Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Complexe d'études secondaires et supérieures => Discussion démarrée par: Mélinda Warren le vendredi 22 juin 2012, 22:44:49

Titre: [FINI] Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Mélinda Warren le vendredi 22 juin 2012, 22:44:49
« Minable ! Tocard ! Sale merde ! Tu crois arriver à quoi dans la vie, hein, espèce de cafard puant ? »

Les insultes fusaient presque sans que Mélinda n’ait à y réfléchir. Le cours de sport venait de se terminer, et la senseï avait décidé, pour terminer ce cours, de répartir les joueurs en des binômes s’affrontant mutuellement dans des jeux de sports. Mélinda, qui, pour une fois dans sa vie, avait choisi d’assister à un cours, s’était retrouvée avec un minable : Takashi. L’humain avait été incapable de la suivre, de faire de bonnes passes. C’était un geek, du genre à regarder un film porno le soir, en espérant que ses parents ne viendraient pas le surprendre, une main dans le futal, et l’autre à s’empiffrer de chips. Ce dernier rougissait furieusement, ses lunettes carrées glissant de son nez.

« Je... tenta-t-il de dire.
 -  La ferme ! Quand on est aussi nul que ça à remuer son gros cul, on a pas le droit de parler ! Pas face à moi, gros tas de merde ! »

Elle avait perdu. Perdu ! Perdu ! Vaincue par de stupides humains. Vaincue à cause d’un imbécile qui n’avait pas su courir, et lui faire de bonnes passes. C’était inacceptable ! Elle le tenait pas la gorge, et ses ongles pointues s’enfonçaient dans sa gorge, l’étranglant à moitié. Ils étaient seuls dans un couloir, et elle le plaquait contre le mur.

« Pourquoi est-ce qu’il faut toujours que je me traîne des boulets avec moi ?! »

Elle le relâcha, et le gifla sèchement. Les lunettes de Takeshi volèrent par terre, et ce dernier tomba à la renverse, retenant des larmes. Il était humilié, et, surtout, terrorisé. Mélinda le frappa sur les fesses. Un coup de pied qui le fit tomber.

« Et ne chiale pas, minable ! Ça me donne encore plus envie de te cogner ! »

Ce dernier tendait une main pour essayer d’attraper ses lunettes, et elle posa son pied sur son ventre, l’écrasant, comprimant sa cage thoracique. Elle fulminait.

« T’es une chiotte, Takeshi... »

Ce dernier était parti pour le cours de mathématiques, mais il était plus probable qu’il allait retourner chez lui, et la maudire. Ça lui faisait une belle jambe. Ce gosse était un pourri gâté. Il avait juste besoin d’un peu d’entraînement pour aller mieux. Une bonne claque au cul pour se remettre, et essayer de ressembler à autre chose qu’à une grosse limace.
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Anderson le vendredi 22 juin 2012, 23:38:22
Je venais de passer 2h de cours dans une salle qui sentait le renfermé à plein nez, avec un prof plus efficace qu'un somnifère, et des cours absolument incompréhensibles pour moi. J'étais à peine sorti de cette salle miteuse, et j'avais grand besoin de respirer un bon coup d'air frais, dehors. Le lycée était assez désert, ce qui m'étonna.
Le lycée étant plutôt grand, j'allais à coup sur mettre plusieurs minutes à en sortir, et, ayant tout mon temps puisque je n'avais pas cours avant plusieurs heures, je décidais de sortir par des couloirs que je ne connaissais encore que très peu.
Alors que j'approchais d'un escalier, j'entendis des cris venus d'un couloir proche. Je tendis l'oreille. Oui, des cris.

« Et ne chiale pas, minable ! Ça me donne encore plus envie de te cogner ! »

Je décidais de ne pas m'engager dans l'escalier, et marchait vers ce couloir. Il était à quelques mètres, à un tournant. Je m'approchais discrètement, et pu voir ce qui semblait être la fin d'une dispute. Enfin, d'une dispute. D'une élève en train de maltraiter un autre élève. Je fronçais les sourcils. La jeune fille, à première vue arrogante et dans le genre magnifique, tyrannisait un espèce d'adolescent perdu..
Elle écrasa ses lunettes et le frappa, le laissant finalement partir. Dans ma direction. Je m'engageai dans le couloir et arrêtait l'élève.

- Hé, toi. Te laisse plus faire à l'avenir, ou sinon, en effet, tu seras une chiotte. Allez, va faire réparer tes lunettes..

Je le poussais gentillement dans le dos pour le faire partir, il semblait plus jeune et était de carrure bien moins impressionnante que mon mètre 90 et mes muscles, et j'avais tendance à "protéger" les plus faibles.
Je le regardai partir et avançais vers la jeune femme.

- Bonjour.

Elle semblait assez énervée, et, bizarrement, m'inspirait quelques craintes. Une sensation étrange, que je ne ressentais que très rarement face à d'autres hommes..et jamais face à des femmes. Mais elle..elle dégageai quelque chose qui, malgré une beauté ahurissante, n'inspirait pas à la confiance.

- Ce gars t'avais fais un truc pour que tu le maltraites où c'était juste par plaisir ? J'ose espérer que c'est la première solution.
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Mélinda Warren le samedi 23 juin 2012, 03:42:07
Elle finit par abandonner Takeshi. Ce morveux n’en valait pas la peine, de toute façon. Qu’il s’en aille, c’était plus simple. En temps normal, elle ne l’aurait sans doute même pas abordé, mais, depuis quelques semaines, Mélinda était sous tension, et psychologiquement fragile. Elle s’énervait pour un rien, et se surprenait à déprimer tout autant facilement. Ce n’était qu’une mauvaise période à passer, de toute façon. D’ici quelques jours Mélinda serait à nouveau dans son état normal.

*Il faut juste éviter que je croise cette salope dans les couloirs...*

Elle avait beau se convaincre qu’elle la détestait, si elle n’éprouvait toujours rien pour elle, Mélinda l’aurait déjà tué. C’était malheureusement plus compliqué que ça. On disait des vampires qu’ils étaient des êtres insensibles, et qui ne pouvaient aimer qu’eux-mêmes. C’était à la fois correct et imprécis. Un vampire avait juste suffisamment de fierté et d’amour-propre pour ne pas s’abaisser à toutes ces niaiseries typiquement humaines. Elle regarda Takeshi partir, tout en sentant un autre groupe sanguin. Mélinda ne tourna même pas la tête. Elle avait perdu trop de temps dans ce lycée. Y aller ne pouvait que lui faire de mal. Dans son ego, elle y allait pour voir une certaine prof’, tout en refusant de vouloir la voix. Un curieux paradoxe qui la plaçait dans une situation détestable. Elle avait offert à Hitomi Yamagashi la possibilité d’être une vampire, une créature éternelle, et cette dernière lui avait balancé cette proposition à la gueule. Sur le coup, Mélinda avait eu envie de la tuer. Elle ne l’avait pas fait. Et elle le regrettait. Sans le regretter. Parfois, elle se disait qu’elle aurait du la tuer pour cet affront. Parfois, elle pensait plutôt que la tuer aurait été un acte de pitié, et, d’autres fois encore, quand elle se sentait faible, elle se persuadait même qu’elle accepterait de lui pardonner.

Et, parfois encore, elle allait au lycée, rôdant, afin de voir dans quel état elle était. Si elle assurait toujours aussi bien ses cours, si elle arrivait à maintenir le masque. Mélinda savait qu’elle avait fait une erreur, et était convaincue qu’Hitomi aussi le savait. Grommelant, elle s’avança vers le bout du couloir, quand l’homme lui parla.

« Bonjour. »

S’arrêtant, Mélinda pivota. L’homme était plutôt grand, bien bâti. Un corps musclé, une longue chevelure qui couvrait ses yeux. Assez mignon. Mais il n’était qu’un humain, et, en l’espèce, il l’agaçait. Qu’est-ce qu’il lui voulait ? Elle le regarda en fronçant légèrement les sourcils.

« Ce gars t'avais fais un truc pour que tu le maltraites où c'était juste par plaisir ? » lâcha-t-il alors.

Avant qu’il ne réponde, l’homme choisit d’ajouter :

« J'ose espérer que c'est la première solution. »

Était-ce une menace ? Elle le regarda, et un léger sourire amusé traversa ses lèvres. Elle était bien tentée de le frapper pour la simple raison qu’il avait osé lui adresser la parole, mais elle se retint. Mélinda fit la moue, et le regarda avec un léger sourire.

« Les deux... Ne me tente pas, mon chou, tu as une trop belle petite gueule d’ange pour ça. »
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Anderson le samedi 23 juin 2012, 13:49:49
Cette fille m'inspire une étrange sensation de crainte. Quelque chose d'assez indéfinissable. Je l'observe, calmement. Elle paraît..différente. Différente des autres jeunes femmes de son âge. Et totalement indifférente à moi. On dirait même que je lui inspire..je ne sais pas, on dirait que je la fais rire.
Elle vient d'avoir un rictus amusé, puis de faire la moue.

« Les deux... Ne me tente pas, mon chou, tu as une trop belle petite gueule d’ange pour ça. »

Je souris à mon tour. Ce ton condescendant et hautain m'incite encore plus à continuer la "conversation" que j'ai engagé. Nous sommes séparés de quelques mètres, le couloir est absolument vide, comme si le lycée était désormais désert. L'élève maltraité s'est enfui en courant.

- Les deux ? Je trouve ça.. faible ? *Sourire amusé*

Je la regarde. La manière dont elle a dit "mon chou".. Etrangement, j'avais réellement l'impression d'être.. un repas, un dessert, un chou. Dans sa bouche, cela fait presque prédateur. Je sache ce sentiment bizarre de mon esprit et me reprend.

- "Mon chou" ? *rire amusé* Et que je ne te tente pas à quoi.. ?

Je fais un pas en avant, et me rapproche de cette jeune femme décidément bien étrange à mes yeux. Attirante, terriblement attirante, et terriblement..dangereuse ?
Je baisse les yeux au sol et vois les restes des lunettes du garçon de toute à l'heure. Je me baisse, les ramasse précautionneusement, et les range dans ma poche. Il y aura peut-être moyen de les déposer au secrétariat pour qu'il les retrouvent.
Je me redresse et repose mon regard vert sur ses yeux.

- Alors ?
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Mélinda Warren le samedi 23 juin 2012, 20:44:59
« Et que je ne te tente pas à quoi.. ? »

Pourquoi diable y avait-il au lycée Mishima une telle concentration de cons au mètre carré ? Alors qu’elle venait d’en corriger un, voilà qu’un autre se pointait ! L’homme la narguait, la toisait, comme s’il n’avait pas peur. Est-ce qu’il était tout simplement suicidaire ? L’homme se rapprochait d’elle, et elle le vit récupérer les restes des lunettes de Takeshi. Mélinda croisa les bras, hésitant.

« Alors ? » lâcha-t-il avec dédain.

Il la provoquait. Délibérément. Les bras de Mélinda se décroisèrent, et elle soupira lentement, fermant les yeux, avant de les rouvrir, et de sourire lentement. Elle montra ses belles dents blanches, et fit un pas vers lui, étant désormais très proche. Il la dominait d’une bonne tête, mais elle n’était nullement effrayée. Lentement, elle observait ses pectoraux. Un homme bien bâti. Sûrement prétentieux. Elle ne put s’empêcher de prolonger son sourire, et promena une main sur sa chemise scolaire, caressant sa cravate, avant de lentement tirer dessus.

« Que tu ne me tentes pas, mon joli. »

Elle tira sur la cravate, élargissant son sourire, et plaqua alors ses mains sur son torse, et le poussa. Une simple lycéenne n’aurait sans doute pas pu faire grand-chose, mais elle avait avec elle une force de vampire. Elle le plaqua contre le mur, et rit à son tour. Un rire légèrement cristallin, avant qu’elle ne se contente d’hausser les épaules négligemment. Sa langue se promena brièvement sur ses lèvres, comme si elle savourait ce mets appétissant. Plus elle le regardait, plus elle trouvait pas mal. Et, honnêtement, après l’épisode Takeshi, voir un homme bien bâti, et qui avait du cran, c’était presque inespéré. Elle se retourna rapidement, faisant voleter sa petite jupe, et se rapprocha d’une salle vide. Elle le savait, car elle ne sentait aucun groupe sanguin à l’intérieur. Elle se tint contre la poignée, et se décida à donner de plus amples explications :

« Je ne supporte pas les faibles complaisants comme Takeshi. Je suis ainsi. Et toi ? Tu ne devrais pas être en cours ? »
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Anderson le lundi 25 juin 2012, 14:24:13
Cette jeune femme mesurait bien une bonne tête de moins que moi. Mais elle me regardait de haut. J'avais l'impression de n'être rien d'autre qu'un amusement pour elle. Je la provoquais ouvertement. Si cela avait été une autre personne, cela aurait été surement totalement différent. Mais cette fille là..

Son sourire était presque..carnassier. Elle me regardait, et j'avais l'impression d'être dévoré du regard. Elle m'intriguait au plus haut point. Nous étions très proche, puisqu'elle s'était rapproché après que je l'ai eu fais. Très proches. Elle passe une main sur ma chemise scolaire, plus précisément sur la cravate que je portais. Cravate ridicule, tout comme le reste de l'uniforme, mais bon, nous étions obligés de le porter.

« Que tu ne me tentes pas, mon joli. »

Elle tira soudainement sur ma cravate, et posa ses mains, aux longs ongles pointus, sur mon torse. Je me retrouvai plaqué contre le mur. Cette jeune femme, à l'air inoffensif, venait de me plaquer contre le mur, plutôt violemment, d'une simple pression sur mon torse.
Le contact de ces mains sur moi..cela n'avait pas été dérangeant, c'était même plutôt tout le contraire. Elle m'inspirait une crainte inconnue, mais m'attirait irrésistiblement.

Elle se retourna, et je vis sa jupe voleter de-ci de-là. Je regardais plutôt ses fesses. Ahurissantes, tout comme le reste de son corps. Elle s'approcha de l'entrée d'une salle. Surement vide, nous n'entendions aucun bruit. Sa main passa sur la poignée, doucement, comme une caresse.

« Je ne supporte pas les faibles complaisantes comme Takeshi. Je suis ainsi. Et toi ? Tu ne devrais pas être en cours ? »

Je me décollais du mur, et avançait d'un air détendu, vers elle. Je me positionnais à quelques centimètres d'elle.

- Non, pas de cours avant..plusieurs longues heures. Et toi ?

Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Mélinda Warren le mardi 26 juin 2012, 23:43:49
« Non, pas de cours avant.. plusieurs longues heures. Et toi ? »

Mélinda arqua un léger sourire. Est-ce que cette légère palpitation sanguine qu’elle percevait dans le corps de ce mâle était lié à la peur qu’il ressentait... Ou à autre chose ? Son sailor fuku, indispensable pour aller en cours, lui donnait un air attendrissant, mignon, presque inoffensif. Mélinda était pourtant loin de l’être, et, à la manière de bien des individu, n’hésitait pas à donner à cet uniforme une dimension sexuelle, notamment en utilisant cette courte jupe pour la faire virevolter, laissant ainsi apparaître le sommet de ses jambes. Il fallait bien séduire comme on peut, même si Mélinda préférait ses longues et amples robes.

