Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => Le parc et son sous-bois => Discussion démarrée par: Lunéa le samedi 13 décembre 2008, 18:56:06
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Lunéa avait échappée aux chasseur d'esclaves mais elle s'était perdu. Elle était arrivée dans un sous-bois et avait perdut tous sens de l'orientation car tous était différent ici , l'air était plus lourd, la lune brillait plus fort, et les bruits de la faune troublant.
-Où est-ce que je suis moi ?
Elle avait faim, soif et envie de se baigner, par chance elle trouva des baies sauvages, elle en mangea tellement que reput elle s'endormit.
Mais la soif devint si insuportable qu'elle se réveilla et elle sentie un odeur familière, celle d'un lac. Assoiffée elle se précipita et ne vit que trop tard son erreur.
Elle n'avait pas remarqué qu'elle était sur une longue corniche qui surplombait le lac et tombait dedans la tête la première, la distance étant trop courte elle ne pût utiliser ses pouvoirs, elle allait se baigner mais pas de la façon qu'elle avait prévue.
Le choc fût si violent qu'elle perdit connaissance.
-HJ-Comment c'est ?-HJ-
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-hj-Bah c'est bien :), je vais te donner des petits conseils, déjà essaye de penser comme ton perso sur le moment, met toi a sa place et traduit ses pensées.-Hj-
Don regarda la jeune fille. Et tendit la main, puis la rabatit en arrière...Non, c'était trop facile, bien trop facile. Oh, bien sur, il ne préssentait pas un piege, il n'en préssentait pas un, jamais...Mais c'était trop facile de mettre la main sur une Terranide comme ça. Si il était marchand d'esclave, c'était pour le plaisir de la chasse, et nul autre...Si on se contentait de lui donner sa proie en pleine mains...Il avait dans la bouche l'impression de ne pas avoir mérité ce qu'il avait gagné. Oh, bien sur, jamais il ne méritait de prendre une vie pour la réduire a l'état d'esclave...Si on partait du sens "humain" du terme...Mais Don était plutôt le genre a se dire que tout travail méritait salaire, et si il n'y avait pas de travail...Il n'y avait pas de salaire.
-Hj-Essaye de résumer des trucs aussi, dis toi que le membre a pas forcement le temps de lire ta bio-Hj-
Le colosse se contenta donc de faire ce qu'il savait faire le mieux. Il avait tiré Lunéa de l'eau et l'avait prise entre ses bras, délicatement. il ne fallait pas abimer la marchandise. Evidement au passage, Don mit la main au poignet de Lunéa. Comme ça, si elle se reveillait, il prétexterais qu'il lui tatait le pouls pour controler ses signes vitaux...Mais l'idée était tout autre. Le pouvoir de Don: L'annulation de pouvoir, ne marchait qu'au contact. Et plus il passait de temps au contact de la cible, plus celle ci demeurerais longuement sans pouvoirs...
Don marcha quelques minutes et la posa contre un arbre avant de s'asseoir a ses cotés et de regarder sa montre, 5 minutes, soit 5 heures ou les pouvoirs de Lunéa ne marcheraient pas. Celle ci ne remarquerais rien, a moins de les utiliser bien sur.D'ailleurs, avait t'elle des pouvoirs?
-Hj-Décris ton personnage-Hj-
Devant la terranide se trouvait un homme massif, qui devait bien faire deux mètres de haut, pour 150 kilos de muscles. Don était un marchand très spécial, il n'apparaissait jamais au public. Ce qui lui permettait de surprendre ses proies qui ne s'attendaient pas a se trouver devant un marchand d'esclave. Aussi quand elle repris connaissance il lui lança[/i]
"Ca va petite?Rien de cassé?"
Bien sur, il lui avait sauvé la vie. Ca lui donnerais surement du crédit. Don sourit, de son visage agréable se dessina un sourire...
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Lunéa, avait l'esprit confus, Que s'était-il passé ? Pourquoi était-elle trempée ? Qui était la personne devant elle ?
Elle voulut utiliser ses pouvoir instinctivement croyant qu'il lui voulait du mal, mais un mal de tête l'en empêcha.
L'homme qui était très grand lui tenait le poignet.
"Ca va petite?Rien de cassé?"
Cette question lui rappella ce qui s'était passé, la chute et puis plus rien.
Elle se regardait pour voir si elle n'était pas blessée, ses longs cheveux bleus descendait jusqu'au fesse étaient mouillés,ses bras et ses jambes n'étaient pas écorchés ni cassés, à cause du plongeon sa robe bleu marine collait à son corps mettant un peu plus en valeurs sa petite poitrine. Elle lança un regard embrouillé à son sauveur avec ses yeux jaune avant de répondre :
-N...Non...Je n'ai...rien.
Il lui était dur d'articuler car elle était encore sonnée par le choc de l'eau.
-Qui...êtes vous ?
Puis elle grelotta à cause du froid nocturne que ses vêtements ne protègeaient plus.
