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Engel jeta sa cigarette sur le béton et referma son manteau. Fourrure. Fausse fourrure. Elle portait en dessous son habituelle tenue de Noël, un déguisement qui liait Renne, Mère Noël et strip-teaseuse. Elle remonta la fermeture de son manteau jusqu'à son menton et se frotta les mains. Le souffle qui sortait de sa bouche formait un nuage blanchâtre. Elle avait froid.
L’hiver. Noël. Les cadeaux. Elle était pressée de rejoindre sa demeure.
Elle marchait à grandes enjambées dans la rue, et son regard croisa celui d’un homme. Elle resta figée sur place. Cet homme…elle l’avait déjà vue. Des souvenirs bombardèrent sa tête tandis que la surprise et l’angoisse se dessinaient sur son visage.
La plage, l’île. Elle lui avait échappée cette nuit là.
Elle se retourna et prit une autre rue, espérant que l’homme n’est pas croisé son regard. Elle ne voulait pas avoir affaire à lui, et ne voulait pas … elle fronça les sourcils. Qu’avait-il voulu exactement ce jour là ? L’étrangler ? La poignarder ?
« Tant pis. Je ne veux pas rejouer à ce jeu »
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Don fronça les sourcils. Bien sur qu'il l'avait vue. Il n'oubliait jamais un visage, mais pour le moment il faint de ne pas l'avoir remarqué...La laissant agir avec surprise et tourner dans une ruelle pour lui échapper...Quelle...Quelle idiote, elle avait vraiment tournée dans cette ruelle là?Don soupira. Il allait devoir s'occuper de lui sauver les fesses. Le marchand d'esclave tourna dans la rue quelques minutes après Engel.
Celle ci se rendit compte que la rue était un cul de sac. Un cul de sac ou se trouvait réuni une bande de jeune punks en train de fumer et d'écouter de la musique, quand ils apperçurent Engel ils se levèrent et finirent par avancer vers elle, avec des sourires sur leur visages lubriques
-On est perdue ma petite dame?
Fit un des loubards alos que deux d'entre eux courraient pour passer derrière elle et lui bloquer la sortie
-On peut peut être t'aider a retrouver ton chemin...
-Mais pour ça va falloir être très gentille avec nous.
Firent ils, tandis qu'ils sortaient des couteaux, ou des chaines.
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Engel fronça les sourcils. Quelle conne elle était... elle tombait de Charybde en Scylla. De Don a une bande de dégénérés. Elle savait exactement ce qu'ils voulaient, mais n'était pas d'humeur à les supplier de la laisser vivante et en bonne santé. Qui était plus dangereux ? Le marchand d'esclave ou les punks ? Elle serra les poings.
- Tu crois peut-être que tu peux te défendre ?
Elle hasarda sa main dans une poche de son manteau, et l'un d'eux voulut l'empêcher de saisir son arme. Perdu. Elle lui colla un pied magistral dans le ventre, et sortit un merveilleux Colt (volé) de sa poche. Elle tira dans le pied d'un, mais l'autre la frappa violemment au poignet et l'arme roula sur le sol.
Elle lui montra les poing et il un rire sadique, du genre " qu'est ce que t'espére? ". Évidemment, elle était bloquée. Évidemment. Sa seule arme était loin, elle recula dans l'espoir de l'attraper mais celui qu'elle avait frappée au ventre lui agrippa la taille.
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Don se plaqua contre un mur quand il entendit le coup de feu et observa la scène depuis derrière le mur où il se trouvait...Engel avait une arme, il avait bien fait de la laisser vider son chargeur sur les petites frappes. Il allait pouvoir opérer en toute sécurité a présent. Alors qu'ils se mettaient a ricaner, sauf un qui avait une balle dans le pied quand même le pistolet arriva jusqu'aux pieds de Don.
Qui sourit.
Il allait récupérer Engel cette fois, il en était sur...Alors que les malfrats commençaient a avancer vers elle et que deux déjà la tenaient fermement pour qu'ils puissent mettre a bien leur plan, déjà certains commençaient a déboutonner leur pantalon quand une détonation retentit, suivit d'autre, chaque détonnation suivie d'une balle en pleine tête de chaque malfrat. Ceux ci s'effondrèrent au sol.
