Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Centre-ville de Seikusu => Le quartier de la Toussaint => Discussion démarrée par: Khaléo le dimanche 29 mai 2011, 06:32:33
-
C'est pas tous les jours qu'on se retrouve sur la "terre"... Bien que, par le passé, Khaléo ait fait quelques "sauts" entre ce monde, et Terra, plusieurs fois, et ce, à des âges antiques, médiévaux, qui, ne contrastaient pas tant que ça avec le monde d'où il provenait, parfois ça lui arrivait, par accident, mais maintenant qu'il était "là", pourquoi ne pas en profiter pour observer un peu ce drôle de monde, sa modernité, ses... nouveaux gardes de cité... Des "flics" comme les jeunes les appellent, il avait du mal à concevoir qu'il s'agisse de soldats entrainés à la sécurité de leurs grandes villes, déjà, leur musculature légère ne laissait pas supposer qu'ils étaient habitué à porter l'armure, et en conséquence, son scepticisme continua lorsqu'il se rendit compte, qu'ils ne portaient que du tissu bleu marine et clair, pas de quoi stopper le moindre carreau, flèche ou coup de lame dans le corps.
Puis ces grandes allées commerçantes, là, si calmes, malgré tout ce monde... c'était tout bonnement incroyable pour lui, il en avait des vertiges rien qu'a délimiter l'espace avec ses yeux, la capuche de sa veste en cuir noire bordée d'une crinière blanche cachant son visage, était idéale pour s'adresser aux policiers, leur demandant où se trouvait la guilde des mercenaires la plus proche, autant vous dire qu'ils se sont fendus la poire, me demandant d'aller jouer plus loin, mais, vous voyez, j'ai quand même insisté parce que j'allais pas m'laisser crever d'faim dans un foutu monde qui me dépassait aujourd'hui.
J'ai empoigné le premier... en répétant bien clairement ma question, enfin, en lui rugissant dans les oreilles, décollant aisément le nabot du sol, il m'arrivait de soulever des types en armure, alors un flicaillon maigrichon dans une tenue aussi légère... Son collègue aura tantôt vite fait de sortir sa matraque électrique et son tazer, juste le temps de quoi... me frapper une fois, et j'me servais du premier pour frapper sur l'autre, évidemment ce n'était pas très malin d'm'en prendre à l'autorité locale pour leur sortir les vers du nez, j'avais pas conscience de ce que ça voulait dire, en général un mec qui veut pas vous donner d'infos en s'foutant de votre gueule ça a une toute autre signification de l'époque d'arrièrés d'ou je provient.
Tu parles d'un choc des cultures...
Enfin, quoi qu'il en soit j'avais attiré l'attention, à un très mauvais moment, puisque soudainement, c'est la vitrine d'une des bijouteries les plus tendance de la gallerie qui se met à sonner, détournant l'attention des flics sur quelque chose qui, leur semblait bien plus grave que ma petite personne, j'étais pas encore conscient non plus, que j'avais fait foirer un coup préparé depuis longue date d'une voleuse, qui avait tout prévu sauf qu'un rustre débarquant de sa planète ne foute son bordel à quelques pas du magasin.
-
Le Japon est fort différent de l'Amérique. De l'Europe aussi. Les gens ont pratiquemennt tous les yeux bridés. Ils sont pratiquement tous petit. Et ne parle pas un mot d'anglais pour la plupart. Heureusement, comme je l'ai souvent dit, j'apprend vite. Et bien que ça soit assez difficile, je connais à présent quelques phrases clés, comme « Qui êtes-vous ? » ou comme « Je m'appelle Selina. . Il y a aussi les phrases du genre « Où sont les toilettes ? », « Combien je vous dois ? », etc... Tout ce qui est essentiel pour vivre, commander à manger, se renseigner, se présenter, etc... J'ai appris aussi un certains nombre de termes techniques avec mon collègue japonais. Je lui laissais le soin d'aller aux audiences, préférant enquêter sur le terrain. Quant à ce que je faisais la nuit... Là, c'était tout l'inverse. Je n'aidais plus vraiment les autres comme durant la journée. La nuit, j'arrêtais des violeurs ou des meurtriers d'une manière bien plus cruelle. Je m'occupais aussi des voleurs. Surtout dans les bijouteries. Ces petits joyaux qui brillaient méritaient toute mon attention et non celle d'abrutis de voleurs.
En bref, je m'adaptais assez bien. Aujourd'hui, je passais la journée au bureau, passant des appels, faisant des recherches sur internet, etc... Je grignotais un sandwich au thon à midi. Miam, le poisson a toujours été un de mes mets préférés. Depuis que Bastet a jeté son dévolu sur moi, j'en raffole encore plus. Je laisse souvent une ou deux boîte de sardine sur les rebords des fenêtres du bureau ou de mon appart'. Pour les chats errants. Qu'ils ne connaissent pas que la fin et l'abandon. Si je le pouvais, je les recueillerais tous chez moi. Mais ils tiennent à leur liberté autant que moi à la mienne. Je ne vais certainement pas leur infliger un tel supplice que de jouer les chats d'appartements. D'ailleurs, je gratifie d'une caresse un matou grisâtre qui ronronne sur mon bureau, à côté de l'ordi qui lui réchauffe agréablement la fourrure. Lorsque sonna le téléphone, il émit un gémissement de protestation et se retourna, me tournant le dos pour se frotter contre l'unité centrale de l'ordinateur. Je répondis au téléphone. Donnais quelques infos. Et je raccrochais. L'heure de la délivrance approchais. Le Cabinet Kyle & Co' fermerait ses portes dans... 3... 2... 1... Maintenant. Je branchais le répondeur, éteignit l'ordi et mit gentiment le chat dehors, avec une boîte de sardine, avant de fermer la fenêtre. Mon collègue avait fini une heure plus tôt pour aller à l'anniversaire de sa fille. Je verrouillais la fenêtre et tirais le rideau de fer. On n'est jamais trop prudent, n'est-ce pas ?
Sortant ensuite du bureau, je verouillais toutes les issues et tirais les rideaux de fer. Voilà. La journée de travail était fini. Il était temps que Selina rentre se reposer. Et Catwoman passerait à l'action. Durant la journée, j'avais entendu parler d'un gang de voleur. La prochaine bijouterie qui serait attaquée, selon, était située non loin du centre commercial. La police prévoyait plutôt de surveillers les bijouteries des quartiers mal famés. Ce soir verrait bien qui avait raison. La féline ou les humains idiots ?
Dans mon appartement, je posais mon sac et mes clés. Après une salade de thon à la tomate et deux boîtes de sardine sur la fenêtre, j'allais prendre une douche. Adieu le tailleur sexy. Place à la combinaison de cuir près du corps. Tout aussi sexy. Dans un genre différent. Mes cheveux mi-longs furent bien docilement cachés sous le cuir qui enveloppait l'arrière de ma tête. Les oreilles de chat en place, je nouais le soutien-gorge. Les lanières par la suite. Et enfin, je boutonnais le pantalon, m'arnachant les hanches avec une ceinture aussi noir que le cuir de mon pantalon. La boucle d'argent représentait une trace de patte de chat. Miaou, non ?
Sortant par la fenêtre, je n'oubliais pas d'arnacher mon fouet à la ceinture et de glisser les dagues dans mes bottes. Durant mon saut jusqu'à terre, j'enfilais mes gants ornés de griffes étincelantes et acérées. Grr... Je me sentais différente peu à peu. Plus libre. Plus féline. J'avais envie de ronronner pour un rien. Mais c'était dû à la merveilleuse nuit passée la veille. Un amant merveilleux. Le pauvre avait été gratifiés de griffures sur le dos et le torse. Mais il a dû prendre son pied puisque j'ai eu un message de sa part, demandant à se revoir. Enfin. Secouant la tête, j'enfourchais la moto noire cachée sous le porche. L'antivol enlevé, je fis vrombir le moteur et laissais l'engin filer dans la nuit. Direction le centre commercial. La bijouterie était à peine protégée. Un feulement sortit de ma gorge. Les imbéciles. Je planquais l'engin puissant dans l'ombre de l'établissement. J'y entrais par l'aération. Rampant dans les conduits, aussi silencieuse qu'un serpent, je finis par me poster dans un coin d'ombre, en hauteur. Je n'eus pas à attendre longtemps. Trois homme masqués apparurent. Ils avaient les clés en plus. Je retroussais les lèvres. Mais aucun son ne les franchit. Ils commencèrent leur affaire, ouvrant les étales, fourrant les précieux objets dans des sacs noirs. J'attendis qu'ils aient tout pris pour dévoiler ma présence. Mes griffes allèrent saisirent la gorge de celui qui avait le plus de sac. L'empêchant de proférer un mot, je bloquais la sortie avant de me dévoiler. Une faible luminosité provenait des torches. Directement braquées sur la vitrine. Comme s'il y avait besoin d'appeler les flics en plus... Un feulement de ma part les alertèrent. Saisis, ils demeurèrent figés. J'allais parler, lorsque soudain des éclats de voix au-dehors m'alertèrent. Merde ! Les deux hommes en profitèrent pour balancer les torches dans l'une des vitrines. L'alarme retentit. Celui que je tenais s'enfuis alors que mes mains le lâchaient pour couvrir les oreilles de cet abominable bruit. Ils se tirèrent par la porte de derrière, avec les bijoux. J'entends, à travers le vacarme ambiant, un moteur vrombir et des pneus crisser. Les salopards, il s'enfuyaient avec les bijoux ! Je feulais de rage et bondit en hauteur alors qu'un flic, alerté, franchissait le seuil. Il eu le temps d'apercevoir une queue de cuir dont le bout touffu fendait l'air et braqua une torche et une arme vers moi. J'enrageais. Non seulement cette prise que je préparais depuis de longues journées, recueillant des informations sur les braqueurs, triangulant le lieu de leur prochain braquage de bijouteri, était foutue, mais en plus un flic m'avait surprise. Je feulais une nouvelle fois et ma queue fendit l'air comme un fouet, projetant un débris de verre sur le flic. Je sautais en l'air alors qu'il tirait dans ma direction. La balle me manqua de peu. M'accrochant au plafond, m'aidant des lustres de cristal, je filais vers le conduit d'aération encore dans l'ombre.
Je restais tapie à l'intérieur tandis que trois autres flics déboulaient. Grimaçant, je rampais à nouveau, silencieusement. Je me glissais aisément hors du conduit d'aération. Un coup d'oeil à la rue me permit de voir quatre nouveaux flics dehors. Les lampes braquée vers la vitrine. Et une silhouette plus loin, l'air légèrement désorientée. J'avisais deux hommes à terre à ses côtés. Qui que ce soit, il avait énervé les poulets. Et ceux-ci étaient en alerte lorsque l'alarme a retentit. Je ne pouvais pas rester plus longtemps. Enfourchant la moto, je me dépêchais de filer. Ou plutôt, je pensais me dépêcher de filer. Mais ma moto refusa de démarrer. Merde ! Je feulais de frustration et la poussais plus loin dans la ruelle. Je l'abandonnais là, avec une pointe de remords. Mon regard capta un furtif éclat. Celui de la lune dans une flaque. Mon regard passa de la flaque à la moto. En me baissant, j'avisais un goutte à goutte régulier. Un putain de trou dans le réservoir d'essence. Un coup des cambrioleurs, sans aucuns doute. Un coup de pied dans le mur me fit grimacer. J'entendais les voix des flics dans la bijouterie. Ils venaient d'apercevoir la trappe d'aération ouverte. Plus le temps de traîner. Je quittais à regret la moto et courut droit devant moi. Les flics étant concentrés sur la vitrine et l'intérieur, peut-être qu'ils manqueraient de me voir...
_ Halte-là !
Et merde. Je jetais un coup d'oeil dans leur direction mais courut de plus belle. A vrai dire, je zigzaguais un peu. Chamboulée d'avoir perdu le contrôle de la situation, je heurte l'homme resté sur place. Mauvais plan ça. Les flics accourent et j'en entends parler de nous comme des complices. Comme si j'avais besoin d'engager quelqu'un pour distraire les autorités alors que je dépouille des voleurs de leurs butins. Mon regard accrocha celui de l'inconnu alors que je me dégageais. Il était... étrange. Mais je n'avais pas le temps de m'attarder.
_ Cours !