-HJ-désolé pour l'attente mais j'ai du m'occuper de certaines choses-HJ-
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Don se releva et soupira, histoire de montrer qu'il était bien content qu'elle n'aie rien, ce qui n'était pas un mensonge en soit, si elle était blessée, ça aurait été bien plus lourd. Pour le moment le colosse croisa les mains sur sa poitrine et lança a la Terranide
"Dorian Garan, je suis un simple promeneur, je t'ai vu te noyer et je suis allé te tirer de l'eau, tu as eu de la chance que je sois là, sans moi tu te serais surement noyée."
Déjà, insuffler de la reconnaissance était une bonne façon de se mettre Lunéa dans la poche, ce qui faisait partie de ses tactiques habituelles pour mener a bien ses missions. Quand il vit qu'elle tremblotait il retira sa veste et la lui donna pour qu'elle la passe...Immédiatement le marchand d'esclave surenchérit
"Tu t'es cogné plutôt fort a la tête, j'espère que ça va."
Fit il, laissant sous entendre que le choc a la tête de Lunéa pouvait être la cause de l'absence temporaire de ses "pouvoirs" si elle en avait bien sur, mais c'était une precaution que Don prenait toujours lorsqu'il rencontrait une nouvelle personne. Quoi qu'il en soit il se releva et lança
"Et toi qui es tu?Et que fais tu seule dans cette forêt a une heure pareille?"
Demanda Don "innocement"
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Elle ne voulait pas trop en dire et c'était dur de former une phrase avec toute ses émotions, elle parvint quand même à dire l'essentiel.
-Je me promenait car la lune me semblait belle aujourd'hui et je me suis perdue.
Il était vrai que la lune était belle, pour les vampires en tous cas puisqu'elle était rouge. Le sang de vampire de Lunéa réagissait à cet astre et lui rendit une partie de sa luciditée, elle aurait pu utlisée ses pouvoir mais comme Dorian semblait gentil elle ne fit rien.
Comme elle se sentie mieux elle essaya de se mettre sur ses jambes, mais elle retomba sur ses fesses.
Qu'allais-t-elle faire ? En venant dans ce monde elle n'avait ni toit, ni travail. Au moins les hommes était doux et gentils et il ne semblait pas y avoir de chasseurs d'esclaves.
-HJ-Don tu dit que j'ai bien commençée, mais je n'est pas de mérite car j'écris des lemons-HJ-
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C'est vrai, même si les pouvoirs de Lunéa étaient désactivés, il lui restait ses dents de vampire, que Don ne pouvais pas lui enlever et dont il ignorait l'existence...Lunéa avait donc encore une chance...Don regarda la Terranide. Une valeur sure. Bien sur, il en voyait tous les jurs au marché, mais celle là était mignone, et pour le moment il n'avait rien de prévu...Alors autant s'occuper d'elle comme il le fallait. Le marchand d'esclave eut un sourire amical quand elle lui répondit, et pendant ce temps il pensait ça:
*Oui, c'est sur, ta lune me semble bien belle ce soir, et je crois que bientôt je vais me perdre dedans...*
Pensa le marchand d'esclave, alors qu'elle se levait, elle retomba en arrière et il lui tendit galament la main pour l'aider a se relever tout en lui disant
"Vous êtes frigorifiée, venez donc boire un chocolat chez moi. Vous vous sentirez mieux."
Fit Don tandis qu'il la guidait jusqu'a sa planque principale, une boutique d'antiquitée, là il alluma le poelle dans la piece de celle ci celui ci brulait intensement. C'était une petite piece exigue ou se trouvait le chaufage, il y avait une chatière, on se demande bien pourquoi. Don ferma la porte et lança
"Donnez moi vos vetements trempés par la chattière, je les secherais pendant que vous vous réchauffez."
C'était uniquement en pure gentleman bien sur, et après tout, la piece ne possédait pas de serrure, donc il ne se rincerais pas l'oeil
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C'est vrai qu'elle avait froid, elle sentait se sentait gelée jusqu'à l'os et elle accepta la demande de Dorian, elle s'appuya contre lui pour marcher a peu près droit en ne perdant pas l'équilibre.
Au fil de la marche elle allait mieux, ils arrivèrent à une vieille maison d'antiquitée.
A l'intérieur il y avait un poelle qui fut allumer, Lunéa se blotti contre le chauffage qui un peu réchauffait.
"Donnez moi vos vetements trempés par la chattière, je les secherais pendant que vous vous réchauffez."
Comme il ne pouvait pas l'a voir elle se déshabilla en enlevant ses chaussures, ses chaussettes, sa robe, puis elle eu un moment d'hésitation, nan, il ne lui ferait aucun mal et si c'est le cas elle se défendrait. Elle enleva ses sous-vêtements, saisi un couverture près du poelle, s'en recouvra et passa ses habits par la chattière.
Elle se rapprocha du poelle pour profiter de sa chaleur bienfaisante et se détendit.
