Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Complexe d'études secondaires et supérieures => Bureau de la direction et infirmerie => Discussion démarrée par: Hirano le mardi 05 janvier 2010, 14:02:18
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Sa faisait qu'un mois que Hirano avait quitté sa famille. Pour lui sa faisait une éternité qu'il avait pas vu un seul membre depuis que sa tante était parti de Seikuzu et sa ne le dérangeait pas le moins du monde. Il se sentait beaucoup mieux ainsi. Une journée scolaire ordinaire venait de se terminer. Quatre heures et demi, le soleil brille dans le ciel et la température est très agréable. Hirano décide alors de faire un tour dehors profitant que le petit démon Grendel dort dans sa chambre de la pensionnat.
Les bras entendu je baillait assez bruyamment, j'étais assis sur un banc et je me reposait de la longue journée qui à été très épuisante. Il fait beau et je ne suis pas trop motivé pour écouter les jérémiade de Grendel. Alors j'en profite pour changer mes penser. Si j'avais des amis ou de simple copain j'irai bien faire un tour avec, mais tous ceux que j'ai rencontré on soit disparu ou ils sont tenter de me tuer. Je repense à toutes ces choses que j'ai vu depuis que je suis arriver. Du petit démon à créature bizarre et dans tous sa je me sentait sentais affreusement seul. Bha mieux vaux être seul que mal accompagner, et une pensé à ma famille me vint quand je suis dit cette phrase.
Je lâcha un soupire quand un bruit attira mon attention. Je me leva pour voire par curiosité et je découvrit deux personne qui déchargeait du matériel pour le lycée. L'un d'eux me vit et m'interpella.
-hey !! jeune homme! Tu pourrais nous aider ?
Fit un signe de la tête et je me joignit à eux pour transporter une caisse visiblement très lourde. Après une brève discutions qui parlait de la transporter jusqu'à l'entrée de l'établissement, on commença à la porter. Ouf elle était très lourde mais sa allez, enfin je crois. Après une dizaine de mètre l'un des deux hommes perdit l'équilibre et fit tomber la caisse qui se brisa au contacte du sol. Quelque chose ressemblant à une tôle de fer en sorti et me toucha l'avant -bras. Ce qui me fit lâcher à mon tour tous en poussant un grand cri.
-AÏE !!!
j'attrapai mon poignée touché et constata que je saignais.
-et petit sa va ?
-oui oui , sa va, rien de grave.
-tu saigne non? Va à l'infirmerie sa va aller pour nous ici. Merci de ton aide.
On me donna un en tissus et après les avoirs remercier je me dirigeait dans l'établissement. En cour de route je remarqua que je saignais vraiment beaucoup. C'était plus gras que je le croyais. S'accéléra la vitesse dans les couloirs et je vit des goutes de sang qui perlaient du mouchoirs qui était bien imbiber.
Quand j'atteignis enfin l'infirmerie. Je ne trouva personne. Du moins je n'arrivais pas à voire comme il faut je m'assis sur un lit quand ma tête commença à tourner et j'appelai pour que quelqu'un viennent m'aider.
-il y à quelqu'un ? J'ai besoin d'aide.
Peu de temps après je me coucha sur le coter et perdit connaissance.
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Le temps était radieux. Le soleil était de la partie et la température était très douce. Mais ce n'était pas un jour de congé et Héléna avait passé sa journée à l'infirmerie du lycée. Elle était arrivé à Seikusu il y a une semaine mais elle avait déjà l'impression que cela faisait plusieurs mois. Les jours passaient et se ressemblaient comme si un sablier s'écoulait lentement. Bien entendu la jeune femme avait du travail puisque de nombreux élèves venaient régulièrement pour des mal de tête et autres maux mineurs plus ou moins simulés. Le seul soucis était cette routine qui s'installait petit à petit. Bien entendu, Héléna ne souhaitait pas qu'un drame se produise mais si un sportif pouvait avoir besoin de "soins" elle serait ravie de s'occuper de lui.
La fin de la journée approchait et Héléna se décida à quitter l'infirmerie le temps de faire une petite pause. La salle de repos du personnel n'était pas loin donc en cas d'urgence elle pourrait agir rapidement. Si urgence il y avait, ce qui n'arrivait que très peu souvent. La jeune femme pris un café au distributeur et discuta un petit moment avec une petite bonne femme, professeur d'histoire de son état. Malheureusement la-dite professeur avait un cours à préparer et Héléna retourna à l'infirmerie.
Pour finir la journée, la jeune femme pensait faire un peu de paperasse, mais l'un des lits était utilisé. Un jeune homme inconscient était en train de tacher les draps avec son sang. La routine était brisée. Héléna prit en vitesse une lotion désinfectante et de quoi panser la plaie. Après avoir nettoyé la plaie, elle appliqua une compresse puis la fixa avec une bande. Heureusement la blessure n'était pas profonde, et le jeune homme semblait reprendre des couleurs.
*Mais comment a-t-il pu se faire une blessure pareille ?*
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j'ignore combien de temps je suis resté inconscient, ni comment je me suis retrouvé soignée d'une blessures qui c'était montré moins grave que je que je le pensais. Mes seuls souvenirs était ce rêve. Et encore c'était pas sur, car plus j'essaie de me le rappeler plus y disparaît. Mais je sais que ma famille y étais ainsi que des personnes que j'avais rencontré mais qui avait disparu tragiquement ou mystérieusement. Puis j'arrêtai de me prendre chercher ce que c'était.
Doucement, j'ouvris les yeux. Il faisait toujours beau mais la lumière du soleil m'aveuglais. Qu'est ce que je me sens mal. J'ai l'impression d'avoir perdu toute mon énergie au point que je n'avais pas envi de bouger. J'émis quelques gémissement et j'éclaircis ma voix. Puis mes yeux s'habitua enfin à la lumière. Je fus surpris de voire quelqu'un à coter de moi qui m'observer. Quelqu'un se faisait du soucie pour moi ? C'est bien la première fois. Je vis que c'était l'infirmière de service qui c'était occupé de moi. Je lui souris et lui parla.
-vous m'avez sauvée la vie, je vous en remercie infiniment.
De nouveau j'avais la sensation que je devais quelque chose, mais là c'était pas rien, elle m'avait sauvé la vie. Mais je ne voulais pas rester dans cette endroit plus longtemps puis je tenta de me lever.
-je suis sincèrement navré des dérangement que j'ai causé, et je vous rem... ouille
j'avais de la peine à le me relever cela me faisant encore mal.
