Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Complexe d'études secondaires et supérieures => Dortoirs et douches => Discussion démarrée par: Elésie Vénus Némésis le lundi 29 décembre 2008, 23:31:37
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Elesie marchait dans les couloirs de l'internat, elle ne croisait personne, les pièces étaient totalement vides et pas un bruit ne résonnait si ce n'est que les bruits que laissaient ses pas à mesure où ils percaient l'air pour toucher le sol. Elle suivait les lumières qui émanaient de chacune des portes, ellecherchait les douches... Elle finit par sentir un froid se glisser en elle, la jeune humaine étaiit bien devant les douches,elle poussa délicatement le morceau de bois qui la séparait des douches, elle garda les yeux grands ouvert devant cette scène des plus banales. Les murs étaient cachés par des délicieuses mosaïques bleutées, refletant ainsi la blancheur et la propreté du sol. Elesie se déchaussa puis marcha jusqu'à un de ses bancs, déposa en dessous de celui ci ses deux souliers de cuir noir. Elle était très pensive si bien qu'elle avait oublié de fermer la porte,elle commenca par détacher ses cheveux délicatement, lorsqu'ils retombèrent sur son dos ils firent quelques ondulations capturant la lumière dans des reflets couleur de l'ébène, elle délaca son corset, qu'elle finit par hauter, elle ne portait pas de soutien gorge, la jeune femme preferait mettre sa poitrine en valeur par le serrage du corset plutôt qu'un faux rembourrage de poitrine, elle défit le seul et unique noeud qui servait à soutenir sa jupes de dentelles et de soies sur ses hanches, celle ci retomba en tube doucement à terre, laissant entrevoir la belle culotte de dentelle dont s'était vetu l'humaine... Elle posa sa main sur l'autre, la remonta sur son épaule à l'aide d'un seul doigt, passa sur un de ses seins en effleurant à peine ses chairs, posa sa main à plat sur son ventre puis décendit par les coté ce petit bout de tissus qui cachait son sexe, elle était désormais nue,elle pouvait rejoindre le point d'eau...
Elle continuait à marcher vers les eaux, posant ses pieds nus sur ce sol si froid, puis s'empressa de tourner la poignée en mettant l'eau chaude, l'eau, à mesure qu'elle tombait sur Elesie formait par moment des gouttes ruisselantes sur ses lèvres, elle touchait ses cheveux encore et toujours, elle évacuait toutes ses mauvaises pensées en fermant les yeux, quel spectacle magnifique... L'eau chaude , au contact du sol froit faisait remonter une lègere brume vers le haut...
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Si je me fait prendre je vois vraiment pas ce que je pourrais bien dire.
C'était au moins la 5eme fois que Bleiz ce faisait cette réflexion. En vérité à chaque crissement de ses rangers sur le sol du couloir, à chaque bruit plus haut que l'autre venant des chambres, même à chaque craquement de ses articulations il se le répétait. Déjà qu'un homme de plus de 20 ans se baladant dans les couloirs d'un lycée n'était pas vraiment normal, s'il était couvert de sang, cela l'était encore moins.
Et dire qu'il avait décidé de chasser sur terra car il pensais que cela serait plus facile. Il avait repéré cette jeune fille dans la rue depuis un petit moment et c'était mis à la suivre. Mais au détour de la ruelle qui menait au lycée il l'avait perdu de vue. Le bruit d'un oiseau s'envolant lui avait sauvé la vie. En regardant vers le haut il avait vus la "jeune fille" lui tomber dessus toutes dents dehors. Le chasseur était en réalité la proie et la proie, était en réalité un félin-garou.
Il n'étais même pas venus à l'esprit de bleiz que le portail qu'il avait franchi sur terra pour arriver au parc de Seikusu, n'était peut-être pas le seul et qu'il n'était surement pas le seul à le franchir. Il avait réussi à ce sortir de ce problème sans être blessé, mais pas sans tuer la créature. Il était couvert de sang et s'il se promenais en ville dans cet état pour rejoindre le parc, il risquait de tomber sur la police ce qui ne l'arrangeais pas. Il avait donc rangé son épée dans un endroit sure et était discrètement entré dans le lycée, qui était juste à coté, pour tranquillement se laver. Vus l'heure il n'y avait quasiment aucun risque de se faire prendre. Cela ne l'empêchai pas d'être soucieux.
Il arriva enfin en vus des douches. Lorsqu'il arriva à la porte son cœur s'arrêta. Ses oreilles avaient entendu le son caractèristiques de nombreuse gouttes d'eaux tombant sur le carrelage des douches et son odorat avait senti l'odeur de la vapeur d'eau
Et MERDE! Combien de chance j'avais pour que quelqu'un se serve des douches à une heure pareil.
Bleiz allait faire demi-tour et sortir du bâtiments, préférant prendre le risque de se promener dans la rue couvert de sang, mais il entendis soudains des pas dans le couloir. N'ayant pas le temps de pester sur sa malchance ni de trop réfléchir au solutions possible, il entra dans la douche et referma la porte, de la manière la plus discrète et la plus rapide dont il était capable.
D'après le son, il avait déduis qu'une seul personne se douchait. Il ignorait comment cette personne allait réagir à son entré mais il n'y avait pas vraiment réfléchis.
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qu'est-ce que,... oh...
Elle entendit un bruit sourd surgir du couloir, des bruits de pas sans doute, ils ne cessaient de s'avancer vers elle, il était tard, peut être même un peu trop tard pour prendre une douche, mais Elesie n'avait plus la valeur du raisonnable et de l'insoucience... disons que pour le coup elle était naïve et inconsciente des risques qu'elle prenait... les bruits, puis violents que les siens, franchissaient à grand vtesse le peu d'air qui l'encerclait puis en retombant au sol faisait trembler le petit bout de terre qui encerclait le pas... Elle se retourna mais toute cette brume l'empêchait de voir, elle distingua aucun souffles, aucune lueur d'ombre, plus foncé que la nuit, seul le cliard de lune passant par quelques fenêtres éclairait la pièce... En observant bien on pouvait voir des reflets bleus, bleu de lune ou bien bleu de son regard, elle se sentait à l'aise malgré tout les doutes qui lui passait dans la tête...
Elle laissa l'eau allumée, aprés tout rien ne l'en empêchait, elle aimait sentir l'eau couler sur son corps, caressant en un seul passage saon visage et ses jambes, elle plongeait à grand pas dans son âme s'offrant à toutes réflexions sur son passé, elle continuait en même temps de faire danser ses mains sur ses chairs, son père venait d'avoir un infarctus, on le lui avait communiqué il y 2 heures, c'est peut être pour cela qu'elle ne réagissait pas aux bruits et aux ombres, en même temps qu'elle pensait au cerceuil qu'elle allait choisir pour y mettre son paternel, le sourire bien que non méchant lui vint aux lèvres, comment résister à la joie de s'avoir qu'il allait enfin payer pour ses actes, la mort était le meilleur remède...
Elle se remit dos à la salle, face aux jets d'eau, elle récupérait l'eau comme les nymphes le font à la fontaine, elle pris un peu de savon et commenca à en parsemer son corps, un doux savon aux senteurs digne d'un elixir sensuel et fruité, jamais elle ne connu meilleur extase que ce doux parfum... elle mis ce savon dans sa main droite, partit de son buste fragile, decendit sur sa poitrine descenda vers son vagin en passant par les courbes de son ventre et fini par toucher son pubis... Au contact du savon sur sa partie la plus sensible elle le lacha... surprise par un soupson de plaisir. Elle passat ses deux mains dans son dos, frottant avec délicatesse en descendant vers ses fesses, l'eau s'occupait du reste, la source faisait descendre le savon à mesure ou il touchait le corps, un spectacle des plus banal, auquel on y aurait presque jamais prêté attention, mais Elesie le vivait comme un moment extraordinaire...
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Cela faisait 5 minutes que Bleiz était entré dans la douche. La personne qui était présente n’avais pas le moins du monde réagit. Pourtant elle ne pouvait pas ne pas l’avoir entendu rentrer. Bleiz sentait qu’on l’observait, mais avec toute cette brume, on n’y voyait pas à plus d’un mètre. Le guerrier aurait pus attendre que la ou les personnes qui se baladais dans le couloir ne soit plus en vus et ressortir, mais il se dit que étant donné que la personne n’avait pas crié il pouvait bien en profiter pour se laver. De plus, il n’aurait sut dire comment, mais il aimait assez sentir se regard sur lui. Il avait remarqué les vêtements que la personne avait laissé sur le banc et en déduits que c’était une femme, assez élégantes qui plus est.
