Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Centre-ville de Seikusu => Le quartier de la Toussaint => Discussion démarrée par: Yuri Eshitaka le vendredi 07 novembre 2008, 20:15:45
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Décorer et encore décorer c'était bien, mais il fallait aussi des meubles pour poser les bibelots et autres. Un anticaire ventait ses services minutes et ses piees d'une grande rareté pour un cout minime dans une citée universitaire féminine. Trouvant cette annonce par hasard sur cette publicité qui promettait plus d'une merveille dans cette caverne d'antiquité.
Avec un sourire aux levres, la jeune femme décrocha une adresse et la glissa dans sa poche avant d'aller travailler. Sa journée fut longue, éprouvante et terriblement ennuyeuse, mais l'idée d'aller triffouiller dans le magasin d'antiquité de ce Dorian Garan. Si la moitié de son annonce était vraie, la jeune femme pourrait sans doute meubler une bonne partie de son appartement pour pas cher. Surtout que cet homme charmant se propose pour amener les articles a domiciles si ces derniers sont encombrant. Serait ce un autre homme serviable comme il ne s'en fait plus.
C'est alors, vers 17h30, que notre dactylo vétue de son chemisier blanc sous sa veste noire et sa jupe mi longue, lui donnant un air de femme d'affaire tres distingué a la limite de la femme fatale tueur a gage, sortit de l'entreprise d'un pas leger, un peu dans la lune a dire vrai. Yuri avancea avec précautions, meme si la batisse du maitre antiquaire n'était pas dans la zone la plus sensible du district Toussain, elle était quand meme dans ce quartier qui n'a bonne réputation que pour les filles de joies pas trop chere et assez doué.
342... 343... la voila. Il y a quelqu'un? Monsieur Garan?
La voix douce de la jeune femme transpersa la porte dont l'interieur était renforcé en acier alors qu'elle toquait sur le bois pour demander l'ouverture de la porte. Ce qui aurait due mettre la puce a l'oreille de la jeune femme était le fait qu'aucun commerce concurant n'était posté aux alantours, une simple boite de nuit en plein air était disposé a l'angle de la rue. Pauvre monsieur Garan, ses nuits devaient pas etre de tout repos...
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En effet ses nuits n'étaient pas de tout repos, mais pour une autre raison. Et a lui de sourire a cette remarque...L'antiquaire marchait bien, Don était content de son affaire, il piegeait de nombreuses filles dans cette boutique qu'il sortait après par la ruelle de derrière qui était un passage vers Terra, pieds et poings liées vers le marché ou vers la salle où il continuait a les éduquer si jamais elles se montraient rebelles. Mais bref, pour le moment Don était en train de cliquer sur internet. Il avait pris des cours d'informatique regulièrement car il avait découvert il y a peu de temps Internet et ses possibilités, notament en termes de sites...Eh oui, il était temps de rentabiliser un peu ses affaires. Car si sur Terra ses affaires marchaient bien, l'esclavage était aboli sur terre, en vendant des esclaves a des nobles désirants, il se ferait facilement 10 fois son chiffre d'affaire. Il les vendrait a un prix honteux, persuadé que les terranides et autres se vendraient plutôt bien. Avant ça il envisageait aussi d'installer des caméras dans ses installations dans le but de mettre des videos de ses actes sur internet. Tenir un site pour gagner plus.
Les gens adoraient ce genre de videos de rapports a l'arrachée entre personnes non consentantes, voire mineures. Don ricanait dans sa tête sur le profit qu'il tirerais de cette entreprise quand soudain on entra dans la boutique et on l'interpella. Il leva les yeux vers la créature de rêve qui venait de pénétrer chez lui et sourit...Visiblement ses annonces dans le journal marchaient. Il n'avait jamais vu cette personne avant, mais elle étaient très belle, bien faite de sa personne et assez oppulente. Il sentait qu'il allait beaucoup s'amuser avec elle, car il la préssentait encore innocente. Et ce fut ce qui décida Don a celà. Il éteignit son ordinateur portable et se leva pour serrer cordialement la main a Yuri
"Bonjour!Bienvenue dans ma boutique d'antiquitée, je suis le propriétaire, Dorian Garan."
Fit il, a la base il serrait la main pour être plus formel, sans penser a mal, mais le contact supprima évidement les pouvoirs de Yuris pour 4 a 5 minutes, rien de bien méchant néanmoins et elle ne s'en rendrait compte que si elle essayait de les utiliser dans cet interlude de temps, il montra les environs et fit
"Faites votre choix je vous en prie."
La plupart des choses se trouvant dans le magasin appartenaient au plan de Terra, il était facile d'être antiquaire quand on pouvait se procurer des meubles d'époques, certains portaient même des sceaux de familles inconnues sur terres dont Don avait capturé les filles et pris possession de leurs richesses, encore une autre histoire. Il s'assit au bureau et lança
"Vous êtes ma première cliente depuis longtemps, vous vivez dans le quartier?"
Commença t'il amicalement, il fallait qu'il sécurise la cible et fasse en sorte que la porte soit fermée comme ça elle ne fuirait pas
"Vous cherchez quelque chose en particulier?"
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La porte s'ouvrit en grand laissant un ogre sur le passage, Don était un monstre de plus de deux metres de haut sur plus d'un de large, a lui seul il encadrait quasiment toute la porte. Cette montage de muscle parfaitement intimidente lui souhaita un accueil chaleureux d'un téatral digne des meilleur, quoi que, il était bien content de voir une proie de cette manufacture la entrer dans sa boutique. Son mensonge était donc réaliste car il contenait une lourde part de réalité.
La poignée de main fut formelle et la belle, dont le pouvoir était savament bridé ne vit pas la différence entre avant et apres ce contact et donc ne put se méfier de cet homme menacant a la voix si chaleureuse. Contrairement a beaucoup de femme, les hommes bien musclé et tres imposant ne l'attirait pas tellement, elle préferait les gens plus simple, sans grande carure mais avec un charme particulier. Enfin, on est pas la pour parler gout en matiere d'homme, quelque chose dans l'air lui fit bisare. Dorian lui meme! Il était bazané tout comme elle! C'était peut etre une pure coincidance, mais il venait peut etre de la meme terre qu'elle et donc pourrait l'aider.
Enfin, quand le rapprochement sera fait.
Merci pour votre accueil chaleureux monsieur Garan...
Sur son invitation, la jeune femme put mettre l'annonce a l'épreuve, c'était en effet merveilleux, des meubles qui avaient été étiqueté en temps que post moyenageux semblaient presque neuf entre ces quattres murs. Fort heureusement pour le propriétaire de la boutique la jeune reptile n'avait pas appris a devenir hérault et ne connaissait donc pas les banieres et écusson des familles de Terra. Sur ce monde, dans sa jeunesse, elle avait entendu parlé d'un homme massif dont on devait se méfier a la cour car il avait déja emporté, violé et revendu en temps qu'esclave nombreuses filles de la bourgeoisie... comment s'appelait il déja? Fichu mémoire sélective, Yuri ne put mettre le nom sur cette description plus que sommaire.
S'arretant devant un meuble en bois d'acajou et avec les étageres en chaine blanc, la jeune femme sourit sur le prix atrocement bas et la manufacture de qualitée en taporant dessus.
J'aimerais vous acheter ce meuble, il est parfait.
Yuri était loin de se douter de la raison de ces prix atrocements rares, c'était en général parce que personne ne les lui achetait, c'était ceux qui voulaient acheter qui finirait vendu, peut etre qu'elle ferait exception a la regle... Se ressaisissant a la question resté sans réponse du proprietaire, ja jeune femme se redressa et avec un leger far sur sa peau de peche répondit d'une voix legerement intimidé
Heu... je cherche des meubles pas trop grose dans le genre de celui que je viens de vous montrer, j'aimerais une commode et un autre buffet comme celui ci. En disposez vous?
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Don continuait a jouer les gentlemens pour le moment, après tout celà lui allait si bien, ignorant completement que Yuri était surement la plus dangereuse ESPer qu'il ait jamais rencontré, si il savait qu'il suffirait d'une morsure de Yuri pour qu'il meure en quelques seconde il aurait pris bien plus de precautions pour ne pas la lacher d'une semelle. Ca allait jouer a la chance, soit Yuri découvrait le pot aux roses avant qu'il n'aie supprimé son pouvoir, et a ce moment là il risquait de mourir ici et maintenant, soit il la touchait et a ce moment là la relation serait a sens unique, puisqu'elle ne pourrait plus rester une femme serpent. Après quoi il était facile de se procurer des bracelets pour annuler les pouvoirs des ESPers a Nexus, donc tout ce qu'il avait a faire c'était survivre assez longtemps pour se rendre compte que pour une fois, le pari qu'il faisait était vraiment discret, mais il ne rennoncerait surement pas pour ça, car le jeu en vallait la chandelle, et le risque, il adorait ça. Bref, il regarda un peu la commode et sourit. Elle ne l'aurait jamais car elle ne sortirait pas de cette boutique...Bref, il la regarda et la complimenta a propos de son choix qu'il jugeait judicieux.
"Vous faites une affaire, c'est un très bon meuble que vous avez là. Ne croyez pas que je dis ça a tous mes clients."