Don était là.
Il portait un large feutre ainsi qu'un imperméable par cette journée d'hiver et une echarpe jaune. Pour lui qui utilisait le Magnum calibre lourd, un ridicule colt était une partie de plaisir a manier. Puis, il vida le chargeur dans la ruelle, sur les murs, avant de montrer le flingue a Engel Don portait des gants.
"Mon dieu, mais qu'est ce que tu as fait?"
Fit il avec un sourire
"Tu as tué tous ces pauvres gens...Que va dire la police quand elle retrouvera tes empreintes sur l'arme du crime qui t'appartenait?"
Don eut un sourire mauvais
"Si tu veux éviter de finir le restant de tes jours dans une prison, tu va me suivre bien gentiment, je m'occuperais d'effacer les preuves."
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" Qui?Que?Quoi?..." Engel retomba lourdement sur le sol. Et reconnut immédiatement la voix de Don. Elle avait bien changée depuis la dernière fois qu'ils s'étaient vus. Elle n'avait plus cette tête d'enfant effrayée. Mais de jeune femme en colère.
Évidemment, que pouvait-elle faire davantage ? Elle pourrait faire disparaitre l'arme sans problème, mais cette fois, elle avoua, en laissant retomber sa fierté, qu'elle était fichue. Elle n'avait pas pensée aux conséquences.
Elle se releva en se frottant le dos, se souvenant de celui qui lui avait fait peur et qui lui avait ôtée son maillot de bain un soir d'été. Elle avait eu de la chance, sa virginité était encore intacte. Personne n'y avait touchée encore. Mais avec Don... ce n'était plus très sûre.
- Don ...rends moi cette arme. Il existe encore d'autres gamines innocentes à incendier, occupe toi d'elles et laisse moi tranquille.
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Don eut un sourire malsain et plongea la main dans une de ses larges poches d'imperméable. Il était un de ces monstres raffinés qui savaient que les paroles, bien tournées pouvaient être bien plus mortelles que la plupart des actes de barbarisme les plus violent. honnètement, personne ne pleurerais ces cinq couillons qui avaient trouvé la mort dans cette ruelle pour son bénéfice personnel. C'était bien, il débarassait le monde de 5 déchets, récuperait une fille qui lui avait échappé il y avait longtemps et Engel passait a l'âge adulte. Tout le monde était content.
Don ressortit de sa poche un téléphone portable, il lança a Engel
"Oh?Tu ne veux pas?Comme c'est dommage, eh bien, je vais appeller la police, je suppose qu'ils sauront te faire une jolie cellule...Ou tu ne te fera pas trop violer par tes compagnons de cellules."
C'est vrai, si ce n'était pas Don maintenant, ça serait en prison. Don se mit a composer calmement le numéro des autorités compétentes.
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Engel serra les poings. Et merde ! Sur ce coup là, elle avait était foireuse. Pas de prudence, pas de précautions, rien. Non, rien. Ses yeux lui brûlaient. Encore une fois, elle était entre les mains de cet immonde salaud qui lui avait fait vivre un enfer un soir d'été turbulent. Tant pis pour sa fierté, tant pis pour tout, elle trouverait bien un moyen de s'en sortir.
Du moins, elle l'espérait.
- Lâche ça, c'est bon, je te suis, lâche t'elle d'un ton las. Mais jure moi que tu ne les appelleras pas, ni maintenant, ni ensuite'.
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Le marchand d'esclave poussa un soupir et rengaina l'arme dans sa poche avant de continuer a composer son numéro de téléphone, qui appellait t'il?Ca c'était ses oignons, pas ceux d'Engel. Une fois le numéro composé quelqu'un répondit assez vite. Don chercha dans sa poche une cigarette et la porta a sa bouche avant de l'allumer, savourant comme un chef sa victoire sur Engel tandis qu'il s'avançait vers elle d'un pas nonchalent, finalement les tonalitées cessèrent et une voix avec un fort accent retentit au bout du combiné, Don lança
-Tutti, c'est moi, Don. On aurait besoin de tes talents de néttoyeurs. Je te redevrais ça...Quoi elle?Oh oui, tu peux l'avoir si tu veux, j'en ai fini avec.
