Le Grand Jeu

Plan de Terra => Les contrées du Chaos => Dictature d'Ashnard => Discussion démarrée par: Graziella le vendredi 19 avril 2013, 14:22:35

Titre: Soumission au coeur de la ville [Mélinda Warren]
Posté par: Graziella le vendredi 19 avril 2013, 14:22:35
Je me baladais dans les rues de la ville, heureuse de faire un petit séjour ici. Cette ville me plaisait particulièrement, j'y étais bien, sachant que je pouvais trouver toute sorte de plaisir, toujours en faisant en sorte de ne pas causer de tort à l'empereur de quelque manière que ce soit. j'avais décidé de ne pas me métamorphoser aujourd'hui et de garder mon physique originel. Je sortais d'une ruelle, observant un moment la foule se pressant dans sur les trottoirs de l'une de plus grandes rues de la ville. Elle représentait bien cette dernière, on y trouvait de tout, les hôtels chics côtoyaient les maison closes. Mais on n'y trouvais pas de bas de gamme, tout les établissements présents ici avaient une renommée importante.J'apercevais d'ailleurs le harem dans lequel je comptais me rendre, celui de Mélinda Warren. On m'en avais énormément parler et j'avais décider de profiter de mon séjour pour y faire un tour.

Le bâtiment était entouré d'un mur qui m'empêchait de voir à quoi il ressemblait. Après avoir lutté quelques temps contre la foule, j'entrais dans un petite cour au centre duquel trônait une fontaine sculptée, dont l'eau rafraîchissait l'air lourd. Je poussais la porte et entrais dans un salon assez confortable, chaleureux, où patientait plusieurs hommes. Ils me lancèrent un regard avide mais le regard fier que je leur lança leur fit comprendre que j'étais une cliente et non une marchandise. Je me dirigeais vers l'hôtesse et lui dit que je souhaitait être soumise. Mes ailes s'agitant dans mon dos lui firent comprendre que j'étais une démone.
Titre: Re : Soumission au coeur de la ville [Mélinda Warren]
Posté par: Mélinda Warren le samedi 20 avril 2013, 21:45:03
Comme toujours, il faisait chaud aujourd’hui. Mais qu’attendre de mieux, de la part d’une ville plantée en plein désert ? La capitale impériale trônait magistralement, cerclée par d’énormes murs, et, en son sein, Mélinda Warren était en train de travailler, de gérer son bien, la source de sa fortune et de son pouvoir : son harem. A l’intérieur de son bureau, la belle vampire était en train de se plonger dans une série de papiers, afin d’essayer de trouver un moyen d’obtenir des rabattements fiscaux. Comme chaque année, elle devait payer la taxe foncière, et cette dernière, du fait de la position avantageuse du harem, sur l’un des grands boulevards ashnardiens, était salée. Avec un joie palpable, Mélinda était donc dans une série de papiers s’étalant sur son bureau, consultant les décrets impériaux, les fiches comptables, des listings, afin de déterminer si elle pouvait bénéficier du rabattement fiscal prévu. Un exercice particulièrement pénible, qui l’amenait de plus en plus à vouloir se faire une pause, et ce d’autant plus que, sous le bureau, une neko léchait avec bonheur l’intimité de sa Maîtresse, cherchant ainsi à la détendre. Le moins qu’on puisse dire, c’est que sa petite langue se débrouillait plutôt bien, car Mélinda était de plus en plus excitée.

C’est dans ces conditions qu’elle reçut une visite. La porte de son bureau s’ouvrit sur une neko essoufflée. Elle était normalement assignée à l’accueil, et avait du prendre l’ascenseur pour monter aussi vite.

« Qu’est-ce que tu as, Liana ? s’enquit Mélinda.
 -  Une... Une cliente démoniaque a demandé à être une soumise... » répondit Liana en inspirant fortement.