Fit il avec une gentillesse palpable. Yuri était minuscule contrairement a lui, mais ça le changeait déjà des lycéenes qui étaient la plupart de ses victimes, là il avait une femme un peu plus mure dans ce magasin et il allait bien s'amuser avec...Après tout, il avait comme un sixième sens pour sentir les vierges, et là il ne se trompait pas, ce sens le stymulait. Don écouta la requête de Yuri et répondit très poliement
"Je ne sais pas si j'ai ce que vous voulez, je peux vous inviter a regarder dans la piece d'a coté pendant que je vais prendre les references de ce meuble, mais j'apprecie de voir des gens qui savent apprecier la bonne manufacture, mademoiselle?"
Fit il, histoire de prendre son nom, après tout il était normal qu'elle le lui donne, puisqu'elle connaissait le sien, il la laissa passer derrière un rideau de perles et en profita pour verouiller discrètement la porte de la boutique...Bien...Il allait pouvoir commencer une approche, il ne savait pas vraiment par ou commencer...Ne se doutant pas qu'elle venait de Terra, et Yuri ne se doutant pas qu'il était le chasseur d'esclave légendaire. Il ne manquerait donc pas a sa reputation...Toutes les filles rencontrées jusque là avaient toutes fini par tomber entre ses griffes, et Yuri en serait l'une d'entre elles. Il lança avec politesse une fois qu'elle eut fait le tour du propriétaire
"Si celà vous interesse je possède également une collection de vetements anciens qui se trouvent dans la buanderie un peu plus loin ainsi qu'une cabine d'essayage, ils sont a un prix assez bas."
Il y avait de tout, allant du costume de soubrette a celui de noble, en passant par de nombreux costumes d'ancien temps...Il esperait qu'elle allait en mettre un et ensuite il lui ferait faire une petite excusion dans son cabinet privé
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Correct, Don était pas dans la merde avec ce genre de pouvoir, ce n'est pas quelques sedondes qui la tueraient, non, c'était meme pas une seconde, on dit que le venin qu'use Yuri est aussi efficasse que celui des poisson de la mort mais bien plus rapide, le concentré neuroplexique et neurotoxique et si grand que l'on en meurt sans meme sentir la piqure des canines surdimentioné. De plus, son pouvoir, aussi chiant pour la gente féminine fut il pensé n'est pas tout blanc, si l'antiquaire touche la jeune femme alors que ses yeux sont bordé d'or c'est le passage de serpent a humaine qu'il bloquera et par ce fait, son arret de mort il signera, enfin, dans le sens de la téhorie, en pratique, c'est pas encore breveté...
Ce qui est dangereux quand on aime le jeu c'est que l'on peut parier gros sur ce qui ne vaut pas la peine d'etre risquer. Une vie pour une partie de jambe en l'air, ce n'est pas ce qui est un rapport équitable enfin pour le commun des mortels du moins.
Le compliment de Don était sincere et il fit rougir un peu plus la jeune femme d'un autre monde. Il ne savait pas si il avait d'autres articles dans le gout de ce magnifique buffet? Bien, c'était un peu compréhensible, son magasin recelait de tant de merveilles que le colosse pouvait facilement perdre deux ou trois objets. Réveuse, la jeune femme ne comprit pas tout de suite qu'il demandait son nom de maniere professionelle, mais, d'une maniere tout a fait adorable, la belle remonta sa main a son visage en cachant sa bouche et son nez de maniere tout a fait charmante avant de se reprendre.
Je m'appelle Eshitaka Yuri...
Peut etre que Dorian connaissait l'histoire des préfixe Eshi chez les nobles déchuts de Nexus, si ca se trouve, c'est lui la raison de cette dégradation de situation et peut etre meme de l'infertilité de sa mere. Yuri s'était toujours demandé pourquoi son nom commencait par pervers...
Enfin, cette question ne risquait pas d'etre posé, la jeune femme pensait que l'ogre était un étranger venu du continent qui s'était instalé ici avec des antiquité tres typé européene. En tout cas, lorsqu'elle passa le rideau de perle, la surprise ne fut que plus grande: ce magasin était un nid a traisor, Don serait il un pilleur de tombe? Mais il n'y avait pas ce que la belle brune cherchait, malgré toutes les merveilles, seul ce meuble convenait a la jeune femme.
La voix du vendeur s'éleva dans la piece et l'informa qu'il possedait aussi des costumes dépoque, poliement, la jeune femme répondit de sa voix douce et tranquille, comme si elle savait etre autre chose...
Non merci monsieur Garan, j'ai lue sur l'annonce que vous livrez les grosses pieces a domicile, si vous pouviez mener ce buffet chez moi, tenez, c'est mon adresse, j'ai laissé mon numéro de téléphone pour que vous puissiez me prévenir de l'heure a laquelle vous comptez venir chez moi, j'arrangerais mes heures de travail pour vous recevoir de la meilleure maniere possible.
Pendant ses paroles, la jeune femme, allant a l'encontre de tout les plans de l'esclavagiste s'était rapproché du comptoir et avait déposé un papier simple mais contenant toutes les informations de positionement nescéssaire pour que le meuble lui soit livré.
Je vous payerais comptant a la réception du meuble et je vous invite a concerver cette noter au cas où vous trouviez les objets que je vous ai listé en plus de celui ci.
Apres avoir parlé avec sa grande douceur et son tacte de secrétaire faisant un rapport détaillé, la jeune femme s'inclina profondément pour le saluer avant de se retourner vers la sortie sans doute verouillé, mais peut etre plus pour tres longtemps. Si Don n'est pas trop vénal, peut etre se contentera t il de lui conseiller un endroit derrière le rideau suceptible d'abriter l'un de ses meubles pour avoir le temps de déverrouiller la porte et récupérer le paiement de maniere plus naturelle que monétaire.
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Eshitaka...Ca lui disait quelque chose, peut être avait t'il violée une femme noble avec ce nom il y avait quelques années de ça, il y avait eu un scandale...Et ils avaient du renoncer a la plupart de leur titre...Bah, encore une de ces histoires de mariages qui n'étaient pas blanc a la base, et qui ne pouvaient pas l'être puisque Don avait pris possession de la mariée. Il s'en souvint alors, juste avant la cérémonie, il était entré dans une église pour esquiver des gardes voulant lui poser quelques questions a propos de son commerce, il s'était retrouvé nez a nez avec une belle mariée, seule dans son confessoire et il avait entrepris de passer le temps avec elle. Il avait eu le temps de finir sa besogne et de partir, sortir cette femme bien que belle pour aller la revendre dans cette église qui commençait a se remplir était bien trop risqué pour qu'il le fasse et il avait abandonné sa proie a contre coeur. Et puis il avait quelques années de moins a l'époque, son cerveau machiavélique n'était pas aussi comploteur que maintenant. Mais néanmoins a l'époque il se rappellait de quelque chose qui l'amusa.
En imaginant la tête du marié qui rejoindrait sa femme et la trouverait a moitiée nue dans sa chambre, sa semence encore chaude en elle...
Peut être était ce leur fille?Non, elle était trop vieille...alors elle devait être de sa famille ou bien peut être sa soeur, bref, elle était relatée a elle et il comptait bien faire de ce qui était arrivé a la mère de Yuri une généralité. elle avait un corps de rêve et c'était un crime de ne pas le mettre a profit. Après tout, d'après sa philosophie, n'était t'elle pas faite, comme toute femme, pour le servir?Il allait vérifier cette rêgle...
Mais finalement elle refusa son idée de porter un costume d'époque, qu'a celà ne tienne, il la prendrais en costume, il s'appretait a prendre sa carte de visite en effleurant sa main avant de l'emmener dans la chambre, quand soudain, elle lui dit être dans l'incapacité de prendre le meuble tout de suite. Hm, comme elle était sa première véritable cliente tout celà était logique. Il n'y avait pas pensé, il regarda l'adresse sur le papier et lui répondit
"Je peux vous l'ammener dès ce soir après la fermeture de la boutique."
Fit Don avec enthousiasme tandis qu'il passait de l'autre coté du bureau, il se rappella alors que la porte était fermée. D'un pas lent il dépassa Yuri et saisit la poignée de la porte.
"Après vous."
Il donna un coup sec en poussant la poignée vers le bas, un homme avec une force normale n'aurait pas réussit ça, mais Don fit revenir le loquet en arrière et ouvrit la porte
"Elle est un peu dure de l'interieur."
Fit il pour se justifier tandis qu'il saluait Yuri et regardait l'adresse.
C'était pour ce soir.
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Vers 19 heures Don vint sonner a sa porte
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Si Don avait bel et bien violé sa mere alors qu'elle portait encore le nom de Taka ca devait etre il y a pres de vingt ans... Ce n'était probablement pas lui, il était bien trop jeune en apparence pour etre celui qui a rendu sa mere infertile et valut un scandale monumental qui radiat le couple de la comunauté de Nexus. Cependant son pere disait avoir une soeur, peut etre que cette personne s'était retrouvé la victime de ce violeur invétéré.
