Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Complexe d'études secondaires et supérieures => Dortoirs et douches => Discussion démarrée par: Matsuo Butahito le dimanche 10 août 2025, 16:58:46
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Cette histoire remonte à la dernière année de lycée de Matsuo. A cette époque rien n'allait pour lui et chaque journée était source de stress et de souffrance car certains élèves se faisaient un malin plaisir de lui pourrir l'existence à la moindre occasion qui pouvait se présenter. Dans la majorité des lycées les élèves doivent être membre d'un club, qu'il s'agisse de sport, de loisir ou d'étude. Matsuo se contentait de rendre des petits services un peu partout, y compris aux professeurs, pour éviter de tomber sur ses harceleurs et harceleuses.
Ce soir-là, il a dû rester plus tard que d'habitude pour aider à finaliser certains aspects logistiques de la kermesse à venir. Le lycée était étrangement calme car il ne devait rester plus qu'une ou deux poignées de personnes dans l'établissement complet. C'était rare. Comme les fois où il a pu se sentir en sécurité dans ces lieux.
- Encore merci de ton aide, Matsuo-kun.
- Aaah, non, c'est rien.
Une fois son professeur salué, Matsuo se retourna et s'éloigna pour rentrer chez lui. Mais avant il devait passer récupérer certaines affaires à son bureau dans sa salle de classe à l'étage au-dessus et déposer ses chaussons dans son casier qui se trouvait au hall d'entrée. La première étape s'effectua dans le calme. Étrangement, il n'avait presque pas envie de partir. La quiétude dans laquelle il baigna sur le moment était comme une bouffée d'air frais. Lorsqu'il se déplaçait c'était avec lenteur pour savourer chaque pas, au point de mettre quatre fois plus de temps que d'habitude pour se retrouver au rez-de-chaussée, la main posée sur son casier et une main dans la poche.
- Mince, je l'ai gardé avec moi.
Dans sa poche se trouvait un outil avec lequel il n'a pas le droit de sortir. Geste manqué pour profiter un peu plus du calme des lieux ? Possible... Toujours est-il que le jeune homme fit marche arrière pour retourner dans la salle où le reste du matériel pour y déposer l'outil et rentrer. Cette fois ses pas étaient guidés par la fatigue alors qu'il montait les dernières marches pour arriver à l'étage désiré.
Son bras se leva pour ouvrir la porte coulissante quand il entendit une... non, deux voix de l'autre côté. Celle d'un homme d'abord. Une voix qu'il reconnu rapidement vu que c'était celle de l'enseignant qu'il aidait il y a quelques minutes. Plutôt que d'ouvrir la porte, il préféra y approcher l'oreille pour vérifier si il n'allait pas déranger quelque chose d'important.
- Haaaaa, ces préparatifs vont m'épuiser. Entre les ajouts et modifications, je n'arrête pas. Heureusement que je peux compter sur toi pour m'aider à me changer les idées.
Contrairement à la majorité des pièces, la seule fenêtre de celle-ci était une lucarne qui pouvait s'ouvrir autant depuis l'intérieur que de l'extérieur. Emporté par sa curiosité, Matsuo récupéra un marche-pied qui se trouvait à quelques mètres, le posa contre le mur et monta dessus. D'une main hésitante il poussa lentement la lucarne pour ne pas faire de bruit et découvrit avec stupéfaction le professeur se frotter contre le dos d'une femme. Les deux mains sous son haut pour lui tenir la poitrine. Dur à dire avec certitude vu l'angle dans lequel le couple se trouvait.
Des pornos il en avait vu. Comme beaucoup de garçons de son âge. Mais des personnes faire des cochonneries sous ses yeux ? Jamais ! Le sang ne fit qu'un tour dans ses veines. Il avala sa salive tandis que son corps tout entier était rapidement pris d'une chaleur venue de nulle part. Surtout que le prof ne semblait pas faire preuve de la moindre hésitation.