Je soufflais ce simple mot à l'inconnu alors que des balles heurtait le béton près de nous. Sans plus m'attarder, je filais comme une flèche à travers le complexe commercial. Des lampadaires éclairaient partout. Malgré tout, J'espérais trouver un coin suffisemment sûr et sombre pour m'y cacher le temps que les flics arrêtent de quadriller le coin. Cet entrepôt là-bas, plutôt éloigné de la bijouterie tiens... Je crois que ça fera l'affaire. Je fais un dernier sprint et contourne le bâtiment pour entrer par l'arrière. Une vitre y était. La moitié de ma taille qu'elle faisait. Posant l'une de mes griffes sur la vitre, je fis lentement un cercle plutôt large tout en maintenant le centre par la paume de min autre main. Quelle idée géniale d'avoir mis une griffe en diamant et des ventouses sur la paume des gants. Posant délicatement le cercle de verre au sol, je me glisse ensuite à travers le trou. L'entrepôt est sombre. Mes yeux s'y habituent rapidement. Je bondit pour accrocher une barre de fer et m'y hisse. J'attends à présent, que les flics s'en aille, accroupie sur la barre.
-
alors c'est ça la garde moderne ? Des bleusailles, habillé en bleu, courrant en sifflant partout pas capables de résister à un coup dans la tronche...
Ouep... pas de quoi fouetter un chat... en parlant de chat, celui là venait de m'rentrer dedans, drôlement sexy pour un petit chaton, heh, mais attends ça à rien d'un animal... d'abord, cette texture étrange, entre le plastic et le cuir, des oreilles de chat... peut être qu'elle était aussi paumée que moi dans ce monde ? Non, quand même pas, pas avec l'acoutrement qu'elle se paie, de style trop moderne pour provenir de Terra, je me sentais foutrement seul sur cette planète en fin de compte.
Mais elle était troublante, tout de même cette jeune femme, le cuir, son allure féline, ses... courbes pour le moins grâcieuses, une vraie athlète, et y avait de quoi l'être quand on observait les acrobaties qu'elle était capable d'effectuer.
Quand à lui, bah, quand les flics approchèrent, même si une ou deux balles perdues sifflèrent, toujours avec kiss katt dans les bras, il tendit les bras, histoire que les deux paires de lames osseuses, semi cartilagineuses logées dans chacun de ses humérus, ne s'aligne avec les cavités de ses avant bras épais, os tubeleux du cubitus et du radius, acceuillant la poursuite du coulissement de ses lames, jusqu'a ce qu'elle ressorte par la partir haute du poignet.... deux paires de lames un peu plus longues que celles du predator dans le film du même nom, avec sa capuche relevée, son regard fauve dans le fon de sa capuche, alors, soit, ça faisait très comic book sorti tout droit d'un prototype entre tigerman et wolverine abandonné par marvel et laissé pourrir dans un coin par les x men, comme si aucun des deux camps n'avait jamais voulu prendre la responsabilité de le prendre en charge, ha ha !
Quoi qu'il en soit il est bien là, et lorsque tu t'tires en lui demandant de courir, lui, peu conscient à cette époque des dégats que peuvent causer une arme à feu, et persuadé de la faiblesse des "flics" pour en avoir assomé deux, il ouvres toute l'envergure de ses deux bras et écartant les jambes pour faire barrage, au loin, puisque tu es déjà en fuite, tu entends plusieurs coup de feu, et des cris horribles, il en a au moins transperçé ou tranché un quelque part, voir deux, mais finalement, après s'être pris deux bastos dans le buffet, il comprit toute l'importance du mot "cours !"
Par "chance" s'il on puis dire, il en avait vu d'autres, des intrusions d'objets métalliques bien plus grands dans son corps, la douleur et l'impact est bien plus psychologique, on peut parler de quasi traumatisme à une distance aussi courte de l'arme...
D'autres tirs, une cavalcade, et, tu entends les bruits de pas de l'autre se rapprocher, Khaléo s'arrête devant une vitre découpée en cercle, avec un peu d'efforts, une épaule ronde, après l'autre, le reste de son corps passera, ayant, tout de même une taille fine, ça passe, moins bien et moins discrètement qu'elle, mais ça passe.
Une fois dans l'obscurité, son regard met quelques paires de minutes à pouvoir s'adapter à l'ambiance, pour le moment il marche au sol ans l'entrepot, ses griffes, et lames sortirs de ses bras encore sorties, pronant la méfiance...
-
J'avais grimacé, oui, en entendant les bruits du combat. J'avais aussi, le temps d'un faible battement de coeur, flippé lorsque le bruit de cavalcade m'avait suivi. Mais là, en hauteur, observant la silhouette qui s'avançait... J'étais d'un calme olympien. Je fronçais les sourcils en le détaillant. L'obscurité était mon élément. Je voyais chacuns de ses traits. Silencieusement, je bondis jusqu'à la barre suivante. J'y atterris, accroupie encore, toujours aussi discrètement. Qui est-il ? J'ai à peine pensé à cett question qu'un bruit au-dehors m'alerte. Je relève la tête, brusquement. Mon regard erre dans l'entrepôt. Là-bas, en haut. Un renfoncement. Si jamais quelqu'un entrait ici, je pourrais être cachée à cet endroit. Sans mot dire, je bondis de barre en barre avant de rouleur sur le renfoncement. J'ai dû faire du bruit là. Mais qu'importe. Je suis cachée. Mon regard descend tout de même et accroche la silhouette. J'ai quelques remords à l'idée de le laisser comme ça... Alors finalement, la base du fouet ferment enroulé autour d'un pilonne de béton, je laisse descendre le reste jusqu'à terre. Dans un souffle, à nouveau, je communique avec cet étranger.
_ Grimpes !
Je me tasse au fond. On dirait une mini-pièce en hauteur. Sans doute pour accueillir des marchandises fragiles. Il y aura tout juste la place pour nous deux, si j'ai bien évaluer l'individu. Pour faire bonne mesure, je rajoute un « Grouille ! » pressant alors que les voix se rapprochent. Déjà, je peux voir la lueur des torches se faufiler ici. La vitre découpée va les alerter. Mais avec un peu de chance, s'ils ne voient personne, ils vont penser que c'est juste un leurre. Une ruse de la femme chat pour s'amuser à les disperser. Avec un peu de chance.
-
Du sang, parce que, ouep, il saignait, avec deux trous d'balle pour ne pas faire de jeux de mots stupides, dans l'épaule et le pectoral droit, aussi beau, bien formé et lisse qu'il soit, ne stoppait pas de tels projectiles, même s'il avait les os plutôt épais, et une musculature dense par endroits, donc quelques gouttes de sang, ci et là, le suivent quand il marche au rez de chaussée de l'entrepôt, lui aussi doit maintenant échapper aux flics, c'est que c'est dangereux ces machins là avec leurs flingues...
Un bruit attires l'attention de la mystérieuse créature que tu aperçois en contrebas, il possède une ouie surdéveloppée, son regard tranchant, depuis le fin fond de sa capuche, d'une intensité rare, deux yeux en amendes, pupille s'éfilant comme pour effectuer une "mise" au point, s'adaptant progressivement à l'obscurité, ça prenait du temps pour lui, car sa tigranthropie n'était pas hyperactive quand il n'y faisait pas appel, du coup, il possédait en temps normal quelques facultés liées à ce "trait" mais de manière diluée, donc ça lui prends trois minutes pour que son regard s'adapte, et qu'il puisse voir comme en plein jour dans le noir.
Soudain, j'entends "Grimpes" et je vois un fouet qui m'est destiné, tendu comme une corde pour me faire grimper, si madame pense être la seule à avoir des atouts lui permettant quelques prouesses techniques, Khaléo n'est pas en reste, ses mains sont grandes, et, le bout de ses doigts ronds, mi humains, mi hybrides, détiennent des griffes d'une belle taille, qu'il enfonce dans le béton, ouais m'dame, il à une poigne titanesque pour porter sa poutre d'acier aiguisée d'habitude, il pouvait bien se permettre d'enfoncer ses griffes dans le beton.
"-Grouilles"
Il grimpe, ses griffes de pieds et de mains s'enfonçant dans le mur, il "court" presque à la surface de celui ci, et atteint la zone, ce petit... renfoncement très serré là haut, ses lames d'avant bras se rétractent, entrant à nouveau dans leurs cavités, il grogne, ça fait effectivement mal, et lorsqu'elles rentrent, elles blessent la chair et du sang coule sur les bandages serrés autour de ses avant bras, mais il à l'habitude.
Il relève, avec une lenteur toute "calculée" et inquiétante, son regard sur toi, d'aussi près tu peux aperçevoir quelques "traits" de son visage, des cicatrices qui le parsèment, son souffle peut être, légèrement musqué, fruité et, avec un léger relan félin par derrière, des rayures symétriques de part et d'autre de ses joues, deux yeux plissés te fixant intensément, qui, te donnent l'impression, bien malgré lui, d'être une connerie de petite souris tombée dans les serres d'un condor, ou d'une goutte de sang encore fumante tombée sur le sol d'un foutu tigre affamé depuis des semaines, ça laisse une impression désagréable le long de l'échine, celle, de se retrouver un peu trop bas sur une des mailles de la chaine alimentaire face à ce qui semble se trouver presque au sommet.
"-J'espère que t'as une putain de bonne idée pour nous sortir de ce merdier, J'ai pas pour habitude d'offrir mes services gratuitement..."
après tout il est mercenaire sur Terra, Là, il est bien obligé de te coller dans cet interstice ridiculement petit, sa musculature sauvage, athlétique est pressée contre ta combinaison, tu la sens autant raide par endroits, compacte, que souple à d'autres, quelque chose, par contre, de foutrement imposant, se trouves entre ses cuisses, eh bien... une troisième cuisse bien musclée et parsemée d'excroissances, de pointes comme des raisins souples , écrasés et moelleux, semble t'il, tout simplement, la créature est bien évidemment "grande", plus que toi en tout cas, et te coinces en partie contre le mur, son souffle bestial se répands sur ta combinaison, les parties de ton visage découvert, il à une de ses énormes mains collée sur ton bassin pour l'empêcher de dépasser du mur, une main énorme, entre une patte de lion épaisse, musclée, et un truc "humain", toutes proportions gardées, elle s'utilise et, s'articule comme une main, mais t'as sans doute jamais vu des doigts aussi épais et puissants, ainsi que des avant bras aussi larges, le reste du corps te semble, proportionnellement correct, et humain, mis à part ces quelques... détails, mis à part ainsi que ce truc proprement dit, "phénoménal" entre les jambes, mère nature l'ayant un peu trop gâté celui là.
Quand bien même, il ne pense pas à mal, après tout il est ainsi fait, c'est cette proximité, qui le gêne, qui t'oblige à prendre connaissance et conscience de son corps, il ne peut toutefois s'empêcher d'examiner ta tenue d'un peu... plus près...
"-Maintenant qu'on est... ahem... intimes... je peux connaître ton nom, petit chat ?"
-
J'hallucine. Ce type vient... Il vient d'enfoncer ses griffes dans le béton ! Merde, mais ça laisse des traces ça ! Bon, okay, c'est super impressionnant par contre. mais question discrétion... Espérons que les flics ne soient pas assez attentifs. Enfin, je dois reconnaître que c'est efficace. Profitant qu'il n'utilise pas le fouet, je remonte celui-ci en vitesse afin de ne laisser aucun indice. Pfiou, juste à temps. Le voilà qui arrive. Je déglutis en voyant des lames rentrer dans son corps. Il grogne. C'est que ça ne doit pas être indolore... Mais qui c'est ce type ? Serrée contre le petit murer qui nous masque de l'entrée que l'on a prise, je relève lentement le regard, l'examinant malgré moi. Putain... Ce type est immense dirait-on. Lorsque je croise son regard, je frissonne. J'en lâcherais presque un miaulement plaintif. Mais je me dépêche de détourner le mien, étudiant ce que je peux voir de son visage. J'aperçois... Quelque chose comme... Des rayures ? Un tatouage ? Ou... Hmm.. Non... On dirait... Comme les rayures des grands félins d'afrique... D'ailleurs, tout dans l'attitude de cet étranger m'indiquerais un grand fauve. Dites-moi que ce n'est pas vrai...
Lorsqu'il parle, je fronce les sourcils et feule légèrement, appréciant peu.
_ J'm'en contrefous de tes services... J'viens d'te sauver la peau bordel. Alors que j'aurais pu te laisser te débrouiller avec les flics et leurs armes.
