Le Grand Jeu
Plan de Terra => Les contrées du Chaos => Discussion démarrée par: Sarya le dimanche 02 février 2025, 16:06:57
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- Hé! Regarde-là bas! Je crois que j'ai repéré un truc sur la grande route...
- Ouais... Attends que je regarde ça dans les jumelles... Ouais... Okay je crois voir un gros gland qui se ballade tout seul sur le chemin...
- C'est quoi? C'est qui? C'est un mec ou une fille? Vas-y dit. Si c'est une femelle humaine, on pourra la violer avant.
- Ooooouuuh toooouut douuuux! Sarya ne veut pas que les jeunes petits nouveaux de la guilde du grand chef fassent et disent n'importe-quoi. Même si ce sont des horribles humains mâles.
Aujourd'hui grand chef adoré a demandé à louve digne, de conduire les nouveaux dans une de nos missions de repérages. La mission du jour était que Sarya et ses nouveaux amis attendent discrètement tout en haut de la colline et y repèrent des voyageurs intéressants à voler. Alors Sarya n'attend pas la suite et elle descend tout en bas en courant toute seule pour d'abord y faire elle-même du repérage. Sarya grandes oreilles et museau affiné compte toujours sur ses atouts à elle pour ne pas tomber dans un piège tendu par des bandits ou d'horribles humains prêts à faire du mal aux siens.
- Gentille louve veut que les nouveaux restent d'abord ici pour savoir s'il n'y a pas d'autres dangers. Toujours gentille louve reviendra vous chercher après, si elle n'a rien vu de dangereux pour les nouveaux.
Louve rapide comme le vent est donc partie en laissant ses amis ici. Elle se rapproche avec agilité et en très grand silence parmi les très hautes herbes et les grands arbres qui la cachent qui la protègent. C'est que la nature est la plus grande amie de poils bleus, même si la végétation n'est pas bleue comme elle.
- Regardez-moi ce gros bâtard!... C'est bien un mec tout seul et en plus il a l'air de transporter de sacrés trucs sur lui cet enfoiré.
- Sérieux? Un fils de pute tout seul qui marche ici comme ça sur la route avec tout son bordel? Il faut vraiment être sacrément con pour faire ça...
- Peut-être qu'il a prit un portail sans le savoir?
- Peu importe. Ça semble être déjà un humain et je sais pas vous mais moi j'ai bien envie d'aller le fumer!
- Attends... Sarya a dit qu'on devait pas bouger d'ici tant qu'elle...
- Mec on s'en fout de cette fille. En plus on est trois pour l'accompagner. Alors on a qu'a aller de notre côté et on fait ce qu'on a à faire. De toutes façons moi aussi j'ai envie de régler un peu les comptes avec ces enculés d'humains! Regarde un peu le couteau que j'ai! Une merveille pour planter dans toutes les chairs de ces pourris et leur défoncer leurs crânes de bouseux!
- Okay allez! On bouge de là! Venez va passer par là. On ira plus vite que cette dingue à poils bleus qui parle en plus comme une attardée.
- Ouais elle vient du grand Nord à ce qu'il parait. Je connais moins les terranides de ces régions là mais il parait qu'ils sont tous beaucoup plus primitif que chez nous. Déjà qu'ici t'as certaines tribus qui sont vachement limitées...
- C'est juste à leur niveau de QI proche de zéro quoi.
Quand grands yeux attentifs commence à se rapprocher de étrange voyageur solitaire, elle regarde d'abord très attentivement comment il bouge. Puis Sarya sent l'air comme elle fait d'habitude et museau infaillible repère tout de suite qu'il s'agit bien d'un humain mâle.
- Sniiiiiiif... Sniiiif... Sniiiiiiiif... Odeur forte de mâle humain très viril. Sarya ne sent que son odeur par ici. Il est donc tout seul...
Tandis que louve sur deux pattes attend encore un peu pour confirmer, elle se remet sur ses quatre pattes pour courir encore plus vite et aller prévenir ses gentils nouveaux amis. Quand elle arrive rapidement tout en haut de la colline, Sarya s'inquiète car elle ne les voit plus du tout.
- Louve inquiète appelle ses trois amis à elle. Oooooooooouhhh êtes voooooous?
Il ne faut pas longtemps à poil des grands nords pour les voir être partis avant que Sarya ne soit revenue. Les nouveaux n'ont pas écoutés grande sage petite louve et sont maintenant tout prêts du dangereux humain...
- Hé connard! Pose ton paquetage qu'on discute un peu!
- Fais-ce qu'il te dit mon chou si tu ne veux pas qu'on te transperce le bide avec cette putain de lame que j'ai pour toi dans les pattes!
Louve toute effrayée court très vite vers eux. Sarya n'est vraiment pas contente du tout que les trois nouveaux n'ont pas écoutés ce que elle savait mieux que eux. Sarya a toujours peur que ses amis fassent parfois n'importe-quoi quand elle n'est pas là.
- T'es sourd connard? Je t'ai dis de poser ton putain de bazar par terre tout de suite!
- Vas-y laisse! Rien qu'à voir sa gueule d'humain j'avais déjà envie de le crever! Prends donc ça sale fils de pute d'humain!
- Hahaha! Vas-y! Crève cette grosse charogne! De toutes façons on a pas besoin qu'il soit en vie pour lui prendre tout ce qu'il a surement déjà piqué à d'autres pauvres terranides innocents! Hé dis? T'as violé combien de terranides mon sale gros porc pour avoir tout ça sur toi?
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Infatigable et immortel, le Pérégrin restait rarement longtemps au même endroit. Mais malgré ca, il arrivait que sa renommée le précède et s'étende à toute une région. Rumeurs et colportages parlent alors d'un beau jeune homme, à la jeunesse et à la vigueur éternelles, prêt à rendre visite et aider celles et ceux dans le besoin. Si ces histoires à dormir debout ne dépassent que rarement le stade de racontars, il arrive que certains les prennent au sérieux, désireux de s'allouer les services d'un allié potentiellement puissant.
Résultat, il arrivait souvent que Grayle fasse équipe, ou agisse en tant qu'émissaire, courrier, aventurier ou protecteur au service de personnes plus ou moins recommandable. S'il n'était pas amoral, Grayle n'était pas non plus un saint, et n'avait guère de problème à travailler avec quelques criminels, ou personnes à l'activité douteuse.
- Hum, encore quelques jours et je devrais en être sorti...
Grayle avait été chargé de transporter en toute urgence d'importants composants magiques. Onguents, huiles, mais aussi poudres issues de nombreuses plantes, utilisées pour dans de nombreuses formules : sérum de vérité, aphrodisiaques, potion de projection astrale, de stabilisation émotionnelles... enfermées dans des pots et fioles, les contenants étaient précieusement rangés dans un sac qu'il portait sur son dos. Son employeur lui avait formellement interdit de les ranger dans son sac sans fond, craignant quelque interférence magique.