*Un adolescent qui va au lycée le matin, alors qu’il n’a aucun cours... Il n’a pas l’air du genre studieux, mais peu m’importe...*

Mélinda n’allait sûrement pas au lycée pour suivre les cours. Ils étaient généralement longs, lents, et assez inutiles. Mélinda s’était déjà renseignée sur la culture terrienne, et, même si elle avait encore de grosses lacunes, elle n’apprenait quasiment rien au lycée. La vampire le regarda à nouveau, de haut en bas, et esquissa un nouveau sourire. Oui... Elle ne dit rien, se contentant d’élargir son sourire, un brin malicieuse, et caressa le bas du ventre de l’homme, se demandant s’il comprendrait ce qu’elle faisait.

Elle ne dit rien. Tout parlait dans son regard. Un regard intense, pétillant de désir et d’envie. Le genre de regard hypnotique dont on ne pouvait s’échapper. Mélinda n’était pas de ces femmes qui se croyaient laides. Elle ne faisait aucun complexe de supériorité là-dessus, et savait pertinemment qu’elle était de toute beauté. Quiconque pensait le contraire ne pouvait être qu’un menteur jaloux, comme toutes ces pimbêches qui caquetaient dans sa classe. Mélinda s’écarta de l’homme bien bâti. Il n’avait pas l’air très intelligent, comme l’écrasante majorité des Terriens, mais ce n’était pas d’un type intelligent dont elle avait besoin. Du moment qu’il savait ôter son pantalon et ne s’en sortait pas trop mal, elle ferait le reste.

Lui tournant le dos, elle fit pointer lentement ses canines, sentant le festin approcher. C’en était presque trop facile. Elle s’approcha de la porte, et l’ouvrit. Elle lui répondit alors, tout en rangeant ses canines :

« Moi ? J’ai toute la journée devant moi. »

Et, disant cela, Mélinda s’enfonça dans la salle déserte, et alla s’asseoir sur le bureau, croisant les jambes, relevant ainsi sa jupe, attendant que l’homme entre.

*Avant de le sucer, je vais commencer par le dresser...* se disait-elle, établissant son petit planning.

En soi, Mélinda n’avait pas soif ; elle avait bu quelques gorgées hier, sur les cous de ses esclaves, mais la vampire était du genre gourmande. Très gourmande.
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Anderson le mercredi 27 juin 2012, 10:57:10
La manière dont elle se déplace devant moi est presque féline. D'une grâce que j'ai rarement vu auparavant, elle fait voleter sa jupe de lycéenne, me laissant apercevoir quelques instants le sommets de ses jambes. Mon rythme cardiaque s'accélère. Un mélange de peur et d'excitation, un étonnant mélange, un sentiment nouveau.

Une de ses mains aux longs ongles, presque des griffes, glissa sur mon bas ventre, le caressant. J'étais à quelques centimètres d'elle, et je me laissais faire, comme envoûté, sachant bien au fond de moi, que cette fille là n'était pas "normale". Elle le caressait en me regardant dans les yeux. Envoûtant, c'est bien le mot. Hypnotisant. Cette fille là était extraordinaire, de toute beauté.


« Moi ? J’ai toute la journée devant moi. »

Cette phrase-là était une véritable invitation. Mais je ne savais qu'en penser. Elle m'attirait dans ses filets, m'envoûtait totalement. Etait-ce bien prudent de tomber dans le panneau ? Je n'étais pas en état de réfléchir, laissant guider une indescriptible pulsion qui me disait d'y aller.
Alors que je tentais de réfléchir, malgré une étrange sensation que mon cerveau était embrumé, je la vis s'enfoncer dans la salle déserte et sombre. Elle s'assit sur le bureau, croisa la jambes et releva sa jupe.
Je déglutis et n'attendis que quelques secondes pour entrer à mon tour.

Sans savoir pourquoi, je refermai la porte derrière moi, tournait la clé dans la serrure et jetais la clé sur un table à quelques mètres de là. Enfermé dans une salle sombre et déserte, avec une jeune femme particulièrement excitante..mais particulièrement dangereuse. J'étais désormais entre les griffes d'une femme dont j'étais presque sur qu'elle tenais plus de la créature que de l'humain.
Je la regardais, assise là à quelques mètres de moi. Ses yeux brillaient presque dans l'ombre. Sans presque sentir mes jambes s'activer, je me retrouvais devant elle, collé à elle, les yeux rivés dans les siens.

- Je peux ne pas aller en cours aussi.. Je pense que je n'irai pas.

Je me tus, et un silence de mort revint dans la pièce. On n'entendais que mon coeur battre plus fort que d'habitude.
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Mélinda Warren le jeudi 28 juin 2012, 00:51:10
« Je peux ne pas aller en cours aussi.. Je pense que je n'irai pas. »

Il le pensait seulement ? Mélinda, elle, en était plutôt convaincue. Elle afficha un léger sourire amusé. L’homme était subjugué. Ça se voyait dans son regard, dans la manière dont son sang bouillonnait, s’axant autour de son entrejambes. C’est pour ça que Mélinda aimait les lycéens. Ils étaient si aisément manipulables. Il était juste regrettable qu’ils fument et boivent autant. Leur sang en perdait en qualité. Mais bon, Mélinda n’allait pas faire la difficile non plus. Croisant les jambes devant l’homme, elle le regarda silencieusement, braquant sur lui son regard d’émeraude hypnotique. Comment résister à un tel regard ? Le sourire de Mélinda, très lentement, révéla ses belles dents blanches. Sailor fuku oblige, elle portait de longs bas blancs avec des chaussures noires, et glissa l’une de ses jambes entre celles du mâle, frottant ses cuisses, en remontant lentement son membre.

« Hum... On dirait qu’il y a de la matière... Et... Comment t’appelles-tu, au fait ? »

La question pouvait paraître saugrenue, mais Mélinda venait tout d’un coup de se rappeler qu’elle ignorait le nom de cet homme. Non pas que ça avait une quelconque importance, mais c’était souvent un bon moyen de mettre une proie en confiance. Elle accentua légèrement son sourire, se faisant cajoleuse, envoûtante.

« Moi, c’est... Mélinda. Ça me va bien, non ? »

Évidemment que ça lui allait. Mais c’était encore une manière de le mettre en confiance, de le rassurer. Elle regardait brièvement son cou, cette terminaison nerveuse, ce sang qui palpitait, là, à portée de doigts. Elle se régalait d’avance à l’idée du festin qui s’annonçait, et continua à promener sa jambe entre les siennes, avant de l’abaisser. Ses propres mains étaient posées sur le rebord du bureau.

« Sois un galant homme, mon beau, et va m’ôter ces chaussures qui m’embêtent. Tu seras... Adorable » lâcha-t-elle.
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Anderson le jeudi 28 juin 2012, 11:58:10
Son regard d'émeraude me paralysait totalement, m'hypnotisais entièrement. Je ne cherchais pas à me révolter contre ça, puisque c'était un sentiment qui me procurait un certain plaisir. Je me sentais bien, totalement détendu, seulement obsédé par une chose : elle.
Je n'arrivais pas à détourner mon regard du sien, et le fit à peine quand je sentis une de ses jambes glisser entre les miennes, frotter mes cuisses et mon membre. Une véritable pulsion m'animait. Je frissonnais. Elle dévoila un sourire aux dents ultras blanches, au dents incroyablement pointues. Cela ne fit qu'accentuer son charme à mes yeux.

« Hum... On dirait qu’il y a de la matière... Et... Comment t’appelles-tu, au fait ? »

Bien qu'envoûté par elle, j'étais encore capable de percevoir les allusions sexuelles, et celle-ci m'arracha un long sourire.

- Anderson. Pas très japonais, je sais. Brésilien.

Son sourire me mettait en confiance, totalement en confiance, et je ne m'inquiétais même plus de savoir qui elle était vraiment, de savoir avec qui j'étais enfermé dans une pièce, et si cela été dangereux.

« Moi, c’est... Mélinda. Ça me va bien, non ? »

Mon regard quitta le sien, observant son corps, et se bloqua quelques instants sur son décolleté, plutôt très à mon goût..

- Ou..Oui. Ça te va admirablement bien..

Sans trop savoir pourquoi, une de mes grandes mains aux doigts bronzés, tout comme le reste de mon corps, se posa sur un de ses genoux dévoilés, et un sourit se fit sur mes lèvres.

« Sois un galant homme, mon beau, et va m’ôter ces chaussures qui m’embêtent. Tu seras... Adorable » lâcha-t-elle.

Sans même lui répondre, je m'accroupis devant elle et retira délicatement ses chaussures noires. Puis, je tirai en douceur ses longs bas blancs pour les faire glisser hors de ses jambes et les poser sur une chaise proche.
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Mélinda Warren le jeudi 28 juin 2012, 22:24:38
Anderson... Un Brésilien... Mélinda ignorait s’il ressemblait ou pas à un Brésilien, c’était le premier qu’elle voyait. Elle continuait à l’observer silencieusement, son plaisir montant également lentement. L’homme était subjugué. Suite à sa demande, il ne tarda pas à s’exécuter, fléchissant les genoux, s’inclinant devant Mélinda pour lui ôter ses chaussures. Cette scène excita follement la vampire, lui donnant une impression grisante de supériorité. Ce mâle était à elle, désormais ! Libre à elle de faire ce qu’elle voulait. Elle avait droit de vie et de mort sur lui, car elle pourrait désormais facilement accéder à son cou, et s’abreuver de ce liquide écarlate si juteux pour les êtres de son espèce.

Ne se contentant pas que des chaussures, Anderson alla jusqu’à lui ôter ses bas, tirant délicatement dessus. La poitrine de Mélinda se soulevait et s’abaissait, au rythme du plaisir qu’elle ressentait, et elle le laissa faire. Il ôta ses deux bas, révélant ses longues et gracieuses jambes. N’était-elle pas magnifique ainsi ? Oui, indéniablement. On se damnerait volontiers pour avoir un corps pareil. Chaque parcelle de son corps suintait d’une espèce de charme fulgurant, amplifiant ce regard insoutenable, ce regard de serpent qui semblait inviter n’importe qui à se soumettre. De toutes les armes, la beauté d’une femme était la plus efficace. Anderson en faisait les frais, à tel point que Mélinda n’avait même pas eu à utiliser sa verve pour le convaincre.

« Bien... Quel charmant homme, le complimenta-t-elle. Tu es sûr de ne pas avoir un peu chaud ? Tu as l’air... Tout rouge. »

Elle avait lancé cette suggestion avec un léger sourire. Elle espérait que la carrure athlétique de ce garçon ne serait pas perturbé par quelques détails anatomiques perturbants, comme une fourrure sur le ventre. Chez plusieurs félins, les poils étaient doux et agréables, mais, chez les humains, Mélinda trouvait cela assez repoussant. Elle continuait à le regarder, calme, sûre d’elle, pleine d’un charme mystique et d’une assurance inébranlable. Le sang de cet homme la mettait en confiance et la rassurait. Il ne cessait de s’emballer.

Il était charmé. Mélinda n’avait pas besoin de plus, et tenait à profiter de ce moment. Les préliminaires... Avant qu’elle ne vienne planter ses crocs dans son cou. Elle espérait pouvoir se retenir pour ne pas lui ôter trop de sang. Mais on n’était jamais à l’abri d’une erreur, après tout.
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Anderson le vendredi 29 juin 2012, 18:04:51
Subjugué. Je l'étais entièrement, pleinement prêt à répondre à chacun de ses désirs. L'impression de peur était effacée de mon cerveau. Je n'en avais aucun souvenir, je voyais simplement l'image de son regard envoûtant, de ses lèvres m'intimer l'ordre d'enlever ses chaussures, de ce sourire carnassier me regarder avec désir.

Je retirai ses bas blanc, les tirant en douceur jusqu'en bas de ses pieds. Je les retirai et les posais à côté. Ses jambes étaient à l'image d'elle-même. Gracieuses, magnifiques. Je pencha la tête et, sans réfléchir, guidé simplement par une pulsion, embrassait délicatement le haut de son genou.
Je me relevais et mon regard se posa instantanément sur le sien.

 Bien... Quel charmant homme, le complimenta-t-elle. Tu es sûr de ne pas avoir un peu chaud ? Tu as l’air... Tout rouge. »

Un sourire étira mon visage.

- Pourtant, il fait plutôt bon dans cette salle. Mais, oui, tu as raison, j'ai étonnement.. chaud.

Sans plus attendre, je retirai le haut de mon uniforme devant elle, révélant mon torse et mes bras musclés par des heures de musculation intensives. Ma beau, bronzée à l'extrême, était absolument lisse et douce.
Je tendis le bras, attrapais en douceur son poignet, et lui fait poser la main, à l'emplacement..de mon coeur. Qui battait vite, très vite.

- Mon coeur aussi a chaud..

Je me collais à elle et passais mon visage dans son cou, le bout de ma langue se posa sur sa peau et glissa lentement sur celle-ci..
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Mélinda Warren le samedi 30 juin 2012, 01:18:48
« Pourtant, il fait plutôt bon dans cette salle. Mais, oui, tu as raison, j'ai étonnement.. chaud. »

Aussitôt dit, aussitôt fait. Le jeune Anderson ôta sa chemise, révélant... Un torse qui aurait donner des rougeurs à un hétérosexuel. L’homme était indéniablement bien bâti, musclé et puissant. Un corps solide pour un sang appétissant. En voyant ce corps, Mélinda ne put, pour le coup, nullement dissimuler le frisson de désir qui la traversa, et s’exprima à travers ses yeux, ou à travers sa langue qui frotta délicatement contre ses lèvres. Le formidable repas que voilà ! La gourmande vampire allait se régaler ! Son sourire ravi témoignait amplement de sa situation.

Comme pour la tenter encore plus, l’homme posa sa main à l’emplacement de son cœur. Mélinda devint légèrement écarlate en sentant ce cœur battre furieusement. Elle pouvait presque deviner les variations sanguines, le sang qui se promenait dans les veines de cet individu. Des frissons de plaisir traversèrent le corps de Mélinda, qui en trembla légèrement, devant pour le coup vraiment se retenir de ne pas lui sauter dessus, et de planter ses crocs dans son cou. Le sang pouvait aisément rendre fou n’importe quel vampire, et l’homme continuait à la provoquer, inconscient qu’il était.

*C’est à croire qu’il veut se faire mordre !*

L’individu allait en effet promener ses lèvres sur son cou, et Mélinda en gémit, soupirant. Elle sentait son souffle sur sa nuque, et glissa ses mains dans le dos du Brésilien costaud, grattant son dos.

« Mon cœur aussi a chaud..
 -  Oui... souffla-t-elle. Je l’ai senti. »

Et pas qu’un peu, même ! Elle enroula alors ses jambes autour de son bassin. Une position sensuelle, mais qui lui permettait aussi de l’immobiliser, de le sceller à elle. Sa force vampirique pouvait tout à fait emprisonner un homme entre ses cuisses. Comme Xenia Onatopp, tout simplement. Elle serra, mais sans aller à l’étouffer, juste assez pour s’accrocher à lui, et approcha ses lèvres des siennes, sentant contre son bassin le membre tendu du jeune homme.

« Et je crois qu’il n’y a pas que ça qui a chaud... » souffla-t-elle contre lui.

Le désir était là, palpable, tenace, fort. Elle allait le dévorer à pleines dents, comme on croquait dans une belle pomme rouge. Leurs lèvres continuèrent à lentement se frôler, et elle se décollait lentement du bureau, n’ayant plus que le bout des fesses posées dessus, s’appuyant avec une main sur la nuque de l’homme, et avec ses jambes serrées autour de ses cuisses.

Alors, elle finit par sceller l’ensemble, et l’embrassa, tout en lui caressant intensivement la nuque, ses petites griffes commençant à pointer.

