Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Centre-ville de Seikusu => Le quartier de la Toussaint => Discussion démarrée par: Bleiz le mercredi 13 janvier 2010, 16:00:39
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Un jour sans.
Voilà comment on pouvait appeler cette journée, un jour sans. Bleiz n'avait pas été motivé à faire grand chose aujourd'hui. Il avait d'abord voulu aller s'entrainer dans le parc, Mais le pluie l'en avais dissuadé. Il s'était ensuite baladé en ville. Cherchant une activité quelconque Pour passer le temps en attendant que la pluis cesse. Il était même allé au centre commercial mais n'y avait rien trouvé d'intéressant.
Il repassa alors prêt de l'école...et ce rappela d'une nuit il y a longtemps. Une chasse qui avait mal tournée. Son corps couvert de sang. Le besoin de laver son corps et ces vêtements. Les douches. Elesie...
Ce souvenir lui revenait tel un boomerang. Il ne l'avais jamais revus depuis. Avec son travail sur terra et ses trop rares jours de repos il n'avait jamais pris le temps de la retrouver. Il se demandais ce qu'elle devenait. Et eus un petit sourire en coin quand il repensa à la nuit torride qu'ils avaient passés ensemble
Il repris le chemin du cartier de la toussaint et une fois làs bas, ce dirigea vers son hotel.
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Elesie était de passage chez une de ses bonnes amies. Le soleil était repartit aussitôt qu'elle avait sonné chez elle. Elle parlait de tout et de rien avec celle ci, prise dans ses pensées, dans ses souvenirs, cela faisait bientôt un an qu'elle n'avait pas revu Bleiz. Elle repensait à tout cela en tournant le pendentif dans tous les sens. Chaque soir et chaque matin elle observait le reflet du bijoux dans le miroir, elle en avait oublié sa beauté à force de contempler le bijou.
Son amie soupira et elle revint à ses esprits, elle comprit alors que cela faisait un bon moment que celle ci parlait seule.
<< Escuse moi Eléana, j'étais dans mes pensées, tu as vu cette pluie?>>
La jeune humaine essayait de changer de conversation de peur d'avoir raté trop de ce que lui avait dit Eléana. Cependant elle retomba aussitôt dans ses pensées. Et si Bleiz n'aimait plus les charmes d'Elesie, elle espérait que le jour ou il récupérerait son collier il ne serait pas trop décu de la voir.
<< Cela faisait plusieurs jours pourtant que le soleil carressait nos peaux.... Espérons qu'il revienne...>>
Le temps passait et Leur journée fut finie. Pourtant l'après midi ne faisait que commencer. Elle la remercia de ce moment passé en sa présence et regagna la porte.
Son amie ne manqua pas de la complimenter à nouveau pour sa tenue, pour Elesie cela paraissait normal, toutes ses tenues alliaient différents tissus, et toujours un corset porté à sa taille. Cette robe était unique, le corset noir dégageait les épaules d'Elesie et dévoilait une jupe trainante de soie blanche, assez étroite. Elle posa sur ses épaules un chale de soie et de dentelles blanches pour ne pas avoir froid seule par ce temps.
Elle portait à sa main une ombrelle, cela suffirait à la protéger de la pluie.
Elle descendit impatiente de s'enterrer dans un coin pour penser, toujours penser, elle n'avait plus que ses souvenirs désormais.
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Bleiz déambulait dans la rue. Lentement perdus dans ses pensée. A l'abri de la pluie sous son manteau à capuchon, il observais cette rue qui lui était si familière. Il avait été si inactif aujourd'hui qu'il se sentait comme avec un trop plein d'énergie à dépenser. Et le fait de repenser à Elesie et de se rendre compte qu'il ne la reverrais peut-être jamais, l'avait énervé.
Et c'est alors qu'il la vis.
Descendant un escalier. Portant une jupe blanche enserrée par un corset de cuir noir. Protégée du froid par un châle et de la pluie par une ombrelle. Elle marchait dans la rue l'air vague perdu dans ces pensée.
Il s'arretta de marcher, afin de mieux l'admirer. Car Elesie marchait dans sa direction et n'allait pas tarder à arriver à sa hauteur.
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Elesie regardait ses pieds avancer sur le sol mouillé. Sa robe absorbait l'eau et elle n'allait pas tarder à finir trempée. Elle se demandait ce qu'il pouvait bien faire et ce qui l'obligeait à ne pas rester au même endroit. Il devait avoir de bonnes raisons pour l'avoir laissée, et elle n'avait aucune raison de l'avoir laissé partir sans elle. Le clapotement de l'eau sur l'ombrelle l'enfermait dans sa bulle de pensées et ce bruit était bien que trop dérangeant. La pluie perlait sur l'ombrelle, tout comme l'eau des douches avait perlé sur son corps. Elle avancait à pas légers toujours tête baissée.