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Don récupéra les vetements de Lunéa, et après qu'il eut récupéré ses sous vetements, il les mi dans une petite boite en carton, après quoi il alla a l'incinérateur et les jetta dans celui ci...Elle n'en aurait plus besoin. Don s'étira un peu. Peu de chances qu'elle parte sans ses vetements, il pouvait se détendre un moment, il partit dans la cuisine et lui prépara un chocolat chaud bien comme il l'avait prédit. Il hésita un moment, puis décida de ne pas droguer le chocolat. Ce serait trop facile, encore une fois Don n'avait aucun plaisir a la facilité, il se contenta simplement de préparer un bon gros chocolat avant de partir vers Lunéa, il ne lui manquait plus qu'un seul élément avant de passer a l'assaut...
Il frappa a la porte doucement et attendit qu'elle lui permette d'entrer pour lui apporter la tasse de chocolat chaud qu'il lui confia avant de s'asseoir sur un tabouret, a coté d'elle, en tout bien tout honneur, Lunéa étant de toute façon dans son drap.
"Vous avez eu de la chance de tomber sur moi."
Dit il, sous entendant a Lunéa "Parce que quelqu'un d'autre aurait pu vous sauter dessus", mais pensant lui même "Parce que quelqu'un d'AUTRE que moi aurait pu vous sauter dessus". Il croisa les bras et lança
"Oh, je ne connais même pas votre nom ma chère. Qui êtes vous?Et quel genre de personne êtes vous?Pourriez vous me parler un peu de vous?"
Redondance mais il ne s'en souciait guère
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La terranide entendit Dorian fraper doucement à la porte elle ressera davantage la couverture afin de masquer son corps.
-Entrez.
L'homme entra dans la pièce avec un chocolat chaud que la jeune fille se mit à boire sans se faire prier.
"Vous avez eu de la chance de tomber sur moi."
Cette phrase en disait long sur ce monde qui lui parut d'un coup plus sombre et qui avait une ressemblance envers celui qu'elle avait quitté.
"Oh, je ne connais même pas votre nom ma chère. Qui êtes vous?Et quel genre de personne êtes vous?Pourriez vous me parler un peu de vous?"
La première elle pouvait repondre, en partie car elle n'avait pas une confiance absolue.
-Je m'appelle Lunéa Eripmav.
La seconde était nettement plus difficile à répondre, donc elle l'a reservait pour la fin et entama la troisième.
-Je suis la fille, vous allez peut-être trouver cela absurde, d'une vampire et d'un homme-chat appellé aussi terranide. C'est tous ce que je peut vous dire sur mon passé.
Elle voulut déplacée légèrent la cuillière pendant qu'elle parlait, une vieille habitude.
-Quand à quel genre de person...
Elle avait coupée sa phrase car l'objet qu'elle voulait déplacer ne bougeait pas, même sans se concentrer elle aurait put faire voler toute la maison.
Elle commença à paniquer et dans cet état elle aurait put blesser n'importe qui.
Pourquoi elle ne pouvait plus déplacer les objets ?
Elle essaya l'illusion même résultat.
Comment était-ce arrivé ? Et quand ? Elle avait toujours été avec...Une minute. Et si ce Dorian était...
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-Hj-Je tiens a préciser que ton pouvoir c'est l'illusion :) pas la télékinésie, et pas encore la télékinésie ET l'illusion les ESPER n'ont droit qu'a un seul pouvoir.-Hj-
Don la laissa finir son chocolat tranquillement, il n'allait pas risquer de s'ébouillanter avec si?Bien. Celà faisait a peine vingt minutes que Don avait appliqué son propre pouvoir, il avait encore tout le temps du monde pour faire sa besogne, sans compter le fait que chaque toucher suplémentaire ajouterais au total de temps passé sans pouvoir...Dieu que Don détestait les Espers, toujours a compliquer sa vie. mais ce qu'il préférait, c'était voir les Espers qu'il capturer d'aventure se rendre compte que leurs pouvoirs ne marchaient pas. Et comme ils se reposaient généralement entièrement sur eux il était drôle de constater a quel point certaines de ses victimes avaient échoué a trouver des chances évidente de s'en sortir juste parce qu'ils utilisaient leurs pouvoirs pour tout et n'importe quoi.
Lui n'avait que le pouvoir d'annuler les autres pouvoirs. En fait, il n'avais pas de pouvoir, il mettait seulement tout le monde a égalité. Il s'en sortait bien mieux que tous avec ce don, pourquoi?Parce qu'il ne comptait jamais dessus, sauf pour annuler un don ennemi, il était assez fort pour se battre sans aide de magie, et quand un magicien lui tombait sous la main il en faisait des confétis. Bref, Don écouta avec un petit sourire confiant pour montrer qu'il s'interessait a ce que disait Lunéa. Le fait qu'elle fit la fille d'un vampire l'inquiéta beaucoup...maintenant il pouvait voir les canines de Lunéa quand elle parlait...Oui. Il avait eu échappé belle...Un peu et il y passait...Mais un vampire augmentait carrement les cotes du prix de Lunéa, la rendant plus interessante qu'il ne le croyait. Il répondit a sa phrase en disant
"Je vois."