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Le jeune homme ouvrit rapidement les yeux. Son évanouissement n'avait sans doute pas duré longtemps, mais Héléna n'en était pas sûre et dans le doute, préférait garder son patient à l'œil. La plaie ne "débordait" pas et c'était un bon point, mais rien n'indiquait qu'elle ne saignerait pas à nouveau quand il bougerait. La routine était brisée certes, mais une vie n'était plus en danger. La jeune femme remarqua que la lumière semblait le gêner, et s'apprêtait à baisser les stores quand l'étudiant commença à parler.
Il avait un sourire charmant, mais Héléna n'était pas encore suffisamment tranquille sur l'état de son patient pour y prêter entièrement attention. L'idée par contre qu'elle lui avait sauvé la vie la fit sourire. Sa blessure n'était pas si grave, mais son évanouissement l'avait un peu déboussolé au point de lui faire dire des âneries. La jeune femme ne lui en voulait pas, tout le monde n'était pas habitué à voir autant de sang et ni particulièrement à en perdre. Au moins durant ses études, elle en avait vu des vertes et des pas mûres en matière de plaie en tout genre...
C'est à ce moment que le jeune homme essaya de se relever, sans grand succès. Il avait subit une blessure importante - pas mortelle certes, mais traumatisante - et il voulait quitter l'infirmerie alors qu'il venait juste de se réveiller. Héléna poussa un soupir de résignation. Elle se leva pour baisser les stores "à lamelles" comme elle les appelait pour diminuer la luminosité sans toutefois plonger la pièce dans le noir, puis revint au chevet de son malade.
_ Bien, pour commencer, ta blessure n'est pas si grave jeune homme. Alors dire que je t'ai "sauver la vie" est un peu exagéré. Ensuite je suis infirmière donc m'occuper de toi ne me pose aucun soucis. Et pour finir...
Héléna posa son genoux sur le lit et se pencha vers Hirano tout en s'appuyant sur sa poitrine avec ses deux mains. Encore affaibli, la jeune femme n'eut aucun mal à le maintenir allongé. Dans la position où elle se trouvait, ses cheveux attirés par la pesanteur formaient comme deux cascades de chaque côté de son cou, et Hirano ne pouvait pas manquer de remarquer que son uniforme d'infirmière était particulièrement moulant.
_ Tu es encore convalescent. Il est hors de question que je te laisse sortir d'ici avant d'être sûre que tu sois en pleine forme.
Elle le regarda un instant dans les yeux pour être sûre qu'il avait bien compris le message, puis se redressa. La jeune femme récupérer deux autres oreilles sur d'autres lits, puis revint vers Hirano. Avec douceur, elle le serra contre lui pour mettre les oreilles dans son dos sans qu'il n'ait à utiliser son bras valide encore maladroit. L'étudiant était maintenant mi-assis, mi-allongé, position plus agréable pour discuter et qui permettait d'économiser ses forces. Héléna se releva à nouveau et se dirigea vers son bureau. Dans un des tiroirs, elle prit une barre de céréales et revint s'assoir sur le bord du lit. Habillement, elle ouvrit le sachet plastifié et le présenter à son malade. Il avait le choix entre pencher simplement la tête pour mordre dans la barre chocolatée ou il pouvait utiliser sa main valide pour la prendre de la main d'Héléna.
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À présent j'étais bien conscients de ce que je faisait et je me rendit compte que j'étais sur un lit de l'infirmerie. Je voulait m'en aller mais l'infirmière qui m'avait sauvé avait légèrement baisser la luminosité de la pièce et me dit que j'avais pas à autant la remercier, je que j'avais eu n'était pas si grave que sa en avait l'aire. Je me sentais pas à l'aise du tous, je stressais légèrement.
Après avoir fermé entièrement les stores de manière à plonger la pièce dans l'obscurité, elle revint vers moi et la jolie infirmière se pencha sur moi pour me mettre dans une position plus confortable. La mon cœur s'accéléra encore plus que d'habitude, je n'avait jamais eu un tel contacte avec quelqu'un, sa me donner de frisson dans tous le corps. Son uniforme lui allait de manière un peu serrer et cela me perturber un peu, surtout dans cette position. Puis tous en me regardant droit dans les yeux elle me sermonna légèrement.
-Tu es encore convalescent. Il est hors de question que je te laisse sortir d'ici avant d'être sûre que tu sois en pleine forme.
Elle avait de beau yeux presque hypnotisant, je mit perdit vite dans son regard vert. Je n'écoutai presque rien de se qu'elle me dit. Puis elle finit de m'installer dans une position qui était pour le moins très agréable. Elle alla a son bureau puis revint avec une barre de céréale et s'assit droit à coter de moi. Après l'avoir ouvert et le tendit vers moi. J'hésitai un moment puis je me lança. Je me pencha légèrement et mordit dans la bar. Je sais pas pourquoi, mais le regard de l'infirmière avait le don de me calmer et très vite se impression de gêne tomba. Je la regarda dans le yeux et sourit à elle, c'était plus fort que moi sa. quand j'eus fini avec la bar je m'adressa à elle.
-je vous remercie infiniment, vous êtes très gentille avec moi... Je suis malpolie. Je me présente. Noboru Hirano. Mais tous le monde m'appelle Hirano.
Malgré la perte de ma gêne, mon cœur lui n'arrêtait pas de battre à cette vitesse me donnant des signe de stresse.
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Le jeune homme mangea lentement sa barre chocolatée et se mit à sourire timidement. Héléna poussa un long soupire mental. Elle s'ennuyait ferme depuis une semaine, et quand elle espérait avoir de l'animation, elle se retrouvait avec un blessé au bras. Pendant un moment en le voyant étendu sur le lit, elle avait cru à une hémorragie beaucoup plus importante, mais la situation était "dans la normale". La jeune femme se détendit un peu. La prochaine fois qu'elle voudrait de l'animation, il faudrait qu'elle trouve autre chose qu'espérer un malheur...
_ Noboru Hirano... Je m'appelle Héléna Yui de Bruissebois. Mais c'est un peu pompeux, alors appelle-moi Léna. Tout simplement.
En repensant à l'hémorragie qu'elle avait jugulé, elle remarqua que les draps était imbibés de sang. Son uniforme était un peu taché, mais les vêtements d'Hirano avait une sale mine. Il était un peu tard pour le changer de lit, mais elle pouvait au moins atténuer un peu tout ça. Héléna se releva pour prendre une cuvette et la remplir d'eau dans le coin "salle de bain" de l'infirmerie, puis revint éponger les draps. Après quelques minutes, les taches étaient visibles mais paraissaient presque rose en comparaison. La jeune femme essaya de se nétoyer à son tour, ce qui rendit les partie mouillées légèrement transparentes, dévoilant le haut des bas qu'elle portait. Elle alla vider sa cuvette, rangea le tout, et revint s'assoir près du jeune homme.
