Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => Discussion démarrée par: Shani Stevens le jeudi 25 juillet 2013, 12:44:50

Titre: Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Shani Stevens le jeudi 25 juillet 2013, 12:44:50
Elle avait encore couché avec un élève... Dans le secrétariat, sans pouvoir se retenir. Une pulsion tout simplement irrésistible, ce qui la chagrinait un peu. Shani luttait contre des pulsions contre lesquelles elle ne pouvait rien. Elle avait déjà suivi une thérapie avec un psy’ et avec une psy’, en pensant naïvement que le sexe changerait quelque chose. Elle avait fini par coucher avec les deux, et avait même été faire une cure dans un centre, où elle avait couché avec le docteur en charge de son éducation. Shani était partie à Seikusu en suivant des conseils, sans savoir, à chaque fois, qu’elle était manipulée par son père, Éros. Éros s’amusait de voir sa fille ainsi, et avait déjà couché avec elle, entretenant ses pulsions sexuelles.

Shani avait encore couché avec un élève, et avait aimé ça. Elle avait aimé que l’élève la traite de salope, et qu’elle éparpille toutes les feuilles dans le bureau. Elle avait honte d’elle-même. Shani n’était pas une pute, mais, avec son corps magnifique, et ses pulsions sexuelles qui survenaient sans qu’elle puisse les repousser, il allait de soi que la secrétaire avait bien du mal à se calmer. Elle avait donc décidé de se rendre dans un endroit où elle espérait recevoir des réponses : l’église de Seikusu. Shani n’était pas vraiment croyante. Elle se définirait plutôt comme une déiste. Shani pensait, sans pouvoir se l’expliquer, qu’il existait des êtres tout-puissants veillant sur eux, des divinités omniscientes, sans trouver aucune raison logique. Elle le croyait, tout simplement... Y avait-il une raison logique derrière les croyances ? Elle avait choisi de se rendre à l’église, car le christianisme, en tant qu’Occidentale, était une religion qu’elle connaissait bien.

C’était le soir, et l’église était relativement vide. Elle était également assez petite, n’ayant rien à voir avec la cathédrale de Notre-Dame, où Shani avait fait une partie à trois avec deux étudiants. Si Dieu existait, elle avait toutes les chances de finir une succube dans l’autre monde... Et cette situation, en réalité, l’attristait. De manière très paradoxale, Shani craignait que, là-haut, son père n’ait honte d’elle... Alors que, son père était très amusé par sa petite Shani, dans laquelle il influait une part de sa passion. Éros, après tout, était le Dieu de l’amour et de la puissance créatrice... Et c’était précisément ce qu’il avait fait avec Shani, sans même le vouloir. Elle était sa fille, et était donc un appel au désir, à l’érotisme le plus fort et le plus passionnel. Shani s’avançait vers la petite boîte du confessionnal. Cette église vide l’effrayait un peu, tout comme la croix avec le Christ au fond de l’autel, et toutes les bougies. Shani avait toujours adoré les chants grégoriens, des musiques extrêmement apaisantes et entraînantes.

Elle se glissa dans le confessionnal, et soupira, résistant à l’envie de partir en courant. Elle n’avait rien à faire ici, elle n’était même pas baptisée ! Et elle avait couché dans une cathédrale, elle avait joui dans le bénitier ! Qu’espérait-elle trouver ici ? Que cherchait-elle ? La rédemption ? Qu’est-ce que ça lui importait ?

*J’en ai juste marre, marre de ces pulsions qui m’assaillent...*

Shani ferma les yeux, avant d’entendre du bruit à côté, la faisant sursauter. Le prêtre était là. Elle déglutit, respira lentement, et lâcha la célèbre litanie, la formule de circonstance :

« Pardonnez-moi, mon Père, parce que j’ai péché... »
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Pere_Yves le vendredi 26 juillet 2013, 06:32:17
Parfois, je me demande ce qui m'a fait demander une mutation au Japon, au point que ma force de persuasion fut telle que le Saint Siège ne put refuser. Il me revient souvent en mémoire mes années d'évangélisation en Afrique, où, si l'argent était bien rare, il y avait une solidarité, et surtout une omniprésence. Alors que, dans ma modeste église de Seikusu, je ne puis parler de foule, y compris à la messe du dimanche, et s'occuper à nettoyer les cuivres pour passer le temps est une occupation dont je me lasse.
Mais je n'ai pas tout perdu ! Je ne sais si toutes les japonaises ont le feu là où je pense, mais certaines élèves du lycée Mishima ont volontiers souhaité des cours particuliers, et la sacristie est vite devenue plus qu'un simple lieu de prières. Oui, je sais, j'ai pratiqué le péché de chair interdit par mes vœux, j'ai même pratiqué le péché de sodomie honni par les saintes écritures, mais je puis jurer à Dieu que j'ai fait cela par amour de ma prochaine.
D'ailleurs, cela n'a jamais nui à mon ministère ; j'ai toujours reçu les fidèles (dont certaines même mariées voulaient un très profond réconfort), j'ai toujours assuré les services religieux et servi l'image de l'Eglise. Dieu reconnaîtra les siens, paraît-il ; je n'ai fait que le bien et, quand certaines criaient alors que je les baisais, elles n'avaient pas l'air de se plaindre.
J'aime parler de tout ça avec le Christ, tandis que je nettoie chaque jour la belle croix tout en chêne qui surplombe l'autel. Il fut mortel, il me comprend. Je ne l'embête pas avec quelque état d'âme, je lui parle plutôt de mes bons coups. Tiens, à propos de ça, j'entends des talons claquer sur la pierre du sol, à la petite porte d'entrée. A cette heure, ce doit être Madame Doustrebecq qui vient encore me dire qu'elle a fauté d'avoir accidentellement écrasé une araignée. Je suis encore bon pour une heure de confession, où elle va me raconter les galipettes de sa voisine avec un autre homme que son mari. Pauvre bigote, qui ne sait pas que l'autre, c'est moi !
Tiens, le siège du confessionnal qui grince, le siège de gauche j'en reconnais le bruit. Qu'est-ce que j'avais dit ? Allez, va pour une heure de prêchi prêcha, et elle repartira avec trois avé et deux pater jusqu'à demain. Le confessionnal est dans la partie un peu sombre de l'église, au moins offre-t-il quelque intimité, même s'il faut faire attention en marchant. Même pas envie de savoir si la vieille bique a encore mis sa sempiternelle longe robe à fleurs aujourd'hui, j'ouvre ma porte et je rentre dans ce lieu étroit. Zut, j'ai encore oublié de mettre de quoi surmonter certaines odeurs relevant plus de la luxure que de la prière !

« Pardonnez-moi, mon Père, parce que j'ai péché... »

La voix me saisit, non qu'elle soit désagréable et même bien au contraire tant elle est suave, mais parce que ce n'est pas la voix de la vieille saoulante. Pas davantage la voix d'une lycéenne de Mishima, qui verrait un tout usage au confessionnal, comme ce fut déjà le cas je l'avoue. Non, là, ce serait plutôt une voix européenne, une femme à la trentaine à mon avis. Eh oui, la confession est d'abord un jeu de devinettes, amusant parfois, décevant souvent ; il m'arriva de me caresser au seul son d'une voix, pour découvrir, effaré, que celle qui partit à la fin de la confession n'avait vraiment rien pour elle ! Mais revenons à notre brebis égarée...

« Bonjour, ma sœur, le Seigneur vous accueille en ces lieux et, par mon ministère, est prêt à vous écouter. Parlez sans crainte, il n'est pas là pour vous juger, et je vous donnerai son pardon. »

Je ne sais pas encore pourquoi elle est là mais autant aire du clientélisme pour la fidéliser ; si le reste est à l'avenant de sa voix, je veux bien devenir son con-fesseur attitré.
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Shani Stevens le dimanche 28 juillet 2013, 12:33:43
« Bonjour, ma sœur, le Seigneur vous accueille en ces lieux et, par mon ministère, est prêt à vous écouter. Parlez sans crainte, il n'est pas là pour vous juger, et je vous donnerai son pardon. »

Il avait une voix mâture, ferme, agréable. Shani se sentit en confiance, et ferma les yeux. Faisait-elle bien de dire à un prêtre qu’elle avait commis le péché de luxure ? Shani n’avait jamais fait de catéchisme, mais elle savait que l’Église ne rigolait pas avec ça. À quoi s’attendait-elle ? À un sermon ? Elle l’ignorait... Peut-être à ce qu’il lui dise quoi faire, que son sermon évoque des solutions... Diable, elle ne devait pas être la seule nymphomane à se confesser ! Mais, près du lycée Mishima, Shani avait bien compris que les mœurs sexuelles n’étaient pas les mêmes. Elle était partie au Japon pour profiter de sa réputation de rigorisme moral, pensant qu’un pays aussi sérieux puisse l’aider à lutter contre ses pulsions sexuelles... Et elle avait débarqué au lycée Mishima, où elle avait couché avec la directrice, sans savoir qu’Éros s’était débrouillé pour que seule Aphrodite daigne accepter sa candidature. Sa nymphomanie était autant liée à ses gènes semi-divines qu’à l’éducation discrète menée par son père divin.

Elle inspira lentement, tortillant ses doigts entre eux, dans sa belle tenue de secrétaire, incluant sa cravate, une chemise blanche à manches longues, qu’elle avait légèrement recourbé. Il y avait, sous la chemise blanche, une sorte de corset noir en toile, et elle portait une minijupe pouvant s’ouvrir, mais qui était fermée, permettant de voir une partie de ses jambes. Rien d’offensant sur n’importe quelle femme, mais, sur elle, elle ressemblait à une chaudasse ne demandant qu’à se faire péter le cul. C’est ainsi qu’un voisin lui avait défoncé les fesses alors qu’elle rentrait chez elle, le soir. Il portait une cagoule, et l’avait plaqué contre la porte, en défonçant sauvagement son derrière. Elle avait poussé de petits hurlements, avant de jouir contre sa porte, puis de lui faire une fellation. Et elle avait adoré ça, mais n’avait pas voulu savoir son identité. Se faire prendre par de mystérieux voisins, c’était bien plus excitant que par des individus qu’on connaissait.

« Je... J’ai commis le péché de luxure, mon Père... » avoua Shani en fermant les yeux, les doigts moites.

La secrétaire émit un nouveau soupir, avant de reprendre :

« Je... Il y avait cette fille... Au lycée... Elle était venue pour... Pour obtenir son relevé de notes, et... Je... Je n’ai pas pu résister à son petit air timide, à ce corps en formation... Et... Encore aujourd’hui, il y a eu... Ce garçon au secrétariat... »

La voix de Shani mourut dans sa gorge. Elle baissa timidement les yeux, sans rien ajouter, glissant ses mains entre ses cuisses. Devrait-elle avoir honte ? Quand elle repensait à ces scènes, elle ne ressentait qu’une sourde excitation, une chaleur qui remontait à hauteur de son bas-ventre, la titillant... Elle était incapable de penser à autre chose. La beauté l’attirait de manière incontrôlable.

« Je... J’ai déjà essayé... Des traitements, des soins, mais rien n’y fait... Le vice est en moi, mon Père, et j’ignore comment me soigner, comment me guérir... »

Shani n’osait pas regarder par la petite fenêtre grillagée, mais, en regardant à travers ce panneau, on pouvait voir une série de longs cheveux soyeux, ainsi qu’une silhouette permettant de voir une belle jeune femme... Qui confessait, dans le fond, être une véritable salope.
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Pere_Yves le dimanche 28 juillet 2013, 15:49:02
« Je... J’ai commis le péché de luxure, mon Père... »
Eh ben, si je m’attendais à ça ! pour de la franchise, ç’en est. C’est vrai que, depuis que j’enseigne au lycée Mishima, je me suis rendu compte que les mœurs de la nouvelle génération japonaise sont plus débridées que celles de leurs ancêtres, mais de là à s’auto-attribuer ce péché, il y a un pas à franchir. Pourtant, au petit accent de cet aveu spontané, je ne suis pas certain que j’aie affaire à une femme du cru. Je vois plutôt une européenne, pas encore la trentaine, avec une voix à damner un saint. Expression ô combien bienvenue, même si elle peut paraître incongrue en ces lieux. Mais, si elle se confesse tout du long avec la même voix, je risque d’avoir très chaud, quand nous en viendrons aux détails.
Tiens, ce sera l’occasion de tester le système que j’ai installé, la semaine dernière. Avec les micro-maméras en wi-fi, je devrais voir sa partie de confessionnal sur ma tablette ; mais il faudra vraiment que je fasse attention à ce que, au travers de la grille, elle ne détecte pas quelque luminosité malvenue.
« (…) Il y avait cette fille. (…) ce corps en formation. (…) Ce garçon au secrétariat... »
Oh, je commence à comprendre. Allez, Yves, ce n’est pas pour toi ; celle-là, elle fait dans la jeune génération ; tu peux déjà bander sous ton pantalon noir, ce ne sera pas pour toi. Allez, ouvre ta veste histoire d’aérer ton torse. Mais, là non plus, n’espère pas qu’elle glissera ses mains sous ta chemise blanche.
« Je vois, ma sœur, que votre appétit est énorme, et que la chair jeune et fraîche vous attire. »
Reste un espoir qu’elle aime quand même les hommes à la cinquantaine. Au moins ça te fera encore espérer.
«  Vous savez que Dieu est en désaccord sur les liens charnels entre deux jeune femmes ? ».
Oui, Yves, bien sûr, et évite de lui dire que c’est ton fantasme. Tiens, si elle t »invite à assister, tu ne refuseras pas !
« Mais là, ma sœur, si ces élèves étaient libres de toute attache, tout comme vous j’espère, vous n’avez fait qu’exprimer l’amour. Car, bien entendu, je ne conçois vos actes que comme des actes d’amour, naturellement. »
Mais je me rends compte que l’image de cette femme avec la jeune élève dans son bureau me met sens dessus dessous, et me fait même perdre le fil de mes mots. Comment étaient-elles vêtues ? Comment l’a-t-elle convaincue ? L’a-t-elle déshabillée ? Se sont-elles juste caressées, ou ont-elles utilisé des godemichés ?
« Je veux.. ; Euh, vous pouvez me raconter… Enfin, si vous voulez. »
Oh oui, j’ai envie des moindres détails ; ça ne va rien arranger à la bosse que je caresse doucement à travers mon pantalon. Mais peu importe. D’ailleurs, si j’essaie de ne pas faire le mindre bruit pour qu’elle ne perçoive pas ce léger va et vient sur le tissu, il me semble aussi percevoir, de son côté, de égers mouvements, et même un tissu que crisse un doigt. Elle n’est pas en train de se caresser, alors qu’elle se confie à moi ?
« Vous n’avez pas le vice en vous, ma sœur, rassurez-vous. Le vice est bien plus grave que ça. S’il ne s’agit que de deux élèves, le Seigneur vous pardonnera… à moins que vous ne m’ayez pas tout dit. Je suis là pour vous écouter, pas pour vous juger. Et la démarche que vous faites montre que vous souhaitez suivre la voie divine. »
Mais, quitte à me caresser, autant que je voie à qui j’ai affaire. Doucement, j’allume la tablette, léger sifflement, puis connection aux caméras. Eh ben, si je m’attendais à une telle apparition ! Elle est belle, ô mon Dieu, qu’elle est belle. Enfin, elle est belle, euh, pas que son adorable visage ou sa superbe chevelure, mais d’abord ses yeux où se lit la perdition de l’homme. Mais cette tenue ! La caméra haute zoom sans bruit, jusqu’à me confirmer que c’est bien un corset noir qui cache ses seins sous le chemisier. Et sa cravate. Hum… ne lui laisser que sa cravate, et la promener en la tenant ainsi. Voyons, Yves, tu dérailles ! Cesse immédiatement tes délires, c’est le Diable qui te les inspire. Quoique, pas besoin du Diable pour admirer la minijupe qui pourrait aussi bien s’ouvrir face à elle, que se trousser derrière elle. Yves, resaisis-toi. Et sans regarder ses mains qui frôlent ses jambes, comme si elles voulaient faire monter le plaisir au fur et à mesure de la confession. Oh, tu sais, ce n’est pas pire que ta main gauche qui a déjà défait ta braguette.
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Shani Stevens le mardi 30 juillet 2013, 14:51:47
Mains croisées entre les jambes, Shani écoutait le prêtre lui répondre. Une voix dans sa tête continuait à lui marteler que c’était une mauvaise idée, mais son attention se portait sur les propos du prêtre. Ce dernier la rassurait, lui disait qu’elle n’avait pas commis de péché... Tout en lui demandant de détailler. Shani tiqua. Détailler ? Était-ce quelque chose de courant quand on se confessait ? Shani devait bien avouer que c’était la première fois qu’elle pénétrait dans un confessionnal. L’endroit était petit, étroit, sombre, assez intimidant. Elle regardait à droite et à gauche, se disant que cet endroit n’était pas requis pour les claustrophobes. C’était comme être encerclée face à sa conscience, les murs noirs formant des toiles qui permettaient de voir ses démons et ses cauchemars. Ainsi donc, elle n’avait pas fauté ? Mais pourquoi se sentait-elle si coupable, alors ? Ses doigts remuaient entre sa minijupe, alors qu’elle ne voyait évidemment pas l’objectif de la caméra. Elle soupira, tête baissée. Peut-être que décrire lui ferait du bien, après tout. Oui, ce n’était pas impossible.

Shani soupira donc, replongeant dans ses souvenirs... Des souvenirs qui étaient loin de la laisser indifférentes.

« Elle... Elle s’appelle... »

Shani ne dit rien, récupérant son petit sac à main, triturant à l’intérieur pour en sortir la photo de la concernée. Une belle petite lycéenne. Elle s’appelait Naoko (http://warrenlouw.deviantart.com/art/Babydoll-214402957?q=gallery%3AWarrenLouw%2F3992653&qo=23), et Shani raconta au prêtre cette histoire. Naoko était une lycéenne très douée, notamment en Histoire. Elle adorait le Japon, mais venait de déménager, et l’administration, du fait du nombre d’élèves, n’avait pas pu lui transmettre son relevé. Par conséquent, elle était venue au secrétariat. Il faisait chaud, et le ventilateur tournait sur le bureau de Shani, en mode stationnaire, atteignant le corps de Naoko, relevant légèrement sa jupe de lycéenne.

« Elle... Elle est tellement belle... Je me suis relevée pour fouiller dans les casiers, tout en profitant pour bomber légèrement mon fessier, comme... Comme j’ai l’habitude de le faire quand... Quand quelqu’un me plaît. »

Le prêtre croyait qu’elle n’avait couché qu’avec deux élèves, mais pouvait-elle lui dire que son palmarès comprenait bien trois chiffres ? Elle déglutit encore, sa langue passant sur ses lèvres, et poursuivit, en enroulant un doigt dans ses mèches de cheveux. Elle avait rejoint Naoko, en tenant le papier, et, sous l’effet du ventilateur, ce dernier était malencontreusement tombé. Le scénario était digne d’un mauvais film pornographique, mais, à Mishima, c’était entièrement suffisant. En le ramassant, Shani s’était rapprochée de Nako, si près que, en relevant la tête, leurs souffles s’étaient croisés. À partir de là, Shani l’avait embrassé. Un baiser sec et tendre, bref.