A cette idée, Mélinda se mordilla les lèvres. Une démone soumise... Les filles savaient que Mélinda aimait beaucoup jouer avec les démons, et que, dans certaines circonstances, elle tenait à ce qu’on l’informe de la présence de clients démoniaques... Plus particulièrement quand il s’agissait de jolies filles démoniaques demandant à se faire dominer. A choisir entre une cliente démone et un tas de papiers, le choix de Mélinda était vite fait. Elle caressa la tête de la neko qui léchait son sexe, puis se redressa. Mélinda remit sa culotte, et fila dans l’ascenseur, qui les conduisit au rez-de-chaussée. Les ascenseurs n’étaient pas courant à Ashnard, et celui-ci fonctionnait de manière semi-automatique. Il était tiré par un système de pompes et de treuils, et ressemblait plus à une espèce de petit monte-charge. L’ascenseur l’amena en tout cas au rez-de-chaussée, et elle avança le long de beaux couloirs rouges bien décorés. Le harem respirait le luxe et la luxure, l’argent et la volupté. Il se devait d’être un harem de luxe, et les chambres insonorisés permettaient aux clients d’exaucer tous leurs fantasmes en toute discrétion.

Liana indiqua de la queue la cliente. Elle était dans le salon d’attente, une pièce où il y avait deux esclaves « en vitrine », c’est-à-dire deux filles plaquées contre les murs, enchaînées, ligotées et bâillonnées à la bouche et aux yeux, et qui avaient, autour du bassin, une culotte noire avec deux godes, qui pénétraient le sujet. Un client était en train de caresser les jambes de l’une des deux femmes, posant ses lèvres sur ses seins, se faisant plaisir, en attendant que la dame de charme qu’il avait demandé arrive. Mélinda apprit rapidement les quelques informations à savoir sur la démone, soit son nom. Graziella. Curieusement, le nom lui faisait penser à Godzilla, l’une de ces icones terriennes dont on entendait souvent parler. Elle conserva cette comparaison pour elle-même, et envoya Liana chercher Graziella, tandis qu’elle-même se rendit dans une chambre classique. Pas des fenêtres, un grand mur, des barres verticales, et, sur une table, quantité d’objets orientés sadomasochisme.

« La dame de charme va vous recevoir annonça Liana à Graziella. Veuillez me suivre. »

Marchant à quatre pattes, Liana s’avança dans le couloir, ses petites fesses se dandinant, ainsi que sa queue. Elle regardait parfois derrière elle, afin de s’assurer que la cliente suivait, et elle se dirigea vers la chambre concernée.

« Veuillez entrer, je vous prie. »
Titre: Re : Soumission au coeur de la ville [Mélinda Warren]
Posté par: Graziella le dimanche 21 avril 2013, 19:59:44
L'hôtesse s'empressa d'aller trouver une femme pour moi. Je m'assit dans un fauteuil, détaillant le décor du salon d'attente. Deux jeunes femmes étaient attachées au mur. Cela devait être de cela que parlait son amie. Elles étaient plutôt agréables à regarder et j'en profitais jusqu'à ce qu'un homme vint les caresser pour patienter. Le spectacle était nettement moins réjouissant, l'homme approchant de la soixantaine et me dégoûtant franchement. Les "pensionnaires" du harem défilaient, venant chercher leurs clients ou clientes. J'avais hâte de voir qui allais s'occuper de moi. Une rumeur disait que la directrice elle même s'occupait des diablesses mais je n'y croyais pas trop.

Enfin une jolie neko vint me chercher et m'annonça qu'elle doit me conduire à la dame de charme. Ce devait être un surnom, celui d'une pensionnaire importante. Ma guide avançait à quatre pattes, agitant sous mon nez ses jolies fesses, ce qui éveilla mon appétit. Elle s'arrêta devant une porte.

