Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Centre-ville de Seikusu => Discussion démarrée par: Camille l'ambigu(e) le lundi 03 novembre 2025, 07:28:13
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Il fait toujours chaud dans le métro. Et, comme si ça ne suffisait pas, la sueur des uns se mélange au parfum bon marché des autres, pour créer des effluves si peu ragoutantes, que même le plus mauvais scientifique ne parviendrait pas à les créer en laboratoire.
C'est cette image peu glorieuse qui revient au métro parisien, et fait à la fois sourire et grimacer hors des frontières françaises.
Tout comme le métro japonais, s'il est aussi sujet à des marées humaines aux heures de pointe, fait sourire par l'extrême discipline tout comme l'extrême courtoisie.
De ces deux univers aux antipodes tant comportementales que géographiques, je sais et vis les différences.
Paris, cette ligne 13 de mon adolescence, et pire encore de mes premières années de jeune adulte.
Quand de jeunes minettes gloussantes s'amusaient à être très proches de moi, l'une même pas discrète prête à filmer, l'autre encore moins discrète à approcher son fessier de les attributs masculins. Combien de fois n'ai-je pas failli finir sur les RS comme agresseur sexuel du métro !
Ou quand un individu, savourant de dos le côté féminin de ma chevelure, voulait également savourer le côté féminin de mes fesses , parfois moulées dans des tissus très légers. Je me rappelle de l'un parmi tant d'autres, qui faillit m'évanouir par son parfum de sueur périmée et d'eau de toilette vomitive, mais qui faillit tout autant m'évanouir quand je sentis un gros paquet me frôler. Instinctivement, mon sexe se raidit dans mon string pourtant très féminin, à imaginer ce que serait ce pieu de chair dressé au plus profond de moi. Mes fesses se cambrèrent à leur tour, pour mieux appréhender les formes de ce mât qui, pourtant, garantissait déjà de les déchirer dans un mélange d'excitation et de douleur. Mes pensées volaient très vite, tout comme celles de mon voisin de métro, qui, certain de son charme répugnant et de mon abandon docile, plaqua sa main sur mon bas ventre pour m'attirer à lui afin d'assurer notre rapprochement, mais poussa un grognement de stupéfaction en saisissant, malgré le tissu, ce qui indiquait que je n'étais pas aussi féminine qu'il le supposait. A la vitesse où il s'est écarté de moi, je pense qu'il court encore !
Pas de ça dans le métro de Seikusu. Toujours le sourire, la politesse, la discipline. Je m'y suis vite habitué. Et, quand, par mégarde, on frôle un autre voyageur, on se confond alors en excuses. Ce qui m'amuse parfois, c'est que certains hommes, honteux d'avoir frôlé une femme comme moi, ne cessent de s'excuser comme s'ils avaient commis le pire des péchés. D'ailleurs, selon que ma tenue du jour me confirme homme ou me suggère femme, les attitudes ne sont pas les mêmes.
Aujourd'hui, je ne sais pourtant dire ce qu'il y a de différent. Je suis certes masculin dans ma tenue car j'ai un rendez-vous professionnel pour un contrat sur une année, mais je suis très femme dans ma coiffure qui laisse peu de doutes vu de dos a fortiori associée à ma fine silhouette, cela n'étant rien car tout un chacun parmi les voyageuses et les voyageurs ne saurait deviner mon adorable string en dentelles blanches. Jeune homme de face, jeune femme de dos, l'un et l'une en moi, ce n'est pas la première fois que je suis ainsi, aux aguets de tout et de rien, mais quelque chose me perturbe, je ne sais quoi. Pas face à moi où les passagers sont absorbés dans leurs smartphones, peut-être dans mon dos, une menace que je sans venir sans l'identifier.