" Il se passe quoi si ces produits sont consommés purs ? " avait demandé le pérégrin. La réponse l'avait quelque peu interloqué. " Folie furieuse, dépression maniaque, arrêt cardiaque... ces composants sont trop puissants pour être consommés sous cette forme par un humain.Ils tuent toute inhibition, et ont aussi d'effroyables effets aphrodisiaques. Mais vous n'êtes pas normal, alors... vous êtes le meilleur porteur "
En échange, Grayle avait obtenu un petit trésor : un laissez-passez de platine, lui garantissant libre-passage dans toutes les villes et régions des pays avoisinants. Voilà qui faciliterait sans aucun doute ses voyages... et en échange de quoi ? Une dizaine de jours de marche ? C'était presque trop facile.
Avançant à toute vitesse entre les arbres, le pérégrin regardait autour de lui avec vigilance. On lui avait conseillé de couper à travers la forêt, malgré la présence de terranides. Toutefois, il lui avait été assuré qu'il n'aurait rien à craindre d'eux.
" Il s'agit de réfugiés qui ont fui les esclavagistes avoisinants. Ils se cachent et vivent de petites rapines ou de vols. Il y a plus de chance qu'ils s'enfuient ou se cachent devant votre arrivée qu'autre chose ! "
Aussi, c'est avec assurance que Grayle s'était engagé sur ce territoire. Il n'en aurait que pour une solide journée à marche forcée, et ce raccourci lui permettrait de gagner 3 jours, par rapport à un détour qui l'aurait forcé à emprunter un chemin montagneux.
Mais le jeune immortel allait vite comprendre qu'il s'était fourvoyé. Car arrivé à mi-chemin de son périple, après avoir traversé une clairière, et alors que les frondaisons des arbres commençaient à cacher la lumière du soleil, un trio de terranides, d'apparence lupine et au pelage coloré, s'était approché de lui. Sans hostilité, Grayle les fixa, saisissant discrètement son bâton divin, accroché dans son dos. Capable de s'allonger jusqu'à des distances faramineuses, il s'agissait d'une de ses armes favorites, capable de le défendre sans tuer.
- Hé connard! Pose ton paquetage qu'on discute un peu!
- Fais-ce qu'il te dit mon chou, si tu ne veux pas qu'on te transperce le bide avec cette putain de lame que j'ai pour toi dans les pattes!
Grayle haussa un sourcil, fronçant l'autre. Il avait rarement vu des agresseurs avec autant d'assurance et de bravado. Aucune négociation, ni même de tromperie. Leur honnêteté était presque rafraichissante, si elle n'indiquait pas une mentalité de psychopathe dangereux. Il recula légèrement, essayant vainement de créer de la distance.
- Vous voulez pas qu'on en parle plutôt ? J'ai de l'argent si vous voulez, on a pas besoin d'en venir aux armes... répondit-il, essayant de négocier sa tranquillité, à défaut d'avoir une quelconque vie à protéger. Mais leur refus et leur clair besoin d'en découdre témoignait de leur inexpérience. Un vrai bandit de grand chemin serait ravi d'obtenir des biens sans effort, ni risque, mais ces trois-là, ne s'étaient montrés que dans un seul but : lui casser la gueule.
En clair... trois sombres connards.
Il soupira. Grayle n'aimait pas se battre. Enfin... si, plutôt. Mais les combats inutiles l'exaspéraient. Il réfléchissait, continuant de reculer, alors qu'ils se rapprochaient avec tranquilités, sûrs de leur victoire.
- Hahaha! Vas-y! Crève cette grosse charogne! De toutes façons, on a pas besoin qu'il soit en vie pour lui prendre tout ce qu'il a surement déjà piqué à d'autres pauvres terranides innocents! Dis? T'as violé combien de terranides mon sale gros porc, pour avoir tout ça sur toi?
- Aucune, j'ai pas besoin de violer pour me taper une terranide. Ta mère devrait le savoir, lâcha Grayle. Quitte à se faire agresser, il ne voyait aucune raison d'être poli, et jeter de l'huile sur le feu.
Le terranide le regarda avec fureur, la réplique le touchant au vif.
- Connard ! Je vais te saigner !
Le plus grand des hybrides, une créature grise aux muscles saillants, fendit l'air avec une large épée. Son compagnon noir bondit simultanément, dague en avant. Le troisième, plus petit mais plus agile, tournoyait autour du jeune homme, cherchant une ouverture.
Grayle fit tournoyer son bâton, qui s'allongea soudainement de cinquante centimètres, repoussant la lame du premier assaillant avant de le faire pivoter d'un mouvement fluide. Une fente, et le bout du bâton frappa l'articulation du genou, qui réagit avec un craquement horrible. L'hybride gris poussa un hurlement de douleur, sa jambe subitement instable. Avant qu'il ne puisse se reprendre, Grayle changea de prise et frappa violemment ses côtes d'un revers l'envoyant valser sur le côté.
Il avait été vif, mais pas assez. Le noir, qui avait chargé juste derrière le gris, percuta Grayle, enfonçant son poignard directement dans son ventre. Grayle poussa un hoquet, crachant du sang devant lui. L'hybride poussa un hurlement de victoire, avant de couiner lorsque Grayle le frappa d'un grand coup de tête, pulvérisant sa truffe. Le bandit grogna, vacilla, retirant son poignard pour frapper une seconde fois. Mais l'immortel, qui ne ressentait même pas la douleur du coup, fut le premier à réagir. Son bâton, devenu matraque, s'enfonca contre la gorge du terranide, lui coupant le souffle, en même temps qu'il lui assénait un grand coup de pied dans les valseuses, transformant ses grognements en couinements.
L'hybride gris, rageur et blessé, profita d'un infime moment d'inattention pour viser le bras de l'humain, frappant vers le bas dans un grand mouvement circulaire. Le coup fut si violent que l'os céda avec un craquement sinistre. Le bâton magique échappa un instant à la main de l'immortel, qui recula, momentanément déséquilibré, avant de riposter d'un coup de poing dans la glotte. Il rattrpa son baton dans un mouvement fluide, le fit se rallonger, et frappa le crâne du loup, juste avant de se faire plaquer contre un arbre par le troisième hybride, qui lui mordit l'épaule, avant de hurler lorsque Grayle lui enfonça son bâton dans l'oreille, l'agitant dans tous les sens, forçant son ennemi à se dégager.
- Connard !
- Fils de pute !
- Crève, charogne !
Les insultes fusaient entre chaque coup. Mais pour chaque blessure que Grayle encaissait, il frappait deux fois, avec sauvagerie et brutalité, allongeant et raccourcissant sans cesse son arme pour varier ses angles d'attaque, bougeant en permanence pour ne jamais être encerclé. Mais face à trois ennemis plus puissants que lui, il lui était impossible de lutter sans casse.