- On ne s'est pas vu depuis combien de temps ? Tu sens combien tu m'as manqué ?
Le professeur avait une érection plus qu'évidente qu'il frottait contre le cul de sa collègue de manière frénétique depuis plusieurs secondes. Tout ça sous les yeux d'un adolescent qui s'était rapidement trouvé dans le même état d'excitation avec pour seul partenaire un mur froid et dur.
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Lillie était revenue de son deuxième boulot dans l'après-midi pour finir des papiers importants au lycée. Elle devait gérer des documents qu'on lui avait donné et gérer ses affaires, elle avait passé plusieurs heures dans son bureau avant de sortir pour afficher les papiers importants sur le tableau central. Des absences de professeur à venir, des remplacement, mais surtout le papier qui concernait l'aide scolaire qu'elle proposait aux étudiants. Chaque mois, elle mettait un papier, les élèves pouvaient aller sur internet s'inscrire pour réserver un créneau d'une heure et demie pendant le temps de midi. Ce service est très populaire ; surtout chez les garçons et il faut être rapide pour avoir une place avec Lillie.
En revenant du tableau, elle croisa monsieur Kim devant une salle ; elle en profita pour s'arrêter pour le saluer sauf qu'il lui sauta dessus dans la seconde.
- Kana, pas maintenant. Dit elle en levant les yeux vers le haut
- Je sais qu'on doit se voir demain midi, mais là vite fait, on pourrait en profiter...
- Je n'ai pas le temps Kana.
- Lillie fait moi plaisir... Avec la kermesse je nen peux plus et cet après-midi j'ai eu la terminale C tu sais qu'ils sont intenable j'ai besoin de lâcher la pression. Insista l'homme en lui attrapant les seins tout en se tenant dans son dos.
Il continuait à lui parler de la kermesse : - Haaaaa, ces préparatifs vont m'épuiser. Entre les ajouts et modifications, je n'arrête pas. Heureusement que je peux compter sur toi pour m'aider à me changer les idées. Tout en se frottant à elle pour qu'elle sente son membre soulever sa jupe et se coller entre ses fesses. Il lui embarrassait le cou en ouvrant son chemisier en même temps pour vite libérer ses seins : -on ne s'est pas vu depuis combien de temps ? Tu sens combien tu m'as manqué ?
En l’absence de réponse de sa conquête Monsieur Kim reprit.
- Lillie... demain midi, je t'offrirais une magnifique robe et du parfum pour me faire pardonner de cette entorse. Lui susurra-t-il à l'oreille.
Un sourire marqua le visage de Lillie, elle tira sur les pans de son chemisier pour l'ouvrir en grand lui laissant la permission de continuer. Monsieur Kim tira sur un bonnet de son soutif pour faire sortir un énorme sein qu'il se mit à presser avec force. Il était si gros qu'il ne tenait pas dans sa main, débordant de ses doigts. Il la conduisit vers un stand de la kermesse pour la coucher dessus. Lillie était sur le côté et Kana leva une de ses jambes pour l'appuyer contre son torse. D'une main, il se mit à ouvrir son pantalon pour faire sortir son sexe et de l'autre, il commença à doigter Lillie. Il se fichait de la culotte qu'elle portait l'enfonçant dans sa chatte en même temps que deux doigts. Ce qui le préoccupait le plus était de sortir son membre le plus vite possible pour profiter de la secrétaire qui le regardait avec passion ; tout en poussant des gémissements sous ses gros doigts dans sa chatte.
- Tu trembles, Kana ? Dit-elle pour le provoquer.
En réponse, il enfonça plus fort ses doigts tirant sur le tissu de sa culotte plus encore ; pour faire couiner Lillie plus fort.
