Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => Discussion démarrée par: Yukio Onoki le mardi 05 juin 2012, 16:12:04
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J'étais tremblante. A la fois de peur, mais aussi d'excitation. Je n'arrivais pas à croire que je pouvais faire une chose pareille. Je me sentais honteuse, mais un peu euphorique aussi.
Hier, je lisais une autre nouvelle érotique, et une scène avait retenu mon attention. L?héroïne, dans un accès de perversité, s'était rendue à son travail sans porter le moindre sous-vêtement. Rien que d'imaginer la scène, mon bas-ventre s'était réchauffé, et la luxure m'avait gagnée. Le lendemain, j'avais décidé d'imiter cette scène. Je me trouvais donc sur une avenue de Seikusu, habillée d'une simple robe discrète (http://a34.idata.over-blog.com/0/04/51/08/gothloli/robe-noire.jpg) et de bas pour seuls vêtements. J'avais vraiment les sensations décrites dans la nouvelle. Mes tétons étaient stimulés par le frottement du tissu, et pointaient au travers. N'importe qui d'un peu attentif pouvait les remarquer se dresser sur ma poitrine. Quand à mon intimité, les courants d'air générés pas le passage des voiture venaient la caresser, me faisant frissonner de plaisir à chaque fois. J'étais tellement excitée que mes lèvres c'étaient gonflées sous le plaisir, et mon nectar menaçait de s'échapper de ma fente. En fait, il coulait déjà le long de mes cuisses, et quelques gouttes touchaient le sol. Pourvu que personne ne me remarque...
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Putain de carrefour à la con ! Tout ça pour avoir mis une beigne à un soi-disant supérieur ! Non mais on croyait rêver ! C'était un comble quand même ! Voilà qu'on lui faisait faire la girouette à un carrefour ! Et tout ça car on lui avait donné une bonne raison de frapper son supérieur ! Le Capitaine Kenzo avait mal pris le fait que Gabriel lui en colle une après avoir libéré des taupes ! Un traître, ça peut trahir à nouveau, c'est comme tuer,quand on a tué une première fois, qu'est-ce qui empêche de recommencer ? C'est tellemet plus facile, le remord s'en va lentement et au final, on en éprouve pas le moindre brin, on a perdu notre temps....et pour ça, Gabriel avait levé la main sur un supérieur hiérarchique et avait écopé de patrouillesà la con dans un coin tranquille de la ville. Enfin, tranquille, en termes de circulations de bagnoles, en réalité, c'était une avenue commerçante, donc le flux de personnes passant était loin d'être négligeable, et lui, il était dans la foule à jeter un œil comme cela, de ci, de là, jouant au bon flic, pour une fois. Enfin, ça, c'était son boulot ! En fait il avait passé un bon moment dans un bistrot clope au bec et bibine à la main pour décolérer, teintant légèrement son haleine d'une odeur alcoolisée.
Puis, il s'était posté au carrefour et avait commencé à mater sans vergogne tout ce qui a deux jambes, une jolie paire de miches, et d'autres détails similaires aux atours d'une femme, peu importait l'âge tant qu'elle entrait dans la catégorie « baisable »...bref, assez machiste et de loin quelque chose de gênant pour les dames, mais il ne se gênait pas pour autant !
D'ailleurs, en parlant de ça....il voyait passer une jeune femme assez malingre mais loin d'être dénuée de charme, dont il lorgnait la poitrine....elle avait les seins qui pointaient ! Amusant, non ? Et quel derrière ! Je vous raconte pas ! En tout cas, deux choses étaient sur, la première étant qu'elle ne portait pas de soustingue, la deuxième étant qu'elle entrait parfaitement dans la catégorie baisable, elle semblait juste un peu trop fragile pour résister !
En plus de ça, elle semblait un peu tremblante, comme si elle avait froid ou d'autres raisons. Bon, il fallait faire quelque chose ou il allait louper une bonne occasion. Bon. Tant pis pour le boulot ! Allez, hop ! Il la suivit, allant plus vite qu'elle pour la rattraper, et il posa sa main sur son épaule, doucement, mais fermement, pour l'arrêter et la faire légèrement pivoter.
« Excusez-moi de vous déranger, mademoiselle, mais êtes vous sûre que vous allez bien ? Vous semblez incommodée, vous tremblez, vous avez froid ? »
Un autre détail aurait pu corroborer le froid, le fait que ses tétons pointent,ce qui pouvait aussi arriver sous le froid. Illorgnait d'ailleurs allègrement sur ces deux petites excroisances visibles au travers de sa tenue...
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Alors que j'avançais dans la rue, je fus soudain abordée par un policier, qui voulait s'enquérir de mon état. A l'entendre, je donnais donc l'impression d'avoir... froid ? C'était tellement incongru que je failli écater de rire, ce qui effaça pendant un instant ma préocupation première, à savoir ma nudité. Je regardais cet homme un peu plus en détail. Blond, les cheveux en bataille, des yeux couleur ciel d'orage... Il donnait une impression de dureté, à l'opposé de l'attention qu'il lui portait. D'ailleurs, il n'était pas vêtu comme un policier traditionnel, mais plus comme un inspecteur...
Toujours est-il que je ne savais pas trop quoi répondre. Je ne pouvais en aucun cas lui apprendre la vérité, d'une part c'était trop honteux, d'autre part, comment allait-il réagir ? Il pouvit tout aussi bien laissait passer l'affaire, que m'arrêter pour attentat à la pudeur et aux bonnes moeurs, ou pire, en profiter... C'est avec une voix quelque peu chevrotante que je lui répondis.
" Merci de vous inquiéter pour moi, mais je vais bien, ne vous en faites p ... KYAAAH !!"
Le vent avait choisi ce moment pour laisser souffler une forte rafale, soulevant ma robe. Aussi rapidement, mes mains descedirent le longde mon ventre et doe mon dos pour la maintenir en place. Je n'avais nulle envie que mes fesses ou mon intimité soient révélées au grand jour ! Je priais pour que personne n'ait rien remarqué...
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C'est avec une petite voix un peu tremblante qu'elle avait répondu, mais étrangement, sa réponse était plus ou moins attendu, ou du moins, le côté de Gabriel vicié et perverti par sa manie courante de finir dans une partie e jambes en l'air aimait bien cette idée que ce ne soit pas pour les raisons les plus logiques. Ayant travaillé un temps àla brigade des mœurs, il se souvenait de certains choses....on l'avait viré de cette brigade pour le foutre ailleurs parce qu'il avait plus tendance à en profiter qu'à verbaliser....ouais, ne cherchez pas plus loin... d'ailleurs le coup de vent mit définitivement fin au doute.
En effet, un coup de vent au timing trop parfait pour y croire, lui offrit un spectacle largement à la hauteur de ses attentes ! Il eut un sifflement avant de se mettre à sourire, amusé, la lueur dans ses yeux était tout sauf bonne, elle n'était pas mauvaise non plus, mais elle était juste étrange.
