Le Grand Jeu
Plan de Terra => Les contrées du Chaos => Discussion démarrée par: Rockgreen le samedi 05 février 2011, 20:18:21
-
voilà 8 mois que je vie dans le camp de ces ogres qui mon appris beaucoup, mais il est temps pour moi de partir à la recherche de ceux qui mon transformé de la sorte, je ne sais pas par ou commencer, mais rester dans cette jungle ne m'aidera pas à retrouver les responsables.
après y avoir réfléchie un long moment, je me décide un matin d'aller parler au chef du camp, un ogre un peut plus grand et massif que moi, sa peau grise et son visage marqué par le temps, si il est le chef du camp c'est qu'il l'à mériter par son courage et sa bravoure.
il est dans sa hutte, je lui demande de sortir et lui explique toute l'histoire, enfin la courte que je connais et qu'il me faut sortir de cette jungle pour trouver les coupables.
il reste un moment sans parler, et accepte ma requête, peut être c'est-il mis à ma place, dans tout les cas il est d'accord et me dit que si je veut revenir je serais toujours le bienvenue.
je le salut et par préparer mon équipement, je m'équipe de mon épaulette ainsi que ma cuissarde en ferraille, prend un grand sac en peau de bête, le remplis de nourriture, prend ma masse ainsi qu'un filet.
c'est tout ce dont j'ai besoin pour partir de toute façon je n'est rien de plus, enfin si mon pagne mais je le porte déjà, je sort de ma hutte et me dirige vers la sortie du camp, direction pleins nord ou la mousse pousse sur les arbre en général mais dans cette jungle dense et humide la mousse pousse partout, je sais tout de même que je prend la bonne direction, de toute façon la première chose que je doit faire c'est réussir à sortir de cette jungle ensuite je verrais.
sa fait des heures que je marche, quand je suis enfin sortie de cette fichue jungle j'en ai profité pour manger ce que j'avais mis dans mon sac, adosser à un arbre avant de repartir, plus j'avance et moins il y a d'arbres, le sol deviens sec et bientôt sableux, ce que je voudrais bien trouver, c'est un coins d'eau pour boire un peut.
-
« SALOPRIE DE VAISSEAU !!!»
hurler ainsi n’aide pas beaucoup mais ça fait du bien.
cela faisait maintenant 2 heures que Eliot essayait en vain de réparer son vaisseau.
elle avait été prise dans un combat spatial des plus violent après s’être enfuie d’une planète, un sacré butin en poche; hélas son vaisseau fut salement touchée et elle finie par s’écraser sur une dune.
le crash fut violent; une grande partie de son equipement fut gravement endommagé, son armure etait quasiment inutilisable
« Leroy ! diagnostic !!!»
- je fais ce que je peux maitresse-
« ouais je sais je sais, essaye au moins de réactiver la cartographie je n’aime pas rester presque desarmée sur un caillou inconnu»
- je fais ce que je peux maitresse-
Eliot bouillonna de rage lorsqu’un cable lui glissa entre les doigts; elle frappa le vaisseau à coups de clef à molette avant de descendre du toit et de s’allonger dans ce qui semblait être de l’herbe.
« pffff... je n’ai repéré aucune forme de technologie ans le coin et il fait une chaleur à crever ici»
elle retira le haut de sa combinaison et tenta de se détendre un peu
« je te laisse tranquille 5 minutes, faut que je me repose»
elle observa le ciel un moment avant de fermer les yeux histoire de se reposer un peu
-
je continue de marcher d'un pas lourd dans cette plaine parsemé d'arbre, le soleil tape il fait une sacré chaleur, je transpire de partout, mais si je m'arrête je ne sais pas si j'aurais la force de repartir, il faut que je continue jusqu'à trouver un coins d'eau.
par chance après quelques longue minutes de marche interminable, j'entends un ruissellement lointain, je me dirige alors vers ce sons qui ne peut indiquer que la présence d'eau, c'est effectivement une petite source naturelle qui dégorge du sol et qui ruisselle sur un chemin naturelle prédéfinie par la nature, je là suit et arrive jusqu'à une petite étendu d'eau.
enfin de quoi me désaltérer...
je lâche ma masse et me baisse pour me désaltérer, sa fait un bien fou, j'en avait bien besoin, au passage je m'asperge le visage, le dos et le torse.
mais au même moment une énorme détonation retentis dans le ciel, comme une explosion qui se répercute dans ma poitrine, je lève alors les yeux, dans le ciel une boule de feu coupe le ciel en deux par sa trainé de flamme et de fumer noir, celle ci vas très vite et percute violemment le sol à l'horizon, tellement violemment que le sol tremble sous mes pieds.
qu'est ce que c'est...?
curieux par ce que je viens de voir, il faut que je sache ce qui viens de tomber du ciel, c'est la première chose que je vois depuis que j'ai quitter le camp.
je bois encore un peut d'eau, trempe la peau de bête qui me servais de sac et la met de façon à ce qu'elle couvre mon crane et mes épaules, ramasse ma masse et marche en direction la colonne de fumer noir que cette choses tomber du ciel dégage.
après quelques heures de marche j'arrive enfin prêt de la zone ou cette chose est tombé, je me déplace plus discrètement en me cachant comme je le peut derrière les arbres et les buissons, avant d'arriver à trouver une petite bute pour me planquer derrière.
je suis tout proche la colonne de fumer noir qui est énorme, je ne fait que dépasser le haut de ma tête par dessus la bute pour voir ce qu'il y a.
en face une choses en ferraille cabossé,comment je le sais, c'est de la même couleur que mon épaulette et la cuissarde, cette choses tomber du ciel à créé une ornière énorme derrière elle, je ne sais pas ce que c'est, n'y son utilité mais ce que je vois ensuite sortir de derrière cette chose m'intrigue.
un être humanoïde avec un corps en ferraille, seule la tête que je ne vois pas bien de là ou je suis est décoré d'une cascade de cheveux blond argenté, mais quand celui ci haute le haut de son buste en ferraille je reconnais là les atouts d'une femelle, une poitrine généreuse, je me lèche les lèvre et en bave d'avance, sa fait deux mois que nous n'avons pas capturé de femelle au camp et maintenant que je suis parti du camp elle ne sera que pour moi.
je vois celle ci s'allonger dans l'herbe, c'est le moment pour moi d'approcher ma nouvelle proie, pour l'avoir par surprise.
je descend de la bute en silence prend le filet dans une main et ma masse dans l'autre, avant de contourner la bute le plus silencieusement possible et marcher en direction de ma proie, elle est à une vingtaine de mètres, je m'approche de plus en plus, jusqu'à ce que j'arrive assez près pour envoyer mon filet sur cette femelle.
celui ci coupe l'air dans un sifflement.
-
cela faisait une bonne vingtaine de minutes qu’Eliot s’était assoupie, profitant d’un de ces rares moments de calme; Eliot menait une vie intense et dangereuse, ce genre de moment tranquille était des plus rares.
-danger ! présence étrange dans le perimètre ! -
Eliot ouvrit les yeux et se redressa d’un coup, tatonant le sol de sa main gauche avant de se souvenir qu’elle avait laisser son arme dans le vaisseau.
elle n’eut pas le temps de se relever qu’un filet lui tomba dessus
« c’est quoi ce truc ! Leroy fait quelque chose!»
elle tenta de se liberer et ne réussie qu’a se casser la figure par terre
« bordel !»
- système d’armement inactif, je ne suis pas en mesure d’agir pour le moment-
« tu aurais pu bluffer abruti !"
-désolé maitresse-
elle hurla intérieurement contre son I.A puis jeta un coup d’oeil aux alentours, essayant d’identifier son agresseur tout en réflechissant à une solution; le filet s’enroule et la coince un peu plus à chaque mouvement, elle decide d’arrêter de bouger.
reflechissant pour trouver une solution.