La chambre était simple, sans fenêtre, et équipée de nombreux objets sadomasochistes. Mmmmh... Une jeune femme m'y attendait, elle avais l'air d'une adolescente. Mon regard fut tout de suite attiré par sa poitrine puis ses yeux couleur émeraude. Absolument magnifiques! Elle correspondrait à la description qu'on lui avait faite de la directrice. Ainsi donc la rumeur était vrai. Elle était vêtu d'une longue robe bleue qui mettait en valeur ses formes. Je la saluai d'un signe de tête

- Si je ne me trompe pas vous êtes Melinda Warren... Je m'appelle Graziella Mina.
Titre: Re : Soumission au coeur de la ville [Mélinda Warren]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 22 avril 2013, 20:23:23
[HRP – Petite précision : la robe de Mélinda n’est pas « bleue », mais verte. C’est celle de l’avatar, tout simplement ^^]

Dans la chambre, Mélinda bouillonnait d’impatience. Les démons... Elle avait toujours eu un rapport ambivalent avec cette espèce-là. A Ashnard, les démons dominaient, et elle leur était donc inférieure, ce qui impliquait qu’il soit assez difficile d’en faire des esclaves. D’ailleurs, sa supérieure ashnardienne, Kaileesha, était elle-même une démone. Et les quelques rapports de soumission qu’elle avait eu jadis avec les démons n’avaient pas été très bons, lui attirant constamment des problèmes. Mais, ici, il s’agissait d’une cliente. Une simple cliente démoniaque qui voulait se faire soumettre. Il était évident que ce privilège ne pouvait revenir qu’à Mélinda, et à Mélinda seule ! Assise dans un fauteuil, la petite vampire attendait. Liana finit par gratter à la porte, avant de l’ouvrir, et Graziella entra. Les yeux de Mélinda semblèrent légèrement s’illuminer devant la beauté qui se tenait devant elle.

Peu importe l’angle sous lequel on se plaçait, Graziella était une femme magnifique. Elle avait une longue chevelure rousse qui tombait en cascade sur ses épaules, de beaux yeux violets, et un choix vestimentaire particulièrement attrayant. Un délicieux corset noir avec, surtout, de longs gants, réveillant les goûts fétichistes de Mélinda. A dire vrai, qu’elle veuille se faire dominer était assez curieux, car elle avait clairement l’allure d’une dominatrice, d’une maîtresse. Mélinda pencha la tête sur le côté.

« Si je ne me trompe pas vous êtes Melinda Warren... Je m'appelle Graziella Mina. »

Graziella Mina... Ça ne faisait pas très démoniaque, tout comme son apparence. Mais un vampire voyait au-delà de cela, et s’intéressait directement au sang. Et celui de Graziella, indéniablement, était démoniaque. Mélinda sourit alors. Ses jambes étaient croisées, et elle se leva. Graziella était plus grande qu’elle, mais ça ne la dérangeait pas.

« Effectivement. Il est assez rare que je m’occupe personnellement des clientes, mais... Disons que, pour certaines perles rares, je m’autorise à faire des exceptions. »

C’était une bonne manière de présenter les choses. Un harem était un lieu de luxure, mais ça ne signifiait pas que tous les clients étaient des tombeurs. Certains étaient d’une laideur épouvantable : obèses, vieux, laids, couverts de cicatrices... Il allait de soi que Mélinda ne laisserait jamais ces gens-là l’approcher. Et, de manière plus générale, elle intervenait assez rarement comme dame de charme, préférant diriger tout cela de haut. L’époque où elle avait du elle-même se prostituer pour financer son harem, soit à ses débuts, était révolue depuis longtemps. Graziella était un bonus, un supplément.

Mélinda tournait autour d’elle, la détaillant silencieusement.

« Une belle poitrine, des cheveux magnifiques... Tu dois avoir quantité d’hommes à tes pieds ma belle Graziella... Et, pourtant, tu as choisi de te faire dominer. »

Les paroles de Mélinda n’appelaient pas vraiment à une réponse, et elle vint se planter devant Graziella, un sourire sur les lèvres.

« Les démons sont les rois à Ashnard... Alors, quand l’un d’eux désire se faire soumettre, il va de soi que je suis aux premières lignes... Tu veux être ma chienne, alors ? Une belle petite soumise que je fesserai et que j’humilierai ? Tu as bien choisi en me vouvoyant. »

Mélinda tendit sa main, et caressa l’une des mèches de cheveux de Graziella, la faisant glisser vers elle, lentement.

« A quatre pattes. Tout de suite ! » ordonna-t-elle.