« Bon et bien nous sommes fixés, ne pensez vous pas ? »
Il sourit et la poussa légèrement pour qu'elle ne soit plus plus dans le passage, et lui aussi. Ainsi, pas d'attroupement autour pour le moment. Techniquement, il ne pouvait lui coller une amende ou la coffrer, il n'y avait pas réellement d'attentat à la pudeur, ce n'était pas assez voyant.....pour l'absence de culotte du moins car la poitrine, elle, il fallait être miro pour ne pas remarquer le manque de soutif ! Mais si il n'y avait pas d'attentat à la pudeur exactement, peu de gens connaissaient assez bien la nuance ! Et si elle ne connaissait pas la nuance, il n'avait aucune raison de ne pas en profiter ouvertement !
« Alors, on apprécie le contact de l'air et le regard des gens ? C'est excitant, non ? »
Il avait un peu baissé le ton en disant cela.
« Imaginez donc que tout le monde est au courant ! Qu'est ce que cela ferait si quelqu'un révélait ouvertement votre situation ? En le criant par exemple....vous apprécieriez davantage le regard des gens, non ? »
Et pour faire comprendre davantage où il voulait en venir, il lui mlit fugacement la main aux fesses.
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Le policier siffla, avant de me regarder d'un air qui ne me disait rien qui vaille. Il fit un commentaire, qui fit s'envoler tout mes doutes : il avait vu que je ne portais pas de sous-vêtements... Qu'allait-il faire ? Dans mon esprit défilaient les pires scénarios. Finalement, il se contenta de me pousser sur le coté de la voie.
« Alors, on apprécie le contact de l'air et le regard des gens ? C'est excitant, non ? Imaginez donc que tout le monde est au courant ! Qu'est ce que cela ferait si quelqu'un révélait ouvertement votre situation ? En le criant par exemple....vous apprécieriez davantage le regard des gens, non ? »
Aah, non, tout mais pas ça... Je ne savais plus quoi faire ou dire. Je tremblais comme une feuille, les larmes me montaient aux yeux, je bafouillais lamentablement. J'étais à la merci de ce policier, complétement. C'est alors qu je sentis sa main sur mon fessier. Pas un contact insistant, juste un passage fugace. Soudain, le mécanisme s'activa : son air, la menace, cette main... Il voulait quelque-chose de moi, de mon corps en tout cas. J'étais prise au piège.
" Si... Si c'est ce que v-vous voulez... Il y a une ru-ruelle... Un peu plus loin... "
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Les larmes lui montèrent aux yeux, la pauvre petite, elle ne comprenait donc pas qu'elle avait tout déclenché elle même ? C'était elle qui avait voulu jouer les allumeuse en sortant ainsi, elle avait du voir la météo, elle avait du voir qu'il y aurait du vent ! Alors pourquoi devait-elle se mettre à pleurer légèrement ? Il n'y avait aucune raison, preuve en était qu'elle ne résistait pas, qu'elle ne tentait pas de se dérober à son emprise, il avait parlé de crir, mais puisqu'elle était habillée comme ça, c'était bien qu'elle voulait sentir le regard des autres sur elle, ce regard de désir, et même sans doute le regard méprisant et dégoûté des saintes Nitouche, elle avait eu envie de se rabaisser un peu au stade d'objet d'un instant, et voilà qu'elle en payait le prix. Pour Gabriel, il n'y avait rien d'immorale dans ce qu'il entreprenait !
Elle voulait faire ça discrètement, lui, il n'en était que moyennement convaincu, un public aurait de quoi mettre un peu de piquant et la nécessité de ne pas faire de bruit – en sachant qu'il s'efforcerait de la faire crier - serait des plus amusantes, mais il fallait rester soft, il ne voulait pas perdre son poste. Va pour la ruelle alors.
« D'accord, je te suis ! »
Il sourit et reposa la main sur ses fesses, plus insistant, il n'avait aucune envie de la retirer de là, bien au contraire ! Doucement, il la poussa en avant, lui faisant comprendre par ce geste de s'y rendre. Il avait une idée aussi très sympathique derrière la tête, mais il n'avait pas ce qu'il fallait sur lui pour la réaliser, tant pis, faute de mieux...
Lentement, voulant voir les limites de la jeune femme en pleine rue, il fit remonter sa main sur ses reins, entrainant volontairement le tissu de la robe avec lui, découvrant de plus en plus de chair....
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L'homme accepta ma proposition. Dans le même temps, sa main revint caresser mes fesses, de manière plus insistante cette fois. Puis il y appliqua une pression, comme pour me faire signe d'y aller. J’obtempérais, et nous nous mettions en route. Sa main ne quittait pas mon fessier, qu'il tâtait avec une certaine lubricité. Pour ma part, je craignais de m'être fourrée dans un sacré pétrin. Au moins, j'avais échappé à de plus graves problèmes, mais d'un autre coté, je me demandais si c'était vraiment la meilleure option.
Je sentais sa main remonter sur mes hanches, puis mes reins. Je n'y aurais presque pas prêter attention, quand je sentis autre chose : ma robe se relevait ! Cet homme avait remonté ma robe ! Et d'après ce que je pouvais sentir, une parcelle de mes fesses était à l'air libre. D'ailleurs, je ne tardais pas à entendre des bruits de voix étouffés dans mon dos Je ne savais plus quoi faire. Je serrais mes mains sr ma poitrine, et fermais les yeux. Mon cœur battait à tout rompre, des larmes roulaient sur mes joues. J'étais tellement gênée ! Tout ce que je souhaitais, c'était d'atteindre cette ruelle au plus vite.
Finalement, après ce qui me semblât être une éternité, nos atteignîmes la ruelle en question. Je rompis le contact avec le policier, et m'adossais contre le mur pour me remettre de mes émotions. Lui ne me quittais pas du regard, mais je sentais qu'il avait hâte de passer à la suite du programme. Je pris une grande inspiration pour me donner du courage, il m'en faudrait pour ce que je m’apprêtais à faire.
Je me plaçais face au policier, puis défis les bretelles de ma robe. J'utilisais une main pour en baisser le haut, libérant mon sein. Dans le même temps, mon autre main vint relever le pan avant de ma robe, exhibant mon intimité.
" C'était ce que vous vouliez, non ? "
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« Hum non, pas seulement.... »
Oups, c'était sorti tout seul ! Malgré la gêne etlahonte qu'elle avait éprouvé, facile à deviner aux larmes, elle avait sagement obéi comme un brave toutou auquel on intime des ordres, si elle avait voulu, elle aurait bien pu lui fausser compagnie et crier, par exemple, au viol dès que qu'il l'avait attouchée, ou elle aurait pu aussi taper un sprint dans la foule, elle aurait alors eu de bonnes chances de s'échapper, maiselle n'en avait rien fait, alors cela voulait dire que c'était plus ou moins ce qu'elle voulait aussi ! Mais bn, si il allait se contenter d'un regard, elle se plantait lourdement, il allait tâter, palper, tester, et peut être approuver son corps fin, ses petites miches, ses petits seins, et accessoirement, il allait volontiers lui refaire l'intérieur !