Don avait raison pour sa philosophie et la jeune femme n'en pensait pas moins, Yuri avait été elevé par sa mere pour servir son mari et son peuple comme doit le faire une vraie noble. Le point de vue des parents de Yuri sur la noblesse différencié de beaucoup de noble, pour ne pas dire la totalitée. Pour les Taka, etre noble signifie servir et aider son peuple et donc ils étaient parmis les plus pauvres de la cité état, mais le district sous leur comandement était resplendissant de vie et de bien etre. Enfin, c'était les histoires que sa mere lui racontait les soirs pendant son éducation. Une personne qui en a d'autre a sa charge, un maitre par exemple doit servir tout ses serf pour que ces derniers vivent le mieux possible. Cette pensé d'une vraie noblesse que la décadance de Nexus ne pouvait comprendre disparut lorsque la soeur du pere de Yuri fut exécuté pour adultaire pré-mariage.
Le jeune homme colossal eut donc le bon sens de ne pas risquer de se faire tuer sur un geste déplacé, il avait beau etre massif, le temps pour saisir une personne est d'environ 4 secondes, le temps pour un serpent de sortir les crocs et de mordre est de une a deux secondes, l'esclavagiste serait mort avant de toucher celle qu'il voulait avoir de force dans cette optique mathématique simple.
Il la livrerait a la fin de la journée apres le travail? Ca fait dans les 19 20 heures ca... Bon, tres bien, la maison serait propre pour l'accueillir, le meuble bien évidement, elle ne pensait pas une seconde a lui, bande de pervers!
Don ouvrit la porte de maniere plutot seche ent brisant le vérrou tout en se justifiant que la porte était aussi antique que ses plus vieille pieces. Une personne observatrice et plus méfiante que l'Esper aurait remarqué que le vérrou était défoncé et qu'il manquait un morceau de la fermeture de porte qui avait volé sur un tas de journaux. Donc, la jeune femme le crut, c'était plausible si on ne voyait pas la porte totalement fracturé comme si elle avait été ouverte a coup de fusil.
Tres bien, je vous attendrais aux alentours de 19 heures, je suis dans l'appartement 69 au premier pallier, j'espere que vous n'aurez pas trop de mal a monter le meuble.
Le soucis, c'est que Don ne voulait pas monter un meuble mais autre chose, mais qui pouvait s'en douter derriere ce role parfaitement exécuté? Bien sur la jeune femme était un peu trop naive et confiante dans le fait que cet homme aux bonne maniere ne pouvait pas etre le monstre qui valait sa réputation.
La journée passa comme tout les jours, Métro boulot et bientot dodo, enfin dans le plan général ca devait etre ca...
L'interphone s'enclancha aux alentours de 19 heures, Yuri alla décroché et lorsque l'antiquaire factis se fut identifié, lui ouvrit la porte de sécurité en indiquant présisément où était son appartement. Quelques secondes apres, le jeune homme frappa a sa porte et par le judas elle l'identifia clairement.
Je suis a vous dans une minute!
Elle n'avait pas idée de la céracité momentané de ses paroles. La jeune femme, comme toute les femmes, avait prit du retard lors de sa douche de son épilation mensuelle et était donc en robe de bain, c'était un magnifique peignoir noir qui donnait l'impréssion d'avoir été teint par ses cheveux. Apres avoir enfilé un jean troué au genoux par dessus un string noir et une chemise d'homme couvrant sa poitrine protégé d'un soutiens gorge violet, la jeune femme défit les verrous pour laisser voir son visage et sa tenue décontracté au colosse.
J'espere que vous n'avez pas eut trop de mal a trouver, si jamais vous avez besoin d'aide, j'ai prévenu mon voisin, il est gardien dans un hopital psychiatrique et a une carrure similaire a la votre, il pourra sans doute rendre votre travail moins pénible, il habite juste en face, au 62.
C'était tout elle ca! Donner le plus de sa personne pour aider les autres, apres tout, Yuri avait été elevé comme ca par sa mere et jusqu'a présent elle avait toujours était une tres bonne représentante de la phylosophie que lui inculquaient ses parent, enfin ceux qu'elle considérait comme ses parents pas ceux tué d'une legere injection de venin dans la carotide et la seconde veine du coude (celle des prise de sang et piqures Junky)
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Don avait monté la comode sur son dos le long des escaliers sans problème. Bien sur, il faisait de l'exercice physique régulièrement, mais c'était bien de rendre ça utile. Il n'était évidement pas venu a pied et avait utilisé la cammionette banalisée qu'il utilisait généralement pour transporter ses prises de Terre a Terra en passant par la ruelle qui le menait de l'un a l'autre.
Mais là il devait y mettre un meuble, qu'a celà ne tienne, elle garderait le meuble...Le temps qu'il la prenne avec lui. Après quoi il récupérerais tout ça. Mais en tout cas c'était sa dernière chance. Il avait eu une après midi agitée, il avait appellé un serrurier pour réparer immédiatement le loquet de sa boutique et après quoi il était discretement parti en repérage et avait rodé dans le quartier pour essayer de voir où elle habitait et les informations qu'il en tirerais. Mais rien de bien follichon ou quoi que ce soit d'utile.
Il était donc entré se préparer et avait finalement tout préparé pour cette petite virée a domicile, il ne savait pas comment le domicile était fait, mais il trouverait surement de quoi faire crier Yuri une fois sur place, il comptait sur son sens de l'improvisation une fois arrivée, il s'habilla un peu classe quand même, histoire de ne pas eveiller trop de soupçon et il monta le meuble jusqu'a l'endroit convenu.
Arrivé là, il fut reçu par une Yuri très bien habillée pour cette soirée, bien qu'il aurait préféré s'occuper d'elle en peignoir mais on ne peut pas tout avoir. La belle lui proposa de l'aide sous la forme d'un voisin costaud mais il refusa poliement, au mieu ce type ne ferait que mettre des batons dans ses roues alors autant s'en passer.
"Pas de soucis, je suis habitué aux déménagement..."
Fit Don tandis qu'il entrait dans l'appartement avec la commode sur le dos frolant Yuri pendant qu'il passait dans l'étroit couloir, créant une a deux minutes accidentelles de coupure de pouvoir, tranquillement, il se tourna vers Yuri et lui demanda poliement
"Où dois je poser le meuble?"
Demanda t'il en attendant que Yuri referme la porte...Il jetta un coup d'oeil autour de lui dans l'appartement pour essayer de mettre au point une strategie.
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Le voisin ne serait donc pas solicité pour le déménagement, tans pis, si l'antiquaire voulait ruiner ses reins avant l'age ca le regardait. Yuri lui ouvrit frans la porte en entrant a moitié dans la salle de bain pour laisser passer sa comande. Accidentellement, son doigt toucha pendant une fraction de seconde l'un des muscles du marchand, doigt qu'elle retira avec un réflexe réptilien légerement plus lent qu'a son accoutumé, mais pas assez pour qu'elle se rende compte du danger qu'elle courait a un contact physique pendant la prochaine minute de son temps. Le colosse s'arréta a la sortie du couloir en demandant par où passer et où poser le meuble, la voix tranquille de Yuri, qui ne sentait pas le danger venir car ce Dorian avait tout d'une biche et rien d'un crotal, lui répondit calmement.
Vous pouvez le déposer a coté du meuble de la télé, l'argent pour le buffet et le supplément pour la livraison sont posé sur la meme télé, je vous laisse prendre votre due Mr Gorian.
Simple, mais efficasse, la jeune femme n'évait meme pas fermé la porte en pensant que la commande serait vite expédié et que le colosse repartirait aussi vite qu'il était venu. Passant lsa mains sans ses cheveux pour écarter cette massue humide de son dos, la belle secrétaire suivait son meuble avec interet pour voir si le proprietaire actuel le traitait bien avant de le ceder. Don posa la commande a l'endroit convenue et avec une grande douceur, la jeune femme le congédiat de maniere tellement bien tournée et sur un ton tellement doux que meme si elle lui avait laché un "casse toi" il n'aurait pas vue de renvoie violent.
Je vous remercie pour votre zèle monsieur Gorian, j'ai mis le double du prix du buffet pour m'excuser de vous déranger a cette heure si tardive, j'espere que cela vous suffira...
C'était peut etre un peu trop poli comme renvoi, parce que le colosse ne sembla pas bouger, surement songeait il a comment prendre le suplément qu'il manquait au paiement de sa livraison et quels endroit user pour cela. Les hommes... tout dans le slip et rien dans le crane, c'est ce qui sonnera le glas de la jeune femme qui ne se doutait pas que derriere le serviable antiquaire se cachait un monstre responsable de la mort prématuré de sa tante et de la fin de la disgrace de sa famille.
[ c'est court, je m'en excuse, mais je fatigue un peu]
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Personne n’avait besoin d’un voisin pour monter une commode quand Don se chargeait du transport. Le danger était dans cela qu’il ignorait si Yuri possédait un pouvoir. Mais il avait fait une déduction simple alors qu’il réfléchissait cet après midi : Si Yuri était de Terra il y avait des chances, mêmes minimes qu’elle soit dotée d’un pouvoir spécial, surtout pour réussir a s’installer aussi bien dans un plan dont elle n’était pas originaire, loin de se douter de la nature du dit pouvoir néanmoins, il n’allait pas prendre le risque de voir que sa proie pouvait s’enflammer en période de grand stress ou se découvrir des pouvoirs au moment ou il allait se jeter sur elle, choses qui étaient déjà arrivés a des marchands d’esclaves moins malins que lui.