Que Graziella soit belle à en rendre fou de désir les hommes ne ferait que rendre les choses encore plus stimulantes.
Titre: Re : Soumission au coeur de la ville [Mélinda Warren]
Posté par: Graziella le mardi 23 avril 2013, 11:39:21
La voix de Mélinda était délicieuse et charmante au sens propre du terme. Elle avait tout d'une dominatrice, d'une maîtresse, et je ne m'étonnait pas que le harem soit aussi prospère. Peu de ses esclaves devaient lui désobéir et elle semblait avoir la capacité de soumettre rapidement qui elle voulait.. Elle dominait les gens par sa prestance et le fait qu'elle soit plus petite que moi ne me faisait pas du tout douter de sa capacité à me dominer. Elle posait des questions, n'attendant apparemment pas de réponses. Lorsqu'elle vint se planter devant moi je détaillais son visage. Ses yeux vert émeraude étaient envoûtant.

Un ordre retentit. Je me mis à quatre pattes, les yeux baissés vers le sol. Je n'avais pas envie de me rebeller comme je prenais plaisir à faire parfois. Elle tourna encore un peu autour de moi, ses mains effleurant mon corps parfois, puis elle se dirigea vers la table. Je gardais les yeux baissés. Elle revint et passa un collier autour de mon cou auquel semblait être attaché une chaîne. Puis je sentis le cuir d'une cravache caressé mes fesses avant de donner un petit coup sec. Je me mordis les lèvres pour retenir un cri. Mon excitation monta en flèche au deuxième coup, je sentis mon sexe commencer à s'humidifier et mes seins devinrent plus sensibles. Plusieurs coups tombèrent encore dont un entre mes cuisses, si bien placé que je ne pus retenir un cri malgré le tissu de mon pantalon qui devrait amortir les coups.

Sur son ordre je me relevais et me déshabillais au rythme de la musique qu'elle avait mis, mes hanches ondulant doucement et mes mains prenant soin de caresser ma peau pour la couvrir de frisson. Je me retrouvais nu devant elle, gardant seulement mes gants comme elle le souhaitait, les yeux baissés et son regard détaillant à nouveau mon corps sans défaut à mes yeux. J'étais fier de ne pas avoir à utiliser mon pouvoir pour avoir un corps parfait. Malgré tout la prestance et le charisme de Melinda me faisait douter de moi et ma fierté avait totalement disparu. La chaîne de métal pendait entre mes seins, jusqu'au sol où elle s'enroulait un peu. Un courant d'air froid faisait se durcir la pointe de mes seins et créa d'autres frissons sur ma peau.
Titre: Re : Soumission au coeur de la ville [Mélinda Warren]
Posté par: Mélinda Warren le mardi 23 avril 2013, 14:21:39
Appétissante démone que voilà ! Mélinda sentait qu’elle allait se régaler à la voir aussi soumise ! Elle se mit donc à quatre pattes, et reçut autour du cou un collier pour chien, avec une laisse. Un instrument indispensable dans toute relation de domination, du point de vue de Mélinda. Elle sentait des frissons de plaisir le traverser, alors que rien n’avait encore véritablement commencé. Cette démone était d’une grande beauté, et avait visiblement l’air très attirée par la soumission. Que demander de plus ? Mélinda avait tout ce dont elle rêvait ! Elle saisit une cravache, et donna, pour le plaisir, quelques virulents coups sur le postérieur de Graziella, tenant la laisse par une autre main. La cravache claquait sur les fesses de la démone, dont les ondulations sanguines trahissaient le plaisir qu’elle ressentait à être ainsi battue. La vampire n’avait pas attendu avant de passer aux choses sérieuses, et relâcha, après une série de coups de cravache, la laisse. Elle le relâcha quand elle atteignit la zone entre ses cuisses, amenant Graziella à pousser un cri de plaisir, très encourageant.

« Miam... » commenta Mélinda.