Il s'approcha et tendit une main vers elle, pour lui lever le menton, et en un sens, la maintenir doucement, pour la regarder droit dans les yeux. En souriant. Doucement, il glissa sa main derrière la jeune femme pour la ramener contre lui, dans une étreinte relativement brève avant de passer à la suite.... en effet, doucement, il posa ses mains sur ses fines hanches et remonta vers les épaules. De là, il saisit les bretelles, et tout en la fixant droit dans les yeux, il commença à faire glisser la robe de la jeune femme, qu'elle tente seulement de l'en empêcher.
« Ce sera plus agréable pour nous deux je pense, non ? »
Il vint,comme un amant véritable, lui mordiller le lob de l'oreille après avoir prononcé ces quelques mots ! Gonflé peut être, mais si ça pouvait un poil plus la rendre coopérative autrement que par des gestes vides...il se colla à nouveau à elle, de sorte qu'elle sente contre elle la bosse de son pantalon.
« Tu sais quoi faire je pense, ou tu as besoin de je t'apprennes ? »
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Comme je le pensais, regarder ne lui suffisait pas. Il en voulais plus, et j'avais une idée de ce "plus" : il voulais aller jusqu'au bout... Je devais bien m'avouer que je l'avais un peu cherché, quelque-part. Et il était trop tard pour faire machine arrière. Il ne me restais plus qu'à prier pour qu'il soit tendre avec moi, et que cela finisse vite. Le policier, dont j'ignorais toujours le nom (avais-je seulement envie de le savoir ?), me leva le menton pour me regarder. Je fis de mon mieux pour le lui rendre, pour lui montrer que j'assumais. Il m'enlaça alors dans une parodie d'affection, puis commença à me déshabiller.
Il me coutait de l'avouer, mais j'étais soumise à sa volonté. Je le laissais donc descendre lentement ma robe, libérant mes seins dont les tétons saillaient. Puis le tissu glissa sur mon ventre plat, puis virent mes fines hanches. Enfin, ma robe chuta à mes pieds, et ce fut l'ensemble de mon corps qui fut révélé au plein jour. Gênée, j'évitais de croiser le regard du policier, mais mes bras restèrent le long de mon corps.
Celui-ci m'enlaça à nouveau, mais cette fois pour me faire sentir son état d'excitation. En effet, son membre commençait à gonfler, et je le sentais à la bosse de son pantalon. Sa demande ne me surprit nullement. Je passais donc à genoux, et défis ceinture et pantalon. Ma main se glissa dans l'ouverture, et manipula son caleçon pour en extraire sa verge. Celle-ci était encore malléable, donc en demi-éréction. Je devinais que c'était mon rôle désormais de finir le travail.
Avec réticence, ma main commença à faire de lents vas-et-viens, pendant que j'approchais mes lèvres pour déposer un baiser dessus. Puis ma langue quitta ma bouche pour venir flatter son gland. Je continuais ainsi, puis soulevais son pénis pour en lécher le dessous, glissant lentement vers la base. Ma langue remonta ensuite le long de sa hampe, et je gobais le gland, faisant décrire à ma langue des cercles dessus. Enfin, je fis pénétrer son sexe dans les profondeurs de ma gorge.
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Bon, elle n'était pas sotte et assumait clairement la réalité des choses à laquelle Gabriel la soumettait, quand on en faisait trop, on assumait, et apparemment, cela ne la dérangeait pas, pas plus que cela ne la mettait en joie, c'est sur, mais bon, il ne fallait pas trop en demander non plus, il était clair qu'elle estimait n'avoir pas le choix ! Une belle erreur selon lui car même quand on a pas le choix, on a toujours le choix, elle aurait pu refuser et accepter la honte des commentaires publics et graveleux, donc elle avait fait un choix, qu'elle ne vienne pas dire qu'elle n'avait pas eu le choix !
Elle s'agenouilla et sortit l'arme de son fourreau de tissu pour commencer à la caresser de la main avec réticence avant de finalement commencer à jouer de la langue, puis des lèvres dessus. Bon et bien elle avait vite fait la mise en bouche de sa verge qui n'avait encore rien du piquet, non,ça tenait plus de la semi limace que du gourdin, il fallait le reconnaître, enfin bon, ce n'était qu'une question et une nana en train de tailler une pipe, ça avait de quoi accélérer le processus !L'ennui, si on pouvait vraiment parler d'ennui, était qu'au final elle ne prenait pas de plaisir physique dans cette histoire,pour l'instant cu moins, car puisqu'elle était un poil comme un pantin, il allait arranger ça ! Souriant, alors qu'il la laissait continuer, il lui dit :
« Glisse donc ta main entre tes cuisses, que tu sois sure d'être bien prête quand viendra le moment d'attaquer les choses sérieuses ! »
Une façon claire en même temps de lui faire comprendre qu'il ne s'arrêterait pas là, loin s'en faudrait, car il voulait tester intégralement la petite minette avant de la laisser partir sans une ou deux marques bien claires de son passage et de ce qu'elle avait fait...ou alors il continuerait enfin bref, occupons nous du moment présent !
Il plaça ses mains sur sa tête, agrippant ses cheveux et il maintint la tête avant de s'enfoncer aussi loin possible, il comptait bien faire taer ses testicules contre son menton ! Il maintint ainsi l(«épée au fond de sa gorgequelques instants avant de la retirer pour la laisser respirer, puis, aggripant la tête il se mit à donner des mouvements de plus en plus brusques et rapides dans sa jolie petite bouche.
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Le policier n'avait l'air qu'à moitié satisfait de ma fellation. Mais je ne cherchas pas à corriger le tir. J'assumais et faisais ce qu'il disait, mais je n'allais pas tout faire pour qu'il ait du plaisir. Et puis, il avait déjà son pénis dans ma bouche, ça devait suffisamment le stimuler, non ? Puis il me fit comprendre que je devais me masturber pour être prête à l'accueillir. Il pensait donc bien à me pénétrer en pleine rue... Finalement, je n'étais pas plus étonnée que ça. Par contre, je ne pouvais m’empêcher de me demander ce que lui risquait si on le surprenait au milieu d'un tel acte.
Je me rendis compte que je ne faisais que retarder l'inévitable. Aller, un peu de courage ma fille, ce n'est qu'un mauvais moment à passer. Je fis donc glisser ma main vers mon intimité, et entrepris de faire courir un doigt le long de ma fente. L'excitation ne tarda pas à monter, et le sang me grimpa au visage, tout comme il gonfla mes lèvres. Ma main s'agitait franchement sur mon intimité, frottant ma fente, pinçant mon clitoris. Mon nectar ne tarda pas à couler, formant de petites goutes courant sur l’intérieur mes cuisses.
Pendant ce temps, l'homme attrapa ma tête, et commença à pousser avec son bassin. Je sentis sa verge venir au contact de ma glotte, contact qui fut maintenu quelques temps avant qu'il ne recule. Mais ce fut pour mieux s'enfoncer à nouveau. À chaque poussée de son bassin, son pénis s'enfonçait toujours un peu plus profondément dans ma gorge. Et à chaque fois, j'étouffais un peu plus, avais des réactions de rejet. Je priais pour que sa jouissance vienne vite, je ne tiendrais plus très longtemps ainsi...
