voulait pas du tout! Mais bien rapidement, elle arriva à la faire jouir car si Harley était assez douce jusque-là, elle pimenta un peu la fin avec un rythme plus rapide et plus sauvage, allant pincer doucement son bouton d'amour en poussant des petits rires sadiques dans son oreille. Elle avait été la bonne école pour ça et quand elle la sentit jouir, elle la vit jouir, elle relâcha son emprise avec un petit « Oooooohhh~ » ravi et étonné à la fois. Elle chercha ses lèvres pour les embrasser doucement.
« Tu as aimé hein ma jolie rose? Ton petit nectar m'a manqué et je suis heureuse de le trouver toujours à mon goût. »
Dit-elle en plaçant son index et majeur entre leurs lèvres pour qu'elle lèche un de ses doigts, voire même les deux si Ivy ne voulaient pas lécher sa délicieuse mouille. Au pire, elle pouvait se servir à la source Harley? Ça la démangeait un peu de n'avoir rien fait face à ses gémissements si doux aux oreilles. Venant frotter son nez contre la joue de Poison Ivy, elle tentait de ronronner comme Catwoman avant de sourire à pleines dents.
« C'était une de tes facettes cachées ça dis-moi? Quand on retire quelques pétales, la dangereuse Poison Ivy est aussi dangereuse qu'un petit bourgeon non? Fini les menaces et bonjour la soumission? Ma petite rose d'amour fait tomber ses petites épines pour moi? Ce serait presque tout mignon mais qui sait, si j'aime tenir me piquer avec les épines ou non, c'est moi que ça regarde. Hahahaha! On fait quoi ma mignonne, je me pique avec tes épines ou bien je peux encore passer mes lèvres sur tes pétales? »
Soumission pour Harley ou pour Pamela? Telle était la question mais l'Arlequin veut jouer, voilà qui reste évident. Place à la suite du spectacle! Sachant que le public devait avoir pris son pied aussi à présent. Harleen faisait tourner son index autour du nombril de Pamela, restant douce et presque romantique dans cette position. C'était beau... Bah quoi? C'est vrai nan? Z'avez pas de coeur ou quoi? Ouvrez vos esprits, merde!
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Pamela ne lui résista guère longtemps, avant de finalement s’abandonner. Le plaisir l’inonda, et elle se relâcha dans un soupir feutré, sentant, avec bonheur, ses muscles se contracter pour relâcher la pression. Elle jouit donc, avec un certain plaisir, et se sentit nettement mieux après ça... Harley se pencha vers elle pour échanger un tendre baiser, auquel Ivy répondit en tendant une main pour caresser les beaux cheveux de la sauvage blonde. Elle était extrêmement heureuse de la revoir. C’était probablement la seule chose positive qui ait eu lieu à Gotham : Harleen Quinzel. La psychiatre qui était tombée amoureuse de son patient, un psychopathe notoire, un manipulateur par excellence. Leurs lèvres glissèrent ensemble, avant qu’Harley n’approche ses doigts de ses lèvres, tout en parlant. Joueuse, Ivy les suçota, tandis que l’une de ses mains glissa le long du dos de la belle, pour peloter ses fesses, les pressant tendrement.
Ivy lécha l’un des doigts d’Harley quand cette dernière le lui présenta, l’englobant dans sa bouche, sans que jamais son regard ne cesse de l’observer. Autour des deux femmes, les clients gémissaient lentement. Pour eux, le spectacle était terminé, et Ivy était en train d‘injecter un somnifère dans leurs veines. Ils se réveilleraient en ne se souvenant de rien, sauf pour les plus chanceux. Ils auraient juste l’impression d’avoir rêvé, et cette soirée les travaillerait encore pendant des jours, avant que, progressivement, ils ne l’oublient. L’Empoisonneuse ne voulait pas faire de vagues. Seikusu n’était pas Gotham, et, ici, les choses étaient plus dangereuses. Pamela ne voulait pas que, par sa faute, son amie ait des problèmes... Mais ceci, après tout, ne les empêchait nullement de s’amuser ensemble. La belle se remit à parler, la narguant, tout en attardant sa main sur son ventre, le caressant à hauteur du nombril. Des frissons traversèrent le corps de la belle plante, qui la laissa parler, tout en crispant sa main sur le cul d’Harley, ce délicieux cul qu’elle avait déjà eu l’occasion d’explorer bien des fois...
« Hum... Ne te méprends pas trop, ma belle... »
Un tentacule se déplaça alors, et Ivy écarta sa main, la remontant sur le bas du dos de la femme, tandis que le tentacule amorça un angle, et la fouetta à hauteur de ses fesses. Un coup sec, qui fit trembler les deux femmes, et qui avait pour simple but de rappeler à Harley que Pamela restait ce qu’elle était : une femme fière, autonome, indépendante. Elle vint frotter son nez contre celui de la belle, restant couchée au milieu de ce fast food, et, soudain, finit par soupirer.
« J’en ai marre de ce fast food, ma chérie... On prend notre bouffe, et on se tire, d’accord ? »
Harley n’avait, en réalité, pas trop le choix, mais Ivy trouvait juste qu’il y avait plus sexy comme endroit qu’un fast food. Quand les deux femmes se relevèrent, ce fut pour voir la végétation disparaître peu à peu, comme si elle se fanait, ne laissant que des plantes vertes un peu plus grosses qu’auparavant, des feuilles mortes ici et là, et un public totalement avachi sur leurs bancs. L’Empoisonneuse les salua silencieusement, et alla dans les cuisines. Elle laissa à Harley le soin de se rhabiller, et en profita pour récupérer de la nourriture, puis retourna ensuite vers la voiture.
« Alors, où as-tu envie d’aller, ma belle ? Continuer notre virée nocturne, ou se poser dans un hôtel pour qu’on voit si la petite chatte que tu es peut aussi montrer les crocs quand on l’excite bien ? »
C’était la soirée d’Harley, après tout, alors c’était à elle de choisir ce qu’elle voulait faire.
Son choix serait celui d’Ivy, tout simplement.
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Quelle soirée amusante! Oh il y avait surement bien plus amusant à faire pour signer son grand retour et dans une nouvelle ville en plus mais après avoir été bloqué entre quatre murs à l'asile d'Arkahm, Harley trouvait déjà tout cela si festif! Que la chauve-pourrie soit là ou non, elle ne semblait pas décider à venir mettre un terme à ses retrouvailles. Un point pour le batou mais pourvu que ça dur alors. Mais alors que l'Arlequin taquinait son amie la belle plante, cette dernière montra que la belle petite rose à vite retrouver de son piquant en venant lui fouetter le cul, une seule fois mais cela lui remit les idées en place alors qu'elle se mettait à pousser des petits rires en câlinant Ivy, lui mordillant la lèvre inférieure. Qu'elle était sexy cette plante mais elle l'adorait comme ça, rien à voir avec la belle petite rose toute gentille. Cela dit, Ivy en avait marre de ce restau et elle la comprenait. Après tout, Harley était venue ici pour manger un morceau, pas pour faire des folies. Ou pas dans ce sens en tout cas. Elle leva la main et tendait la main sur son front, prêt de sa tempe, faisant un salut militaire avec tout le sérieux qui allait avec dans son regard... Si on oublie le fait qu'elle est a poil, ça pourrait le faire? Sans le maquillage non plus.
« Oki doki! »
Pour ce qui était de ce salut soudain et cette phrase... faut pas trop en demander à Harley, il n'y avait qu'elle qui se comprenait parfaitement, parfois même dans l'impossible. Elle récupéra ses affaires pour s'habiller à nouveau alors que le public semblait dormir. Quoi? Leur prestation était nul? Mauvais public va! Nouveaux riches! Elles étaient parfaites, c'est eux qui n'ont aucun goût! Quoi qu'il en soit, Harley fit sa petite vie en cuisant quelques steaks, préparant elle-même ses burgers, ramenant un peu de fritte aussi dans un autre sac – oui, un sac entier de frite mais elle a faim et au pire des cas, Ivy va l'aider à éliminer tout ça... d'une façon ou d'une autre. Elle n'oublia pas de vider la caisse en ne prenant que les billets, pas besoin de monnaie. Et une fois sortie du fast food avec la nourriture en son butin, Ivy lui demanda la suite? Bonne question. Elle déposa son butin sur les cuisses de la belle plante avant de déposer tout le reste aussi à l'arrière, faisant à nouveau chauffer le moteur.
« La suite? Hum... J'ai mon menu hold-up et la belle poupée qui allait avec en cadeau alors la suite... la suite... J'irais bien foutre cette voiture en petit morceau mais je suis sûr qu'on peut encore s'amuser un peu avec. »
Reste à savoir où dans cette ville, c'était Ivy qui connaissait Seikusu, pas Harley. Faisant jouer le moteur, l'Arlequin ne tarda pas à quitter cet endroit sans savoir où elle allait vraiment mais l'avenir n'allait pas tarder à le lui dire très rapide. S'engageant dans la ville à l'inconnu, elle ne tarda pas à arriver près d'un coin mal fréquenter qui était celui du Quartier de la Toussaint, le Gotham de Seikusu pour faire simple. Ce n'était pas tant les gens ou quelque chose qui avait attiré son regard mais un bruit, des aboiements, des acclamations alors qu'elle avait ralenti en arrivant dans ce coin. Comme guider par un sixième sens, elle sentait ce qui se passait et elle n'aimait pas cela. En découvrant l'origine du bruit par une ruelle gardé par un gros malabar, Harley descendit de la voiture en se dirigeant vers ce gros plein de soupe, jurant déjà à voix basse. Sans même lui demander son reste, elle saisit une barre de fer et explosa le crâne de ce garde de ruelle pour avancer et constater ce qu'elle redoutait... Des combats de chiens! Il y avait déjà des parieurs et deux pauvres bêtes qui s'entretuaient sans même demander leur avis. Elle sortit son pistolet et l'abatis sur les deux types isolés à chaque coin de cette arène de fortune fait en grillage en forme de cercle. Elle ne les avait pas tué, simplement neutraliser et attirer l'attention de tous, sur elle!
« Vous tous, bande de petites merdes, je vais vous faire regretter d'avoir quitté la chatte de vos mères si vous n'avez pas déguerpi dans les trois secondes qui suivent! »
Si certains commençaient déjà à courir pour sauver leur peau mais d'autres voulaient se défendre en sortant leur arme. Elle ne leur laissait pas le temps à ceux-là et prononçait le numéro « Trois » à chaque fois qu'elle en tirait un. Au final, il ne restait que quelques tireurs blesser et les deux soi-disant maîtres. Tout ses coups de feu avaient terroriser les deux bêtes déjà en sang. Soi-disant chien de combat? C'est pas une vie pour eux... Elle garda son arme pointé sur les deux propriétaire, changeant de cible à tour de rôle.
« Ivy, fait moi sortir la plus douloureuse de tes plantes carnivores. Je veux qu'elle leur bouffe les couilles par petit morceaux avant d'en faire de même avec leur corps tout entier! Cette ville n'a pas beosin de deux types comme vous qui maltraiter de pauvres bêtes pour vous faire quoi? De l'argent? Je préfère largement rester sage et prude et chasser des types comme vous que tolerer la présence de ce genre de barbarie ici! Tiens. »
Dit-elle en donnant le flingue à Ivy.
« Je t'en voudrais pas si ton doigt à glisser sur la gâchette mais fait les souffrir si ton doigt glisse. »
Elle se rapprocha des deux chiens et ne craignaient rien d'eux. C'était comme un instinct, les chiens et les autres animaux n'avaient aucune crainte avec elle. C'était un doberman et un staff blanc où le sang était bien visible sur lui. Ils observaient Harley sans même chercher à se combattre tout les deux, ils l'observaient avec de grand yeux. Elle leur caressa la tête en leur souriant avant de se tourner vers son amie.
« Ivy, dis-moi que tu as une plante ou un truc du genre qui pourrait guérir leur blessure rapidement. »
Alors qu'elle profita de ce moment pour demander de l'aide, l'un des deux fit son malin.
« Killa, tue cette fille! »
Harley se tourna vers les chiennes apparemment mais rien. Pas le moindre battement de cil. Elle reprit son arme à feu et pointa le canon sur lui.
« On va jouer à un jeu, la roulette russe, tu connais? Alors tu commence. »
Oui, ce jeu où le barillet contient une ou plusieurs balles et le but étant de survivre. La même chose, avec un automatique. C'est tricher? Mais non, c'est le jeu ma pauv' Lucette! Elle tira entre ses jambes, elle ne savait pas si elle lui avait briser le service trois pièces mais elle lui avait fait mal, ça, c'est sur!
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Adieu, fast-food ! Ivy ne le regrettera pas énormément. Harley avait emmené avec elle un repas, ainsi qu’un dessert, consistant en une série de billets récupérés dans les caisses enregistreuses. Pamela en avait profité pour aller dans le poste de sécurité du restaurant, afin d’effacer la cassette de vidéosurveillance. Il valait mieux éviter qu’on ne sache trop rapidement ce qu’elle avait fait ici. Les deux femmes étaient ensuite parties, laissant les clients et le personnel se remettre de leurs émotions, essayer de comprendre pourquoi ils s’étaient endormis, et pourquoi une partie de l’argent avait disparu. L’esprit humain ayant une tendance naturelle à rationaliser ce qui était susceptible de lui arriver, Pamela présumait que ces gens se convaincraient d’avoir été victimes d’une espèce de gaz somnifère.
Harley conduisait leur voiture, et elles se rendirent vers une autre partie de la ville, plus dangereuse : le quartier de la Toussaint. C’était le quartier historique de la ville, comprenant une multitude de rues étroites, de rues piétonnes, et de maisons petites et écorchées. Les brochures touristiques ne mentionnaient ce quartier que pour suggérer subtilement aux touristes de l’éviter. Il y avait bon nombre de prostituées dans le coin, des dealers, des hangars désaffectés, des entrepôts abandonnés. Ce n’était pas vraiment le genre d’endroit rêvé pour une virée romantique entre deux filles. La voiture de sport, tapageuse dans cet endroit, risquait d’attirer les regards, et Harley s’enfonça près de l’ancienne zone industrielle. Ces usines avaient eu leur heure de gloire il y a quelques décennies, mais, suite à la crise économique des années 1990’s, bon nombre d’usines avaient progressivement fermé, entraînant la chute de l’habitat, le déménagement des petits commerces, et ce genre de choses. Ce quartier avait souffert du populisme, et la récente crise financière mondiale n’avait fait qu’aggraver les choses. Pamela regardait autour d’elle, jusqu’à ce qu’Harley arrête sa voiture près d’un entrepôt où on entendait des sons élevés. Un garde se tenait à l’entrée, un veilleur.
La douce Harley devint alors colérique, Pamela comprenant aussi, en entendant des aboiements, qu’un combat d’animaux illégal avait lieu, probablement avec l’assentiment implicite de la police. Le combat était organisé par des Yakuzas, et des gens y rentraient en parlant vivement entre eux. Harleen Quinzel bondit hors de la voiture, s’avançant vers eux. Elle assomma le garde, et Pamela sortit rapidement de la voiture, ne tardant pas à entendre des hurlements, ainsi que des coups de feu. Elle se dépêcha rapidement d’avancer, et vit plusieurs individus partir en hurlant. À l’intérieur de l’entrepôt, plusieurs personnes gisaient au sol, blessées, se tenant leurs flancs sanguinolents.
« Aaaah...
- Pitié... »
Cette caractéristique d’Harley avait presque échappé à Pamela. Cette dernière était une fervente défenseuse de la PETA. En un sens, les deux se complétaient, Pamela protégeant la flore, et elle la faune. C’était un élément qui leur avait permis de se rapprocher à Gotham City, et qui s’affirmait ici. Harley voulait qu’Ivy tue les deux organisateurs du match, les propriétaires de deux solides chiens blessés. Harley les rejoignit sans crainte, et aucun des chiens ne chercha à l’attaquer. Paniqués, les propriétaires imploraient vainement la pitié d’Harley, qui avait tendu à Ivy une arme, en lui laissant le soin d’agir.
Les chiens étaient en réalité des chiennes, et Harley désira savoir si Ivy pouvait les soigner.
« Il me faut générer des plantes, Harley. »
Pamela explora le hangar, et trouva ce qu’elle cherchait dans un coin : une partie défoncée du bitume. Harley menaçait l’un des deux hommes avec une arme, celui qui avait demandé à Killa de la tuer. Pamela entendit un coup de feu alors qu’elle posait ses doigts sur la terre et les graviers, faisant pousser des plantes. Elles poussèrent, jaillissant du sol, et Poison Ivy s’écarta.
« J’vous en supplie, gémit le propriétaire, ne me faites pas de mal !
- On arrêtera les combats, promis ! »
Pamela restait écartée, et envoya ses tentacules agir. Les deux saisirent les deux hommes, les soulevant et les enserrant. Elle ne voulait pas les tuer, mais il fallait encore réussir à convaincre Harley, ce qui serait certainement la partie la plus difficile à faire. Les tentacules déchirèrent les vêtements des deux hommes, les exhibant dans leur plus simple appareil, et Pamela, de son côté, en profita pour amener leur voiture. Elle l’arrêta au milieu du hangar, et referma la porte de ce dernier. Paniqués, les deux hommes gesticulaient faiblement, essayant inutilement de se libérer de leurs étreintes. Pamela ne faisait pas attention à eux, et ouvrit le capot de sa voiture, puis y brancha des câbles de batterrie. Elle s’avança ensuite vers Harley, tenant les câbles dans ses mains.
« Prends-les... »
Tandis qu’elle les donnait à Harley, elle ne put s’empêcher de l’embrasser, se blottissant contre son corps. Ses lèvres se collèrent aux siennes, et, pendant ce temps, on put entendre les deux hommes hurler quand des tentacules les fouettèrent... Les coups qui s’abattaient sur eux étaient bien plus acérés et mortels que ceux qui avaient préalablement frappé Harley. Ils n’étaient pas émoussés, et lacéraient leurs chairs dans la douleur et la souffrance, les faisant hurler.
« Ne les tue pas, ma belle... Inflige-leur juste une bonne leçon, afin qu’ils comprennent que, désormais, il y a, à Seikusu, des gens qui protègent les animaux. »
De son côté, elle allait soigner les chiennes. Elle devait s’en occuper en personne. Depuis que Pamela avait visité Terra, et notamment depuis son séjour dans une forêt magique, ses pouvoirs avaient augmenté. Elle pouvait créer des plantes médicinales, mais, pour d’évidentes raisons, elle avait besoin de se contrôler. Elle rompit donc son baiser, s’écarta de la délicieuse Harley, et, tout en soignant ces pauvres bêtes, se promit d’observer sa dulcinée à l’œuvre.
Elle avait déjà vu Harley torturer des gens, et ça avait toujours eu le don de l’exciter énormément.
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Harley était en colère, là, il n'y a aucun doute, alors qu'elle laissait Pamela préparer le terrain, ses tentacules venaient servir de lien pour attraper ses deux couillons en leur offrant un petit tour en hauteur alors que les lianes s'amusaient à les foutre à poil. Ouais, les traiter comme des animaux. Harley n'était pas folle dans ce genre de situation. Est-ce une mauvaise chose que de défendre les bêtes? Oh, ce n'était pas le genre de fille hippie qui protestait contre tout et n'importe quoi qui s'en prend à la faune ou à la flore mais elle n'a jamais supporté qu'on fasse du mal aux animaux, surtout en sa présence. Alors tomber sur deux glands en flagrant délit... ça va leur faire mal. Pamela en avait profité pour ramener la voiture par ici en lui tendant les deux câbles reliés à la batterie. Oh? Elle se sent d'humeur crabe, à jouer avec ses pinces. Il y a tant à pincer avec ça... Les joues, les oreilles, les tétons, les doigts, les testicules, les fesses... Tout ce qui pouvait comporter deux choses. Dommage qu'elle ne pouvait pas faire les paupières mais elle va s'en passer. Pour cette fois... Pamela en profita pour l'embrasser dans ce petit court instant, même si cela n'avait rien de désagréable, elle voulait d'abord finir de punir ses deux couillons. Elle s'amusait à faire s'entrechoquer les pinces, produisant quelques étincelles à chaque fois alors que son sourire se faisait plus large devant ses plantes qui semblaient presque lui obéir en fonction de ses pensées. Oui, les fouetter jusqu'au sang, voilà qui était génial...
« C'est plus facile à dire qu'à faire ton truc. »
Ne pas tuer ses cons, ne pas tuer ses cons, tuer ses cons... ha trop tard, elle n'arrive pas à se retenir. Dommage qu'elle avait laissé sa hyène à Gotham, elle ne pouvait pas l'emmener avec elle, la douane, tout ça. Du coup, c'était des gardes du Joker qui en prenait soin et du coup, gare à celui qui lui ferait le moindre mal! Les deux chiennes étaient trop blessées pour ça sinon elle aurait bien ordonné à ses deux pauvres bêtes de bouffer ses deux connards! Bouffer par leurs propres chiens, voilà qui serait pas mal comme mort mais Ivy en prenait soin. Elle eut un regard vers elle, pencher sur les deux chiennes et... pour le coup, elle aurait presque pu voir cela dans un cadre rosé avec des petits cœurs, elle était belle comme ça... Mais passons à quelque chose de moins beau, ses deux connards!
« Ok bande de merde, je commence par qui? »
Alors qu'ils pleuraient déjà, elle observait celui qui était intact pour le moment, pas de trace de balle sur lui, il va souffrir en premier mais qu'il se rassure, son copain va avoir autant mal que lui. Elle se rapprocha de lui alors que la plante le descendait à son niveau, elle eut quand même un regard pour la plante.
« Lâche-le, je voudrais pas que tu grilles un peu aussi. Mais tiens-toi prête à lui faire mal s'il fuit. »
Ivy lui en voudrais quand même un peu. Une fois relacher qu'il tentait déjà de fuir mais une balle sortie d'un pistolet venait percuter son genou droit, le laissant chuter au sol pour lui donner un avant-goût de la souffrance. Harley se dandinait en s'avançant vers lui.
« Oups, mon doigt à glisser! Heureusement qu'il ne t'a pas tué. Ce serait dommage de nous quitter maintenant! »
Récupérant les deux câbles, elle se rapprocha de lui et après quelques coups de poing en plein visage, elle avait réussi à lui tirer la langue pour une planter la première pince. Elle put reprendre son arme en menaçant son service trois-pièces s'il tente à nouveau de fuir. Elle brancha le second sur sa queue. Alors que les pinces mordaient ses deux extrémités, elle recula vers la voiture qu'elle fit vrombir en étant au point mort afin d'y envoyer le jus pour le faire danser sur le sol dans une symphonie de cris et de larmes mais elle relâcha la pédale... Faut pas abuser sinon il va crever. Elle se rapprocha de lui en étant tout sourire avec un arrière-goût de sadisme quand même.
« On dirait une odeur de bacon bien grillé! Et de merde! Tu t'es chié dessus? Dégueulasse va! »
Elle aurait été vraiment sadique, elle lui aurait fait bouffer sa merde ou au moins se rouler dedans mais après un tel coup de jus, même en menaçant son service trois pièces avec une massue, il serait incapable de bouger maintenant. Au suivant, celui qui avait le bas-ventre abimé. Une chance que la balle n'est qu'effleuré son engin.
« Pitié... snif... on recommencera plus!!! »
« Et tous les autres chiens avant ses deux-là? Ils n'ont pas eu de la pitié dans le regard quand tu les dressait? Quand tu savais que tu les envoyait à la mort pour quelques billets? C'est plus doux et réconfortant qu'un chien des billets? Hein!!! »
Lui, elle avait envie de le tuer! Du coup, elle hésitait avec ses câbles? Sur les lèvres peut-être, ça lui apprendra à trop parler. Ou les doigts peut-être? Elle n'avait que l'embarras du choix... Oh... elle avait une super idée! Elle bloqua la première pince sur son nez puis la seconde, sur ses deux lèvres à la fois et alors qu'elle se recula avec son pistolet braqué sur lui, elle admirait un peu la vue avant d'appuyer sur la pédale! Qu'il était bon de l'entendre souffrir ce sale rat! Une fois sa vengeance accomplit face à ses deux loques qui baignaient dans leur excrément, elle se rapprocha d'Ivy, avec une voix plus douce, plus inquiète en se penchant au-dessus de son épaule, posant sa tête dessus en même temps.
« Alors? Elles vont s'en sortir? »
Pas question de petit jeu coquin pour l'aguicher là, elle s'inquiétait vraiment pour les deux chiennes. Elle ne voulait pas la déranger pendant ce temps...
-
Harley allait les torturer. Pamela savait qu’elle ne supportait pas la maltraitance animale. Un choix curieux, quand on savait tout ce qu’elle avait fait... Il aurait fallu qu’Ivy soit une psy’ pour s’expliquer cette curieuse ambivalence. En tout cas, elle surveillait les deux chiens blessés. Allait-elle les pouvoir soigner ? Ivy soignait les plantes, elle n’était pas vétérinaire. Elle ferait de son mieux, mais le plus probable était qu’elle allait appeler quelqu’un. En attendant, elle laissa Harley jouer avec eux, en les électrocutant douloureusement. Sa belle amante dut à nouveau user de son arme pour empêcher l’un d’entre eux de partir. La balle l’atteignit à la cheville, le renversant sur le sol, et elle alla ensuite les électrocuter, faisant preuve d’une délicieuse cruauté. Ils gémissaient en se contorsionnant sur le sol, la douleur explosant dans leurs corps. Pamela était incapable de lui dire de s’arrêter. Elle aussi, elle ne supportait pas les gens qui blessaient des animaux, même si sa protection allait avant tout pour les plantes. Harley se déplaçait entre eux et la voiture, sans tenir compte de leurs protestations, les électrocutant à l’aide des câbles de batterie de la voiture et du moteur de cette dernière.
*Il y a quelque chose de délicieusement sensuel à la voir ainsi les torturer... Je ne saurais me l’expliquer, mais c’est clairement ce que je ressens.*
C’était à la fois beau et terrible, sinistre et jouissif. Harley n’avait pas son pareil pour rendre n’importe quoi excitant... Mais ça venait peut-être du fait que c’était Harley. Pamela était loin d’être subjective quand il s’agissait de sa petite protégée. Difficile de voir en cette femme cruelle et psychotique une poupée docile incapable de s’affirmer contre le Joker. Avec sa tenue moulante, elle était tout simplement exquise, l’exemple parfait d’une femme fatale. Après avoir corrigé les malandrins, elle retourna la voir, se faisant alors toute douce et fragile, se penchant vers Ivy, posant sa tête contre son épaule, afin de savoir si ces derniers allaient survivre.
Les tentacules se rapprochaient d’eux, mais Pamela se retourna vers elle.
« Je peux soigner des plantes, mais il faudrait conduire ces chiens dans mon refuge, et je ne suis pas sûre que mes plantes seraient efficaces, vu leur blessure. Il faut que j’appelle quelqu’un. »
Pamela se redressa, et alla délester l’un de ces deux vermines de son téléphone portable, et composa un numéro qu’elle connaissait plutôt bien, en espérant qu’elle raccroche. Ce n’était pas garanti, et Pamela croisa les bras, le combiné contre son oreille. Les deux hommes gémissaient silencieusement en remuant sur le sol, et, grognant, Pamela posa sèchement et durement son pied sur le sexe de l’homme, qui poussa un faible couinement. Le téléphone continuait à sonner, et une voix finit par décrocher.
« Oui ?
- Félicia ?
- Oh ! fit une voix enjouée. Tu sais te servir d’un téléphone, maintenant, Pamela ? »
Pamela aurait pu sourire à cette boutade, mais les choses étaient graves.
« J’aurais besoin de l’adresse d’un bon vétérinaire... »
Il y eut un léger moment de flottement, comme si Félicia était en train de réfléchir à ce que Pamela venait de dire.
« Toi, tu as un problème...
- Félicia, je t’expliquerais tout, mais j’ai besoin de toi pour sauver des chiens.
- Des chiens ?! Seigneur ! Pamela, est-ce que tu sais que, entre les chats et les chiens, ce n’est pas le grand amour ?
- Félicia...
- Okay, okay, je te taquine ! Bon... Le mieux, c’est que tu viennes chez moi. J’ai un docteur qui vient à domicile, mais...
- Je te paierai tout ce que tu veux, Félicia.
- Une délicieuse nuit chaude et trois chats, ça m’irait. »
Pamela ne put s’empêcher de sourire, et acquiesça, puis se retourna vers Harley.
« Aide-moi à mettre ces pauvres bêtes à l’arrière de la voiture. On va aller chez une amie qui pourra les soigner. »
Pamela n’en dit pas plus, et aida les chiens à venir à l’arrière, les endormant ensuite à l’aide de ses plantes. Endormis, ils éviteraient ainsi de sauter de la voiture, ou de gémir à la mort. Poison Ivy s’assit ensuite sur le siège passager.
« Je vais t’indiquer où aller, Harley... Mais il faudra foncer. »
Le véhicule comprenant un GPS intégré au tableau de bord, Poison Ivy programma l’adresse de Félicia. C’était dans le cœur de la ville, et il fallait donc faire plusieurs kilomètres pour y aller. Pamela songea prudemment à attacher sa ceinture de sécurité, tandis que, à l’arrière, des tentacules avaient poussé pour immobiliser les chiens, afin qu’Harley n’ait pas à craindre de les larguer en cours de route.
« Fonce, ma belle ! »
-
Pour Harley, c'était du tout cuit avec eux, c'était deux steaks bien cuits qu'elle pouvait griller si l'envie lui prenait mais elle leur laissait le temps de s'en remettre un peu en allant aux nouvelles concernant ses deux pauvres bêtes. Selon Pamela, elle ne pouvait les guérir mais heureusement, elle connaissait quelqu'un qui le pourrait. Enfant, adulte, homme ou femme, peu importe. Elle était même prête à utiliser la manière douce et civilisée s'il le faut. Poison Ivy usait d'un téléphone et même si elle n'entendait rien, elle essayait de comprendre avec qui elle parlait? Elle n'en savait rien mais la seule chose qu'elle savait, c'est que les chiens vont s'en sortir. Elle ne demanda pas son reste en emportant une des chiennes dans ses bras pour la déposer doucement à l'arrière de la voiture, s'en allant faire la même chose pour la seconde avec l'aide de Pamela avant de tendre le doigt entre elles, les prévenant de ne pas bouger et qu'elles allaient bientôt aller mieux. Elle laissa les deux cons au sol, qu'ils crèvent ou qu'ils survivent, elle s'en fout mais la prochaine fois qu'elle croise l'un d'eux, s'il fait du mal à la moindre bête, elle va lui faire regretter de ne pas l'avoir achevé ce soir! Elle ferma les portes et son amie lui fit comprendre de mettre la gomme. Un bref regard vers les chiens bien en sécurité pour être sûr d'appuyer sur le champignon.
« Dire que pour une fois, j'aurais pu rouler normalement. Enfin, ta bien raison, arrivons au plus vite pour éviter qu'elles ne souffrent plus. »
Elle enclencha la marche arrière en tournant le volant de façon à repartir dans le bon sens en suivant le GPS. Malgré une vitesse toujours aussi supérieure aux normes, elle conduisait déjà plus prudemment, prenant plus de précaution dans les lignes droites comme dans les virages. Oui, Harley pouvait avoir ses petits points faibles comme s'occuper d'animaux mais elle n'en avait pas honte. C'était d'ailleurs la seule limite qu'elle donnait à Monsieur J dans ses plans pour abattre la vilaine Chauve-Souris, ne pas s'en prendre au moindre refuge ni user d'animaux pour arriver à ses fins. Parlant d'animaux, elle resta concentrée sur la route mais bavarda d'un point avec Pamela.
« D'ailleurs, toi qui sais qui a voyagé ici, tu sauras pas si la bunny girl du Chapelier fou à quitter le pays des merveilles pour venir ici? C'est elle qui m'a fait sortir d'Arkham quand le Joker et vous autres étiez déjà en dehors de l'asile et êtes venue ici. Faudrait bien que je lui dise merci au moins. »
Elle laissa un court silence dans la voiture, laissant juste le bruit du moteur en guise d'ambiance avant d'avoir un léger sourire.
« J'ai acheté une tenue de Bunny gril spécialement pour elle mais je peux bien l'essayer avec toi pour voir si ça te fait de l'effet? J'en ai même un de magicien, je verrais si j'arrive à la faire sortir de mon chapeau comme ça. »
Elle savait Pamela un peu jalouse, parfois même possessive avec elle mais bon, c'est aussi ça qui faisait son charme. Qui aime bien châtie bien. Après cette petite conduite à travers Seikusu où elle grilla plus d'un feu et faillit provoquer un ou deux légers accidents, elle arriva à destination en se garant normalement et bien doucement dans un coin au pied de la rue. Elle prit doucement dans ses bras une des chiennes en fermant la porte derrière elle d'un grand coup de pied, de même qu'elle ne ferma pas la porte à clé. Comme si elle avait la clé elle-même! Ce n'est pas comme si elle était assurée... Pour arrivée chez elle, elles devaient monter tout en haut, au dernier étage. Et il y a intérêt à ne pas avoir un ascenseur en panne sinon elle va vouloir tuer cette Félicia ou rendre vraiment inutilisable cet ascenseur. Une fois arrivé chez cette Felicia, Harley se tenait à carreau, ne disant rien, aucune blague, rien! Si cette femme connaissait quelqu'un qui pouvait rapidement venir et aider ses chiennes, alors elle serait sage comme une image! Elle passa avec Pamela, la blondasse semblait seule et malgré le nombre de chat dans le coin, Harley n'était pas simplement protectrice des chiens mais aussi des chats et animaux en tous genres.
« Où ont peut les déposer? Elles sont bien gentilles mais elles ne pèsent pas deux grammes. »
Elle n'allait pas les déposer sur le canapé sans son autorisation après tout. Ce n'était pas chez elle ici. Harley déposa la chienne doucement là où lui avait indiqué cette Félicia avant d'avoir une caresse pour cette chienne comme pour cette seconde avec chienne avec un sourire réconfortant. Une fois redressé, elle chercha quelque chose dans son corset, au niveau de la poitrine en sortant la recette de l'une des caisses du fast-food. C'était son cadeau pour le menu Hold-Up Il n'y avait pas énormément d'argent mais au moins pour couvrir les soins pour une des chiennes, c'est sûr voir plus? Ça dépend si son veto lui fait un prix?
« Tiens, prend ça, ça devrait couvrir une partie des soins pour les chiens et si par chance y a un peu plus, bah garde la monnaie, tu l'auras mérité! »
En tout cas, elle en avait des chats celle-là mais elle est pourtant pas vieille fille? Ce n'était pas important mais une chose est sûre, entre Harley et son maquillage comme sa tenue et Pamela et son buisson en guise de vêtement, ça ne fera pas très... enfin si, ça va faire louche! Au pire des cas, elles se cacheront dans la chambre ou ailleurs. Non, la chambre ce serait plus drôle!
« Il arrive quand ton véto? J'te signale qu'elles, elles souffrent en attendant! »
Elle veut bien se montrer gentille mais pour le moment, elle pense surtout à ces pauvres bêtes.
-
Tout en roulant, Harley lui demanda si Ivy savait si « la bunny girl du Chapelier Fou » était en ville. Pamela la regarda, indécise. Elle ne savait pas trop à quoi Harley faisait référence, et se contenta de hausser les épaules. En revanche, quand Harley précisa qu’elle avait une tenue de bunny girl... Pamela la regarda, pensant à une blague, mais Harley semblait sérieuse.
« Tout ce que tu portes me fait de l’effet, Harley. Mais j’ignore qui est cette femme. Je me renseignerai, si tu veux. »
Harley voulait sans doute parler pour se détendre. Elle était inquiète pour les deux chiennes, ce qu’Ivy comprenait tout à fait .Elle ressentait la même chose quand elle voyait des plantes en danger. La voiture filait rapidement, manquant à plusieurs reprises de se faire faucher sur le flanc par des voitures. Elle roula même en sens inverse, zigzaguant au milieu des voitures et des coups de klaxons, évitant ainsi les embouteillages, jusqu’à rejoindre le gratte-ciel dans lequel vivait Félicia. Elle s’arrêta dans un crissement de pneus, et Pamela sortit rapidement. Elle n’avait pas les clefs de l’entrée, mais elle usa de ses tentacules, les enfonçant dans la serrure, la crochetant efficacement. La porte s’ouvrit, et elle alla ensuite récupérer l’autre chienne, la tenant avec plusieurs tentacules jaillissant de son dos.
C’était un gratte-ciel abritant plusieurs sociétés, ainsi que de nombreux appartements luxueux. Le syndicat de copropriété qui dirigeait l’immeuble avait un système de sécurité, et le vigile, en voyant ces deux femmes entrer, se redressa lentement.
« Hey ! Vous ! Qui êtes-vous ?! »
Il s’extirpa de son fauteuil, posant sa main vers son holster. Pamela savait que son pistolet était factice. Le Japon avait une législation extrêmement stricte à l’égard de la circulation des armes à feu, et le syndicat n’avait pas le droit d’en avoir. Pamela se rapprocha donc de lui, en disant à Harley d’appeler l’ascenseur. L’agent déglutit, les deux mains sur son arme, s’apprêtant à appeler des renforts. Le bureau comprenait un bouton qui, en appuyant dessus, permettait de contacter directement la police. Pamela agit rapidement, et tendit la main, envoyant des tentacules qui saisirent le cou de l’homme. Elle se rapprocha suffisamment de lui pour l’embrasser, diffusant son aphrodisiaque dans son organisme.
Rompant le baiser au bout de quelques secondes, Ivy lui offrit un magnifique sourire.
« Là... Tu vois, il n’y a aucune raison de s’énerver. Nous ne faisons qu’aller voir une amie. Assieds-toi, et ne t’en fais pas, d’accord ?
- Je... Euh... »
Un autre baiser suffit à le convaincre, et le garde se rassit. Pamela s’écarta alors, et se dépêcha de rejoindre Harley dans l’ascenseur.
« Félicia se trouve aux derniers étages. »
L’ascenseur grimpa rapidement, et Ivy sonna, indiquant à Harley de se taire, et de la laisser faire. La porte ne tarda pas à s’ouvrir, et Félicia débarqua. Sa longue chevelure blonde était légèrement décoiffée, et elle portait une ample robe de chambre, recouvrant probablement son corps nu. Félicia dormait en effet nue.
« Pamela ? Mais que... ?! »
Ivy entra rapidement, et Félicia s’écarta. Ses chats miaulèrent de curiosité avant de s’écarter prudemment. La Chatte Noire cligna des yeux en voyant les tentacules qui portaient le chien, puis Harley Quinn... Une femme qu’elle reconnut aussitôt.
« Mais... »
Pamela posa un doigt sur ses lèvres, lui intimant le silence.
« Je t’expliquerai tout, Félicia... Pour l’heure, il faut sauver ces pauvres bêtes.
- Mais ce sont des chiens !
- Et alors ? Tu ne sauves que des chats ?! »
Félicia soupira, puis Harley les interrompit, demandant où les poser. La Chatte Noire secoua la tête, soupira à nouveau.
« Suivez-moi. »
Elle s’avança dans les couloirs de son grand appartement, et les amena dans une sorte de salle d’opération. Pamela savait que cet appartement recelait bien des trésors, mais elle ne s’attendait pas à trouve rune salle d’opération. Les murs étaient carrelés, des lumières blafardes éclairaient le plafond, et Félicia leur expliqua qu’elle utilisait cette salle pour soigner ses chats, ou pour quand le vétérinaire venait.
« J’ai appelé Robert. Il arrivera dans un quart d’heure. »
Robert Mayfield (http://nathie.deviantart.com/art/Robert-Joseph-Mayfield-354807612?q=gallery%3Anathie%2F686789&qo=75) était un Occidental, le docteur et vétérinaire personnel de Félicia. Une perle rare, qui était fort heureusement célibataire. La Chatte Noire ne connaissait pas beaucoup de docteurs qui se déplaceraient à une heure si tardive, et Ivy comprit rapidement qu’elle était en pétard... Et qu’une chatte à rebrousse-poil pouvait vite se transformer en furie.
« Tu aurais pu les amener ailleurs ! Je ne suis pas une clinique, Pamela !
- Et risquer de se retrouver au commissariat ? Félicia...
- Mais merde, Pam’, tu es avec une délinquante ! C’est Harley Quinn, pas une vulgaire adolescente de campus ! »
Ivy posa ses mains sur elle, mais Félicia se dégagea rapidement.
« Tes spores ne marchent pas sur moi ! Qu’est-ce qu’elle fout à Seikusu ? Je la croyais enfermée dans un asile !
- Elle s’est évadée...
- Oh ? Génial ! Et c’est quand que le Joker vient pour me découper en morceaux, hum ?!
- Félicia ! s’exclama Ivy en haussant le ton. Harleen n’est pas dangereuse ! Juste... Spéciale. Comme nous. »
Félicia secoua la tête, visiblement peu convaincue.
Ivy caressa alors le dos d’Harley.
« Dis-lui que tu es sage, Harley... »
-
Pour Harley, elle se fichait bien de chez qui elle fichait les pieds, la seule chose qui comptait, c'était que ses deux chiennes soient sauvées. Et vu l'appartement de la blondasse avec tous ses chats, faut pas lui faire croire qu'elle n'aime pas les animaux elle! Bon, elle préférait peut-être les chats mais à moins d'en avoir la phobie, quand on aime les chats, on aime les chiens, puis c'est tout! Elle s'était occupe un peu d'elles le temps de les rassurer pour retourner voir cette Félicia et Pamela. À peine fut-elle de retour qu'Ivy lui caressa le bas du dos en voulant lui faire dire qu'elle serait sage. Quoi? Elle avait peur d'elle? Elle vivait à Gotham avant et connaissait Harley? Bof, peu importe. Elle joignait ses mains ensemble en les posant sur sa joue en penchant doucement la tête avant de sourire.
« Oh oui comme une image. »
Elle défait ce sourire d'ange en observant rapidement Pamela, elles pouvaient faire confiance à cette fille mais bon, si sa simple venue ne la rassurait pas, elle espérait qu'elle ne tenterait pas de faire piquer ses chiennes dans son dos ou autres. Posant ses mains sur ses hanches, elle continua d'observer la fameuse Félicia en la regardant de haut en bas dans sa légère tenue du soir.
« Écoute-moi bien, je suppose que tu as entendu parler de moi d'une façon ou d'une autre vu que tu veux que je reste sage. Je me fiche que tu sois le genre de bonne fille ou de méchante fille, héroïne ou méchante, là, je laisse ça de côté. Là, je suis pas Harley Quinn, l'Arlequin. Je suis juste une femme qui a assez de coeur pour empêcher un combat de chiens et en sauver deux. Alors si ça peut te rassurer, j'irais attendre en bas ou même devant ta porte mais fait juste en sorte que les deux chiennes s'en sorte. C'est tout ce que je demande. »
Harley croisa les bras avant de nouveau se balader, ne tenant pas en place, elle marcha dans ce grand appartement en attendant le coup de sonnette du vétérinaire mais pour le moment, il se faisait désirer le bougre! Elle se retenait de se défouler sur un mur ou autre chose, cette Félicia avait au moins appelé son véto, il lui suffisait d'arriver vite. Ce n'était pas compliqué d'appuyer sur le champignon pour venir jusqu'ici pourtant! Au final, elle était toujours mieux auprès des chiens, elle retourna rapidement auprès d'elles pour se pencher sur elle, faisant comme si elle ne voyait pas leurs blessures.
« Mais oui, vous êtes toutes belles toutes les deux... Mais oui... »
Harley n'avait rien de méchante ou de folle en ce moment, elle était simplement assez gentille pour ne pas faire de mal à une bête, elle les caressait à tour de rôle sur la tête mais quand elle entendit la sonnette, elle se releva d'un bond en avançant rapidement vers la porte et en voyant la femme aux cheveux courts, elle lui agrippa le bras et le tira par la manche vers la salle d'opération où étaient les deux chiennes. Pas un bonsoir, pas le moindre mot sympathique, elle faisait simplement tout ce qui était en son pouvoir pour éviter que l'une d'elles rend l'âme, elle ne pouvait donc pas les opérer mais faire arriver le véto plus vite, ça, oui.