Je le défie du regard sans me préoccuper du fait que je ne sois qu'une souris entre ses griffes. Après tout, Bastet m'a choisie... J'ai un espèce de don... Et on dit toujours que les chat ont neuf vies. Mensonge ou vérité ? Peu importe. Je me colle le plus que je peux contre le support de béton derrière moi. Mais, bien que j'ai plutôt eu une bonne évaluation de sa taille, je dois avouer que ce n'est pas possible d'être complètement cachés sans se serrer. N'étant pas très grande, surtout face à lui, je me sens brièvement acculée. Menacée. Mais mon indépendance d'esprit, mon audace, a vite fait de balayer ceci. Je déglutis une nouvelle fois, difficilement. Bah oui, malgré tout, je ne le voyais pas si... Musclé. Et partout je dirais même... Même... L'entrejambe. J'écarquille les yeux, surprise. Mes mains plaquées contre le mur, pour me faire la plus mince possible, s'y crispent. Les griffes des gants raflent contre le béton. Je détourne un instant la tête, pour éviter cette petite pointe qui m'agace l'oreille, avant de relever les yeux vers cet insolent personnage. Je prend également conscience que ses mains sont énormes. Enfin, sans doute proportionnée par rapport à sa taille... Mais j'ai l'impression que c'est vraiment... Impressionnant comme ça.
Je pince les lèvres en constatant, de fait, que je n'aurais aucune chance contre lui en corps à corps. Peut-être sur le plan de la ruse... Mais pas sur le plan physique. C'est certain. Retenant malgré moi ma respiration parfois, je gronde doucement, mécontente de m'entendre appeler « petit chat ». Certes, pour lui c'est vrai. Mais quand même. Face à d'autres personnes plus... Normales... Je me sent pas si petite. Toutefois, troublée par sa présence, je laissais échapper mon nom dans un souffle :
_ Selina...
Merde, j'aurais plutôt dû dire « Catwoman » ! Mais non. Mon esprit a bloqué. Grr... Je n'ai pas le temps d'ajouter quoi que ce soit qu'un bruit de verre cassé me fait me raidir. La lueur d'une lampe torche parcours l'entrepôt. Elle s'arrête un long moment près du coin où l'on est. Pour finir par repartir. Des voix masculines souffle de dépit. « Mauvaise piste ! », entendis-je. Je fermais les yeux, soulagée malgré tout. Mais le « Postez un homme ici au cas où ! » me fait serrer les dents. Jusqu'à quand restera-t-il ? Pas trop longtemps j'espère. Je ne me vois pas regagner mon appart ainsi. Et je n'ai rien d'autre à me mettre. Irrité, je souffle :
_ On est dans de beaux draps maintenant. Et à cause de toi.. Si t'avais pas attiré l'attention des flics, ils auraient continué leur ronde et j'aurais pu partir en paix avec mon butin.... Merde ! D'ailleurs... Je peux savoir ton nom moi aussi ? Histoire que je saches qui maudire pour ce foutu coup du sort !
Injuste moi ? Si peu...
-
_ J'm'en contrefous de tes services... J'viens d'te sauver la peau bordel. Alors que j'aurais pu te laisser te débrouiller avec les flics et leurs armes.
"-Ben tiens, sûrement... Me sauver la peau... Mouais... ça dépends du point de vue bien évidemment... J'ai pas eu le même ressenti quand j'ai empêché les flics de te poursuivre en m'prenant des balles dans l'buffet... Mais je peux me tromper, en effet j'viens de me faire sauver la peau par la plus improbable des adeptes de SM et de combinaison en cuir douteuses... douteuses mais terriblement... sexy."
J'adores... j'adores cette rebellion, ce défi dans ton regard, j'y réponds bien évidemment, ma pupille se rétrécit, ose s'affiner, tranchante et, esseulée dans un grand vide blanc sincèrement inquiétant, tranchant comme une lame de rasoir et perçant comme une flèche, d'une prédation frissonnante, le regard se plisse par méfiance instinctive, un coin de mes lèvres se retrousse et, affiche une belle rangée de dents, dangereuses, acérées, le reste de cette expression s'étends en un sourire de dents pointues enchevêtrées, un sourire large, aussi joli, qu'effrayant en fin de compte, qui, foutrait la trouille même a cheshire provenant de l'univers d'Alice Mc gee, pas de tim burton, lui il est encore trop politiquement correct.
A nouveau, un long moment passe, je garde ce sourire sur les lèvres, clignant parfois des yeux, je suis les mouvements de ton visage pour être sûr, que tu ne peux pas échapper à cette vision dérangeante, mais lorsque je te sens te raidir, et dans un souffle incontrôlé, dans la gêne du moment, et, la presque sensualité de nos corps comprimés, je sens ta poitrine rétrécir en expulsant ce souffle, comme soulagée :
_ Selina...
"-Selina... " -grand sourire, satisfait d'avoir obtenu son nom, eh bien, ça ne fut pas très difficille, était ce cette opression qui t'avais poussé si facilement à l'avoeu ? Il se le demande, mais pas très longtemps lorsqu'il entend les flics revenir par ici, très clairement grâce à son ouie surdéveloppée, t'en a un qui reste en faction devant la porte de l'entrepôt, putain, va falloir que je m'en occupe, j'allais pas faire dans la finesse j'étais pas du genre à virevolter partout, comme cette dingue montée sur ressort, une jolie dingue, fascinante, son costume l'était tout autant, j'aimais tout de même poser mes yeux sur la complexité de la chose, c'était finement ouvragé, et renforcé à des endroits qu'on ne soupçonnerait pas, du travail de...
"-Grande couturière... ou styliste... T'es douée mais tu t'es peut être gourrée de vocation, tu devrais lancer ta propre ligne de vêtements..."
_ On est dans de beaux draps maintenant. Et à cause de toi.. Si t'avais pas attiré l'attention des flics, ils auraient continué leur ronde et j'aurais pu partir en paix avec mon butin.... Merde ! D'ailleurs... Je peux savoir ton nom moi aussi ? Histoire que je saches qui maudire pour ce foutu coup du sort !
"-Hmm... lorsque tu me l'auras demandé plus poliment, on en reparlera..."
Ah non, quel salaud ! ha ha ! Le voilà qu'il se laisse tomber en arrière, entrouvrant les bras, une impulsion formidable des abdominaux et, une contorsion souple du corps, et il attérit comme une fleur au sol, sans le moindre bruit, il se dirige vers la porte de l'entrepôt sans plus de fioritures, il sort ses lames d'avant bras, et transperçes la porte, non, il fait pas dans la dentelle, en perçant la porte, il attrape la tête du mec posté en face, et lui frappe deux, trois, quatre fois contre celle ci, histoire de l'assomer, après quoi, il à tout le loisir d'ouvrir la porte et, de ramasser le talkie walkie du flic, utilisant le bord de sa capuche pour filtrer sa voix :
"-Absolument rien à signaler ici, aucun mouvements..."
Il jette nonchalament le talkie au sol, et l'écrase du bout de sa bottine d'assaut, en cuir, dont le bout des godasses sont autant de griffes métalliques fabriquées pour épouser ses orteils griffus, griffes de fin de bottine articulées, permettant une certaine liberté de mouvement.
"-Fera plus chier personne lui..."
Il prend le corps, le traine par les aisselles, bien sûr il n'est pas mort il vérifie le pouls qui l'en assure.
"-Va avoir une sacrée gueule de bois quand il va reprendre conscience, j'aimerai pas être à sa place..."
Il se frotte les mains, une queue de tigre se déroule hors de son pantalon, longue, et épaisse, il s'étends félinement presque sensuellement, et fait craquer chacun des os de sa colonne vertèbrale.
"-Bon, maintenant, on est quittes..."
Non, on l'était pas vraiment, il avait omis de donner son nom, il t'avait fait cet affront sans même en prendre réellement conscience, ou était ce par petite rébellion face à ta précédente invective ? Il voulait juste prouver qu'il était bien capable de se débrouiller seul.
-
Gnah gnah gnah.. Ouais, bon. Il a peut-être amorti quelques balles... Mais j'les aurais évité hein... J'suis assez souple et agile pour ça. Et.. Quoi ? Adepte de SM ? Mais quand donc les gens comprendront que ça n'est pas une tenue de.. Rha merde ! Ouais, je sais, j'suis sexy. Grmblgr... Mon regard étincelle. De... Rage contenue... Et aussi de frustration. Lorsqu'il « sourit », c'est... Putain, c'est inquiétant ouais. J'arrive pas à détourner le regard. Et j'ai fini par lâcher mon nom dans un souffle. Perdue dans mes pensées, pendant que les flics s'en allaient en laissant un guet, il lâche une phrase qui n'a pas trop de sens pour moi. Mais qu'il remarque le style de ce costume -fait main ! Mes doigts s'en souviennent encore de cette putain d'aiguille- me surprend. je réplique vertement sans en tenir cmpte, évidemment. Et sa réponse ? Graaah. L'enfoiré ! J'allais lui faire part de mes pensées à ce propos lorsqu'il se laissa tomber en arrière, avant de se rattraper souplement sur le sol. Saloperie de... De quoi d'abord ? On dirait une espèce d'hybride. Un humain, marié à un grand fauve... Mais alors, un grand humain, et un grand fauve imposant. Je n'ai jamais vu pareil individu avant. Me laissant tomber accroupie, je saute sur une autre barre de fer alors que lui, il s'occupe du guet. Souplement, je me rapproche. Mon regard ne le quitte pas. Il ne m'a pas dit son nom, et c'est pourtant la seule chose que je lui ai demandé. Il va me répondre, foi de Catwoman. Incrédule, j'arrive à voir tout à coup un détail qui ne m'avait pas marqué avant... Etrange... Une... Queue de... Tigre ?
Quoi qu'il en soit, je grimaçais. Non mon grand, on est pas quitte. Tu as mon nom. Tu vas me donner le tien. Résolue, je bondis sur lui et atterris sur son dos. Du moins s'il n'a pas bougé ou esquivé.
_ Quitte ? Tu crois vraiment boule de poil ?
Je susurre ses mots avec une sorte de venin.
_ Et si tu me disais comment tu t'appelles ? Y a pas d'raison... Tu as mon nom. Je veux le tiens...
Oh non, pas de politesse. Il est peut-être immense, impressionnant, et tout ça. Mais s'il croit que je me laisse facilement intimider.. Il se fourre la griffe dans l'oeil jusqu'à la queue. Non, pas celle-là ! Celle qui est rayée comme celle des tigres !
Je gronde légèrement, pouvant laisser échapper mon ressentiment maintenant que les flics ne sont plus là.
-
Quelque chose venait d'attérir sur mon dos, dans quelle position, ça, j'en savais foutre rien, mais le poids de la chose me disait qu'il ne pouvait s'agir que de notre "amie", je restai fixe, laissant un roulement rauque remonter depuis le fond de ma cage thoracique, j'aimais pas qu'on me prenne pour une monture, bien que le contact de ses jambes sur le haut de mon dos, ait quelque chose d'incroyablement sensuel, j'en avait le duvet fin qui, s'en hérissait presque.
_ Quitte ? Tu crois vraiment boule de poil ?
Oulà, pas bien, tu le sais peut être pas mais, tu viens d'activer avec cette insulte, son mode "t'as les foies" marty mcflyiéein, qui, comme lui, à bien du mal à résister à la provocation :
"- Personne... Tu entends... personne... ne me dit... que je suis une boule de poil..."
Il se remue, il gigote, et essaye de t'atteindre avec ses bras, mais t'es bien perchée là haut, c'est une position foutrement délicate et, efficace, t'as bien choisi...
"- Ecoutes moi bien, tu m'en laches encore une comme celle là et j't'écrabouilles comme une vulgaire tarte à la fraise, dont les os broyés feront figure de sucre glace sur le mur qui est derrière nous..."
Voilà, ça, c'est fait, au moins t'es prévenue... mais il aurait peut être du se contenter de le faire au lieu de t'avertir...
_ Et si tu me disais comment tu t'appelles ? Y a pas d'raison... Tu as mon nom. Je veux le tiens...
"-Et si je refuses ?"
Ah, voilà, et s'il refuse ?
Et s'il refuse, quoi ?
Il profites de la discution, comme d'une diversion pour, que sa queue de tigre glisse le long de ta combinaison, entre tes jambes et son dos, ça touche forcément des zones sensibles sans qu'il ne puisse réellement le savoir, mais ce qu'il vise, en laissant la chose touffue et épaisse glisser entre tes seins, c'est ta gorge, ta gorge pour l'enserrer et, t'étrangler si toutefois tu la laisses progresser jusque là, c'est à double tranchant tu pourrais t'en servir pour lui faire bien mal aussi.
"-Va falloir le mériter un tout petit peu mieux que ça... Mais t'es foutrement jolie quand tu grognes... voyons voir si tu miaules..."
Il se propulse, ça y est, comme il l'a promis, il se jette, dos en premier vers le mur en béton qui se trouves derrière nous, on peut pas dire que, t'ai pas été au courrant, et si tu possèdes réellement de bons réflexes, peut être que tu t'feras pas compresser façon sandwitch entre lui et l'obstacle...