Elle sentait un pic sanguin se concentrer à hauteur du sexe de la démone. Elle commençait à mouiller. Ceci l’amusait beaucoup, et elle décida de passer aux choses sérieuses. Mélinda posa la cravache sur une table, puis lui donna quelques nouveaux ordres :

« Déshabille-toi, petite catin... Et ne conserver que tes gants. »

Mélinda s’écarta un peu, tout en la regardant. L’éclairage de la chambre fonctionnait sur une série de bougies et de candélabres. Elle en souffla plusieurs, afin de donner une ambiance plus intimiste, et utilisa quelques instruments électroniques récupérées sur Terre et sur Tekhos. Une délicieuse musique sensuelle s’engagea dans la pièce, et elle regarda à nouveau Graziella, qui était maintenant presque totalement nue, à l’exclusion de ses longs gants. Non, Mélinda ne pouvait décemment pas lui ordonner de retirer ses gants, tant elle les trouvait... Sexy. Toutes les filles qui connaissaient un peu Mélinda savaient que cette dernière adorait les longs gants, et que c’était souvent un très bon moyen  de la séduire, ou de réveiller sa passion, en pleine nuit, quand elle était au milieu de trois femmes emmêlées et chaudes lui caressant le corps.

Lentement, Mélinda tournait autour d’elle, glissant ses griffes le long de la peau de Graziella, filant le long de sa chair, un certain sourire amusé sur les lèvres. Ses griffes glissaient le long de son corps, sans entailler sa peau, et elle tourna autour d’elle plusieurs fois, jusqu’à s’arrêter devant ses fesses, qu’elle se mit à pétrir.

« Tu as un corps magnifique, ma petite Graziella... Je crois qu’il mérite mieux que de vulgaires coups de cravaches... »

Elle la tenait par la laisse, et s’avança dans un coin de la pièce. Elle alluma un nouveau candélabre, permettant de voir des espèces de menottes noires en cuir pendouillant dans les airs. Elle sourit, et attrapa doucement l’une des mains de Graziella, la coinçant dans la menotte, puis attacha l’autre. Elle serra bien les deux menottes, qui fonctionnaient comme des espèces de brassards, avec des pointes qui en sortaient. Ce faisant, elle s’écarta, et alla près d’une espèce de manivelle, puis s’en servit pour tracter les cordes retenant les menottes. Ceci, concrètement, releva Graziella, tandis que les menottes vinrent à s’écarter l’une de l’autre. En somme, Graziella se retrouva debout, avec les bras écartés l’un de l’autre, et tendus. Mélinda sourit, et se mit devant elle, embrassant la femme dans le cou, tout en glissant ses mains vers les belles fesses de la démone, les malaxant vivement. Mélinda mordillait tendrement son cou, mais sans planter ses canines.

« Hum... Je vais te fouetter, ma belle... »

Et, après avoir dit cela, Mélinda s’écarta, et attrapa un fouet. Elle le fit claquer dans le vide. Le fouet était un objet magique, en ce sens que le simple fait de trancher l’air provoquait ce claquement si délicieux aux oreilles. Bien sûr, c’était un fouet conçu pour le sexe, pas pour torturer. Il était donc beaucoup moins tranchant qu’un véritable fouet... Mais, pour autant, bien plus douloureux qu’une cravache. Mélinda commença donc par se glisser dans le dos de sa partenaire, leva le fouet, et le fit claquer au milieu de son dos.

TCHAAAAAKK !!
Titre: Re : Soumission au coeur de la ville [Mélinda Warren]
Posté par: Graziella le jeudi 25 avril 2013, 11:15:07
La jolie vampire m'observa quelques instants. Elle semblait ravie et elle devait aimer les gants puisqu'elle ne me les fis pas enlever. C'était un point commun que nous avions, je trouvais cela très sexy même si je préférais que ce soit la dominatrice qui les porte.

Après quelques instants elle m'emmena dans un coin de la pièce où des menottes pendaient du plafond. Elle m'attacha avec ces bracelets à pointes, les gants empêchaient le cuir de brûler ma peau. Elle activa une manivelle qui remonta mes bras, les écartant. Elle s'approcha pour me caresser et embrasser mon cou, provoquant des frissons le long de mon dos. Elle me prévint qu'elle allait me fouetter avant de faire claquer le fouet dans les airs. Le claquement qu'il produisit réveilla milles envies en moi, mes cuisses s'écartant légèrement sous l'afflux d'excitation.