-
juste avant que mon filet ne lui tombe dessus, je vois cette femelle bouger et se relever, s'en doute à cause du sifflement du filet dans l'air, par chance elle n'a pas bougé et le filet s'abat sur elle, je me rapproche alors à grand pas, ma masse à la main, alors que je la vois essayer de sortir du filet, mais elle s'emmêle encore plus et tombe au sol.
j'arrive tout prêt de ma proie, détache la peau de bête qui me servais auparavant de sac et que j'avais placé de tel manière qu'il me protège le crane et les épaules du soleil, puis l'envoie sur elle pour la plonger dans le noir, de cette façon même si elle avait déjà arrêter de bouger, elle n'essaierait pas de se débattre en me voyant.
ceci fait j'enroule la peau de bête autour de son buste, la soulève de mes bras puissant et amène son dos contre mon torse musclé, d'une main je la tiens par la taille contre moi et de l'autre main je lâche ma masse et viens placer mes doigts sur son cou, puis de ma vois rauque je lui glisse à l'oreille.
là... doucement, reste tranquille, tu vas t'endormir.
je serre alors mes doigts contre sa gorge et lui coupe peut à peut la respiration, je la maintiens fermement, elle lutte pour résister, gigote des bras et des jambes pendant de longues secondes avant qu'elle ne s'endorme et cesse de bouger.
une fois fait je retire mes doigts de sa gorge et la porte sur mon épaule jusqu'à un arbre tout proche, la dépose doucement, enlève la peau de bête et la sort du filet. maintenant que je la vois de plus près, je constate que c'est une bien belle femelle que je viens de capturer.
un jolie visage, une longue coiffure argenté, une magnifique poitrine, il me tarde de voir le reste, mais pour sa je veut qu'elle soit réveillé.
sans plus attendre je l'adosse contre l'arbre et passe ces bras autour de celui ci avant de lui attacher les poignets avec le filet.
il ne me reste plus qu'à attendre qu'elle ne se réveille, j'attends tout de même derrière elle pour ne pas qu'elle me voie, je voudrais lui faire la surprise et voir sa tête.
-
le reveil fut difficile et des plus douloureux; sa gorge lui faisait un mal de chien et elle se sentait endolorie comme si on l'avait traballé dans un sac.
son premier reflexe fut de se redresser mais il se rendit vite compte de ses entraves.
"c'est quoi ce bordel encore ?"
la memoire lui revient; le noir, la prise sur sa gorge.
elle se rappelle que c'est quelqu'un qui à fait ça, quelqu'un apparement bon chasseur et bien equipé.
elle jeta un regard tout autour d'elle, calculant ses chances de se sortir d'ici, essayant de trouver n'importe quoi qui pourrait lui etre utile...
elle jette un regard au filet usé par le temps et l'utilisation puis au sol, cherchant quelque chose de suffisament coupant, un caillou ou n’importe quoi d’autre.
* cette fois c'est décidé je me greffe un flingue dans le corps*
pensa t'elle tandis qu'elle avait reperé ce dont elle avait besoin et commença discretement a essayer de l’atteindre du pied.
quelque chose la genait, elle sentait une présence dans le coin; il n’etait pas logique d’abandonner sa prise après l’avoir capturée.
son agresseur devait être dans le coin, elle en etait sure
* ok mon bonhomme, qui que tu sois tu vas avoir une sacrée surprise quand je vais être libre*
elle grommelat et jurait tout bas en se tortillant pour toucher le caillou
-
en attendant qu'elle se réveille je m'adosse moi aussi à un arbre à l'ombre, le soleil tape de plus en plus, je réfléchie à la suite de la quête, pour l'instant je ne sais pas ou je suis, ce que je sais, c'est que je suis sortie de cette jungle, maintenant il me faut trouver une ville, trouver un moyen de passer inaperçu et aussi trouver quelques choses qui puisse me guider sur ces terres qui me sont inconnu.
je réfléchie à sa pendant de longue minutes, jusqu'au moment ou enfin j'entends ma proie bouger et se réveiller, elle essaie de se relever, mais très vite elle constate que ces poignets son attaché autour d'un arbre, elle tourne la tête, mais là ou je suis assis elle ne peut me voir, je la vois bouger ces jambes et les étendre.
en attendant de poursuivre la quête je vais pouvoir m'amuser un peut.
je me relève et m'approche d'un pas lourd vers elle, je n'ai plus besoin d'être discret maintenant qu'elle est à ma merci.
j'arrive juste derrière elle et lui caresse les bras de mes gros doigts, juste pour voir sa réaction, en même temps, j'approche ma tête de la sciène sans pour autant qu'elle puisse me voir, mais assez près pour qu'elle puisse sentir mon allène nauséabonde et lui demande en langage d'ogre.
ogriss brak graoorrrr?
(tu as bien dormis ma petite?)
je lui parle en langage d'ogre, parce que je ne sais pas si elle parle ma langue, généralement toute les proies que nous avons ramener au camps parlaient ma langue, pendant les festivités j'étais le seule à comprendre les supplications des femelles capturés, mais ici vue la façon dont elle est arrivé, j'ai des doutes.
c'est peut être courant d'arriver avec un oiseau en ferraille, je ne me suis jamais aventurer en dehors de la jungle et tout mes souvenirs d'avant sont cacher dans mon subconscient, mais pour moi c'est nouveau et ne pas à avoir à partager avec d'autre est une autre nouveauté et je compte bien en profiter.
je hume son doux parfum de femelle qui m'excite au fur et à mesure que je le respire, elle semble ne pas avoir peur. en même temps j'amène une de mes grandes mains caresser son épaule, son cou et descends jusqu'à sa poitrine, je prend un seins dans ma main, ma main est assez grande pour l'englober entièrement, je le soupèse, je passe ensuite un doigt entre ces deux seins et fait céder le soutient gorge qui retient cette poitrine sans aucun problème.
je viens maintenant à même la peau malaxer ces seins l'un après l'autre, sa peau est douce comme toutes les proies que j'ai put gouter.
akrrarrik ryllak rovvarok?
( c'est pour moi tout sa?)
je lui demande, rien que le fait de toucher ces seins me fait baver, je commence même à bander sous mon pagne, deux mois que je n'ai pas touché à une femelle sa commence à faire. ma respiration deviens plus rapide et bruyante, impatient je descends encore ma main en caressant son ventre et passe un de mes gros doigts sous sa combinaison et son dessous, venant caresser son bas ventre je sent sous mon doigt de doux poils pubiens et enfin sa petite fente.
elle serre les jambes mais c'est en vain, je caresse ces grandes lèvres de bas en haut et mon excitation augmente de plus en plus.
bientôt je ne pourrais plus résister à vouloir en voir plus, il me tarde de voir sa tête quand elle verra celui qui là capturé.
-
Eliot retracte sa jambe en entendant un pas lourd s’approcher, se demandant si son ravisseur à repérer sa tentative.
Elle avale sa salive, repoussant au fin fond de son esprit la peur naissante; quelque chose vient lui caresser le bras, vite accompagné d’une hâleine nauseabonde.
« yeerk, essaye de te brosser les dents de temps en temps»
une voix rugeuse et grave se fait entendre derrière elle, elle n’a pas besoin de le voir pour imaginer sa taille, faisant des calculs; le langage lui etait inconnu et ne semblait pas vraiment agreable à l’oreille
«je comprends rien à ce que tu dis»
la chose continue de lui parler dans dialecte étrange; elle le sent se rapprocher et respirer son parfum, l’odeur du colosse est immonde.
Tandis qu’Eliot fait de son possible pour supporter les odeurs corporelles de son ravisseur, celui ci fit glisser sa main le long de son corps.
«hey hey tu fais quoi la ?!»
Loin de l’ecouter, le colosse prit ses seins en mains, les soupesants et les malaxant comme si c’était un jouet; rien que de la manière dont elle l’entend respirer Eliot comprend que son agresseur est des plus excité.
La peur commence vraiment à pointer le bout de son nez
Il glisse sa main le long de son ventre et commence à explorer son bas ventre; elle resiste, serre les jambes sans succès et bientot les doigts démesurés passent sous son string, tendant le bout de tissu au point qu’elle peut sentir la ficelle frotter contre son anus
« hey non !»
Un doigt vient frotter sa fente, c’est le geste de trop et Eliot decide de faire ce qu’aucune personne censée ne ferait; Elle croisa les jambes le long du bras du colosse, se plaçant aux point de flexion des articulations et lui fit une clé de combat de manière à le faire tomber au sol, esperant en profiter pour lui envoyer quelques coups de pieds en plein visage.
Bien que moins forte sans son armure elle n’en restait pas moins plus forte qu’une humaine normale
-
après lui avoir demander en langage d'ogre si elle avait bien dormi, je constate qu'elle parle ma langue, d'ailleurs elle me dit d'essayer de me brosser les dents de temps en temps, je ne sais pas comment je doit le prendre mais peut importe.
elle me dit qu'elle ne comprend pas ce que je lui dit, c'est vrai qu'à par les ogres personnes ne doit connaitre leur langue, mais pour rester dans l'ambiance mystérieuse je continue à lui parler en langage d'ogre alors que je viens peloter ces seins, sur le coups elle me demande ce que je fait, bien sur je fait mine de ne pas comprendre et continue mon exploration jusqu'à son entrejambe, caressant sa petite fente et ces grande lèvres d'un doigt.
mais contre tout attente et avec des geste habiles, elle entoure ces jambes autour de mon bras qui la tripote et avec une force dont je ne m'attendait pas tente de me faire basculer, manque de bol ou heureusement pour moi, seule mon bras passe du coté droit de l'arbre, le reste de mon corps est de l'autre coté, mais au lieu de basculer devant elle, c'est violemment que mon visage viens heurter l'écorce solide de l'arbre, poussant un grognement de douleur, je tente de retirer ma main de l'entrejambe de ma proie, mais celle ci s'accroche quelques secondes, je la soulève de plusieurs centimètres avant que je ne me recule et qu'elle retombe au sol, par la suite se son des injures dans son langage qu'elle entends de ma part.