Elle se cogna contre quelque chose, du moins après réflexion elle se rendit compte qu'elle avait heurtée un homme. Elle se releva, le choc était tel que de se cogner contre un mur. Son ombrelle lui empêchait de voir le visage de l'homme et celui ci était bien trop grand pour qu'un simple regard soit utile. Elle regarda à nouveau observant les forment rectilignes que dessinaient sa musculature.
<< Escusez moi, je...je ne vous avez pas vu...>>
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Elle ne le voyait pas. Perdue dans ses pensée qu'il imaginais sombre vus qu'aucun sourire n'illuminait ce beau visage. Son ombrelle ne la protégeais pas complètement et elle commençais à être vraiment mouillée. La voir ainsi sous la pluie, lui rappelai sa beauté dans les douches, lors de leur rencontre. Ses cheveux collaient contre sont visage exactement de la même façon.
Quand elle arriva sur lui elle le percuta. Son ombrelle séparais son visage du sien si bien qu'elle ne l'avait surement pas reconnus. Elle s'excusa d'une petite voie timide sans même le regarder.
Bleiz eus un petit rire de savoir qu'elle s'excusait de l'avoir touché alors qu'il n'attendait que ça
Mais je vous en pris jolie demoiselle c'est normal avec cette pluie
Il marqua un temps d'attente et repris avec un sourire
Il pleut si fort qu'on se croirai sous une douche...la chaleur en moins bien sur.
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Toujours dans ses pensées, elle ne fit pas attention qu'elle parlait en frissonnant, en effet les douches étaient un très bon souvenirs mais aussi un mauvais, la fin avait été dure, pour elle ce moment était oublié de Bleiz et elle versait quelques larmes et répondit à l'homme sans prendre réellement conscience de ses paroles.
<<En effet on pourrait bien être sous une douche, et bien entendu la chaleur en moins... bien malheureusement...>>
surprise elle leve la tête d'un coup et se sentit étrangement sotte, soulagée, comme heureuse, elle se mordit les lèvres, cligna à plusieurs reprises des yeux, se pinca le bras, se donna une gifle et réalisa que Bleiz était bien en face de lui, honteuse de ne pas s'en être rendu compte avant elle baissa la tête. Tête baissée elle souriait de toute ses forces, emportée par la joie.
<<Tu es bien la n'est ce pas?>>
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Elle le regardait de ses yeux hypnotisant. Il ne pouvais que sourire a sa vue. Elle était si belle. Et en même temps si triste. Il aurait souhaiter ne jamais voir de larmes perler ce magnifique visage.
-Je suis autant là que toi. Et j'éspere que tu es aussi heureuse que moi
Il s'approcha d'elle pour la sentir. Pour la toucher. Il essuya ces larmes puis toucha le pendentif qu'il lui avait offert et lui dit en chuchotant.
-Je t'avais dit que tu me reverrai
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Elle regardait ses mains qui la touchaint et en prit l'une d'elle pour l'embrasser, la sentir, la caresser sur sa joue. Elesie était aux anges désormais, elle souriait, et ce même si le temps ne le permettait pas. Prise par élan elle sauta au cou de Bleiz, comme ayant enfin réalisé qu'il était bien là, bien sûre qu'elle était heureuse, jamais elle n'avait ressenti une joie pareille, leurs retrouvailles comptaient dans son coeur presque plus que ces douches répétées encore et encore dans sa tête.
<<Oh mon Bleiz.... Tu m'as tellement manqué, je suis si.... heureuse de te voir>>
Puis tout d'un coup elle se rappela qu'il devrait surement repartir à nouveau, alors elle l'enlaca plus fort, espérant se tromper. Elle mit sa tête face à celle de Bleiz, plongeait ses yeux dans les siens, elle voulait trouver une réponse mais n'y voyait rien. Elle tourna finallement le regard sur ses cheveux mouillés, jamais il ne la verra les cheveux secs apparemment. Elle espérait ne pas lui déplaire, un an s'était écoulé et elle avait craint ce qu'il aurait bien pu penser.
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Elle embrassa sa main puis lui sauta au cou. La sentir si prêt de lui, sentir son odeur, le ramena loin en arrière quand il était avec elle.
D'un coup elle cessa de le serrer puis plaça son visage en face du sien pour le regarder dans les yeux. Son regard l'envouta d'une façon dont lui seul en était capable. Elle regarda ensuite ses cheveux mouillée d'un air gênée comme si elle se sentait coupable d'être trempée en face de lui. Cela le fit sourire car la voir les cheveux mouillée lui rappelai le soir de leur rencontre ce qui n'était pas pour lui déplaire.
