Le Grand Jeu
Plan de Terra => Ville-Etat de Nexus => Place publique => Discussion démarrée par: Karen le dimanche 21 décembre 2008, 15:35:23
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Elle avait roulé des centaines, peut-être des milliers de kilomètres à bord de cette voiture. A la fin, elle semblait n'avoir fait plus qu'un avec... Mais elle avait terriblement faim. Elle avait roulé depuis deux jours au moins, en ne se nourrissant que de la nourriture qu'elle avait pensé à acheter à Tekhos avant sa fugue, et puis des fruits trouvés sur le chemin. Seulement, sa connaissance en la faune et la flore étant tellement peu étendue, elle se restreignait avant de manger une saloperie.
Elle avait finalement atterri aux abords d'une ville, où elle y laissa la voiture. Elle avait déjà entendu parler de peuples d'arriérés qui n'avaient même pas l'eau courante dans leur maison, mais elle n'avait jamais pensé que ca serait vrai... Tout ça semblait tellement... Moyen-âgeux...
Laissant son véhicule pas loin de la ville, elle parcourrait celle-ci à pied: les rues étaient trop étroite pour son véhicule. C'était des pavés qui lui faisaient mal aux pieds malgré ses bottes, étant habituée aux places lumineuses de Tekhos. Elle atterit au beau milieu d'une place où s'étendaient des marchés aux fruits, aux légumes... Mais aussi des cages où étaient enfermées des femmes ?! C'était quoi, ça ?
Elle ne comprenait pas cela, comment une femme pouvait-elle accepter cela ? Néanmoins, au lieu de protester, elle s'en approcha discrètement, pour observer.
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Karen faisait se retourner des personnes sur son chemin, non pas parce qu'elle avait de belles formes, mais surtout parce que vu ses oreilles elle semblait être une terranide, d'une race que nul n'avait encore apperçu, portant des vetements étranges d'aucune tribue connue, elle ne possédait pas de queue et ne faisait rien pour dissimuler son apparence, se promenant visiblement seule en plein Nexus sans se poser de question. Les gens de la ville, méfiants, commençaient a parler entre eux en se demandant si Karen appartenait a un puissant seigneur pour porter des vetements avec un air si sophistiqué, un de ces seigneurs qui se trouvait de l'autre coté de la mer, vers des territoires inconnus. Quoi qu'il en soit elle ne laissait personne indifférent et déjà on pouvait voir, loin derrière elle, plusieurs personnes dotées de cape noires en train de suivre la Terranide avec curiosité dans le but de gagner une prime circonstencielle évidente pour la capture d'un spécimen rare qui se revendrait bonbon. La plupart des gens reprenant rapidement leurs affaires, de peur d'être impliqués avec la guilde des marchands d'esclaves.
Bref, plusieurs jeunes femmes entrainaients leurs enfants a l'interieur sous la tenue provocante portée par Karen, si on gardait les enfants loin du marché aux esclaves ou ceux ci étaient, dans le meilleur des cas, présentés avec des tops et des sous vetements, c'était pour ne pas avoir a expliquer ce genre de choses a ses enfants!Ce nombril et ces hanches provoquantes choquaient beaucoup et la moindre des choses quand on a un esclave dans Nexus, c'est de l'habiller de manière a ne pas choquer la plèbe. Et également de bien le surveiller comme le lot de chasseurs étaient en train de le prouver en prenant Karen en filature, arrivés sur le marché des esclaves, un des chasseurs décida de passer a l'action et de s'avancer pour commencer a aiguiller Karen vers ses prisons. Le problème était que, quand vous êtes visibles comme le nez au milieu de la figure, et désirable au demeurant vous attirez beaucoup de chasseurs d'esclaves, concurent entre eux.
Et la règle était: Pas de cadeau!
Aussi a peine Karen regardait t'elle les cages qu'une violente bagarre se déclancha sur la place de la ville, les gens firent place alors que des tas de mecs en noir se battaient entre eux a coup de coups fourrés, de poignards dans les manches, et autres fantaisies, dégénérant bientôt au chaos complet.
Depuis son propre stand, bien dissimulé dans une caravane Don observait la scène...Il avait vu le trouble que Karen avait causé et l'évidence se fit: il devait posséder telle esclave dans sa ménagerie.
Il utilisa donc la porte de derrière et passa sa cape marron de filature habituelle. Son grand avantage était que comme son visage était inconnu de beaucoup de gens, il pouvait prendre ne filature et capturer facilement. Ainsi il était lui même le chasseur et le marchand.
Don vissa son feutre sur sa tête et sortit pour faire mine de se promener dans la rue, observant les réactions de Karen
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Elle écoutait, frappée de stupeur, des gens hurler des prix en pointant du doigt une jeune fille enfermée dans une cage, qui ne devait pas dépasser les douze ans. Mais qu'est ce que c'était que cette société de barbares ?!
Pas moins barbares que la bande de joyeux lurons derrière qui avaient provoqué une bagarre générale dans le dos de Karen, qui manqua de se prendre un couteau dans l'épaule lors de la mêlée. Effrayée, elle recula et se mit à courir vers les ruelles s'enfoncant dans la ville mais loin de la place, ne préférant pas continuer à fréquenter ces fous.
Après une bonne minute de sprint, elle se tenait à des barils entassés au fond du impasse, reprenant son souffle. Courir avec des bottes dans une rue pavée était un exercice éprouvant, il fallait le dire. C'était vraiment une cité de dingue, mais heureusement elle avait sa confidente attitrée à qui parler...
Elle sortit son téléphone portable, et chercha dans son répertoire le numéro...
" Allô, Lou ?... Lou ?... Ah merde, pas de réseau... Bordel, mais quelle ville de primitifs, c'est dingue ! Ils ont même pas le téléphone ! Je suis pas dans la merde... "
Elle rangea son téléphone en râlant, voulant ressortir de la ruelle. Elle comptait bien acheter à manger avant de reprendre la route, rester dans cette ville était dangereux.
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Préférant tirer les ficelles que de devoir se confronter directement a l'ennemi, Don avait appris a ruser autant qu'il le pouvais, et Karen venait de s'infiltrer dans les bas quartiers, ça allait lui faciliter la tache enormement. La moyenne de temps passé dans ces quartiers sans avoir d'ennui était généralement de 3 minutes, rien de plus. Don se faufilla par les ruelles adjacentes pour garder un regard sur Karen qui avait pris la fuite. Quand il la vit sortir un portable il compris qu'elle était résolument de Tekhos, comment une femme de Tekhos avait pu se perdre aussi loin?Ca n'avait aucune importance. Karen pouvait être un ticket important pour avoir réussi a passer la frontière de Tekhos...elle devait avoir ses entrées facilement dans le continent et la capturer la rendait encore plus interessante pour lui, Tekhos étant un des seuls endroits ou il n'avait pas encore réussi a s'infiltrer. Visiblement Karen était totalement perdue et désabusée de se trouver là. Aussi il n'allait pas être difficile de l'influencer positivement.
Car justement, en parlant d'influence, un groupe de truands se trouvait là dans la rue ou voulait avancer Karen, en train de se gratter la peau sous les ongles ou de jouer avec des couteaux, quand Karen passa elle fut la cible des sifflements de ces badauds
-Eh ou tu va comme ça ma belle?
-T'es perdue poupée?
-Tu cherche quelqu'un?
Les sifflements furent rapidement accompagnés par la levée des cinq badauds, dont un posa une main sur l'épaule de Karen tandis que l'autre l'attrapait par le bras
-Ben attend un peu!Ou tu va comme ça sans payer la taxe!
Fit celui qui lui tenait le bras avant de lui aggriper la fesse droite tandis qu'un autre commençait déjà a ricanner et a déboutonner son pantalon d'un air stupide. Don regardait la scène...Il allait intervenir...Très exactement...Mainten...
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En voulant sortir, Karen remarqua les cinq types. N'ayant absolument aucun intérêt à leur porter, elle préféra les ignorer. Mais...