AAAARRRRRRGGGGHHHH... sale petite chienne, tu vas le regretter...
j'amène une main sur mon visage alors que je sent un liquide chaud dégouliner sur celui ci, puis je regarde ma main, je saigne, elle ma ouvert l'arcade, elle n'est pas comme les autres proie que j'ai put gouter, ma peau étant plus épaisse que la normal, il faut vraiment beaucoup de force pour me faire saigner.
fou de rage, d'un mouvement de bras, je casse l'arbre sur lequel je l'ai attacher à un mètre au dessus de sa tête, celui ci tombe dans un craquement déchirant, deux autre arbres tout près prennent le même châtiment et s'effondre.
c'est bien parce que je veut m'amuser avec que je n'ai pas frappé sur ma proie, mais elle va le payer le double, toujours autant énervé, je me retourne prêt à venir me montrer à cette dur à cuir, pour qu'elle puisse voir qu'elle n'a aucune chance face à moi.
-
Son attaque n’eut pas l’effet désiré néanmoins le choc contre l’arbre et le grognement mêlé de douleur et de colère lui firent comprendre que son ravisseur s’était laissé surprendre comme elle l’avait esperé.
Un moment de silence s’ensuit, elle commence à craindre le pire et se retrouve emportée tandis que l’abre où elle etait attachée vole en eclat; elle se retabli tant bien que mal, prenant tout de suite une position de défense et observant les deux autres arbres se faire arracher.
Realisant la force de son adversaire avant même de le voir, Elliot sut que ça n’allait pas être facile de s’en tirer; Elle s’attendait à voir un mercenaire ou un chasseur indigène et se retrouva nez à nez avec une énorme créature visiblement des plus furax.
« ah bah au moins tu parles ma langue, on va pouvoir se comprendre»
elle se maintenait à une distance raisonable, prête à bondir; Calculant déjà la meilleure manière d’agir tandis qu’elle essayait de discuter.
« la ça fait 1 partout, un nez pour une capture surprise ça me parait equitable.
je prefere qu’on en reste la»
-
je n'ai pas besoin de marcher jusqu'à elle pour me montrer, puisqu'une fois retourné je la vois debout en face de moi en position défensive, les seins à l'air, le haut de sa combinaison pendouille à ces hanches, le filet qui maintenait ces poignets au sol.
ma colère augmente d'un crans, ma proie c'est libéré, mais au moins elle n'a pas pris la fuite, elle a put constater que je parle la même langue qu'elle et me le dit, je ne lui répond pas pour la moment, je n'ai pas à lui répondre, j'ai une haine énorme envers les humains et je ne baise leurs femelles que pour me soulager et me divertir.
ce sont peut être eux qui mon transformé ainsi et arracher de la famille qui était le mienne, enfin d'après mes flash back.
je l'entends me narguer et sa me rend fou de rage.
oui je parle ta langue femelle, compte les points si tu veux, mais je ne te laisserais pas partir t'en que tu ne sera pas à moi...
pendant que je lui dit sa, je visualise que ma masse est à quelques mètres de moi, poser contre l'arbre ou j'attendais qu'elle se réveille.
dans un mouvement vif je ramasse d'un des arbres que j'ai fait tomber au sol et l'envoie sur cette femelle avant de partir sur le coté pour récupérer ma masse.
l'arbre entier vole jusqu'à Eliot
j'arrive le plus rapidement possible près de l'arbre et empoigne ma masse avant de me retourner et foncer vers cette femelle masse en l'air prêt à frapper fort en poussant un hurlement rauque.
RROOOAAAAAAAAAAAAAHHHH!!!
-
gros, fort et en colère; trois choses qui faisaient de son adversaire une sacré menace, heureusement il n’avait ni l’agilité ni la vitesse d’Eliot, ce qui devait lui laisser une chance.
Les propos qu’il tient sont assez clairs quand à ce qu’il compte lui faire, il lui balance un arbre comme si il pesait rien et fonce vers sa masse.
« ok, tant pis pour la discussion»
Esquiver le tronc d’arbre volant n’a rien de difficile mais elle a à peine le temps de se retablir que le geant lui fonce dessus avec sa masse, hurlant de rage.
Elle se glisse entre ses jambes au moment de l’attaque, se redresse, evite de peu l’attaque suivant et enchaine les esquives face à la furie de son adversaire; profitant de ses réflexes hors du commun et de sa faculté de voir les probabilités pour calculer les angles d’attaque.
« tu es fort, tu es rapide..»
le manipulant, l’asticotant pour qu’il ne pense qu’a cogner, elle l’attire jusque dans ses propres filets et tire de toute ses forces, se servant du tronc d’arbre comme d’un appuit pour le faire trébucher; accueillant sa chute avec un coup de pied direct au menton, de quoi provoquer une commotion même à un gros monstre.
« mais tu es bien moins malin que moi !»
Tout ce qu’elle esperait au moment de frapper c’est que son coup soit assez efficace pour l’assommer car sinon elle serait dans une mauvaise posture tôt ou tard; elle n’avait aucune chance de gagner sans arme et ce malgré toute son intelligence
-
arrivant sur elle j'abats ma masse, mais cette femelle l'évite avec aisance, je n'ai pas le temps de m'arrêter qu'elle passe sous mes jambes, je me retourne en fendant l'air de ma masse, je continue de frapper en essayant de la toucher, mais cette humaine et agile, j'avance tout en frappant, des arbres tout prêt en paye le pris et s'effondrent eux aussi.
je la vois esquiver mes coups et sa m'énerve encore plus, alors que je ne fait pas attention, trop attentionné sur le fait de vouloir toucher cette femelle avec ma masse, je trébuche sur l'un des troncs d'arbres que j'ai abattue et tombe en avant, je tombe de tout mon poids et cette garce réceptionne ma tête avec son pied, qui viens violemment me frapper au menton.
je hurle une nouvelle fois de douleur, alors que j'entends un craquement dans ma mâchoire.
AAARRRRRRHHHHH!!!
je reste au sol un peut assommé, amenant ma main sur mon menton, en même temps j'entends cette petite garce me dire que je suis bien moins malin qu'elle, le fait qu'elle me parle de cette façon ne me plais pas du tout, retrouvant mes esprits, je constate qu'elle est toute proche, ma masse toujours à la main je fauche le sol avec celle ci rapidement et arrive à la faire tomber, de mon autre main libre j'attrape sa cheville et l'attire vers moi, cette fois je la tiens.
viens par là poupée...
-
Elle eu à peine le temps de se retablir au sol qu'il lui faucha les jambes avec sa masse,
Visiblement il etait aussi resistant qu'elle l'avait craint.
le choc fut assez douloureux et Eliot tenta de bondir aussitôt après avoir touché le sol mais la créature fut plus rapide et lui attrapa la cheville, la soulevant du sol et l'attirante vers lui.
"poupée ?"
arrivée à sa hauteur elle fit ce qu'elle faisait toujours, frapper la où ça fait mal sans réflechir aux conséquences; elle lui envoya un bon gros coup de poing entre les jambes et le regretta aussitôt, se fracturant une phalange à cause de sa resistance mais esperant avoir fait passé le message
" tu m'as prise pour qui le géant vert ?"
elle se balança, essayant de profiter de sa divertion brutale pour se dégager; la bataille ne pouvait être gagnée sans arme, Eliot s’etait décidée à fuir.
-
maintenant que je la tiens par la cheville, je me relève doucement et la soulève du sol la tête en bas, elle en pèse rien pour moi, par contre je regrette amèrement de l'avoir prise dans cette position, surtout quand je sent un coup venant d'elle frappant en partie ma cuisse intérieure et un de mes testicules, sur le coup j'ai le souffle coupé avant de pousser un grognement féroce.
GGGRRRRAAAAOOOOOH!!! tu ne vas pas m'énerver plus longtemps...
de rage je lui donne un violent coup de masse dans le ventre, sans y mètre toute ma force sinon je l'aurais couper en deux, mais assez violemment pour lui couper le souffle et lui faire très mal, je lâche ensuite ma masse qui tombe lourdement au sol, puis la retourne et la maintiens par le bras avant de lui donner une claque de mon revers du gauche, une claque qu'elle ne risque pas d'oublier et qui vas lui laisser une marque pendant un moment.
je la vois un peut dans les vapes et en profite pour la jeter violemment au sol sur le dos, avant de mètre un de mes énormes pieds sur sa poitrine et son ventre pour l'immobiliser.
maintenant tu est à moi ma petite brebis...