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Malgré son âge déjà avancé, Himeko était encore très active et elle ne comptait pas prendre sa retraite de sitôt, même si elle ne jouait plus que quelques fois dans l’année, elle passait de très bon moment de l’autre coté de la caméra également. Ses scripts n’étaient pas forcément des plus originaux mais les productions signées de son nom fascinaient par leurs intensités et leurs absences total de tabous, de quoi frôler l’indécence à de nombreuses reprise. Elle avait été une pionnière en son temps comme actrice, l’une des premières vraies grandes star du porno dont on connaissait le nom sans consommer ce genre de film, ses prédécesseuses n’étaient que des corps et des visages qui peuplaient encore les jaquettes de cassettes vintages mais dont les noms avaient été oublié avant même qu’ils ne soient connus. Himeko, elle, avait saisi l’opportunité que lui offrait se monde à l’extrême opposé de celui dont elle avait été élevée et avec son caractère elle avait tracé son propre chemin que d’autres avaient ensuite suivi.
Elle n’était plus toute jeune mais elle n’avait rien perdu de son caractère transgressif, ne respectant ni règle ni convention, son plus grand passe-temps aujourd’hui était de jouer à la vieille dame un peu trop intrusive. Elle aimait trainer dans les lieux pleins de monde et laisser ses mains balader sur les corps qu’elle trouvait intéressant. Homme et femme étaient autant sa cible les uns que les autres et le plus amusant était la réaction quand ils se rendaient compte que c’était quelqu’un ayant l’âge d’être leur grand-mère qui les tripotait, il y avait ensuite plusieurs possibilité soit elle faisait mine de rien et de passer pour plus sénile qu’elle ne l’est ou au contraire assumé totalement aller jusqu’au bout.
Aujourd’hui c’était dans le métro qu’elle officiait, habillée de manière élégante avec son chemisier rouge aux volants blancs, moulant sa généreuse poitrine, et une jupe violette tombant en dessous de ses genoux (https://i37.servimg.com/u/f37/11/53/78/98/191_ta10.jpg), elle avait une certaine prestance. Son regard s’était posé sur une personne dont elle ne saurait vraiment dire si c’était un homme ou une femme, un physique des plus androgyne qui devait avoir pas mal de succès. Elle aurait tout le temps de découvrir la réponse plus tard, dans l’instant elle se glissait derrière l’inconnu se coinçant contre son dos, la poitrine pressée contre, et un autre usager. Comme si de rien n’était une de ses mains se posa sur une fesse de l’inconnu et la pelota un court instant, puis ce fut à l’autre de faire la même chose. Cela l’amusait et elle continua de se frotter au dos qui lui faisait face alors qu’une de ses mains glissa des fesses jusqu’à l’avant avec pour objectif d’aller taquiner l’entrejambe. C’était une pure agression sexuelle mais qui pourrait croire qu’une mamie comme elle pouvait faire cela.
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Les portes se referment et, malgré moi tout comme malgré la bienséance nipponne, je ressens comme uns sentiment de compression. J'avais entendu dire qu'il y avait des travaux de modernisation qui engendreraient peut-être des perturbations, sans doute est-ce cela qui rend les rames plus rares donc plus bondées.
Première fois que ça m'arrive depuis mon arrivée à Seikusu, je sens une présence vraiment très proche de moi, comme plaquée à mon dos, peut-être poussée par la foule. Quoique la notion de plaquée soit relative ; disons que, à travers ma fine chemise de lin écrue, je sens comme un contact plutôt ponctuel, qui fait davantage penser à une opulente poitrine de femme qu'à un torse velu de manutentionnaire.
Ce n'est pas que ce soit désagréable, mais ça m'intrigue quelque peu. Comment une femme peut-elle ne rien remarquer ?
Le problème est que cette interrogation, aussi simpliste soit-elle, fait voyager mon esprit, et me fait regretter d'avoir choisi un pantalon également en lin mais noir, dont la finesse trahirait le moindre de mes troubles. Il faut que je me concentre sur autre chose au plus vite, tiens le vieux monsieur qui dort là-bas.
Effort de concentration qui ne dure pas longtemps ! Une main encore plus effrontée attaque mon fessier, et ce n'est pas la foule qui a causé cette agression, tant elle est ciblée... et douce aussi. Audacieuse et intrusive, me déclenchant un fulgurant électrochoc, aussi bref que s'estompe l'effleurement. Ai-je rêvé ? J'aurais pu le croire, si mon autre globe fessier n'avait pas, à son tour, été attaqué.