Il la regarda encore un moment et finit par dire
-C'est pas le tout mais faut songer à rentrer. On risque d'attraper la mort
Les yeux d'Elesie prirent une expression inquiétée. Comme s'il allait partir sans elle. Il la souleva en la tenant par les jambes et les épaules, puis lui dit
-Mon hôtel est juste là. Tu m'y accompagne ?
Sans attendre sa réponse il commença à marcher. Les quelques mètres qui le séparèrent de l'hôtel furent vite franchis. Il arriva à l'entrée du petit hôtel modeste ou il résidait et fit un clin d'œil au standardiste qui les regarda hébété. Il arriva à sa porte et en lâchant les épaules d'Elesie sans pour autant qu'elle ne tombe, il prit les clefs dans sa poche pour ouvrir la porte et entra dans sa chambre.
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Elesie suivie la scène du regard, elle se demandait si elle avait le choix, elle ne comprennait pas l'air que prenait le standartiste. La belle humaine ne voyait pas vraiment ce qui allait bien pouvoir se passer. Elle aurait aimer prendre les jambes à son cou et s'en aller avant qu'il ne lui dise adieu. Par la fenêtre de sa chambre d'hotel, la pluie tombait de plus belle, elle repensa au fait que la plus était pour elle un moment très douloureux, mais dans le bras de Bleiz, la pluie n'était qu'un bon souvenir.
Elesie voyait ses vêtements complètement mouillés, seul son corsage y avait échappé. Ses jamabes se dessinaient alors plus clairement sous sa jupe blanche ansi que tous les courbes de son corps.
Elle souffla un bon coup et se demandait s'il allait finir par la reposer.
<<Euh bleiz.... je ne comprends pas, cette chambre à l'air d'être habitée depuis longtemps...>>
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Il la posa doucement sur le bord de son lit, Puis se dirigea vers le porte-manteau pour poser le sien. Lorsqu'il entendit sa question il y lut une pointe d'inquiétude.
-Bien sur. C'est ma chambre habituel quand je viens dans cette ville. Je la garde louée pour toute l'année car je ne sais jamais que je reste et quand je pars. Je l'occupais déjà lors de notre derniere rencontre.
Il retira ces chaussure puis pris un linge dans une armoire pour le passer à Elesie
-Tiens tu pourra t'essuyer. Je passe souvent en ville. Mais ne reste jamais très longtemps. Quand il pleut comme aujourd'hui et que je passe devant le lycée, je repense à toi et je me rend compte que je ne sais même pas ou chercher pour te retrouver. Et après mon travail me reprend et je repars. Je sais bien que j'aurais du essayer de te trouver plus tôt. J'en suis navré.
Tout en disant ces paroles il s'était assis sur un fauteuil en face du lit.
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Elesie ne cherchait pas des justifications, elle essayait sans doute de trouver un moyen de ne pas s'attacher à lui, mais il était trop tard pour y remédier. Elle s'essuya les cheveux, et le regardait. Il était là posé sur un fauteuil, en face d'elle, et elle qui hésitait entre partir en courant pour ne pas souffrir à nouveau ou aller à ses côtés pour profiter de chaque instant en sa présence. Une fois à peu près sèche, elle finit par le rejoindre, debout face à lui qui était assis, il était aussi grand qu'elle alors qu'elle était droite sur elle-même.
Elle passa ses mains sur le visage de Bleiz, puis sur ses cheveux pour les caresser, ce toucher était pour elle un véritable plaisir.
Elle souriait, contente d'être partie tôt de chez Eléana.
<<Tu n'as pas à te justifier pour moi, tu sais.... comment le dire.... dans cette histoire je me contente de subir, moi non plus je ne savais pas où te chercher, c'est la preuve que j'ai été assez stupide pour ne pas partir à tes côtés...>>
Elle baissait les yeux déçue d'elle et rentrait son sourire entre ses dents. Elle ne cessait de se mordiller les lèvres comme gênée et fautive.
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Elle s'approcha de lui et lui passa la main sur le visage et dans les cheveux. Elle lui dit qu'elle aurait voulu l'accompagner.
Tu n'aurais pas pus. ça aurais été dangereux. Je vis une vie risquée Elesie ou il vaut mieux ne pas me suivre. Mais je suis heureux d'être en cet instant avec toi et c'est tout ce qui compte.
Il la tira vers lui afin qu'elle s'assoit sur ses genoux. Doucement mais surement, il attira son visage contre le sien et l'embrassa
Toi aussi tu m'as manqué Elesie.
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Elesie fit glisser ses bras le long des épaules fortes et larges de Bleiz, les deux mains enlacés, ses lèvres à quelques souffles de celles de son amant.