-
le coup est particulièrement violent; Eliot manque de s’evanouir sous le choc et laisse echapper un cri de douleur, les nano machines entrent vite en action pour calmer la souffrance et soigner les hemorragies.
Elle s’apprête à lui lancer une réplique bien cinglante lorsqu’il la gifle; la douleur est terrible et le choc brutal, elle s’en mords la langue.
elle veut lui cracher son sang à la figure mais le géant la jette au sol avec violence et la bloque de son pied, tout ce qui sort de sa bouche est un grand cri de souffrance.
La panique commence à se faire sentir, elle craint que dans sa rage le monstre decide tout simplement de la broyer; elle est dans les vapes malgré le travail de ses nano bots pour soigner les dégâts
«non, ne me tues pas»
lache t’elle dans un soupir; ses pensées sont floues et elle à du mal à réflechir, son regard trahie la peur qu’elle ressent
« je suis désolé pour les coups...mais c’est toi qui as commencé»
elle regarde autour d’elle, cherchant quelque chose qui pourrait lui permettre de se dégager
en vain; le pied du monstre l’ecrase et l’air se fait rare
« on peut toujours negocier non ?»
-
je voie dans son regard qu'elle panique, elle à du mal à respirer et me demande de ne pas la tuer, je pousse alors un hurlement de victoire.
GGRRRRRROOOOOAAAAAH!!!
je me penche pour que ma tête soit au dessus de la sienne, ma bave gluante et puante mélanger à mon sang viens dégouliner sur son visage.
non je ne vais pas te tuer, pas maintenant que tu es à ma merci, enfin tout dépend si tu survie à ce que je vais te faire subir AH... AH... AH...
en effet certaines des victimes que nous avons ramené au camps n'ont pas survécus à nos assaut brutaux et bestiale.
j'attrape ces jambes et les rassembles pour les maintenir d'une main par ces chevilles, de mon autre main je viens empoigner sa combinaison et tire d'un coup sec, la partie haut se déchire, j'allais l'envoyer plus loin quand je me dit que sa peut me servir, j'amène le vêtement à ma bouche et le déchire en deux, laisse une partie tomber au sol et attache ces chevilles entre elle avec l'autre morceau, puis je ramasse le morceau tomber à terre et attrape ces poignet pour eux aussi les attacher ensembles.
là au moins tu ne m'échappera pas.
toujours en la maintenant au sol avec mon pied je relève ces jambes et viens empoigner le bas de sa combinaison, tirant d'un coup sec encore une fois celle ci se déchire dans un craquement déchirant, libérant l'accès à ce qui m'intéresse, ces orifices, seule ces jambes sont encore recouvert de la combinaison.
je constate qu'il reste un petit morceau de tissu, une ficelle qui passe dans la raie de ces fesses, c'est très jolie et très excitant, je passe un doigt sous la ficelle et le déchire facilement.
ce que je vois m'excite de plus en plus, sa toison pubienne argenté, sa petite fente et son petit trou à ma merci, je commence à bander sous mon pagne, je l'entends s'excuser pour les coups qu'elle ma porté et m'explique que c'est moi qui est commencé.
peut importe qui à commencé, tu as perdu et je vais te faire payer les coups que tu ma donné...
je maintiens ces jambes relevé d'une main et de l'autre descend en caressant l'arrière de ces cuisses,puis passe un doigt sur sa douce petite fente, je descend un peut plus pour caresser son anneau rectal, puis reviens sur son minou.
l'excitation me gagne de plus en plus et très vite mon énorme queue soulève et dépasse de mon pagne, je l'entends me demander si l'on peut négocier, j'enfonce alors sans ménagement un de mes gros doigt dans sa petite chatte étroite et la fouille tout en lâchant un rire rauque et sadique.
AH... AH... AH... négocier? que veut tu négocier, à moins que tu sache qui ma rendu comme sa, tu ne peut pas négocier.
en plus tu est étroite à souhait je serais bête de ne pas en profiter.
-
Il lui faut quelques minutes pour se remettre des coups, l’observant avec le regard dans le vague tandis qu’il la manipule comme si elle n’etait qu’une poupée de chiffon entre ses gros doigts.
Elle fait de son mieux pour garder son sang froid mais cela devient extrêmement difficile tandis qu’il déchire ses vêtements et révèle son corps nue à l’exception de son string; elle commence à trembler nerveusement à l’idée de ce qu’il l’attend si elle ne s’enfuit pas.
Elle veut reflechir à une solution mais la peur et la panique se font trop fortes; il passe son doigt sous le tissu et lui arrache le string, Eliot commence à se debattre avec hysterie.
Le monstre prend plusieurs coups avant de réussir à l’attacher mais réussit à la maintenir et commence à la toucher; elle tremble, essaye de se controler mais pousse un cri de terreur lorsqu’elle sent son doigt caresser son petit trou.
Ses yeux se posent sur le membre de l’ogre et semble comme hypnotisée, figée de peur en voyant ce que le monstre à entre les jambes; un doigt s’enfonce dans son intimité assèchée par la peur, la douleur la fait sortir de sa torpeur.
Elle pousse un grand cri de douleur
« je peux trouver !! je peux trouver qui t’as fait ça !! pitié arrête !! pas ça !!»
-
le fait qu'elle gesticule, se débatte et crie m'excite encore plus, ma queue est maintenant bander à son maximum, fièrement dresser du liquide séminal sort du bout de mon gland.
au fur et à mesure que les secondes passe, mon doigt inspecte de plus en plus profondément sa petite chatte étroite, peut importe qu'elle résiste rien ne peut m'arrêter maintenant.
mais ce que j'entends de sa part m'interpelle.
tiens donc, comment pourrais tu trouver ce qui mon fait sa? il y a encore quelques minutes nous étions de parfait inconnue l'un pour l'autre et regarde maintenant comme nous sommes intimes tout les deux ah... ah... ah...
je continue d'enfoncer mon doigt dans son petit antre chaud, allant le plus profondément possible, ces parois vaginal son douce et velouté, mais elle ne mouille pas, si je la prend dans cette état je risque de la tuer de douleur, je ne veut pas la tuer, surtout si ce qu'elle dit est vrai, elle pourrait me donner des informations sur ceux qui m'ont rendu de la sorte. mais d'un coté j'ai envie de jouir, deux mois d'abstinence c'est trop, beaucoup trop.
j'enlève alors mon doigt de son petit minou sans aucune once de douceur, je l'entends pousser un soupir de soulagement, je lâche ces jambes et me tourne vers sa tête avant d'amener le doigt qui était en elle à mes narine, son odeur est envoutant et appétissant.
mmmmh... tu as une bien bonne odeur. sa doit être un délice de te manger l'abricot.
j'amène ensuite le doigt à ma bouche et le suce, son gout est exquis, je vois dans son regard de l'inquiétude, de la peur et du dégout, sa me rassure. une proie trop sur d'elle peut être dangereuse.
MMMMH... je confirme ton gout est délicieux.
bien revenons à nos affaire, tu dit pouvoir trouver les personnes qui m'ont rendu comme sa et je demande à voir.
explique moi comment tu pourrait retrouver ces gens?
en même temps si tu ne veut pas que je fouille à nouveau ta chatte ou ton cul avec mes doigts, je te propose de t'occuper de ma queue avec ta bouche.
j'enlève mon pied de son torse et passe à califourchon sur elle, je la bloque en m'asseyant un peut sur son ventre, maintiens ces bras au dessus de sa tête d'une main et de l'autre installe ma longue et énorme queue puante et d'où du liquide séminal suinte de mon gland entre ces seins, mon gland arrivant au niveau de sa bouche, j'attends ces explications.
aller... je t'écoute...
-
La sensation de ce doigt qui la fouille est atroce, elle se sent souillée et humiliée par cette créature; toutes ses pensées ne sont tournées que sur le moyen de le faire arrêter cette torture.
Ce qu'elle lui dit semble avoir l'effet escompté, la créature finit par retirer son doigt en faisant étrangemlent attention, lui offrant un répis; la créature renifle son odeur intime et se lèche le doigt, fier et sur de son pouvoir sur elle.
Il commence à lui parler, à lui demander comment elle pourrait retrouver ceux qui l'ont transformé; elle s'apprête à lui répondre lorsqu'il lui ordonne de le sucer; ses yeux s'ouvrent en grand de stupeur.
" je peux faire des analyses, je.."
le monstre enlève son pied, elle en profite pour respirer un grand coup; le monstre s'assoit sur elle et Eliot se retrouve avec son membre puant et visqueux glissant entre ses seins.