*Miam miam, il m’a l’air à point, celui-là !*
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Anderson le samedi 30 juin 2012, 12:45:08
Je la vis trembler légèrement quand elle toucha mon torse à l'emplacement de mon coeur avec sa main. Sa main, froide, aux longs ongles qui tenaient plus des griffes que des ongles.
Je promenais ma langue sur la peau de son cou, voulant la faire frémir. Je sentis ses griffes gratter doucement mon dos, ses bras m'entourant. M'entourant plutôt fermement, puis que, sans en avoir l'air, la prise était ferme.
Elle enroula ses jambes autour de mon bassin, et j'eus l'impression d'être totalement emprisonné. Mais je le souhaitais.

J'étais collé à elle, mon bassin contre le sien grâce à la douce pression exercée par ses jambes. J'étais entièrement à elle, et je ne pouvais faire autrement que faire exactement ce qu'elle voulait que je fasse. Mon sexe, droit, dressé, était tout contre son bassin, et elle devait le sentir. Ses lèvres, qui frôlèrent les miennes, firent accélérer d'autant plus mon rythme cardiaque. Elle m'avait envoûté, je ne souhaitais qu'une chose, connaître le goût de cette bouche au sourire si carnassier.

« Et je crois qu’il n’y a pas que ça qui a chaud... »

Ma bouche, à quelques centimètres de la sienne, nos corps enlacés..Non, en effet, il n'y avait pas que mon coeur qui soit chaud. Elle allait le découvrir assez vite. Elle se décollait petit à petit du bureau, une de ses mains me tenait la nuque, l'autre vagabondait sur mon cou, mon torse, et bien plus bas. Elle se tenait à moi par la taille, et je passais mes mains sur ses fesses pour la soutenir, puisqu'elle n'était pratiquement plus appuyée sur le bureau. Je caressais ce cul si parfait, quand elle colla ma bouche à la sienne.

Je glissais instantanément ma langue dans sa bouche, attrapant la sienne dans une danse endiablée. Ses caresses intensives sur ma nuque me collaient à elle, autant que le rapprochement de nos bassins.
Je la voulais, sur ce bureau, et je voulais être sien.
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Mélinda Warren le dimanche 01 juillet 2012, 14:21:27
Le baiser fut tendre et délicieux. Il exhalait de toute la passion du lycéen, de tout ce désir que Mélinda guidait et entretenait. Un désir vorace et fulgurant qui s’apprêtait à bondir. Mélinda avait ouvert la bouche, accueillant la langue d’Anderson, tout en frissonnant au contact de ses mains sur son postérieur. La vampire avait toujours apprécié qu’on s’attaque à ses fesses, une partie assez sensible de son anatomie. Tripoter son postérieur lui procurait un bien fou, et elle en soupirait de plaisir, continuant à s’appuyer sur son corps.

*Un régal de sexe et de sang... Le hasard fait parfois bien les choses.*

Takeshi était alors bien loin, tout comme Hitomi et ses autres problèmes. Il ne restait qu’Anderson, le sexe, et le sang. Ce dernier allait lui offrir les deux pulsions dont un vampire avait besoin. Mélinda prolongea ce baiser pendant un certain temps, frottant lentement son bassin contre le sexe tendu de l’homme. Son sexe avait l’air bien dressé. Et, vu ce que Mélinda sentait, il devait en avoir une de bonne taille. Tout était donc parfait ! Elle eut un léger sourire, englouti dans ce baiser, et finit par réagir.

Elle rompit le baiser, et frotta avec son nez celui de l’homme, dans une douce étreinte, avant de s’installer sur le bureau. Ses fesses retournèrent se poser dessus, alors qu’elle tirait avec ses jambes Anderson contre elle. Elle posa alors ses mains sur le bureau, et s’en servit pour se reculer, avant de le regarder, jambes écartées, un regard malicieux et un sourire légèrement taquin. La belle vampire alla alors promener ses doigts sur sa chemise, et retira malicieusement sa cravate, avant de jouer avec les boutons de sa chemise, en ôtant deux, révélant sa poitrine. Elle élargit alors légèrement son sourire en regardant Anderson. Les deux boutons ôtés lui offraient un joli décolleté, et elle continua à basculer en arrière, s’allongeant presque sur le bureau.

De la main, elle lui fit alors signe de le venir, remuant pour cela l’un de ses doigts, avec, toujours sur les lèvres, ce sourire charmant qui semblait encourager l’homme à faire n’importe quoi. Mélinda semblait alors aussi innocente que perverse. Comment se méfier d’une telle femme ? Anderson était subjugué. C’était presque comme être soumis à un envoûtement magique.

« Viens... » sussurra-t-elle.
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Anderson le lundi 02 juillet 2012, 16:34:10
Mes mains ne décollaient pas de ce fessier, absolument parfait. Même au dessus de ses vêtements, c'était un véritable..régal. Le baiser qu'elle m'offrait était lui aussi fantastique. Le goût de sa bouche était incomparable avec celui d'autres jeunes filles que j'avais pu côtoyer. C'était..différent.
Les pulsions sexuelles fusaient en moi, et ce bassin qui se frottait contre le mien, et donc contre ma verge, dressée à l'extrême, y était pour beaucoup. Je ne pensais désormais qu'à être libéré de ce jean soudain trop petit, et à sortir ce membre qui ne demandait qu'à rejoindre les parties du corps de Mélinda.

Soudain, le baiser fut rompu. Son nez frotta doucement au mien, et ne fit qu'accentuer la sensation de bien être que me procurait déjà cette étreinte. Je me sentais à la fois pris au piège, mais tellement bien entre ses mains aux ongles acérés. Elle se recula et reposa ses fesses sur le bureau, et tira mes jambes pour me rapprocher d'elle. Elle me lâcha, recula, désormais assise sur le bureau. Je descendis mon regard vert émeraude sur ses jambes qui s'écartent lentement devant moi. Son sourire s'élargit. Ses mains se glissèrent sur sa chemise, et sa cravate fut vite enlevée. Puis, elle enleva deux boutons de sa chemise, et une vague de chaleur incontrôlable s'empara de moi. J'entrevu le haut de sa poitrine et ce décolleté plongeant m'excita au plus haut point, mon sexe se redressant sous mon jean.

Elle me fit signe, avec un de ses doigts, de venir la rejoindre. Ce sourire, ce regard, ce corps.. J'étais prêt à tout pour l'avoir. L'appel qu'elle me susurra me fit l'effet d'une bombe, et je me hissais sans plus tarder sur le bureau. Bientôt, je fus presque sur elle, pratiquement allongé, sans pour autant que nos corps se touchent. Nous étions séparés de quelques centimètres, et nos bouches se frôlèrent à plusieurs reprises. 

- Je suis à toi..

Au début, je voulais "là". "Je suis là." Mais mon cerveau et mes pulsions n'en firent qu'à leurs tête, et ce fut "à toi" qui sortit. Mais je m'en fichais.
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 02 juillet 2012, 21:36:14
L’humain subjugué s’approcha à nouveau, toujours un peu plus près, toujours un peu plus proche de faire grandement plaisir à Mélinda. Bien plus qu’il n’aurait pu le croire. Mélinda l’aguichait, le laissait venir, un sourire amusé sur les lèvres. Anderson alla sur le bureau, grimpant lentement dessus, sa queue semblant peser lourd. Le regard de Mélinda restait fixé sur son visage. Bien sûr, elle aimait bien les érections, mais elle appréciait encore plus ce sang qui palpitait. C’était nettement plus stimulant qu’un membre en érection. Anderson se rapprocha lentement, fébrile, et finit par glisser quelques mots dont lui-même n’avait probablement pas, poussé par le désir, saisi la portée :

« Je suis à toi.. » glissa-t-il, près de son visage.

Il n’en fallait pas plus. Lentement, Mélinda glissa l’une de ses mains pour caresser le bout de sa verge, frottant deux doigts dessus, les glissant lentement, appréciant cette sensation. Elle sourit à nouveau, montrant ses belles dents blanches, et l’embrassa sur le bout des lèvres, avant de se relever un peu, pour l’embrasser sur la nuque, à l’emplacement précis de sa veine. Sa langue se promena, comme pour lui faire un suçon, ou pour préparer le terrain. Tout en faisant cela, elle remonta sa main qui caressait le sexe de l’homme pour attraper l’une d’Anderson, et la poser sur l’un des seins.

« Qu’attends-tu donc, mon beau ? Ne les trouves-tu pas doux ? glissait-elle dans son oreille. Caresse-les, honore-les, mes seins n’attendent que ça... La main experte et passionnée d’un homme pour s’occuper d’eux... »

Anderson était à point. Et Mélinda commençait déjà à se pourlécher la bouche. Elle allait faire d’une pierre deux coups grâce à cet homme. Qui sait... Peut-être le laisserait-elle vivre, s’il offrait une bonne performance ? Les Terriens influaient énormément sur l’état d’esprit de Mélinda, la rendant bien plus magnanime à l’égard de ce qu’elle avait toujours considéré comme de simples proies sur pattes.
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Anderson le lundi 02 juillet 2012, 22:34:49
Mon sang palpitait dans toutes les parties de mon corps, au fur et à mesure que je m'approchais d'elle. Comme une incitation à rebrousser chemin. Ou peut-être à m'offrir totalement à elle. De toute façon, il était trop tard pour changer d'avis.
Je sentis une de ses mains s'infiltrer sous mon pantalon et caresser le bout de ma longue verge, deux de ses doigts me faisant frémir. Rien de tel pour me faire bander encore plus. Elle me sourit, révélant ses dents, blanches à l'extrême, et m'embrassa. Sa bouche glissa sur ma nuque, sa langue me léchant doucement, et je me sentais comme sur un nuage. Puis, elle m'attrapa la main et la posa sur un de ses seins. Sa bouche, proche de mon oreille, me chuchotait de s'en occuper.


- Je les trouve..magnifiques.. Comme toi.

Je lui défis les derniers boutons de sa chemise et l'enlevait, la laissant glisser au sol. Puis, je passa ma main dans son dos, le caressait quelques instant en embrassant le haut de sa poitrine, puis retirais son soutien gorge. Enfin, ses seins étaient nus devant moi. Cette poitrine, si généreuse, n'attendais que moi. Ma langue se posa sur un de ses tétons et lécha doucement, et je me mis à téter ce petit bout tout dur, tout en massant d'une main son autre sein. Je léchais et tétais son sein, allant quelques fois jusqu'à le mordre doucement, juste le temps de laisser une petite marque de dent sur ce sein si ferme. Ma verge était dressée à l'extrême. Et elle avait raison. Ses seins étaient si doux.. Je léchais, encore et encore, je mordais doucement, pouvant rester à faire cela des heures s'il le fallait.

- Mh, tes seins.. tu es délicieuse.

Je me délectais de ses tétons si parfaits, ne pensant qu'à lui procurer un maximum de plaisir.
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Mélinda Warren le mardi 03 juillet 2012, 22:17:40
Elle eut droit à ses impressions, à chaud.

« Je les trouve..magnifiques.. Comme toi. »

Le contraire l’aurait vexé, de toute façon, mais c’était toujours agréable à entendre... Même de la part d’un petit humain. Ce dernier se concentra alors, et consentit enfin (enfin !) à retirer la chemise de Mélinda. Il fallait le dire, ce vêtement commençait à lui peser. La chemise glissa sur le sol, et l’homme alla promener ses mains dans le dos de la vampire. Se laissant délicatement faire, elle se demandait si ce dernier réalisait la chance qu’elle était en train de lui donner. Au long de sa courte vie de vampire, bien des gens se seraient damnés pour être dans cette position avec elle. Il ôta de même le soutien-gorge, et contempla cette belle poitrine avec ses yeux ébahis.

Finalement, il put les caresser, ces seins nus, les toucher, les palper, les lécher, les embrasser. Il faisait cela avec la fougue et la passion d’un jeune amoureux, et Mélinda était extrêmement sensible à ça. Tout comme pour son postérieur, sa poitrine était une zone érogène importante, et sentir les dents de cet homme, ses coups de langue, ses mains qui emprisonnaient ses deux monceaux de chairs, c’était tout simplement un pur régal. Mélinda en soupirait longuement, d’un plaisir honnête sincère, d’un simple mais non moins intense plaisir sexuel.

« Mh, tes seins.. tu es délicieuse. »

Ne répondant pas, elle se contenta de sourire, écartant lentement ses jambes, sentant la pointe de l’homme heurter sa petite jupe. L’homme bandait, et c’était un délice. Les mains de Mélinda caressaient sa nuque et ses longs cheveux, et elle le laisse continuer à jouer avec sa poitrine. Son sang s’emballait également, car la vampire était de plus en plus excitée. Un léger silence finit ainsi par s’instaurer, silence qui n’était interrompu que par les soupirs et les petits gémissements de Mélinda, et les bruits de succion et de claquements que la bouche de l’homme produisait en rencontrant les seins.

« Haaa... Hum, mhm, oui... Vas-y, oui, oui, profite... »

Qu’il profite, oui, car ce serait ensuite au tour de Mélinda de s’amuser. Elle caressait ses joues, près de ses oreilles, jouant avec ses mèches de cheveux, et utilisa son bassin pour se retourner. Anderson, bien qu’il soit bien bâti, n’était qu’un jouet entre les cuisses solides de la vampire, et fut donc emporté par elle, se retrouvant sous son corps. Mélinda se redressa, se mettant à califourchon, un large sourire amusé sur ses lèvres. Ses mains se promenèrent sur son torse musclé, caressant ses pectoraux, serrant sa peau. Une vraie masse... Son sang devait être délicieux, et Mélinda n’y tenait plus. Elle avait déjà attendu bien trop longtemps comme ça.

« Toi aussi... Toi aussi, tu n’es pas mauvais lâcha-t-elle. Je suis sûre que tu dois avoir bon goût. »

Elle se pencha à nouveau, et l’embrassa sur les lèvres pendant quelques secondes, avant de décaler sa bouche sur sa nuque. Dans sa position, ses fesses ressortaient à l’arrière, et elle lécha sa peau, avant d’y approcher ses crocs. Elle allait enfin passer aux choses sérieuses, et il était temps. Lentement, ses dents touchèrent la peau d’Anderson, et s’enfoncèrent dans sa peau, tandis que l’une de ses mains était agrippée sur sa nuque. Est-ce qu’il allait sentir la morsure ? Parfois, ça arrivait... Parfois, non. Dans tous les cas, il était maintenant trop tard.

*A table !*
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Anderson le mercredi 04 juillet 2012, 21:02:19
Je m'étais totalement accaparé sa poitrine, si parfaite, si douce. J'aurai pu rester dans cette position des heures si elle l'avait souhaité, j'aurai pu ne faire que lécher ces merveilleux seins des jours si elle me l'avait demandé.
C'était réellement délicieux, et c'était tout ce que je souhaitais.
Mon sexe, de plus en plus dressé, touchait sa jupe, frottait contre son bassin, selon les positions qu'elle prenait. Mélinda, sans avoir l'air de forcer, me tenait fermement le bassin entre ses cuisses, et, si j'avais voulu me libérer, j'en aurai été totalement incapable. La salle était calme, et nous entendions seulement le bruit de succion que provoquait ma langue en léchant ses tétons.

« Haaa... Hum, mhm, oui... Vas-y, oui, oui, profite... »

Et je ne me fis pas prier pour continuer ce que je faisais, me délectant de voir que je commençais à lui procurer du plaisir. Ses doigts fins caressait mes joues et les cheveux de ma crête noire et, sans que j'ai eu le temps de protester, elle nous fit basculer sur la table. Je me retrouvais sous elle, la tête coincée sous ses seins. Elle se redressa et se mit à califourchon sur mon. J'étais absolument coincé, mais j'étais absolument consentant, et la vue qui s'offrait à moi était..fabuleuse. Cette créature de rêve, sur moi, seins nus, m'observait de son regard qui m'envoûtait tant, et ce sourire, ses lèvres au goût divin.. Ses mains me firent frissonner en caressant mes pectoraux, puis, elle se pencha tout contre moi.