Fit il simplement...Oui il voyait...Il se demandais déjà comment faire pour ne pas se faire mordre...Bien sur, une fois qu'il l'aurait capturée, il serait facile de lui limer les crocs avant de la vendre. Mais sur l'immédiat comment échapper a la morsure?Il remarqua qu'elle semblait se concentrer...Elle était une utilisatrice de pouvoir. Il n'y en avait plus aucun doute maintenant.
Que faire?Arrêter les frais ou continuer a jouer la comédie?Elle allait se rendre compte de ce qui lui arrivait...mais en même temps il ne fallait pas agir de manière précipitée...
Mais c'était un moment tellement génial pour lui avouer...Que Don n'y tint pas. Il se contenta de se lever et s'inclina en avant
"Ah, vous ais je dit par le plus grand des hasard que le hasard n'existe pas?Je suis marchand d'esclave. Et a présent tu es a moi."
Fit le grand musclé avant de sourire de toutes ses dents. Pas de fenètre ici, et il était devant la porte.
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-HJ-D'accord-HJ-
Elle s'était fait avoir comme une débutante, franchement s'était trop sutpide de penser que ce monde était meilleur que le précédent.
Dorian avait esquissé un petit sourir qu'elle ne connaissait que trop, il disait "Tu t'es fait avoir ma petite".
"Ah, vous ais je dit par le plus grand des hasard que le hasard n'existe pas?Je suis marchand d'esclave. Et a présent tu es a moi."
Lunéa regarda discrètement la salle ce qu'elle n'avait pas fait avant, pas de fenètres et la seul issue était la porte.
Il fallait qu'elle file et en vitesse, sinon elle était mal. Finir en esclavage très peu pour elle qui avait vécu dans la crainte ces dernières années.
Il fallait se montrer plus dangeureuse qu'elle n'était mais sans son pouvoir cela compliquait un peu les choses, certe elle savait se défendre sans son pouvoir, mais il était beacoup trop costaud pour que cela lui fasse réellement mal.
Il avait pris ses distances, bien sur en ayant raconté ses origines elle était sur qu'il ferait tous pour ne pas se faire mordre.
Elle tripota son ruban qu'elle avait gardé, resta un moment immobile scrutant le bon moment pour attaquer.
Dorian bougea un peu sur la gauche.
Elle se leva, courut et jeta la couverture au visage de Dorian.
Elle profita de son aveuglement pour lui donnée un coup de le tibias le faisant tituber et ouvrit la porte.
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C'était quoi ça?C'en était presque comique de voir a quel point Lunéa pensait que sa tactique allait marcher. Don s'attendait a ce qu'elle lui bondisse dessus pour le mordre, et était donc déjà prêt a encaisser une quelconque attaque, quand il vit la couverture il se contenta simplement de la saisir au vol et de la balancer. Quand au coup de pied dans le tibia...Est ce qu'il fallait vraiment préciser que vu sa corpulence, ses muscles et ce qui allait avec c'était Lunéa qui s'était fait mal, en tapant pied nu contre sa jambe, a ses pauvres petits doigts de pied gelés?Non, ce n'était pas la peine de le préciser.
Don se contenta donc d'attraper Lunéa par ses longs cheveux soyeux alors qu'elle ouvrait la porte et la tirer vers lui pour la faire simplement chutter dans ses bras..Ca en devenait tellement ridicule qu'il en riait presque. Le marchand d'esclave attira Lunéa contre lui et lui bloqua une main dans le dos tout en resserant sa prise sur ses cheveux, gardant ses crocs de vampire a l'avant pour lui éviter une morsure perdue. Le marchand d'esclave soupira
"Tssk tssk tssk. Vous les Espers vous comptez trop sur votre puissance naturelle."
Don fit avancer Lunéa en avant, l'obligeant a quitter la piece pour arriver devant une autre qui était légèrement entrouverte, le marchand d'esclave poussa la porte en utilisant le corps de la terranide avant de la jetter dans celle ci.
Dans cette piece se trouvait de nombreux objets accrochés au mur, tous des sex toys reservés a de nombreux actes de dressage, au milieu de la piece, une planche en bois parcourue de lanières. Don avait refermé entretemps la porte derrière lui et s'avança vers Lunéa
"Il est temps de commencer le dressage."
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Elle pensait avoir réussi jusqu'à ce qu'une main saisit ses cheveux et la fasse tombée des les bras de ce monstre, car pour Lunéa c'était un monstre plus dangeureux que les autres. Elle voulut le mordre mais l'homme avait un coup d'avance et la bloquait.
