(Et voici le poème que j’ai promis)
Ô toi petite graine qui à éclot dans ce monde où tout n’est pas beau, toi qui n’est que trop mal tombée sur cette Terre que tout le connaît
Toi qui n’as pas eut de vraie chance tu es partie en transe, face à tes persécuteur qui ne voulais pas de leurs fleur
Petite graine ayant grandit dans la douleur et le mépris, abandonnée par les siens tu les as maudis
En tout temps tu n’as pas eut le bien tant mérité mais un sentiment malsain, la faute à ce satané sort qui rends la vie plus dure que la mort.
Petite graine devint une jolie fleur bien qu’encore tiraillée de ses malheurs, libérée de ces mécréant désormais en quatre murs de ciment
Telle une fleur dont la beauté n’est égale que la bonté, tu as finis par nous rejoindre dans un monde ou tu n’aurais pas à te plaindre
Le Grand Jeu avait commencé pour une nouvelle envie tentée, nouvelle idée guidée par la passion là où personne ne te critiquerons
En cette place forte libertine là où les abeilles butinent, ta place fut reconnue au travers de tous ces ingénus
Grande fleur ayant trouvé la douceur d’une moitié dans ton cœur, tu as su combattre comme une guerrière ayant tout laissé derrière
Aimante jusqu’au bout des armes ou plaisante jusqu’au bout des larmes, tu as su regarder en face là ou beaucoup de choses nous dépassent
Guidée par un instinct de survie non guidé par l’envie, un désir réel pour vaincre ce qui est éternel
Comme toujours tu as continué là où beaucoup de monde aurait abandonné, injustice quand tu nous tiens tu n’es qu’un truc malsain
Comme toutes les fleurs tu as fané en nous laissant derrière toi pleurer, yeux inconnus pour la plupart n’ayant put la chance de te voir
Tu es partie la première tout en restant fière, grande amie sincères et drôle dans ce Grand Jeu de rôle
Nous te regretterons tous avec sincérité, toi que la vie avait abandonné
Nous tous ici, nous te disons merci
Au revoir, Alraunya