Il retira son manteau et son débardeur qui était couvert de sang et les plaça sous un autre pommeau de douche. Il hésitât légèrement à retirer son pantalon et ses sous-vêtements mais après tout, la jeune fille qui se trouvait là était tout aussi nue que lui. Et d’après une brève analyse de ses vêtements, ses formes ne devaient pas être désagréables à regarder.
Il entendit le bruit de quelque chose qui tombait par terre. Sans doute un morceau de savon. L’image d’une charmante jeune fille se penchant en avant pour ramasser un savon provoqua chez bleiz une certaine réaction an niveau du bas ventre. Il fut bien heureux que la brume cache cette réaction parce que la vus d’un grand mec baraqué couvert de sang avec une érection n’était pas des plus rassurante pour une jeune fille.
Il se plaça sous le pommeau qui était à coté de celui sous lequel il avait placé ses vêtements et commença à faire couler l’eau des deux pommeaux de douche. Même s’il avait mis l’eau suffisamment chaude, il devrait malgré tout frotter énergiquement pour enlever le sang qui avait déjà légèrement séché. Il commença par nettoyer ses vêtements, heureusement ils n’avaient pas trop absorbé le sang et il les nettoya suffisamment pour que cela ne se voie pas. Il passa ensuite à son propre corps. Il enleva celui qui recouvrai son visage et commençai à nettoyer son torse.
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Elesie continua sa douche en toute tranquilité,mais dès lors que son pommeau de douche cessa de couler, elle continuait d'entendre cette mélodieuse eau, plus exactement l'eau se déversant sur le corps de quelqu'un, un puissant sentiment de désir l'envahissait elle était guidée par ses pulsions, pourtant elle savait bien que la curiosité était un mauvais défaut mais il était aussi à l'issue de ses débauches... Au fur et à mesure qu'elle s'approchait du bruit elle se mordait les lèvres, puis jouait avec sa langue, elle jouait souvent avec le bijou qu'elle avait dans sa langue, certains aurait pu trouver ce percing vulgaire mais elle aimait beaucoup les effets que cela donnait lors d'un baiser...
Elle regarda au sol et vis l'eau teintée d'un rose clair, surement un liquide rouge et à en juger les traces que cette eau laissée sur ses pieds, cette substance devait être du sang... La jeune femme n'entendais aucun bruit inquiétant elle jugea que ce n'était pas la peine de se faire des films sur l'origine de ce flots de sang, peut être au contraire que quelqu'un était blessé... Elesie prit par son élan continua d'avancer toujours en direction de cette source de chaleur, on ne pouvait pas très bien savoir si cette source de chaluer émanait d'elle ou bien de l'eau, en tout les cas elle commencait à distinguer le corps d'un homme, un homme plutot musclé et grand... Elle ne pouvait pas s'arrêter en si bon chemin, après tout elle aimait ce genre d'enjeux.
Elle y voyait clair maintenant, elle était derrière lui , Elesie le regardait frotter énergiuement son corps, elle s'imaginait à la place du torse de l'homme, sous cette grande main, sous cet engin de désir... Elle continuait à l'observer avec beaucoup de discretion, son fessier était parfait, quant à ses muscles, si seuleument il avait un défaut... Elesie Vénus espérait qu'il allait la rejeter afin d'éviter de s'attacher à lui l'espace d'une soirée...
Mais tout d'un coup l'eau du pommier de l'homme s'arreta et on entendis le souffle délicat d'Elesie...
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Bleiz avait entendu l’écoulement d’eau de la douche de la jeune fille s’arrêter. Il fut nullement effrayé ou inquiété. Il continua à se nettoyer. Il avait quasiment finis de nettoyer les dernières traces de sang qui lui restait sur le corps. Tout en ce nettoyant il entendait les pas léger et discret de sa compagne de douche. Elle devait avoir remarqué le sang qui se mélangeait à l’eau mais elle ne semblait pas avoir pris peur. Elle continuait d’avancer dans sa direction et il se demandait bien ce qui pouvait passer par la tête de cette jeune fille. L’idée qu’elle avait peut-être remarqué l’état de son entrejambe frôla son esprit. Il se mit à imaginer ce qui pourra bien se passer s’ils s’avéraient qu’ils soient tout les deux au gout de l’autre. Bleiz venait de terminer un combat et Il savait que la violence et le désir étaient tous deux très proches au niveau de l’esprit. Et ce même si le sexe n’avait rien de violent. Son érection ne fit que grandir et son souffle devint légèrement rauque.
Lorsqu’il sentit qu’elle était juste derrière lui, il arrêta l’écoulement d’eau et sans se retourner se mit à parler :
-Vous pourriez être assez aimable pour me dire s’il m’en reste dans le dos ?
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Elesie ne répondit pas, elle aimait beaucoup ce timbre de voix qu'elle qualifiait de mystérieux... Plutôt que de s'attarder à lui décrire l'endroit précis où le sang restait elle s'avanca doucement de lui, l'espace qui la séparait de lui était mince, elle ralluma l'eau, celui de ne pouvait apercevoir que la main de la jeune fille, main fine légère et pâle, elle arrosa sa main d'un fluide fil d'eau puis le passa sur le dos de l'homme, frottant doucement le bas du dos , frottant le sang qui restait là sur ses chairs à lui donner une touche de couleur...
Elle venait de finir d'enlever la tâche de sang, mais une irrésistible envie de s'approcher encore de l'homme la surpris, elle s'avanca doucement, et glissa sa main sur le torse de l'homme, elle était toujours de derrière son dos...
Une mèche de cheveux viens toucher les chairs de l'homme, Elesie ne cessait de se mordre la lèvre inférieur, et au contact du corps de l'homme et de sa main, l'eau coulait encore sur elle, amplifiant les frissons qu'elle retenait en elle.
Il en restait... encore par ici...
Sa voix était douce et mélodieuse, à la fin de ces quelques mots un petit gémissement surgit, pas vraiment comme ceux que l'on émet pendant une extase mais le prolongement d'un silence parsemé de sons s'achevant par un souffle frais sur le corps de l'homme
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Elle ne répondit pas. Elle entreprit de nettoyer elle-même le parti qui vraisemblablement devait avoir encore un peu de sang. Le contact de sa main sur sa peau le faisait frissonner. La brume et le quasi silence le faisait se sentir comme dans un rêve. Elle cessa de frotter son dos, mais pas de le toucher. Il senti qu’elle s’approcha et il vit une main se poser sur son torse. Elle était fine et l’endroit d’où elle dépassa laissait supposer qu’elle n’était assez petite. Il senti une mèche de cheveux toucher son dos et frissonna à nouveau.
-Il en restait... encore par ici...
Enfin il entendait sa voie douce et mélodieuse. Une tel voie ne pouvais appartenir qu’as une femme magnifique. Il avait envie de se retourner et de la contempler mais ce petit jeu lui plaisait assez. Le léger gémissement qui avait ponctué la fin de sa phrase l’excita encore plus. Il tourna légèrement la tête et eus un bref aperçus de son visage qui était tout sauf repoussant. Il se mit à parler
-Cela vous arrive souvent de nettoyer le dos des inconnus, Pour une belle jeune fille comme vous cela est risqué. Vous pourriez tomber sur des personnes peu recommandables.
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Elesie souriait tendrement aux paroles du jeune homme, il était assez drôle de constater qu'il pensait exactement ce qu'elle s'était dit lorsqu'au début elle entendit des bruits de pas, elle ne pouvait qu'aquiscer ce que venait de dire le bel homme... Oui ce bel homme, lorsqu'il tourna un peu son tête de profil elle put apercevoir ces traits virils qui marquaient son visages , elle n'avait qu'une envie lui tourner sa tête définitivement coller son corps contre le sien, poser délictement sa main droite sur la belle joue de l'homme, poser son autre main sur le torse resplendissant puis lui offrir le baiser qui marquerait cette rencontre, mais elle n'en fit rien... Elle tenait elle aussi à faire perdurer ce jeu, à faire n'être l'extase par les mots et les caresses, puis improviser...
Elesie se sentait attaché à cet homme comme ci elle était en quelque sorte soumise à son désir, elle n'enleva pas sa main de sontorse bien au contraire elle effleura du bout des doigt ses pectoraux, comme un glissement infini de caresses suprême... Elesie rapprocha sa tête de l'homme et colla ses lèvres qui aux mouvements de ses frissons fit déposer un baiser sur son épaule...