Merci pour le 1er poste ; bonne lecture :)
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La relation entre monsieur Kim et Lillie ne devait pas dater d'hier vu la vitesse avec laquelle l'enseignant s'était jeté sur elle. Et cette dernière le lui rendait tout aussi bien en lui offrant son corps. Ils devaient même avoir l'habitude de s'envoyer en l'air dans le lycée car n'importe qui d'autre aurait retenu ses gestes par peur de se faire entendre. Mais non, l'homme qui se tenait face à cette créature de rêve qui faisait fantasmer la grosse majorité des garçons du lycée se mit à la doigter avec une détermination impossible à cacher malgré la distance qui le séparait de Matsuo.
Tranquillement en train d'observer dans son coin jusque là, l'ado ne réfléchit pas outre mesure en sortant son portable pour filmer la scène. Que l'image tremble, qu'il se trouve trop loin pour avoir un bon angle, que la lumière soit mauvaise et le son impossible à capturer ne le dérangeait pas du tout. Pouvoir les filmer a quelque chose d'excitant en soit pour un garçon de son âge.
De son côté, le professeur y allait comme une brute en doigtant la secrétaire. Tantôt un doigt se coinàait dans le tissu de la culotte, tantôt ses deux doigts y entraient avec puissance.
- C'est toi qui vas bientôt trembler d'envie.
Sa phrase a peine terminée, on pouvait entendre le son du pantalon tomber à même le sol. C'est là qu'un troisième doigt vint rejoindre les deux autres pour lui travailler la chatte sans vergogne durant de longues secondes. Monsieur Kim devait connaître le corps de sa partenaire avec le temps et il ne s'arrêta pas avant de la faire jouir bruyamment au bout de ses doigts. Fier de lui, il retira sa main de la fente humide de Lillie pour les présenter à la bouche de la jeune femme en lui ordonnant de les nettoyer.
Une fois prêt, il se contenta de tirer un peu plus sur la culotte qui tentait de représenter le dernier barrage qui l'empêchait d'atteindre son objectif. Le sexe en main, Kim se mit à frotter son gland contre l'entrée de ses lèvres en lui lançant.
- Tu es trempée et moi tellement dur. Aaarrrgh, regarde dans quel état tu me mets.
Tout en grommelant les derniers mots de sa phrase, l'enseignant recula les hanches juste ce qu'il fallait pour venir la pénétrer d'un coup sec jusqu'à la garde. Un immense et long soupir de plaisir résonna dans la pièce. Il avait envie de la baiser et il ne comptait pas faire dans la demie mesure. Les doigts de la main encore enduite de salive et de mouille se saisirent d'un des gros seins qui se mit à remuer sous ses yeux avec assez de force pour s'enfoncer dans sa peau.
Avec une main occupée à tenir son portable, Matsuo observait la scène avec une concentration dont il ne soupçonnait pas l'existence. Tandis que la seconde était sur son pantalon au niveau de son sexe afin de le tenir fermement comme pour l'empêcher de se séparer de son corps.
Alors que la bite de monsieur Kim pilonnait la chatte de la secrétaire du lycée comme une brute. La tenant toujours par le sein et en l'embrassant durant de longues secondes dès que sa tête est assez proche de la sienne. Des baisers baveux, langue tirées, quitte à en mettre partout sur lui. On dirait un autre homme. Lui qui était d'ordinaire calme et posé se déchaînait sur le corps de sa partenaire. Soulevant cette dernière avec la puissance de ses hanches dès qu'il remuait le bassin assez fort pour s'enfoncer totalement en elle. Il voulait la faire hurler tout en prenant son pied.
A un moment, un énorme bruit vint envahir la pièce. C'était le son produit par sa main lorsqu'elle avait claquer sur le cul de Lillie. Le corps de Kim s'arrêta un bref instant pour recommencer la chose une seconde fois. Pour ensuite tirer la jeune femme avec lui afin de la plaquer visage contre le mur le plus proche. Il lui tenait les poignets pour l'immobiliser et se remit à la prendre tout aussi fort en grognant et soupirant dans le creux de son oreille.
Tout ça sous les yeux et l'objectif du lycéen dont le cerveau va imploser d'une seconde à l'autre.