Pourtant, il y a un truc qui cloche ! Dans mon dos, j'ai cru percevoir une poitrine. Sur mes fesses, les mains semblent fines, davantage féminines que viriles. Mais ce n'est pas normal. Une femme n'est pas aussi entreprenante, hormis peut-être une jeunette qui a pris un pari et se fait filmer par une copine pour alimenter ses réseaux sociaux.
Et si c'était un transgenre, la poitrine d'une femme et l'audace d'un homme, l'un de mes fantasmes les plus fous, celui qui m'avait provoqué une vigoureuse érection avant-hier au soir, quand je regardais une production porno locale sur DVD, un truc quand même un peu daté mais toujours aussi excitant. Je sais mon fessier très troublant, ainsi caché dans la légèreté du lin, troublant à visiblement séduire un inconnu, mais n'y aurait-il pas plutôt collé son bas-ventre pour ainsi me faire comprendre, autrement que par des caresses, l'intérêt très fort qu'il a pour mes deux globes fins comme ceux d'une femme.
En ce moment, c'est seulement ce qui est féminin en moi, car, pour le reste, c'est une toute autre excitation qui se produit dans mon entrejambe. Mélange de mes souvenirs du film porno, et de la situation incongrue et excitante, une bosse s'est formée sur le devant de mon pantalon, et je remercie la foule d'en cacher la présence. Il faut vite que la pression redescende !
Mais l'attaque est plus violente, cette fois. Visiblement enhardie par mon absence de réel refus à sa présence sur mon fessier, une main s'est enhardie. « Oh non, j'espère qu'elle n'a pas frôlé ma bosse » songe-je. Je ne peux retenir un « Oumf » à la fois de surprise et de retenue, qui cependant ne trouble pas le moins du monde la quiétude du wagon.
J'essaie pourtant d'éviter l'agression, en rejetant ma taille vers l'arrière, quitte à en même temps retrouver davantage la poitrine plaquée contre mon dos, et aussi à heurter mon fessier contre l'individu coupable de toutes ces audaces.
Mais sa main a suivi le mouvement, et je me retrouve presque à frotter l'arrière de ma personne contre quelqu'un qui m'a agressé.
Mon cerveau bouillonne, réfléchit, est en fusion. Que faire ? Les sensations ne sont pas désagréables, mais je ne sais qui ose ça, et pourquoi.
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Les agressions dans le métro étaient quelques choses d’assez communs et on ne comptait plus le nombre de production en mettant en scène que ce soit dans le cinéma mainstream ou dans me cinéma pour adulte, ce qu’Himeko faisait au final n’était que de s’entrainer pour savoir comment rendre cela le plus fidèlement devant la caméra, cela aurait pu être sa ligne de défense tant elle n’avait vraiment peur de rien. Ses mains continuaient de glisser sur le corps de l’inconnu contre lequel elle se pressait.
Sa victime ne semblait pas manifester de refus, au contraire elle semblait même essayer de se frotter contre elle en cherchant quelque chose qu’elle ne possédait pas pourtant son opulente poitrine était toujours bien ancré contre son dos comme deux coussins de chair de quoi bien affirmé son statut de femme. Avec ces signaux qu’elle interprétait comme une invitation à continuer sa balade, elle ne se laissa pas prier deux fois.