Après une paire de minutes, l'immortel était poisseux de sang, le sien, mais aussi celui de ses adversaires. Oeil tuméfié, truffe cassée, genoux brisé, côte fêlée... l'épaule droite du gris pendait, démise par un coup violent du bâton magique. Le noir présentait les stigmates les plus visibles. Son visage était tuméfié, une large plaie le traversant de la tempe à la mâchoire. Sa main droite, où l'os du poignet avait été brisé, pendait inerte. Des traces de sang noir maculaient sa fourrure, témoignant des coups portés. Le troisième, au pelage brun, avait aussi payé un lourd tribut au combat. Un coup de bâton lui avait ouvert le cuir chevelu, une plaie qui saignait abondamment, colorant sa fourrure de rouge sombre. Une profonde entaille lui barrait le flanc gauche, là où l'immortel l'avait cueilli avec l'extrémité du bâton, révélant sa chair et menaçant de s'infecter. L'une de ses oreilles était à moitié arrachée, pendant lamentablement contre son crâne, séquelle d'une parade violente.
Grayle était aussi dans un triste état. Le poignard du gris lui avait ouvert le flanc sur une dizaine de centimètres, traçant un sillon écarlate le long de sa cuisse. Son épaule droite était littéralement lacérée par la morsure de l'hybride brun, la chair déchiquetée laissant apparaître par endroits la masse musculaire et un fragment blanc d'os. Un coup de griffe lui avait ouvert le visage, de la tempe à la mâchoire, une blessure qui partait de son arcade sourcilière et traversait sa joue, révélant une plaie assez large pour qu'on puisse y voir la musculature. Du sang coulait constamment de cette blessure, déformant sa vision du côté droit.
Mais, petit à petit, ses blessures se refermaient, au point qu'après plusieurs minutes, il évoluait sans séquelle, sa respiration claire et maîtrisée, là où les agresseurs commençaient à ahaner, réalisant que leur adversaire n'avait rien de normal, et que ce combat était plus risqué qu'ils ne le pensaient.
- Bah alors les grandes gueules, on ne la ramène plus ? rugit Grayle, l'oeil injecté de sang, un sourire carnassier déformant son visage. Il jouissait de leur visage inquiet, leur hésitation, malgré le fait qu'il serait mort depuis longtemps s'il était un humain normal. Une autre attaque, plus lente, plus engourdie. Ils se fatiguent. Pas lui. Il se décale sur le côté, projette son baton sur le pied de l'hybride, avant de le remonter brutalement vers le haut, brisant la machoire inférieure du loup dans une giclée de sang.
Mais le noir, dans un assaut féroce, attaque lui aussi. Il frappa violemment l'immortel, qui fit une dramatique erreur. Le cuir de son sac se fendit sous le coup d'épée, et les fioles de verre éclatèrent avant de se briser avec un tintement cristallin. Une fine poussière ambrée s'éleva dans l'air, dansant entre les rayons de lumière qui filtraient à travers le feuillage. Grayle poussa un juron, une colère sourde l'envahissant avec une force incontrôlable.
- ENCULE !
Il leva ses bras, frappant le terranide au visage, le projetant au sol. La poussière flottait dans l'air, s'incrustant contre la peau du pérégrin, absorbée à chaque inspiration, décuplant sa colère et sa vitalité à un degré effroyable, alors qu'il s'écharnait contre le terranide, le rouant de coup sous les regards interdits -et proprement terrifiés- des deux autres agresseurs.
Pendant ce temps, les fioles brisées continuaient de répandre leur contenu, transformant progressivement le sol forestier en un piège chimique subtil dont seul l'immortel semblait affecté...
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Petite louve des neiges devient toute apeurée quand elle voit que ses trois nouveaux amis agressent l'humain. Sarya voit de la violence et des horribles coups que tout le monde s'envoient très vite. Au début, poils de givre a vraiment trop peur que pour arriver à bouger. Mais elle savait qu'elle devait vite réagir si elle ne voulait pas que tout le monde se fasse tuer et meurent horriblement sous ses yeux. Et puis grand chef ne serait pas content d'apprendre que louve bleue comme les lacs profonds n'a pas réussi à gérer les jeunes et il en serait surement très fâché contre elle...
- Sniiiiiiif... Sniiif...Sarya sent du sang dans les airs... Elle n'aime vraiment pas ça du tout. Tout ça devient vraiment trop dangereux...
Mais c'est surtout quand bleu terrorisée voit l'un de ses amis par terre en train de se faire frapper par l'humain au milieu d'un brouillard étrange, qu'elle se décide enfin à agir. Elle envoie sur lui toute sa glace qui glace tout avec toute sa puissance pour essayer de l'arrêter et de le faire reculer.
- Glace qui glace tout! L'humain doit arrêter immédiatement de faire du mal à ses amis qui ne l'ont pas gentiment écoutée!
De la lumière bleu part des pattes à Sarya qui touchent l'homme devenu mauvais et très agressif et qui heureusement ne l'avait pas vu arriver. Le rayon de glace qui glace tout était si puissant que ça fait repousser le grand mâle humain qui tombe sur le côté.
- Ouais! Bien joué Sarya! Tu as eu cette raclure!
- Enculéééé! Enculééééééééé! Je vais te crever avec ce qu'il te reste encore! Sale grosse merde humaine! Enculééééééé!
Ami de Sarya enragé au sol se relève et donne tout plein d'horribles coups de couteaux dans le corps de l'humain qui ne bouge plus du tout. Lupine des forêts se cache les yeux pour ne pas voir cette horreur. Mais elle voit quand même ses deux autres amis gravement blessés, prendre des objets bizarres au sol pendant que le troisième très en colère, finit par se calmer rapidement.
- Sarya veut que vous repartiez avec elle. Les nouveaux terranides de la guilde ne l'ont pas écoutée et grand chef ne sera pas du tout content.
- Putain... Je regrette d'être dans cet état pour pas me sentir capable de prendre tout ce qui traine.
- Je ne sais pas c'est quoi ces merdes, mais je sais vraiment pas si ça valait le résultat... Que des babioles bizarres sans intérêt... En plus cette loque humaine m'a défoncé! Putain!
- Ouais mais au moins... on lui a baisé sa gueule à cette raclure! Et puis grâce à nous ça fera un humain de moins sur cette terre. Alors bon débarras la sale pourriture! Va donc rejoindre ta mère qui s'est faite baiser par tes porcs consanguins. Ptouh!
Louve passive et toujours encore apeurée par toute cette violence attend que ses camardes qu'elle n'aime pas vraiment reculent un peu, pour qu'elle puisse s'approcher du corps de humain mâle mort. Bien qu'elle déteste voir ça et qu'elle a tout de suite eu envie de partir en courant, Sarya pense qu'il serait peut-être bien qu'elle prenne quelque chose qui aurait de la valeur, pour que cela aide le grand chef à la survie de la grande belle guilde. Petite bleue qui hésite d'abord, décide timidement de prendre quelque chose de petit et de brillant qui ressemble à un précieux bijou que porte autour du cou l'humain mort et qui saigne partout. Puis elle se retourne et voit que ses compagnons qui ne sont plus du tout ses amis parce qu'ils sont bien trop horribles et violents, essaient finalement d'emporter des objets étranges avec eux.