-
Oh... J'ai touché un point sensible. La bêbête n'accepte pas qu'on la surnomme boule de poil. Bien accrochée, je glousse alors qu'il s'en offusque. Je résiste à l'envie de lui glisser à l'oreille ce petit surnom et me contente de rester bien accrochée. Bien décidée à ne pas lâcher prise, je pousse même le vice jusqu'à mordiller son oreille. Doucement, cela va sans dire. Je ne suis pas cruelle à ce point quand même. Mais lorsqu'il évoque la possibilité de refuser, je feule. Mes griffes s'enfoncent, sans que je ne l'ai prémédité, dans ses épaules.
_ Si tu refuses... Hmm.. Je pourrais t'arracher l'oreille. Ou bien... Continuer à t'appeler... « Boule de Poil »... En l'absence d'un nom par lequel te désigner...
J'ai susurré le surnom. Prononçant lascivement les « L ». Un sourire aux lèvres. Sourire qui se fige alors que je sens quelque chose glisser. Enfin, remonter... Baissant le regard, j'écarquille les yeux. C'est sa putain de queue -celle en fourrure- qui remonte. Mais pourquoi faire ? Je frémis, alors qu'elle se glisse entre moi et son dos. C'est dingue, mais j'en viens à haleter légèrement, surprise. Avant que je ne puisse décider de quoi faire de ça, il reprend. Il... Veut que je miaule ? Crétin...Hé ! Il... Il est en train de se jeter en arrière. Je n'ai pas besoin de tourner la tête pour savoir que si je ne bouge pas je vais finir aussi plate qu'une crêpe. Je pousse sur mes pieds. Non pas pour sauter. Je n'aurais rien à quoi me raccrocher. En vérité, j'ai tout juste le temps de passer par-dessus sa tête. Je retombe sur mes pieds, juste en face de lui. Ma main a griffé tout le long de son épaule, et j'ai coincé ces putains de griffes sur son torse. Merde ? Ouais, encore une fois.
_ Putain, t'es cinglé ! J'espère que tu t'es fait mal au moins en heurtant le mur.
Je lui jette un regard peu amène, tolérant mal le fait qu'il put réellement avoir eu envie de m'écraser contre le béton. D'un geste sec, je retirais ma main. Le gant resta. Ma main nue revient contre moi alors que j'esquisse un mouvement pour m'éloigner.
_ T'es... Vraiment sûr... De pas vouloir me donner ton nom ? Je serais peinée... De devoir utiliser encore... Ce surnom que tu n'aimes guère...
Je lui siffle ça d'un air narquois.
-
Haah... un point sensible... ce mordillement d'oreilles vient de dispenser son lot de frissons faisant trembler son corps jusqu'au bout de sa queue, quelque part, on ne l'avait jamais "prédaté" de la sorte, il laisse échapper un ronronnement, presqu'imperceptible, en général c'était lui, qui n'avait PAS à regarder au dessus de lui, ça l'irrites, ça l'irrites mais ça lui plait également, quelque part entre deux envies de t'expulser de là d'une façon douce, ou violente, mais c'est le refus de se sentir "soumis", maitrisé, à ta merci, et surtout, le fait que celà laisse naitre un ronronnement dans le fond de sa gorge, c'est aussi pour répondre à tes caprices qu'il va également justifier cette réaction défensive.
_ Si tu refuses... Hmm.. Je pourrais t'arracher l'oreille. Ou bien... Continuer à t'appeler... « Boule de Poil »... En l'absence d'un nom par lequel te désigner...
Et tu t'étonnes encore qu'il essaye de t'envoyer valdinguer dans un mur, tu le troubles, peut être autant qu'il te troubles de par son "inhumanité" apparente, quoi qu'il en soit t'as l'art et la manière de le foutre sur position "on" en plus de lui planter tes griffes dans les épaules, sa tentative d'étranglement échoue, celle de t'assomer contre le mur, aussi, récoltant les lauriers de ses échecs consécutifs en sentant ces foututes griffes lui pénétrer la chair pour "tourner" dedans quand tu effectues tes acrobaties au dessus de lui, pour ensuite lui abimer une partie des pectoraux, ça fait foutrement mal, il en feule de douleur.
Ton gant résiste quand tu essayes de retirer ta main il te faut plusieurs essais avant de te rendre compte que tes griffes sont "coincées" dans ses fibres musculaires autant que dans les bandages qu'ils ont traversés, Khaléo est tout de même bien sonné, sa capuche tombe pour afficher son visage, mâchoire contractée et dents serrées, un visage aux traits plus fins que ne l'aurait laissé penser sa façon rustre de se comporter, comportant quelques rayures symétriques de part et d'autre du visage, de longues et grandes capoules rappellant la crinière d'un lion, terminant sur des méches éparses et touffues qui se confondent dans quelques rayures dans sa nuque, rappellant elles qu'il y a un peu de "tigre" là dessous.
_ Putain, t'es cinglé ! J'espère que tu t'es fait mal au moins en heurtant le mur.
"-Pas autant qu'en me prenant tes saloperies de griffes... Oh ça va, ça va hein, je savais que t'étais parfaitement capable d'esquiver, au moins le résultat est là t'es plus sur mon dos..."
Il à l'air de déguster quand même, les balles, le choc dorsal dans le mur et maintenant, l'épaule griffée avec de beaux sillons qui traçent jusqu'a son pectoral droit... Super journée, ça allait encore continuer longtemps comme ça ?
_ T'es... Vraiment sûr... De pas vouloir me donner ton nom ? Je serais peinée... De devoir utiliser encore... Ce surnom que tu n'aimes guère...
"- Essaye seulement... Et je ferai des putains de rubicubes avec ce qui restera des morceaux de ta cervelle, Maintenant écartes toi d'mon chemin..."
Ses lames d'avant bras sortirent du haut de ses poignets, expulsant du sang par terre, La rage lui montant au corps, mais pour l'instant ça restait une technique d'intimidation, avançant de façon menaçante vers toi en écartant les bras, il n'acceptait pas ressentir des frissons de presque "plaisir" à se constater être en train de se laisser dominer par un putain de chat.
-
Oh. Je crois que, involontairement, mes griffes lui ont fait mal. Plus que ce que je ne pensais. J'esquisse un sourire contrit. J'avoue que je ne pensais pas à lui faire mal. Je sais que je suis de mauvaise foi, et rancunière... Mais... Pas aussi cruelle avec quelqu'un qui ne m'a rien fait. Je fait la moue. J'avance ma main nue vers son torse alors même qu'il veut que je m'écarte. Après avoir bien sûr mentionné quelques menaces si jamais j'en venais à répéter le surnom. Délicatement, sans tenir compte de cela, je retire une à une les griffes. Il a l'air menaçant, oui. Mais j'avoue ne pas me laisser intimider. Après tout, j'étais agile. S'il voulait passer à l'attaque, je pourrais -je crois- esquiver. Toutefois, ayant récupéré mon bien, je fais deux pas en arrière. Juste deux. Un sourire provocateur aux lèvres, je le lorgne avec un regard brillant de malice.
_ Quelle chochotte... Un grand gaillard comme toi... Rha... Les mâles... De nos jours, c'est plus ce que c'était autrefois...
Je ris brièvement. Ma main effleure ma ceinture. Et qu'est-ce que mes doigts remarquent ? L'absence de mon fouet. Ecarquillant les yeux, je dirige mon regard vers le promontoire où nous étions. Merde. J'ai remonté la lanière... Mais je l'ai laissé accroché. Putain de Bordel de Merde ! Je gronde de frustration avant de jeter un oeil sur celui dont j'ignorais toujours le nom. Finalement, je me rapproche encore de lui, fermement résolue à obtenir son nom par n'importe quel moyen.
_ Allez mon grand, sois cool putain. J't'ai bien dit comme j'm'appelais moi hein..
Je fronce les sourcils, montrant par là ma détermination. Qu'il essaie de me virer de son chemin tiens. Je suis fermement campée sur mes talons aiguilles. Mes poings se posent sur mes hanches.
_ Allez, accouches !
Je ne suis pas patiente. Et déjà, je tape du pied sur le sol. Alors.. ?
-
_ Quelle chochotte... Un grand gaillard comme toi... Rha... Les mâles... De nos jours, c'est plus ce que c'était autrefois...
Tu vas l'attaquer dans son amour propre combien de fois par jour comme ça là ? Bon, peut être qu'il est un peu tatillon, voir, qu'il n' a pas pris tout ce que t'as dit à la rigolade, d'ailleurs il à du mal à saisir qu'on puisse attaquer quelqu'un, s'en moquer, le critiquer, être soudainement gentille, puis à nouveau sembler être la dernière des sale pestes.
"-Et moi, ça fait longtemps que je comprends plus rien aux femmes..."
Il observe les mouvements de tes mains à ta ceinture, puis ses yeux se dirigent à nouveau vers l'intérieur de l'entrepôt, sourire s'élargissant sur ses lèvres.
"-C'est triste de laisser une preuve aussi flagrante de ton passage, il va bien falloir que t'aille la rechercher à un moment où à un autre, non ?"
_ Allez mon grand, sois cool putain. J't'ai bien dit comme j'm'appelais moi hein..
Ben ça commences à bien faire cette histoire de nom, ça commences même à sérieusement l'énerver, quelles gamineries... et pourtant... ça serait si simple de répondre non, alors pourquoi, pourquoi t'as tant l'impression que si tu le donnes t'as "perdu" quelque chose d'important, ta petite fierté idiote ou un truc dans le genre... Et puis merde j'allais pas me laisser faire...
_ Allez, accouches !
Derrière elle, un vortex... un vortex venait juste pile poil de s'ouvrir à l'heure ou nous parlions, il menait sans doute à terra, j'avais... une chance de retourner chez moi, mes yeux s'écarquillent, s'illuminent, bien sûr j'en oublie complétement la présence, de ce fait, de Selina, j'avances mais je suis bloqué par ta poitrine qui percute la mienne.
"-Tires toi d'là, allez ! C'est particulièrement instable je n'aurai peut être pas d'autres chances avant longtemps de pouvoir "rentrer" chez moi, appelle moi Léo, on peut pas dire que je sois exactement ravi de t'avoir connu..."
Il tente bien évidemment de te dépasser, de trouver un moyen de détourner to nattention, ah, voilà, parfait, c'est un peu bateau mais, ça peut fonctionner :
"-Là ! Des flics ! cassons nous !"
Si ça fonctionnes, il aura le champ libre et, pourra emprunter son foutu vortex, en espérant qu'il ne disparaisse pas sous son nez.
-
Je ricane alors qu'il dit ne plus rien comprendre aux femmes. Je ris un peu moins en me rendant compte de la disparition de mon fouet. Lorsque son regard fixa un point derrière moi, et qu'il s'avança jusqu'à cogner contre moi, ça m'intrigua. Je jette un coup d'oeil derrière moi et j'en reste bouche bée. C'est quoi ça ? Je retourne la tête vers le fauve humain, ahurie. Et soudain, je percute ce qu'il vient de dire. Il m'a dit son nom ! Ou ce qui ressemble à un nom. Léo. Bah voilà, c'était pas si difficile. L'exclamation suivante me fait bondir sur le côté, alors que mon regard parcours la pièce et la sortie. C'est en le voyant passer à travers le vortex que je comprend. Je feule de rage, supportant mal de me faire entuber ainsi. Toutefois, il a raison sur un point. Ce serait bête de laisser des traces de mon passage. Je bondis en l'air, m'accrochant aux barres de fer en me promettant de retrouver ce Léo et de lui faire payer de m'avoir eu comme ça. En attendant, j'arrive accroupie sur le promontoire. Je met un bout de temps à détacher le fouet, mes griffes me gênaient. Toutefois, je finis par y arriver. Armée de mon fouet, je roule à terre. Le... Vortex est toujours là. Le flic dans le coin semble bouger. Merde. Plus le temps de tergiverser. Je m'approche de ce... Vortex. Je prends une grande inspiration. Et puisque le fauve a traversé, je me jette à l'eau. Façon de parler.
Je trébuche en arrivant. Je manque de m'étaler par terre. Mais mon équilibre prévaut. Et je reste debout. Mon regard erre autour de moi alors que le vortex disparaît derrière moi dans un « Ploup » sonore. Tout est si bizarre ici qu'il me faut un certain temps pour retrouver mes esprits. Et puis... Léo ! Où est-il ? J'ai une leçon à lui faire comprendre. On ne me distrait pas comme un vulgaire chat avec un vulgaire appât. Je fais quelques pas, cherchant les traces de pattes ou de pieds du fauve sur la poussière du chemin.
