Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Centre-ville de Seikusu => Le quartier de la Toussaint => Discussion démarrée par: Saika Idou le jeudi 06 novembre 2008, 13:40:30
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Quartier de la Toussaint, un lieu à la réputation des plus mal famé mais qui présente l’avantage d’être au centre-ville et donc d’être un raccourci très pratique. Ici, on trouve de tout et absolument n’importe quoi… Prostituées, hôtels de passe, love hôtels, bars miteux, sexe shop, parkings où il ne fait pas bon traîner et la liste était encore longue. En bref, un lieu déconseillé au personne normal et ne cherchant pas les ennuis.
Et ben, le coin est toujours aussi joyeux…
Saika passait souvent par là, profitant des qualités de raccourcis de l’endroit. Lui n’avait jamais de problème, il était même assez connue dans le coin et pour cause… Tous les petits malins qui avaient voulus l’embêter s’étaient frottés à sa « chance légendaire » qui se transformait souvent en incroyables catastrophes qui conduisaient inévitablement à l’hôpital ou chez le psy, voir les deux à la fois… Donc maintenant, il était aussi craint qu’un dangereux caïd et même s’il n’aimait vraiment pas ça, au fond, ça l’arrangeait assez bien.
Qu’est-ce qu’il se passe ?
En effet, quelque chose venait d’attirer son attention. Un groupe de crétins, c’est ainsi qu’il appelait les racailles et les petites bandes de pseudo-caïd, entourait une jeune femme. Elle devait avoir la vingtaine, de longs cheveux d’ébène et des yeux de la même couleur, une peau légèrement mâte, un corps que l’on pouvait deviner magnifiquement sculpté sous un look de femme d’affaires. En bref, c’était une très jolie femme et la proie idéale pour une bande de crétins. En règle générale, Saika évite les problèmes et ne se mêlait pas des affaires des autres mais au fond de lui, il ne pouvait pas non plus laisser cette jeune femme toute seule. Il reconnut la bande, ils l’avaient déjà embêté une fois mais ils avaient découvert à quel point Saika pouvait être dangereux, même sans le vouloir. Vu les enchainements de chutes diverses et variés, les objets qui avait volés et le gros chien de mauvaise humeur qui était venus leur taquiner les mollets, ils avaient dû en avoir pour un petit moment à l’hôpital. Saika décida de pousser sa chance avec un joli bluff.
Hé les gars, on ne vous a jamais dit que ce n’était pas bien d’importuner les jeunes femmes dans la rue ?
Le chef de bande, visiblement pas content qu’on vienne le déranger, se retourna vers Saika.
Qui est l’espèce de gros con qui se croit… Putain ! Pas lui !
Le chef, et accessoirement toute sa bande, pâlirent quand ils reconnurent LA catastrophe ambulante. Mais ne croyant pas au miracle, ils se ressaisirent un instant et se montrèrent menaçant.
Dégage minus ou je te casse en deux !
Saika ramassa alors un caillou et s’efforçait de garder un visage neutre.
A votre avis, ça fait quoi si je lance ça ?
Ni une, ni deux, toute la bande avait décampé. Non finalement, c’était un peu trop risqué au fond.
Attendez-moi bande de traîtres !
Le chef se barra aussi sans demander son reste. Saika lâcha un petit soupir de soulagement, il avait quand même eut peur sur ce coup. Sa maladresse, qui jusqu’ici ne lui avait apporté que de la solitude, pouvait finalement se révéler utile parfois. Il se retourna vers la jeune femme avec un grand sourire sympathique.
Tout va bien mademoiselle ? Ils ne vous ont pas fait de mal ?
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Pourquoi fallait il que les loubards tentent a chaque fois de la violer? Apres que son gentleman ait mystérieusement disparu, Yuri marchait seule, elle était femme et se pensait a l'abris des problemes, cependant, ce n'était pas vrai. Voulant coupé cour pour avoir un week end plus long, mais surtout parce qu'elle avait envie de se glisser rapidement sous ses couvertures pour se laisser emporter par morphé apres une nuit entiere et une journée d'escl...travail. Mais cinq charmants jeunes hommes qui a leur charme n'avait d'égal que le cumul de leur beauté et de leur intéligence, l'avaient arreté et voulait savoir lequel, ou plutot lesquels allaient l'accompagner en premier dans les draps. Yuri avait peur, elle avait un poison qui tuait en moins d'une seconde, mais pour cela elle devait sortir ses crocs et changer la couleur de ses yeux. Si elle n'était pas assez rapide pour les mordre et les tuer tout les 5 elle serait mal partie.
Intimidé par les lames et les menaces, la belle serpent resta sans bouger, la tete basse, une main tenant son bras et couvrant tant bien que mal sa poitrine qui avait été dénudé légerement par un coup de couteau. Elle pouvait retourner acheter un tailleur pour travailler maintenant.
Les idiots se demandaient maintenant quel serait la place de chacun, visiblement, le chef qui semblait s'appeler bob voulait "lui défoncer violement le cul avec sa batte" ce que Yuri comprit comme une sodomie sans aucune préparation et la plus douloureuse qu'il soit. Un Jack et un Harry se disputaient la bouche aux levres pulpeuses de la jeune femme, les deux voulaient la violer par la pour commencer et la brune ne faisait rien a part tremble d'angoisse.
Yami, un homme d'une taille colossale et d'une poigne de fer commenca a peloter les fesses de la jeune femme qui frémissait, non pas de plaisir, mais d'une violente terreur. Les trois premiers se disputaient, mais le quatrieme agissait, levant lentement la jupe de son tailleur qu'elle retenait autant que possible avec sa main pour ne pas se retrouver nue...
Soudain, un cri, enfin une personne s'interessait a sa malchance, un autre Watari? Peut etre. Il était vraiment craint par les 5 brutes, alors cela voulait il dire qu'a lui seul il était pire que les cinq réunis? Sur cette conclusion, la femme serpent se replia un peu plus sur elle meme lorsque ses violeurs en devnir disparurent pour laisser place a l'homme au cailloux.
Affaissé, plié sur elle meme, la poitrine sur les genoux et la tete basse, Yuri se faisait toute petite, tétanisé par ce qui l'attendait, elle avait peur et cette peur était clairement exprimé. Mais quelque chose rassura la petite candide, son grand sourire et sa demande était des plus scincere, elle le regarda de ses yeux humide, humilié et apeuré par cet homme qui paraissait bien plus grand qu'elle, mais en meme temps quand on est accroupi on est pas tres grand.
je... J'ai cru qu'ils allaient me violer, j'ai eut si peur... merci... marci monsieur vous etes vraiment...gentil.
Elle échangeait peut etre une meute de loup contre un lion enragé dans ce court instant, mais sa crédulité lui firent croire qu'un tel homme ne pouvait rien faire de mal, du moins, pas volontairement. C'était une facon tres simpliste de penser, mais a 21 ans on ne se refait pas, c'est un peu tard
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Saika se débarrassa de son caillou en le balançant par-dessus son épaule. Un bruit métallique associé à un miaulement aigüe lui confirma qu’il avait encore traumatisé un chat. Les associations de protection des animaux le détestaient d’ailleurs cordialement pour le nombre de catastrophes qu’il provoquait et qui incluait souvent de pauvres bêtes qui n’avaient rien demandé. Il était quasiment interdit d’entrée au zoo, depuis qu’il avait ouvert, par accident, la cage des singes qui s’étaient fait une joie de mettre un joyeux bazar.
La jeune femme était recroquevillée, encore terrifiée. Ces minables n’avaient vraiment aucune fierté, c’est à ce demander comment certains pouvait se regarder dans une glace. Son haut était ouvert et, malgré sa tentative pour le cacher, laissait une petite vue sur son soutien-gorge. Ce la gênait un peu Saika qui se décida à agir en gentleman. Pour une fois qu’il rencontrait une jolie femme sans finir trempé…
Ce n’est rien, c’est fini maintenant.
Il enleva sa veste et la mis sur les épaules de la jeune femme afin qu’elle puisse cacher ses vêtements déchirés.
Vous avez de la chance. C’est un quartier très dangereux pour une jolie jeune femme telle que vous. Et vous n’êtes pas tombés sur les pires. Mais ne vous inquiétez pas, je vais vous ramener jusque chez vous, avec moi, il devrait rien vous arriver.
Ce n’était jamais vraiment sûr à 100% avec Saika mais au moins, les gens ne s’approcheraient pas d’elle et c’était surement la solution a moins risqué maintenant que la nuit était tombée sur la ville. Il lui sourit et lui tendit dans la main pour l’inviter à se relever.
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La chaleur de la veste posé sur ses épaules rassura la jeune femme, Yuri se retenait d'éclater, de fondre en larme devant ce bon samaritain, mais le fait qu'il la réconforte et lui offre de quoi cacher sa poitrine legerement dévoilé par la brusquerie et le manque total d'égard des autres loubards la firent se tenir droite. Fermant la veste sur elle, mais sans passer les bras dans les manches, l'Esper était toujours courbé et tremblante. Cet homme était assurément tres gentil avec la petite candide. Il lui proposait, sans rien demander en retour, son bras pour la mener saine et sauve chez elle. Un leger sourire, tinté de peur, s'afficha sur les magnifiques traits de la jeune femme.
Je.... merci... Vous etes gentil monsieur... Mais je ne sais pas comment vous payer ma dete.
Oui, malgré tout, Yuri restait une femme tres bien elevé, elle était fiere de nature, mais trop timide pour se montrer supérieure et hautaine, enfin, ce n'était pas dans son caractaire de rabesser les gens non plus. Juste qu'elle était plutot sensible aux autres et qu'elle avait tendence a accorder sa confiance trop rapidement. Cette fois, elle l'avait échapé belle, mais il n'y aura pas ce sauveur fortuit tout les jours. Interieurement, la belle aux cheveux de nuit se jura de devenir plus méfiante et moins gourde. Mais chassez le naturel et il revient au galop, ce n'est pas facile de lutter contre sa nature qui est proprement celle d'une fille timide, craintive qui a tendance a accorder sa confiance sans faire attention aux possibles consequences que cela entraine.
C'est alors, toute heureuse d'avoir trouvé une personne gentille que la jeune femme pas assez méfiante pour ce genre de quartier prit le bras du lycéen désastrophique sans se douter qu'elle courrait le risque de se retrouver a l'hopital par cause de malchance. Mais bon, on ne lis pas tous dans les lignes de la main pour savoir que ce pauvre garcon attire la poisse comme le miel attire les mouches.