<<Si risquer ma vie est le prix à payer pour être à tes côtés.... laisse moi aller aux devants du suicide>>
La belle humaine souriait, elle n'avait jamais été aussi lucide dans ses paroles, le frôlant à peine des lèvres, cherchant à procurrer chez lui le désir de l'embrasser avec fougue. Elle se mit à sourire, arrêtée dans son jeu. La belle le regardait dans les yeux, elle mettait tellement son coeur à l'ouvrage qu'elle aurait pu lire au plus profond de son âme, elle souhaitait glisser de la colle sur leurs corps pour que plus jamais leurs contacts ne cessent. Elle n'osait pas l'embrasser, en attente de sa réponse, latente de son désir.
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Ne parlons pas encore de ça ma chérie. Il ya trop longtemps que nous nous sommes revus. Profitons de cet instant intensément
D'un mouvement il se leva en la tenant au dessus de lui. Puis l'allongea sur le lit et ce mit au dessus d'elle. Il la regarda entièrement savourant se désir pour l'instant inassouvis qu'il avait pour elle. Il appuya son bassin contre le sien afin de lui faire sentir à quel point elle l'excitait.
J'ai envi de toi Elesie. De toi toute entière.
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Elesie se laissait porter jusqu'au lit, sentant la peau de bleiz devenir chaude, il était sur elleet mourrait d'envie de construire avec lui une nouvelle aventure. Elle sentait le désir qu'il avait au moment où il colla son bassin sur celui de la belle nymphe. Elle entendait ses mots comme des paroles divines et ne pouvait s'empêcher de sourire à l'aveu qu'il venait de lui faire. Elle le désirait elle aussi et tout entier. Elle glissa une jambe sur lui pour faire monter son désir et l'embrassa langoureusement. Leurs lèvres s'emboitaient parfaitement comme s'il avait était fait l'un pour l'autre.
<< Dans ce cas mon ange....cessont de perdre notre temps à parler...>>
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Il n'était pas tout a fait d'accord car sa voix langoureuse était comme des gouttes d'huile qui l'enflammai encore plus. sa bouche ne quitta pas la sienne. Son gout lui avait trop manqué. Ses mains parcoururent chaque parcelle de son corps, s'attardant sur les parties qu'il préférait.
Il la pris dans ses bras et se retourna afin d'être sur le dos avec Elesie sur elle. Il la vit dans toute sa splendeur et son érotisme. Sa courte jupe blanche dévoilant ses jambes reposant de chaque coté de Bleiz. Il l'embrassa à nouveau, passant doucement ses mains sous sa jupe pour tendrement caresser ses fesses.
Ton magnifique corps m'as tant manqué.
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La jeune nymphe sentait sur son corps des caresses aussi douces et délicieuses les unes que les autres. Elle voulut s'emparer à nouveau de lèvres de Bleiz mais fut surprise de ce qu'il venait de lui annoncer. Après un an il aimait toujours autant son corps, elle se sentait revivre aux côtés de Bleiz, il arrivait à calmer la soif charnelle de la jeune humaine, et en échange elle lui offrait un plaisir nouveau à chaque fois.
Elesie amena les mains de Bleiz dans son dos, pour défaire son corsage. Ses vêtements blancs et mouillées faisaient transparaitre les sous vêtement de celle ci.
La jeune humaine portait un porte jaretelle aussi doux que la soie, parsemé de dentelles. Pour elle, le plaisir n'allait pas sans la longerie raffinée qu'offait soie et dentelle. Et jusqu'à aujourd'hui les hommes ne s'étaient pas enfui décu par elle, bien au contraire.
Alors qu'il défaisait son corsage, elle s'allongea contre son torse pour lui voler un bref baiser, ce qui avait tendance à faire grandir les pulsions.
<< Quand à toi.... tout chez toi m'a manqué, je désirerais vraiment être toujours ainsi... moi...posée sur ton corps musclé...s'offrant au monde du plaisir...juste nous deux....>>
Elle se mit à sourire, de ce qu'elle disait, cela lui paraissait tellement vrai, qu'elle n'osait le décevoir, elle ne voulait vraiment pas qu'il parte si tôt...
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La vision de son corps. Libéré de son corsage fut lumière au yeux de Bleiz. Ses dessous, à peine cachés par ces vêtements blancs mouillés, ce porte-jarretelle si excitant car porté par elle. Elle se lova contre lui et lui vola un nouveau baiser. Il la releva pour l'embrasser tendrement de nouveaux. Il lui retira ses vêtements blancs afin de contempler son corps dont la beautée était accentuée par ces poétiques dessous. Il retira lui aussi son T-shirt et colla son corps contre elle dans une douce mais forte étreinte. Il commença à embrasser chaque parcelle de son corps. son cou, sa nuque, et commença à descendre jusqu'a ces seins.