Ne vous est il pas non plus traversé à l'esprit que je fasse partit de ces personnes peu recommandables...
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Bleiz sentit les caresses de ses lèvres contre son épaule puis à nouveau, il entendit cette voix mélodieuse.
-Ne vous est il pas non plus traverser à l'esprit que je fasse partit de ces personnes peu recommandables...
Une telle réponse laissait envisager une suite plus que sympathique. Il laissa tomber sa main gauche contre son corps, puis chercha le contact avec sa jambe. Il senti un léger frisson lorsqu’il la toucha. Il remonta sa main lentement afin de savourer les sensations que cela provoquais aussi bien chez lui que chez elle. Il senti, au touché la finesse de sa cuisse et arrivé en haut il hésita un instant. Sa main allait elle continuer ses caresses vers le fessier, ou allait elle aller vers l’avant ? Il se dit qu’il allait laisser l’avant pour plus tard et se mit à caresser ses fesses avec deux doigts.
-Je m’entends plus facilement avec les personnes dites « peu recommandables ». Elles sont souvent plus intéressantes et ont plus d’imagination
Sa main droit pris celle qui lui caressait le torse, et tout doucement, il la guida vers son entrejambe.
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Elesie vint se mettre face à lui entre son corps fait de muscles et le mur froid de la douche, l'eau coulait à torrent, mais pour rien au monde elle éteindrait l'arrivée d'eau, ils étaient tous deux sous cette eau chaude qui perlait au contact de leurs tétons... Elesie attrapa de sa main la tête de l'homme et lui caressait en même temps son cuir chevelu, sous l'eau tout prenais une dimension différente, chaque gestes ne pouvait être que doux et leur souffles s'entendait bien plus à cause de la brume chaude qui émanait du sol...
Elle rapprocha sa tête toujours plus près de la sienne, monta sur ses pointes de pieds, elle aurait presque pu avoir la carrure d'une danseuse, fine, s'élancant vers le haut tel un saut d'ange... Elle était maintent face à lui, tête à tête à chaque mots qu'elle prononcerait ses lèvres n'auront pas le choix et effleureront celles de l'homme, elle ne souhaitait qu'une chose, qu'il la traite avec douceur et brutalité à certains moments, faire monter en elle un elixir parfait, après tout, avec la scène qui venait de se passer, c'était plutôt bien partit,elle aimais de plus en plus s'adonner à ce petit jeu...
Y a t'il un nom à mettre sur ce si bel homme?
Son corps subissait trop de sensations agréables lorsque ses lèvres bougeaient sur les siennes pour parler, rien de plus délicieux que de toucher l'âme d'un être étranger... Son corps suivait sa respiration remontant à certains moments sa poitrine vers le haut, effleurant encore et toujours le torse de l'homme, l'eau ne cessait de couler sur leurs visages, venait se glisser pafois entres leurs bouches, donnant à leur intentions un acte...
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Elle se glissa entre lui et le mur. La beauté de son visage et la perfection de son corps animai un brasier chez bleiz qui pouvait se voir dans ses yeux. Elle lui attrapa la tête et caressa ses cheveux. Elle se mit sur la pointe des pieds, et colla son visage à peine à 1 millimètre du sien. Puis elle prononça cette simple phrase :
- Y a-t-il un nom à mettre sur ce si bel homme?
En parlant ses lèvres avait touchés le siennes et cela provoquait une réaction que la jeune fille ne pouvait ignorer. La respiration de sa compagne devenait saccadée et forte Soulevant sa poitrine et la faisant frôler son torse. La sensation de l’eau coulant sur leur corps respectifs était délicieuse. Il Désirait cette femme. De tout son corps il voulait la faire sienne. Il voulait la prendre, la posséder. Il voulait qu’elle ne soit plus qu’as lui et que rien d’autre pour elle ne compte. Il voulait être le maitre de son corps et de son âme. Il la dévora du regard et répondis
-Mon nom est il vraiment important ?
Puis il l’embrassa. D’abord tendrement puis de plus en plus sauvagement en poussant son corps contre le mur et en se collant au sien.
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Elle ne voulait pas lui répondre, elle ne voulait pas dire mots, elle ne voulait surtout pas cesser de lui offrir ses lèvres pour de si beaux baisers, la nuit promettait d'être longue,... Elle sentait par l'intensité de ses baisers qu'il commencait à s'attacher à elle, ce qui n'était pas des plus déplaisants, elle aimait vraiment la manière dont il caressait sa langue, puis ses lèvres... son menton... elle lui embrassa à son tour de milles sortes sa bouche, mordant ses lèvres, sucant sa langue, jouant parfois à cesser de le toucher afin qu'il vienne chercher ce baiser... Elle descendit en lui sucant les chairs jusque dans son cou, elle aimait la texture de sa peau, ce goût, le parfum qu'il dégageait...
L'eau ne cessait de couler, toujours en unifiant leurs deux corps, les cheveux d'Elesie quand à eux étaient libres sous ses eaux, quelques mèches de cheveux venaient se glisser sur ses lèvres, Elesie n'osa pas les enlever,elle était trop pressé de toucher encore l'homme, trop pressé d'avoir des contacts... Le moindre mouvement était important, que ce soit prévu ou par hasard, comme lorsqu'il glissa sa main derrière son dos, mais qu'allait-il vouloir faire... Elesie se laissait emporter par l'Homme,elle s'offrait à lui...
Vous avez raison, mais je tiens à savoir quel nom crier à chacun de mes frissons...
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-Vous avez raison, mais je tiens à savoir quel nom crier à chacun de mes frissons...
Elle avait dit ces simples mots avec un air mutin adorable. N’aurait-il donc aucune limite au désir qu’elle pouvait provoquer chez lui ? Il continuait à l’embrasser en pressant son corps contre le sien. Ses mains parcouraient chacune des fibres du corps de sa partenaire. Il lui caressait le dos, les seins, les fesses, les jambes. Aucune partie, même la plus infime qui soit n’échappait à ses mains. Il plongeait son regard dans le sien et y lut tout le désir qu’elle éprouvait pour lui. Il l’as regarda d’un air dur, mais non menaçant. Il voulait lui faire comprendre qu’il menait la dance mais qu’il ne la forcerait en rien. Il voulait la posséder, la conquérir mais pas la violer. Elle lui avait à nouveau demandé son nom. Et elle l’avait demandé d’une manière des plus agréables. Il ne voulait pas révéler son identité aussi facilement. Aussi répondit-il de cette manière. Il l’empoigna délicatement, mais avec force par le coup plaça son visage tout prêt du sien et dit.
-Si tu désire vraiment me nommer, tu peux m’appeler « maître ». C’est compris ?
Et il l’embrassa à nouveau. Un peu plus violemment que la première fois. Il quitta ses lèvres et embrassa son cou Il le lécha, le mordilla. Il aurait bien voulu faire avec sa bouche ce que ses mains avaient fait, mais elle devait être la première à se baisser. Il remonta avec sa langue, depuis son cou jusqu'à ses lèvres, puis il l’embrassa à nouveau. Il se détacha de son visage, la regarda dans les yeux et lui dit
-Dit maintenant à ton maître comment tu t’appelle et comment tu compte lui témoigner ton affection.
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Elesie aimait ce genre de jeu, elle trouvait bien étrange de nommer quelqu'un maitre mais après tout elle n'y voyait aucunes objection...bien au contraire,elle avait bien l'intention à son tour de le faire se languir encore, elle ne lui donna pas son nom, elle ne le regardait même pas, elle l'embrassait puis d'un seul coup elle le plaqua contre le mur des douches, toujours accompagnée par l'eau...
Maintenant laisse moi te prouver de quoi les esclaves sont capables,...
Elesie embrassait son corp, commencait par mordiller ses oreilles, glissa ses mains après les avoir baladé sur son thorax, dans les creux de son maitre, elle descendit dans le coup, lécha la ligne très bien dessinée qui partagait son ventre et son torse, lui lécha le nombril, puis s'agenouilla tout à coup face à lui... L'eau, les souffles... tellement d'événements délicieux qui ne lui donnait qu'une seule et unique envie, procurer le plaisir de son Homme... Elle le regarda, il était de haut et pu voir en elle comme si elle était sa soumise, mais lui avait fait comprendre qu'elle garderait une partie de ses charmes pour le dominer...