Alors que les deux jeunes gens marchaient, Yuri se blotissait un peu plus contre son sauveur du moment, les autres lui faisaient peur. Prostitué, loubards, motards, ivrognes, tout ces gens qu'elle ne cotoyait jamais. A dire vrai, sa vie sociale était pas térrible, elle était tellement timide qu'elle n'arrivait jamais a draguer un garcon, ou alors elle le repousser parce qu'elle avait peur de la maniere tres rustre dont les humain de Terre s'y prenaient pour faire la cour. Ses amies? Elle n'en avait pas vraiment, des collegues de burreau tout au plus...
Je... Je peux vous demander votre nom?
C'était le premier homme qu'elle croisait dans le rue, comme ca, qui avait une chance de faire naitre son cercle d'amis. La belle avait peut etre vingt et un ans révolu, elle n'avait pas la... comment dire.... l'assurance d'une femme de son age, son carractere et son passé assez violent l'avait éffacé completement, ce n'était pas la femme qui se faisait remarquer dans un groupe par son charisme, mais juste celle qui iradie de beauté en se sentant laide et refusant de se montrer belle comme elle l'était elle meme. Pour etre une femme charismatique il suffit de se sentir belle et de se savoir désirable, le reste vient tout seul. Or, notre jeune femme était belle, mais ne se l'avouait pas.
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La jeune femme ne semblait pas encore s’être tout à fait remise du choc et il y avait de quoi quand on voyait la joyeuse faune qui peuplait les lieux. Sa façon de parler ainsi que ses vêtements montrait qu’elle avait été bien éduqué et qu’elle était une femme honnête, absolument pas le genre du coin.
Vous n’avez pas besoin de me payer quoi que ce soit.
Lui répondit-il dans un grand sourire.
Je l’ai fait parce que je le voulais et que personne ne mérite de finir entre les mains d’une tel bande de crétins.
La jeune femme, qui portait sa veste, se releva et s’agrippa à son bras, Saika sentit ses joues rosir à cause de ce corps collé contre lui malgré les couche de vêtements. Il regarda du coin de l’œil la jeune femme, d’aussi près, elle était vraiment magnifique et avait l’air d’une petite chose si fragile qu’on avait instinctivement envie de la prendre dans ses bras pour la protéger. Comment pouvait-on s’en prendre à elle ? Et en bande en plus ? Certains n’avaient-ils donc pas le minimum de dignité propre à un être humain ? Mais en jetant un coup d’œil autour de lui, Saika se rappela dans quel quartier il était et il lui revint en mémoire qu’ici, certains avaient déjà renoncée à leur humanité…
Plus il marchait, plus la jeune femme se collait à lui de peur et plus Saika virait au rouge tomate. La peur de la jeune femme montait au fur et à mesure qu’elle admirait le joyeux bestiaire local. Entre ça et son agression, Saika ne pouvait qu’espérer qu’elle se rappellerait que c’était un quartier à éviter pour une jeune et gentille femme.
A un moment, ils passèrent à proximité d’une petite bande de motards qui regardèrent Saika comme si le Diable en personne venait pour eux et certains enlacèrent leurs engins.
Non pitié, pas la moto, pas la moto !
Ca c’était une bande de « vieux copains », un beau jour ils avaient voulut s’en prendre à lui, l’un des gars s’était montré un peu trop bagarreur et par accident, comme d’habitude, Saika avait donné un coup de sa main, ce qui fit voler la cigarette qu’il tenait et cette dernière alla contre le réservoir d’une moto mal entretenu, vu que ce dernier fuyait un peu, et mit le feu au carburant qui fit exploser l’engin ainsi qu’une dizaine garée à coté par effet domino. Certains loubard avaient même finis à l’hôpital pour cause de brûlures. Depuis, les motards l’avaient classés dangereux et à ne surtout pas laisser approcher des motos.
Ils continuèrent leur chemin et la jeune femme, qui était resté silencieuse jusque là lui demanda son nom.
Bien sûr, je m’appelle Saika. Idou Saika. Et moi ? Puis-je connaître le nom de la magnifique jeune femme que j’escorte ?
Saika n’avait pas eu dans l’intention de jouer les dragueurs mais là, c’était sorti tout seul, cette femme avait un charme fou auquel il était assez difficile de rester indifférent. Il espérait simplement que sa bourde ne la mettait pas mal à l’aise…
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Ce chevalier de l'apocalipse invomontaire était une personne assez... comment dire? Gêné par la proximité et la pression de la main de Yuri sur son bras. Bien sur, si son sauveur avait des ennui, elle n'hésiterait pas et montrerait ce coté qui lui fait tellement peur, ce coté assuré, froid, charismatique et assassin. Son pouvoir. Chose qu'elle condamne a la nuit quand il s'agit d'elle meme, ne rien faire avec un pouvoir pour soi, mais ne pas hésiter pour les autres, c'est sa regle et c'est une tres bonne regle de vie. La jeune femme regarda le groupe de motard enfourcher leur bécanes et déguerpir dans un claquement sonore, Ce qui eut pour conséquence de la rapprocher encore plus du jeune homme. Yuri ne rougissait pas, elle n'était pas géné, mais simplement térrorisé.
Je.. Yuri.
La pauvre, son prénom voulait dire Lys, mais aussi "amour féminin" donc, chaque fois qu'elle se denommait elle semblait toujours sur la defensive. Mais les paroles réconfortantes de ce Saika et ses actions pour la proteger lui inspirerent confiance, comme si il n'allait pas relever le fait que son nom veuille dire lesbienne et qu'il ne mette pas la pauvre jeune femme dans une situation de totale gene. La rue devenait plus éclairer, a croire que la sortie était proche, cependant, cette partie du district était completement dépravé, la saleté, l'entretient... Tout était comme abandonné a ses rats de ville.
Dites, vous avez l'air de faire peur a tout le monde ici, vous... Vous etes dangereux?
Hé bien, elle en met du temps a percuter la petite, mais surtout elle s'en rend compte alors qu'elle est si proche de lui qu'on croirait qu'elle prend appui pour se maintenir debout, ce qui n'est pas entierement faux d'ailleur... Les jambes dine de la serpent étaient tremblante de peur, meme si ce jeune homme semblait balayer les ombres devant lui, cela n'empechait pas Yuri de baisser la tete pour éviter les regards pervers. D'ailleurs, un sursaut de lucidité passa dans son esprit.
Dites moi Saika-san, vous n'etes pas un pervers? Parce que je déteste ca...
C'était une confession de sa part, vue le ton et la rougeur sur ses joues, mais qui serait assez con pour répondre "oui biensur et je vais te violer dans la vieille bicoque la derriere héhé"?? Probablement personne, donc, si ce jeune étudiant dont elle avait reconu l'uniforme, lui voulait vraiment du mal, elle venait de lui donner un bon coup de pouce. quelle idiote parfois.
Cependant, une paire de brute, qui ne semblaient pas avoir peur de la désastrophe se mirent en travers du chemin, menacant directement l'enfant.
Dis, c'est toi qui a fait cramer le bar de mon frere! On va te faire payer ca petit con et a ta copine aussi.
La mimique perverse d'un des deux hommes montrait le futur paymant de Yuri, mais hélas, il allait passer en premier.Le moment d'honnorer sa dete d'honneur était venu, la jeune femme ouvrit grand le manteau du jeune homme et le laissa tomber a terre, sans se soucier du fait que trois de ses boutons avaient sauté. La reptile se placa devant les deux hommes et leur adréssa une mine noire avant de retourner sa tete vers l'eleve et de lui laisser un sourire rassurant.
Ca va aller, j'en aurait vite fini. Laisse moi faire.
Vite fini? Tu te prend pour qui?!
Pour quoi serait plus exact. Une seconde apres avoir fini sa réplique, les deux armores a glaces fuyerent, le regard tinté de terreur. Pourquoi une telle réaction face a une femme qui ne dépassait pas les 60 kg? Ses yeux d'or et ses crocs acéré qui dépassaient de sa bouche avec l'invitation de venir poser la main sur elle pour une derniere douceur avant les ténebres. Les deux loubards comprirent assez bien son messages et fuyerent a toute jambe. Redevenant normale, Yuri se retourna vers son compagnon et lui adressa un sourire leger alors qu'elle avait ses mains dans le dos.
Et voila.
Lentement, elle reprit sa place a ses cotées alors que la veste reprenait sa place sur ses épaules. Et ils marcherent encore et encore en direction de chez elle, ou de chez lui si c'était plus proche. Vue sa fatigue, elle ne ferait pas la difficile!
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Ainsi donc elle s’appelait Yuri, un très jolie prénom. Il désigne la fleur de lys, dans le langage des fleurs, elle symbolise l’innocence et la pureté des sentiments.
C’est un très jolie nom, il vous va très bien.
C’est sûr qu’à côté du sien… Saika signifie catastrophe, on peut dire que ces parents ne l’avaient pas ratés sur ce coup-là mais il parait que le jour de l’accouchement, il avait déjà commencé sa carrière de cinquième chevalier de l’apocalypse, ce qui avait dû fortement les inspirer. Et Yuri venait de finir par lui poser LA question fatidique.
Plus ou moins.
Avait-il répondu dans un petit rire nerveux et laissant une petite pointe… d’amertume.
Disons que je suis un peu… maladroit. Et il m’arrive souvent de faire des gaffes qui se révèlent un peu dangereuses autour de moi. J’essaye de faire attention mais ça arrive parfois alors à la longue, on m’a collé une réputation de danger publique.
Triste et simple réalité pour un jeune homme qui n’avait plus l’habitude de côtoyer beaucoup de monde d’ailleurs le contact avec Yuri, même si cela le gênait un peu, par respect pour elle, lui était assez agréable. Et c’est là qu’il se fit limite traiter de pervers.
Hein ? Non ! J’ai fait quelques chose qui vous gêne ? Je suis désolée… quand je vous dis que je fais tout le temps des bêtises…
Mais avant qu’il ne puisse dire quoique ce soit d’autre, deux espèces de grosses brutes venaient leur chercher des noises.
Dis, c'est toi qui a fait cramer le bar de mon frère! On va te faire payer ca petit con et à ta copine aussi.