Puis le fouet mordit mon dos. Je me cambrais et poussais un cri de douleur. Un deuxième coup tomba sur mes fesses, faisant s’accélérer ma respiration. Le désir réchauffait mon ventre et mes cuisses se serraient d'elles mêmes. Elles ne tardèrent pas à être humide elle aussi. Ma dominatrice s'approcha et fit glisser ses griffes sur mes cuisses, m'arrachant un gémissement plein de désir. Elle remonta sur mon ventre puis mes seins très sensibles, provoquant un nouveau gémissement. Mes yeux étaient baisés vers le sol, je voyais peu de choses à travers mes cils. Mélinda recula et le fouet zébra mon ventre, puis mes seins, trop sensibles pour que je ne crie pas.
Titre: Re : Soumission au coeur de la ville [Mélinda Warren]
Posté par: Mélinda Warren le vendredi 26 avril 2013, 01:18:19
Quelle délicieuse femme ! Fouetter son corps était un vrai délice, et ce d’autant plus que, comme il s’agissait d’une démone, sa constitution physique était naturellement plus résistante qu’une humaine normale. Le masochisme était encore mieux avec des femmes fortes ! Dans son dos, Mélinda continuait à la fouetter, ce dernier claquant fortement contre son corps, laissant de belles traînées rouges. Elle aurait tout à fait pu opter pour une tenue qui fasse plus dominatrice : robe en noir, corset, bottes, et gants. Mélinda aurait pu le faire, mais, dans la mesure où Graziella avait déjà des gants, elle avait préféré opter pour sa tenue classique... Et ce d’autant plus qu’elle trouvait qu’elle lui allait mieux. Le fouet claquait dans son dos, ondulait sur ses fesses, frappant fort, et Mélinda de délectait de la souffrance et du plaisir de la jeune femme, de ses soupirs et de ses gémissements. La vampire pouvait sentir le plaisir onduler le long du corps de Graziella, formant un pic sanguin autour de son sexe. Elle était excitée, et ceci la faisait sourire. Un beau sourire carnassier qui glissait sur ses lèvres. Mélinda s’avança alors lentement, sans rien dire, et se glissa dans le dos de la jeune femme, venant caresser son corps, près de ses cuisses, remontant le long de sa peau douce et frêle. Ses griffes glissaient sur sa peau, sans l’entailler.

« Hum... Tu as une peau parfaite, ma petite pute... » susurrait Mélinda.

Elle lui pinça les seins, à hauteur des tétons, les écartant l’un de l’autre, les remuant entre ses doigts. La vampire se faisait plaisir. Elle sentait l’excitation de la démone, et se voyait déjà lui mordre le cou, sentir ce sang délicieux déferler dans sa gorge, tandis qu’elle la baiserait comme une chienne... Calmant un peu ses ardeurs, Mélinda récupéra son fouet, et décida de continuer la circulation sanguine dans le corps de Graziella, la fouettant désormais sur le devant de son corps, levant haut son arme, avant de l’abattre fermement. Une ligne rouge barra le ventre de Graziella, tandis que le fouet revint vers Mélinda, avant de repartir, pour atteindre ses deux seins, heurtant ses tétons. Le cri que Graziella poussa était délicieux, résonnant joyeusement dans les oreilles de la vampire, qui sourit, et la fouetta à nouveau, près du nombril.

Son corps était tout rouge, et la petite catin mouillait. Une véritable masochiste, comme Mélinda les aimait ! Se mordillant les lèvres, elle se rapprocha à nouveau. Graziella avait baissé la tête, soumise, et Mélinda lui caressa la joue, du bout des griffes, rabattant ses mèches de cheveux derrière son oreille. Elle glissa le long de sa joue, jusqu’à caresser ses lèvres. La vampire se mordilla les lèvres, puis s’écarta un peu, retournant dans le dos de Graziella, et alla chercher un nouvel objet : la culotte de Graziella. Elle la récupéra sur le sol. C’était une belle culotte noire, et elle la glissa entre ses doigts, la pressant, en faisant ainsi une espèce de bandeau. Un sourire sur les lèvres, elle alla ensuite l’enrouler autour de ses yeux, lui obstruant la vue, et tira un peu dessus, afin de la nouer dans ses cheveux. Mélinda s’humecta les lèvres, puis retourna devant Graziella, et pinça l’un de ses seins. Elle avait toujours son collier autour du cou, et Mélinda décida alors de la libérer.