_ Tu veux garder ton haut ou tu préfères que je m'en occupe ?
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Ce chocolat passait vraiment très bien et cette infirmière qui m'a dit que je pouvais l'appeler Léna étais vraiment très gentille et vraiment jolie. Cette situation me mettais dans un petit malaise assez bizarre. C'est la première fois que l'on s'occupe aussi bien de moi avec une telle tendresse. L'infirmière, ou plutôt Léna, s'en alla et revint avec une petite bassine d'eau et une éponge. C'est elle commença à nettoyer le lit que je fit attention de la quantité de sang qui avait souiller les drap les habilles de Léna et des miens. Elle avait put atténuer une bonne parti es tâche de sang sur les draps mais il était certain que quand je sortirai ces draps sont envoyé au nettoyage. Mais c'est quand elle s'essuya les tâches qu'elle avait sur elle que je commença à légèrement rougir.
En effet, ces nettoyages avait rendu ses habilles légèrement transparents laissant dévoilé ses bas, cela me perturbait un peu. Puis elle s'en alla déposé la bassine et revint s'assoir à coter de moi. Je ne sais pas pourquoi mais je sentais comme un attirance pour elle.
-Tu veux garder ton haut ou tu préfères que je m'en occupe ?
Hein ?!? sa demande m'avait tiré de mon absence. J'avais la tête ailleurs et le yeux fixé sur se que l'eau avait dévoilé. J'avais un peu honte et un peu peur qu'elle ai remarqué ce que je regarder.
-heuu... oui, oui, si sa vous dérange de vous en occuper.
Lui dis-je légèrement gêner. Il fallait quand même que je change de vêtement, je ne pouvais pas rester avec ce t-shirt couvert de sang. Je me plaça de manière à pouvoir l'enlever plus facilement. Je rougissait un peu plus. Gêner de me retrouver dans une telle situation. Seul avec une belle infirmière dans une chambre et maintenant j'allais me retrouver le torse nu. Difficile de ne pas montrer que ma tension cardiaque accélérais.
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Héléna attendit patiemment la réponse du jeune homme. Il semblait plus intéressé par ce que dévoilait les parties mouillées de son uniforme que par sa blessure. Bien entendu le rouge lui monta aux joues quand la jeune homme attira son attention. Léna était habituée aux regards que l'on posait sur elle et n'en éprouvait aucune gêne. Elle adorait particulièrement voir les expressions de ceux qui se voyaient pris la main dans le sac. Certains avaient honte, d'autres pas. Hirano semblait... apeuré. Pourtant la jeune femme ne mordait pas. En tout cas pas pour faire mal.
-heuu... oui, oui, si sa vous dérange de vous en occuper.
Avec un sourire rassurant, Héléna pris à nouveau Hirano dans ses bras pour le redresser. Elle lui retira délicatement son t-shirt avant de retourner au coin "salle de bain". Après avoir passé les taches sous l'eau, elle déposé le t-shirt sur un radiateur mural, éteint en cette saison. Elle revint ensuite s'assoir près du jeune homme resté assis sur le lit.
_ Dis moi. As-tu des nausées ? De la fièvre ?
Sans lui laisser le temps de répondre, d'une main elle dégagea sa frange tandis que l'autre passait sur la nuque d'Hirano avec douceur. Héléna se pencha sa tête en avant et attira le jeune homme pour que leurs fronts se touchent. En comparant la différence de température entre leurs peau, la jeune femme en déduisit qu'il n'y avait pas de fièvre. Rassurée sur ce point, et se contenta de redresser la tête pour regarder le jeune homme dans les yeux, sans pour autant rompre le contact.
_ Tout va bien ?
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Léna me fit un sourire dés plus rassurant. A chaque fois que je la voyait comme sa cela me calmait légèrement. Puis elle se pencha de nouveau sur moi. C'était pour me retirer mon t-shirt et aller le nettoyer. Mais se nouveau contacte qui me vit à demi-nu me perturba encore plus. Mon cœur s'accéléra davantage. À présent elle était partie sans occuper, cela me permit de me calmer un peu.
Après avoir accrocher mon t-shirt sur le radiateur, elle revint se rassoir sur le lit. Elle me demanda si j'avais de la fièvre ou des nausée. Je n'eus pas le le temps de lui répondre, qu'elle passa sa main sur mon front. Se nouveau contacte était très agréable. Je savourais cette douce main contre mon front me faisant rougir de plus en plus. Puis je senti soudainement qu'elle me tire vers elle et qu'elle plaque son front sur le mien. La c'était le contacte qui me fit perdre mes moyen. Sentir ainsi cette douce peau. Je devais surement être rouge comme une tomate. Après ce brève mais délicieux contacte. Elle me regarda dans les yeux. Ces beau yeux, je m'y perdait à chaque fois dedans.
-Tout va bien ?
Elle venait de me posait une question mais j'étais tellement prit dans son regard que je ne lui répondit pas. Et d'un coup je laissait mes envi prendre le pas sur moi. Je m'avança doucement et je commençais à l'embrassait. Je vit ce que j'étais en train de faire j'arrêtai brusquement honteux de mon acte.
-je vous demande pardon, je ne sais plus ce que je fait.
J'avais peur de sa réaction m'attendant d'être insulté voir giflé, de toute manière je le méritais.
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Héléna se doutait bien de l'effet qu'elle produisait chez son malade. Et elle s'amusait à le provoquer. Hirano l'embrassa sans la prendre dans ses bras. Il n'avait fait que rapprocher son visage pour un chaste baiser. Mais il se rendit vite compte de ce qu'il faisait, trop vite au goût de la jeune femme.
-je vous demande pardon, je ne sais plus ce que je fait.
Le pauvre garçon était tout gêné. Il devait s'attendre à recevoir une bonne paire de claques au minimum. Léna le regarda un moment, l'observant tout en le laissant mariner un peu dans son angoisse. Elle hésita d'ailleurs sur la suite des évènements... Allait-il lui sauter dessus ? Non, trop vulgaire. Allait-elle lui apprendre à embrasser plus passionnément ? Non, trop professoral. Finalement, elle pris une mine faussement inquiète.
_ Tu es sûre que tout va bien ? Tu n'as pas l'air dans ton assiette.
Sans lui laisser le temps de se reprendre, Héléna posa son oreille contre sa poitrine comme pour écouter les battements de son coeur. Comme pour maintenir sa position, son bras passa dans le dos d'Hirano tandis que l'autre se posa sur son torse en une délicate caresse.