« Toi aussi... Toi aussi, tu n’es pas mauvais lâcha-t-elle. Je suis sûre que tu dois avoir bon goût. »

- Alors, goûte-moi..

Oui, qu'elle me goûte. Je n'attendais que ça. Je me doutais bien que cette jeune femme, si envoûtante, ne pouvait être "normale". Alors, qu'elle me montre, qu'elle me montre qui elle était. Ses lèvres embrassèrent les miennes rapidement, puis sa bouche dévia sur mon cou et ma nuque. Elle était cambrée sur moi, et j'en profitais pour poser mes mains sur ses fesses. Sa langue glissait sur ma peau, et je sentis bientôt ses dents. Une main agrippa ma nuque. Et, je sentis clairement ses dents s'enfoncer dans ma nuque. Ses dents ? Elles étaient trop pointues pour n'être que des dents. Un frisson extrême me parcouru. Une décharge électrique me traversa le corps, tandis qu'une douleur aigue se diffusa dans ma nuque. Je devins blanc, ou peut-être encore plus blanc que blanc. Mais j'étais bien. Mes mains se crispèrent sur ses fesses, les attrapant violemment, mon sexe se redressa plus que jamais, et, la tête en arrière, je fermais les yeux.
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Mélinda Warren le mercredi 04 juillet 2012, 22:29:53
Est-ce qu’il l’avait senti ? Elle l’ignorait. Son sang était déjà très excité, et il était difficile de le lire, d’autant plus qu’elle aussi était très excitée. Mais il ne se débattit pas. Soit il n’avait rien senti, soit il l’avait senti, et n’en était pas choqué. Dans tous les cas de figure, Mélinda était heureuse. Non seulement elle avait ses dents plantées dans sa nuque, mais elle avait aussi les mains d’Anderson sur son postérieur. Son délicieux petit cul qui adorait tant qu’on s’occupe d’elle. Ses dents s’enfoncèrent dans sa nuque, et elle atteignit la veine. Elle n’eut qu’à faire une légère, très infime pression, pour percer délicatement la veine. Mieux valait ne pas couper trop, car elle pourrait créer une hémorragie. Ce faisant, le sang continua à filer sans problème dans sa veine. Mélinda aspira alors, et le sang fila dans sa bouche.

« Mhmmmmmhmmmmhmmmmm » gémissait-elle.

Elle remua lentement son corps sur le sien, buvant le sang de l’homme. Il était fort, tendre, vigoureux, intéressant. C’était le sang d’un homme musclé, un sang délicieux, qu’elle but sans hésitation, enfonçant ses seins contre lui, remuant très lentement son corps. Ses doigts griffus se posèrent sur son torse, serrant tendrement. Elle en mouillait de plaisir, son sexe protégé par sa culotte et sa minijupe remuant sur la queue de l’homme. Mélinda ne buvait pas trop rapidement, car elle n’avait pas après tout pas faim. C’était tout simplement de la gourmandise.

Elle buvait donc lentement, avalant peu de sang, de manière à ce qu’Anderson ne soit pas trop affaibli. Elle comptait encore profiter de lui un peu après ça. Elle n’était pas que gourmande au niveau du sang. Elle continua à boire avec avidité, sans toutefois aller dans l’excès, et finit par se redresser. Sa langue pourlécha ses babines, et elle se redressa à nouveau, se mettant à califourchon, un grand sourire sur les lèvres.

« J’espère que tu sauras continuer être à la hauteur. »
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Anderson le mercredi 04 juillet 2012, 22:44:10
Ses dents, ses crocs, s'enfoncèrent dans ma peau. Oui, j'avais parfaitement senti la morsure. Mais je me laissais faire. Et, rapidement, même dans l'état second dans lequel je me trouvais après cette morsure, je sentis un liquide glisser entre ses dents. Mon sang. Je serrais ses fesses dans mes mains, j'avais passé les mains sous sa petite jupe, et je serrais fortement. Son corps collé au mien, je sentais ses seins remuer contre mon torse musclé, ses généreux seins contre moi. A ce moment précis, j'étais entièrement à elle. Et ça me plaisait.

Je sentis soudain mon sexe être étrangement humide. Collé contre son bassin et son vagin, par dessus sa culotte et sa mini-jupe, je pouvais la sentir, mouiller, mouiller encore et encore. Je sentais également mon sang quitter ma nuque et rejoindre sa bouche, et l'état second dans lequel j'étais se prolongeait, encore et encore. Puis, lentement, je sentis ses dents se retirer. Elle se redressa sur moi, belle et terrifiante à la fois. Sa langue glissa sur ses lèvres, et je pu voir encore quelques gouttes de sang. De mon sang. Je la tenais par le bassin, en l'admirant littéralement.

« J’espère que tu sauras continuer être à la hauteur. »

Je me redressais sur la table et me retrouvais la tête juste un peu en dessous de la sienne. Je glissa ma bouche dans son cou et embrassait sensuellement son cou, allait jusqu'à son oreille et léchait doucement le lob.

- Je saurai être à ta hauteur autant de temps que tu le décideras..

Je mis mes mains sur sa jupe et la descendit doucement, tirant dessus pour lui montrer qu'elle sait bien mieux..sans.
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Mélinda Warren le jeudi 05 juillet 2012, 20:48:04
Chouette, un humain consentant ! Mine de rien, ils étaient moins rares qu’on ne pouvait le croire. Entre ceux qui ignoraient l’existence des vampires, et ceux qui voyaient en eux l’existence du Mal absolu, Mélinda avait parfois fort à faire. Mais, visiblement, celui-là était plus excité que choqué. Sa queue était toujours aussi tendue, et il souleva son corps, glissant sa tête sous celle de la vampire pour l’embrasser sur la peau. C’était agréable, mais Mélinda n’était plus au stade où on se pouvait de permettre des gâteries. Elle venait de boire le sang de cet homme, et ceci avait considérablement excité sa libido. Quelques baisers étaient totalement inutiles. L’homme devait bien le sentir, car il s’empressa de retirer à Mélinda sa jupe. Cette dernière se libéra de l’étreinte de l’homme, et agit également à sa façon. Elle l’aida à ôter sa jupe, puis le plaqua à nouveau contre le bureau, avant de lui ôter son pantalon. Elle agissait rapidement, et manqua arracher les quelques boutons qui retenaient ce morceau de tissu, avant de le lui ôter rageusement, son sous-vêtement partant avec. Nu, il fut rejoint par Mélinda, qui se débarrassa également sans plus attendre de sa culotte trempée.

Avec un désir patent et croissant, elle contemplait le membre durci, pointu, de l’homme. Un second festin s’annonçait, et elle retourna sur lui, lui bondissant presque dessus. Ses jambes se dressèrent de part et d’autre du corps d’Anderson, avant de se replier pour se serrer autour de lui, l’emprisonnant dans un étau de chair. Elle n’eut qu’un geste à faire pour s’empaler sur son membre. Un soupir de plaisir intense traversa les lèvres de Mélinda.

« Haaaa ! »

Sentir ce membre en elle lui procura un bien fou... C’était... Et bien, c’était magnifique ! Tout simplement ! Elle le laissa en elle, remuant son corps, lentement, soupirant longuement, puis planta son regard dans le sien.

« A toi de jouer... Baise-moi ! »
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Anderson le vendredi 06 juillet 2012, 15:42:55
Elle avait bu mon sang. Et cela n'avait pas été douloureux, cela n'avait pas été particulièrement désagréable. Mais plutôt..jouissif. Et les gâteries, les baisers que j'offrais à son cou, n'étaient fait que pour l'exciter encore plus. Et elle n'avait pas l'air de pouvoir se retenir plus longtemps. Je fus plaqué sur le bureau, et elle m'arracha mon pantalon et mon boxer, violemment. Elle enleva sa culotte mouillée, me révélant ainsi son vagin, que j'aurai bien "mangé" sur place.
Son regard observait mon sexe, long, durci, qui n'attendait qu'une chose. Elle. Elle me plaqua encore plus sur le bureau quand elle bondit sur moi, avec sa force absolument surhumaine. Nos corps, enlacés, j'étais totalement emprisonné, mais pleinement consentant. Et je ne pu retenir un long râle de plaisir quand elle s'empala sur moi, mon sexe entrant de toute sa longue en elle.

« A toi de jouer... Baise-moi ! »

Il ne fallait pas m'en dire plus. Elle avait beau me coincer, avec sa force, force qu'aucune autre jeune femme de son âge n'avait, ce "baise-moi" me donna une force jusque là insoupçonnée face à une créature comme celle qui était sur moi. Mes mains se posèrent sure son bassin et je me redressais d'un coup, nous faisant tourner sur le bureau. Je me retrouvais sur elle et lui attrapa les cuisses, lui faisant mettre ses jambes autour de ma taille.

- Te baiser ? Je n'attends que ça.

Aussitôt dis ? Aussitôt fait. Mon bassin commença ses mouvements de va-et-vient, que je ne cherchais pas à rendre doux. Ils étaient violents, forts, et mon membre s'enfonçait en elle un peu plus profondément à chaque coup. Je la tenais fermement par les hanches, et je sentais ses griffes me labourer la peau du dos..et des fesses. Ce qui m'excitait encore plus. Et.. je me fis peur à imaginer cela, mais j'aurai aimé qu'elle me morde pendant nos ébats. Encore. Nos visages se rapprochèrent et, sans que nos lèvres se touchent, ma langue vint glisser contre sa bouche, mon regard provocant le sien. J'avais un peu peur que le bureau craque, car nos ébats n'étaient pas des plus calmes.

- Haaaaaaaaa.

Je ne pouvais me retenir de crier, peu importe que quelqu'un nous entende. Cette femme là était fantastique. Et fantastiquement bonne au lit. Même sur un bureau. Ma queue s'enfonçait de plus en plus fort, et je ne cherchais pas à la ménager. Je voulais la baiser, comme elle me l'avait ordonné.
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Mélinda Warren le dimanche 08 juillet 2012, 13:14:08
L’homme passa donc aux choses sérieuses. Ce « baise-moi » avait semblé lui faire l’effet d’un coup de fouet, le réveillant, galvanisant sa libido. Il bondit sur la brave vampire, la retournant. Cette dernière se laissa faire, surprise et heureuse par ce changement d’attitude soudain. Anderson laissait parler le mâle qui sommeillait en lui, et Mélinda se retrouva collée contre le bureau. De là, Anderson finit enfin par la prendre, enfonçant sa queue en elle. Il était au-dessus d’elle, et ses jambes étaient glissées de part et d’autre de son corps. Ses baladeuses mains glissèrent de la nuque d’Anderson à son dos, le griffant légèrement. Elle avait justement veillé à ne pas prendre trop de sang pour ça, pour qu’il soit performant sur le côté sexuel. La panne sexuelle arrivait bien trop fréquemment chez les mâles. Le bureau se mit à craquer, et Mélinda fermait les yeux, savourant ce membre énorme enfoncé dans sa chatte, ce membre qui lui labourait le corps, et la défonçait. Généralement, c’était elle qui faisait ça, mais inverser les rôles, parfois, ça ne pouvait pas faire de mal. Bien au contraire, même. Ce contact était délicieux.

Mélinda rouvrit les yeux, et s’appuya sur la nuque de l’homme, son autre main allant s’enfoncer dans le bureau. Ses griffes s’y enfoncèrent, et, aux craquements et autres soupirs, vinrent se mêler les raclements et frottements des griffes contre le meuble. La vampire le regardait en haletant, et répondit à son lèchement de langue par un sulfureux baiser, enroulant désormais ses jambes autour de son bassin, en appréciant cette queue bien chaude en elle.

« Allez, allez, allez !! s’exclama-t-elle. Oh putain si c’est bon !! Vas-y, vas-y, encore, encore, ENCORE ! Là, oui, là, là, là, ici, ici, oh ouuuuiiiii... »

Difficile de se retenir, et Mélinda n’essayait pas du tout. Il la baisait avec force, probablement comme il n’avait jamais baisé une autre humaine jusqu’à présent. Et pour cause, il faisait après tout l’amour avec Mélinda Warren. Et, dans tout ce qui concernait le sexe, elle était une vraie pro ! Elle avait rompu leur baiser, et ne se privait pas pour hurler son plaisir. C’était bon, exquis, et en même temps douloureux. Ce savant mélange, elle y avait goûté un nombre incalculable de fois, et elle n’arrivait toujours pas à s’en lasser. Elle se laissait pleinement aller, le corps commençant à rougir sous l’effet du plaisir intense.
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Anderson le jeudi 12 juillet 2012, 16:23:11
Véritablement, je la baisais comme jamais je ne l'avais fais à aucune autre. Mais les autres n'étaient que des humaines. Cette Mélinda était une créature, quelqu'un de différent, quelque chose de différent. Elle avait bu mon sang, elle m'avait littéralement hypnotisé, et me motiver maintenant dans nos ébats. Dans nos violents ébats. Mon bassin claquait très rapidement contre le sien, et j'avais dans l'idée que nos corps seraient rapidement rouges. Ses jambes m'enserraient dans une étreinte si forte que je n'aurai pas pu partir si je l'avais désiré. Je sentais son humide vagin se refermer autour de mon membre, bien plus gros que d'habitude, bien plus excité aussi que lors de mes autres ébats.. Ses mains se glissèrent dans mon dos, et je sentis ses griffes labourer mon dos. Le pire ? J'aimais ça.

Le bureau craquait, mais je ne m'inquiétais en aucun cas que nous le cassions. Même après une chute, entre des débris de bois et dans un nuage de sciure, j'aurai continué à lui faire apprécier les délices d'un si gros membre. Ses cris de plaisir m'excitaient au plus haut point, et, puisque je ne faisais pas vraiment parti de cette catégorie masculine appelée "les précoces", elle allait pouvoir prendre très longtemps.

Elle enroula ses jambes autour de mon bassin, et une de mes mains vint claquer contre sa cuisse, tandis que je la regardais avec un sourire provocateur. Ma tête plongea dans son cou, et ma langue lécha sensuellement cette peau froide et si douce. Je gémissais à tout rompre, ne faisant pas attention au reste, ne m'inquiétant pas de savoir si on pouvait nous entendre. La seule sensation de ses lèvres intimes s'écartant à chaque passage de mon membre me faisait oublier tout le reste.
Son intimité, qui me faisait tant envie, que j'aurai pu goûter toute une nuit si elle me le demandait. Si elle me l'ordonnait.
Ma bouche vint contre la sienne, et je chuchotais

- Tu la sens bien..

Mon bassin se pressa contre le sien, ma verge se calant au plus profond d'elle.

- Je pourrais te la mettre de partout..

Ma bouche se colla à la sienne, mes lèvres mordillèrent sa lèvre du bas, ma langue s'infiltrant dans sa bouche.. Je ne me contrôlais absolument plus, suivant juste mes pulsions, n'écoutant plus mon cerveau, en veille.

- Mords-moi..