Elles s’étaient regardées ensuite, interdites, surprises, la main de Shani sur la nuque de Naoko, qui y avait répondu, en se blottissant contre elle, gémissant de plaisir, ses jambes se frottant contre son bassin. Shani racontait la scène avec précision, tout en basculant sa tête en arrière, la faisant poser contre sa tête, écartant légèrement les jambes, approchant l’une de ses mains de son intimité. Rappeler ce spectacle l’émoustillait.

« J’ai posé une main sur ses fesses..., dit-elle, sur un ton plus déterminé. Si vous saviez, mon père... De belles petites fesses douces et tendres, rondes et moelleuses. J’y ai glissé mon doigt, sentant son shorty se serrer, et je l’ai étalé sur mon bureau, renversant mes papiers, en dégrafant sa chemise... Ses seins étaient comme deux belles pointes se dressant joyeusement devant moi, alors que je lui suçais ses tétons, sous les bonnets de son soutien-gorge. Haaa, elle gémissait de plaisir en se tortillant, les joues rouges, et moi, j’avais peur qu’un autre élève n’entre... Ou que ce soit le directeur-adjoint, Sushira-san. »

Elle avait eu peur, tout en étant étrangement excitée à cette idée.

« Sushira-san se fait passer pour quelqu’un de respectable, venant en costume et tout... Mais il mate des magazines pornos en cachette dans son bureau, et se masturbe sur les photos de classe des élèves... Je l’ai vu en allant dans son bureau de manière inopinée... Il avait un sexe énorme, une vraie matraque... Il a eu peur que je le dénonce, il s’est énervé, m’a giflé. Je suis tombée contre son bureau, et il m’a prise comme ça... En plein dans le cul, j’en ai mal pendant une semaine, à soupirer en posant mes fesses sur n’importe quelle siège. Oh, c’était si bon, mon père... Je jouissais comme une petite catin, et je l’ai baisé sur son fauteuil, toute nue, en me masturbant avec des papiers administratifs... »

Et, tout en parlant, Shani se caressait. C’était plus fort qu’elle... Quand elle disait qu’elle était une nymphomane !
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Pere_Yves le mercredi 31 juillet 2013, 06:53:28
« Elle... Elle s'appelle... »

Hum, voilà, oui ma chérie, détends-toi. Allons, Yves, concentre-toi, ce dot être la meilleure succube envoyée par Satan pour te pervertir pour de bon ! Tu n'aurais pas du défaire ta ceinture ; avec la braguette ouverte en sus, imagine qu'on te voie, quelle honte ça te ferait !

« Vous pouvez tout me dire, la confession est un acte volontaire et confidentiel. Et même si vous me donnez votre nom, ou simplement votre prénom, il demeurera secret. »

Hum, et si je sais de qui tu parles, je sens que je vais en profiter, pour peu qu'elle assiste à mes cours de théologie. Toi et elle et moi, mon fantasme !
La photo, la caméra basse zoome et, malgré une définition moindre, quel délice, quelle douce vision ; oui, il me semble qu'elle était à mes cours, Naoko il me semble. Ainsi, cette frêle élève n'avait donc pas froid aux yeux. Sait-on jamais, si j'ai l'opportunité ?
Mais une expression me renvoie à la réalité, « bomber légèrement on fessier ». Avec une minijupe pareille, ça doit être... divin. Pardon, Dieu, mais, là, c'est vraiment le mot, et je n'ai pas encore tout vu pour te le confirmer.
Je sens mon sexe de plus en plus pousser sur mon caleçon ; cette femme est un incendie à elle seule, et il me faudra faire quelque chose avant de sortir moi-même du confessionnal ! Rien que de voir, sur l'écran, sa main se perdre dans une mèche de cheveux, et j'imagine les miennes guidant sa tête tandis qu'elle me suce. Il faut déjà que je parvienne à contrôler ma respiration, sinon elle va s'inquiéter. Mais on dirait que je ne suis pas le seul dans cet état ; je vois sur la caméra inférieure sa main qui se promène, dommage que l'intérieur de sa jupe soit encore dans l'ombre.
« Si vous saviez mon père (…) ». Hum, cette description... Ces fesses et ce petit trou qui résiste... Ses tétons, sucés par une femme... Je vois la scène, j'y suis... Non, Satan, arrête et reprends ta succube !
« Oui, ma sœur, c'est bien, décrivez-tout pour libérer votre corps du tourment ». « (…) peur qu'un autre élève entre ». Oh, comme j'aurais aimé entrer et, la trouvant penchée sur le bureau, la tête sur la poitrine de Naoko, juste lui relever cette minijupe et la prendre sauvagement !
« (…) Ou que ce soit (…) Sushira-san ». Le coup m'a abasourdi par sa soudaineté et sa violence. Que vient faire cet être abject ? Je le connais, ce pourri ; c'est le directeur adjoint du Lycée Mishima. J'ai eu droit à deux ou trois de ses visites dans mes cours de théologie, et je déteste son regard vicieux. J'ai même cru entendre qu'il avait forcé certaines lycéennes ; mais, comme aucune n'osera porter plainte, il est tranquille. Et, si je m'en mêle, il me fera virer, en me coupant ainsi de ces adorables élèves !
Et, cette femme, ce serait donc la secrétaire, Mademoiselle Shani je crois. Ce serait elle, dont j'avais deviné en interceptant un SMS de Sajikuro, qui l'aurait dépucelé. Et elle aussi, dont parlaient Maruka et Tinsha à leurs copines, en évoquant un plan à trois. Allons, Yves, reprends-toi, tu ne peux avoir une telle bombe dans le confessionnal.
Sushira-san, cette ordure, c'est bien lui, et il a osé la violer ! Enfin, vu comme elle le décris, je ne dirais peut-être pas ça. Il m'écoeure, ce gros porc !
« Ce n'est pas bien, ma sœur ; vous savez que les préceptes de l'Eglise interdisent d'utiliser le vase inadéquat ».
En fait, Shani, je suis sûr que je peux te défoncer le cul, à ce que tu ne puisses même plus t'asseoir pendant un mois. De toutes façons, tu n'attendrais même pas un mois, et tu viendrais me supplier de recommencer. Tiens, oui, me supplier à genoux comme une priante à qui j'offre mon sexe pour une fellation, avant de te sodomiser sur le banc de velours rouge du déambulatoire. Si le seul nom de Sushira-san m'avait fait débander, imaginer cette scène me redonne une trique d'enfer. Allons, Yves, fais attention à ton vocabulaire !
« Mais ce n'est pas de votre faute ; il vous a forcée, enfin au début, et vous avez été victime du péché de luxure malgré vous. Vous avez cédé au péché de luxure, mais vous n'êtes pas une catin comme vous dites. Dieu vous comprend et, par mon intermédiaire, il saura soulager votre âme et les tourments de votre corps. »
Ouais, tu parles, Yves, tu n'as pas vraiment envie de soulager ça par la prière... Regarde comme tu bandes, regarde ta main gauche qui caresse cette bosse, regarde les images sur les deux caméras, et ose dire que tu vas la renvoyer avec deux pater et trois avé !
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Shani Stevens le jeudi 01 août 2013, 01:23:28
« Ce n'est pas bien, ma sœur ; vous savez que les préceptes de l'Eglise interdisent d'utiliser le vase inadéquat. »

Le « vase inadéquat »... Il fallait croire que ce religieux était un peu poète ; quelle élégante manière de décrire une sodomie ! Un vase... L’image, dans le fond, n’était pas totalement fausse, mais Shani, en réalité, se moquait bien que l’Église interdise la sodomie. Elle savait qu’il avait existé, jusqu’en 2003, des États américains interdisant la sodomie. L’Église avait du mal à admettre ce qui se passait entre les fesses, ce que Shani avait du mal à comprendre. Si elle adorait se faire prendre par son vagin, elle devait bien admettre qu’une sodomie ajoutait une brutalité tout simplement exquise dans les rapports sexuels. Shani adorait qu’on lui déchire les fesses, qu’on enfonce un gros pieu de chair en elle, qu’elle se sente écartelée, avec cette douleur qui explosait dans son corps, remontant le long de son être, comme si de l’acide brûlait son estomac en remontant le long de son échine. C’était intense, et merveilleux.

Yeux clos, la secrétaire de Mishima avait bien du mal à se retenir, peinant à se contrôler. Elle avait en tête sa séance avec le directeur-adjoint. La rumeur disait que Sushira-san avait été viré d’un lycée à Tokyo pour un scandale sexuel. Un procès avait eu lieu, mais il avait réussi à le gagner, faute de preuves pour l’incriminer. Il avait été poursuivi par les parents d’une fille que Sushira aurait violé. Sushira avait des pulsions incontrôlables, et avait bien failli être radié de l’éducation nationale... Si la directrice de Mishima n’avait pas estimé opportun de le reprendre, parvenant à convaincre l’académie de lui offrir une seconde chance.

« Mais ce n'est pas de votre faute, reprit l’homme. Il vous a forcée, enfin au début, et vous avez été victime du péché de luxure malgré vous. Vous avez cédé au péché de luxure, mais vous n'êtes pas une catin comme vous dites. Dieu vous comprend et, par mon intermédiaire, il saura soulager votre âme et les tourments de votre corps. »

Elle sourit. Elle aurait pu s’en tenir là, et partir. Visiblement, son innocence était préservée... Mais elle ne pouvait pas mentir, pas devant un prêtre. Shani sentait sa culotte s’humidifier, et soupira légèrement, en rouvrant les yeux.

« Ce... C’était la première fois que Sushira-san me prenait... Mais pas la dernière. »

Shani ferma à nouveau les yeux, et parla. Se confesser, ça faisait du bien, et elle sentait effectivement le poids de sa conscience s’amenuiser, au profit d’une sensation familière et agréable entre les cuisses.

« Je... Je l’ai surpris dans une salle, une fois... Il... Il faisait l’amour avec une lycéenne... Et... Je les ai rejoints... Nous avons fait l’amour pendant plus d’une heure, tous les trois, c’était si bon... Et, même au-delà de Sushira-san, je me suis déjà fait prendre par deux lycéens en même temps dans les toilettes... Un devant... Et un derrière... Prendre plaisir à la sodomie, est-ce un péché, mon Père ? Car, si c’est le cas, alors, je suis coupable... »

Rien qu’à y repenser, elle en mouillait encore. Irrécupérable traînée, Shani ne pouvait s’empêcher d’apprécier le sexe, qu’il soit forcé ou non. Éros l’avait éduqué ainsi, en faisant une nymphomane pure souche. C’était presque une forme de dédoublement de la personnalité. Si Shani pouvait être très calme et normale, quand ses pulsions la prenaient, elle était incapable d’y résister. Elle ferma les yeux, en se touchant, glissant ses doigts sous la culotte, et ne put retenir un gémissement, alors que son autre main venait s’agripper à la grille.

« Il... Il fait si chaud, ici... Comment faites-vous pour ne pas suer, mon Père, dans un endroit... Aussi étroit ? »
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Pere_Yves le jeudi 01 août 2013, 23:53:38
Je ne pensais pas que Sushira-San me poursuivrait jusqu'ici. Cet homme est un non-sens pour l'éducation des jeunes filles, mais pas que d'elles ; je suis même sûr qu'il a couché avec la directrice pour qu'elle le reprenne. Il méprise mes cours de théologie mais moi, au moins je ne prends pas les femmes pour de vulgaires bouts de chair.

« (…) pas la dernière. »

Ce salaud harcèle donc ses victimes. Cette pauvre jeune femme pourrait en témoigner, enfin si elle songe à légèrement modifier ses termes. Car, vu ce que ma caméra basse renvoie sur l'écran du I-Pad, je ne pense pas qu'elle regrette vraiment ce qui s'est passé. Vu comme ses jambes ont tendance à s'ouvrir, et comme ses mains s'insinuent sous sa jupe, elle est dans un état d'excitation certain, en racontant ses exploits.

« (…) plus d'une heure, tous les trois (…) deux en même temps (...) ».

Jamais les lycéennes ou autres rombières, entendues en confession, ne m'avaient raconté de telles prouesses. Arrête de te voiler la face, Yves ! Elle n'est pas si prude que ça, elle est même conforme à sa réputation. Rappelle-toi la première fois dont tu en as entendu parler, tu rêvais de la rencontrer. As-tu oublié que, le soir même, dans ton lit, tu te masturbais, sans même la connaître ? Alors, maintenant qu'elle est tout près, tu ne vas pas la laisser partir !

« (…) Prendre plaisir à la sodomie, est-ce un péché, mon Père ? Car, si c'est le cas, alors, je suis coupable... »

Oh Dieu, combien de fois m'as-tu dit que c'était mal ? Mais as-tu vu comment cette jeune femme en a tiré un plaisir certain ? Ne crois-tu pas que je pourrais l'aider ?

« Un péché, oui, et il suffit de lire la Bible pour s'en convaincre. Mais, euh... enfin... Vous, ce n'est pas pareil. Vous ne... enfin, c'est comme si... En fait, c'est malgré vous, donc Dieu ne peut vous en tenir grief. »

Je suis en train de basculer, je ne sais pas où. « (…) un endroit... aussi étroit ». L'expression me balance une décharge violente dans le bas-ventre. Avec tout ce qu'elle vient de me dire, c'est un autre endroit étroit qui s'impose à mon imagination ! Ses fesses, oui ses fesses, comme il doit être bon de les voir cambrées, comme il doit être bon de les sentir s'ouvrir, comme il doit être bon de s'y enfoncer. Ca me met dans un état second ; jamais l'une de celles qui vint dans ce confessionnal ne m'a mis comme ça ! Mon sexe me fait mal, retenu par le caleçon, et ma main sent même une goutte perler à travers le tissu.

Sa voix douce et sensuelle, sa main qui s'agrippe à la grille, ses doigts longs et fins que je verrais bien glisser tout au long de mon sexe... « Oui, vous avez raison ; il fait très chaud ici ». Et je me demande si elle peut en ignorer la raison. « Si vous avez trop chaud, mettez-vous à l'aise ; nul ne pourra vous voir derrière le rideau. Enfin, j'espère que vous l'avez bien tiré. ».
Ses doigts, oh, ils me... Je me penche, juste un baiser sur leurs bouts, un baiser bien chaste eu égard au feu qui brûle en moi. « N'ayez nulle crainte, ceci est juste l'expression de la présence de Dieu à vos côtés, si vous souhaitez libérer tout ce qui pèse sur votre conscience. ».
Arrête, Yves ! C'est  n'importe quoi... Tu n'oses même pas lui avouer que, plus elle en raconte, plus ça t'excite.
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Shani Stevens le lundi 12 août 2013, 12:34:21
Si Shani avait été moins excitée, moins... Moins plongée dans son joyeux passé, plus réactive, elle aurait sans doute senti qu’il y avait quelque chose qui ne collait pas avec ce prêtre. Elle aurait senti le cafouillage de ce dernier, elle aurait vu son hésitation, et aurait compris de quoi il s’agissait. Cependant, quand on avait en tête les pénétrations intenses de Sushira, il était difficile de se contrôler, de penser à autre chose. Le sexe avait pour lui de réussir à monopoliser à la perfection votre attention, à tel point que penser à autre chose était excessivement difficile. Shani était retombée dans cette tornade rose et sensuelle devant laquelle elle avait bien du mal à se détacher, à se libérer. Seulement... Et bien, même excitée, elle n’était pas totalement idiote, et, quand le prêtre l’embrassa sur le bout des doigts, elle tourna la tête, clignant des yeux. C’était... Assez inattendu de la part d’un homme de foi. Shani retira ses doigts, essayant de comprendre la signification de ce baiser... Tout en le comprenant très bien. Toute son éducation avait été marquée par des hommes qui auraient du ne pas être attirés sexuellement par elle, et qui lui avaient pourtant fait l’amour : professeur, psychiatre, docteur... Alors, un homme de foi ? Était-ce si surprenant ?

Elle repensa à ce qu’elle lui disait. Il lui conseillait de « se mettre à l’aise »

« N'ayez nulle crainte, ceci est juste l'expression de la présence de Dieu à vos côtés, si vous souhaitez libérer tout ce qui pèse sur votre conscience. »

Son mensonge aurait peut-être marché devant une jeune fille baignant dans le catéchisme, mais, devant Shani, ça ressemblait surtout à ce que c’était : une excuse rapidement sortie pour justifier son comportement, en espérant que Shani ne fuirait pas rapidement. C’était, en théorie, ce qu’elle devrait faire. Mais, en théorie, il y avait beaucoup de choses que Shani devait faire, et qu’elle ne faisait nullement. Elle était attirée par ça, et elle sentait très bien que le prêtre était excité par elle. Un pervers à Seikusu, si près de Mishima ? Ce serait surprenant ! Shani se mit donc à sourire, légèrement, et se mit donc à l’aise, remuant un peu sur son siège, remuant ses cheveux, lentement, de manière sensuelle. Oh, elle ignorait que le père pouvait la voir, mais ce n’était pas grave. Elle se disait qu’il pouvait imaginer.

« Pour être tout à fait honnête... C’est la première fois que je suis dans un confessionnal, et... Et bien, je ne sais pas trop si le rideau est... S’il est vraiment fermé ou non... »

C’était une ficelle grosse, mais, dans le sexe, plus c’était gros, et plus ça marchait.

« Vous... Vous ne voudriez pas aller vérifier ? Ainsi... Je me sentirais plus... Plus proche de Dieu... »

Elle savait, si elle ne se trompait pas, qu’il aurait du mal à ne pas regarder à travers. Shani se mettait subitement à fantasmer sur l’idée de lui sucer la queue en confession, pendant qu’une autre ouaille venait se confesser. La petite secrétaire était décidément incorrigible.
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Pere_Yves le mardi 13 août 2013, 05:48:51
Yves, qu’as-tu fait ? Un tel baiser, que va-t-elle penser ? Instinctivement, je regarde l’écran du I-Pad. De mieux en mieux, sa main est sous sa jupe, et la caméra inférieure me fait comprendre que son doigt est posé sur sa culotte. Ses jambes sont écartées, en toute impudeur ; j’espère qu’elle n’a pas réalisé que deux caméras me permettent de voir son image. Dieu, tu vas réussir à me damner ! D’ailleurs, ma main gauche est toujours active, et aimerait ouvrir ma braguette. C’est vraiment la première fois que je fais ça dans le confessionnal ; il faut dire que la pécheresse n’est pas une Sainte-Nitouche et que, ne sachant pas a priori que je l’observe, elle est de plus en plus à l’aise, elle laisse ses cheveux aller, elle ondule à ne plus savoir où j’en suis.

« (…) C’est la première fois que je suis dans un confessionnal (…) ». Ca, je m’en serais douté ; un tel ouragan chez quelque confrère que ce soit, j’en aurais entendu parler ! Mais, pour le moment, c’est à moi que s’offre ce plaisir, et je ne le laisserai à nul autre.

« C’est bien d’avoir eu cette démarche, vous vous sentirez mieux après. » Ouais, Yves, c’est ça ; et, pendant que tu y es, continue ta phrase ! Toi aussi, tu te sentiras mieux après. Allez, tu as le choix : soit parce que tu vas courir te masturber dans la sacristie, soit parce que tu vas faire avec elle comme avec des lycéennes de Mishima.