_ Je n'ai pas de stéthoscope alors ce n'est pas bien pratique. Mais c'est curieux...
Héléna se redressa sans pour autant se détacher du jeune homme. Elle était donc dans ses bras, ou inversement, et le regardait faussement inquiète.
_ Ton cœur semble battre très vite. Je ne peux pas te laisser sortir comme ça. Si quelque chose ne va pas, dis le moi.
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J'étais mort de honte. Comment ai-je pu me laisser aller ainsi. Mais curieusement elle ne me dit rien et s'inquiéta plus de mon état de santé. Elle me demanda si j'allais, elle donnait vraiment l'impression que j'étais pas bien, c'est peut-être le cas, la fièvre je sais pas. Je ne savais pas quoi lui répondre à par des bafouillis. Toutes manières elle m'en laissa pas le temps. Elle posa sa tête contre mon torse nu et plaqua son jolie visage contre ce dernier, de plus elle posa ces bras comme prie dans un étau, posant sa délicate main sur moi que créa un long frisson à travers tous mon corps. Ce doux contactes m'avait presque tué d'une crise cardiaque tant mon cœur battait et c'était sans parler de ce qui ce passait plus bas dans mon pantalon.
-Je n'ai pas de stéthoscope alors ce n'est pas bien pratique. Mais c'est curieux...
J'étais partagé entre fuir comme sa de la pièce et rester ici et profiter de ses moment similaire des agréables caresses. Et elle se retira et me regarda de nouveau dans les yeux, sans couper le faible mais agréable contacte et elle me dit de sa douce voix.
-Ton cœur semble battre très vite. Je ne peux pas te laisser sortir comme ça. Si quelque chose ne va pas, dis le moi.
Non sa n'allait pas, je suis prie d'envie irrésistible, cette infirmière me fait un sacré effet. J'ai aussi envi de partir. Bref, tous dans ma tête était chamboulé, j'étais complément perdu. Puis je me dit que cette femme était belle et douce. Je devenais fou en ces lieux, mais surtout que ce faible baiser que j'ai fait été très agréable. Je me laissa aller de nouveau. Tant pis si je reçoit une correction, sa en valait la peine, tant pis que le reste du lycée me voit comme un pervers, de toute manière j'étais déjà pas très bien vu. Mais fallait que je sache.
-non, je me sens pas très bien...
Toujours les yeux river dans les siens, je tendis une main et effleura sa douce et agréable joue avec le dos de celle-ci, je lui murmura.
-pardonnez mon acte.
Je me penche de nouveau et j'entrepris de l'embrasser pour de bon. Sans m'en rendre compte mon autre main avait trouvé appui sur une hanche de Léna. Cette sensation était exquis, doux, agréable. Mais je m'attend à ce qu'elle pose une résistance la dessus, après tous sa aurait été normal, je ne regrette pas mon geste...
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Le jeune homme sembla hésiter entre partir en courant de l'infirmerie ou céder à ses pulsions. Héléna s'était décidée à faire passer son trouble pour une maladie et elle espérait bien qu'Hirano réclame un "traitement spécial".
-non, je me sens pas très bien...
Tout en ne la quittant pas des yeux, l'étudiant lui caressa doucement la joue comme s'il hésitait encore entre faire ou se laisser faire.
-pardonnez mon acte.
Finalement, il se décida à l'embrasser. Léna n'opposa aucune résistance bien au contraire. Elle fut même ravie de sentir la main du jeune homme se poser sur sa hanche. Le tout était de savoir comment il se débrouillerai pour la suite. Le voir se débattre entre sa bonne conscience et ses envies était très amusant mais il fallait sans doute le guider un peu.
Tout en répondant au baiser que lui offrait Hirano, la jeune femme continua de lui caresser le torse en pinçant régulièrement ses tétons. Puis quand elle sentit la respiration du jeune homme s'accélérer, sa langue franchit ses lèvres pour venir jouer avec celle d'Hirano.
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Je n'avais plus peur de rien, j'étais pris dans un interminable baiser sensuelle et doux. Le bonheur, je me sentais emporter dans un goût exquis qu'était les douces lèvres de cette belle infirmière. Maintenant, je n'avais qu'un obsession. J'avais envi d'elle. J'avais envi la prendre dans mes bras, de sentir son corps contre le mien. Je ne pensais plus qu'as sa.
elle commençais à jouer avec mon corps en pinçant mes tétons se qui provoquaient des frissons en moi dont j'ignorais le bien que cela me faisait. Je sentais en moi l'excitation grimper en moi, puis il eu sa langue. Cette douce langue qui se collait à la mienne dans un balai d'extase. Que s'était délicieux.
Je me laissa aller à mes envi. Ma main sur sa hanche commença à la caresser de haut en bas, doucement, délicatement. Puis avec mon autre main je la fit descendre dans le bas de son dos et je me coucha en l'entrainant avec moi sur le lit sans pour autant interrompre le langoureux baiser. Ma main sur sa hanche remonta jusqu'à sa cuisse en se glissant sous son uniforme d'infirmière. Mes baisers avait glissé de ses douces lèvres jusqu'au creux de son cou.
À présent nous étions couché l'un à coté de l'autre et je cessa mes baisers pour la regarder dans les yeux. Je me rendit compte que ma main avait remonté jusqu'à ses fesses et que j'en caressais une tendrement. Avec le rouge au joue, la respiration haletante et la main tremblotante, je commença à déboutonner les attaches de son uniforme. J'avais tant envi d'elle, tant envi de connaître les joie de la chaire. J'étais en train de la déshabiller de manière un peu hasardeuse voir peut-être un peu même pressé.
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Hirano se détendait. Il prenait petit à petit confiance en lui. Héléna sentit l'agréable caresse sur sa hanche, et se laissa entrainer quand le jeune homme s'allongea. Progressivement, la main baladeuse se glissa sous son uniforme. Elle ne pouvait pas monter bien haut puisque le vêtement était particulièrement moulant.
Après quelques baisers dans le cou, Hirano se recula pour la regarder dans les yeux. A le voir ainsi, Héléna se rendit compte qu'il ne s'était pas encore débarrassé de toutes ses appréhensions. Elle allait devoir y remédier. Mais timidement, le jeune homme commença à la déshabiller. Il avait le rouge aux joues et la main un peu tremblante. Il était mignon, mais peut-être trop pressé.