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La mort avait frappé Grayle de plein fouet, trop brutalement et soudainement pour que son corps le sauve du trépas. Le rayon de glace projetée par la petite terranide bleutée, qui s'était jusque là contentée d'observer, avait pulvérisé la moitié de ses os et ses organes internes. Sa dernière pensée fut concentrée sur celle qui avait mis fin à sa vie, alors qu'il s'écrasait dans l'herbe imbibée des liquides qu'il transportait. Ses yeux bleus devinrent vide de toute vie alors que les autres combattants mâles sautaient sur lui, perçant son corps de leurs armes à répétition, jusqu'à ce qu'il rende l'âme, son regard fixé sur la magicienne.
Puis, alors que les sauvages se gaussaient de leur victoire, une douce magie se mit à circuler, cherchant l'âme de Grayle et un endroit où le faire renaître. Son corps, lacéré de toute part, se mit doucement, lentement, à se régénérer. Les plaies, imbibées de la poudre se refermèrent, les os se ressoudaient, alors que les muscles reprenaient leur forme et leur puissance. Son cœur se mit à battre et son sang, mélangé aux composants de magie rose, fut absorbé dans son nouveau corps, circulant à toute vitesse.
Il ouvrit les yeux.
- FWaaaaaaaaaah !
Se redressant d'un seul coup, Grayle prit une grande inspiration. Son corps était encore couvert de sang, ses vêtements déchirés. Mais il n'avait plus la moindre blessure. Ses yeux injectés de sang se tournèrent vers les terranides, les trois guerriers puis la magicienne.
Alors qu'il se relevait, les mâles se mirent à hurler, lançant des appels au secours et décampèrent sans demander leur reste, parlant de malédiction, de magie, de morts vivants eet d'autres sorcelleries auxquelles ils ne souhaitaient pas se frotter. Grayle bavait presque de rage, son cerveau reconstitué encore choqué par le traumatisme de sa mort récente. Les souvenirs remontaient à la surface, et ses yeux bleus glacés se posèrent sur la shaman, qui le regardait avec stupéfaction et ce qui ressemblait à une terreur sourde. Elle était immobile et tremblante, comme si elle hésitait sur ce qu'elle devait faire.
C'est elle. Elle qui l'avait tué. Il se souvint de son sort, de sa douleur, sa mort et surtout, sa colère. La présence, l'existence de la femelle l'enrageait. Et en même temps, une chaleur brûlante, étouffante, envahissait son corps complètement muté par les produits de magie rose. Son bassin lui faisait anormalement mal, alors qu'une érection grossière déformait son pantalon. Il avança vers la terranide, d'un pas robotique, ses yeux fixés sur elle, alors que ses iris devenaient roses.
- Toi... je vais te défoncer !
Sans prévenir, il se précipita sur elle.
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Sarya a mauvaise conscience de ce qu'elle a fait. La guilde est gentille. Elle ne fait que voler. Jamais elle ne tue les gens. Pas même les humains mâles qui font peur à louve toute bleue. Pendant qu'elle regarde l'objet avec curiosité, museau sensible aux odeurs violentes et étranges qui tournent dans l'air se rapproche et vient sentir les terranides épuisés et blessés.
- Qu'est-ce que tu fais là, la sauvage? C'est pas la peine de nous regarder comme ça.
- Ouais attends un seconde ma jolie. C'est vrai qu'en fait que ce qui est arrivé ici, bah c'est ta faute. C'est toi avec ta guilde de merde et avec tes conseils pourris, qui nous as entrainés dans toute cette histoire. Moi je pille et je tue au besoin, mais je refuse de morfler comme c'est arrivé aujourd'hui.
Pattes à petite lupine des neiges recommencent doucement à trembler sur place, quand ses méchants amis commencent à se montrer tout d'un coup hostiles avec elle. Sarya n'aime pas se battre. Loulouve secoue la tête pour dire d'abord en silence qu'elle n'est pas d'accord avec eux. Mais ses faux amis insistent pour lui dire que c'est gentille louve qui est responsable de tout ça.
- Regarde. La plupart de ces merdes ça sert juste à rien en plus... Bien sûr que tu savais... Mais t'as rien dis. Alors avoue!
- Ouais il a raison. Espèce de petite pute de terranide du nord. On peut dire que vous êtes vraiment une putain de sale sous-race de dégénérés consanguins.
- Peut-être qu'on devrait lui demander un dédommagement en nature? En tout cas, elle nous doit au moins bien ça avec ce qu'il s'est passé aujourd'hui. En plus vous avez vu comme c'est une chaudasse? Sérieusement elle ne porte même pas de vêtements. Elle est à poil tout le temps et tu vois que ça quand tu la regardes bien de près. Je suis sûr qu'elle rêve de se faire baiser par tous les terranides du coin qu'elle croise. Pas vrai ma jolie?
Louve tremblante serre fort le médaillon qu'elle a pris sur le corps de l'humain mâle mort. Elle serre ses poings contre ses petits seins tous durs. Elle déteste les terranides vulgaires. Elle en a croisé beaucoup qui voulaient baiser Sarya, mais heureusement louve a toujours su dire non. Et alors que grands yeux inquiets voient les autres horribles poilus s'approcher d'elle pour vouloir lui faire du mal, il s'arrêtent...
- Allez viens par ici sale pute! On va te baiser comme tu aimes!
- Ouais. Je vais te fourrer ma bite dans ta petite chatte de sale trainée et... Putain mais il est pas censé être mort celui-là?
- C'est une blague? Mais il sort d'où ce monstre? C'est... C'est un démon ce...
- Ce mec est maudit! C'est pas humain! Putain il faut qu'on se barre vite de là! En tout cas moi je m'arrache d'ici. J'ai assez donné comme ça pour aujourd'hui. J'ai pas envie de crever!
Petite louve inquiète sur le sort que voulait lui réserver ses vulgaires et méchants compagnons, ne comprend pas sur le moment pourquoi ils disent tout ça. Alors elle se retourne et elle voit avec grande terreur que l'humain mâle mort est debout, tout près d'elle. Sarya qui n'a jamais vu ça de toute sa vie entière, regarde l'homme sans savoir quoi faire. Créature complètement impuissante et apeurée recule doucement, quand l'humain mort vivant avance vers elle. Mais boule de poils devenus tous raides de terreur n'a pas le temps de réagir, quand l'humain mort qui n'est plus vraiment mort se met à courir sur elle sans la prévenir. Tout juste a t-elle eu le temps de l'entendre lui dire quelque chose qui ne la rassure vraiment pas du tout, que l'horrible humain lui tombe dessus. Sarya lâche l'objet en tombant par terre. Sarya place alors ses mains devant elle, même temps qu'elle tremble comme une feuille morte. Louve des neiges que ses amis de la guilde aiment très fort, n'a pas envie de mourir aujourd'hui.
- Non... Non... Pitié...