J'enlevais ma bouche et, serrant son corps, la prit violemment, mettant la tête de côté, ma gorge et ma nuque juste devant sa bouche.
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Mélinda Warren le samedi 14 juillet 2012, 21:13:30
Elle emprisonnait Anderson entre ses jambes, usant de sa force vampirique, sans même s’en rendre vraiment compte. Le plaisir était tel que Mélinda en perdait légèrement le contrôle de son corps, et se laissait tout simplement aller. Elle l’emprisonnait pour l’empêcher de partir, pour continuer à sentir en elle sa si grosse queue. Il en avait une belle, et elle ne tenait pas à la laisser partir si rapidement. Alors, elle le serrait, l’emprisonnait, le laissait se plaquer contre elle. C’était lui qui menait les ébats, mais le rôle de Mélinda était loin d’être uniquement passif. Le petit corps de la vampire remuait contre la table, glissant de haut en bas au fur et à mesure qu’Anderson continuait à se perdre en elle. Le brave lycéen était sûrement en train de connaître le coup de sa vie. Après tout, il faisait l’amour avec Mélinda Warren, le tout gratuitement ! Que demander de plus ?

Anderson trouva cependant quelque chose. Il se pressa contre le corps de Mélinda, qui tendit ses mains pour s’agripper à sa nuque. Encore un peu, et ils feraient presque l’amour debout, ce qui, naturellement, ne la dérangerait pas. Plaquée contre un mur, à subir les assauts furieux de ce Brésilien surexcité. Il se collait à elle,  et lui parla, sussurrant des phrases. Si elle la sentait bien...

*Il n’y a qu’un mec pour poser une question aussi stupide ! A ton avis ?*

Ce fut avec des soupirs que Mélinda lui répondit, jusqu’à ce que l’homme lui demande de la mordre encore, avant de lui avoir dit qu’il pourrait continuer à la baiser « partout ». Sur ce point, elle lui faisait confiance, mais, si elle continuait à lui pomper son sang, le plus probable était qu’il finirait par s’écrouler sur le sol. Sans sang dans les veines pour pomper, toute son énergie sexuelle disparaîtrait rapidement. Si Mélinda avait donc été raisonnable, et moins gourmande, elle n’aurait pas satisfait sa requête. Le risque était en effet trop gros qu’il s’écroule pour de bon, et ne dorme pendant plusieurs heures, jusqu’à pouvoir manger pour récupérer des forces.

Mais Mélinda était tout, sauf raisonnable. L’homme lui offrait son cou, et elle alla mordre à nouveau dedans. Ses canines pointèrent, et un grognement s’échappa de ses lèvres. Elle n’avait pas soif, mais le sang était tellement délicieux qu’elle y goûtait sans hésitation. Et puis, ça ne faisait pas grossir. Mélinda planta à nouveau ses dents, et recommença dès lors à boire, sans aucune gêne, mais en essayant tout de même de ne pas en boire trop. Elle était alors collée contre le corps d’Anderson, ses fesses ne reposant désormais sur rien d’autre que le vide. Elle était partie du bureau, et s’appuyait ainsi uniquement sur le corps d’Anderson, serrant toujours sa queue contre elle.

*Une chance que je ne sois pas lourde, hein ?!*

Elle n’avait pour l’heure rien dit, trop occupée qu’elle était à boire le délicieux sang de cet homme.
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Anderson le dimanche 15 juillet 2012, 15:11:20
Ces ébats n'étaient pas très loin d'être les meilleurs de ma vie. Pas très loin ? Non, en fait, c'était les meilleurs. La vampire qui était actuellement ma partenaire sur ce bureau, était la femme la plus extraordinaire que j'avais eu dans mon lit. Enfin, dans mon lit, façon de parler..
Ses jambes emprisonnaient les miennes dans une étreinte folle, et elle n'avait même pas l'air de forcer. Seul mon bassin bougeait, des petits coups ultra-rapides et ultra-violents. Jamais je n'avais été aussi excité, et cela se voyait. Ma queue n'avait jamais été aussi grosse et tendue. Je visitais son intimité sans ménagement.

Dès le début de notre rencontre, elle m'avait hypnotisé, envoûté, et avait fait de moi sa proie. Maintenant que j'étais tombé dans ses filets..elle me dévorait. Littéralement.
Ses griffes labouraient ma nuque et mon dos. Et, enfin, je sentis ses dents se planter une nouvelle fois dans ma gorge. Cela me fit l'effet d'un électrochoc, et je me redressais soudain, debout, ne touchant plus le bureau. Je la tenais fermement, nos bassins collés, ma verge en elle. Elle était agrippée à moi et je sentais mon sang s'échapper de mes veines pour glisser dans sa bouche. Je la plaquais violemment contre le mur, qui fit un bruit sourd. Elle était littéralement plaquée contre le mur, son corps prit en sandwich entre mon corps chaud et ce mur froid. Et, telle une véritable sangsue, Mélinda était accrochée à moi et me suçais le sang.

Je ne cherchais plus à me retenir de faire du bruit, et la jouissance vint également beaucoup plus rapidement. Après mon sang, un second liquide se mit à couler de mon corps pour s'infiltrer dans le sien. Avec un long râle de plaisir, j'éjaculais en elle, ne cessant pas les va-et-vient, allant taper le fond de son vagin, la tenant fermement par les hanches. Jamais je n'avais connu une telle sensation. Sentir mon sperm s'écouler en elle..et mon sang en même temps. Etonnement jouissif.

Et elle ne m'avait absolument pas rassasié. Et je suis sur qu'elle ne l'était pas non plus.
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Mélinda Warren le dimanche 15 juillet 2012, 16:47:30
Même si elle n’avait pas soif, le sang de cet homme était toujours aussi délicieux. Elle se pressait contre lui, contre sa nuque, ses mains griffues s’enfonçant sur sa peau, le sang filant dans sa bouche. Yeux fermés, Mélinda gémissait et soupirait, l’emprisonnant entre ses jambes. Elle sentait sa queue en lui, la sentant grosse, si épaisse, à point. Elle eut vaguement conscience qu’il l’avait soulevé pour la plaquer contre le mur, ce qui était d’autant plus facile qu’elle ne cherchait pas à le bloquer. Elle se contentait d’emprisonner son bassin contre le sien, sentant son sexe en elle. Plaquée contre le mur, elle avait une main sur sa nuque, et l’autre sur son dos, le griffant, faisant couler un peu de son sang. Il était impossible pour elle de se retenir. Des gémissements étouffés traversaient ses lèvres au fur et à mesure qu’elle sentait son sang s’échapper dans ses veines.

*N’en bois pas trop, n’en bois pas trop... Cet homme est fort et vigoureux, mais, si le sang vint à lui manquer, il ne sera plus bon pour rien...*

Elle le sentit alors jouir en elle. Comme c’était délicieux. Une victime qui adorait qu’on lui boive son sang... C’était super, pour une vampire ! Elle se cramponna un peu plus contre lui, sentant son sperme disparaître dans son corps. Mélinda elle-même ne tarda pas à avoir un orgasme, son corps rebondissant contre le mur. Elle ne pouvait qu’espérer que la classe derrière était vide aussi, car leurs ébats n’étaient pas vraiment discrets. Mélinda était plaquée contre le tableau, ses fesses raclant contre ce dernier.

Peu à peu, Mélinda retira ses dents. Elle les retira après avoir eu un orgasme, tout son corps se tendant d’un coup avant que la cyprine ne s’évade de son corps, et ne vienne couler lentement sur le sol, glissant de ses cuisses. Mélinda lui fit un sourire, avec ses dents blanches tâchées de sang. Elle passa sa langue dessus, les nettoyant, et se pencha vers lui, l’embrassant sur les lèvres, remuant légèrement son bassin, sa queue toujours en elle. Comme il venait de jouir, son érection avait bien diminué, mais Mélinda ne comptait pas le laisser partir aussi facilement. Elle lui fit un délicieux baiser, y mêlant brièvement la langue, enfonçant ses seins contre lui.

« Tu es délicieux, petit humain... La vampire que je suis raffole des amants comme toi... »

Elle lui disait ça tout en l’embrassant sur la joue, remontant le long de son oreille, et écarta lentement sa tête. Elle aimait bien sentir en elle son membre, et caressa avec un doigt griffu les lèvres du jeune homme, les caressant lentement, tout en se remettant à parler, remuant très lentement son bassin :

« Complimente-moi, humain. La vampire que je suis aime qu’on la flatte... Dis-moi quels sont tes fantasmes avec moi, excite-moi... »

Mélinda affichait un léger sourire. Elle n’avait désormais plus à cacher ce qu’elle était, vu que l’homme l’avait vu. Elle pouvait donc amplement dire qui elle était, ce qu’elle voulait, sans avoir à se cacher. Et Mélinda était une femme égocentrique. Elle devait laisser le temps à Anderson de se remettre de sa perte de sang, de s’y adapter, et rien de mieux pour ça que de recevoir des compliments.
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Anderson le dimanche 15 juillet 2012, 18:13:45
Ses griffes étaient enfoncées dans la peau de ma nuque, et cette manifestation de son plaisir m'excitait grandement. Mon dos saignait légèrement, et de grandes traces de griffures devaient y apparaître. Et mon sang coulait dans sa bouche. Je sentais ma tête tourner. L'orgasme, couplé à cet acte absolument inhabituel pour moi..

Ma semence se déversa en elle. Encore et encore, par de longs jets chauds qui coulait dans son intimité et disparaissaient au plus profond de son corps. Mes mouvements de va-et-vient ne cessaient pas, et je la plaquais violemment, à chaque coup, contre le tableau de derrière. La marque de son joli petit cul allait peut-être finir par y rester incrusté..

Je sentis ses dents sortir de ma peau. Mes cuisses furent, dans le même temps, complètement trempées par sa cyprine qui coulait abondamment de son vagin. Une grosse flaque se forma rapidement sur le sol, en dessous de nous. Charmant, pour la future classe qui viendrait passer son prochain cours. Et tellement excitant pour moi. Je vis sa bouche, tâchée de mon sang. Elle se lécha les dents avec sa langue, puis m'embrassa. J'en profitais pour caler ma langue dans sa bouche et me laisser aller, nos bassins remuant lentement l'un contre l'autre, ma queue encore en elle.

« Tu es délicieux, petit humain... La vampire que je suis raffole des amants comme toi... »

Elle embrassa ma joue, puis remonta jusqu'à mon oreille. Un doigt griffu vint se poser sur mes lèvres et les caresser. Tout mon corps fut parcouru de frissons que je ne cherchai pas à cacher. Elle était la vampire, et moi la proie. Une proie plutôt consentante, mais une proie quand même.

« Complimente-moi, humain. La vampire que je suis aime qu’on la flatte... Dis-moi quels sont tes fantasmes avec moi, excite-moi... »

J'attrapa sa main et son doigt qui caressait mes lèvres. J'en suçotai le bout, jusqu'à sa griffe, une de celles qui labouraient mon dos depuis toute à l'heure.

- Tu es si..supérieure.. Jamais je n'ai connu pareille expérience..pareil plaisir.

Ma bouche vint embrasser en douceur le haut de sa poitrine, une de mes mains vint prendre en main un de ses seins, et je le massai doucement.

- Je ne suis qu'un esclave entre tes mains.. A ton entière.. disposition.

Je dis ce dernier mot en donnant un grand coup de bassin par surprise, qui vit mon membre se réenfoncer en elle totalement. J'arrêtai mon bassin à nouveau, puis repris.

- Je serai honoré de goûter..chaque parcelle de ton somptueux corps..

Ma main droit quitta son sein et descendit entre ses jambes. Je la posai à côté de mon sexe enfoncée, la faisant vagabonder entre son vagin et son anus, que je caressai doucement.

- La moindre parcelle..

Ma bouche frôla la sienne, et ma langue glissa sur ses lèvres, mon regard ne lâchant pas le sien.
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Mélinda Warren le mardi 17 juillet 2012, 23:08:51
Elle lui avait demandé de la complimenter, de flatter son orgueil, et ce fit ce que l’humain fit. Et, même si ça ne venait que d’un simple humain, c’était toujours bon à entendre. Il lui vouait des louanges, et la vampire en frissonna, tout comme elle frémit à ses caresses, à ses attouchements, à cette main qui vint flatter la rondeur de son sein. Oui, supérieure, elle l’était, indubitablement... Seul un fou aurait pu prétendre le contraire. Elle était une vampire, et Anderson semblait le réaliser. Il lui dit qu’il voulait être son esclave, parlant en baisant l’un de ses seins, sa phrase hachée par des baisers, et ponctuée par les soupirs de plaisir de la vampire. Son esclave... Avait-il conscience de l’ampleur de ses mots ? Non, probablement pas... Car Mélinda n’était pas une vampire solitaire, qui errait de ville en ville. Oh non, elle était tout, sauf une bohémienne ; elle était une esclavagiste. Et, quand un homme disait à une femme comme elle qu’il était son esclave, à son « entière disposition », fatalement, ça laissait rêveuse.

Il ponctua cette phrase d’un coup de reins, et Mélinda, en hoquetant, sortit de ses pensées. Elle sentit le membre durci d’Anderson glisser à nouveau dans son corps, et se tortilla lentement. C’était bon. Agréable. Moins intense qu’il y a quelques minutes, mais ça n’en restait pas moins plutôt bon. Néanmoins, le moment approchait où ce n’était plus dans son vagin que Mélinda aurait besoin de sentir une queue.

« Je serai honoré de goûter..chaque parcelle de ton somptueux corps.. » glissa-t-il alors.

Comme s’il avait implicitement compris, ou perçu, ce que la vampire souhaitait, Anderson avait approché l’une de ses mains, la glissant sur son postérieur, ses doigts glissant le long de cette peau douce et chaude. Quelques frissons remontèrent logiquement le long du corps de la vampire, témoignant du plaisir subit qu’elle venait de ressentir à l’idée qu’on touche ses fesses. Son postérieur était une zone assez sensible, et les doigts du lycéen s’étaient aventurés assez loin. Il l’aguichait, jouait avec elle, et parla à nouveau. Le souffle de la vampire était précipité, son cœur tambourinait lentement dans sa poitrine, et elle finit enfin par parler :

« Mon esclave, hum ? »

Elle avança également son visage, et frotta avec son nez celui de l’homme, tout en maintenant entre ses cuisses son membre tendu. C’était très bon. Elle eut un léger sourire, et enchaîna rapidement :

« Prêt à tout pour me servir ? Oui, oui, je pourrais faire de toi mon esclave... Prêt à tout pour me servir, et qui abandonnerait volontiers sa futile liberté pour me servir... »

Et, tout en parlant, elle glissait ses doigts sur son torse, et commença peu à peu à libérer Anderson de son étreinte. Ses jambes se déplièrent, ses pieds retournèrent se poser sur le sol, et sa tête se retrouva à hauteur de son torse. Difficile de croire qu’une femme aussi dangereuse et influente pouvait être aussi petite. Elle avait presque la taille d’une adolescente. Elle s’écarta lentement d’Anderson, lui montrant son dos et ses fesses avant de se mettre, silencieusement, sur le bureau du professeur. L’une de ses mains vint alors attraper l’une de ses fesses, serrant sa peau, l’écartant, afin de mieux l’exciter.

« Viens... Viens, Anderson... Ta Maîtresse attend que son esclave accomplisse ses services... »
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Anderson le mercredi 18 juillet 2012, 12:38:05
Je m'offrais à elle. Elle avait bu mon sang, par deux fois. Et cela m'avait rendu encore plus fou de désir. Elle m'envoûtait littéralement, par son regard de prédatrice, par ses mains et ses griffes, qui savaient quoi faire pour m'amadouer, et pas ces ébats absolument fantastiques qu'elle m'offrait depuis le début de notre rencontre. Elle était magnifique, et indubitablement supérieure à toutes les humaines que j'avais pu cotoyer.