Un bar qui a brûlé ? Aie ! Sans doute cette vieille histoire de briquet volant et de vodka mal bouchée. Ca avait fait un très jolie feu de joie ce jour là. Depuis le temps, certaines personnes, dont les assurances ne voulaient plus rien entendre, étaient allés jusqu’à supplier les autorités compétentes de reconnaitre tous les dégâts provoqués par Saika comme « catastrophes naturelles » afin de se faire rembourser.
Alors qu’il cherchait un nouveau moyen de les bluffer avant que ça ne finisse mal, Yuri fit preuve d’un soudain élan d’assurance et alla défier les deux Cro-Magnon qui décidèrent d’aller voir si les rues étaient plus sombres ailleurs. Le sourire qu’elle lui adressa après lui fit penser à une petite fille espiègle, décidément, elle portait bien son nom, son sourire dégageait une forme d’innocence qui radoucissait le cœur…
Et bien, je ne me rappelais pas qu’un humain pouvait courir aussi vite.
La jeune femme revint à ses côtés comme si de rien n’était et il reprirent leur route pour enfin quitter ce quartier infâme.
On devrait être tranquille maintenant mais je peux vous escorter jusque chez vous si vous le souhaitez.
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La belle avait fait une gaffe, mais le chevalier de l'apocalypse malgré lui l'avait pas si mal pris, au contraire, il pensait que cette conclusion était le résultat de gestes déplacé de sa part et commenca a s'excuser pour ce qu'il n'avait pas commis, c'était touchant et profondément gentil de sa part de parler comme ca plutot que de l'envoyer bouler.
Quand la jeune reptile eut fini avec les deux géneurs la remarque amusante de l'étudiant au désastre la fit sourire et meme rire légerement. C'était pas faux, en plus, le jeune garcon, malgré toute ses maladresse restait aussi digne qu'un prince et gentil comme il n'était pas permis dans ce monde. Des hommes pervers et violent elle en a connu la belle en seulement deux années. A croire qu'elle n'attirait que cette racaille. Meme si a chaque fois une femme repoussait pour elle les hommes trops pervers pour en porter le nom, celui ci semblait totalement different. Peut etre parce qu'il était lycéen? Tout ceux qu'elle avait croisé étaient soit les cinq loubards, soit des hommes de son travail qui avaient envie de s'envoyer en l'air contre la machine a café. Que des hommes charmant fantasmant sue la secrétaire perverse. Oui elle l'était un peu, mais pas comme ca. C'est pas parce que Yuri regarde certains films passé une certaine heure sur les chaines cablé qu'elle couche avec le premier venu. C'est pas un moulin en libre service non plus!
Mais si j'en crois votre uniforme, vous etes lycéen, si vous m'escortez jusque chez moi... Vous ne vous feraient pas engueuler par vos parents?
Pff, qu'elle est naive! N'importe qui serait pret a se laisser couper une main pour la racompagner chez elle, voire plus. Et le jeune catastrophman n'était sans doute pas une exception. Se faire considerer comme un sauveur et en plus avoir la possiblité de passer plus de temps avec une si belle et si candide jeune femme valait bien de se faire severement savater parce qu'on est pas a la maison a 17h30.
Comme elle n'eut pas de réponse imméditate, Yuri considéra que cela ne posait aucun réel probleme de la ramener jusque chez elle. Qu'est ce qu'elle était fatigué! Elle dormirait volontier dans un de ces hotels pas cher, mais sa récente mésaventure la refroidi aussi vite qu'une pluis glaciale.
J'habite un peu au nord du parc, normalement je ne passe jamais par ce district, mais j'avais des courses a faire et le plus cour pour rentrer c'était cet rue et vous connaissez la suite.
Pourquoi parler de ses problemes? Sans doute parce qu'il ne ferait pas la sourde oreille a son histoire ou ne s'en désinteresserait pas. Yuri avait ce pouvoir que possede toute les femmes a certains degrés, l'intuition féminine. Cette intuition, ce sentiment lui disait que c'était pas le genre de personne a se foutre de ce que lui raconte l'autre comme de l'an quarante ni le genre a abuser de la confiance des autres a ses propres fins.
Mais... depuis tout a l'heure on parle de moi et de mes problemes, mais a part votre nom, votre dévotion et votre activité quotidienne, je ne sais rien de vous Sai-kun...
C'est vrai que l'appeler désastre c'était pas vraiment le meilleur moyen de parler de lui, meme si elle n'avait pas fait le rapprochement entre le kangi et le prénom, un peu comme Ichigo qui pouvait soit vouloir dire fraise, soit celui qui protege, suivant si le premier kangi est le chiffre un ou le kangi I et Chi. C'est assez complexe, mais maintenant Yuri ne se prendra plus a la forme immonde de nommer cette charmante personne. De plus Sai veut dire libération, c'est plutot une bonne abréviation quand on regarde ce que le jeune homme a fait quelques instants plus tot...
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Je vous remercie de votre sollicitude mais j’ai 17 ans et je sais me débrouiller. Mes parents ne vont pas m’embêter, ils savent qu’en règle générale, les seuls qui craignent quelque chose, c’est les autres et si je ne rentre pas, ils sauront TRES BIEN comment tuer le temps.
Le sous-entendus sur les activités de ses parents quand il s’absentait du domicile familiale était assez clair mais en même temps dis avec assez de finesse pour ne pas se faire catégoriser directement à « pervers sans tact ». De toute façon, il ne voulait pas la laisser se promener seule la nuit même s’ils étaient sortit du quartier, elle donnait vraiment envie de la protéger et s’il la laissait là, ça le poursuivrait un bon moment.
Beaucoup de gens se font avoir de la même manière, vous avez eu pas mal de chance. Vous n’habitez pas à côté mais il fait beau et cela nous fera une agréable promenade.
Ce qui ne pouvait que contribuer à la détendre, cette pauvre Yuri en avait bien besoin après tout ce stresse accumulé dans le quartier des tarés. Saika se sentit un peu gêné quand elle l’appela du petit nom qu’elle lui avait trouvé, cela lui faisait bizarre une telle marque de gentillesse, qui plus est de la part d’une aussi magnifique jeune femme, mais il fit cependant un effort mental pour ne pas se transformer en tomate et essayer de fournir une réponse dans un langage décent.
Moi ? Il n’y a rien de bien passionnant à dire à mon sujet, je suis un simple lycéen en troisième année et fils unique. Pour le reste, je suis surtout une vrai catastrophe ambulante, ce qui fait que peu de monde s’approche de moi et même si ça m’épargne beaucoup de problème, je suis aussi souvent seul…
Saika lui fit un sourire pour lui montrer qu’au fond ce n’était pas si grave.
Mais bon, la vie est comme elle est et au fond, elle n’est pas si triste, on fait parfois de très belles rencontres.
Une façon discrète de lui glisser un compliment et de lui prouver à quel point sa compagnie lui était agréable. Oui, aujourd’hui Saika devait enfin avoir un peu de chance pour rencontrer une telle personne.
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Alors c'était pour ca que tout le monde le fuyait comme la peste? Parce qu'il portait la poisse a quiconque l'approchait de trop pres? Pourtant, ce fut un amour avec Yuri, il lui avait sauvé son honneur de femme, pour ainsi dire, sa vie. Mais surtout cet homme qui avait bien quatre voir cinq ans de moins qu'elle semblait si doux et si gentil. Quand il parla de sa solitude, le bras de Yuri se serra un peu plus et sa tete se posa délicatement sur son épaule, compatissante.
Je sais ce que c'est que d'etre seule, si tu veux tu peux rester avec moi ce soir, on se sentira moins seul si on est tout les deux non? De plus si j'ai bien comprit, tes parent n'attendent que ton départ pour avoir l'intimité du début de leur mariage. C'est un peu compréhensible tu sais, il n'y a pas d'age pour s'aimer, c'est meme beau qu'ils s'aiment encore comme au premier jour...
Sans le dire, Yuri les enviait, la jeune femme voulait elle aussi connaitre ce grand amour, avoir des projets, un mariage, des enfants, une routine. Bref, une vie sentimentale comme des millions de personne sur cette Terre. Mais jamais on venait la voir, peut etre parce qu'elle était trop belle, tout le monde devait se dire qu'elle avait déja un ou une petit(e) mai(e), mais ce n'était malheureusement pas le cas, les petits déjeuné dans son jean et sa chemise se faisaient en face de la machine a laver et non d'un beau jeune homme avec les yeux pétillants d'amour.
Son genre? Elle n'en avait pas, il suffit que la personne essaye, la charme et peu importe si elle et grasse, avec de la barbe ou des résidus tenace d'acnée... si elle la fait vibrer, cette personne aura les droits de son coeur. Comme quoi, les belles femmes sont une proie a la portée de tous et de toutes, il suffit d'oser.
Dis mois Sai-kun, ca te dérange si je te tutois? Apres tout tu m'as sauvé la vie, tu es un peu plus intime que mon patron...
Sa tete toujours contre l'épaule du jeune homme, elle ne pouvait s'empecher de sourire au compliment qu'il lui avait fait plus tot, la faire rougir était une chose difficile, mais la faire sourire dans un moment comme celui la était du meme niveau, Saika pouvait se pavaner de l'avoir fait sourire alors que quelques minutes plus tot elle était tétanisé a l'idée de perdre son honneur avec de tels monstres. Lentement, elle se décolla du lycéen pour marcher de maniere droite et digne, une main pincant toujours son chaud manteau de l'interieur pour qu'il ne s'ouvre pas, lentement ils approchaient de son HLM et bientot ils seraient au chaud et en sécuritée.
Tu veux que je te rende ton manteau? Il ne fais pas tres chaud, je m'en voudrais que tu attrape froid.
Et avant meme que l'adolescent donne une remarque, la belle reptile lui avait retiré son pull en posant sa veste sur ses épaules galcées.
Tiens, ton pull suffira a cacher ce que ces trois brutes ont fait a mon chemisier préféré.
La jeune femme ne fit pas cas, elle enfila tranquilement et presque serainement le sweet du jeune homme qui se plaquait a merveille a sa poitrine. C'était moins chaud que son manteau, mais au moins, elle n'avait pas froid et lui ne grelotait plus dans le vent.