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L'esprit de Grayle est complètement chamboulé par l'explosif cocktail de drogues qui a directement rejoint son sang et ses muscles, concentrant dans un seul être suffisamment de produits de magie rose pour faire désaxer tout un village. L'excitation et le désir brutal insufflés dans son corps et mélangés à sa colère dû à sa mort résultent en un cocktail explosif, qui transforme l'immortel -d'ordinaire paisible- en salopard pervers et sadique. Il plaqua la terranide sans la moindre douceur, comme un cheval de guerre lancé à toute allure. Sans lui laisser le temps de se redresser, il s'installa à califourchon sur sa poitrine, l'immobilisant sous son poids.
- Pitié ?
Avait-elle eu de la pitié lorsqu'elle avait déchiqueté son corps avec sa magie ?
- Ou était ta pitié quand tu m'a tué, salope ?! hurla-t-il, avant de lever sa main. Il la gifla avec force, passant aisément à travers sa garde, envoyant son visage cogner contre le sol. Son bras fit le chemin inverse, claquant son visage avec le revers de la main, laissant une délicieuse sensation de brûlure contre les joues de la blanche, avant de fermer son poing et de la frapper plusieurs fois, de haut en bas comme un marteau, percutant les paumes de la terranide et parfois son visage.
Elle essayait de se débattre et de s'enfuir, pleurant à chaudes larmes. Son corps s'agitait en bas, alors que ses pattes, s'appuyant contre le sol, essayait de créer de la distance entre elle et le mâle qui faisait 30 kilos de plus qu'elle. Il écrasa ses cuisses avec ses genoux, lui faisant pousser des japements de douleur, avant de cogner contre son ventre, lui coupant le souffle. Elle se recroquevilla instinctivement sur le côté, protégeant son abdomen, le visage crispé par la douleur. La terreur palpable dans le regard de sa victime semblait enfin le satisfaire, et il ralentit le rythme de ses coups, tout en maintenant fermement son emprise sur elle.
- Tu fais moins la maline, hein ? Les tentatives de dégagement de la terranide était vaine. Mêmes ses coups de griffes n'avaient aucun effet contre l'homme. Pire, ses mouvements faisaient frotter son corps contre celui du pérégrin, déclenchant une envie puissante et primale qui lui fit arborer un sourire carnassier, avant que son sérieux ne revienne.
Sa magie ! Elle pouvait toujours invoquer sa magie ! Il se saisit de ses poignets, les plaquants au sol, son visage près du sien.
- Je suis très gentil. N'importe qui d'autre que moi t'aurais butée. Mais toi... il lécha sa joue et son oreille, avant de frotter son bassin contre le sien, de manière très équivoque. J'vais te récompenser. J'vais te baiser, de long en large et en travers, tellement qu'taura même plus envie des tiens.
Les relations entre humains et terranides avaient toujours été mauvaises, les derniers ayant été réduits en esclavage par les premiers pour en faire des esclaves sexuels. Peut-être que cet instinct de prédation était présent dans l'homme, dont le premier réflexe, face à cette femelle en détresse, était de jouir de sa faiblesse. Les mains immobilisées, la pauvre ne pouvaient guère faire de magie, alors que ses jambes, écartées avec autorité par les genoux du jeune homme, ne pouvaient que battre sur le sol.
Il l'entendit hurler et appeler à l'aide, mais en vain puisque de toute évidence, les mâles avec elle l'avaient abandonnée. Il se mit à rire, moquant la lâcheté des siens, alors que d'une main, il se mit à défaire sa ceinture et son pantalon. Il poussa un râle de soulagement lorsque sa verge se retrouva à l'air libre. Influencé par la magie rose, son corps avait changé. Son membre était devenu massif, presque violacé, parcourut de larges veines pulsantes. L'odeur était musquée et forte, impossible à ne pas respirer pour la terranide, dont l'odorat fut vite envahi par son odeur. Elle s'agita alors que le mâle se frottait contre elle. Large et lourde, son membre caressait son corps nu.
- Arrête de faire la prude, alors que t'es à poil ! dit-il en la giflant avec force, laissant une autre marque rouge sur son visage qui commencait à gonfler. Je suis sûr que tu fantasme de ca ! dit-il en continuant de se frotter contre elle, son vit brûlant caressant sans la moindre subtilité ses lèvres exposées et son ventre. La terranide était petite et fine. Même lorsque Grayle reculait, son gland humide, duquel coulait déjà du pré-sperme, dépassait largement son nombril.
- Ah, putain...
Avec impatience, il se saisit de sa verge afin de l'insérer au sein de la terranide dont il ignorait -et s'en fichait bien- le nom. La seule pensée qui l'obsédait était de se venger et de l'humilier, à grand coups de reins !
-
- Kyay!!!
Sarya est terrorisée. Sarya crie lorsqu'elle reçoit une violente gifle. La main de l'horrible méchant homme qui la bloque et qui est sur elle, revient ensuite en plein sur sa joue et cogne son museau. Blanche presque toute bleue ne veut pas mourir. Elle...
- Haaaaaa! Haaaaaaaaa! Haaaaaaaa!
Louve qui essaie de se protéger avec ses petits bras comme elle peut, crie et hurle de douleur quand elle prend les violents coups de l'humain qui est redevenu vivant. Terranide du nord écarte les yeux et tremble de la tête aux pieds. L'humain mâle qui ne veut même pas essayer de l'écouter, envoie à Sarya un violent coup dans le ventre après l'avoir plusieurs fois frappée au visage. Louve qui commence à pleurer, se recroqueville. Elle repense alors à quand elle était petite et que des humains mâles comme lui l'avaient violé. Non! Non Sarya ne veut pas revivre encore ça!
- Non! Sarya ne veut pas! Pas encore! Non! Nooooon!
Pendant que petite bleue continue de se prendre des coups de l'homme devenu fou et qui lui fait de plus en plus mal, elle essaie de le griffer. Mais Sarya avait beau essayer de lui faire mal, elle n'arrivait pas à blesser sa peau. Pourquoi ça ne marchait pas? Alors pour essayer de faire dégager d'elle l'horrible mâle massif qui la retenait prisonnière en dessous, Louve des neiges commence à incanter sa glace qui glace tout. Mais l'humain l'a vu faire et il se saisit de ses mains. Maintenant Sarya est complètement immobilisée... Non! Beaux poils des montagnes enneigés ne veut pas mourir aujourd'hui!
- Pas mourir... Pitié...
Le dangereux humain mâle hystérique lèche la joue pleine de sang de Sarya et va jusqu'à son oreille, alors qu'il lui dit des choses qui lui font peur. Mais il dit surtout à Sarya qu'il veut la baiser!
- Non! Pas ça! Toi pas faire ça à Louve. Toi ne pas violer Sarya... S'il-te-plait... Humain...
Terranide apeurée regarde l'homme mauvais avec pitié. Elle lui demandait de ne pas la violer, car Sarya avait déjà vécu quelque chose qui l'a traumatisé par le passé. Sarya essaie de se débattre encore plus, quand elle voit l'humain sortir son horrible engin de mâle, juste devant son regard tétanisé d'effroi.
- Non! Au-secours! Sarya ne veut pas se faire violer par des mâles! Au-secouuuuurs!