Un coup de rein inattendu la fit sortir de ses pensées. Ma main continua à vagabonder sur ses fesses, n'hésitant pas à aller jusqu'à caresser son anus. Ce qui avait l'air de lui plaire, si j'en crois son souffle, qui s'accéléra, et le son de son coeur dans sa poitrine.

« Prêt à tout pour me servir ? Oui, oui, je pourrais faire de toi mon esclave... Prêt à tout pour me servir, et qui abandonnerait volontiers sa futile liberté pour me servir... »

Son nez frotta au mien, et me fit frissonner. J'attrapais violemment sa bouche et l'embrassait. Petit à petit, je sentis qu'elle me libérait de sa violente étreinte, ses jambes se desserrant autour de mon bassin. Ses jambes se déplièrent, puis elle retomba au sol, entre le mur et moi. Elle m'arrivait au torse, avait l'air, par la taille, d'une adolescente, mais était tellement..belle. Je la vis s'écarter de moi et marcher jusqu'au bureau. Elle se mit dessus, dos à moi, pratiquement à quatre pattes. J'avais cerné ce qu'elle voulait en touchant ses fesses avec mes mains, et je ne m'étais pas trompé. Une de ses mains vint se placer sur ses propres fesses, qu'elle écarta doucement d'elle-même.

« Viens... Viens, Anderson... Ta Maîtresse attend que son esclave accomplisse ses services... »

N'écoutant que le son de sa voix, hypnotisant, comme tout le reste, je me dirigeai vers elle, et vint me placer doucement derrière elle. J'étais encore par terre, debout, et ses fesses étaient au niveau de mon ventre. Je me penchais et ma bouche se posa sur ses fesses, si belles, si parfaites. Ma bouche embrassa sensuellement cette peau si douce, puis dévia lentement. Je posais mes mains sur ce cul absolument extraordinaire, et l'écartais en douceur. Ma langue sorti et vint titiller son anus, l'humidifier, sans ménagement. Je goûtais chaque parcelle de son corps, comme je le lui avais promis. Après plusieurs minutes de ce petit jeu, je retirais ma bouche, la fit avancer sur le bureau et montait derrière elle. Ce corps si parfait, à 4 pattes devant moi. Jouissif. Mon érection était revenue, peut-être encore plus grosse qu'avant, comme si de rien n'était.
Je me penchais et posais mon torse contre son dos, attrapais son lob d'oreille dans ma bouche. Je le suçotais quelques secondes avant de chuchoter.

- Vous êtes splendide..maîtresse.. C'est un honneur pour moi de pouvoir être à vos services..

En ne bougeant pas, j'écartais doucement ses fesses et vint mettre mon gland contre son anus.

- Je vais vous honorer.. comme la Reine que vous êtes..

Sans prévenir, ma queue s'enfonçant en une seule fois, écartant son oriffice sans ménagement. Je sentis tout son corps se tendre, et ses griffes explosèrent le bois du bureau. Mon corps se crispa, et mes mains vinrent attraper son bassin. Bien calé en elle, je remuais doucement mon gros membre entre ses fesses. 

- Haaaan..Han..

Mon bassin vint claquer violemment contre ses fesses, je me penchais sur elle et mes mains attrapèrent sa très généreuse poitrine, la malaxant vivement tandis que nous entamions cette si délicieuse sodomie..
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Mélinda Warren le mercredi 18 juillet 2012, 18:51:45
Maîtresse... Maîtresse ! Oh, que ce mot sonnait bien aux oreilles de Mélinda ! Oui, qu’elle aimait l’entendre, ce mot, ce délicieux mot ! A chaque fois que ses esclaves le prononçaient, avec ce regard sensuel et soumis, avec cette intonation si particulière, en insistant sur le « -maî », et en soufflant du bout des lèvres le « -tresse », comme si on soupirait de plaisir, elle se sentait à chaque fois heureuse. Elle préférait tellement qu’on l’appelle  « Maîtresse », plutôt que d’employer d’autres qualificatifs ineptes et froids, comme la sempiternelle formule « Je t’aime ». Un « Je t’aime », ça n’avait pas le même charme sensuel qu’un « Maîtresse ». Bien loin de là. Pour Mélinda, celui qui prétendait le contraire ne pouvait être qu’un menteur.

En parfait petit esclave, Anderson se posa derrière elle, et commença par lécher et embrasser son postérieur, la préparant à la sodomie à venir. La vampire en soupira lentement de plaisir, remuant légèrement sur la table, tout en se laissant faire. Elle n’opposait pas la moindre protestation, aimant bien trop qu’on s’occupe de son postérieur pour manifester son impatience. Son esclave voulait juste bien faire, et éviter qu’elle n’ait trop mal quand il irait la pénétrer. Une attention touchante, qui confirma, une fois n’est pas coutume, à Mélinda que la violence était le refuge des ânes et des imbéciles. Elle avait obtenu bien plus en faisant parler son corps et son charme. La séduction, c’était une arme très efficace quand on était belle comme elle. Bien sûr, Anderson parlait sous le coup de l’émotion et du désir, mais Mélinda savait qu’il avait franchi la ligne, qu’il ne pourrait plus revenir en arrière. Le brave était dans ses griffes. C’était bien pour ça que Mélinda adorait le lycée. Les corps commençaient à se former, à être beaux et attirants, et les lycéens étaient à une époque fragile de leur existence, à mi-chemin entre l’âge, regrettée ou non, de l’enfance, et celle, souhaitée ou non, mais toujours crainte, de l’âge adulte. Dans tous les cas de figure, l’adolescence était une zone sensible, une zone de doute et de fragilité, une zone d’égarement, une zone parfaite pour montrer à ces pathétiques humains qu’ils n’étaient pas faits pour se diriger tout seuls, et qu’ils seraient bien plus heureux en cédant leur vie à une femme d’envergure, à une femme qui pourrait s’en occuper, et les contenter.

Anderson était subjugué, et vint le lui prouver en murmurant près de son oreille, exprimant sa joie et sa gratitude, la qualifiant de « Reine ». Un choix de mot judicieux, bien plus excitant que la qualifier d’ « amante ». Mélinda en soupira, de manière très audible, tout en serrant les poings, et le sentit enfin venir... Et le plaisir, lui, augmenta également. Cette petite sodomie commençait très bien. Magnifiquement bien, même.

« Haa... ! Haa ! »

Elle se contentait, pour le moment, de soupirer. Son corps devenait rouge, alors que la brave vampire essayait de s’habituer, de se faire à ce corps étranger qui lui labourait le derrière. Les premières minutes étaient toujours très éprouvantes, même quand on avait son expérience. Et c’était tant mieux, d’ailleurs. Si elles ne l’étaient pas, de son point de vue, ce plaisir anal perdrait bien de son intérêt. Ce fut quand elle sentit les mains de son esclave presser ses seins que Mélinda se laissa pleinement aller. Le bureau se mit à craquer sous son poids, sous les mouvements de ses jambes et de son bassin.

Lui aussi soupirait. Le cul de Mélinda avait été pris un nombre incalculable de fois, et tenait plus du boulevard que de l’impasse, mais elle était malgré tout heureuse de constater que, à chaque fois, son petit trou était suffisamment serré pour la faire souffrir lorsque les parois s’en écartaient sous le passage de ce gros membre. La douleur réveillait en elle ce côté sauvage propre à tous les vampires, et qui s’exprimait de la manière la plus barbare qui soit à chaque fois qu’un être de nuit manquait de sang. Elle utilisa ses bras, et se catapulta en arrière.

Mélinda put ainsi se redresser, s’appuyant sur les jambes, tout en courbant le dos, et tendit une main en arrière, la tendant pour la plaquer sur la nuque d’Anderson.

« Là, allez ! Ne me dis pas que tu es à ton maximum, putain ! Allez, allez, baise-moi ! Et... Et... Haaa... Sois... Sois vulgaire ! »
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Anderson le mercredi 18 juillet 2012, 22:03:51
Mon sexe était entré en elle, sans prévenir, en une seule fois. Je présumais que son anus avait été visité, de nombreuses fois avant que je le visite moi-même. Mais l'entrée était toujours autant difficile, et là sentir serrer les fesses autour de mon membre était un plaisir intense. Tout autant que d'écarter les parois de ce petit trou qui me faisait si envie.

« Haa... ! Haa ! »

Oh oui. Ses cris étaient..extraordinaires. Mon bassin claqua contre ses fesses, à plusieurs reprises, longuement. Je malaxais sa fantastique paire de seins, et je la voyais se crisper. Le bureau craqua, violemment. Je ne savais pas s'il tiendrait et, même s'il venait à s'écrouler, j'étais prêt à continuer nos ébats dans les débris de bois. La chute ne nous ferait rien, encore moins à elle, vampire.

Sans prévenir, elle se catapulta en arrière, me faisant reculer également. Un de ses bras se tendit, et une de ses mains griffues se plaqua contre ma nuque, me collant violemment le torse contre son dos, le visage contre le sien. Ses griffes s'enfoncèrent dans ma peau.

« Là, allez ! Ne me dis pas que tu es à ton maximum, putain ! Allez, allez, baise-moi ! Et... Et... Haaa... Sois... Sois vulgaire ! »

C'était un ordre. De cette vampire hautaine, si supérieure, si torride, si envoûtante. Et j'étais sous ses ordres, totalement subjugué.
Ma tête, collée de force à la sienne, je passais une main derrière sa tête et attrapait violemment ses cheveux, plaquait son visage au sien et lui mit ma langue dans sa bouche. Pas un baiser tendre non. Je violais sa bouche, mais elle fut plutôt, consentante. Mais pas trop longtemps. Une force issue de mes pulsions s'empara de moi, et je plaquais sans ménagement la vampire à 4 pattes sur le bureau.

- Tu veux de la vulgarité et de la violence ?

Ma queue, alors sortie de son anus, la sodomisa violemment, sans préparer la pénétration en douceur. Je l'enfonçais entièrement et sans ménager son petit trou. D'une main, j'attrapais ses cheveux et les tirait en arrière, lui faisant pencher la tête en arrière.

- Tu es tombée sur une grosse queue, tu vas prendre. Mais prendre, tu aimes ça hein, ma grosse chienne..

J'avais prononcé ça d'un ton sec, mais en chuchotant. De ma main libre, je lui assénais une grande claque sur le cul, puis posais mes deux mains sur ses hanches et entama des va-et-vient à une vitesse folle, la sodomisant sans ménagement. Le bureau craquait, et je le voyais se fendillait sous notre poids. Elle déchirait le bois comme si de rien n'était avec ses griffes. Ce que j'aimais la voir dans cette position, avoir cette impression de domination, profiter d'elle, lui tenir fermement les cheveux et l'insulter. Elle était supérieure, et j'aurai tout abandonné pour être son esclave. Mais cette situation était jouissive.

- Je vais te baiser à en faire exploser ce bureau.

Je me penchais sur elle, lui attrapais l'oreille dans la bouche, la relâchais et chuchotais lentement, en articulant bien toutes les syllabes.

- Tu l'aimes, ma grosse queue.. Salope.

Justement, ma queue, plus dure et grosse que jamais, je m'en servais pour labourer son anus sans ménagement, et j'avais presque hâte de me déverser en elle, d'éjaculer et d'en laisser de partout, de le faire autant de fois que possible. J'avais bien fais de venir dans ce couloir.
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 23 juillet 2012, 14:11:37
La sodomie était quelque chose que Mélinda affectionnait tout particulièrement. Et, pour qu’une sodomie soit réussie, son expérience lui avait montré qu’il fallait que le type se trouvant de l’autre côté soit motivé. De son expérience, elle avait pu noter que le sexe avec des hommes était généralement plus torride et plus sauvage qu’avec des femmes. Les femmes de Mélinda, ses petites esclaves, étaient en effet de délicates poupées, qui, même quand elles s’énervaient et étaient sous le feu de la passion, n’égalaient pas les muscles des hommes. Et, pour exciter un homme, pour vraiment l’amener à se défouler (car une sodomie faite par un homme n’était, pour Mélinda, réellement intéressante qu’à ce prix), il convenait donc de le motiver. Pour cela, le fait de lui offrir la possibilité d’insulter la superbe femme qu’il est en train de baiser est, là encore, de l’expérience de Mélinda, un excellent moyen de parvenir à cet objectif. Et elle ne s’y trompa pas.

Vulgaire, il le fut. Mais il fut surtout excité, afin de la baiser. Les cris de Mélinda devinrent plus perçants, ses griffes labourèrent le bureau, découpant les écorces, tandis que ses jambes glissaient sur ce dernier, sa cyprine s’échappant comme s’il y avait dans son corps un tuyau percé qui laissait partir le jus sans arrêt. Sa poitrine se soulevait et s’abaissait, et elle ne pouvait qu’espérer qu’Anderson n’arracherait pas l’un de ses précieux cheveux. Qu’on tire sur ses cheveux était quelque chose de risqué. La chevelure de Mélinda était extrêmement complexe, et elle ne supportait tout simplement pas qu’on arrache l’un de ses précieux cheveux. Fort heureusement, Anderson s’acharnait peu sur cette dernière, préférant lui claquer les fesses (ça, elle aimait indéniablement mieux), ou marteler son dos couvert de sueur.

« Je vais te baiser à en faire exploser ce bureau.
 -  Haaan... Haaaan... Oui, oui... »

Mélinda essayait de soupirer. Faire exploser ce bureau... Il est vrai qu’elle s’agitait beaucoup dessus, et que ses griffes continuaient à lentement l’éventrer, le mettant en pièces. Il y avait effectivement bien des chances pour que le bureau ne supporte pas leurs ébats fougueux, et se brise. Mais la vampire ne le pensait pas vraiment. Et, de toute manière, elle se fichait bien de ce bureau. Elle le sentit se coller contre elle, approchant sa bouche de son oreille, pour murmurer à l’intérieur, lâchant des propos salaces qui, compte tenu du contexte, produisaient toujours leur petit effet.

« Tu l'aimes, ma grosse queue.. Salope. »

Ce à quoi elle répondit fort rapidement, entre plusieurs longs soupirs, son corps rougi par l’effort :

« Haaaan... Oh, haaaa... Ouiiiii... Hum... Ouiiii, ouii, ouiiii je l’aime ta queue je l’aime je l’aime baise-moi BAISE-MOI ! »

Le ton était rapide, fort, aigüe, et Mélinda continuait à mouiller. C’était tellement bon, si délicieux !
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Anderson le vendredi 27 juillet 2012, 17:21:47
Je n'avais que très peu eu l'occasion de pratiquer la sodomie. Tout simplement car mes partenaires se montraient, en général, assez réticentes à l'idée que quelque chose s'introduise dans leur anus. Peut-être encore plus lorsqu'elles découvraient mon sexe qui, sans me vanter, n'était pas pour déplaire aux femmes. Mais qui pouvait faire souffrir, selon par où il passait.
Avec Mélinda, je me lâchais, et je me lâchais totalement. Ma queue, extrêmement dure et dressée, ne cessait de s'enfoncer en elle, écartant les bords de son petit trou si serré. Si serré, au départ. Maintenant, il n'était plus serré, mais totalement dilaté à grands coups de.. queue.

J'avais lâché ses cheveux, et je donnais de grandes claques sur ses fesses, qui devinrent rapidement rouges. Elle voulait que je la baise, et je voulais la baiser. Encore et encore et encore. Elle m'avait terriblement motivé, et l'insulter était un moyen d'extérioriser tout ce plaisir et ce désir que la vampire me procurait. Je n'étais que son esclave, et ce moment qu'elle m'offrait, je comptais bien en profiter pleinement.

-  Haaan... Haaaan... Oui, oui... »

- Plus fort, je veux t'entendre.