On la siffla, l'appella. Même si elle était tolérante envers le sexe masculin, elle ne tolérait pas les excès de zèle de leur part. Un homme, c'est soumis, point barre.
Ce fut la main sur la fesse qui donna le déclic.
" ENLÈVE TA SALE PATTE DE LÀ !! "
Le type put sentir tout d'abord la solidité du métal de son gant, ensuite un bruit retentit, comme une espèce d'explosion suivi d'un sifflement décroissant. Le type venait tout juste de presque se faire broyer les parties génitales grâce au gant de Karen, pourtant faire exploser des charges de photon en donnant des coups. Ca lui servait souvent en sortie de boîte avec les désespérés qui souhaitaient absolument l'avoir dans son lit.
Elle se mit aussitôt à courir pour leur échapper. Vers la place probablement, mais loin elle serait de ces idiots, mieux ce serait.
Elle s'arrêta à peine trois rues plus loin, à nouveau essoufflée, dans une rue commerçante, étrangement déserte.
" Voilà, j'ai faim maintenant... "
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La taxe ils l'avaient reçu, une main au fesses coutait un peu trop cher pour ces personnes trop peu courageuses pour dealer avec un Esper, ce furent les hurlement de douleurs qui bercèrent les oreilles de Karen quand elle s'échappa de la rue. En même temps la tenue qu'elle portait était la cause principale de ses ennuis se dit Don. Elle sera bien mieux quand elle ne porterais plus rien acheva t'il de penser avec un sourire. L'explosion assimilée par Karen laissait a Don deux possibilités, soit ces gants étaient extremements puissants, une sorte de nanotechonologie dévastatrice contre laquelle il ne pourrait rien, soit c'était une Esper. Il fallait qu'il en ait le coeur net. Si ce n'était qu'une Esper, elle semblait avoir assez d'espace dénudé sur son corps pour qu'il puisse avoir un contact, même minime, et là elle serait foutue.
Elle finit par tomber dans une rue commerçante déserte et s'exclama qu'elle avait faim, Don eut un sursaut. Il avait trouvé une idée pour approcher la Tekhane, la devançant par les ruelles, il entra par la porte de derrière d'un petit établissement et tomba en plein sur une jeune fille en train de se laver qui cria, son père accourut et Don et lui s'échangèrent un regard mauvais
-Je vous ait dit que je vous payerais dans un mois.
"Je ne suis pas venu prendre votre fille. Je suis venu vous proposer un marché. Si vous dégagez de votre établissement dans les 5 minutes sans laisser de trace, je réduis votre note de moitié."
L'homme écarquilla les yeux avant de tirer sa fille hors du bain et de l'habiller avant de s'échapper dans un temps records, Don regarda la fille partir avec un sourire. Quel idiot, dans 3 mois il serait dans la même situation, rien ne pressait...Pour le moment Karen était un bien meilleur investissement.
Cet homme et sa fille tenaient un petit restaurant dans cette rue, et don alla se placer au comptoir, de la viande avait été mise a griller pour attirer les éventuels clients de midi, Don enleva sa cape, passa un tablier, et utilisa une feuille de papier pour eventer l'odeur avant de la ranger.
Elle viendrais a lui toute seule
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Elle s'emmerdait tout autant qu'elle avait incroyablement faim. Il fallait dire que Karen était une de ces filles à l'appétit presque insatiable...
Mais dans sa quête de nourriture instantanée, elle sortit un espèce de bracelet ornant son bras non pourvu du gant à explosion, et activa une espèce de montre: un écran holographique rose apparut, laissant apparaître des menus écrit en Tekhan. Elle se mit à naviguer, à travers le système de communication, de messagerie, de lecteur vidéo, elle s'arrêta sur le lecteur audio et mis la musique à fond les décibels, en se tortillant dans la rue sous la musique.
" I kissed the giirl, i like did it !... "
Mais son odorat perçut la bonne odeur de la viande cuite et en se fiant à son instinct (et surtout à son estomac) elle put arriver à un restaurant d'où émanait l'odeur délicieuse. Elle ouvrit la porte du restaurant, faisant sonner une cloche, et s'assit à la première table à proximité, se frottant déjà les mains.
* Bon, j'espère au moins que ces arriérés ont de la nourriture qui se vaut, j'ai pas envie de manger des steaks crus... *
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La cuisine ne faisait pas vraiment partie des domaines ou Don excellait. Il avait été élevé par les pretresses d'Aphrodite pour être le symbole de la masculinité, alors non, cuisiner n'était pas trop dans ses cordes. Mais Don avait une certaine logique qui l'empechait de tomber dans les pieges les plus faciles, et là il n'allait pas être bête et laisser la viande griller, un simple coup d'oeil sur quelqu'un qui avait déjà fait de la cuisine lui disait qu'il ne devait pas la laisser cramer des deux cotés, et donc la retourner souvent. Quand la viande eut un aspect convenable, bien doré mais pas grillé, Don la mit dans une assiette et se dirigea vers la table ou se trouvait Karen avec nonchalence.
En parlant de nonchalence, celle dont avait fait preuve Karen en déboulant, en posant ses pieds sous la table et en attendant que la nourriture lui tombe toute seule au coin de la bouche montrait a quel point celle ci était inadaptée a la vie en Terra, mais pas de soucis, elle n'aurait pas a chercher a s'adaptr pendant longtemps...Bientôt il allait lui même lui dire quel genre de vie lui conviendrais le mieux. Avec un corps pareil, elle avait une place de choix a se faire dans le domaine de l'esclavage. Son carractère de Terranide rare, dépourvu de queue, interessait beaucoup Don. Aussi celui ci apporta l'assiette avec la viande bien saignante a Karen et s'assit a sa table.
Devant elle se trouvait un homme grand et puissant, pour deux mètres plus de 150 kilos de muscles, la chaise était minuscule sous lui, et son sourire se voulait quelque peu rassurant. Le cuisinier lança sur un ton pour le moins amical
"J'espère que le steak est a votre gout, je l'ai cuisiné rapidement comme j'ai vu que vous sembliez avoir très faim. Bon appetît!"
Si Don était bon pour quelque chose en revanche c'était le mensonge et la manipulation, il repris
"Je ne vous ait jamais vu dans le coin, j'en déduis que vous êtes une étrangère non?D'où venez vous étrangère?"
Demanda Don sur le ton de la conversation
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Karen leva un oeil vers le tenancier du restaurant: un homme. Plutôt grand, musclé. C'était rare de voir des hommes musclés. Mais ce n'était pas ça qui lui ferait peur.
Néanmoins, ca la dérangea que ca soit un primitif - et un homme par dessus le marché - qui aie l'honneur de s'asseoir à sa table sans qu'elle n'aie rien demandé. Seulement, tant qu'il ne l'emmerdait pas, elle le laisserait faire...
Ce fut quand il commença à poser des question qu'elle fronça les sourcils, en avalant la viande qui n'était franchement pas terrible mais c'était quand même de la nourriture.
" Tu l'as cuisiné rapidement, ou t'as bâclé la cuisson ?... "
Fit-elle en réponse au ton pourtant amical du cuisinier. Elle daigna néanmoins lui répondre.
" Je suis pas d'ici, oui, heureusement d'ailleurs. Je viens de Tekhos. "
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Arrogante avec ça. Don eut un petit sourire en coin et ne se départit pas. Le grand homme basané la laissa jouer autant qu'elle voulait les orgueuilleuses, elle aurait tout le temps de le payer le moment venu. Pour le moment Don se contentait d'être ce qu'il était: un simple cuisinier décontracté. Il l'écouta d'une oreille et finit par la regarder dans les yeux quand elle lui lança sa petite phrase, il eut un petit rire humble
"Ha ha ha, vous avez un grand sens de l'humour étrangère."