Dorian la jeta dans un pièce voisine, malgrée sa peur elle ne pouvait se resoudre à rester à terre, déjà parce que le sol était glaciale et ensuit pour lui compliquer la tâche bien que inspectant la salle elle ne voyait pas comment car c'était une salle liée à l'humiliation. Ce qui la terrifia fût la phrase prononcée par son agresseur.
"Il est temps de commencer le dressage."
Elle essaya de savoir ce qui entendait par "dressage", bien qu'elle le devinait facilement. Si elle avait l'occasion de le mordre elle ne s'en priverait pas et si elle pouvait l'avoir ce serait encore mieux.
Il s'approchait.
-Que...Que comptez-vous me faire ?
Elle essaya de ne pas se retouver accullé, mais c'était le terrain de chasse de Dorain et malgré sa petite taille elle ne pourrait pas facilement s'échapper. Elle ne voulais pas devenir esclave et ferrait tous pour que cela n'arrive pas.
Il n'y avais aucun objet tranchant, dommage elle aurait put menacer de se tuer.
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Que comptez vous faire?Don eut un sourire, elle se retrouvait dans une piece remplie de sex toy, nue avec un marchand d'esclave et elle lui demandais ce qu'il comptait faire?Il n'y avait qu'une réponse a une demande pareille: C'était que Lunéa était encore vierge et avait réussi a survivre toutes ces années en ignorant tout du sexe. C'était la solution qui arrangeait Don qui s'avança vers elle tandis qu'il passait une main dans ses cheveux courts...Il croisa les bras
"Je suis venu dissiper un mythe. Un mythe que toutes les femmes connaissent et qui les fait vivre dans le mensonge, et surtout vous les terranides."
Don répliqua
"Il y a un ordre naturel des choses, chaque chose est a sa place, ce fut décidé ainsi et les êtres humains n'aspirent qu'a trouver cette place, car c'est celle qui les rendra véritablement heureux. Je vais te dire la voix qui a été choisie pour les femmes. Contrairement a tout ce qu'on a pu te dire, la femme, terranide de surcroit, n'est heureuse que si elle est au service de son maître."
Il commençait le lavage de cerveau, avec un sourire, Don se mit a la barratiner
"A tu vu comment tu t'es sentie bien en ma présence tout a l'heure,Je vais te faire découvrir le secret de l'ultime bonheur, et une fois ce secret appris tu ne voudra plus jamais être libre."
Il s'approcha de Lunéa avec un air plus menaçant
"Je vais te montrer ta vraie nature."
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"Il y a un ordre naturel des choses, chaque chose est a sa place, ce fut décidé ainsi et les êtres humains n'aspirent qu'a trouver cette place, car c'est celle qui les rendra véritablement heureux. Je vais te dire la voix qui a été choisie pour les femmes. Contrairement a tout ce qu'on a pu te dire, la femme, terranide de surcroit, n'est heureuse que si elle est au service de son maître."
La terranide n'en démordait pas, elle, traitée comme une esclave, jamais.
Une petite voix dans sa tête lui disait que c'était peut-être vrai.
Si c'était vrai, elle préfèrait être avec un maitre ou une maitresse gentils, plutôt qu'avec cet homme qui lui faisait peur. Non. Elle ne serait jamais l'esclave de personne.
Elle voulut répliquée mais il avait reprit la parole.
A tu vu comment tu t'es sentie bien en ma présence tout a l'heure,Je vais te faire découvrir le secret de l'ultime bonheur, et une fois ce secret appris tu ne voudra plus jamais être libre."
Malgré son esprit embrumé par les parole de l'escavagiste, elle savait qu'elle devait se battre juqu'au bout pour conserver sa liberté
-Compte la dessus !
Elle avait bondit passant sur le côté de l'homme
Elle était agile et misait tous la dessus
Elle fonçait vers la porte, en priant pour qu'elle soit ouverte, sans quoi elle allait au devant d'un destin qu'elle haïssait déjà.
Elle essaya d'ouvrir la porte.
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Don la laissa passer derrière lui. Peine perdue. Il avait fermé la porte a clef et c'était lui qui avait la clef, que pouvait t'elle faire sans pouvoirs?Rien, celà ne faisait que rendre la chasse plus interessante. la petite avait du cran, mais elle n'était pas en état de lutter contre un professionel comme Don. Il la laissa faire, et au moment ou elle essaya d'ouvrir la porte, celà voulut dire pour le marchand qu'elle n'était plus concentrée sur ce qu'il faisait.
La porte était vérouillée.
Une main l'attrapa par l'épaule et la tira vers Don. Celui ci passa cette main contre sa hanche, et, l'attirant d'un coup sec contre lui, l'embrassa, tandis que ses lèvres étaient occupées, sa main droite se mit a caresser avec trop de force sa queue de chat -une des zones erogènes chez les Terranides, tandis que l'autre empoignait sa fesse gauche. Il la relacha finalement après l'avoir laissé se débattre pour la pousser vers l'établi en bois.
"C'est n'est que le début."