Mais de là à s’inquiéter pour le rideau, c’est tout aussi nouveau. Certes, il est sûr que, si une vieille bigote venait à l’église, et voyait une jeune femme se trémousser dans le confessionnal en se caressant. Mais je ne suis pas en état d’aller vérifier, ou la bigote va tomber dans les pommes en voyant comme mon pantalon est déformé !

« (…) aller vérifier (…) ». Vraiment pas de chance, elle y a pensé. Je ne peux pas me défiler, mais je ne peux pas y aller comme ça. Et, si elle continue à me mettre dans cet état, je vais finir par ne plus répondre de rien. « (…) Plus proche de Dieu (…) ». Voilà l’argument massue, que je n’attendais pas, et qui m’interdit de me défausser. Il faut que je reprenne le contrôle de la situation, mais, dans la pose qu’elle offre à mes caméras, ça va être difficile de faire comme si de rien n’était.

« Oui, vous avez raison ; il faut prendre toutes les précautions, pour mieux être en con-fession. »
Je ne maîtrise plus rien, ou quoi ? Voilà bien le jeu sur les mots le plus ringard, mais surtout le plus osé que j’aie fait ici. Allez, Yves, il faut y aller ! Elle t’a demandé de vérifier le rideau…
Mon pantalon est distendu, mon caleçon ne demande qu’à s’abaisser ; il faut que je parvienne à sortir du confessionnal sans rien révéler. La porte grince, elle va savoir que je viens vérifier.

« Je sors, ne vous inquiétez pas ; je ne vais pas au loin, juste plus près de vous ».
Oui, ça y est ; tu as vraiment craqué ! Continue sur les sous-entendus, et ne t’étonne pas de ce qui arrivera. Et je continue, main gauche toujours sur mon sexe, comme pour dissimuler sa tension. Un rapide coup d’œil circulaire, l’église semble déserte heureusement. Le rideau, enfin, soigneusement tiré. Juste en me penchant, ses jambes, juste le bas de ses jambes, plus belles encore que sur mon I-Pad, des jambes qui se sont écartées quand elle s'est fait baiser par ce salaud de Sushira-San, et aussi quand des lycéennes lui ont bouffé la chatte. Si ça se trouve, ce sont les mêmes qui m'ont sucé le sexe aussi ! Rien que l'image, et ma main gauche sent mon sexe tendre le tissu plus encore. Allons, Yves, reprends-toi ; il y a peut-être une vieille bigote agenouillée devant l'autel, qui prie. Eh bien, qu'elle prie encore...
« C’est bien fermé, n’ayez aucune crainte ».
Ma main a vérifié, passant sous le bas du tissu, mais avec une folle envie d’écarter ce rideau, plutôt que de le fermer à tous les regards, y compris au mien. Allez, Yves ; juste une fois, juste pour voir en vrai, juste pour la voir vraiment la main entre les cuisses. Hum, et si je lui proposais de remplacer son doigt par ma langue ? Là, derrière le rideau, m'agenouiller et lécher son sexe qui doit être brûlant. Je ne serais pas le premier, et peut-être même serait-ce un acte de charité chrétienne que de la soulager de ses tourments. Non, ça ne se fait pas ; on pourrait nous voir, à moins que ce ne soit elle qui vienne dans mon confessionnal. Yves, c'est interdit, voyons ! Allez, juste pour voir, sans rien de plus. Dieu ne l'interdit pas. Après, promis, enfin j'essaierai, je retournerai à ma place.
Je repose ma main sur le rideau, je tremble un peu, je ne sais quel motif je vais lui donner.
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Shani Stevens le jeudi 15 août 2013, 02:15:55
Peut-être que c’était la manière normale dont les choses devaient se dérouler, en définitive... Quand on y réfléchit, pourquoi le sexe devrait être considéré comme un péché ? C’était la seule manière de reproduction qui existe au monde, la seule manière dont l’espèce humaine pouvait continuer à exister. C’était la procréation, et, si la procréation était un péché, alors tout était péché. Shani voulait bien admettre que le sexe forcé était condamnable, mais pourquoi condamner le sexe librement consenti ? Shani n’avait jamais été violée, même quand on la forçait. Le sexe était central pour elle, c’était l’expression physique et matérielle du sentiment amoureux, c’était la plus grande joie qu’un être humain pouvait ressentir en ce bas-monde. Il n’y avait de rien de comparable à cette extase foudroyante qu’elle ressentait quand elle jouissait. Elle avait déjà eu des centaines d’orgasmes, et autant d’amants, mais elle prenait toujours autant son pied en faisant l’amour.

« Oui, vous avez raison ; il faut prendre toutes les précautions, pour mieux être en con-fession. »

Elle sourit, comprenant l’allusion. Peut-être que cette interdiction liée au sexe n’avait que comme but de mieux stimuler encore l’excitation ? Shani s’était toujours posée cette question. Pourquoi vouloir brimer ce qui était délicieux ? Était-ce pour dissuader les gens de faire l’amour, ou, tout simplement, pour rendre cette scène encore plus délicieuse ? Faire l’amour dans un lieu interdit, dans un endroit où le sexe était défendu, rendait la scène encore plus excitante, encore plus chaude, encore plus délicieuse. C’était encore meilleur, tout simplement. Il y avait, en effet, outre le sentiment de plaisir, la sensation grisante d’être libre, en enfreignant les règles. Il n’y avait pas à dire, c’était encore mieux. Un vrai délice ! Shani se trémoussait sur place, en entendant le prêtre se lever, et faire le tour, lourdement, pesamment.

Avait-il la trique ? Pourquoi avait-il fallu que l’Église catholique n’autorise que les hommes à être prêtres ? C’était d’une stupidité sans nom, ils étaient beaucoup plus enclins à la tentation que les femmes, dans la mesure où il était bien plus facile de voir s’ils étaient excités ou non. L’excitation sexuelle, une femme talentueuse pouvait réussir à la dissimuler, et il fallait vraiment s’y connaître, et l’observer, pour le voir. Inversement, quand un homme bandait, la déformation était assez facile à voir. Elle le sentit derrière le rideau, l’imaginant tremblant de désir, en sueur. Il faisait très chaud dans ce confessionnal.

*Je suis venue en victime demandant l’absolution, et je me retrouve en succube tentatrice...*

Elle aurait pu éclater de rire devant l’ironie de l’histoire, mais parler de ses fresques sexuelles avait réveillé sa libido débridée. Shani était vraiment incorrigible. Elle sentait le prêtre s’activer derrière le rideau, se doutant qu’il ne voulait qu’une chose : tirer le rideau, et baiser fermement l’insolente secrétaire, qui l’avait tenté. Elle savait qu’il ne souhaitait que ça, mais qu’il était en lutte. Ce ne serait pas très chrétien, devait-il se dire. Dans la maison de Dieu, qui plus est... Mais Shani l’avait déjà fait, sous le regard du Christ en personne. Une chose qu’elle n’avait jamais compris : comment l’Église pouvait-elle prêcher l’amour et la tolérance en vénérant une image de torture ? Shani n’était pas très religieuse, ce qui était aussi liée à ses origines divines. Les Olympiens et les Dieux anciens n’aimaient que fort peu les Chrétiens, qui s’étaient acharnés à rendre les cultes anciens païens et sataniques.

« C’est bien fermé, finit-il par dire, n’ayez aucune crainte »

Pour autant, le prêtre restait là, et elle voyait sa main s’aventurer. En souriant, Shani comprit qu’il avait du mal à résister. Elle allait donc devoir l’aider dans ce choix. Peut-être bien que la Bible avait raison, en disant que la femme était le sexe tentateur, après tout. Elle réfléchit rapidement, se mordillant les lèvres.

« Merci, mon Père... »

Elle lâcha le dernier mot sur un ton sensuel, légèrement exagéré, sachant que, quand un homme était en proie à l’excitation, un tel comportement pouvait l’exciter facilement. Elle réfléchit donc, puis entreprit de se redresser, de s’avancer légèrement. Le confessionnal était vraiment petit, et elle avança donc son pied, après avoir ôté sa chaussure et sa chaussette. Son pied alla sous les doigts du prêtre, filant ensuite sous le rideau, remuant ce dernier, l’extrémité de ses doigts de pied apparaissant de l’autre côté du confessionnal.

« Puisque vous estimez nécessaire de rester derrière le rideau, mon Père, aidez la pauvre ouaille que je suis à se détendre... J’ai mal au pied, et il a besoin de toute votre attention. »
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Pere_Yves le jeudi 15 août 2013, 12:26:07
La première grenouille de bénitier qui me dit qu'il fait froid dans l'église, je lui fais ingurgiter toute la barrique de vin de messe ! J'ai des bouffées de chaleur comme celles de ces vieilles bigotes, mais c'est parce que j'ai une de ces triques. Si l'église était fermée, je crois que je culbuterais cette pénitente sur tous les autels et à chaque étape du chemin de croix ! Mon sexe me fait presque mal tant il regrette d'être emprisonné dans son enveloppe de tissu ; je me demande même si j'ai déjà désiré une femme à ce point. Bon, on enlève la première que je n'ai jamais eue, et toutes mes années de chasteté forcée ; mais, depuis que j'ai découvert les lycéennes de Mishima, je ne crois pas avoir éprouvé un tel désir, presque sauvage, et même si Sushira-San m'a précédé. Il paraît que ce salaud a été bien doté par la nature, mais il ne faut pas oublier que je le battrais à plate couture sur la durée, tant -allez, autant l'avouer, les années d'onanisme m'ont appris l'endurance et le nombre- je saurais bander encore quand lui serait tout mou !

« Merci, mon Père », il n'y a même plus la grille entre nous, et le rideau donne à sa voix une tonalité chaude. Ah ouais, Yves, tu crois vraiment ça ? Soit tu as perdu la tête, soit elle commence à perdre la sienne à force de se caresser dans ce confessionnal ! Et après ? Je m'en moque, seul compte ce que j'ai envie de faire. Oh Dieu, ne me juge pas ; tu sais que je ne suis que l'instrument qui épand ton amour, et que je ne fais jamais rien de mal. Allez, je te promets d'être sage si elle cesse de me troubler -oui, tu sais comme moi que je ne pourrais pas m'empêcher, si elle arrêtait, de courir m'enfermer dans la sacristie pour me soulager, mais c'est humain ça- ou plutôt j'essaierai de me contenir.

La réponse vient d'elle-même, quand un adorable pied féminin apparaît sous ce rideau, objet de toutes mes hésitations. Un pied comme sculpté par ces artistes dont je vis les oeuvres au Vatican, la perfection faite femme, et des orteils si adorables et si menus, avec des ongles vernis d'une attention soutenue.
Cachant toujours la bosse de mon pantalon sous ma main gauche, comme si l'illusion était encore permise, comme si quelque bigote intruse penserait plutôt que je suis en train de me masturber, j'avance timidement la main droite, frôlant ce peton menu à la peau si douce, songeant qu'il fut sans doute gainé d'un bas noir ou cambré sur un escarpin en d'autres circonstances. Un contact exquis et troublant, que je n'avais jamais connu. Jetant un rapide coup d'oeil alentour, pour m'assurer d'une parfaite quiétude, je commence à dessiner de mon index les contours de cette cheville délicate, les arrondis de ces orteils si menus, le nacré de ces ongles si joliment dessinés.

« Vous avez le pied d'une déesse, et la charité chrétienne me demande de ne pas laisser dans la souffrance une si belle réalisation du Seigneur ».

Allez, Yves, continue de te bercer de faux semblants, et de jouer sur les mots ! Tu perds ton sang-froid, peut-être au pied d'une succube. J'avoue que ça ne me retient plus vraiment... et, après un nouveau coup d'oeil alentour, je m'agenouille sur le sol froid et, inclinant mon visage, je pose la pointe de ma langue sur le pouce. Qui pourrait y voir à mal ? Même la Bible évoque le soin que chacun prend envers les pieds de son voisin. Où donc ferais-je le mal, à ainsi soulager une ouaille qui souffre de son pied ? Ma langue savoure cette découverte, ce geste anodin enfin presque, ces sauts d'un orteil à l'autre, tandis que ma main droite masse la cheville en de lentes circonvolutions. J'interromps juste un instant, pour la rassurer.

« J'espère que je parviens à soulager votre souffrance. J'ai fait vœu d'aider mon prochain, et je dois tout faire pour vous aider à retrouver la sérénité. »

Et c'est pour cela que je me penche de nouveau, goûtant de ma langue la douceur de sa peau. Un prêtre au pied d'une succube ? Voyons, il n'y a que dans les images qu'on voit ça...
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Shani Stevens le vendredi 16 août 2013, 02:27:13
Elle avait retiré son bas du pied que le prêtre était en train de caresser, frissonnant de désir. Shani était aussi une fétichiste, pour parfaire son tableau de petite traînée. Combien de fois ses amants avaient-ils léché ses pieds, les mordillant et les suçotant ? Sur ce point, elle devait avouer qu’elle préférait faire ça avec une autre femme, sans trop pouvoir se l’expliquer... Mais, après tout, pouvait-on vraiment expliquer le fait de vouloir baiser des pieds, et d’y trouver un plaisir sensuel ? Les doigts du prêtre glissaient sur sa peau, la caressant, la titillant, avant qu’il ne les remplace par sa bouche. Elle le sentit s’abaisser, l’imaginant dans son froc, qui devait tout d’un coup être très lourd, et très chaud. Quand elle sentit sa langue sur son pouce, un frisson la parcourut, alors qu’elle se mit à serrer de ses doigts trempés la grille, se crispant dessus, alors que son bas-ventre commençait à sincèrement la démanger.

Sa langue se mit à glisser le long de ses orteils, et elle se mit à remuer lentement ses doigts de pied, savourant ce contact. Yeux clos, elle revoyait dans sa tête défiler ce moment où elle avait été chez une amie, au lycée... Elle soupirait, se crispant sur la croix, et se mit à gémir.

« Haaa... Haaaa, mon Père, hummmm... »

Des gémissements pouvaient sans aucun doute paraître exagérés pour de simples lèchements du pied, mais Shani n’était pas comme n’importe qui... Yeux toujours clos, elle remuait légèrement sa jambe, tout en utilisant son autre main, celle qui ne se crispait pas à la grille, pour se soulager, la fourrant dans sa culotte pour titiller son intimité brûlante, pour attiser le désir qui explosait en elle.

« J'espère que je parviens à soulager votre souffrance. J'ai fait vœu d'aider mon prochain, et je dois tout faire pour vous aider à retrouver la sérénité.
 -  Hum... Vous êtes douée, mon... Mon Père... »

Cette fois, son ton était clairement sensuel, mais la redoutable secrétaire n’avait pas encore fini de perturber le pauvre prêtre. Oh non, il n’était qu’au début ! En lui léchant le pied, il lui rappelait un heureux souvenir, qu’elle s’empressa de communiquer, pour soulager le poids de sa conscience... Ou tout simplement pour troubler encore plus cet homme d’Église qui n’arrivait pas à se contrôler, et qui était face à une femme dont les pulsions le dominaient.

« Vous... Vous ai-je parlé de... De Marie, mon Père ? C’est... Ou c’était... Hum... Continuez, mon Père, là, plus bas... Marie... Elle m’avait roulé une pelle dans les vestiaires, après la fin des cours de sport... Nous étions toutes seules, et elle m’avait plaqué contre le casier, en m’embrassant... Le soir, nous avons fait l’amour toute la nuit, chez elle... Et on se léchait les pieds... Je crois que c’est à cause d’elle, mon Père, que... »

Shani se tut, se mordillant les lèvres. Oui, elle avait clairement cette scène dans sa tête. Marie et elle, dans le grand lit de son frère aîné, qui n’était pas là, se faisant l’amour après avoir vu un film porno de la collection « privée » de son frère. Elles avaient fait l’amour sur son lit, et Marie avait commencé en lui titillant les pieds, avec sa langue joueuse, déposant des baisers dessus, remontant ensuite jusqu’à sa culotte...

« J’ai mal, mon Père... Au bout de ma jambe... Un feu qui me démange... Soulagez la pauvre âme en peine que je suis... »

Elle était en train de mouiller, à force de se toucher, et lécha ses propres doigts, avalant sa cyprine, sans la moindre forme de gêne. Il était très difficile de faire rougir Shani sur ce genre de choses.
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Pere_Yves le samedi 17 août 2013, 07:01:32
Je n’aurais jamais imaginé que des pieds puissent être aussi délectables. Certes, tout de la pénitente, qui était derrière ce rideau, devait être délectable. Mais, de là à penser que mon érection monterait encore rien qu’en parcourant de ma langue un adorable orteil, je n’y aurais pas pensé. Au moins Dieu ne peut-il pas me reprocher de transgresser ses lois, car ceci n’a jamais été interdit ! Que ces caresses me mettent dans un état second est autre chose…
Mais il n’y a pas qu’à moi que cela semble plaire, car cette ouaille ne semble pas que dans le regret lié à la confession, mais dans un émoi et une transe tout autres. D’ailleurs, vu comme je sens sa jambe remuer, même presque imperceptiblement, et vu que sa chaise grince par moments, je me doute que ce que j’ai vu sur I-Pad doit continuer. « (…) Vous êtes doué (…) » me confirme que sa voix a changé, et que son état de trouble est manifeste. Et tout ça pour simplement lui caresser les pieds ! Qu’est-ce que ça doit être quand elle se fait prendre ? Les murs et les voisins doivent en profiter.
« Marie (…) nous avons fait l’amour toute la nuit (…) », elle va me rendre fou. Voilà bien une chose que j’aimerais réaliser avec deux lycéennes de Mishima, participer à leurs ébats. Et cette pénitente me parle de ça comme de quelque chose qui… me fait bander plus encore. J’ai une de ces envies de me caresser, mais non, pas ici. Et pas que de me caresser ! Cette femme est pire que les succubes que l’Eglise m’invite à combattre ; elle a l’image d’une femme du monde au vu de ce que les caméras m’ont transmis, mais elle a le feu en elle comme jamais je ne lr vis, et je ne sais comment la situation va évoluer, ni même si j’ai envie d’en sortir.
Il faut que je fasse diversion, que je reprenne mon self control ! J'interromps, malgré moi je l'avoue, la caresse de ma langue, pour la rassurer.
« Ah oui, vous avez, en effet, goûté à bien des plaisirs de la chair. Mais, à chaque fois, il n’y avait qu’amour. Alors Dieu ne peut vous en condamner, si vous savez lui rendre grâce. ».
En fait, c’est plutôt à toi qu’elle va porter un coup de grâce, si elle continue. Regarde-toi, mon pauvre Yves, toi qui es fier d’avoir accroché à ton tableau de chasse quelques pucelages des lycéennes de Mishima, te voilà dépendant d’une femme qui fait de toi ce qu’elle veut en te demandant de lui lécher les pieds, et qui te fait bander comme un âne en pleine église. Elle te demanderait de baisser ton pantalon en pleine église, ou de ramper entre ses jambes, que tu le ferais sans même penser à la situation !
« (…) Au bout de ma jambe… Un feu qui me démange …) ». Et voilà la suite ; tu auras été prévenu, Yves ! Oui, elle a mal à son peton, elle a sans doute dû se tordre la cheville sur la dalle décalée, juste à l'entrée.
« Oui, je le sens ; votre pied a une légère raideur.  ».
Et, bien sûr, Yves, tu ne penses pas à l'autre raideur, celle qui tend ton pantalon !
« Il faudra que je remette d'aplomb la dalle à l'entrée ; comme ça, quand vous reviendrez me voir, vous ne vous ferez plus mal. »
Oh toi, Yves, tu as des idées derrière la tête. Mais concentre-toi sur l'instant présent !
« Je vais vous masser un peu plus haut, pour vous soulager ».
Ben tiens, tu viens de comprendre où est le feu qui la démange.
« Je veux que votre âme puisse s'apaiser. »
Tiens donc, Yves, tu vois son âme entre ses cuisses, toi ! Allez, ne joue pas sur les mots...
Un peu hésitante, ma main droite s'aventure un peu plus haut, la cheville puis le mollet, encore cachés par le rideau. Sa peau est si douce, je ne pensais pas que Dieu ait pu mettre sur la terre des créatures aussi parfaites. Et quand bien même ce serait Satan qui m'aurait envoyé sa plus exquise succube, je n'ai pas envie de l'asperger d'eau bénite. Ce serait même un autre liquide que je ferais volontiers jaillir ! Allons, Yves, tes années d'abstinence forcée t'ont appris le self control ; tu dois maîtriser tes émotions, cesser de caresser ton sexe avec ta main gauche à travers le tissu, et la mettre ta main gauche avec l'autre sur sa cheville souffrante.
Ainsi jointes, mes deux mains relèvent juste un peu le rideau, au gré des massages qu'elles prodiguent entre cheville et mollet, sans toutefois révéler ce qui se cache encore dans la pénombre du confessionnal. « (…) Au bout de ma jambe (…) » t'a-t-elle dit, Yves ! N'as-tu pas envie ? Elle a ôté chaussure et chaussette, elle n'a plus que la jupe entrouverte qui te faisait fantasmer derrière ton écran, elle a sans doute encore le doigt que tu devinais posé sur sa culotte, alors... ne sens-tu pas comme il fait chaud derrière ce rideau ?
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Shani Stevens le samedi 17 août 2013, 21:42:01
« Ah oui, vous avez, en effet, goûté à bien des plaisirs de la chair. Mais, à chaque fois, il n’y avait qu’amour. Alors Dieu ne peut vous en condamner, si vous savez lui rendre grâce.. »