« Les voilà véto, alors fait ton boulot et s't'eux plaît, sauve les... »
« Mais... Je... Je ne suis pas vétérinaire... » s'excusa la jeune femme en observant Félicia par-dessus l'épaule de cette drôle de fille maquillée... étrangement.
« Quoi! Mais... Il fout quoi ton véto là! Grrra! »
Harley retourna sur ses talons pour marcher un peu afin de calmer sa colère et éviter de s'en prendre à quelqu'un. Aoki observa Félicia et son amie rouquine, un peu étonné...
« J'ai loupé quelque chose? »
Des invitées surprises apparemment mais bon, elle avait vu les chiens blessés et elle comprenait que ce n'était pas pour une mauvaise chose qu'elles étaient ici...
-
« C’est une fugitive, merde ! Est-ce que tu te rends compte de la situation dans laquelle tu te mets ? Tu nous mets ? »
Tandis qu’Harleen faisait les cent pas en bouillonnant sur place, Pamela, elle, s’était isolée dans la cuisine avec Félicia. Son petit chaton était furieux, et Pamela comprit qu’elle devait avoir quelque chose de prévu ce soir. Ivy aurait pu se sentir coupable, mais elle faisait ça pour protéger des animaux. Elle avait une bonne raison, et Félicia était sa meilleure aide. Néanmoins, la Chatte Noire ne semblait vraiment pas contente, et Pamela réfléchissait à un moyen de l’apaiser. Elle était comme une chatte furieuse, le poil tendu, incapable à calmer, laissant échapper sa colère. Oui, en un sens, Félicia avait vraiment un comportement félin... Jusqu’au bout des ongles.
« Harleen n’est pas ce que les journalistes en disent, Félicia... Elle n’est pas vraiment méchante, juste... Influençable. Je la contrôle.
- Je ne pense pas que le SHIELD en dira autant... S’ils savent que j’héberge une criminelle chez moi, Pamela, j’aurais des ennuis... Et toi aussi ! Les largesses que le SHIELD t’offre te seront révoquées !
- Je croyais que tu aimais vivre dans la peur, Félicia, que défier les ordres te procurait un frisson d’excitation.
- Oh, ne joue pas à ça avec moi ! J’ai assez fréquenté de criminels comme ça dans ma vie sans devoir en rajouter à Seikusu !Je n’ai aucune envie que le Joker débarque chez moi pour récupérer sa copine !
- Le Joker ne viendra pas... Et je te le dis, Félicia, Harleen est plus une victime de ce dernier qu’autre chose. Je t’ai dit que je la contrôlais, et c’est vrai. Tout ce qu’elle veut, c’est soigner ces pauvres chiens, rien de plus, et rien de moins. Elle partira dès que ce sera fait, et moi avec. Tout ce que je demande, ma petite chatte, c’est de garder ça pour toi. »
Félicia soupira en fermant les yeux, et secoua lentement la tête. Ses chats, malgré la colère de leur propriétaire, se frottaient contre ses jambes. Elle en prit machinalement un, le caressant entre ses bras, et, quand son peignoir s’entrouvrit brièvement, Pamela crut apercevoir un morceau de latex et des cordes... Ce fut très bref, et Félicia la regarda à nouveau. Elle attendait des explications, et Pamela lui expliqua donc ce qui était arrivé. Harley était venue la voir au lycée, et Ivy avait décidé de la prendre sous son aile. Elle la voyait plus comme une victime inconsciente du Joker, que comme son complice idéal. Elle était manipulée par ce dernier, mais il lui arrivait parfois de repousser son influence, et Pamela voulait jouer sur les sautes d’humeur de la femme pour l’inciter à oublier définitivement ce dernier. Elle-même était une ancienne criminelle repentie, après tout. Si elle avait réussi à se calmer, et à passer outre son envie de détruire le monde, alors Harley avait aussi toutes ses chances.
La Chatte Noire semblait plus que sceptique, et elle soupira lentement.
« Ces chiennes... J’ai vu les tatouages sur leur corps.
- Et ?
- Il y a… Il y a un traffic d’animaux dans la ville, Ivy… Des combats sauvages dans des arènes clandestines, des vétérinaires corrompus... C’est la Mafia russe, Pamela, et... »
La porte s’ouvrit cependant, et Félicia jura, pestant entre ses dents.
« Merde, Aoki ! »
Pamela cligna des yeux, mais les deux femmes n’eurent pas le temps de faire quoi que ce soit qu’Harley bondit sur la pauvre Aoki, et l’emmena rapidement vers la salle d’opération. Ivy et la Chatte Noire les suivirent, et, quand Aoki, troublée, parvint à s’expliquer, elle atterrit entre les bras de Félicia, qui répondit à ses inquiétudes par un baiser.
« Rien, Aoki, rien... Ce ne sont que des amies qui sont venues me rendre visite... Elles ont un problème avec deux chiennes qu’elles ont trouvé grièvement blessées, et j’ai appelé un vétérinaire... Tu sais, le docteur Mayfield ? Il ne devrait plus tarder à arriver... »
Aoki avait déjà vu Ivy au complexe du SHIELD, mais Harley lui était inconnue. Pamela savait que les deux étaient en couple, et Félicia s’écarta des deux. Elle entra dans une chambre.
« Désolée, c’était totalement imprévu, Aoki... Je n’ai pas eu le temps de prévenir, j’étais en train de faire les préparatifs pour notre soirée. »
Elle était entrée dans une chambre avec des glaçons et une bouteille de vi, un délicieux bordeaux. Félicia lui montra les tenues sur son lit, et en profita pour retirer son peignoir. Elle enfila les gants, le masque, et on pouvait voir, sous le peignoir, de longs collants en latex et un corset (http://fc04.deviantart.net/fs42/f/2009/133/9/e/Black_Cat_and_Mary_Jane_CG_by_Jats.jpg). Une délicieuse tenue que Félicia voulait essayer ce soir avec Aoki.
« Voici ta tenue, Aoki... »
C’était une belle tenue rose de servante (http://fc08.deviantart.net/fs70/i/2012/110/5/8/anne_wallpaper____first_of_4_xd_by_shiniez-d4lyzti.jpg), annonçant un jeu sexuel de longue haleine. Félicia l’embrassa dans le dos, caressant les épaules de la jeune femme. Elle en profita pour se transformer, son corps se musclant un peu, sa chevelure blonde se transformant en une longue chevelure argentée.
« Reste là, je vais... Je vais aller m’occuper de nos invitées. Enfin, tu peux venir, mais j’ai tellement envie de te voir dans cette tenue... Je suis sûre qu’elle t’ira comme un gant ! »
Félicia ressortit rapidement. Avec ses gants sombres, et son masque sur les yeux, il était difficile de se méprendre sur ses intentions. Ivy sourit légèrement, croisant les bras.
« Tu sais, on pourrait rester là pour cette nuit... Je suis sûre que ta copine est partageuse. »
La Chatte Noire ne répondit rien, et on sonna à nouveau.
C’était fois, c’était la bonne, et ce fut Félicia qui se précipita à l’entrée.Son peignoir s’ouvrit en grand, et dévoila alors la vue de son corset... Puis la robe de chambre tomba à terre. Elle eut juste le temps de se retourner, lançant un regard meurtrier vers Ivy, dont le tentacule se repliait lentement. Sur le visage de l’Empoisonneuse, un sourire moqueur.
« Woow... Félicia, quel bel accueil ! Continue comme ça, et je viendrais toutes les nuits chez toi ! »
La Chatte Noire secoua lentement la tête en croisant les bras, et le regard de Mayfield se posa ensuite sur Ivy, puis sur Harley.
« Euh... Est-ce que je vous dérange dans quelque chose d’important, ou... ?
- Elles ont trouvé deux chiennes... Les combats illégaux.
- Encore ?! s’étrangla Mayfield. Les salopards… Tes chats vont bien, au moins ?
- Pourquoi iraient-ils mal? rétorqua la sulfureuse Chatte Noire. Je m’en occupe bien ! »
Mayfield esquissa un sourire, et caressa la crinière d’un chat, puis retira sa veste, et s’avança vers la salle d’opérations.
« Bon... Je vais avoir besoin d’un peu d’aide. Félicia ? »
La Chatte Noire hocha la tête.
« Très bien... »
Elle fit signe à Ivy, la mettant silencieusement en garde de ne rien faire de stupide, puis rentra dans la salle. Elle referma prudemment la porte derrière elle, ne voulant pas que le comportement impatient d’Harley ne mette en danger l’opération. Pamela en profita pour se retourner vers son amie, et posa chaleureusement ses mains sur ses épaules, un sourire rassurant sur le visage.
« Ne t’inquiète pas, Harleen, Mayfield est très talentueux... Et tu as besoin de te détendre, tu es tellement tendue... »
Il allait de soi que Pamela ne comptait pas partir aussi vite, et un sourire se dessina sur le coin de ses lèvres, sa main venant caresser le menton de la femme.
« Je crois que tu as fichu la frousse à Aoki... Peut-être serait-il sage d’aller te faire pardonner, hum ? »
-
Oui Harley était une boule de nerfs actuellement mais que voulez-vous, elle avait envie que ses deux chiennes s'en sortent, peu importe si elle doit sourire toute une soirée ou casser des doigts avec un petit marteau. Certes elle avait prise Aoki pour le véto mais une personne qui arrive à cette-ci alors qu'elle attendait ce fameux vétérinaire, elle l'avait prise pour cela. L'Arlequin continuait de tourner en rond dans ce grand apparemment, ignorant les chats en chemin. Oui elle aimait bien les chats mais là, elle s'en fichait, ce n'était pas les chats qui étaient en danger de mort. Pour ce qui était de la seule Japonaise dans cet appartement, elle était rapidement dans les bras, au milieu d'un quiproquo. Elle eut un regard derrière son épaule vers les chiennes, un petit regard triste. Comment ne pas avoir de la peine, elle-même avait un chien et un chat alors elle comprenait très bien l'envie de cette fille à vouloir sauver ses chiens.
« Les pauvres... »
Elle suivit Felicia dans sa chambre, elle avait bien sûr reconnu Pamela, une belle rouquine comme elle, il n'y en a pas énormément que ça dans le SHIELD. Elle ne lui avait jamais vraiment parlé, à peine saluer pour rester polie. Embrassant sa petite amie, elle reprenait le sourire en voyant sa future tenue sur le lit. Ça aurait pu être à Felicia mais ce genre de tenue n'était pas pour elle. Elle avait un faible pour le noir en général et rare étaient les fois où elle acceptait autre chose.
« C'est pas grave, je comprends que la situation était urgente... Je vais me changer en t'attendant sagement sur le lit. »
Elle déposa un rapide baiser sur ses lèvres, la laissant partir pendant qu'elle se changeait. Aoki commençait à peine sa formation du SHIELD, elle n'était pas encore affectée à ses missions, elle avait encore son entrainement avec Félicia, le genre d'entrainement spécial. Bien entendu, elles restaient sérieuses mais disons que les pauses étaient bien meilleures que les pauses classiques. À peine le vrai vétérinaire était arrivé qu'Harley déboulait à nouveau mais elle les laissait bavarder, comprenant bien qu'elle avait à y gagner en les écoutant... Encore? Donc ses combats de chiens ne dataient pas d'aujourd'hui? Évidemment. Elle ignorait que c'était la mafia Russe, elle croyait que s'étaient de simples voyous mais si cela arrive à ses oreilles, elle se fiche du Joker et des Yakuzas ou de ses projets de braquage de banques pour se faire un peu d'argent, il y a des vies en jeu-là. Tendue elle l'était, c'est vrai mais si ses chiennes allaient s'en sortir, ça irait mieux ensuite. Pamela proposa de s'excuser auprès d'Aoki à qui elle avait fichu la frousse. Harley roula des yeux en soupirant. Ce n'était pas sa faute, elle avait confondu elle et le véto! Puis elle lui avait pas fait de mal, ni menacer! Enfin bon, elle bouda un peu mais elle allait accepter. Ça lui changera les idées...
« Bon ok, je vais la voir... »
Bien entendu, Harley n'avait pas vraiment idée de ce qui l'attendait. Elle avait vu la fameuse tenue de Félicia et n'était pas conne, il y allait avoir du sexe si elles ne seraient pas venue! Mais là, elle pensait au moins qu'elles allaient attendre leur départ. Aoki s'attendait à revoir Felicia et non Harleen qui franchissait la porte, étonnée! Aoki était prête dans sa petite tenue rose, allongée sur le lit avec ses petits rubans roses dans les cheveux. Elle ne bougeait pas, s'attendant surement à ce que l'Arlequin rebrousse chemin mais non, elle ferma la porte doucement en restant dedans.
« Haaa... génial, on débarque dans une soirée SM en plus... »
« Hey! Vous êtes certes ici pour une bonne raison mais ça vous permet pas de critiquer! Chacun sa vie... »
« Ouais, ça c'est vrai cocotte. Faites ce que vous voulez, les petites tenues, le vin, manquent plus que les chandelles! »
« C'est bien ce que vous avez fait... Si je le pourrais, j'aurais moi-même tenter d'aider pour empêcher ça mais... je suis pas une de ses super-héroïnes... »
« Humph! Ça veut rien dire ça. Moi je manipule pas les plantes, je suis pas super-forte, agile à peine et disons que je manque pas de répartie. Tant que ta de quoi te défendre et de la suite dans les idées, ça ira. Elle fait quoi ta nana sinon? Sa tête me dit rien, elle est quoi, Super Dominante, elle fout des coups de fouet aux autres? »
« Non... C'est la Chatte Noire. »
« Connait pas... Une sorte de Catwoman donc? Pff, à croire qu'elles se multiplient de villes en villes celles-là! »
Harley se fichait un peu du reste en dehors de Gotham et de son biquet à l'époque. Elle avait déjà rencontré certains autres super héros ou super vilan comme la Ligue des Justiciers, Lex Luthor, Green Arrow, Catwoman donc mais tant qu'ils ne venaient pas à elle, elle s'en fichait. Faut dire que le Joker se concentrait surtout sur Gotham en général. Harley pouvait rarement quitter sa ville, soit elle était accroc au Joker, soit elle était enfermée. Parfois elle était avec Pamela ou en solo mais c'était rare. Aoki ne pouvait répondre à sa question, elle ne connaissait pas vraiment cette Catwoman mais elle comme Felicia, elles avaient à peu prêt le même but. Assise à côté d'elle, Halrey passait son index sur la cuisse de la Japonaise en faisant des petits ronds avec son grand sourire.
« Dis-moi, ta copine là, elle est partageuse? J'ai vu plein de vidéo sur le net et les Japonaises comme toi, c'est des petites cochonnes en fait, hein? Dis pas le contraire, dans cette tenue... tu es en mauvaise posture. Une pauvre petite chose aux mains d'une femme comme moi? Combien de temps elle va mettre à te secourir ta belle chatte? »
Oui Aoki était partageuse. Elle restait fidèle à Felicia mais si cette dernière l'invitait dans une partie à plusieurs, elle ne disait pas non mais seule... elle avait surtout envie de partager son corps avec sa petite amie.
« Vaut mieux éviter de l'embêter si elle aide Mayfield. »
« Il est efficace? »
« Il s'était déjà déplacé pour les chats de Félicia parfois et ils sont toujours de ce monde en ce moment. Alors oui. »
« Voilà qui me rassure un peu... »
Aoki se redressa, malgré ses liens aux poignets, elle lui massa le cou en lui souriant. Elle baisa doucement sa nuque, elle comprenait qu'elle s'inquiétait pour les chiennes, elle voulait l'aider un peu. Autant en profiter qu'elles soient seules pour la détendre un peu
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Pamela savait bien plus de choses sur le SHIELD que ce qu’on pouvait croire. Elle savait que l’organisation se méfiait d’elle, ce qui était rassurant. Si personne n’avait eu peur d’elle, elle se serait posée des questions sur la crédibilité de cette organisation. Il n’y avait qu’elle pour s’acoquiner avec des femmes comme Harley Quinn. Pamela savait pleinement de quoi elle était capable, mais elle lui faisait confiance. Sans doute avait-elle tort... Mais elle n’était pas plus folle que tous les autres types costumés qui se baladaient dans la ville. L’Empoisonneuse savait aussi qu’Aoki avait récemment rejoint le SHIELD. Pour elle, il s’agissait surtout, pour l’organisme, de pouvoir contrôler une personne civile proche de Félicia Hardy. La Chatte Noire refuserait de se séparer d’elle, mais elle savait aussi qu’elle avait un certain nombre d’informations sur le SHIELD que ces derniers n’aimeraient pas être diffusés. Et, par ailleurs, elle savait qu’Aoki était aussi perverse que Félicia, et que la relation que ces dernières entretenaient était très marquée par le sexe. La tenue indécente que portait Félicia sous son peignoir en était une illustration, et Pamela ne se faisait pas l’ombre d’un doute sur ce qui se passait. C’était également pour cette raison qu’elle avait envoyé Harley voir Aoki.
Restant dans le couloir un certain temps, Ivy réfléchissait. Elle allait devoir calmer la Chatte Noire, maîtriser son petit chaton, afin qu’elle ne parle pas tout de suite d’Harley Quinn. Pamela et elle avaient après tout œuvré ensemble, avec Catwoman, pendant un temps. Elles étaient les sirènes de Gotham City à cette époque. Harley n’était pas foncièrement méchante, elle était juste manipulée par le Joker, manipulée par ses mauvais penchants, des aspects de sa personnalité que le Joker avait su exploiter. Plus elle serait éloignée de ce type, plus elle aurait de la présence autour d’elle, et plus Pamela pourrait la convaincre de ne pas suivre cet individu, et de changer de vie... Avec elle.
*Et moi qui pensais ne m’attacher qu’aux plantes...*
Voyait-elle toujours les êtres humains comme de simples erreurs de la Nature ? Tout était si compliqué... Poison Ivy savait que l’opération sur les deux chiennes allait prendre un certain temps, et elle se pinça les lèvres, observant à nouveau la porte close de la chambre où se trouvait Aoki et Harleen. Après quelques hésitations, Ivy finit par s’avancer, et ouvrit la porte à l’aide d’un de ses tentacules.
Un singulier spectacle avait lieu à l’intérieur. Aoki embrassait le cou d’Harley, dans une tenue particulièrement insolente, rappelant à Pamela que, si elle n’aimait pas trop les vêtements, il fallait bien reconnaître que certains avaient un sacré charme. Elle se rapprocha du lit, un sourire sur le coin des lèvres.
« Et bien, Harley, je vois que tu arrives à te réconcilier... »
Elle-même vint s’asseoir à côté d’Aoki, et posa sa main sur la nuque de la femme, la renversant sur le lit, la couchant sur ce dernier. Elle se pencha ensuite vers Aoki, et l’embrassa, en soufflant sur ses lèvres, répandant son aphrodisiaque en elle. La jeune Japonaise était trop craquante, dans cette tenue rose et blanche. Il allait falloir qu’elle demande à la Chatte l’adresse de son costumier... Pamela embrassa Aoki pendant une bonne minute, et déplaça sa main sur les chaînes entravant ses poignets. Un tentacule se glissa dans la serrure, et, au bout de quelques secondes, les deux liens se retirèrent, libérant les poignets de la femme.
« Nous avons gâché ta soirée avec Félicia, Aoki, et j’en ai bien conscience... C’est bien pour ça que nous allons t’offrir, en compensation, une nuit intégrale avec les sirènes de Seikusu ! »
Elle lui sourit, et posa un doigt sur ses lèvres.
« Non... Inutile de nous remercier, ma belle. Pourquoi ne l’embrasserais-tu, pas Harley ? Sa bouche a un délicieux goût de... Hum... De fraise. »
Les spores de Pamela commençaient déjà à agir, se répandant dans cette petite pièce.
Finalement, elle trouvait ce programme très intéressant. Catwoman n’était pas à Seikusu pour reconstituer leur fameux trio, mais... À défaut, Félicia pourrait faire l’affaire.
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La soirée avait des hauts et des bas mais plutôt que faire les cent pas, Harley avait suivi le conseil de Pamela pour aller jouer avec Aoki. Pour une étrangère, elle était plutôt sympa, c'est vrai mais elles n'étaient pas le même camp. Aoki trainait avec cette femme qui, en réalité toutes les deux était affiliée au SHIELD alors que l'Arlequin jouait avec le feu... pour bruler des choses justement. Mais le temps d'une soirée, autant évitée de penser boulot, elle fête son retour dans une nouvelle ville avec Pam' et les journaux entendront parler d'elle plus tard. Pour le moment, c'est la fête! Felicia était avec le veto, Ivy... faisait autre chose, et toutes les deux faisaient connaissance, tout va bien dans le meilleur des mondes même si c'était Harley qui avait besoin d'être rassuré concernant les chiennes. Faut dire qu'Aoki avait rapidement appris à la rassurer, lui libérer l'esprit alors qu'elle se détendait lorsque la belle plante fit à son tour son entrée dans cette chambre, ce qui fit sourire Harley. Comment allait réagir Pamela? Tantôt elle aimait partager, tantôt elle était égoïste la concernant alors elle se demandait... Finalement, elle le prenait bien. Tant mieux pour la Japonaise alors. Quoi que? Si elle est Jap', le délire tentacule, ça doit la connaître, non? Z'ont des goûts bizarres après tous ses Jap'? Que ce soit en dessin animé ou réel.
Ivy vint embrasser Aoki en répandant son aphrodisiaque en elle. Pamela était assez belle pour faire naître le désir en elle, pas besoin de ça mais si elle voulait aller plus vite alors pourquoi pas? Aoki se laissait embrasser, n'hésitant pas à partager ce baiser avec la belle rouquine. Sur le coup, elle avait une pensée pour Hitomi, son premier amour en tant que femme... mais l'idée de savoir ce qu'elle était devenue fut raser par Pamela dans des positions obscènes. Cette dernière vint même lui proposer un plan à trois, c'était si rare, surtout sans Felicia à ses côtés mais même amoureuse de la Chatte Noire, comment refuser avec cette envie qui brûle en elle, une envie qui lui demandait à ce que la rouquine profite de son corps, purement et simplement.
« Peut-être qu'un autre endroit a le goût de fraise? » lâchait-elle se léchant les babines, observant les deux sirènes.
« Va pas trop vite toi. C'est pas bien de brûler les étapes comme ça. »
Harley se plaça au-dessus d'elle, virant doucement Ivy de sa position pour se pencher sur elle, embrassant la japonaise sans la moindre gêne, se concentrant plus sur cette langue que sur ses fameuses lèvres à la fraise. Mais Harley n'était pas stupide, dans ce baiser penché, elle dandinait ses fesses sous le nez de Pamela, elle allait craquer avant elle. Elle ne serait pas surprise qu'avant de retirer ses lèvres, ce soit son pantalon qui aurait été retirer.
« Haha! C'est bien la première fois que je vois quelqu'un heureuse de m'avoir tout près d'elle... ça se voit que ma réputation est encore inconnue ici. Z'avez pas une Harley par ici? La même que moi avec les yeux bridés? »
Non? Étonnant quand on voit à la TV toutes ses petites japonaises se balader en tenue de manga ou en loli-goth, elle pensait qu'elle aurait quand même influencée quelques-unes? Bah, elles sont timides surement. Harley retourna embrasser la nippone en passant sa main sur la joue de sa nouvelle copine de jeu. N'empêche que ce collier et cette laisse qui pendait à son cou étaient un appel à pousser le jeu bien plus loin... Elle aurait tôt ou tard une idée mais pour le moment. Qu'est-ce qu'elle disait, elle sentait déjà la rouquine dans son dos tout faire pour lui retirer son pantalon. Bah quoi, elles étaient pas moulantes ses petites fesses dedans? Qu'elle impatiente celle-là.
« Hahahaha! J'en connais une qui est impatiente~♪ »
Impatiente mais de faire quoi? Ha, là, toutes les suppositions sexuelles étaient possibles vues comment c'était parti. Qui sait... elle voulait peut-être les pénétrer toutes les deux en même temps? Ou alors mettre Harley dans de meilleures conditions? Allez, les paris sont ouverts!
« Attends-toi à une nuit que tu n'oublieras pas de sitôt... »
« Felicia m'en a déjà donné de nombreuses... »
« Oh oh... Elle nous met au défi... Elle est mignonne... elle ne sait pas à quoi elle s'attend. J'espère que tu as la main verte en tout cas. »
Quel rapport? Elle devait être au courant au moins des pouvoirs de Pamela Isley mais ce n'était qu'un petit jeu de mots. Heureusement, la caresser ou profiter de son corps ne donne pas de ce genre de couleur... Quoi qu'elle n'ait jamais vraiment tenté de la masturber, elle a à peine été pénétrer dans l'arrière de sa salle de cours pour fêter leurs retrouvailles mais sinon... son membre végétal, elle en avait que très peu profiter au final.
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Dans son dos, Pamela observa le petit cul d’Harley remuer à gauche et à droite, tandis qu’elle roulait une pelle à Aoki. Ses spores fonctionnaient plutôt bien sur les deux femmes, balayant la timidité de la copine de Félicia, et rendant Harley encore plus... Délurée. Harleen se dandinait devant elle, et Pamela savait très bien ce qu’elle voulait. Elle connaissait plutôt bien la jeune femme. Harleen était l’une de ses plus vieilles amies à Gotham, probablement même la seule véritable qu’elle ait pu se faire dans ce trou pourri. Elle ne comptait plus le nombre de fois où la folle était venue pleurer entre ses bras quand son amant la jetait, et, également, le nombre de fois où Harley l’avait trahi en rejoignant son « biquet », voire même en la frappant, parfois grièvement. Combien de fois Ivy avait-elle voulu tuer cette femme ? Serrer son petit corps dans ses tentacules et la briser ? Harley Quinn était extrêmement doué au corps-à-corps, mais elle était comme une enfant face à Poison Ivy. Pour autant, si Ivy avait parfois tenu la vie d’Harley entre ses tentacules, elle ne l’avait jamais tué. Et Harley, malgré sa folie persistante, était toujours, profondément ancré en elle, Harleen Quinzel, une psychologue très intelligente pour percer la psyché humaine... Tellement intelligente qu’elle avait fini par sombrer entre les bras du Joker, devenant sa poupée. Un paradoxe que Pamela n’avait jamais vraiment réussi à s’expliquer, et elle avait clairement le sentiment de faire encore une erreur en laissant parler ses sentiments à son égard. Outre la menace du SHIELD, elle savait aussi qu’Harley risquait encore de lui briser le cœur en la trahissant pour le clown, si jamais il refaisait surface à Seikusu.
La dernière trahison en date d’Harley avait eu lieu quand cette dernière, sur un « coup de sang », avait cherché à tuer le Joker. Une sorte de révélation qui l’avait amené à éprouver une haine féroce envers ce dernier, et à infiltrer seule l’asile d’Arkham. Elle s’était retrouvée face à ce dernier, et toute sa haine s’était volatilisée en quelques secondes, donnant lieu à une émeute sanglante à l’asile, qui avait été l’un des éléments ayant amené le gouvernement à autoriser la création d’Arkham City, soit la rénovation des quartiers abandonnés de Gotham depuis le séisme que la ville subi, pour les transformer en une vaste zone pénitentiaire. Ivy s’était rendue à Arkham pour tenter de raisonner Harley, elle l’avait immobilisé, tenu entre ses tentacules, lui demandant de choisir entre elle et le sinistre bouffon immobilisé contre le mur. Harleen avait choisi en abusant de sa confiance, en la rouant de coups, et en l’enfermant ensuite dans l’une des prisons de haute sécurité d’Arkham.
*Je m’étais jurée de la tuer si jamais je la revoyais encore...* se disait-elle en remuant ses mains sur son cul.
Cet insolent petit cul parfaitement bien moulé la tentait, et Ivy ferma à nouveau les yeux. Il était maintenant trop tard pour faire machine arrière. Elle s’était engagée avec cette femme, et, malgré la schizophrénie persistante d’Harley, Pamela, en un sens, se sentait responsable d’elle. Amoureuse ? C’est ce qu’Harley lui avait dit pour la déconcentrer, mais... Ivy ne le pensait pas, mais elle en doutait. De toute manière, quelles étaient ses chances face au Joker ? Ivy secoua lentement la tête, se résolvant à ne pas penser à ça, et avança ses mains, retirant la ceinture de la femme, et lui retire son pantalon en cuir, le faisant glisser le long de ses jambes. Elle portait un string, et ce dernier suivit rapidement le même chemin, Ivy se montrant, comme à son habitude, assez autoritaire et dominante.
Devant la réplique d’Harley, Pamela la gifla gentiment sur les fesses.
« Ne sois pas insolente, Harleen, nous avons une invitée. »
Harleen ne semblait même pas l’avoir entendu, et continuait à provoquer Aoki. Cette dernière leur avoua qu’elle avait déjà de folles nuits avec Félicia, ce dont Pamela ne doutait pas. Félicia n’était pas la Chatte Noire pour rien. Elle était terriblement gourmande, assoiffée, et particulièrement perverse. Ce n’était pas pour déranger Ivy, car elle comptait précisément jouer sur ce point pour convaincre Félicia de les suivre.
Poison Ivy se déplaça alors, se penchant en avant, et malaxa les fesses d’Harley, avant de les embrasser tendrement, l’une après l’autre. L’ancienne psychiatre était d’une magnifique beauté, un corps parfait. Le Joker était vraiment cinglé de la repousser continuellement, mais, au moins, c’était à l’avantage régulier de l’Empoisonneuse, qui ne se privait évidemment pas de pouvoir bénéficier d’un tel cadeau. Elle avait ses méthodes et son doigté pour réconforter la redoutable psychopathe, et pour l’aider à aller mieux. Sa langue filait contre sa rondelle, ses mains malaxaient sa peau, les pressant tendrement, et s’attaqua à son fondement, enfonçant sa langue dans son petit trou.
Ses tentacules remuaient contre son corps, mais, pour l’heure, elle ne les utilisait pas, se contentant juste de savourer ce cul que Pamela lui offrait. Elle le mordilla encore un peu, avant de se relever, et gifla à nouveau Harley, bien décidée à la provoquer un peu :
« Et bien, Harley ? C’est tout ce que tu peux faire ? Je vais finir par croire que l’atmosphère japonaise restreint ton imagination... Un simple baiser ? C’est la petite amie de Félicia, Harley... Elle ferait passer notre Catwoman pour une nonne, tu sais. »
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L'ambiance changeait peu à peu ce soir. Puisque à l'origine Harley voulait faire une virée pour se présenter convenablement à Seikusu, que cette ville ait une idée plus ou moins complète de l'Américaine qui a débarqué au Japon. Mais voilà, après un braquage loin d'être sanglant dans un fast-food où elle a eut qu'un maigre butin mais où elle s'était amusé avec Ivy et les clients avaient pris leurs pieds, elles avaient stoppé un combat de chiens dans les rues, enfin, surtout Harley. On pouvait juger cet acte plus d'une héroïne que d'une vilaine mais c'est plus fort qu'elle, elle n'allait pas fermer les yeux en se disant qu'un mec comme Double-Face ou le Pingouin aurait laissé ça continuer. Pas question! Et les voilà maintenant débarqué chez une Catwoman-bis qui aurait dû passer une petite soirée fort amusante. Mais voilà, quitte à squatter, autant profiter un peu du gâteau... du délicieux gâteau. Bon par contre, elles ne seront pas malpolies, elles ne toucheront pas à la bouteille de vin sauf si Félicia leur en offre une coupe. L'Arlequin s'amusait doucement avec Aoki, cette dernière la provoquait autant qu'elle en faisait Harley mais elle restait quand même étonnée... Cette Aoki était aussi coquine que ça? Plus que Selina? Pourtant le minou était connu aussi pour aimer faire jouer sa langue sur les parties intimes et de bien des façons. Aoki aussi était étonné... Félicia aurait parlé de leurs soirées à Ivy? Elles étaient si amies que ça? Et puis quand elle parlait de ça... elle évoquait Aoki ou Félicia? La Japonaise n'osait pas poser la question, elle pourrait se trahir toute seule...
« C'est bien ce que je disais. Vous les Jap', z'êtes vraiment des pervers en puissance! Car notre Catwoman, c'est pas le genre de fille à se laisser caresser comme un gentil chaton. Quand elle a envie de s'amuser, ta intérêt à être en forme, c'est une vraie lionne en chaleur! »
Comment elle savait ça? Bah, elle l'avait lu dans un bouquin. Mais nan, elle avait déjà essayé! Cette Selina avait d'ailleurs une faible pour la domination, elle voulait souvent se mettre en haut de ma pyramide. Oui c'était déjà arrivé que les sirènes se rassemblent pour s'amuser à trois et faut bien avouez qu'elles se fendaient bien la poire! Harley posa son doigt sur son menton en observant le plafond, avec elle va falloir bruler quelques étapes, ne pas oublier qu'il y avait aussi Pamela dans le lot, donc un jeu à trois... Le lit était assez grand pour elles, même an rajoutant Félicia. Mais comme elle était occupée avec le véto pour le moment, elle n'allait quand même pas la déranger pour ça. Elles pouvaient très bien s'amuser sans elle pour le moment.
« Oh je sais! Toi, tu vas t'occuper de mon entrejambe, que je vois si tu lèches aussi bien que Catwoman. Quant à toi... tu peux toujours t'occuper de son cul à elle... tu verras bien ce que ça vaut comparé à notre minou national. »
Au moins comme ça, elle ne pourra pas dire qu'elle s'est ennuyé en leur compagnie car ça commençait même plutôt bien pour Aoki qui avait un léger sourire. Elle pressentait qu'Harley tentait de jouer les méchantes mais... non pas que c'était pas son truc mais ce soir, même ici, elle devait s'inquiéter pour les deux chiennes qui passent sur le billard en ce moment même. Harley se redressait en chevauchant la poupée sexuelle, tirant sur les lacets de son corset afin de le retirer, gardant ses mitaines comme son long sourire. Aoki souriait en observant le corps d'Harley qui répliqua aussitôt face à ce petit sourire en coin.
« Je te fais sourire trainée? C'est pas ma faute si t'est chaude comme je-sais-pas! Tu serais utile face à l'autre glaçon de Gotham au moins, tu le ferais fondre en un instant! »
Ce Mister Freeze avait une seule qualité qu'Harley voulait bien reconnaître, il était utile en été. Et plus sérieusement, sa fidélité vis-à-vis de sa femme ou compagne, eh bah ça se faisait rare de nos jours, surtout pour un mec. L'Arlequin prenait place sur le lit alors qu'elle tenait la laisse de la copine de Félicia dans sa main, tirant un peu dessus.
« Au boulot maintenant. Ta intérêt à me faire jouir sinon... »
« Sinon quoi? »
« Exactement! »
Que voulait-elle dire? Inutile de chercher, parfois, c'était Harley, tout simplement. Aoki se plaçait donc entre les jambes bien écartées de l'Arlequin, ayant quand même un regard en arrière pour Ivy. Elle devait s'occuper de son cul mais de quelle façon? Avec ses doigts, sa langue, ses mains si elle est du genre SM? Felicia lui avait dit que son truc à elle c'était les plantes. Elle espérait juste ne pas recevoir un cactus dans le cul... Sinon, le genre truc tentaculaire avec ses plantes... faut bien avouer que ce serait une première. Mais pour ce qui était d'une femme membrée, elle serait arrivée trop tard, Felicia lui avait déjà offert ce petit cadeau hors norme. Aoki fut forcé à atterrir entre les jambes d'Harley qui la tirait et l'observait en souriant. La Japonaise se pencha pour commencer à embrasser ses lèvres et les lécher en douceur, laissant l'Arlequin doucement prendre son pied, plissant un peu les yeux. Il était trop tôt pour gémir mais si elle commence comme ça, elle sera bientôt prête pour lui faire entendre sa voix. La belle folle se touchait un sein en passant sa langue sur ses lèvres, observant d'un œil aguicheur la belle rouquine en face. Une opération séduction face à face, chacune occupée par Aoki. On va voir si l'idée d'Harley plaisait à tout le monde mais pour le moment, Aoki semblait ok.
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Face à Harley, Aoki se retrouva rapidement entre ses cuisses, à lécher son minou, l’Arlequin se déshabillant progressivement. Ce spectacle était vraiment magnifique. La petite amie de Félicia avait l’air d’être à la hauteur de la perversion de la Chatte Noire : une femme qui adorait le sexe, et qui avait juste besoin qu’on la motive un peu. Dire que, à côté, Félicia était en train d’aider le vétérinaire à sauver les deux animaux qu’elles avaient récupéré... Au moins, c’était une manière de permettre à Harleen de se relaxer. Sa main tenait la chaîne qui retenait Aoki, en faisant ainsi « son » esclave. La docile Aoki n’avait pas d’autres choix que d’obéir, et elle obéissait donc, sa langue remuant contre l’intimité désormais propre et épilée de la femme. Harley lui avait offert ses fesses, et, les deux femmes se regardaient, tandis que les mains de Pamela se déplacèrent, chacune d’entre elles venant malaxer les belles petites fesses de ce joli petit cul.
Un sourire de connivence éclairait les lèvres de la belle plante. Il n’avait jamais été bien difficile de motiver Harley à faire du sexe, et ce bien qu’elle se soit crue, à la base, hétérosexuelle. Pamela avait été la première femme qui lui avait fait l’amour. Elle avait toujours ressenti quelque chose de particulier envers Harleen, sans pouvoir se l’expliquer. Est-ce que cela venait du fait que, avant de devenir une psychopathe, Harley avait été une psychiatre plutôt douée ? Il y avait une sorte de parallèle entre les deux. Deux femmes exploitées par des tortionnaires qui en avaient fait des monstres, mais, à la différence d’Harley, Ivy, elle, n’avait pas été le toutou du docteur Warren. Elle avait tué ce dernier, et estimait qu’ilfallait qu’Harley fasse de même : qu’elle se débarrasse définitivement de l’ombre du Joker... Ce qui était toutefois surréaliste, tant l’emprise de ce dernier sur elle était forte, ébranlant sa psyché et son inconscient.
Mais, pour l’heure, seul comptait le plaisir, et cette petite Aoki avait de quoi être servie, entre les deux anciennes Sirènes de Gotham City.
« Hum... Son cul est délicieux. Félicia a de très bons goûts. Je suis sûre qu’elle lèche très bien aussi, Félicia adore ça... »
Ses mains pressaient et malaxaient chacune de ces fesses, délicieusement mises en valeur par le petit string rose qui les séparait, les exhibant sans aucune pudeur. Il allait vraiment falloir que Félicia lui donne l’adresse de son tailleur, tellement cette tenue était magnifique ! Ce rose donnait l’impression d’avoir à une fille pudique, donnant un sentiment de douceur féminine, mais la tenue était tellement moulante qu’elle était un appel au viol. Elle était également très agréable à caresser, et, tout en continuant à peloter ses fesses, son pouce venant appuyer sur le string, à l’emplacement de son anus, Pamela s’avança, s’étalant sur le corps de la femme, ses seins s’enfonçant dans son dos. Ses lèvres s’approchèrent de l’oreille d’Aoki, qui n’avait pas d’autres choix que de lécher, provoquant de magnifiques soupirs et autres bruits de succion
« Félicia adore me lécher les pieds quand j’arrive à la convaincre un peu... Et toi, ma belle, tu es vraiment très chanceuse de pouvoir nous avoir ensemble, toutes les deux... Je te promets une nuit qui risque de hanter tes rêves pendant encore longtemps. »
Pamela resta encore un peu comme ça, écrasée contre Aoki, déplaçant ses mains pour appuyer sur chacun de ses seins, sa langue venant jouer dans le creux de sa nuque. Ses mains massaient généreusement ses délicieux seins. Pour une Japonaise, elle avait une poitrine très agréable... Une autre raison supplémentaire susceptible de justifier le choix de Félicia. Une femme vraiment très agréable, et Pamela s’amusait à embrasser sa nuque, léchant sa peau, la mordillant même un petit peu, se faisant plaisir...
Elle finit par se relever, et se pencha vers Harley, posant sa main en appui sur sa nuque, puis alla s’attaquer à ses lèvres, les pressant tendrement, envoyant sa langue se nicher dans sa bouche, la caressant profondément. Le baiser était assez intense, et Ivy posa son autre main sur la tête d’Aoki, plaquant cette dernière plus fermement contre l’intimité d’Harley.
« Hummmm... Hummmm !! »
Le baiser, intense, finit par se rompre, et Pamela s’écarta, libérant la tête d’Aoki, et déploya ses tentacules. Ils jaillirent de sa moelle épinière, et la contournèrent, se rapprochant des jambes d’Aoki, venant s’enrouler autour de ces dernières, pressant sa peau. De fins tentacules verdâtres qui remuaient comme des serpents, et s’approchaient de son bassin, remontant le long des délicieux collants blancs qui filaient le long de ses jambes. Ils s’approchèrent ainsi de son bassin, et se glissèrent sous ses tissus, venant s’enfoncer dans son vagin et dans son anus, remuant lentement et tendrement, le tentacule planté dans ses fesses sécrétant un liquide permettant de lubrifier ce conduit étroit et délicat.
« Là, voilà... Qui n’aime pas mes plantes, hein ? Mais ne t’en fais pas, Harley, je ne vais pas t’oublier... »
Un autre tentacule les contourna sur la gauche, pour s’approcher du dos de la belle tête blonde, dans l’objectif évident de vouloir la sodomiser à son tour.
Comme ça, il n’y aurait pas de jalouses.
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Le jeu en valait la chandelle, ça avait l'air drôle ce petit jeu à trois, à quatre quand Félicia sera de retour mais pour le moment, c'était déjà très bien comme ça. L'arlequin avait sa chose entre les mains – les cuisses plutôt – et son travail était parfait. Elle léchait très bien cette petite, Harley y veillait au grain, ses jambes bien écartées, elle lapait sa chatte comme une petite chienne assoiffée, allant parfois plus profondément que la surface et c'était tant mieux. Allongé comme une princesse sur le lit, les bras sur les oreillers en guise d'accoudoir, elle la laissait faire, observant avec plaisir Ivy. Ça lui donnait d'avoir vraiment une lèche-botte – ou broute-minou personnel du moins – et faut dire que ce n'était pas désagréable. Déjà que Pamela avait ce sourire et cet air supérieur, Harley dans cette position, ça faisait vraiment... Bien comme image. Pamela profita elle aussi de son jouet, jouant avec son petit cul, Aoki aimait être prise entre ses deux femmes de caractère. Avec Félicia en plus, elle serait vraiment une poupée esclave pour elles! Elle se concentrait sur les lèvres délicieuses d'Harley, faisant son travail au sérieux, appréciaient aussi les faits et gestes de Pamela même si cette dernière la délaissa un peu pour retourner auprès d'Harley. De l'amour? La Japonaise s'en posait la question mais n'osait pas la poser à voix haute.
Harley embrassait avec plaisir Pamela, elle aimait bien cette situation d'avoir un jouet à disposition, elle pourrait même y prendre goût. Mais Aoki comme Félicia ne seraient pas d'accord de la rejoindre de temps à autre pour être rien qu'à elle. Et Pamela... Elle faisait bien faire de drôle de choses à ses élèves alors en faire d'une une petite poupée obéissante ne devrait pas trop la déranger? Lorsque le baiser se rompit, elle conservait ce petit sourire en coin, lui donnait des airs d'égal à égal avec Pamela mais même si l'Arlequin acceptait souvent d'être soumise au lit, elle ne l'avouerait pas à haute voix. La belle plante commerçait à faire venir ses petites lianes d'abord autour d'Aoki qui soupirait devant la rencontre végétale, remuant ses hanches sous l'avancer étranges de ses plantes alors qu'elle voyait la sienne approcher, juste par-derrière? Aoki s'occupait de l'entrée principale aussi. Avec ses jambes bien écartées, elle était prête à recevoir son nouvel invité. Elle eut juste un petit soupire sous cette intrusion alors qu'elle caressa la tête d'Aoki d'une main en caressant l'un des seins de Pamela avec l'aitre.