Gentille louve pleure de terreur quand elle voit l'énorme sexe sorti de l'horrible mâle, juste devant elle. Son odeur particulièrement forte qui s'en dégage soudainement, lui donne la nausée. Elle ne voulait pas que son vagin serve à recevoir des sexes d'hommes en elle. Sarya regarde son membre avec horreur. Il était énorme! Jamais ça ne rentrerait en elle sans que ça déchire le vagin de louve bleue. Sarya ferme donc les yeux et serre les dents quand elle sent l'horrible sexe chaud de l'humain venir lui frotter désagréablement le ventre.
- Haaaaaaa!
Boule de poils se crispe quand elle prend encore une gifle en plein sur son visage tout poilu, pendant que l'horrible homme se moque bien d'elle. Sarya gémit de douleur et de terreur, quand louve ressent la queue toute dure et odorante qui lui perce les narines à travers son fin museau. Elle sent son sexe venir tout près de l'entrée du sien. Elle ne voulait pas! Pas de sexe de mâle en elle! Jamais!
- Jamais!... Jamais!... Jamais! Jamaiiiiiis!!! Nooooon! Nooooon!!!
Pendant qu'elle essaie de se dégager pour vouloir frapper et griffer encore l'horrible individu qui l'a complètement bloquée, il vient frotter son énorme sexe contre ses petits seins. Louve sentait alors son odeur encore plus forte qu'avant. Elle avait envie de vomir son dernier repas, tellement elle trouvait ça horrible et dégoutant!
- Noooon! Dégoutant! Dégoutaaaaaaant!!! Haaaaaaaaa!!!
-
- Cqu'est dégoûtant c'est les putes comme toi qui pensent tuer sans conséquences ! gronda Grayle, qui enfoncait ses doigts avec force dans l'épaule de la femelle, ses ongles griffant le pelage doux et les muscles fragiles de la magicienne. Elle semblait souple, mais n'avait vraiment pas l'ombre d'une force physique comparé à lui. Ses supplications, ses appels à la pitié alors qu'elle et sosn groupe avaient agressés et tués Grayle, ne faisaient que le rendre plus furieux.
Et elle osait le traiter de dégoûtant ? Il se mit à sourire d'un air vicieux. C'était une terranide. Elle étaient toutes les mêmes. A se débattre, à hurler, pour au final couiner, gémir de plaisir, et réclamer plus. Si ils avaient été réduits en esclavage aussi facilement, c'était en grande partie car il suffisait de culbuter leurs femelles deux-trois fois pour qu'elles jurent fidélité à leurs ravisseurs. Le terme de "fille facile" avait été fait pour elles.
Une main descendit sur son corps, aggripant un de ses seins. Ils n'étaient pas gros, mais suffisament amples pour tenir dans sa main. Il tira son téton rose dressé, avant de gifler le sein en rigolant, pour finalement saisir sa verge, continuant d'utiliser ses jambes pour écarter celles de la terranide.
- On verra si tu dit la même chose ce soir ! dit-il alors que le soleil est encore haut dans le ciel, lui promettant des heures et des heures de souffrance et de plaisir. Son gland veiné écarta les lèvres intimes de la terranide, dont les cris furent étouffés par la main de Grayle, qui empoignait son museau. Il s’enfonça lentement en elle dans un râle de plaisir.
- Putain, le pied...
Elle était brûlante et étroite. Très étroite. Sans mouille, difficile pour lui de glisser. Il n'en eu cure. Avec sauvagerie, il forca le passage, la pénétrant de force, enchaînant les coups de reins vengeurs et brutaux. Sa verge épaisse, veinée et brûlante écarta de force ses parois intimes, se frayant un passage avec autorité. il avait légèrement mal, mais continua de forcer le passage. A chaque impulsion de son bassin, la pauvre se retrouvait encore plus enfoncée dans le sol, ses entrailles écartées.
Après une longue minutes de martèlement, la verge disproportionnée de l'humain se ficha entièrement en elle, brûlante et délicieuse, laissant déjà des trainées de pré-sperme en elle. Le petit ventre de la terranide était légèrement gonflé par le sexe gonflé par la magie rose. Avec délice, il se retira, l'intimité de la terranide désormais large et ronde, déformée par son membre de chair... avant de se ré-enfoncer en elle, ses bourses pleines cognant contre sa croupe et sa queue.
- On t'a déjà dit que t'étais super bonne ? dit-il avec malice. Ses deux mains posées sur sa poitrine, il se met à la pénétrer avec vigueur, ses yeux devenus roses, une legère trainée de bave coulant de sa bouche, alors qu'il cède à ses plus bas instincts, violant l'animal à même le sol de la forêt ?
- Tu t'app...elle comment... d'ailleurs ? Hm... j'ai... ah... bien envie de savoir...
-
- Hmmmmmm!!!! Hmmmm!!! Hmmmmmmmmmmmmm!!!!!!
Louve essaie de taper et de donner des coups à l'homme qui lui tient le museau fermé, alors qu'elle sent avec horreur son énorme sexe qui veut essayer de lui pénétrer sa propre intimité. Petite bleue commence à pleurer et à gémir de désespoir, quand elle sent l'homme essayer de forcer l'entrée de son vagin, alors qu'il venait de lui avoir fait mal à l'épaule et au sein en tirant fort dessus, juste avant de l'avoir giflé après. Poil bleu continue encore de se débattre et plus elle ressent le gros membre viril de l'homme qui sentait fort essayer de venir en elle, plus elle panique. Tous les horribles souvenirs d'avant lui revenaient. Sarya se rappelait quand elle avait été enfermée quelque part avec ses autres amies et que des humains comme lui avaient profité du corps de louve et des siennes. Bleue de neiges ressent une désagréable pression forcer de plus en plus son intimité sensible et fragile. Elle sentait son corps se soulever brusquement, à chaque fois que le mâle essayer de rentrer à l'intérieur. Sa chatte commençait déjà à lui faire mal. Le bas de son ventre lui tirait très fort. Même sa vessie se compressait et lui donnait envie d'uriner. Alors, louve pleure maintenant des grosses larmes qui coulent de ses grands yeux, pendant qu'elle commence déjà doucement à abandonner l'idée de vouloir le frapper. Louve était devenue le jouet de l'humain qui abusait d'elle et qui ne pouvait plus rien faire contre lui. Elle n'arrivait pas à croire que ce soit vrai...
- Hmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm!!!!
Sarya gémit quand le vilain homme qui était pire qu'un animal en chaleur, avait fini de se loger entièrement dans son vagin. Ça lui faisait mal. Chaque fois que l'homme horrible avec son énorme manche viril essayait de rentrer à l'intérieur de ses chairs fragiles, ça lui faisait comme un coup de poing à l'intérieur de son ventre. La douleur était horrible. Elle avait l'impression qu'on était en train de l'éventrer. Sarya avait d'ailleurs eu juste le temps de voir son bas-ventre gonflé, avant que l'homme cruel qui n'était là que pour lui faire du mal, ne se retire. La chatte de petite louve apeurée convulse et ressent en même temps une étrange libération. Le vaginde terranide venue des grands nord continue de convulser, jusqu'à ce que le mâle se réenfonce en elle.