Fit il en crachant un nuage de fumée a la figure d'Engel puis il raccrocha avant de se poster a l'entrée de la ruelle
Dix minutes plus tard, un petit homme malingre accompagné de quatres gros bras arrivaient pour bazarder les corps dans des sacs poubelles, ils s'entretinrent un moment en espagnol avec Don avant de repartir. Don avait commencé a avoir des connexions dans la mafia cubaine établie a Seikusu. Les types se mirent a nettoyer le travail en balayant la place avec des lances a eau a haute pression et en emballant les restes. La ruelle était nickel après ça.
Le dénomé Tutti lança un regard en coin a Engel et rigola un peu avant de foutre le camp, un type sinistre ce Tutti. Quoi qu'il en soit une fois celà fait Don lança a Engel
"Allez, suis moi. J'ai quelque chose de parfait pour toi."
Fit il alors qu'il lui posait une tape sur les fesses pour la faire avancer. Ils traversèrent le parc, la poche de Don distraitement tendue vers Engel disant une chose :J'ai ton flingue encore, si tu bouge, je te bute.
Ils s'arrêtèrent dans le parc, il était encore tôt et il n'y avait personne
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Aucun sentiment n'avait éclot sur le visage de la belle. Elle était restée neutre, comme elle savait si bien le faire dans ce genre de moment. Elle aurait pû evidemment le frapper, l'ecraser une fois que les gars avaient terminés de nettoyer les lieux du " crime "
Mais elle ne le fit pas.
Non, elle ne le fit pas. Elle pensait trop à ça - tout ça - et anticipait avec peur ce qui allait suivre la petite ballade certainement peu anodine dans le parc. Elle triturait avec nervosité ses doigts, cherchant une issue, un moyen de s'en sortir.
- Vous êtes vraiment pitoyable... grogna t'elle.
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Don se massa le menton de sa main puissante a la provocation évidente d'Engel avant de croiser les bras, arborant un sourire éclatant a sa dernière aquisition, la jaugeant pour le moment...Oui, elle allait faire parfaitement l'affaire, les affaires lui manquaient un peu, ça faisait un moment qu'il n'avait pas eu de nouvelles clientes. Oh ça ne voulait pas dire qu'il ne violait plus personne. Il avait enormement de filles qu'il devait continuer a dresser tous les jours et quand ce n'était pas le cas il n'avait qu'a claquer des doigts pour qu'elles s'occupent de lui. Legumifiées par sont traitement de choc.
"Suis je pitoyable?Ou est ce que c'est toi qui l'est pour t'être laissée attraper par quelqu'un de pitoyable?
Répondit Don avec sarcasme. Aujourd'hui il allait s'amuser un peu. Il avait marché jusqu'a une petite cabane dans les bois, celle du concierge qu'il avait investi depuis un moment et y entra avec son sac, laissant la porte ouverte quelques secondes a peine avant de ressortir débarassé de celui ci et de saisir Engel par le bras et la tira vers le parc, pas trop fort, mais assez fermement, il l'envoya sur l'herbe et lui ordonna
"Enlève moi ce manteau."
Et pas de discussion
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La jeune femme se massa l'épaule. Elle n'avait pas su répondre à sa remarque, non. Généralement, sa repartie était violente, virulente, et la personne baissait les yeux. Mais pas Don. Pas cet homme sans cœur. Elle eut un grognement rageur, et se recoiffa avec dignité. Et son regard se figea à l'entente de son "ordre".
- T'espéres vraiment que je fais t'obéir, enflure ? Jamais, tu m'entends ?
Elle croisa son regard. Et lui lança une grimace. Et lui balança le dit manteau en pleine tête.