Fit Don, enjambant la provocation comme on enjambe une flaque d'eau avec une facilité déconcertante, ça n'allait pas chercher loin, mais Don pouvait voir que Karen avait tout de même le culot de provoquer quelqu'un qui la nourissait et qui n'essayait pas de la tuer ou de la violer pour l'instant. Quelle reconnaissance...Digne d'une petite adolescente frustrée. Mais il allait très vite régler la question. Passant une main dans ses cheveux il lança
"Ah Tekhos?Ca me surprend beaucoup, il y a beaucoup de Terranides qui vivent a Tekhos?"
Fit il avec curiosité, si ça se trouvait...Les Terranides de Tekhos valaient un paquet de thunes
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Elle finit par engloutir rapidement le repas avec un sourire de satisfaction. Il fallait dire qu'elle n'avait pas poussé ses protestations plus loin parce que la faim la tenaillait trop, ce steak qu'elle aurait trouvé ignoble auparavant était à l'instant un délice gustatif tant elle était affamée.
Le fait aussi que ce cuisinier ne prenne pas la mouche à sa provocation la rassura un peu, elle n'était pas tellement d'humeur non plus à se prendre le bec alors que son ventre criait famine.
Frottant son ventre nu, elle était à présent un peu plus disposée à discuter avec ce chaleureux cuisinier.
" Des Terranides à Tekhos ?... Y'en as, oui, pourquoi ? Vous avez quelque chose contre eux ? "
Par pure coïncidence, elle se gratta l'attribut qui lui servait d'oreille, faisant penser à une oreille animale, mais d'un animal indéfinissable...
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La réponse de Karen désarçonna Don...Pourquoi...Que...Qu'est ce que c'était que cette reponse?N'était t'elle pas Terranide elle même?Don du utiliser sa psychologie pour essayer de comprendre ou venait en venir Karen. Mais comme elle ne pensait a rien celà échoua. Il se rabaissa donc au niveau de son personnage et fit celui qui ne comprennait pas. Il se gratta un peu la tête d'un air bête avant de demander a Karen plus précisement
"Mais euh, je ne comprend pas, vous parlez d'eux comme si vous n'en étiez pas une."
Fit Don en bredouillant un peu, se donnant un air de grand dadais stupide. C'était un de ses rôles les plus efficaces, les femmes finissaient par croire facilement qu'il n'était qu'un idiot au grand coeur et tombaient dans le panneau plus facilement les unes que les autres.
"C'est étrange vous comprennez mademoiselle...mademoiselle...?"
Demanda Don en suspens, pour s'enquérir du nom de Karen
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Elle arqua un sourcil en voyant la mine surprise du cuisinier. Qu'est ce qu'il avait à faire ses airs de gros bênet ? Elle poussa un soupir, en lui répondant avec un sourire en coin, bras croisés sous sa poitrine.
" Ben non que j'en suis pas une. J'ai une tronche de Terranide, peut-être ? T'es pas observateur, toi. "
Seulement, rester avec cet espèce d'idiot fini commençait à l'ennuyer, surtout qu'elle ne voulait pas rester plus longtemps dans cette ville de dégénérés mentaux. Vivement qu'elle trouve Samus, ca lui épargnerait ce genre de rencontres désagréables.
" Waber. Mademoiselle Waber. Vous allez quand même pas me dire que vous ne me connaissez même pas ? "
Décidément, ces arriérés ne savaient vraiment pas s'informer. Elle finit par se lever, prête à s'en aller.
" Bon, j'ai encore du chemin à faire alors je vais y aller sans tarder. J'ai pas envie de tomber avec un autre de ces débiles mentaux. "
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Le cuisinier posa une main sur son crâne et eut un petit rire distrait en guise d'excuse, il répondit avec honnéteté et franchise a Karen
"Hé hé, euh, eh bien oui, vous ressemblez a une Terranide. Vous avez les mêmes oreilles."
Répondit il, toujours a fond dans son rôle...Mais bientôt les rôles allaient être inversés et c'était Karen qui allait jouer les innocentes, il avait faint d'être stupide assez longtemps. Il était temps de lui montrer la puissance que donnait un cerveau a un être humain. Eventuellement le repas s'était terminé très rapidement et a présent Karen croyait bon de partir comme ça sans dire au revoir, et en l'insultant qui plus est. Don hocha la tête
"Ce fut un plaisir Mademoiselle Waber, bien que je ne sache pas de qui il s'agit."
Fit il avec un petit gloussement idiot. Et véritablement, ayant des clients dans la royauté, Don connaissait bien la noblesse, il n'avait jamais entendu parler de Waber...Il devait surement s'agir de Tekhans...
Don croisa les bras sur sa poitrine. Bien, il s'était bien amusé, alors il était temps d'inverser la vapeur, alors que Karen lui tournait le dos pour sortir de son échoppe, le géant se dressa derrière elle de toute sa hauteur. Souriant car son triomphe approchait a grand pas, et il n'y avait bien que Karen pour ne pas le voir. Il prit une pose nonchalente et lança avec une voix distraite.
"Ah, et comment comptez vous payer pour ce steak, mademoiselle?"
Fit il, feignant pour la dernière fois la poussivité
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Elle sembla assez contrariée quand il affirma qu'elle était une Terranide. Décidément, ces arriérés avaient de la merde dans les yeux.
Mais alors qu'elle rangeait déjà la chaise, c'était même l'ignorance de son nom qui l'obligea à se retourner, et déclarer d'un air arrogant:
" Pardon, personne ici ne me connaît ?! Bon... Je suis Karen Waber, la plus connue de toute les Tekhanes parce que je suis la fille du ministre des finances de Tekhos, et bien entendu on aime m'admirer... "
Elle se retourna, et toisa le géant du regard. Il était peut-être grand, mais ca ne l'impressionait pas. Elle se mit à ricaner, un sourire en coin, et sortit quatre pièces carrées, trois brillant d'un rouge rubis et une d'un vert émeraude, et les flanqua sur la table.
" Tenez, voilà 130 Mesetas. Avec ça, vous allez sûrement pouvoir améliorer votre boutique. "
Et elle se dirigea vers la sortie, poussant déjà la porte.
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Interessant, de la monnaie Tekhane, peut être qu'elle en aurait plus sur elle...Ou pas, vu qu'elle portait très peu de vetements, elle ne devait pas être blindée de thunes pour autant. Ce qui mit néanmoins encore plus la puce a l'oreille de Don était que Karen était quelqu'un d'important a Tekhos cette nouvelle lui fit chaud au coeur...Car si c'était réellement le cas, il allait avoir un accès a Tekhos extremement facile, en l'utilisant a loisir, et une fois qu'il se serait établie a Tekhos et qu'il l'aurait bien utilisé, il la restitueris peut être a sa famille, dans un an ou deux. Bah, il avait tout son temps. Il allait se faire plaisir, avec un corps pareil ça allait être facile.
Bon, il était temps d'y aller. Ilposa donc sa main dénudée sur l'épaule de Karen, utilisant son pouvoir pour annuler la puissance magique de Karen, ainsi elle serait aussi innofensive qu'une adolescente surexcitée ordinaire...Et ça n'allait pas être pour lui déplaire, le marchand d'esclave afficha un sourire sadique.
"Je regrette, je ne peux pas accepter cette monnaie, elle n'a pas court dans cette ville."
Passant outre le choc emotionel qu'il avait du faire a Karen en lui faisant découvrir que l'argent Tekhan ne pouvait pas tout acheter il lança
"J'espère que vous savez ce qui attend ceux qui ne peuvent pas payer a Nexus?"
Fit il avec un ton doucereux, la laissant essayer d'imaginer, elle serait surement loin de la vérité
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Comment ça, ils prenaient pas la monnaie Tekhane ? A tous les coups, elle valait beaucoup plus cher que les malheureuses pièces de métal que ces paysans échangeaient entre eux.
Ca commençait déjà à la mettre hors d'elle, le pire fut quand il déposa sa main sur son épaule, elle se retourna vivement, s'écartant
" Ne me touches pas ! "
Elle poussa un grognement, en se frottant le poignet... Ou plutôt le gant.