Bien des plaisirs de la chair... Amour... Oh ça oui ! Shani avait goûté à beaucoup de choses, et avec délice, et avec bien des amants. Quant à rendre grâce à Dieu... Et bien, il fallait espérer que Dieu, malgré son grand âge, apprécie les jolies minettes, et les jolis culs. Autrement, elle ne voyait pas trop comment Il la pardonnerait. Pour autant, elle n’avait pas peur de Son doigt vengeur. Pourquoi était-elle venue dans cet église ? Était-ce vraiment pour se repentir ? Shani ne le savait pas trop, embrumée par l’effet du désir, par le plaisir sexuel qui pulsait en elle. Elle ne le savait plus, et une voix vicieuse était en train de lui murmurer, dans sa tête, qu’elle était tout simplement venue pour parfaire son expérience, et se faire joyeusement prendre dans un confessionnal, pour se persuader que seul le sexe la dominait, et devait la dominer. Tout le monde naissait avec un talent particulier, un talent qui, parfois, ne s’exprimait pas, et qui, parfois, s’épanouissait. Celui de Shani n’était que le sexe, il n’y avait rien d’autre qui l’inspirait. Le sexe, dans un sens noble et généreux. Hors-de-question de devenir une prostituée, ou d’enchaîner les amants sans savoir avec qui elle couchait ; elle se souvenait toujours de ses amants. Il y avait ses copines, qui avaient toutes, sans exception, couché avec elle, et, parmi les hommes, Shani avait eu de tout. Elle avait eu droit au traditionnel beau mec bronzé, le dragueur sur la plage, qui roulait des mécaniques, se prenant pour la star du camping, ayant toujours une anecdote sans intérêt à vous raconter, qu’il étirait volontairement, en profitant pour se trémousser dans tous les sens, elle avait eu droit au camarade de classe timide, luttant contre ses érections quand il voyait sa camarade aller vers le tableau, le petit geek qui se soulageait dans son lit après avoir regardé des sites érotiques sur Internet en espérant que ses parents ne le surprendraient pas. Si elle en avait gommé certains, elle continuait, de temps en temps, à en voir d’autres, comme Antoine, le geek. Elle lui faisait des strip-teases sur MSN quand elle était lycéenne, tandis que lui se masturbait vigoureusement en tremblant.

Le plaisir qu’elle ressentait sous les mains chaudes et fermes du prêtre lui rappelaient tout ça, toute sa folle jeunesse, qui était encore loin d’être terminée. À Mishima, elle avait encore l’occasion de longuement pratiquer, essentiellement avec les élèves et ses collègues. Le prêtre était quelque chose d’autre, car, mis à part coucher dans Notre-Dame, elle n’avait eu aucun contact sérieux avec la religion. Après tout, les Chrétiens avaient toujours eu du mal avec les femmes, et, étant Française, Shani était imprégnée de la culture religieuse française, qui considérait que le christianisme était la religion par défaut, de référence.

« Je veux que votre âme puisse s'apaiser. »

Diable ! Il ne l’avait toujours pas sauté, ni même ouvert le rideau. Pourquoi être si lent ? Était-il vierge, lui aussi ? Shani avait entendu des rumeurs, de la part de certaines lycéennes, sur des prêtres pervers... Sans compter ces scandales récurrents en Occident sur les prêtres pédophiles. En brimant les pulsions sexuelles, l’Église imposait des lois contre-nature. Shani était étonnée qu’il n’y ait pas plus de pervers que ça au sein de l’Église. Peut-être agissait-il par lâcheté... Ses deux mains caressaient son pied, mais Shani avait besoin de plus.

*L’Église a raison d’avoir peur des femmes... Nous portons la vie, nous savons ce qu’est le sexe bien plus que les hommes, qui sont aveuglés par leur désir...*

C’était quelque chose que Shani avait remarqué à de nombreuses reprises. Sous l’effet du plaisir sexuel, de la libido, de l’érection croissante, un homme devenait bien plus calme, bien plus modéré, même s’il devenait aussi plus dangereux, plus instable. Shani se servait volontiers de ses charmes pour obtenir ce qu’elle voulait, et si, pour obtenir le numéro de la carte bleue de son amant, elle devait le masturber, elle le faisait volontiers, gagnante sur tous les tableaux.

Son autre pied, encore recouvert de son collant, glissa, et atteignit le rideau, formant une bosse. Le prêtre était collé derrière, et elle atteignit son entre-jambes, sentant une belle bosse, ce qui la fit sourire.

« Mon âme..., répéta-t-elle. Ne visez pas si haut, mon Père, mes tourments sont bien plus physiques, je le crains... Et les vôtres me semblent également nécessiter un certain doigté. »

Une femme pouvait masquer son plaisir. Inversement, une érection, ça se remarquait très rapidement.
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Pere_Yves le dimanche 18 août 2013, 07:53:48
Yves, te rends-tu compte de l'absurdité de la situation ? Tu es là, agenouillé à l'extérieur du confessionnal, en train de suçotter des orteils. Mais tu es aussi là, une trique inouïe entre les jambes, en train de te caresser d'une main, alors que, derrière le rideau, on ne peut pas dire que ce soit une religieuse en pleine méditation qui pousse ces petits gémissements ou te raconte sa vie sexuelle. Arrête de de raconter toi-même des histoires ! Tu bandes et elle mouille ; ce n'est pas la première fois que tu es dans cette situation depuis ton arrivée à Seikusu, mis à part le contexte de ton église. Si cette femme a, comme elle le dit avec conviction, eu des relations avec bien des lycéennes de Mishima, peut-être que l'une d'elle lui aurait avoué avoir couché avec toi aussi. Rassure-toi, elle n'est pas venue te faire la morale ; vu comme tu la voyais se caresser via ton I-Pad, elle a d'autres choses en tête que jouer les rédemptrices. Et pas qu'en tête d'ailleurs !
Et c'est en ôtant ma main gauche de mon pantalon, avec l'envie d'ouvrir enfin ce rideau devenu inutile, que le hasard fait se poser, à sa place, un pied encore couvert d'un collant. Un électrochoc aussi violent qu'imprévu, qui fait perler une goutte au bout de mon sexe. Diabolique, satanique, ou autre, peu m'importe, elle a visé juste !
« (…) physiques, je le crains (...) », j'ai moi aussi les mêmes tourments, hésitant entre rompre mon vœu de chasteté et céder au plaisir de la chair. Bien sûr, Yves, tu es encore fidèle à ton vœu, on peut même en parler avec certaines lycéennes de Mishima !
« (…) un certain doigté. », elle a employé le mot à dessein, c'est sûr ! Et elle a très bien réalisé la bosse qui tend mon pantalon. Alors, à quoi bon cacher mon désir ? Le confessionnal est abrité de l'entrée car il est dans sa petite chapelle latérale, et je n'entends aucun bruit de talon de quelque bigote venant me raconter les coucheries de son mari. Allez, juste défaire mon ceinturon, juste ouvrir la braguette, juste guider de ma main gauche son peton inquisiteur et encore paré du collant vers mon caleçon gonflé, tandis que ma main droite s'affole entre sa cheville et son mollet nus.
« Oui, vous me troublez. J'avoue que votre confession m'a ému. »

C'est exactement le terme, Yves ; autant parler d'émotion plutôt que d'excitation, surtout vu l'état dans lequel tu es !
« Et vous avez eu raison de venir m'en parler. D'ailleurs, si vous avez d'autres choses à me dire, n'hésitez pas. »
Et, comme ça, tu fantasmeras davantage en l'entendant se caresser avec une autre ou se faire prendre en sandwich !
« Je me dois de soulager vos tourments, quels qu'ils soient, même s'ils sont physiques comme vous dites. »
Allez, exprime-toi ; tu n'as qu'à lui dire que, si elle est venue ici pour trouver un nouvel amant, tu ne te défileras pas !
De toutes façons, je n'en ai ni l'envie ni la possibilité. Ses orteils gantés du collant sont redoutablement efficaces et leur danse à travers le caleçon met mon sexe en feu, tandis que ma main droite avance désormais sur sa cheville, avec le souvenir d'une courte jupe vue sur mon I-Pad. Le rideau est encore présent, mais pour combien de temps... à moins que je ne la fasse venir dans ma propre partie du confessionnal. J'ai l'impression de planer dans ma propre église, de monter vers un paradis autre que celui que j'enseigne, et sans commettre le moindre blasphème.
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Shani Stevens le mercredi 21 août 2013, 16:35:15
« Oui, vous me troublez. J'avoue que votre confession m'a ému. »

Shani avait le don d’émouvoir, en effet. Que voulez-vous, elle était née ainsi. Elle avait toujours su susciter le désir des autres. Au collège, elle était la coqueluche, celle que tous les garçons rêvaient d’avoir avec soi, pour se la péter. Shani n’avait aucune honte à dire qu’elle avait fait ses petites listes, listant les performances et les défauts de chacun, et que, pendant une certaine période, elle sortait par roulements : le Lundi et le Mardi avec Jérôme, le Mercredi tout entier avec Thierry, le Jeudi et le Vendredi avec Yasoune, etc... Oui, elle s’était follement amusée dans sa jeunesse, ses nombreux amants entraînant, naturellement, des séances de rivalité, comme quand elle annonçait à Maxime qu’elle ne sortirait pas avec lui demain, car il n’avait pas autant de points positifs que Jérôme. Et, comme à chaque fois, plutôt que de s’en battre à elle, reine de leur nuit, ils se tapaient entre eux. Elle adorait les voir s’affronter, se battre pour ses beaux yeux. L’administration l’avait menacé, à bien des reprises, car les surveillants n’étaient pas dupes. Au collège, les surveillants étaient trop grands pour elle, mais, au lycée, quand ce petit jeu continuait, elle leur faisait l’amour, surtout en Terminale. Shani avait toujours été ainsi : irrésistible et envoûtante. Elle ne pouvait pas savoir qu’elle avait en elle l’essence d’Eros, Dieu grec du Désir, l’un des principaux Dieux du Panthéon, et que de simples mortels étaient donc soumis aux pulsions naturelles et divines que Shani émettait.

Elle sentait le prêtre remuer, et, en souriant, elle avança un petit peu le bout de son pied, le fourrant sous son pantalon. Il avait défait sa ceinture, ce bruit si magnifique, et elle continua à s’avancer, fourrant son pied dans sa culotte, tendant alors sa jambe à l’extrême, déformant le rideau. Elle pouvait sentir le monceau de chair, qui continuait à troubler le pauvre prêtre, mais ce n’était pas encore suffisant pour qu’il sorte de son émoi, et agit. Il était malheureusement rare que Shani tombe sur des hommes qui la dominaient vraiment, instinctivement. Ceux qui le faisaient étaient généralement des sauvages imbus de leur propre personne.

« Je me dois de soulager vos tourments, quels qu'ils soient, même s'ils sont physiques comme vous dites. »

Dieu, ce qu’il pouvait parler ! Et on disait les femmes pipelette ? Face au sexe, il était curieux de voir combien les hommes, si réservés, se mettaient à parler, comme si c’était une manière de détendre l’atmosphère, de dire que ce qu’ils ressentaient n’était pas aussi pressant que ça. Un subterfuge qui s’écroulait bien vide devant les femmes mûres et expérimentées comme Shani. Diable, elle n’allait pas tourner en rond pendant des heures ! Ses mains doucereuses continuaient à remuer sur ses jambes, faiblement, et Shani, sans rien dire, récupéra alors ses jambes, se releva, et tira le rideau d’un coup sec.

Elle l’observa, sur le sol, avec un léger sourire. Elle ne l’avait jamais vu, mais elle ne lut pas dans son regard la surprise. Elle fronça les sourcils, intelligente. Le confessionnal était un espace clos, et, vu son état d’excitation, il aurait normalement du lui sauter dessus, ou observer son beau visage parfait avec stupéfaction. Shani ne l’avait jamais vu, et tourna la tête vers sa propre partie du confessionnal, souriant alors.

« Hum... Je vous imaginais un peu plus grand, mon Père... »

Elle lui souriait, d’un air espiègle. Un œil observateur aurait pu voir des espèces de petits reflets sur sa cuisse, le long de sa jupe. Sa mouille. Les vitraux l’observaient, et elle se retourna alors, faisant voleter sa jupe, puis écarta le rideau de la partie du prêtre, et vit rapidement le petit appareil de surveillance, négligemment posé. Elle l’attrapa, et put voir l’autre partie du confessionnal. Elle s’assit alors à la place du prêtre.

« C’est vrai qu’on se sent bien, dans cette autre partie du confessionnal... J’ai peut-être commis le péché de luxure, mon Père, mais il me semble que le vôtre est encore plus grave que le mien... Alors, mettez-vous à genoux devant et moi, et implorez mon pardon... Comme je le souhaite. Qui sait, peut-être vous offrirais-je l’absolution divine ? »

Le ton était rapide, légèrement amusé, emballé. Shani était excitée.
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Pere_Yves le mercredi 21 août 2013, 22:19:35
Yves, ton comportement est incohérent ! Te rends-tu compte comment tu te montres en spectacle ? Te rends-tu compte que tu risques ton poste si tu ne te ressaisis pas ? Te rends-tu même compte du grotesque de ta posture ? Certes, tu n'as pas affaire à une enfant de choeur, ni même à une lycéenne délurée, encore moins à une bigote sur le retour d'âge. Tu es en compagnie, si l'on peut dire, d'une femme, d'une vraie femme, comme tu n'en as jamais rencontrée auparavant. Et toi, toi qui as lu quantité de livres osés ou regardé des DVD classés X, toi qui n'a jamais connu l'intimité avec une femme aussi exceptionnelle, tu es là à tergiverser, hésiter, te demander, ne pas oser...
Et cette tergiversation se retourne contre moi lorsque, me surprenant, elle ouvre le rideau, juste après s'être relevée, me privant du contact de ses pieds. Le ridicule ! Le sommet du ridicule ! Le prêtre à la braguette ouverte devant son propre confessionnal. L'homme d'Eglise agenouillé devant une succube. Une succube peut-être, mais si belle ! Une tenue qui lui va à ravir. Une stature debout qu'elle utilise pour me rabaisser quant à ma taille !
« Je ne vous imaginais pas ainsi. Vous êtes encore plus... euh plus féminine en vrai qu'en... euh qu'en paroles, comme celles que nous avons échangées ». Un mot de plus, et je lui disais que je l'observais depuis le début. Mais le répit est de courte durée, et, avant même que je puisse réagir, ce qui est lus difficile quand on est à genoux avec le pantalon ouvert, elle découvre le I-Pad resté sur mon siège, et surtout les images qu’apportent les caméras. « (…) Il me semble que le vôtre est encore plus grave que le mien (…) ».
Là, elle vient de marquer un point ! Je t’avais dit, Yves, que la situation était dangereuse ; mais tu as joué avec le feu, et, là, tu es mal parti. « (…) mettez-vous à genoux devant moi, et implorez mon pardon », là elle rêve ; elle n’a pas à dire ça, encore moins à me demander de m’abaisser ainsi dans ma propre église. Sait-elle seulement à qui elle s’adresse ?
Oh oui, Yves, regarde-toi, à genoux, le pantalon ouvert, le caleçon marqué de gouttes qui ont perlé. Alors, décide-toi ; tu as déjà assez perdu de temps auparavant. Tu aurais pu faire autre chose que de mater, et tu n’en serais pas là.
« Mais vous ne pouvez pas me demander ça ! Et puis je n’ai pas commis de péché, j’ai respecté le secret de la confession. Vous avez trouvé mon écran, mais c’est uniquement par sécurité ; j’ai déjà eu de mauvaises surprises, alors je préfère savoir qui est de l’autre côté. D’ailleurs, vous pouvez voir que rien n’est enregistré. »
Elle n’a pas vraiment l’air convaincue, mais il faut dire qu’elle a de quoi avoir des doutes, même si je suis vraiment sincère. Les yeux levés vers elle, je ne peux m’empêcher de m’attarder sur les prémices d’un corset noir qui se devine sous sa chemise blanche, et aussi sur la belle poitrine qui se dessine ainsi.
« Et puis, vous demander pardon, euh… », réfléchissant à une diversion qui m’évite ce que je ne maîtrise pas, « en fait, je suis déjà à genoux, mais pour une raison que vous connaissez ». Là non plus, je ne semble pas dérider son envie ; l’humour n’est pas davantage un moyen de se défiler. Et Dieu seul sait quelles idées peuvent lui passer par la tête, encore faudrait-il qu’il le sache vraiment.
« Bon, si vous y tenez… »
Alors, déjà à genoux, je me contente de pivoter vers elle, sous son air sûr d’elle, l’air de celle qui sait qu’elle a les cartes majeures en main. Sans même refermer ma braguette, posant les mains à terre, retrouvant mon visage tout près de ses jambes, je me résouds à accéder à sa demande :
« Ma s… Enfin, mademoiselle, je vous ai peut-être blessée, mais je ne le voulais pas. J’avoue juste que j’utilise ce système par sécurité, et que j’ai été fort surpris de voir combien vous viviez à nouveau vos péchés par leur simple évocation. Enfin, vos péchés si l’on peut dire. Vous avez parlé du péché de luxure, mais ce n’est pas vraiment le cas »
Allez, Yves, arrête ton sermon, vois comme elle tape du pied sur le dallage ; ce n’est pas un sermon qu’elle veut entendre !
« Alors, si je vous ai offensée, je vous prie de bien vouloir me pardonner ». Et, joignant le geste à la parole, sans même vraiment réaliser mon geste, je m’incline encore jusqu’à presque frôler ses mollets, avec une envie folle de les embrasser. Mais, avec ce qu’elle a découvert de moi, autant ne pas faire de geste qui lui déplaise, elle qui parle de m’offrir « l’absolution divine ».
Me penchant encore plus, mes lèvres se trouvent à nouveau en contact avec ce pied nu, que je ne peux m’empêcher d’embrasser à nouveau.
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Shani Stevens le vendredi 23 août 2013, 01:51:45
Pour la sécurité... Shani, en d’autres circonstances, aurait éclaté de rire devant un mensonge aussi grotesque. Sérieusement, espérait-il vraiment qu’elle le croirait ? La sécurité... Si tel était le cas, il y aurait un avertissement que le confessionnal était filmé, la caméra serait visible... Et, même dans cette circonstance, Shani doutait que ce soit légal. Un confessionnal était un lieu intime, un endroit où le croyant devait être en contact direct avec Dieu, un endroit intime. Le prêtre était lié par le secret divin, et ne pouvait pas dire le contenu d’une confession aux autres. C’était un secret moral particulièrement fort. Ce prêtre était un menteur, et Shani comprit qu’il n’était pas un véritable prêtre, qu’il était rongé par le vice, par le désir, et par la luxure. S’il avait atterri à Seikusu, ce n’était pas surprenant. Face à elle, il niait, visiblement offusqué à l’idée de voir cette femme prendre sa place... Mais Shani ne disait rien. Elle savait qu’elle avait gagné, et que ses mensonges ne valaient rien. Si elle aurait été un peu plus perverse, elle l’aurait menacé de porter plainte. L’atteinte à la vie privée constituait une infraction pénale, et elle se demandait s’il n’était pas possible de le poursuivre également pour violation du secret professionnel. Cependant, Shani n’était pas une mauvaise personne, et voulait juste s’amuser. En l’état, elle trouvait très excitant d’être de l’autre côté du rideau, sentant comme une espèce de puissance en elle. Le confessionnal était bien pensé. Il y avait un petit panneau coulissant de ce côté, et le jeu d’éclairage faisait qu’on voyait bien plus facilement de l’autre côté, même si tout était sombre...