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De la résistance, c’était ce qu’il préférait chez ses conquêtes, un cœur de lion s’opposant a ses griffes de roi tigre. Il déchirerais cette résistance et ferait supplier Engel sous sa poigne, il n’avait que faire de ses jérémiades d’ailleurs, simplement il aimait la mélodie de ses cris et la voir se débattre allait être un spectacle ô combien euphorisant pour le marchand d’esclave qui allait lui inculquer l’obéissance. Parce que c’était ce qu’il faisait le mieux, parce que c’était sa raison de vivre et que bientôt ça serait celle d’Engel. Don croisa les bras sur sa poitrine et, aimant plus que tout jouer avec sa nourriture souleva un sourcil sarcastique devant sa proie pour lui lancer a la dérobée
« Si tu n’enlève pas ce manteau c’est très bien, mais explique moi comment tu compte m’empêcher de te… »
Il reçut alors le manteau en pleine figure, qu’il attrapa au vol d’une de ses mains puissante avant de le jeter au sol, il eut un regard amusé et lança a Engel
«Joli ensemble festif sinon, tu t’es préparée rien que pour moi ?Comme c’est charitable »
Don sourit et décida de pousser le bouchon plus loin avant de lancer a Engel
« Allez, en sous vêtements maintenant, Rodolphe. »
Fit il en lui donnant le nom du renne préféré du père noël, histoire de l’humilier encore un peu.
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Engel lui fit une grimace meprisante et croisa les bras, l'air boudeur, comme une enfant qui ne retrouve plus son jouet favori. Elle renifla, se frottant les bras. le froid allait avoir raison d'elle.La chair de poule enhavissat son epiderme pâle.
Elle sautilla sur place.
- Peut pas, j'ai rien en dessous, grogna t'elle.
Elle lança son serre-tête au pied de Don et se retourna, lui tournant le dos, repliée sur elle même, morte de froid, les lèvres violettes.
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Don regarda son renne préféré enlever son serre tête et eu un petit rire cruel alors qu'il secouait la tête négativement en guise de réponse, ses épaules soulevées par un ricanement grave. Don releva ses yeux aussi noirs que la nuit sur Engel et la regarda, humiliée, humiliée?Non, pas encore, il n'avait encore rien commencé, elle était a moitiée nue dehors dans le froid, et celà ne suffisait pas a Don, l'esclavagiste lança a la jeune femme.
"Oh?Rien en dessous?C'est encore mieux alors."
Fit Don en croisant les bras sur son torse puissant tandis que son index tapotait son coude, l'air d'attendre, il lui lança en lui présentant un sourire étincelant de blancheur
"Allez, j'ai failli attendre."
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Elle ouvrit de grands yeux limite choqués, et tapota du poing sur l'herbe avant de se reprendre. A ce jeu là, elle se paumait completement. Elle gagnerait peut-être ... plus tard ! Sur l'heure, elle devait trouver une solution, et cette solution s'imposait à contre coeur. On devine vite laquelle : elle fit glisser son costume jusqu'a son nombril, doucement, cachant sa poitrine et sentant le froid s'abattre sur elle, et resta sans bouger. Elle avait trop froid, et ne tenait pas à ... en enlever plus.
Elle se retourna, lui montrant son dos, et enleva le reste de son vêtement. Elle devait partir, gllisser, se refugier quelque part ... L'idée était folle ...
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Don eut un sourire, maintenant était elle humiliée?Non. Pas encore. Pas encore. Il ne l'avait pas encore fait sienne, après tout, une fois qu'elle comprendrais qu'elle était en son pouvoir et qu'elle aimait ça, il aurait gagné. Il aurait enfin gagné, il n'aimait pas quand une proie lui filait entre les doigts. C'était pour ça qu'aucune proie ne lui filait entre les doigts éternellement et qu'il était le roi des chasseurs. Tôt ou tard, un jour ou l'autre, toutes venaient a payer le tribu de leur liberté. Il était bien plus amusant en fait de la regarder se deshabiller elle même plutôt que de l'y forcer, si il avait arraché ses vetements elle aurait pu avoir comme excuse que rien n'était de sa faute, là elle devait se battre contre son propre dégout pour y arriver, c'était bien plus efficace, le marchand d'esclave pensa qu'il devrais appliquer cette méthode plus souvent. Bien qu'il aimait beaucoup arracher les vetements, il est vrai. Pour le moment c'était une Engel nue, vulnérable, et transie de froid qui lui tournait le dos. Et il allait photographier ce moment dans son esprit, car il était sur qu'Engel ne l'oublierais pas.