Il s'amuse avec elle, fait glisser son sexe doucement jusqu’a sa bouche.
« je peux analyser ta structue génétique, je peux savoir tout sur ce que tu es..»
elle parle vite, paniquée et degoutée par l’odeur qui monte à ses narines
« ça me permettrait de trouver l’origine des modifications et le materiel utilisé...arrête ça !»
elle cri, de rage plus que de peur; Elle tente en vain de se debattre mais elle refuse l’idée même de céder à ses envies.
-
je fait coulisser mon gros barreau de chair entre ces seins dans de lent vas et viens, je la vois paniquer de plus en plus, détournant le visage pour éviter que ma queue ne la touche, mais c'est en vain puisque de ma main libre je guide un peut ma bite pour qu'elle viennent se frotter contre sa joue, laissant sur celle ci mes sécrétion de liquide séminal gluante, je la pousse à bout et la force à aller sur ces dernier retranchements.
je joue avec elle, profitant de ce moment, tout sa m'excite au plus haut point, ma bave dégouline le long de mon menton et viens s'écraser entre ces seins, facilitant le coulissement de mon bâton de chair, je sent aussi mes couilles pleine caresser son ventre au fur et à mesure de mes aller et venu.
en même temps je l'entends m'expliquer ce qu'elle pourrait faire pour m'aider, mais je ne l'écoute que d'une oreille, trop excité par la situation.
tu veux que j'arrête?
mais tu n'as pas commencé ce que je t'ai demandé... commence déjà par la lécher... allé...
de ma main libre, je viens bloquer sa tête et amène mon gland contre ces douce lèvres.
lèche comme une chienne maintenant...
mais voyant qu'elle ne veux pas obéir je lui lâche la tête.
très bien, si tu ne veut pas n'y me sucer, n'y me lécher alors explique moi comment tu vas faire pour analyser ma structure génétique, comme tu dit? je ne comprend même pas de quoi tu parle. avec quoi et ou? c'est sa que je veut savoir pour l'instant.
puisque c'est une têtu, je viens lui relever les jambe une nouvelle fois et lâche ces bras, je lui maintiens les jambe relever d'une main alors que de l'autre je viens cracher sur mes doigts un cracha épais et gluant de ma salive nauséabonde. j'amène ensuite mes doigts badigeonner cette salive sur sa petite fente et son anus avant de là prévenir.
bien puisque tu ne veut pas me faire plaisir avec ta bouche, c'est que tu préfère que je m'occupe de tes trous?
-
Elle se sentait prise dans un vrai cauchemar; le monstre ne voulait pas lacher prise et s’amusa un moment à lui oller son membre sur la figure, essayant de la forcer à tout prix.
Eliot songea un instant à lui mordre cette chose répugnante mais elle savait que le conséquences en seraient desastreuses; le monstre semblait vouloir encore discuter, elle essaya de lui expliquer
« dans mon vaisseau...la grosse boite en fer ! j’ai une machine qui peut comprendre comment tu fonctionne il faut juste ..»
sa phrase se termina dans un cri tandis que le géant la soulève une nouvelle fois; elle gesticule et se debat
« ecoute moi, je peux t’aider «
elle se fige lorsqu’elle sent les gros doigts visqueux frotter son intimité et son anus; elle frémit de terreur, et panique totalement.
Elle regarde le monstre droit dans les yeux, implorante
« ne fais pas ça je t’en supplie !»
des larmes coulèrent sur ses joues, elle commençaient à craquer nerveusement; elle cessa de se debattre, esperant que la creature la laisserait en paix.
Elle jeta un regard au membre dressé puis ferma les yeux, degoutée par ce qu'il lui faisait subir
-
elle tente de m'expliquer que dans son vaisseau, la chose en ferraille qui est tomber du ciel, elle à un appareil qui peut comprendre comment je fonctionne, mais elle ne fini pas sa phrase, alors que je lui soulève les jambes, elle se débat et gesticule tout en me disant qu'elle peut m'aider.
mais bizarrement quand je badigeonne ces orifices de ma salive, elle cesse de bouger et ne se débat plus alors que je lui explique qu'elle ne me laisse pas le choix puisqu'elle ne veut pas me faire plaisir avec sa bouche.
nous nous regardons droit dans les yeux, son regard m'implore d'arrêter et se remplissent de larmes, quelques secondes après c'est la paroles qui prend le relai, elle me supplie de ne pas faire sa.
toutes ces supplications m'excite de plus belle, j'adore sa et elle peut le voir puisque ma queue tressaute entre ces seins, mon gland quand à lui continue de souiller un peut plus son visage de liquide séminal.
sa y est elle pleure, elle craque complètement, les larmes coule sur ces joues, elle sait qu'elle ne pourra pas y échapper.
oooh... oui supplie moi encore AH... AH... AH...
après mes paroles, j'enfonce sauvagement un doigt dans sa petite fente, allant le plus profondément possible, je l'entends crier et gémir, je fait de violent vas et viens avec mon doigt pour qu'elle me supplie encore.
au bout de quelques minutes, je trouve qu'elle ne crie plus assez, je viens alors accompagner le premier doigt d'un deuxième, celui ci s'enfonce avec difficulté, elle est si étroite que j'ai du mal à le rentrer, mais je force malgré ces hurlement, ma bave aidant, j'arrive à lui enfoncer mes deux doigts bien profondément avant de repartir dans des vas et viens violent.
je sent son souffle chaud et irrégulier sur ma queue quand elle crie, c'est un délice, sa petite chatte est si étroite, je sent ces membranes se resserrer contre mes doigts.
mais un autre trou m'intéresse d'avantage, plus petit et plus étroit encore que j'adore emprunter chez mes proie, au bout de quelques minutes encore j'enfonce ou maximum mes doigt en elle et je viens caresser son anus de mon pouce, mes caresses son circulaire, je sent celui ci contracter, mais peut importe si je veut y rentrer rien ne m'en empêchera.
je me tourne vers ma proie, ces larmes continue de couler sur ces joues, essoufflé, je la trouve magnifique, je lui dit d'un ton sarcastique.
alors si ton vaisseau peut faire sa, nous irons plus tard, en attendant nous allons nous amuser tout les deux AH... AH... AH...
alors tu vas te décider à me faire plaisir avec ta bouche ou tu veut que je continue?
-
Malgré ses paroles et ses supplications, la créature ne semble pas décider à s’arreter; elle cesse de parler et serre les dents, tentant de reflechir à une solution, esperant trouver quoi dire qui pourrait faire s’arrêter ce monstre.
Eliot peut voir dans son regard combien il aime la voir ainsi sans défense; il ne lui faut pas longtemps pour realiser que rien de ce qu’elle pourrait dire pourra empêcher le monstre de continuer son petit jeu.
Il enfonce à nouveau son gros doigt visqueux dans son intimité, la fouillant sans douceur ni menagement, ne faisant ça que preparer le terrain pour son membre et pour s’amuser à la faire souffrir.
Elle se debat par reflexe, ses jambes lui font mal; la sensation est répugnante mais elle essaye de faire avec, de resister à cette douleur.
Tandis qu’elle commence à supporter ce doigt qui la fouille son agresseur, visiblement peu content qu’elle essaye de resister, vient la pénétrer avec un second doigt.
La sensation est terrible, elle sent son intimité être ecartelée; elle se sent fouillée comme si elle n’etait rien d’autre que sa chose.
Lorsqu’elle sent quelque chose masser son petit trou elle recommence à se debattre par reflexe, particulièrement horrifiée à l’idée qu’il puisse la prendre par cet endroit.
« plutot mourir !»
lui hurle t’elle tandis qu’il s’approche, lui crachant au visage par la même occasion
« si jamais tu n’arrête pas immediatement je ne ferais rien pour t’aider !»
elle tente de bluffer, c’est tout ce qui lui reste; elle concentre ce qui lui reste de volonté et de rage et lui colle son pied encore libre en pleine figure avant de pousser de toute ses forces pour se degager de son etreinte.