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Si on le surprenait au milieu d'une scène comme celle là qu'est-ce qu'on se dirait ? Que sa copine était bien bandante sans doute, mais on ne dirait pas grand chose de plus ! Ah, si ! Il risquait un blâme pour ça, mais il n'était plus vraiment à un blâme près ! Pourquoi se priver alors ? Il n'avait aucune raison de se priver ! Il lui suffisait de prendre son pied et après, le reste, il s'en foutait royalement ! Peut être avait-il tort, mais il était persuadé que non ! Elle serait un coup en coup de vent et il savait qu'il jouerait bien avec avant de la laisser là, peut même en emportant la robe qui sait....il eut une lueur malicieuse à cette idée !
Enfin bref, il continuait de lui pilonner la bouche et la gorge, déjà bien heureux qu'elle n'ait pas cette stupide idée de mordre dedans à pleines dents. Il allait aussi loin que possible dans cet endroit à chaque coup, n'hésitant pas à passer par des phases d'accélération assez intenses pour savoir que si elle commençait à avoir mal à la nuque, elle ne le montrait pas. Par charité, de temps à autres, il consentait, - quelle générosité.... - à sortir de cette grotte humide pour la laisser respirer, avant de reprendre de plus belle.
Mine de rien, ce genre de manière de faire donnait le ton, elle savait désormais que ce serait brutal et assez intense, non pas dans la sensation, mais dans son côté global, elle allait devoir résister à de sacrés assauts mine de rien ! Et il n'avait pas l'intention de jouer à un autre jeu que celui qu'il avait prévu, une marque d'égoisme sans doute, mais bon, c'était compréhensible, qui dirigeait ?
Il se foutait du temps qu'il passa ainsi, à lui déboîter la mâchoire à coup de butoirs, ses noix venaient claquer contre se menton quand enfin, il s'enfonça aussi loin qu'il le pouvait et alors que la dose de plaisir atteignait le bon niveau, il se déchargea complètement dans sa gorge, se retirant au fur et à mesure des jets de semence, lâchant le dernier sur son visage. Il vint plaquer son phallus contre le visage de la jeune femme, comme pour l'essuyer des filaments de foutre encore dessus.
« Nettoie moi ça et mets toi en place pour la suite. »
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L'homme continuais d'enfoncer sauvagement son pénis dans ma gorge. Il ne semblait pas se soucier de ce que je pouvais ressentir, seul son plaisir l’intéressait. Ce qui me fit sentir mal pour la suite des événements. Je craignais qu'il ne soit pas plus tendre avec mon intimité qu'il ne l'était envers ma bouche. En attendant, je commençais à avoir mal à la mâchoire, du fait de ses coups de verges incessants et insistants.
Puis il jouit enfin, et j'eus un haut-le-cœur. Sa semence fut projetée directement dans ma gorge, manquant de m'étouffer. Le policier sortit sa verge progressivement, pendant qu'elle continuait de cracher son liquide épais. J'en avalais une partie par la force des choses, puis les mécanismes de rejet du corps se mirent en route, et je toussais, recrachant son sperme. Une partie coula sur mon menton, puis mon cou, ma poitrine.
L'homme colla sa verge encore recouverte de sa semence contre mon visage, m'ordonnant de la nettoyer. N'ayant guère le choix, je fis courir ma langue le long de sa hampe, récoltant le sperme qui y était. Son goût amer et salé m'emplissait la bouche, je me forçais à l'avaler le plu vite possible, pour ne pas rester trop longtemps avec ce goût. Et quand bien même, il restait l'odeur...
Dès qu'il jugea mon nettoyage satisfaisant, il m'attrapa par les poignets, me forçant à me relever, et me retourna. Je sentis sa main appuyer sur mon dos pour me faire pencher en avant, ce que je fis. Je posais mes mains contre le mur quand je sentis son pénis venir frotter contre ma fente. Je fermais les yeux et tentais de me détendre, en prévision de ce qui viendrait...
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Souriant, il la vit s’appliquer à faire ce qu’il voulait d’elle, une chose était sûre, elle savait faire la soumise, elle savait faire plaisir à un homme, et elle savait parfaitement comment obéir, à croire qu’elle aimait être soumise, humiliée. Notez qu’une personne humiliée aime ça sans pour autant le montrer par un sourire, il avait déjà vu ça, un jour où il avait rencontré une femme qui était plus que ravie de jouer les soumises jusqu’au bout. Elle avait pleuré durant la séance mais avait avoué, honteuse, qu’elle avait adoré cela après coup, comme quoi…
Il l’avait appuyée de sorte à avoir libre accès à son entrecuisse et à un autre endroit aussi… enfin bref peu importait, le jeune homme souriait et doucement, pour la détendre, il lui caressa le dos doucement, comme pour l’aider à se détendre, le passage serait plus aisé sans doute ainsi…, doucement, sa main remonta avec l’autre, sa verge étant préparée, placée à l’entrée de son intimité, jusqu’à ses épaules qu’il massa un peu avant d’entrer en elle d’un mouvement plutôt doux.
Souriant, il commença à aller et venir, d’abord doucement, puis un peu plus vite augmentant la vitesse et l’amplitude du mouvement régulièrement. Il râlait doucement au fur et à mesure de ses mouvements, laissant glisser ses mains le long de son corps malingre, venant cajoler sa petite poitrine, la massant légèrement avant de laisser continuer ses mains descendre, glissant, rampant le long de son corps avant de la saisir fermement par les hanches pour la maintenir.
« Cale toi donc directement contre le mur pour avoir les mains libre et te toucher, va, tu verras, ce sera encore mieux ! »
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Contrairement à ce à quoi je m'étais attendu, l'homme me pénétra avec une certaine douceur. Étant donné la façon dont il avait violé ma bouche, pour ainsi dire, on aurait pu penser qu'il allait faire preuve de la même violence pendant l'acte. De fait, je fus quelque-peu surprise, et le faisais remonter dans mon estime. Bon, il était loin d'être en odeur de sainteté à mes yeux, mais je n'étais pas méchante de nature...
Puis il commença son office. N'oubliant pas que j'étais en pleine rue, même si elle était excentrée et déserte, je serrais les dents pour qu'aucun son ne sorte de ma bouche, pendant que son membre commençait lentement à écarter les parois de mon intimité. Du fait de mes caresses tantôt, et qu'il y allait doucement, ce ne fut pas aussi douloureux que ce à quoi je m'attendais, et j'aurais presque pu l'apprécier dans d'autres circonstances.
Puis le rythme alla s'accélérant, rendant ma résolution de rester silencieuse de plus en plus dure à tenir. Dans le même temps, ses mains courraient sur mon corps, et plus particulièrement sur ma poitrine. Inconsciemment, je me posais la question de savoir s'il appréciait mes seins, ou s'il aurait souhaité qu'il soient plus volumineux. J'avais déjà remarqué que les hommes étaient plus facilement attirés par une poitrine opulente, et je ne doutais pas que ce soit certainement le cas de cet homme.