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Au fur et à mesure de ses paroles, Yuki se rapprochait de lui et était même aller jusqu’à poser la tête sur son épaule. Saika ne comprenait plus. Pourquoi faisait-elle ça ? Pourquoi s’accrochait-elle à lui ainsi ? Ils étaient en relative sécurité maintenant, alors pourquoi ne s’éloignait-elle pas de lui ? Comme les autres faisaient quand ils savaient de quoi il était involontairement capable. Finalement, elle portait bien son nom, ces sentiments étaient d’une grande pureté et son âme d’une grande gentillesse alors Saika profita de cette douceur qui lui était si rare…
Elle continuait de lui parler et allait même jusqu’à lui ouvrir en partie son cœur.
Oui… Si ca ne vous gênes pas, j’aimerais bien rester avec vous ce soir…
Saika n’avait aucune arrière-pensées déplacées, il souhaitait seulement de la compagnie et Yuri lui en offrait une agréable… Il espérait seulement qu’il n’allait pas encore provoquer de catastrophes qui la mettraient dans l’embarras.
Mes parents sont amusants, ils font toujours la comédie du jeune couple et font semblant de rien quand je suis là mais ma mère ne se doute pas que je sais ou elle cache sa collection de livre à l’eau de rose un peu érotique.
L’évocation du sujet de ses parents ne l’attristaient pas, ils étaient très gentils et Saika devait leur mener la vie dure avec les tuiles qu’il créait, alors il pouvait bien les laisser tranquille de temps en temps.
Plus ils parlaient et plus Saika se sentait proche de Yuri, la douceur qu’elle dégageait était telle qu’il n’y avait pas de mot pour la décrire et Saika ne se sentait plus du tout gêné par la présence de cette magnifique jeune femme.
Bien sûr, si tu me permets d’en faire de même, je n’ai pas souvent l’occasion d’être intime avec quelqu’un.
Pourtant, il ne se connaissait depuis même pas une heure mais c’est comme s’ils se connaissaient depuis des années. Quand elle voulut lui rendre sa veste, il n’eut même pas le temps de répliquer que ce n’était pas grave et qu’il n’était pas frileux, elle lui avait déjà enlevé son sweet et remis sa veste sur ses épaules. Saika ne savait plus trop quoi faire, le doux parfum de Yuri qui s’était déposé sur sa veste lui revenait maintenant en tête.
Tu… tu peux le garder si tu veux…en souvenir de notre rencontre. A priori, je ne maudis pas les objets.
La gêne de Saika était revenue, la naturel revient toujours au galop et ce fut en imitant couleur de la tomate bien mûr que Saika et Yuri arrivèrent finalement au bas de chez elle.
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C'était amusant le pouvoir que pouvait avoir une femme sur les hommes, comme si un simple geste pouvait faire tomber un empire. Image assez vraie si on se souvient bien de la guerre de Troie, une femme en était la cause, enfin, le prétexte. Yuri regardait le jeune homme devenir assuré et meme amusé lorsqu'il parlait de ses parents puis tout timide lorsqu'elle lui rendit sa veste en enfillant son sweet. Le garder? Non, ce n'était pas a elle, elle devait le lui rendre, mais ce qui l'amusa c'est sa rapidité a rougir. Pour l'aider dans son oeuvre, la belle femme fit exprés de l'embrasser sur la joue, un baiser tendre et chaud qui se voulait le plus embarassant possible, qui a dit que les femmes ne savaient pas etre cruelles?
C'est trop mignon comment tu rougis!
Mais le temps de cette réplique, la jeune femme était a destination. sortant la clef magnétique de son sac a main, la porte se déverouilla au contact de ce bout de plastique et ils entrerent dans son immeuble avant de gravir la volée de marche jusqu'au premier étage. A la chambre 69, la brune ouvrit sur un appartement d'un blanc presque immaculé, seul quelques tableau de magnifiques photos de paysages exotique comme la montagne, le coeur de la foret amasoniene ou autre étaient placardé dans le couloir. En lachant sourdement ses clef dans la boite en fonte avant de se vautrer dans le cannapé lit qui se trouvait au bout a gauche du clouloir dans le sallon cuisine.
Haaaaa... ca fait du bien d'etre a la maison. Tu veux manger, boire? Si tu en as envie c'est dans le frigo et le placard sous l'évier, je vais me changer et mettre des habits plus... décontracté.
Laissant en plan le lycéen avec son sweet dans les mains et une belle vue sur son soutiens gorge en dentelle noire, la femme serpent sortit de la piece pour passer derriere les rideaux en trois couche et se mettre en petite tenue. Si le jeune homme voulait voir une femme bien faite dans son plus simple appareil, c'était le moment. Alors qu'il ne lui restait qu'un string et un soutiens gorge, la belle brune se baissa dans sa penderie pour rammasser son bon vieux jean troué au genoux et a l'interieur de la cuisse ainsi qu'une chemise d'homme lui servant accessoirement de pyjamas. Puis, une fois ces deux objets en main, Yuri retira ses sous vetements pour enfiler sa tenue de soirée. La poitrine enfin libre dans cette chemise qui ne la contrariait pas et qui laissait ses seins enfin respirer un bol d'air frai. Qaund a sa nudité inférieure, disons que le string, a la longue, ca lime un peu les parties...
Cela étant, la jeune femme revint voir son compagnon solitaire qui n'avait pas gaffé en son absence et qui sait si il ne l'avait pas maté quand elle s'était completement dénudé.
Alors? Comment tu trouve mon petit refuge de solitude?
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Trop occupé à être gêné, Saika ne vit rien venir lorsque Yuri déposa ses lèvres sur sa joue. C’était un contact tellement doux, bien que fugace, cela semblait avoir duré une éternité. Le pire, c’est que cela l’amusait beaucoup, d’un côté, c’était tant mieux, au moins elle oubliait ses récentes déconvenues avec les trois idiots. Mais avait-elle vraiment fait exprès de l’embrasser pas loin des lèvres ?
Ha… euh… merci…
Essayez donc de sortir quelque chose d’intelligent quand vous êtes sous l’emprise d’une aussi jolie femme. Car sous son emprise, Saika l’était complètement, son charme, sa beauté et sa gentillesse le faisait fondre et il n’avait plus envie de la quitter. Ils montèrent jusque chez elle, un petit studio de célibataire aux murs blanc et décorés de quelques photos de paysages exotiques. Yuri lâcha ses clés et alla se vautrer dans son canapé. Malgré le petit côté négligé, elle gardait une sorte de sensualité naturelle qui invitait presque Saika à aller jusqu’à elle pour des choses que les bonnes mœurs tairont. Cependant il se contrôlait mais n’arrivait rien à faire de plus que rougir et rester debout comme un idiot, essayant de détailler chaque élément de la pièce pour éviter le regard envoutant de sa charmante hôtesse et faire en sorte que son cœur récupère un rythme cardiaque qui ne ressemble plus à un concert de death metal.
Zen mon vieux, zen… comme c’est sympa la forêt amazonienne…
Elle l’invita ensuite à se servir et Saika n’aurait pas été contre un grand verre d’eau TRES froide pour calmer son excès de température interne. Elle lui rendit ensuite son sweet, ne se souciant plus de laisser sa poitrine si magnifiquement sculpté dans son charmant dessous en dentelles noires à la vu du jeune homme qui se retint de mourir d’une hémorragie nasale. Lorsqu’elle annonça qu’elle alla se changer, il crut même la voir faire un petit clin d’œil discret. Elle jouait de sa séduction sur lui, s’amusant à lui faire imiter les tomates. Il n’y avait rien de méchant, tout cela restait au fond très innocent… d’un certain point de vue.
Elle passa ensuite derrière une sorte de grand rideau mais le jeu de lumière faisait de magnifiques ombres chinoises, il pouvait percevoir sa silhouette se débarrasser un à un de ses vêtements, s’il le voulait, il pouvait aller mater discrètement et ainsi contempler dans toute sa splendeur ce corps aux formes divines.
Mais à quoi je pense moi ! Pas bien !.... aller, juste un petit coup d’œil… non pas bien !
Heureusement qu’il n’y avait personne dans la pièce sinon on l’aurait prit pour un dingue à se mettre lui-même une baffe. La jeune femme avait échappé à un viol collectif, ce n’était pas pour se retrouver avec un ado crétin voyeur. Le spectacle involontaire d’ombres chinoises lui en avait montré bien plus qu’il ne l’avait mérité. Saika alla donc s’assoir dans le canapé en attendant que Yuri revienne. Ce qui ne tarda pas et il redevint gêné par ce qu’il voyait. Même dans cette tenue décontractée, Yuri restait divine, elle gagnait même un petit charme naturel en plus et comme sa chemise n’était pas entièrement fermé, Saika priait pour qu’elle ne se penche pas trop afin de ne pas mourir d’un arrête cardiaque.
Heu… c’est sympa… c’est un peu plus grand que ma chambre…
Lui répondit-il dans un petit rire gêné et les joues brûlantes.
Mais cesses de bafouiller et dis quelque chose de plus intéressant crétin ! Et arrêtes d’imiter le homard trop cuit !
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Des oensé que les bonnes oreilles ne voulaient pas entendre? Tiens donc, c'est donc tout ce que le naturel tres simple de Yuri inspirait a ce fils spirituel de Jiraya... Ce n'est pas si grave, de toute maniere, les hormones ca ne se controle pas vraiment. Et si d'une maniere ou d'une autre la belle pouvait augmenter le confort de son invité, en bonne hotesse, elle se plierait en quatre pour que ce soit possible.
La rougeur de la baffe ne se voyait pas sur les joues de la crevette, il était rouge de gêne, pourtant ce n'était qu'un simple pyjamas, peut etre qu'elle n'aurait pas due allumer la lumiere pour lui montrer que sous cette chemise et ce pantalon elle était nue. Enfin, quand on a pas l'habitude de recevoir on fait des bourdes, mais ca ne semblait pas lui déplaire. Il parla avec les plus grandes peines du monde pour ce faire comprendre alors qu'elle gloussait presque de rire en lui posant sa main fraiche sur la joue.
Tu rougis toujours, je ne te mangerais pas rassure toi. Tu as faim? Je suis une assez bonne cuisiniere, meme si chez moi je ne me suis jamais servie de tout cela.