Fit il alors qu'il la plaquait contre la planche de bois et lui passait les sangles de cuir, l'immobilisant ainsi, nue, les jambes écartées devant lui. Humiliée
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Elle avait crut trop naïvement que la porte serait ouverte, mais dans ce genre de situation elle aurait été prête à croire n'importe quoi tant que cela lui permettait de sortir d'ici et d'échapper à Dorian.
Une main l'a saisi son épaule et l'a fit tournée face à lui qui glissa sa main sur Ses hanche, elle voulut réagir , mais le chasseur plaqua ses lèvres contre les siennes.
Ce fut une impression étrange car elle sentait son corps se réchauffer, puis elle sentie une petite douleur au niveau de sa queue qui lui rappela à la réalité, ce salaud était entrain de profiter d'elle, elle se débattit du mieux qu'elle pouvait.
Lunéa sentit que Dorian relâchait sa prise, elle pensait s'en sortir mais ce n'était que pour l'attacher à cette drôle de planche, elle avait les jambes écartée montrant son intimité, elle se sentait affreusement humiliée car elle ne pouvait rien faire, elle essaya bien de forcer sur les sangles mais tous ce qu'elle faisait c'était se faire encore plus mal.
Elle ne savait plus quoi faire, craignant le pire et encore elle n'imaginait pas que la réalité était plus atroce. Elle chercha à discutée, après tous c'était un humain or ceux-ci on un gros défaut, elle mettait tous son espoir dedans.
-Mes parents sont riches, si vous me laissez partir je promet de ne rien dire à la polices et je vous verserait autant d'argent que vous voulez.
Elle attendit la réponse de l'esclavagiste avec une certaine appréhension.
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Don eut un sourire sadique alors qu'il regardait Lunéa dans les yeux, un rictus maléfique apparut aux lèvres...Un rictus qui ressemblait tellement a ce sourire empli de gentillesse qu'il lui avait adressé il y a de celà quelques minutes a peine. Dorian croisa les bras. Ce n'était pas pour rien qu'il était le meilleur, il savait profiter de toutes les situations, quelles qu'elles soient. Le marchand d'esclave la fixa un peu...Oui, il voyait a peu près ce qu'il pourrait en tirer. Si il s'arrêtait là et se contentait de la vendre, Lunéa pouvait bien lui rapporter dans les 15 000 pieces d'or facilement, pour une mise a prix, ensuite avec quelques nobles verreux et quelques un de ses hommes payés pour faire monter les enchères et propager des rumeurs, il pouvait atteindre facilement 50 000 pieces...Evidement, il allait devoir diviser le prix par deux, car il ne faisait jamais d'esclave vierges a la vente...Seulement de l'occasion. C'était pour ça que Don aimait son métier de marchand d'esclaves : C'était un métier qui lui plaisait et qui lui permettait de faire ce qu'il voulait.
"Les terranides ont tendance a être trop naïfs, ça vous perdra. Tu apprendra Lunéa que dans le monde dans lequel tu vis..."
Fit il, l'appellant par son nom pour lui rappeller son erreur, et la trainer encore plus dans la boue
"...Rien n'est gratuit et rien n'est donné sans quelque chose en échange. Les personnes gentilles ne le sont que parce qu'elles espèrent quelque chose en retour."
Il saisit le menton de la Terranide et lui lança un sourire
"Mais moi si je t'ai capturée, c'est pour te montrer la véritable voie a laquelle tu va aspirer."
Evidement, quand elle parla d'argent, une sonette fit "tilt" dans le cerveau de Don et celui ci se retourna
"Ah oui?Qui sont tes parents?"
Demanda Don innocement
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La réaction du marchand allait dans le sens que Lunéa avait espérée, au moins elle était sauvée, pour l'instant, et il fallait tous faire pour conserver cette avantage. Mentir ne servirait à rien, inutile de parler de cela à la police elle se ferait passer pour une folle.
"Ah oui?Qui sont tes parents?"
La jeune fille n"avait pas le choix et devait répondre.
-Mon père possède une des plus grande mine d'or et d'argent de Terra et ma mère est l'une des comtesse vampire et a un commerce qu'elle alimente grâce à son don pour l'hypnose.
Il était vrai que sa mère ne reculait devant rien pour empocher toute la monnaie des seigneurs humain ou celle des autre créature pour peu que leur bourses soit rebondit.
Lunéa n'avait pas mentit car peut-être que si cela tournait mal pour elle le marchand pourrait se montrer clément et l'épargner.
- Il suffit que je leur demande et ils reponderont sans doute favorablement à ma demande. Ainsi je peux être libre et vous touchez autant que si vous me vendiez voire plus.
Ses parents étaient très intentionnés et puis Lunéa se faisait une vague idée du prix qu'elle valait. C'était de la petite monnaie comparé aux recettes de ses parents, qui avait encaissés plusieurs fois des crise sans que celà nuise à la vie de luxe dans lequel ils étaient plongés.