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Monsieur Kim n'avait pas menti à lillie ; il était stressé et avait besoin d'évacuer comme il le faut. Il martelait sa chatte avec ses doigts pour la préparer à sa façon, heureusement que Lillie avait l'habitude de ce traitement et qu'elle aimait ça. Quand il lui présenta ses doigts, elle tira la langue pour les lécher goulûment ; l'excès de salive et de sa mouille coulait sur son menton. Et les choses sérieuses allaient commencer, le pantalon au sol, c'était le moment pour Kana de se défouler.
Il se mit à chevaucher Lillie de toutes ses forces, la jambe de la secrétaire contre son torse, il pouvait y aller profond en gardant un appui. C'était aussi une bonne vue pour lui, voyant son sexe ouvrir ses lèvres pour s'y loger. Il la savait souple et capable d'endurer ses assauts. Lillie se tenait au stand de la kermesse, arrachant la décoration, il appuya sur sa jambe pour chercher ses seins et sa bouche étalant son rouge à lèvres.
- tu ne dis plus rien ? Se nargua le professeur pour cette vengeance. Lillie n'avait pas redit un mot criant son plaisir sans honte et pudeur.
Ses fesses rougis de sa main et de son bassin, il la leva pour aller la plaquer contre un mur. A une main, il arrivait à tenir ses deux poignets lui laissant une main libre pour venir lui enlever son chemisier du dos pour lui faire sauter son soutif entièrement. Les deux obus de Lillie pendaient et gigotaient au rythme des coups de bassin de Kana. Il soufflait comme un buffle dans son dos ; une odeur forte remplissait la pièce. Les deux étaient couverts de sueur, les cheveux de Lillie lui collaient au visage et dans la bouche, son maquillage autour de ses yeux avaient couler et on voyait la marque des imperfections du mur imprimé sur son visage.
Le bassin de Kana frappait le cul de Lillie au point de le faire remuer, se retirant trop sa queue sortie de la chatte humide de la secrétaire remontant entre la raie de ses fesses ; rencontrant sa rondelle pour la pénétrer du bout du gland. Son trou serré n'avait pas voulu le laisser passer entièrement, mais Kana avait adoré se sentir aussi serrée dedans. Il allait se réserver ça pour plus tard, retournant se mettre au chaud dans son minou. Il prit ses cheveux pour les entourer autour de son poignet et releva sa tête vers le haut pour que ses cries résonne plus fort, il la forçait à bien le dos à outrance pour faire ressortir ses fesses louchant sur sa rondelle. Lillie avait du mal à souffler, s'étouffant en criant son plaisir, sa peau était brûlante de passion. Tout son corps était humide de sueur, de salive et de sa mouille qui coulait le long de ses cuisses. Elle sentait qu'elle n'était pas loin d’atteindre le septième ciel.
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Les sons prenaient le dessus sur les images nettes au niveau de l'écran du smartphone de Matsuo. On pouvait entendre les chairs claquer au loin quand ce n'était pas le couple du soir qui gémissait ou grognait à plein poumon pour exprimer son plaisir sauvage. Depuis son coin tranquille le lycéen assistait à un véritable film porno en direct où l'homme traitait sa partenaire comme un objet. Un sextoy sur jambe juste là pour satisfaire ses pulsions sans se soucier de son bien être. Et le plus fou c'est qu'elle ne semblait pas montrer le moindre signe de riposte. Est-ce qu'elle aimait ça ? Dans son esprit cela n'arrivait que dans les films de cul ou les hentai.
Déjà qu'il ne possédait aucune expérience dans le domaine. Ce qu'il voyait ce soir-là n'allait clairement pas l'aider pour l'avenir.
- Haaan, putain ! Ta chatte va me rendre fou.