Encore ca va, la Terranne n'avait pas gaffé avec une allusion trop profonde avec son plan de vie, mais la vérité était partielement dévoilé, quoi que passer de la deux chevaux a la mercedes classe A c'était merveilleux, un feu constant, qui attrape pas et qui en plus ne risque pas de mourir par négligence, surtout qu'il n'y a pas de feu! Mais des plaques a induction, certes le temps pour apprendre a s'en servir la condamna pendant quelques longues semaines a manger de la nourriture de pique nique, mais bon, ce n'est pas la fin du monde, les legeres formes que lui avaient donné son allimentation s'étaient regroupée dans ses belles cuisses et ses petites joues. Enfin, s'étaient, parce que maintenant, plus rien de ce laissé aller ne subsistait sur le corps de la belle esper. Sans attendre la réponse du jeune homme, la brune mourrant de faim ouvrit le congélateur pour sortir deux tranche de steak haché ainsi qu'une bavette qu'elle mit au frigo pour la degeler en douceur. La belle était une femme serpent, carnivore c'était son systeme alimentaire favori. Les deux steak étaient pour elle. Autant dire que le lycéen, plutot mignon quand il est gêné doit tomber de surprise en surprise. Surtout que la petite avait prit l'habitude de répéter ses pas de danse devant la marmite le soir, maintenant elle conservait un déhanché sur un rythme inventé, mais qui n'avait plus rien a voir avec le quadrille et les autres danses de son autre vie.
La viande commenca a cuire dans les poeles de l'hotesse alors qu'elle se mettait a fredonner trois notes en continue (si tu connais one piece tu devrais voir les trois notes du yohoho) de maniere calme, douce, comme une berceuse. Ce devait etre un spectacle reposant pour le chevalier de l'apocalypse malgré lui qui devait lentement retrouver ses couleurs au fil des secondes, enfin, ce serait bien, sinon il risquait de mourir d'une explosion de sa tete sous la pression sanguine et devinez qui se tapera le ménage apres une nuit blanche, une journée de bolot interminable et une tentative de viol par cinq crétin dont trois rustre qui manquent totalement de consideration pour les habits d'une femme.
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Non ce n’est pas ça, c’est juste que je n’ai pas l’habitude d’être en compagnie d’une aussi jolie femme, ça me fait un peu bizarre.
Ce qui était totalement vrai, en temps normal, on le fuit comme la peste alors être en la compagnie de Yuri, une jeune femme ayant tant de qualités, ça lui faisait vraiment tout drôle. Mais il n’aurait jamais voulut échanger cette soirée contre quoi que ce soit d’autre au monde. Car au-delà de sa beauté, c’était la gentillesse et la présence douce de cette personne qui la rendait si attirante.
Euh, je veux bien manger un morceau oui.
Même si ça n’en avait pas l’air, l’idée de dîner en tête à tête avec cette jeune femme était plus que plaisante. Elle se leva et alla dans le coin cuisine où elle se mit au travail, chantonnant un petit air, dansant autour des éléments. Chacun de ses pas était si fins et gracieux que s’en devenait un spectacle magnifique. Saika en conclut qu’elle devait l’apprécier vu qu’elle se comportait avec lui de manière naturelle, ne cherchant pas à masquer son caractère ou à donner une bonne impression. Peu après, ils passèrent à table, Saika put alors remarquer que Yuri avait de l’appétit, dévorant joyeusement deux énormes steak avec un plaisir évident.
Et bien, vous ne manquez pas d’appétit. Ca fait plaisir à voir et ça change de toutes ces femmes obsédés par les régimes minceurs et l’angoisse du bourrelet. Y’a pas que le physique qui compte, c’est avant tout le cœur qui est important. Je dis pas que vous êtes moche ! Au contraire, vous êtes tellement belle que je vous ai prit pour une déesse.
Pauvre Saika, il ne savait plus trop ce qu’il disait, il essayait de maintenir une conversation normal et se mit à lui glisser des bourdes et des compliments en même temps.
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Attention Seika, Yuri n'aime pas les charmeur trop expressif, surtout que d'un coup d'un seul, il était retourné dans le vouvoyement. Mais dire que manger deux steak haché c'était avoir de l'appétit, le pauvre, il était loin du compte, pour les régimes aussi. Depuis quand la viande fait grossir? Yuri ne pensait pas a ses kilos parce qu'elle ne se trouvait pas désirable, mais c'était uniquement parce que la jeune femme connaissait la face caché de l'ice bearg et donc se connaissant toute entiere, le demi serpent doutait fortement que personne ne veuille de sa compagnie si elle connait l'entiere identité de la jeune femme.
Je n'ai pas vraiment d'appétit, il n'y a que deux cent gramme de viande pour un estomac de plus d'un litre de volume, ne dis pas n'importe quoi, je ne mange pas grand chose. Par contre si tu veux quelque chose comme des chips ou autre pour accompagner ta viande dis le moi. Ce sera un plaisir de te satisfaire.
N'y voyez rien de plus que ce qui est dit. Yuri ne se considere pas elle meme comme de la viande, bande de pervers! Non, c'était toute son éducation qui parlait, montrer tout ses atouts sans avoir peur des conséquences, se mettre corps et ame dans un service pour que son peuple, en ce moment Saika, soit au mieux possible. Tel est son éducation et c'est sans doute une des rares femme a ne pas avoir les pensées féministes de ce monde. Pour elle, a la naissance, nous ne sommes pas libre, mais fait pour servir les plus faible afin qu'eux aussi puissent servir les plus faible qu'eux. Si cette phylosophie était adopté de tous, les guerres cesseraient, les pays seraient prospere et les couvernements innutiles. Mais ce genre d'utopie n'arrivera jamais. L'Homme est égoiste de nature et ne souhaite nullement partager ses biens avec ceux qu'il considerera comme inférieur.
Fort heureusement, cette fleur de Lys dans ce monde de ronce tente d'irradier de sa beauté et de le rendre meilleur par ses maigres moyens. Sa fatigue était palpable, mais pour ce jeune homme, Yuri ferait l'effort de rester eveillé et de lui tenir cette compagnie qui devait lui faire cruellement défaut. Surtout que sa maniere de s'y prendre pour rester avec elle était mauvaise, mais pas mal intentionée. Saika voulait simplement une compagnie charmante. Meme si il dit lui meme qu'il serait sous le charme sans sa grande beauté, le fait que les mensuration de Yuri soient celles d'un manequin pour sous vetement devait aider un peu a l'alchimie.
Surtout qu'on ne viole pas une bossue borgne avec des bequille, par consequant il ne l'aurait pas sauvé. Logique.
Je suis désolé de ne pas t'offrir un repas vraiment digne de ce nom, mais je suis épusé par 24 heures de travail non stop. J'ai pas trop la tete ni de quoi faire de la grande cuisine. Tu m'en veux pas j'espere.
Oui, proposer un sachet de chips c'était de la grande cuisine en soit, enfin, ce n'était pas dans les habitudes de la femme serpent d'offrir un truc qui sort directement de l'embalage a un convive. Bien que ses receptions soient aussi rare que délectable de compagnie.
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Saika s’enfonçait de plus en plus et il sentait qu’il dérangeait plus qu’autre chose. Il ne l’avait pas aidé pour se faire inviter à manger, il l’avait fait parce que son cœur lui avait dit de le faire. Saika était peut-être un idiot malchanceux mais il n’était pas froid et insensible au point de laisser quelqu’un se faire embêter par des voyous à côté de lui, fut-elle un mannequin ou une vieille dame boiteuse. Il avait voulut aider Yuri, c’est tout et il ne voulait pas qu’elle se sente redevable envers lui.
Non, ce n’est pas la peine de t’embêter pour moi, tu cuisines très bien et excuses-moi, quand je panique, je dis n’importe quoi.
Le jeune homme faisait le maximum pour se rattraper et se contenir. Il avait perdu pied face à la beauté et la gentillesse de Yuri mais il avait retrouvé ses esprits. Il avait aidé cette femme et elle l’avait invité pour le remercier, rien de plus, ces hormones se taisaient, rattrapées par son sens des réalités. Cette jeune femme ne pouvait nullement être séduite pas THE catastrophe, elle se montrait agréable parce qu’elle était gentille, c’était dans sa nature, c’est tout.
Ce n’est pas grave Yuri, tu en as déjà beaucoup fait pour moi. Tu es fatigué par ton travail et épuisé par le choc psychologique de ce que tu as vécu. Tu devrais aller dormir, je vais te laisser tranquille.
Hum… voyons voir… Si je passe par le jardin, je devrais pouvoir rentrer sans que les vieux le sachent et sans les déranger… Ou il doit bien rester en ville une salle d’arcade ou deux que je n’ai pas démolie.
Dire que Saika voulait fuir la compagnie de Yuri était faux mais il avait l’impression qu’il la dérangeait. Elle avait besoin de se reposer, pas de se forcer à tenir compagnie à quelqu’un comme lui.
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Il voulait partir? Mais pourtant, la remarque de Yuri n'avait nullement l'intention de le chasser, surtout que la nuit était noire depuis un moement et qu'ils étaient assez loin de tout dans cette citée HLM. Mais ce fut si gentil de la part de ce jeune homme de s'inquietter comme ca qu'aucune femme n'aurait put s'empécher de faire ce que fit l'Esper a cet instant.
Elle se baissa, oubliant que quand on ferme une chemise le dernier bouton ne servant pas a décoré laissait une vue superbe des locataire de ce tissu puis ferma les yeux pour déposer un doux baiser sur sa joue et la lui caresser en se redressant légerement.
Tu es vraiment trop gentil avec moi, je ne mérite pas tant tu sais, je ne fais que mon devoir. Mais je t'en pris, reste ici, il fait nuit noire et tu risque de déranger tes parents si tu rentre a cette heure ci, tu peux dormir sur mon canapé si tu veux, je veillerais autant que tu le voudra, tu es mon invité, c'est la moindre des politesse. Surtout qu'on est en week end, donc ca ne me gene pas de dormir tout demain.
C'était si doux, si mélodieux que sur le coup Saika n'était plus qu'une statut de lui meme. Il était figé par la beauté et par la douceur tendre qui finirait par perdre la belle un jour. La jeune femme se redressa et débarassa son assiette avant de revenir s'assoir a coté du jeune homme et de lui tendre un paquet de chips ouvert. Il devait pas etre loin de 21heure, le temps de rentrer dans son quartier, il serait facilement 22heures, elle ne pouvait pas le laisser dans une telle panade.
Dis moi, ca ne te gene pas de dormir ici? Parce que si ca te gene, je peux te raccompagner jusqu'à chez toi, enfin, je crois...