" Et toi, tu sais ce qui attends aux crétins qui pensent qu'ils vont me faire faire la vaisselle ? T'avais qu'à encaisser mon fric sans broncher, crétin ! "
Aussitôt, son gant plongea contre le visage de Don, le recouvrant, et à nouveau l'explosion de photon eut lieu, suivit de son sifflement décroissant. Seulement, la puissance de l'attaque fut bien amoindrie et n'eut pas la puissance pour le projeter contre le mur comme avec les voyous de tout à l'heure. Les batteries se déchargeaient vite.
" Merde, ca n'as pas marché ! "
Elle se retourna vivement, profitant de la confusion de Don pour se mettre à sprinter dans la ville, tentant de se diriger vers la place, pour ensuite rebrousser chemin jusqu'à la sortie.
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Don fut renvoyé au sol par une force inconnue. il avait oublié le détail le plus important :Il avait fait deux théories a la base, ou elle était Esper, ou elle maitrisait la technologie. Il semblerait que ça soit les gants qui soient une arme, en effet, du moins c'est ce que se disait Don qui prit son visage a deux mains et le frotta instinctivement. Il se releva et se regarda dans le miroir accroché au mur...Non tout allait bien, il n'était pas défiguré, seulement un peu rouge...Apparement cette chose n'avait plus de batterie, mais le temps qu'il recouvre ses esprits Karen avait filé...
"Nom de d..."
Il ne se donna pas le temps de finir sa phrase qu'il arracha le tablier, le jetta en arrière, arracha sa cape du porte manteau et la remis sur son dos, courrant comme un dératé dans les rues de Nexus pour rattraper Karen avant qu'il ne la perde...a présent que ses pouvoirs étaient diminués les chances qu'il avait de l'obtenir étaient bien plus grandes...Et dans cet état là Karen allait immanquablement tomber entre les griffes du premier boulet venu et il ne le se pardonnerais jamais!D'avoir maché tout le travail pour qu'un abruti empauche la mise. Mais pas de chance pour Karen, il avait un avantage flagrant sur elle. Même si il ne connaissait pas la ville comme le connait un voleur, il la connaissait tout de suite mieux que Karen, et ça a part, il avait la capacité de courir le marathon tant il était physiquement entrainé, ce dont il doutait que Karen puisse faire...Bientôt il apperçut sa chevelure rousse tourner au coin d'une rue et Don s'y engouffra par la suite, en rugissant
"Arrête toi tout de suite!"
Cria t'il en courrant après la jeune femme...Même si il paniquait, il avait néanmoins une piste: Karen n'allait pas vers la place, au contraire, elle s'enfonçait dans un reseau tortueux de ruelles. Il fit donc plus attention au cas ou elle tenterais de se cacher
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Courant aussi vite que ses jambes le pouvaient, finalement le Nexan avait de l'endurance à revendre, il ferait mieux de la dépenser à améliorer sa bicoque au lieu de lui courir après, ca arrangerait ses affaires à Karen tout autant qu'au cuistot.
Seulement, le sillage de Karen n'était pas des plus discret: il suffisait d'écouter le bruit de ses talons claquant dans les pavés, de ses plaintes et d'observer les gens renversés: Karen n'était pas douée dans la discrétion...
Elle sentait ses jambes légères comme la plume, emportée par cette peur qui déclenchait en elle une libération d'adrénaline, sécrétion du corps ô combien salvatrice, tant elle avait pu sauver de personnes des situations critiques. Seulement, pour Karen, sortir de cette situation n'allait pas être une partie de plaisir.
Surtout lorsqu'elle se retrouva nez à nez face à une impasse. Des caisses, des cartons. Karen s'empara d'un carton vide, et se dépêcha de se cacher en dessous, se servant des trous servant de poignée pour regarder a l'extérieur, et voir Don regarder aux alentour. Elle sentait son coeur battre la chamade au fur et à mesure qu'il approchait, une goutte de sueur perla son front, formé par cette peur bleue.
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Don gagnait du terrain de plus en plus sur Karen, et il savait qu'elle le savait, il le ressentait, comme un animal qui a peur du prédateur...Il gagnait du terain, comme le lion cours après la gazelle pour la croquer, un prédateur impitoyable prêt a abbatre sa houlette sur celle qu'il avait attrapé, plus il s'approchait, plus elle avait peur, plus il respirait sa peur et plus il s'en abreuvait...Plus ça allait faire mal quand ça allait tomber...Les claquons qui claquent, le souffle du fauve, l'excitation de la chasse...Don était un prédateur né? il le savait et était heureux de cette état de fait, mieux valait être chasseur que chassé.
Au bout d'un moment il tourna dans une ruelle et n'y trouva que des cartons, empilés les uns sur les autres. Don s'avança, regarda a droite comme a gauche...Cul de sac...Et Karen n'aurait pas pu escalader le mur avec ses talons...Alors comment?De la magie tekhane?Don serra les dents. Il ne connaissait rien de technologique dans la science fiction futuriste qui permette une telle chose.
Don lança des regards hagards pour localiser une porte ou une fenètre, en vain, finalement il se retourna et se remit a courir...
Des minutes passèrent.
Don se trouvait patiement derrière Karen, il avait profité de sa vision réduite pour faire mine de partir, mais avait en fait contourné la boite.
Au moment ou elle sortirait il lui ferait une clef de bras et la menotterais. Il était prêt
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Elle le regarda venir... Il était si proche, si près de son but, elle croirait qu'il ne partirait jamais. Les secondes s'étaient transformée en heure, et elle se retenait presque de respirer.
Il alla, revint, et finalement il sembla abandonner, courant hors de son champ de vision. Il était parti. Elle attendit une minute ou deux, n'entendant plus le son de ses pas, elle jugea le moment propice à la fuite.
Néanmoins, encore trop effrayée, elle ne voulait pas se déloger de son carton et comme de fait courut... Avec le carton sur le dos. Ce que Don pouvait voir, c'était un carton muni de deux bottes en train de courir sous son nez, et finalement voler dans les airs, laissant une Karen libre s'en échapper.
Elle ne savait même pas que Don était derrière, mais elle continuait à courir dans ce qu'elle jugeait être le sens opposé à la direction qu'avait pris Don auparavant.
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Hm. Il ne s'attendait en effet pas a la voir courir avec le carton sur la tête et il se massa la tempe...Comment...Comment pouvait t'elle le faire tourner chèvre comme ça?Bref, Don se contenta tout simplement d'attendre bien sagement en courrant derrière elle qu'elle retire le carton pour sauter et la plaquer contre le sol, ses menottes en main, de toute sa longueur. Don eut un sourire de triomphe alors qu'il faisait rapidement une clef de bras a Karen et lui passait les menottes de metal
"Tout doux ma jolie."
Fit il a l'encontre de Karen avant de profiter de cette position de faiblesse ou il l'écrasait de son poids pour lui enlever ces maudits gants et les ranger soigneusement dans ses poches. Affaire a suivre pour ce qui était d'eux, quand a Karen, il la releva, n'osant pas utiliser le col pour le faire, de peur d'arracher le peu de vetements qu'elle avait, il l'empoigna par les cheveux et la releva avant de la forcer a marcher jusqu'au restaurant.
Là il la poussa a l'interieur et verouilla la porte, avant de se tourner vers Karen
"Tu ne peux pas fuir ce qui est inéluctable. Tu va me payer."
Fit Don alors qu'il s'avançait d'un air menaçant vers elle
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Et a peine s'était-elle débarassé du carton que Don la surprit, faisant apparaître un énorme "!" rose au dessus de la tête de Karen et faisant retentit un son aigü, probablement provoqué par la montre à hologramme qu'elle portait.
La prise eut effet sur la pauvre jeune fille qui se mit à grogner, et puis à hurler à l'aide dans toute la rue. Seulement, hurler à l'aide à Nexus était bien inutile. Elle sentit le froid du métal lui enserrer douloureusement les poignets alors qu'elle était au sol, elle crachait son venin sur Don.