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Elesie frisonnait de désir à chaque fois que les lèvres du bel homme se collaient à son corps. Elle avait envie de tellement de romance qu'elle se laissa prendre au jeu.
La belle vénus se releva et se dirigea vers la fenêtre pour contempler le ciel, elle tourna légèrement la tête pour voir sa réaction. Son corps éclairée par les rayons entrants était tout aussi clair que sa lingerie satinée de blanc. Elle se mit à rire légèrement, prête à lancer les dés, à le faire languir.
Sa silhouette parfaite et pauvrement vêtue était visible depuis le quartier. La nuit était tombée, et dans le ciel flottaient des étoiles aussi fine qu'un grain de sable. Elle cessa ses rires et soupira avec tendresse.
Elle plaça ses cheveux longs et soyeux d'un coté de son cou, ils n'étaient pas complétement secs, et légèrement ondulés. Elle faisait parcourir ses mains le longs de sa poitrine, toujours de dos à Bleiz, sentant le désir grandir de plus belle.
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Il la vit ce lever et contempla ce corps sous les rayons lunaire. Sa peau clair reflétait la lumière de la lune d'une manière irréelle. Son rire était tel un doux son de clochette qui ajoutais un peu de tendresse enfantine à sa beautée. Son rire fut remplacé par des soupirs qui faisait monter le désir de bleiz. Il se leva puis s'arrêta un moment pour enlever son pantalons afin de ne se retrouver plus que vêtus d'un léger boxer déformé par l'envie de Bleiz.
Il se dirigea vers elle et se colla doucement contre elle afin de la prendre dans ses bras. Elle ne pouvais pas ignorer la sensation qui venais derrière elle. Bleiz mit tout doucement ces mains devant sa poitrine et se mit également à la caresser.
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Elesie sentait le désir de Bleiz monter, elle savait comment faire pour se faire désirer, mais à chaque fois avec Bleiz elle se faisait prendre à son propre jeu.
La jeune humaine sentant les mains de Bleiz sur sa poitrine se retourna en douceur pour le voir presque nu, elle ne l'avait encore jamais vu ainsi, et fut charmée par la simplicité de cet instant. Elle vit aussi le sexe de Bleiz dessiner une forme rigide sur ce boxer qui lui allait à ravir.
Apres avoir fait glisser ses mains sur le torse agréablement musclé de Bleiz, la vénus alla placer ses mains dans la nuque de celui-ci, les talons levé pour se mettre à hauteur de Bleiz, elle lui arrachait des baisers. Elle glissait ses lèvres avec douceur, du menton, aux joues, au creu de son cou, puis ses lèvres. Elle aimait avoir sur ses lèvres le gout de la peau de son bel amant.
Elesie l'attrapa par la main pour le diriger vers le lit, elle marchait en ariière pour rester de face à lui.
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Elle le dirigeai à nouveau vers le lit. Dommage bleiz aimai bien le faire debout. Il la vit ce coucher sur le lit et il allait ce placer au dessut d'elle, mais il ne s'allongea pas complètement. Il l'embrassa bien sur, mais se mit ensuite à descendre, cm par cm le long de son corps. Il s'attarda légèrement sur ses seins, mais redescendit à nouveau. Plus il descendais, plus elle frémissait de tout son corps. jusqu'a ce qu'il arrive entre ses jambes. Il commença par de léger baiser à travers le tissu, puis tout doucement, il retira la culotte des jambes d'Elesie. puis se remis devant elle pour l'embrasser. Les baiser furent vitent remplacés par des coups de langues légers.
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Elesie sentait la chaleur des lèvres de Bleiz se déposer sur son corps, elle ne pouvait s'empêcher de gémir, seul le fait que Bleiz la touche lui provoquait bien des sensations. Ses pieds passaient en pointe pour tourner légèrement, ses orteils se croisaient et se décroisaient sous l'effet du plaisir, ses mains qui au début se balladaient sur son ventre finir par serrer les oreillers derrière elle. Elle ne voulait pas crier de plaisir maintenant. Elle mit fin à cette gourmandise en le ramenant à ses lèvres. Il l'avait prise au piège et voila que c'était elle qui désirait impatiemment un contact plus charnel.
Elesie le placa là ou elle fut installée auparavant et l'embrassa à son tour, au dessus de lui. La main droite d'Elesie caressait le doux boxer de Bleiz, tandis que son autre main était accrochée à la nuque de son bel amant.