(désolé en rade d'inspi j'ai eut une sale journée)
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[-Arg, désolé pour toi. T'inquiète pas , ce n'est pas grave^^-]
Yuri était vraiment gentille avec lui, sa seule présence suffisait à détendre l’atmosphère et à faire disparaitre tout les soucis qui hantaient le cœur de Saika. Quand elle se pencha pour lui embrasser la joue, il frissonna à ce contact, les lèvres de la jeune femme étaient d’une telle douceur. Et quand elle se redressa, Saika perdit sans le vouloir son regard à travers l’ouverture de la chemise de son hôtesse. Il détourna rapidement le regard mais c’était trop tard. « Pas de soutien-gorge », l’information était passé dans sa tête et en faisant même le tour en boucle, ça, associé à l’image de cette poitrine si magnifiquement sculpté par dame nature, ça ne l’aidait pas à se calmer et encore moins ces hormones qui décidèrent de laisser sa cervelle tranquille pour aller titiller une certaine partie propre à son anatomie qui se sentit soudain… très en forme.
Ha merde ! C’est pas le moment ! Couché ! Elle va me prendre pour un pervers !
Pendant que Yuri était occupé à ranger en cuisine, Saika se mit toute une tonne de grosses droites mentales afin de se calmer avant de Yuri ne reviennent vers lui. Fort heureusement, il réussi à se calmer avant que la belle jeune femme ne revienne vers lui. Même s’il était un ado avec des réflexes corporels indépendants de sa volonté, il tenait quand même à se contrôler pour ne pas se montrer grossier envers son hôtesse qui avait fait preuve de tant de générosité à son égard. Quand elle lui présenta les chips, il se fit un plaisir d’en prendre une grosse poignée pour l’avaler goulument, n’importe quoi était bon pour garder son calme.
Non, ça ne me gêne pas de dormir ici, c’est plutôt du contraire que je m’inquiète, ça ne te gêne pas qu’un jeune homme que tu connais à peine dorme chez toi ?
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Le contraire de sa réaction aurait été étonnant. En effet, cette femme se promenait la poitrine a l'air et n'avait pas pensé une seconde heurter la libido du jeune humain. Mais bon, elle pouvait s'en douter un peu en voyant la réaction de Watari apres un baiser et une autre chose. Enfin, Saika avait pas beaucoup de comportement pleinement considérable comme charmeur, il est simplement gentil et souriant. Puis lorsqu'elle revint a lui apres sa scéance homard, le jeune homme lui posa une drole de question. En effet, il lui demanda si elle ne trouva pas ca étrange de lui accorder sa confiance.
Non pas du tout, je trouve ca naturel pour un homme qui m'a sauvé la vie, tu crois pas?
Et sur ce point la, la jeune femme était tout a fait déterminée. Pour elle c'était un devoir de faire plaisir a son chevalier de l'apocalypse personnel. Alors que le jeune homme se calmait en finissant son assiette, la dévoué et non pas moins charmante hotesse de ces murs lui déplia le lit pour préparer l'endroit pour la nuit. Avec un leger sourire, la jeune femme se coucha sur le ventre en invitant son sauveur a se joindre a sa compagnie avec les chips. C'est fou comment une simple télé peut l'extasier! Elle l'alluma, prenant soin de ne pas viser une chaine pour adulte, apres tout ce lycéen n'avait pas le droit, il n'était pas majeur. Enfin c'est pas dit qu'il n'ai pas déja gouté a ce délicieux fruit...
Allez viens, rassure toi, je ne mord qu'en dernier recours. Tu n'as pas a t'inquietter de ta proximiter.
En meme temps, les jambes fines de la jeune femme battaient la cadence dans un mouvement de pendule presque parfait alors qu'elle lui révélait une partie de sa vérité. Yuri ne mordait que si il ne restait plus d'alternative, c'était la mort du sujet en cas de morsure empoisonnée, donc pour prendre la déscision de tuer, c'est que le choix n'est plus possible. C'est son frein ultime quand elle se sert de son pouvoir pour elle. Si il n'y a rien d'autre qui peut éventuellement lui sauver la vie, alors elle mordra pour tuer. Apres, ses magnifiques crocs métamorphosé peuvent servir a mordre plus tendrement... Enfin, qui vivra verra, si l'ado ne vient pas pres d'elle c'est sur que peu de chose il verra.
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Yuri était gentille mais en même temps un peu naïve, elle accordait sa confiance un peu trop facilement et Saika ne pouvait que souhaiter au fond de lui que cela ne lui joue jamais un sale tour à l’avenir.
Et bien comment dire ça ? Tu es une très belle jeune femme et je suis gars normalement constitué, tu n’as pas peur que je tente d’abuser de toi dans ton sommeil ? Non pas que je compte le faire !
Reprit immédiatement Saika, il ne voulait pas non plus l’effrayer.
Enfin, c’est juste un exemple…
Saika fit un effort mental pour retrouver son calme pendant que Yuri dépliait le canapé pour le transformer en lit. Elle s’installa ensuite dessus, paquet de chips en main tout en regardant la télé et invitant Saika à la rejoindre. Bien qu’un peu gêné, l’ado ne se fit pas prié et s’installa à côté de la charmante maîtresse de maison.
Que les Dieux bénissent cette invention magnifique qu’était la télévision ! En se concentrant sur un jeu télé stupide, Saika arrivait à oublier le trouble causé par la douce présence à ses côtés. Il passèrent ainsi un petit moment installé comme ça, regardant l’écran tout en mangeant des chips.
Et là ce con, il va tomber ! Et paf ! ca rate jamais ce coup-là !
Saika se laissa aller à rire, ce jeu télé était l’idéal pour se détendre et comme il n’avait pas beaucoup d’amis, la télé devenait une compagnie très agréable pour meubler les soirées solitaires. A un moment, Yuri lui demanda le paquet de chips et Saika, que sa maladresse avait décidé de revenir embêter, donna un coup de coude dans la télécommande qui tomba au sol. Il en résultat un soudain changement de programme, la télé venait de passer sur la chaîne pour adultes.
Mais c’est pas vrai, quel con !
Saika se dépêcha de ramasser l’instrument.
Ho non… elle est cassé…
Le pauvre garçon ne savait plus où se mettre d’autant plus que la télé diffusant des images d’adultes en pleine… séance de sport de chambre n’aidait pas le jeune homme a gardé son calme, si on moins le son avec pu être sur muet…
Le fait de tomber sur la chaîne adulte ne le dérangeait pas en elle-même plus que ça, il connaissait déjà un peu les joies de l’amour et du sexe mais faire ce coup-là à son hôtesse le rendait malade et il en était réduit à s’insulter mentalement.
Mais espèce d’andouille ! Tu comptes donc collectionner toutes les conneries humainement possibles ?!
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La jeune femme fut heureuse qu'il la rejoigne et lorsqu'il aborda le theme des risques hormonaux, la main de Yuri était déja sous la gorge, prete a la trancher d'un geste vif.
J'ai suivit des cours, quatre pour etre exacte. J'ai a peu pres le niveau d'une seconde dame de karaté. Je te mets au défit de tenter quoi que ce soit d'immoral pendant mon sommeil.
La jeune femme n'avait pas dévoilé la totalité de son danger, elle pouvait le tuer en moins de trois secondes et en bougeant a peine quelques muscles. C'était une vraie faucheuse si jamais on la poussait dans son dernier retranchement défensif. Le jeune homme se rattrapa bien rapidement, plus par mégarde que par sa menace douce qui n'était pas formulé comme telle.
Visiblement, Sai connaissait bien ce jeu télé, pas tres interessant pour la jeune femme qui regardait un autre type de chaine pendant ses soirées seule. Plus pour le coté divertissant et éducatif que pour la perversion de l'acte. Meme si les positions en elles memes paraissaient barbare, les préliminaires et les positionements donnaient de bonnes bases pour une telle débutante. D'ailleurs, on y arriva, le jeune maladroit réussi son coup en passant les chips a sa maitresse de maison et zappa sur les programmes pré enregistré tout en faisant sauter la pile sous le canapé. Bof, pas grave, c'est un moment de la vie comme un autre apres tout. Mais comme Yuri s'y attendait, il était tres tres mal a l'aise devant ce spectacle. Non pas que la nudité le genait mais plus parce qu'il pensait déranger son hotesse. Mais ce n'était pas grave. Quand Sai s'indigna d'avoir cassé la télécomande, la serpent lui sourrit.
Ne t'en fais pas ce n'est pas grave, si ce genre de programe te dérange tu peux éteindre la télévision, moi ca ne me gene pas. j'ai l'habitude de ce genre de chaine, ca a un petit coté instructif quand on dépasse la porté purement perverse de la chose.
Pourquoi se voiler la face? Yuri aimait le porno et ne s'en cachait pas vraiment, certaines scénes lui donnerent envie de se démanger, notament les passage de lesbiennes. C'est a ce moment là qu'elle découvrit que les femmes l'attiraient autant que les hommes. Enfin, c'est de cette manoere que la belle a découverte ses attirances, pas qu'elle avait essayé de faire quoi que ce soit pour essayer avec une femme. Plus freiné par sa timidité que le reste en fait. Mais bon, tant qu'a avoir cette chaine, autant regarder non? Alors Yuri regarda en mangeant des chips, comme si rien n'avait changé depuis le début de la soiré télé. Pas meme la grande proxymité avec un représentant de l'autre sexe.
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Saika se sentit rassuré par les propos de la jeune femme puis il eut un déclic.
Mais une minute ! En fait elle aurait pu se débarrasser des cinq guignols toute seule et moi je n’ai strictement servie à rien dans cette histoire !
Considération personnelle de Saika : en dessous du zéro absolu. Heureusement que la télé était là pour lui changer les idées… jusqu’à l’incident de la télécommande…
Incident qui ne troublait pas du tout Yuri qui continuait de regarder la télé, visiblement déjà convertit à ce genre de programme. Cette femme avait vraiment tout pour le déstabiliser…
Non, ça ne me gêne pas, je ne suis plus un gamin non plus.
Bon, puisque le sujet était plus ou moins lancé, autant continuer dedans.
Instructif ? Mouais, cinq minutes alors, c’est du cinéma tout ça, les femmes simulent et certaines imitent très mal le vrai plaisir. En plus, les porno ont quasiment tous la même structure dans les scènes : pseudo-caresses, fellation, parfois un cunnilingus, pénétration et éjaculation faciale. Y’a que le nombre d’acteurs et les décor qui varient, le reste du film est composé à 90% de cette structure.