Héléna guida plus lentement la main de Hirano tout en continuant à lui titiller les tétons avec sa main libre. Quand l'uniforme fut complètement défait, la jeune femme le retira et le posa au bout du lit. Elle portait encore ses bas et son ensemble couleur ivoire. Pour une fois elle se fichait d'être à égalité avec son partenaire, elle voulait juste s'amuser.
_ Hmm, on dirait que ton état s'améliore. Mais je préfère encore attendre un peu avant de te laisser quitter l'infirmerie.
Héléna donna un léger coup de langue sur les lèvres de Hirano, puis déposa quelques baisers dans son cou avant de goûter ses tétons. Elle passait de l'un à l'autre avec sa langue, tandis que ses mains défaisaient les boutons de son pantalon avant de se glisser contre la peau de Hirano et descendre jusqu'à son membre. Elle commença par de simples caresses partant du prépuce pour aller jusqu'au bourses. Puis d'une main, elle commença des mouvements de va-et-vient alors que l'autre main continuait ses caresses et la langue titillait les tétons.
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Je stresser de ne pas arrivé avec ses maudits boutons, puis avec un douceur. Léna m'aida à les ôter tout en continuant de caresser mon tors. Sa main était d'une douceur et elle retira ses boutons avec une certain assurance, plus que ce que j'avais. Elle se leva et retira son uniforme pour le poser vers le bas du lit. Elle porter des sous-vêtements d'un blanc beige et cela la rendait encore plus désirable, j'avais envi d'elle. Elle me dit avec une certaine gentillesse.
-Hmm, on dirait que ton état s'améliore. Mais je préfère encore attendre un peu avant de te laisser quitter l'infirmerie.
-j'en ai bien peur.
Lui répondis-je tous en souriant. Je commençais à jouer à son jeux. Elle me m'embrassa un petit coup avant de me faire des baisers dans le cou, cela créais en moi des frissons très agréable. Puis elle descendit jusqu'à mes tétons pour y jouer avec sa langue. Là où sa commençait à devenir sérieux, c'est quand elle me déboutonna mon pantalon et y glisser sa main dedans. Les caresses qu'elle me fit sur mon membre à présent tendu était exquis et cela me provoquais des sensations trèa agréable. Je me laissa porter par ses mains expertes.
Après un temps je réalisa un truc. Elle me caressait, elle me faisait du plaisir, mais moi je faisait rien. Après un bon moment, je laissa ma main rejoindre la sienne et je l'attrapa. Je la porta à ma bouche et lui déposa un doux baiser. J'attendis que son regard se braque sur moi et lui dit en me levant
-merci beaucoup de vous occuper si bien de moi.
Je posa une main sur le coter de son ventre et l'autre derrière son dos et avec une délicatesse, je la retourna pour la coucher dans le lit à son tour. Je la regarda dans les yeux.
-laissez moi m'occuper de vous.
Je souris tendrement et l'embrassa fougueusement. Je ne suis pas un expert dans ce domaine mais ma petite idée de se qui créer des sensations. Presque installé au dessus d'elle je continuais de l'embrasser. Une main se glissa sous son soutien-gorge et commença à malaxer tendrement son sein. Puis doucement, mon baiser se décrocha du sien et parcouru tous son cou. Je descendais petit à petit le long de son cou puis atteins son torse. Ma main se glissa dans son dos et avec une peu de difficulté décrocha son vêtement. Je l'enleva pour dévoiler ses magnifiques sein. Avec les deux mains je les attrapa et continua à les malaxer. Je descendis la bouche et commença à sucer l'un d'entre eux. Jouant avec la langue. Tripotant de la main. J'espérais que cela lui fasse du bien, autant de se qu'elle ma donné.
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Héléna s'occupait de Hirano en lui titillant les tétons et en lui caressant le membre quand une main du jeune homme lui attrapa celle qui s'occupait de son torse. Intriguée, la jeune femme leva les yeux et l'étudiant déposa un baiser sur sa main.
-merci beaucoup de vous occuper si bien de moi.
Sans lui laisser le temps de répondre, il la coucha sur le lit et s'allongea sur elle.
-laissez moi m'occuper de vous.
Léna lui rendit son sourire et se laissa embrasser. D'une main, il se glissa sous son soutien-gorge pour masser sa poitrine. Puis le baiser se déplaça pour descendre dans son cou et s'arrêter à sa poitrine. Même s'il eu quelques difficultés, Hirano parvint à détacher son soutien-gorge.
*Il prend de l'assurance on dirait... Bien, très bien*
Même si le jeune homme semblait inexpérimenté, il se débrouillait bien, et Héléna sentit la température de son corps grimper progressivement. Ses mains ne pouvaient plus atteindre sa virilité mais elle en profita pour les utiliser dans de pinçantes caresses sur son torse. Avec l'une de ses jambes, elle commença à frotter l'entre-jambe de Hirano. Mais l'effet n'était pas très efficace puisqu'il portait encore son pantalon.
Héléna prit appuie de son autre jambe pour se retourner et se retrouver au-dessus du jeune homme. Elle en profita pour retirer le-dit pantalon et l'envoya au bout du lit. Elle déposa quelques baisers sur le ventre de Hirano tout en glissant ses mains contre son membre pour le caresser, puis remonta sur son torse et commença à mordiller ses tétons. Alors qu'une main restait pour donner des va-et-vient sur son membre, l'autre main vint pincer l'un des tétons et l'autre téton se faisait lécher, sucer, mordiller. De temps en temps, Léna changeait de téton tout en continuant le même traitement.
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Je prenais un malin plaisir à lui faire tous ces baisers. Le faite de pouvoir à mon tour lui faire les même sensations qu'elle me faisait était très agréable. Elle avait une peau si douce au touché. Ses douce mains me caressait le torse et me faisait de délicieux pincement. Je ne resta pas de marbre quand elle passa sa jambe entre les miennes et qu'elle appuyait légèrement mon bas du corps.
Puis elle me retourna et me ôta mon pantalon. C'était devenu un jeu, celui qui serai sur l'autre. elle me caressait mon membre qui ne demandait que sa et ses petites gâterie sur mes tétons étais quasi insupportable. Je posa mes mains dans ses cheveux pour accompagner sa tête dans ses mouvements.
Je ne désirais qu'une seul chose. Sentir son corps contre le mien, sentir sa chaleur, son odeur. Je lui laissa de longue minutes continuait ses caresse tout en fermant les yeux pour mieux savourer ses délicate attention. Je me sentais dans un extase comme je n'avais, jusqu'à lors, jamais connu. Les lèvres était une douceur et ses petite morsure d'une saveur exquise.