Elle ota ses mains de celles de son maitres, elle leur avaient gardé une utilisation bien particulière... elle caressa doucement l'intérieur des cuisses de l'homme, remonta doucement etposa sa langue sur le bout de son pénis, elle la retira, puis dédcendit en faisant glisser son nez contre son sexe jusqu'à ses glands... Elle posa ses mains sur son pénis et commencait doucement à faire des gestes de hauts en bas, pendant se temps sa langue léchait ses glands, elle les mettaient entièrement dans sa bouche, puis jouait à les lui mordiller parfois... Elesie prise dans son élan, remplaca ses mains et laissa pénétrer buccalement le pénis du maitre, son percing donnait à chaque passage comme un aspect nervuré, elle aspirait son pénis de tel sorte à donner quelques contractions et fournir plus de plaisir.... Elle enchainait parfois avec un font de george ne pouvant que décupler l'extase de son maitre...
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Bleiz n’y croyait pas. Il ne s’était pas attendu à ce que cette jeune fille bien que légèrement perverse prennent autant les choses en mains. La fellation qu’elle lui prodiguait n’était comparable à aucune autre. Elle provoquait en lui des éclairs violents de plaisir qu’il ne croyait possible que lors de l’orgasme. Ses délicieux aller et venus était quelquefois ponctués par l’aspiration total de son membre le faisant aller jusqu'au fond de sa gorge.
Il lui caressa tendrement ses cheveux. C’était le seul mouvement dont il était capable dans l’état dans lequel son traitement le laissait. Il lui releva légèrement la tête pour qu’elle le regarde.
-Excuse-moi de t’avoir caché mon prénom. Je préfère ne pas le révéler à n’importe qui. Mais tu es bien plus qu’une simple lycéenne un peu débauchée. Je m’appelle Bleiz.
La révélation de son prénom la fit légèrement sourire bien qu’elle n’arrêta pas de sucer énergiquement son membre. Bleiz n’aurais sut dire si c’était le compliment qui la faisait sourire, ou si c’était la satisfaction d’avoir peut-être inversé les rôles de dominations. Bleiz espérait qu’ils n’en étaient plus là. Avec une telle femme, la domination ne pouvait qu’être simulée. Une telle femme était bien plus plaisante à posséder avec sa participation et non sa soumission. Il avait hâte de continuer pour voir si ses idées s’adapteraient aux siennes.
Une gorge profonde le ramena à la réalité et il réalisa qu’il était sur le point de venir. Même s’il voulait continuer après cela, il ne pouvait pas passer à coté d’une occasion de venir dans la bouche d’une suceuse aussi exceptionnelle. De plus il était certains que son excitation ne s’évanouirai pas avec un seul orgasme. Avec un traitement pareils il ne pouvais plus tenir très longtemps.
-Je…Je vais venir…
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Bleiz... son nom n'était pas désagréable à son oreille... Elle se laissa guider par ses actions, elle continuait toujours ses gestes, donnant plus de vivacité et de rigueur à chacuns des passages du pénis contre ses parois buccales, le seul plaisir qu'elle éprouvait c'était celui de Bleiz, rien de meilleur que la reconnaissance du plaisir par l'éjaculation...
Bleiz lui avait dit qu'il allait bientôt en venir à bout de souffle, ce qui ne lui empêcha pas de continuer, bien au contraire, elle s'activa de plus belle. Elle donna encore plus de coup de langue, plus de pulsions jusqu'à ce qu'il daigne bien lui offrir son jus sacré, elle n'attendais plus que ca...
L'eau était toujours aussi délicieuse lors de ces contacts avec leurs chairs, elle continuait de caressait l'homme mais montant parfois sur son torse, elle voulait lui donner toutes les sensations possibles et inimaginables que l'on pouvait offrir avec une simple bouche... Elle commencait à faire des effets comme sortir le pénis de sa bouche, ne plus le toucher puis tout d'un coup repartir en fond de george... Tout prenait une tornure différente, à la manière dont elle s'exercait sur ce pénis on aurait pu voir là uneactrice de pornographie..
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Elle ne s’était pas arrêtée. Au contraire elle accélérait. Elle voulait qu’ils viennent dans sa bouche. Elle voulait lui donner du plaisir. Elle y allait plus vite, plus fort. Elle donnait des coups de langue, elle lui caressait le torse. Autant de chose qui faisait que Bleiz ne pourrait pas se retenir encore longtemps.
-Ho oui c’est bon, continu.
Elle s’arrêta un instant, le regarda d’un air mutin, puis elle repartit en fond de gorge. Ce fut trop pour bleiz qui ne put se retenir. Il sentit son membre se tendre encore une fois, lentement il sentait le jus monter, puis se fut l’explosion.
-Je…Je viens !!!
Il se sentit se déverser dans la bouche de cette belle inconnu qui ne lui avait pas encore révéler son nom. Chaque jet était comme une décharge électrique qui partait du bas de sa colonne vertébrale pour se répandre dans tout son corps. Il ressentait un tel plaisir qu’il chancela légèrement sur ces pieds avant de se remettre. Il baissa les yeux et regarda la jeune fille qui était source de tant de plaisir.
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Elesie avala délicatement ce doux jus, cette substance blanche d'un plaisir infini,... Elle embrassa son pénis puis remonta doucement vers la tête de Bleiz. Elle n'eut d'autres envie que de l'embrasser, explorant les plaisirs secrets d'un langue aussi bonne, embrassa le bord de ses lèvres, puis releva une main sur lui, sur ses cheveux, sur cet être qui avait tout pour lui plaire...
Elesie Vénus Némésis... appelez moi Elesie, je... enfin je veux dire... vous...
Elle n'arrivait pas à finir ses phrases, elle avait tellement des choses qui lui traversaient l'esprit qu'elle en oubliait ses mots. Elle plongeait ses yeux dans le regard profond et plein de Bleiz, l'eau coulais sur elle, faisant briller sa nuque, quelques eaux passait sur son corps décendant sur son pubis, enrobant son sexe, donnant toujours plus de sensations à chacun de leurs baisers...Des gemissement se faisaient ressentir par ses chairs, qui aux moindres contacts la laissait baigner dans l'extase, Elesie aurait pu rester là toute une vie à prendre ses caresses, à goûter les lèvres de celui qui lui avait demandé de l'appeler Maitre, à regarder les muscles de Bleiz se contracter à chaque extase, elle lui avait dit qu'elle s'offrait à lui, et elle tiendrais promesse jusqu'au bout...
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Elle remonta vers lui et l’embrassa. Il ne sentit pas la moindre trace de sa semence dans le baiser qu’elle lui avait prodigué. Preuve qu’elle avait tout avalé ce qui donna envi à Bleiz de l’embrasser plus violemment. Elle quitta ses lèvres, non sans laisser un léger baiser sur leur bord comme une sorte de rappel qu’elle reviendrait. Puis elle mit la main dans ses cheveux et lui dit :
-Elesie Vénus Némésis... appelez moi Elesie, je... enfin je veux dire... vous...
Elesie. Quel nom mélodieux. Et son second prénom lui allait comme un gant. Bleiz l’embrassa à nouveau, grisé par la révélation de son prénom. Ses mains parcoururent à nouveau son corps en entier. Il caressa avec ferveur ses magnifiques fesses et se promit de les embrasser plus tard. Sa main gauche se mis à caresser son pubis délicatement. Il effectua de légers mouvements en cercle avec toute la délicatesse dont il était capable. Sa compagne de la nuit, de pars ses gémissements semblait apprécier se traitement. Il continua ainsi tout en continuant à caresser le reste de son corps de son autre main. Il lui dit :
-Tu mérite amplement que je te rende la pareille. Tout comme tu mérite de me tutoyer et de m’appeler par mon nom.
Il descendit et ce mit à genoux devant elle. Il embrassa légèrement son bouton. Puis, le lécha de toute la longueur de sa langue. Malgré l’eau qui recouvrait son corps, il senti peux à peux qu’elle était plus humide à l’intérieur de son corps.
-Cela te plait ?
-
Elesie sentit à nouveaux les succulentes lèvres de Bleiz contre les siennes, mais cette fois ce n'était pas elle qui était allé les chercher... Elle savourait chacun des instants en la présence de Bleiz... Il arrivait à lui offrir en même temps tout ce dont elle avait besoin, et elle n'en demandait pas plus, elle aurait parfaitement compris qu'il veuille finir sa douche puis repartir.... Ca n'aurait en rien gêné notre petite humaine, partant du principe qu'à chaque fois toutes ses débauches se terminaient ainsi. Mes les baisers, les caresses et les souffles de Bleiz lui proccuraient bien trop de bienfaits qu'elle s'en mordrait les doigts de le laisser filer après un tel moment...