"Tu vois quand tu veux."
Fit l'homme a l'imperméable en s'approchant, il se colla a elle sans aucune vergogne, sa première main gantée se ruant pour caresser son entrejambe, l'autre plaquant son torse contre le sien et forçant les mains d'Engel a se retirer pour qu'il puisse empoigner ses seins, Don tourna son visage, posa sur son épaule vers Engel
"Tu as pensé a moi pendant tout ce temps?J'imagine que oui, sinon pourquoi te baladerais tu dans un tel accoutrement mon cher Rodolphe, si ce n'est pour précipiter ce qui t'arrive maintenant?"
Fit il alors qu'il pinçait le mamelon d'Engel
-Hj-Un peu plus de longueur dans les posts serait la bienvenue :s si tu pouvais peut être décrire un peu ce que tu ressent ou ton corps?-HJ-
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( Sowwy ... inspi ruinée à cause d'un travail qui m'a pompée toute mon inspi ... vais me rattraper )
Il n'avait pas le droit d'avancer cette hypothése. Jamais il ne lui avait manqué ! La grimace qu'elle fit était alliée à la douleur de son pincement et à l'idée qu'il puisse dire cela ... La jeune femme tenta de reculer violemment, mais ne reussit malheureusement pas. le froid engourdisssait son esprit et ses membres ... L'ange était tombé, la honte, la gêne et le ridicule s'abattait inmplacablement sur ses frêles épaules ... Elle le repoussa avec ses bras, les sourcils froncés.
- Je ne veux rien du tout ! Comment oses-tu dire que j'ai pensé à toi, pervers sadique !! Jamais, tu entends, jamais !
Elle s'enervait, sentant qu'elle avait froid, qu'elle avait mal aussi bien physiquement que mentalement, les muscles tendus, l'epiderme hérissée et la gêne qui la prenait violemment quand elle sentit que la main du marchand d'esclave s'était un peu trop égarée sur son anatomie. Encore une fois rabaissée ... Elle planta ses yeux dans les siens et lui colla une gifle, realisant la suite des evenements, jamais elle ne se laisserai faire.
- Je t'ai echappée une fois, et je peux encore le faire, Don ! Je ne suis pas faible !
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C'était un peu tard pour une piqure de rappel, Engel allait subir ce qu'elle méritait, et elle allait le subir maintenant. Parce que Don avait de la chance de la retrouver ainsi, encore intacte malgré tout malgré le temps qui était passé, on était jamais sur avec les femmes, il les aimait encore pures, et quelque chose lui disait qu'Engel l'était, il avait l'oeil pour ça. Il ne la laisserait pas aller se faire déniaiser par un morveu qui ne ferait que faire mal le travail. Don allait lui apprendre clairement que même dans le froid le plus intense elle allait s'ébouillanter contre lui, nue dans ce parc public encore désert observée par le marchand d'esclave sans aucune gène. Il allait profiter de ce que ce corps bien formé allait lui donner. Le marchand d'esclave la laissa le repousser, plus amusé que parce qu'il n'en avait pas envie, si il n'avait pas eu envie qu'Engel le repousse elle ne l'aurait pas repoussé, la gifle s'abbatit sur la joue de Don et l'homme a la joue roussie sourit doucement alors qu'il tendait soudainement le bras pour attirer Engel vers lui d'un coup sec, la collant contre son torse musclé
"Tes coups ne sont rien de plus que des piqures de moustique, et même les moustiques ne passent pas a travers mes muscles, est ce que tu crois vraiment avoir la moindre chance de me résister?Nous ne sommes pas a la plage ici, nous sommes en centre ville, tu ne trouvera rien pour te vetir, ta meilleure chance sera de tomber sur un autre que moi, et franchement, quel gachis de te laisser a un groupe de jeunes délinquants écervelés..."