« Hm, j'espère que j'aurais le droit à quelque chose de plus, hmph, costaud ensuite? »
C'est bien beau lui présenter un nouveau pouvoir si c'est juste fait pour tâter le terrain, Harley voulait s'éclater avec tout ça!
« Hey en plus... tu pourrais p't'être nous prendre toutes les deux en même temps? » Aoki releva la tête mais Harley lui imposa son entrejambe « Couché toi. »
L'idée était intéressante mais Ivy était capable d'en avoir deux à la fois? Ça, elle n'en savait rien, elle ne lui avait pas vraiment posé la question a vrai dire. Pour le moment, elle laissait ce petit serpent anal faire son affaire, elle soupirait avec cette petite cochonne entre les jambes et Ivy qui avait plus d'une idée derrière la tête. Sa main glissa de son sein pour passé sur son ventre et ensuite se glisser entre ses jambes pour la doigter, non pas comme une folle mais doucement pour le moment. C'est vrai que Pamela était délaissée de ce côté-là. Harley avait Aoki pour s'occuper, Aoki avait Pamela mais elle?
« Huhu... j'espère que-hum, Félicia nous en voudra pas trop de fatiguer sa petite copine. »
Vu comment c'était parti, Aoki allait faire dodo avant que la belle chatte en cuir allait revenir de son aide pour l'opération. Ce serait le genre à sortir ses griffes pour se montrer méchante où elle passerait l'éponge pour cette fois. Harley avait fini par y passer ses deux doigts pour pénétrer Pamela mais elle les avait retirés en les plaçant sous le nez d'Aoki, les doigts redresser, donnant un faux air de verge.
« Régale toi ma chienne, c'est Ivy qui paie! Ta de la chance, d'habitude son nectar n'est rien qu'à moi. »
Une façon de rendre la pareille à Félicia pour son aide en passant par sa petite amie. Aoki jouait bien le jeu, léchant son index et majeur doucement, comme elle le ferait avec un pénis en vrai. La nuit promettait de grandes choses à trois, voire quatre.
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Tandis qu’Aoki léchait les doigts d’Harley, Pamela, elle, réfléchissait à leurs options. Les femmes n’étaient pas dans son laboratoire, dans son antre, et elle n’avait donc pas à disposition tous les outils qu’elle utilisait actuellement dans ce genre de circonstances. Pamela était limitée dans ses options, mais elle était une scientifique... Il fallait avoir de l’imagination pour être scientifique, et les idées commençaient à perler dans son esprit. L’Arlequin avait toujours été une forte source de motivation chez elle. Harleen avait longtemps été une jeune fille assez timide, une psychiatre effacée... Sous Harley, elle se lâchait, sans aucune restriction, comme si son « ça » envahissait totalement son « sur-moi ». Elle était perverse, déjantée, à tel point que tuer ne la dérangeait pas. C’était vraiment très curieux, mais, de manière générale, le cerveau humain était une chose curieuse... Pour le coup, ce n’était pas Pamela qui penserait autrement, dans la mesure où elle était devenue une créature hybride, à mi-chemin entre l’humaine et l’hybride.
Harley était gourmande, et Pamela avait un moyen de la satisfaire... Mais, pour ça, elle allait se faire la main sur Aoki. La jeune femme était maintenant devenue leur esclave sexuelle, et Harley n’avait pas tort : il était rare qu’elles s’ouvrent à d’autres personnes. Selina avait été une rare exception, mais Catwoman avait un statut un peu différent. En revanche, il était assez rare que Pamela ou Harley capturent de simples femmes pour s’amuser sexuellement avec elles... C’était peut-être une idée à tenter. Pamela commettait déjà des rapts et des kidnappings, afin de répandre sa morale écologique dans la tête de personnes qui y étaient résolument défavorables... Partant de là, capturer des femmes pour leur faire mutuellement l’amour ne serait pas totalement saugrenu. Le seul risque était qu’Harley finisse par trop y prendre goût. Après toutes ces années avec elle, Pamela savait encore que la jeune femme pouvait la surprendre, par exemple en débarquant au Japon, et en faisant irruption dans sa salle de cours.
*J’aime à me dire que c’est moi qui la réfrène, que c’est moi qui la commande... Mais, en une nuit, elle m’a amené à tabasser des types à mort, à se froisser avec des Yakuzas, et à coucher avec la petite amie de Félicia...*
Impossible de savoir comment Félicia allait réagir. Elle était déjà sur les nerfs à l’idée d’héberger une femme comme Harley, un comble venant d’une voleuse ! La Chatte Noire se fiait trop à ce que les médias disaient sur Harley. Elle n’était fondamentalement pas méchante, il fallait juste qu’elle trouve un bon modèle pour la calmer et l’empêcher de faire des bêtises. Et puis, de toute manière, ce n’est pas comme si les deux femmes forçaient Aoki. Qui de censé sur cette Terre refuserait de partager sa couche avec Poison Ivy et Harley Quinn ? Ne formaient-elles pas un couple légendaire ? Aoki léchait sans problème, et Pamela continuait à peloter ses fesses. Son plaisir naissait, et elle ferma les yeux, en se concentrant.
Afin d’allécher un peu Harley, Pamela, yeux clos, se mit à parler :
« Patiente un peu, ma chérie, et je devrais avoir de quoi te faire plaisir... Tu vas voir que je ne suis pas tournée les pouces au Japon... »
L’appartement de Félicia abritait quantité de trésors, et elle se connecta aux plantes de l’endroit, puis s’écarta alors.
« Attendez... »
Pamela avait quelque chose derrière la tête, et elle se déplaça. Il y avait des placards et des commodes abritant une multitude d’objets, et elle tendit ses doigts vers la sortie. Des tentacules en jaillirent, et filèrent dans l’appartement.
*Félicia se rend fréquemment chez moi, et, comme Harley, mes spores ne la détectent pas comme une intruse... Je sais qu’elle en a profité pour récupérer certains de mes produits...*
Pamela l’avait sciemment laissé faire, précisément dans le but d’une soirée comme celle-ci. Ses produits étaient toujours issus de sécrétions émanant de son propre corps, et elle put donc en pister un, puis l’amener. Au bout de quelques secondes, un liquide vert translucide apparut alors, dans une seringue hypodermique.
« Mmh... J’étais sûre que Félicia m’avait piqué certains de mes échantillons. C’est un dérivé du Titan, Harley... Le produit utilisé par ton incapable d’ex’. »
Le Joker avait utilisé le Titan comme un sérum ayant pour but de créer des super-soldats. Il avait mené discrètement des recherches sur des prisonniers de l’asile d’Arkham, avec l’aide d’une partie des scientifiques, et, dans sa gentillesse, en avait fait donc à Ivy, afin qu’elle utilise ses plantes pour neutraliser Batman. Scientifique dans l’âme, Ivy avait conservé un échantillon, et l’avait modifié. Le Titan était un sérum instable, qui était en partie inspiré du sérum utilisé par les Américains pour créer Captain America. Elle l’avait modifié à l’aide des produits qu’elle avait ramené de la forêt de Weldenela, sur Terra, et se planta l’aiguille dans le corps.
« Hnnn... !! » gémit-elle.
Son corps se mit à vibrer, et ses veines devinrent d’un vert translucide pendant quelques secondes. Elle tituba, se tenant la tête, et poussa un long cri aigu en basculant la tête en arrière. Pamela tournait le dos aux deux femmes, et, quand elle se retourna, on put voir que son corps était désormais orné d’une magnifique verge végétale, jaillissant de son intimité.
« Haaaaa... !! »
C’était une queue plus épaisse que ses tentacules, et qui lui faisait un mal de chien. Elle retourna poser ses mains sur les fesses d’Aoki, et la pénétra alors sèchement, s’enfonçant dans son vagin en le déformant, poussant des grognements. Elle avait modifié le Titan pour qu’il ait des applications sexuelles, sans déformer son corps, Pamela tenant à conserver cette beauté sculpturale que la Nature lui offrait.
« Hmmmm !! Hmmmm !! »
Harley l’avait caressé intimement, auparavant, et Ivy avait besoin, pour que sa formule marche, d’un embryon d’excitation sexuelle.
« Je... Je peux tenir des heures, Har... Haaarleeeyyy... Mais !! Huuuunnn... Ce... Ce n’est pas tout ce que... Ce que j-je peux faire... »
Elle avait affiné ses recherches après sa rencontre avec d’autres nymphes de la forêt, à savoir les sœurs alraunes Lily et Raune. Elle ferma les yeux, ses mains se crispèrent sur le délicieux cul de leur esclave, et sa sueur se mit à couler, formant de la sève qui s’amoncelait sur le sol. Yeux clos, Ivy gémissait, retournant bourrer sèchement le corps d’Aoki, la tête de la femme venant heurter le bassin d’Harley... Puis la transformation continua à s’opérer, les tentacules végétaux venant se mélanger à la sève et à la mouille d’Ivy, une mouille intense, résultant du sérum qu’elle avait pris... Un sérum qu’elle appelait coquettement « I-Titan ». L’I-Titan fonctionnait plutôt bien, et, rapidement, les tentacules se formèrent... Puis une seconde Ivy se forma alors, se relevant lentement du sol où elle avait poussé.
« Haaaaaaaaaaaaaaarleeeeeeeeeeeeeeeeeeeyyyyyyyyyyyyyyyy... » gémit ce clone.
Le clone végétal s’approcha d’Harley, et agrippa ses cheveux, avant de l’embrasser tendrement, enfonçant sa langue dans sa bouche. Harley voulait qu’on s’occupe d’elle, et elle allait être servie. Dans le dos d’Ivy, un véritable amas de tentacules était en train de se former, et son corps dégageait maintenant un véritable nuage de spores aphrodisiaques. Le clone d’Ivy agrippa Harley par les jambes, l’écartant d’Aoki, puis pénétra rudement sa partenaire, s’allongeant à côté d’Aoki. Aoki était prise en levrette, et le clone de Pamela prenait Harley sur le lit, remuant lourdement en elle, en enfonçant sa grosse queue.
« HAAAAAAAAAAAAAAAARLEEEEEYYYYYYYYYYY-HHHAAAAAAAAAAAAANNNN !! » hurla Ivy en donnant une grosse claque sur les fesses d’Aoki.
Pendant ce temps, dans l’infirmerie de Félicia, les chiens étaient soignés, mais les spores se répandaient également, filant par les conduits d’aération de l’appartement.
« Qu’est-ce que... ?! » s’exclama Mayfield en titubant sur place.
Félicia se mit à éternuer. Mayfield, lui, venait d’avoir une trique d’enfer. Contrairement à elle, il n’était pas protégé contre les spores de Pamela, et était un mâle... Ce qui fit qu’il se mit à grandir, à s’épaissir, déchirant ses vêtements, dardant son regard vers Félicia, louchant sur ses seins, qui s’étaient mis à se tendre. Mayfield était devenu un homme-plante, avec une peau légèrement verte, et des yeux verts fluorescents.
« Ro... Robert... »
Ce fut tout ce que Félicia arriva à dire avant que l’homme ne se rue sur elle, et ne la plaque contre la porte de l’infirmerie. Félicia poussa ensuite un long cri mêlé à un miaulement quand il la pénétra, s’enfonçant dans sa mouille.
Félicia n’allait pas encore pouvoir les rejoindre tout de suite.
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Elles s'amusaient bien ici... Harley ne regrettait pas d'être venue en tout cas, même si à l'origine, c'était pour un but plus noble que celui de s'envoyer en l'air dans un lit qui n'est pas le sien... et une fille qu'elle connaît à peine. Mais bon, Harley laissait Aoki entre ses jambes, elle se débrouillait bien la nippone mine de rien. Même quand Pamela allait faire sa curieuse avec les affaires de sa copine, Harley la rappelait à l'ordre en tirant un peu sur sa laisse, qu'elle reste entre ses jambes, ça ne la concernait pas. L'Arlequin se demandait bien ce qu'elle recherchait ici, soudainement? Une passion soudaine pour le vol? Pas vraiment, elle semblait sur une piste et ça promettait d'être amusant! Car quand elle la voyait se piquer avec une seringue où le liquide à l'intérieur rappelait des souvenirs de l'asile d'Arkham, ça promettait de grandes choses dans cette chambre! Sur le coup, elle rigolait bien quand elle qualifiait le Joker d'incapable mais d'ici quelque temps, elle va s'en mordre les doigts en risquant de revenir vers lui comme une mouche va voler vers les flammes. Cependant quand Pamela s'agitait en se tenant la tête, Harley n'empêchait pas de la regarder, elle aussi surprise? On sait jamais... une dose trop forte, elle ne voulait pas voir une Bane au féminin dans cet appartement...
La nouvelle Pamela se rapprocha d'Aoki avec sa nouvelle verge et la prenait sèchement, sans demander la moindre chose avant de la bourrer comme il se devait! N'empêche, elle se demande quelle tête elle ferait l'autre Catwoman qui vivait ici? Elle serait heureuse? Surprise? Jalouse? Que ce soit bien clair, Harley n'était pas méchante au point de vouloir faire séparer ses deux-là, elle avait trouvé quelqu'un qui connaissait quelqu'un pour guérir ses deux chiennes alors elle ne voulait pas en arriver là... Mais voir la nippone se faire prendre aussi férocement par Ivy qui semblait déchainé, ça valait le coup d'œil! La pauvre couinait comme une chienne en se faisant défoncer par cette verge, sa tête se cognait contre son bassin, même Harley se redressait pour faire face à Ivy. Si elle aurait été membré elle aussi, Aoki aurait été sacrément occupé mais heureusement pour elle, Harley est tout ce qu'il y a de plus femme! Même si elle se rapprochait en se penchant sur Aoki, faisant en sorte que sa tête se place entre ses jambes et qu'elle, puisse se rapprocher de sa partenaire.
« Oh oh? Autre chose? Tu m'en diras tant ma belle rose... »
Mais pendant qu'elles se faisaient plaisirs, Harley la provoquait en tentant de venir l'embrasser, sortant sa petite langue pour tenter de la lécher sans lui donner ce petit plaisir. Un petit jeu malsain qu'elle allait vite regretter. Car quand la seconde Ivy venait de se redresser en hurlant son prénom, elle fut plutôt surprise... Voilà qui n'était jamais arrivée jusque-là. Le clone venait à elle, la prenant par les cheveux avant de l'embrasser langoureusement. Elle l'allongea sur le lit avant de lui faire subir la même chose qu'à la Japonaise. Aoki ne cessait de gémir face aux assauts de Pamela, bavant sur le lit en se laissant prendre par la femme plante. Il est déjà arrivée à Félicia de la prendre de la sorte mais toutes les deux avaient d'autres préférences que jouer avec un pénis. Harley se retrouva allongé sur le lit, à côté de sa nouvelle amie, le clone venait rapidement à elle pour la prendre, remuant aussi sauvagement que l'original à ses côtés. Harley venait joindre ses gémissements à ceux d'Aoki, chantant de bonheur dans la chambre. Elle gardait son Ivy contre elle, ne cessant de regarder la vraie Pamela qui prenait déjà sauvagement Aoki.
« Haaaaaaannnn Pam! Tu.... haaaa... m'avais caché ça!!! ça promet... bientôt... »
Que voulait-elle dire? À l'arrivée de Félicia? Après quand elles seront seules? Allez savoir... Quoi qu'il en soit, Aoki comme Harley se faisait prendre et il y avait peu de chances que cela change, pour Aoki, c'était sûr en tout cas mais Harley... Il y avait toujours un petit risque...
« HAAAA-AAAAAH! Pa-PAMELA!!! C'est... BON!!! »
« Siiii longtemps!!!! PREND-MOI PAM!!! PREND-MOIII!!! »
Harley relâchait la pression autour du clone et sa partenaire en profita pour se pencher sur elle et l'embrasser, goulument. Les Pamela se faisaient plaisir avec elles et elles, elles se faisaient aussi plaisirs à deux, Harley levant une main pour caresser cette belle poitrine nippone et le bonbon rose en faisant autant avec l'Arlequin. Que de gourmandise dans cette chambre qui sent bon les plantes!
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Expliquer l’origine de ce clone à Harley était impossible, compte tenu des circonstances. Il s’agissait d’une application des pouvoirs d’Ivy. Quand elle était devenue la mutante qu’elle était actuellement, elle avait compris assez rapidement que sa mutation n’était pas achevée, et qu’elle pouvait continuer à évoluer. Pendant un temps, elle avait même cru être devenue une sorte de Déesse de la Nature, comme une sorte de Gaïa moderne qui veillerait sur le monde terrestre... Avec le temps, elle avait révisé ses ambitions, et avait mieux saisi ses pouvoirs, notamment depuis qu’elle connaissait Terra. Ce monde magique était pour elle une véritable expérience, totalement inédite, et elle avait vu bien des choses incroyables... Les clones étaient monnaie courante dans les forêts magiques, où les Alraunes avaient fusionné avec leur forêt, et utilisaient les produits de la forêt pour faire pousser d’autres variantes d’elle-même, ce qui donnait lieu à des séances absolument délicieuses et inoubliables. Pamela s’était inspirée de cela, et avait travaillé depuis des mois sur le fameux sérum Titan du Joker afin d’arriver à un résultat intéressant, l’améliorant et le retravaillant, modifiant perpétuellement la formule jusqu’à arriver au résultat actuel : un savant mélange entre les fluides de Weldenela, cette Alraune puissante et perverse, et le sérum du Joker, ce sérum qui améliorait drastiquement les capacités physiques des cobayes, au détriment de leur apparence physique.
En prenant ce sérum, Ivy se rapprochait du statut de Déesse végétale, tout en sentant son taux d’hormones exploser totalement, ce qui, concrètement, se traduisait par un aphrodisiaque aussi violent qu’il améliorait cette capacité. Autrement dit, Aoki n’avait eu aucune chance, vu sa position, et Pamela lui labourait son vagin avec une force redoutable, sa queue étant devenue longue et tendue, ressemblant plus à une sorte de tentacule végétal phallique qu’à un véritable appendice masculin. Pamela maîtrisait les choses, comme elle en avait l’habitude. Elle s’était toujours vue, même à Gotham, comme la tête pensante de leur improbable duo, et même trio. Quand Selina était venue les voir pour leur proposer de travailler ensemble, Pamela était celle qui conservait la tête froide, qui s’était trouvée un job pour payer les factures (et aussi pour démanteler de l’intérieur une organisation peu respectueuse des normes environnementales), et qui, avec Harley, cherchait perpétuellement à la tempérer. C’était son esprit scientifique qui voulait ça, un esprit qui appelait au contrôle de son environnement, là où, chez Harley, c’était un phénomène inverse. Harleen n’était pas idiote, non, elle était juste... Complètement immature. Comme si elle avait grandi trop vite pour devenir psychiatre, et qu’elle en avait oublié de s’amuser. De ce que Pamela savait de son milieu, elle ne venait pas d’un environnement trop sain, mais elle n’avait jamais vraiment cherché à pousser ça. Quand on devenait Poison Ivy ou Harley Quinn, c’est que, de base, on avait pas un passé très joyeux.
Aoki hurlait et piaillait, à quatre pattes devant elle. Les deux mains verdâtres de Pamela étaient posées sur sa croupe, s’en servant comme appui. Cette verge tentaculaire lui faisait mal, s’enfonçant dans les profondeurs du corps de la Japonaise. Elle ignorait ce que faisait Félicia en ce moment, mais elle ne se faisait pas trop d’illusions. En s’injectant cette drogue, elle avait répandu ses spores dans toute la zone, et les hommes y étaient extrêmement sensibles. Elle aurait pu transformer un homosexuel convaincu en étalon à gonzesses avec ces spores. Elle voyait Harley et Aoki s’embrasser, tout en se faisant pénétrer. Son clone n’était qu’un ensemble de feuilles, de racines, et de fluides corporelles s’étant assemblés pour former une apparence humaine.
« Haaaan !! Haaaann !! »
Elle donnait de belles claques sur les fesses d’Aoki, sentant toute l’expérience sexuelle de cette femme. Malgré sa délicieuse tenue violette qui lui donnait un air innocent, Pamela ne se faisait pas d’illusions. Quand on était l’amie intime de Félicia, il fallait s’attendre à goûter à toute la luxure et à toute la dépravation de cette femme. Sa verge grosse déflorait sauvagement Aoki, et, au bout d’un bon quart d’heure, elle se crispa, ses doigts venant se serrer sur ses fesses, sur ce beau corps tendre et ferme. Elle remonta ses mains, et arracha Aoki aux lèvres de sa petite Harley en la soulevant, l’appuyant par les seins. Pour une Japonaise, Aoki avait une très bonne poitrine, et Harley la souleva, la plaquant contre elle.
Pamela sentait le courant affluer, et elle mordilla le cou d’Aoki, avant de gémir dans son oreille, léchant sa peau, sa langue venant s’étirer, se transformant en une longue langue semblable à un tentacule, léchant tendrement l’oreille de la femme. Pamela se vida en elle, pinçant chacun de ses tétons, et éjacula farouchement en elle, balançant de longues giclées de sperme dans son corps. Elle soupira, car, évidemment, elle jouissait particulièrement fort dans cet état, et remplit le bas-ventre d’Aoki, inondant son estomac de son foutre.
En soupirant, Pamela jouit donc pendant plusieurs minutes, puis retourna tranquillement la jeune femme, afin qu’elle soit face à elle. Des tentacules vinrent l’aider, et, malgré son orgasme, son sexe restait toujours aussi tendu, toujours aussi dur. Ivy serra le corps de la femme contre le sien, caressant ses cheveux, et ses fesses, sa verge retournant se planter en elle.
« Hunnnn... Tu sais que j’aime bien ton costume, toi, petite... Petite coquine ? Je risque de venir très souvent te voir, tu sais... »
Elle embrassa Aoki sur les lèvres, tendrement, puis elle se releva, et laissa ensuite des tentacules jaillir. Ils venaient du plafond, et s’enroulèrent autour des collants et des gants d’Aoki, venant l’écarter du corps de Pamela. Aoki se retira de son sexe trempé, recouvert de sperme et de mouille, et, très rapidement, plusieurs tentacules vinrent la pénétrer en la plaquant contre le mur, bras et jambes en croix, un tentacule dans sa bouche, un autre dans son vagin, et, enfin, un dans son fondement.
Pamela se déplaça ensuite vers la plus grosse part. Son clone s’écarta d’Harley, et ce fut Ivy qui s’allongea sur elle, prenant la place de son clone, en venant embrasser généreusement Harley sur les lèvres, se collant contre elle. Sa langue s’enfonça dans sa bouche, et elle remua contre elle.
« Hunnn... Huuuuuuunnnn... T’es… Tue s si bonne, Ha… Harley, haaaannn !! »
Oh que oui !
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Leur soirée n'aura pas été de tout repos et rien qu'avec cet arrêt, ça allait fatiguer autant Harley qu'Ivy. Poison Ivy semblait y trouver son compte en ayant fait un clone d'elle à ses côtés pour ne délaisser aucune d'elles, c'était bien trouvé. Elle aurait pensé après sa suggestion de voir son amie avec deux verges, un peu comme les serpents mais là, pour le coup, c'était une agréable surprise. La vraie Ivy s'occupait du joli minou de leur invitée – même si en réalité, c'était elles qui étaient invitées chez Félicia – alors que l'Arlequin se contentait du clone. Peu importe, elle sait se débrouiller alors ça va. Aoki était totalement soumise pour le coup à Pamela, les femmes ayant beau être à peu près immunisé contre ses spores, en dehors d'Harley et Félicia, ça avait quand même son petit effet sur celles qui ne côtoyait pas la belle rose autant qu'elles. Alors si en temps normal, la belle Japonaise était bien dévergondée, elle en rajoutait une couche grâce à Pamela et sa soudaine transformation plus puissante. Tant physiquement que sexuellement, Ivy n'était plus la même pour le plus grand bien de la plupart des occupants de cet apparemment.
Aoki n'était rien plus qu'une nympho qui obtenait plus que ce qu'elle désirant, ne pouvant même plus prononcer le moindre mot, elle gémissait et soupirait sans cesse. Les spores ou l'ambiance ne faisaient que lui faire perdre son humanité, la transformant en véritable bête assoiffé de sexe. Harley, c'était presque ça, prise, par le clone de la belle plante, elle supportait ses assauts à elle et sa grosse verge, jouissant sur elle mais cela ne l'empêchait pas d'en demander plus encore. Gourmande? Oui, et alors? L'Arlequin enlaçait sa partenaire pour mieux la sentir poussé plus loin en elle. Pamela venait d'en finir avec Aoki, laissant la belle reprendre un peu de force en la complimentant sur sa tenue. Elle aurait aimé lui répondre mais elle était encore sur son petit nuage, souriant presque bêtement à son compliment. La revoir ne serait pas de refus mais en étant avec Félicia la prochaine fois. Aoki n'allait pas s'endormir de sitôt mais imaginer une chose à peu près pareil avec Félicia dans les mêmes conditions – membrée ou non – ce serait presque idéal. Elle laissait les tentacules venir faire ce qu'elle désirait de son corps.
Harley Quinn voyait le clone se retirer, la laissant un peu respirer pour venir combler ce vide avec son amie rouquine. Pamela l'embrassait généreusement en s'installant sur elle, faisant ce petit plaisir à Harley. Ses mains se baladaient dans son dos comme dans ses cheveux de feux, qu'elle était tout aussi bonne elle aussi!
« Huuuum! Je te renvoie le compliment... ma belle! Rhhhoooo ouais!!! Le Japon, ça ta fait du bien hein ma belle rose ough!!! »
Harley se cambrait sous les assauts de la belle Ivy mais c'était à se demander si elle aussi allait devenir aussi cochonne en étant dans ce pays? La jolie blonde levait ses jambes pour mieux se refermer autour du corps de sa compagne de la soirée, l'aidant aussi un peu à mieux la labourer. C'est drôle, c'est pourtant elle la mère nature, ce serait à elle de la labourrer... Ha oui mais Harley est une femme normale, elle. Venant embrasser Pamela fougueusement, elle se serrait contre elle jusqu'à sentir Pam' jouir en elle. Peu importe si elle avait joui une fois ou deux entre-temps, c'était quand la plante libérait sa sève que ça devenait vraiment bon et intéressant! Reprenant doucement son souffle, Harleen semblait s'être calmé mais son sourire en disait long malgré ses caresses dans le bas du dos.
« Et si on continuait comme ça? C'est pas tous les jours que ta un mandrin pareil entre les jambes puis... ça fait quand même un bail que j'ai pas fait d'exercice. Pourquoi pas allié les deux ensemble, heeeeeeiiiiiin? »
Il était vrai qu'Harley était plutôt souple alors pourquoi pas en profité? Une occasion de faire quelques folies, voire même d'utiliser des positions plus osées comme dans ce bouquin porno, le kamasutra, nan? Avec Pam' ou en y ajoutant son clone, il devait y avoir des façons de s'amuser à deux comme à trois... voir à quatre si Aoki est libéré de ses chaînes végétales. Harley venait frotter son nez contre celui d'Ivy en souriant, prenant même une petite voix suave.
« Alleeeeez. Je sais que tu peux rien me refuser ma belle rose. »
De plus, elle devait être excitée comme jamais, elle voyait mal Ivy se retirer en jouant les innocentes effarouchées.
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C’était comme faire pousser une plante... Une plante qui aurait pris sa forme et son apparence, tout en étant psychiquement reliée à elle. Pamela avait passé des années à s’étudier elle-même, afin de comprendre ce qu’elle était, de comprendre ce que l’expérience ratée de Woodrue avait fait sur elle. Initialement, elle avait cru n’être rien de plus que l’un des multiples freaks de Gotham City, comme Clayface ou Killer Croc. Avec le temps, elle avait néanmoins réalisé qu’elle était autre chose que ça, et que son ADN était en perpétuelle mutation. Plus simplement, Pamela était reliée à la Nature, ce qui se manifestait par son contrôle accru sur les plantes. Ce contrôle avait aussi son côté négatif, car l’environnement dans lequel elle vivait l’influait. Gotham, avec son air polluée et sa toxicité ambiante, constituait donc une atmosphère très dangereuse pour elle, un endroit où sa colère refaisait perpétuellement surface, au fur et à mesure qu’elle sentait la souffrance de la Nature. C’est pour cette raison que, lorsqu’elle était à Gotham City, elle allait parfois se ressourcer dans de grandes zones équatoriales, comme l’Amazonie. Une fois, elle s’était même rendue à une île abandonnée et paradisiaque des Caraïbes, qui avait été son Eden tropical. Seikusu était différente. Sans pouvoir se l’expliquer, en arrivant ici, puis en allant sur Terra, Pamela était devenue nettement plus perverse, que ce soit avec la forme de ses tentacules, ou même en sentant des mutations supplémentaires modifier son corps, jusqu’à lui offrir la capacité de se doter d’une verge quand elle boostait ses capacités. Elle utilisait généralement ses capacités avec les lycéens de Mishima, ou avec les villageois de Terra, quand elle se rendait dans des forêts, et qu’on la prenait pour une dryade. Avec Harley, les choses étaient un peu différentes.
Tandis qu’elle la pénétrait, son clone s’était écarté. Les mains de la seconde Ivy caressèrent le corps de la vraie, déposant plusieurs baisers sur sa peau, embrassant son dos, massant ses épaules. Elle ne gênait nullement les mouvements de Pamela, qui était en train de joyeusement s’amuser avec Harley. L’agile clown se lovait contre elle, et c’est dans ce schéma que Poison Ivy finit par jouir, déversant en elle plusieurs chapelets de foutre. Aoki, elle, était anesthésiée, et les choses n’allaient pas s’améliorer, car le liquide intime de Pamela était une sorte de version concentrée de sa salive, répandant dans la pièce une délicieuse odeur parfumée naturelle, et également très aphrodisiaque. L’amante de Félicia, pour sa défense, ne s’était très certainement pas attendue à se retrouver avec Poison Ivy, mais elle avait pour autant tenu le coup. Les tentacules grouillaient en elle, mais elle n’était pas encore tombée dans les pommes, signe que Félicia avait bien dû la former.
Harley se mit alors à parler à Ivy. Elle en voulait plus, ce qui fit sourire la scientifique.
*Mes spores s’expriment aussi sur toi, Harleen... Sur ton appétit sexuel...*
C’était sa théorie, et elle écouta donc Harley proposer de faire un peu d’exercice. Pamela sourit à nouveau, et embrassa la femme sur les lèvres.
« Qui te fait croire que je veux que ça s’arrête, Harley ? Le sérum que j’ai pris va encore fonctionner longtemps... Et il faut fêter comme il se doit nos retrouvailles... »
Jadis, elles auraient probablement fêté ça en faisant exploser une usine, ou quelque chose de similaire, mais Pamela voulait être plus discrète. Elle n’avait pas envie de finir les retrouvailles en étant coursée par Miss Marvel, ou par n’importe quel autre super-héros flottant dans le ciel. Pamela réfléchissait donc, et, pendant ce temps, son clone était en train de... De se transformer. Le jeu à quatre redevint un jeu à trois quand le clone disparut, devenant un tas de branches et de feuilles sur le sol.
« Hum... J’ai encore du mal à le maintenir longtemps en étant hors de mon repaire... »
Mine de rien, faire un clone n’était pas si évident que ça ! Pamela se retourna vers Aoki, et la libéra de ses tentacules. La jeune femme fut envoyée sur le lit, face aux deux femmes, et, comme Pamela s’y attendait, elle lisait dans ses yeux une profonde dévotion. Les spores agissaient sur ses hormones. Ivy se redressa, et accueillit Aoki dans ses bras, lui roulant une pelle magnifique.
« Embrasse Harley, Aoki... Montre-lui à quel point tu es heureuse d’être ici. »
Pamela, elle, devait faire parler son imagination. Elle laissa donc Aoki se pencher vers Harley quand la porte s’ouvrit brusquement Surprise, Pamela tourna la tête... Pour voir Félicia Hardy.
« Qu’est-ce que tu as fait, Pamela ?! »
Elle était visiblement en pétard, et avait eu le temps d’enfiler sa combinaison noire intégrale. Pamela haussa les épaules, une main toujours posée sur la tête d’Aoki, empêchant ainsi cette dernière de faire autre chose qu’embrasser Harley. Son autre main vint caresser les fesses d’Aoki, et un sourire malicieux traversa ses lèvres.
« Je crois que j’ai couché avec ta copine... »
Félicia avait réussi à assommer le docteur, et se tenait maintenant dans la pièce, incrédule... Quand des tentacules allèrent la saisir aux poignets et aux chevilles.
« Pamelaaa !! »
En quelques secondes, Félicia se retrouva bras et jambes écartées à l’entrée du lit, et Pamela releva le visage d’Aoki en tirant sur ses cheveux.
« Qu’est-ce que tu en dis, Harley ? Tu as envie de jouer avec une belle chatte ? »
Pamela parlait sur un ton langoureux et sensuel. Elle lui avait vraiment offert un beau cadeau, non ?
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Harley avait adoré cette petite séance de sexe! C'est vrai qu'elle n'avait pas vraiment entendu cela de cette oreille quand elle avait parlé de sortir et s'éclater ensemble mais cette ville avait changé Pamela, elle était plus docile et voulait moins se faire montrer au grand jour! Enfin, au grand soir. Oui, elle avait un peu peur de la horde de super-héros qui trainait dans les rues, dans le ciel de Seikusu mais il fut un temps, il y aurait pu y avoir Batman et toute sa clique qu'elle n'aurait même pas eu peur! Ivy pouvait se montrer aussi forte que belle, ce qui faisait qu'elle n'était pas à prendre à la légère. Mais pour le moment, c'était dans un autre genre de combat qu'elle savait bien mener la danse. Elle avait carrément assommé la petite Japonaise qui restait bien docile avec ses tentacules alors que l'Arlequin... hey, il en faudrait plus pour venir à bout d'Harley quand même! Faut apparemment croire que Pamela avait de l'énergie à revendre grâce à ce fameux sérum car elle voulait encore continuer longtemps même si son clone est retourner à la poussière... enfin, au tas de feuille.
Récupérant leur jouet made in Japan, elle lui demanda de venir jouer avec elle un peu. Hum, pourquoi pas mais pas question que Pam' reste inactif, elle a intérêt à jouer avec elles alors. La petite Jap' se penchait déjà sur elle pour l'embrasser alors que la porte s'ouvrait avec un grand fracas. Ha bah la voilà la membre manquante à cette petite fête! Dans sa position Harley voyait ce qui se passait mais Ivy maintenait Aoki sur elle pour qu'elles continuent ce baiser alors qu'elles réglaient leur affaire entre elles. Félicia semblait feulée de rage alors que la belle rose la provoquait un peu, en lui offrant même un nouveau chat. Ou plutût une belle chatte noire qui agressive. Se redressant sur le lit, elle posait son index sur son menton en penchant sa tête d'un côté puis de l'autre.
« Mhh... pourquoi pas mais j'espère que ta été traité contre les puces, je connais ça moi les chats de gouttière, gnahahahaha! »
L'occasion pour elle de voir de plus près si elle était vraiment semblable à leur Catwoman. Elle se redressa pour rester à genoux sur le lit, caressant son visage pour commencer. C'était marrant ce petit masque, Selina en avait un à une époque mais plus maintenant, elle avait des lunettes sur le front au cas ou mais son visage n'était pas tant caché que ça. Sa main descendait vers sa poitrine qu'elle caressait sans vergogne, soupesant le tout avec ses deux mains.
« Elle est déjà mieux équipée que Selina, faut le connaître. »
Non pas que Catwoman était plate comme une planche a pain mais des deux, la seconde chatte noire l'emportait sur la chatte de Gotham. Continuant de descendre ses mains sur ses hanches, c'était assez kif-kif là? Elle avait une belle chute de rein mais Selina aussi. Difficile de comparer sans avoir la seconde chatte sous la main. Reste un autre point, elle glissa sa main entre ses jambes pour la caresser alors qu'Harley ricanait déjà.
« Apparemment, elle a été castrer, y a rien entre ses pattes! »
Lâchait-elle simplement. Bah quoi? Oui Félicia est une femme, ça se voit mais Pamela aussi et pourtant... bah il suffit de la voir actuellement pour voir qu'entre les jambes, elle est pas si femme que ça. Aoiki continuait de subir l'effet des spores, elle observait sa petite amie, maudissant surement n'importe qui ou quoi de ne pas pouvoir être à la place d'Harley. Oh? Ça lui donne des idées cochonnes de voir ça! Elle quitta le lit apparemment en pleine forme pour se glisser dans le dos de la Chatte Noire, passant sa tête sous l'une des aisselles de Félicia pour taper la causette avec Ivy.
« Hey Pam', plutôt qu'être comme ses gros cons avec ses combats de chiens, pourquoi on ferrait pas un combat de chienne? On les excite puis après, on les lâche sur le lit! Ça va se griffer et se mordre même mais ça va jouir dans tous les sens! »
Aoki était bien plus sous l'effet des spores que Félicia mais ça ne changeait pas grand-chose. Harley gigotait dans son dos, plaçant sa tête à côté de celle de la Chatte noire pour pencher sa tête plus bas, observant son corps se denuder devant sa main qui tirait sur cette petite zipette qui s'arrêtait sous son joli petit nombril. L'Arlequin passait déjà ses mains sur ce superbe corps, caressant son ventre mais surtout l'un de ses jolis seins. Tout doux en plus et bien en forme. Hum la belle chatte avait de sacrés arguments!
« Regarde ça, quand on la caresse dans le sens du poil, elle est bien gentille cette belle chatte. Elles sont toutes les mêmes ses chattes de gouttière! Quoique faut se méfier hein, haha! »
Oui, Selina avait déjà réussi à la piéger plus d'une fois alors méfiance est mère de sureté! Sa main gauche glissa plus bas que son nombril, venant se glisser dans sa combinaison comme un petit poisson dans l'eau. Elle caressait les lèvres intimes de la jolie Félicia, touchant plus en profondeur cette belle petite chatte qui apparemment se faisait belle même ici, elle était très douce, elle devait se raser de près.
« Je vais la faire ronronner moi ton minou. Et toi, elle est comment la tienne? »
Autant comparer leur jouet avant de les lâcher dans cette arène faite de drap et de douceur.
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Leur jeu était en train d’échapper au contrôle d’Ivy… Ce qui était très souvent le cas quand Harley se mêlait de ses affaires. L’imprévisibilité totale de l’Arlequin était en ce sens autant un plaisir qu’une torture, car Pamela ne savait jamais à quoi s’attendre avec elle. Comment avaient-elles bien pu faire pour se retrouver ainsi ? Pour finir dans l’appartement de Félicia, et par faire l’amour à quatre ? En revoyant rapidement le déroulement de cette soirée, Pamela avait encore du mal à y croire. Ah, maudite Harley ! Elle la rendait folle ! Il n’était néanmoins plus question, maintenant, de faire marche arrière. La Chatte Noire était furieuse, mais aussi très excitée, et elle remuait faiblement contre les tentacules, tandis qu’Harley se rapprochait d’elle, la narguant, caressant son corps. Harley s’était écartée d’Aoki, qui était toujours enivrée, toujours sous le charme des spores, et qui se rapprocha pendant un temps de Pamela. Ivy caressa tendrement son visage, ses doigts glissant sur sa joue, comme si elle était une petite chienne, et elle laissa Harley caresser le corps de Félicia, palper ses formes, la comparant avec leur Catwoman de Gotham, Selina Kyle.
Seline était une femme bien différente, physiquement parlant. Félicia avait une meilleure poitrine, et la Chatte soupira quand Harley toucha ses seins.
« Ne me touche pas ! » l’invectiva-t-elle.
Harley n’en tint évidemment pas compte, et glissa sa main entre les cuisses de Félicia, faisant trembler la belle Chatte Noire. Toute emballée dans sa combinaison en cuir, elle était un fantasme vivant. L’Arlequin se glissa ensuite dans le dos de la femme, tout en soumettant une idée qui fit sourire Pamela. Exciter et frustrer les deux femmes jusqu’à ce qu’elles se fassent sauvagement l’amour ? C’était une idée, une idée d’autant plus bonne que, comme elles étaient amoureuses l’une de l’autre, il ne devrait y avoir aucun problème. Aoki, choquée, enivrée, ne disait rien, et, tandis qu’Harley allait s’occuper du corps de Félicia, pinçant ses seins, puis caressant ses lèvres intimes, Ivy, elle, alla s’occuper d’Aoki.
Elle souleva son visage, et l’amena à s’allonger sur le dos, puis se pencha vers elle, lui souriant tendrement. Ses doigts caressèrent son corps, glissèrent sur son visage, caressant ses lèvres, glissant sur sa peau. Elle frotta son menton, avec la même tendresse, puis sa main se posa sur le torse d’Aoki, et elle alla l’embrasser. La Japonaise était contre elle, soumise, subjuguée. Ivy oubliait parfois la puissance de ses spores, a fortiori après avoir pris un peu de Titan. D’un autre côté, Félicia était fautive. Si elle ne s’amusait pas à voler les affaires personnelles de Pamela… Elle n’en serait pas là. Les seins de la Chatte Noire étaient tendus, elle soupirait et gémissait, appréciant le contact des seins d’Harley dans son dos. Elle peinait à le dire au vu de ses pensées confuses, mais ce déballage de sexe et de passion violente était très excitant pour elle. Après tout, elle avait en elle un côté félin, qui était en train de s’exprimer. Son corps la trahissait, ronronnant et vibrant.
« Hunn… »
Harley la doigtait, et posa une question à Pamela. Allongée sur le corps d’Aoki, elle l’embrassait longuement, une main venant pétrir l’un des seins de la femme. Le corps d’Aoki se serrait aux siens, et Pamela se retourna, se redressant légèrement.
« Ses lèvres ont un goût de fraise… Attends, Harley, j’ai une idée… Mets-toi à quatre pattes, Aoki… Allez, allez ! »
Docilement, Aoki obtempéra, et se retrouva à quatre pattes, le visage orienté vers son amante. Leurs regards se croisèrent, et Félicia se pinça les lèvres.
« Retire ta main de sa chatte, Harley, occupe-toi de ses seins… Quant à toi, Aoki… Si Félicia est notre chatte, il me semble logique que tu sois notre chienne, alors… Lèche ! »
L’ordre fusa, sec, et les tentacules déplacèrent Félicia, visant à placer son bassin près d’Aoki. De cette manière, l’intéressée pourrait lécher son sexe en relevant sa tête. Ivy, quant à elle, alla se pencher vers l’arrière d’Aoki, et massa son joli petit cul, un sourire sur les lèvres. Cette partie de son corps aussi était très douce, et très ferme. Elle donna une petite claque, puis commença à les malaxer, et à les mordiller, approchant son visage.
Quitte à s’inviter chez des gens et à baiser leurs copines, autant les faire participer, non ? Ivy et Harley n’avaient aucun respect de la notion de l’hospitalité… Mais, si c’était le cas, elles ne seraient pas vraiment Poison Ivy et Harley Quinn, n’est-ce pas ?
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Mit bout à bout, c'est vrai que c'était une étrange route que voilà... une salle de cours, la serre secrète de Pam', un repaire yakuza, un fast food puis un super bel appartement. Oui, une étrange route et encore, tout n'était pas décris et cela pouvait bien être qu'une étape de la soirée comme le point final. Il y avait tout ici pour dormir en paix après tout. Bien que dormir en paix... ce n'était pas encore ça mais passons. Harley se sentait d'humeur joueuse à proposer son petit jeu quand la femme plante profitait des affaires d'autrui. Harley avait après tout la chance de jouer avec cette Catwoman venant d'une autre ville ? Sûrement la grosse pomme ? Rares étaient les fois où elle quittait Gotham après tout, Harley se sentait bien dans cette ville qui n'était que le cœur du mal, tout être avec de mauvaises intentions était chez lui dans cette ville pour peu qu'il ait un minimum de territoire.