Mais le jeune homme n'allait pas en rester là. Elle sentait les mains de Bleiz se promener sur son corps, cherchant les endroits où les soupirs d'Elesie devenaient plus forts, où elle pourrait gémir sans s'arrêter, elle espèrait qu'il ne puisse pas lui proccurer d'orgasmes de tel sorte qu'elle ne puisse s'attacher à lui... Mais Bleiz glissa sa main là où il ne fallait pas, il touchait son pubis à l'aide de petits gestes circulaires, des petits gestes qui s'efforcaient à donner de grands moments de plaisir...
Non... ce n'est pas la peine de me rendre la pareille, j'ai fais ca par pur plaisir...
Le jeune homme n'eut peut être pas entendu ce qu'elle disait, les multiples jets d'eau sortant de la paume faisait un certain bruit qui obligeait aux deux êtres de tendre l'oreille pour pouvoir entendre leurs mots. Il décendit doucementvers son entre jambes, cherchant à toucher du bout des lèvres son pubis, elle sentit son muscle buccal le long de son clitoris, elle eut un léger frisson qui lui fit contratcer ses fesses puis les muscles de son buste, sa poitrine... Elesie s'en mordait les lèvres...
Oh... Ca me plait tellement...
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Cela lui plaisait. Bleiz en était plus que ravis. Il mit ses deux mains sur les fesses de sa partenaire et les malaxa. Il continua à la lécher telle la friandise qu’elle était pour lui. Puis il s’arrêta et la regarda d’un regard pervers.
-Il est temps d’aller un peu plus loin.
Il se lécha l’index puis tout doucement, avec la plus grande délicatesse et sans cesser de lui donner du plaisir avec sa langue, il l’enfonça. Il le fit entrer, centimètre par centimètre en elle. Il caressa les parois de son vagin et insista sur les zones qui la faisaient plus gémir que d’autres. Il accéléra ensuite ses coups de langues et ses va et viens avec son doigt. Il cessa de lécher pour dire
-Tu aime ça ? Je devais en mettre un autre.
Il lia son majeur à son index et la pénétra à nouveaux tout doucement. Il reprit ensuite son rythme rapide mais cette fois les sensations de sa partenaire devaient être plus grandes du fait de ces 2 doigts. Il ne faiblit pas, que ce soit au niveau des mains que de la langue. Même autant de temps après avoir joui et que son sex reprenait peu-à-peu de la vigueur, il sentait encore de légères sensation de sa jouissance. Il voulait partager son plaisir avec sa belle. Il ne s’arrêterait pas avant qu’elle ait jouie.
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Elesie sentait son corps devenir de plus en plus humide, elle s'ouvrait de plus en plus et ressentait se besoin immense de pénétration, plus la langue de Bleiz l'effleurait plus elle en avait le sentiment, Elle aurait pu s'évanouir de plaisir, mais au moment où elle commencait à fermer les yeux elle sentit un des doigts de son compagnon se glisser doucement et par petit feu dans son vagin, il avait l'art et la manière du doigté, en tout le cas les yeux de la Belle se réouvrirent et elle gémissa, un gémissement sonore et visuel, car la brume de l'eau chaude se faisait de plus en plus épaisse et le peu d'air qu'il encerclait jusqu'à présent Elesie se transformait en brume de souffle, en brume du plaisir...
Elle ne pouvait rien faire elle était paralysée sous les coups de maitre qu'il s'exercait à lui montrer, tout à coup lorsqu'il leva la tête et lui adressa encore la parole, il enleva ses doigts et ses lèvres de son sexe, le plaisir restait encore même sans contacts directs, elle aurait pu penser qu'il allait s'arrêter là mais tant de chose lui indiquaient l'inverse,elle avait sentit dans ses baisers qu'il n'avait pas l'intention de rigoler et qu'il aimait lui aussi prendre et donner du bon temps,...
Elesie sentit que le volume qui s'intégrer à nouveau dans son vagin venait de s'agrandir, peut être venait il de se servir d'un deuxième doigt, quoi qu'il en soit elle ne pouvait plus émettre un souffle sans bruits, des lègers cris parvenaient aux lèvres de la jeune humaine, elle ne maitrisait plus son corps, seul Bleiz pouvait décider de ce que son corps allez faire, elle sentait en elle venir la jouissance mais elle ne pouvait le lui dire, sa bouche son coeur et ses muscles frissonaient de trop elle ne savait plus quoi faire elle n'arrivait plus à gerer ses émotions...
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Bleiz savoura chaque frisson, chaque cri, chaque instant de la jouissance de la belle Elesie. Il voyait son beau visage se contracter, sa bouche s’ouvrir, ses yeux se fermer sous les coups de l’orgasme. Comme cette femme était belle quand elle jouissait. Il aurait voulu graver cette image dans sa mémoire. Cette vision lui donnait envi de la prendre sans attendre. D’autant que la voir dans cet état l’avait parfaitement remis en état de le faire.
Il remonta et l’embrassa tendrement. La tentions était redescendus. Il lui accordait un peu de répits. Il prit le temps de ressentir l’instant. Les gouttes d’eaux qui continuaient à tomber, la vapeur qui s’était élevé autour d’eux, La respiration haletante de sa partenaire qui récupérait. Il caressa tendrement ses cheveux, senti leur odeur. Il lui embrassa le front avec affection puis la regarda dans les yeux.
-J’ai envi de toi, d’être à l’intérieur de toi. En ce moment il n’y a rien que je désire plus que de m’unir à toi.
Il s’appuya contre elle afin que son sex témoigne du désir qu’elle faisait naitre en lui. C’est vrai rien d’autre ne comptais à cet instant précis. Il voulait ne faire plus qu’un avec cette envoutante créature qui sans crier gare lui était apparu. Il la désirait plus que tout. Il la voulait.
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Elesie était toute chose, elle avait les yeux qui essayaient de se fermer, son extase l'avait mené à un orgasme puis à sa jouissance, elle aurait bien voulu se remettre de cet état pouvoir récuperer les baisers de Bleiz et rester accrocher à ui pendant quelques instants sans que rien ne se passe, savourer chacunes de leur respirations et n'émettre que de doux mots à l'oreille de son Homme...
Mais il remonta vers elle, l'embrassa encore et puis ramena son corps à elle, ses chairs étaient chaudes, son corps frémissait au contact du sien, tout était parfait. En s'approchant encore d'elle elle pu sentir que le sexe de son partenaire était encore d'attaque, elle n'eut d'autres idées que de lui mordiller ses lèvres, de lui lécher le laube de son oreille puis de descnedre dans son cou... Mais il lui murmura son désir de la pénetrer, de ne faire plus qu'un, elle n'y voyait aucunes objections bien au contraire, cette idée lui avait deja traversé l'esprit à plusieurs reprises...
Elle basucla légèrement le bassin, fit glisser doucement sa main sur le torse de Bleiz, déscendant vers son pénis, puis elle le guida à l'aide de sa main à l'intérieur de son vagin, cette sensation froide du premier coup de sexe était d'après elle la meilleure lors d'une relation sexuelle, Une des jambes d'Elesie vint entourer celles de Bleiz, sa poitrine était étouffée entre leurs deux corps et ses gémissements émettaient cette fois si des sons plus audibles, l'eau aurait paru muette, Elesie enfoncait légèrement le bout de ses doigts dans le dos de Bleiz, Elle continuait à jouer de sa bouche et de sa langue, en volant quelques baisers sensuels à l'homme qui lui prodiguait un des plus grand plaisirs...
Elle commenca à se déhancher afin de sentir de plus belle le pénis de Bleiz et de se proccurer un orgasme, On aurait pu croire encore une fois qu'Elesie était une vraie nymphomane, et ce n'aurait surement pas Bleiz qui aurait dit le contraire... Elle s'activa de plus belle, lui donna le meilleur d'elle même...
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De sa main, Elesie avait guidé le sexe de Bleiz, vers le siens. Il savoura chaque sensation qui accompagnait la première pénétration. La chaleur de son corps était une sensation délicieuse qui l’envahissait. Sa compagne leva une de ses jambes et entoura celle de Bleiz. Il senti sa douce poitrine s’appuyer contre la sienne. Ses gémissement étaient cette fois plus fort ce qui rendais Bleiz fout de désirs, elle le griffait légèrement le dos et continuait à l’embrasser. Les coups de bassin de Bleiz étaient lents mais forts. Il prenait le temps de se retirer quasi complètement et ensuite il s’enfonçait à nouveau jusqu’au fond. Chacun de ses coups lui procurait un plaisir inouïs et il ne put qu’imaginer ce qu’il en était de sa belle.