" Lâche-moi tout de suite, enfoiré ! Si tu touches à un seul de mes cheveux, je te jure que tu va salement le regretter avec toute la police de Tekhos à ton cul ! "
Elle sentit ses gants partir, alors qu'elle protestait, elle fut soulevée brutalement du sol, et forcée à avancer. Elle mit à profit ce répit pour traiter le chasseur d'esclaves de milles et uns noms d'oiseaux.
Une fois rentré dans le restaurant, elle se remit à protester, encore debout.
" Mais je t'ai payé, abruti ! Mon argent doit valoir trois fois plus que la monnaie merdique qu'on vous offre ici ! Alors prends-les et fous moi la paix tout de suite ! "
Elle s'avança tout autant vers Don pour donner un coup de pied vers les parties
" J'ai dit ! "
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Quand on est marchand d'esclave depuis aussi longtemps que Don, le premier reflexe de base c'était, soi apprendre a anticiper ce genre d'assaut, soit devenir castrat, comme la seconde initiative n'était pas au gout de Don, c'était la première qu'il avait travaillé, et sans difficulté, il dévia le pied de Karen et l'envoya au sol. Don soupira...Ce genre d'assaut n'était pas ceux qui arriveraient a le faire flancher.
Les insultes l'avaient bien fait rire pendant le trajet, pour chacune d'entre elle il se promit un chatiment un peu plus humiliant pour Karenn et une foix arrivé Don soupira
"La police de Tekhos ne viendra pas te chercher ici, Karen Waber. Tu es ce qu'ils considéreront comme une quantitée négligeable, aussi haut placé soit ta mère, ils n'enverront jamais des patrouilles Tekhanes a Nexus, ça serait violer l'accord entre les deux nations."
Fit il alors qu'il pensait "En parlant de violer..." mais il s'arrêta et prit les quelques sous sur la table et les laissa retomber sur celle ci
"On dirait que je vais t'apprendre quelque chose aujourd'hui. A Nexus, la valeur commerciale la plus elevée..."
Il se pencha vers elle avant de menotter ses jambes également, pour éviter qu'elle se sauve ou se relève, puis aggripa son top d'une de ses grosses main
"C'est l'humaine."
Et il arracha d'un coup sec le top de Karen avant de le jetter en arrière
"Apparement en Tekhos on crois que les femmes dominent les hommes. Mais en fait il s'agit de l'inverse."
Don sourit
"Tu va bientôt comprendre pourquoi."
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Elle ne vit que sa jambe voler alors qu'elle embrassa le sol violemment, provoquant un nouveau grognement. Elle se mit sur le dos, et à ce moment là Don lui attacha les jambes...
" Et d'où tu sors ça ?! Tu sais rien du tout de Tekhos, tu ne sais même pas qui je suis ! Bien sûr qu'ils iront me rechercher jusqu'ici, rien à foutre de vos nations de primates ! "
Elle continuait de se tortiller comme un ver au sol, se débattant comme un diable en boîte. L'humaine ? C'était ça, leur monnaie ?
" Ta gueule, foutu masculiniste ! Ces hommes sont tous bons à finir dans les mines d'Elunium ! "
Elle poussa un cri en sentant son pauvre top se faire arracher. Ce top lui avait quand même coûté cher !
" C'est 2'500 Mesetas que tu viens de me déchirer ! C'était mon habit préféré, je te jures qu'une fois libérée je me débrouillerai pour que tu crèves lentement en taule ! "
Elle continuait à se débattre avec furie
" Et puis c'est évident que les hommes ont toujours étés des faibles et des soumis, et toi tu n'est juste qu'une exception à la règle que je ferai croupir en prison ! "
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Don se contenta a la déclaration de Karen d'éclater de rire. Don savait exactement pourquoi Tekhos ne viendrais pas s'impliquer dans les affaires de Nexus, parce que la fourmillière necessitait leurs constante surveillance. Eh oui, n'oubliez pas qu'il a été élevé par des pretresses, il connait la condition de Tekhos, bien qu'il n'en ait jamais vu les merveilles, et surtout qu'Aphrodite en personne s'amuserait a réecrire la réalité si quelque chose d'assez puissant venait pour détruire Nexus.
Mais ça il ne pouvait pas l'expliquer a Karen n'est ce pas?
"Si je sais très bien qui tu es, Karen Waber, fille du ministre des finances. Tu viens de me le dire, et si tu veux tout savoir par finances je vois beaucoup d'argent, et par filles je vois une marchandise facile."
Fit Don avant de refrener a nouveau son hilarité devant la déclaration de Karen, ses insultes pitoyables l'amusait au plus haut point, il n'avait même pas envie de la punir pour ça, si elle pouvait continuer a insulter comme ça ceux a qui il la vendrait elle aurait assez de succès pour qui sait, ne jamais retourner a Nexus.
"Les hommes?Faibles?Soumis?Les hommes de Tekhos sont peut être des lavettes...Mais chez nous nous savons la vérité."
Fit Don se foutant pas mal d'avoir démoli les vetements de Karen, il posa une de ses mains sur son sein droit et se mit a le pelotter sans vergogne tandis que sa bouche allait sucer le gauche avec insistance, allant jusqu'a parfois le mordre
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Mais depuis quand un de ces arriérés Nexan pouvait-il se permettre de se croire plus haut que lui ? Il ne savait rien de Tekhos, et Karen restait persuadée que ce pervers ne faisait que du bluff. Les mensonges, elle savait très bien comment ça marchait, pour ne pas dire qu'elle était experte en la matière.
Continuant de se débattre comme une furie, Karen n'était pas prête à se laisser faire pour autant.
" N'y penses même pas, tu ne sais rien du tout de moi ! Tu crois vraiment que je vais me laisser vendre comme du lait de Koltova ?! Tu te fous de ma gueule ou quoi ?! "
Ca commençait a vraiment la mettre en rage, elle s'agitait au point que même Don fut obligé de la tenir pour pouvoir en profiter correctement.
" Gh... Lâche moi tout de suite, tu me fais mal, gros porc ! "
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Don eut un petit rire a l'injonction de Karen et continua sa besogne sans s'en défaire une seconde...La tekhane était ravissante, il était sur qu'il allait beaucoup s'amuser a s'abreuver de ce corps...Karen avait des proportions de rêve et le fait qu'il ne voyait aucune cicatrices montrait que tout était naturel, elle était née ainsi, alors son destin était d'être traitée ainsi, sinon tout celà ne serait que du gachis. Le marchand d'esclave répondit avec un certain cynisme
"C'est vrai, je ne sais rien de toi. Mais crois moi je ne vais pas tarder a te connaître..."
Gloussa t'il alors qu'il giflait l'arrière train de Karen pour la rabaisser encore un peu plus...Avant de presser son sein droit plus fort encore tandis qu'elle criait qu'il lui faisait mal, Don fit courir sa main sur sa hanche et la descendit le long de son bas ventre.
"Bientôt, tu comprendra que ce mal te fait du bien, et tu me suppliera pour avoir mal."
Fit il alors qu'il lui caressait l'entrejambe a travers ses vetements
"Tu ne peux renier ton corps et ta nature, celle de femme faite pour servir les hommes."
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Elle ne comprenait pas comment un homme pouvait-il être aussi stupide. Tout le monde savait très bien que l'homme as toujours été considéré comme inférieur, pourquoi pensait-il l'inverse ? C'était complètement débile.
Pourquoi continuait-il à raconter des inepties pareille ? Karen était persuadée que, à l'heure actuelle, tout Tekhos avait été en connaissance de sa fuite, et on devait la rechercher. Connaissant ses parents, ils n'hésiteraient pas à faire pression sur la police Tekhane, via leur haut statut, pour enclencher des recherches poussées sur leur fille. Et puis, elle manquerait tellement aux magazines people qui se faisaient une joie de raconter chacune de ses mésaventures.
Elle se mit à hurler, à crier, un cri strident qui faisait mal aux oreilles, un cri qu'elle avait eu le temps de pouvoir maîtriser à force de faire des scandales dans les centres commerciaux ou les restaurants.