Mais face à son idée, la belle rose semblait avoir une idée tout aussi épineuse que la sienne en proposant un autre jeu. À la voire agir, elle prenait Aoki pour un petit animal de compagnie ce qui n'était pas tout à fait faux après tout ? Il suffit de la voir, elle était dans son élément là. Il y avait les spores de Pamela qui aidait, c'est sûr mais même sans ça, elle était pour, ça se voyait pourtant ! Une véritable chienne celle-là ! Même Pam' semblait dans son élément à la dominer, pas étonnant de sa part, elle a toujours été une beauté fatale qui profite de ses atouts pour grimper les classes et dominer ceux et celles avec qui elle traîne. Harley remonta donc ses mains plus haut, une main venant caresser le cuir de sa combinaison, la seconde venant retirer cette couche de protection pour venir lui caresser la peau. Sa peau était nettement plus douce, moins crissante et ce petit morceau de chair si dissident, à se dresser sous le passage de ses doigts... Elle avait envie de le pincer et le tirer dans tous les sens mais non, elle se retenait, venant juste le provoquer en le touchant ici et là.
Aoki elle ne voulait pas contredire Pamela vu que l'ordre était si alléchant, elle se donnait à cœur joie de venir plaquer sa bouche entre ses jambes, venant lécher sa belle chatte de part et d'autre. Même à travers sa combinaison, la sensation était toujours aussi délicieuse, sa langue arrivait à sentir les formes dissimulées sous ce cuir noir, elle imaginait bien faire la même chose sans sa combinaison mais cela viendra tôt ou tard, encore un peu de patience. La Japonaise était concentrée sur son travail, y allant en douceur, tentant parfois de croiser son regard mais c'était assez compliqué, de par leur position, sans compter la rouquine qui s'amusait elle aussi sur son corps.
« Gnahahaha ! Dis-moi faut la nourrir ta chienne, elle a l'air d'avoir les crocs. Cela dit, ça n'a pas l'air d'être la seule... »
Car vu comment s'y prenant Pamela, soit Aoki avait un goût appétissant, soit elle avait faim alors que pourtant, il lui semble qu'elle avait bien arrosé sa plante dans le fast-food, non ? Il faut croire que soit elle était gourmande, soit elle n'avait pas été assez nourrie cette brave petite chose. Retirant une de ses mains de sa poitrine, Harley la glissa plus bas sur ses belles fesses, épousant parfaitement les formes de la belle, son index venait se glisser entre ses fesses, cherchant le petit trou secret en tentant d'enfoncer son doigt.
« Hum, ton cuir c'est pas de la merde, impossible de t'enfoncer le doigt dans ton p'tit cul. »
Vu qu'elle combattait souvent le crime, il faut bien quelque chose d'un peu plus résistant que du simple cuir quand même. Toute façon, elle présentait que tout ça, ça allait finir à poil alors sa belle tenue ne fera pas long feu, c'est un pressentiment qu'elle avait et ce serait étonnant qu'elle se trompe. Surtout sur ça, vu comment c'était partie, ça se voyait comme un éléphant dans un couloir.
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C’était presque naturellement que Pamela prenait le rôle de dirigeante. Il y avait une raison logique à ça. Ses spores avaient drogué Aoki, de même que Félicia. Harley, elle, y était relativement immunisée, non seulement parce qu’elle côtoyait beaucoup Ivy, mais aussi parce que, lors de l’une de leurs rencontres, où le Joker avait tenté de tuer Harley en la faisant décoller dans une réplique de fusée*, Pamela avait soigné Harley Quinn, et lui avait offert un sérum permettant à son corps de se protéger contre ses spores. Le sérum continuait encore à faire ses effets... Du moins, c’est ce que Pamela soupçonnait. Le fait est qu’elle ne connaissait pas trop les effets sur la psyché que son sérum pouvait avoir, a fortiori une psyché aussi dérangeante que celle d’Harleen. La jeune femme était schizophrène, avec un comportement profondément immature, une tendance à la perversion et à la cruauté... Le tout compensé par une espèce de fragilité et de douceur innée. Pamela n’était pas psychologue, mais elle savait qu’Harleen était une femme assez incroyable. Ses brillantes capacités avaient toujours été atténuées par son incapacité à s’affirmer, et à avoir un besoin vital de personnalités fortes pour s’affirmer. Pour Pamela, c’était là l’explication de son attirance pour les tueurs en série, les psychopathes, autant de personnalités qu’elle voyait comme des êtres forts, n’hésitant pas à prendre la vie des autres. Il y avait là-dedans une sorte de comportement autodestructeur dont Harley avait conscience, sans en avoir totalement conscience... Et Ivy éprouvait pour elle des sentiments très contradictoires... Ou, plutôt, elle ressentait pour elle une profonde affection qu’elle peinait à s’expliquer. C’était une jeune femme qui avait été manipulée, torturée par le Joker. Pour autant, elle s’accrochait à la vie, faisant preuve d’une bonne humeur sincère, et d’une époustouflante joie de vivre. Poison Ivy l’aimait beaucoup, alors même qu’elle était dangereuse, instable, et qu’elle l’avait déjà trahi pour son « puddin’ ».
Pour l’heure, Harley était relativement calme, et jouait avec Félicia, s’attaquant à ses seins, avant de chercher à la sodomiser. Malheureusement, son doigt se heurta au cuir. Félicia, elle, avait les joues rouges, et ronronnait de plaisir, tout en soupirant, des soupirs qui ressemblaient autant à des cris qu’à des miaulements. Comment pouvait-elle se plaindre ? Son minou était léché par Aoki, sa petite amie. Elle désapprouvait en partie ce qui se passait, notamment l’idée d’être aussi proche d’Harley Quinn... Mais la femme n’avait pas encore essayé de la tuer, et Félicia était bien placée pour savoir que le monde n’était pas blanc ou noir. Elle-même se situait dans une ligne floue, incertaine, grise, côtoyant aussi bien des super-héros que des super-vilains, suivant ses propres intérêts avec une certaine forme de moralité. Elle tournait parfois sa tête vers Harley, notamment lorsque celle-ci mentionna la résistance de sa tenue.
« C’est... C’est comme ma fourrure, poupée... Il faut bien que ça tienne un peu... »
Elle approcha ses lèvres des siennes, et réussit à lui voler un baiser. Ses seins étaient friands des caresses et des douces intentions de cette harlequin, une femme qui semblait bien disposée à lui prouver qu’elle était une femme honnête, ayant juste envie de prendre son pied dans une belle petite partouze. Aoki continuait à lécher, et Ivy, elle, tout en observant cette scène, commença à sodomiser la brave Japonaise. Elle avait léché ses fesses, léché sa porte arrière, enfonçant sa langue dans sa peau, puis elle se releva, et fit pousser une verge entre ses cuisses, une belle verge végétale, qu’elle utilisa pour la prendre. Elle s’enfonça en elle, et commença à remuer, soupirant longuement de plaisir. Félicia, elle, continuait à embrasser Harley, mordillant ses lèvres, tirant dessus. Ivy était convaincue qu’elle aurait pu se libérer sans problème des liens retenant ses poignets, mais, si elle le faisait, Aoki ne pourrait plus lécher son intimité, et goûter à sa mouille. Pamela trouvait tout cela excitant, et en vint même à se dire que les quatre formaient deux jolis couples.
*Un couple...*
L’idée lui avait souvent caressé l’esprit, pour être honnête. Le problème était le rapport qu’Harley entretenait avec le Joker. À chaque fois qu’elle voulait se libérer de lui, il suffisait juste que ce dernier se rappelle à elle pour qu’elle retourne immédiatement dans ses bras. Peut-être que tout serait différent ici, à Seikusu ?
*Harley...*
Même en pénétrant Aoki, et en posant ses mains sur ses hanches, et en ne tardant pas à jouir en elle, elle ne pouvait s’empêcher de ressentir un profond élan d’affection pour cette femme. Son baiser avec Félicia était magique, et Harleen semblait irradiée de bonheur, d’une joie presque enfantine.
C’était magnifique à voir.
* : Cette histoire figure dans le comic book « Harley Quinn (http://img110.xooimage.com/files/d/a/a/1766548-batman_h...ting__1-490b8cf.jpeg) » de 1999, première introduction du personnage dans les comics. Le Joker commençant à ressentir de l’affection pour Harley, il estime que cette attirance pour la jeune femme le perturbe dans ses objectifs, et l’enferme dans une fausse fusée, qui s’écrase plus loin. Harley y rencontre pour la première fois Poison Ivy (dans la ligne du comic, la nôtre étant, de mémoire, légèrement différente), qui la soigne à l’aide d’une potion, ce qui améliore aussi légèrement les capacités d’Harley.
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Soyons franc, elle s'éclatait pas mal ce soir. Certes ça manquait un peu de Yakuza et autre racaille nipponne qu'Harley pourrait faire crier pour X raisons mais les deux chiennes devraient être sauvées maintenant puis elles ont bien le droit à une pause quand même, nan ? L'Arlequin s'occupait déjà de la belle Catwoman qui avait immigré dans cette ville alors que Poison Ivy s'occupait de la jolie nipponne. Mouais, la chatte avait bien choisi sa cible, ça avait l'air d'être une cochonne sa copine quand même. Bon, Harley s'en fiche, elle fait ce qu'elle veut. Elle était bien tombé amoureuse d'un psychopathe même pas drôle qui avait déjà tenté de la tuer presque aussi souvent que la chauve-souris de Gotham alors pour lui faire la morale, elle était mal placée. Pour l'heure, c'est vraiment HORS DE QUESTION de retourner auprès de ce fêlé mais elle était faible dans l'adversité, un mot, un geste et elle accourt vers son biquet d'amour !
Restant dans le dos de Félicia, elle se faisait son petit plaisir à lui tripoter les seines, sans être méchante pour le moment. Cette chatte était docile, pourquoi elle irait lui faire du mal. Puis en croisant son regard, elle venait même l'embrasser. Elle qui aurait pu la foutre à sa porte si elle pouvait, voilà qu'elle acceptait sa présence ? Hahaha, brave petite chatte ! Harley l'embrassait gentiment, partageant un baiser plutôt sympa avec elle. Elle ne pouvait pas passer un doigt entre ses fesses – enfin sauf si elle sortait son couteau papillon de son pantalon mais la flemme de s'arrêter pour ça. En plus ça serait dangereux pour son fion – mais elle se rattrapait comme elle pouvait pour se faire plaisir. Aoki prenait bien son pied en étant prise par Pamela qui se faisait plaisir avec son petit cul pendant que sa langue venait lécher le cuir bien moulé autour de ce beau sexe tout noir et humide. Elle prenait vraiment leur pied, ce fameux petit couple. Aoki avait beau être drogué par Pamela, elle était vraiment à fond dedans, le nez bien enfoncé contre sa tenue, elle prenait vraiment un malin plaisir à la lécher autant qu'elle pouvait.
Harley Quinn rompait le baiser en venant frotter son nez contre la joue de Félicia en remontant vers son oreille. Elle voulait la torturer un peu... sans être méchante.
« Je suis sûr que t'a envie de remplacer Pamela et lui prendre son petit cul à ta chérie ? C'est vrai, après tout elle est bien formée puis je suis sûr qu'elle ne dirait pas non, elle aussi ? Allez, je vais vous aider un petit peu mais avant... »
Elle laissait une de ses mains glissées plus bas, venant se glisser sous sa combinaison, elle arrivait à sentir ses lèvres intimes sous son passage, de même que la langue d'Aoki qui ouvrait les yeux pour voir ce qui pouvait bien se passer soudainement. Harley caressait cette zone intime et plus si protégé que ça, elle y faufilait ses doigts comme elle voulait après tout, venant lécher le cou de la belle chatte noire. Avec deux doigts, elle venait écarter ses lèvres intimes, laissant à Aoki une nouvelle zone à lécher toujours plus passionnément.
« Allez mon minet, dis-le... Harley, libère-moi pour que j'aille baiser ma chienne. Dis-le-moi doucement dans l'oreille et j'irais faire en sorte que tu puisses la baiser comme jamais tu l'as fait. »
Aoki devait être aussi désirable que d'habitude, pire qu'une chienne actuellement, si Félicia bougeait le petit doigt vers elle, elle allait sûrement gémir de plaisir à l'idée de tout et n'importe quoi avec elle ? Harley savait comment s'y prendre avec Pam'. Elle irait la voir, elle la prendrait par les sentiments en lui faisant oublier Aoki et Félicia ou alors en jouant le rôle de la jalouse, elle ne savait pas trop encore dans quel sens elle irait caresser la belle rose ? Mais pour le moment, elle avait une chatte à faire ronronner.
« Alleeeeeez... Sinon c'est moi qui irais me la faire sous tes petits yeux... »
L'idée n'était pas déplaisante pour autant... du côté d'Harley du moins.
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Un sourire épanoui ornait les lèvres de Pamela, non seulement parce qu’elle défonçait un joli cul, mais aussi parce qu’elle voyait sa Harley épanouie et heureuse. L’amour avait toujours agi de manière très particulière sur Harleen. Elle adorait les couples amoureux, et Pamela était bien placée pour le savoir. Il y a quelques années, l’un des périples d’Harley avait conduit les deux femmes à Métropolis. Harley était alors en situation compliquée à Gotham City. Le Joker avait encore tenté de la tuer, et elle s’était attirée les foudres d’un riche magnat de l’immobilier, qui avait voulu fonder un parc d’attractions à Gotham ayant pour thème les prisonniers incarcérés à l’Asile d’Arkham. Pour lutter contre eux, Harley avait décidé de prendre le costume de Batgirl, à une époque où la vraie Batgirl venait à peine de ressortir de ses troubles liés au tir du Joker. La petite Harley s’était ainsi retrouvée en quelques semaines persona non grata à Gotham, traquée par le Joker, la Mafia, et la Bat-famille au complet. N’ayant pas d’autres solutions, elle avait entrepris de fuir en allant voir la seule personne à Gotham qui ne lui ferait jamais de mal : Poison Ivy. Pamela, après quelques hésitations, avait décidé de suivre Harley, craquant comme toujours quand son Arlequin faisait sa petite tête toute triste… Leurs périples à Métropolis n’avaient guère été plus reposants, vu que Pamela avait fini en prison quand Harley et ses manigances leur avaient amené, dans leur appartement, Bizarro, Jimmy Olsen… Puis Superman. Une fois arrivée à Métropolis, Harley avait utilisé les spores d’Ivy pour rejoindre le Daily Planet, où elle avait séduit le rédacteur-en-chef, White Perry, pour qu’il l’embauche afin qu’elle fonde une chronique spéciale, dans laquelle les lecteurs (et lectrices) demanderaient des conseils pour leurs relations… Harley avait toujours aimé les gens amoureux, et ce même si ses conseils n’étaient pas toujours très orthodoxes. Ainsi, face à une femme soupçonnant son amant, qui rentrait tard, d’être Superman, elle avait choisi de débarquer dans leur appartement, en menaçant la femme avec un pistolet, afin que son mari manifeste ses super-pouvoirs latents ou non.
Harley sentait qu’il y avait entre Aoki et Félicia quelque chose de fort, et elle en jouait, en profitait. Elles s’étaient longuement embrassées, elle et la Chatte Noire, puis Harley alla la provoquer, glissant sa main sous sa combinaison en cuir. Les ronronnements de Félicia glissaient sur les crissements de sa combinaison, ses mains se serrant le long des tentacules immobilisant le chaton. Elle sentit les doigts d’Harley se rapprocher de son sexe, se tortillant au milieu de la langue de la jeune femme.
« Haaaan… Rrrrrrrrrrrrrrr… Haaaaaannnn !! »
Elle gémissait, en sentant désormais la langue d’Aoki se poser contre son intimité, plus accessible. Sa combinaison était trempée par la salive d’Aoki et par sa mouille, moulant cette dernière, permettant ainsi d’accéder plus facilement à son sexe. Sa tête bascula en arrière, et elle soupira à nouveau, se tortillant lentement. Harley jouait avec elle, en demandant à Félicia de prononcer quelques mots, tout en jouant avec elle, menaçant d’aller baiser Aoki à sa place si elle ne le faisait pas. Ivy, elle, souriait. Ses mains étaient toujours posées sur la croupe de la femme, et elle remuait d’avant en arrière, déflorant le beau petit cul d’Aoki, sa verge végétale glissant lentement en elle. Même si elle restait silencieuse, c’était elle qui dirigeait tout… Mais elle laissait à Harley le soin d’être la chef d’orchestre de cette séance à quatre.
Pamela posa ses mains sur le corset rose d’Aoki, et, dans un long soupir, se mit à jouir en elle.
« Haaaaaannnn… !! »
Elle gifla ensuite sa croupe, et se retira d’elle. Son intimité et son fondement ne furent toutefois pas seuls trop longtemps, car, tandis que le sperme d’Ivy coulait un peu de ses fesses, deux tentacules vertes arrivèrent, et s’enfoncèrent en elle.
S’écartant du lit, Pamela, avec une peau qui était maintenant toute verte, s’approcha de Félicia et d’Harley, arrivant de l’autre côté de Félicia. La verge végétale de Pamela avait disparu, et la femme vint malaxer l’un des seins de la femme.
« Mon beau petit chaton… »
Pamela mordilla son cou, léchant sa peau, et embrassa ensuite sa joue, tandis qu’Aoki continuait à lécher avec appétit.
« J-Je… Haaaaaannnn… Ha… Harley, j-je… Huuuunnn… Li… Haaaaaaaaaaaa… Miaaaaawwww… »
Ce miaulement qui s’échappa des lèvres de Félicia fit sourire Pamela. Sa main se tendit pour caresser et empoigner les cheveux d’Aoki, tandis qu’elle reniflait ce cuir. C’était vraiment une texture qu’elle adorait, une texture qui confirmait qu’il y avait des choses que, chez l’être humain, Pamela adorait.
« Harley, je… Hunnn… Libérez-moi, haaaaannnn… Je… Je veux baiser Aoki !! Je veux la baaaaaaaaaaaaaaiii-haaaaaaaannnnn-ser… FORT ! Car… Haaaa-haaaaaann !! C’est… C’est ma… Hunnnnn !! Petite… Chienne… Hooooooooooooooo… »
Pamela sourit.
« Très bien… Mais, pour ça, il faut que tu jouisses, Félicia, je vais te faire une petite surprise… »
La Chatte Noire soupira à nouveau, et Pamela alla l’embrasser, répandant dans son corps un aphrodisiaque très fort. La Chatte Noire gémit, et il s’écoula encore quelques minutes de caresses, de baisers, et de soupirs, pour que Félicia finisse par jouir. Pamela tendit alors une curieuse boule verte, et, en souriant, la glissa dans l’intimité de Félicia.
« Je te présente l’une de mes nouvelles plantes, Harley… Elle se nourrit des fluides sexuels, comme la mouille de notre charmante chatte, et pousse alors… »
Les liens retenant les bras de Félicia se retirèrent, et la Chatte Noire retrouva enfin l’usage de ses membres. La boule verte se mit alors à pousser dans deux directions : à l’intérieur de son intimité, donnant ainsi le sentiment qu’un sexe était planté en elle, et devant, formant une belle verge qui se mit à déformer sa combinaison, poussant sur cette dernière. Félicia gémissait et soupirait, et sa main agrippa les cheveux d’Aoki.
« Lèche, ma chérie… »
Pour l’heure, son sexe était recouvert par la combinaison en cuir… Mais ce n’était qu’intermédiaire. Pamela, elle, en profita pour se rapprocher d’Harley, et la prit dans ses bras, venant l’embrasser sur les lèvres.
« Est-ce que tu veux l’essayer, ma puce ? »
Dans sa main, Pamela tenait une autre boule verte, la posant devant le visage d’Harley, une lueur espiègle dans les yeux.
* : l’embauche d’Harley Quinn au sein du Daily Planet figure dans le numéro #15 de la série « Harley Quinn », « Metropolis Mailbag (http://img110.xooimage.com/files/6/b/d/harley-quinn-015-...ire--001-49540f1.jpg) ».
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La soirée devenait de plus en plus amusante pour Harley, voir son amie qui avait changé de bord mais qui n'avait rien perdu de sa beauté et de ses talents sexuels, quel plaisir ! Le Japon, pays des goûts parfois bizarre ? Chacun sa culture, la leur influençait leur goût que ce soit pour les émissions de TV complètement barré ou le sexe. Pamela avait su se baigner dans cette ambiance pour en ressortir plus créative. Si l'Arlequin jouait avec la Chatte Noire en la menant par le bout du nez, Pamela ne laissait pas cette Aoki tranquille. Bien sur, elle avait fini par jouir en elle en la laissant se « reposer » avec deux tentacules, un pour chaque trou, alors que le petit chantage d'Harley avait été perçu par la belle rouquine. Qu'elle se rapproche ou non, Harley continuait d'en profiter pour caresser ce corps délicieux, faut le reconnaître. Les femmes chattes, c'est sexy ! Catwoman ou la Chatte Noire, elles étaient tous les deux en cuir et vachement sexy en plus !
Pamela savait la manipuler, laissant Aoki continuer à lui lécher l'entrejambe, savoir aussi sa belle poitrine sous sa main. Que ce soit ses gémissements ou ses miaulements, elle était craquante quand elle le voulait bien. Bon, cela dit comme Pamela avait tout entendu, pas besoin de jouer de ses charmes pour la convaincre de la laisser baiser sa copine, elle voulait juste la voir jouir... mais avec ce regard, c'est que Pamela avait une petite idée derrière la tête ! Comme quoi, elle avait raison car elle lui présenta une petite boule verte qui se nourrissait de fluide sexuel ? Eh bah, en voilà des choses bizarres ? Elle la glissa en Félicia- par l'entrée la plus rapide pour ça – avant de constater que la belle chatte allait vite être à l'étroit dans ce beau cuir noir.
« Ooooh bah comme quoi, on en apprend tous les jours ! Haha ! »
Et ça marchait avec n'importe quelle plante ? Faut croire que non mais faut bien dire aussi que beaucoup de femmes ont la main verte... était-ce là le secret des templiers jardinier féminin ? Ce serait pousser le délire très loin ! Mais Aoki semblait ravi de voir ce changement chez elle car même si son rôle restait le même, elle venait agripper à elle en posant ses mains sur ses fesses bien moulées avant de lécher avec plus de gourmandise cette curieuse forme ! Elle le léchait tout le long, de bas en haut, elle semblait même plus intéressée que tout à l'heure. Mais pour sa défense, faire l'amour avec une Félicia membrée, ce n'était pas si courant que ça. La Japonaise gardait sa tête sur l'extrémité de sa queue, venant lécher et suçoter ce morceau arrondi tout en haut, gémissant autant que la chatte en combinaison. Harley restait très curieuse en les observant alors que Pamela lui faisait la même proposition. Elle l'observa avec son petit sourire et sa petite bouille pas si innocente que ça.
« Mais je te vois venir toi ! Tu voudrais que je baise contre un mur, c'est ça ? Que je te prenne par ta ton petit jardin intime ou bien que je plante mon gros poireau entre tes deux petites collines ? » Sacrées images !Ses doigts venaient caresser son intimité aussi douce qu'humide mais elle remonta bien vite sa main, venant glisser ses doigts entre ses seins « Ou alors tu voudrais me la réchauffer de peur que j'attrape froid ? » Venant un peu plus se coller contre elle, sa main continua de remonter le long de son corps, venant caresser ses lèvres délicatement. « Mais non, tu es une gourmande toi, tu viendrais me la manger toute crue hein ? »
Harley glissa un œil vers les deux autres, car Pamela avait vu juste. Harley aimait bien les couples. Peut-être une sorte de jalousie, d'envie de les ressembler en se comparant avec elle et son biquet ? Ou bien elle et Pamela ? Ou même avec une autre personne ? Allez savoir les vraies pensées d'Harley car après tout, on savait que côté homme, le Joker était l'élue de son cœur mais côté femme ? Pam' ? Sûrement mais après tout... Harley venait l'embrasser langoureusement, plaquant ses deux mains sur ses joues en se collant à elle. Lorsque ce baiser se séparait, elle pencha légèrement sa tête sur le côté.
« Je m'excite toute seule. Allez, viens planter sa petite graine en moi que je me fasse un plaisir de te prendre comme je l'entends ! »
Une Harley penchant vers la domination ou bien une Harley qui, malgré des formes masculines va se faire balader par le bout de la queue ? Quoiqu'il en soit, du côté de Félicia et Aoki, il n'y avait pas d'hésitation, Aoki faisait reluire la belle combinaison de sa petite amie, venant sucer ce petit bout arrondi, espérant qu'une fois satisfaite, elle va mieux en profiter ?
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À quatre, bon nombre de configurations étaient possibles... Encore plus quand Pamela pimentait le jeu avec ses petites plantes. Jugeons plutôt du tableau : Pamela et Harley étaient à nouveau ensemble, tandis que Félicia et Aoki jouaient également. Deux tentacules pénétraient tendrement l’anus et le vagin d’Aoki, et Félicia avait maintenant un membre, une verge qui avait poussé, en même temps que deux autres verges, s’enfonçant dans son vagin et dans ses fesses. La Chatte Noire ronronnait furieusement. Cette plante verte était une création personnelle, reposant originellement sur les produits de Weldenela. Elle était une réussite, grossissant et poussant avec les fluides sexuels de la femme, à savoir sa mouille, qui agissait comme un engrais. Chez Félicia, la verge avait bien poussé, tirant sur la combinaison, qu’Aoki léchait activement. Félicia soupirait et grognait, tout en glissant sa main pour caresser les cheveux d’Aoki, sa queue sortant progressivement de sa combinaison pour pointer sur le visage d’Aoki. Le ton montait entre les deux amantes, tout comme entre Ivy et Harley.
Joueuse et mutine, Harley énuméra tout ce qu’elle pouvait faire avec une verge, faisant sourire Pamela. Pour autant qu’elle s’en souvienne, il était rare que, entre elles, Harley ait un rôle de dominatrice. Harleen était ainsi, une femme qui aimait bien se faire guider, et obéir aux autres. Elle avait rejoint Le Joker après une profonde déprime. Contrairement à ce qu’on pouvait penser, Harleen avait vraiment été une élève talentueuse en psychologie. Elle avait alors un petit ami, et avait mené avec lui, mais à son insu, une expérience sociale, afin de vérifier la capacité des individus à rompre le système légal et les obligations morales pour ce à qui ils tenaient. Une expérience qui, en des termes psychanalytiques, reposait sur l’affrontement entre le »sur-moi » et le « ça ». Elle avait donc feint d’avoir tué un professeur, mais son petit ami avait réagi de manière excessive. Il s’était enfui de leur appartement, avait vu que ledit professeur était toujours en vie, et l’avait tué... Puis s’était suicidé. Une expérience dramatique, qu’Harley avait maquillé en double suicide... Du moins, surtout son responsable de thèse, qui avait accepté cette expérience, et ne voulait pas finir en prison. Harley, sa petite Harley, avait alors fait une dépression, pile au moment où Le Joker s’était évadé. Pamela soupçonnait que c’était à partir de ce traumatisme qu’elle avait choisi de s’identifier face à une personne envers qui rien n’avait d’importance, si ce n’est le fait de considérer que rien n’avait d’importance. Bien sûr, Pamela reposait cette théorie sur les recherches qu’elle avait faites sur le passé d’Harley... Elle avait commencé par se renseigner depuis l’asile d’Arkham, séduisant des gardes ou des internes pour lui remettre une copie de son dossier... Pamela avait ensuite poursuivi son enquête, afin d’en savoir plus sur l’Arlequin, en allant là où elle avait fait ses études, et en se renseignant sur ses parents. Son père était un prisonnier, qui ne s’était jamais vraiment soucié de sa fille... De cette manière, Pamela avait dressé dans sa tête un portrait de cette femme. Tout cela remontait à quelques années, maintenant, et, si elle avait fait ça, c’était avant tout parce que ce qu’elle éprouvait pour Harley Quinn la travaillait... Et, maintenant que l’Arlequin était là, qu’elle envisageait tous les scénarios possibles en l’embrassant avec amour, Pamela n’avait plus aucun doute sur ce qu’elle ressentait vis-à-vis d’elle.
Plus aucun doute.
« Hmmm... »
Tandis qu’elle l’embrassait, Pamela agrippait ses cheveux et caressait ses fesses, les pelotant tendrement et chaudement. Leurs lèvres se pressaient l’une à l’autre, et le baiser se poursuivit pendant encore quelques secondes. Harley lui dit alors qu’elle pouvait y aller, après un baiser sulfureux et magique... Un « Harley-kiss » plein de vigueur et de passion, dont seule Harley avait le secret, et qui laissa Pamela extatique.
« Hum... Alors... Allons-y. »
Une règle fondamentale, avec Harley, était qu’elle pouvait tout faire, aussi bien faire la jeune femme immature et joueuse que la scientifique responsable et froide. Pamela était sûre que, sans elle, Le Joker n’aurait jamais pu mettre au point sa fameuse toxine du rire. Le Joker n’avait en effet aucun talent scientifique ou chimique, mais Harley... C’était peut-être pour ça que, initialement, Pamela l’avait prise sous son aile... Afin d’avoir une véritable assistante, une femme qui pourrait l’aider dans la confection de ses plantes.
Pamela retourna l’embrasser, et approcha la boule verte de son intimité, l’enfonçant délicatement à l’intérieur, entre ses lèvres intimes. Elle l’enfonça bien, et son autre main pinça l’une de ses fesses. Sa bouche s’approcha ensuite de son oreille, et elle murmura dans le creux de cette dernière, léchant sa peau :
« Tes baisers spéciaux me manquaient tant, Harley... Un vrai ‘‘Harley-kiss’’... »
Elle l’embrassa sur la joue, se blottissant contre elle.
« Tu m’as tellement manqué, ma puce... Sans toi, je me rends compte combien ma vie manquait de gaieté... Jusqu’à présent. Tu es mon petit clown adoré, Harley... »
Et hop, nouveau baiser !
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Les retrouvailles avaient toujours un côté festif ! Que ce soit avec des sourires ou avec un couteau. Comme beaucoup de mots, il y avait parfois deux sens, un bon et un mauvais. Et même si le mot retrouvaille fige en chaque tête un instant magique et heureux, il y avait aussi les mauvais. Comme ses retrouvailles avec son biquet, elle s'attendait à quelque chose de grandiose ! Peut-être pas un restaurant quatre étoiles avec un violoniste à leur table mais au moins de la joie. Mais non, elle avait été repoussé comme une mandante qui demandait une petite pièce à l’arrêt d'un feu tricolore. Voilà pourquoi, elle avait opté pour d'autres retrouvailles qui, elles avaient eu un très bon effet pour elle. Harley n'avait rien à redire sur Pamela, sexy, intelligente, un peu trop écolo à son goût mais Pam' pourrait en dire de même avec Harley et son côté trente millions d'amis. Bref, même si elles devaient se lancer des petites piques, ce n'était rien de bien méchant. Et à bien y repenser, elle aurait dû de suite allez voir Pamela et non le Joker. Son rêve dans l'avion avait été un signe, sûrement ? Les rêves ont eux aussi beaucoup de sens et le sien était sûrement un message de son subconscient ? Elle qui se voile la face à aimer un homme qui est méchant avec elle, qui se sert d'elle...
Il est vrai que son rêve avait commencé comme un rêve justement. Une belle robe de marier, elle était si belle. Même le Joker avait mis son trente-et-un. Pas de costume sale ou autres, non, bien coiffé, un beau smoking, c'était aussi son mariage. Les vœux avaient été prononcer, tout était bien qui finissait bien entouré par la pègre de Gotham qui était là aussi pour fêter un tel événement... ou éviter les représailles du clown ? Bref, ce fut au moment de couper le gâteau qu'elle eut la tête dedans avant d'entendre les rires du Joker. Dans son rêve, ce fut la goutte d'eau qui fit déborder le vase car son couteau n'était pas sali par la crème pâtissière mais par le sang du bouffon. Son couteau lui avait offert un nouveau sourire au niveau de la gorge, le laissant se vider de son sang. Même si sur la fin de ce rêve, elle termina dans une des chambres d'Arkham, toujours dans sa robe, elle se sentait plus... libérée... Délivré même. Mais revenons en au présent ! Harley était aux côtés d'Ivy, embrassant la belle rouquine à la main verte, partageant joyeusement sa salive avec la sienne, le fameux Harely Kiss, marqué déposé et toute utilisation sans copyright sera considérée comme un crime ! Eh ouais les poulettes sont averties !
Pamela se faisait plaisir en subissant ce terrible baiser, sa main agrippant ses cheveux ou caressant ses fesses, elle faisait comme bon lui semble, elle avait le feu vert ! La patte de l'expert ! Ou non ? La patte du pervers ! De la pervers ! Oui car si c'est perverse, ça casse la rime ! Bref, elle se faisait plaisir avec ce baiser, redevant docile comme une petite chatte, car Harley était parfois fofolle, passant de la folle à la sérieuse, de la soumise à la dominante, elle pouvait changer d'humeur comme de culotte alors attention. La petite boule verte se glissait doucement entre ses jambes pour commencer à se nourrir de son jus alors que Pamela venait lui pincer les fesses en se frottant contre elle. Avouant ce qu'elle avait sur le cœur, elle prouvait que la belle plante avait aussi des sentiments.
« Hum-hum... Ne t'inquiète pas, je resterais avec toi à présent. Fini toutes ses bêtises, promis ! Je m’occuperais personnellement de ton petit gazon, je penserais à l'arroser régulièrement et je serais sage comme une image. » Harley se blottissait à son tour un peu plus contre elle en caressant sa joue, venant embrasser son cou. « C'est de toi que j'ai besoin. Besoin d'une vraie amoureuse... ou au moins d'une personne fidèle. »
Amour ou pas amour ? C'était 'achement dur comme question ! Elle aimait Pam' mais c'était plus comme amie. Une amoureuse, elle ? Oui et non... Elle ne savait pas vraiment... Et sentir ce picotement entre ses jambes ne l'aidait pas à se concentrer dessus. Serrant les dents et ses mains sur la belle plante, elle relâchait son emprise aussi rapidement que la douleur était venue, puis, elle redressa son visage vers elle. Fin de l'épisode romantique, la suite au prochain épisode. Là, on passait au programme du soir ! Un bon porno bien japonais avec de sublimes filles munit de pénis sorti de nulle part ! Bienvenue au Japoooooon ! Harley la sentait entre ses jambes, elle avait la queue en feu et elle savait qu'il n'y avait qu'un seul moyen de calmer ce feu en elle. Passant sa main sous le menton de Pamela pour la forcer à garder les yeux dans les yeux, elle abordait un large sourire en penchant doucement la tête.
« Petite devinette ! Est-ce que ça a vraiment poussé ? Petit indice, tu ne peux te servir que d'une seule main pour le savoir ! »
Et voilà que le jeu commençait pour elles ! Alors que du côté d'Aoki et de Félicia, la situation évoluait elle aussi un petit peu. À force de donner des coups de langue, son pénis était bien sorti de sa combinaison pour le plus grand plaisir de la jeune femme. Les tentacules continuaient de faire encore leur effet en elle, qui sait quand cela allait libérer de la place pour passer à autre chose ? Mais pour le moment, il y avait un endroit où les plantes vertes ne s'étaient pas faufilé, c'était leur bouche ! Enfin, surtout celle d'Aoki. Cessant ses coups de langue, elle frottait son visage dessus, comme un chat qui viendrait demander de l'affection alors qu'elle embrassait doucement ce nouveau venu. De nouvelles retrouvailles, heureuses, elles.
« Haaan, elle m'avait... manqué, hummmmm ! »
Aoki recula doucement sa tête en observant Félicia, tout en s’humectant les lèvres avant d'ouvrir la bouche, sa langue pendait en dehors de sa bouche, cela était une invitation ! C'était à sa chatte d'amour de décider d'y aller doucement ou violemment, qui sait ce que cette excitation aura provoqué en elle ?
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Serrée contre elle, Harleen fit à Pamela un curieux avis, qui la fit frissonner. Pamela se pinça les lèvres en entendant Harley lui dire que, désormais, elle voulait rester avec elle, et ne plus jamais retrouver le Prince du Crime. C’était si bon à entendre... Mais ce n’était pas la première fois qu’Harley le disait. Le Joker exerçait sur elle une telle emprise... Bien des fois, elle avait tenté de partir, de changer, de se rapprocher de Poison Ivy, ou tout simplement de devenir indépendante, mais, à chaque fois, elle retournait vers lui. Leur relation perverse faisait qu’Harley avait autant besoin du Joker que lui d’elle. Elle, elle voulait un mentor à suivre, un exemple... Et lui, un miroir dans lequel il pouvait admirer son propre reflet. Est-ce que cette fois-ci allait être la bonne ? Ivy avait envie d’y croire, de vraiment croire qu’elle pouvait se rapprocher d’Harley... Car elle, elle ne se mentait plus. Elle était amoureuse d’Harley, depuis longtemps... Elle l’était déjà à Gotham, où, malgré toutes ses trahisons, Harley Quinn pouvait toujours revenir auprès d’elle. Pamela ne comptait plus le nombre de fois où les bêtises d’Harley avaient conduit le Batman chez eux, ou combien de fois sa jalousie et son manque de confiance avaient pu leur faire défaut. Il en avait été ainsi quand Poison Ivy avait réussi à séduire Robin, à l’aide de ses toxines, et où Harley, énervée d’être délaissée, avait fini par libérer Robin de l’enchantement, les emmenant toutes les deux en prison. Harley était totalement imprévisible, et c’était sans doute pour ça que Pamela l’aimait tant. Avec elle, impossible de s’ennuyer. Dans la vie très carrée et très scientifique de Pamela, et surtout très monotone, Harley était comme une explosion de vie, de folie, et de plaisir. Elle était son petit clown, et elle se serra donc contre elle, lui offrant un tendre câlin après son aveu. Oh, c’est que ça faisait plaisir à entendre !
Elles s’embrassèrent donc, tendrement, et Pamela sentit, contre ses cuisses, la verge végétale d’Harley. Tout ça semblait surréaliste, mais c’était le fruit des expériences scientifiques de Poison Ivy. La flore était par définition asexuée, mais il existait, dans la Nature, quantité d’espèces hermaphrodites. Pamela avait notamment entendu parler d’une espèce d’insectes, en Amérique du Sud, chez qui les organes génitaux étaient inversés : la femme avait une verge, et l’homme un vagin. Ce qui la fascinait avec la Nature, c’était de voir à quel point cette dernière sublimait l’imagination, à tel point que, quand on voyait certaines choses naturelles, on peinait à croire à leur existence... Sa plante se reliait au système nerveux de son utilisatrice, et, par le biais de cette même solution qu’elle utilisait, les fluides sexuels servaient d’engrais très efficaces. Plus que jamais, elle était heureuse d’avoir pu rencontrer Weldenela et sa forêt magique, et elle utilisait à bon escient tout le savoir qu’elle avait récupéré auprès de la plante verte.
Pamela se serait bien penchée pour voir cette verge, mais Pamela le lui interdit, lui disant d’utiliser sa main. En souriant, Pamela l’embrassa tendrement.
« Ma douce petite cinglée... Tu n’es même pas là depuis une journée, et regarde dans quel état tu as mis ma vie bien réglée... »
C’était du Harley, tout simplement. Pamela l’embrassa sur le front, et déplaça sa main de son confortable petit cul pour caresser son sexe. Difficile de se méprendre, il avait la texture d’un sexe masculin, et une belle érection. Elle releva ce sexe, venant l’écraser avec la paume de sa main contre le ventre d’Harley, sa queue pointant au-dessus de son nombril, s’écrasant contre son corps, tandis que, avec son autre main, elle caressait toujours ses cheveux.
« Hummm... Je dirais que mon petit clown est très excité... »
Elle lui sourit, et l’embrassa à nouveau...
...Pendant ce temps, Félicia, elle, se retrouva donc avec une verge, un phallus déformant son corps, et elle vit Aoki s’écarter, puis, enfin, les tentacules dans ses parties intimes se retirèrent, laissant derrière eux de la mouille, qui vint décorer le sol et le lit. Cette chambre était bonne pour un ménage de fond en comble... Sûrement comme tout le reste de son appartement. Cependant, Félicia n’était plus dans l’état d’y songer. Des godes-ceintures, elle en utilisait assez souvent avec Aoki, mais là, c’était... Bien différent. Poison Ivy ne cessait de la surprendre.
« J’arrive, Aoki... Ton chaton va venir te faire hurler... »
Félicia retira sa combinaison, et se retrouva toute nue, se sentant bien mieux. On pouvait voir ses hanches solides, ses muscles, ce corps bien bâti, qui n’avait qu’une seule envie : baiser sa belle Aoki. Elle se coucha ainsi sur elle, la contraignant à se coucher sur le dos, et, dans un tendre et sulfureux baiser, s’empressa de rentrer en elle, la défonçant joyeusement, son corps remuant d’avant en arrière sur le sien...
Et elle se mit à ronronner furieusement.
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Ne pas s'amuser avec Harley, ça n'existait pas ? Elle était toujours partante pour bien se marrer, même si ça lui arrivait de faire la tête et de bouder, elle arrivait bien souvent à s'amuser dans la joie et la bonne humeur ! Parfois dans le sang et la tuerie aussi mais on ne va pas changer Harley maintenant. Avec ce nouveau jouet entre ses jambes, elle allait bien s'amuser avec sa jardinière, elle en profita déjà, palpant même ses fesses, elle avait le droit elle. Attention, l'Arlequin peut facilement changer d'avis comme de blague mais avec Pamela, c'était une chose rare. Sa vie bien réglée était un vrai bordel maintenant, une preuve de plus qu'Harley Quinn était passé par ici et qu'elle repassera par là. Mais au moins Pam' avait vu juste, elle était très excitée, elle le jure !
« Oh que oui ma belle rose. Et c'est qui qui va mettre de l'engrais dans ton petit jardin ? Allez, je vais t'aider un peu. Dedans, il y a un H comme dans « Hot » ! » Elle plaça sa main sur une des fesses d'Ivy pour commencer. Il y a un A comme dans « Amazing », un R comme dans « Red ». Elle se plaqua contre elle, sa main de libre dans soin dos, jouant avec les petites mèches qu'elle pouvait toucher. Oh, et le Red était sûrement une référence à sa tenue souvent rouge et noir ? « Un L comme dans « Long » ». Comme sa brique ! Ha non, c'était un autre mot... mais ça commence par "bri" aussi... Bah, elle peut se dire que ça peut aussi être le plaisir. « Un E comme... « Ejaculate » »... Oui vu le cadeau d'Ivy, le mot était bien trouvé. Ses lèvres frôlaient celles de sa petite rose alors que son pénis tressautait doucement d'impatience sur leur ventre. « Et un Y comme... « Yeaaaaah »... C'est sûrement ce que tu diras quand on aura terminé. Et pour le Quinn... Bah, c'est moi ta petite reine ! »
Lâchait-elle en souriant à pleine dent en venant l'embrasser fougueusement, la poussant au passage jusqu'à rencontrer un mur sur son passage. Là, elle continua de l'embrasser avec passion et force, car c'était ça avec l'Arlequin, elle n'était pas simplement douce et sucrée, elle était aussi dure au début puis il fallait bien la sucer pour la briser et apprécier le goût sucré de ce petit bonbon. En effet, son bonbon était bien dur. Elle terminait ce baiser en mordant doucement la lèvre de son amie, gardant l'éternel sourire de la folie sur ses lèvres.
« Oh sache ma chère Pam' que je vais pas me retenir avec ta petite rose.... prend ça comme une petite vengeance de tout ce que tu as pu me fourrer en moi. Vengeance ? Oh non, ça sonne glauque ? Récompense ? Oui, une belle récompense pour ma belle rose ! Tu sais que j'aime bien entendre les gens hurler ? Eh bien, ça va être pareil avec toi ! »
Mais pas dans le même sens, elle ne comptait pas user de sa force ou de ses armes mais simplement de sa nouvelle arme entre les jambes. Ça va être drôle. Une main entre ses jambes, elle visait bien avant de doucement s’insérer en elle en soupirant de plaisir.