Puis il sentit qu’elle se déhanchait afin de ressentir encore plus son Sex en elle. Apparemment elle souhaitait prendre le plus de plaisir possible. Elle s’activais telle la créature dévouée au plaisir qu’elle était devenue. Elle accéléra ses mouvements de bassins et Bleiz allait également plus vite. Il augmenta la cadence jusqu'à sentir le plaisir monter en elle. Il continua, guettant à chaque coups, sa réaction et la vis prendre de plus en plus de plaisir jusqu'à l’explosion on elle ne pus se retenir de pousser un cri.
Il la laissa se reposer un moment, puis la souleva complètement. Elle mit ses bras autour de son cou, et lui plaça ses mains son ses cuisses. Il la maintenait en l’air par sa seule force que l’excitation avait décuplé et la soulevais avant de la laisser redescendre pour la pénetrer.
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Elesie se laissait guider par Bleiz, elle aimait chacuns de ses gestes, chacuns de ses souffles. Elle était deja au seuil d'un orgasme, des frissons l'avaient envahis de plus belle,jouant d'un gonflement de sa poitrine et de sa cambrure...Elesie était sous le charme de Bleiz, pour rien au monde elle n'arreterait ce moment paradisiaque, cette extase infinie et belle, l'accélération de son homme lui avait fait perdurer seon orgasme plus longtemps que d'ordinaire.
Elle avait besoin de reprendre son souffle, de se remettre à niveau, de reprendre conscience après un tel moment, il la pris dans ses bras, la soulevant puis la reposant, guidant ainsi son pénis à l'intérieur de la jeune femme, elle n'en pouvait plus, c'était trop merveilleux, elle contractait son vagin pour donner plus de sensations à Bleiz...
Elle arreta la pénétration puis le tira de sous l'eau, l'amenant au banc , dans les vestiaires, elle le poussa contre celui ci, Bleiz n'eut d'autres choix que de s'allonger, elle monta sur lui, repris la pénétration, avec une telle ferveur... Elle le chevauchait en bonne cavalière donnant contraction et profondeur aux vas et viens, son ventre suivait les ondulations de ses hanches, elle s'abaissa sur lui l'espace d'un baiser puis remonta, s'activant encore et toujours au bon plaisir de Bleiz...
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Elesie l’avait fait sortir de sous la douche et l’avait fait s’allonger sur le banc pour ce poser au dessus de lui et diriger la partie. Bleiz n’avait rien contre se laisser faire si sa partenaire savait s’y prendre. Et Elesie avait prouvé qu’elle savait parfaitement s’occuper de lui. Elle lui faisait l’amour d’une manière plus qu’agréable, ondulant ses hanches harmonieusement afin de diriger la pénétration. Elle se pencha sur lui et déposa un baiser sur ces lèvres, puis elle remonta et s’activa de plus belle.
Bleiz observa cette divine créature. Il la regardait s’appuyer sur son torse afin de garder l’équilibre. Il regardait ses cheveux s’envoler au rythme de ses ondulations. Il regardait sa sublime poitrine se soulever à chacun de ses gémissements. Ses fesses dont chaque mouvement était source de plaisir pour Bleiz. Il aimait particulièrement cette partie de son anatomie et ne pus s’empêcher de les caresser puis de les prendre en mains afin d’accompagner les mouvements de sa belle.
-Elesie….Oui continue…C’est si bon.
Un plaisir infini l’envahissait. Il s’offrait à elle tout comme elle s’offrait à lui. Il voulait rester passif encore un moment car elle lui faisait beaucoup trop de bien. Comme il l’avait pensé plus tôt, avec une tel femme on ne s’embarrassait pas de notion de dominant ou de dominé. Il fallait se contenter de savourer le plaisir partagé. Et le plaisir en question était des plus intenses.
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Elesie voulait pimenter les pénétrations, bien qu'elle prenait beaucoup de plaisir à chacunes des entrées et sorties dans son vagin elle souhaitait mettre plus de vices à l'acte, elle sortit le pénis de son vagin, et le fit pénétrer doucement dans son rectum, l'endroit était dilaté mais serré, pour Bleiz la sensation devait être bien plus importante et pour Elesie aussi, elle aimait offrir tous son corps à ces petits plaisirs, peu ose le dire mais la pénétration anale est la meilleure... Elle montait doucement et redescendait doucement mais au fur et à mesure elle allait de plus belle, ne tenant plus sur Bleiz, les mains remontant ses cheveux sur le haut de sa tête, Elesie fermait les yeux, sa bouche était entrouverte laissant passer certains cris de jouissance, parfois elle carressait le torse de bLiez d'une main en se mordant les lèvres, les respirations sacadées d'Elesie donnait à ce moment encore plus d'extase, elle ne pouvait plus pousser de cis tellement la pénétration était bonne et ne pouvait pas non plus s'arrêter de chevauxher Bleiz, elle le regardait parfois dans les yeux, descendait un doigt qu'elle avait humidifié sur son sein, puis joua avec son clitoris, elle sentait un deuxième orgasme lui venir...
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Alors que Bleiz se croyait au bout de ses surprises avec la belle Elesie, Elle réussit à le surprendre à nouveau. D’un geste de la main, elle retira Son membre de son vagin et elle l’enfonça doucement dans son autre trou. Bleiz était sur le c…enfin il était vraiment ébahi. Son étonnement laissa très vite la place à un intense et fabuleux plaisir charnel. L’anus de la belle serrait fortement son pénis et lui procurait des sensations bien plus fortes que précédemment. Sa partenaire semblait partager son plaisir. Elle le prouvait, tantôt en remontant ses cheveux sur le haut de sa tête d’une manière sensuelle, tantôt en caressant le torse de l’homme qui était en train de la sodomiser. Ses cris de jouissance étaient la plus mélodieuse des musiques aux oreilles de Bleiz. Et quand elle le regardait dans les yeux, Le désir qu’il avait pour elle n’avait plus de limite. Il sentait le plaisir monter à nouveau en lui. Cette jeune fille, qu’il avait d’abord prit pour une simple jeune lycéenne un peu perverse, allait le faire jouir, par une sodomie qu’elle dirigeait elle-même. Même s’il se doutait qu’elle voudrait surement recevoir la jouissance de son homme en elle, il eut tout de même la politesse de la prévenir.
-Elesie je…Je vais enc…encore…je vais encore venir !
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Elesie continua à faire ces vas et viens tous aussi délicieux les uns que les autres, elle voyait en lui qu'il allait arriver au bout, d'ailleurs il le lui avait fait comprendre, délicieusement, comme lors de la fellation... elle n'attendait plus que ca à présent comme toujours mais cette fois ci, elle sortit son pénis au moment ou il étiat le plus proche de l'éjaculation, émettant ainsi le liquide sur le vagin remontant au ventre plat d'Elesie, elle prenait son pénis en main et continuait à le masturber, elle rédescencait sur lui en même temps, l'embrassant de toute son âme...
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Elle avait retiré son sexe d’elle juste à temps et il s’était répandu sur tout son corps. L’explosion de plaisir fut encore plus incroyable que la précédente et le laissa sans voix. Elle continua à le masturber doucement en redescendant vers lui pour l’embrasser. Bleiz la pris dans ses bras tendrement et resta à l’embrasser un long moment. Il se retira de ses levres et la regarda dans les yeux.
-c’était si bon je n’y crois toujours pas. Tu es ensorcelante.
Il continua à se perdre dans ses yeux. Il aurait voulu savoir ce qui était arrivé dans la vie de cette jeune fille pour en faire une amante aussi fantastique. Il lui caressa les cheveux et savoura cet instant d’intimité avec elle
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Elesie l'embrassa tendrement, savourant elle aussi chacun de ses baisers, elle faiblissait pour lui, jamais elle n'avait ressentie autant de plaisir et de douceur qu'avec cette homme, elle n'était que plus attirée par lui et ne voulait surtout pas qu'il s'en aille... Elle lui attrapa la main, le dirigea vers le douche, réalluma cette eau tiède, donnant une fumée dense au contact de leurs chairs encore chaudes de ces moments délicieux, elle glissa sa main sur la savonette, l'attrapa délicatement, maitrisant ainsi ce petit carré violet qui émanait une odeur esquise, elle mit Bleiz sous l'eau de tel sorte que la source se déverse sur son torse viril, elle passait doucement le savon sur son torse, couvrant chacune des parties de son buste de cette couleurs blanche viollette que laissait le savon à chacun de ses passages, rien ne pouvait être meilleur que ces silences doux, elle se concentrait à la tâche, elle n'appuyait pas de trop de peur de brusquer Bleiz.... Cet homme délicieux pouvait enfin sentir les mains d'Elesie prenant le relais sur la savonnette, passant doucement, elle s'approcha de lui, colla son corps contre le sien afin de pouvoir masser le dos de l'homme...