Lors de la première expédition, il lui avait semblé sentir quelque chose à l’entrejambe et elle voulait en être sûre. Profitant de la finesse du tissu du pantalon de la pauvre victime, elle glissa ses mains dedans pour lui caresser les cuisses et glisser de nouveau jusqu’à l’entrejambe et se que ses doigts trouvèrent au bon du chemin confirma sa première intuition, un membre masculin tendu bien à l’étroit sous le tissu. Elle murmura doucement quelques mots en avançant la tête vers son oreille :
« Petit coquin, être aussi dur en public, tu n’as pas honte ? »
Elle était bien placée pour faire ce genre de remarque, elle n’avait en tout cas absolument aucune honte à faire le tour de ses hanches afin de prendre ce sexe en main et de la toucher, le masser comme si c’était un jouet. Elle s’amusait beaucoup mais pour le bien de tous, il fallait libérer la bête emprisonnée et la septuagénaire baissa doucement l’avant du pantalon pour que le pieu de chair puisse respirer et se tenir bien droit sans être oppressé par le tissu. Elle referma ses mains sur l’appendice désormais libre pour continuer de jouer avec tout en le dissimulant bien que la scène d’une grand-mère ceinturant un petit jeune devait sembler un peu étrange.
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« Je suis piégé ! Qu'est-ce que je dois faire ? ». Le métro est si calme, comme à son habitude. Sous risque de déclencher un torrent de regards réprobateurs fixés sur moi, je ne peux pas hurler « Madame, laissez-moi ! ». Car femme elle est, je n'en ai nul doute désormais. La poitrine, contre laquelle mon dos s'est appuyé par un étrange réflexe de sauvegarde, ne laisse pas planer la moindre ambiguïté, tant elle se devine ample et accueillante.
Ma timidité naturelle m'a souvent joué de mauvais tours, m'empêchant de prendre l'initiative avec des femmes, me privant certainement de moments torrides, me faisant parfois préférer des femmes dirigistes, peuplant certains de mes rêves de strapons inquisiteurs.
Mais, là, ce n'est étrangement pas pareil. Cette femme, je ne peux même pas dire cette agresseure, est à la fois sûre dans ce qu'elle vient de me faire, au point que j'en regrette même que s'interrompent ses douces caresses sur mes fesses, mais aussi très douce, dans les mots qu'elle me murmure.
D'ailleurs, cette voix qui me dit « Petit coquin, être aussi dur en public, tu n’as pas honte ? », alors que c'est elle-même qui...
Je n'ai pas eu le temps de réagir, je n'ai même pas imaginé cette attaque. J'étais dans le tel paradis de la douceur de mes mains sur mes fesses. Sans même que je ne réalise la vitesse de son intrusion, sa main a investi mon pantalon. J'aime m'habiller léger, mais jamais je n'aurais imaginé que ça puisse servir à ça !
Je dois sans doute être pivoine qu'une inconnue ait décelé l'effet qu'elle me fait. Inconnue ? Pourtant, cette voix, je la connais ; elle me dit quelque chose, elle chante comme nulle autre. Elle a une maturité et une assurance, même dans un murmure Où l'ai-je déjà entendue ? Une voisine qui n'a jamais osé auparavant ? Une cliente d'un commerce que je fréquente ? Cette voix confirme un âge plus avancé que le mien, mais d'où ?
Enfin, ce n'est pas le sujet du moment. Malgré moi ou grâce à elle, ma queue est dressée à l'étroit dans mon pantalon pourtant prêt à bien des extensions. Ses doigts sont précis, ils jouent de moi, ils courent et pressent comme s'ils connaissaient déjà la moindre de mes sensibilités.
Je réalise que je me colle de plus en plus à elle, au moelleux de ses seins que je devine, tandis que, dans une posture qui doit sembler grotesque, ma main droite continue de s'accrocher à la barre de maintien du métro à la serrer si fort que mes doigts y sont certainement incrustés.
Je perds pieds, pas physiquement, mais mentalement !
Je suis complètement abandonné, aux antipodes du mâle viril qui maîtrise tout. « Resaisis-toi ! Tu n'es que le jouet d'une cougar ». Jouet, oui ! Malgré moi, peut-être ? Elle joue de moi, et je pousse un « Non, pas ça ! » qui aurait dû réveiller le wagon endormi sur les smartphones, mais me semble plus imperceptible que le murmure d'une douce brise, alors qu'elle sort carrément mon sexe tendu de sa tanière de tissu.
Geste rapide comme si elle s'était entraînée, je bande au vu et au su de tous les voyageurs ; ça va finir au commissariat.