" Mais en plus t'y crois, à tes conneries ! Tu va me relâcher immédiatement, jamais je vais me laisser faire par un espèce de gros porc débile comme toi !"
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Le cri de Karen fut la seule chose qui pouvait faire un tant soit peu mal a Don. Un grand cri, strident, puissant, déchirant ses tympans, celà ne le fit pas lacher prise pour autant mais il porta une main au cou de Karen avant de lui remonter la machoire inferieure contre la supérieure pour la faire fermer sa boucher, il lança avec une voix douce montrant qu'il était homme de patience avant tout.
"Regarde ces mains petite, regarde ces muscles, observe la taille de mes paumes."
Fit il avec un ton calme en lui montrant une puissante et enorme main
"Je pourrais écraser ta tête comme une pastèque si j'en avais envie, mais je ne veux pas te faire de mal. Simplement te faire réaliser l'erreur dans laquelle tu es. Non seulement tu me dois celà, mais tu es également depuis longtemps dans une profonde erreur. Car tu crois que tu es faite pour me donner des ordres. Laisse moi corriger ça. Ici c'est moi qui donne les ordres..."
Et il accompagna son geste en relachant son cou pour tater ses fesses.
"Crie autant que tu le désire, ce n'est pas comme si personne ne risque de t'entendre, je dirais même que tout le monde t'entendra."
Fit il alors qu'il attrapait le pantalon de Karen et commençait a le tirer.
"Simplement personne n'osera venir te sauver."
Il l'arracha également, la mettant a nu, il la retourna sur le dos et écarta ses jambes pour contempler un peu sa marchandise, la regardant avec un air salace, l'humiliait encore plus
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C'est sûr, dans cette situation, Don avait le choix de vie ou de mort pour Karen. Seulement, même si elle avait peur il fallait le reconnaître, son arrogance et son orgueuil habituel ne lui faisait pas démordre.
Seulement, le mouvement de Don sur sa machoîre lui faisait mal, elle avait l'impression que ses gencives se compressaient.
Une fois son cou relâché, elle reprit sa respiration, avant de se remettre à protester.
" C'est toi qui t'enfonce dans ta connerie ! Personne ne me donne d'ordre, j'ai toujours fait ce que j'ai voulu et ca ne changera pas ! Tu crois que c'est parce que tu m'as ligotée que je vais t'obéir comme un clébard ?! "
A nouveau, il lui arracha les vêtements. Son pantalon à 2500 Mesetas, elle ne n'oublierai pas pour ce coup là. Le pire, c'est qu'il avait osé la toucher là...
Dans un élan de courage - ou de témérité - elle pris sa salive et la cracha en plein sur la tête de Don.
" Ne me touches pas là ! "
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Le visage de Don fut touché, il essuya lentement la salive du dos de la main, avec une inifine lenteur et un regard qui voulait dire "Tu va voir a quoi tu te frotte en me resistant." L'arrogance de Karen amusait au plus au point le chasseur d'esclave, digne de la femme libérée par excellence qui n'obtenait que ce qu'elle méritait, l'homme la regardait avec un air d'infini patience, et un peu de condescendance quand même, alors que sa main se remettait a pelotter Karen comme on joue avec un jouet
"Tu as toujours fait ce que tu voulais?Il était grand temps que j'arrive alors. Ne t'en fais pas, c'est chouette de m'obeir tu verra, bientôt tu viendra me supplier pour en avoir plus."
Et joignant le geste a la parole il écarta les jambes de Karen et se rapprocha de cet endroit, quand elle le lui demanda si gentiment il apposa un doigt sur l'entrée
"Tu veux dire là?"
Fit Don avant de faire la seule chose logique a faire, il saisit les jambes de Karen avec ses deux mains et approcha la tête dans son entrejambe pour commencer a lécher cet endroit que la Tekhane défendait tant...
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" Plutôt crever que de venir te supplier ! Jamais je serai ton esclave, gros dégueulasse ! "
C'était parfaitement dégoûtant, comment pouvait-il profiter d'elle comme ça. Ca la dégoûtait que des hommes tellement peu malchanceux dans leur vie affective s'en réduisent à ça pour parfaire leurs besoins sexuels, c'était vraiment immonde.
" Non, pas... "
S'ensuivit un cri, et elle secoua ses jambes et son bassin pour essayer de l'en empêcher. Mais pas la peine: sa langue chaude et baveuse avait rencontré ses lèvres, produisant de la chaleur qui, pour une fois, la dégoûtait de ressentir, alors qu'elle adorait tant ça.
" Fous moi la paix ! Je ne veux pas ! "
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Don s’amusait comme un fou, Karen étant le cadeau de noël qu’il avait espéré pendant longtemps, une fille tellement orgueilleuse qu’elle en était stupide a la peau ambrée et exotique au possible, une féministe tout ce qu’il y avait de plus prononcé et une lionne qui brûlait de lui écraser le nez d’un coup de patte, il avait hâte de la faire sienne, mais chaque chose viendrais en son temps, le marchand d’esclave voulait la dégoûter encore plus de sa véritable nature, une esclave telle que Karen ferait un malheur, le corps huilé et présentée sur l’estrade de son échoppe elle se vendrait très vite, mais il ne la vendrait pas ainsi, car il savait que ses parents payeraient bien plus cher…En revanche il pourrait…Disons la laisser pour l’essai a des clients désireux de chair tendre. Il n’avait jamais pensé a ça avant, mais Karen venait de lui donner l’idée de se lancer dans le proxénétisme, ce n’était pas une mauvaise idée en soi qui plus est, vu ses antécédents.
« Tu vaux de l’or tu sais ? »
Fit il alors qu’il arrêtait de lécher Karen pour lui lancer un regard arrogant, il posa sa main sur sa braguette et en sortit son sexe alors qu’il le tenait a la tekhanne
« Première fois que tu en vois un ? »
Lui demanda t’il avec sarcasme, il plaça celui ci entre les deux collines de la poitrine de Karen hésita un peu et finalement lui colla contre la joue
« La suite du programme est la suivante. Prend le en bouche. Si tu mords tes parents te récupéreront avec une petite cuillère, me suis je bien fait comprendre mademoiselle Waber ? »
Fit Don en savourant l’ironie de sa domination sur une femme qui avait considéré les hommes comme une quantité négligeable jusque là
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En d'autres circonstances, ce serait Karen qui aurait violé Don. Mais le fait de la forcer de manière aussi répugnante tuait tout désir en elle. Surtout l'idée de se faire vendre à ces espèces de porc répugnant qui la repoussait.
Elle ne s'imaginait vraiment pas présentée dans cette cage immonde, comme la petite fille de tout à l'heure... Non, ça, elle refusait de finir ainsi. Jamais la populaire Karen Waber finirait sa vie au service d'un obèse friqué et dégoûtant (et en plus, moins riche qu'elle.)
C'est pourquoi elle ne voulait toujours pas démordre, car même si pour l'instant Don avait gagné la bataille, elle avait décidé de ne pas avoir encore perdu la guerre. Elle était bien prête à lui faire payer tout ce qu'elle avait enduré et ce qu'elle endurera... Elle marmonna dans ses dents:
" Pfeuh... Je suis trois fois plus riche que toi, péquenot... "
Elle eut une grimace en voyant le sexe de Don sortir de son vêtement. Il n'était pas le premier qu'elle voyait, et à vrai dire Don n'était pas non plus le plus impressionant qu'elle ait vu. A ses yeux, il était "acceptable".
" Haha, t'as l'air ridicule à côté de certains de mes ex... "
Les Terranides et la nanochirurgie faisaient parfois des merveilles, pour Karen... Elle avait connu, pour ainsi dire, beaucoup mieux.