-
Aaah ! ça y est, c'est pas trop tôt, avec de la chance j'allais me retrouver pas trop loin de ma tanière, et je pourrai oublier cette mauvaise expérience, ainsi que sortir les deux balles qui me gênent, mais, comme le hasard fait souvent mal les choses avec ces vortex, il conduisait dans l'une des ruelles des bas fonds, une ruelle dégeulasse a bien des points de vue, comme d'habitude dans les bas fonds tu me diras, que tu peux pas t'attendre à autre chose mais ici c'était vraiment le summum de l'ignominie, ça sentait la mort, la charogne crevée et putréfiée depuis si longtemps que ça en piquait presque les yeux, les murs noirs, humides, suintaient une pourriture verte qui, elle, générait une sorte de... de corail, un corail se nourrissant de la pourriture et l'humidité des murs.
De part et d'autre de cette même ruelle des canneaux d'évacuation d'égout charriaient un liquide pollué des vices les plus abjects de cette cité, aux reflets huilés, des pavés étaient disloqués et éclatés, et quelques traces au sol, ci et là, laissaient penser qu'un type avait du se délester de son diner y a quelques temps, bref, l'endroit idéal pour surprendre, du moins, lui, il fut surpris lorsqu'il débarqua du passage, surtout dans un premier temps par l'odeur qui piquait carrément a la gorge, et comme celui ci était encore ouvert, il se recula, par précaution, appréhendant de voir débarquer l'autre folle, mais cette fois, il aurait l'avantage de pouvoir la prendre... par derrière, certes, pas très fair play, mais après tout il était peut être temps de lui rendre la monnaie de sa pièce.
Placé de façon à se retrouver derrière toi lorsque tu débarques, rapidement ses jambes passent autour des tiennes, les enlaçent, ses bras quand à eux attrapent tes mains et les écartes, il met rapidement à mal la souplesse de tes jambes, de tes bras et, ton dos en tirant sur tes membres, en les "tordant" sur eux mêmes, le cuir ou latex de ta combi couinant presque douloureusement sous la fermeté de ses paluches, il s'en amuse presque, te voir enfin en mauvaise posture, ça change, ça fait... haah... presque du "bien" tout compte fait, tant et bien qu'il insiste encore un peu, on entends le cuir produire ces sons "Crrr" "Crrr" sous la pression exercée par ses cuisses et ses bras, a laquelle vient bientôt s'ajouter, l'étranglement de sa queue de tigre, bien collé à ton dos, la situation à quelque chose de presqu'intime et sensuel, malgré ce coin de ruelle nauséabond, qui rajoutait une touche indéfinissable à la situation.
"Te voilà bien piégée... et la curiosité tua le chat..."
"-Pourquoi tu me suis... comme ça ? "
Sa queue de tigre est passée entre tes jambes, contre ton ventre et au centre de ta poitrine pour atteindre ta gorge, qu'elle enserre, peu à peu, réduisant l'envergure de l'ouverture de ton oesophage à sa guise, s'amusant à rouvrir, et, rétrécir l'étreinte de sa queue, te faisant monter le sang, le rouge à la tête, il joue, comme un tigre avec sa "proie".
"-T'étais pas mieux dans ton monde presqu'aseptisé ? T'as senti comme ça schlingues ici le vieux poisson mort ? t'as vu un peu la gueule du décor, ? Intéressant, hein ?"
-
Je fronce le nez. Il est vrai que... Vraiment, ça pue. Pouah. Mon odorat crie grâce. En fait, je suis tellement destabilisée par ce changement de décor, de... D'odeur... Que je me fais surprendre. Comme une novice. Lorsque je le sens derrière moi, il es tdéjà trop tard. Je suis souple. Je le sais... Mais là... Putain... Il veut faire quoi ? M'arracher les membres un à un ? Le cuir noir sur mon corps proteste lui. Et moi je me mord la lèvre inférieur si fort que perle une goutte de sang. J'avais raison de penser que ses mains étaient vraiment... Enormes... Tout à l'heure. Et je vois très bien à quoi ça lui sert au félin... Et ce quelque chose qui serpente... Sa... Queue oui... La voilà qui remonte... Qui serre... Desserre... Encore et toujours... J'halète... Je sens bien que par moment, je ne suis pas loin de manquer d'air... Entre deux gémissements étouffés, je parviens à émettre un ricanement. Qui se transforme en plainte lorsque la queue resserre son emprise. Mes membres sont endoloris. Mais malgré tout... J'ai ma fierté...
_ Le chat... A neuf vies... Haa... Je.. Keuf keuf.. Suis.. Hmm.. Venue pour... Haa... Deux raisons...
Mobilisant toutes mes forces, celles qui ne faiblissent pas sous la pression à laquelle sont soumise mes membres, mes muscles, j'essaie de me raidir, de me soustraire à lui. Peine perdue me direz-vous. Mais j'ai ma fierté les gars.
_ T'avais... Haa.. Pas du taper assez fort... Keuf keuf.... Le flic... Hmm.. Se réveillait... *toux irritée* Et... Putain... Haa... Tu as... Keuf... Vraiment eu du culot de... De... D'utiliser... Haa... L'excuse des flics...
Oui, c'était bas ça. Pas vaincue, je tente encore une fois de m'échapper.. L'odeur de la rue me donne la nausée. Mais malgré tout, je persiste... Peut-être que si j'arrive à déplacer un de mes bras plus sur le côté je pourrais... Attraper le manche de mon fouet... Je feule de rage alors que je suis « tordue » comme une vulgaire poupée élastique.
-
ça couine, ça grince encore, j'aimes apparemment beaucoup malmener la créature que je viens d'attraper entre mes grosses "pattes", j'en souris, j'exultes même, mais quelque part, j'y vais pas encore à fond, je sais pas, quelque chose qui, me retient de vraiment lui faire "mal"...
_ Le chat... A neuf vies... Haa... Je.. Keuf keuf.. Suis.. Hmm.. Venue pour... Haa... Deux raisons...
Fallait quand même reconnaître que tu résistais plutôt bien à cette torture, hmm, et cette combi en latex qui mettait tes formes en valeur dans cette rue poisseuse, y avait quelque chose d'extrêmement excitant à cette... situation...
_ T'avais... Haa.. Pas du taper assez fort... Keuf keuf.... Le flic... Hmm.. Se réveillait... *toux irritée* Et... Putain... Haa... Tu as... Keuf... Vraiment eu du culot de... De... D'utiliser... Haa... L'excuse des flics...
"-Tu mens... même si le flic était en train de se réveiller, t'étais pas obligée de traverser ce foutu vortex pour disparaître... Trouves... autre chose ?"
Et il recommences, il te tord, il te plaque contre lui en obligeant ton dos à s'arquer souplement, il apprécie ça apparemment le salaud puisqu'il en ronronnes, soudain il attrape toute l'envergure de tes épaules pour les comprimer entre ses deux grandes mains, les forçant à se rejoindre, presque au centre de ton dos, t'es souple, y a rien à dire, tes omoplates suivent bien le mouvement, dans cette position bien cambrée et, épaules retroussées en arrière, ta poitrine est hyper tendue vers l'avant, et le cuir semble lui aussi étouffer ton propre corps, couper la circulation sanguine à quelques endroits, le cuir se remet à grincer pour que le savoureux travail de sappe de tes forces, continue, il s'en lèche les babines.
"-Je me demandes combien de temps tu pourras tenir avant de te libérer et dire enfin la vérité..."
Autre chose, légèrement incontrolable cette fois, l'excitation que provoquait la vue d'une belle petite chatte en latex, qui, érigeait peu à peu une véritable poutre de chair massive épousant la raie de tes fesses, glissant entre le cuir de son pantalon et la matière du tiens, ses griffes pétrissaient la chair de tes épaules, ses jambes tordèrent les tiennes encore plus vers l'extérieur, puis, tappant l'intérieur de ses bottines sur tes pieds, les faisait tourner vers l'intérieur de ton corps, et ainsi de suite, celà te provoquerait bientôt d'intenses jambes de coureur à force d'être tirée et étirée ainsi.
-
Jamais, je dis bien jamais, mon corps n'a été à ce point testé. A vrai dire, j'ignorais à quel point j'étais souple. Je sais que je ne suis pas élastique. Mais j'avoue être moi-même étonnée de la résistance de mes muscles, de mes articulations. Je gronde. Frustrée de ne pouvoir me soustraire à son étreinte. Vexée qu'il ne me croit pas quand je disais que le flic avait commencé à se réveillé -bon d'accord, il avait bougé, et je n'étais sûre de rien, mais bon... J'ai l'impression d'être comme un chewing-gum que l'on tord dans tous les sens avant de le mâchonner. J'espérais bien ne pas finir comme un chewing-gum.
Le ronronnement du fauve humain me hérisse les cheveux sur la tête. Sous le masque de Catwoman. J'halète, ne souffrant pas encore trop. La douleur était... Supportable. Comme celle que l'on a alors que l'on vient de se pincer. La tête rejetée en arrière, je gémit en le sentant « assouplir » mon dos de cette manière. Mes épaules se toucheraient que je n'en serais pas étonnée. Je remercie Bastet de cette souplesse, mais la maudit également pour la tension à laquelle sont soumises mes articulations, mes muscles. Cambrée de cette manière, on dirait que j'offre ma poitrine au premier venu. Cambrée au possible oui... Et je ne sens déjà plus ma main droite. Autant pour le fouet qui reste donc sagement accroché à ma ceinture.
Je gémis encore alors que j'entends sa phrase.
_ Haaa... Je... Hmm... vais te dire... Haaa... On... Ne me... Roule pas... Comme.. Haaa.. Comme tu... L'as fait... Hmm...
Oui, je déteste être entubée de cette manière. Et, malgré la douleur qui se fait plus pressante, mon égo tient bon, me donnant la force de continuer à subir cette assouplissement sans supplier d'y mettre fin.
Je lâche un hoquet de stupéfaction en me rendant compte que ce que j'ai senti tout à l'heure -Cette impressionnante pression de son entrejambe- prend plus de consistance solide. On dirait le bras d'une grue qui se relève lentement. J'écarquille les yeux et lâche un autre gémissements en sentant ses griffes sur mes épaules, ses jambes qui jouaient avec les miennes... Et bientôt, c'est un autre feulement qui m'échappe. Suivi d'une sorte de miaulement plaintif. Je me mord la lèvre une nouvelle fois et, pure provocation, je rétorque :
_ Je tiendrais... Haaa... Aussi... Longtemps... Keuf... Que... Hmm.. Nécéssaire... Miaw....
-
"-Tu avais pourtant eu ce que tu désirais, non ? Mon nom, alors Je ne vois pas où se trouve l'entourloupe, à moins que tu ne supportes pas qu'un type puisse te filer entre les doigts quand tu penses avoir capté son attention..."
Tes pieds sesoulèvent, tes orteils quittent bientôt le sol, mais pas parce qu'il à décidé de t'élever avec ses bras ou ses jambes, mais bien parce que sa bure t'y pousses, c'est presque comme si tu pouvais la sentir dans ses moindres détails malgré les tissus qui les séparent, il s'en sent mal à l'aise, tout de même, car l'objet se dresse maintenant entre tes jambes, allant caresser tout ce sur quoi elle passe, intimité, bas ventre, et ventre.
C'est à son tour, il halètes en ronronnant au creux de ton oreille, juste après t'avoir entendu pousser une série de gémissements , de miaulement et feulements plaintifs, Khaléo te ballotes, te secoues, tes seins tendus suivent d'un léger regard ces mouvements, tes coudes sont presque croisés dans ton dos désormais, et tes épaules se rejoignent, on aurait dit que ta tage choracique si tendue, allait presque imploser.
Soudain, ce sont ses dents qui, rippent sur le latex recouvrant ton cou, quelques pas, nous rapproche d'un mur, un de ces murs crasseux ou, tes seins bien tendus viennen s'écraser, ainsi qu'une partie de ta joue, sa bure presse avec de plus en plus d'insistance entre les globes de chair de tes magnifiques grandes fesses musclées.
_ Je tiendrais... Haaa... Aussi... Longtemps... Keuf... Que... Hmm.. Nécéssaire... Miaw....
"-J'adores t'entendre miauler.
Il redouble d'effort, t'écrase plus à fond contre le mur ragoutant, plaqué, collé à toi, il ondules son bassin, danse contre la petite chatte,victime de ses propores pulsions, souffle chaud à nouveau, se répandant sur ta nuque.
"-Tu avais fière allure dans ton monde, ici, tu apprendras que tu n'es plus rien..."
-
Bon, okay, mon excuse est merdique. J'avoue que j'ai du mal à m'en convaincre moi-même. Mais bon. On ne me critique pas hein. C'est normal que je sois intriguée par ce type. Moitié humain, moitié fauve. Immense type aux muscles d'aciers. Je glapis de surprise en me sentant soulevée. Il a... Oh... Une putain de queue entre les jambes. Je ne suis même pas sûre que l'on puiss appeler ça comme ça. C'est.. Démesuré...