Bref, quand a Don, il regarda un peu autour de lui et observa l’appartement et la tactique qu’il allait pouvoir monter pour amener Yuri a ne pas fuir, premièrement il fallait trouver un moyen de la toucher sans éveiller ses soupçons, puis il ferait mine de partir et fermerait la porte de l’appartement au dernier moment.
Elle lui fit part de l’endroit où se trouvaient les frais de livraisons. Don passa prudemment le meuble dans la maison avec professionnalisme pour faire attention a ne rien abîmer, plus pour être fidèle a son rôle qu’autre chose.
Il posa le meuble a l’endroit convenu, s’épousseta le front tout en se promettant qu’après l’effort viendrais le réconfort et prit l’argent sur la table qu’il fit mine de compter, s’apercevant qu’il y avait le double. Il eut soudainement une autre idée
Une idée machiavélique.
Bref, Don prit l’argent et a ce moment là la jeune femme l’avertit qu’elle avait payé le double pour cette commode pour s’excuser de le déranger aussi tardivement, Don sourit et s’avança vers elle avant de lui tendre le supplément
« S’il vous plait, vous n’avez pas a faire ça enfin, c’est un plaisir et je vous ait donné moi même ce créneau horaire, garder votre argent… »
Fit il en déposant l’argent dans la main de Yuri et en la refermant pour appuyer ses dires, gagnant par ce fait 5 minutes. Il se dirigea vers la porte
« Après tout, je suis déjà payé. »
Si Yuri d’aventure comptait l’argent, elle verrait qu’il n’avait rien gardé pour lui…Don s’avança vers la porte et la ferma, puis a clef, avant de mettre la clef dans sa poche arrière et se retourner vers Yuri.
« Après tout, ca ne serait pas honnête de payer alors que c’est de vous que je viens faire l’acquisition.
Lança le marchand d’esclave en souriant, évidement, il finirait par récupérer l’argent de Yuri, puisque après tout là où elle irait elle n’en aurait pas besoin…Il s’avança vers elle sans plus tarder pour lui prendre la main, le temps presse.
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[j'espere que ce revirement te donnera de bonnes idées ou autres, j'ai fais de mon mieux pour rendre l'intrigue plus... aléchante]
Don venait d'user de ruse sans nom, dévoilant la bassaisse de son honneur et de ses méthodes au grand jour, alors que Yuri se montrait serviable au possible, la plus douce des femmes, son violeur se fichait royalement de ce qu'elle pouvait bien penser, pour lui ce n'était qu'un bout de viande. L'idiot, si il savait comment elle avait été éduqué, il aurait obtenu ce qu'il souhaitait sans violence et avec seulement une petite demi heure de son temps. A croire que froisser les femmes qui passaient entre ses mains était un désir pervers...
Yuri le regarda lui remettre la liasse dans la main en un contact trop long pour etre innocent; son instinct de conservation se déclancha a cet instant. Un homme massif comme lui et usant du verbe de cette maniere, surtout en lui remettant la liasse et l'élastique la tenant ne pouvait pas etre un saint homme. Le marchand avait fait une erreur en rendant la totalité sans hoter le petit élastique que tennait les billets lié entre eux. En meme temps, faisant confiance a sa masse et a son pouvoir, le jeune homme n'avait plus rien a faire de cette femme qui était mainteant trois a quatre fois moins lourde que lui et sans aucune capacité déffensive autre que ses muscles.
Si seulement on apprenait la self défense chez les nobles dames, Yuri aurait eut un meilleur niveau. Son voisin d'enface, se nommant Charly Anderson était gardien dans un hopital de foldingue, mais surtout il cumulait cet emploi avec la direction d'un dojo d'art martiaux. Comme la belle brune avait un charme fou et que l'américain n'était pas insensible, loin de la, il lui avait donné quelques leçons en jugeant a juste titre qu'elle avait naturellement le niveau d'une 2nde dam de karaté. Surtout grace a sa vitesse et a sa souplesse animale qui lui valaient un serieux bonus sur ses handicap de techniques. Mais bon, le karaté sur un homme dont la musculature seule pourrait arreter tout ses coups, meme les plus violents ne pouvait pas vraiment l'aider.
Son pere avait tenté de lui apprendre l'escrime en lui disant cette phrase qui s'averait aujourd'hui tout a fait fondé "on ne sait pas sur quel genre de troll tu peux tomber ma chérie", mais étant une femme, l'escrime et les lourdes armes ne l'aidairent pas, meme si une épée finement ouvragée scié de belle maniere a la hanche d'une dame.
Le monstre se dirigeait pourtant vers la porte grande ouverte, comme pour prendre congé, mais on ne donne pas un meuble, meme si le prix de ce dernier couvrait a peine l'aller et retour en escence. Et ce que son instinct lui sussurait arriva, Don ferma et vérouilla la porte, il aurait peut etre due casser la clef dans la cerrure au cas ou la jeune femme ne vive pas seul, ou biens que dans son jean vive une soeur de la clef, mais bon, personne n'est parfait, meme dieu fait des erreurs, il a crée ce démon en lui offrant un corps un peu trop pratique pour ses actions.
C'est elle qu'il vien d'aquérir? On dirait un esclavagiste la. Mais, une seconde, la mémoire lui revint soudain, le marchand qui été celebre dans tout Nexus s'appelait DON, Dorian c'est pas si éloigné que ca de l'orriginel. Impossible! Plus qu'une chose a faire pour ne pas finir esclave, le tuer, vite et proprement.
Se concentrant pour révulser ses paupiere et sortir ses crocs alors que la main de ce porc humain avancait vers elle, la jeune femme eut un blocage, pourquoi? Il restait bien trois minutes avant que son pouvoir soit a nouveau en position de fonction, mais le tenir loin d'elle avant que sa haine pour celui qui était responsable de la mort d'une personne chere lui permette de se transformer en arme foudroyante ce n'était pas facile. Le corps a corps était a exclure, bien qu'elle n'ait pas compris totalement, l'insistance sur sa main pour prolonger le contact mit la puce a l'oreille du serpent. Il y avait un lien entre le Marchand et ses contacts physiques. Les racontards sur lui disaient que meme les anges perdaient leur pouvoir en sa présence, si il devait toucher pour ca, il ne l'approcherait pas le temps que les effets se dissipent. Aucun pouvoir n'est eternel ni irréversible, celui de Don, comme celui de Yuri ne faisaient pas exception pour l'attemporalité, mais le poison de la jeune femme rendait son injection irréversible en ce qui concerne la mort fulgurante.
Tu ne m'approcheras pas Don.
Si il tombait le masque, pourquoi s'emmerder avec des faux semblants? L'Esper n'avait pas peur, la peur ne sert a rien dans cette situation, son cerveau devait fonctionner vite et bien pour éviter que l'innévitable arrive maintenant, sa virginité était son trésor et ce ne serait pas ce monstre barbare qui le lui volerait. Son discours sur le role des femmes en tant que servante ne la toucherais pas, elle pense déja que pour avoir une bonne vie, il faut etre au service des autres. Une idée... Mais oui!
Dans la salle de baim, a portée de main se trouvaient une bouteille neuve de déo et un flacon de parfum. Dans la poche de son pentalon un briquet pour allumer les bougies pendant les coupures de courants, il ne quittait son pyjamas (et oui c'est a ca que sert ce jean) que lorsqu'elle le lavait. La jeune femme sourrit et lanca la bouteille de chanel sur le gorrille qui ne pourrait pas l'éviter a cause de sa masse et de l'étroit couloir avant de prendre le déo et le briquet pour en faire un bon lance flamme. Sans Attendre de voir où avait exploser la bouteille de verre, la jeune femme fit sortir les flammes de sa colere au bras du maitre esclave. Si il pensait que l'on se rendait sans combattre, son erreur était grande. De plus les flammes léchaient les détecteurs de fumé ainsi que les goutes de la bouteille explosé qui s'embraseront sous peu en déclanchant l'alarme, comme si les HLM avaient un arrosage automatique....
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Don n'était pas qui il était pour rien, il ne savait pas faire d'arts martiaux, il n'avait pas un super pouvoir super puissant qui lui permettait de neutraliser un homme et de le tuer en quelques secondes. Tout ce qu'il avait c'était sa force et son cerveau. Il s'était échappé de son temple il y a près de 10 ans sans rien et a partir de ses esclaves capturé il était devenu un des hommes les plus riches de tout Nexus. Il avait monté son affaire, utilisé son intelligence pour tirer les ficelles et écraser ses concurents principaux, détruisant ceux qui voulaient le détruire au court de ces années pour être crain de tous. Personne ne s'opposait a Dorian Garan le marchand d'esclave. Plus anciennement Don, le terrible qui arrivait toujours a avoir ce qu'il voulait et qui avait réussi, même si ses proies n'étaient plus vierges, a parfois les vendres au double du prix qu'elles auraient eu si elles l'étaient encore. Son nom était synonyme de qualitée auprès de tous les nobles du patelin. Bref, il n'était pas le genre d'hommes qui pouvait juste être descendu par une femme sans aucun pouvoir.