Un nouveau coup de reins envoya mon membre au plus profond de son corps, et ses griffes arrachèrent plusieurs morceaux d'écorces du bois du bureau, le détruisant un peu plus.

« Haaaan... Oh, haaaa... Ouiiiii... Hum... Ouiiii, ouii, ouiiii je l’aime ta queue je l’aime je l’aime baise-moi BAISE-MOI ! »

Je la plaquais sur le bureau. D'une position à 4 pattes, elle se retrouva allongée sur le ventre. Je me retirais d'elle et me mis à califourchon sur son cul. J'écartais sans ménagement ses fesses, colla mon gland contre son anus, puis relâcha ses fesses, les laissant se refermer autour du début de mon membre. Le bout de ma queue bien calée contre son petit trou, je collais mon corps en sueur contre le sien. Mes bras s'écartèrent et virent attraper ses mains et les plaquer des deux côtés du bureau.

- Je vais t'agrandir ce trou..

Ma bouche vint se plaquer contre son oreille et mon sexe s'enfonça une nouvelle fois entre ses fesses, écartant les parois de son anus. Son corps trempé de sueur se contracta et ses mains écrasèrent les miennes contre le bois.

- HAAAAN.

Tout mon corps désirait se lâcher en elle, et je ne faisais que durer le plaisir. Mes muscles se contractaient chaque seconde un peu plus, et, malgré sa force surhumaine, j'écrasais son corps sous le mien, la sodomisant dans une position bestiale, animale. Jouissif.

Ma bouche se posa sur sa nuque et mes dents mordillèrent sa peau. Purement ridicule, pour une vampire comme elle, qui avait déjà goûté mon sang à deux reprises. Mes dents se crispèrent soudainement, et mon sexe se gonfla. Je me déversais abondamment en elle, et sentis mon sperm quitter mon corps pour couler dans le sien, une nouvelle fois. Et peut-être pas la dernière fois, en tout cas je l'espérais. Je continuais plus en douceur les mouvements de bassin, ne cessant pas de la sodomiser, mais le faisant désormais avec plus de douceur.
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 30 juillet 2012, 02:46:44
Sa cyprine se répandait sur ce bureau. Il allait porter pendant longtemps les stigmates de cette séance. Les griffes de Mélinda, dangereuses et tranchantes, s’étaient enfoncées dans le bureau sans crier gare, laissant d’indélébiles cicatrices. Mais c’était plus fort que lui. La sodomie avait été la première forme d’expérience sexuelle à laquelle elle avait pu goûter. C’était son propre frère qui l’avait sodomisé, et, depuis cette époque, elle avait fini par apprécier, et même plus qu’apprécier, ça. C’était tellement douloureux. Son anus était un trou petit, délicat, timide, et le sexe d’Anderson était immense. Il devait pilonner, forcer le passage afin d’écarter les parois internes de la vampire, déclenchant naturellement chez cette dernière des sommets de souffrance. Et c’était précisément ça qui était excitant : le fait de souffrir, d’avoir mal, d’avoir envie d’hurler. C’était le meilleur moyen de se convaincre qu’on était en vie, cette douleur, cette douleur si intense, si perverse, qu’elle ne pouvait qu’en exciter la vampire. Mélinda tremblait sur place, et se laissait faire, n’opposant aucune forme de résistance.

Anderson montait à l’assaut, grimpant sur le bureau, plaquant Mélinda contre le bureau, face contre le bois. Cette dernière gémit faiblement, et il retourna à l’assaut, retourna la pilonner, retourna la faire hurler. Mélinda était en sueur, et incapable de comprendre comment elle s’était retrouvée là, avec un homme qui était en train de la sodomiser. Anderson était indéniablement très talentueux dans ce domaine, et ravivait à merveille la petite vampire.

« Haaaa.... Ha !! Hmmm, oh oui, oui, oui, HAAAAAAAAAAAAAAA ! »

Difficile de se contrôler, de se laisser aller. Son partenaire lui massacrait les fesses, et le corps de Mélinda se mit à remuer le long du bureau, qui craquait sous son poids. Elle le sentait soupirer, elle imaginait son sang trembler de désir, alors qu’il continuait à la prendre, sans relâche, sans arrêt. Une belle performance pour un simple humain. Il méritait d’être son esclave. Mélinda ne croyait pas à la Providence, mais elle devait bien admettre que cette heureuse rencontre inaugurait un futur radieux pour l’homme. Être l’esclave de Mélinda, c’était pour elle plus une chance qu’un fardeau. Rares, très rares, étaient les esclaves tristes sous son joug.

Anderson continuait à la pilonner, et il finit par jouir. Mélinda n’avait pas encore eu un orgasme supplémentaire, même si elle se touchait désormais avec l’une de ses mains. Elle s’appuyait avec l’autre contre le rebord de la table, se caressant intimement avec l’autre. Vue de l’extérieur, elle devait ressembler à l’un de ces personnages dans tous ces films pornos risibles que les Terriens adoraient. Elle le sentit finalement jouir. La vampire hoqueta, et se redressa ensuite progressivement. Les coups de queue d’Anderson diminuèrent en intensité. Il était en train de lui offrir une espèce de sodomie de confort, et la vampire remua ses fesses. Ses doigts dégoulinaient de cyprine...

Peut-être qu’elle avait joui, après tout, car elle se sentait bien plus apaisée. Elle le laissa en elle pendant encore un certain temps, puis finit par se libérer, sans grande difficulté. Elle se retourna alors, s’appuyant sur ses avant-bras, ses jambes glissées de part et d’autre du corps d’Anderson, un léger sourire sur les lèvres.

« Tu es un très bon partenaire, petit humain. Tu as gagné le droit de vivre, sois-en fier... »

Elle lui fit un sourire, et posa l’un de ses pieds sur son torse, le remontant lentement vers sa bouche.

« Tu m’as aussi fait oublier mes soucis, ce dont tu peux également être très fier. »

Ses doigts de pied remontaient lentement le long de son torse, et finirent par atteindre sa bouche.

« Je te veux. Avec moi. Jure-moi obéissance et fidélité, petit humain, et tous tes désirs et tous tes fantasmes seront comblés. »
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Anderson le lundi 30 juillet 2012, 15:35:48
La salle de classe ne ressemblait désormais plus vraiment à un lieu d'études. Sous le tableau, une flaque mélangeant cyprine et sperm était née de nos ébats. Le bureau, quant à lui, était dans un état pitoyable. Il manquait de nombreux morceaux de bois, arrachés brusquement par les coups de griffes de Mélinda qui s'y accrochait durement la sodomie, et, désormais, une autre flaque de cyprine. Elle jouissait, et s'aidait de deux, ou peut-être trois de ses doigts, simultanément à la sodomie. Sodomie que je n'avais pas cherché à rendre douce. Elle l'avait voulu violente, elle m'avait voulu vulgaire. Je l'avais été, et ses fesses, rouges, étaient la preuve de la violence avec laquelle mon bassin avait claqué contre ses fesses. D'ailleurs, il continuait à le faire. Être en train d'éjaculer ne m'empêchait pas de finir le travail.
Et je le finissais. Ma queue, plutôt du genre imposante, terminait de dilater l'anus de la vampire qui se trouvait sous moi. Néanmoins, je ralentissais la cadence pour lui offrir une pénétration plus douce pour signifier la fin de ces ébats.

Elle finit par se libérer d'elle-même, faisant sortir mon membre de la où il était. Elle se retourna sur le bureau, allongé sur le dos, appuyé sur ses avants-bras pour me regarder, de ce sourire si carnassier, quelques traces de sang encore présentes sur ses canines. Un léger sourire s'afficha sur son visage, avant qu'elle ne s'exprime.

« Tu es un très bon partenaire, petit humain. Tu as gagné le droit de vivre, sois-en fier... »

Elle m'enserrait à nouveau le torse entre ses jambes, et vint poser un de ses pieds, froid et étrangement si magnifique, comme tout le reste de ce corps si..parfait.

« Tu m’as aussi fait oublier mes soucis, ce dont tu peux également être très fier. »

Son pied remonta encore, se trouvant sur ma gorge. Puis, elle le remonta, et le posa sur ma bouche encore fermée.

« Je te veux. Avec moi. Jure-moi obéissance et fidélité, petit humain, et tous tes désirs et tous tes fantasmes seront comblés. »

Un sourire étira mes lèvres. Une de mes mains vint se poser sur son talon, soutenant son pied contre ma bouche. Mes lèvres se posèrent sous son pied et l'embrassèrent doucement.

- Ma reine..Vous êtes si..parfaite. Et je serai honoré..

Mes lèvres se posèrent sur ses orteils, et ma langue sorti de son antre pour glisser sur eux. Je retirai la bouche et repris.

-..honoré d'être votre esclave..Ma reine. Je suis..à vous.

Je me penchais en avant et prit ses orteils dans ma bouche, que je léchais et suçais doucement, les yeux levés et posés dans les siens. Une de mes mains vint attraper son poignet, et je fis poser sa main sur mon imposante queue. Ses doigts se refermèrent dessus, ses griffes me faisant frissonner. Tout cela pour me sentir capturé par cette magnifique vampire, et symboliser le fait que désormais, j'étais sien.
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Mélinda Warren le mercredi 01 août 2012, 16:03:01
Était-ce terminé ? Est-ce que Mélinda avait eu son compte ? La vampire était une créature très gourmande, à l’appétit insatiable. Nue, avec son corps sublime, elle était l’incarnation même du désir, la sueur qui coulant sur son corps ne la rendant que plus belle encore. Tout contribuait à l’embellir, que ce soit cette légère odeur qui était en train de s’évaporer, le bureau qui craquait sous son corps, sa longue chevelure qui se perdait en cascade autour de sa belle petite frimousse... Oui, oui, elle se trouvait très attirante. Si elle voyait un jour son double, elle ne pourrait s’empêcher de se faire l’amour, tellement elle se trouvait belle. Anderson était subjugué, et le prouva en embrassant et en léchant le pied de la vampire, faisant soupirer cette dernière. Elle sentit un léger frisson remonter tout le long de son corps sous ce simple contact. Il en fallait parfois peu pour plaire à Mélinda, et elle sentit l’honnêteté dans la bouche d’Anderson. Un humain qui se soumettait volontairement, c’était tellement merveilleux ! Et il savait parler aux femmes, en plus !

« Ma reine..Vous êtes si..parfaite. Et je serai honoré... Honoré d'être votre esclave..Ma reine. Je suis..à vous. »

Un sourire de plaisir traversa alors le délicat visage de Mélinda. Un nouvel esclave, qui ne lui coûterait rien, c’était un cadeau du Ciel ! Mélinda se sentit prise d’une grande affection pour cet eldorado qu’était la Terre. Anderson était un amant doué, et serait donc un esclave de première qualité. Voilà une bonne nouvelle qui, indéniablement, faisait de cette journée une très belle journée.

La vampire laissa Anderson poser sa main sur son membre, et se reprit alors un peu. Visiblement, le jeune esclave n’en avait pas encore assez... Elle sentit à nouveau le sang de cet homme battre dans ses veines. Mélinda devait vraiment l’exciter, pour qu’il soit aussi... Aussi envieux. Elle regroupa ses jambes sous son corps, et se mit à quatre pattes, penchant sa tête près du sexe de l’homme, et se laissa tomber sur le sol.

« Ainsi soit-il, Anderson. A partir de ce jour jusqu’à ce que j’en décide autrement, tu seras à moi. Je serais ta Maîtresse, ta Reine, ta Déesse, et tu dois savoir que je suis... »

Elle se tut alors. Tout en parlant, elle masturbait le sexe de l’homme, promenant ses griffes dessus, sans chercher à entailler sa peau, se contentant de la gratter. Elle sentait cette queue enfler entre ses doigts, grossissant et se durcissant lentement. Le brave homme était excité, et elle continua ainsi, avant de retirer ses mains, un léger sourire sur les lèvres, pour reprendre sa phrase :

« ...Très généreuse. »

Et, disant cela, Mélinda commença une fellation, posant le bout de sa main sur la base de la verge d’Anderson, s’en servant pour l’enfourner dans sa bouche, et ainsi commencer à le sucer. Anderson allait également comprendre que sa maîtresse n’était pas une vampire pour rien.
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Anderson le vendredi 03 août 2012, 11:36:44
Lécher son pied était une preuve irréfutable d'asservissement. Mais, quel doux asservissement ! Cette créature, au demeurant si supérieure, avait bu mon sang à deux reprises, et m'avait littéralement envoûté. A plusieurs reprises, je m'étais soulagé en elle, et cela avait été les ébats les plus torrides de ma courte existence. Elle était là, devant moi, jambes légèrement écartées, sa cyprine gouttant encore de son intimité trempé. Tout aussi trempé que le reste de son corps, son corps coulant de sueur la rendait encore plus attirante, et cela expliquait que ma queue se redresse encore si fièrement, de cette vingtaine de centimètres approximativement.

Ma langue se glissa sur ses orteils, entre ses orteils, les léchant avec douceur, les prenant dans ma bouche. J'étais littéralement à ses pieds, que je léchais sans me poser de question. L'envoûtement était total, et semblait même me faire du bien. J'étais dans un état second, totalement enivré par son parfum, par son regard, par ses griffes qui me labouraient le corps, par cette bouche qui me dévorait.

Dès lors que sa main se referma autour de mon membre, le sang afflua en celui-ci, mon sexe se redressant dans sa main, qui paraissait petite par rapport à ce qu'elle tenait.

« Ainsi soit-il, Anderson. A partir de ce jour jusqu’à ce que j’en décide autrement, tu seras à moi. Je serais ta Maîtresse, ta Reine, ta Déesse, et tu dois savoir que je suis... »

Elle venait de basculer à 4 pattes devant moi, et sa main s'activait lentement autour de mon membre. Ses longues griffes glissant sur la peau de ma queue, qui enflait entre ses doigts experts.

« ...Très généreuse. »

Elle posa sa main à la base de mon pénis, et l'enfourna dans sa bouche. Je le vis disparaître petit à petit. Ma maîtresse avait donc de la place.. Je sentis sa langue se poser sur mon gland, et mon état second se prolongea. Je sentais le plaisir monter, bien plus rapidement qu'auparavant lors de nos ébats. J'avais déjà éjaculer plusieurs fois, et j'étais désormais proche de la rupture. A tout moment, je pouvais me soulager en elle, je n'étais plus capable de me retenir. Elle était en train de me vider, et ça ne m'étais pas arrivé souvent lors de mes précédentes relations. Ma main droite vint se poser à l'arrière de sa tête, caressant sa chevelure qui tombait en cascade sur sa nuque. Mon sexe se gonflait toujours plus, et du sperm perlait déjà au bout de mon gland. Je me retenais tant bien que mal, pour faire durer plus longtemps cette si douce fellation..

- Ma reine...vous êtes si..haaaaaan....

L'éjaculation arrivait, et je repoussais ses assauts encore et toujours.

- Si généreuse..
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Mélinda Warren le samedi 04 août 2012, 00:40:15
Le sexe était tout pour Mélinda. Son revenu principal. Son pire cauchemar. Sa meilleure arme. Son ultime joker. Une source intarissable de plaisirs. Comment une chose aussi simple, aussi basique qu’une pénétration, avait-elle pu à ce point façonner Mélinda, c’était une grande question. Il en résultait qu’elle était une grande spécialiste de ce domaine, ayant personnellement goûté à peu près toutes les pratiques sexuelles qui puissent exister. Son père avait été un esclavagiste bien plus cruel et bien plus sadique qu’elle. Anderson pouvait s’estimer chanceux. Le marché de Mélinda était honnête, et, si elle n’avait pas encore clairement expliqué ce qui l’attendait, elle en avait dit suffisamment pour l’allécher. L’esclavage, c’était comme n’importe quel contrat : il fallait appâter le client avec de juteuses promesses pour qu’il signe. La liberté était pour Mélinda une chose tout à fait monnayable, tout comme la vie humaine.