Lillie était complètement coincée par Kim qui la tenait par les cheveux tout en la martelant de coups de reins brutaux à un rythme effréné. L'objectif n'était clairement pas de faire durer le plaisir. Il voulait jouir. Dès que possible. Ses habits lui collaient à la peau alors que ses mouvements étaient guidés par les couinements de la secrétaire. Plus elle criait, plus elle manquait d'air et plus il y allait fort pour la malmener. Chaque coup de bite était accompagné d'un "URGH" digne d'un animal en rut.
Très rapidement Kim prouva à Lillie à quel point il avait d'elle en grognant encore plus fort. Son cors se raidit d'un coup, sans prévenir, tirant sur ses cheveux encore plus fort qu'avant. La tige de sa bite se mit à gonfler et convulser alors que le gland se mit à cogner contre l'entrée de son col. Et l'explosion se produisit. Du sperme chaud et gluant se mit à jaillir dans la chatte de la secrétaire sans qu'il l'en avertisse.
- Je vais te remplir la chatte ! Et ton cul ! Jusqu'à ce que ne tiennes plus sur tes jambes !
Une promesse qu'il comptait remplir vu qu'il se remit immédiatement à la plaquer contre le mur pour y enfoncer sa bite aussi profondément que possible. Écrasant le cul de la secrétaire avec son pubis au passage. Sa queue, toujours aussi dure et gonflée, continuait de la baiser sauvagement pendant qu'il éjaculait en elle. Le sperme giclait sur leurs cuisses à tous les deux, sur le mur, coulait sur le sol.
Le prof la garda ainsi pendant au moins deux minutes avant de décider qu'il était temps de changer de position. Son sexe qui n'avait pas perdu en vigueur quitta la chatte humide qu'il occupait dans un son dégoûtant à peine couvert par sa respiration difficile.
Un grand sourire sur le visage, il s'assit à même le sol tout en regardant Lillie. Les jambes légèrement entrouvertes et la trique tendue en direction du plafond.
- Je sais que tu la veux dans ton cul. Alors viens t'empaler dessus toute seule.
Matsuo n'en croyait pas ses yeux car il allait pouvoir filmer les choses dans un angle parfait avec Lillie qui serait tournée dans un angle lui permettait de voir ce qu'elle fait sans qu'elle ne l'aperçoive.
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Lillie était coincée entre le mur et Kana sans pouvoir bouger ou même se tenir, car le professeur continuait à tenir ses poignets fermement tout comme ses cheveux qui lui permettait de contrôler la danse. Il donnait tout jusqu'à lâcher la sauce au fond de la secrétaire sans arrêter ses coups de bassin laissant gicler sa semence. Lillie se mit à jouir peu de temps après, son vagin se mit à se contracter autour du sexe de Kana ; son corps aussi se raidit et à trembler pendant de longues secondes. Plus de sons sortaient de sa bouche et ses yeux semblaient perdus dans le vide, avant de reprendre la raison après cette vague de bonheur, la tête encore un peu ailleurs. Kana finit de lui labourer la chatte après ça, il la lâcha pour se reculer et se préparer pour le deuxième round en se mettant assis par terre.
Lillie se redressa, encore sur son petit nuage, elle divagua sur le côté pour se poser sur un autre stand de la kermesse les cuisses ouvertes laissant le sperme et sa mouille couler dessus.
- kana. Dit elle d'un murmure torride. Elle tremblait à bout de souffle, essuyant son visage pour étaler plus son maquillage. Elle tira sur son chemisier pour l'enlever le jetant à des pieds, comme son soutif et elle se leva pour faire descendre sa jupe ainsi que sa culotte.
- j'arrive mon étalon.
Lillie marcha dans sa direction, seulement perché sur ses talons déambulant comme un mannequin pour faire rouler son cul encore marqué des coups de bassin de Kana et des fessées qu'il avait mis. Elle passait ses mains sur son corps partant de son ventre pour monter sur ses seins afin de les serrer entre eux. Devant lui, elle posa le bout de sa chaussure sur les couilles de Kana pour appuyer dessus, comme si elle cherchait à savoir si elles étaient encore remplies.