Saika se gifla mentalement quand un petit morceau de son esprit se dit qu’il serait bien tenté de montrer à Yuri la différence entre la fiction et la réalité. De toute façon, au premier geste un peu déplacé, elle allait très certainement le réduire en charpie. Une partie de lui pensait que ça valait peut-être le risque car même s’il mourrait, ça ne dérangerait personne au fond…
Mais Saika ne tenterait rien de lui-même. Certes, c’aurait été se mentir à soi-même que se dire que Yuri ne lui faisait pas envie mais il ne voulait pas la blesser.
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Un point de vue tout a fait appréciable, c'est vrai que les pornos avaient une facheuse tendance a etre les memes, mais bon, on apprend un peu. Comment exécuter une fellation par exemple. Yuri était pas tres érudit sur ce plan la et elle n'avait pas honte de l'avouer, reptile qu'elle était, la jeune femme n'avait eut qu'une seule relation sexuele malgré sa grande beauté et son charme involontaire. Elle sourit a la remarque du jeune homme avant de se tourner vers lui d'une humeur assez joueuse.
Ha, tu connais d'autres méthodes toi? Montre, je suis curieuse.
C'était une invitation au sexe ca, non? En tout cas, la plaisenterie risquait d'etre prise au serieux. Une belle femme comme elle, dont le décoleté donnait une vue sur un maintien naturel, sans doute bien plus excitant que si c'était tenu par un soutiens gorge rambouré, qui demandait clairement de lui montrer d'autres manieres de faire l'amour qu'en suivant ce simple schémas. Cela devait interesser plus d'un ado dont la libido avait la facheuse tendance a pousser au fantasme sur les plus belles femmes qui sont croisé dans la rue. Pourtant Yuri souriait, pour elle ce n'était rien, c'était des paroles comme ca, histoire de plaisenter un peu. Enfin, pas si innooscement que ca non plus, avant de gouter, la jeune femme pouvait s'en passer, mais une fois le truit consomé c'était un désastre. Yuri avait envie de sexe, ses masturbations sporadiques devenaient maintenant tres ponctuelles et bien plus jouissive, tout ce que cette brune voulait a présent c'était éteindre le feu que ce film allumait en elle et qui menacait de tacher son jean si elle ne se maitrisait pas rapidement.
Tortillant sur place pour essayer de satisfaire son envie perverse, Saika devait sans doute se demander ce que faisait son hotesse, si seulement il savait qu'elle était en train de frotter son clitoris entre ses cuisses pour calmer ses ardeurs, et surtout devant un homme, il serait soit aux anges, soit mort d'une hémoragie nasale.
Lorsque l'envie commenca a devenir trop forte, les yeux de la jeune femme se plisserent alors qu'instinctivement sa main gauche, relativement invisible a son invité, se dirigea dans son jean pour lui offrir un petit contentement. Elle soupira lorsque son doigt vint caresser sa zone érogene avant de se glisser tres lentement en elle pour éviter tout son révéoateur. Cependant, la tache entre ses cuisse indiquait que son jean allait passer a la machine et que sa chemise allait bientot recevoir les effluves de ce liquide. Les soupirs de plaisirs commencerent a percer involontairement ses levres avant qu'elle ne retire son doigt humide de plaisir, legerement calmé et qu'elle ne se remette a regarder la télé, l'air de rien
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[-t'as édité. ca ne gêne pas. ma réponse reste la même^^]
Ca c’était une demande vraiment troublante… Saika, qui avait déjà du mal à réfléchir, ne savait pas si elle était sérieuse ou si elle blaguait. Si en plus on rajoutait le film pas très catholique qui tournait en image de fond, son pauvre cerveau avait du mal à calmer ses hormones qui lui commandaient de satisfaire cette jeune femme.
Le pire, comme ils étaient allongés collés l’un à l’autre, ce fut quand il sentit les jambes de la belle Yuri remuer et frotter contre les siennes. Saika n’était pas idiot, si elle aimait ce genre de programmes, alors ils devaient lui donner des envies, aussi fugaces soient-elles…
Saika fit encore les pires efforts mentaux pour se contenir, se disant qu’il rêvait un peu trop mais la coupe était pleine et là, trop tard ! Cerveau XP venait de planter et avait rebooté sur le Bios, autrement dit ces instincts naturelles. Il approcha alors son visage de celui de Yuri en y déposant de sa main pour une douce caresse.
S’il n’y a que ça pour faire plaisir à la plus magnifique jeune femme que j’ai jamais rencontré, alors laisses-moi t’exaucer…
Lui avait-il murmuré d’une voix douce et lente. Il fit disparaitre ensuite les quelques centimètres séparant leurs visages et déposa une doux baiser sur les lèvres de la belle jeune femme. Comment allait-elle le prendre ? Au pire, elle allait juste le réduire en charpie, ce qui ne serait pas une grosse perte pour l’humanité. Mais un petit morceau de son esprit lui disait que s’il n’essayait pas, il le regretterait toute sa vie aussi.
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Il l'avait fait? C'était pas une halucination, il l'avait bel et bien embrassé. Pourtant, Yuri n'était pas serieuse pour ce qui concernait de lui montrer, mais bon, puisqu'il en était la et que son jean commencait a tester son étanchévité, la belle Esper ne ferait pas de cas si il lui demandait d'aller plus loins, non, mieux, elle le ferait elle meme.
La jeune femme avait a cet instant des envies perverses, son corps était en feu et la seule chose qu'elle réclamait c'était quelque chose capable de l'éteindre, bien sur se masturber serait une solution des plus acceptables, mais pas en public, surtout qu'apres ce baiser, Yuri avait bien envie de faire participer l'homme aux 1000 catastrophe a sa scéance de refroidissement. C'est d'ailleur ce qu'elle fit. Yuri lacha le paquet de chips et se mit sur la tranche, cachant la tache de son excitation du mieux possible avant de se passer les doigts sur les levres, encore surprise de se faire embrasser si facilement.
Tu m'as embrassé? Je dis un truc a peine déplacé et en avant Ginette! Bon, puisque tu as commencé et que maintenant a cause de toi j'en ai envie; si tu t'occupais de me guerrir de... Ca?
Au moment de son intérogation l'Esper montra le ca en question, la jambe droite replié et le genoux en l'air, elle montrait la tache de mouille sur son jean qui ne perdait pas de son humidité. Yuri était ce que l'on appelle une femme fontaine et donc, l'excitait pouvait la gener au plus haut point. Bien sur c'était pas tout les jours aussi impressionnant pour un simple programe télé. Mais ce soir elle était avec un homme et il avait visiblement envie de faire plus que dormir. Bon, ce n'est pas si grave, il lui a sauvé la vie et il était gentil, lui offrir une nuit de chair n'était guere cher payé, surtout qu'elle pouvait franchement s'éclater.
Comme la réaction du doigt divin involontaire se faisait attendre, Yuri lui prit la main et la glissa dans son jean jusqu'à la zone sensible où elle laissa la nature perverse oeuvrer pour son plus grand bonheur en soupirant de plaisir. Comme pour sa chemise, Yuri ne portait pas de sous vetements non plus et elle était bien partie pour ne plus rien porter dans les prochaines minutes.
Alors? tu veux que je te montre comment on fait ou tu prefere regarder la télé?
Clairement joueuse, sa voix était cependant emplie d'envie perverse qu'elle ne cachait pas, elle avait envie qu'on la prenne, qu'on lui donne ce qui lui fallait pour qu'elle puisse se sentir plus libre et plus tranquile. Aussi suffisement pour qu'elle s'évanouisse de plaisir et sombre dans le plus doux des sommeils qu'elle attend depuis presque 40 heures.
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La nuit allait s’annoncer chaude. Après l’avoir embrassé, la jeune femme lui fit une approche des plus sensuelles. On peut dire qu’elle savait s’y prendre pour faire monter le désir à son maximum et l’épaisse tache sur son jean montrait à Saika qu’elle-même en ressentait un très puissant. Elle lui attrapa ensuite la main pour l’emmener jusque dans son jean, une chose était sûr, il s’agissait d’une femme qui savait ce qu’elle voulait. Le second constat tomba comme un couperet : pas de sous-vêtements. Etait-ce son innocence naturelle qui l’empêchait de remarquer qu’elle faisait tout pour être une machine à fantasme ? Au fond peu importe les questions, elle lui avait demandé de « l’aide » et il comptait bien s’exécuter.
Et bien Yuri ? Pas de soutien-gorge, pas de culotte et c’est très humide là-dessous. Je vais finir pas croire que tu es une vraie perverse. J’espère pour toi que tu es prête car je ne suis pas un petit ado puceau qui découvre la femme. Sois rassuré, Saika-sensei va s’occuper de te guérir…
Il lui murmurait ces mots à l’oreille, tachant de rendre sa voie aussi douce que possible. Ses doigts commencèrent leurs assauts en bas, Saika commença en douceur en s’attaquant au clitoris de son amante, tapotant dessus, le pinçant, le tournant dans tous les sens, sans oublier de faire passer ses doigts le long de ses lèvres intimes, recueillant le délicieux nectar qui coulait à flot…
Quand il sentit qu’elle était sur le point de craquer, il retira sa main, voulant la faire languir, lui donner le temps de faire monter encore plus le désir. Il voulait faire de son mieux pour elle, lui offrir une nuit de rêve…
Il amena ensuite ses doigts trempés du jus d’amour de la belle à sa bouche pour en savourer chaque goutte.
Tu es délicieuse Yuri…
Puis sans crier gare, il plongea sa tête contre son cou tel un vampire, la couvrant de baisers tous plus passionnées les un que les autres, alors que ces mains allaient effleurer délicatement le corps de la jeune femme pour lui faire ressentir tant de délicieuses sensations…
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Un fantasme vivant? A vrai dire, c'était surtout que la belle dormait juste avec sa chemise et les boutons de son jean ouvert et ne portait pas de sous vetements pour que tout s'ahere un peu. Si Saika avait réfléchit un temps soit peu, ce qui était assez difficile quand une femme de cette beauté là enfonce la main d'un homme dans son etre intime, il aurait bien comprit que partie comme elle l'était, Yuri allait dormir. Donc c'est tout a fait normal de ne porter aucun sous vetement, surtout le soutiens-gorge. Et le reste de sa phrase, meme si l'ado en pleine crise libidineuse ne voulait que faire de l'esprit, ne plut pas du tout a cette femme dont la correction était une valeur morale. Si bien que lorsqu'il lui parla sur une voix qui se voulait sensuelle mais surtout perverse, la jeune femme répondit au tac o tac sur un ton bien plus ferme avant qu'il ne commence son traitement.