Puis vint un moment ou je la voulais, je voulais d'elle plus que tous autre chose. Délicatement, je la ramena à mon niveau en me faisant aussi glisser dans le lit et je la sera très fort contre moi. Je me remis à l'embrasser langoureusement tout en sentant son corps contre le mien. Le toucher de ses sein était agréable. Je laissais mes mains caresser partout sur son corps. Nos jambe s'entrecroisèrent afin de mieux sentir son corps. Je l'embrassais, je la caressais. Puis une de mes mains glissa le long de son échine et caressa une de ses fesse avec douceur. Puis elle se glissa dans sa culotte pour mieux ressentir cette douce peau.
J'étais partit dans un balai de caresse et d'embrassade, il ne devait pas être trop difficile pour Léna de sentir le membre tendu à travers mon sous-vêtement. Au début sa m'aurais gêné, mais pas la.
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Hirano se laissa faire et Héléna se fit une joie de le torturer de plaisir. Puis vint un moment où le jeune homme se glissa pour être au même niveau que la jeune femme et l'embrassa fougueusement. Il avait envie d'elle sans aucun doute. Ses mains se baladaient sur tout son corps et son membre dur frottait contre le bas-ventre d'Héléna.
Toutefois, il ne semblait pas connaitre tous les arts de la chair. Le jeune femme se devait donc de faire son éducation. Comme tous les étudiants de son âge, il avait regardé bon nombre de films. Mais la différence entre regarder et faire est aussi grande que celle entre théorie et pratique. Il connaissait sans doute son propre corps -encore que- mais ignorait beaucoup de choses sur celui des femmes.
_ Dites moi Hirano... Vous savez que pour sortir de cette infirmerie, il va falloir me convaincre. Nous n'en sommes qu'à l'introduction, et j'aimerais connaitre... vos arguments.
Héléna lui adressa un sourire charmeur. Elle avait choisi de prendre le rôle de professeur, et si son élève éprouvait des difficultés dans cet exercice, elle était là pour le corriger.
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J'étais pris dans ses délicate mais intense baiser, pour moi le temps semblait passer au ralenti. Je touchait sa peau si douce. Puis un moment elle s'arrêta et me dit d'un manière joueuse.
-Dites moi Hirano... Vous savez que pour sortir de cette infirmerie, il va falloir me convaincre. Nous n'en sommes qu'à l'introduction, et j'aimerais connaitre... vos arguments.
Mes arguments ?!? voulez t-elle que je prennent les devants ? Mon cœur battait la chamade d'un coup. Je ne savais pas ce qu'il fallait faire, ni comment procéder. J'avais peur d'un coup de me faire honte. Mais bon, quand faut y aller. Délicatement je la retourne et la couche dans le lit. Je suis à présent à moitié sur elle et je la regarde droit dans les yeux.
-je ferai mon possible pour vous convaincre.
Je me remis à l'embrasser et doucement avec main de descend le long de son corps. Caressant un de ses seins au passage, touchant son ventre et son bas-ventre, puis je plaqua ma main par dessus sa culotte et j'appuie pour la caresser. Bien que hasardeux, je pense appuyer au bon endroit rien qu'en regardant ses réactions. Je caressais en haut en bas, et enfonçant mes doigt dans son intimité aussi profond que son sous-vêtement me permettais.
Je couvrais son cou de baiser pendant ces caresses et avec l'autre main je malaxais un de ses seins jouant de temps en temps avec son téton. Puis je porta mes baiser sur ce même sein. Je lécha son téton, mordant doucement ce dernier, comme Léna me les faisait. Puis pris par une envi, je colla ma bouche dessus et fit un effet de succion tous en jouant son téton avec ma langue.
Plus bas, ma main continuais ses caresse dans l'entrée de son intimité. Doucement la main se leva et passa sous cette barrière de tissus. Je caressais pour la première fois cette endroit. Légèrement tremblotant, je jouer avec ses lèvre interne un moment et finalement entra deux doigts en elle. C'était bizarre mais pas désagréable. J'allais doucement de peur de lui faire mal.
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Les consignes d'Héléna semblait avoir paniqué l'étudiant. Elle continua de sourire, mais dieu qu'elle avait envie de rire ! Il était mignon avec sa mine où se mêlait l'étonnement, la peur, et l'envie. Puis Hirano sembla se ressaisir et se coucha sur la jeune femme.
-je ferai mon possible pour vous convaincre.
*J'ai hâte de voir ça*
Le jeune homme l'embrassa à nouveau, et une de ses mains descendit jusqu'à son intimité. Hésitant, il se contenta d'offrir quelques caresses à travers le tissu de sa lingerie. Malgré tout, il passait occasionnellement sur son bouton d'amour -sans peut-être l'avoir identifié comme tel- et Héléna se laissa faire. Elle se contentait de balader ses mains sur le corps du jeune homme sans chercher forcément à le titiller. Elle l'avait déjà mis dans un bel état, l'heure était à la leçon.
Puis Hirano passa de l'autre côté de la barrière de tissu. Sa main sembla presque tâtonner ses lèvres puis deux doigts la pénétrèrent avec douceur. Léna laissa échapper un soupir de plaisir. Il manquait d'assurance, mais il n'était pas maladroit.
_ Hmmm... C'est un bon début. Vous manquez encore un peu... d'aisance. Mais je suis sûre que vous saurez trouver... votre chemin.
Son petit jeu "d'évaluation" n'était pas le meilleur pour une initiation. Peut-être devait-elle s'affirmer comme "professeur" ? C'était un peu moins amusant, mais ça avait l'avantage de tout mettre à plat. D'un côté elle lui faisait deviner ce qu'il devait faire au risque de passer à côté de certaines choses, de l'autre côté elle lui donnait toutes les clés en main et "advienne que pourra".
*Ba, je verrai bien comment il continue*
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quand je la pénétra avec mes doigts, Léna émit un doux gémissement. Je faisait de va et vient avec mes doigts dans son intimité et les écartaient de temps en temps. Puis dés fois je les sortait et le renfonçaient de nouveaux. Puis il m'arrivais de titiller un drôle de peau, on aurai dit un bouton. Je m'amusa un moment avec.
Avec ma bouche j'alternais un sein à l'autre. Je mordillais les deux tétons l'un à près l'autre.
-Hmmm... C'est un bon début. Vous manquez encore un peu... d'aisance. Mais je suis sûre que vous saurez trouver... votre chemin.