« Cale toi donc directement contre le mur pour avoir les mains libre et te toucher, va, tu verras, ce sera encore mieux ! »
Je fus prise de court par sa remarque. Cette histoire de seins m'avait suffisamment distraite pour que je manque presque d'oublier ma situation. Enfin, façon de parler, car je sentais toujours son membre faire des va-et-viens dans mon intimité. D'ailleurs, le rythme avait considérablement augmenté depuis le début, surtout qu'il me tenait par les hanches, augmentant la force de ses coups. Je commençais à perdre pied, si je faisais comme il me disait, je n'étais plus sure de rien pour la suite. Malheureusement, je n'étais pas maitre de la situation, il fallait faire comme il me disait de faire...
Mettant un bras en travers du mur pour pouvoir y appuyer ma tête, mon autre main descendit le long de mon ventre caresser mon petit bouton. Je devais bien admettre qu'il avait raison, l'action de ma main rendait bel et bien l'acte plus agréable pour moi. Il n'en restait pas moins que je souhaitais que tout ceci finisse vite...
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La jeune femme ne prit même pas la peine de lui demander le pourquoi, elle s’appliqua à suivre ses consignes, il la regarda se caler différemment pour aller se toucher comme il lui avait conseillé, même si cela relevait davantage de l’ordre que du conseil dans le fond. Il continuait avec délectation ce qu’il pouvait davantage appeler un viol qu’un réel coït consenti, quoiqu’elle aurait sans doute pu s’enfuir….
Il sourit et regardant la jeune femme se toucher et se faire troncher en même temps, lui tenant les hanches, il pouvait très bien lui donner mal aux reins. Il pouvait très bien faire ce qu’il voulait de son corps en cet instant ! Il continuait ses puissants vas et viens en elle dont l’étroitesse vaginale lui offrait beaucoup de plaisir, mais c’était l’avantage des filles menues en fait… elles étaient plus étroites de partout.
De puissants, ses vas et viens commencèrent à devenir violents, très violents ! Pourquoi se gêner à faire comme il voulait, après tout, elle était toute à lui en cet instant !
« T’as un corps assez bien pour me faire jouir je pense… et vu que t’es une salope qui se trimballe sans culotte, tu dois te faire sauter souvent dans la rue, j’espère que c’est mieux que ce dont tu as l’habitude ! Hein ma petite pute ? »
Il fit remonter une main vers sa poitrine, lui saisissant le bouton de chair pour tirer dessus, le serrer, le pincer, le malmener de toutes les manières possibles entre ses doigts. Le jeune homme se faisait plaisir, le reste, rien à faire. Mais en fait, il avait une idée, au fur et à mesure des vas et viens, qui germait dans son esprit.
Faisant toujours son travail de marteau pilon dans son vagin, en soupirant d’aise, il envoya de petites ondes de choc électriques dans ses mamelons et dans le reste de son corps, en effet, l’électricité s’échappait de lui, même par sa verge. Ces courants, outre le fait de picoter un peu, sensibilisaient son corps, le rendant plus sensibles aux caresses, la rendant sensible à tout contact en fait, même le mur devait sembler lui offrir des caresses agréables. Il voulait qu’elle se lâche ! Seul point négatif ? Elle devait avoir l’impression que ses mamelons la brulait !
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Plus le temps passait, plus les mouvements du policier devenaient durs à supporter. Sa verge entrait et sortait comme un train furieux, et mon corps oscillait entre plaisir et douleur.
« T’as un corps assez bien pour me faire jouir je pense… et vu que t’es une salope qui se trimballe sans culotte, tu dois te faire sauter souvent dans la rue, j’espère que c’est mieux que ce dont tu as l’habitude ! Hein ma petite pute ? »
Son langage cru et grossier me choqua, mais quelque part, dans un recoin de ma conscience, ses mots attisèrent mon excitation. J'avais du mal à y croire, et pourtant, c'était ce que je ressentais.
Je n'eu pas le temps de m'apesentir sur ce mystère, car un violent coup de verge me ramena à la réalité. Mon vagin était toujours rudement pénétré par cette tige de chair, dont l'extrémité cognait au fond de mon orifice. Je sentais également sa main sur ma poitrine, qu'il malaxait à son envie. Il semblait prendre un malin plaisir à infliger autant de douleur que de plaisir.
À propos de plaisir... Est-ce une illusion de mon esprit, où est-ce que mon corps est soudainement devenu plus sensible ? Chacun des coups de reins du policier font exploser un feu en moi, mes seins me brulent de plaisir, même un souffle d'air me fait du bien. C'est à n'y rien comprendre, mais bien vite ça n'a plus beaucoup d'importance.
Mon corps ne reste pas sans réaction face à ce plaisir soudain, en particulier mon intimité. Je sens le long de mes cuisses mon nectar couler à flot, et mon vagin de faire des bruits obscènes et humides. Je serre les dents de toutes mes forces, je ne veux pas qu'un son sorte de mes lèvres...
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Plus le temps passait, plus il se montrait violent, plus il aimait cette violence qui, il le sentait, ne la laissait pas indifférente. Ou peut être était-ce le fait qu’il l’excite par induction nerveuse…. Sans doute les deux… et ses seins devaient bien la bruler, quoique parler de loches aurait été dur, vu la situation… elle était sacrément plate mine de rien la miss. Pas de quoi en avoir plein les mains !
Il était violent mais pas que dans ses coups de reins, en effet, ses mains se faisaient tout aussi violentes en effet, le jeune homme pinçait les boutons durcis et les tordaient sèchement, jusqu’à entendre les cris ou les gémissements de douleur. C’était d’un plaisant... au moins, après ça il ne serait pas avoir le seul à avoir souffert dans sa vie ! Sauf que elle, elle y aurait au moins pris son pied.
Le bruit que faisait ses mouvements de bassin dans son intimité ruisselante. Il était en extase devant la putain de jouissance qui se profilait. Mais il ne la voulait pas tout de suite, il n’avait pas encore assez joué avec elle. Non, il y avait encore quelques petites choses à faire, mais s’il se vidait les couilles tout de suite, il aurait moins de jus pour plus tard… et il voulait la voir honteuse d’avoir joui par ses mains.
Il retira son membre de la jeune femme, gardant une main dans son dos, appliquée sur ses reins pour l’empêcher de se redresser, son liquide pré-séminal gouttant de sa verge trempée de mouille. Il la cala entre ses fesses, pas de pénétration, rien, juste un endroit où la reposer en attendant la suite.
« Je vais te faire jouir sans plus te pénétrer tu vas voir, ma petite putain sans culotte… »
Il tordit violemment son mamelon droit avant d’introduire trois doigts dans son intimité et envoya un puissant courant électrique pour la forcer à un orgasme fulgurant, fluctuant d’intensité au fur et à mesure de ses mouvements de doigts qui n'avaient aucune douceur.