Comme un poupée de chiffon entre ses mains, je grogne alors que la pression sur mes articulations se fait plus forte. Mon souffle est erratique également. Comme si mes poumons étaient oppressés par la pression. Heureusement, sa queue touffue autour de mon cou n'exerce plus son emprise. Sinon, j'étoufferais. Le cuir de la combinaison gémit. Je sens les coutures, surtout au niveau de la poitrine, qui se détendent. Prêtes à craquer. Ou presque.
Je redresse soudainement la tête, miaulant d'inconfort. Et puis... Le mur vient m'aplatir. Quoique le contraire est plus juste. Mon corps est pressé par le félin contre le mur. Mur peu propre d'ailleurs. Des relents nauséabonds s'échappent de la mousse gluante qui le recouvre. Mon cuir craque, libérant ma poitrine nue contre la pierre glaciale du mur. Mon costume est fichu. Je grimace. Ma joue est maculée de cette substance gluante alors que mon corps commence à montrer les limites de sa souplesse. Mon épaule commence à craquer. Je ne sens plus ni mes bras, ni mes jambes. Et sans doute que, même s'il me relâche maintenant, je ne sentirais rien avec de trèèès longues minutes.
Suite à ses paroles, je ne peux réprimer un miaulement. Plus plaintif que le précédent. L'on sent la pointe de douleur se renforcer. Je ferme les yeux alors que la pression de mon corps contre le mur est plus insistante. Je gémis, mais pas que d'inconfort. A le sentir onduler comme ça, et dans cette situation incongrue, j'ai dû mal à faire le tri dans ce que je ressens. Ma souplesse mise à rude épreuve fait que mon corps malmené me lance. Son souffle me fait frémir. Je feule d'impuissance. Et je laisse difficilement échapper quelques mots :
_ Où que... Hrmm... Je sois... Haaa... Je suis... Keuf... Toujours... Catwoman... Haaaïe...
-
Hmmmrr ♥ Superbe... tout simplement superbe... Le corps musclé de cette créature luisant par dessus sa combinaison de cuir, me met dans un état d'excitation hors norme, j'ai du mal, bien du mal à me contenir, la décence voudrait... que j'arrêtes, Grawrr ♥ Haahh... C'est bien bestial et je n'y arrive pas, ma monstrueuse poutre de chair barbelée de gros raisins biseautés semble "exploser" hors de mon pantalon, déposant la quelque dizaine de kilos de viande ferme qu'elle représente au bas mot, belle bure aux proportions minotauriennes, plus d'une soixantaine de centimètres, sur onze, voir douze, d'épaisseur, épaisseur augmentée encore, de par l'envergure supplémentaire qu'accorde la soixantaine de raisins de chairs disposés en corolles spiraliennes, de sa base, au col, mes ronronnements font vibrer intensément chacune de ces choses sur ton dos, dos sur lequel il s'appuye, t'écrasant de tout ton corps contre ce mur bien crade, ta joue et tes seins malaxent la mélasse putrescente du mur, qui, est bien capable de te faire tourner de l'oeil, ta combinaison éclatée au niveau des seins, je peux enfouir ma queue de tigre épaisse et agile, dans ta combinaison...
...Elle y sinue comme un serpent, et encercles tes seins, passant en "huit" autour de ces derniers, les comprimant avec force, le bout du gland énorme de son échaffaudage pousse sur le latex en face de ton petit trou, le caoutchouc dont il est composé est, apparemment bien extensible, puisque tu peux sentir ce dernier commencer à être "poussé", le latex se déforme et, suit l'appui du bout de sa verge monstrueuse qui calles contre ton anneau lisse.
Sa voix était foutrement rauque et profondément suave, mêlée de grognements et ronronnements.
"-Catwoman ou pas... tout ce que je vois... C'est un petit chat ♥ Un petit chat que je vais farcir jusqu'aux oreilles... Mrrr considères celà comme de la grattitude pour m'avoir "sauvé" la peau..."
-
Je ferme les yeux. L'odeur reste insoutenable, mais au moins n'ais-je pas la vue sous les yeux. Je voudrais pouvoir me démener, me débattre. Mais la pression qu'il a sur mon corps, m'arquant ainsi sans la moindre hésitation.. Je miaule de nouveau, plaintivement. Et lui ? Lui il ronronne. Putain. Je serre les dents. J'ouvre soudainement les yeux en sentant l'étreinte de sa queue quitter mon cou et plonger dans ma combinaison, là où le cuir n'est plus qu'un souvenir. Ma poitrine est emprisonnée. J'en gémis alors que l'étreinte se resserre. Malgré le dégoût que m'inspire ce mur, j'ouvre les yeux. Sa... Queue... On dirait qu'elle cherche à pénétrer le latex qui me protège encore. Faible protection, puis que je sens la matière se « plier » à la pression de son gland. Le fait que je ne sois pas préparée, ça l'arrête. Ou plutôt, c'est l'étroitesse de mon entrée qui refuse sa présence. Je grogne de mécontentemet, cherchant à bouger, à libérer mes bras, mes jambes. Refermant les yeux -pour éviter un haut-le-coeur hein- je grimace en entendant ses paroles. Auxquels je ne peut m'empêcher de répliquer :
_ Le... Arr... Le petit chat... Haaa... Est très... Hrrmm... Rancunier...
Ce qui signifie que, prenant la « gratitude » du tigre pour autre chos -une pulsion ou autre-, je jure de lui rendre la pareille -ou presque puis que je ne possède aucun attribut masculin. Je gronde une nouvelle fois et tire sur mes bras pour les ramener devant moi. J'y échoue, bien sûr. Pire... La situation commence à m'exciter... Malgré moi, mon corps ondule doucement contre cette imposante masse de chair qui se presse à mon entrée. A vrai dire, la pression sur mes seins, et sur mon anneau... Je suis pratiquement certaine de commencer à mouiller. A devenir très humide à l'entrejambe. Bwaaah. Si je ne me retiens pas, j'en ronronnerais... Oh... Et si je ronronnais pour le narguer tiens ? Je serre les dents et le ronronnement fait vibrer doucement mon corps. La pointe de mes seins durçie rape contre le mur. Je gémis également.
-
Ca, pour être en rut, il l'est, d'ailleurs il ne trouve pas ça très normal, il a pas l'habitude de sauter sur la première chose qui lui tombe sous le nez, sauf peut être, quand il est sur son territoire, là, c'est une autre histoire, c'est un véritable sauvage, mais dans les cités, dans la civilisation "humaine", il possédait pourtant encore le minimum de civisme et de savoir vivre requis, qu'est ce qui se passait ? J'avais... tellement... tellement envie d'elle... malgré le peu de peau de cette créature qui, dépassait de sa combinaison, j'pouvais sentir ses odeurs, même ses odeurs les plus intimes, ça me hérissait le duvet depuis qu'on était dans l'entrepôt... Je sais pas... je sais pas s'il s'agit, d'une phéromone puissante qu'elle dégage, où de son accoutrement terriblement sexy de chatte, mais j'ai une de ces dalle, une dalle monstre de son petit corps, que j'ai déjà envie de tordre dans tous les sens de plaisir et de douleur sous mes gros doigts et la présence de mon abominable engin.
Mes yeux se levèrent dans le ciel pour vérifier quelque chose, ah... c'était peut être ça... la lune était pleine et son halo, sanglant, y a des périodes comme ça et des jours où je suis plus à cran, plus réceptif à mes pulsions bestiales, j'essayais de rationaliser un peu tard là non ? J'étais déjà lancé, ça allait être... Difficile... de m'arrêter... Y avait pas de pensée qui soit logique et, qui arrives de toute manière à percer les bas instincs qui régissaient mes gestes, si ce n'est, une culpabilité grandissante tout de même, je venais de la chopper par surprise, lui laissant aucune chance, aucune chance de m'échapper...
Peut être dans ma voix alors, des traces de culpabilité, plus aussi assurée qu'il y a quelques secondes, une voix désolée :
"-Pourquoi... Pourquoi il a fallut que tu me... suives... p'tit chat..."
C'est ça, tu vas pas te mettre à chialer non plus ? Le mal est fait...
_ Le... Arr... Le petit chat... Haaa... Est très... Hrrmm... Rancunier...
Non, décidément il y avait... quelque chose dans l'odeur de cette pseudo humaine, qui n'était pas tout à fait humain, hein, y avait un truc qui me foutait les synapses en ébullition et les neurones sur le grill, que ce soit son attitude, son odeur, sa façon de se mouvoir, ses yeux... ses beaux grands yeux, mais quoi là j'étais tombé sous le charme comme ça ? C'est pas une façon d'aborder quelqu'un même si t'as le begin pour elle, et en même temps, j'avais pas l'impression que, ça aurait très bien pu se passer autrement vu qu'elle gigote et sautille dans tous les sens, miss belle gambette puissantes et insaisissables...
"-Après tout, même le chaperon rouge à parlé au loup avant de se faire dévorer... Est ce que tu es réellement... totalement humaine ?"
J'en doutais, à haute voix, tandis que mon gland continuait d'aller et venir sur sa raie, s'arrêtant sur sa rosette sur laquelle j'appliquai quelques pressions hésitantes, juste de quoi rentrer un quart du bout rond de mon gland, pressurisant l'entrée à diverses reprises, les diverses pointes de chair érectiles suintaient un liquide dont, l'odeur et les phéromones de mâle en chaleur se répandaient depuis un bon moment dans l'air ambiant, si puissant que ça transcendait presque les odeurs déjà présentes pour qu'elle soit la seule à vous tenir le cerveau par la base du cortex.
Le petit jeu de pressions continue, le latex se distends, de plus en plus élastique et étiré, une partie de mon sexe entres, c'est presque comme si la tenue de "Catwomen" me servait de préservatif géant tandis que je lui entrouvrait le fondement, épousant la forme de ma hampe aux proportions presque grotesques, je bougeai les hanches en semi cercles dansés, effectuant des quarts, des tours, des ondulations et, balancements chaloupés, des hanches, des fesses, me tenant tantôt sur un pied, puis l'autre, bandant les muscles d'une cuisse, puis, l'opposée, mes muscles fessiers se contractant dans le rythme bien lents de mes tentatives délicieuses pour "forer" le plus méticuleusement et, lentement possible cette chose en toi.
ça glisse... presque millimètres par millimètres, après tout, on a notre temps, et quel bonheur de se sentir si "bien" acceuilli, la chair de tes fesses musclées obligées de s'écarteler, lorsqu'enfin un gland gros comme trois poings fermés est presque complétement entré, c'était le plus dur à faire, oh oui, je sais... du moins, je le sens à la tension dans ton corps, tu appréhendes et, à la fois, tu ne réclammes que ça... patience... Tu sais, de mon coté, je ne trouves pas souvent chaussure à mon "pied" capable de supporter "ça"...
Sa poutre de chair qui, fut autrefois si longue , semble s'être écrasée façon "accordéon" sur l'entrée de tes fesses, ça donne l'impression d'avoir affaire à un... gros ballon, ou oursin de mer rempli d'air, les soixantes centimètres de chair sur douze de large, se sont pressées si bien et si fort à l'entrée de ton joli cul, qu'on dirait qu'un énorme ballon de plage essaye de te rentrer dans le popotin, blague mise à part, si les pointes de chair étaient elles, bien réparties sur toute la longueur de son engin, là, elles se retrouvent compactées les unes à coté des autres et tendues à l'extrême vers l'extérieur de ce gros "oursin" parcouru d'énormes veines de force, on peut voir ses fesses se contracter durement et nerveusement, tandis que la chair de ce "ballon" oscille, trembles rapidement, il serre les dents, il sent que doucement, ton anus devient plus tendre, tes sphincters vont bientôt lâcher un peu de lest, t'es bien entrainée, ça ne fait aucun doute, mes mains peuvent contempler l'étendu de la musculation de ta chute de rein et de tes fesses qu'il malaxe et pétris, littéralement comme de la pâte pâtissière entre ses grosses paluches, c'est qu'il faut détendre tout ça pour lui permettre de s'insinuer en toi, ses grosses mains passent aussi sur ton ventre, détendant toute la surface de tes abdominaux, tes hanches sont "moulues" par ses grandes paumes, a un moment, tu l'as senti, hmmrr ♥
tu t'es sentie t'entrouvrir, te détendre d'avantage grâce au travail précis et savant de ses mains, "cloc" par ci, et "clo ac" par là, ta chair poussée de l'intérieur, la chair de tes fesses se comprimer contre tes hanches qui, n'ont jamais acceuilli quelque chose d'aussi imposant, se plaignent, et viennent donc de grincer en étant "bourrées" de ta propre viande n'ayant nulle part ou s'échapper, alors oui, les os de tes hanches s'assouplissent et, s'écartent un peu sous la pression phénomènale, et pourtant, ça ne fait que commencer, tu sens le tigre en rut haleter et, grincer des dents, expulser de l'air chaud hors de ses dents serrées, son visage est près du tiens, pour peu il caresse ta joue avec la sienne, il ronronnes toujours et, apprécies que tu ajoutes le tiens en rythme au sien, a ton grand damme il n'en est nullement offusqué, pire même, il adore, quand tu te mets à ronronner il pince l'une de tes oreilles entre ses lèvres, et pousse un petit "miawr ♥"
"-Ne soit pas triste, ma petite chatte de gouttière, tu es juste tombée au mauvais endroit, au mauvais moment..."