-
sa réponse me fait en partie plaisir, elle préfère mourir que de lécher ma bite, elle changera peut être d'avis plus tard, quand la douleur la terrassera et qu'elle m'implorera d'arrêter,je me rapproche un peut et elle me crache au visage, je passe ma langue pour récupérer son cracha et le goute.
mmmmh même ta salive à bon gout...
elle me dit que si je n'arrête pas immédiatement, elle ne fera rien pour m'aider, choses que nous verons plus tard quand j'en aurais fini avec elle. étant trop occuper à masser son anus de mon pouce, elle se débat et je ne vois pas qu'elle plis ces jambes qui sont toujours attacher l'une à l'autre par les cheville, elle me les mets en plein visage et pousse de toute ces forces, je bascule alors en arrière tout en poussant un grognement et en même temps comme par réflexe quand on chute je tente de m'accrocher, enfonçant brutalement mon pouce dans son petit trou très étroit.
je me retrouve sur le ventre, j'entends cette femelle hurler et gigoter dans tout les sens pour dégager mes doigts qui son profondément enfoncer dans ces deux orifices, de rage je la tire vers moi en la faisant trainer par terre à l'aide des doigts qui sont en elle, de mon autre main je la retourne sur le ventre, enlève brutalement mes doigts de ces orifices et m'allonge sur elle, ma tête arrivant au niveau de la sienne.
tu veut faire la maline, très bien de toute façon tu ne me laisse pas le choix, j'aime quand on me résiste, alors essai de résister le plus longtemps possible AH... AH... AH...
après lui avoir dit sa je caresse de ma grosse langue gluante et rappeuse dans son cou et remonte jusqu'à sa joue, laissant une épaisse pellicule de bave nauséabonde.
je descends ensuite pour que mon visage se retrouve au niveau de ces fesses, mon torse bloquant ces jambes, j'amène une main empoigner sa chevelure argenté et lui tirer la tête en arrière tout en la maintenant au sol, de mon autre main je viens écarter une de ces fesses avant de lui dire.
je vais gouter tes fluides avant de... que tu soit à moi...
je viens passer ma grosse langue gluante dans la raie de ces fesses, passe sur son anus et viens lécher quelques secondes ces grandes lèvres et sa petite fente avant de rentrer ma langue dans son antre, je bave abondamment, sa petite chatte à bon gout, très bon gout, ma tête est enfuit dans son cul et mon nez écraser titille son anus qui doit être douloureux après la violente pénétration de mon pouce, je lèche et lubrifie ces membranes pendant de longues minutes, avant de sortir ma langue et de remonter jusqu'à sa petite porte arrière, je fait des cercle avec ma langue sur celui en laisse beaucoup de bave avant de la rentrer, mais son anus se contracte, j'écarte sa fesse au maximum et force avec ma langue pour la rentrer le plus possible et de la bouger dans tout les sens.
j'adore se trou surtout quand il est étroit à souhait comme celui ci, reste à savoir si j'arriverais à rentrer ma queue dedans, depuis que je suis sortie de ma cuve aucun anus des proies du camps ne ma résisté, celui ci semble vierge et sa sera un plaisir de le déflorer.
de longue minutes plus tard encore je retire la langue de son cul et me redresse au dessus d'elle amenant ma longue et grosse queue dans la raie de ces fesses, je tire un peut plus sur ces cheveux et lui demande.
alors petite humaine, tu n'as toujours pas changer d'avis? AH... AH... AH...
-
Eliot pousse un cri de douleur en sentant le doigt démesuré s’enfoncer dans son anus, le monstre n’avait pas laché prise et sa tentative de fuite ne s’etait resultée que par le viol de ses orifices par ses doigts. Il la maintient avec ses doigts en elle et la tire sur le sol, elle gratte et tente en vain de s’accrocher à quelque chose; elle se fait retourner brutalement sur le ventre, son souffle coupé pendant une seconde.
Il retire ses doigts sans douceur, lui arrachant un autre cri; il continu de lui parler et de l’humilier quoi qu’ele puisse dire; elle essaye de penser à autre chose , d’oublier ce qui lui arrive. Elle ferme les yeux, furieuse de ne pas pouvoir s’arrêter de pleurer et de trembler; il passe son horible langue sur sa peau, laisant une trainée baveuse et malodorante.
Il lui tire les cheveux, la forçant à lever la tête en arrière, il la coince complétement de sorte qu’elle ne puisse voir ce qu’il compte lui faire. Eliot ne veut même pas y penser, l’horreur est trop grande, elle se sent revenir des années en arrière, elle repense au cauchemar qu’elle a déjà vécue. Elle sent sa grosse langue visqueuse glisser entre la raie de ses fesses puis s’enfoncer dans son intimité elle gémit, hurle et tente de se debattre; elle sent cette langue violer son intimité, s’amuser avec ses lèvres et l’entrée de son vagin.
La sensation etait déjà horrible pour elle mais cela devint veritablement cauchemardesque lorsqu’il s’attaque ensuite à son petit trou; elle contracte les muscles et tente de lui échapper mais sa prise est trop forte, douloureuse tandis qu’il envahit son trou vierge de sa langue et le lèche pendant plusieurs minutes.
Lorsqu’il la relache elle est tremblante, choquée et proche de la rupture; le fixant avec tout ce qui lui reste de haine dans le regard
« je te tuerais»
-
alors que je suis maintenant redressé la queue entre ces fesses, je lâche sa chevelure et viens de cette main broquer ces bras au sol au dessus de sa tête, elle est tremblante de froid sa m'étonnerais vue la chaleur qu'il fait, de peur c'est plus probable, elle sait qu'elle vas avoir mal, très mal, mais c'est elle qui là voulut en refusant de me sucer, elle ne peut s'en prendre qu'à elle même et moi je vais la prendre tout cours.
elle tourne la tête, les yeux en larmes et me fusille du regard avant de me lancer froidement qu'elle me tuera, je pousse un rire sadique avant de lui répondre.
AH... AH... AH... tu est mal placer pour me dire sa, mais nous verrons plus tard, pour l'instant c'est moi qui vais te tuer avec ma queue si tu ne résiste pas à ma queue... AH... AH...
je commence à faire de lent vas et viens, faisant coulisser mon gros pieux entre ces fesses, frottant ma hampe parsemé d'aspérité ronde sur son petit trou contracté, je me redresse un peut lâchant ces bras et viens de mon bras qui bloquer les siens m'appuyer sur son dos, ces fesses sont douce et ferme, mais je doute que j'arrive à rentrer dans un de ces orifices si je ne lubrifie pas ma bite et puisqu'elle n'a pas voulue le faire, je suis moi même obliger de la lubrifier, laissant ma bave chaude, épaisse, gluante et puante dégouliner de ma bouche et venir s'écraser dans un bruit gluant sur mon gros barreau de chair, lubrifiant entièrement ma queue et d'avantage la raie de ces fesses ainsi que ces orifices.
coulissant entre ces fesses pendant plusieurs minutes, je décide à me reculer un peut pour que j'arrive de mon énorme gland parsemé d'aspérité pointu, en le guidant d'une main à caresser celui ci en le faisant aller de bas en haut, la fente et l'anus de me proie, étalant par la même occasion ma bave, avant de lui demander.
tu es prête à m'accueillir j'espère AH... AH... AH... alors par quel trou tu veut que je te prenne humaine...
-
Il continue de se moquer d’elle, ignorant ses menaces et s’amusant à faire coulisser son membre démesurée contre ses fesses; elle peut sentir jusqu’au moindre détail de la texture de ce sexe difforme.
Eliot l’entend cracher et saliver, elle peut sentir un liquide couler sur ses fesses, degouliner sur son petit trou et son intimité. Peu après il pose ses doigts sur elle et lui masses les orifices sans douceur, etalant de quoi la lubrifier avant de recommencer à se masturber entre ses fesses. Cela dure plusieurs minutes où elle ne peut rien faire d’autre que le sentir faire glisser son membre et pointer sur l’un puis l’autre de ses orifices dans le sul but de lui faire peur.
Il s’apprête à la prendre, il le lui annonce, elle peut le sentir arriver et le refuse de toute ses forces; son corps est contracté et ses muscles sont crispés. Elle n’y croit pas, refuse la réalité de ce qui lui arrive tandis que le traumatisme de sa jeunesse la rattrape; elle ne resiste plus et eclate en sanglot
« non..c’est pas possible..faites pas ça..»
Elle ne reflechit meme plus, elle n’y arrive plus; elle gratte le sol jusqu’a s’en faire saigner les doigts en gémissant faiblement
-
je sent son corps sous mes mains se contracter, comme toute les proies que nous avons capturé, mais celle ci est pour moi et moi seule, le faite qu'elle ne me désire pas m'excite encore plus, je vais devoir forcer pour ouvrir ces chairs ce qui me donnera encore plus de plaisir.
je la vois alors éclater en sanglot, résigné elle me demande de ne pas la prendre, chose que je ne risque pas de lui accorder vue la trique que j'ai, elle vas y passer et rien ne pourra m'arrêter.
puisque tu n'arrive pas à te décider je vais le faire pour toi, sa ne m'enchante que d'avantage, je vais pouvoir passer de suite à ce que j'aime le plus HA... HA... HA...
je me redresse et place mon bassin au dessus du siens, d'une main sur son dos je la maintiens au sol et de l'autre je guide ma queue pour que mon énorme gland viens coulisser entre ces fesses, arrêtant mon gland contre son anus contracter, je commence à pousser pour le rentrer.
pris de panique sans doute je la voie gesticuler pour empêcher que je la prenne, mon gland reste bloquer à l'entrer, mais je sais qu'elle ne pourra pas contracter ces sphincters à l'infinie, à un moment elle baissera sa garde et je briserais ces barrières.
ooouuuuh... tu ne veut pas me laisser rentrer?...
mon gland maintenant caler contre son petit anus, je viens de ma main qui guidait mon sexe écarter une de ces fesse, en même temps je continue d'exercer une pression importante sur son anus avec mon gland, bien déterminé à lui enfoncer mon dard.
d'ailleurs après quelques longue minutes, je commence à sentir ces sphincters se relâcher petit à petit, mon gland quand à lui commence à gagner du terrain, dilatant peut à peut ces douce chairs.