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Après lui avoir donné un orgasme fulgurant, voilà qu’elle le savonnait et le massais. L’eau tiède de la douche coulait à nouveau sur son corps le lavant de la transpiration due à ces derniers efforts. Le savon, qu’Elesie répandait sur son corps sentait agréablement bon. Pendant qu’elle s’afférait à recouvrir son torse Bleiz put de nouveau admirer son corps magnifique. Il se demandait s’il pourrait se lasser de faire l’amour à un tel corps. Son visage, ses seins, ses fesses, ses jambes. Tout était un appel à la luxure pour lui. Elesie laissa alors la savonnette et se mit à le caresser de ses mains ce qui plut encore plus à Bleiz. Elle s’approcha alors, jusqu'à coller son corps contre le sien et de lui masser le dos. Le contact de son corps contre le sien, fit bander le jeune homme pour la 3eme fois. Même s’il n’était pas rare qu’il soit capable de recommencer plusieurs fois, c’était très rare qu’il puisse le faire aussi vite. Décidément cette jeune fille lui faisait beaucoup d’effet. Il l’embrassa avec douceur et tendresse. Puis il se retira de ses lèvres et la regarda dans les yeux.
-Quand je te dis que tu es ensorcelante. C’est rare que je sois prêt aussi rapidement. Je pense que je ne me lasserai jamais de te faire l’amour
Il prit alors la savonnette et entrepris de la nettoyer à son tour. Il répandit le savon sur ses seins et ses épaules. Puis il la retourna et en mis sur son dos. Il lâcha alors la savonnette pour se servire de ses mains et étala le savon sur tout le dos. Ses mains se baladèrent sur le devant de son corps et se mirent à caresser sa poitrine. Il se plaça derrière elle lui embrassa le coup. Sa main gauche descendis alors vers son entrejambe
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Elesie désirait que ces contacts ne cessent jamais. Il la touchait comme un frôle une pierre précieuse, avec un geste aussi délicat de peur de la briser. Bleiz était bien plus agé qu'elle mais il semblait la désirer tout autant. Lorsque les doigts de Bleiz glissait sous l'effet de la savonette sur son dos, elle ne put s'empêcher de gémir, l'orgasme n'était rien à côté de l'effet que le simple contact pouvait lui proccurrer. Des mots plus léger qu'un souple firent s'envoler quelques mèches de la sublime chevelure d'Elesie quand elle en dénotait chacun d'entre eux. Elle cherchait à savoir si entre eux ce ne serait que purement sexuel mais cela ne la gênait en rien, et elle ne pouvait contenir les ondulations que formait son corps à chaque frisson.
Bleiz.... Personne ne t'a demandé de te lasser... Et je n'ai pas envie de m'y... refuser...
Les souffles d'Elesie se faisaient rares et elle glissait ses mains de sorte à enlacer son amant. La chaleur de l'eau coulante qui tracait un chemin sur ses lèvres devenait de plus en plus insupportable, leurs corps se trouvaient surchauffé part le plaisir.
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Se tenant derrière elle, il lui embrassa tendrement les épaules. Il remontant cm par cm vers son cou, puis vers son visage. Il lui fit tourner la tête afin de l'embrasser. Ses mains caressant toujours son corps parfait. Tandis que sa mains gauche continua à caresser tendrement son sein, Bleiz descendit vers le sexe de sa partenaire et entrepris de doucement le caresser.
Son membre tendu se colla contre ses fesses avec envie. Il voulait prendre Elesie par derrière et Cette idée seul rallumais un brasier en lui.
Il continua de l'embrasser tandis que sa mains imprimais un léger mouvement en cercle au niveau de son entrejambe.
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Elesie tourna la tête, guidée par un geste de Bleiz, pour venir l'embrasser. Elle ne résistait plus s'en était de trop. Le plaisir immense qu'il lui donnait lui otait l'envie de s'arreter la et elle ressentit qu'il en était de même pour Bleiz. L'eau perlait sur leurs corps, et un contact vint frôler les parties intimes d'Elesie. En un geste circulaire Bleiz carressait l'orgasme de la jeune humaine, et dans cet élan les souffles de la belle se faisaient courts et son désir immanse.
Sa poitrine et son corps onduait, maintenue par Bleiz, elle voulait se retourner et lui arracher ses soupirs, seuement elle sentit se dresser le pénis de Bleiz et un désir ardant la transperca.
Elle prit en main son sexe pour le guidait dans ses parties annales. Elle soupira, et les contractions que faisaient son corps faisaient l'accès difficile et bien plus délicieux.
<<Oh Bleiz.........bleiz je....je vais mourir de plaisir...>>
-
Il sentis la main d'Elesie s'emparer de son sexe et il fut enchanté à l'idée de retourner encore une fois dans cette envoutante source de plaisir qu'était son vagin. Mais il sentit qu'elle ne le dirigeais pas au bon endroit et cela l'excita encore plus. Il sentit l'entrée plus laborieuse mais la sensation était incomparable.
Il l'entendit soupirer qu'elle allait mourir de plaisir.
Elesie. J'ai l'impression qu'il n'y a pas de limite au plaisir que tu peux me donner.
Il commença un doux et sensuel mouvement de vas-et-viens à l'intérieur d'elle. Il ne cessa pas ces caresses au niveau de son clitoris mais cessa de l'embrasser pour la faire ce pencher en avant et la faire s'appuyer contre le mur.
-
Les paumes de ses mains appuyés sur le carrelages dégoulinant glissaient parfois, lorsqu'il émettait en elle ces vas et viens des plus délicats.
Elesie traversait les nuage à la rencontre du septième ciel, les picotements dans son corps, comme des épines d'une rose posé avec tendresse, l'amenait à bouger toujours plus, elle était telle une lionne domptée en cet instant. Ils partageaient ce voyage avec beaucoup de passion. Ce soir elle s'était perdue en lui, et son corps ne pouvait survivre sans leurs unions. Sa tête se baissait les cheveux suspendus, elle s'épuisait d'extase et ne pouvait plus rien faire que recevoir.
Elle n'était pas prête d'oublier cette douche.
-
Bleiz continuais ses mouvements des hanches et des mains. Chaque entrée était tel une décharge électrique de plaisir qui parcourait tout son être. les gémissement d'Elesie était musique a ses oreilles. Il sentait la force de cette femme et se sentait d'autant plus fiere de la posseder en cet instant.
Mais autant il la possédait, autant elle, le possédait aussi. Il sentait que même s'il ne la revoyais plus jamais, Elle ne quitterai jamais totalement ses pensée. Et Une douche n'aurait plus jamais la même signification pour lui.
Sans brusquer il se mit à accellerrer le rythme.
-
Elesie n'en pouvait plus d'extase et fit basculer le sexe de bleiz dans son vagin. Elle pouvait ainsi face à lui venir pincer ses lèvres, lui arracher des baisser pris de passion.
Elle était contre le mur, serrée au plus possible sur le torse muclée de Bleiz. Sa poitrine ainsi exposé faisait office de puit pour l'eau coulante.
Elle aggrippa une de ses jambes autour de la taille de bleiz pour raccourcir la distance de leurs sexes. Elle ne quittait pas ses lèvres sauf pour embrasser son cou. Elle s'amourrachait pour lui et cette nouvelle percpective offrait à ses pulsions plus d'intensité. Ses soupirs jouaient de la chaleur dans les douches, se qui faisait une légère brume. Elesie attendait de réouvrir les yeux, ce moment magique était bien au dela des désirs charnels.
-
Elesie s'était retournée et avec une agilités étonnante s'était agrippée à lui et l'avait embrassé sauvagement.
Il l'avait bloquée contre le mur et continuais ses mouvements du bassin. Ses mains libres s'appuyaient sur les appétissantes fesses de la belle et les massait avec vigueur. Il se retira de ses baisers afin de pouvoir la regarder. Son regard plein de luxurs et son corps bougeant au gré de ses coups, le rendait fou.