-
Pourquoi l'ais-je suivi ? Bonne question. Mes prétextes sonnent faux. Et j'avoue ne pas vraiment savoir sinon. Peut-être pour assouvir une insatiable curiosité. Peut-être. Je ne sais plus. Je ne réfléchis plus trop clairement. Mais il le faut pourtant. Il ne faudrait pas perdre la tête maintenant. Même si... Même si l'envie de se laisser aller est grande. Je gronde encore une fois, plus faiblement peut-être. Je voudrais serrer les jambes, et m'appuyer sur lui pour me dégager. Mais non. Je ne peut pas. Et cet énorme membre qui passe et repasse, cherchant à passer malgré la présence du latex et malgré mes muscles contractés... Je lâche un petit rire à sa question. Suis-je humaine ? Je suis née comme telle oui. Mais j'en suis morte. Et pourtant, je vis, je respire, je dors, je mange. Je joue au chat. Bastet m'a-t-elle offert un don ou une malédiction ? Qu'est-ce qui a changé en moi ? Je reste muette à sa question, ne sachant pas moi-même la réponse. Je me contente de grogner de nouveau alors que je sens qu'il a réussi à infiltrer une partie de son gland à travers mon anneau resserré. Je voudrais continuer à résister. Je le voudrais. Mais ma volonté se fissure. Dans un dernier sursaut d'orgueil, je cherche à me cambrer plus encore pour échapper à cette « Tête Chercheuse » qui, inexorablement, franchit le barrage.
_ Haaaa.. Aaah..
Sans pouvoir le retenir, un gémissement avait franchit la barrière de mes lèvres. Non plus d'inconfort. Mais... De surprise. Et d'une pointe de douleur. De frustration aussi. Frustation de ne pouvoir se dérober, de sentir son corps céder si facilement. De douleur, parce bien qu'il prenne son temps, le latex irritait la chair intimie où il s'engouffrait. Et de surprise, parce que je ne m'attendais pas à ce qu'il le fasse vraiment. Pas comme ça. Je le sens bouger contre moi, contre mon corps étiré au possible. Je le ressens dans chacun de mes muscles, chacune de mes articulations. Le moindre frémissement. Je me raidis. Ou j'essaie. Je veux qu'il arrête. Ou qu'il continue. Je ne sais plus. Je suis... Perdue. Je ne devrais pas commencer à aimer ça. Je ne devrais pas ressentir cette pointe de plaisir. Je ne devrais pas devenir plus humide de seconde en seconde. Humidité qui, dans la position où je suis, s'écoule doucement vers mon anneau rectal. Le latex, ça glisse. Et il s'humidifie, comme lubrifiant l'entrée. Je gémis à nouveau. Mi-gémissement, mi-ronronnement. Ses mains... Ses mains se déplacent sur mon corps. Me « massent ». Malaxent mes chairs. Comme pour me détendre. Pour lui livrer le passage. Et le pire... C'est que mon corps obéit à ses gestes, et non plus à mon esprit. Je voudrais continuer ma rebellion. Mais bientôt, je sens que je perds pied. Qu'est-ce qu'il y a en lui pour que ma résolution tenace vacille ? Des... Phéromones ? Mais oui ! Un livre... J'ai lu un livre sur les fauves. Chacun dégage des phéromones particuliers, selon s'il est en chaleur, s'il est célibataire ou s'il chasse. Ce serait... ça ?
_ Haaan... Miaw...
Ses gestes sont si experts... On dirait presque un osthéopathe. Vous savez, ces gens qui soulage les maux des gens lorsqu'il s'agit d'articulation, de douleur musculaire, etc... Et bien... On dirait exactement ça. D'abord, on étire tout le corps. Puis on s'attaque à des parties bien spécifiques. Là, en l'occurrence, ce sont mes hanches. Il est évident que je ne peux, d'ordinaire, pas accueillir quelque chose d'aussi gros. Mon squelette n'est pas taillé pour... Mais lui.. Il... Il arranges ça. Je déglutis. Une fois. Puis deux. Je frémis. Je frissonne. Ma volonté s'effrite. Peu à peu. Lentement, mais sûrement. Mon corps a déjà rendu les armes. Il se plie aux caprices du fauve humain. Ce fauve qui, comme un de ses homologues animaux, s'agrippe au corps de la femelle pour la prendre. Mais il est humain également.
Soudain, je ferme les yeux en lâchant un gémissement plus long. Un gémissement émoustillé. Ses lèvres se sont refermées sur mon oreille. Ma poitrine racle le mur en même temps. Mes tétons, douloureusement dressés, doivent être rouge. Hypersensibles. Le ronronnement de Léo me berce à moitié. Et le mien s'y joint par instant. Je grimace. Pourquoi mon corps est-il si traître ? Pourquoi... Pourquoi même mon esprit se laisse dominer par ce corps traître ?
_ Tu... Haaar... Tu parles d'un... Mauvais endroit... Hmm... Et d'un... Miaouw... D'un mauvais moment... C'est... Un Euphémisme...
Haaa. Ma voix au moins m'est fidèle. Elle n'a pas tremblée. Malgré les halètements. Malgré mon souffle court... Elle est restée fière et orgueilleuse... Reflétant parfaitement la Catwoman que je suis. La Catwoman qui a l'impression que sa combinaison se transforme en un préservatif au niveau de sa rosette. Je gémis un nouvelle fois, alors que je sens mon corps perdre la bataille. Il a bien assoupli l'entrée. Et l'humidité croissante entre mes jambes a lubrifié le latex qui s'enfonce plus facilement. Je miaule, je ronronne. Je perd la tête.
-
Plus tu gigotes, te cambres, ondules ton corps pour tenter d'y échapper, plus ça semble ne faire que l'aider, et lorsque tu pousses quelques gémissements plaintifs, au rythme de quelques poussées, il plisse un regard satisfait, tu cèdes un peu de terrain, chaque seconde, le bord de son énorme gland lui aussi bordé de pointe se fait presqu'amoureusement engloutir par cette bouche anale, tu as beau être particulièrement endurante et bien entrainée, rien ne te préparait à recevoir une chose pareille en toi, et bientôt tu te sens entrouverte par cet impacable cône de chair, faisant de tes fesses de plus en plus écartées un entonoir épousant le contour de son vit.
_ Haaaa.. Aaah..
C'est contrôlé, tout ça, ça ne sert qu'a appuyer sa domination, bestiale bien entendu, cet acte bien que plaisant pour lui n'a pas de grande signification "sexuelle", si ce n'est celle d'un être prenant l'ascendant sur un autre, ah, ta rebellion, c'est peut être ça qu'il cherche à briser ? Il s'est senti blessé dans son amour propre de félin , ce pauvre petit chaton ? Un peu, tu as joué la provocation, et, en voilà le prix... Mais à la façon dont ses mains, ses foutus doigts prennent soin de ramollir tes chairs et assouplir ton ossature, tu peux aussi ressentir un désir formidable sous chaque caresse bien qu'efficace pour te libérer le bas du dos, c'est fait avec une graaande précaution, presqu'affective, mais pour rajouter un peu de plaisirs aux divers gémissements montants depuis tout à l'heure :
_ Haaan... Miaw...
L'une de ses mains, prends la fuite vers ton entrejambe, ses doigts glissent sur le latex épousant la forme exquise de tes lèvres, mais ce n'est pas assez fort, hein ? Comme sensation... Alors, gratouillons les de nos griffes bien appuyées, créant une friction agréable à la surface de ta combinaison, pinçant parfois ce qu'il devine être ton petit bouton de plaisir, tout en finesse et délicatesse, de cette main, contrastant nettement avec l'énormité poussive qui t'écartèles la rosette.
D'avant en arrière, par d'autres petits essais, poussées, ça rentres, le bord tubeleux y est presque, une fois que ça sera fait, ce sera une délivrance pour nous deux, une de mes grandes mains qui, te maintenait encore jusqu'alors, viens pousser sur son propre bassin, pour achever le travail, le latex s'étires, à nouveau, devient presque blanc, transparent au niveau de ton postérieur tant il est solicité, l'hybride reste tendu, tremblant, appuyé et, cambré au maximum vers l'arrière en présentant ses hanches bien loin vers l'avant et...
Ah ! "-GRRroooAaaAArRrRrrGRrRrrhhh !!"
...Ca y est enfin... une fois que c'est fait il glisse pour plus de la moitié de son engin en toi, tu sens chacune de ses foutues "pointes" racler tes entrailles léchées par ses raisins de chair, il révulse les yeux au ciel, c'est bien serré, mais il reste là, comme ça, quelques secondes pour que tu prennes la pleine mesure de ce qui te déformes le ventre, ses mains caressent ton dos et tes hanches à nouveau, il vient mordiller le latex recouvrant ta nuque, prenant presque toute cette dernière dans sa mâchoire, avant de sortir un peu pour prendre, un pseudo élan, et revenir, plus loin, plus fort, enfonçant quelques rangées de plus que précédemment, ton ventre gonflé, dessines la forme de ce qui t'envahit, jusqu'au nombril, le latex offre vraiment une sensation étrange mais appréciable, enfoncé comme ça dans ton propre corps, t'empêchant tout de même de ressentir la texture semi râpeuse de la "peau" de son membre.
"-Hhhh... hhh... bien... bien ♥"
Le tout en continuant de caliner de plus en plus rapidement le latex épousant tes lèvres, probablement qu'a force de mouiller dans ta combinaison, tu vas finir par t'y noyer...
Il tires la langue, une looongue... langue, l'air hébété par son propre plaisir et sa douleur, car, effectivement ça fait mal, ça lui fait probablement plus de mal que de plaisir qu'a toi, pour quelle raison... Ben d'une, t'es foutrement étroite, t'es musclée et ferme, mais SURTOUT, c'est ce foutu latex, qui lui serre encore le plus la "chose", et, irrites aussi sa peau.
"HAaaawRrrr... RrRRrrr.... RrrRRrr..."
La main qui poussait sur ses hanches se tends, et, viens empoigner ton cou, trois de ses doigts suffisent, qui t'étranglent un rien de par leur simple appui sur ta peau, l'index, viendra pousser tes lèvres et s'introduire dans ta bouche, effectuant un mouvement rotatif cherchant à caresser ta langue, avant de pomper ce doigt massif d'avant en arrière entre tes lèvres.
De ses dents serrées, quelques filets de salive coulent jusqu'a son menton, sourcils fronçés, il déguste, ben tiens, ça lui apprendra à ne pas déballer ses cadeaux avant de s'en servir ! ha ha ! Mais même s'il prends cher, le revoilà reparti à l'assaut, reculant longuement vers l'arrière, mais avec une infinie lenteur qui, laisse se "replier" ses pointes de chair souples dans l'autre sens à l'intérieur de ton corps, contre le latex ça fait également un mal de chien, puisque l'extérieur, lui, n'est pas lubrifié, une fois le bord de son gland arrivé à la limite de ton anneau, il repart, un coup de bélier, encore un peu plus loin, encore un peu plus enfoncé en toi, il grogne, ses muscles nasaux de léonide se froissent, ses yeux mis clos, légèrement absents et vides tant il est concentré sur ce qu'il fait et la maitrise de sa douleur, entre ses dents serrées il pince sa propre langue jusqu'au sang, toi, tu as le ventre gonflé jusqu'a la limite basse du sternum, mais cette fois il y est enfin, il s'y est enfoncé jusqu'a la garde, caressant son muscle pubien rebondi contre l'entrée de tes fesses, bien entendu, une telle présence dans ton corps laisse son lot de dégazements et de déglutitions peut être, indiscrètess et humilliantes se produire, mais il n'en a cure, il est "bien" désormais.
"-Rrrrhâââaaa..."