Et Yuri ne pourrait pas l'arrêter. Jamais.
Elle prononca son nom et il sourit, avant de répondre.
"Donc tu es bien de Terra."
Il n'allait pas perdre son temps en long discours inutile, il n'avait que 3 minutes pour la toucher a nouveau. Vu la pose qu'elle avait pris elle comptait surement beaucoup sur son pouvoir, signe qu'il était puissant. Elle lui balança alors une bouteille depuis la salle de bain, Don voyait bien ce que c'était. Un alcool sans doute, et celui ci était projeté trop vite pour qu'il ne puisse l'esquiver. Alors les reflexes prirent le dessus et Don s'avança en avant, faisant exprès de percuter la bouteille avant qu'elle ne prenne de la vitesse. La stoppant donc avec son torse alors qu'elle venait de la lancer, ce qui fit que la bouteille ne lui fit aucun mal et ne se brisa pas, il l'attrapa entre ses mains et la saisit. Elle prit un déodorant et commença a l'asperger de flammes qu'il se ficha d'esquiver. Laissant les flammes lécher son corps, il chargea, protegeant ses yeux avec son bras et percuta Yuri avant de la saisir a la gorge, rajoutant encore quelques minutes au compteur.
"Sale garce."
Fit il alors qu'il l'envoya contre le mur de la salle de bain, pour éviter les flamèches de prendre il déchira son T-Shirt et le lança au loin avant de saisir a nouveau Yuri a la gorge et de la plaquer contre le mur, se mettant de biais pour eviter un coup de pied dans l'entrejambe. Don lui lança.
"Plus dure est la victoire, meilleur en est le sel. Résister ne fera que rendre tes tourments encore plus attroces, Eshitaka."
Fit il alors qu'il l'envoyait au sol, ayant ajouté bien 15 minutes au temps.
"Merci de t'être invitée dans un endroit où tu ne pourrais pas sortir si facilement."
Fit le colosse au torse nu barbouillé de suie.
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Don pouvait remercier sa créatrice de lui avoir offert ce don, sinon, le maleureux serait convulsé de spasme nerveux alors que les lumieres de son intelligences se volatiliseraient de son esprit.
La bouteille fut lancé sur lui, mais la jeune femme ne voulait pas vraiment la détruire, plutot en faire une bombe. A moitié dans la salle de bain, Yuri esperait qu'en chauffant assez le parfum de sa flamme, elle réussirait a transformer cet objet d'attirance en mine kranken. Bah, c'est loupé, La gorge prise par on ne sait quel miracle, Yuri maudit cette capacité de couper son ascendance auquel elle avait droit de naissance. Si elle avait put lutter avec son cerveau, si elle avait sue qui il était. Son adversaire avait bien trois coups d'avance sur elle en jouant la carte de la surprise, bien que les surcils et les cheveux eurent pris le coup du retour de flamme de sa trop grande confiance en lui.
Blesser cet homme n'était peut etre pas la meilleure idée, mais l'autre consistait a une défenestration pure et simple puis une course éffreiné. Loin de douter que sa souplesse lui empecherait un attérissage sans encombre, courir contre un utilitaire c'est une défaite avant la bataille. Donc il n'y avait que cette solution, le blesser, vite et bien. Cependant, cette brute qui n'avait aucun savoir sur les arts martiaux, usait du simple truc de la pomme de Newton, il faisait quatre fois son poids, pas de probleme pour la bloquer contre un mur. Cette horreur qui se déployait sur le visage de Yuri montrait un pur dégout, cependant, dans son fort interieur le serpent réfléchissait, si il continuait ainsi, elle ne pourrait pas le mordre avant un moment. Seule solution serait de lui infliger un baiser mortel contenant un peu de fugu mal découpé dans sa salive, le poison était tres semblable au sien et comme cette femme avait tout du serpent, y comprit pour récuperer son poison, cette variante attérissait droit dans ses glandes.
Mais fugu il n'y avait pas. Si seulement, le cadeau empoisonné aurait été parfait. Mais pour l'instant, a part cracher au visage de cet immonde personnage qui était des plus repoussant, malgré sa musculature qui devait certainement en faire réver une qui finirait sans doute dans une cage pour etre tombé amoureuse de la mauvaise personne.
Tu ne me toucheras pas enfoiré!
Maintenant, elle savait, c'était sa faute si la soeur de son pere, par conséquant sa tante, était morte au gibet pour adultaire prémariage et sonné la fin de la famille Taka en condamnant le reste de la famille déja bien maigre a ce préfixe honteux. Sans chercher a injecter son venin monstrueusement mortel, Yuir mordit a pleine bouche dans le corps de l'homme, pérforant sa chair avecc ses dents affuté avant de se retirer avec une partie de sa viande qu'elle cracha le sourire aux levres.
Alors, tu crois que tu vas tenter de me faire ce que tu as fait a ma tante maintenant que tu sais ce que je peux faire?
Son regard mauvais, ses paroles sifflantes, lequel des deux était le plus menacant? Celui qui avait des muscle et une peau roussie par un bain de chaleur ou celle qui n'avait pas peur de la mort et un regard emplie d'une aura meurtriere frappante. Cette fille réservé, ne voulant de mal a personne haissait tout cet etre, il représentait tout ce qu'elle détestait chez un homme: perversion, suffisance, instinct dominateur, arrogance, violence. Tout son etre n'était que dégout, si il croyait qu'elle allait souffrir davantage en se débatant, l'homme n'était pas au bout de ses peines, cette femme n'avait plus peur de rien, perdre ce qui fait d'elle une femme est comme mourir, la menacer de mort ne lui fera pas grand chose de plus que de lui faire découvrir "son utilité dans le monde". Le sang de l'homme ruisselai de la viande manquante a son avant bras musclé, c'était ce qui le rendait vulnérable, sa grande surface. Sans ca, elle n'aurait put avoir aucun répis. A moins que le Marchand soit morphinomane, elle aurait un temps de répis tandis qu'il tenterait de stopper l'émoragie et l'abreuverait d'insulte... Enfin, c'était le plan ca.
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Don cria de douleur quand elle le mordit et les bons vieux reflexes vinrent surpasser le reste, il lui serra la gorge et l'écrasa contre le mur avant de la cogner dans le ventre avec son autre poing. Il voulait bien être gentil mais fallait pas déconner aussi. Si Yuri voulait qu'il lui fasse le plus mal possible elle allait être servie, et crois moi pas décue, Don la regarda avec un air plein de colère et lui lança comme avec un crachat de dégout
"Tu va regretter de m'avoir mis en colère."
Et là il ne plaisantait plus, tirant Yuri par les cheveux, il se débraguetta et colla son sexe contre la joue de Yuri avec un sourire mauvais, il voulait qu'elle le sente passer. Et crois moi elle allait le sentir passer, de son autre main il lui bloqua la respiration du nez pour qu'elle ouvre la bouche et engouffra son sexe en elle, relachant la prise qu'il avait faite sur le nez pour saisir au vol les deux mains, l'empechant de les utiliser. Don s'enfonça au fond de la gorge de Yuri, par le volume de son sexe, il l'empechait a présent de le mordre profondement en se callant de toute sa virilité dans sa bouche, ainsi ses machoires bloquées ne pouvaient appliquer le couperet, il la tira par les cheveux et commença le mouvement de va et vien...
"Espèce de trainée. Tu verra tu me suppliera bientôt..."
Fit il en saisissant soudainement le col de sa chemise pour s'aider dans ses vas et viens en elle, puis il tira et la déchira, la laissant en Jean et Soutien gorge. L'excitation montant a son comple, il jouit dans sa bouche après a peine quelques minutes, la remplissant avant de se retirer presto avant qu'elle ne morde, puis il la jetta dans la baignoire.
Il était temps pour la partie deux...Et don serait près a lui cogner dessus si elle resistait trop...
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Comme on pouvait s'y attendre, Don n'appréciait pas trop de voir un morceau de sa chair quitter son corps, cette opération pouvait se répeter, mais cette fois ce sera a sa jugulaire et l'hésitation ne sera sans aucun doute pas l'allier du monstre pervers. Dans les films de morts vivants et autres zombi ont voit des cadavres dévorer des humains en les saignants comme des porcs, mais une femme violait en est tout aussi capable, maintenant, l'homme connaissait les risque, a la moindre occasion elle le tuerait. Surtout maintenant qu'il avait révélé son véritable visage, encore plus haissable et méprisable que le précédent.
La main de l'homme sur sa gorge lui arracherent un sourire froid taché de sang et le coups dans son ventre fit monter le sien dans sa propre bouche. Violence, ce qu'elle aimait le moins chez les hommes apres la perversion et sans doute ce qui était le plus prépondérant dans la personalité de Don. Sa phrase était pleine de dégout, si elle ne lui inspirait aucun autre sentiment, qu'il se tire! Yuri ferait l'éffort de metre une pierre sur ce souvenir pour ne plus jamais la retirer et tout le monde serait content. Cependant, le colosse ne semblait pas avoir le meme fond de pensée.