J'étais en route pour me coucher c'est donc normal et ne dit plus rien, tu gacherais le moment avec tes répliques de pervers. Laisse moi continuer a t'apprecier comme un homme gentil, serviable et galant...hmm ne gache pas tout maintenant.
C'était autoritaire, mais ressemblait grandement a une demande, une supplication pour que Saika le gentil jeune homme qui lui avait tendu une main secourable reste toujours le meme mais pas une sorte de gros pervers tiré tout droit d'un film pornographique.
Mais place au spectacle! La main virile de ce bourgeon d'homme se mit en action, caressant en douceur son clitoris et ne faisant qu'exciter le serpent qui sommeille au fond de son ventre plutot que de l'apaiser. Puis ce rythme changea, passant au pincements et aux pressions, faisant gémir la jeune femme qui rougissait d'un plaisir qu'il était inutile de cacher. Mais ce ne fut pas assez, aux portes du paradis, quelqu'un appuya sur le rez de chaussé avant de faire s'écrouler son plaisir et sa perspective de délivrance. Yuri prit la moue déçue et se plaignit alors que Saika se comportait encore en pervers, mais comme il a posté avant il pouvait pas savoir que Yuri aimait pas ca, donc elle fera comme si elle avait pas entendu.
Sai....Pourquoi tu t'es arreté?
C'est vrai ca, pourquoi? Yuri se sentait venir, l'orgasme arrivait a grand pas, enfin peut etre pas l'orgasme mais au moins une jouissance de rang moyen qui calmerait les ardeurs de la belle brune qui maintenant n'avait rien d'autre en tete que de se finir seule. Sa main glissa sur son intimité, mais passa outre son clitoris pour aller se réfugier dans son vagin et titiller son point G avant qu'elle ne se cambre de plaisir en ayant posé le doigt sur cette petite zone si sensuelle et érogene chez la femme. Quand les convulsions musculaires stoperent, la jeune femme se retourna vers Sai en se lechant sensuellement les doigts.
Tu voulais pas me montrer comment faire l'amour tout a l'heure? Vas y, je suis prete a découvrir ce que j'aurais visiblement oublié.
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Crétin, demeuré, bouffon, andouille, abruti, pauvre tâche, guignol…
La liste d’insultes que Saika s’envoya à lui-même était encore longue, complètement plombé par l’ambiance, il s’était laissé emporter pour dire des âneries…
Dé… désolé Yuri, je ne voulais pas… Laisses-moi essayer de me faire pardonner, je veux simplement t’offrir un peu de bonheur.
Il continua ses gestes sur son amante, voulant éveiller en elle tout plein de sensations agréable. Lorsqu’il délaissa son intimité, elle s’empressa d’en finir elle-même pour se calmer avant de venir se lécher les doigts sensuellement. Pour une jeune femme innocente et bien élevé, elle avait quand même l’art d’être très provocante.
Tu vas trop vite Yuri, ce que je veux te montrer, c’est l’art de prendre son temps, en douceur, de résister à l’appel du désir pour rendre le plaisir encore plus intense, je veux simplement t’offrir un beau rêve, un rêve qui dur…
Lui souffla-t-il à l’oreille, espérant ne pas se montrer trop grossier cette fois. Il en profita ensuite pour titiller son lobe du bout de la langue cherchant à stimuler l’un de ces points du corps qui font monter le désir. Il revint ensuite chercher sa bouche, cette fois, il ne lui apposa pas un petit baiser innocent comme tout à l’heure, cette fois, il lui offrait un long et sensuel baiser langoureux, faisant jouer à leur langues un doux ballet. Il délaissa ses lèvres à regret, descendant le long de son cou à grand renforts de baisers brûlants. Il prit ensuite le temps d’ouvrir chacun des boutons de sa chemise, délicatement, tout en caressant sa peau d’une douceur insoupçonné. Il écarta ensuite les deux pans de tissus pour accéder à sa poitrine si magnifiquement ouvragée par la nature. Il commença à prendre un de ses seins en bouche tout en caressant l’autre avec douceur, savourant de sentir ses tétons se durcirent sous l’effet de l’excitation. Il continua en augmentant le rythme, léchant, lapant, mordillant et suçant ses deux adorables cerises tout en laissant ses mains se promener sur le reste de son corps…
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Il est marrant lui, comme si on pouvait se retenir alors que les rives de l'orgasme tendaient les bras a le balle Yuri qui ne savait pas encore maitriser ses pulsions. Lentement, le corps de la belle se refroidit, laissant un cour répis a ses sens tout a fait exaspéré. Mais bon, sans doute avait il raison, elle devait apprendre, apprendre a ne pas se laisser emporter par ses désirs les plus basiques et sombrer dans les plus bas instincts pour se satisfaire.
Je... désolé, je ne savais pas.
Le regret, l'excuse, l'abatement, tout cela percait dans la voix de la jeune femme qui s'en voulait d'avoir été trop rapide en beusogne. Mais Saika s'y prenait tout en douceur avec elle, lentement, le jeune homme se rapprocha de son oreille pour la mordiller et la lecher, faisant immédiatement frissonner la belle vipere qui ne savait plus quoi dire ni faire... C'était assez déroutant de faire l'amour, comme la premiere fois, Yuri était tétanisé, raide comme un piquet et ne faisait que subir tel un jouet les pulsions de son amant.
Le temps était arreté, les levres de Saika elles ne se souciaient pas de ce moment, glissant avec une chaleur étouffante sur sa gorge, puis sur son entre-pectoral alors que ses doigts déboutonnaient tant bien que mal ses bouton de chemise. A croire que le jeune homme n'en avait jamais mis. Pourtant, c'était pas si dur a retirer, du moins, quand on est pas excité a l'idée de faire l'amour a une si belle créature que l'était l'esper. Alors qu'il découvrait sa poitrine ferme, rebondi, en forme de poire parfaitement naturelle et bien accroché en temps normal par un 95 C, la belle soupira, Eshitaka savait parfaitement que maintenant elle n'avait plus rien a dire, c'était son objet et elle devait lui faire autant de plaisir que possible. Tel était l'éducation qu'elle avait recue, servir les autres, se mettre au second plan. Mais pour l'instant, la chaleur de Yuri s'expulsait de ses poumons par de simple soupir brulant et une douce caresse sur la tete du chevalier de l'apocalipse. Puis un gémissement perça ses levres sans mal quand le téton durci par son plaisir se lova dans une cavité chaude, humide, douce... Une bouche en somme.
La belle n'en pouvait plus, de sa main libre, Yuri attrapa les fesses de son amant pour le mettre sur elle alors que ses gémissements se faisaient de plus en plus présent. La jambe gauche, enséré par son jean troué lui écarta les jambes avant d'en enrouler une tendrement et de commencer a la caresser dans un mouvement semblable a une masturbation, sensuellement, avec douceur et délicatesse. Enfin, la belle prit la parole, avec une voix un peu apeuré, mais tres excité.
Je.... j'ai chaud, Sai, aide moi... Fais moi l'amour.
Si sa mere la voyait... Yuri se demandait bien ce qu'elle en penserait. Certainement rien de bon, la belle se donnait comme ca a un simple homme du commun qu'elle ne connaissait que depuis deux heures, c'était assez étrange comme comportement de la part de la semi aristocrate, mais en meme temps, Sai avait sauvé son honneur et tres probablement sa vie, cette chose est de loin ce qui lui donnait envie de se donner a cet homme. Mais c'était probablement pas assez pour la plupart des autres personnes qui ne partagent pas sa morale.
La main gauche dans les cheveux de son amant a appuyé ses coups de langue sur son sein, la droite aidant les mains de Sai a la caresser, les jambes caressant la petite veinarde de son amant avec douceur et sensualité, Yuri avait envie de plus, mais ne sombrait pas dans la vulgarité pour autant.
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Saika continuait ses caresses sur la poitrine de son amante en usant de sa bouche et de sa langue avec toute la sensualité possible, encouragé par les soupirs et les gémissements de la jeune femme. Pour lui qui passait son temps à provoquer des catastrophes, c’était un réel bonheur que de sentir qu’il pouvait offrir tant de plaisir à une aussi gentille jeune femme. De son côté, l’excitation l’a rendait un peu plus entreprenante, elle lui avait agrippé les fesses sans retenue pour l’amener sur elle. Une de ses mains caressait ses cheveux tout en poussant sa tête dans une demande silencieuse à continuer le massage sur ses seins, l’autre accompagnait celle de Saika qui explorait son corps et ses jambes se frottaient contre celles du jeunes hommes.
Je t’offrirais cette nuit tout l’amour que tu souhaites…
Tel était sa réponse à la demande de la jeune femme et il mettrait un point d’honneur à tenir parole. Mais fidèle à son autre promesse, il irait très lentement, lui laissant le temps de sentir le désir encore plus monté en elle afin de lui offrir un plaisir immense et qu’il tenait sincèrement à lui offrir. Presque à regret, il abandonna la poitrine de la belle, non sans un dernier coup de langue qui lui tira un petit gémissement, puis il amorça sa descente le long de son ventre à coup de baisers langoureux et en faisant jouer sa langue. Quand il arriva enfin en bas, il commença à faire glisser le jean, lentement, avec délicatesse, tout en caressant les fesses, les cuisses et les jambes de la belle Yuri. Une fois l’intimité de son amante mise à nue, Saika commença d’abord par caresser les cuisses de la belle et à y déposer des baisers. Il vint enfin trouver sa jolie fleur, humide par l’excitation. Il commença par y plonger la langue, savourant le délicieux nectar qui coulait à flot, il vient ensuite s’attaquer à son petit fruit d’amour gonflé par l’envie, le titillant du bout de la langue. Pendant ce temps, ces doigts vinrent s’enfoncer en Yuri, deux d’entre eux s’y livrait une bataille destiné à nourrir le plaisir de la jeune femme qui lui faisait comprendre à quel point elle aimait par de petite contraction. Sa main restante était remonté en caressant son ventre avant de reprendre en main sa poitrine afin de submerger Yuri sous une avalanche de caresses brûlantes. Il voulait faire monter le plaisir de la belle, la préparer à la suite… Si elle ne craquait pas et ne lui sautait pas dessus avant…