Tu es magnifique Elesie.
-
Elle s'agrippait plus ferment à lui, comme un enfant qui tient à un jouet. Elle se savait pas trop comment définir le rythme de son coeur, la lenteur de ses souffles, l'ondulation de son corps. Peut être était ce la luxure, peut être une prise d'affection. Elle s'accrochait à lui en repensant que ce moment allait prendre fin et que la douceur de son corps ne serait plus sur elle à la fin de cette nuit. Elle voulait égoïstement que l'horloge du temps s'arrête pour eux, et des larmes douces vinrent rouler sur ses jouent. Le plaisir, la peine, l'envie, la douleur, des larmes polyvalentes.
Son corps se faisait de plus en plus fatigué et ses contractions l'amenait au bout du chemin du plaisir, cela ne saurait attendre qu'elle jouisse un énieme fois.
-
Son plaisir s'intensifiait de plus en plus. Il sentait qu'il n'allais pas tarder à venir. Et doutait qu'il pourrai à nouveau recommencer. Il voulais s'imprégner pleinement de cet instant. Ne voulait rien oublier de la perfection qu'il avait en face de lui.
Il la voyais gémir de plaisir. Et cela de plus en plus vite. Elle aussi elle était au bord de la jouissance et cela l'excitait encore plus.
Elesie je... je vais venir.
-
<< Alors viens.... je suis à toi>>
En cet instant elle vivait les mots qu'il venait de dire comme si elle les entendait pour la première fois, son sourire la trahissait et montrait bien plus que de jeu. Elle se souvint qu'elle était venue prendre une douche chaude pour récupérer et voila qu'un homme vint rentrer dans son corps. Elle était peu fière d'avoir les hommes aussi facilement mais les orgasmes étaient une drogue, et Bleiz était son meilleur dilleur. Elle le fixeait toujours ne perdant jamais de vue le mouvement délicat et presque imperceptible de ses prunelles. Jamais elle n'aurait penser tenir aussi longtemps et voila qu'elle lacha prise. Elle finit par jouir en poussant un cri des plus indiscret. Elle avait ramenait en cet instant sa tête dans le creux que formait sa belle nuque. S'aggripant toujours plus fort à lui.
-
Lorsqu'il sentit l'orgasme de la belle, il ne put se retenir plus longtemps et vint à son tour.
Leur corps tremblais dans la même harmonie que suivait leur plaisir mutuel. Il ne la quitta pas des yeux. Même quand elle se blotti contre sa nuque il continua à la regarder. Ses jambes faiblissait et il s'assit sur le carrelage de la douche.
Il resta là. Un long moment à profiter des sensations qui l'animait encore. Il se sentait bien. Mieux qu'il ne s'était jamais senti depuis un long moment.
-
Elesie s'assied en face de lui et prit la main de son ange. Elle le regardait luir sous la chaleur, et aurait pu lui sauter à nouveau dessus, elle voulait juste sentir son corps près du sien. Elle finit par l'enlacer agenouillée sur le carrelage brulant. Elle hésitait à s'asseoir sur lui pour être bercée par ses baisers, mais elle n'en fit rien le voyant se remettre de ses esprits. Elle repassa un coup sous la douche, fit glisser ses mains entre ses cheveux pour les démêler. Elle retourna du côté vestiaire, une larme peinée au coin des lèvres, pui attacha sa chevelure en une queue de cheval. Elle enfila un corset noir et un jean blanc. Elle regardait en direction des douches se demandantt si tout cela était bien finit. La belle humaine ne trouvait d'autres issue que de s'asseoir pour réfléchir et le fit. La tête entre les genoux, les bras serrés autour de sa taille, la jeune Elesie se sentait vide.
-
Lorsque Bleiz repris ses esprits, Elesie n'était plus là. Était elle partie ? Il fila dans le vestiaire pour la voir assise habillée, la tête entre les genoux. Il enfila ses vêtements qui était encore mouillée mais suffisamment peu pour qu'il puisse sortir avec, et s'assit à coté d'elle.
Tu semble triste Finit il par dire
Elle leva les yeux vers lui et le regarda. S'il s'était demandé s'il l'avait trouvé parfaite uniquement à cause de la situation particulière ou ils ce trouvaient, il ne ce le demandais plus car même habillée et calme elle lui paressait toujours aussi belle.
-
Elesie le serra fort dans ses bras et resta ainsi durant un long instant. Leurs corps était revenu à leur température habituelle et les habits de la belle faisait ressentir un bouquet fleuri au nez de Bleiz. Elle hésiter à mettre fin à ce contact mais le fit quand même.
<< En effet , je dois avouer que partir me blesse>>
Elle baissait les yeux en cet instant, elle savait pertinemment ce qu'à chaque fois elle faisait à la fin de ses ébats, elle leur expliquait qu'elle avait prit bien du plaisir mais que tout cela s'arretait la. Elle savait qu'elle n'était qu'un objet de luxure et cela lui convenait. Seulement ce soir elle ne pouvait pas le dire, elle n'en éprouvait pas l'envie et craignais que Bleiz ne lui fasse comprendre que tout cela n'était que charnel. Elle n'était pas d'humeur à faire des adieux.
Elle se releva et se dirigea vers son casier pour attraper sa parure de diamants. Elle était de dos à Bleiz et il fallait avouer que son jean moulait étrangement bien ses courbes. Elle ne se retourna pas de peur que ses larmes ne soit apercue. L'eau de la douche ne pourrait pas les dissimuler à nouveau.
-
Il sentait une chose, elle s'était attachée à lui. Elle ne voulais pas que ça s'arette là. Et il devait bien l'avouer, lui non plus. Quelque chose chez cette fille l'attirait irrésistiblement et il ne savait pas pourquoi.
Il se leva et s'approcha d'elle. Il l'enlaça de ses bras et lui dit à l'oreille.
-Ne t'en fait pas Elesie. Nous nous reverrons. Moi non plus je ne veux pas que cette fois soit la dernière. Moi aussi je me suis attaché à toi.
Elle se retourna vers lui en le regardant dans les yeux.
Mais tu dois savoir que ma vie m'empeche de rester au même endroit trop longtemps et qu'il peut ce passer un long moments avant que l'ont ne se revois.
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Les larmes d'Elesie coulaient à flot et pourtant elle n'émettait aucun bruit, elle ne sanglottait pas et sa repiration était des plus sereine. Elle l'enlaca en entendant ses mots et ne su que faire pour qu'il ne remarque pas ses yeux envahie de tristesse. Elle se mit à rire soudainement pour ajouter avec humour.
<< Ca m'apprendra de m'attacher à un nomades de temps anciens.>>
Elle retourna pres du banc pour ranger ses affaires et continauit à rire en douceur, un rire nerveux qui ne pouvait tromper personne. Elesie s'en voulait de s'être prise au jeu et répétait mille fois dans sa tête << mauvaise fille va>> seulement ces mots finire par devenir audibles et elle finit par dire un merde en chuchottant.
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Elle cachait tout sous son humour. Il ne pouvais lui en vouloir. Il fit néanmoins quelque chose.
Mis la mains à son coup et l'enleva. Il passa les bras autour de son coup et lui accrocha son pendentif. Le pendentif avait la forme d'une épée.
Crois moi quand je te dit que l'on ce reverra. Je reviendrai. Ne serait-ce que pour le récuperer
Il la retourna alors et l'embrassa.
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Elesie souriait puis tout d'un coup réalisa que ce n'était pas un rêve en touchant le pendentif, elle souriait et vint d'une main essuyer ses larmes.
<< Tu n'es pas obligé tu sais...>>
Elesie se demandait si leur prochaine rencontre serait juste une manière de reprendre son bijoux et si apres celle ci il y en aurait d'autre, mais une règle d'or avait toujours été imposée à la jeune nymphe, e jamais penser au futur, bien que cela lui fut difficile en cet instant.
Elle déroba alors un baiser à Bleiz, elle était forcée de se mettre sur a pointe des pieds pour l'atteindre et son corps était alors penché sur celui de l'homme. Une main venait caresser la nuque de Bleiz tandis que la seconde se retrouvait à moitié posé sur la taille de celui ci.
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Il l'embrassa et l'enlaça tendrement. huma intensément pour se rappeler de son parfum.
Je ne me force jamais à quoi que ce soit. Je te le promet. Tu me reverra.
Il prit alors son arme dans un coin et partit en lui lançant un dernier regard.
ce n'est pas un adieu.
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<< A très bientôt alors.....>>