« Houuu j'adore déjà ! Allez mon joli petit cul-cul, il est temps pour la Quinn de te faire grimper aux rideaux ! »
Elle amena sa seconde main sur sa fesse – diable, que c'était bien agréable – avant de s'enfoncer en elle en la soulevait un peu, la prenant contre le mur, venant même chercher un petit baiser ! Eh bien quoi ? On parle d'Harley Quinn quand même ! Même si elle était plutôt soumise, il ne faut pas négliger que sa folie peut très bien l’amener dans n'importe quelle situation. Puis avec son nouveau jouet végétal, elle était en position de pouvoir donner les ordres quand même ! Son bassin ne pouvait plus cesser d'aller et venir en elle, c'était grandiose.
« Hummm ! La vache, c'que c'est bon !!! Mhhh ! »
Pour ce qui était du second petit couple, Aoki se faisait plaisir avec ce membre prisonnier de sa combinaison en cuir mais bien vite, Félicia le retira, laissant aussi les plantes se retirer pour leur laisser un petit moment d'intimité. La Japonaise observait avec envie sa petite amie qui retirait sa belle combinaison noire. Elle n'avait rien contre mais sans, ce serait plus pratique vu le nouveau jouet entre ses formes. Elle ne se fit pas languir, alors qu'elle se déshabillait, elle en profitait en embrasser et lécher son ventre. Sous sa forme de Chatte Noire, elle avait quelques muscles apparents, loin de ses tas de muscle bodybulder mais au moins, ce n'était pas trop,ça restait sexy, elle n'avait rien contre ça. Elle aimait bien. Quand Félicia fut alléger sa tenue, elle n'allait pas perdre de temps pour rattraper son retard avec elle. Poussé par le poids de sa petite amie, elle se retrouva allongé sur le lit, se retrouvant bien vite baisé par elle. Pas par un jouet mais bien par elle ! Certes, sa queue n'avait rien de naturel mais elle l'était déjà plus que de vulgaires morceaux de plastique. Gémissant de plaisir avec ce baiser et son talent, elle passait une de ses mains dans ses cheveux, la seconde caressait délicatement son dos.
« Mmmhhhh c'est bien mieux... bien MIEUX !!! Han, vas-y à fonds Félicia... fait moi ronronner ! »
N'oublions pas qu'elle était aussi la Chatte Blanche même si tout ça était encore très récent et que ce rôle avait surtout une connotation sexuelle et non justicière comme Félicia. Mais qui irait leur jeter la pierre ? Aoki crispait ses doigts sur le beau corps de sa petite copine, venant baisser sa main pour venir caresser son joli fessier. Bien mieux dans son cuir moulé mais même comme ça, ça n'en restait pas moins confortable. Bougeant doucement ses jambes, elle les amenait à venir s'enrouler autour d'elle, jamais elle ne fuira Aoki... Elle ne quitterait pas son corps... tant qu'elle n'aura pas eu sa foutre en elle. Dire que c'était vrai ? Va falloir demander à Pamela sa recette pour en glisser de temps à autre à Félicia, ça va pimenter leur soirée tout ça !
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Deux couples de deux femmes en train de se faire l’amour sous la houlette de Poison Ivy. Les phéromones de la belle plante avaient toujours été redoutables. À Gotham, il lui permettait d’obtenir tout ce qu’elle voulait, ou presque. Avoir des hommes de mains ou des cobayes pour ses expériences ne présentait rien de compliqué, tout comme convaincre le jury de son honnêteté. Contrairement à ce qu’on pouvait penser, les phéromones de Pamela ne fonctionnaient pas que sur des hommes. Les femmes y étaient aussi sensibles, car, comme les hommes, elles avaient aussi des hormones. À Seikusu, ses phéromones étaient encore plus puissants, à l’image de ce qui se passait dans cette ville, et des forces qui l’habitaient. Harley, elle, avait toujours été une figure d’exception, car, très rapidement, Ivy lui avait offert un antidote, qui continuait encore à couler dans ses veines. Ainsi, la femme débordante de passion qui se tenait devant elle n’était pas, comme Aoki, droguée. C’était juste l’amour qui parlait, et, pour Ivy, c’était très important. Elle avait toujours ressenti quelque chose de fort pour Harleen, pour cette femme manipulée par Le Joker, dont elle avait très rapidement décidé de prendre soin, malgré les trahisons et les hésitations de l’Arlequin. Une attirance chimique inexplicable, mais qui se concrétisait en ce moment.
Harley continuait à parler, enflammée, palpant le corps de sa belle plante. Il était rare qu’Ivy lui offre l’occasion de la pénétrer. Généralement, le beau petit clown finissant au milieu de ses plantes et de ses tentacules, ce qui était autant pour Ivy un moyen de se faire plaisir que de punir l’inconsistance de cette femme, qui passait son temps à la trahir, à la doubler, pour les beaux yeux du Joker. Hum, oui, Pamela se souvenait encore de ses punitions sur Harley… Elle l’enfermait pendant des heures au milieu de plantes tentaculaires, et la belle se faisait violer pendant des heures, sans pouvoir rien faire d’autre que subir, le corps tordu, ses muscles tiraillés, parfois à la limite du point de rupture. Maintenant, Harley comptait prendre sa « revanche », ce qui fit sourire Pamela, qui se retrouva dos au mur, ses fesses heurtant ce dernier.
« Viens, ma belle… Défonce-moi… »
À Gotham, Pamela n’aurait jamais pensé à utiliser ses plantes de cette façon. Elle était beaucoup plus cruelle là-bas… Mais, ici, dans cette atmosphère paisible, sa bonne humeur était là. Harley la pénétra alors, sa verge végétale, qui avait pris la couleur de sa peau, rentrant en elle. Elle était aussi crédible qu’une vraie, et Pamela avait la conviction qu’Harley n’avait encore jamais eu l’occasion d’être hermaphrodite. C’était donc un énorme cadeau que l’Empoisonneuse lui faisait en ce moment.
« HAAAAAAAAAAAA… HAAAAAAAAAAAAAAAAANNN !! O-OUUUUUIIIIII !! HHHHAAAAAANNNNNNN !! »
C’était si bon, si bon ! Oh oui, se faire baiser par Harley était quelque chose de merveilleux ! C’était aussi simple que ça, et Pamela ne pouvait s’empêcher de soupirer, de gémir, de gesticuler, de se tortiller contre elle. Ses jambes s’étaient relevées, s’enroulant autour des cuisses d’Harley. L’une de ses mains s’appuyait sur ses cheveux, et l’autre sur son épaule. Elle répondait à chacun de ses baisers, à chacune de ses caresses. Pamela voulait sentir Harley contre elle, en elle, toute serrée contre son corps ruisselant de passion et de désir. Elle voulait la sentir gémir, soupirer, elle voulait partager son plaisir, sa soif, et, tandis qu’Harley la prenait, Pamela mouillait follement, ses phéromones sortant de tout son corps. Harley y était-elle vraiment insensible ? Pamela l’avait soigné contre les toxines… Mais, en un sens, ses phéromones n’étaient pas vraiment un poison mortel, non ?
Loin de là, et pourtant proche, Félicia, nue, savourait le corps d’Aoki, ainsi que la présence, fort surprenante, de cette verge qui pointait désormais entre ses cuisses. Elle était reliée à sa peau par le biais de multiples terminaisons nerveuses, et pour ainsi dire soudée à son corps. Félicia se masturbait machinalement, et essayait de tirer dessus, mais avait l’impression de juste tirer sur sa peau, se faisant donc mal. Elle délaissa donc cette verge, puis s’approcha d’Aoki, dont le corps, en l’état, suscitait tout son appétit, et toute son attirance.
Félicia la pénétrait donc, et posa ses mains à hauteur des poignets de la femme. Aoki, sa belle Aoki… Son amante, une femme qu’elle avait rencontré au parc de la ville, la séduisant à l’aide d’un chat, avant de s’immiscer chez elle, et de lui faire l’amour dans son lit. Maintenant, leur relation avait bien évolué, à tel point que Félicia lui avait acheté une tenue de justicière, similaire à la sienne. Chaque fois qu’Aoki l’enfilait, la Chatte Noire ressentait le besoin irrésistible de lui faire l’amour. Des jouets, elles en avaient utilisé beaucoup au cours de leur intense relation, mais, ici, c’était très particulier, car c’était bien avec un véritable mât que la femme la prenait, remuant en elle, s’enfonçant dans ses entrailles.
La Chatte Noire ronronnait furieusement, roulant des pelles à Aoki, et libéra ses mains pour caresser ses courts cheveux blonds, le lit craquant et gémissant sous les élans forts et puissants de la belle femme aux cheveux gris.
« Rrrrr… Haaaaaan… Aoki, haaaaaaaaaaaaaaaannnnn… !! »
Elle remuait en elle, d’avant en arrière, enfonçant profondément cette grosse verge en elle, dans l’objectif évident et clair de faire hurler sa belle Aoki. C’était, en l’état, tout ce qu’elle souhaitait… La sentir jouir contre elle, s’abandonner tout contre son corps, et jouir à l’unisson, jouir afin de profiter de la vie, et de se soulager mutuellement… Jouir, rien de plus. Voilà à quoi tout son programme, en l’état, se résumait.
Rien de plus, et rien de moins.
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Il y a des choses dans cette vie qu'Harley n'aurait jamais pensé faire. Comme baiser avec Pamela, enfin, baiser avec un truc bien dur entre ses jambes... et elle ne parlait pas d'une chaise mais bien bien d'un morceau de chair, à elle, pas à quelqu'un d'ayutre ! Face à la belle plante, son excitation était bien plus visible qu'en temps normal, ici, pas besoin de sourire, de glousser ou d'envoyer certains signes, il suffisait de baisser les yeux pour voir cette tige végétale mais en chair et presque en os se tenir entre elle et Pam'. Harley caressait ce corps si désirable, si parfait. Avait-elle déjà imaginé prendre son amie de la sorte ? Soyons honnête, rarement. Elle avait déjà imaginé la chose quand elle souhaitait se venger, une Harley très BDSM en cuir avec une Ivy toute soumise qui lui sucerait la queue... en plastique, évidemment. Mais là, pas besoin de jouer les maîtresses de maison qui aiment recevoir – mais surtout donner ! Là, elle allait se faire un petit plaisir grâce au cadeau d'Ivy. Qui d'ailleurs était aussi un cadeau pour elle. Il ne serait pas étonnant que malgré la nature soumise et pourtant imprévisible d'Harley, Ivy se soit déjà imaginé dans une situation similaire, même en voyant Harley en hermaphrodite. Qui sait, dans les fantasmes de la belle rouquine, Harley était membré mais peut-être soumise ? Ivy qui viole Harley malgré sa queue ? L'idée lui avait surement traversé l'esprit.
Mais trève de bavardage et place à l'action ! L'Arlequin avait bien placé ses mains sur ses fesses pour la soulever et mieux la prendre contre ce mur. Sa queue la pénétrant enfin, lentement, elle savourait chaque centimètre en elle jusqu'à sentir sa peau contre la sienne. Plus encore ! Elle la repoussa avec son bassin pour mieux recommencer et faire le poids de la belle rousse poussée sa queue plus loin en elle encore, toujours plus loin, toujours meilleur ! Harley continua de l'embrasser, de tenter de la caresser ailleurs que son joli petit cul mais vu comment ses mains s'y plaisaient... pourquoi lutter. Ses coups de reins se faisaient plus fort, la prenant contre le mur, cognant toujours plus fort encore. Espérons qu'il n'y ait personne derrière ce mur car en tendant l'oreille, cette personne va avoir de jolis fantasmes. Parfois Harley se perdait dans le cou de Pam', au milieu de ses ravissants cheveux de feu, sans pour autant cesser de faire son travail, continuant de la prendre et de gémir contre elle.
« Haaaaaan PAAAM !!! Hummm-huuuuuum ! J'ADORE TE BUTINER MA ROSE !!!! »
Harley finissait par avoir la main verte avec elle même si ce n'est pas encore ça mais vu comment c'est parti, elle n'allait pas y aller de mainmorte sur l’arrosage. Elle va bien entretenir son petit jardin, ça, elle pouvait compter sur Harley ! Mais elle n'avait pas l'intention de se limiter à si peu. Remontant sa bouche vers son oreille, elle lécha son lobe avant de glisser quelques mots dans un langage très... fleuris justement.
« Après... je te bourre ton petit cul de putain de rose ! »
Faut pas s'en plaindre, c'était à prévoir après avoir laissé un tel « cadeau » à Harley, vu le nombre de fois où elle avait dandiné son petit fion sous ses yeux, elle ne pouvait rien faire d'autre que le caresser, le lécher ou la fessée à la limite. Là... elle va pouvoir changer un peu. De l'autre côté, c'était tout aussi jouissif dans une ambiance un poil plus romantique mais inutile de préciser que cela sera tout aussi chaud que du côté de Gotham. Aoki se laissait joyeusement baiser par Felicia, sa douce Chatte sur qui elle avait craqué. Elle qui pensait un peu trop fantasmer et laisser parler son cœur, comme avec Hitomi, s'était dit qu'elle allait laisser la belle faire le premier pas avant de lui ouvrir son cœur. Sauf qu'au fur et à mesure, elle lui plaisait de plus en plus, si bien que ce fut elle qui avait fini par le lui dire. Certes, lors d'un jeu sexuel alors que dehors, ce n'était pas la joie mais elle le lui avait finalement dit. Et elle ne le regrettait pas car depuis, elles sont de plus en plus proches.
La belle queue de la Chatte Noire, la sienne, enfin en elle. Combien de fois Aoki avait rêvé de ce genre de moment assez surréaliste ? Une femme avec un vrai pénis ? On ne voyait ça que dans les mangas érotiques et là... Elle ne savait pas qui elle devait remercier pour ce cadeau. Ce membre chaud en elle, si dur et si doux, comme la peau qu'elle caressait avec ses mains. Explorant ce dos qu'elle connaissait sur le bout des doigts, elle aimait le sentir si proche. Ses doux cheveux venant donner une pointe supplémentaire de douceur. Bien évidemment ses mains étaient attirée par une des parties les plus douces de ce corps, ses deux magnifiques fesses. Aoki ne se lassait pas de les caresser encore et encore, soupesant chacune d'elles, plus tendre l'une que l'autre.
« HuuuuuuuUUUUUMMMM HAAAAN ! Continue Felicia, t'arrête PAS ! Mais garde des forces chérie... je veux jouer toute la nuit... mmmhhh avec ta queue en moi... et sur moi ! »
De quoi donner des tas d'idée à Felicia qu'elle se fera une joie de faire avec elle, évidemment.
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Et voilà donc où elles en étaient, toutes les deux... Des retrouvailles joyeuses et détonantes. Poison Ivy et Harley Quinn, les deux terreurs de Gotham City. Elles avaient fait tant de choses ensemble... Bien sûr, tout n’avait jamais été très rose. Harley l’avait fréquemment trahi pour rejoindre son « puddin’ ». Elle avait toujours été tiraillée entre Pamela et Le Joker, et, pendant longtemps, Pamela n’avait été qu’une distraction temporaire... Mais là, les choses avaient évolué. Seikusu était différent de Gotham. C’est ce que Phil Collins disait : à Gotham, il y avait quelque chose dans l’air... Quelque chose qui rendait les gens nocifs et dangereux. Batman en était une bonne illustration. Contrairement à Superman ou à Wonder Woman, qui inspiraient respect et fierté, Batman, lui, inspirait terreur et peur. On se soumettait à la loi pour éviter de subir l’ire du Chevalier Noir, contrairement à Métropolis, où les gens adulaient Superman. C’était un changement de mentalité, typique de Gotham. Était-ce un hasard, si c’était à Gotham City qu’on trouvait les plus grands psychopathes de tout les États-Unis ? Zsasz, le Chapelier Fou, l’Épouvanatail... Autant de malades mentaux qui auraient depuis longtemps fini sur la chaise électrique, si le système judiciaire de Gotham n’était pas aussi corrompu. Depuis qu’elle avait quitté Gotham City, Pamela se sentait mieux, et elle avait bon espoir que ce soit la même chose pour Harley. Ivy y veillerait, et elle y veillerait d’autant mieux que, ici, il n’y avait pas que Batman ou ses Batgirls. Qu’est-ce qu’Harley pouvait espérer faire contre Supergirl ? Il fut un temps où Poison Ivy et Harley Quinn avaient déjà croisé le chemin de leur Supergirl. Ivy avait même tenté de l’embrasser pour la séduire, comme elle le faisait parfois avec Superman (ou encore avec Bizarro), mais Supergirl y avait été insensible, et, tout ce que Pamela avait récolté, ce fut une belle migraine.
Maintenant, son beau clown la pénétrait rudement, enfonçant sa verge en elle. Poison Ivy lui avait offert un cadeau qu’elle n’aurait jamais pu songer faire ailleurs qu’au Japon : la rendre hermaphrodite. La Nature florale ignorait les différences sexuelles. Un arbre n’était ni homme ni femme, il était, tout simplement. Dans le fond, faire pousser une verge n’était pas plus compliquée que de pousser des tentacules, il fallait juste y penser, et adapter un petit peu la formule. Autant dire que Pamela avait plutôt bien réussi, et que la manière dont Harley la tringlait illustrait tout le plaisir que la belle blonde avait... Et aussi toute l’envie qu’elle avait jamais eu de prendre ainsi Ivy.
« HAAAAAAAAAAAAAAAA... HAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNN, Harley, haaaaaaaaaaaaaaaannn !! »
Oh putain, ouais !! Ce que c’était intense ! Pamela n’avait pas l’habitude se faire tringler aussi violemment. Les hommes avec qui elle couchait se retenaient toujours un peu, sûrement à cause des spores de celle qu’ils percevaient alors comme leur Reine... Mais Harley, elle, était immunisée, et elle avait toujours eu, en elle, un potentiel de violence et de sadisme... Et ce potentiel était pleinement en train de se libérer en ce moment, se déversant dans tout son corps. Soupirant et gémissant longuement, Pamela la laissait venir, son corps rebondissant d’avant en arrière, ses jambes se relevant pour s’enrouler autour de ses hanches, mais sans pour autant chercher à restreindre ses mouvements. Au contraire, en faisant ça, Pamela facilitait la pénétration de la femme.
Elle sentit la langue d’Harley sur sa joue, et, en susurrant dans son oreille, elle lui avoua que, ensuite, c’était son cul qui allait suivre.
« HNNNNN... O-Ouuuii... !! Sois... Haaaa... Sois ma jardinière, Harley... ! »
Avec Pamela, il fallait s’attendre à un vocabulaire très fleuri, au sens floral du terme. La Nature était la grande passion de Poison Ivy, ce qui se confirmait pleinement en ce moment. Elle mouillait follement, et ne tarda pas à avoir un orgasme, balançant des filaments de mouille... Et, comme pour une belle Alraune, sa cyprine avait quelque chose de très agréable à sentir. Une odeur délicieuse, sucrée, mais également enivrante, chargée en aphrodisiaque... C’était la preuve qu’elle devenait de plus en plus l’Alraune qu’elle avait toujours cherché à être...
...De son côté, Félicia continuait à prendre Aoki, s’enfonçant en elle, ronronnant furieusement. Elle savait, parce qu’elle connaissait bien Aoki, que la jeune blonde avait souvent rêvé d’être prise par une femme membrée. Généralement, Félicia utilisait une ceinture avec des godes... Mais là, c’était bien une vraie verge qui sortait de son corps. Elle n’arrivait pas vraiment à comprendre ce qui se passait, mais, après tout, venant d’une femme-plante, tout était possible.
Elle sentait ainsi les mains d’Aoki se poser sur ses fesses. Félicia soupira, et lui mordilla les lèvres, puis continua à remuer son corps. Elle se calma pendant quelques secondes, reprenant son souffle, puis recommença ensuite à la prendre, encore et encore, d’avant en arrière. Sa queue s’enfonçait profondément en elle, heurtant son clitoris, défonçant ses parois intimes. Elle remontait ensuite en arrière, puis repartait en avant, encore et encore, encore et toujours...
« Doigte mon cul, Aoki, je sais que tu en as envie... »
Elle lui lécha la joue, en lui mordillant ainsi une oreille, délicatement et malicieusement.
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Qu'il était plaisant d'essayer de nouvelles choses avec Pamela. C'est vrai que cet aspect ne changeait pas tellement, d'ordinaire c'était avec de longues lianes mais ce n'était jamais fixé au corps de la belle femme plante. Et ce n'était pas non plus sous la forme d'un pénis. Oh mais une minute ? Ce n'était pas Poison Ivy qui était comme ça mais Harley Quinn ! Avec un phallus ! Et elle prenait son pied en se faisant la belle rouquine ! Voilà qui changeait la mise ! Même si là, ça reste quand même du domaine de l'inédit, tant ce qui a pousser entre ses jambes que de voir une Harley dominante. Dans quatre-vingt dix pourcents des cas, elle laissait Pam' avoir le dessus pour mieux jouer à deux mais là, elle était dans les dix pourcents du temps où elle aimait la prendre – et non l'inverse. Savourant chaque mouvement qu'elle donnait avec ses hanches, pénétrant sans relache la belle plante.
Elle n'aurait jamais cru que cela rendrait la partie si intéressante, si amusante... Si délicieux ! De plus, il ne fallait pas compter sur Harley pour une touche de romantisme, pas dans cet état. Elle se faisait plaisir avec quelques images de ce qui allait suivre, sans non plus être très vulgaire. Mais romantique ? Pas vraiment.
« Ouuuuuh ta jardinière... hum elle se fait plaisir, han... à butiner ta rose ! »
Jardin aux abeilles ? Bah, ça reste dans le thème au moins. Mais quand elle sentit la belle rouquine jouir, cela ne lui donnait qu'une seule envie... Y aller plus fort et surtout la remplir ! Un effet de sa sève intime qui était un poil plus aphrodisiaque que d'ordinaire ? Peut-être ou bien c'était simplement de voir son corps changé qui lui donnait envie d'aller encore plus loin ? Harley n'avait pas encore joui mais ça ne saurait tarder. Elle se collait contre elle pour venir l'embrasser fougueusement avant de glisser près de son oreille quelques mots... rassurant ? Perturbant ? Digne d'Harley ? Peut-être bien... Ses coups de hanches étaient plus lents mais il fallait bien ça pour pouvoir discuter.
« Je vois clair dans ton jeu Pam'... Plus je te butine... plus j'ai envie de te remplir de ma semence... Au point de voir ton petit ventre... tout roooooond, débordant de sperme. Et si tu m'as offert ça, c'est pour une chose, hein ? Tu veux que je te colle une petite Harley écolo dans ton bidon, heiiiiiiiiin ? Je garantis rien ma belle rose... mais je garantis au moins de te baiser jusqu'à l'épuisement ou bien jusqu'à ce que ton ventre soit bien rond. Tu la veux ma petite graine ? Eh bien tu vas l'avoir ! »
Si elle avait été assez silencieuse jusque-là, les derniers mots avaient été prononcer bien fort. Mais avec plus de sérieux, là n'était pas le but d'Harley. Devenir Maman... Vous imaginez deux secondes Harley Quinn dans ce rôle ? Une fille qui peut facilement passer du blanc au noir, du noir au rouge ? Une fille qui n'a aucun remords à faire sauter des foyers entiers justes pour s'amuser, pour attirer l'attention de la foule sur elle ? Elle, mère d'un petit être innocent ? C'est sûr que l'image d'une Harley dingo de l'écologie, ça semble marrant. De même d'une petite Pamela complètement survolté mais Harley voulait-elle devenir maman ? Un jour bien lointain peut-être ! Quand elle aura raccroché son rôle à un portemanteau ou en continuant sa vie comme aujourd'hui mais pas ça, pas maintenant. Elle était trop jeune pour penser aux biberons, aux couches sales et aux nuits bien trop courtes. S'amuser par contre, ça, ça la branchait ! Car soyons franc, sa petite d'histoire de vérité percer à travers Pam', c'était juste dans le feu de l'action avec la logique d'Harley, rien de plus. Continuant de la prendre, elle finit par bien se coller contre elle en déversant en elle. Oui, la semence blanche de l'arlequin de déversait dans la belle plante. Quelques secondes de pur bonheur où ça faisait un bien fou de se vidanger...
« Huuuuuuuum si booooooooooon ! » Son regard se baissa sur leur ventre, rien de bien folichon pour le moment... « Hmm on est encore loin du résultat final doooooonc ! Je vais devoir te baiser encore ♪ Tu veux qu'on essaie sur le lit ? Ou bien ça te plaît quand je te prends contre le mur ma petite rose aphrodisiaque ? »
Sur le lit justement, les choses allaient de plus belle, Aoki savourait cette expérience unique en son genre. Mais le petit discours d'Harley, la fin du moins, ne lui avait pas échappé. Planter la petite graine ? Il est vrai que c'est un pénis entre les jambes de Félicia mais cette plante permettait un tel miracle ? À l'image d'un bébé, elle avait le souvenir précieux de cette photo de Félicia bébé, avec son chat en peluche. Si adorable et mignonne ! Il est vrai qu'elle voulait attendre le grand amour pour songer à une famille mais n'est-ce pas le véritable amour ? Certes, si deux femmes ne peuvent pas avoir un bébé cent pour cent venant d'elles, là, c'était un plan B ? Aoki avait longuement imaginé un tel fantasme avec un bébé venant d'elle, pour donner naissance à un bébé à leurs images, à elles... Mais la Japonaise retombait bien vite sur Terre, il était trop tôt pour parler de ça, Félicia avait déjà des enfants à New York et en plus, elle venait de mettre les pieds dans un monde très étrange, étrange au point où songer à avoir un bébé n'était pas recommander, pas depuis qu'elle venait de faire ses premiers pas dans le SHIELD et qu'elle avait encore tant de choses à faire et à découvrir que, une fois maman, elle ne pourrait pas se permettre de faire en temps normal.
De plus, dans le feu de l'action, Félicia la ramenait doucement à la réalité avec une proposition qui ne se refuse pas. Elle lui souriait en s’exécutant, enfonçant son majeur dedans avec joie, n'y allant pas de mainmorte pour rattraper le train en marche, passant de la case doux petit doigt à la case titillage de cul.
« Hummm y a pas que ça... que j'ai envie... »
Elle lui fit un clin d'oeil car avec un vrai pénis entre les jambes, ce n'est pas comme ça tous les jours alors il faut savoir en profiter tant qu'il se trouve là. Aoki comptait bien l'avoir entre les fesses comme entre ses seins, oh oui, Félicia n'était pas prête de fermer l'oeil de la nuit. C'était la soirée qu'elles avaient prévue à deux mais finalement, ça allait être bien mieux cette soirée, non ? Si une de ses mains était occupée à jouer avec son petit trou, sa seconde main était toujours libre, elle l'amena à sa bouche, lui faisant sucer un de ses doigts. Elle a peut-être rien entre les jambes mais cette vision de Félicia lui suçant le doigt était une chose qu'elle aimait bien déguster.
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Harley prenait Pamela avec joie, tout en soulignant que Pamela faisait ça dans le but d’avoir un enfant d’elle. Une mini-Harley... Elle sourit entre deux soupirs et deux gémissements. L’Arlequin avait une force surdéveloppée, et une endurance très forte. L’un des cadeaux que Poison Ivy lui avait offerte quand Harley avait tombé sous son nez après avoir été piégée par Le Joker dans une tête de fusée d’attraction, qui s’était fracassée sur le sol. Elle avait soigné cette pauvre jeune femme, et lui avait donné les moyens d’être plus forte. Et maintenant, elle en sentait les effets secondaires. Au lit, Harley était terrible, et Pamela lui faisait souvent violemment l’amour, pendant des heures et des heures, jusqu’à réussir à apaiser sa soif sexuelle. Elle était tout simplement son cobaye préféré, toujours prête pour se faire piquer par Pamela, qui en profitait pour voir la manière dont son corps évoluait. Sa petite Harley, sa petite folle et sa petite poupée... Oui, Pamela l’aimait énormément, mais ce qu’elle rêvait n’était, hélas, qu’un rêve. Poison Ivy était stérile, et elle avait réalisé quantité d’expériences sur son sang, afin d’essayer d’obtenir des enfants. Elle n’avait jamais réussi, si ce n’est à part créer des monstruosités en mélangeant ses plantes avec des fluides sexuels. Des horreurs ignobles qu’elle avait détruite ne les voyant venir... Pamela s’était donc résolue à ne pas être mère de famille, et à ne pas avoir une belle petite fille... Ou presque.
L’espoir avait rejailli sur Terra, dans une chrysalide qui était en train de pousser depuis plusieurs mois, mais elle n’en avait parlé à personne... Car elle n’était pas assurée que la chrysalide fonctionnerait, et elle ne voulait pas se faire de fausses joies, et, surtout, amener ses proches à devoir la consoler s’ils apprenaient que l’enfant de Pamela, cette Alraune en gestation, serait morte née. Rien qu’à y repenser, Pamela sentit une onde de terreur la traverser. Harley jouissait en elle, lourdement, réveillant Ivy, la tiraillant entre les plaisirs qu’elle ressentait, et son inquiétude.
« Baise-moi, Harley... Baise-moi comme tu ne m’as jamais baisé, ma chérie... »
Elle s’en arrachait les cheveux. Pamela n’aurait jamais cru qu’elle pourrait avoir une fille, et Lily et Raune, les deux sœurs Alraunes, lui avaient offert l’incroyable possibilité de pouvoir en avoir une. C’était un parti complètement fou, très risqué, et dont les chances de succès étaient faibles, mais Pamela l’avait accepté... Et, plus les semaines passaient, et plus la grossesse se portait bien. Kyli était en train d’émerger dans sa chrysalide, de lentement se former... Mais Lily et Raune lui avaient dit que l’opération avait des chances d’échec. Pamela n’arrivait pas à se dire ce qu’elle ferait si, entre ses bras, elle tiendrait son enfant mort...
*Non, non, n’y pense pas...*
Harley parlait beaucoup, et souvent pour dire des bêtises... Mais, parfois, il arrivait qu’elle parle de sujets sensibles sans même le remarquer... Même si Harley était probablement la plus placée pour savoir à quel point Ivy rêvait d’être mère. À l’époque de Gotham, elle avait séduit des dizaines d’hommes, et régulièrement couché avec eux, dans l’espoir d’être enceinte. Que des échecs. Elle n’en avait jamais parlé beaucoup avec Harley, mais Harley avait beau être une petite folle, et naïve, elle était, à la base, une docteur. Il suffisait de voir les poubelles du laboratoire de Pamela, à Gotham City, pour tomber sur des tests de grossesse, tous négatifs. Elle avait appris à ne rien montrer, mais sa grossesse... Après tout, Pamela était une femme-plante, et son plus cher désir était tout naturellement d’enfanter la vie, de la laisser germer et vivre.
Elle poussa Harley, et l’envoya s’étaler sur le lit, puis, sans attendre plus longtemps, elle s’empala sur sa queue, l’enfonçant le plus loin possible. La douleur explosa en elle quand cette lance de pieu la déchira, et un hurlement s’échappa des lèvres de Pamela, qui se tendit sur place. Elle remua de haut en bas, faisant grincer le lit, s’absorbant dans le sexe, s’enfonçant dans les magnifiques sensations de plaisir qu’elle était en train de recevoir dans tous les sens. De plaisir et de souffrance... C’était ça qui était bon dans le sexe... L’aliénation, le fait de ne plus penser à rien, car les sensations physiques vous engloutissaient totalement.
« O-Ouuuiiii... HAAAAAANNN-HHHAAAANNNNNN... !! »
De son côté, Félicia esquissa un léger sourire, avant de sentir ce doigt remuer dans son cul. Elle connaissait bien Aoki, elle aussi, et elle savait que la jeune femme aimait bien qu’on la prenne avec un phallus. Faute de mieux, Félicia utilisait souvent un gode-ceinture. Plusieurs fois, elle avait hésité à demander à Pamela ses plantes, ou à obtenir les pilules alchimiques venant de Terra pour faire plaisir à Aoki... Elle s’était dit qu’elle conserverait ça pour une occasion spéciale, et, finalement, ladite occasion avait fini par venir sans attendre.
Félicia sourit donc, et embrassa Aoki sur les lèvres.
« Ta chatte pour commencer, Aoki... »
Pour commencer, oui... Félicia continuait à remuer d’avant en arrière, multipliant ses coups de reins. Avec Harley et Pamela à côté, il était heureux que le lit soit résistant, afin de supporter les ébats fougueux de ces quatre femmes en chaleur.
« Dès que tu auras joui, ma chérie, je te baiserai le cul... Sauf si... Hummmm... Petite pute, t’es si bonne... Sauf si... Haaaa... Tu souhaites... Que j’aille me répandre ai-Ailleurs... »
Félicia ronronnait, et avait léché dans la foulée de ses mots une insulte... Juste pour égayer leur couple.
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Il est vrai qu'Harley, sous le masque, avait un beau diplôme qui aurait pu l'aider à faire en sorte que bien des Gothamiens puissent changer et redevenir normaux mais hélas pour elle, elle s'était attaqué à une proie bien trop grosse qui l'a dévoré toute crue et depuis... tadaa !!! Mais bon, c'est sûr que l'idée d'avoir un enfant avec Ivy était jeter dans le feu de l'action, elle n'a jamais vraiment songé à faire du mal à son bouton de rose, elle était toute belle et toute gentille. Après tout, même Harley à eu ce genre de période où elle avait tout tenté avec son biquet sans obtenir de résultat. Même si là, elle crache sur cet ignoble clown... un jour elle retombera peut-être dans ses jolis bras... Mais pas de bras gringalet du Joker pour le moment mais les belles hanches de Poison Ivy ! Rhooo cette belle plante va sûrement tenter de la fatiguer mais elle-même sait que la tâche n'était pas si simple même si son dard risquait de lui pomper son énergie plus rapidement que d'habitude.
Même si elle se laissait aller, jouissant encore et encore entre ses jambes, Harley semblait bien voir que quelque chose n'allait pas sur le visage de son ami. Certes, le lit ferait un bon divan mais leurs activités outrepassait la relation doctoresse/patiente. Ou alors la relation était parfaite entre docteur/patient mais dans le monde du porno. Puis se lancer dans du blabla allait casser tout le rythme alors que là, pas besoin de diagnostic pour sentir que pour l'une comme pour l'autre, ça allait siiiii bien ! Harley se faisait une joie de pilonner sa Pamela, cette dernière était même en forme, puisqu'elle retourna la situation. Harley était poussé sur le lit, chevaucher par une Ivy prête à tout pour arriver plus loin encore dans l'orgasme, c'était presque Harley qui était violé par Pamela en ce moment !
« HHHHHAAAAAA OUUUAAAAIIIIIS !!!! Putain, OUIIII !!! »
Harley claquait ses deux mains sur ses fesses, venant les empoigner et les remuer de plus en plus vite, au fil que la situation devenait plus chaude, elle faisait tout pour remuer encore plus en elle, sa queue bien logée, bien au chaud, bien au fond surtout ! Harley avait les mains prises sur son beau petit cul mais sinon, elle aurait bien malaxé sa poitrine ou si elle en aurait eu le courage, plonger la tête dedans. Au moins embrassé sa petite rose en chaleur. Ha, non, c'est pour les animaux ça... Sa rose aphrodisiaque, ça sonne mieux. Pour les deux autres, c'était tout aussi torride, moins violent pour le moment mais bien chaud quand même ! Aoki se plaisait à tordre son doigt dans son petit trou chaud et étroit alors que la belle chatte avait toujours de quoi la faire languir avec des mots bien à elle. Répondant avec joie à son baiser, elle en aurait presque gloussé avec sa proposition !
« Tu ferras les deux... hummm... Ma petite chatte... »
Retirant d'abord son doigt puis levant les bras pour les enrouler autour de sa tête, elle l'embrassa plus fougueusement encore en gardant ce grand sourire alors que les deux autres étaient prise dans un véritable rodéo. Embrassant la belle chatte en savourant chacun de ses coups de reins, elle approcha sa bouche de son oreille et entre quelques gémissements, elle venait lui donner de nouvelles idées bien alléchantes.
« Haaaaannn ! Je vais bien presser... ta beeeeellle queue... entre mes seins... huuuuummm... Elle sera... bien au chaud ! »
Elle avait bien l'image en tête ? Ça y est ? Reste à savoir laquelle de ses deux options va tenter Félicya car l'un comme l'autre, c'était deux choses délicieuses que la Japonaise avait à proposer... et dieu sait que le choix sera dur ! Avoir sa queue compressée dans son petit trou ? Ou bien malaxer entre ses seins ? Le choix ne va pas être très simple pour elle. Une chance néanmoins que les couples restent ensemble pour le moment, car à quatre... l'immeuble ne va pas résister à toute leurs petites aventures ! Car sur l'échelle de Richter, le bâtiment risque de prendre une sacrée secousse !
« Mais d’abord... Baise-moi comme si... c'était la dernière fois. »
Un petit clin d’œil et c'est parti pour une partie qui va en faire suer plus d'une !
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Pamela dansait sur le corps d’Harley, en harmonie avec le sien. Les deux femmes remuaient, et Pamela y allait violemment, poussant des cris et des soupirs, en s’aliénant dans le sexe. Elle dansait donc sur elle, dans des mouvements amples et profonds, douloureux et jouissifs, sa belle folle coincée sous ses hanches végétales. La Grise et la Verte à l’unisson, dans des cris et de longs soupirs. Tout autour d’elles, les spores et les plantes d’Ivy les enveloppaient, que ce soit elles, ou Félicia et Aoki. Les deux couples étaient lancées dans une féroce spirale sexuelle, et rien ne semblait devoir les calmer. Pamela avait accru le rythme, devenant plus vorace, et, même si Harley se doutait très certainement de quelque chose, l’Arlequin était aussi suffisamment adroite pour comprendre qu’il était pour l’heure inutile d’en parler, et que seul comptait le sexe. Des deux, Harley avait toujours été la plus émotive, celle qui se confiait toujours, généralement pour parler de ses peines de cœur avec « Mister J. », tandis que Pamela, elle, écoutait d’une oreille distraite en observant ses plantes. Très émotive, Harley épuisait les paquets de mouchoir à parler de la manière dont « Mister J. » la traitait, terminant à chaque fois par jurer qu’elle ne retournerait plus jamais avec lui, que c’était fini entre eux, fini, fini, fini… Pour retourner ensuite la semaine prochaine dans ses bras. Pamela voyait Harley se tordre entre ses cuisses, ses mains se crispant sur ses fesses, et soupira à nouveau, basculant sa tête en arrière en sentant l’orgasme la traverser. Elle l’accepta volontiers, et répandit sa mouille sur ses cuisses.
« Haaaaaaaaaa… Haaaaaaaaaaaaaaaaarrrleeeeeeeeeeeeeyyyyy-hhhaaaaaaaaaaaaaaaaaaannnnn… !!! »
Ses mains se posèrent sur ses épaules, la griffant, et elle se pencha tout contre elle, remontant sa main pour agripper ses cheveux, et l’embrassa fermement. Elle faisait entièrement confiance à Harley pour la soulager ainsi, pendant des heures et des heures. Harley était une femme endurante et musclée, qui s’entraînait régulièrement, tout en étant à la fois agile… Elle avait goûté aux vaccins de Poison Ivy, qui avaient amélioré sensiblement ses performances physiques, cardiaques, etc… On en voyait très précisément les résultats en ce moment, et sa langue jouait avec celle d’Harley. Elle se cramponnait à elle, tellement heureuse de la revoir… De tout son passé troublé et confus, Harley Quinn était la seule figure que Pamela avait vraiment envie de revoir, et elle ne comptait plus la laisser partir. Qu’elle tente encore de retourner auprès de ce cinglé de « Mister J. », et elle la bâillonnerait avec ses tentacules !
Poison Ivy lui mordilla les lèvres, et poursuivit le baiser, déplaçant ses mains pour palper ses seins. Elle tira sur ses tétons, puis se releva alors, et recommença à remuer sur elle.
« Ne… Ne t’épuise pas trop vite, Harley… J’ai fait l'amour tant de fois ici, ma chérie… »
Pamela remonta ses mains pour caresser ses joues et ses oreilles.
« Tant de partenaires… Je suis devenue… Beaucoup plus exigeante… Tu vas devoir… Hummm… Te surpasser pour rester ma première amante, Harley… »
Et que c’était bon de sentir sa grosse queue ! Pamela continuait à la narguer, car elle savait très bien comment faire pour amener Harley à se dépasser… Elle était comme une grande fille qui acceptait n’importe quel défi.
Ce rodéo ne dénaturait clairement pas avec le spectacle se déroulant à côté d’elles, un spectacle intense et sauvage. Félicia et Aoki s’embrassèrent goulûment, et Aoki émit à l’encontre de Félicia une proposition des plus intéressantes, après avoir trituré le petit cul de la Chatte Noire… Soit la sodomie, soit la branlette espagnole… Ce choix fit sourire en coin Félicia, qui se trouva, encore une fois, convaincue de la profonde perversion de son amante. Il n’y en avait clairement pas une pour rattraper l’autre, et, maintenant que Poison Ivy avait doté Félicia d’une queue, la femme comptait bien en profiter.
Aoki lui laissa le soin de choisir… Mais, avant ça, elle voulait se faire bien baiser, ce qui fit sourire Félicia.
« Très bien, petite pute… Mais… Hummm… Inutile de demander grâce, car je vais te défoncer… Haaaa… Comme… Comme jamais !! »
Elle la souleva alors, et plaqua le corps d’Aoki contre un placard, et commença alors à la baiser sauvagement, en grognant, en la griffant, ses ongles devenant de belles griffes qui glissaient contre les hanches et les côtes d’Aoki.
« Haaaa… Hummmmm… Rrrrrrrrrrrrrrrr… !! »
Félicia ronronnait joyeusement tout en donnant de solides coups de reins, des bourrades qui envoyaient le corps d’Aoki rebondir contre le placard. La Chatte Noire n’était clairement plus dans l’optique de la ménager. Elle la prenait rudement, profondément, sans prendre de gants, écrasant ainsi tout son corps le sien, avant de revenir en arrière, puis de repartir en avant, s’enfonçant, encore et encore, bien en elle, le plus loin possible dans son vagin, tapant contre des parois trop étroites pour les écarteler, tout son membre s’engloutissant alors en elle.
La Chatte Noire repartait ensuite en arrière, puis s’enfonçait encore, miaulant et ronronnant, devenant alors extrêmement féline, bien plus chatte qu’humaine dans la manière dont elle était en train de lui faire l’amour.
Et c’était tout simplement délicieux !
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Il n'y avait qu'elles pour faire autant de folie en si peu de temps, après tout, c'était si bon que ce serait dommage de s'en priver après tout. Déjà en temps normal c'était dommage de passer à côté alors si la « nature » l'a doté de telles choses, pas question de faire une croix dessus ! C'était donc sans ménagement que Pamela chevauchait Harleen comme un de ces fougueux cowboys vienne tenter de dresser un taureau. Même si le gentil petit clown se laissait volontiers monter par la belle rouquine, il faudra faire attention au revers de la médaille. Harley est calme pour le moment mais pour combien de temps ? Même sans le sexe, Harley pouvait être le genre de fille imprévisible qui ferait bien la dernière à faire dans une situation quelconque juste pour le prétexte qu'elle avait envie de faire ça. Et là, avait-elle envie de se faire chevaucher par Pam' ? Sûrement. Et dans cinq minutes ? C'est à voir mais les paris sont ouverts et dommage pour ce cher Harvey Dent mais il ne pourra pas compter sur sa pièce pour parier car il y aura plus que deux possibilités à la fin de ce rodéo.