Elle finit par lâcher les délicieuses lèvres de cet apollon pour descendre plus bas. Son chemin était parsemé de tendres baisés, de caresses traçant le contour des ses muscles généreux. Elle donnait quelques cout de langue sur son sexe recouvert de ce tissus qu'elle désirait lui arracher par dessus toi puis finit par prendre en main le pénis de Bleiz. Elle inséra celui ci dans sa bouche toujours plus désireuse de lui offrir du plaisir. Elle émettait de légères aspirations pour être au plus près des parois de son sexe.
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Elle le retourna, certainement dans une idée de "revanche" elle fit subir à Bleiz le même traitement qu'elle venait de subir. Elle prenait son temps pour descendre vers son objectif afin de donner encore plus envie à sa victime. Plus elle descendait, plus la respiration de Bleiz s'accélérait. Quand elle arriva enfin, Bleiz pensait que sa torture était terminés et qu'il pourrait enfin se sentir dans sa bouche, mais elle prit encore le temps lécher quelque coups par dessus le boxer de son amant. Enfin elle retira doucement le dernier vêtement qu'il portait et la pris en bouche.
MMMMMMh oui.
La sensation fut si forte qu'il ne pus s'empêcher de gémir. La fellation qu'elle lui prodiguais était encore meilleur que celle qu'elle lui avait faite dans les douches il y a un an. Son plaisir était tel qu'il sentait déjà l'orgasme venir. Il l'arrêta alors et l'embrassa sauvagement. Il la repoussa contre le lit et ce mit au dessus d'elle.
Si je ne peux pas te donner de plaisir gratuitement, toi non plus dit il dans un clin d'oeil.
Il se remis à l'embrasser et à la caresser. Frottant son sexe contre le sien sans le rentrer. d'une main il détacha son soutiens-gorge, afin que le seul habit qui reste à Elesie fut son porte jarretelle. Il massa l'un des seins de sa main libre et pris l'autre en bouche avec gourmandise.
Sans cesser ce traitement, il approchai doucement son sexe de l'entrée des plaisirs
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Elesie ne disait mot. Elle était son jouet comme il était le sien. Elle se mordait les lèvres toujours plus fort à chaque baiser qu'il déposait sur son sein. Rien n'était plus doux que la chaleur des lèvres de Bleiz posée sur sa poitrine, il trouvait en elle les endroits où son plaisir s'accentuait. Elle sentait un frottement délicat et délicieux au niveau de son sexe. Leurs désires montaient ensemble et étaient liés.
Elle aurait voulut tout prendre en main, l'avoir accueilli en elle depuis longtemps, cette pénétration froide et légère qu'était la première était toujours la plus attendue d'Elesie, bien que Bleiz faisait de chaque va et vien un réel plaisir.
Elle posa ses mains sur le dos de son amant pour en caresser ses formes. Elle finit par le ramener à ses lèvres, ne lâchant plus son visage. Les mains balladeuses et tendre de la jeune nymphe rapprochait toujours plus bleiz à elle, Elesie aimait se sentir le plus près possible de son corps, elle se sentait fragile dans ses bras, faible et lui appartenait.
Ses lèvres teintées de rouge et pulpeuses embrassait à douceur celle de Bleiz à cet instant.Elle les pinçait légèrement entre les siennes à chacun de ses frissons.
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Bleiz entra enfin en elle. Prenant tout son temps sachant qu'elle adorait l'instant de la première entrée. Tout doucement, centimètres par centimètres, il avançait en elle prenant le temps de voir le plaisir grandir dans ses yeux. Incroyable comme il se sentait bien en elle. La perfection de son corps et l'ardeur de son regard décuplait son plaisir déjà inimaginable.
Une fois arrivé au fond d'elle il se retira d'un coup afin de revenir tout doucement. Il continua ce petit jeux longtemps afin de profiter de cet instant magique.
C'est si bon Elesie.
A nouveau sa bouche se balada sur son visage et son cou, embrassant, léchant, mordillant.
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Le corps d'Elesie était incontrolable, ses désirs étaient toujours satisfait avec Bleiz et ces sensations multiples l'envoyaient à chaque fois vers de nouveaux horizons.
La chaleur du corps du bel homme et la tiédeur des draps donnaient à Elesie un confort inégal. Elle sentait en elle ce doux présent du ciel qu'était le plaisir.
Bleiz entrant en elle en douceur pour sortir de façon bien plus vive lui faisait tourner la tête. Ell le cherchait du regard mais la musicalité de leurs souffles la troublait.
Elle s'était éprise de lui et de leurs unions.
La belle humaine sentant les lèvres de l'ange sur son corps, les entraina vers les siennes pour y déposer de multiples baisers.
Elle se souciait du plaisir qu'elle pouvait lui offrir et se contenta d'exercer de légère contractions à chacun de ses passages, ainsi son bassin devenait étroit et lâche par moment, régulant les pulsions du plaisir.