La terranide voulait gagné au moins une fois face à ceux qui ont transformé momentanément sa vie en enfer.
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Don hocha la tête, oui il voyait a peu près la situation. Il y avait du fric a se faire dans cette histoire. C'était ça qui était bien avec les nobles, ils avaient toujours de l'argent a se faire, Don eut un sourire cruel et saisit le menton de Lunéa et il eut un doux sourire
"Oh. Mais c'est très interessant tout ça."
Il allait s'amuser un peu, il quitta la piece quelques secondes et revint avec quelque chose endrappé dans un paquet de couvertures qu'il posa sur le buffet avant de revenir vers Lunéa, prenant évidement bien soin de refermer la porte, il libéra la terranide de ses liens et lui lança
"J'ai changé d'avis."
Le marchand d'esclave mit la main au fesses de Lunéa pour accompagner ses paroles
"Je vais m'occuper de toi maintenant et te laisser te débattre. C'est plus rigolo si tu te defend. Rassure toi au fait, je n'ai jamais eu l'intention de te libérer."
Don se massa le menton
"Mais ce que tu me dit me plait, un terranide propriétaire d'une mine d'or?Si je le dénonce aux autorités je pourrais empocher sa propriétée, quand a une vampire, eh bien, il faut bien que ces horreurs meurent un jour, hein?"
Fit Don alors qu'il passait derrière Lunéa et l'assit sur ses genoux pour commencer a titiller sa poitrine avec ses larges mains, contre les fesses nues de la Terranide une protubérance déjà se faisait sentir
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Elle fut libéré, il avais accepté l'offre.
"J'ai changé d'avis."
Elle était soulagé, mais, Dorian lui mit la main au fesses, par réflexe elle s'écarta de lui.
Le marchand lui fit comprendre qu'il allait s'amuser avec elle, mais pas de la même façon que elle et ses amies.
"Mais ce que tu me dit me plait, un terranide propriétaire d'une mine d'or?Si je le dénonce aux autorités je pourrais empocher sa propriétée, quand a une vampire, eh bien, il faut bien que ces horreurs meurent un jour, hein?"
Devant de tels insulte, elle avait envie de le tuer, pour une fois dans sa vie, elle désirait le mal d'une personne. Mais avant qu'elle ai eu le temps de réagir elle se retrouva sur les genoux du marchand qui en profita pour toucher sa poitrine.
Lunéa sentie quelque chose qui gonflait et devenait dur sous ses fesses.
Une telle situation lui était inconnue, elle en fut troublée, elle sentait à nouveau son corps se réchauffer et elle eu du mal à avoir des pensées cohérentes.
Cependant sa colère prit le dessus, elle se mit à gigoter comme une furie pour énerver Dorian et le mordre jusqu'au sang avec ses dents, mais plus le temps passait plus son corps se détendait et perdait de sa vigueur. Il ne le fallait pas, sinon elle ne pourrait plus échapper aux mains de ce... Elle ne trouva pas de mot pour signifier son dégout et son horreur.
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Don eut un sourire sadique. Evidement. Les vampires vivaient affreusement longtemps n'est ce pas?Sans se soucier du tribut du temps, ils restaient eternellement jeune, et maintenant il allait faire cracher a Lunéa après qu'il l'aie domestiquée, ou était le tombeau de sa mère pour la poignarder dans son sommeil. Une fois que toute la fortune de la jeune fille serait entre ses mains celle ci n'en aurait plus rien a faire: elle serait déja esclave de ses désirs et obligée de le servir, tout comme toutes celles qu'il avait capturées et dressées avant elle
Au moment même où il sentit les canines entrer en contact avec la peau de sa main il lui tira les cheveux et lui administra un coup de poing dans le ventre pour l'envoyer au sol et l'attacher, cette fois temporairement alors qu'il allait saisir dans le torchon un long objet métalique
"Je n'aime pas faire usage de violence, mais tu ne me laisse pas le choix"
C'était une lime. Aussitôt il lui écarta la bouche et se mit a lui limer les crocs. Une fois qu'ils furent bien lisse Don ota son pantalon, laissant paraître a Lunéa un membre d'une taille effroyable
"Bien, il est temps que tu comprenne: A chaque fois que tu t'opposera a moi, tu sera punie."
Et sur ce il lui pinça le nez pour la forcer a ouvrir la bouche et y insera son membre avant de commencer quelques va et viens
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Elle se senti le coup de poing lui donner une atroce douleur comme elle avait peut connue lui vriller l'estomac et l'empêchant de bouger.
Le marchant l'attacha et alla prendre un objet dans un torchon et lui ouvrit la bouche de force et commença à utiliser la lime, elle avait vu son père utiliser cet objet lorsqu'il avait construit une petite sculpture en fer.
La vibration de celle-ci ciontre ses dents était insuportable.
Il sortit ensuite de son pantalon quelque chose qui ressemblait aux objets sur les étagères, elle frisonna, elle avait enfin comprit se qui allait lui arriver.