Sans plus attendre, il dégrapha son pantalon et porta son sexe contre la joue relevé par une traction tres désagréable, mais pas insuportable a cause de l'humiditée de ses cheveux. C'est donc ca qu'il voulait? Mourir en se faisant trancher son honneur? Car oui, excité comme l'était l'homme devant cette résistance, il allait mourir et tres vite, cinq litres, peut etre six vue sa corpulence, ca sortait tres vite avec un tel muscle. Cette idée l'enchanta au plus haut point, mais pas tout de suite. Il devait mériter sa mort perverse, si tenté qu'il soit de revenir dans sa bouche.
Le sexe entra alors qu'il lui pincait le nez, une chance pour lui que la jeune femme soit un peu trop sonné pour vraiment le mordre de ses croc suraiguisé. En plus de ca il fallait que cette brute soit un précausse! Vraiment la poisse ce soir.
Oui, elle le supliera, mais il ne faut pas croire que seul Don est bon acteur, un prédateur vit dans les genes de la petite femme frele qui est en train de se faire ensemencer la bouche par son gentil violeur qui ne veut que lui montrer la vraie face du monde. Alors qu'elle lechait le membre de ce monstre, non pas comme on le fait normalement dans une fellation mais avec une sorte d'apétit purement carnacier, le Marchand se retira, coupant la chance de lui trancher de maniere violente et nette sa virilité dégonflé.
Alors qu'elle crachait cette honte sur sa chemise bonne pour la poubelle, l'homme la jetta sans plus de cérémonie dans la baignoire, une fois a l'interieur, le regard mauvais et assassin de la jeune femme se transforma en pitié, une belle pitié qui donnait encore plus de virulance et de véracité a son mensonge.
Je vous en pris... non, ne me faites pas ca... pitiez, prenez tout l'argent que vous voulez et laissez moi!.
Sans que l'homme ne s'en rende compte, probablement distrait par sa plainte qu'il devait entendre assez souvent, le portable de la jeune femme contacta la police, ce n'est pas si dur quand on a réchapé de justesse a un viol organisé a coté d'une échoppe de mettre ce numéro en tete de liste de son répertoire et en raccourci.
Retourné dans son jean, clapet fermé, l'homme ne pouvait se douter de rien, peut etre la violerait il, peut etre ne pourrait elle pas lui arracher l'artere cervicale, mais au moins, son violeur ne pourra ni l'emmener sur Terra ni probablement quitter ce quartier lorsque la police aura entendue ce qu'il y avait a entendre. Pour faire activer le mouvement, Yuri cracha un peu de ce mélange blanc et rouge dans la baignoire et rajouta dans un sanglot.
Je dois me marier vierge... pitiez, me faites pas ca... allez vous en... je... je ne veux pas...
Surtout que sa virilité reprenait un peu trop rapidement du poil de la bette et meme si l'hymen da détruire pour son plus grand plaisir était éffiloché par les exercices physiques, la taille et surtout la rage de ce monstre allaient sans doute lui faire passer un sale moment.
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Revirement complet de situation, Yuri craquait completement...Et a Don d'être surpris dans ce qu'il pensait être une bataille de tous les instants...Il y avait quelque chose de bizzare, elle était soudainement trop calme, pour quelqu'un qui savait a qui elle avait a faire, elle craquait bien trop tôt...Bon évidement, il l'avait peut être impressioné et peut être avait t'elle perdu toute envie de lutter...Mais celà n'avait aucune importance non?Après tout elle était a lui maintenant, soumise et captive...Elle allait se faire prendre puis trainer gentiment jusqu'a chez lui...Une seconde, elle le regardait déjà avec ce regard noir avant d'avoir changé d'expression. Et puis il allait surement arracher ses vetements sans penser au reste...Si il continuait il n'allait pas pouvoir la sortir completement...Et puis il n'était pas a l'abri d'un coup fourré, après tout on était dans sa salle de bain, elle pouvait avoir des lames de rasoirs ou quoi que ce soit pour qu'elle se défende...Mieux valait ramener le travail a la maison et finir le job là bas. Il saisit alors Yuri a nouveau par le cou et la souleva a son niveau pour la regarder dans les yeux...Cette femme,...Cette femme méritait plus que tout qu'il la prenne...Elle avait résisté, elle avait dénié sa destinée et allait en payer les conséquences. Il lui répondit avec un sadisme pur
"Ne t'inquiète pas, je ne compte pas partir sans faire le plein."
Don ignorait que Yuri avait branché son portable, mais celà ne faisait aucune importance, il pressa les deux cotés de sa gorge. Don ne savait pas se battre. Mais une fois il avait appris certaines choses, comme cette prise d'Aikido qu'il mettait a profit a chaque fois qu'il le pouvait...C'était simple, il appuyait sur les deux cotés de la gorge pour bloquer l'arrivée d'air au cerveau, ne faisant passer que bien moins d'oxygène, puis il relachait soudainement la prise, l'oxygène montait d'un seul coup au cerveau ce qui provoquait une surchage et qui faisait que la personne s'évanouissait pour plusieurs heures...Don appliqua ce precepte a la lettre et lorsqu'il eut attendu assez longtemps, il relacha la prise et laissa la furie s'évanouir...
***
Lorsque Yuri se reveilla elle fut aspergée., elle se trouvait dans une piece fermée et inconnue, aveuglée par la lumière, attachée par des sangles en cuir a un crochet suspendu a la piece., elle ne portait que son soutien gorge pourpre, et son string noir. Don se trouvait un peu plus loin, assis sur une chaise en train de la surveiller...
Il avait tout simplement pris le corps, il l'avait mis dans le meuble et l'avait rembarqué ni vu ni connu, celà faisait partie d'un de ses plans...Il avait vidé le meuble au préalable et y avait embarqué Yuri pour l'évacuer au cas ou il aurait a la neutraliser, laissant l'appartement tel quel...La question était, est ce qu'il avait trouvé le portable?A son bras il portait un pansement, et dans sa main se trouvait un tuyaux d'arrosage avec lequel il avait arrosé Yuri, rendant ainsi ses sous vetements humides et transparents.
"Ah, tu te reveille?"
Fit Don avec sadisme...Où était le portable?Et seconde question, l'avait t'il prise?
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Il était fait, en cas d'appel sans aucune parole de la part de l'appelant, mais de suplications pour qu'on ne la viole pas, la police ne cherche rarement pas de quoi avoir plus de substentiel. Donc, Meme si Don l'enleve, le fait qu'elle ait son portable sur elle et que son agresseur semble tout a fait incomodé du mobilier présent ici pour la torturer, il ne prit sans aucun doute pas le temps de lui retirer son jean avant de la mettre dans le meuble.
Don était intelligent, mais il ne pensait pas en Terrien, mais en Terran, donc pour lui composer un numéro d'urgence sur un portable n'était pas vraiment dans ses esprit. Ce qui mis la puce a l'oreille des standardiste ce fut le "tu partira que quand tu seras pleine" laché avec ce sadisme et cette cruauté propre au violeur. Pour une fois que Yuri pensait a charger son portable, ca allait probablement pas sauver sa virginité, mais son marcage ainsi que son passage sur Terra les poings dans les fers sera largement seraient tres fortement compromis.
La strangulation est une bonne maniere de faire couper court aux discution, mais comme la jeune femme avait passé l'appel, elle n'allait pas lui priser le nez d'un coup de genoux prouvant que ses genes ne sont pas brimé par le pouvoir de son violeur. Sa souplesse était encore la, mais pas sa capacité a tuer. C'est bien dommage, pour une fois, elle mordrait sans aucune retenue ce monstre qui n'avait aucun droit de respirer le meme air que les autres etres vivants.
Apres un bon moment dans le vide, se sentant cahoter par le transport a certains passages moins noir de son demi comas, Yuri fini par s'eveiller, en sous vetement, pendu a des lanieres de cuir qui enserraient ses bras et ses jambes alors qu'un liquide aqueux coulait de son visage.
Les yeux a demi clos la carrure du monstre était clairement visible, combien de temps avait il passé sans la toucher? Pouvait elle déployer son pouvoir mortel maintenant? Son esprit était embrumé par un mal de crâne atroce, mais son envie la plus préssante était de se liberer de ces liens. Trempé, gelé, Yruri percut avec un leger affolement mental que son jean avait disparu.
Un temps plus tard, son oeil avait prit gout a la lumiere et dans le coin éclairé se trouvait son pantalon fétiche roulé en boule. Avait il trouvé le portable? Peut etre, avait il comprit qu'il était en plein appel? Certainement pas. L'intelligence est un bon point dans son travail, mais le renseignement sur les dernieres technologies spécialement concue pour les femmes ne devait pas l'interesser. Don avait pas la tete d'un homme parcourant les sites féministes.
Ca va a merveille. Qu'est ce que tu m'as fait?
La douleur n'était pas là, il n'avait sans doute pas touché a son corps de la plus abjecte des manieres, cependant, que voulait ce monstre? Pourquoi la jeune femme était pendu par des lanieres? Qu'est ce que ca présageait? Dans combien de temps arriverait la cavalerie? toute ces questions se bouculaient alors que le visage de Yuri restait froid et impassible. Jamais il n'aurait ce qu'il voudrait, JAMAIS! C'était une promesse pour elle meme, faite avec son ame.