« Hmmm-hmmm... »

Elle gémissait lentement en goûtant à cette sucette enfoncée dans sa bouche. Anderson était très performant d’un point de vue sexuel, à tel point que Mélinda hésitait à en faire un rabatteur, ou un simple esclave sexuel... Ou les deux... Si les clientes du harem n’étaient parfois pas des canons de beauté, on tombait souvent sur des démones, et les démons qui venaient au harem étaient des démons suffisamment intelligents pour savoir parler et modifier leur apparence physique. Oui, se disait-elle, Anderson aurait une vie heureuse. Et avoir un nouvel esclave, c’était toujours bon à prendre.

Cette fellation n’était pas particulièrement brutale ou violente. Mélinda ne s’amusait pas à le mordiller avec ses dents, avançant lentement la verge de l’homme dans sa bouche. Elle s’appuyait avec une main sur la base de la verge, serrant ses lèvres dessus, et s’amusant à inspirer de l’air dans ses lèvres pour souffler dessus, tandis que sa langue, de temps en temps, venait sautiller sur ce morceau, glissant dessus, jouant avec, soulevant ou abaissant le bout de la verge. Elle tentait parfois quelques percées, retirant alors ses doigts pour enfoncer le membre dans les entrailles de sa bouche, ouvrant alors les yeux pour l’observer. Un exercice assez inutile pour elle, car elle pouvait sentir son excitation à travers son rythme sanguin. Elle voulait juste l’aguicher un peu, l’exciter encore plus.

*Aimes-tu mon traitement, Anderson ? Le traitement de ta Reine ?*

Oui, il semblait indéniablement l’aider, et la manière dont il l’appelait, le qualificatif qu’il employait (Reine) était des plus délicieux à entendre. Si délicieux qu’elle se décida à lui accorder sa jouissance, et poursuivit donc en conséquence la fellation, jusqu’à ce qu’il s’abandonne en elle.
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Anderson le jeudi 23 août 2012, 14:41:01
Je ne pensais plus à rien. Je ne réfléchissais plus à rien. J'étais bien incapable de le faire d'ailleurs. J'étais dans un état second, et ce depuis que j'avais posé les yeux sur Mélinda, dans ce couloir désert. Cette créature, au corps tout droit sorti d'un fantasme que je pensais irréalisable, avait surement dû repérer en moi un..simple morceau de viande, comme tous les autres humains de ce lycée et de cette ville. Mais tout au long de l'après-midi, je lui avais offert des performances sexuelles plutôt intéressantes. Jamais aucune femme ne m'avait fait me donner autant. Il était clair que j'étais prêt à tout pour elle. Elle avait bu mon sang à deux reprises, et cela m'avait excité au plus haut point.

« Hmmm-hmmm... »

Ses gémissements me tirèrent à moitié de mon état second, un état d'euphorie profonde. Ma queue était entièrement enfoncée dans sa bouche. Ce n'était pour elle qu'un morceau de viande. Modestement, un très beau morceau de viande. Sa langue glissait sur mon gland et sur toute la longueur de mon sexe, et tous nos ébats de l'après-midi avaient totalement ruinés ma résistance au plaisir. Je n'étais plus très loin de l'éjaculation, et j'allais prendre un malin plaisir à me soulager en elle, sur elle.

*Aimes-tu mon traitement, Anderson ? Le traitement de ta Reine ?*

Le plaisir qu'elle m'offrait dépassait de loin toute mes espérances et mes ébats précédents. Je n'arrivais plus à monter une phrase correcte, mon cerveau était à moitié éteint, mais j'essayais de faire l'effort de sortir une phrase cohérente.

- Ma Reine vous si vous...vous.. haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaan

C'était manifestement peine perdue, surtout à ce moment là. Tous les muscles de mon corps se crispèrent, à commencer par mon bassin, mes fesses, et mon membre, qui se dressa de toute sa hauteur, se contracta et expulsa violemment ma chaude semence. Je la laissais s'écouler de mon corps et glisser dans sa gorge en gémissant. Je sentais chaque goutte de sperm quitter mon corps, et je ne me retenais pas. Quand plus rien ne s'écoula de ma verge, je me retirais de sa bouche et constatais que j'en avais mis de partout, et pas forcément dedans. Du liquide coulait le long de son cou, jusqu'à ses seins. Encore tremblant de plaisir, je me repris.

- Ma Reine. Vous êtes extraordinaire..la créature la plus extraordinaire de cette foutue planète.

Alors qu'elle descendait du bureau et se remettait debout, nu, je posais un genou à terre, un second, et baissait la tête.

- Je suis à vous.
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Mélinda Warren le vendredi 24 août 2012, 12:01:27
Il finit par s’abandonner en elle... Ce n’était pas aussi juteux que sentir son sang, mais ça ne laissait pas la brave petite vampire sans réaction... Le sperme était moins bon que le sang, mais le sentir jouir en elle, avec une telle intensité, était une grande satisfaction. Elle pouvait se vanter d’avoir poussé le brave homme dans ses derniers retranchements, à tel point que le lycéen ne savait plus quoi dire pour flatter la beauté du corps parfait qui l’avait aidé à atteindre le plaisir ultime. Mélinda esquissa un lent sourire, suçant sa queue, avalant son sperme, et se redressa ensuite, son foutre dégoulinant de ses lèvres, coulant sur son cou, filant sur ses seins en de petits torrents gluants illustrant tout le bien qu’il avait eu. Anderson fléchit ensuite le genou, dans une posture ridicule d’un chevalier, qui fit sourire Mélinda.

« Je suis à vous », termina-t-il tout simplement.

Un sourire éclaira les lèvres de Mélinda, qui secoua la tête, et soupira, résistant à l’envie de poser à nouveau son pied sur le corps d’Anderson, et de le renverser. Il s’offrait à elle, sans défense et sans réaction, avec toute la dévotion qu’un esclave éprouvait pour sa supérieure. Ceci, naturellement, ne faisait que gonfler l’orgueil de la vampire, qui se pencha vers lui, et glissa une main sous son menton.

« Relève-toi, mon homme. Relève-toi, et vois dans quel état tu as mis ta Reine... »

La Reine en question, qui se laissait délicieusement prendre au jeu, avait du sperme qui coulait le long de sa poitrine. Elle alla se caler contre une table, et désigna des yeux cette partie de son corps, invitant Anderson à venir lécher et à nettoyer, faisant signe de la main pour qu’il vienne. Tandis qu’il se glissait entre ses seins, elle tendait une main pour caresser lentement ses cheveux, le plaquant entre ses seins, ses jambes frottant contre les siennes.

« Là, vas-y... Goûte donc à ton propre sperme, ce jus que j’ai bu de mes lèvres... Profite-en, mon ange, car tu es à moi... Et ta Maîtresse récompense fidèlement ceux qui lui sont fidèles, mon chéri. »

Elle l’embrassa sur le front, puis, quand il eut fini, elle posa ses mains sur ses joues, et lui fit un sourire, restant proche de lui, toujours aussi sensuelle, toujours aussi infatigable, aussi désirable... Une vampire, dans tous les sens du terme.

« Tu trouves que je suis la plus belle créature qui n’ait jamais été conçue sur Terre, hum ? Tu as toutefois tort, mon ange... Je ne viens pas de ce monde... »

Mélinda afficha ensuite un tendre sourire, dévoilant ses superbes dents blanches.
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Anderson le vendredi 24 août 2012, 15:05:11
Me soulager en elle avait été véritablement extraordinaire, le fait que cela soit dans sa bouche accentuant l'excitation. J'avais même pu avoir un effet de puissance, de domination. Seulement un effet, et seulement l'espace d'un instant. C'était bien moi l'esclave, et ce cadeau qu'elle m'offrait là, j'en savourais chaque instant avec délectation.
Mon sperm débordait de sa bouche et coulait le long de son cou, entre ses seins, jusqu'à son ventre. En dose conséquente, preuve du plaisir que j'avais éprouvé.

« Relève-toi, mon homme. Relève-toi, et vois dans quel état tu as mis ta Reine... »

Je me relevais et baissais la tête pour l'observer. J'étais plutôt grand mais elle me dominait totalement. Paradoxal. Elle recula soudainement et alla se caler contre une table, les pieds décollés du sol. Elle baissa son regard entre ses seins, où mon sperm coulait à flot, s'accrochant à sa si belle paire de seins, en amas imposants et gluants. Le signe de la main qu'elle fit ne laissait pas place au doute, et je la rejoignais sans plus attendre. Une de ses mains se glissa dans mes cheveux, ses griffes les caressant doucement, puis elle plaqua mon visage entre ses seins, frottant ses jambes aux miennes. Mon sexe frottait contre ses cuisses, une nouvelle fois.

« Là, vas-y... Goûte donc à ton propre sperme, ce jus que j’ai bu de mes lèvres... Profite-en, mon ange, car tu es à moi... Et ta Maîtresse récompense fidèlement ceux qui lui sont fidèles, mon chéri. »

Avoir le visage enfouit au chaud dans une si belle paire de seins, c'était purement jouissif. Les mots qu'elle venait de prononcer, ça l'était encore plus. Ma langue se glissa entre ses seins. Je léchais mon propre sperm, l'avalant sans protester, appréciant même ce moment-là. Je la nettoyais complètement puis elle me laissa retirer mon visage, m'embrassa sur le front comme une mère embrasse son enfant. Une relation perverse, certes.

« Tu trouves que je suis la plus belle créature qui n’ait jamais été conçue sur Terre, hum ? Tu as toutefois tort, mon ange... Je ne viens pas de ce monde... »

- Alors vous êtes la plus belle créature qui n'ait jamais été conçue dans tout cet Univers Ma Reine..

Je pris sa main et l'embrassais, puis attrapait sa jambe et commençait à déposer de longs baisers dessus. Jusqu'à ce que ma bouche finissent par atterrir à ses pieds, que je n'hésitais pas à lécher à nouveau. Je relâchais finalement sa jambe et la regardais dans les yeux, hypnotisé par son regard carnassier.

- Et je serai honoré de pouvoir être votre esclave en un autre lieu que celui-là.. Pour vous je serai là à n'importe quel moment.. Maîtresse.
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Mélinda Warren le vendredi 24 août 2012, 20:14:07
Qu’elle lui avoua qu’elle venait d’une autre planète ne sembla pas le perturber outre mesure. Mélinda ne s’en formalisa pas ; le brave devait avoir l’impression de vivre un rêve éveillé, réveillant en Mélinda tous ses désirs de puissance. Un humain parfait, voilà ce qu’il était ! Il admettait avec grand plaisir son infériorité naturelle face à sa Maîtresse, et sa chance de pouvoir la servir, sa chance qu’elle se soit intéressée à elle. Pour le coup, tous les soucis personnels de Mélinda s’envolaient au loin, et ce grâce à cet homme. Rien que pour ça, il avait mérité cette séance, ainsi que la possibilité de devenir l’un des esclaves de la vampire. Car, pour Mélinda, être sa propriété était un grand honneur, la preuve qu’on était suffisamment important pour que la vampire daigne s’intéresser à soi. Rares avaient été les cinglés à refuser l’offre de la vampire.

« Et je serai honoré de pouvoir être votre esclave en un autre lieu que celui-là.. Pour vous je serai là à n'importe quel moment.. Maîtresse. »

Un sourire éclaira le visage de Mélinda, qui s’écarta lentement d’Anderson, maintenant que ses seins étaient propres. Elle entreprit de se rhabiller, enfilant ses collants, ses sous-vêtements, et son uniforme scolaire. Tout en faisant ça, elle se remit à parler, commençant à entrevoir les possibilités. Anderson était un amant assez endurant, et sa place était donc toute indiquée :

« Comme tu l’as vu, mon cher petit ange, je ne suis pas une élève particulière... Je suis même au-delà de ça, et, malgré mon apparence juvénile, j’ai des siècles et des siècles d’existence. Je suis une vampire, j’appartiens à cette race d’individus nobles et passionnels. L’incarnation de la beauté, du charme, et du pouvoir. »

Mélinda parlait d’elle à travers des termes généraux, mais c’était ainsi que l’imaginaire collectif terrien se représentait globalement les vampires... Comme des surhommes. Des individus nocturnes, solitaires, qui étaient puissants, et très vieux.  Mélinda acheva de se rhabiller, et se retourna vers lui :

« Je viens d’un autre monde à la fois différent et fort semblable à celui-ci, un monde où tous les possibles sont réalisables. On l’appelle Terra, et j’y suis une femme d’affaires... Une esclavagiste qui contrôle un harem dans l’une des plus grandes villes de cette planète... »

Tout en parlant, la vampire s’était rapprochée d’Anderson, tendant ses mains pour caresser les épaules de l’homme, se glissant dans son dos, où elle frotta ses seins contre lui, tout en promenant ses délicieux doigts sur son corps. Il était à elle, et elle promena à nouveau ses griffes sur son corps, lentement, tendrement, veillant à ne pas le blesser, tout en embrassant ses épaules.

« Désormais, tu passeras l’essentiel de ta vie avec moi, Anderson, dans ce harem... Ton existence entière sera vouée à la luxure, aux plaisirs charnels, et au bonheur... N’est-ce pas un merveilleux cadeau que ta Maîtresse te fait ? »
Titre: Re : Rien de plus qu'une simple leçon [Anderson]
Posté par: Anderson le vendredi 24 août 2012, 21:47:57
Elle se rhabillait lentement, alors que j'étais encore là, tel quel, nu au milieu de la pièce. Elle tournait autour de moi en me parlant, et en se délectant de me voir là, soumis à son pouvoir. Elle venait de se coller à moi, et, tête à hauteur de mes épaules, les embrassait doucement. Je sentais ses doigts parcourir mon corps, en passant par mon dos, mes fesses ou mon torse.

« Désormais, tu passeras l’essentiel de ta vie avec moi, Anderson, dans ce harem... Ton existence entière sera vouée à la luxure, aux plaisirs charnels, et au bonheur... N’est-ce pas un merveilleux cadeau que ta Maîtresse te fait ? »

Un sourire étira mes lèvres. En fait, c'était exactement ce que je cherchais. Ma vie ici, dans ce lycée.. jusque là, j'avais passé mon temps à sortir, à me taper des petites lycéennes, et pas que des lycéennes. Mais cette créature là venait de donner un tournant nouveau à ma vie, et c'est avec un plaisir sans nom que j'acceptais ce tournant.

- Ma Reine..vous êtes si..grande.

J'attrapais son poignet en douceur et portait sa main à ma bouche. Je l'embrassais en douceur puis me rapprochait d'elle. Mes lèvres se glissèrent sur les siennes et je profitais d'un dernier baiser torride. Scène étrange, si quelqu'un nous avait surprit. Un homme, nu, et une femme, habillée.
Enfin, elle se dégagea et me dit rapidement qu'elle allait très vite venir me chercher. J'avais hâte. Elle sortit de la pièce, et je me rhabillais sans plus attendre.
Alors que j'étais sur le pas de la porte et que j'allais quitter la pièce, je la regardais une dernière fois. Le bureau était en miettes sur le dessus, des morceaux de bois jonchaient le sol. Deux flaques trempaient le sol, une près du tableau, l'autre près du bureau. Un nouveau sourire étira mon visage. Je refermais la porte et m'en allais par le couloir opposé..