"Aller ce n'est pas la mort, plus vite se sera finit plus vite tu sera libre" lui chuchota une partie de sa conscience plus précisément son côté vampire.
"Non, je ne veux pas, pas comme ça"
Elle était totalement perdue, son esprit était confus, elle entendit à peine Dorian.
Lorsque le membre entra dans la bouche de Lunéa elle voulait lui montrer qu'elle ne se laisserait pas faire, elle ne le mordit pas avec ses dents intacts car il pourrait frapper plus fort.
"Pourquoi ne pas lui faire plaisir ?" continua la petite voix
"Laisse moi tranquille" Cela ne servait à rien, mais au moinsen braquant sa colère contre cette voix elle ne ferait pas de geste inconsidérer et ne serait pas frappé.
Sans savoir pourquoi elle ressera la bouche et fit glisser sa langue sous le membre de l'esclavagiste. Elle prit peur et voulut se reculer, en temps normal elle n'aurait pas réagit comme cela, mais qu'est-ce qui se passe ?
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Les réflexes, ce qu’elle venait de mettre en branle dans son corps d’esclave fraîchement obtenue, c’était les réflexes, l’instinct primaire se détachant enfin du corps de cette terranide et lui criant la vérité qu’elle n’aurait jamais du oublier, celle qu’elle était née et faite pour obéir a ses quatre volontés et que tant qu’elle ferait cela elle ne connaîtrait jamais le malheur. Evidement Don lavait le cerveau sans aucun scrupule a ses victimes en leur injectant ce genre de traumas entre les deux oreilles, et il ne s’en sentait pas coupable le moins du monde, continuant a appliquer sa besogne sans sourciller. Don était quelqu’un de très méticuleux, il n’aurait pas donné a Lunéa l’occasion de le vampiriser, surtout au niveau de son sexe. Il avait entendu dire que le plaisir procuré par la morsure d’un vampire était supérieur a l’orgasme, néanmoins il n’avait pas envie de devenir vampire et de le découvrir par lui même. Il laissait ça a des clients désireux de le connaître par eux même, le plaisir de l’orgasme seul lui suffisait amplement.
Il continua sa basse besogne donc, commençant a aller et venir dans la bouche de Lunéa, il lui lança
« Je crache sur les filles arrogantes comme toi qui croient que leur situation et leurs pouvoir vont les protéger de tout. Personne n’est a l’abri de rien. Mis a part toi qui bientôt sera a l’abri de tout, quand tu reconnaîtra ton statut d’objet tu n’aura plus aucun soucis a te faire. »
Fit le marchand d’esclave en souriant avant d’accélérer les coups de reins
« Regarde toi, tu y prend plaisir, sans que je ne te demande rien. Ose nier que je te force maintenant ? »
Il finit par se retirer de sa bouche, il fallait garder un peu de plaisir pour plus tard, et il aurait tout le temps de lui faire goutter ce qu’il préparait pour elle, il la coucha devant lui et calla son organe devant son sexe, Lunéa pouvait le sentir, présent, frétillant contre son entrée, Don se pencha sur son dos et lui susurra a l’oreille
« J’arrive. »
La laissant prendre toute conscience de ce qu’il venait de dire il entra en elle d’un coup sec
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Lunéa n'avait pas chercher à le contredire car elle sentait une douce chaleur se répandre dans son corps.
La petite voix parla de nouveau.
"Tu vois, il n'est pas si méchant, et puis, tu n'a qu'à faire ce que l'on te demande, simple,non ?"
Lorsque le jeune fille sentit son sexe près du sien, elle ne put empécher un frissonnement de froid car elle était coucher au sol et pour une autre raison car le sexe de Don titillait le sien.
Elle était tendu car elle n'avait eu ce genre de contact.
Lorsque le membre rentra en elle, Lunéa retint un petit gémissement de douleur. Heureusement, elle avait pratiqué la dance assez longtemps car elle aurait put souffrir d'avantage, mais cela la jeune fille ne le savait pas.
Au début la terranide sentait une douleur qui allait en diminuant sous les coups de reins de l'homme, sa poitrine se comprimait contre le sol, ses petits tétons était durs et elle sentait une chaleur plus importante que la précédente l'envahir.
Sa respiration augmenta et se fut plus bruyante, malgré les efforts de la jeune fille pour la calmer. Etrangement, plus le marchand insistait et plus elle se sentait bien, elle remarqua comme une fine rosée sur son visage, elle était comme en plein brouillard, dans l'incapacitée d'avoir des pensés cohérentes. Le sol glacé sur son corps chaud accentuait cette sensation.
Elle chercha quand même à ne pas trop montrer son plaisir, dans l'espoir de le faire craquer le premier, elle n'y pouvait rien, c'était inscrit au plus profond d'elle-même.
"Et puis, comme cela je pourrait en profiter plusque lui" pensa t-elle avant de chasser cette pensée, trop occupée à cacher son désir.