- Nooooooooon!!!! Noooooooooooooon!!!
Sarya crie de désespoir, quand il lui libère sa petite gueule toute ensanglantée. Elle le regardait maintenant avec pitié. C'était vraiment horrible pour elle. Ce sexe si gros, si odorant dans ses chairs sensibles et que le l'humain avait meurtri avec son gros engin. Mais évidemment, louve savait qu'il n'en resterait pas simplement là. Non. Gentille terranide des forêts ne méritait pas ça. Mais son corps ne pouvait plus rien faire que suivre ce que le mâle voulait d'elle. Chaque coup du gros manche de l'homme à l'intérieur de ses entrailles, donnait toujours l'impression à femelle fragile qu'il essayait d'écarter toujours plus fortement son intimité qu'elle avait pourtant interdit à tous les mâles sans exceptions. Ça appuyait tout au fond. C'était puissant et surtout, louve sentait les odeurs. Tout le sexe de l'homme était en elle et ce qui lui faisait vraiment peur, c'est qu'elle savait que si elle restait là, qu'il la marquerait tout à l'intérieur, avec son gros engin viril et qui sentait vraiment très fort...
- S'il... S'il-te-plait humain... Ne marque pas Sarya dans son sexe. Louve a peur de tous les mâles. Elle ne veut pas recevoir ta semence en elle. Retire-toi. Louve a mal! Elle sent ton engin beaucoup trop puissant pour elle, venir dans son sexe vraiment trop petit pour toi... Pitié!
Louve qui pleurait toujours, supplie l'homme de se retirer avant qu'il ne soit trop tard et qu'elle ait à porter sa semence à l'intérieur d'elle. Elle ne voulait pas recevoir son sperme dans son sexe. Tout, mais pas ça!
-
Les cris de désespoir de sa proie ne faisait qu'exciter le chasseur en lui. Les rôles étaient reversés, et c'est lui qui dominait celle qui avait causé sa mort, remuant son petit corps à chaque impulsion de son bassin. Ses entrailles étaient étroites, brûlantes et commençaient à s'humidifier, ne serait-ce que par instinct de survie, afin d'éviter qu'elle souffre. Il poussait un grand râle de plaisir à chaque fois, diminuant la douleur présente dans son sexe, mais temporairement seulement, le forçant à se retirer pour revenir en elle.
Ses mains tirèrent ses mamelons avec envie, pétrissant la poitrine offerte à lui. Elle était loin d'être imposante, mais suffisamment développée pour bien tenir entre ses mains. Ses coups de boutoir se firent plus rapides et brefs, secouant tout son petit corps. Lorsqu'elle le supplia, il ne put s'empêcher de rire.
- Hahaha ! Je suis désolé Sarya, mais tu n'évitera rien ! Il se pencha sur elle, léchant sa joue, mordant son oreille. Je vais te marquer et tu pourra jamais m'oublier...hm... ah putain, qu'est ce que t'es bonne...
Les plaintes de Sarya n'avaient fait que l'exciter encore plus, d'autant qu'elle l'avait complimentée malgré elle. Oui, elle était petite, oui, il était trop puissant pour elle... son orgueil, alimenté par la magie rose, était au plus haut. Il grogna d'envie, et, courbé au dessus d'elle, se mit alors à la violer avec frénésie, sans la moindre considération pour son bien-être, la tenant fermement par les hanches.
- Han, han, han, han ! grondait-il au rythme de ses coups de bassin. Il sentait le plaisir monter, toujours plus brûlant, toujours plus violent, pulsant au sein de sa verge. Et puis soudain, l'explosion. Il s'enfonça une ultime fois en elle, soulevant ses petites fesses au-dessus du sol, alors qu'il avait tout son corps tendu vers l'arrière. Il transpirait tellement que sa chemise était collée contre son corps, moulant son physique athlétique.
- Haaaaan....
Son éjaculation était un véritable raz-de-marée. Son vit convulsait au sein de la terranide, expulsant de puissants geysers de semence, qui, bien rapidement, remplirent la femelle bien plus qu'elle ne pouvait supporter. L'humain, d'ordinaire viril, foutrait comme un minotaure. Bien vite, le trop-plein de sperme laiteux et brûlant s'échappa de l'intimité de Sarya, dégoulinant entre ses cuisses et contre le bassin de Grayle, qui resta ainsi, cambré vers l'avant, sa verge fiché en elle, le torse tendu vers l'arrière, jouissant encore et encore dans un râle primitif.
- Bordeeel...
La violence de l'orgasme avait été telle qu'il avait perdu connaissance un bref instant. Repoussé par sa propre semence par un "POP" sonore, son sexe se retrouva à l'air libre, libérant temporairement la terranide dont l'intimité exposée aux quatres vents dégoulinait du sperme du mâle, qui reprenait peu à peu ses esprits...
-
Louve sentait sa petite chatte être maintenant toute écartée. L'humain qui ne voulait pas l'écouter, continuait d'abuser du corps sensible de Sarya. Elle sentait horrible son gros sexe très à l'odeur très forte et qui la dégoutait, aller et venir à l'intérieur d'elle. Mais le mal qu'elle ressentait en même temps, fini par laisser place à quelque chose de plus chaud et de plus doux pour louve. Alors Sarya ferme les yeux, mais sans arrêter de pleurer, pendant que le mâle avait ses sales grosses paluches collées sur sa petite poitrine. Elle avait maintenant l'impression d'être devenue une prostituée pour les humains comme lui. Et puis ses oreilles se dressent, quand louve sent l'homme les lui mordiller juste après lui avoir léché la joue. Le mâle dit alors à Sarya qu'il voulait la marquer à l'intérieur de son sexe qui était de plus en plus chaud. Louve était maintenant anéantie. Elle allait donc devoir accepter de porter la semence reproductrice de cet homme mauvais, à l'intérieur de son vagin. Mais en vérité, louve ne pouvait pas le supporter!
- Non! Arrête! Tu n'as pas le droit de faire ça à louve! Sale humain! Laisse Sarya tranquille! Vas-t-en!!!
Le corps de bleue bouge de plus en plus fort, à chaque fois que l'homme s'amusait à aller et venir en elle. Il était en train de salir complètement Sarya avec son manche. Et avec ça, elle sentait l'odeur de son propre sexe qui se mélangeait avec celui de l'humain. C'était vraiment dégoutant! Louve grimace et pleure en même temps de colère et de désespoir, car elle savait qu'elle allait recevoir le sperme de l'humain dans ses chairs. Elle était en train de revivre la même chose que quand elle était petite. C'était horrible! Et alors Sarya qui l'entend gémir, continue d'être encore plus brutal avec elle. Sa chatte lui donnait l'impression d'encore plus s'écarter, malgré que la douleur que petite bleue ressentait commençait étrangement à lui faire du bien en même temps... Et puis arrive alors ce que Sarya redoutait. L'humain jouit à l'intérieur d'elle. Grands yeux s'ouvrent d'un seul coup et regarde l'homme cruel avec dégout et désespoir, pendant que terranide apeurée ressent le sperme de l'humain couler en abondance à l'intérieur de sa chatte.