Il posa soudainement ses mains sur ses fesses, les aggripant lourdement a travers ses gants de cuir pour la maintenir contre lui alors qu'il l'embrassait avec force, la soulevant contre lui pour la plaquer contre un arbre et l'empecher qu'elle s'enfuit.
Contre son entrejambe elle pouvait sentir toute la dureté de Don. Bien sur, il était trop prêt et ne comptait pas lacher pour lui donner l'occasion de lui placer ne serais ce qu'un coup de pied a cet endroit.
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Et il disait vrai. La jeune fille n'avait ni la force ni l'endurance de se battre contre Don. Le moindre de ses mouvements l'atteignait à peine, " un moustique " comme il disai si bien. Effectivement ... Elle avait beau essayer de l'atteindre, ses poings ne lui faisant aucun mal. Son petit coeur paniqué frappait contre sa poitrine avec une démence particuliérement douloureuse, et son cerveau ne reagissait plus à rien. Ce n'est que quand il l'embrassa et quand elle sentit sa main sur elle et l'ecorce contre sa peau qu'elle se reveilla. Elle essaya de remuer encore plus, de frapper ... en vain. Et sa fierté alors ? Elle enrageait ...
- Lâche ... moi !! Tu es ... IMMONDE ! grogna t'elle en voulant le frapper à nouveau.
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Don eut une moue alors qu'il empoignait ses fesses comme on tâte une bonne marchandise et eut un sourire abject alors qu'il ressentait son coeur contre le sien, la peur en elle, il se nourissait de cette peur, de cette révolte, de ce dégout qu'il lui inspirait. Elle avait de la chance, il aurait pu être un gros lard libidineux, mais son premier allait être un bel athlète comme lui, il était sur qu'une fois qu'il l'aurait dressé elle s'en sortirait sans mal avec les gros lards libidneux. Ce n'était qu'une question d'entrainement. Le marchand d'esclave arrêta la nouvelle tentative d'Engel pour le frapper avec sa main et referma son poing sur le sien et le tourna pour l'obliger a poser un genou a terre, dans la neige.
"Eh bien?est ce que c'est un langage qui sortirait de la bouche du renne préféré des enfants?Je crois qu'il est temps de te donner une bonne leçon."
En effet, Don était déjà débraguété, et il sortit son membre puissant pour le planter sur la joue d'Engel
"Et rappelle toi pourquoi tu es là Rodolphe. Je peux te tuer quand je le désire, parce que j'ai un flingue et parce que tu es ma chose. Alors ne joue pas aux heros, et suce moi ça."
Lança Don en la fixant de ses yeux noirs, sa main sur sa verge plantait celle ci dans la joue d'Engel
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Engel inspira violemment. Le contact glacé de la neige contre sa peau ... elle sentait déjà la chair de poule rebondir pour mieux retomber, provoquant des tremblements sur la surface de chacun de ses membres. Elle eut un déglutissement abject, provoqué par la peur. Un flingue. Elle avait peur, oui, peut-être pas pour la premiére fois de sa vie, mais c'était une peur immonde, repugnante, que l'ont veut egorger une bonne fois pour toutes, pour vouloir la tuer. Il la considérait déjà comme sa "chose". Elle eut une moue degoutée. Mais il n'y avait pas 36000 solutions en cet instant. Elle haïssait ce qu'elle devait faire, à un point terrifiant. Elle attrapa entre ses lévres le membre de Don, jurant contre tout les saints qui pouvaient exister. Comme si son coeur s'était arrêté de battre ... elle eut un tressautement quand elle commença à faire tourner sa langue contre son membre. Elle aurait donné tout pour être autre part, elle était si mal ... un mauvais reflexe arriva. Au lieu de se mordre les lévres, elle enfonça ses dents dans ce qui se trouvait entre ses levres.