Instinctivement, je rabaisse le dossier que je tiens de ma main gauche, comme pour cacher ce qui se passe, comme si une simple pochette cartonnée A3 pouvait dissimuler cette main précise qui tient ma hampe, ces doigts qui semblent déjà connaître les moindres vibrations de mon sexe.
Un puceau aurait déjà lâché toute sa semence, tant le geste est assuré.
J'essaie de concentrer ce qui reste encore lucide dans ma tête. Gardant tant bien que mal l'appui sur mes jambes, je laisse de la main droite la barre de maintien, pour, dans un geste que peut-être certains voyageurs pourraient voir, partir à l'aventure derrière moi.
Je sais à peu près où est le corps de cette inconnue, pourtant déjà très intime.
Ma main parvient à trouver. Une taille, plutôt belle en formes, sous un tissu qui se devine issu de prêt à porter. Mais il me faut vite aller plus loin, pour ne pas laisser l'initiative. Ma main descend, devinant une jupe d'un tissu aussi soyeux galbant une cuisse aussi ferme que disons de belle forme. Une cougar, c'est sûr, pas une minette !
Il faut que j'explore davantage, mais jusqu'où aller ? La situation est trop invraisemblable, pour la gâcher par un regard intrusif.
Pas facile de me courber davantage en arrière pour faire parvenir ma main au bas de la jupe dont je ne sais rien, si ce n'est que je ne la devine pas mini.
Tentant le tout pour le tout, alors que sa main met mon sexe dans une situation de torture et de volupté à la fois, je lance ma main droite dans le même geste d'attaque, vers l'entrejambe de cette inconnue qui ne l'est pourtant pas.
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Himeko était une femme d’expérience et même si elle ne s’était finalement jamais mariée, elle avait eu des relations avec de nombreux hommes tant pour le travail que pour le personnel, les secrets du plaisir masculin n’avaient donc rien de mystérieux pour elle. Ses doigts glissaient doucement sur le membre en érection qu’elle avait délivré de son fourreau, de la pointe jusqu’à la base, elle le caressait délicatement. Rien ne valait la douceur pour procurer un plaisir optimal, elle aurait pu l’attraper et le masturber directement, cela aurait surement eut son effet mais de manière aussi éphémère qu’intense. Elle visait toujours l’extase, un plaisir plus long à faire monter mais donc la libération était encore plus phénoménale et dont on se souvenait quand bien même se faire caresser le sexe dans un métro bondé devait déjà être une situation inoubliable en soi.
Et puisque l’inconnu se laissait aller en se reposant encore un peu plus contre elle, elle n’avait pas de raison d’arrêter, il n’essayait pas de retirer ses mains de son membre viril alors elle continuait son jeu. Elle esquissa un sourire lorsqu’elle sentit le garçon essayer de s’aventurer à son tour en glissant main sur elle, elle le laissa faire un moment. Dans cette position il n’était pas aidé pour arriver à son objectif et la tenue de la réalisatrice de film pour adulte n’était clairement pas non plus là pour l’aider, jamais il n’arriverait à se glisser sous sa jupe longue par le bas comme ça.
Elle abandonna donc son sexe d’une main pour la poser sur celle de l’homme et la diriger en remontant pour la glisser sous la ceinture afin de pénétrer sa jupe par le haut :
« Là, comme ça. »
Elle murmurait toujours pour que seul lui l’entende en prenant l’initiative de diriger ses doigts sous sa culotte que l’on pourrait qualifier de sous-vêtement vintage pour lui faire sentir une toison épaisse et touffue, Himeko étant une femme de son époque elle ne s’épilait ni ne se rasait à cet endroit. Il devait connaitre le chemin maintenant alors elle lâcha sa main pour le laisser et faire et retourner s’amuser elle aussi à l’entrejambe de sa victime. Mais cette fois-ci elle ne recommença pas les caresses, elle enroula doucement ses doigts autour du pieu de chair et commença de lent et long va et vient pour le masturber toujours avec une élégante délicatesse.