Devant elle, le prêtre, dont Shani ignorait toujours le nom, luttait contre ses pulsions, et finit par fléchir les genoux. Un frisson de désir traversa tout le corps de la secrétaire devant ce spectacle, qu’elle trouvait particulièrement fascinant. Elle était à la place du prêtre, de celui qui, du haut de son arrogance, entendait les péchés des autres, et parlait au nom de Dieu. Shani trouvait ça arrogant, sans pouvoir se l’expliquer, et ceci rendait encore plus excitant le fait de manipuler ce pauvre prêtre, de le dominer. Éros parlait à travers elle sans qu’elle réalise, et les anciens Dieux n’aimaient pas énormément les religions monothéistes, qui avaient, pendant des siècles, sciemment contribué à détruire les cultes païens, en les diabolisant. Le prêtre retourna à nouveau embrasser le pied de Shani, qui pencha la tête sur le côté.

Maintenant qu’elle le voyait de visu, elle trouvait qu’il ressemblait assez à un prêtre. Des cheveux courts, quelques rides, un front dégagé, deux petits yeux noirs... Elle l’imaginait volontiers comme prêtre, avec son apparence maigrelette... Dommage qu’il ait le sexe déréglé... S’il avait officié ailleurs qu’à Seikusu, il aurait probablement été un prêtre normal, mais Seikusu était remplie de pervers. Shani parlait en connaissance de cause, puisqu’elle faisait partie du lot.

« Allons, allons, mon Père, vous vous contentez du pied, alors que vous avez tout mon corps devant vous ? Suis-je si repoussante à regarder que vous préfériez vous contenter de mes pieds ? »

Elle se moquait gentiment de lui, de son humilité. Il était comme un gamin pris en faute par sa mère en train d’avoir une érection en regardant le dernier clip de Britney Spears, et qui chercherait n’importe quelle excuse valable pour justifier ses vêtements débraillés, son sexe gonflé, et ses rougeurs. La honte totale, le genre de trucs qui pouvaient vous tuer dans la cour de récréation !

« Je suis sûre que, quand vous me regardiez par votre écran, vos yeux ne se posaient pas sur mes pieds... Alors, que signifie cette timidité, mon Père ? »

Elle continuait à jouer, et écarta ses jambes, révélant sa culotte, légèrement humide. Sous la minijupe, il y avait de petites tâches.

« Je sais que l’Église vous apprend à courber l’échine et à vous agenouiller, mon Père, mais pas à être couché... Alors, agenouillez-vous, et laissez votre langue se répandre... Laissez-là glisser, et venez... »

Elle n’attendait que ça.
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Pere_Yves le samedi 24 août 2013, 06:43:24
« Suis-je si repoussante à regarder (…) ? », la réponse paraît si évidente, d'autant plus que, la regardant d'en bas ; je suis au pied de jambes si longues et si belles. Oubliant tout, le lieu et mon enseignement, redevenant homme juste homme, je continue à embrasser, mais en remontant de plus en plus haut, son mollet, son genou, m'agenouillant désormais avec ces gestes.
Et, alors qu'elle me lance un « (…) que signifie cette timidité (…) ? », la question apparaît presque incongrue, car il n'y a plus ni timidité ni retenue. Ma main gauche ne reste pas inactive et, de mon pantalon à moitié débraillé, elle extrait mon sexe tendu hors du caleçon. Il est enfin libre, il peut bander à son aise ! Je n'en pouvais plus de cette prison de tissu, de cacher mon désir, de songer que j'irais juste me caresser dans la sacristie en pensant à elle. Je la veux, et je me moque de qui je suis et d'où nous sommes !
Ma langue continue à remonter tandis que ses cuisses s'entrouvrent. Sous cette minijupe, la culotte est encore un peu dans la pénombre, mais l'odeur de son excitation, le dessin humide sur le tissu. Gourmand et même vorace, ma langue a passé ses cuisses, et dessine son sexe au travers de la culotte. Je hume sa cyprine, je sens sa chaleur.
Ma main droite vient à la rescousse, s'insinuant sous sa culotte. Mon index dessine son sexe, les grandes lèvres ourlées et humides. « Hum, vous êtes bien mouillée. Inutile de garder cette culotte ! ». Et, joignant le geste à la parole, mes deux pouces se glissent chacun dans l'élastique par un côté, faisant descendre le tissu que, une fois enlevé, je porte à mes lèvres pour bien humer son parfum intime. Peu importe que ça l'excitait de repenser à ses ébats ou de me perturber, j'ai juste envie d'en profiter !
« (…) Laissez votre langue se répandre (...) », elle ne croyait pas si bien dire. La pointe de ma langue s'insinue entre les lèvres, écartées de mon doigt. Elle s'ouvre, son parfum m'enivre. « Hum, vous êtes bonne », dis-je avant que ma langue ne s'enfonce en elle, la pointe d'abord, pour entrouvrir plus encore son sexe. Elle est humide, elle bouillonne, ses cuisses s'écartent pour m'offrir ce spectacle. Et ma langue vorace explore, sa pointe effleure le petit bouton d'amour, l'entoure en esquissant une danse, tourne et retourne pour le faire gonfler. Hum, elle est sensible de là, ça va être un plaisir de lui titiller. J'ai envie de l'entendre gémir comme ça.
Ecartant un peu mon visage, pour savourer ce spectacle parfumé, je laisse la place à mes deux pouces qui écartent les lèvres, m'offrant l'excitante vision d'un sexe béant, où mon index droit glisse sans hésiter, tournant sur lui-même comme pour plus l'ouvrir encore, tel, un sexe tout petit, glissant au creux d'elle, dans son vagin brûlant, l'en ressortant pour goûter une cyprine si parfumée, y revenant en lents va-et-vient.
« Il faut soigner le mal par le mal, et je vais vous absoudre de tous vos péchés ! », je ne sais plus ce que je dis, surtout par rapport aux préceptes de l'Eglise, mais je m'en moque éperdument. Seule compte celle qui est là, cuisses ouvertes ! Et, de mon autre main, libre elle, l'index glisse au long du périnée avant de sentir la raie des fesses encore serrée, mais pas pour longtemps, je vais y veiller. Oubliée la religion qui l'interdit ; si elle a péché par là, je l'absoudrai par la aussi. Il n'y a qu'un an que j'ai rompu mon vœu de chasteté, mais j'en ai pris aussi des fesses, et celles-ci seront à moi quand ma langue les aura bien ouvertes !
« Oubliez ce que je vous ai dit tout à l'heure, il y a des moments où... », cette phrase se perd dans l'infini abîme de mes engagements religieux, tandis que ma langue replonge avec délice dans ce nectar que je n'aurais jamais imaginé aussi enivrant, gobant son petit bouton d'amour pour le faire saillir davantage encore.
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Shani Stevens le dimanche 25 août 2013, 02:40:05
Et il vint. Enfin. Shani tremblait sur place, son corps traduisant tous les signes externes du manque. Ce maudit prêtre l’avait excité. Ce n’était pas intentionnel, ce n’était pas son projet initial, mais elle se retrouvait dans cette situation, et il n’y avait que lui pour la satisfaire. Lui, un pervers... Comme tous les autres. Comme ses professeurs, ses employeurs, son psychiatre, et les docteurs de sa thérapie... Tous lui avaient fait l’amour avec passion, sans relâche, de manière très énergique. On lui avait défoncé le cul sur le canapé où elle racontait à son psychiatre son attirance pour le sexe. Et, quand elle s’était tournée vers une femme, elle s’était allongée avec elle pour enfoncer ses doigts en elle. La même situation allait se répéter ici, le même scénario, inlassablement... Il fallait donc croire que Shani n’avait aucun problème.

Yeux clos, elle sentait les doigts du prêtre jouer en elle, et, naturellement, elle gémit. De ses belles lèvres, des soupirs de plaisir s’échappèrent. C’était très agréable, délicieux et succulent. La langue du prêtre remuait en elle, et elle aventura ses doigts, caressant ses cheveux, sentant également ses doigts se joindre. Elle avait vu son membre tendu, jaillissant de ses vêtements. Le pauvre était très excité, et elle, elle était en train de mouiller sur son siège, en sachant que ce type s’était probablement masturbé pendant qu’elle lui parlait. En d’autres circonstances, elle en aurait probablement été choquée, mais, en réalité, tout ça l’amusait... L’amusait, et l’excitait. Elle laissait donc l’homme s’attaquer à son clitoris, constatant qu’il était plutôt doué. Aucun doute possible, ce n’était pas la première fois qu’il s’attaquait ainsi à un minou.

*Quelque chose me dit que ce ne doit pas être la première fois que tu te glisses sous une culotte, toi...*

Quels étaient ses petits secrets ? Quand avait-il perdu sa virginité ? Elle savait que l’Église n’aimait pas le sexe, et que, d’un point de vue religieux, catholique un prêtre ne devait pas faire l’amour. Le mariage légitimant le sexe, et un prêtre devant rester célibataire, il en résultait, fort logiquement, qu’un prêtre ne pouvait pas avoir de relations sexuelles. Une logique imparable, qui n’avait jamais été appliquée par ceux qui l’avaient édicté. Un masque d’hypocrisie, un visage d’or aveuglant dissimulant des craquelures réalistes et pernicieuses.

« Haaa... Hummm... »

Elle se laissait aller, se laissait guider vers l’escalier du plaisir, gravissant les marches à toute allure. Oui, ce brave homme était doué. Il fallait croire que Dieu le guidait. Il tremblait nerveusement, se remettant à parler, encore.

« Oubliez ce que je vous ai dit tout à l'heure, il y a des moments où... »

Elle ne lui laissa pas le temps de parler. Ses mains sur ses cheveux le poussèrent, et sa tête fila à nouveau entre ses cuisses, tandis que Shani continuait à mouiller, à délicieusement mouiller, son corps traversé de délicieux frissons électriques. Apaisée et sereine, voilà comment elle se sentait. Apaisée... Et en même temps anxieuse, nerveuse, désireuse de passer à la suite. Le sexe fonctionnait ainsi, un terrible mélange de satisfaction et d’insatisfaction. Elle lui caressait les cheveux, yeux clos, les seins tendus, se sentant de plus en plus à l’étroit dans ses vêtements, des vêtements qui cherchaient à l’étouffer.

« Oh... J’espère que... Que ta virilité... Sera à... Aaaaaahhh... »

Un nouveau gémissement traversa ses lèvres, l’empêchant d’achever ce qu’elle avait en tête.
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Pere_Yves le mardi 27 août 2013, 19:45:57
Ah, si seulement toutes les pécheresses en confession pouvaient autant mouiller, je passerais mes jours voire mes nuits dans le confessionnal ! « Haaa… Hummm… », rien que ses gémissements sont un encouragement, et me confirment que je sais de mieux en mieux y faire ; car, pour troubler une jeune femme qui semble avoir autant d’expérience, il faut avoir du talent. Et, sentir ses mains insister sur mes cheveux, ne peut que…
« Oh… J’espère que… Que ta virilité… Sera à… Aaaaahhhh… » m’interrompt presque dans mon élan. Elle mouille, elle est ouverte, elle en veut plus… Mais moi aussi ! Le confessionnal est béant sur une jeune femme excitée, cuisses écartées, gémissante, et qui devrait m’en montrer davantage. Alors, je me relève, sans que mon pantalon ne suive le geste, glissant pour de bon à mes pieds, et, de mes mains précises et rapides, j’ouvre sa chemise blanche, sur son corset noir, à travers lequel mes mains aussitôt caressent ses seins. La toile légère du tissu ne peut masquer l’érection de ses tétons, que je pince entre mes doigts, les tortillant, les étirant, tout en regardant son visage aux yeux mi-clos. Sa poitrine se tend, en réclame davantage encore, mais chaque chose en son temps.
Sa minijupe juste écartée n’a plus de raison de demeurer là, et, prestement, j’en défais les agrafes pour qu’elle s’ouvre naturellement, s’évasant sur ses cuisses entrouvertes, sur son sexe ouvert, trempé et brûlant. Hum, l’envie de la baiser là, comme ça, sans autre préliminaire, de m’enfoncer là où tant d’autres sont passés, de la limer plus fort que Sushira San ! Tiens, oui, lui faire oublier ce gros porc, même si c’est dans un lieu où c’est interdit. Que, si elle retourne le voir, elle puisse lui dire : « Tu n’est qu’un minable ; le Père Yves, lui, est un bon coup » ! Oh oui, je veux la faire monter au septième ciel et, s’il ne doit y en avoir qu’une dans ma vie, que ce soit elle.. Mais pas tout de suite ! Elle en a trop envie, elle est venue pour ça, elle ne se sauvera pas.
Mon pantalon à terre, je m’en sépare, et il m’est d’autant plus aisé de baisser le caleçon qui ne demandait ue ça. Prenant mon sexe dans la main gauche pour achever de le décalotter, agréablement surpris par la dimension et la raideur qu’il a acquises d’une excitation hors du commun, le masturbant juste un peu pour lui donner plus de vigueur encore, je saisis sa cravate de la main droite, pour la faire se courber en avant. Peu importe que la Bible l’autorise ou l’interdise, j’ai envie qu’elle me suce, là, juste pour le plaisir, avant de la culbuter dans le confessionnal. J’ai longuement observé ses lèvres sur le I-Pad, j’ai même vu sa langue tourner avec sensualité. Comme ce doit être bon d’être dans ce chaud fourreau. Et je fais ainsi descendre son visage, jusqu’à ce que ses lèvres se posent enfin sur mon gland turgescent.
« Vas-y, suce ! Tu as une bouche faite pour ça… »
Il n’y a plus ni retenue, ni vouvoiement, ni élégance ; il n’y a que le désir, celui qu’on m’a interdit pendant de longues années, un manque que je veux rattraper ; et, là, j’ai une belle opportunité.
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Shani Stevens le mercredi 28 août 2013, 19:27:12
Le prêtre agissait avec plus d’assurance, plus de fermeté. Il se redressa, entreprenant de la déshabiller. Shani se mit à soupirer, sentant son chemisier glisser le long de ses épaules, révélant son corset noir. Serré et étroit, il moulait très bien ses formes, et il s’attaqua à ses seins, manifestant un certain contrôle de lui-même, un certain talent qui amena Shani à se dire que ce brave prêtre ne devait pas en être à son premier coup d’essai avec la gente féminine. Combien de filles avait-il déjà culbuter dans ce confessionnal ? Shani trouverait-elle des traces sous le siège, en menant des fouilles profondes ? Elle ne doutait pas une seule seconde que les rares Japonaises venant ici se confesser devaient avoir des confessions tournant autour du sexe. Nous étions proche de Mishima, après tout, à Seikusu, une ville de tentateurs. Une superbe ville, en réalité. En sentant les mains de l’homme sur ses tétons, Shani se tortilla sur le siège, fermant les yeux en gémissant, remuant de gauche à droite, son corps se serrant contre celui de son partenaire. Le confessionnal était très étroit, et elle sentit ensuite la main baladeuse de l’homme dégrafer sa minijupe.

Cette dernière tomba sur le sol, et un frisson parcourut Shani. Son intimité était exposée, sans aucune protection, puisqu’elle n’avait plus sa culotte. Le prêtre l’avait bien déshabillé, et elle put sentir l’hésitation de son dernier. Elle avait en effet senti, avec son pied, la dureté de sa virilité, ce membre assoiffé, et savait qu’il hésitait à la prendre, ou à s’enfoncer plus loin dans la luxure... Et la deuxième idée fut la meilleure. Attrapant Shani par sa cravate, qu’il ne lui avait pas ôté, il usa de sa force, et, en quelques secondes, la belle secrétaire se retrouva devant son membre, comprenant ce qu’il voulait. Cette chose que tous les hommes adoraient, dont ils raffolaient tous à l’idée d’être avec une femme.

« Vas-y, suce ! Tu as une bouche faite pour ça… » l’encouragea le prêtre, lui arrachant un nouveau sourire.

Ce genre de phrases, ce n’était pas très chrétien... Elle avait vraiment affaire à un prêtre dévoué. Ou, plutôt, à un homme qui avait cessé de lutter contre ses pulsions, et leur laisser libre court. Ce faisant, ces dernières le dominaient. Elle hocha la tête, et s’empressa d’agir, sans attendre plus longtemps. Ce membre la tentait. Ses lèvres s’écartèrent donc, et elle commença par lécher le bout du sexe, tirant un peu sur la peau à l’aide de ses dents. Elle tira ainsi sur sa gauche, et relâcha la sexe, qui fila dans l’autre sens, puis s’amusa à frotter contre cette peau chaude et tendre son nez, glissant dessus avec sa langue, remontant de la base du membre à son extrémité. Shani prenait tout son temps, afin de le faire patienter encore plus. La secrétaire savait y faire, et un sourire étira ses lèvres.