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Don se leva et s'étira un peu avant de prendre une bonne inspiration puis de se taire. Se contentant de la regarder avec un sourire amusé. Il se mit a lui tourner autour comme dans un interrogatoire de police avec des mouvements assez lent, surveillant les jambes de Yuri car on était tout de même pas assez fou...Et de toute façon, il allait bientôt lui faire payer ce qu'elle avait fait...Au centuple, Don se tourna vers Yuri et lui lança avec une moue probante...
"J'ai eu de tout dans mon stock, des agneaux, des serpents, et des tigresses, j'ai parfois dans les débuts de ma carrière failli mourir pour une toute petite et ridicule erreur, parfois je sortait de situations critiques au bord de la mort. Mais jamais, jamais aucune fille ne m'a échappé. Et jamais, au grand jamais celles ci ne m'ont résistées après que je me sois occupées d'elle."
Il prit un fouet au mur et souleva le menton de Yuri tout en la fixant avec un sourire en coin
"Tu va regretter dans peu de temps d'être venue au monde. Mais bientôt tu me mangera dans la main. Crois moi, je te sauverais de ce mensonge auquel tu t'accroche si fort pour te rammener de la réalité..."
Le marchand d'esclave éclata de rire puis lui passa dans le dos...Tout en disant
"Ne t'inquiète pas, tu ne regagnera aucun de tes pouvoirs avant au moins 7 heures. Ce qui nous laisse plainement le temps de faire connaissance...
Don prit un doigt, le lécha et le passa dans le dos de Yuri langoureusement aussitôt celle ci ressentit une violente bouffée de plaisir. Don repassa devant elle et alla tripoter une seringue sur un des coins de la table
"C'est une drogue spéciale facilement trouvable sur Terra que je t'ai injectée pendant que tu jouais la belle aux bois dormant. Elle multiplie la puissance des zones érogènes, tant et si bien, que tout ton corps finit par en devenir une..."
Il saisit alors son fouet et lui assena un puissant coup sur la fesse droite
"Combien de temps vas tu tenir?"
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Don avait joué avec le bras de la jeune femme, son corps lui paraissait un peu trop réceptif au simple touché de ce monstre. Mais c'est surtout la laniere qui lui posait probleme, le cuir lui taillait les bras et les jambes. Ce n'était pas vraiment bon a ressentir, meme si les bras sont une zone érogene tres pondérante chez la belle brune. Le monstre lui parla avec une voix insuportable. Alors comme ca il avait faillit mourir par des erreures de jeunesse et aucune de ses proies n'avaient résisté. Avec un sourire mauvais Yuri lui répondit sur le ton de la conversation.
Faut un début a tout.
Lorsque le manche du fouet lui souleva le menton, la vierge eut un sourire encore plus carnacier. De quel reve parlait il? Et si il croyait vraiment que de faire craquer cette femme était aussi simple que de dire bonjour, le pauvre, il serait décu car elle n'avait pas du tout envi de manger dans sa main ni autre.
Hum... ca me parait amusant, on commence quand vous voulez.
Le rire mauvais de Don n'avait rien a voir avec ceux qui avaient précédé, il était sans doute heureux de savoir que ses pouvoirs étaient bridé. Mais ce n'était pas aussi facile de maintenir une personne sous son controle, surtout quand la personne en question n'a jamais eut envie de le suivre ni meme de l'appeler maitre ou autre chose. Mais le pire arriva lorsque le doigt humide de cet ogre parvint dans son échine. Une violente décharge de plaisir s'empara d'elle et Yuri poussa un leger soupir de plaisir.
Au moment où Don allait dire ce qu'elle serait quand une violente décharge de douleur mais surtout de plaisir s'empara de la jeune femme qui serra les dents a s'en faire saigner la gencive.
Aussi longtemps que cela s'averera nessaicaire.
Elle se reprit et ferma les yeux en sentant sa mouille couler de son string, c'était si bon, Don pourrait continuer autant qu'il le voulait, Yuri ne trouvait pas ce traitement mauvais. Enfin moins mauvais que celui qui l'attend entre les murs d'une prison, les premier a se faire bourrer le mou en prison sont les violeurs et Don aura une bonne file d'attente. Rien que de penser a ca donna un surplux de mouille a la jeune femme qui se délactait de pouvoir le mettre au trou.
Allez, recommence, j'adore ca.
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Les violeurs étaient peut être les premiers violés en prison, mais il voulait voir qui allait lui cogner dessus pour pouvoir la lui carrer?Parce que niveau biscotos il n'avait rien a envier a la dernière des brutes, bien au contraire. Mais bien loin d'être dans ces considérations. Don eut un sourire...Il allait la fatiguer, sur la longueur elle serait épuisée, et ne saurait pas se défendre, elle ne serait même plus capable de serrer la bouche pour le mordre tellement il allait la crever...Il ne fallait pas chercher Don. Ou c'était Don qui vous trouvait...Après tout il avait une réputation a maintenir...L'homme eut un sourire
"Ce n'est que le début, et le serum n'a pas encore completement fait effet. Je n'ai fouetté que tes fesses..."
Fit il, accompagnait le geste a la parole, il brandit le fouet et l'abbatit sur son sein droit en créant une marque rouge cinglante, déchirant un peu son soutien gorge, il l'abbatit a nouveau pour décrocher completement la partie droite de celui ci...Il se remit a tourner...
"Le sexe, c'est comme la torture, il faut espacer les phases, sinon on ne ressent plus rien..."
Fit Don alors qu'il fouetait la jambe de Yuri pour la tirer vers lui, saisir la jambe, pour s'assurer qu'elle ne lui donnerait pas de coup de pied, et se mettre a sucer le mamelon meutri et découvert, puis a le mordre...
La réaction d'un tel assaut sur une vierge allait être sans appel
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Le sexe hein? C'était une torture en soit, mais le pire c'était quand le rapport n'était pas voulu par l'esprit, mais supplié par le corps. Apres tout, elle ne disait pas non non plus, au moins une fois qu'il aurait fini elle serait tranquille. Enfin, tant que la police faisait bien son travail. Son jean était dans la piece et elle résonait ce qui veut dire que tout ce qui est dit dans cette piece, tout les bruits sont envoyé directement aux oreilles d'un standardiste qui ne manque pas de s'asti.... communiquer les avancements alors que l'on triangule la position satélite.
Don était un bon joueur, il devait etre redoutable aux échecs, cependant, quand on a une botte secrette, qui n'est pas celle de Nevers dans son cas, quoi que elle pourrait etre bien utile pour ce genre de situation, si seulement elle était libre et armée d'un fleuret.
Don passa les lanieres de ce fouet qui n'inspirait qu'envie de se sentir encore envahis par cette douleur dévorante de plaisir quand il frappa a nouveau et encore une fois, laissant son sein presque nu, mais son soutiens gorge bon pour la poubelle. La pucelle poussa de long cris de plaisirs sans se retenir.
Enculé! Ca coute deux semaines de salaire un soustiens gorge de cette manufacture!
C'est bien les femmes, violez les elles pensent a leurs habits! Enfin, ce n'est pas vraiment cela qu'elle voulait faire passer, mais plus sa frustration de ne pas prendre vraiment de plaisir, c'était simplement une drogue qui lui donnait l'impression d'aimer se faire frapper de la sorte. Le fouet se jetta sa sa cheville et la fit crier de plaisir, oui cette zone est tres sensible chez la femme et source de multiples plaisirs, et l'attira vers lui avant de sucer son sein droit a nu et barré de deux traces rouges. Lorsqu'il mordit la réaction fut sans appel. Un liquide chaud coula sur le dessus du crane de Don, elle venait de le frapper avec toute la force de son désespoir a s'en ouvrir le front avant de se relacher et d'offrir un spectacle que la belle Yuri aurait préféré ne pas dévoiler a ce porc. Elle jouissait, un long jet nacré et formant une tache legerement doré sur le sol. Une femme fontaine.
Sale fils de pute! Mords moi encore une fois comme ca et je te tue de mes propres mains.
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Dans un commissariat a cinq kilometres du lieu de la fontaine de plaisir malsain:
Chef! L'appel qui ne donnait pas signe de vie depuis presque une heure a soudain reprit, la femme semble se faire torturer... On dirait que...
Fais passer la bande Nagi
"Ce n'est que le début, le serum n'a pas encore completement fait effet. Je n'ai fouetté que tes fesses"
Les coups tomberent avant que la voux douce et assuré de la jeune femme pleine de rage se fasse entendre
Enculé! Ca coute deux semaines de salaire un soustiens gorge de cette manufacture!
Le comissaire prit son arme et son badge alors que le groupe anti terroriste était équipé pour une fausse alerte et rentrait apres avoir fait choux blanc.
Amenez vous, je vais vous donner de quoi vous passer les nerf, un viol et on a triangulé l'appel c'est a trois minutes d'ici allez!
Le groupe armé comme pour la guerre d'Irak sortit en trombe et les camions fraichement débarqué se remplirent a nouveau d'homme et d'envie de se taper un certain violeur sans vergogne.
Temps restant avant le bout du tunel: 7minutes 59 secondes. Don, le temps file pour une erreur de parcours.