« Alors, ça fait quel effet ? »
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L'homme finit par retirer sa verge. Bien que je ne comprenne pas vraiment pourquoi, je lui en était reconnaissante. Ses derniers assauts, combinés à ses manipulations, m'avaient plus de mal que de bien, et je n'avais pas pu retenir quelques gémissements de douleur. Pourtant, je m'en doutais, il n'en avait pas fini avec moi, chose qu'il me confirma.
Il voulait me faire jouir, mais sans que lui n'ai un orgasme. Je ne comprennais pas, mais quand ses doigts écartèrent mes lèvres, j'eu rapidement autre-chose en tête. Il les agita ainsi à l'intérieur de moi, déclenchant des bruits de suscion, obscènes au possible. Plus de cyprine coulait de ma fente, et cette fuite permanente me rendait honteuse...
Soudain, une explosion d'une intensité inconcevable se produisit dans mon vagin. J'eu l'impression que la foudre m'avait frappée, à l'exception que ce n'était pas la douleur que je ressentais, mais le plaisir. Un plaisir infini...
Sous l'impulsion, je me cambrais, ma tête envoyée en arrière. Mes yeux étaient exorbités, et ma bouche grande ouverte, en un cri muet. Chaque muscle de mon corps se contractait violemment. Je restais ainsi un instant, avant de m'affaisser complètement.
Cette jouissance m'a laissée pantelante. Ma respiration est lourde, et mes sens partiellement inopérants. Aucune cellule de mon corps n'obeit à ma volonté, et elle-même n'est guère vaillante. Pour le moment, je ne suis capable de rien.
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Souriant, il la regarda s’effondrer, pantelante, elle avait joui comme un putain de bas étage, comme une salope de base qui avait eu ce qu’elle voulait, comme une nymphomane qui avait eu sa dose. Il sourit et la regarda, nue, effondrée au sol. Il s’approcha de son visage et lui caressa le visage du pied. Puis il se pencha et glissa ses doigts dans son minou inondé pour en ressortir les doigts pleins de cyprine. Il lui caressa le visage alors, étalant le liquide séminal sur son visage avant de finalement attraper les vêtements de la catin et les utiliser comme un torchon sur ses cuisses pour en virer les traces de mouille.
Avec un sourire il prit une de ses chaussettes longues il lui attacha autour du cou comme un collier et attacha l’autre comme une laisse. Puis il sourit et lui dit, pour s’amuser :
« Regarde moi ça, tu as jouis comme une nymphomane en manque, comme si tu ne souhaitais que ça : te faire troncher dans une ruelle comme une catin de bas étage. »
Il sourit et tout en tenant la laisse improvisée, il jeta dans le bac à ordure le reste des vêtements. Puis il la força à se lever quelque peu, assez pour frotter son sexe trempé par son jus sur son visage, longuement, avant de relancer :
« Je veux que tu me suces encore jusquà ce que je t’éclabousse le visage de foutre et ensuite…. Et bien ensuite…. Tu as déjà testé la sodomie ? »
Il avait un grand sourire sur les lèvres.
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Peu à peu, je reprennais le contrôle de mon corps. Ce fut juste à temps pour prendre conscience de ce que cet homme me faisait. Après m'avoir frotté le visage avec son pied, et étalé mes sécrétions sexuelles dessus, il avait confectionner une sorte de laisse à partir de mes bas, et jeté ma robe dans une benne à ordure non loin. Et dans un coin de mon esprit, quelque-chose se rebella.
Pour qui se prenait-il exactement ? Il croyait quoi ? Sous prétexte qu'il était policier, il avait tout les droits ? Une envie de vengeance nait en moi. Je vais lui montrer qu'il existe des personnes bien plus puissantes dans le monde. Plus puissantes qu'il ne pourrais jamais rêver de devenir. Je lui montrerai ce qu'est le vrai pouvoir, celui de tenir une vie dans sa main, de pouvoir l'écraser à volonté, sans que quiconque ne puisse l'empêcher. Je lui apprendrai sa place.
Mes doigts viennent presser ma boucle d'oreille. Bien qu'elles ressemblent à des perles, cette paire de boucles d'oreille est en réalité un dispositif de secours déguisé. La gauche est une balise GPS miniature, alors que la droite permet d'envoyer un signal de détresse d'une simple pression. Ce système, développé par les laboratoires de recherche Onoki, fait partie d'une vaste collection de projets tenus secrets, réservés à l'usage exclusif de ma famille. À l'instant où Wolfang recevra le signal, ce ne sera plus qu'une question de minutes avant qu'une escouade de nos forces spéciales n'arrive sur place.
Je me redresse complètement, et arrache le collier improvisé que j'ai autour du cou.
" Tu as dépassé les bornes... Il semblerait que tu aies oublié ta place. Et je pense qu'il me faudra te la rappeler. "
Je me doute qu'il le prendra mal, mais je m'y suis préparée. Ça ne fera que d'avantage alourdir les charges contre lui, et la dureté de ma vengeance.
Il ne faut que quelques minutes aux véhicules de l'escouade pour rejoindre ma position. Dans un concert de crissements de pneus, plusieurs véhicules d'assaut stoppent devant l'entrée de la ruelle. Immédiatement, des hommes en tenue militaire complète, arme au poing, en jaillissent. Une partie éloigne les curieux, tandis que l'autre, Wolfang en tête, se précipite dans la ruelle.
Le policier cherche évidemment à résister. Le premier homme à arriver au contact tombe, comme foudroyé par un taser, puis mon aggresseur commence à se battre contre mes hommes. Ce n'est que quand ils le menacent de leurs armes qu'ils parviennent à le maitriser, ce qui ne l'empèche pas de continuer à débiter ses insultes. Pendant ce temps, Wolfang m'inspecte du mieux qu'il peut, étant donné ma nudité, m'ayant donné sa veste pour me couvrir.
" C'est bon, Wolfang, ça ira. Quittons l'endroit avant de trop attirer l'attention.
Quant à lui, embarquez-le et mettez-le dans une cellule. Et trouvez-moi également tout ce que vous pourrez sur lui. "
Il ne faut pas longtemps pour que je sois évacuée. Et pendant le trajet de retour, je réfléchis à comment me venger...
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Les propos de pupute aristocrate étaient bizarres…. Avoir oublié sa place ? A elle de le lui rappeler ? Ben tiens, il ne manquerait plus que ça… Pupute ne ferait rien et se laisserait besogner comme une bonne putain ! Et Basta ! C’était aussi simple que cela ! Oui, ça se passerait très bien ! Elle n’était rien et allait bien vite se l’entendre rappeler ! C’était aussi simple que cela. Il la saisit par les hanches, lui relevant le fessier pour la besogner, prenant son temps pour lui faire comprendre la situation avec précision !
Le jeune homme sourit et s’apprêtait à la pénétrer sans préliminaire alors que soudain, tout sembla aller au ralenti, unun hummer débarqua, et de lui décscendirent des mecs armés. En soit, ; qu’ils soient nombreux état pas le problème, ; non, le vrai problème, c’était qu’ils étaient tous bien armés. Un des mecs lui sauta dessus il le mit KO d’un simple contact, trop facile ! Un bon choc éléctrique équivalent à un taser et hop, problème réglé.