Elle approcha ensuite l’une de ses mains, et le caressa, venant le masturber, tout en léchant le bout du sexe, avant de finalement le prendre en bouche. Après ce long préliminaire, elle le glissa en elle, dans sa bouche, et remua sa tête d’avant en arrière, se reposant sur ses cuisses, et avança sa tête, léchant avec sa langue ce membre, glissant dessus. Des soupirs étouffés s’échappèrent de ses lèvres, et elle remua donc, enfonçant progressivement le sexe en elle, inspirant de l’air, ce qui creusait ses joues autour de son membre, sa langue filant sous la verge pour la relever, la heurtant avec ses dents, avant de poser ses lèvres, de les serrer, filant ensuite d’avant en arrière.

Pour le coup, elle se faisait clairement plaisir !
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Pere_Yves le jeudi 29 août 2013, 21:49:57
Hum, sa langue, un vrai dispenseur à plaisir ! Comment ai-je pu ignorer ça ? Alors que je me faisais faire une telle caresse par quelque lycéenne peu experte, il y avait, dans le même bâtiment, une jeune femme incroyablement douée, qui m’aurait fait monter au septième ciel, peut-être même le Paradis en fait, et n’aurait pas fait la moue lorsque j’aurais tenu sa tête pour qu’elle puisse avaler toute ma semence, et fasse ainsi preuve d’une vraie soumission à mes désirs !
Mais, là, je ne veux pas que ça finisse comme ça. Oh non ! Même si ses lèvres sont d’une douceur inouïe quand elles glissent sur mon sexe, même si sa langue a une subtilité incroyable pour le contourner et lui glisser de petits coups, même si sa main masse avec délice la base de ma verge et mes bourses électrisées. Il y a une telle intensité, que j’en oublie bien des choses, et que ma main se pose sur sa belle crinière ; je voudrais la saisir et lui imprimer moi-même le mouvement que je désire (alors qu’elle sait si bien y faire, qu’elle a le rythme dont je rêve, qu’elle a l’application idéale pour faire monter le désir sans risquer de jaillir), mais je demeure à caresser ses cheveux avec une douceur presque incongrue dans une situation aussi brûlante.
« Hum, oui, continue, c’est trop bon ; jamais on ne m’avait fait ça comme ça ! »
Tu viens de te trahir, Yves ! Maintenant, elle sait qu’elle n’est pas la première mais, en même temps, vu comme tu l’as déshabillée et léchée, elle ne devait plus avoir beaucoup de doutes. Au moins s’applique-t-elle avec une douceur qui me fait finalement écarter un peu son visage, laissant sous son regard mon sexe tendu et luisant de sa salive, une goutte perlant juste au bout du gland. Presque par tendresse, je saisis sa main, encore posée sur ma verge, et la fais se relever. Mes yeux plongés dans ses yeux n’y voient que le plaisir à venir, et mon esprit retrouve quelque élégance vouvoyante.
« Vous êtes la tentation, Shani, comme celle qu’on m’a appris à fuir. Mais je n’ai pas envie de vous fuir, car vous êtes aussi ce que Dieu m’aura offert de plus beau. »
Ses lèvres sont entrouvertes et j’y pose les miennes comme pour mélanger mes gouttes de sperme qu’elle a gobées avec sa cyprine au goût encore présent sur ma langue. J’ai l’impression de découvrir l’amour, celui-là même qu j’espérais avant d’entrer dans les ordres, celui-là aussi que je croyais à tort trouver chez les lycéennes de Mishima. Et voilà que c’est une simple secrétaire, venue en confession, qui m’offre cela ! Oh, pas une sage secrétaire, puisque ses confessions trahissent un passé déjà fort débauché, mais peu importe.
« Je sais que je ne dois pas le dire, mais j’ai envie de vous faire l’amour. Si je ne dois connaître ça qu’une fois dans ma vie, je veux que ce soit avec vous. »
Mais je ne lui laisse pas le temps de répondre, et le confessionnal sera, encore une fois, détourné de sa fonction initiale ! Saisissant alors sa taille de mes mains, je la fais se retourner, la poussant un peu en avant, face contre la paroi du fond, pour qu’elle prenne appui au dossier de ma chaise. Dans cette pénombre, toute de bois et de cuir, juste traversée de quelques rais de lumière, cette vision est à la fois la plus explicite vision de la tentation et la plus irrésistible vision du désir charnel. Ses fesses, oh qu’elles sont belles, la perfection de la Création, deux globes parfaits juste séparés d’une petite fente que j’explorerai volontiers. Ses hanches, une fois ôté son chemisier blanc et relevé son corset noir, ont des courbes aussi élégantes que l’œuvre d’un sculpteur, et ne demandent que l’appui de mes mains pendant que je lui ferai l’amour. Ses jambes, que j’ai moi-même écartées, sont comme interminables d’être fines et d’une peau aussi parfaite.
« Hum, Shani, vous… tu es sexy comme ça ! », une parole peu chrétienne mais pleine d’amour ! »
Yves, rassure-toi, tu ne vas pas commettre le péché de chair ; tu vas juste combler le désir de deux êtres de chair. Et, ayant vivement expédié pantalon et caleçon embarrassants à mes chevilles, je pose ma main gauche à sa hanche, tandis que ma main droite guide mon sexe toujours aussi raide, jusqu’à frôler ses lèvres intimes. Je me rappelle que certaines lycéennes de Mishima avaient été étonnées d’apprendre que ce que je leur dis comme étant la levrette, avait une faculté d’excitation très forte ; ma pénitente de ce jour ne semble y voir aucune contre-indication, écartant plus encore ses jambes pour m’offrir le passage vers son sexe. « Oui, c’est ça, ouvre-toi ; hum, c’est chaud, c’est trempé ! », je retiens, mais pour combien de temps encore je ne le sais, l’envie de laisser libre cours même à mes mots. Ce chaud fourreau que ma langue avait exploré, dont les parois s’écartent doucement sous la poussée de mon sexe. J’en oublie toute précaution et toute retenue, je sens ma verge comme happée, je pousse lentement en lui tenant les hanches, je veux faire durer ce moment jusqu’à être au plus profond d’elle.
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Shani Stevens le samedi 31 août 2013, 15:28:17
Une petite fellation, ça ne payait pas de mine, et c’était toujours délicieux. Les hommes adoraient ça, et Shani aussi. Dans le sexe pur, la femme avait souvent le rôle passif, se bornant à être le récipient de la verge, laissant ainsi à l’homme le rôle central et impérial de lui prodiguer du plaisir. La fellation était différente, elle instaurait un rythme différent, puisque c’était désormais la femme qui avait le rôle actif, qui jouait avec la verge de l’homme. Partant de là, n’importe quelle perverse se devait d’aimer ça, d’adorer la fellation... Et, fort heureusement, Shani n’était pas une exception. Elle adorait ça, tout simplement. Elle jouait avec la queue du prêtre sans aucune difficulté, excitant ce dernier, continuant à lui faire plaisir. Pour elle, c’était un véritable délice, et c’était également le cas pour ce brave prêtre.

Et, une fois l’échauffement terminé, le prêtre agit. Shani le laissa faire, se retrouvant rapidement à quatre pattes dans le confessionnal, lui offrant la vue de ses magnifiques fesses. Son postérieur était à l’image de son corps : beau, tendre, ferme, attirant, exquis. Et son fessier... Aaaah, qui n’avait pas été plein de désir en le voyant ? Beau et ferme, il était tendu devant le prêtre, et, pour mieux le tenter, Shani le remuait, le bombant légèrement, tournant légèrement la tête, en souriant. Allait-il la gifler ? À cette idée, elle en frissonnait. Oui, elle aimerait bien que l’homme la gifle, mais le prêtre s’y refuserait, tout en rapprochant son membre, non pas de sa petite porte, mais de son intimité. En un sens, elle en fut soulagée. Se faire prendre par l’arrière sans aucune formation initiale, c’était terrible, même pour elle. Elle se mettait à frissonner, mouillant de plaisir, en le sentant se rapprocher. Elle écarta ses jambes, sentant les courants d’air glisser sur son intimité. Elle mouillait, et poussa un léger soupir.

« Oui, c’est ça, ouvre-toi ; hum, c’est chaud, c’est trempé ! »soupirait le prêtre.

Elle frissonnait, et hocha lentement la tête, soupirant faiblement, avant de le sentir s’enfoncer en elle. Shani sentit son souffle se couper quand cette grosse queue alla se perdre dans son corps.

« Haaaa... !! »

Elle se tortilla un peu, d’avant en arrière, et poussa un cri de plaisir, fort et vivace, qui se répercuta dans tout le confessionnal. Ses ongles se crispèrent sur le sol, et elle se mit à remuer d’avant en arrière, soupirant de plaisir, en gémissant longuement.

« Haaa... Allez, allez, encore, plus fort, huuummmm !!! »

Shani était en train de frissonner longuement, fermant les yeux, savourant délicieusement ce moment. Oh, comme c’était bon ! Dans un confessionnal, en plus ! Pour Shani, c’était le trip total !
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Pere_Yves le dimanche 01 septembre 2013, 23:00:38
Un geste, juste un mouvement des hanches, à la fois comme une provocation et une acceptation. La situation est aussi irréelle qu'indécente, mais c'est pourtant réellement que je sens ses hanches venir vers moi, que je vois ses fesses onduler au même rythme. Son vagin brûlant semble happer mon sexe, comme s'il voulait le ressentir plus profond encore, comme si elle voulait me happer jusqu'au cœur de son être.
Presque tendres au début, mes va et vient s'accélèrent, au rythme où ses hanches viennent à mon encontre. Elle s'ouvre et elle gémit, elle tourne parfois la tête vers moi avec un regard qui en dit long sur son excitation, elle pousse des gémissements de plus en plus forts, et son sexe entoure ma verge d'ondulations qui manquent me faire exploser.
Je me moque du confessionnal détourné de ses fonctions, tout comme je me contrefiche de qui pourrait entendre ses soupirs et ses cris. J'ai envie d'elle, un désir déraisonnable, une ignorance de mes vœux ; plus rien d'autre ne compte, je tiens ses hanches entre mes mains, et je vais et viens en elle. Son corps semble comme désarticulé au rythme de mes coups de reins.
« Hum, Shani, je n'ai jamais connu ça. Si je t'avais connue auparavant, je n'aurais jamais embrassé les ordres ! »
Je sens mon cœur qui bat la chamade, j'ai les tempes qui cognent, je sens mon esprit qui n'a plus toute sa raison. J'ai envie de plus encore ! Ses fesses sont trop tentantes ; fermes, d'une rondeur parfaite, cachant presque à regret sa petite porte. Et, tandis que je vais et viens en elle, mon index glisse dans la raie de ses fesses, faisant de petits aller et retour, ouvrant peu à peu la raie.
Oh Dieu, tes Saintes Ecritures disent peut-être que tu as détruit la ville où les mécréants copulaient par le vase indélicat ; mais, là, avec tout le respect que je te dois, je m'en moque ! C'est trop bon de sentir ce petit orifice s'entrouvrir sous la pointe de mon index, c'est incroyable que mon doigt aille et vienne en cet endroit qui lentement s'entrouvre, comme mon sexe va et vient au même rythme dans son vagin brûlant.
Elle est toute cambrée, elle gémit de plaisir, je me retire de son sexe, posant le gland sur son petit trou à peine ouvert. Lorsqu'elle avait mon sexe en bouche, elle maîtrisait tout, elle avait le pouvoir d'accélérer et de ralentir, elle pouvait à tout moment me faire craquer, elle a su faire durer. A moi désormais de lui offrir cette jouissance, là en cette église où l'amour est tant prôné, là en ce confessionnal où les péchés sont tous oubliés.
Tenant ses hanches, je pousse, un peu, juste un peu. La crainte qu'elle refuse comme le firent certaines lycéennes, la crainte qu'elle ait peur de ce plaisir hors de la morale. Mais le désir aussi, un désir que je retiens comme je peux, le désir de l'ouvrir ainsi et de la prendre jusqu'à ce que ses cris résonnent dans toute l'église...
« Ouvre-toi, Shani ; j'ai trop envie de te sod... de te prendre comme ça ! », qu'importe le mot, seul compte l'envie.
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Shani Stevens le mardi 03 septembre 2013, 17:28:38
Il la prenait comme une traînée. Une vulgaire chienne qui ouvrait les cuisses devant un homme dominateur. Le confessionnal était un lieu saint, un lieu béni, un lieu de protection, où le pêcheur devait venir se confesser en toute quiétude. Ce n’était pas une conversation entre lui et un autre homme, c’était une conversation entre une créature de Dieu et Son intermédiaire. C’était, en définitive, une introspection, une invitation à la réflexion, à la méditation, afin de comprendre la portée de ses erreurs, de les accepter, et de les dépasser, pour se surpasser, pour s’améliorer et ne plus commettre les mêmes fautes.

Partant de ce principe, de manière assez détournée, Shani était en train d’appliquer ce concept. Le sexe conduisait à l’orgasme, et, si on en croyait les Hindous, c’était une manière de se rapprocher du divin, alors, dans ce cas... Jouissons sans entraves ! Shani se laissait donc pleinement aller, sa tête heurtant parfois le rebord du confessionnal, qui était vraiment petit, tandis que ses cris résonnaient autour du confessionnal. Elle avait trop chaud. C’était un endroit étroit, et le membre du prêtre était avide, s’engouffrant en elle, la dominant. Sa mouille glissait lentement sur le sol, alors que Shani avait les joues rouges, yeux clos, se contentant de savourer. Elle n’avait pas grand-chose à faire dans ce genre de situations, et trouvait que l’homme se débrouillait bien.

« Hum, Shani, je n'ai jamais connu ça. Si je t'avais connue auparavant, je n'aurais jamais embrassé les ordres ! »

Charmeur... Elle se contenta d’un léger sourire, rouvrant les yeux, haletant et gémissant, et avança l’une de ses mains près de son intimité, la caressant, atteignant, du bout des doigts, le sexe de l’homme, près de ses lèvres vaginales. Ses doigts s’humectèrent ainsi de cyprine, et elle entreprit de les lécher, tout en sentant ce membre continuer à remuer dans son corps. Elle sentait également ses mains se rapprocher de sa croupe, de son fondement. Le plus intéressant, c’était que Shani arrivait à se contrôler. Jadis, une telle séance de baise l’aurait amené à s’écrouler sur le sol, à être submergée par son plaisir, mais, maintenant, avec l’expérience qu’elle avait accumulé, elle savait se calmer, réagir normalement, sans se laisser aller.

Elle finit par sentir quelques doigts s’aventurer le long de son fondement, l’excitant encore plus. Ses mains se fermèrent, ses dents grincèrent, et elle gémit lentement, excitée par ça, par cette idée. Le truchement dans la demande du prêtre ne lui échappa pas, lui arrachant un sourire. Elle tourna la tête vers lui. Quelques mèches de cheveux tombaient en rideau devant ses yeux, et elle les retira d’une main habile.

« Mon cul vous plaît, n’est-ce pas, mon Père ? »

Shani balança avec un léger sourire. Contrairement aux apparences, c’était bien elle qui menait la danse ici. Et elle le fit savoir, en lâchant alors :

« Prenez-moi par là... Vous ne serez pas le premier à me défoncer le cul, ne vous en faites pas... Tous les hommes aiment ça, alors... Allez-y. Baisez-moi le cul ! »
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Pere_Yves le jeudi 05 septembre 2013, 06:44:28
Oh, Dieu, comme il fait chaud dans cette église ! Moi qui, chaque hiver, peste contre la froid de cette bâtisse impossible à chauffer, j'ai là la solution. Cette jeune femme me met dans un état incroyable, me fait bander comme jamais je n'aurais pu imaginer, et, comble de bonheur, j'aime à faire durer encore et encore. Son vagin brûlant m'arrache pourtant des gémissements et me lance des étincelles dans tout le bas-ventre, mais je veux moi aussi prolonger ce moment.
« (…) Baisez-moi le cul ! », une expression qu'elle n'aurait pas dû employer ! Je retire mon index, juste pour deviner, dans la pénombre, un orifice encore petit, mais elle m'a dit elle même que je ne serai « pas le premier ». Sortant de son vagin mon sexe comme ruisselant de mouille, je pose juste le gland sur sa raie. Juste un peu, pousser juste un peu. Ses hanches se tendent, sa taille se cambre, aurait-elle une appréhension ? Oh, Sushira San a bien dû passer par là, ce pervers, et lui n'a certainement pas fait preuve d'autant de délicatesse !
Tenant ses hanches de mes mains, je pousse, le gland écarte les chairs encore serrées, et finit par disparaître dans cet étroit fourreau. Doucement, Yves, contrôle-toi ; tu es un homme de Dieu, et non une bête. Sodome et la Bible, tu y penseras plus tard ! Poussant encore un peu, je sens son fondement comme emprisonner mon sexe, le comprimer. Juste de petits mouvements, Yves, prends le temps et le plaisir n'en sera que plus intense.
« Hum Shani, c'est tout serré, et je ne veux pas vous faire mal. »
Dis-toi bien que d'autres sont passés par là, alors... Alors, dans ce confessionnal où une telle vision donnerait un infarctus à toutes ces bigotes coincées, je pousse encore. Mon sexe tendu avance peu à peu, je sens Shani un peu crispée malgré cette liberté sexuelle que je n'aurais jamais imaginée. Et, tout en avançant, mon sexe fait de petits mouvements, comme pour tapisser de sa mouille chaque avancée.
« Shani, je ne devrais pas... Mais, pour vous, je crois que je serais prêt à tout ! »
Prêt à tout, comme pousser encore, comme sentir son anus s'ouvrir sous mon sexe, comme à avancer encore, comme à me sentir entièrement en elle. Rester un instant comme ça, juste immobile hormis une ondulation, peu à peu prendre possession de ce lieu avant d'y aller en va et vient débauchés... d'un prêtre décidément débauché lui aussi.
« Oh, Shani, c'est trop bon... »
Ultimes mots, avant que je ne cède à cette tentation de lui « défoncer le cul » comme elle dit.
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Shani Stevens le jeudi 05 septembre 2013, 20:35:25
Elle le sentit venir, s’approchant lentement... Il était bien trop tard pour ce genre de sentiments, pour faire preuve de réserve, de timidité, ce genre de choses qui étaient à bannir de cette église. Les Chrétiens avaient toujours tout fait en grand, alors, il était temps de pousser cette logique, de s’appliquer. Shani était une cliente difficile, ce n’était pas une vulgaire lycéenne prépubère venant confesser au prêtre qu’elle avait vu son grand-frère avoir une érection dans la douche, et qu’elle en avait rougi de honte. Shani était d’un autre calibre, une femme qui ne pouvait pas lutter contre ses pulsions, et il en allait visiblement de même pour ceux qui la croisaient. À quatre pattes, elle dominait son sujet, en position de chienne, tellement désirable. Ses vêtements la collaient bien trop, et elle sentait la sueur sur sa chemise. Il fallait qu’elle s’en débarrasse, et, tandis que le prêtre se rapprochait, d’une main, elle s’affairait déjà à déboutonner sa chemise. Shani ne portait pas de soutien-gorge, mais un élégant corset noir à la place. N’était-ce pas la preuve la plus ultime qu’elle était une petite perverse ?

Ses doigts jouaient sur la chemise, mais l’exercice fut plus difficile quand elle sentit les mains moites du prêtre se poser sur ses courbes, avant de sentir sa virilité se rapprocher. Shani hoqueta, sentant un frisson la traverser. Putain, si c’était bon ! La douleur explosa, vive, totalitaire, la dominant totalement !