AAAAH... tu commence à ne plus pourvoir résister, laisse moi rentrer tu vas adorer...
bien sur, ce n'est pas parque je commence à rentrer que je diminue la pression que j'exerce, bien au contraire, je force de plus en plus, je sent son anus m'empêcher de rentrer en se contractant fortement contre mon gland imposant.
ces barrières cède peut à peut, ma bite dure comme la pierre ne fléchie pas et continue de pousser, si bien que les trois quart de mon gland est en elle, il ne reste que le plus large à rentrer, la collerette de mon énorme gland et pour l'entendre crier encore plus je donne un puissant coup de rein qui me permette de rentrer ces dernier centimètres de mon gland.
RRRAAAAAAH... que tu est étroite ma belle, j'adore sa... HA... HA... HA...
mon énorme gland au chaud en elle, je sent son anus palpiter, se contractant fortement, mais il faut que je lui rentre le reste de ma queue, ce qui ne risque pas d'être simple, mais très plaisant, l'entendre gémir et hurler de douleur ne fera qu'augmenter mon excitation.
je commence à donner de petit coups de reins brusque pour m'enfoncer plus profondément dans son cul étroit et chaud.
RRAAH... accroche toi, il en reste beaucoup à manger... RRRRrrrrrh...
-
Eliot ne peut rien faire pour lutter, retenue au sol par le monstre qui semble bien decidé à lui faire subir les pires outrages; Son énorme gland viens coulisser entre ces fesses, elle fait tout ce qu’elle peut, contractant ses sphincters alors qu’il commence à pousser pour le rentrer.
« par pitié tout mais pas ça! pas encore une fois non..»
le monstre est bien déterminé à lui enfoncer son dard, ecartant ses fesses de sa main alors qu’il continue de pousser son gland contre les fesses de la pauvre Eliot qui usait de toutes ses forces pour eviter cela.
Après de longue minutes d’effort,ses sphincters se relâchent petit à petit, le monstre profite du moindre relachement pour enfoncer peu à peu son membre en elle, dilatant peut à peut son orifice.
« nooon !! n’entree pas !! AAAah ça fait trop mal, je veux pas revivre ça !»
Le monstre ne diminua pas la pression pour autant, forçant de plus en plus maintenant qu’il la sentait faiblir. Les barrières cèdent, elle peut le sentir continuer de pousser sa queue si bien que les trois quart de son gland finit par entrer en elle, il donne un puissant coup de rein et les dernier centimètres de son gland finissent par passer.
Son anus palpite, Eliot n’est plus que larmes et sanglots tandis qu’il commence à donner des coups de reins pour s’enfoncer de plus en plus dans son fondement.
-
alors que je continue de m'enfoncer dans son anus si chaud et étroit, je l'entends me supplier de ne pas faire sa, que sa fait trop mal.
ces paroles ne font que renforcer mon excitation et mon envie de la prendre plus violemment pour l'entendre hurler sa douleur et me supplier d'avantage.
de ma gorge sort une respiration bruyante et des grognements du au plaisir que je ressent à faire cédé une à une ces barrière anal, en même temps je rapproche mon visage su siens, elle peut sentir mon halène fétide venir à ces narines, alors que mon souffle viens caresser son visage.
RRRAAAAAAhooooo... tu est si bonne... mmmmrrrrh... ton cul est si serré... AAAaaarrh... rare sont les fois ou je suis le premier à enculer une femelles... RRRAAAAH... nous sommes tellement nombreux d'habitude... RRrrroooh... c'est vraiment exquis... HA... HA... HA... j'adore sa...
après ces paroles, je passe une nouvelle fois la grosse langue baveuse contre sa joue, avant de me redresser, des filets de bave gluant reliant toujours mes lèvres à sa joue.
je l'entends ensuite dire qu'elle ne veut pas que sa recommence encore une fois.
alors comme sa ce n'est pas la première fois qu'elle se fait enculer, du moins par un mâle humain, mais par une bite comme la mienne se doit être une première vue la difficulté que j'ai à entrer.
voyant tout de même qu'un quart de ma monstrueuse queue est entré dans son si petit trou, je lui lance d'une manière sarcastique.
MMMMmmmmRRRRRAAAaaaah... tu n'es donc pas vierge du cul?
moi qui y allé doucement pour que tu n'es pas trop mal, je me suis trompé...
je vais t'enculer plus rudement alors... HA... HA... HA...
sur ces mots, je retire mon membre de son petit trou, ne laissant que mon gland en elle et commence à effectuer de plus ample, violent et brusque vas et viens, poussant des grognement rauque à chaque fois que mon gland est freiné dans les profondeur de son intestin par ces parois anal étroites et chaude, gagnant du terrain dans son cul à chaque rentré brutal.
-
Le monstre prenait son pied, poussant des râles de plaisir alors qu’il force l’entrée de l’anus d’Elliot, celle ci peut sentir son haleine fétide se poser sur elle; il se penche sur elle et force d’avantage, elle laisse echapper un long gémissement de douleur.
«NAAAAaaan !! ça me dechire ! nan je veux pas subir ça !!»
Son violeur passe sa grosse langue baveuse contre sa joue, se délectant de la douceur de sa joue avant de se redresser, Eliot fut totalement dégoutée en sentant des filets de bave glisser le long de sa peau. Plus d’un quart de son énorme engin s’enfonça en elle, elle ne put retenir un cri de souffrance tandis que le monstre se moquait d’elle et l’humiliait
«Arrête ça tout de suite !!! par pitié !!! AAAAAAaaaah»
Il se moque de sa souffrance, continuant de jubiler tout en profitant de cette sodomie forcée; il finit par retirer son membre du petit trou de la pauvre jeune femme, il ne conserva que le gland coincé dans son anus et patienta un petit moment avant de s’enfoncer en elle violemment, effectuant des coups de reins de plus en plus forts. Ses grognements de plaisir furent couvert par le cri que poussa Elliot; elle se sentit ecartelée et transpercée par cet énorme membre, violée et humiliée par ce monstre.
« saaalaud !!»
-
l'entendre me supplier d'arrêter et me dire que ma queue la déchire ne fait que faire monter mon désir de la faire souffrir d'avantage.
je ne sais pas d'où me viens se sadisme, mais j'adore sa et je sais que je pourrais enculer cette petite femelle blonde pendant des heures si elle n'était pas si étroite et si sa ne faisais pas deux mois que je n'avais pas vider les couilles.
mon désir me force à m'enfoncer de plus en plus profondément en elle quitte à forcer d'avantage, je veut que mon sexe soit entièrement au chaud et l'insulte qu'elle me lance ne me motive que d'avantage de lui mètre bien profond.
je remonte ma main qui la maintiens au sol le long de son dos, avant de venir empoigner fermement sa longue chevelure blonde, je lui tire ensuite la tête en arrière histoire qu'elle voie mon visage et que je puisse voir le siens emplie de larme et de désespoir.
j'entends sa respiration sifflotant, elle à du mal à respirer ainsi maintenue, mais ce n'est pas sa qui vas m'arrêter.
puis tout en continuant de la marteler violemment de mon énorme queue, d'un regard menaçant et sur un ton coléreux je lui dit.
qu'est ce que tu viens de dire?...
je laisse quelques secondes de silence pour que la peur monte en elle et enchaine tout aussi sévèrement.
je vais t'apprendre à insulter Rockgreen... je vais te montrer ce que je fait quand je veut faire le salaud...
sans attendre une minute de plus, tout en gardant ma poigne sur sa chevelure, je viens passer mon autre main sous son ventre passer un doigt sur sa petite fente et je lui relève le bassin.
sans plus de somation, maintenant son bassin relever avec mon bras et ma main sur son bas ventre, dans un unième coup de rein je m'enfonce dans son cul de tout mon poids jusqu'à ce que je soit bloquer par ces barrières anal, puis je pousse et force d'avantage son cul à s'ouvrir et à m'accueillir.
je sent ces membrane se distendre, elle hurle mais je n'en est que faire, elle est à moi, son cul est un véritable paradis pour ma bite, je continue de forcer un peut avant de reprendre des coups de reins lent quand je me retire, mais de plus en plus violent et brutaux quand je m'enfonce en elle, poussant fortement et exagérément de temps à autre pour m'enfoncer d'avantage tout en maintenant toujours son bassin surélevé.