Après le contrôle qualité, elle se laissa tomber à califourchon sur lui frottant sa chatte contre son bas-ventre pour le couvrir de ses fluides. Elle en profita pour l'embrasser avec passion, pendant qu'elle chercha sa bite avec une main pour la guider entre ses fesses. Elle la faisait glisser le long de sa raie, jusqu'à trouver l'entrée de sa rondelle. Lillie se mit à s'appuyer dessus continuant de la tenir pour pas qu'elle glisse. Kana pouvait sentir sa rondelle s'ouvrir sous son passage, tout en le compressant comme si son cul faisait tout pour ne pas qu'il passe.
Lillie gémissait en continuant de l'embrasser, son cul commençait à avaler les centimètres et à la moitié elle lâcha sa bite pour commencer à le chevaucher. Elle roulait du cul, soulevait son bassin pour faire des va et viens, s'empalant de plus en plus sur le professeur. Elle finit de l'embrasser pour se pencher un peu en arrière, ce tenant a une de ses épaules avec le bras tendu, elle se mordit la lèvre avant de se laisser tomber entièrement sur sa bite pour faire passer de force les derniers centimètres en poussant un cri de bonheur. Une giclée de sperme sortie en même temps de son minou pour les éclabousser alors qu'elle se mit à le monter. Elle descendait et montait sur sa bite avec avidité, Son cul claquait sur ses cuisses à chaque descente ; elle allait de plus en plus vite en démontrait sa poitrine qui commençait à remuer.
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La scène qui se déroulait à quelques mètres de lui était désormais plus évident pour Matsuo et son portable. Cette façon sensuelle et provocante de remuer son corps contre celui du professeur ne laissait plus le moindre doute sur leurs actions. Et le couple n'était pas le seul à se trouver dans un état de surexcitation au milieu de ce lycée vide.
Le jeune homme vissé sur son marche-pied tenait difficilement en place. Son smartphone qui filmait devait aussi enregistrer le son de sa respiration lourde et saccadée depuis plusieurs minutes déjà.
Sa requête acceptée et déjà exécutée, Kim grinçait des dents en sentant sa bite se faire étouffer par le cul de Lillie. Il n'avait qu'une envie, attraper de nouveau ses énormes seins et les presser de toutes ses forces pour tenter de tenir le coup face à cet anus qui comprimait sa tige pulsante d'envie. Son corps l'en empêchait cependant à cause de sa position. Jusqu'à ce qu'ils trouvent tous les deux leur rythme de croisière. Le son de sa voix lorsqu'elle prenait du plaisir avec lui décuplait son envie. Cela avait l'effet d'un déclencheur pour lui faire comprendre qu'il fallait passer à l'étape supérieure.
C'est pour cette raison qu'il s'était rapidement mis à lever les hanches en se synchronisant sur ses mouvements à elle. Dès qu'elle entamait une descente, lui effectuait une montée. Le tout dans des "SCHLAK" brutaux qui envahissaient très vite la pièce pour atteindre les oreilles du lycéen.
- Il est à qui ce cul ? Allez, dis-le !
Monsieur Kim n'a pas l'apparence d'un homme sportif ou particulièrement endurant. Et pourtant cela va faire désormais de longues minutes qu'il harcèle le corps de la secrétaire sans marquer de pause. Même là, les deux mains posées sur le sol, il s'en servait pour contrôler son bassin et enculer sauvagement Lillie dont le corps était désormais secoué dans tous les sens. La bite du prof y entrait de force encore et encore dans le but d'y laisser son empreinte. Repoussant les parois étroites de son rectum brûlant et humide.
- Aaaah, pourquoi tu me fais ça, Lillie ? Pourquoi tu m'excites autant ? Pourquoi j'ai autant envie de te remplir le cul ?