« Hum Shani, c'est tout serré, et je ne veux pas vous faire mal » avoua-t-il.

Ceci déclencha un éclat de rire nerveux chez la femme, qui posa ses deux mains sur le sol. Elle avait réussi à ouvrir sa chemise, qui pendait le long de ses épaules, et secoua la tête, faisant voleter ses boucles. Elle ne dit rien, avant de serrer les dents, poussant alors un hurlement, autant de douleur que de plaisir, qui se répercuta dans le chœur de l’église, s’échappant de l’enceinte du confessionnal pour rebondir le long des vitraux... Mais ce n’était pas encore assez, Shani voulait plus. Elle voulait continuer à détériorer l’ambiance sacrée de cet endroit, jouer la succube, jouir sur l’autel, baiser sous la gueule des Très Saints. Ses mains se crispèrent, alors qu’elle remuait son corps, isolée dans ce confessionnal, sa tête venant rebondir contre le banc du prêtre.

Lentement, douloureusement, le membre de l’homme avançait. Shani grinçait des dents, se forçant à respirer, à contrôler sa respiration. N’était-ce pas, encore une fois, une chose que les religions apprenaient ? Le contrôle de la respiration était quelque chose d’important pour permettre la méditation, et c’était ce que Shani faisait, en rouvrant les yeux, haletant et grognant. Sa chemise n’allait décidément plus, et elle utilisa l’une de ses mains, tirant dessus, la décollant de sa peau, jusqu’à la balancer sur le sol. Elle frissonna, mais il restait encore son corset, qui lui collait à la peau. Peu importe, dans le fond, elle avait d’autres sujets de préoccupations.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN !!!! » hurlait-elle.

Ces cris n’étaient nullement feints. La sodomie avait pour elle de réveiller instantanément. La douleur... Elle était jouissive, car elle était l’indicateur de la vie. On naissait dans la souffrance, comme si la douleur était un baptême. On la fuyait autant qu’elle nous attirait, et il n’y avait que dans ce sexe que cette alchimie était parfaite, presque magique.

« Oh, Shani, c'est trop bon... » soupirait le prêtre.

Pour le coup, elle ne pouvait que confirmer. Oh oui, c’était délicieux ! Shani se faisait joyeusement labourer le cul dans une église. Elle était en sueur, les joues rouges. Plaisir et douleur se mélangeaient pour la transcender, sa mouille venait lécher le sol, et elle ne se contrôlait plus.

« OHHHH OUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUIIIIIIIII, OUUUUUUUUUUUUUUUUUUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!! »

Elle se laissait pleinement aller, mais, pour autant, elle restait maîtresse d’elle-même. Le plaisir était fort, mais, entre chacun de ses hurlements, Shani respirait lourdement. La respiration, c’était la clef. Du moment qu’elle arrivait à ne pas sentir son souffle s’emballer, elle pouvait conserver la tête froide.Elle baissa la tête, en serrant les lèvres.

« Jouis... Juis en moi, surtout, hummmm !! Je veux sentir ta semence en moiiii !! »
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Pere_Yves le vendredi 06 septembre 2013, 22:28:18
Jamais ces lycéennes novices n'auraient pu me procurer un tel plaisir, et encore est-ce loin d'être fini ! Et je ne suis pas le seul à avoir très chaud, on dirait. Shani n'a plus qu'un corset noir, mais elle en paraîtrait peut-être plus provocatrice encore que d'être entièrement nue. Et ses fesses dressée et cambrées, cet anus qui s'est écarté finalement sans souci. Lui faire mal, oh non je ne veux pas. La sodomiser au mépris de la sacro-sainte morale, je n'ai aucun scrupule.
« Hum Shani, je sens comme vous... comme tu... tu es ouverte ! », mais assez parlé, je tiens bien ses hanches et je commence à la labourer. Son corps, comme celui d'un pantin désarticulé, oscille dans le confessionnal, sa tête venant sur mon coussin de siège comme pour étouffer ses cris. Elle fait venir ses hanches à la rencontre de mon sexe, et je m'enfonce en elle de plus en plus fort, de plus en plus vite.
« Oh oui, j'adore te déf... te prendre comme ça ; c'est le plus fort que j'aie connu ! », ma taille se contrôle à peine, insouciante de ce qui pourrait se passer dans l'église. Mon sexe coulisse désormais dans son anus dilaté.
« Han... Hum... Encore ! », ses cris résonnent dans l'église.
Je vais et je viens, je sens mes mouvements qui accélèrent encore.
« Oui, encore, bouge tes fesses ! »
Comme si j'avais besoin de lui dire ; elle les remue, comme si c'est elle qui maîtrise les ébats. Mais peu importe, du moment que je la prends comme ça et qu'elle aime.
Moi aussi, et je sens bien pus que des gouttes qui perlent, plutôt des vibrations qui se lancent dans mon sexe à n'avoir plus qu'une envie, éjaculer enfin ! Et, quand elle me lance « Jouis en moi ! », c'est comme une délivrance qui arrive enfin. Tenant ses hanches, dans un ultime geste qui me plaque à elle, alors qu'un « Hhhhaannnnn ! » semble comme déchirer ma poitrine, je sens ce liquide brûlant enfin jaillir sans plus aucune retenue. Je ne suis plus que suspendu à ces électrisations qui parcourent mes hanches, à ces mouvements désordonnés qui agitent mon bassin, à ce sperme dont le flot ne semble jamais s'arrêter.
Je suis chaud de cette fièvre dans une église dont je ne perçois plus le froid, je suis dans un état qui confine à la transe mais sans drogue, je suis dans le vrai Paradis que je conseillerai désormais à mes fidèles. Et, comme sous moi, Shani ne semble plus qu'être un pantin désarticulé qui aurait reçu la même décharge électrisante. Juste vêtue de son corset noir, son petit trou gardant encore mon sexe qui demeure dur, elle me met et me laisse dans un état d'excitation qui semble ne pas vouloir s'arrêter. Pas un mot ne sort de ma bouche, juste la sensation charnelle d'un moment unique !
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Shani Stevens le dimanche 08 septembre 2013, 00:19:11
Décidément, ce corset était beaucoup trop serré ! Est-ce qu’elle l’avait trop serré ce matin, avant d’aller au boulot ? Non, elle ne le pensait pas, car il ne l’avait pas démangé de la journée, et elle se sentait plutôt bien dedans. Mais là, il la collait, il l’étouffait, comprimant ses poumons, c’était terrible ! Elle suffoquait presque, haletante, en sueur, tandis que le marteau-piqueur dans ses fesses continuait à la labourer. Gros ou petit, n’importe quel sexe pénétrant dans cet orifice donnait l’impression d’être un orang-outan dans un cagibi. La joyeuse secrétaire n’en pouvait plus, grognant et gesticulant en gémissant. On continuait à lui pilonner le cul, et elle décida de se concentrer sur rester ainsi, plutôt que d’essayer d’ôter son corset. Son corps était bien trop secoué, et son bassin bien trop défoncé, pour le permettre. Elle se faisait joyeusement défoncer, et, en l’état actuel des choses, rien d’autre n’avait d’importance. C’était si bon ! Elle haletait et gémissait, soupirait et se tortillait, sous l’effet de ce membre vigoureux. Fatalement, le prêtre finit par jouir. Il résista plus longtemps que Shani ne l’aurait cru. Il ne devait pas avoir l’habitude de coucher avec des femmes aussi entreprenantes, et elle s’était donc, fort logiquement, attendue à ce qu’il se lâche plus rapidement. Il lui offrit toutefois une prestation honorable, et, quand elle le sentit venir en elle, elle eut comme des frissons électriques, sentant quelque chose jaillir dans son ventre.

La vague partie, le prêtre, dont Shani ne connaissait toujours pas le nom, avait joui, et semblait serein. Le sol était trempé de mouille et de sueur, et Shani soupira longuement, avant de remuer des fesses, pour se libérer. Elle s’étira, avant que le sexe ne se retire, et frissonna. Son fondement était bien dilaté, et les bourrasques de vent d’air dessus la faisaient légèrement frémir. Elle resta encore à quatre pattes pendant plusieurs secondes, reprenant son souffle, ses fesses dégoulinant de sperme, sentant ce dernier glisser hors de son corps, roulant sur sa peau, avant de lentement se relever. Elle tournait le dos au prêtre. Ses jambes tremblaient, son cul était en feu, mais sa mouille continuait à couler lentement de son intimité. Elle aventura ses doigts sur son corps, et, après quelques instants, le corset finit également par tomber, glissant de son corps, révélant sa chute de reins, avant de frôler le haut de ses jambes, pour atteindre le sol. Elle acheva ensuite de se déshabiller, ôtant ses chaussures, puis son dernier collant.

Ce faisant, Shani se retourna, intégralement nue, et esquissa un sourire devant l’homme.

« Je suis ta Ève... Et toi, tu es mon Adam ? »

Elle lui sourit, et s’avança alors, posant une main sur son torse, voyant le désir hurler dans ses yeux. Il était subjugué, et elle le poussa gentiment, pour sortir du confessionnal, toute nue, et inspira. Si on en croit la Bible, c’était Ève qui incitait Adam à croquer le fruit défendu, une allégorie de la faiblesse innée du sexe féminin... Mais, à bien y réfléchir, en encourageant Adam à manger le fruit, Ève avait offert à l’humanité de découvrir ses faiblesses, et ainsi de s’améliorer. En transgressant aux ordres du Divin, elle avait bénéficié de la liberté, du libre-choix, sans être une esclave asservie par une prison de bonheur. Qu’elles soient d’or ou de fer, des chaînes restaient des chaînes.

Shani observait les lieux : les rangées de bancs, les vitraux, les piliers, cette atmosphère solennelle et rassurant, légèrement intimidante... Elle s’avança un peu, vers l’autel, et le caressa. Il y avait des bougies tout autour, ainsi qu’une statue en hauteur représentant le Christ. Elle se retourna, et s’assit sur l’autel, croisant les jambes, sentant ses fesses la faire délicieusement souffrir.

« Alors, mon Adam, qu’attends-tu ? Viens me rejoindre ! »
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Pere_Yves le dimanche 08 septembre 2013, 11:48:28
Je reste comme dans un état second. Rien à voir avec les lycéennes de Mishima, a fortiori lorsque je les culbutais sur mon bureau, où, sitôt joui sitôt rhabillé, pour éviter d'être surpris. Pourtant, ici, dans l'église, le risque existe tout autant. Mais ses conséquences seraient moins graves, aucun risque d'être mis au ban de la société pour avoir fait l'amour avec une majeure consentante, tout juste un transfert vers d'autres cieux. Ce serait dommage, car je suis loin d'en avoir fini avec Shani !
Elle n'en a pas davantage fini, elle non plus, même si, peu à peu, mon sexe sort de son anus tout dilaté, ajoutant cette odeur à celles de sueur et de cyprine qui emplissent déjà le confessionnal. Plus aucune émanation d'essence de bois vieilli ou de poussière ignorée, juste cette odeur de sexe, la même que lorsque deux amants repus s'allongent ensemble après une étreinte, la même mais en plus intense, comme si nous y avions mis plus de fougue encore.
Mon siège de confessionnal porte les traces humides de ce que je n'ose imaginer, mon sexe laisse perler une ultime goutte de sperme sur le dallage, y rejoignant là aussi la cyprine, celle que j'avais bue, celle où j'avais glissé, celle dont mon visage a encore la senteur. Je bande encore et, quand Shani se débarrasse de ses ultimes habits, je comprends qu'elle veut en profiter encore. Désormais face à moi, entièrement nue, elle est belle « à faire damner un saint » comme le dit l'expression. Ses seins sont fiers, dressés et arrogants. Sa cyprine dessine encore de son humidité ses lèvres intimes, tandis que mon sperme semble laisser quelque gouttes couler au long de ses jambes.
C'est comme dans les Saintes Ecritures, comme si je découvre la nudité de la femme, et elle a deviné mes pensées comme par intuition.
« Oui, tu es mon Eve, nue et pure, la perfection faite femme, la sensualité exacerbée et tu peux tout me demander. »
Phrase peut-être folle et inconsciente, mais je suis sous le charme, au delà même.
« Oui, je veux être ton Adam, être nu aussi pour toi, comme au premier jour de la Création. »
Là, Yves, tu mélanges tout, les Ecritures et la luxure ! Mais c'est vrai que je me moque totalement de ce qu'en pensent les bigotes et autres. Je pense Shani ! Je vibre Shani ! Je bande Shani ! Sa main sur mon torse ne fait qu'amplifier l'excitation. Et je la regarde partir nue dans l'allée, celle-là même marquée des haltes du chemin de croix, à la fois indécente et belle. Si belle, quand elle s'assied sur cet autel fait de bois et de velours. Sa nudité est comme une offrande, divine ou pas peu importe. Adam était nu lui aussi, et caleçon et pantalon juste descendus en deviennent incongrus. C'est un peu en désordre que j'ôte ça, accompagnant chaussures et chaussettes.
Jamais je n'avais arpenté ainsi l'allée latérale de l'église, avec juste ma chemise blanche de lin entrouverte sur mon torse, mes fesses nues et mon sexe dressé. Peu importe si c'est une succube qui m'appelle au blasphème ; je me damnerais pour elle sans hésitation. Elle me dirait de ramper jusqu'à elle, sur le dallage froid, que je le ferais. Elle s'allongerait sur l'autel pour se donner  moi, que je la prendrais. Elle me crucifierait pour mieux me posséder, que je me laisserais faire.
« Adam et Eve n'avaient de cesse de faire l'amour ; ils étaient nus et ne le savaient pas. Toi, tu es nue, là ; je le sais, et je le veux ! »
Assise sur l'autel, Shani est presque à ma hauteur. J'ai envie de goûter ses lèvres, j'y pose les miennes, ma langue cherchant la sienne. A la sueur de nos deux corps, à peine refroidis par la fraîcheur du lieu, s'ajoutent les goûts mélanges de nos sexes. Un moment qui dure, un baiser profond, mes mains caressant doucement ses cheveux. Même si notre étreinte fut intense, même si nous savons que nous allons recommencer, j'aime ces moments de douceur. Ses seins fermes et fiers se laissent entourer par mes mains, j'aime à empaumer ces globes si parfaits, et à en étirer doucement les tétons.
« Hum, Shani, tu es si désirable que je me damnerais pour toi ! »
Même sous la sainte croix, j'en oublie mes plus essentiels fondements théologiques. A quoi peuvent-ils me servir dans de telles circonstances ? Après tout, Dieu n'a jamais interdit l'amour charnel, il n'a jamais réservé les étreintes à la reproduction, il n'a pas imposé le célibat aux prêtres. Alors, ce que je fais, dans sa maison et sous son regard, n'est qu'amour divin... et j'ai vraiment trouvé mon Eve !
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Shani Stevens le mardi 10 septembre 2013, 02:15:35
Elle portait encore ses lunettes. C’était la seule trace de civilisation sur son corps. Toute nue, elle était posée sur l’autel, sur ce fin drap blanc recouvrant la table, et observait, autour d’elle, le spectacle. Une église était un lieu solennel, une construction très réussie, où un travail important avait été mené pour avoir des jeux de lumière et de sonorité, afin de perturber les croyants, de leur donner l’impression qu’ils entraient dans un lieu sain et sacré. En réalité, une église n’avait rien de plus sain que les cabinets de toilettes publiques, tout était une question de construction, de plans, d’angles... Shani n’était pas architecte, non, loin de là, mais elle saisissait les courbes générales, la structure globale. Depuis cette position, sur l’estrade, jambes croisées, Shani voyait toute l’assemblée, sentant des frissons la traverser. Ses cheveux tombaient en cascade le long de sa tête, et la jolie secrétaire se mit à sourire lentement, révélant ses belles dents, avant de s’humecter les lèvres.

Le prêtre, son Adam, s’avançait, subjugué, conquis. Il ressemblait à une espèce de zombie affamé, en remontant lentement, ne portant plus que sa maigre chemise blanche, un vêtement grotesque en de telles circonstances. Il la rejoignit, l’embrassa, lui murmurant des paroles suaves. Ses seins désormais libres, plus rien ne la comprimait, et elle se sentait bien mieux ainsi. Elle le maintenait contre elle, veillant à ce qu’il ne parte pas, remuant légèrement ses fesses sur l’autel, goûtant à sa bouche.

« Hum, Shani, tu es si désirable que je me damnerais pour toi ! »

Le désir est arme fatale, et Shani esquissa un sourire, en attrapant l’homme par le col.

« Hum... Je crois que c’est déjà le cas, n’est-ce pas ? »

Un petit sourire accentua ce propos, alors qu’elle enroulait ses bras autour du cou de l’homme, avant de l’embrasser, encore. Leurs nez se caressèrent, ses lèvres s’entrouvrirent, et elle se pressa contre lui, glissant sur le bord de l’autel. Elle aventura alors ses mains sur la chemise de l’homme, tout en l’embrassant assez langoureusement, jouant avec sa langue. La chemise ne résista guère longtemps, les boutons s’ouvrant les uns après les autres, et elle le retira, yeux clos, se pressant contre lui, prolongeant encore un peu le baiser.

Après quelques instants, Shani s’écarta alors, basculant son dos vers l’arrière, s’appuyant sur ses mains, ses jambes serrées autour de la taille du prêtre. Ses seins étaient généreusement tendus en avant, quelques discrètes lignes découpant son estomac. Elle n’était pas de cette maigreur dont on remplissait les magasines. La beauté se devait d’avoir un peu de chair pour avoir des formes.