« Reste à quatre pattes », ordonna-t-elle.

Mélinda alla s’asseoir sur un fauteuil, en tendant ainsi la laisse au maximum. Elle croisa les jambes. Sur le sol, il y avait une fine moquette, ce qui permettait de marcher à quatre pattes sans s’ouvrir les genoux.

« Viens vers ta Maîtresse, petite chienne, et lèche-moi les pieds, comme toute bonne chienne le ferait envers sa Maîtresse. »
Titre: Re : Soumission au coeur de la ville [Mélinda Warren]
Posté par: Graziella le vendredi 13 novembre 2015, 16:02:26
Je m'approche lentement à cause de mes yeux bandés, je suis ta voix et la laisse pour te rejoindre. Mes mains finissent par rencontrer tes pieds, doux et chauds sur les tapis.

Je me penche doucement et pose mes lèvres sur tes pieds, je sors ma langue et la fais glisser jusqu’à tes orteils que je suce, embrasse et mordille légèrement. Je m'occupe de tes deux pieds et frissonne en t'entendant soupirer.

Je sens la mouille dégouliner le long de mes cuisses, je suis très excitée et je sens mon sexe palpiter de désir... Me faire te lécher les pieds est un acte de domination total mais je me surprend à en vouloir toujours plus, à vouloir être encore plus soumise. Mon dos, mon ventre, mes fesses me brûlent mais je n'en ressens que plus d'excitation....
Titre: Re : Soumission au coeur de la ville [Mélinda Warren]
Posté par: Mélinda Warren le samedi 14 novembre 2015, 12:01:18
Assise sur son fauteuil, Mélinda dominait en Reine cette pièce, et vit la jeune femme à la belle chevelure rousse venir lécher ses pieds, sans aucune hésitation. Elle pouvait sentir le sang tambouriner dans son corps, remuant à toute allure, trahissant et indiquant son excitation. Elle lécha ses pieds, les embrassa, dans un geste de pure soumission. La vampire n’avait pas l’habitude de s’occuper elle-même de clientes, mais elle ne regrettait pas de le faire. Graziella était une femme d’une grande beauté, et, tandis qu’elle la léchait, Mélinda réfléchissait silencieusement.

« Tu aimes ça, hein, petite catin ? Devenir ma chienne, devenir une petite pute docile qui me lèche les pieds et se fait fouetter... »

Mélinda parlait calmement, avec, néanmoins, dans la voix, une note d’excitation. Elle s’humecta les lèvres, et déplaça ses doigts de pied, venant tapoter les lèvres de la femme.

« Niche bien ta langue entre mes doigts de pied, petite pute... »

Tandis que Graziella léchait un pied, Mélinda caressa les cheveux de la femme avec l’autre. Elle avait sa tête appuyée contre sa main, penchée sur le côté, un sourire mielleux sur les lèvres. La vampire se faisait plaisir, et les jurons sortaient si facilement de ses lèvres qu’on sentait bien que, pour elle, tout cela était très naturel.

« Tu aimes quand je t’insulte, ma chérie ? Tu aimerais que je continue à te parler comme ça ? Que je continue à t’humilier ? Dis-moi voir... Si je te demandais de boire ma pisse, est-ce que ça exciterait la salope que tu es ? »

L’onanisme, une dérive sexuelle forte... En proposant ça, Mélinda faisait surtout un test. Elle était encore en phase de repérage, et cherchait à voir ce que Grazielle aimait, et jusqu’où elle était prête à aller dans la perversion. Dans ce domaine, il n’y avait pas de règle-type, car un fantasme était toujours personnel, et le rôle d’une dominatrice était de rapidement trouver ce qui correspondait le mieux à une soumise.

C’est ce qu’elle faisait, en ce moment.