« A qui le tour ? »
Finalement ils se résignèrent à utiliser l’arme qu’ils portaient. Et finalement iol se rendit. Il monta dans l’un des hummers et finalement il fuit conduit dans un lieu qu’il ne connaissait pas. On lui banda même les yeux pour qu’il ne voit pas le chemin qu’il avait emprunté au sein des couloirs. Finalement,il fut jeté dans une sorte de pièce complètemen,t fermée, sans barreaux, avec pour unique lumière des néons au plafond et des murs d’acier classiques. Dans la pièce il y avait deux gardes. Comme s'il ne savait pas comment réagir autrelent que pour la provoc', il s'approcha d'eux, l'un des deux eu un mouvement de recul ; Gabriel lui toucha le bras.
« Touché. Débile ! »
Il sourit avant d'ajouter :
« Tu sais que tu risques la taule pour séquestration parce qu'une pisseuse ne sait même pas assumer ses pulsion ? »
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Le trajet de retour fut une purge. Wolfang n'arrêtait pas d'en faire des caisses, s'inquiétant de tout un tas de choses, que je lui ordonna de se taire. Ce qui ne l'empêcha pas de penser un peu trop fort à mon goût. En attendant, un coup de téléphone mes opérateurs me permit de récupérer quelques premières données sur mon phénomène. Gabriel Valmy, un policier réputé pour être un sacré ripou. Bien, la seconde manche s'annonce intéressante...
De retour au manoir, et après un brin de toilette et le passage de nouveaux vêtements, je me rends où l'homme a été confiné. Au passage, on me tend son dossier, auquel je jette un œil. Je suis un peu déçue, c'est l'histoire cliché pour un type comme lui... J'aurais aimé quelque-chose d'un peu plus original que ça. Il faudra faire avec... Je prends quelques hommes avec moi, et entre dans la cellule a moment où ce Gabriel s'amuse avec les gardes.
« Tu sais que tu risques la taule pour séquestration parce qu'une pisseuse ne sait même pas assumer ses pulsion ?
- Assumer ses pulsions est une chose. Te servir d'objet sexuel pour assouvir les tiennes en est une autre. N'essaie pas de couvrir tes actes en rejetant la responsabilité sur les autres, Gabriel Valmy, ça ne te servira à rien ici. "
Je prends place sur une des deux chaise de la pièce, face à la table. L'autre chaise et juste en face, et je l'invite à prendre place, pendant que mes hommes se positionnent dans la pièce. J'espère qu'il comprendra qu'il n'a rien à gagner en jouant la tête brulée. Je pose le dossier de sa vie sur la table. Tout y est compilé, toute trace administrative existant à son sujet. L'avantage d'avoir de l'argent et de nombreux hommes de main...
" Comme tu m'as l'air d'être le genre de personne qui pense d'abord avec ses muscles, puis avec son pénis, je vais t'épargner l'usage de la tête, auquel tu ne dois être très habitué. Pour commencer, nous sommes ici chez moi, et ces hommes sont à mes ordres. Avant de tenter quoi que ce soit de stupide, laisse-moi te prévenir : ces hommes ont reçu l'ordre de t'abattre au premier geste agressif, et ont tendance à être un peu paranoïaques. Sois sage et tout ira bien...
Mais avant tout, j'aimerai que tu jettes un œil à ceci. Je pense que ça va t'intéresser... "
Tout en parlant, je pousse le dossier dans sa direction. J'ai hâte de voir sa réaction...
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Apparemment la pisseuse en question arriva à ce moment là, sur ces entrefaits, puisque ce fut elle qui répondit. Elle répondit une stupidité sans nom et qui ne collait pas avoiec sa fente mouillée et ses couinements de plaisirs un peu plus tôt D’un seul coup, elle paraissait énormément moins crédible dans le rôle de cerveau machiavélique… non, on aurait juste dit une petite fille riche qui veut jouer aux grands. Il sourit, goguenard, attendant la suite. Elle l’inviota à s’asseoir et d’un simple regard il l’invita à se faire foutre sans une seule parole grossière.
Bien, elle connaissait son nom, bravo elle avait vu sa carte d’identité et son badge/… il fallait reconnaitre le miracle. Elle savait donc lire ! Donc elle était plus qu’une petite fille riche, elle était une petite fille riche lettrée ! Attention, ça commençait à devenir dangereux. Il sourit fit mine de’ l’écouter tout en faisant de légers gestes comme un bâillement par exemple, pour montrer qu’elle parlant plus ou moins dans le vide et plutôt plus que moins.
Néanmoins, il prit le dossier, curieux tout en sachant ce qui apparaitrait : son passé sans doute, rien de bien folichon. Elle voulait sans doute le menacer avec cela. Elle en avait du courage, dis donc. Tenter d’impressionner un flic…. Elle avait du cran, quoique, non, le cran, ça aurait été de venir seule avec un dossier trouvée par elle sans aide, et sans gorille pour s’assurer de sa coopération… c’est amusant comme deux gorilles étaient là pour décréditer tous les travaux.
Il finit par s’asseoir, pieds sur la table, vautré comme s’il était chez lui, avant de balancer à la jeune femme, sur un ton railleur et moqueur :
« Bravo, t’as bien fait tes devoirs pupute, mais tu as commis plusieurs erreurs en fait. La plus grosse est d’avoir fait venir une telle intervention musclée pour me choper. Une telle intervention et une telle logistique inutile car si je le désire, je peux m’échapper quand je veux… ils ne me tireront pas dessus. Réfléchit, on m’ a vu monter dans un hummer de SMP avec des plaques immatriculées pour une société qui appartient à papounet – aussi débile que sa fille apparemment – tu crois que si je ne réapparais pas, on se tournera vers qui pour les explications ? Petite idiote. Donc non, ils ne m’abattront pas, quand à une balle tirée ailleurs, dis-toi que je m’en remettrais et que je parlerai à qui de droit et qui aura des ennuis pour séquestrations, coups et blessures et tentative de meurtre ? Faut pas se faire des hallus, les procureurs détestent ceux qui tentent de tuier les flics…. Et papounet aura de gros ennuis que les meilleurs avocats du monde auront du mal à faire lever… à toi de voir ce que tu veux faire, mais je te laisse une heure pour me faire sortir d’ici. Sinon, je sors par la force. »
Il regarda la gamine les yeux dans les yeux.
« Alors bon, je me montre généreux, je te laisse me faire la proposition pour laquelle tu es venue, puis je te dirai d’aller te faire foutre, chose qui sera le cas dès que tu sortiras de cette salle parce qu’il faut bien occuper tes gorilles et te prendre des queues à longueur de journée et plusieurs en même temps semble être ton principal moyen de prendre ton pied… »
Il se redressa, se leva t se dirigea vers la porte comme si c’était lui qui avait les goreilles et elle qui était la prisonnière. Il s’arrêta à un mètrre de la table pour lui lacer, comme s’il s’en souvenait juste :
« Oh et j’oubliais un détail, quand on veut mettre la pression à quelqu’un on se renseigne, on lui balance pas tout en bloc. Et si tu tiens à la vie de tes gardes, tu lkes fera se poster à l’extérieur la prochaine fois… »
Il tendit les mùains, vers les gardes : leur ceinture se défirent et les futals tombèrent au sol.