« Enlève-moi mes lunettes, mon Adam, tu es assez prêt pour que je te vois sans difficulté... » glissa-t-elle alors, en lui souriant.
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Pere_Yves le mardi 10 septembre 2013, 23:32:34
Shani est si belle, nue sur ce drap blanc, sa peau juste cuivrée d’un teint ni blanc ni halé tranchant avec la blancheur comme virginale. Mais, aucune probabilité pour que ce qualificatif s’applique à elle, ne serait-ce qu’avec ce que je viens de lui faire, encore moins avec ce que je vais lui faire ! Elle sait que c’est elle qui mène ce… corps à corps diabolique ; elle n’a aucun respect des lieux ni des croyances, mais, à cet instant, je ne puis ire que j’en ai davantage. C’est comme une force obscure, non pas diabolique, mais plutôt charnelle, qui me pousse vers elle.
Après l’incongruité certes jouissive du confessionnal, j’ai envie d’un acte d’amour tout aussi intense. Oui, Dieu ne parle que d’amour, alors l’amour en ces lieux, non pour procréer mais pour jouir, ne peut être condamné, hormis par quelques intégristes qui mourront ignorants des plaisirs terrestres. Comment peut-on vivre sans avoir goûté à des lèvres si douces ? Comment peut-on vivre sans avoir connu l’inquisition amoureuse d’une langue sur sa propre langue ? Comment peut-on vivre sans avoir connu des seins si parfaits appuyant doucement sur son propre torse, laissant deviner des tétons dont les pointes dardent ? C’est si excitant que, désormais nu, je sens mon sexe dressé, prêt à recommencer.
Shani est là, face à moi, si belle, son visage à la fois doux et troublant, son corps nu à demi étendu, ses seins offerts dans leur rondeur parfaite, sa taille qui ferait rougir les filles des magazines, son sexe encore béant et portant quelque trace de nos ébats récents, ses jambes si longues enserrant ma taille comme pour éviter que je m’enfuie. Fuir ? Oh que non ! Avançant juste un peu vers elle, le compas de ses jambes ouvert, mon sexe frôle le sien, le gland écarte les lèvres intimes encore entrouvertes et humides. J’ai tout mon temps ; l’église est déserte à cette heure. Et je sais que Shani ne fuira pas !
Délicatement, je lui ôte ses lunettes, les posant sur le drap blanc. Nue, totalement nue, sans le moindre colifichet.
« Voilà, Shani ; à présent, tu es vraiment nue, mon Eve, nue comme au premier jour, nue comme quand il n’y avait que l’amour à faire jour et nuit. »
Et elle est si belle qu’elle n’a pas besoin de quelque artifice ! Ses seins, dressés et arrogants, appellent mes mains. D’une douceur si différente de nos ébats d’avant, je prends le temps de les caresser, avec une réelle tendresse. En dessiner les courbes, en contourner les aréoles, en pincer les tétons, ces globes sont si exquis, d’une perfection naturelle.
« Oh Eve, tu as des seins absolument parfaits, tu es vraiment la seule femme qu’il faut connaître dans la création ! »
Maintenant qu’elle n’a plus de lunettes, je veux plus encore voir le désir briller dans ses yeux. Je ne sais à quel malicieux hasard je puis attribuer sa venue, et d’ailleurs je m’en moque ! Elle est là, offerte et abandonnée même si elle mène d’une certaine manière la danse de nos corps ; seul cela a de l’importance.
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Shani Stevens le jeudi 12 septembre 2013, 02:50:36
Le prêtre étant proche, sans ses lunettes, Shani pouvait le voir très clairement. Elle était myope, et, comme il était proche, elle ne voyait concrètement plus que lui. Tout autour, les objets étaient flous, indiscernables. Il lui avait ôté ses lunettes, lui procurant, sans qu’elle ne puisse clairement se l’expliquer, un frisson. Elle était contre lui, ce prêtre anonyme, cet homme qu’elle avait surnommé, dans une espèce de jeu moqueur envers l’arrogante religion chrétienne, Adam. L’église était devenu leur jardin, mais, à bien y réfléchir, elle tenait plus de Lilith que d’Ève. Face à elle, le prêtre posa ses mains sur ses seins, les pétrissant tendrement, avec appétit, la faisant gémir. Ses propres mains se posèrent sur les épaules de l’homme, afin d’y trouver un appui, tandis qu’elle sentait sa virilité près de ses lèvres intimes. Ces dernières étaient légèrement trempées, et elle savait ce qui allait se passer. Ils allaient faire l’amour, et il allait explorer un autre des trous de son corps. Cette idée la faisait frémir, comme à chaque fois, tandis qu’elle sentait, posée sur son échine, le regard des Saints, ainsi que celui du Christ. Qu’ils observent, Shani savait qu’elle était belle, et cette beauté n’était pas faite pour être entreposée dans un verre, mais pour servir.

Subjugué, le prêtre se mettait à délirer, les signes de l’excitation masculine, qui était visiblement bien plus forte chez les hommes, bien plus vive... Ou alors, ils avaient plus de mal à se retenir, ce qui était une autre possibilité tout à fait crédible. Quoiqu’il en soit, le prêtre était conquis, et Shani, tout en le laissant jouer avec ses seins, avait relevé ses jambes, afin d’encercler le prêtre contre elle, glissant ses mains dans son dos, à hauteur de sa nuque. Elle l’embrassa à nouveau, fourrant sa langue contre ses lèvres, les léchant, jouant avec ces dernières. Elle soupira un peu, gémissant de plaisir, pour mieux l’exciter, l’encourager, tout en le laissant aller. Ses seins se tendaient entre les mains moites du prêtre, les tétons se durcissant sous l’effet du plaisir. Elle en voulait plus, encore, elle ne voulait pas qu’il s’arrête, et elle continuait donc sur ce rythme, lui offrant un assez long baiser.

« Quel honneur... J’en finirais presque par croire que je suis la seule femme que tu aies jamais vue... »

Shani rompit le baiser, et s’écarta alors, venant s’allonger sur l’autel, se couchant sur le flanc, utilisant sa main pour reposer sa tête. Une vision de plaisir, tout simplement. Son autre main lui fit signe de venir, alors qu’elle avait un léger sourire accueillant sur les lèvres.

« Viens, viens, mon Adam, viens, et prends-moi... »
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Pere_Yves le vendredi 13 septembre 2013, 19:56:47
« (…) la seule femme (…) », elle a raison, tant les autres étaient insignifiantes à côté d’elle, que ce soient les inexpérimentées lycéennes de Mishima qui étaient incapables de provoquer le désir et ne songeaient qu’à l’acte charnel directement, que ce soient les vieilles bigotes délaissées par leurs maris qui étaient incapables de provoquer le désir tant elles avaient oublié ce que cela peut être. Là, c’est une femme, une vraie, la sensualité à fleur de peau, le corps répondant aux sollicitations, l’esprit vif et imaginatif.
« La seule que j’aie ainsi vue, troussée dans un confessionnal ou nue sur l’autel, je dirai oui. »
Encore un pirouette, une de plus ! Je ne peux lui raconter ma vie sexuelle depuis mon arrivée à Seikusu, ça prendrait trop de temps. Là, elle n’attend qu’une chose, sa pose désormais a un but bien précis, et elle veut ce que je veux aussi.
Contournant l’autel, toujours aussi nu, je monte, dans le dos de Shani, sur le meuble où, d’ordinaire, je délivre mon sermon et j’offre le pain et le vin. Mais, là, c’est un autre nectar qui coulera, et je suis sûr qu’il sera apprécié. Le bois grince sous le poids de nos corps ; il n’a pas été prévu pour ça, mais il est loin d’avoir tout ressenti. Je me glisse au long de son dos, tel un serpent ondulant pour mieux se fondre. Tiens, le serpent, celui qui troubla Eve, une éternelle redite !
Glissé juste à hauteur où le bout de mon sexe retrouve sa raie culière, non loin de ce délicieux orifice encore ouvert. Mais il faut changer ; ce serait dommage de ne pas goûter à son sexe aussi. Tandis que mon gland glisse doucement vers son périnée, je soulève doucement sa jambe supérieure., avançant encore jusqu’à ce que la pointe de mon sexe retrouve ses lèvres intimes entrouvertes. Je ne sais quel nom a cette pose dans le Kama Sutra, mais l’angle des corps offre une pénétration profonde et, maintenant ouvert le compas de ses jambes, je la fais basculer sur moi, pour entrer plus profond en elle encore.
Après l’étroitesse de son anus, je sans la chaleur de son vagin. De petits va et vient, je veux faire durer. Sur cet autel consacré à l’amour, je veux la faire monter au septième ciel qu’est le Paradis, je veux que les orgasmes se succèdent, et que ses cris résonnent en écho dans l’église. C’est l’heure où les paroissiens déjà rares déjeunent, et nul ne sera donc choqué. Je suis en elle et je donne le rythme, mais elle est aussi un peu sur moi et elle donne le rythme, le même, la synchronisation parfaite. Tandis que mon bassin pousse en avant pour aller plus profond en elle, ses hanches reculent plus fort pour mieux happer mon sexe.
Je bande si fort et je la veux tellement que je veux essayer toutes les positions !
« On change, Eve ; j’ai trop envie de toi, et je veux te faire jouir encore et encore ! »
M’écartant un peu à regret, le la pose alors sur son dos. A genoux dans le compas de ses jambes, je les saisis, relevant ainsi sa taille, et avançant, sexe tendu, jusqu’à ce que le gland frôle de nouveau ses lèvres intimes. L’antre est humide et brûlant, et mon sexe entre aisément. Appuyée sur ses épaules, elle se retrouve ainsi taille relevée, comme suspendue sur mon seul sexe allant et venant en elle, telle un pantin désarticulé dont le bas-ventre ballote au gré de mes coups de reins.
Le désir est en moi, à en oublier toute retenue, et je la pilonne sans ménagements, tous deux comme en apesanteur sur l'autel, à en oublier les bonnes manières chrétiennes.
« Hum, Eve, je vais te défoncer… Oui, j’en ai trop envie… Et je vais te faire crier, comme jamais je ne l’ai fait ! »
Des mots incongrus dans ce lieu et dans ma bouche, mais peu importe. Succube ou pas, ça m’est égal ; je la tiens par la taille, je fais monter et descendre ses hanches, ses seins nus battent en mesure au rythme de mes coups de reins, mon sexe est raide et d’avoir joui juste avant le rend plus endurant encore. Je ne suis pas près d’arrêter…
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Shani Stevens le mardi 17 septembre 2013, 10:50:55
Étalée sur l’autel, couchée sur le flanc, Shani n’était-elle pas l’incarnation du désir ? De cette sensualité typiquement féminine que les hommes recherchaient tant ? Elle souriait devant l’homme, son estomac se tendant légèrement vers l’avant, trahissant les quelques bourrelets résultant d’une éducation gastronomique à la française, reposant sur l’usage exagéré de baguettes couplées avec du beurre, du fromage, et du vin rouge. Elle souriait au prêtre, à Adam, et ce dernier, lentement, entreprit de la contourner. Elle entendait ses bruits de pas, et ferma les yeux. Il n’y avait plus rien à voir, et elle le sentit rejoindre l’autel, se glissant derrière elle, provoquant dans son dos plusieurs séries de frissons. Il venait à l’assaut, comme elle l’aimait, et se rapprocha d’elle. Il passa par son dos, se blottissant contre elle, et un intense frisson la traversa quand il la pénétra. Elle gémit, et le sentit rapidement remuer en elle, faisant trembler l’autel, son corps chaud et moite se collant au sien. Shani tendit l’une de ses mains en arrière, agrippant la nuque de l’homme, afin qu’elle ne bouge pas trop, de manière à ce que le prêtre, son Adam, subjugué à elle, puisse la prendre sans trop de difficultés. Il opta désormais pour son vagin, la faisant soupirer et gémir de plaisir. Oh oui, c’était bon !

Elle haletait et gémissait, tandis que le prêtre continuait de la prendre, jusqu’à ce qu’il finisse par s’arrêter. L’homme avait envie de changer de position, et Shani le laissa faire. Il était l’homme, après tout. Elle l’entendit s’écarter, se déplacer, et il la souleva. Voulait-il qu’elle l’empale ? L’Église enseignait que la femme devait être dessous et l’homme dessus, mais elle savait que beaucoup d’hommes aimaient l’idée d’être sous la femme, de la voir se trémousser au-dessus d’eux, et de n’avoir rien d’autre à faire que poser leurs mains grasses et moites sur les corps de fées qui se dandinaient devant eux. C’était, après tout, une vision enchanteresse. Elle aida donc le prêtre à la soulever, et enroula ses jambes et ses mains autour de son corps, ses seins heurtant son torse. Pour autant qu’elle se souvienne des postions du Kamasutra, qu’elle avait eu longuement l’occasion d’essayer en France (l’un des psychiatres qu’elle avait consulté pour ses problèmes sexuels était un Hindou convaincu qui lui avait expliqué et démontré que le kamasutra était une manière d’atteindre la sérénité du corps et de l’esprit), il existait une position où la femme rythmait les ébats, en s’enroulant autour de l’homme, utilisant ses jambes et ses bras comme appui pour immobiliser ce dernier, ondulant ainsi ses hanches pour remuer dessus.

« Hum, Eve, je vais te défoncer… Oui, j’en ai trop envie… Et je vais te faire crier, comme jamais je ne l’ai fait ! »

Shani sourit. Elle avait de l’expérience, elle en doutait, mais elle ne voulait pas briser l’élan de ce brave homme. Cet homme de Dieu avait la foi, la foi en la beauté du corps féminin, en la puissance du plaisir charnel. Elle ne pouvait pas lui reprocher ça, car elle-même ressentait cet appel, jusque dans les tréfonds de sa chair, et ce quand bien même elle chercherait à le nier. Elle l’embrassa sur les lèvres, avant de commencer à son tour à remuer, s’empalant sur lui, poussant des soupirs.

« Haaaa.... Haaaaaaaaa... Hummmmmm... !! »

Elle commençait à sentir le plaisir venir, comme une délicieuse tornade qui gagnait progressivement en intensité, elle se trouvant au centre. Ses mains se crispaient sur ses épaules, et elle finit par le repousser, envoyant le prêtre s’allonger sur l’autel, Shani le dominant de toute sa hauteur. Voilà comment elle voulait jouir, en dansant. Elle se mit à remuer, s’empalant sur le prêtre, se mettant alors à hurler, à pousser de longs cris au fur et à mesure qu’elle cherchait à enfoncer ce membre aussi loin que possible.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!! HHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNN !!!!!! HAAAAAAAAAANNNNNNNNNNN !! » s’exclamait-elle, yeux clos.

Elle avait les mains sur les épaules de son Adam, avant de les écarter, et de danser, de haut en bas, ses cheveux remuant follement le long de son corps. C’était magnifique, tout simplement.
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Pere_Yves le mercredi 18 septembre 2013, 19:49:43
Il faudra que, lorsque je serai convoqué au Saint-Siège, je demande qu’on modifie les Saintes Ecritures. Vu comme cette femme, dans tout ce qu’elle a de plus féminin en chair, me mène par le bout non du nez mais du sexe, peut-être est-ce finalement Eve, la femme par excellence et ici même réincarnée, qui fut à l’origine du monde, et l’homme, Adam que je suis en quête de plaisir, fut-il alors tiré d’une côte de la femme.

La chaleur de son vagin est la plus douce des brûlures, et mon sexe y glisse avec facilité tant il est trempé de plaisir. Elle ondule à m’en faire des caresses, et c’est comme si les parois de son vagin dansaient au long de ma hampe, et comme si elle rythmait elle-même notre corps à corps.
« Oh oui, continue comme ça, ondule encore, ça me rend fou, et je… »

Mais il est vraiment dit que la femme prévaut sur l’homme, même pour guider leurs corps vers le plaisir, et même si les lycéennes de Mishima me laissent en général les guider, car mon Eve, la femme dans sa plus absolue pureté, me repousse à me faire basculer sur le dos, sans que nos sexes ne se séparent.
Elle est là, face à moi, au dessus de moi-même. Ses yeux clos doivent briller de désir. Ses seins fièrement dressés par la jeunesse, appellent mes mains, et je fais rouler mes doigts sur ses tétons pour les durcir encore. Sa taille ondule toujours sur la mienne, et c’est elle qui guide le mouvement, monte jusqu’à presque sortir mon sexe, avant de redescendre avec vigueur comme pour s’empaler plus profondément encore.
« Oh oui, continue… Jamais, on ne m’a fait ça ! »

Peu importe qu’elle sache ou ne sache pas ce que j’ai déjà fait. Je gémis et mes râles n’ont plus rien de vraiment chrétien, et encore moins ecclésiastique. Une seule chose me transcende, la seule chose qui nous unit, nos sexes qui se quittent presque, pour mieux se souder ensuite. Sa tête ballotte de droite et de gauche, ses seins dansent une sarabande effrénée, sa taille monte et descend sans discontinuer. Si parfois certains disent que l’homme pilonne la femme, là ce serait presque le contraire.
« Tu es belle, mon Eve, belle comme nulle autre ! »

Une fois encore, mais pour mon plus grand plaisir, mon Eve mène le jeu, elle sait si bien alterner les mouvements de son bassin, s’empaler, onduler, alterner, sans jamais ralentir. Elle est si désirable, elle incarne si bien la femme, elle représente tellement l’expression du désir. Oh, Yves, tu as peut-être choisi un chemin erroné. Et si tu l’avais connue avant…
Oui, j’aurais connu ce plaisir depuis bien longtemps, un plaisir à nul autre pareil, qui part du bas-ventre et irradie tout le corps, un plaisir qui monte, et qui pourtant laisse deviner qu’il peut monter encore. Mon sexe est en feu, et mon bassin ne cesse d’aller et venir au devant de celle qui me domine de sa sensualité. Mais je ressens que je peux aller plus loin, beaucoup plus loin, à la faire jouir encore et encore…
Titre: Re : Absolution divine [Père_Yves]
Posté par: Shani Stevens le samedi 21 septembre 2013, 02:30:22
« Oh oui, continue comme ça, ondule encore, ça me rend fou, et je… »

Vraiment ? Shani esquissa un sourire amusé devant cet aveu. Le pauvre homme n’avait donc jamais eu de femme au-dessus ? Oh, il était donc définitivement temps que Shani débarque ! Elle savait que l’Église préférait que les hommes soient au-dessus, mais, en réalité, chacun trouvait son contentement quand les rôles s’inversaient. À moins d’être un macho convaincu, Shani n’avait jamais rencontré de partenaires qui n’aiment pas voir une femme se déhancher au-dessus d’eux. C’était comme un genre de film interactif, car c’était la femme qui dansait dans tous les sens, l’homme n’ayant qu’à supporter son poids, et à se débrouiller pour trouver un moyen de ne pas jouir trop vite. L’exercice était plus périlleux qu’il n’y paraissait, mais, fort heureusement, Shani, elle, pouvait se lâcher. Contrairement à un homme, elle pouvait se recharger, et balancer encore la sauce.

Par conséquent, la sulfureuse secrétaire se mettait à danser. Ce n’était pas une danse très complexe, en soi. Elle était en deux temps, sur les mêmes notes : haut, bas, haut, bas... Une danse simple, mais elle avait pourtant l’impression qu’elle était encore plus épuisante que de se lancer dans un rock endiablé sur Chuck Berry. Sur l’autel, elle rouvrait parfois les yeux, baissant la tête pour regarder son amant. Le brave homme de foi s’était pleinement laissé aller, accompagnant les mouvements de la secrétaire,  l’autel craquant sous leurs pas. Quand elle relevait la tête, c’était pour contempler l’église autour d’elle. Les vitraux la faisaient frissonner. Comment dire ? Il y avait ce curieux mélange entre la sérénité et l’intimité dans une église. Les vitraux donnaient un jeu de lumières qui donnaient l’impression d’être à la fois en intimité avec Dieu, mais aussi en commun avec la communauté. C’était une expérience troublante... Ou alors, Shani délirait parce qu’elle avait un sexe dans le corps...

Dans tous les cas de figure, elle se faisait plaisir, cherchant parfois à enfoncer ce sexe aussi loin qu’elle le pouvait, ce qui l’amenait à crisper des dents, en ayant l’impression qu’on l’écartelait sur place. C’était moins douloureux que par la porte arrière, mais ça avait tout de même ses petites sensations. Shani se laissait aller, remuant donc, continuant sa danse, mouillant de plus en plus. Elle finit ainsi par avoir un orgasme, comme on pouvait logiquement s’y attendre.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !!! » se laissa-t-elle aller.

C’était un cri particulièrement joyeux, alors qu’elle se vidait. Elle avait un bel orgasme, qui dura une petite dizaine de secondes, avant qu’elle ne continue à remuer, en sueur. Elle avait chaud, et se félicitait de ne plus avoir le moindre vêtement sur son corps. Avec la sueur, ils auraient collé sur la peau, et c’était énervant ! Elle préférait se laisser aller, et poussait de longs soupirs, gros et forts. Un second orgasme était en train d’approcher, avec la force d’un ouragan prêt à arracher une maison.