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Don recula sous le coup violent que venait de lui assener Yuri et tituba presque. La tête était mine de rien un endroit assez sensible. Il se serait pris un coup de boule dans le ventre il en aurait a la rigueur eu le souffle coupé, mais le coup de boule lui fit relativement mal. Après tout la tête n'est pas un endroit qu'on peut muscler et donc proteger de genre de coup. Manque de peau il se passa la reaction logique quand on reçoit un coup, la machoire se ressèrent d'un seul coup, provoquant le saignement du mamelon de Yuri. Don recula et s'appuya a un mur pour garder son équilibre. Son front et celui de Yuri étaient plein de sang...Don n'aimait rien de plus qu'on lui résiste...Mais là c'était trop. Cette fille était une véritable tigresse. Il ne voulait pas la blesser plus que nécéssaire, mais il en avait assez. Il allait la briser et la transformer en un pantin obéissant. Le serpent même acculé et a court de venin continuait a mordre...Ca faisait longtemps qu'il n'avait pas eu affaire a une telle volonté combattive et Don fronça les sourcils. C'était l'aspect de son travail qu'il aimait le moins contrairement a ce qu'on pensais.
Il n'aimait pas faire l'amour a des corps meurtris.
Le fouet s'abbatit a nouveau sur la chair de Yuri suivi par une quinzaine d'autres coups plus puissants les uns que les autres, lacérant sa peau et laissant de moins en moins de celle ci blanche, alors qu'elle se bariollait de trais rouges. Don acheva avec un dernier coup en dessous du nombril juste au dessus du sexe, plus puissant que les autres et fit claquer son fouet.
"C'est fini?"
Fit il sur un ton sec, il ne s'amusait plus maintenant. Il allait y aller donc, avec tout ce qu'il pouvait. Il alla sur l'étagère d'a coté et saisit trois pinces qu'il "brancha". Une a chaque mamelon de Yuri, et une fourrée dans son intimitée, pas assez pour prendre sa virginité néanmoins, écartant le string il la fit passé...Son corps ayant été arrosée, elle allait s'attendre a beaucoup.
"Je te matterais."
Il alluma le courrant minimum, la combinaison de l'eau sur son corps ainsi que de l'aphrodisiaque propulsa en Yuri une décharge fulgurante en elle...Puis Don la laissa reprendre son souffle avant de passer au niveau 2.
Il fit varier les genre, montant d'un seul coup le voltage ou le montant progressivement, le baissant, le tout jusqu'a ce que Yuri se vide de son liquide, ou qu'elle soit hors combat, voire les deux
"Tu m'y a forcé. Répond moi a présent, qui est ton maître?!"
Cria Don avec véhémence...
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Le temps jouait contre le violeur, chaque secondes que Don perdit pour se ressaisir et fulminer sa rage. Quand l'homme s'était enfin remis sur pied avec son fouet en main, plus que cinq minutes trente avant que sa fin sonne. Yuri n'avait pas vraiment fini de jouir pour ses premiers orgasmes encore inconnu de la jeune femme, enfin de la sorte du moins. La mater? Mais étrangement, Don n'avait plus rien dans le regard, son sadisme avait completement disparut lorsque le sang commenca a couler de sa poitrine, l'homme face a elle n'aimait pas blesser ses proies pour pouvoir les prendre apres... C'est bete ca, parce que l'envie de se battre est plus importante que son envie de vivre, Eshitaka veut laver ce nom de l'affront de ce porc qui avait détruit ses parents et tué sa tante par la meme. Si cet homme n'était jamais venu au monde, le mariage de sa tante aurait rammené le couple de nobliau devenu marchand chez eux, dans leur district, Yuri a leur coté, ce petit bijou fasconé a la maniere des nobles et remplies de qualités qui feraient palir le soleil. Mais non, il l'avait violé, tout comme il s'apretait a le faire maintenant avec sa niece. C'était un monstre et il le resterait, rien ne pourrait changer ca. Sauf les bras osseux de la Faucheuse.
Un coup tomba, puis un autre plus fort, et ainsi de suite, plus que cinq minutes a tenir et le cauchemard prendra fin, Don serait prit de cour et préferera se sauver par le passage au plus vite en abandonnant sa prise plutot que de courir le risque de se faire tuer pour une simple prise sans grande considération.
Le sang fini par perler sur les entrelas de ses coups de fouets, provoquant de grands cri de plaisir et de douleur, puis une jouissance quand le dernier frappa au dessus de son string. Elle haleta fortement, laissant sa bave ruisseler sur ses seins alors que son intimité était trempé tout comme ses cuisses.
ha...ha...ha... Va a Hades!
Le courant, faible, mais bien placé lui donna une dose de plaisir monumental. Yuri se cambra autant que possible alors que ses dents se serrerent et que ses jambes se serrerent sur cette pince qui lui brulait l'intimité. Entre deux décharge, la jeune femme cracha sans aucune crainte.
Tu devrais me mettre du sel sur les plaies pour ton plaisir...
Le courant monta au maximum en un coup, sa douleur et son plaisir furent maximums, elle eut encore une jouissance. Mais l'ennuie résidait simplement dans le fait que avoir un orgasme de femme fontaine, deux autres jouissances successive et une excitation constante dont la douleur prenait une part énorme. C'était insuportable, Eshitaka baissa la tete dont le front était ensanglanté, ce qu'elle pouvait aimer ces clampes l'electrifiant, mais ce n'était plus assez... Cédait elle? Alors que dans quatre minutes il serait impossible pour le monstre de finir son oeuvre. Alors que sa salive ne pouvait plus se déglutir autrement qu'en sortant de sa bouche de maniere inintérompue, rendant la chose excitante, de minces filets couvraient sa poitrine et le sol. Sa voix chevrotante se leva avec une grande difficulté alors que Yuri tenta de bouger son corps pour se liberer de ses liens entaillant lentement sa chair.
Ha... ha... encore... plus.... je veux plus... je veux m'offrir a mon maitre...
Et son visage se releva plus noir et plus satisfait que jamais.
Mon propre plaisir!
C'était lui son maitre, Yuri n'était esclave que de ca a cause de cette drogue, les préscieuses secondes passerent en faveur du serpent qui de croc ne conservait que de vulgaires vestiges, le vrai monstre dans la piece n'était pas la montagne, mais le démon qui lui résistait de maniere parfaitement ostensible, ne prenant aucune considération pour son corps ni pour son esprit. Si la jeune aristocrate déchue devait se sacrifier pour que le peuple soit lavé de ce monstre, ce sera avec joie qu'elle se tranchera la gorge sur la lame de la justice.
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Très bien. Dans ce cas Yuri allait savoir que son propre plaisir n'allait pas forcement être son maître. Tout ce que faisait Don c'était l'attiser depuis tout a l'heure, jamais il ne répondait a ses appels. Il ne faisait que faire monter l'excitation en Yuri jusqu'a ce qu'elle craque, en aucun cas elle ne serait satisfaite et si jamais elle arrivait, par un quelconque miracle a se tirer de la situation d'où elle se trouvait, elle se sentirais dans un état d'excitation tel qu'elle sauterais surement sur la première chose venue une fois sortie d'ici. Mais ça Don allait tout faire pour l'en empecher...Parce que déjà il se sentait bien parti pour profiter de cette petite furie, trop pour qu'elle se fasse prendre par un flic dans la fourgonnette de retour. Dans l'optique ou ça ne serait pas le cas, et que Yuri arriverait a contenir son manque, ca ne rendrais que les choses plus interessantes. Car pour l'instant il fallait l'avouer, elle était difficilement habillée et tout ce qu'il avait pu enlever trainait en boule dans une partie de la piece, déchirés et recouvert d'eau par le jet d'eau de tout a l'heure.
Eh oui, le portable de Yuri faisait partie de ces objets trempés que Don n'avait pas jugé nécéssaire d'ôter, mais il trainait par terre depuis le début avec les débrits de son Jean. Si Yuri pouvait le voir a présent elle comprendrais pourquoi elle pouvait toujours compter les secondes pour que les secours arrivent. Don avait branché le jus sur elle après l'avoir arrosée, loin de se contenter de la griller elle, le courrant avait grillé le portable avant que les policiers aient pu véritablement quadriller l'appel, le situant a un endroit qui n'avait rien a voir avec celui ci par erreur. La puce avait perdu quelques uns de ses processeurs et elle pouvait le sentir gresiller de là où elle était...
Don se leva et ôta les protections molles se trouvant au bout des pinces, dévoilant des pinces acérées qu'il replanta a cette place, ceux ci perçant les seins de Yuri avant de balancer une autre décharge
"On va voir si tu va prendre ton pied plus longtemps."
Fit le marchand d'esclave qui relacha la prise sur la corde, faisant tomber Yuri au sol...Celle ci n'avait de toute évidence, même plus la force de faire le moindre mouvement...Le chasseur d'esclave passa derrière elle et se mit a caresser son arrière train avec un geste satisfait puis de gifler celui ci
"Je t'en donnerais encore plus...Mais pour l'instant je vais te laisser endurer ton état d'excitation intense. Je vais prendre mon temps et attendre que tu me supplie..."
Fit il, et comme si ça ne suffisait pas il attrapa ses jambes, les ecarta et se mit a lui faire un cunnilingus , se plaçant bien dans son dos. Comme celle ci ne pouvait pas faire de geste trop brusque, il esquivait comme ça les coups de boules et autres...