« Hooooouuuuu çaaaa viiiIIIIIIIIIIEEEEEEENNNNNNNTTTTTTTTT !!!!!!! »
Harley finissait par jouir en elle, faisant jouir la belle plante qui ajoutait sa sève sur son corps avant de continuer à la taquiner, entre griffures et pinçages de tétons, la belle plante n'avait pas que de belles pétales, elle avait aussi des épines sur son délicieux corps. Pamela se rendait-elle compte que provoquer Harley était la meilleure façon d'obtenir d'elle le meilleur comme le pire ? Oh oui, Ivy allait prendre son pied, même les deux, mais à quel prix ? En force physique, Harley était plus forte qu'elle – sans l'aide de ses plantes – et il est possible que le gentil clown montre que le Joker ne l'avait pas seulement engagé pour ses talents et son aide pour ses inventions mais aussi ses capacités. Elle n'était pas son bras droit pour rien après tout.
« Attention les yeux alors ! Huuuum ! Harley Quinn entre en... Scène !!! »
Clôturant sa phrase, elle gardait la belle rose par les hanches avant de la bousculer sur le lit pour reprendre les rênes. Se retrouvant sur le lit, à moins d'une contre-attaque, Ivy va devoir subir la colère d'Harley. Était-ce son but ? Oui ou non, il est trop tard pour demander pardon à Harley ! Cela dit, elle allait quand même l'embrasser tendrement une petite fois, allongé sur son corps bien chaud et trempé et sa sueur et leurs semences puis en décollant ses lèvres des siennes, elle lui caressa les joues en glissant son index dans une de ces mèches rousses. Un dernier moment de douceur avant la suite. Harley se recula, se retirant même d'entre ses jambes. Elle venait prendre les mollets de la belle plante avec un grand sourire.
« Il est temps de te faire faire un peu d'exercice ma joli ! Je suis sûr que tu faisais partie de celles qui rechignaient à faire du sport à l'école, non ? »
Sûrement, le genre belle poupée qui n'a pas envie de monter à la corde ou faire des tours de terrains. Prenant donc ses mollets, elle venait ramener doucement ses petits pieds au-dessus de sa tête. De quoi faire un peu de sport déjà ! Mais attention à la suite.
« Aide moi ma petite rose et tiens tes mollets pour moi. »
Car elle va être occupée à faire autres choses. À genoux devant elle, sa queue continuait de battre le rythme contre cette douce peau humide avant de doucement la pénétrer ! Elle était déjà très accueillante de nature mais alors là, avec ses jambes bien écartées, c'était un véritable plaisir de la pénétrer sans ménagement, gémissant en se retrouvant au fond de son entrejambe ! Maintenant, place à une seule chose, l'action !
« Attention chérie... Je vais te faire hurler ! »
De plaisir ? De douleur ? De joie ? Surprise mais elle n'allait pas être déçue du voyage, parole d'Harley ! Une chose est sûre, elles vont jouir, elles vont le faire entendre aussi, ça promet !
Et à côté, non loin d'elle, le second couple aussi se faisait plaisir, Aoki et Félicia étaient déchaînées comme jamais ! Félicia avec une vraie queue, c'était une première après tout. L'ambiance était tout aussi torride entre elles et elles le montraient bien, leur nouvelle position allait se faire entendre et sentir aussi dans toute la pièce. À croire qu'un véritable duel entre les deux couples était lancé alors que c'était à peine si chaque couple faisait attention à l'autre. Aoki était fidèle à elle-même montrant le maximum de ce qu'elle avait à offrir, prête à tout pour assouvir ses pulsions sexuelles avec sa petite amie. Ça allait être très chaud !
« Hummmm ouiiii ! C'est ça que je veux ! Viens me baiser. Non... Viens me violer, sale chatte en chaleur ! »
Torride était peut-être un mot assez faible quand on ressent la tension sexuelle entre ces deux-là, non ? La Chatte Noire ne faisait pas dans la dentelle en venant prendre ses petites fesses entre ses mains pour lui faire essayer un nouveau support pour leur petit jeu, l’armoire ! Ça, c'était du solide mais elle espérait qu'elle supporterait quand même leur nouveau jeu car rien ne dit que ce soi bien gentil tout ça. Tout était partie pour être bien sauvage. La belle Japonaise était accrochée au cou de Félicia, ses jambes entouré autour d'elle pour bien être maintenu dans cette position malgré tout. Elle se faisait peut-être plaisir à tenir ses fesses et à en profiter un peu mais sa partenaire n'allait pas seulement subir, elle voulait aussi agir. Elle n'avait pas beaucoup de choix dans cette position mais elle rompit le baiser pour aller plutôt lui lécher la joue, gémissant contre elle en espérant que les bleus sur ses fesses ne seront pas trop gênants ? Cela dit, ça changeras des griffures et des marques rouges, ce serait un peu moins douloureux peut-être ?
« HuuuuuummmMMMMMMM !!!! PUTAIN !!!! Putain de CHATTE !!!! Arrose mon minou avec ta foutre, allez, arroses-moi entièrement ! »
C'était plus dit dans le feu de l'action car une douche blanche... bah après si ça tente Félicia, Aoki ne va pas dire non non plus.
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Peut-être que, parfois, les spores de Pamela fonctionnaient trop bien... Tous les verrous avaient sauté, et Harley, à sa manière, exprimait toute la joie qu’elle avait de revoir son amie... Qui était maintenant un peu plus que ça. Elles avaient déjà fait l’amour ensemble auparavant, mais... Honnêtement, Ivy n’avait pas le souvenir que le sexe avec Harley soit aussi intense. Les deux femmes se faisaient l’amour avec une sauvagerie passionnelle qui, aux yeux de l’Empoisonneuse, ne faisait qu’exprimer toute la joie qu’elles ressentaient mutuellement à se retrouver. Harley la pénétrait rudement contre le mur, et Pamela, crispée contre elle, gémissait et couinait, hurlait et soupirait, les cuisses trempées, en sentant l’orgasme se rapprocher. Harley, cette femme forte, endurante, agile et musclée, était en train de rattraper des mois d’abstinence sexuelle entre elles, et elle se débrouillait plutôt bien.
Harley ne se contentait pas juste de la pénétrer, elle ne se bornait pas à envoyer les fesses vertes de Pamela rougir en tapant le meuble, la femme léchait ses tétons et griffait son corps, se faisant plaisir, savourant tout ce que le corps de la belle plante verte avait à lui offrir. C’est ainsi que cette séance se révélait ardente, douloureuse, et que Pamela finit par se retrouver sur le lit, en soupirant de plaisir.
Son corps heurta le lit, et Harley s’allongea sur elle, puis elles s’embrassèrent, les mains de Pamela en profitant pour s’enrouler autour de son dos, l’une de ses mains filant dans les longs cheveux de la femme pour s’y appuyer.
« Hmmmmmm... !! »
Ce fut un beau baiser, un baiser comme Harley les adorait, romantique et plein d’énergie. Pamela avait compris depuis de nombreuses années qu’Harley était sexuellement frustrée avec Le Joker. Certes, elle n’avait jamais posé à Harley trop de questions sur sa relation intime avec lui (parce que le simple fait de mentionner le Prince du Clown lui donnait des envies de meurtres), mais elle avait cru comprendre que le sexe n’intéressait pas trop le Joker. Mis à part torturer Batman, ou manipuler d’autres gens et les faire souffrir, rien, en fait, ne semblait vraiment passionner Le Joker. Harley se rattrapait donc avec Pamela, et il suffisait de voir la manière dont elle se crispait contre elle à chaque fois pour comprendre ô combien elle aimait le sexe. La seul différence, ici, c’était qu’Harley était beaucoup plus énergique, et bien plus entreprenante. Était-ce une manière symbolique qu’elle avait de dire qu’elle avait abandonné pour de bon le Joker, afin de se consacrer entièrement à elle ? Pamela en serait ravie... À Gotham, elle n’avait jamais vraiment pu clarifier leur relation, qui avait toujours oscillé entre la simple camaraderie et autre chose, mais, avec le recul, et l’air calme et apaisé de Seikusu, Poison Ivy voyait les choses différemment.
Le baiser se rompit donc, comme une sorte d’entracte, et Harley opta pour de nouvelles positions. Le sport n’avait jamais véritablement passionné Pamela en cours, c’est un fait... La biologie, voilà ce qui l’avait fasciné. Une matière dans laquelle elle avait toujours eu 20/20 de moyenne. Le sport, en revanche, était pour elle la matière des imbéciles et des frimeurs, de gens qui n’hésitaient pas à saccager les pelouses pour taper sur un stupide ballon. Mais, depuis lors, elle était devenue Poison Ivy, et, devant le sarcasme d’Harley, elle ne tarda pas à lui répondre :
« Je ne suis pas aussi souple que toi, mon petit clown... Mais tu vas voir que je suis loin d’être aussi rigide et tendu que ton bâton... »
Harley n’avait pas encore joui, contrairement à Pamela, qui avait eu un orgasme, et qui avait répandu sur le sol et sur le lit de Félicia sa mouille... Mais bon, elle l’aiderait plus tard à faire le ménage. Pour l’heure, elle sentit Harley relever ses jambes, et Pamela soupira, se pinçant les lèvres en comprenant ce que son adorable clown avait en tête... Et, à sa manière, elle entreprit de l’aider. Des tentacules jaillirent du plafond pour s’enrouler autour des chevilles de Pamela, permettant ainsi d’éviter que ses jambes ne viennent embêter Harley. Le corps d’Ivy était redressé, ses fesses bombant vers Harley, et le clown la baisa ainsi.
« Haaaa... Harley, haaaannn... Tu... Hummm... Je t’avais vraiment manqué, h-h-ein ?! »
Avec cette position, les coups de reins d’Harley étaient encore plus prononcés, et la mouille de Pamela formait comme une petite fontaine, éclaboussant son estomac, en répandant autour d’elle sa doucereuse et végétale odeur.
« O-Ouuuii... Fais... Fais-moi hurler, haaaannn... »
Pamela se tortillait, et elle sentait les tentacules se crisper autour de ses chevilles. Cependant, Poison Ivy était aussi joueuse, et, pendant qu’Harley remuait en elle, un tentacule se rapprochait de son dos, et caressa sa peau, glissant le long de ses courbes pour se rapprocher de ses fesses. Un tentacule en forme phallique, qui remua contre sa croupe, se tortillant dessus.
Ivy n’avait pas encore fini de jouer avec elle, et, lentement, ce tentacule entreprit de s’enfoncer en elle, de se glisser dans le beau petit cul d’Harley... Comme pour lui rendre la politesse.
Et, juste à côté, Félicia continuait à prendre Aoki, et on pouvait entendre les multiples sons que le corps d’Aoki faisait en heurtant l’armoire. Son beau corps remuait d’avant en arrière en heurtant l’armoire, et rebondissait ainsi. La Chatte Noire se faisait plaisir avec cette femme, l’embrassant furieusement, avant de la sentir lécher sa joue. La belle Américaine ronronnait furieusement, en continuant à se tortiller contre elle, enfonçant son membre le plus loin possible, avant de repartir en arrière, puis de revenir en avant, et ainsi de suite. Son corps se tortillait contre elle, et Félicia essayait surtout de conserver les jambes d’Aoki contre son cul. Cette dernière lui avait offert sa « prise koala », consistant à se serrer toute contre elle, et la Chatte Noire savait qu’elle devait avoir mal... Mais ce n’est pas comme si les deux femmes avaient l’habitude de faire l’amour doucement... Ou, plutôt, si elles avaient l’habitude de faire l’amour sensuellement et de manière calme et tendre, elles pouvaient aussi joyeusement et violemment s’envoyer en l’air... Très précisément comme en ce moment.
« A-Aoki, haaa... »
Elle demanda à ce qu’elle jouisse, qu’elle la recouvre de sperme... Mais ça, Félicia ne pouvait pas le faire, et cette dernière répondit en l’embrassant, et enfonça sa queue plus lourdement en elle, puis mordilla sa bouche, tirant sur sa lèvre inférieure, avant de jouir. Elle soupira, basculant sa tête vers l’arrière, et balança dans le corps d’Aoki des filaments de foutre.
« Hnnnnnnnnnnnnnn... Haaaaaaaaaaaaa... !! »
Félicia soupira longuement, puis cligna des yeux, le corps en chauffe. Elle embrassa à nouveau Aoki, et la décolla du mur, pour la balancer sur le grand lit. La tête d’Aoki arriva ainsi sur le torse de Poison Ivy, et Félicia sourit, en se dressant face au lit, ses mains caressant délicatement les jambes de la femme.
« Bien... Il est temps que je viole ton petit cul maintenant, ma chérie, non ? »
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Qu'y avait-il de mieux que de baiser Pamy chérie ? Oui, le crime, les raclés, c'est marrant mais ça vaut pas tout ça ! Ça, c’était fantastique ! Merveilleux ! Amusant ! Harley avec une verge, même artificiel, ce n'était pas courant mais bon dieux que c'était drôle de tenir Ivy en laisse ! Pas besoin de collier de chien et de laisse – quoi que ça lui irait sûrement comme un gant – mais seule sa queue bien tendue suffisait à la dresser! Elle accepterait sûrement n'importe quoi pourvu d'avoir cette grosse récompense en elle, hein !? Harley voulait que cette première soirée depuis Gotham soit mémorable ! Même si Ivy l'avait déjà rendu unique avec ses artifices, il était temps de voir plus grand ! Elle voulait que demain matin, Pamy soit heureuse mais que l'idée de recommencer ce genre de chose de sitôt ne soit pas pour tout de suite. Elle voulait qu'elle ait mal, dans le bon sens du terme, elle voulait voir sa Pam' chérie en petits morceaux, comme si elle avait fait cent fois le tour de la ville en courant à toute vitesse !
Maintenant ses jambes en les relevant pour que la belle rose puisse admirer ses petits pieds, Harley se faisait une joie de la baiser comme il se doit, venant s'enfoncer toujours plus fort, plus vite, plus profondément ! Voilà qui serait génialisime !
« Haaaa ! Quand j'aurais... vidé mes bourses... enti-èrement... sur toi... humph, là... je te répondrais Oui ! »
Sur elle ou en elle, elle n'allait pas chipoter pour si peu, ça ne faisait pas de grande différence aux yeux d'Harley, tant que se vide assez pour que son nouveau membre disparaisse... oui, c'est bien gentil ça mais comment elle va pouvoir acheter de nouveaux maillots de bain made in Japan si elle a un gros paquet entre les jambes ?! Les filles – et garçons – ici craquaient peut-être pour ça mais pas Harley ! S'amuser une soirée avec, oui mais elle risquait d'être à l'étroit dans son jean ensuite quand elle ira braquer une petite banque ou deux ! Harley se plaisait à baiser cette jolie Pam' alors que la petite rose venait lui préparer une surprise, outre le fait que les plantes l’aidait à la maintenir en place, voilà en plus qu'une de ces tentacules était assez fouineuses pour venir se glisser doucement entre ses fesses. Elle interrompit ses mouvements le temps de souffler un peu et parler plus normalement.
« Hou ?! Que vois-je... On veut me prendre par-derrière ?... On me la fait pas à moi Pamy... Pour la peine... je vais tellement de faire crier que tu vas avoir besoin de sirop pour la toux demain ! »
Et tant mieux car ce soir, elle avait un remède miracle pour les maux de gorge mais elle lui en parlerait un peu plus tard. Pour le moment, chose promise, chose due ! Alors que sa verge végétale venait de se trouver un nouveau terrier, Harley augmentait encore la vitesse de ses mouvements si bien que Pam' était presque en train de rebondir sur le lit sous les assauts endiablés de l'arlequin ! Elle n'y allait pas de main-morte, gémissant autant que Pamy en la baisant encore et encore, elle en bavait presque, à tel point qu'elle en oubliait de l'embrasser ! C'était peut-être pour ça les coups de tentacules dans le fion ? Enfin, avec ou sans baiser, elle aurait sûrement eu le droit, connaissant Pam'... Mais voilà, après tant d'assaut aussi sauvage, elle venait répandre en elle sa semence tant attendue ! Et ainsi, Harley se sentait libéré ! Elle relâchait sa pression, venant tomber mollement sur elle, venant reprendre son souffle.
« Là... tu m'as manqué... un peu, Pamy chérie... »
Reste encore beaucoup, passionnément et à la folie ! Pamela avait intérêt à avoir une plante pommade et une plante café sous la main demain matin car sinon, le réveil va être difficile !
Un peu avant, à côté, Aoki était le souffre-douleur de Félicia, se laissant manipuler comme bon lui semble du moment qu'elle prenait son pied, ça lui allait après tout. Entourant ses jambes autour de son corps, elle se laissait volontiers baiser, agrippant son cou pour venir l'embrasser autant que possible alors que son corps rebondissait sans cesse contre cette armoire. Espérons qu'elle soit solide car vu comment était partie son minou, c'était un coup à faire un stage demain dans un magasin suédois pour acheter une nouvelle armoire! Toujours dans sa tenue affriolante rose bonbon, elle était plaquée contre la tenue de cuir noir de la belle chatte qui savait se priver de rien avec Aoki. Elle était aussi perverse que possible avec elle, se laissant emporter dans n'importe quel jeu sexuel. Avait-elle dit non face au bondage ? Au SM ? À la sensualité ? À la sauvagerie de leurs instincts qui réclamait du sexe torride ? Non ! Félicia ne l'avait proposé mais même une douche dorée, elle serait prête à dire oui. Vrai salope ou véritable amour, elle ne refusait rien à ce beau chat noir qu'elle avait rencontré dans un parc un jour et qui était venue s'inviter dans son lit.
« Féli... Ha, Féli... HAAAAAAAA-HHHAANNNNNNN !!!! »
Aoki venait de jouir, ressentant le plaisir ultime de se faire prendre sans ménagement par sa petite amie. Dieu que c'était bon. Même balancée sur le lit, sans ménagement, sa tête venait heurter Paméla pour qui elle avait un petit sourire pour s'excuser alors qu'Harley reprenait son souffle aussi contre elle.
« Elle est moelleuse ma petite rose, hein ?! »
« Je préfère mon minou... question de goût. »
Voir une Félicia en érection qui demandait à violer son petit cul, comment refuser une telle demande ? Restant allongé sur le dos et face à Félicia, elle se dandinait légèrement en souriant.
« D'accord... mais met y toute ta force, Féli-nyan... et tout ton amour. »
« Oh c'est choupinoupinet ! Et toi Pamy ? Tu veux que je viole ton petit cul ? »
Encore ? L'une comme l'autre, comment refuser de telles demande quand on est amoureuse !
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La double séance de sexe se rejoignit sur le lit dans des soupirs et des gémissements. Félicia avait baisé joyeusement Aoki, avec une force redoutable, et il était donc normal que la belle blonde s’écroule sur le lit, sa tête à côté de celle de Pamela, tandis qu’Harley et Félicia restaient toutes les deux debout, reprenant également leur souffle, avec des membres érectiles bien dressés, trahissant le fait que leurs corps étaient loin d’en avoir eu assez. Pamela avait généreusement joui, et souriait en voyant le membre bien dressé d’Harley. Visiblement, son beau petit clown était ravi de sa situation ici, et, en conséquence, Poison Ivy était également ravie, comblée.
*Je ne peux que l’admettre, Harley fait maintenant partie de mon existence, pour le meilleur et pour le pire…*
Harley eut rapidement une nouvelle idée, et Pamela sourit à l’idée d’une nouvelle sodomie… Et elle eut également une idée. Comme elle l’avait dit (ou pensé) au début de leurs ébats, à Gotham, avant que les choses ne déraillent, et à une époque où Batman était absent, elles avaient formé, avec Catwoman, un redoutable trio : les Gotham City Sirens. Les Sirènes s’étaient battues pour elles, et contre des individus malveillants. Un trio sacré qui n’avait pas tenu, en partie à cause d’Harley Quinn et de son obsession pour Le Joker, mais aussi parce que, de base, le but de ce trio était juste de servir de relais à la Bat-famille. Catwoman n’avait pas été sincère sur ses intentions, et le trio s’était séparé… Harley Quinn avait trahi Poison Ivy pour Le Joker, balançant cette dernière dans des grottes sous l’asile d’Arkham. Ivy en avait énormément voulu à Harley, mais, comme toujours, il était impossible de rester trop longtemps fâché contre elle. Maintenant… Et bien, maintenant, elle se disait que la Chatte Noire pourrait faire un substitut tout à fait appréciable pour leur futur trio.
Aoki n’avait qu’une envie : se faire sodomiser. Félicia le voyait, et le comprenait. De base très perverse, les aphrodisiaques de Pamela avaient toujours désinhibé Aoki Kou… Et ce pour le plus grand plaisir de sa chérie, qui se pencha vers elle, caressant ses fesses. Elle comptait la sodomiser quand un tentacule vint la retenir, en se pressant contre son sexe.
« Haaaaa…
- Du calme, mes chéries. Tempérez vos hormones, car je pense que nous avons assez fait souffrir cette chambre… De plus… Nous avons besoin d’un plus grand espace pour ça. »
Le sourire mielleux que Pamela fit était très clair : elle avait une idée derrière la tête.
« Les femmes à bite derrière, les femmes à trous… Devant. »
N’étant pas atteinte par les spores, elle était celle qui avait le plus conservé son calme… Pour ainsi dire. Harley, si elle était aussi immunisée aux spores de Poison Ivy, avait un sexe tendu, ce qui était une première pour elle. Ivy se redressa donc, et joignit sa main dans celle d’Aoki, puis sortit avec elle, elle et sa belle tenue rose. Par conséquent, Félicia se retrouvait à côté d’Harley Quinn, ce qui était l’objectif visé par Pamela. Les deux femmes se regardèrent donc. L’animosité initiale de Félicia revint… Mais elle finit par hausser les épaules de dédain. Après tout, elle n’était pas Peter Parker, et elle se pencha vers Harley. Leurs sexes se frottèrent, et elle l’embrassa tendrement, sa main sur son menton, sa langue venant assez rapidement jouer avec celle de la femme.
Ivy et Aoki ne tardèrent pas à faire de même, Ivy enroulant ses bras autour du corps de son amante blonde, une main solidement posée sur son beau petit cul.
« Félicia a toujours eu bon goût en matière d’amantes, Aoki… Viens me voir chez moi, et je promets de t’encercler longuement dans mes tentacules… »
Tout un programme ! Elle lui sourit, puis le quatuor reprit, jusqu’à rejoindre un gymnase intérieur. Il y avait des tapis sur le sol, et Pamela, main dans la main avec celle d’Aoki, se mit à quatre pattes sur le sol, et invita Aoki à se mettre devant elle, tout en tournant la tête vers les deux hermaphrodites.
« Je vous laisse décider qui prend le cul de qui… »
Félicia avait son membre bien dur en voyant ce spectacle. Le sexe pouvait rapprocher les êtres, et, si le but de cette orgie à quatre avait été de rapprocher la Chatte Noire d’Harley Quinn, on pouvait dire que Poison Ivy avait bien réussi son coup. Félicia se retourna donc vers Harley, et lui donna une petite tape sur les fesses.
« Je te laisse choisir si tu veux baiser ta belle plante, ou ma belle Aoki… Mais, si tu choisis ma poupée rose, sache qu’il ne faudra pas y aller de main morte… »
Les joies du cul.
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Ha, c'est vrai que ce petit moment avait été fort agréable ! Harley ne se doutait pas que c'était plus ou moins cela que vivait Ivy en partie lors de leurs ébats. Elle ressent plus ou moins les choses que les plantes alors quand des dizaines de tentacules l'enroulent, ce n'était pas plus ou moins ça ? Bon, après Harley n'était pas la plus douée en biologie, même studieuse, son domaine était la psychologie, pas les plantes. Les deux femmes normales étaient en train de se reposer sur le lit, prête à subir leur prochain assaut qui sera très certainement tout aussi brutale que celui là mais bon, ce n'est pas comme si cela allait gêner Pamy ou Aoki, hein ? Harley était déjà prête pour la suite, elle avait encore de l'énergie à revendre avant de faire dodo contre sa petite rose ou peut-être avec une des deux autres ? Qui sait ce que la soirée leur réserve encore ?
Si Félicia était tout aussi prête, Pamy empêchait la suite de bien se dérouler, voulant faire en sorte que cela se passe ailleurs que dans cette chambre. Félicia avait une serre ? Ivy connaissait un meilleur endroit ? L'odeur ne la gênait et au pire elles ouvrent les fenêtres comme ça s'il fait froid, elle connaît un moyen de se réchauffer ! En tout cas, elle savait ce qu'elle faisait en emmenant Aoki ailleurs en laissant Harley avec une Félicia qui profita aussi de ce moment pour la goûter un peu, venant l'embrasser doucement en faisant frotter sa queue contre la sienne. Mine de rien, c'était assez excitant ce genre de contact !
« Hou, le vilain minou veut des petits câlins alors ? »
Pourquoi vilain ? Parce que. Tout simplement. Félicia était une sorte de Catwoman blonde en un peu plus pulpeuse mais ça restait relativement la même personne ? Quoique mention pour elle qui ne portait pas de petit chapeau sur la tête. Enfin une sorte de cagoule... Quoique parfois Selina non plus ? Rho, c'était qu'un détail. Du côté des filles-filles, Pamy semblait aussi apprécier la compagnie de la petite amie de la seconde Catwoman, voulant même l'avoir dans un petit bain de tentacule. Drôle d'idée mais pas inintéressante. Sauf que même perverse, Aoki avait certaines limites, même si ses limites étaient bien minces à franchir, suffisait de la pousser un peu pour la lancer !
« Des tentacules ? Je sais pas trop... »
Un ou deux comme ce soir, moui, mais beaucoup ? Si Félicia venait participer ou la pousser un peu, sa peur ne serait plus si grande. Il faut dire qu'elle trouvait tout ce qu'elle avait besoin auprès de Félicia, les autres femmes étaient parfois avec un petit plus que Félicia n'avait pas mais ça ne suffisait pas – ou rarement – à lui faire essayer autre chose sans Félicia. En général, quand elles couchent avec d'autres personnes, c'est ensemble, ce soir en était bien la preuve après tout. Mais bien vite, Pamela menait la danse en les faisaient changer d'endroit pour... une salle de gym ? Sérieusement ? Elle s'attendait à une seconde chambre, voir le salon mais pas ça ! Elles vont faire quoi ici ? De la gym sexuelle ? Tenir empalé sur une de leurs poutres ? S'y accrocher fermement ? Aoki et Pamy prenaient place à quatre pattes, montrant fièrement leur petit trou à défoncer ! Félicia venait même lui conseiller d'y aller très fort si jamais elle choisissait Aoki ? Se rapprochant en laissant son membre s'impatienter, elle se pencha sur elles, les observant un à un ?
« Hum... le joli petit cul tendre de Pamy ? Ou le petit cul inconnu d'Aoki ? Hum... Pamy, Aoki ? Aoki, Pamy ? Hum... »
L'hésitation semblait l'habiter, en réalité non ! Elle recula en se frottant le menton, comme si reculer allait l'aider puis une fois prête, elle se lançait à l'action !
« Ça y est, je sais quel cul je vais prendre ! »
Se plaçant derrière Félicia, elle s'y accrocha, venant placer ses bras autour de son ventre pour bien la maintenir, tentant de placer sa queue comme il faut entre ses deux belles fesses bien musclées !
« C'est ton petit cul que je vais choisir ! Pourquoi je peux choisir que ces deux-là alors que le tien est aussi pas mal du tout ? Hein la vilaine chatte ?! »
Trouvant enfin la bonne position, elle serrait fort Félicia car elle ne disait pas ça pour blaguer, Harley avait peut-être de la force, pas assez sûrement pour vaincre Félicia à un bras de fer mais elle allait s'y accrocher, pour sûr ! Elle enfonça sa queue doucement en grognant et gémissement à la fois, étant finalement pratiquement rentré entièrement.
« La vache ! T'es vachement étroite !... Bordel !!! Nnnnnhhhhhyyaaa ! »
Bien au chaud dans son entre, elle avait à peine relâché son étreinte pour la laisser respirer mais elle s'y tenait toujours alors qu'elle commençait à bouger doucement d'avant en arrière. Voilà une belle façon de remercier la maîtresse de maison qui en plus, à sûrement sauver les chiens. Enfin, elle ne pensait plus à ses braves bêtes pour le moment.
« Huuuum ! Oooh, regarder les filles ! Sa queue gigote beaucoup non ? On dirait... han, un portable qui vibre ! Hahaaha ! Allez Pamy, Aoki... venez lécher la g-grande saucisse de Féli ! On va voir si, hum, on peut la faire bouger encore plus ?! Quoique maman minou à... peut-être... hum, oh du bon lait ? Peut-être qu'il faut, la téter ? Houuu... ton cul chéri... il était putain d'étroit bordel ! Mais c'est bon, fait chier ! »
Oui Harley pouvait être vulgaire mais comme elle pouvait passer de blanc à noir, ce n'est pas si étonnant après tout. Harley commençait à s'y sentir bien, bougeant doucement son bassin d'avant en arrière alors qu'Aoki avait été la première à retirer ses petites fesses pour s'approcher à quatre pattes. Reste à savoir si elle voulait la saucisse ou bien voir si du lait allait sortir de ses tétons ? En réalité non mais essayer était tentant, non ?
« Haha... c'est fou ce que tu es sexy comme ça Féli-nyan... »
Félicia maîtrisée sexuellement ? C'est rare ! Même lors de leurs petits jeux, Aoki savait qu'en deux temps, trois mouvements, elle s'en sortirait mais là, elle était bien accrochée quand même et... oui, c'était amusant et sexy à voir. Voyant la queue tressauter sous son nez, le plaisir et les mouvements aidant, elle venait passer sa langue sous sa queue, léchant doucement depuis la base en remontant vers le gland, offrant de petits coups de langue une fois arrivé au bout.
« On fait quoi Pamela-chan... on joue avec sa queue ou bien... »
Ses jolis tétons ? L'idée d’assister sa jouissance pourrait aussi être marrante ? Partie comme ça, elle allait les arroser partout à gigoter ainsi.
« Il y a assez de place pour deux dessus après tout... »
Remarque, ça valait pour les deux choix cette remarque.
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La constante Harley se vérifia encore une fois quand, au lieu de simplement choisir quel cul butiner entre Aoki et Pamela, elle opta pour... Félicia. Le choix surprit Ivy, mais dans le sens positif du terme. Même dans une chose aussi simple que le sexe, Harley arrivait encore à la surprendre. En un sens, on pouvait la féliciter pour ça. Elle se retourna donc vers Félicia, qui sursauta sous la surprise, avant de sentir le sexe de la femme taper contre ses fesses. Un spectacle de super-femmes transformées en Futa par les bons soins de Poison Ivy, ce n’était pas un spectacle qu’on voyait tous les jours. Félicia tourna la tête vers le clown... Mais ne se libéra pas. Si on lui avait dit, il y a environ une minute, qu’elle aurait laissé une criminelle comme Harley Quinn la sodomiser, Félicia ne l’aurait jamais cru... Sa main vint caresser l’une des joues de la femme, et elle déposa un baiser sur le coin de son front, avant de laisser un léger sourire sur ses lèvres :
« Ne te trompe pas de trou... »
Fort heureusement, le bon trou fut choisi, et, dans le dos de Félicia, Harley se mit à la besogner, ses mains venant se déplacer pour se crisper sur ses hanches. Félicia se mit à soupirer, jambes bien écartées, en sentant ce membre glisser dans son cul. Dans l’état d’excitation où elle se trouvait, avec les spores de Pamela recouvrant toute la zone, il n’était nul besoin de préparations supplémentaires. Harley glissa rapidement en elle, venant rapidement commenter la petite taille de ses fesses, tandis qu’on pouvait entendre la Chatte Noire gémir et ronronner, ses mains venant caresser ses hanches.
Pamela admirait ce spectacle avec plaisir, voyant le membre masculin de Félicia se redresser, filant de haut en bas, sous les secousses d’Harley. Un spectacle qui avait quelque chose de ridicule, mais qui, en l’espèce, s’avérait être étrangement fascinant... Tout comme les soupirs et les gémissements langoureux de Félicia.
« Haaaannnn... Ouuuiii... Il est étroit pour que... Hummm... Pour que tu me défonces bien comme il faut... »
Conquise, cette dernière continuait à se faire butiner par la femme, tandis qu’Aoki se rapprocha, et hésita entre le sexe de Félicia et ses seins. En souriant, Pamela se rapprocha, elle aussi à quatre pattes, et se mit à côté d’Aoki, leurs visages étant séparés par le mât dressé et érectile de la femme.
« Hum... Je crois qu’on peut aussi trouver de la place pour nous deux sur son morceau... »
Les mains de Félicia vinrent alors caresser leurs cheveux, se crispant dessus, comme pour les rapprocher de son sexe. Le message était clair : Félicia voulait qu’on s’occupe de cette partie-là de son anatomie. Ce n’était, fort heureusement, nullement pour déranger Félicia, qui entreprit ainsi de lécher ce sexe, sur le côté, invitant ainsi la bouche d’Aoki à venir la rejoindre, afin de lécher l’autre partie. Leurs langues vinrent dès lors se caresser entre elles, et la bouche de la Chatte Noire rejoignit ses testicules, qu’elle embrassa et lécha également.
Pour l’heure, elle se bornait à de simples léchouilles, comme une sorte de prélude avant des plaisirs plus profonds, tout en sentant avec plaisir les bourrades d’Harley, qui amenaient le corps de Félicia à se déplacer d’avant en arrière...
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Harley savait être parfois assez brute de décoffrage mais on ne côtoie pas le Joker en étant doux comme un agneau. On pouvait en avoir l'apparence à la limite mais dans la caboche, c'est alors un véritable foutoir ! Mais pour cette fois, l'Arlequin n'était pas fou dans le mauvais sens mais dans le bon, si elle arrivait à surprendre sa Pamy adorée, c'est qu'elle fait les choses bien. Elle la ceinturait bien, elle ne comptait pas laisser ce gros minou lui filer entre les pattes si facilement ! Si Catwoman avait eu du mal, il en serait de même pour cette autre chatte noire. Elle était bien ancrée maintenant entre ses petites fesses, elle ne comptait donc pas s'en déloger si facilement, même si c'est très étroit et d'ailleurs pas désagréable, Harley allait se plaire dans cet appart !
« Houuuu mais notre... petite chatte est... en chaleur ?! Huummm Pas étonnant ta copine... soit si excitée ! »
Vu le corps en feu du gros matou, c'était facilement transmissible ce genre de choses, surtout quand on parle de sexe. Même si Félicia la caressait un peu du bout des doigts, l’Arlequin continuait de ne pas y aller de mainmorte en s'occupant de son petit derrière bien serrer, spécialement fait pour que ce soit mieux à l'entendre. Elle n'allait donc pas décevoir la maîtresse de maison et continua alors ses vas et viens dans ce petit trou serrer qu'elle tentait de rendre plus confortable. De l'autre côté, les deux femmes se rapprochaient de la belle chatte qui se faisait défoncer, sa queue s'amusant d'aller de bas en haut à toute vitesse, si elles auraient été des petites chattes, elles auraient été tentée de jouer avec surement. Aoki et Pamela étaient toutes proches, s'observant au-dessus du bâton de chair avant de passer leur langue dessus, parfois en oubliant un peu la queue de la chatte pour profiter plus d'un baiser que d'une séance de léchouilles.
À genoux, elle caressait la cuisse de sa petite amie en cherchant du bout de la langue les quelques veines à suivre en usant la pointe de sa langue. La queue de Félicia était vraiment délicieuse, elle ne s'en lassait pas, pas aussi facilement en tout cas. La main de libre d'Aoki venait caresser le bas du dos de Pamela, l'invitant doucement à se mettre côte à côte pour faire face à cette belle queue que la Japonaise tenait dans sa main. Elle était un peu plus immobile même si les coups de reins d'Harley rendaient quand même la chose dangereuse...
« Vas-y doucement, Harley, ça devient dangereux pour nous. »
« Peux pas... rhaaaa ! J'lui refais... l'intérieur !!! »
En voilà une qui était vraiment motivée donc...
« Partageons là entre nous, on va voir dans quelle bouche elle va jouir comme ça. »
Aoki espérait qu'elle serait la gagnante et qu'elle récoltera la crème de sa copine mais elle n'était pas mauvaise perdante. Au pire, elle viendra la récolter dans la bouche de Pamela... Bah quoi, ce n'est pas tous les jours que Félicia a une queue. Elle se glissa doucement dans le dos de Pamela, caressant son corps, sa tête par-dessus son épaule pour regarder ça de plus près.
« On tourne sur... allez, quinze secondes. Profite bien de sa délicieuse queue et après ce sera mon tour... »
Ses mains passaient autant sur son ventre que sa poitrine ou encore entre ses jambes. Cette soirée devenait de mieux en mieux ! Une fois n'est pas coutume, on voyait bien à quel point Aoki était coquine... elle ne manquait pas d'idée pour le moment. Et ce n'était qu'un début.
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Les quatre femmes continuaient à s’amuser ensemble, bien loin de leur combat éternel entre le Bien et le Mal. Elles n’étaient plus des super-femmes ici, dotées de capacités surnaturelles, mais de simples amantes se faisant joyeusement l’amour dans une orgie magnifique. Un spectacle très agréable à faire, et Pamela se régalait de ce moment... Tout comme Félicia, même si cette pénétration anale s’avérait être assez douloureuse. D’un autre côté, c’est aussi ce qui faisait le sel de toute relation sexuelle : la souffrance. Une souffrance qu’elle avait largement eu le temps d’expérimenter avec Aoki par bien des occasions. Ensemble, elles faisaient régulièrement l’amour de manière assez passionnelle, ou en variant les types : la baise à la sauvage contre le mur, sur le lit, ou les jeux sexuels. Aoki donnait à Félicia l’occasion d’expérimenter quantité de plaisirs, et de renouer pour de bon avec le sexe, en mettant fin à ses vieux démons, et Félicia, elle, avec sa résistance et son envie, permettait à Aoki de canaliser sa grande soif sexuelle. La Chatte Noire savait très bien quel genre de personne Aoki était, du genre à coucher avec ses élèves dans son école de management. C’était toutefois une chose dont elle ne se formalisait pas.
Aoki demanda néanmoins à Harley de se calmer, une requête qui fit doucement sourire Pamela. Autant demander à l’ouragan de ne pas souffler, car Harley était une femme qui, par définition, n’écoutait personne. Elle était un redoutable électron libre, ce qui avait le don d’agacer fréquemment Le Joker, mais aussi parfois Ivy, notamment quand elle avait besoin de calme. Et là, elle était tout simplement trop excitée pour satisfaire à la requête d’Aoki, ce qu’elle indiqua clairement. Félicia, quant à elle, gémissait longuement, envoyant l’une de ses mains se saisir des cheveux de la femme, se crispant dessus, tout en laissant son corps ronronner de plaisir.
« Haaaaa... Haaaaaannnn... !! »
De grands cris s’échappaient de ses lèvres, tandis que son sexe, durci, faisait saliver Aoki... Cette dernière avait terminé ses léchouilles, en proposant alors de tourner, et de venir ainsi, à tour de rôle, sucer la queue de Félicia. Pamela hocha lentement la tête en souriant, toujours très excitée. Qui aurait cru que le retour d’Harley aurait pu donner lieu à une telle orgie ?
« Très bien, ma jolie... »
Ivy se rapprocha donc de cette belle queue, mais, alors qu’elle venait la prendre, elle sentit Aoki s’exciter dans son dos, venant palper amoureusement son corps, faisant soupirer Pamela. Cette Japonaise avait vraiment un appétit sexuel d’ogre, mais ce n’était pas comme si ça la dérangeait. Cependant, plus on palpait ses parties intimes, et plus Ivy libérait de spores aphrodisiaques, se répandant ainsi dans toute la pièce, excitant encore plus ses amantes.
Elle suçait donc cette queue, mais les quinze secondes passèrent vite, et, surtout, elle ne voulait pas faire jouir Félicia. Elle comprenait tout à fait la relation unissant la Chatte Noire à cette belle Aoki.
Il était naturel que la femme jouisse dans la bouche de son amante. Pamela invita donc Aoki à venir la remplacer en l’embrassant tendrement et sensuellement, comme pour partager le goût de cette queue avec elle.
« Hum... À toi, ma jolie... Fais-moi jouir ce beau chaton...
- A... Aoki, ma... Ma puce... V-Viens... » gémissait, pendant ce temps, Félicia.
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Ivy le disait si bien, Harley était un électron libre, un électron qui produisait aussi des résultats inattendus ! À peine arrivée, elle avait retrouvé son amie déguisée en lycéenne sortie d'un film porno puis elles ont à peine batifolé dans l'arrière-classe. Puis elles ont baiser chez Pamy, puis dans un fast-food avant de voler une voiture à des yakuzas puis punir des gens qui faisaient des combats de chiens juste avant d’atterrir ici. Et quelle surprise ! Si Harley aurait pu se faire du mouron toute la soirée pour les deux chiens, le fait de traîner avec Aoki avait réveillé une folle envie en elle, qui avec l'aide de Pamy venait de transformer ce grand appart en un baisodrome géant ! Vu la taille, elle pourrait dire que ça manque d'invitée mais quatre, c'était déjà pas mal, surtout quand il y avait trois femmes pour une... hein Félicia ?!
Harley avait une verge – première nouvelle – mais en plus, elle avait choisi le cul le moins accessible, déjà car il venait d'une autre futa mais en plus, du trio, ça devait être elle la plus forte ? Ensuite Ivy et Aoki ? À moins que la petite Jap' ait des notions de judo, karaté ou autres ? Qui sait après tout ? Mais bon, même a l'étroit en elle, elle continua de maintenir ses hanches en donnant de grands coups de reins dedans. C'était dur, serrer mais tellement bon et cela devait faire autant mal à l'une qu'à l'autre mais pas grave, c'était le genre de douleur dont on ne se priva ait pas facilement. Quelle soirée quand même ! Elle comptait bien fêter son retour avec Ivy mais elle n'imaginait pas cela de cette façon à vrai dire. Mais bon, ça restait une bonne soirée quand même après tout. Si elle n'aurait pas eu peur que la grande chatte quitte sa queue, elle lui aurait bien donné quelques claques sur ses fesses si tendres et fermes mais non, elle préférait que ses bras jouent le rôle de ceinture de sécurité alors que son bassin s'éloignait pour mieux rentrer dans son petit cul. Avec une paire de fesses pareil, ça faisait quand même airbag donc ce n'est pas mal.
Faut faire attention en face, elle pouvait crever un œil à bander autant en s'avançant d'un coup sec ! Aoki resta dans le dos de Pamela, caressa son corps doux qui sentait bon la nature, même si elle ignorait qu'elle jetait de l'huile sur le feu en activant plus de phéromone dans la pièce mais vu la situation... est-ce mal ? Pas vraiment. La jolie rouquine profita un peu de cette délicieuse et belle grosse queue qui faisait tant mouiller Aoki mais voilà, les quinze secondes étaient passés, vite pour Pamela, trop lentement pour Aoki mais voilà que c'était son tour ! La rouquine l'embrassait tendrement, pour profiter, partager ou même retarder sa mise ne bouche, qui sait ? Felicia l'invitait déjà, voulant sentir sa bouche autour sa queue, la jeune femme allait savourer ces quinze petites secondes !
« Fais-toi plaisir, Féli-nyan... »
Harley était consciente ou non de ce geste d'amour ? En tout cas pendant quelques secondes, elle se reposait en elle, laissant Aoki englober ce gland si chaud et si dur. Mais un regard par-dessus l'épaule de la femme chat et elle reprenait sa petite danse en mordant doucement l'épaule de Félicia. Aoki n'avait même pas besoin de bouger, laissant les mains de la rouquine sur son corps, les mouvements entre les deux futas faisait tout le boulot à sa place, elle savourait le goût de cette chose dans sa bouche, si délicieuse, si parfaite, Aoki aura bien du mal à s'en passer par la suite. Même si la queue venait parfois se loger une seconde au fond de sa gorge ou qu'elle se cognait contre sa petite amie, cela restait parfait. Puis entre elles... elle se sentait capable de faire une gorge profonde à sa petite amie mais Harley ne leur en laissait pas le temps, continuant à se sentir si puissante, si forte en la sodomisant à fond !