Je souriais à sa remarque. Sa signifie que je me débrouillais encore bien. Puis après un moment je voulus essayer quelque chose d'autre. Je retira mes doigts de son vagin et descendis le long de son corps tous en accompagnons de baiser celui-ci. Après voir joué un peu avec son nombril, je pris sa culotte et la retira en douceur. Je faisait longeait son vêtement le long de ses jambes avant de le retiré et de le faire tomber sur le sol. Je remonta jusqu'à son entrejambe tous en couvrant une jambes de doux baiser. Puis arrivé dans l'entrée de son intimité, je me mis à lécher avec la langue cette endroit. J'espérais, au fond de moi, que je lui faisait des choses agréable pour car moi, aussi bizarre que sa puisse paraître, j'adorais faire sa. je rentrait la langue de temps en temps en elle et je titiller cette étrange bouton. Avec le temps, je ferma les yeux et me posait toute ma concentration dessus.
Il pourrait se passer quelque chose je remarquerais tant je met de l'importance à l'ouvrage.
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Hirano se débrouillait très bien. Tout en s'occupant comme il faut de ses seins, il jouait de plus en plus avec son clitoris tout en continuant ses va-et-vien. Héléna sentait sa respiration commencer à accélérer et son va-ventre chauffait progressivement. Quand le jeune homme quitta sa poitrine pour descendre plus bas, elle se redressa pour le regarder faire. Il lui retira sa culotte, puis après avoir déposé quelques baisers sur sa jambe, il se mit à lécher son intimité.
Héléna laissa échapper un faible gémissement, et sentit son souffle s'accélérer. Le jeune homme semblait très attentionné et ne lui laissait pas répit. Tantôt sa langue s'introduisait avec douceur en elle, tantôt elle jouait avec son bouton d'amour. La jeune femme se cambrait légèrement de plaisir et ses mains descendirent pour caresser les cheveux de Hirano. Elle s'abandonna un instant aux caresses de l'étudiant avant de prendre un peu sur elle et reprendre un peu ses esprits. Elle s'était donné un rôle de "professeur" et elle devait s'y tenir. Un minimum.
Avec ses mains, elle redressa la tête de Hirano pour qu'il la regarde et cesse un peu son délicieux supplice. Léna reprit sa respiration et attira un peu plus vers elle le jeune homme.
_ Tu es plus doué qu'il n'y parait. Voyons voir si tu peux faire aussi bien si on te... déconcentre.
La jeune femme allongea Hirano à sa place initiale, puis tout en restant à hauteur de ses hanches, elle lui retira son dernier sous-vêtement. Elle n'eut qu'à poser sa jambe de l'autre côté de son "élève" pour se retrouver à "quatre pattes" sur son corps en un joyeux 69. Elle commença par goûter les quelques gouttes de semence qui faisait leur apparition, puis sa langue glissa le long du membre du jeune homme. Tandis qu'une main vint se balader sur ses bourses, Léna commença un mouvement de va-et-vient avec sa bouche.
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Ma langue se faufilait dans les moindre recoin que je pouvais atteindre dans son intimité, j'y prenais un véritable plaisir à lui faire subir cela et elle aussi semblait y prendre du plaisir rien qu'en entendant ses faible gémissement, on souffle s'accélérait gentiment et en sentant ses faible mais perceptibles mouvements. Elle posa ses mains dans mes cheveux et les caressa tendrement. Puis Léna me souleva la tête pour qu'elle puisse me regarder. En reprenant sa respiration elle me dit:
-tu es plus doué qu'il n'y paraît. Voyons voir si tu peux faire on te...
déconcentre.
Elle me coucha à sa place dans le lit et entrepris de retirais ma culotte. Je me sentais quelque peu gêné par la situation. Mais la suite des événements ôta en moi toute forme d'embarras. Elle passa une jambe par-dessus moi me laissant son minois bien en face de moi pour que je puisse continuais mes actions, puis elle commença à me lécher mon sexe avec délicatesse et à me tâter quelque partie de mon intimité. Bien que mon membre soit tendu, je le sentais se raidir à chacun de ses coup de langue dessus. Cela me procurais un plaisir incroyable. Ma respiration accéléra et je n'arrivais plus à me concentrer correctement pour procurer du plaisir à ma partenaire. Je bougeais mon bassin au mouvements de Léna et me laissait emporter par cette bouche experte.
Puis pris par une forme d'excitation, j'agrippai fermement ses fesses et commença embrasser sauvagement ses lèvre internes. Je gouter avec un certaine certain plaisir ses sécrétions. Mes coups de langues allait aussi vite que ma respiration et mes battements de cœur. Mon bassin suivait le même rythme. Je continuais se supplice autant longtemps que je pouvais tenir. Puis je m'arrêta dans je senti un augmentation de ses liquides internes.
Je m'assis et attendit deux secondes pour reprendre mon souffle. À présent je me sentait près, près à passer plus loin. Je regardais la belle infirmière dans les yeux et me rapprocha d'elle. Je la pris dans mes bras et la sera tout en l'embrassant. Doucement, je la tourne et la couche dans le lit tout en restant au dessus d'elle.
-c'est l'heure de l'examen ?
J'avais enfin compris son petit de jeu de professeur, oui tous n'était qu'un jeu et elle avait su m'indiquer les chemins, il était de mon devoir de ne pas la décevoir sur cette partie. Je mis mes genoux entre ses jambes et les écarta légèrement. À l'aide de ma main, je pris mon membre et posa le bout de mon sexe sur son entrée. Doucement, je pénétra mon pénis à l'intérieur de son vagin. J'allais très délicatement, cela me faisait beaucoup d'effet, mon souffle allais de plus en plus vite et une fois que mon sexe était entièrement rentré, je laissa couler le temps histoire de me calmer un peu.
Je la regarda un moment dans les yeux et commença à faire de minces mouvements de bassin. « que c'est délicieux » pensais-je, je n'avais encore jamais connu une telle sensations. C'était un pur bonheur. De plus en plus vite, je donnais des coup se reins plus rapide et s'en m'en rendre réellement compte je laissait passer des petits gémissement à mon tour.
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Héléna constata avec plaisir que le jeune homme se laissa aller à ses caresses. Le membre de Hirano se mit à gonfler dans sa gorge, mais elle n'accéléra pas tout de suite le mouvement. Elle le sentait petit à petit accompagner ses mouvements avec son bassin et sa respiration s'accélérait. Puis sans prévenir, le jeune homme s'agrippa à ses fesses et se mit à embrasser son intimité. Surprise, Léna manqua de lâcher sa précieuse "sucette", mais au lieu de ça, elle accéléra un peu le rythme. Elle sentait son "élève" prendre de l'assurance, ses caresses ne manquaient pas d'efficacité loin de là, et elle sentait son plaisir augmenter à chaque coup de langue. Petit à petit leurs mouvements s'accordaient et le rythme de l'un correspondait à celui de l'autre. Héléna sentit alors une vague de chaleur l'envahir. Elle reconnaissait bien cette sensation, et elle prit sur elle pour ne pas ni cesser ses caresses ni gémir de plaisir. Son corps vibra de jouissance, mais Hirano ne sembla pas s'en apercevoir. Quoique...