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Bleiz se sentait revenir une année en arrière, il retrouvai enfin cette intense sensation qu'il avait connu auprès d'Elesie dans les douches. Il s'était collé contre elle se rapprochant dans une étreinte. Il était bien avec elle. Elle était une source de douceur agréable dans la vie qu'il menait. Les mains de Bleiz parcouru le corps de la belle dans de légère caresses.
Il la serra un peu plus fort et se retourna en la mettant au dessus de lui. Il en profita pour la serrer encore une fois et de caresser son dos, pour ensuite descendre ses mains vers ses superbes fesses.
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Elesie se retrouvait sur lui, enlacée de toute part par lui, elle savourait chaque instant et mettait tout en oeuvre pour que chacune de leurs rencontres soient uniques.
Elle se redressa, posant une main sur son torse, et faisait des avancées avec son bassin. Son corps ondulait au rythme des pulsions qui l'envahissaient.
La jeune humaine attrapa une main de Bleiz pour la mettre dans ses cheveux, elle griffait avec douceur les hanches de l'homme. Elle bougeait désormais telle une furie assoiffée, elle le désirait plus que tout.
Elle leva le regard au ciel, faisant s'étirer son cou si sensuel, on aurait pu prendre l'extase d'Elesie tel le désir d'une morsure. Son corps se faisait plus chaud, sa poitrine se dessinait parfaitement sous l'exitation, de leurs courbures au pointes. Son ventre plat se creuser par son déhanchement et sa personne en entière semblait se soulever.
Elesie gémissait de plus en plus laissant s'échapper des cris que tout le voisinage désirait. Bien des personnes entendant ces sons aurait aimé être présent dans la pièce.
Ses lèvres se voulaient plus pulpeuses et son corps plus allongé.
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La vue de son corps dressé au dessus de lui sous la clarté de la lune rempli à la fois Bleiz de désir et de fierté. La fierté d'être accepté par cette sublime créature en son sein. L'érotisme unique qui se dégageait de cette femme était incroyable. Les mouvements de son bassin était à la fois excitants et poétiques. Non seulement elle savait ce servir de se sublime corps, mais elle savait le faire avec un grâce jamais vue par Bleiz jusque-là.
Il se redressa afin de toucher ses lèvres dans un baisé. Il voulais se rapprocher d'elle. Ce rapprocher de cette beautés nocturne qui avait longtemps peuplé ses rêves sur Terra. Ses mains caressaient toujours ses fesses et conduisaient légèrement leur mouvements.
Elesie! Je suis si bien avec toi.
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<<Moi aussi mon ange...>>
Elesie colla sa poitrine contre le torse généreusement musclé de Bleiz, embrassa langoureusement la cou de celui ci. Elle se serait toujours plus pres de lui, atteignant du bout de levres celles de cet homme qu'elle aimait par dessus tout.
La jeune nymphe ne faisait que l'effleurait du bout de ses lèvres pulpeuses. Son corps entier ondulait faisait des courbes de bas en haut, embrassant le torse puis le menton. Elle ne pouvais se lasser de le toucher tellement le plaisir était grand.
Elle se courba légérement émettant des coups vifs de bassin, puis sortit le sexe de Bleiz à une main pour le caresser. Toujours allongée sur lui, elle le faisait entrer en elle puis ressortir, elle prenait plaisir à agir avec tendresse, aussi douce que de la soie, fragile et esquise.
Elle le fixait du regard, prunelles bleues confondues dans celui du bel ange. Elle ne lachait plus ce visage qui lui avait tant manqué, une main touchant délicatement le torse de l'homme, une autre se glissant derrière la tête de celui ci, le temps arrêté, le silence absolue, seulement leurs souffles qui dessinaient une mélodie parfaite, en parfait accord, bercée par des mouvements longs et précis.
<<Tout est si parfait... tu es si parfait, je....>>
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La seul perfection ici est devant moi!
Devenant d'un coup plus sauvage, il se leva du lit en la soulevant et la porta jusqu'à la coller contre le mur. Il la tenais avec les mains par le bassin ce qui le laissait libre d'aller et venir avec ses hanches. Il se permettait d'aller plus vite et plus fort dans cette position. Il l'embrassai sauvagement la regardant droit dans les yeux d'un regard intense. Ses lèvres quittait les siennes pour mordre légèrement son coup
Tu aime Elesie ?
La sensualité de l'instant était accentuée par le bruit de la chair claquant contre la chair qui emplissaient la pieces
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Elesie se laissa porter jusqu'au mur pour sentir en elle de nouvelles sensations. Cette situation lui rappelait les douches et le profondeurs de son plaisir ne cessait de se remplir.
Elle ne pouvait répondre et se contenta de bouger la tête. Ses yeux cligneaient à une allure folle et sa poitrine ,rythmée par ses respirations, semblait danser.