« Huuuuuum ! Huuuuuuum ! »
« Elle aime ça hein ta petite amie... Pourquoi tu lui as... oh putaiiiiin ! Pas donner de bite plus s-souvent ? Regarde-moi ça Pamy-chérie !!!! Elle est aux anges ! Hahahaa ! J'suis sûr que, humm, à deux dans le même trou et... elle t'aimera à vie ! »
C'était peut-être déjà le cas mais elle voyait mal Aoki refuser ça, loin du cliché sur l’Asie, Aoki avait l'air d'une grosse cochonne ! Félicia et Harley dans son anus et Pamy qui se fait brouter sa rose, ça avait l'air bien comme plan après tout, non ? Ou après trou... ? Non ? Mauvais jeux de mots ?
« Allez saloperie de chatte en chaleur !!! Balance la sauce, les quinze secondes arrivent sinon c'est Pamy qui va se régaler !!! Rhhhhaaaaaaahaaaaa naaaaaaannn moi aussiiiiiiiii !!! »
Double éjaculation, ça avait l'air d'être le cas, double dose de plaisir alors !
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Avec Ivy, le sexe était quelque chose de réellement épuisant, quelque chose qui vous poussait jusqu’à vos ultimes retranchements. En effet, ses phéromones agissaient continuellement, et ne finissaient d’agir sur une personne que quand elle avait tellement donné qu’elle était proche du coma, manquant tellement de forces qu’elle n’arrivait même plus à ouvrir les yeux. Il y avait quelque chose de vampirique dans cette démarche, et, quand Pamela sentait les douces mains d’Aoki caresser son dos, les vibrations de plaisir qu’elle ressentait diffusaient davantage de ses spores dans l’air… Et, malheureusement, Poison Ivy était tombée sur trois amantes très endurantes. Harleen avait tellement couché avec Ivy qu’elle en était devenue très résistante, sexuellement parlant. Il en allait de même pour Félicia Hardy, qui disposait de capacités surhumaines, et, quant à Aoki, la Japonaise blonde était, elle aussi, une grande perverse. Pamela n’aurait jamais cru ça venant de cette femme, qu’elle ne connaissait jusqu’à maintenant pas beaucoup. Félicia en avait parfois parlé, elles s’étaient quelque fois brièvement croisées, mais… Elles n’avaient jamais été jusqu’à s’envoyer en l’air. De fait, ce qui se passait ici, en ce moment, n’était possible que parce qu’il y avait un zeste de folie qui les unissait toutes les quatre.
Maintenant, les quatre formaient une solide union, et il y avait fort à parier que ce moment ne serait guère le dernier. Aoki était bien trop gourmande pour juste se contenter de Félicia, et Pamela comptait bien renforcer ses liens avec elles par la suite… Mais, en attendant, elle était occupée à sucer la queue de la Chatte Noire, ce qu’elle faisait avec un entrain certain, pompant son sexe. Les quinze secondes passèrent néanmoins bien vite, et Félicia, effectivement, se retint de jouir, même si elle pouvait le faire… Elle aussi, elle n’avait pas tant que ça l’habitude des spores d’Ivy, et, en ce moment, elle était comme dans un état second. Elle sentait Harley s’enfoncer dans son cul, se tortillant contre elle, et tout son corps vibrait sur place. Elle aurait donc pu jouir sans problème, mais elle estimait que ce plaisir, pour l’heure, n’appartenait qu’à Aoki.
C’est pour cette raison qu’Ivy s’écarta, et sourit en voyant Harley ralentir le rythme. Quand elle avait sucé Félicia, elle avait senti cette queue taper contre elle, dans sa bouche, raclant ses dents, sa langue, la paroi interne de sa bouche… Intense et violent, mais loin d’être désagréable. Sa main alla caresser les cheveux d’Aoki, et elle se glissa ensuite à son tour dans son dos, posant ses mains sur ses épaules dans un premier temps, avant de les déplacer pour empoigner les seins de la femme, pinçant ses tétons.
« À mon tour de jouer avec toi, ma chérie… » sussurra-t-elle dans le creux de l’une de ses oreilles.
Elle malaxa ses seins, tandis que, pendant ce temps, Félicia ronronnait, gémissant en sentant la bouche d’Harley venir la mordre.
« Hummmm… »
Harley aussi était sensible à l’amour, et, tandis que Félicia posait ses mains sur les cheveux d’Aoki, les tirant, les mains d’Harley se crispèrent, et elle recommença ses coups de reins, maltraitant le cul de Félicia. Elle s’enfonçait effectivement dans un cul solide, bien charpenté, mais ça n’enlevait rien au plaisir réciproque que les deux femmes sentaient. Ivy pouvait sentir les coups de reins, mais la tête d’Aoki était incapable de se retirer, tandis qu’elle-même léchait et embrassait sa nuque ou ses épaules. Cette femme avait véritablement un corps magnifique, bien sculpté, et extrêmement bien proportionné.
Et, finalement, ce que tout le monde attendait vint… Les quinze secondes étaient écoulées, mais Pamela ne vint pas réclamer son tour. Harley eut un orgasme, tout comme Félicia, et, pendant de nombreuses secondes, on put entendre la chair claquer, les soupirs précipités, les têtes partant en arrière, les visages se figeant dans une grimace de plaisir, et le sperme, lui, qui fusait abondamment.
« Haaaaaa… !! »
Ça, pour jouir, Félicia était en train de jouir ! Elle balançait dans la bouche d’Aoki des filaments de foutre, que ce soit en tapant contre sa gorge, ou juste contre ses dents et sa langue. Le sperme affluait abondamment, et, après de longues secondes, Félicia et Harley commencèrent à se calmer… Ivy retira elle-même la bouche d’Aoki, et posa sa main sur son menton, redressant sa tête. Pendant ce temps, pendant toute la période où Félicia avait éjaculé en elle, elle-même avait glissé sa main entre les cuisses d’Aoki, venant la masturber tendrement, et, tandis qu’Aoki était là, avec la bouche encore pleine de foutre, Pamela approcha son autre main, ses doigts imbibés de sa mouille.
« Ouvre les lèvres, ma puce… Goûte au mélange entre ta mouille et le sperme de ta chérie… »
Avec la tête relevée, le sperme ne filerait pas, et Pamela glissa donc ses doigts, invitant Aoki à venir les sucer, son autre main en profitant pour faire ce que cette première main avait fait : la masturber.
Félicia et Harley, quant à elles, avaient toujours leurs verges tendues, et la Chatte Noire se retourna vers Harley, la regardant… En souriant. L’hostilité initiale semblait s’être envolée, et elle alla même l’embrasser, glissant ses mains contre ses hanches, puis l’enlaçant, leurs membres se frottant ensemble tandis qu’elles partageaient ensemble un tendre baiser.
Pamela finit par se relever, et les caressa rapidement, venant ensuite gifler leurs culs.
« Très bien, les filles… Mais… Je crois que nous devrions encore honorer un peu Aoki. Ton idée me plaît, Harley, j’aurais juste… Une petite modification à y apporter. »
Ivy se concentra un peu et, quand elle se retourna, Aoki put voir qu’elle avait fait pousser une verge.
« Trois Futas juste pour toi… »
Quelle veinarde ! Pamela alla s’asseoir devant Aoki, et reprit rapidement :
« Je vais te laisser décider quel traitement tu souhaites, Aoki… Quelle queue tu veux sucer, et comment tu veux te faire prendre derrière… Deux dans ton petit cul de salope, ou une dans ta fleur, et une autre sur ta porte arrière… À toi de décider. »
Avoir Harley Quinn, Poison Ivy, et la Chatte Noire comme amantes en même temps… L’image arracha un sourire amusé sur les lèvres de Poison Ivy, qui enchaîna :
« Tu as de la chance, tu es la première amante officielle des Sirènes de Seikusu ! »
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Était-ce un rêve ? Aoki avait bien le droit de se le demander avec tout ce qui arrivait. Autant elle avait déjà croisé Pamela quelques fois même si ce n'était que de vue, donc la voir surgir avec une femme qui semblait être du mauvais côté, ce n'était pas rassurant. Mais bon, elle n'était pas là pour un mauvais coup mais pour sauver des chiens, le geste était noble. Autant jusque-là, ça va, de même que ce début de soirée à trois et sans Félicia mais après... ses queues, voir Félicia avec une queue était un vrai fantasme, rien à voir avec un gode ceinture ou autres, là, s'en était une vrai avec une vrai crème prête à jaillir en elle à force de la rendre heureuse. C'est ici qu'elle se demandait si c'était réel ? Après tout, elle sortait avec une femme qui était une super héroïne qui avait des copines comme elle, elle avait vu tant de choses en peu de temps mais par contre une futa, elle a du mal à y croire ? Ne cherchons pas, les spores d'Ivy ne lui laissaient pas les idées très lucides.
Pour Harley par contre, nique la logique et nique Félicia surtout ! Avec un aussi beau cul aussi étroit, c'était difficile de résister. Surtout quand madame se donne des grands airs, ça lui donnait encore plus envie de la fourrer. Heureusement, c'est ce qu'elle faisait et sans se priver ! Elle avait juste un peu ralenti le temps de faire le changement de partenaire puis c'est reparti ! Enculer un aussi beau fion, ça lui donnait envie de voir si c'était pareil dans le petit anus bio de sa pamy chérie ? Peut-être ? Elle l'avait déjà prise y a quelques minutes dans la chambre mais c'est à croire qu'Harley doit manger plus de poissons car sa mémoire lui fait vraiment défaut. Ou bien c'est une excuse bidon pour en remettre une couche ? Allez savoir. EN tout cas, elle continuait de ceinturer la belle femme chatte pour mieux pourfendre son petit trou arrière. Dieu que c'était bon !!!
De même pour Aoki qui restait l'esclave de ses vas et viens, savourant ce cadeau tombé du ciel, un pur fantasme devenant réalité. Sauf que dans ses fantasmes, elles n'étaient que deux et non quatre mais le principal était là après tout. Elle se faisait agresser la bouche, offrant parfois quelques gorges profondes pendant que l'ange rousse lui passait ses mains sur son corps, caressant tant sa poitrine que sa main se logeait entre ses jambes, caressant son intimité, même sans ses caresses, elle mouillait déjà bien assez comme ça. Mais bon, elle ne va pas s'en priver. Et quand Félicia vint enfin jouir dans sa bouche, on aurait pu croire Aoki au paradis, elle ne bougeait plus, savourant la crème dans sa bouche qui coulait doucement dans sa gorge, Pamela venant même ajouter une touche d'Aoki à ce goût déjà si délicieux... Plus aucun doute, elle pouvait le dire haut et fort, elle aimait TOUT chez Félicia ! Enfin, à dire vrai, il n'y a qu'une chose dégoûtante qu'elle n'a pas goutté chez elle mais même de façon sexuelle et même par amour, c'est non. Ce qui est dans ses fesses ou dans son estomac, ça reste dedans. Car oui, Aoki avait déjà au moins essayé la douche dorée avec elle et même si ce n'était pas ce qu'elle avait préféré... l'expérience était toujours bonne à prendre.
« Hou ! On est bien dedans mais ça fait du bien d'en sortir. Fiou ! »
Harley s'était délogé, ayant un petit regard sur cette Aoki qui avait gagné le droit de boire la foutre de sa copine pendant que Pamy jouait en plus avec son intimité. Quelle coquine cette petite rose ! Même Félicia se retourna sur elle non pas pour lui en vouloir, elle venait l'embrasser en laissant leur queue se frotter mutuellement. Mmh, c'était tout aussi bon qu'avec les tétons ! Et quand Ivy revenait en giflant leur fesse pour attirer leur attention, ce n'était que pour proposer une idée bien digne d'une femme comme elle ! Ivy avait toujours eu un faible pour boucher tous les trous, sinon pourquoi elle l'aurait si souvent jeté dans une fosse à tentacule si ce n'était pas par plaisir ? Elle laissait un choix à Aoki qui allait prouver une fois de plus que certains clichés sont bien vrai. Les Japonaises, ce sont des cochonnes !
« Houa... Déjà ? Là j’avoue que je ne sais pas trop... »
Il y avait tant de possibilité car après tout il y avait des possibilités qu'Ivy n'avait pas dit qui aurait pu être vrai aussi. Une sous elle pour la prendre par un des trous pendant qu'elle suçait ou frottait leur queue sur sa poitrine pour le moment. Bien qu'Aoki n'ai jamais essayé ou fut excitées par cela, certaines personnes aiment les aisselles alors elles auraient pu s'y frotter pour prendre leur pieds ou bien même faire cela dans ses cheveux, bref, quand il s'agissait de sexe, il y avait taaaaant à faire. Mais après doucement peser le pour et contre de chaque chose qu'elle avait en tête elle avait trouvé quelque chose pouvant convenir à toutes ? Du moins elle l'espérait, ce serait dommage de décevoir les « Sirènes de Seikusu ».
« Mhh... Je pense qu'encore, ma bouche sera pour Félicia, à une différence, c'est que, je pense qu'elle pourra aussi profiter de mes seins. Quant à vous deux, je vous laisse devinr de qui prend quoi. Disons que, si ce que j'ai en tête fonctionne, il faut que l'une de vous deux s'allonge d'abord, je lui offrirais ma petite chatte pendant que la seconde aura mon cul. Ensuite Félicia pourra profiter de ma bouche ou mes seins mais aussi de la petite bouche d'une de vous deux sous son cul. »
Une idée qui méritait réflexion après tout. Aoki semblait partante pour cette idée qui était plutôt pas mal mais après, qu'en pensait Félicia ? Et les deux Gothamienne ? Félicia n'avait pas trop de mal encore, à moins qu'elle ne tienne absolument à la prendre autrement. Quoi qu'il en soit, Harley semblait réfléchir à la proposition...
« Qu'est-ce qui te branche ? Dans un sens, tu pourrais avoir ce petit cul mais d'un autre côté tu pourrais aussi avoir de ma bonne crème fraîche dans le petit pot de notre nouvelle Catwoman... »
Harley, ça ne la dérangeait pas vraiment d'avoir à avaler sa propre semence. Elle n'a jamais vraiment essayé après tout... Mais bon, reste à voir ce que la femme bio avait envie de faire ?
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Aoki n’était clairement pas au bout de ses surprises avec ce trio électrique ! Elle avait déjà pu constater à quel point Félicia était perverse et insatiable, alors, quand on tombait sur deux autres versions de Félicia Hardy, on pouvait s’attendre à des étincelles... Comme en ce moment, où Aoki voyait ces trois Futas lui proposer d’être leur repas. Si, initialement, Félicia Hardy avait éprouvé de vives réserves à l’encontre d’Harley Quinn, le sexe semblait, pour l’heure, avoir assagi sa méfiance... Pamela, en réalité, savait que la Chatte Noire avait toutes les raisons de se méfier de son petit clown, mais Poison Ivy comptait la surveiller étroitement, afin de s’assurer qu’elle ne retourne pas sous les ordres du Joker. Il était, fort heureusement, très peu probable que le Clown débarque à Seikusu, bien trop éloigné de Gotham City, et ce d’autant plus qu’il s’était débarrassé d’Harley, et qu’elle lui avait assuré ne plus vouloir retourner le voir... Mais Ivy savait qu’Harley était une spécialiste du déni, et qu’elle était déjà, à plusieurs reprises, revenue sur sa parole.
Aoki dut réfléchir un peu, et, quand elle se mit à parler, Pamela sortit de ses pensées. Elle était en train d’observer sa belle Harley, puis la Japonaise exprima son souhait. Trois queues à choisir, le choix n’était pas évident... Mais elle opta rapidement pour sucer la queue de Félicia, tandis qu’elle laissait le soin à Pamela et à Harley de choisir qui irait dans son cul, et qui irait dans sa petite chatte. L’idée était de bien la remplir, et, avec ces trois femmes tout autour d’elle, Aoki allait être comblée ! Félicia se rapprochait déjà, et ses mains caressèrent les cheveux d’Aoki, tandis que sa verge venait caresser son visage, frottant ses joues, son nez, remontant le long de son front, ou glissant sur ses paupières closes.
« Tu aimes me sucer, hein, ma chérie ? Je comprends ça... Moi aussi, j’adore fourrer ma queue dans ta bouche... »
Pendant ce temps, Harley laissa à Ivy le soin de choisir... Et cette dernière choisit assez rapidement. Elle se pencha vers elle, leurs queues se caressèrent, et elle l’embrassa. C’était le genre de contact atypique qu’elle adorait : sentir sa queue caresser celle de son amante. Deux Futas ensemble... À Gotham, Ivy avait déjà remarqué qu’elle pouvait modifier la morphologie de son corps, mais ce n’était vraiment à Seikusu qu’elle avait choisi de, sexuellement, se lâcher... Et Harley s’était, fort heureusement, assez rapidement adaptée.
Leurs lèvres se pressèrent donc pendant quelques secondes, leurs queues durcies se redressant mutuellement, se collant légèrement... Puis Pamela rompit le baiser, avec un sourire coquin sur les lèvres.
« Tu t’es déjà occupée de plusieurs culs ce soir... Je crois que je vais prendre la relève, et me faire celui de notre belle Japonaise blonde... »
Pour une simple civile, Aoki était une femme d’exception. Forte et endurante, la fatigue ne semblait guère devoir l’affecter, et elle continuait à frotter son visage contre la queue de Félicia quand les deux femmes s’approchèrent. Pamela se posta dans le dos de la femme, et laissa Harley s’allonger à côté d’Aoki. La Japonaise se redressa ensuite, et s’assit à califourchon sur la femme-clown... Puis alla s’empaler sur sa verge tendue... Puis la main de Félicia se saisit des cheveux d’Aoki, et s’en servit pour la maintenir en place, le temps de pouvoir glisser sa queue dans sa bouche...
Il ne restait maintenant plus qu’un trou libre, et Ivy fléchit les genoux, puis s’approcha, posant ses mains sur les hanches d’Aoki pour la redresser. Les quatre corps étaient proches, et furent bientôt tous reliés par le corps de la Japonaise quand Pamela guida sa queue dans son cul...
« Haaa... »
Et c’est ainsi que la triple pénétration pouvait commence, dans de forts soupirs et des gémissements de plaisir importants...
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Quel lien unissait ses quatre-là ? À l'origine une simple demande pour aider deux chiennes blessées dans un sale état alors l'amour de la faune et de la flore ? Mais rapidement, la soirée romantique de Félicia et Aoki était littéralement tombé aux orties et avec la plante et l'Arlequin, ça promettait une sacrée soirée ! Et pour preuve, Aoki était la seule femme normale, sans rien entre les jambes et elle faisait face à trois perverses qui voulaient user de son corps. Non pas que l'idée effrayait Aoki, au contraire mais elle ne pouvait s'empêcher de se dire qu'elle aurait aimé garder Félicia avec ce nouvel atout et passer une soirée aussi romantique qu'exceptionnellement pervers. Mais tant pis, elle allait quand même savourer cette soirée. Après avoir fait son choix, elle restait contre sa chatte adorée pour l'embrasser et se caresser. Un petit moment intime et savoureux avant le grand moment.
Derrière, le choix avait été rapide lui aussi, Harley lui avait laissé le choix, prendre le cul ou la chatte d'Aoki, ça revenait quand même à se soulager en elle, donc ça va pour elle. Mais Pamela trouvait quand même qu'Harley avait eu sa dose de cul ce soir et voulait donc la remplacer. Simple désir d'anus ou petite jalousie ? Elle n'en savait rien mais elle aimait méditer là-dessus en imaginant bien une belle petite rouquine qui irait virer les autres femmes un peu trop collantes avec Harley. Bon, il était temps de jouer à la bête à... beaucoup de dos ! Harley venait s'allonger en ayant aucune honte à laisser son mat de lever, elle attendait plus qu'à jouer. Aoki s'y installait doucement dessus, soupirant, laissant aussi Félicia s'y installer, venant se placer au-dessus d'Harley. Elle pouvait s’asseoir sur son visage, tant qu'elle trouvait le moyen de respiré, ça lui allait. Mais du coup, la Chatte Noire va devoir se pencher un peu en arrière pour que tout ce beau monde se place correctement. Une chance qu'elle était flexible la belle Américaine. Il ne manquait plus qu'Ivy qui se plaçait en pénétrant Aoki à son tour.
« Huuum... en piste. »
Nouvelle queue en elle, nouvelle position de groupe, en avant alors. Harley n'avait pas besoin de trop bouger, Pamy faisait suffisamment bouger Aoki qui, d'ailleurs la faisait bouger aussi sur sa queue, elle se concentra plutôt sur sa bouche, venant lécher la petite fente à foutre de la nouvelle Catwoman. Elle pouvait aussi se charger de son petit trou arrière mais elle laissait cela de côté pour le moment. Elle avait déjà le nez niché entre ses fesses, et une belle vue sur son cul musclé et son dos nue, laissant ses longs cheveux d'argent tomber en cascade. Pour Aoki, c'était un peu plus sport ! Elle était prise par les deux anciennes « criminelles » de Gotham – comme lui avait déjà raconté sa petite amie – alors qu'elle retrouvait avec joie sa belle sucette toujours en forme. La bouche bien fermé dessus, elle se faisait une joie d'avoir à nouveau ce goût délicieusement aphrodisiaque dans sa bouche.
« Huuuummmmmm ! »
Aoki avait bien des façons d'être heureuse avec une Félicia membrée mais pour le moment, c'était déjà très bien. À tâtons, Harley levait ses mains, venant trouver les mamelles de la Japonaise, elle venait doucement tirer sur ses pies. Une ushi ? Elle essayait, on sait jamais si du lait en sortait, ce serait drôle ! Hélas pour le clown, pas de lait qui sort mais de petits gémissements qui accompagnaient un peu mieux déjà celles de la demoiselle qui trouvait son pied, même en ayant trois superbes femmes à son service, rien que ça ! Elle sentait les choses s'activer dans son dos, que ce soit Pamela ou Harley, leur verge était bien en elle et elle adorait ça, nul doute. Harley était souple et musclé même si cela ne se voyait pas tellement alors quand l'envie lui prenait, elle usait de ses jambes, les pieds bien à plat pour se redresser et planter sa queue plus en elle, continuait de faire accroître ses gémissements de plus belle.
« Huuuum-Huuuum-Huuumm ! » et ça l'amusait la Harley.
Aoki dégagea ce qui encombrait sa bouche un instant, elle n'avait pas changé d'avis à ce sujet, ça non. Elle voulait juste mettre un détail à plat pour que sa petite amie se sente encore mieux dedans. Tenant sa belle queue d'une main pour la masturber doucement, elle levait son regard vers elle, et entre deux gémissements, elle précisa une chose...
[color=violet« Tout au fond... »[/color]
Oui, si Félicia en avait envie, elle pouvait laisser parler son envie et planter sa queue au fond de sa gorge. C'était peut-être un peu maso mais elle aimait sentir cette queue se cogner dans sa gorge. Venant reprendre les choses en bouche, enfourna sa verge dedans, sa langue se faisant un plaisir de lécher sa peau, ses veines et ce gland délicieux, attendant entre impatience et une certaine appréhension le moment ou ce corps de collera au sien et où son phallus ira le plus loin possible dans sa bouche. Harley continua de traire la japonaise, laissant Pamy faire sa petite vie avec son petit cul aussi. C'était bon hein ?!
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Aoki, simple femme, avait pour elle trois super-femmes. Toutes avaient des capacités spéciales. Félicia, elle, avait dans les veines une version modifiée du sérum du Super-Soldat. Pamela, elle, contrôlait la Nature, et disposait à ce titre d’un pouvoir terrifiant. Quant à Harley, elle avait été le cobaye de Pamela pendant un certain temps, ce qui avait donné à son corps une agilité redoutable et des réflexes surhumains. Ironiquement, quand Pamela avait fait ça, ça avait été dans le but de permettre à Harley de se protéger du Joker. À cette époque, elle avait sous-estimé le caractère très changeant d’Harley, et, surtout, cette sorte de profonde soumission féminine à l’égard du mâle dominant. Pamela se rappelait encore de ce moment... Le Joker avait largué Harley en la balançant dans une fusée, et Ivy l’avait soigné. À ce moment, Harley avait pleuré, en disant qu’elle avait besoin qu’on la protège de son amant, et, pour une inexplicable raison (mais qui tenait peut-être à son enfance, où sa mère avait également souffert de son père), Pamela avait choisi de l’aider. Elle lui avait confectionné un sérum particulier, qui avait renforcé ses capacités et son agilité, mais ça n’avait été qu’un argument supplémentaire pour qu’elle devienne, de nouveau, la poupée du Joker. Et maintenant... Maintenant, Pamela espérait bien que sa petite poupée ait à nouveau décidé de larguer son affreux compagnon.
Les trois femmes pénétraient donc la belle Aoki, et Félicia avait opté pour une position assez souple et athlétique. Elle s’était assise sur ses genoux, avant de partir en arrière, son dos filant vers l’arrière, la Chatte Noire se maintenant avec ses avant-bras. Ses fesses allèrent ainsi caresser le visage d’Harley, tandis que, par la suite, elle utilisait l’une de ses mains pour agripper les cheveux d’Aoki. Les trois femmes s’enfoncèrent donc en elle, la remplissant, les mains de Poison Ivy ne tardant pas à se crisper. Harley avait beau avoir déjà pris ce petit cul, le prendre était toujours aussi agréable.
« Haaaa... Hnnnn... »
Qu’elle était bonne, cette femme ! Félicia lui avait dit qu’Aoki était aussi belle que perverse, et Pamela voyait que la chère femme n’avait pas menti une seule seconde. Le fait qu’Aoki soit sensible à ses phéromones serait très intéressant pour la suite. C’était tout un programme qui était en train de se dessiner, et, pour l’heure, les quatre femmes jouaient encore ensemble.
Devant la demande d’Aoki, Félicia, elle, esquissa un léger sourire. Elle se maintenait avec une main, et l’autre vint se crisper sur les cheveux d’Aoki. Une gorge profonde, donc ? Très bien... Le membre de Félicia était bien dur, tendu et dressé, impatient d’aller enfourner son amante.
« Allez, viens, Aoki... Viens goûter à ta sucette... ! »
Félicia appuya sur la tête d’Aoki, et bloqua cette dernière contre sa queue pendant plusieurs secondes, avant de la laisser reprendre ses forces. Ce n’était pas la première queue qu’Aoki suçait, et Félicia savait qu’elle adorait les gorges profondes, et qu’elle prenait comme un défi personnel le fait de rester le plus longtemps possible dans cette situation, avant que les limites physiques de son corps ne la restreignent, et ne la forcent à se reculer. Félicia jouait donc avec cette limite, agissant comme une Maîtresse ici, tout en mouillant sur le visage d’Harley, sa cyprine venant caresser les lèvres du clown.
Et puis, les tentacules se mirent à claquer, fouettant le dos d’Aoki, ou tout simplement ses fesses. Pour la maintenir dans sa position, d’autres tentacules s’étaient enroulés autour de ses chevilles, maintenant ainsi la jeune femme, et l’aidant à remuer. Son corps remuait d’avant en arrière, afin de donner du mouvement, tout en lui permettant de sentir toutes ces verges en elle. Ah, ça, la jeune femme était bien gâtée ! Elle était le plaisir sexuel d’un trio de femmes potentiellement nymphomanes, un duo de couples jouissif, ne se refusant à aucun plaisir sexuel. Que c’était beau à voir ! À voir, mais aussi à sentir ! Le tout était rythmé par les spores d’Ivy, dont l’objectif était clair...
Provoquer un quadruple orgasme !
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Harley n'avait peut-être pas la meilleure place dans ce quatuor mais ça ne la dérangeait pas, d'autant plus qu'elle se disait que les rôles tournaient et donc que tôt ou tard, elle va avoir mieux. Jouer à quatre était bien marrant mais elle espérait quand même pouvoir profiter de sa Pamy chérie de temps en temps. L'arlequin veut bien partager mais pas trop non plus quand même. Pour le moment, comme elle s'en vanterait si bien si elle en aurait l'occasion, elle avait la tête dans le cul et pas le sien en plus. Son nez était enfoncé entre les belles joues bien joufflues de la Catwoman d'ailleurs pendant que sa bouche se chargeait plutôt de ses petites lèvres. Mais elle s'y plaisait, même si ça sentait un peu le fion, son entrejambe était mieux gardé, entre les cuisses de la seule nippone de la pièce. Et dieux, qu'elle prenait cher la coquine !!!
De son côté, elle non plus ne se plaignait pas de son sort, elle aimait cela, pour la meilleure raison qui soit pour commencer, elle était avec sa Félicia. Suçant sa grosse queue avec passion, qui aurait pensé un jour avoir une Félicia aussi bien membrée ? Membrée tout court même ! Alors si pour ça, elle doit partager son corps, elle signe tout de suite ! Mais évidemment, dans la mesure du possible, elle gardait la meilleure place à sa copine, ensuite, c'était les autres qui faisaient leur choix. Elle ne pouvait pas tellement parler, elle avait la bouche prise mais en plus, elle avait attisé l'envie de la chatte noire, lui donnant envie de visiter sa gorge avec son nouveau jouet et elle s'en privait pas ! Enfonçant sa bouche aussi loin que possible, elle la maintenait en place un certain moment avant de relâcher prise mais Aoki tenait bon encore quelques secondes avant de s'en dégager, la bave s'était accumulé autour de son sexe toujours aussi dur.
« Haaaaa ! Haaaaaa ! Haaaaan, Ouiiii ! Encore ! »
Elle était devenue accro à sa queue. Aoki fan de gorge profonde ? D'une Félicia futa ? Non, pas tellement, elle profitait juste de l'instant présent. Une vraie queue pour la chatte noire, ce n'était pas tous les jours. Au mieux il y avait la ceinture gode mais c'était encore autre chose ça. Harley continua de bouffer ce cul entre autres, venant griffer ce fessier, pas aussi bien griffer que le ferait une Catwoman mais ça allait laisser de belles marques quand mêmes. Puis c'est vrai quoi, ce cul est d'enfer et bien musclé ! Pamy en avait un beau, qui file directement dans son top trois mais la fesse musclée... c'est quelque chose ! Aoki retourna à l'assaut de cette belle queue, la faisant cogner contre sa joue parfois, mais surtout dans sa gorge alors qu'on lui fouettait le dos mais surtout les fesses ! Encore un coup de Pamela ? La coquine ! Aoki est plutôt dominante que dominée donc ça va se payer mais pas tout de suite. Puis il n'y a que Félicia qui fait d'Aoki sa chose, les autres doivent subir son courroux. Sans le savoir, le trio de femmes hors écolo étaient droguées aux spores, se sentant de plus en plus approché de l'orgasme, un orgasme à quatre ! Difficile d'imaginer et pourtant...
Aoki gémissait toujours plus en étant étouffé avec la queue de Félicia, sentant en plus tut cela arrivée entre ses jambes, la main de sa chérie la maintenant bien au fond, signe qu'elle s'en approche ! Quant aux Gtohamienne, Harley avait les pieds bien à plat sur le sol, les jambes pliée, elle en profitait pour butiner avec joie Aoki, un bruit de claquement se faisait entendre, de plus en plus rapide alors qu'elle aussi était étouffée par un cul ! Puis ce fut l’orgasme général, un concerto de gémissement, même si pour deux d'entre elles, leur cri de victoire était étouffé. Relâchant la pression, Harley pouvait respirer l'air pur, la bouche couverte de cyprine, fouttant en l'air son maquillage mais tant pis, elle prendra du waterproof la prochaine fois. Épuisée, elle resta allongée et saisit la main de Pamy une fois la voie libre, venant la câliner et reprendre son souffle. Sa queue aussi reprenait son souffle, se frottant doucement contre celle de la rouquine.
« Hou quelle soirée ! Viens offrir un 'tit câlin à ta Harley chérie, hum ? »
L'occasion de partager un petit baiser contre elle en reprenant des forces. C'est simple, quand sa queue sera de nouveau bien droite, ce sera le début du prochain round mais pas pour le moment. Ses mains se baladaient dans son dos, la caressant en gloussant comme une ado en la regardant dans les yeux. Ha, ce qu'elle aimait ce genre de moment !
« Comment tu veux jouer ensuite ? Mais juste toi et moi, laissons les jouer un peu entre elles avant de les taquiner à nouveau. Moi j'ai bien envie de t'arroser avec ma sève ! J'suis sûre que tu dirais pas non en plus ?! »
Un BukKake comme on dit au Japon ? Oh Harley ne viserait pas spécialement le visage mais son corps splendide recouvert de foutre... hum, ça donne envie de s'agiter le poireau ! Pour les deux autres, l'ambiance était aussi plus romantique et pervers à la fois, une image qui collait bien à ce petit couple, Aoki blottit dans les bras de sa Féli-nyan. Sa tête se frottait contre son épaule alors qu'elle reprenait des forces comme ça, quelques traces blanches autour de la bouche car il faut dire que la Chatte Noire était du genre à avoir beaucoup à proposer et du coup, ça a un peu débordé. Contrairement à Harley ou Pamela, Aoki était normal alors ça limitait les envies un peu folles mais ce n'est pas ça qui va gâcher sa soirée. Elle avait déjà sucé deux fois Félicia en si peu de temps, elle s’était fait prendre dans la chambre, bref, elle avait fait un peu de tout avec sa copine mais ce n'est pas ça qui allait la lasser, même si sa queue a assez visiter sa bouche pour le moment.
« Comment tu te sens pour le moment ? Tu as besoin que je m'occupe de ta queue doucement u bien tu en as marre de rester inactif... Ne fait pas attention à moi, j'ai déjà été bien plus malmenée par toi durant nos soirées alors si tu veux me baiser comme une nympho en manque... j'écarterais autant mes cuisses que mon cul pour toi. »
Quelle belle preuve d'amour, n'est-ce pas. La jeune femme venait glisser ses lèvres dans son cou, savourant un peu de repos avant la prochain bataille pour son corps. Mais elle n'avait pas peur, au contraire... elle était impatiente !
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S’il fallait faire un concours de perversité entre les quatre femmes, on serait bien en peine de trouver laquelle serait la plus vicieuse. Que ce soit Harley, Ivy, Félicia, ou Aoki, les quatre semblaient vouloir rivaliser d’ingéniosité pour être chacune à la hauteur des autres. Elles venaient de s’envoyer en l’air toutes les quatre, et bénéficiaient maintenant d’un bref entracte, avant de retourner à des festivités plus intéressantes. Le quatuor se sépara en un double duo, Pamela et Harley restant allongées l’une contre l’autre, le visage d’Harley sali par toutes les saillies dont elle avait été la victime. En souriant, Pamela l’embrassa, goûtant, une fois n’est pas coutume, à sa magnifique bouche, à ses lèvres tendres, se frottant contre ce corps musclé, beau, et doux. Harley était une partenaire incroyable, et, après tout ce que les femmes avaient vécu ce soir, on aurait pu croire qu’elles se seraient lassées… Mais ce n’était guère le cas ! En réalité, tout ce qu’Harley voulait, comme Pamela, c’était être seules, maintenant, en laissant Félicia et Aoki jouer de leur côté.
Les deux femmes s’embrassaient donc, tout en se caressant et en se câlinant, jusqu’à ce que, après un intense baiser, Harley ne vienne faire à Ivy une proposition amusante. Il ne fallait pas oublier que les deux femmes étaient encore membrées, et le sexe de Pamela se redressa légèrement, venant caresser la cuisse de son beau et magnifique clown. Pamela l’embrassa donc, tendrement, tirant sur sa lèvre, la faisant claquer contre sa bouche, puis lui répondit ensuite, avec un léger sourire sur le visage :
« En effet, mais tu m’as l’air déjà assez fatigué… Tu es sûre de ne pas avoir les yeux plus gros que le ventre, ma chérie ? »
C’était une douce provocation, que Pamela appuya d’un petit pincement sur l’une des fesses de la femme. Il fallait bien provoquer un peu Harley, c’était bien souvent le meilleur moyen de la réveiller, et de la forcer à faire preuve de tout son talent.
Félicia, de son côté, reprenait son souffle et ses forces, après avoir été l’objet d’un traitement intensif de la part de ses amantes. Et, si elle était très excitée par cette orgie, elle l’était d’autant plus d’être un peu seule avec Aoki. Contrairement à ce qu’on pouvait croire, la Chatte Noire pouvait se montrer très amoureuse, mais son amour avait, très souvent, été dévastateur. Là, c’était un nouvel amour qui s’était développé, et, quand Aoki lui dit de ne pas se soucier d’elle, et de la prendre comme bon lui semblait, Félicia lui répondit en l’embrassant, ses ongles griffant légèrement son dos et ses épaules. Les deux femmes vinrent goulûment s’embrasser, la langue de l’Américaine partant dans la bouche de la femme, jouant avec elle, et elle pressa chaudement son corps contre le sien, sa main remontant pour se poser sur ses cheveux, s’appuyant dessus.
En soupirant, Félicia avait fermé les yeux, et finit ensuite par les rouvrir, après ce baiser qui avait sonné comme une annonce, une annonce pour la jouissive suite à venir.
« Mets-toi à quatre pattes, Aoki… Je meurs d’envie de défoncer ton cul… »
Elle aida la belle Japonaise à agir. Aoki avait beau être une femme normale, dénuée de pouvoirs, elle faisait preuve d’une telle initiative, d’une telle résistance sexuelle, qu’il y avait, là-dedans, quelque chose de clairement surnaturel. Félicia était sous le charme de cette femme, totalement et en intégralité.
Et ce fut donc à ce titre qu’elle alla jouer avec son fondement, en claquant fermement ses fesses, et en y enfonçant sa grosse queue.
« Ha, Aoki !! »
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Quelle soirée ! Si tout ça, ce n'est pas des retrouvailles bien comme il faut ! Avec toutes leurs aventures en une seule fin de journée, qu'est-ce que ce sera en une semaine ? Pire, en un mois ?! Pour le coup, la belle Arlequin se plaisait à profiter un peu de sa Pamy chérie. Les deux autres sont gentilles mais Pamy reste Pamy alors, on s'éclate ! Collé contre son corps en baisant chaque petite partie d'elle que ses lèvres pouvaient atteindre, elles se reposaient doucement après avoir fait la fête à la petite nippone, laissons le petit couple s'envoyer des petits cœurs flottant autour d'elles et laissons les Gothamiennes ensemble aussi. Même si Ivy la provoquait doucement, elle n'avait pas vraiment fait gaffe à ce détail...
« Bah le décalage horaire me reste dans les pattes oui, mais AÏE ! »
Jusqu'au pincement de fesses. Oh, elle voulait jouer... ha oui dans ce cas-là elle n'a pas les yeux plus gros que le ventre, oh ça non !
« Tu vas voir ce que tu vas voir ma Pamy chérie ! »
Telle une hyène, elle se jeta sur ses lèvres qu'elle embrassait avec passion, ses mains posées sur ses joues pour ne pas qu'elle prenne la fuite. Restant encore futa, sa petite batte de baise-ball – oui, baise-ball – restait bien dure et prête à pilonner de la plante verte ! Elle se contentait de réveiller tout ça entre ses jambes avec ce baiser, les caresses d'Ivy aidaient aussi à cela mais le plus important restait encore à venir car une fois qu'elle avait eu droit à son petit bisou, elle souriait. Et à pleine dent, ce qui n'annonce rien de bien en général... un tel sourire... une chance que ce soit Pam' qui se trouvait avec elle sinon, ça sentirait mauvais.
« Prêtes ? Car moi, ouais ! »
Sans même attendre un oui, non, ou autres de la part de son amie, elle venait d'enfoncer son long couteau dans le fourreau de la rouquine. Installé bien au chaud, bien au fond, elle sentait la pointe de sa queue buter contre son utérus alors qu'elle venait à en trembler de joie.
« Ooooooooohhh ouais ! Ta provoquer la mauvaise personne, mmh... Alors, assume tes aaaaaactes ! »
Ses mains s'agrippaient à ses épaules, Ivy pourrait gesticuler, elle ne lâcherait pas l'affaire, elle tiendra sa Pamy puis c'est tout ! Qu'elle n'espère pas fuir, il était trop tard pour demander pardon. Relevant un peu ses fesses, ce n'était que pour mieux se heurter contre elle, elle allait tout faire pour aller plus loin que cette barrière en elle, plus de plaisir, moins de limite ! Ce n'était qu'une image évidemment. Mais ça n'empêchait pas Harley Quinn d'y prendre plaisir à se faire la belle Poison Ivy. Même sa queue frétillait contre son ventre, suivant plus ou moins le rythme de ses coups de queue en elle.
« Alleeeeeeeeez ma petiiiiiiiite Pamyyyyyyy ! Dis que tu aimes çaaaaaaaa haaaaaannnnn ! »
Plus elle restait en elle et plus elle y prenait plaisir à venir la butiner sa fleur intime, comptant bien répandre son engrais en elle. Venant l'embrasser furieusement, elle n'y allait pas de mainmorte, ne manquant pas de mordant non plus. Ça promet de belles choses sous peu ce renouveau de vitalité. Côté des deux autres, l'air n'allait pas tarder à devenir similaire mais pour le moment, les deux femmes se reposaient, l'une contre l'autre, s'aimant simplement, Aoki aimait cette superbe femme qui avait réussi à voler son cœur et elle aimait aussi la vraie Félicia que la Chatte Noire... et sa grosse queue. Dans un nouveau baiser tout aussi passionnant, quelque peu griffant certes mais toujours agréable. Et tant pis si elle a de petites cicatrices, ça ne fait rien du tout même. Rompant ce baiser, l'ordre laissé par la belle chatte la fit frisonner de plaisir. Aoki gloussa en observant Félicia avec amour. Oui, ce genre d'annonce sonnait pour elle comme des mots mielleux laisser dans son oreille.
« Avec plaisir. Et n'oublie pas, j'aime la douceur... autant que les chattes sauvages. »
Félicia avait donc intérêt à y mettre toute sa rage et son envie primaire. Viendra tôt ou tard un plaisir doux et sensuelle... mais pas maintenant. À quatre pattes, elle laissait sa tête de profil pour voir ce que Félicia comptait faire ? Contempler ou ne pas perdre de temps ? Seconde option, après une petite fessée bien méritée, une grosse queue se logea en elle, la faisant gémir de plaisir une nouvelle fois.
« Haaaaan Féliciaaaa ! »
Ouh, grosse ou longue – ou les deux – elle aimait sentir sa belle chatte en elle, ses mains agrippant ses hanches, son bassin cognant ses fesses, elle laissait la voleuse prendre son pied comme elle l'entendait, sans se retenir, avec plaisir elle se faisait défoncer le cul. Dans les rares moments inactifs, c'était Aoki qui remuait ses fesses, faisaient des petits cercles afin de rendre cela toujours plus fantastique ! Mais Aoki comptait bien profiter de cela et pas seulement en lui offrant son anus. Elle se redressa sur ses genoux pour se blottir contre elle, sentant sa poitrine dans son dos, toujours un réel plaisir que cela. Mais surtout, avec ses mains de libres, elle menait l'une des mains de Félicia vers sa poitrine, et la seconde aussi, lui laissant tout le plaisir de pétrir cela. Dieu sait qu'elle aimait autant son cul que ses seins. Sa tête venait chercher son cou ou avec de la chance ses lèvres mais quelques petits mots allaient retirer la couche de douceur qui commençait à s'installer ici. C'est à voix basse, près de son oreille que la Japonaise lâcha un petit mot qui allait rendre cela plus que sauvage !
« Fait moi ma fête, Féli-nyan... »
D'un petit coup de langue sur son lobe d'oreille, elle se préparait à en prendre plein le cul et surtout, de prendre son plaisir.