" Enfoiré... "
Néanmoins, dans la pire des situations il fallait au moins qu'elle essaie de trouver un peu de réconfort, et donc allait y mettre un peu du sien à la tâche. Ouvrant doucement la bouche, elle avala lentement l'extrémité du sexe de l'esclavagiste, ne prenant simplement le gland qu'elle enferma entre ses lèvres, et commença ainsi un long et intense traitement avec sa langue.
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C'était une réaction typique de certaines femmes au carractère fort qu'il dominait :Nier en utilisant la dévalorisation et la provocation pour se créer une échappatoire, en lui faisant croire qu'il était loin d'être le plus gros qu'elle avait vu elle croyait l'enerver et le baffouer, mais ça ferait trop plaisir a Karen de voir Don s'enerver pour quelque chose d'aussi stupide. Aussi le marchand d'esclave se foutait bien de ce qu'elle pouvait lui dire. pour l'instant c'est lui qui menait la danse, Karen était sa chose et il ferait d'elle ce qu'il voulait. Don lui lança un regard empli de condescendance avant de lui lancer
"Ah oui?Ca tombe bien, une fois que j'en aurait fini avec toi, tu me supplira pour signer un papier ou tu me fais don de cette fortune. Parce que ce que je te ferais sera encore pire que cette idée dans ton esprit. "
Lui lança Don, qui pour l'instant n'était pas découragé du tout de faire crier Karen de douleur dans quelques heures, voire quelques jours. Elle en redemanderais, elle suplierais pour qu'il arrête et quand il arrêterais elle suplierais pour qu'il continue. Et si ce n'était pas le cas, ce dont il doutait fort, Karen finirait avec les mauvaises têtes: Assise sur un banc, écartant les jambes et se faisant prendre toute la journée pour donner naissance a une fille qui serait moins rebelle qu'elle. Ou alors il mettrait en place son idée de proxénétisme dont il avait eu envie y'a quelques temps déjà. Celà lui plaisait beaucoup. Bref, Karen s'appliqua a donner sa petite gaterie a Don qui sourit. C'est bien, on avançait, lentement, mais surement. Don se dit qu'il devait faire quelque chose a propos de ça.
"Tes ex ne t'ont visiblement pas montré comment on satisfait un homme."
Fit il alors qu'il posait ses mains sur le dos de la tête de Karen
"C'est comme ça qu'on fait."
Et d'un seul coup il entra completement dans sa bouche et commença de puissants va et vien, la forçant a garder le rythme guidée par ses mains, et lui baisant littéralement la bouche, il continua ainsi pendant plusieurs dizaines de minutes, puis il vint dans sa bouche, se relachant completement dans sa gorge et gardant sa verge dans la bouche de Karen pour être bien sur qu'elle avalera tout. Quand il fut bien sur, il retira sa verge de sa bouche.
"Alors?Comment était ce?"
Demanda le marchand d'esclave avec un sourire sadique
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-Hj- Mon premier post avec des avatars tout frais °-° -Hj-
Don était tombé sur un véritable rempart. Même si Karen était tout sauf une débrouillarde, elle semblait avoir une détermination sans faille, assez contradictoire à sa fainéantise. Il fallait dire qu'elle était prête à vendre chèrement sa peau pour sauver son honneur ainsi bafoué par un inconnu, et un homme des peuples primitifs par dessus le marché.
Plutôt crever que de lui céder le moindre Meseta. Elle était bien fière de sa fortune et ne manquait pas de l'étaler, alors pourquoi dépenser le capital pour rien ? Jamais elle ne laisserait Don être plus riche qu'elle, ça, il pouvait en être certain.
Quoiqu'il songe à lui offrir comme sort, elle se promettait qu'elle ferait tout pour se tirer de ce trou à péquenot. Jamais elle ne se laisserait abuser comme d'un vulgaire jouet: personne, et surtout pas un homme, allait la commander. Et encore moins la transformer en attraction pour touristes, ou objet de valeur. Et si un jour il lui venait le malheur de songer à lui ôter la vie pour sa désobéissance, Don serait tout aussi surpris que Karen de voir ce qui arriverait.
Mais pour ce qui était de sauver l'honneur, elle était encore loin du compte. Don la maltraitait et faisait d'elle ce qu'il voulait; la preuve en était lorsqu'il se servait de sa bouche comme d'un vulgaire orifice. La honte et la rage se peignaient sur la face de Karen, aussi rouge que ses cheveux, alors qu'elle essayait de se dépêtrer de sa prise. Honte et rage qui n'en furent que doublés lorsque Don eut le malheur de la forcer à avaler sa semence, ce qu'elle n'eut d'autres choix de faire...
" Dégoûtant... "
Elle se mit à tousser en se tenant le cou, sa brutalité lui brûlait encore la bouche, lui faisait mal. Il ne s'embarassait d'aucune délicatesse.
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Don riait beaucoup, mais c'était bien de rire, mais il n'était plus en état de l'humilier d'avantage pour le moment, car après tout il n'était pas un surhomme, après être venu une fois il allait devoir attendre un peu...Hm...Comment faire passer le temps? Il fessa la tekhane, rien que pour le plaisir de l'humilier un peu plus avant d'aggriper la dite fesse et de la MORDRE carrement. Il allait bientôt laisser une autre marque ici, mais un peu de patience. Il avait tout son temps après tout, il attrapa Karen par les menottes et la tira vers lui alors qu'il sortait de son sac un collier en cuir qu'il noua autour du coup de la Tekhane, l'immobilisant avec son bras pour ensuite poser un verrou sur celui ci
"Ca te va a ravir, ma chienne, mon adorable toutou."
Fit Don en lui tirant une de ses oreilles velues et qui commençait déjà a redevenir assez dur pour ce qu'il avait a faire, il passa derrière Karen et, posant ses mains sur ses croupes, il entra en elle sans douceur, et se mit a lui assener des coups de bassins assez violent, il lança a Karen
"Je suis rentré comme dans du beurre, c'est loin d'être ta première fois hein?"
Fit le marchand d'esclave en accellerant le rythme, il la fit passer contre lui et lui empoigna la poitrine a deux mains alors qu'il continuait a la pénétrer.
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Elle voulait que ca s'arrête, le plus vite possible. Après cette copulation forcée, ca lui laissait du temps de répit qu'elle pourrait mettre à profit pour insulter son nouveau "compagnon", ce Don si désagréable qui n'avait pas compris que si il aurait demandé gentiment un peu plus tôt - et avec un déguisement qui ne rappellait pas un paysan -, les choses se seraient bien mieux passées.
Mais ca ne faisait qu'empirer qu'au fil du temps. La claque sur la fesse de la tekhane la fit gémir en effet, mais on ne comptait plus le nombre de mains qui avaient impacté cette partie là du corps de la tekhane... Non, le pire était juste après, quand Don eut "l'excellente" idée de la mordre.
" AAAIIIIEE !! Mais t'es complètement débile ou quoi ?! "
Elle en avait plus qu'assez que ces humiliations à répétition. Seulement, la véritable cause de sa colère à en faire passer un volcan pour un agneau était le fait qu'elle ne puisse RIEN faire, justement. Ce sentiment d'impuissance lui faisait rougir le visage et presque faire sortir de la fumée de ses...Oreilles.
" Pfeuh, j'en ai des plus jolis à la maison. T'as vraiment aucun goût ?! Et je ne suis pas un clébard, j't'ai déjà dit ! "
Elle commencait à manquer de matière première en guise de rabaissement et insultes en tout genre, il fallait l'avouer c'est bien vrai. Par contre, Don s'amusait comme un petit fou, et ca la faisait rager.
Se faisant tirer par l'oreille et reprendre violemment, un cri s'échappa de sa bouche alors que Don reprenait le travail dans la joie et la bonne humeur.