Elle passa ses bras autour de lui, elle sentait bien qu'elle ne tomberait pas, elle voulait juste sentir son corps d'un peu plus pres.
L'embrasser encore, vivre ces instants jusqu'à la moindre seconde, faire en sorte qu'il ne veuille jamais repartir.
Elle posa sa tête contre celle de son ange, ses lèvres parlait à Bleiz par de long souflles, les yeux fermés, le plaisir se faisait dense.
<<Oh oui Bleiz, je t'interdit de me faire oublier ces instants...>>
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les lui faire oublier ? Il ne savait même pas si lui il pourrait les oublier. La chaleur de son vagin faisait trembler Bleiz à chaque fois qu'il la pénétrait. Il observais son visage. Voyant ses yeux s'étrécir légèrement à chaque pénétrations. Voir son souffle s'accentuer de gémissement. Elle était si belle.
Sa force le lui permettant, Il enleva une de ses mains de son bassin pour lui caresser légèrement la joue, puis les cheveux. Il passa sa main dérriere son cou et l'embrassa
Je suis si bien en toi Elesie!
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Elesie sentait les doigts de Bleiz se promener sur son corps pour atteindre son cou. A chaque contact elle frémissait et gémissait, elle était en cet instant à fleur de peau.
Quelques méches de cheveux venaient sur le visages d'Elesie et elle gouta les lèvres de Bleiz à nouveau.
Il faisait extrêmement chaud maintenant et elle effectuait de légères contrations à intervalle régulier, elle était affaiblie par tant de plaisir et les mots que lui susurrait l'homme devenaient poésie à ses oreilles.
Elle garda les yeux fermés tout le long des baiser, et à chaques fin de ces moments tendres, ses yeux s'ouvraient avec lenteur. Elle le regarda avec tendresse et passion, ses lèvres bougeant comme pour parler, mais aucuns sons ne pouvaient en sortir.
Elle colla ses pomettes rosées par le désir sur la joue de Bleiz ne pouvant plus agir, prenant juste plaisir à le voir et l'avoir en elle.
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Bleiz n'était plus qu'instinct et plaisir. Ses mouvements étaient puissant et faisaient trembler Elesie à chaque coup de butoir.
Il tenait cette position depuis un moment mais rien ne pouvais l'en sortir. Ces cuisses commençais à chauffer et la sueur perlait sur son dos mais il n'en avais cure. Seul son plaisir et celui de sa partenaire comptais pour lui en cet instant. Il mit de nouveau ses deux mains au niveau de ses hanche puis se penchait en avant pour prendre également appuis sur le mur, afin que toute sa force soit concentrée dans son bassin. Il imposa vite un rythme effrénée et puissant.
Il voulais qu'elle cris. Il voulais qu'elle viennent. Il voulais qu'elle s'abandonne au plaisir.
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Elesie se retenait de faire trembler les murs par des cris, elle ne voulait pas alerter le quartier, elle souhaitait garder ce plaisir pour eux seul. Elle serrait les dents, mordant sa langue pour ne pas parler, pour ne pas souffler, pour ne pas arriver à terme.
Elle se sentait étrangement bien et la chaleur perlante sur le visage de Bleiz lui fit comprendre qu'il en était de même pour lui.
Elle approcha ses souffles de l'oreille de Bleiz pour lui faire comprendre que la luxure était un pêché qu'il pratiquait si bien.
Leur corps collés, comme unis, se frottaient l'un contre l'autre par les mouvements, elle était toujours accroché à lui, encore plus accrochée.
Ses mains cherchaient à s'agripper sur les fortes épaules de l'homme comme se retenant de faiblir.
Seulement elle se mit à gémir tendrement, luttant contre la jouissance et se mit à parler de plus belle, prononcant seulement un mot:Bleiz....
Elle se sentait venir à bout mais elle ne voulait pas cette fois ci faiblir la première, et fit pour cela des contractions plus violents accompagnant chacun des gestes qu'il s'efforcait de faire vifs.
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Les soupirs d'Elesie a son oreille l'excitait d'une façon inégalable. Il sentait la respiration de son amante soulever sa poitrine qui était collée contre son torse. Elle se collais à lui comme si elle avait peur qu'il parte. Et partir, il n'en avait aucune envie. Il était bien. Ici et maintenant, le monde extérieur n'existait plus et seul la beautés de cette femme et le plaisir de son corps l'intéressait.
Il sentait qu'il s'y prenait bien avec elle, il l'entendait gémir, et surtout il l'entendais prononcer son prénom qui n'avais jamais parus si excitant à Bleiz.
l'excitation montais à un point tel qu'il commençais à ce sentir venir.
Elesie...je...je vais venir.