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Jouer avec Harleen, c’était toujours très agréable. Elles avaient fait l’amour comme des folles ce soir, très clairement… Et Pamela se voyait volontiers mettre cette séance torride et intense dans son Top 3 de ses scènes de sexe, quelque part au même niveau que ses séances avec Alraunya, ou avec Lily et Raune. Autant dire qu’Harley savait placer la barre haute, car, pour qu’une simple humaine puisse concurrencer une Alraune, il fallait du cran ! Mais ça, et bien, c’était sa Harley, tout simplement. Elle avait un tel potentiel… Il était dommage de voir à quel point elle le réprimait en étant à ce point amourachée du Japon, et, tout comme l’air du Japon avait changé Pamela, elle espérait bien qu’il changerait aussi sa petite Harley. De fait, les deux femmes avaient surtout fait l’amour, et n’avaient même pas encore eu l’occasion de discuter vraiment de ce qu’Harley comptait faire à Seikusu. Si elle s’était éloignée à ce point de Gotham, c’était très certainement pour se faire une nouvelle vie, loin du Joker… Avec Pamela. Il y avait de quoi réchauffer le cœur de Poison Ivy, qui était tout à fait prête à aider Harley à s’installer, voire même à se constituer un petit gang. Seikusu était une ville assez pauvre à certains quartiers, et se faire des hommes ne serait donc pas difficile.
En attendant, Pamela la provoquait, et, après avoir pincé ses fesses, elle sentit une réaction de la part d’Harley qui, comme si son honneur était en jeu, alla l’embrasser, avant de lui rétorquer qu’elle comptait la prendre furieusement. Ivy ne pouvait que sourire, mais continua encore à la narguer, aimant bien les « crises de colère » de sa sulfureuse Harley.
« Oh, vraiment ? Je crois surtout, mon petit clown, que tu as les yeux plus gros que le ventre… Ou plutôt la queue, en l’occurrence. »
Pamela savait y faire pour provoquer son doux clown, et, en retour, elle ne tarda pas à sentir le barreau de chair de la femme s’enfoncer joyeusement en elle, la faisant gémir. Harley donna un grand coup de reins, plaquant Pamela contre un mur, la baisant tout debout, sa virilité ayant retrouvé son érection naturelle. Des gémissements s’échappèrent des lèvres de Poison Ivy, qui se tortilla contre la queue d’Harley, et contre ses puissants coups de reins.
« MMhhhmmmmmmmmm… !! »
C’est que, mine de rien, la belle petite Harley était plutôt bien musclée, et assurément très bien membrée. La manière dont sa queue jouait en elle, remuant et s’enfonçant dans ses entrailles, ne manquait tout simplement pas de piquant. En retour, Pamela vint gifler ses fesses.
« Ouuuuiii, haaaa… Ouuuuiiiii, j’aime çaaaa… Haaaaa… Pu-putain, ouuuiiii… !! Hmmmm… En-Encore, ma chérie, encore !! »
Plus, toujours plus, Ivy en voulait plus, et ses jambes allèrent même s’enrouler autour des hanches d’Harley, ses talons s’appuyant contre ses fesses, de manière à pouvoir ainsi permettre à Harley de la baiser encore plus fort.
Pendant ce temps, la courte publicité « Instant de tendresse » venait de se terminer, et la deuxième partie du feuilleton « Félicia – Aoki : sexe lesbien hermaphrodite avec fureur et bestialité » reprenait en plein élan, dans une superbe et brutale sodomie de la part de Félicia. Aoki, à bien des égards, était, en matière de sexe, infiniment plus résistante que bien des amants que la Chatte Noire avait eu l’occasion d’avoir au cours de ces multiples aventures. Difficile de croire qu’une simple humaine, sans pouvoir, puisse tenir ainsi la distance. Félicia, elle, goûtait avec joie à l’hermaphrodisme, et, tandis qu’elle maltraitait joyeusement le cul d’Aoki, en remuant furieusement en elle, ses mains griffant ses fesses, elle se disait qu’elle allait peut-être utiliser sa fortune pour se faire greffer cet engin auprès d’une clinique tekhane.
Aoki aimait beaucoup l’hermaphrodisme, et si, habituellement, les deux filles utilisaient des jouets, il fallait bien admettre que le cadeau fait par Ivy était grandement apprécié. S’appuyant sur le corps d’Aoki, Félicia la prenait en soupirant et en couinant, ponctuant ses coups de reins de grosses gifles sur le cul d’Aoki. Elle, elle avait en elle un sérum qui améliorait sensiblement ses capacités.
« A-Aoki, haaaa… Tu aimes ça, h-hein… ?! Sale petite chienne, va !! »
Félicia remuait encore en elle, coulissant très facilement dans ce cul, et, preuve de la résistance d’Aoki, cette dernière banda ses muscles, et réussit à se redresser, son dos se retrouvant ainsi collé à la poitrine de Félicia, qui s’assit finalement sur le lit, avec Aoki sur elle, ses mains posées sur ses seins, les malaxant et les pétrissant, tirant sur les tétons en sueur de la magnifique blonde. Qu’elle était belle ! Oh, aussi belle que perverse !
« Aoki, haaa… »
Assise sur elle, Aoki se dandinait un peu pour s’empaler sur cette verge, mais Félicia ne tarda pas à écarter ses mains, et les posa sur les hanches de la femme, avant d’aller lui mordre le cou.
« Allez, danse sur moi, ma chérie… Empale-toi sur ma queue, régale-moi de… Hnnn… De tes hurlements de… De petite pute ! Allez, allez, ma salope, DAAANSE !! »
Ne formaient-elles pas un magnifique couple ?
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Cette soirée restera mémorable pour chacune de ses filles, Harley profitait de ce moment unique où elle était membrée mais c'était surtout un des rares moments où elle menait la danse. Les fois où elle tenait Pamy en laisse, ça se comptait sur les doigts d'une main ! Enfin peut-être un peu plus... Les doigts d'une main avec beaucoup de doigts quand même mais voilà, elle avait un super combo futa plus domination ! Mais attention, la belle plante n'était pas soumise pour autant. Même avec Harley en elle qui se donnait à cœur joie de butiner sa petite fleur, elle s'était permis de la narguer pour la provoquer ou bien en croyant vraiment ses quelques menaces sauf que voilà... QUI C'EST QUI SE FAISAIT BIEN BUTINER COMME IL FAUT MAINTENANT ?! L'Arlequin se faisait royalement plaisir en allant la prendre en lui donnant de grands coups de reins pour mieux la faire couiner.
« Plus gros que le ventre hein... Huuuummm... Trop gros pour ta petite chatte oui !!! Haaaaannn ! Tu vas voir... Ouuuuh... je vais te remplir de mon foutre, haaaa... tu seras... ma petite banque à sperme... »
Si le ton était sur un ton assez violent, la fin de sa phrase se faisait plus douce. Harley aimerait transformer sa petite plante en usine de stockage de semence ? Sur le coup oui mais une fois l'émotion retombé, elle s'en ficherait royalement. Mais pour le coup, fidèle à elle-même, les humeurs du petit clown jouaient au yoyo, tant sévère puis toute mimi... Sans pour autant changer le rythme de ses coups de reins, elle se pressait contre elle pour venir l'embrasser tendrement en caressant ses cheveux de feux. Han, qu'elle était belle sa petite rouquine fleuriste !
« Haaaan, t'es trop belle, haan, quand... quand tu es en manque... Huuummm ooohhh, ma Pamy chériiiiiiiiie ! » frottant sa joue contre la sienne, elle vint trouver sa petite oreille pour lui annoncer que la soirée était loin d'être terminé car elle savait déjà ce qu'elle voulait ensuite. « Je te f-fourrais la bouche ensuite... Elle est trop ten... tentante ta petite bouche d'amour ! »
Elles l'ont déjà faite ? Oui, non, peu importe. Ce n'est pas Pamela qui dirait non de toute façon. Une chose restait sûre cependant, c'était qu'il était temps de chevaucher la belle pour lui offrir sa petite récompense ! Elle n'avait pas d'autre choix, ses jambes l'empêchaient de filer. Avec un grand sourire, elle lui donnait déjà un indice de ce qui allait se passer, sans compter le gloussement du petit clown de son cœur.
« Accroche-toi... Car j'arrive ! »
Harley gardait sa position collé contre elle mais la suite allait faire remuer la belle rouquine car qui c'est qui va y aller à fond ? C'est Harley ! Faisant ses vas et viens le plus rapidement possible, elle laissait Ivy couiner comme elle voulait pendant qu'elle sentait la sauce monter en elle et bientôt, sa petite Pamy va se remplir un peu plus de sa crème ! Tous ses coups contre elle restaient à peu près à la même vitesse, ne donnant aucun indice de l'heure d'arrivée mais une fois que ce fut le cas, ce fut son ultime coup de rein avant de rester contre elle, bien contre elle pour mieux butiner son utérus alors que le haut de son corps se cambrait en arrière...
« OOOOOOHHHHH OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!!!! Han han han... ma petite Pamy chérie... »
De quoi faire retomber Harley mollement sur elle, devenant ainsi un petit chaton en manque de caresse et de tendresse. Pour ce qui était des deux autres, leur moment de tendresse semblait bien court mais leur plaisir était bien là. Aoki aimait la sodomie et Félicia l'avait bien comprise alors quand elle lui avait offert cela, Aoki ne pouvait pas juste recevoir et faire plaisir à ses oreilles, elle voulait lui offrir bien plus ! Qui sait quand Félicia sera de nouveau futa ? Se redressant, elle guida ses mains sur sa poitrine avec laquelle elle pouvait TOUT faire, sans le moindre scrupule. Que ses mains soient libres de faire ce que ses pensés lui dictaient, elle était prête à subir les pincements, les caresses et même les claques sur sa poitrine. Pour elle, elle était prête à tout !
« Haaan ouiii Féliciaaaaa... Encore, encore ! »
Aoki était perverse ? Oh ça oui et c'est peut-être ce qui avait plus à son gentil minou. Mais aussi généreuses soit sa proposition – et sa poitrine – ses mains trouvaient leur place sur ses hanches avant d'avoir un seul mot d'ordre... Danser. Très bien, en place pour le petit show ! Même si elle ne savait pas trop quoi faire pour danser sur elle, elle comptait au moins faire une chose, une danse érotique... sur sa queue. Sans bouger de sa place, elle passa ses mains en arrière, venant se perde dans ceux de Félicia alors que ses fesses faisaient des petits cercles très lentement, offrant à sa queue tout le plaisir qu'il lui fallait. Il manquait un miroir devant elle... car ce genre de petit show devait aussi être plaisant à voir de face. Ses lèvres venaient trouver les siennes pour partager de court et petits baisers.
« Huuuum désolé mon matou... je suis une piètre danseuse... faut dire, haaaan, que j'aime le Rock alors... soit gentille et aide moi à danser... et à hurler ! »
Félicia était bien placée pour la prendre comme il se doit afin de la faire hurler de plaisir. Mais pour le moment, elle restait dans cette position, baisant la peau de son Américaine, continuant sa petite danse, jusqu'à ce que Félicia trouve le rythme pour danser à deux. Évidemment, elle n'allait pas faire tout le travail, il fallait que Félicia l'aide un peu et après... ce serait un souvenir graver à jamais dans leurs mémoires !
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Harley était une femme qui se devait d’être stimulée, une femme qui aimait le « fun », au sens large. Cette attirance pour le fun lui donnait un côté légèrement psychotique, dont Le Joker avait su profiter à l’époque pour la manipuler et l’exploiter. Pamela, elle, avait aussi manipulé Harley, à sa manière, pendant un temps. Elle l’avait utilisé comme cobaye, mais, maintenant, tout ça était loin derrière elles. Leur relation à Gotham City avait fait naître quelque chose en Poison Ivy, quelque chose qu’elle pensait avoir oublié depuis l’époque où on l’avait transformé en ce qu’elle était... Le fait qu’elle puisse ressentir quelque chose pour des êtres humains, le fait qu’il y avait toujours, en elle, quelque chose d’humain. Cela, elle le devait à Harley, à toutes les fois où, quand son amie était retournée vers Le Joker, elle s’était sentie trahie et bafouée. Maintenant, tout ça était loin derrière, et la manière dont Harley lui faisait l’amour était autant une étape physique, très jouissive en tant que telle, qu’une étape symbolique.
Son clown la pénétrait donc, avec une vigueur impressionnante, amenant le corps de Pamela à rebondir contre le mur, dans une position qui, il est vrai, était peu commune chez elle. Ivy avait l’habitude de pénétrer les autres, mais, là, elle voulait bien faire une exception... Une exception divine, car, tandis qu’elle se faisait pénétrer, la femme soupirait, couinait, mouillait, et sentit un orgasme supplémentaire la traverser.
« Haaaaaaaaaaaa... !! »
Harleen n’y allait pas par le dos de la cuillère. Voilà tout ce que Poison Ivy souhaitait : du cul, de la pénétration, du sexe sauvage, avec la sueur qui unifiait leurs corps, et leurs soupirs qui se répétaient mutuellement l’une à l’autre. Ainsi, les deux amantes se prenaient régulièrement, jusqu’à ce qu’Harley vienne approcher du moment de jouissance. À son tour, son délicieux clown se vida en elle, et ce fut avec plaisir que Pamela la sentit jouir, puis s’affaisser tout contre son corps.
Souriant lentement, Pamela sentit le rythme ralentir après cette explosion de foutre, et serra doucement le corps d’Harley contre le sien, dans une tendre étreinte, jurant singulièrement avec la frénésie dont les deux femmes venaient de faire preuve. Elle déposa un baiser sur ses cheveux, tout en lui caressant doucement le dos, ainsi que sa nuque. Harley se donnait vraiment à fond pour célébrer leurs retrouvailles, ce qui fit que, pendant un temps, les deux femmes ne firent rien d’autre que soupirer ensemble, leurs corps couverts de sueur, la verge de son amante baignant encore dans sa chatte.
« Quand... Quand je suis partie de Gotham, Harley, finit par glisser Pamela, te laisser derrière moi a été mon seul regret. Alors, maintenant que j’ai pu te retrouver, ma chérie, sache bien que plus jamais je ne te laisserais partir. »
Elle déposa un baiser sur son front, en la serrant encore un peu plus. À Gotham, elle avait laissé Harley à cause de l’attirance de cette dernière envers Le Joker.
« Toi et moi, ma chérie... C’est comme ça que ça doit être, et c’est comme ça que ça sera. »
Elle la câlina encore plus.
Pendant ce temps, l’autre couple de cette soirée de sexe sans limite était également en train de se découvrir et de s’explorer. Félicia avait toujours su l’attrait d’Aoki pour les hermaphrodites, un grand sujet de sexe dans les mangas érotiques japonais. Et Félicia avait entendu parler, à Mishima, de beaucoup de rumeurs sur l’hermaphrodisme, comme quoi il existerait. Elle n’en avait jamais vraiment été témoin, jusqu’à ce que Poison Ivy la dote d’un chibre, grâce à ses plantes exotiques venant de Terra.
Aoki « dansa » donc. Dans la bouche de Félicia, ça avait juste été une invitation à ce qu’elle s’empale sur sa queue, mais Aoki sembla plutôt le prendre au sens littéral, et ondula son bassin sur son sexe, faisant soupirer Félicia. Elle sentait la femme la narguer, la titiller, comme si elle demandait à Félicia de ne pas se reposer sur ses lauriers, et de la prendre sauvagement.
« Hmmmm... Tu... Tu veux que je te fasse hurler, hein ? Très bien, Aoki... Je vais te faire hurler, alors... »
La Chatte Noire laissa sa phrase en suspens, tout en posant chacune de ses mains sur les fesses de la femme... Puis elle banda alors ses muscles, et se redressa soudain, renversant Aoki.
« ...Comme on fait hurler une chienne ! Mets-toi à quatre pattes, Aoki, allez, vite ! »
Elle ponctua son ordre de claques sur le fessier d’Aoki, et l’invita donc à se mettre en position de chienne, dos face à elle, à quatre pattes. Le chibre de Félicia caressait ses hanches, puis elle se redressa. Derrière Aoki, mains posées sur ses fesses, elle lui sourit donc, malaxant et pinçant ce petit cul.
« Ah, tu veux danser, hein ? Ah, tu veux hurler, ma chérie... Ça tombe bien, je... Haaa... Si tu savais comme ma queue me fait mal, elle... Elle me donne envie de te baiser, de te baiser avec toute la hargne dont je suis capable, et de te faire hurler à t’en casser la voix ! »
Félicia caressait la croupe d’Aoki avec son sexe.
« Tu aimes quand c’est dur, hein ? Et bien... Te voilà servie ! »
Elle enfonça alors sa queue à l’aide d’un grand coup de reins... Tout droit dans le petit cul d’Aoki !
De quoi la faire hurler !
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Dieu que cette femme était exigeante ! Pamela avait souvent des goûts de luxe ! Peut-être pas autant que Selina qui aimait les bijoux et les belles robes mais l'une était exigeante sur le type de cadeau, la seconde l'était sur le type d'ébat. Catwoman n'était pas un cadeau de ce côté-là pourtant, la chatte avait des griffes et savait le montrer mais Pamy avait ce petit truc en plus qui lui faisait gagner cette comparaison. Et c'est ainsi, vidé de ses forces – pour le moment – qu'Harley agitait un drapeau blanc pour souffler un peu avec sa Pamy-chérie. Restant debout grâce à ses dernières forces, elle la tenait mais qu'on ne la fasse pas pencher en arrière sinon elle va tomber ! Elle écoutait et souriait sous les mots de sa belle petite rose.
« Oh c'est choupinoupinet ! Toi aussi tu m'as manqué ma belle... hum... qu'est-ce qui est orange... Bah, ma belle orange ! »
On a vu mieux comme compliment mais bon, orange/fruit, fruit/plante, plante/végétaux, végétaux/Pamela. CQFD. Elle se rattrapera sur les noms mignons et romantiques, elle aura bien tout le temps pour cela après tout. C'était le genre de chose qu'elle avait toujours dite mais qu'elle avait fini par jeter d'un petit coup de main mais là, sans Joker, elle semblait bien partie pour tenir parole.
« Je resterais avec toi ma Pamy-chérie... Tu sais à Arkham, j'avais même pas le droit à un doudou alors maintenant, il me faut au moins toi comme doudou pour dormir la nuit. »
Qu'ont soit franc, Harley à arrêter les doudous depuis bien des années mais que voulez-vous, tantôt elle était une femme de grande science, tantôt une grande enfant et très souvent une grande folle. Relâchant doucement ses jambes pour lui permettre de poser pied-à-terre, elle venait même se retirer d'elle, laissant son sexe pendre entre ses jambes. Elle avait besoin de recharger un peu ses batteries mais même sans être liée ainsi, elle lui tenait la main pour se rapprocher du lit et s’asseoir dessus. Le lit remuait un peu à cause du second couple mais elle avait besoin de reposer ses jambes, ça, c'était aussi bon. Assise à ses côtés, elle l'embrassait en venant passer ses mains dans ses cheveux, parcourant son corps avec sa seconde main dans son dos. Rien de violent comme leurs copines, là, c'était la douceur à l'état doux. Même des Bisounours, c'était encore trop hard comparé à elle. Mais il ne faut pas oublier que cela était temporaire et temporaire, ça veut dire que ça ne dure jamais alors, dring dring, il était temps de réveiller leur luxure pour les retirer de ce mielleux romantisme qui s'installait autour d'elle.
« Dis-moi ma belle jardinière, j'ai un petit souci... vois par toi-même, la plante que tu m'as donné fait un peu la tronche... Tu voudrais pas aller voir ça de plus près ? »
Sa plante... intime. Il est vrai qu'elle était assez molle pour le moment mais elle était sûre qu'avec son aide, elle va péter la forme ! Elle a ce doigter avec les plantes, une belle bouche aussi... et une belle poitrine. Allez savoir ce qu'elle peut faire pour réveiller sa plante avec ses trois outils ? Harley lui faisait confiance, c'était elle l'experte en plante, pas elle !
Avant l'arrivée du clown et de la jardinière, Aoki et Félicia entamaient une danse du tonnerre. Aoki avait pris cela au mot car elle se pensait capable de danser sur sa queue mais ce n'était pas aussi simple. Danser dans un strip-tease, pour la séduire, ça, elle savait faire mais sur cette queue, une Vraie queue, c'était encore trop nouveau pour elle alors elle aura besoin. C'est pour cela qu'elle demanda à Félicia de lui faire danser un Rock ! Le genre de danse qui bouge bien, qui fait transpirer, après tout, c'était bien mieux, tant sur la piste qu'au lit. Et pour le coup, elle n'allait pas être déçue. Félicia lui vendait du rêve avec son petit ton autoritaire et même si elle quitta son manche d'une drôle de façon, quoiqu'un peu brusque, elle s'apprêtait à prendre cher... et ça la mettait dans un de ses états !
« Han ouais... traite-moi comme une chienne ! Vas-y ! »
Elle agissait comme une grosse perverse ? Seulement quand elle était bien excitée et face à une Félicia membrée, c'était bien là suffisant pour la mettre dans un tel état. Sentir ses mains sur son cul suffisait à la faire doucement trembler de plaisir. Elle reconnaissait cette petite flamme dans ce regard et elle savait qu'elle allait adorer la suite, pour sûr ! Même si Harley et Pamela viennent elles aussi s'installer sur le lit, tant qu'elles ne gênent pas Félicia, elle se fiche de leur présence. Car quand elle enfonça sa lance en elle, elle sentit le frisson partir de ses fesses, le lng de son dos jusqu'à la pointe de ses cheveux !
« HAAAAAAAAAAAAAAAAANNN !!!!! HHHHHAAAAAAA P-PLUS... HAAAAA !!!! »
Ces coups de reins... sa queue... c'était elle ou elle avait pris en volume ? À moins que ce ne soit l'excitation qui lui contracte l'anus ? Simple effet du plaisir alors que rien n'a changé ? Peu importe, c'était bon et seul ça comptait pour elle. Aoki ne tenait pas en place, ses genoux étaient bien accrochés au lit mais le haut de son corps se coucha à moitié sur le lit, sa poitrine et sa tête étaient posées dessus, ses ongles attrapaient les draps et pour le coup, vu la force dans ses poignets, elle aurait pu facilement vaincu Félicia à un bras de fer. Mais juste à ce moment car doucement, sa force diminuait pour se noyer dans le plaisir. Elle aurait très bien pu se la jouer féline et arracher les draps avec ses ongles mais elle gardait encore un semblant de conscience en gémissant, étouffant ses cris dans les draps qu'elle mordait à belles dents. Aoki bombait ses fesses en se redressant u, peu, gardant la posture d'un chat en train de s'étirer, gardant à l’œil par-dessus son épaule sa belle chatte qui prenait un plaisir fou à la faire gémir et hurler en deux coups de reins.
« Fait moi... Mal ! HaaaaAAAANNNN ! Baise-moi... de Toutes tes putains de Force !!! HHHHHUUUUMMMM OUIIIIIII HAAAAAA !!!! ENCORE !!!! ENCORE !!!! »
Aoki était sur un petit nuage, dans son petit paradis sexuel, elle en prenait plein le cul, elle aimait ça, Félicia aussi, oui, c'était un de ces petits fantasmes parmi tant d'autres mais facilement dans son top trois... devenir l'esclave sexuelle d'une Futa-Félicia. Poursuivons donc ce petit rêve bien comme il faut en laissant sa maîtresse lui bourrer « gentiment » les fesses pour la rendre heureuse, la bave commençant à couler le long de ses lèvres.
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Pamela et Harley se retrouvèrent assises, l’une à côté de l’autre, au milieu de cette folle orgie. Quand elel était à Gotham, Pamela avait déjà commencé à développer ses pouvoirs aphrodisiaques. Une scène, notamment, avait retenu son esprit. Elle et Harley étaient prisonnières dans des cellules voisines, et, pour tuer le temps, Ivy et Harley avaient décidé de faire un concours avec les gardes : qui en embrasserait le plus sur les lèvres. Ivy avait attiré un garde, et avait laissé sur ses lèvres ses spores aphrodisiaques. Quand il était revenu au réfectoire, ces spores s’étaient diffusés auprès des autres. À cette époque, les mesures de sécurité de l’asile n’avaient pas encore véritablement pris en compte les capacités surnaturelles de ses pensionnaires. Ivy ne s’en était pas servie pour s’échapper, mais avait multiplié les baisers. Un petit plaisir de prison, avec Harley... Par la suite, les mesures de sécurité avaient été renforcées, car, si l’épisode avait été anecdotique, ça l’était beaucoup moins quand elle utilisait plus intensivement ses spores, afin que des psychiatres la déclarent saine d’esprit, ou l’aident à s’évader.
La belle plante avait toujours été une fleur avec des épines tranchantes. Mais là, en ce moment, ses épines semblaient avoir été coupées. Répondant aux baisers d’Harley, elle lui souriait, son cœur bondissant dans sa poitrine. Ivy avait changé. Maintenant, elle le reconnaissait sans ombrage. Tenait-elle davantage à la vie humaine ? Peut-être... Mais elle avait surtout considéré qu’on ne pouvait pas protéger la flore en suivant ses méthodes. Quand elle s’était davantage connectée au Green, le Green lui avait dit que tout n’était qu’harmonie dans le monde, et que l’Homme contribuait à cette harmonie. En bien ou en mal, l’Homme était là pour changer les choses. Depuis que l’Homme avait inventé la scie et les haches, une déforestation massive du monde s’était observée, affaiblissant drastiquement le Green, mais, pour autant, les forces florales n’avaient pas décidé d’éradiquer l’Homme. Une tolérance qui s’expliquait par bien des manières, et qui avait conduit Pamela à ne plus vouloir s’emparer du Green pour éradiquer l’humanité. Elle se voyait comme étant une femme en phase transitoire, cherchant désormais sa place dans le monde, et comment protéger au mieux la flore. Au Japon, elle se sentait épanouie et sereine, car les Japonais avaient naturellement tendance à voir la Nature comme une force supérieure, et à la vénérer. Ici, elle aurait pu se faire passer pour une Déesse verte sans problème, mais, au lieu de ça, elle avait choisi d’être relativement discrète.
Nul doute que cela risquait de changer avec la présence de son clown à côté d’elle.
Un clown dont les batteries étaient vides, ce qui fit sourire Pamela. De la main, elle caressa son sexe, et acquiesça lentement, apposant son front contre celui de la femme, se montrant coquine et amusée.
« Ah oui, en effet... C’est tout mou, ça, il va falloir redynamiser l’ensemble. »
Pamela se laissa alors glisser, et atterrit sur le sol, à genoux devant Harley. Elle écarta alors ses cuisses, révélant l’accès à sa verge. Grâce à elle, Harley était devenue hermaphrodite. En explorant Terra, Ivy avait constaté que la magie locale permettait ce genre de choses, et elle s’en était donc inspirée. Le résultat était... Très réussi. Elle pouvait être fière d’elle. Se mordillant les lèvres, elle lécha un peu ce mandrin, penchant sa tête vers lui, puis, après quelques secondes, se redressa encore, et approcha ses seins.
« Laisse-moi réveiller ce petit oiseau, ma chérie... »
Les doux seins de Pamela vinrent masser ce sexe, Pamela les tenant pour les glisser contre la verge de la femme. Elle se mit ensuite à les remuer, et sentit la verge d’Harley se roidir assez rapidement... Ce qui l’amena ensuite à approcher ses lèvres, et à lécher le bout du sexe de la femme qui pointait vers elle.
« Hmmm-mmhmmm... »
Pendant ce temps, çà côté d’elles, Félicia et Aoki continuaient leur délicieuse orgie sexuelle. Inutile de les regarder davantage pour se convaincre que ces deux femmes étaient très endurantes. Félicia était comme une chatte surexcitée, la queue bien dressée, bien tendue, s’enfonçant dans le petit cul étroit d’Aoki. Avec son membre érigé, en état d’érection, la sodomie était d’autant plus plaisante. Elle s’y enfonçait laborieusement, heurtant les parois serrés d’Aoki, la forçant à repartir en arrière, à grogner, puis à repartir en avant, dans des coups de reins forts. Un mélange de plaisir et de violence brute, voilà ce qui caractérisait ce moment, les coups de reins étant, de surcroît, rythmés par les multiples gifles que Félicia faisait.
Elle flattait ainsi ce cul de sa solide main, comme pour s’encourager, provoquant des claquements sonores, pendant que le corps d’Aoki, entraîné par le sien, filait d’avant en arrière.
« A... Aoki, hmmmm... !! »
Ce fut tout ce que Félicia arriva à dire. La jeune Chatte était tellement excitée, tellement en sueur, que parler devenait un exercice épuisant. Elle se concentrait donc sur l’essentiel, en prenant, encore et encore, sa belle Aoki, avec une vigueur qui semblait se renouveler à chaque fois. Rien n’était épargné à sa jeune amante, et c’était bien comme ça que les choses devaient se dérouler. Félicia lui défonçait le cul, son membre s’enfonçant de plus en plus, travaillant dans ce corps, écartant les parois internes à chaque coup de trique, faisant craquer le lit. Ses mains vinrent même à griffer ses fesses, tandis que Félicia, en sueur, continuait à donner, la respiration lourde et forte.
Dieu, que c’était intense !
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Harley était de retour depuis même pas une journée complète qu'elle avait commencé à répandre son nom à travers la ville en s'attaquant aux petites frappes comme aux Yakuzas mais aussi en fricotant avec des « héros » et même jusqu'à faire l'amour à plusieurs ! Bon pour le coup, le terme plusieurs ici venait juste du fait de se retrouver dans la même pièce, le groupe s'était scindé en deux couples et pour le moment, ça lui allait très bien. À force de trop jouer avec, son jouet était presque en panne, presque car elle savait comme lui redonner un petit coup de fouet pour le réveiller et préférait laisser sa Pamy chérie gérer la chose. Cette dernière en était même amusée, à croire qu'elle n'attendait que ça la coquine ! Après quelques caresses et une mise en bouche, elle réchauffa sa queue entre ses seins et de suite, ça allait mieux ! Mais cela n'allait pas se terminer comme ça, aussi rapidement.
« Huuuum-hummmm... je savais que j'aimais me servir tes seins comme oreiller mais là, huumm... haan, j'irais la ranger ici pour haan, la recharger. »
Assise, elle caressa les cheveux de la belle rouquine en la laissant lécher le bout de sa queue doucement, à son rythme. Elle avait envie de faire bien des folies à voir sa queue se cacher aussi bien entre ses deux seins. C'était même terriblement bon. Ne pouvant pas rester en place très longtemps, elle enroula ses pieds autour de son corps en gardant un œil sur elle, passant ses mains dans ses cheveux, laissant sa petite langue laver le petit bout qui dépassait entre ses seins. Attention, elle le savait bien mais sa sucette cachait une bonne surprise si elle continuait à la lécher comme ça.
« Houuu ma Pamy-chérie... Tu sais que tu es bandante comme ça, hum ? »
Ceci, elle devait le sentir entre ses seins mais c'était toujours plaisir à dire. Cela dit, même si ce n'était pas encore arrivé, elle voulait la prévenir pour le final qui viendrait doucement mais sûrement.
« Ma rose... je veux t'arroser le visage pour le final... je suis sûre que tu est très belle, même barbouiller de ma sève, haha ! »
Puis la voir avec sa queue entre les seins et le visage partiellement blanc... l'image n'était pas faite pour lui déplaire. Mais pour le moment, elle laissait son plaisir aux bons soins de Pamy, elle était douée pour ça.
Pour les deux autres, pas de pause, pas de petite blague, le sexe était bien trop dur et intense pour se permettre ce genre de petite parenthèse amusante, Aoki sentait quelque chose de long et dur en elle, dans son dos et ce plaisir lui procurait la plus forte émotion de sa vie. Elle avait vécu des choses similaires ou même mieuix mais en prenant en compte ses récents rapport sexuel, rien que ce soir, cette bestialité dans cette sodomie, c'était la meilleure partie qu'elle recevait pour le moment. À quatre pattes, ses doigts tentaient d'agripper quelque chose mais rien ne venait à elle, pas moyen d'échapper à cette punition, elle ressentait cette queue labouré son cul encore et encore, de plus en plus fort. Tant sa queue que ses doigts, elle ressentait tout, elle était à peine capable de gémir, bavant car elle n'avait même pas la notion de fermer la bouche. Si elle fermait la bouche, elle avait l'impression d'étouffer.
« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaa !!! HAAAAAAAANNNN !! »
Elle aurait aimé dire un petit quelque chose pour remotiver Félicia, pour la faire sourire mais prononcer le moindre mot serait l'équivalent de lui demander le nombre exacte de grain de sable dans le Sahara, impossible. La jeune femme avait les fesses bombés en arrière mais le haut de son corps était à moitriée étendu au sol, pour sûr, après cette séance, les prochains jours, elle va avoir besoin d'un coussin pour s'asseoir. Car son plaisir avait déjà été expulsé au moins deux fois durant cette simple sodomie sauvage, quand elle faisait quelque chose, elle ne faisait pas semblant la Félicia ! Mais en ressentant les mains de la jeune femme se faire sentir plus forte autour de ses hanches, elle sentait que le plaisiri chez la Chatte Noire allait vite s'expulser vu la violence des coups, moins rapide mais plus dur ! Oui, c'était possible !
« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!!! »
Les yeux grands ouverts, elle sentait le plaisir se synchroniser avec celui de Félicia et quand sa queue venait expulser son jus d'amour en elle – et elle entre ses jambes – ce fut le début d'une petite pause pour Aoki, lui en demander plus maintenant serait sûrement criminel vu son traitement de choc. Mais elle ne regrettait pas. Littéralement une poupée de chiffon, elle n'avait plus la force de se retourner, d'embrasser Félicia ou de plaisanter, là, elle avait beau être endurante, sa soirée plus ce final, ça la laissait sans voix et sans force. Pour peu, elle s'endormirait volontiers mais elle préférait juste souffler un peu avec Félicia si possible mais même ça, elle n'avait plus la force de demander. Elle reprenait juste ses forces en savourant le plaisir à travers son corps, la faisant transpirer, la respiration lourde. Si elle aurait de l'eau à porter de main, elle viderait volontiers un bidon de cinq litres, elle avait vraiment tout donné avec Félicia. Elle qui avait une idée pour la suite, elle attendra plus tard dans la soirée ou une prochaine fois car là, sa seule force était de rester éveillée. Félicia pouvait être fière d'avoir réussi à fatiguer Aoki aussi « rapidement », quand on savait sa résistance lors de soirée plus banale.
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Harley était une femme endurante, qu’il fallait honorer autant que possible, afin de lutter contre le manque d’amour et d’affection que la jeune psychopathe ressentait. Une tâche à plein temps pour Ivy, surtout en ce moment, où revoir sa vieille amie lui avait rappelé combien elle lui avait manqué. Ensemble, les deux beautés formaient un magnifique couple, sensuel et intense, fusionnel et délicieux, comme on en rêverait de n’importe quel couple. Les étoiles de Gotham City allaient devenir celles de Seikusu, des amantes énergiques, insatiables, pleines d’énergie et de délice. Ivy goûtait aux joies infinies d’une Harley membrée, et lui offrait ainsi le spectacle magnifique d’une fellation, domaine dans lequel, comme tant d’autres à l’égard du sexe, elle était passée maître.
Au demeurant, sucer la queue d’Harley était un plaisir peu banal, très agréable. Ce membre remuait dans sa bouche, une queue bien grosse, humide, trempée de partout, que Poison Ivy s’amusait à lécher, encore et encore, ne la mordillant que très légèrement, juste pour en éprouver la dureté. Avec sa tête qui remuait d’avant en arrière, elle offrait à son petit clown un spectacle fascinant, qui ne manquait pas de beauté.
C’est ce qu’Harley ne tarda pas à dire, admettant que, sous cette position, Ivy était « bandante », ce qui, bien entendu, fit silencieusement sourire la jeune femme. Pamela cligna des yeux en soupirant, continuant à remuer sa tête d’avant en arrière.
« Hmmmm… !! »
Ce soupir fut sa seule réponse, tandis que, yeux clos, elle continuait à remuer le long de ce sexe, filant joyeusement dessus. Il était vraiment très agréable d’y goûter, de sentir ce membre se faufiler dans sa bouche, tapant dans les profondeurs de sa gorge, Pamela se faisant justement plaisir à multiplier les gorges profondes, fermant les yeux, s’efforçant de maintenir ce sexe le plus longtemps possible en elle. Oui, c’était ça qu’elle aimait. Pamela s’abaissait rarement à sucer, mais ce n’était pas pour autant qu’elle n’appréciait pas cela. Pour elle, c’était comme goûter à une grande sucette, mâture et ferme, prête à craquer entre vos lèvres. Elle se plaisait donc à jouer avec ce gourdin, malmenant ainsi le doux corps de son amante, qui finit par avouer, entre plusieurs soupirs, vouloir jouir sur son visage.
Souriant légèrement, Pamela retira alors ses lèvres de ce sexe, et déposa un baiser sur son extrémité, puis regarda Harley, son sexe… Et approcha sa main, la posant sur sa hampe.
« Si c’est ce que tu veux, ma chérie, laisse-moi te guider vers le bonheur suprême… »
Pamela allait continuer à orienter le plaisir d’Harley, du début à la fin, et elle entreprit ainsi, en conséquence, de la masturber vigoureusement, sentant le membre claquer contre ses doigts, une queue bien dure, sur laquelle ses doigts glissaient, comprimant cette chair. Remuant un peu du bassin, Pamela se plaça bien pile dans l’alignement de ce sexe, et continua à jouer avec, le sentant se tendre, approchant du point de rupture…
Puis la crème fusa. Le sperme jaillit du canon, et éclata sur le visage de Pamela, faisant joyeusement soupirer la jeune femme, qui le masturba encore, vidant ce membre de son contenu, s’en aspergeant joyeusement le visage.
« Hmmmm… Aaaah, Harley… »
Pamela en sourit de Plaisir, et, le visage bien recouvert de foutre, se redressa alors, et embrassa la jeune femme sur ses lèvres. Pour le coup, son énergique petit clown semblait bien épuisé, mais il fallait aussi reconnaître qu’elle était très énergique.
« Je suis si heureuse de te revoir, ma douce… Je t’aime, toi, tu le sais, ça, hein ? Ma petite chérie… »
Et elle alla lui offrir un nouveau baiser, serrant son corps contre le sien.
À côté d’elles, Félicia et Aoki venaient également de se calmer. La Chatte Noire avait donné énormément dans cette ultime séance, bourrant le magnifique petit cul d’Aoki comme jamais auparavant. Elle s’était longuement déchaînée sur elle, maltraitant son cul avec ses griffes, jusqu’à sentir l’orgasme arriver. Félicia venait d’offrir l’une de ses meilleures prestations, une performance redoutable pour cette femme, véritable athlète, qui s’était abattue sur la jeune Aoki avec une énergie insoupçonnable. Il fallait aussi la comprendre, c’était la première fois que Félicia se retrouvait dotée d’un tel appendice. Elle avait entendu parler de l’hermaphrodisme sur Terra, et elle savait qu’Aoki rêvait de coucher avec une Futanari, mais Félicia n’aurait jamais pensé franchir le pas si… De manière si abrupte. Poison Ivy et Harley Quinn étaient entrées comme deux vraies tornades, balayant toutes les résistances des jeunes femmes.
« Hmmmmmmmmmmmm… A-AOOOKIIIIIIIIIIIII… !! »
Le plaisir atteignit le paroxysme, et Félicia se vida alors en elle, répandant sa semence dans les entrailles de la jeune femme, enfonçant ses griffes sur ses fesses, poussant un long cri de plaisir, avant de tout relâcher d’un coup, jouissant furieusement, balançant des chapelets de foutre en elle, avant de la relâcher. Sa belle Aoki, épuisée, s’écroula sur le sol, et Félicia, en sueur de partout, s’assit sur le rebord du lit, la respiration haletante, avant de se coucher dessus.
Pendant un certain temps, on pouvait juste l’entendre soupirer, et, comme preuve qu’elle était pleinement rassasiée, sa queue décrut, jusqu’à disparaître, la ramenant au statut de simple femme. Félicia reprenait lentement son souffle, avant de se redresser à nouveau, et d’attraper Aoki par les aisselles.
« Allez, ma chérie, tu ne vas pas dormir sur le sol, quand même… »
Pour une simple humaine, Aoki avait fait preuve d’une endurance incroyable, supportant les trois femmes en même temps, puis, ensuite, une Félicia déchaînée. La Chatte Noire se coucha donc sur le lit, tenant Aoki dans ses bras, une main sur ses cheveux, la tête de la femme nichée contre ses seins, la laissant observer le décor.
Ce qui, concrètement, revint à observer Pamela et Harley, faisant sourire Félicia.
« Les filles… Vous venez nous rejoindre ? »
Il faut dire qu’elles avaient également l’air, toutes les deux, d’être bien épuisées…
Cette soirée avait été folle !
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Y a pas à dire, sa Pamy, c'était la meilleure ! Elle aurait jamais pensé pouvoir faire ce genre de choses, pas avec une vraie queue en tout cas. À la limite avec des jouets mais l'effet n'aurait pas été le même. Mais là... Houla, Pamy en prenait pour son grade et ça se voyait qu'elle adorait ça, l'une comme l'autre. Mais même avec toute la bonne volonté du monde, Harley était une débutante dans le domaine alors elle n'avait pas tenu le coup bien longtemps, et même en recommençant, Ivy était d'accord pour réaliser sa petite envie du moment, à savoir l'arroser comme il faut. C'était une belle plante et pour ça, elle avait besoin de bien-être entretenue après tout. Ivy venait à la faire jouir à la seule puissance sexuelle de sa poitrine mais aussi de sa main qui venait porter le coup de grâce !
« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa Pamyyyyyyyy-chériiiiiiiie !!!!! »
Harley se cambrait un peu en arrière en laissant son canon à foutre tirer sur Pamela, lui arrosant le visage de sa crème blanche, ce ne fut que sur les dernières gouttes qui tombaient mollement, sans être tiré, qu'elle se détendait un peu pour observer le résultat qui était tout aussi beau que Pam. Elle venait lui offrir un nouveau baiser, Harley tentait d'éviter sa semence en même temps. Non pas par dégoût, mais après elles allaient rester coller encore ensemble et très longtemps.
« Moi aussi je t'adore ma belle plante. On m'avait jamais branlé comme ça tu sais ? »
En même temps... en dehors d'Ivy... Personne ne l'avait branlé comme un homme, comme une femme oui, bien des filles et autres y ont glissé leurs doigts ou autres mais pour son sexe tout dur, Pamy était la seule. Pour ce qui était du second couple, on les entendait moins, Aoki était littéralement à bout de souffle, elle n'avait même plus la force de continuer, même en lui promettant de belles choses, au mieux, elle serait aussi utile qu'une poupée de chiffon. Se faisant relever par Félicia qui la gardait dans ses bras une fois dans le lit, elle avait au moins la force de lever son visage vers elle en lui caressant doucement le visage.
« C'était grandiose ma Féli-nyan... »
Mais là, elle voulait juste dormir, demain, elle aura sûrement un peu mal au cul, sa Chatte Noir n'y avait pas été de mainmorte, les autres aussi mais surtout elle, ce fut vraiment fantastique. Elle restait contre elle, elle n'avait même pas la force de bouger un peu, de toute façon elle était bien installée contre elle. Harley et Ivy venaient les rejoindre aussi en se plaçant à leurs côtés, l'Arlequin taquinait Aoki en lui grattant le dos, chatouillant sa nuque mais même ça, elle semblait à peine réagir. Ça lui rappelait, elle quand Ivy la pussait vraiment à bout pour bien dormir ensuite. Posant sa tête sur son épaule, elle restait plus ou moins allongée sur son côté droit de Pamela en s'endormant doucement, la caressant pour trouver le sommeil, là où Aoki ne semblait avoir aucun mal entre les bras de sa Chatte Noire. Quel joli quatuor quand même !
FIN