Au même moment, le portable de Matsuo se mit à vibrer. Pas assez fort pour le couple l'entende. Et de toute façon les deux étaient trop excités pour entendre quoi que ce soit. Mais cela fit paniquer l'adolescent qui descendit de son marche-pied, paniqué. Sans demander son reste il détala les escaliers pour se retrouver au rez-de-chaussée, en face du panneau des annonces. C'est à ce moment qu'il remarqua le papier placardé plus tôt par Lillie pour les cours de soutien.
- Hein ?
Tout se bouscula dans sa tête à cet instant précis. L'adrénaline, l'excitation... et les hormones. Le garçon ouvrit l'application du lycée pour y réserver le premier créneau ouvert qui se trouvait être deux jours plus tard. Gourmand, il tenta d'en réserver d'autres. Sans succès. Apparemment il ne peut y en avoir qu'un par élève.
- Merde.... Merde ! Aah, je sais !
Rarement son cerveau avait fonctionné avec une telle intensité. Heureusement il se souvint qu'il avait accès aux comptes de deux autres élèves à qui il devait faire les devoirs. Le genre qui ne se connecte jamais sur son compte à moins de vérifier les notes des examens importants. Le jeune homme en profita donc pour réserver les deux créneaux disponibles suivants en indiquant à chaque fois que le lieu de rendez-vous serait une chambre des dortoirs vides et régulièrement utilisée par les élèves pour réviser. Ce qui était à moitié vrai.
Une fois chez lui, il brancha son portable à son ordinateur pour récupérer une copie de la vidéo et se soulager à 3 reprises avant d'arriver à se calmer. Il s’imaginait être à la place du prof dans cette pièce, à prendre Lillie contre le mur. Ou il se voyait déjà en train de faire tout un tas de trucs dans la salle de révision.
Tout cela l'a travaillé au point de le garder éveillé une partie de la nuit malgré ses 3 branlettes.
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Lillie et Kana étaient en extase à baisé à même le sol, les fluides coulaient sur eux. Quelques paroles au milieu des cris et des gémissements ; des embrassades sauvages ; des fessées pour garder le rythme. Aucun des deux n'avait vu l'étudiant par la fenêtre qui les filmait. Une ombre planait sur eux, avant de s'évaporer les laissant à leur affaire. Pendant encore une bonne demi-heure, la secrétaire et le professeur restèrent ensemble, le temps de jouir encore une fois, reprendre leurs esprits et nettoyer leur passage qui avait laissé des traces. De toute façon, ils allaient se revoir le lendemain pour de nouvelles aventures ensemble. Kana avait une robe et du parfum à offrir à Lillie, peut être même un assortiment de sous-vêtements à tester directement. Justement, le lendemain, Lillie regarda le site internet pour les cours particuliers qu'elle donnait voyant que tous les créneaux avaient été sélectionné, ça n'avait pas mit longtemps. Elle prit le nom de chaque élève pour faire des recherches sur eux (la classe, les notes, redoublement...) : elle n'allait pas chercher d'informations personnelles sur le net se réservant des surprises.
Matsuo Butahito était le premier élève qu'elle allait rencontrer ; c'était la première fois qu'il s'inscrivait à ses cours. Elle regarda ses bulletins scolaires pour voir où il avait du mal. Lillie prenait des notes avec attention, même si elle finissait régulièrement avec les cuisses écartées une partie de la séance était vraiment faites pour des révisions ; à sa façon. Matsuo allait le découvrir bien assez vite.
Encore le lendemain, il était l'heure pour elle d'aller à la rencontre de son élève, il avait laissé un numéro de dortoir pour le lieu du rendez-vous. En avance de quelques minutes, elle frappa à la porte pour signalé qu'elle était arrivée. Elle tenait sous son bras un large tableau blanc pour y mettre des notes ; elle avait une sacoche avec ses affaires. Lillie était tirée à quatre épingles, une jupe crayon noir, un chemisier blanc avec un nœud en tissu autour de son col, des haut talons noirs. Avec ses cheveux attachés en queue-de-cheval, elle donnait un air très strict ; à des années de ce que Matsuo avait pu reluquer d'elle dans la salle de la kermesse. Mais il ne fallait pas s'inquiéter pour l'élève, elle aimait bien mettre en place un petit jeu pour faire monter la pression.