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Oh contact douloureux. Il ne se souvenait même plus de ce qu'il avait fait a la dernière qui avait osé le mordre, ça remontait a longtemps, beaucoup de femmes se soumettaient uniquement a son intimidation, il était bien capable de faire ce qu'il allait faire après tout. Là si il ne tuait pas Engel, il montrait qu'il n'était pas capable d'appliquer une sanction correctement. Il montrait qu'il promettait des punitions qu'il était incapable de donner, il montrait qu'il était un maître laxiste, oui, mais tuer Engel maintenant aurait été un gachis et un soulagement pour elle, soulagement qu'il ne pouvait pas permettre d'arriver. Mais le colosse déjà se crispait alors qu'il répondait a la morsure par la première chose qu'il pensa alors qu'elle le mordait, il la gifla, l'ejectant littéralement de lui par une baffe surpuissante, l'envoyant dans la neige, il la tira par les cheveux et la releva vers lui. Son flingue dans l'autre main.
"Je crois qu'on s'est pas bien compris. J'ai dit que j'allais te tuer si jamais tu me mordait. Tu as mordu."
Fit Don en faisant jouer le flingue dans sa main et en le branquant sur la tempe d'Engel
"Donne moi une seule bonne raison de ne pas appuyer sur la gachette?"
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Oh oh, tout ceci se compliquait. Certes, elle était dans un état delabrée, retombée six pieds sous terre, avec Don, et la honte qui emplissait tout son être. Mais là, là ... Elle se sentait mal. Elle sentait le métal froid le long de sa tempe, et savait qu'il serait capable de le faire. Il serait capable d'appuyer sur la gâchette, d'ejecter son cerveau tout comme elle venait de tomber violemment dans la neige gelée, qui reveillait en elle des frisson qu'elle rejettait. Elle n'osait donc pas bouger, à peine respirer. Son regard afolé partait dans tout les sens, esperant trouver une personne - une seule - qui puisse l'aider.
- Je ... je ...
Elle se mordit la langue, inspirant un grand coup, fermant les yeux avec force en sentant ses muscles se tendre de terreur.
- Je ne sais pas, moi ! Merde ! Je ne sais pas ! cria t'elle.
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Mais le parc était désert, il était désert pour le moment de toute présence humaine. Don n'avait pas hésité a frapper, il ne le faisait que rarement, mais pour quelque chose d'aussi important que son "outil de metier" il ne lésinait pas sur les moyens, Engel devait comprendre où étaient ses limites a ce sujet là, et ses limites c'était "Tu touche, tu meurs.", Don la tirait par les cheveux et finit par ranger son pistolet avant de lancer
"Evidement que tu ne sais rien idiote!Tu es mon esclave a présent!Ce que tu sais c'est moi qui te le dirais, et personne d'autre, et quand je te dis de ne pas mordre, tu ne mords pas!"
Fit Don, en proie a une colère plus crue que d'habitude, lui qui voyait toujours ça d'un mauvais air saisit le nez d'Engel et le pinça, lui tirant toujours désagréablement les cheveux, profitant de la bouche ouverte pour s'inserrer dans celle ci
"Alors ne pose pas de questions stupide et fait ton travail!"
Fit il avant de lui saisir les cotés de la tête et commencer a lui baiser litéralement la bouche
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Vraiment cet homme avait le don de vous faire du mal, de vous descendre de votre piédestal, de vous flanquer par terre violemment en riant aux éclats et en profitant de votre desarroi. La jeune femme ne savait plus quoi faire, elle se retrouvait heureuse d'être vivante, mais souhaitant la mort. Elle était devenue un objet entre les mains de Don, incapable de réagir.
Par terreur et par honte. Elle avait peur de sa réaction, le savant avec un flingue dans les mains, et savait trés bien que chacun de ses faux pas pourrait être comme signer sa propre mort. Elle avait honte d'être devenue ce qu'elle était désormais. Plus rien sinon un corps baillonnée et suspendu pour que tout le monde se serve dessus, comme un buffet.
Sa peau était tendue, son visage brûlant, son corps secouée de soubresauts, et la douleur amplissait le moindre écart de sa peau, de son corps, d'elle ...