« Voilà, je te les ai préparés ! Suffit que tu leur fasse une pipe et ils sont prêts à te dérider les conduits ! »
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Décidément, ce Gabriel avait un don quand il s'agissait de taper sur les nerfs des gens. Non content de se moquer de moi, il alla jusqu'à défroquer les gardes en suggérant que j'étais juste bonne à être leur pute. Je crois qu'une mise au point s'impose.
Je claqua des doigts. Un signe convenu à l'avance. L'un des gardes sortit son arme de son holster, et tira sur le policier, droit dans la cuisse. Pas une blessure handicapante, du moins sur le long terme. Dans l'immédiat, par contre...
" Oh, pardon, tu disais ?
À mon tour de te révéler deux ou trois choses, M.forte-tête. La société dont tu parles est à mon nom, figure-toi. J'en suis la fondatrice, la directrice, et l'unique cliente. Rien à voir avec mon père.
Quant aux menaces que tu fais... Laisse-moi te dire qu'elles ne marchent pas. Si j'ai envie de te voir mort, ce n'est pas un problème. Il ne reste plus qu'à aller se débarasser de ton corps ailleurs. Les quartiers de la Toussaint, par exemple. Un policier réputé pour être un fauteur de troubles notoires, tu crois que les enquêteurs iront chercher loin ? Non, ils se diront tout simplement que ce coup-ci, tu es tombé sur un trop gros morceau, et puis c'est tout. "
J'espère que cette fois, il comprendra. De toute façon, j'ai encore des cartes à abattre.
Je m'approche de lui, et me penche, alors qu'il se tient la cuisse. Sans hésiter, j'appuie là où la balle l'a touché, et bouge mon doigt.
" Ce n'est plus la même partition, hein ?
Enfin, ce n'est pas l'envie qui me manque de te voir agonisant, mais j'ai mieux à te proposer. Un élément comme toi peut avoir sa valeur, je pense que tu pourrais m'être utile. Mais bien sur, tu vas refuser, pas vrai ?
C'est pourquoi je te propose un marché. Vois-tu, j'ai été étonnée de voir que c'était la même personne qui t'avait jeté en prison et fait entrer dans la police. Je ne peux m'empêcher de penser qu'il y a quelque-chose entre vous deux. Alors voilà le marché : si tu ne veux pas la voir arriver chez toi en kit, tu restes bien sage, et tu attends mes instructions, c'est clair ? "
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Y a vraiment des jours où il devrait apprendre à fermer sa grande gueule le Gabriel. Ouais, sincèrement. Parce que là… franchement, il l’avait ptêtre un peu méritée cette balle dans la cuise. Mais ce n’était pas une raison ! Il avait pris une balle quand même ! Mais pour autant il n’émit pas le moindre son, il se contenta de serrer les dents et de faire un garrot de ses mains. Oui, tout bêtement !De toute manière il ne pouvait rien faire de plus alors bon.
Il n’avait jamais tué quelqu’un sauf en cas de légitime défense, mais sur le coup, il avait une furieuse envie de lui faire sa fête et de la faire griller comme un hareng saure. Et ce n’étaient pas les gorilles (dont ils n’avaient même pas le QI, le leur devaient se rapprocher de celui d’une huitre, et encore, c’était un euphémisme) qui pourraient l’en empêcher, bien au contraire, si jamais il crevait, il faudrait bien que l’électricité s’échappe de son corps ! Ils crèveraient eux aussi…
Elle lui développa la situation, ce dont il n’avait rien à foutre, sérieux, ça changeait quoi qu’elle soit la patronne au lieu de papa ? Quand à la possibilité de se débarrasser du corps facilement, il ne la détrompa pas, mais elle se faisait des illusions, il avait beau être peu apprécié, se mettre à dos Tsubahana de la ville était déjà une très mauvaise idée, mais en plus croire que, même si on ne l’aimait pas beaucoup, on laisserait la mort d’un flic non résolue, elle serait sans doute bien surprise, mais vas y gamine fait la mariolle ! ça va être marrant ! Amuse toibien, la prison pour femme tu apprécieras aussi, elle se croyait Ptetre à la tête d’une mafia ? Non mais sans déconner ! On aurait dit un putain de remake de ces vieux films de mafiosos italiens complètement à chier… elle se croyait dans le parrain ? Y a jamais eu de marraine, juste des pute haut placées…
Putain ça fait quand même mal c’est saloperie de balle dans la cuisse. Il la laissa tout de m^=ee croire qu’elle était en position de force. Il la tuerait lui-même, de ses propres mains si elle ne cessait pas vite ses conneries et ce n’étaient pas deux gardes du corps à la con qui changeraient quelque chose à ça. Elle toucha la plaie, ravivant la douleur, il se contenta de serrer les dents, tenant aussi fort que possible son garrot. A tous les coups un morceau de jean serait dans la plaie, auquel cas il fallait vite enlever ça ou ça allait suppurer…
Elle était morte, elle ne savait juste pas encore. On menace Gabriel tant qu’on veut, mais jamais ses proches. C’était une règle d’or ! Et elle était passée outre. Elle était morte et elle ne le savait pas. Une morte qui marche avant de s’écrouler et c’était lui qui la ferait s’écrouler ! Elle avait presque servi sa propre tête sur un plateau d’argent… Il avait pâli et lâché le garrot, mais il y avait des limites à ce qu’il pouvait encaisser tout de même. Quand il prit la parole, ce fut froid et calme, il n’y avait plus la même fureur violente et chaude que toute à l’heure. Peut être parce que son attention était toute tournée vers la douleur.
« Si vous osez toucher au moindre cheveux d'un de mes proches, je vous jure une chose : vous avez intérêt à m’abattre avant, parce que sinon, vous ne serez plus en sécurité nulle part. Vous aurez peur de tout ce qui vous entoure et ce jusqu’à ce que je daigne vous offrir une mort lente et douloureuse. Si je le voulais vraiment vous seriez morte et je ne me soucie pas assez de ma propre vie pour songer à la préserver. Peut être qu’ils m’abattraient, les deux colosses au regard vide, comme leur crâne, mais vous seriez mortes avant même qu’ils n’appuient sur la gâchette. »
Il n’y avait pas de menace dans sa voix, juste une colère difficilement jugulée, de la douleur maitrisée et surtout, une promesse. Même se servir du téléphone pourrait devenir dangereux pour elle s’il s’y mettait vraiment. Mais là, physiquement, il y eut un crépitement dans l’air, tellement de crépitements le suivirent que l’atmosphère de la pièce fut chargé d’électricité statique à en faire dresser les cheveux sur la tête !