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Un enfer, un véritable enfer... C'est ce qu'à vécu le pauvre adolescent pendant les 24 heures suivantes. Du moins, un enfer pour un adolescent aux hormones chamboulées par ce qu'il avait vu et vécu la veille. Sa nuit de sommeil fut courte et étudier la matinée suivante lui était tout bonnement impossible. Heureusement qu'il ne s'agissait pas d'une journée complète car il serait devenu fou.
C'était en s'abrutissant sur les jeux vidéos de la salle d'arcade qu'il était parvenu à s'occuper et penser à autre chose aussi longtemps que possible. Est-ce que tous les adultes font ça ? Ou alors les profs et les élèves du lycée ? Ou juste Kim et Lillie ? Est-ce que ce qu'on voit dans les pornos n'est finalement pas si éloigné de la vie réelle ? Est-ce qu'il a une chance de faire quoi que ce soit avec la secrétaire ? Si oui, est-ce qu'il faut prendre les devants ou faire l'innocent ? Tous les scénarios, toutes les possibilités lui viennent à l'esprit sur le chemin qui le ramène chez lui. Puis durant le dîner. Puis pendant qu'il se branlait encore à 3 reprises. Puis dans la douche. Puis dans son lit. Puis le lendemain matin.
Son cerveau n'arrêtait pas un seul instant de lui faire voir des choses possibles ou non. Un véritable enfer !
C'est alors que l'heure du déjeuner arriva. Le garçon commençait déjà à avoir quelques sueurs froides en tentant de se lever de son bureau pour quitter la salle de classe. Le seul bon côté de sa situation avec les autres élèves est qu'il n'avait pas besoin de trouver une excuse pour ne pas aller déjeuner avec eux. En règle général il déjeunait dans la classe ou dans un coin isolé pour ne pas se faire embêter.
- Bon... euh... Ah oui, le dortoir. Le dortoir...
Matsuo bafouillait tout seul dans sa barbe devant des élèves qui se demandaient si il n'avait pas pris un truc pas net. D'un pas décidé il se précipita pour se retrouver le premier dans la chambre du dortoir indiquée lors de son inscription.
- Ouf, c'est vide. J'avais peur de trouver quelqu'un.
Outre les profs, certains couples venaient parfois se retrouver ici pour faire des trucs. Mais cela arrivait plutôt avant ou après les cours car il n'y a généralement personne à ces heures précises.
La main droite du garçon se glissa dans la poche intérieur de son veston pour y saisir un mouchoir dont il se servit pour essuyer la transpiration qui perlait sur son front. Même le courant d'air généreusement offert par la fenêtre entrouverte ne parvenait pas à calmer ses nerfs.
C'est alors qu'on toqua à la porte. Le garçon se leva d'un bond en manquant de se casser la figure dans un "OUCH" qu'on pouvait sûrement entendre de l'autre côté. Il se précipita pour ouvrir à la même vitesse qu'il avait mise pour se rendre sur les lieux du futur possible premier acte sexuel de son existence.
- A-A-Ah, bonjour !
Son regard était d'abord fixé dans celui de Lillie quand il l'accueillit en se poussant pour lui libérer le passage afin qu'elle entre dans la chambre. Excepté que son attention ne fut que de courte durée. Très rapidement son regard fut comme aimanté en direction de l'énorme poitrine de la secrétaire. Dans sa tête il imaginait ses énormes seins balloter avec le reste de son corps pendant qu'elle s'empalait comme sur sa vidéo. De part sa position et les ombres qui le masquait il avait de la chance que Lillie ne puisse rien remarquer. Pour le moment. Car il risque d'avoir du mal à se contenir durant 1h30.
Une fois la secrétaire entrée, il lui montre de la main où il s'est installé et pose ses fesses sur sa chaise en prenant soin de garder les jambes aussi fermées que possible.