Il y est et il y reste ! Se contentant de petite frottis, frottas, d'avant en arrière, sa queue de tigre continue de comprimer et, relacher la pression à intervales réguliers tout le long de cette pénétration interminable, sauvage, sinuant comme un serpent autour de tes seins, qui, depuis tout à l'heure se voient "étranglés" par intermitance, et, gonflent d'une surtension sanguine qui, les fait rougir et les dresse d'avantage, et pour accompagner ses différents essais, sa plongée de plus en plus profonde dans tes tréfonds, ses griffes et ses doigts avaient grattés avec de plus en plus d'insistance et de rapidité tes lèvres à travers ce foutu latex, latex qu'il aimerait voir disparaître finalement, au moins au niveau du bas de ton corps, mais il à l'impression que tu aimes ça être prise dans ta combinaison, après tout l'esprit n'est il pas le jouet du corps ? Il craignait que tu ne sois plus "chatte" s'il se mettait à déchirer ton latex à cet endroit, que tu perdes ta combativité et le plaisir que tu commences à y prendre, ça serait dommage que tu ne sois plus toi même. ♥
(et une petite illustration en prime )
http://img14.imageshack.us/img14/3032/unled1zl.jpg
-
Je... Suis perdue. Pas perdue dans le genre... Je ne sais plus où je vais. Mais perdue... Je ne sais plus ce que je ressens. Je ne sais plus ce que je dois ressentir. J'ai envie de me laisser aller à cette étreinte. Mais mon envie de liberté, d'indépendance veut reprendre le dessus. Lorsqu'il finit par laisser une de ses mains frotter, câliner, caresser mes lèvres intimes, par-dessus le latex, ma raison quitte définitivement mon esprit. Je bascule. Un ronronnement satisfait me fait vibrer doucement. Un gémissement plaisant quitta ma gorge. Une de ses mains me lâcha, relâchant la tension de mon corps. Libérée d'un côté, mon bras alla s'appuyer au mur pour se relâcher. Muscles douloureux, mais liberté bienfaitrice. Semi-liberté plutôt. Alors que je me mords la lèvre pour retenir un soupir satisfait, je transforme ce geste en cri. Un cri surpris, mêlant douleur et soulagement. Douleur parce que malgré tout je n'ai rien reçu de tel en moi auparavant. Surprise car la sensation nouvelle me procure malgré tout un grand plaisir. Plaisir que je masquerais si je le pouvais. J'halète, encore. Je ne bouge plus. Comme si le moindre mouvement pouvait déchirer mes entrailles. Je retiens mon souffle en le sentant reculer, pour mieux s'enfoncer encore. Je ressens ses dents contre ma nuque... Ses dents ? Dieu qu'il a une grande mâchoire... Il serait capable de me briser le cou d'une pression.
_ Haaaaaahmm...
Oui, c'est tout ce que je peux dire en cet instant. Tant de.. Plaisir... De douleur aussi, lorsque la pointe érigée de mes tétons racle le mur. Je ne pense plus. Je ne dis rien. D'ailleurs, je ne pourrais sans doute rien dire de plus car je sens ma gorge pressée par ses doigts. Pas trop fort, non. Mais le doigt qu'il glisse entre mes lèvres empêchera que je ne sorte le moindre son intelligible. Je gronde et ronronne en même temps, ne sachant si je dois accepter la défaite comme mon corps a accepté l'imposante présence de ce.. Tigre ? Lion ? Humain ? Ma langue vient, malgré ce que je voudrais faire, caresser ce doigt inquisiteur. Cet énorme doigt. Un peu comme.. Comme une queue d'homme normal. Les automatisme font que ma langue s'enroule autour avant que je ne me fouette mentalement pour arrêter. Manquerais plus que je ne me plie de bon gré...
Un gémissement s'étouffe contre la présence de ce doigt alors que je le sens se retirer pour mieux rentrer à nouveau. Je suis un peu dans le brouillard à vrai dire, l'énormité de sa présence m'impressionnant, me comblant presque toute entière. Ses griffes sur mes lèvres intimes -à travers le latex- m'échauffe agréablement. Et commencent également à user le latex. Ce même latex bien mis à l'épreuve alors que Léo m'a prise, m'a remplie, sans l'enlever. Ce même latex que je sens fragilisé à ces deux endroit. Si fragilisé... Qu'il finit par lâcher. Un petit trou d'abord, à la base du gland énorme remonté jusqu'à la limite de mes côtes. Trou qui s'agrandit. Peu à peu. Me laissant sentir pour la première fois la chair du fauve à même la mienne. Mon intimité se perce aussi. Le trou s'étire. Pas énormément, mais il est rejoint par l'autre trou du latex qui s'étend, jusqu'à se joindre. Comme une immense fente libérant mes deux orifices. Je gémis, un son étouffé par le doigt énorme que ma langue masse. Encore. Je déglutis difficilement. Je creuse un peu plus le dos, cherchant à atténuer la pression de ma poitrine contre le mur. Sa queue, qui relâche la pression autour d'eux parfois, les pressent comme des oranges. Cela en devient plutôt douloureux.
_ Hmm....
Ronron. Gémissement. Dieu que c'était bon. Putain que ça fait mal.. Merde, c'est trop étrange !
-
_ Haaaaaahmm...
"-j'adooorrrres t'entendre gémir, petit chaton ♥ j'espère que tu apprécies être fourrée jusqu'aux oreilles... Ma belle petite garrce..."
Le voilà qu'il se met à nouveau à onduler des hanches, forçant les tiennes à suivre le mouvement, bah oui, c'est si énorme, imposant, fiché loin dans ton corps déformé par son sexe, que tu es forcée de le suivre, tes muscles crient grâce, et, il te donne un conseil, un bon conseil que tu devrais suivre si, tu veux que ça soit moins "douloureux" toutefois :
"-Tu aimes ça... lutter hmmm... Cependant... je sens que tu cèdes peu à peu... N'hésite pas plus longtemps, relâche tout... Laisse toi aller ♥ Ca sera moins douloureux ma belle... relâches donc toute cette foutue pression qu'il y a dans tes muscles ventraux... je vais t'aider à le faire ♥"
Ajoutant l'acte à la parole, il place une de ses foutues grosse mains sur ton ventre déformé par le dessin de son énorme verge, il te pétris les abdominaux, il les gratte du bout de ses griffes, presse autour, les malaxe, les distends, tu te sens t'entrouvrir encore et l'accepter même, encore un peu mieux en toi, bien sûr, celà fait encore un peu mal, mais tu te sens foutrement soulagée d'une pression abominable tout à coup, comme si cette main était allée chercher ta nervosité pour la faire littéralement "fondre" dans le reste de ton corps, fondre sur sa bure imposante qui, te malaxe de l'intérieur elle aussi.
Lorsqu'il sent ta langue lécher et, masser ce doigt ayant pris un séjour bien savoureux dans ta bouche, massant sensuellement tes lèvres et ta langue, qu'il sent, que de ta propre volonté tu tiens à lui flatter son doigt, il te sent enfin accepter un peu mieux ton "sort", mieux qu'accepter, en fait, tu l'apprécies, tu commences à aimer t'être faite prendre par un gros vilain tigre, toi, une belle chatte enfournée par un beau "monstre" ayant un autre monstre entre les jambes te dévorant les entrailles, dans une ruelle sombre et proprement dégueulasse, jambes excessivement écartées, volontairement pour mieux l'acceuillir en ton sein ♥
Ce doigt pompes un peu mieux encore, ta bouche, s'enfonce sur sa deuxième phalange, pour aller plus loin dans ta gorge, caresser ta glotte, puis, toute la longueur du doigt pour aller flatter tes amygdales, mais délicatement, ainsi, il te plonges, il est vrai, l'équivalent d'une presque "bite" de belle taille dans la gorge avec ce doigt épais, il remonte parfois son doigt de la base au bout de ta langue en laissant sa griffe la raper gentiment, d'avant, en arrière, puis replonges, il se plait parfois à détailler tes joues, tes dents, créant des bosses visibles sur les cotés de tes joues quand le bout de son doigt y passe.
Et soudain, le latex craques, s'étires, et se déchires, enfin... enfin il peut enfin sentir ta chair, ta peau, autour de son immense trique, quel ravissement après cette douleur que le latex imposait à son membre, il s'en sent foutrement soulagé et gémit de plaisir, ta chair moite, bien humide et chaude rencontre enfin, la chaleur volcanique de sa poutre de chair infernale, à la texture semi râpeuse, qui te remplit, tu sens aussi ton conduit anal se remplir de la substance liquide sécrétée par ses pointes de chair, substance hautement aphrodisiaque, qui plus est, badigeonnée sur tes parois anales, endroit ou l'afflux de sang est le plus important dans le corps, l'effet de plaisir et d'anhestésie partielle de la douleur te montes très rapidement au cerveau, un flux d'hormones si fort , si odorant, qu'il était de toute façon déjà en train d'attaquer ta volonté par transmission aérienne et olfactive, alors, maintenant qu'elle se mêlait à ton sang, t'allais en faire rapidement une "overdose" façon de parler, ça allait te brouiler le cerveau et, augmenter ton plaisir de façon exponentielle.
"-Lààà lààà je peux enfin, pétrir ta chair ♥ Hmmmrrr... Et quelle chair, bon dieu... Selinawrrr ♥"
Il commença la loooooongue redescente le long de ton conduit anal, tu pouvais sentir toutes ces délicieuses petites saloperies de raisins de chair biseautés et souples se "plier" et retourner dans l'autre sens pour accompagner sa remontée d'une pourlèche sillonnante et rugueuse dans tes chairs tremblantes de plaisir, frictionnant tes membranes à foison d'une "gratte" râpeuse tout bonnement divine, et ça commences, hnnnnn... il revient, il remontes tout ... aussi... lentement... en prenant son foutu temps... Ah putain ♥ Son foutu temps pour te ronger , te dévorer l'anus et l'intérieur du ventre, une sodomie foutredieusement bonne, leeeente, calculée dans sa lenteur qui, te laisse apprécier chaque aspérité, chaque veine massive pulsant depuis son coeur fauve et puissant, prendre écho dans tes chairs jusqu'a ton propre coeur, une sodomie lente, profonde, bestiale et dominante.
"-GrawRrr ♥ Tu me sens bien làààh ? AAaaah hmmm..." Ajoutes t'il en déglutissant, après s'être lui même ralèché le contour des lèvres, et détaillé chacune de ses propres dents avec le bout de sa langue, il révulse un peu les yeux aux cieux, putain que ton corps serré autour de lui l'excite et tends encore un petit peu plus son énorme sexe, bien gourmand de tes chairs.
Ses mains attrapent tes seins alors que tu t'arques, tu te recourbes vers lui un peu mieux, ce qu'il fait, c'est qu'il t'aide à t'arquer encore plus fort, plus fort vers lui, mettant un peu à mal la souplesse de ton dos, mais t'es très souple après tout, t'es catwoman, ton dos plie comme une danseuse vers l'arrière, ses lèvres, ses belles grandes lèvres attrapent les tiennes avec une belle gourmandise, une foutue longue langue s'introduis dans ta bouche et, va chercher la tienne, s'y enroule comme un boa constrictor autour de sa proie, et la suçote, tandis que ses mâchoires s'ouvrent, et se referment à plusieurs reprises pour happer tes lèvres à plusieurs reprises pendant la possession languiale, un putain de baiser profond et possessif, il répète l'opération, c'est comme s'il te dégustait la bouche, lèvres devenant de plus en plus humides à force de se glisser, happer, les unes sur les autres, ses foutues grosses paluches massent tes seins avec une envie non contenue, les comprimant, malaxant, alors qu'ils sont déjà bien tendus, bien rouges, la pointe de ses griffes très délicatement utilisées, avec précision et précaution, il peut se le permettre a la lenteur avec laquelle il te sodomise profondément, il "branle" littéralement tes pointes de chair de leur base à leurs pointes, il adore tesentir tressaillir quand il s'éxécute, le reste de ses doigts s'imprimant profondément dans la surface de tes seins qui débordent autour de ses phalanges.
Arquée, tendue, de toute part, que ce soit de ton trou béant ouvert, ton ventre, ta bouche travaillée avec ardeur, le fond de ta gorge besognée par une langue exploratrice et avide, tes seins pris dans deux carcans implacables et d'une puissance contrôlée, tu subis la loi de la nature, du moins la sienne, tes chairs gémissant, gloussant, de la bourre lente, du va, et du viens, entre tes reins, pointes de chair rebondissant toujours , que ce soit lors de la sortie, ou de l'entrée dans ton cul offert, sur le contour de ton anus malmené, l'allure est douce pourtant, pas encore bestiale, presque, presque tendre, pour la musculature, la puissance que tu ressens dans chaque parcelle de son corps, tu sais, tu le sens, il pourrait être bien plus violent, plus rapide, puissant, mais, n'est ce pas déjà bon de cette façon ?
Entre deux baisers, il te laissera le temps de reprendre ton souffle, et de t'exprimer, savoir si tu en veux plus, ou si ton désir de rebellion existe encore...