" F-Forcément, et alors ?! "
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Don ne s'embarassait pas de détails comme le fait que Karen ait mal et plus elle criait, mieux il la besognait et plus il la besognait, plus il y prenait plaisir. Il voyait très bien le genre de personne qu'était Karen, une jeune fille pourrie gatée qui passait surement son temps a changer d'amants comme de chemise, il était sur que si il essayait l'arrière il rentrait aussi facilement que dans l'avant. Don se faufilla auprès de Karen et alors qu'il s'enfonçait sans aucun mal de plus en plus profondement il lança
"Il n'y a pas de secret, il n'y a que les faits. tu ne peux pas t'empecher d'aimer ça et vu le nombre de mecs que tu as du t'envoyer c'est parfaitement normal. Pourquoi est ce que tu refuse de le voir?"
Don se dégagea de Karen et attrapa son sac, le repos fut de courte durée, un martinet s'abbatit sur le postérieur généreux de la Tekhane alors qu'une lanière de cuir s'attachait au collier.
"On va donc te forcer a l'avouer et faire une petite promenade tous les deux, allez."
D'une main il tenait les rènes, de l'autre il la fouetait pour avancer et avec son membre il la pénétra a nouveau, accompagnant ses mouvements alors qu'il sortait
"Je sors ma chienne. Quelqu'un veut m'aider a tenir les rènes?!"
Cria Don dans les bas quartiers.
La réponse évidente n'allait pas tarder a arriver.
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L'esprit tordu de Don n'aurait pas déplu à Karen dans d'autres conditions. Le fait d'être ainsi humiliée la dégoûtait bien et la seule envie, outre celle de copuler, qui restait dans sa tête était de coller un poing bien mérité dans sa face. Mais, dans la situation actuelle, elle n'avait rien à faire, c'était le pire.
Son dos se frotta au parquet douloureusement lorsqu'il s'enfonca un peu plus, la faisant reculer un petit peu à chaque coup, à chaque claque entre le bassin de Don et celui de Karen.
" Plutôt crever que d'aimer ça avec un porc dans ton genre ! "
Karen, étant déjà une habituée, serait beaucoup, beaucoup plus coriace à dresser que les autres esclaves. Nymphomane de nature, Don n'avait rien à lui apprendre et donc la procédure de base d'esclavagisation était à mettre de côté...
" Aïe !! Mais t'es con ou quoi ?! Lâche ce truc tout de suite ! "
Fit-elle après avoir encaissé un coup de martinet sur les fesses. Mais c'était quoi, cet engin ? Elle n'avait jamais vu de truc pareils, auparavant. Elle essaya de reculer, mais n'esquiva pas la lanière en cuir jusqu'à son collier: mais qu'est ce qu'il préparait...
" QUOI ?! On va quand même pas aller dehors ?! T'as vu de quoi j'ai l'air ?! "
Elle eut beau protester, ce ne fut ensuite que des plaintes lascives et des gémissements qui s'ensuivirent, lorsque Don hurla dans la rue, devant une Karen nue et souillée...
" Non, NON ! J'avoue, j'aime ça ! Fais les rentrer chez eux ! "
Elle ne voulait pas se faire abuser par toute cette bande de péquenauds qui pourraient lui refiler ont-ne-sait quelle maladie avec leur attitudes de paysans dégoûtant, mais c'était un peu trop tard: déjà on sentait que ca bougeait beaucoup, dans le coin...
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Don éclata de rire. Karen était décidément bien comique et il aimait les femmes qui avaient de l’humour. Plus que tout, ça mettait du piment dans son métier déjà passionnant et en abordant cette Terranide Tekhane il n’avait jamais pensé s’amuser autant. C’était vraiment drôle de la voir se débattre ainsi de son étreinte alors que les coups redoublaient et que les cris de la jeune femme en faisait de même, c’était dans ce genre d’univers que Don était le mieux, il l’avait finalement sortie dans le but de l’humilier un peu plus, généralement Don était un égoïste qui n’aimait pas partager ses petits plaisirs personnels. Néanmoins Karen semblait avoir tellement d’expérience dans la matière qu’il n’était plus là question de la dresser pour la traumatiser, il fallait quelque chose de plus gros, de plus impressionnant et il ne pourrait pas y arriver seul. Pour ça il devait briser son égo. Pour ça il devait détruire sa fierté, et il avait déjà commencé a faire ça en la faisant admettre l’inadmetable. Et ça n’allait surement pas s’arrêter là.
« Ah oui ?Tu aime ça ?Je ne t’entend pas crier pourtant. »
Fit Don avec une voix pleine de sarcasme alors qu’il commençait vraiment a entrer dans le vif du sujet et redoublait d’efforts dans sa besogne tout en fouettant Karen. Il lui lança alors avec indulgence
« Crie donc, aboie, remplis ton rôle et dis moi donc ce que tu désire par-dessus tout, Karen Waber, et peut être accepterais je que tu es assez grande pour te traite toute seule."
Déjà des badauds commençaient a arriver et a saliver devant la scène, la plupart commençaient déjà a baisser leur pantalons et DOn sussura a l'oreille de Karen
"Tu ferais bien de te dépécher, qu'a tu donc a dire a tous ces gens qui veulent t'éduquer ma très chère chienne?"
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Cette fois, Karen ne gardait plus son petit air supérieur: elle paniquais. A l'idée de se faire tripoter par cette meute de paysans, ca la dégoûtais car on ne sait jamais où ça as traîné.
Sur les genoux face à ces inconnus, elle se mit à reculer et son dos entra en contact avec les jambes de Don.
" N-Non ! Empêche les de me toucher ! Ne laisse pas ces sales péons puants me toucher ! Je vous l'interdis, ne me touchez pas ! "
Elle n'eut pas trente-six solutions: il fallait obéir ou alors se faire violer par ces médiocres, elle avait surtout plus peur d'attraper une M.S.T. que de se faire violer, qui en soi n'était pas un problème.
Alors qu'elle les regardait s'approcher tels des zombies tout droit sorti d'un Romero avancer vers leur désignée victime, leur but n'était pas de lui prendre sa cervelle mais plutôt la prendre tout court, et c'était bien ça que Karen craignait.
" J-J-J'aime ça ! J'adore baiser ! "
Hurla-t-elle bien fort, avant de se retourner vers son tortionnaire, les nerfs à vif
" Voilà, t'es content ?! "
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Ah, on arrivait a quelque chose. Evidement Don se doutait que Karen avait plus peur des paysans puants que de faire l'amour, ce qui était un peu le passe temps de la Tekhane, néanmoins l'idée ne ravissait pas également, dieu sait qu'une esclave avec une MST était difficile a gérer. Il ne pouvais pas décement convaincre les dits paysans d'utiliser des préservatifs, non seulement ça lui prendrais des heures pour leur expliquer, ça casserais son effet de supériorité sur Karen, mais trahirait également qu'il n'était pas qu'un simple marchand d'esclave de Nexus. Et puis bien que non croyant, il s'interdisait les préservatifs lors de l'accouplement, question de principes. Il avait surement eu bien plus de partenaires différent que Karen et toutes étaient soit mortes a l'heure actuelle, et dans ce cas leurs enfants continuaient a vivre pour lui dans le couvent de l'ordre, soit a ses bottes et vendues. Karen n'échapperais donc pas a son destin qui était de finir en personnel d'utilité publique. Et puis celà ferait une promotion du tonnerre pour le lancement de sa maison close.
"Je n'ai pas entendu les aboiement, esclave."
Fit Don alors qu'il la prenait a présent en levrette, faisant balloter sa poitrine d'avant en arrière en lui tenant bien les bras pour s'enfoncer mieux. Les paysans n'attendaient que le signal de Don pour avancer et certains avaient même déjà sorti leurs membres impatients et s'astiquaient. Don lui, rentrait de mieux en mieux son membre pourtant imposant et ponctuait ses phrases de coups de reins puissants pour ébranler Karen, il allait devoir donner son maximum pour qu'elle craque
"Qui...Adore...Tu...Baiser?"
La phrase fut ponctuée par une violente claque sur la fesse droite pour humilier un peu plus Karen. Il allait falloir aller dans le Hardcore pour elle, alors autant ne pas lésiner sur les moyens
"Qu'a tu...A...Dire...A ton maître?"
Et seconde claque sur la fesse gauche.