Le jeune homme la prit dans ses bras et l'attira vers lui pour l'embrasser. Il la coucha doucement sur le lit tout en restant au-dessus d'elle.
-c'est l'heure de l'examen ?
Héléna le regarda en souriant, il avait compris à quel jeu elle jouait. Doucement il lui écarta les jambes, puis après avoir pris son membre en main, il commença à rentrer en elle... progressivement. La jeune femme fit jouer ses muscles internes pour se stimuler et retrouver son excitation le plus rapidement possible. Elle n'avait pas envie de voir son élève partir avant elle. Bien entendu, elle stimulait pas la même le jeune homme. Celui-ci une fois entièrement rentré s'arrêta pour se calmer un peu. Héléna avait bien fait son travail et si elle voulait "s'envoler" en même temps que lui elle allait devoir jouer serré.
Hirano reprit lentement ses mouvements de va-et-vient. La jeune femme plaça son bassin de façon à faire frotter un peu plus ses parois internes, mais l'effet était aussi efficace pour l'un que pour l'autre, ce qui ne l'arrangeait pas entièrement.
*Bon, soit je le fais mijoter pour que l'on fasse ça à deux, soit je le fais partir deux fois... Oh et puis zut ! Même si c'est sa première fois je me débrouillerais pour le "remettre en état" !*
Les hommes avaient parfois du mal à se laisser aller plusieurs fois quand il en était à leur premier essai, mais Héléna n'avait pas envie de passer à côté du si belle occasion. Elle commença à bouger son bassin pour accompagner les mouvements du jeune homme et ses mains parcoururent son torse pour le stimuler un peu plus. Tandis qu'une main commença à titiller un téton, l'autre approcha le visage d'Hirano pour qu'elle puisse l'embrasser langoureusement avant de retourner sur le deuxième téton.
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Le contacte était à présent fait ente moi et la belle Léna. La première fois que je fait l'amour avec quelqu'un, un pure moment de bonheur. Sentir son corps contre le mien, sa chaleur, me sentir en elle tous cela s'accordaient avec une perfection. Mes mouvements sont lent pour le moment mais je sens clairement qu'elle est avec moi, elle m'accompagne dans va et vient, elle joue avec mon torse et m'embrasse passionnément. J'espérais être à la hauteur de ce qu'elle attendais de moi.
Moi aussi je joue avec son corps en embrassant ses seins et en mordillons légèrement ses tétons. Tous comme ma respiration, mes mouvements s'accéléraient de plus en plus vite. Je laissait échapper de très petit, a peine sonore, gémissement de bonheur. Mon corps transpirait par l'effort que je mettait dans cette acte. Plus le temps passait, plus je sentait une force en moi grandir, une force qui demandait à sortir.
Maintenant mes mouvements sont très rapides, je le sentais que sa montait, « c'est trop tôt » me disais-je « faut que je ralentisse » mais c'est trop tard, j'étais lancé dans mon action, pris dans un plaisir égoïste. Je ne me savait pas si ma partenaire-professeur était au même niveau que moi. Je me cramponnait à elle dans cette dernière ligne droite
a présent j'enlaçais Léna et je donnais des coups rein en elle. Ma respiration et mon cœur tourné très vite. Je le sentais sa venais. J'allais...
puis dans une sorte d'explosions de plaisir je jouissait honteusement. C'était un vrais plaisir mais je me sentait honteux, je n'avais pas tenu longtemps. Je reprend mon souffle et murmura à l'oreille de Léna
-je...je suis … désolé, j'ai été nul.
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Au début, les va-et-vient étaient lents et faciles à accompagner, puis progressivement Hirano accéléra, et Héléna bascula son bassin pour resserrer ses parois internes sans se fatiguer avec des mouvements désaccordés qui auraient déconcentré son élève. Progressivement, elle sentit le membre grossir en elle. La jeune femme retrouvait ses premières sensations et sentait l'excitation revenir entre ses cuisses.
Enfin, le jeune homme laissa échapper un gémissement de jouissance absolu. Il était parti assez rapidement, mais Léna s'était bien occupé de lui et lors de la première fois l'effet était toujours garanti. Allongé contre la jeune femme, il reprenait sa respiration et Léna l'entendit à peine murmurer.
-je...je suis … désolé, j'ai été nul.
Héléna écarquilla les yeux de surprise, puis éclater d'un léger rire cristallin. Il n'avait donc pas remarqué qu'elle avait joui une première fois sous ses coups de langues, mais elle n'était pas obligée de le lui dire... en tout cas pas tout de suite. Pour le décomplexer un peu, elle fit jouer ses muscles internes afin de caresser le membre de Hirano et le remettre en état de recevoir la suite.
_ Mais l'examen n'est pas terminé.
Avec douceur, elle fit basculer le jeune homme sur le côté et se retrouva à califourchon sur lui, toujours juchée sur son membre. Avec plus de force elle fit jouer ses muscles internes, et se penchant sur le torse de Hirano, elle commença à lui titiller un téton tandis que l'autre se faisait joyeusement mordiller.
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le réaction de Léna fut plutôt surprenante. Moi qui la croyait vexé ou déçut, elle se mit à rire et avec sa douceur habituelle elle me dit.
-Mais l'examen n'est pas terminé.
Puis elle me tourna avec une délicatesse pour me retrouver couché sur le dos elle sur moi. Elle recommencer avec des petit coup de bassin cherchant à me stimuler à nouveau. Puis la belle infirmière se pencha sur moi et commença a jouer avec mes tétons, cela créait en moi de doux frisson qui parcourra le corps. À ma grande surprise, il fallut peu de temps avant de sentir mon sexe grossir à nouveau en elle.
Très vite l'excitation me revenait et l'envi de la reprendre dans mes bras fut revenu. Malheureusement la position m'en empêcher, alors je me concentrais sur des mouvements de bassin qui se faisait de plus en plus fort. Mes mains vinrent enfin sur sont dos et je l'attira pour l'embrasser fougueusement. Mes mains descendirent jusqu'à ses fesses et les agrippa fortement.
Je donnais des coup de rein de plus en plus poussé et de plus en plus fort. Synchronisant mes mouvements avec ceux de Léna. Ma respiration avait repris sa vitesse d'avant et le plaisir monter au fur et à mesure que le temps passait.