RRAAAAAAAH... alors le Rockgreen salaud te plais ou tu préféré avant que je devienne salaud? AH... AH... AH...
au fur et à mesure que je force pour rentrer, c'est plus de la moitié de ma queue qui est en elle, plus les minutes passe et plus je gagne du terrain, bientôt c'est les trois quart de ma queue qu'elle se prend, ces profondeur anal son de plus en plus étroite, mais je prend un énorme plaisir à les dilater de mon gland tel un bélier, grognant mon plaisir, jusqu'au moment ou je sent mes énormes couilles caresser ces fesses, c'est alors que dans un ultime coup de rein puissant et brutal que je l'empale jusqu'à la garde, écrasant mes grosses bourses sur ces douce fesses de tout mon poids, laissant son bassin retoucher le sol, ma main toujours sous son bas ventre, je reste de longue secondes immobiles enfoncer jusqu'à la garde dans son anus chaux et palpitant, ma queue est enserrer fortement par ces membranes qui n'arrête pas de se contracter, je la laisse savourer la grosseur de ma queue.
rrooOOOHRRraaaah... j'espère que tu savoure ce moment ma petite... AH... AH... AH parce que moi je l'adore...
sans attendre une seconde de plus, je me retire lentement presque entièrement de son cul avant de l'empaler à nouveau violemment et entièrement de mon dard, faisant claquer mes grosse couilles contre ces fesses, je l'encule de toute ma longueur, je l'entends pleurer, elle ne doit plus savoir quoi faire, je savoure cette sodomie, je par dans de lent vas et viens, enfonçant à chaque fois toute ma bite dans son intestin, mais je sent que je vais bientôt venir, c'est pour cela que j'accélère la cadence, une cadence plus rapide, plus violente et plus brutal, mes bourses claquant ces fesses à chaque fois.
RROOOO... ROOOooo... RRAAaaaa... je vais venir... ROOoaaa... je vais te remplir... RRAAaaaaah...
c'est après des vas et viens plus brutaux et bestial que les autres que je m'enfonce entièrement en elle, poussant d'avantage comme si je pouvais lui enfoncer d'avantage alors qu'elle à déjà mon gourdin jusqu'à la garde, je reste figé en elle et je jouis, je sent ma queue se contracter et tressauter alors que mon foutre remplie son intestin, cela fait tellement longtemps que je n'ai pas jouis que je déverse une quantité impressionnante de sperme chaud en elle.
je reste un moment sans bouger avant de me retirer, ma queue est maculer de foutre, son cul quand à lui est dilater et le surplus de sperme dégorge, dégoulinant le long de sa petite fente avant de se répandre sur le sol. je m'allonge alors à coté d'elle, essoufflé par ma jouissance.
... j'espère que sa ta plu... tu es à moi maintenant, mais d'abord tu vas m'aider...
-
Eliot avait énormèment de mal à respirer, la prise de son ravisseur etait si forte, elle devait faire des efforts rien que pour pouvoir déglutir et la peur n’aidait en rien; son regard devint noir lorsqu’elle l’insulta.
-qu'est ce que tu viens de dire?-
Ses mots résonnèrent comme une menace et le monstre n’ajouta rien d’autre pendant un long moment, Eliot commença rapidement à craindre le pire alors qu’il lui tirait toujours la tête en arrière et pouvait lui briser la nuque sans effort si jamais l’envie lui prenait; Il finit par parler de nouveau et ce qu’il dit fut pire que tout.
« non arrête ! je m’excuse !! non pitié non !»
Le monstre lui soulève le bassin sans rien ajouter de plus puis s’enfonce dans son anus avec determination;il la bloque de son poids, empêchant Eliot de lutter et gesticuler. Elle ne peux voir ce qui se passe mais peut sentir son énorme queue pousser contre ses barrières, Eliot ne cese de hurler alors que la douleur se fait de plus en plus forte à mesure que son anus cède sous es efforts du monstre.
sans plus de somation, maintenant son bassin relever avec mon bras et ma main sur son bas ventre, dans un unième coup de rein je m'enfonce dans son cul de tout mon poids jusqu'à ce que je soit bloquer par ces barrières anal, puis je pousse et force d'avantage son cul à s'ouvrir et à m'accueillir.
« NAAAN !! stop ! arrête ça ! c’est horrible ! c’est trop gros!!!! arrête !»
La pénétration est lente mais profonde, il ne relache pas sa prise et continue de pousser sa queue dans l’anus de la pauvre Eliot qui ne pouvait plus rien faire pour empêcher ça; près des trois quarts de son membre s’enfonça en elle, elle poussa un grand cri de douleur tant elle ne pouvait déjà plus supporter cette sodomie. Son ravisseur grognait de plaisir et se décida à en finir avec l’introduction, l’empalant jusqu’a la garde dans un dernier coup de rein puissant, Eliot à envie de vomir tant son intestin en est retourné, les nausées sont presque aussi terribles que la douleur; elle retouche le sol sous le poids de son violeur qui garde toujours sa main sous son bas ventre, il prend un malin plaisir à ne plus bouger et lui laisser sentir chaque centimètres de sa queue.
«je vais mourir !! tu me déchires de l’intérieur !!!».
Il se retire d’un coup presque complètement et Eliot ne peut s’empêcher de se cambrer, poussant un grand cri de souffrance; elle n’eut pas le temps de dire quoi que ce soit qu’il l'empala violemment jusqu’a s’enfoncer de toute sa longueur, Eliot pouvait sentir ses couilles claquer contre ses fesses. Il la sodomise lentement, prenant soin de faire coulisser son membre de toute sa longueur; elle pleure et gémit, hurle de douleur à chaque va et vien tout en espérant en vain que ce cauchemar s’arrête. Comme si cela ne lui suffisait pas, le monstre se mit à la sodomiser avec fureur, la défonçant bvestialement.
«NOOOooon !!! j’en peux plus...aaaaarrrrgghhh!!»
Le monstre est sans pitié, sans retenue; il la défonce avec des coups de reins de plus en plus brutaux et s'enfonce entièrement en elle, il continue de forcer et de pousser comme si il voulait aller plus loin. Eliot et dechirée, elle peut sentir son sperme remplir son intestin meurtris. Il reste un moment sans bouger mais finit quand même par se retirer, Eliot n’a même plus la force de crier en sentant le membre se glisser hors de son cul; elle est dilatée au dela du possible tandis que du sperme et du sang degouline depuis son orifice jusqu’au sol.
«uuuh....nooon...plus...pitié non....»
Les larmes ne cessent de couler, elle l’entend reprendre son souffle à côté d’elle mais n’ose même pas tourner la tête de peur qu’il recommence; son regard est vitreux, elle est blessée et choquée.
-
alors que je reprend mon souffle à coté d'elle et que je viens de lui dire qu'elle était à moi, je l'entends me supplier de ne pas recommencer, ce n'est pas à elle de décider, mais elle à de la chance, pour l'instant je ne suis plus excité, ce qui ne veut pas dire que plus tard je ne n'honorerais pas une nouvelle fois son magnifique corps de femelle.
quelques minutes passe avant que je ne me relève, je me tourne vers cette femelle, elle n'a pas bougé, allongé sur le ventre, son anus se referme petit à petit tout en expulsant le trop plein de foutre que je lui est injecter, elle tremblote.
alors qu'elle à toujours les mains et les pieds liés, je viens la prendre en dessous des assailles et la soulève sans difficulté, la retourne face à moi, son regard est vide, sans doute sous le choque de ce que je viens de lui faire subir, mais sa ne me dérange pas, au contraire au moins elle se tiens tranquille.
je la met sur mon épaule, ramasse ma masse et me dirige vers la boite en ferraille dans laquelle elle est arrivé.
celle ci fume encore, arriver à coté je descends la femelle de mon épaule et la dépose au sol, contre son vaisseau.
quand je la lâche elle tombe sur les fesses, ces jambes ne doivent plus la tenir, je m'accroupis, lui met une main sur l'épaule pour qu'elle relève la tête, mais ont dirais une marionnette, je lui demande.
bien... tu m'as dit tout à l'heure que tu pouvais m'aider... m'aidez à savoir qui m'a rendu comme sa... et que sa se trouver dans ton vaisseau pour je ne sais plus quoi...
ou est cette chose qui peut m'aider?