- Non!... Noooooooooooooon!....
Le corps de louve se soulève en même temps que l'humain lui envoie ses fluides à l'intérieur de son sexe qui lui faisait mal. Sarya ressentait un mélange de chaud et d'humide, couler dans sa cavité. Rien que de ressentir la chose dégoutante traverser l'intérieur de sa chatte, dégoutait louve Et pendant qu'elle ne pouvait rien faire, louve voit avec horreur son bas-ventre gonfler de plus en plus. Sarya n'avait jamais cru qu'un humain pouvait autant jouir en abondance. Mais cette fois, terranide des grands froids n'avait plus la volonté de vouloir essayer de se battre contre lui. Elle regardait l'humain avec impuissance terminer de jouir dans ses entrailles qui la pressait. Aussi, il lui en avait tellement mis à l'intérieur, que petite bleue maintenant toute anéantie, ressent une partie des fluides visqueux et dégoutant de l'humain ressortir d'elle quand le mâle se retire. La sensation était si bizarre pour créature salie par la souillure du mâle humain, que louve en avait faillit jouir. Elle ne comprenait d'ailleurs pas comment pouvait-elle ressentir ça, alors qu'elle les détestait...
- Haaa... Han! Han!...
Quand le mâle a finit de jouir dans le sexe de petite louve apeurée, Sarya continue de le regarder avec désespoir, en même temps qu'elle sentait son orifice tout dégoulinant de chaleur et d'humidité, continuer de faire ressortir la semence que l'humain lui a envoyé en elle. Pendant un instant, louve qui a pu reprendre un peu ses esprits, essayait de vite se reprendre et de s'échapper de cet homme qui ne lui voulait rien d'autre que du mal. Mais son corps qui lui faisait tout aussi mal, ne lui permettait pas de pouvoir se relever immédiatement pour courir et s'enfuir très vite. Alors Sarya rampe au sol. Pendant qu'elle se traine sur la terre et que les cailloux la blessent, elle continue de sentir encore le sperme de l'humain sortir de sa chatte devenue toute souillée par le mâle. Rien que d'imaginer avoir maintenant reçut sa semence et son odeur en elle, donnait à louve envie de vomir. Alors pour se soulager, petite bleue urine par terre en même temps qu'elle essaie de s'échapper de l'humain. Non, Sarya ne pardonnera jamais aux humains tout ce qu'ils lui ont fait.
-
- Bah ? Tu t'en va ?
La voix de Grayle semblait presque innocente, et aurait même été attendrissante, si la réalité de la situation n'était pas aussi cruelle : une femme essayait désespérément d'échapper à son violeur, sans le moindre succès. Elle avait à peine parcouru quelques mètres que le mâle, sorti de sa torpeur, saisit la terranide par la queue, ses doigts agrippant ses poils soyeux, caressant la base de son dos avec envie.
- Vilaine fille, dit-il avec humour, avant d'administrer une violente claque sur sa fesse droite, le "SLAP" retentissant entre les arbres. Il se mit à rire, refrappant ses fesses par trois fois, laissant la peau rougie, avant de doucement pétrir la chair devenue sensible.
- T'as un beau cul tu sais, dit-il avec une désarmant franchise, se rapprochant d'elle et l'empêchant de s'enfuir. Les mouvements paniqués de la terranide étaient totalement ignorés par l'humain. La vision de sa croupe et de son intimité rose béante et dégoulinante de son propre fluide avait trop excité l'humain pour qu'il ne prête la moindre attention à quoi que ce soit d'autre. Sarya put sentir, contre ses fesses, la verge puissante et dure de l'homme, brûlante contre sa fourrure.
- Je vais te faire passer l'envie de t'enfuir...
La maintenant fermement en place, il s'enfonca vivement en elle dans un grand râle de plaisir. Cette fois, il n'avait pas eu à forcer le passage. La chatte bien huilée et humide de la terranide était devenue, malgré elle, un fourreau acceuillant et sans défense, s'écartant presque de lui-même pour laisser passer le vit, qui s'enfonça totalement, compressé par les chairs cannelées de la terranide.
- Oh putain, ouais...
Il avait failli être assommé par la sensation délicieuse de son sexe massé par les entrailles brûlantes de Sarya. Affecté par les puissantes effluves de magie rose dans son sang, Grayle avait un besoin d'éjaculer presque aussi pressant que celui de dormir, de manger ou de boire. Son être entier était concentré sur cet objectif, et, bien vite, il se mit à onduler, son bassin percutant le cul de Sarya avec vigueur tandis que sa verge gorgée de sang et aux veines épaisses s'engouffrait profondément en elle, se retirant presque totalement pour revenir l'écarteler l'instant d'après.
- Aaaaah... alors, tu vois... ca aurait été dommage de partir ! hahahaha !
Son rire était presque maniaque, rythmé par ses coups de boutoir. Sa puissante poigne permettait de maintenir la terranide alors qu'il la martelait avec envie, à un rythme croissant lentement en vitesse. La belle shaman, à quatre pattes dans l'herbe, vivait une situation bien connue de millions de femelles terranides, saillie vigoureusement par un mâle humain impatient de se vider en elle. Une expérience marquante, tant physiquement que psychologiquement...
Le cerveau vrillé par la magie rose, pétrissant sa croupe avec envie, Grayle n'était concentré que sur une chose : lui infliger la plus délicieuse levrette de son existence...
-
- Non! Non! Non!!!
Louve crie d'épouvante, quand l'homme lui agrippe sa longue queue poilue pour la tirer de force vers lui. Elle n'a pas le temps de dire autre chose, qu'elle est surprise de recevoir une forte fessée sur la fesse. Cela fait crier de surprise Sarya. Et Pendant que oreilles sensibles entendent les rires sadiques de l'humain mâle qui semble être devenu complètement fou depuis qu'il est revenu à la vie, elle reçoit encore trois grosses fessées qui lui font bien mal et qui la fait réagir comme la louve qu'elle est.
- Kyay!... Whou!...
Pendant qu'elle entend les mots où l'humain se moque bien d'elle et de sa souffrance, Sarya le sent se coller à elle. Louve des neiges tremble comme une feuille morte, quand elle ressent encore le sexe particulièrement dégoutant de l'humain contre elle. Sarya qui pensait qu'il l'aurait laissé tranquille après l'avoir souillée de l'intérieur, essaie de se débattre encore comme elle peut, bien que son corps lui faisait mal à cause de toute la violence que gentille terranide a reçu. C'est alors que petite bleue crie, quand elle ressent le gros sexe de l'humain revenir encore tout au fond sa chatte déjà remplie par son sperme d'horrible humain mâle dégoutant.
- Non! Pas encore! Ne mets pas encore ton sexe dans celui de louve toute sensible!Haaaaa... <3
Bien que ça faisait peur à louve, Sarya a légèrement gémit quand elle a sentit entrer le membre si chaud et si dur de l'homme qui l'avait déjà violée. Mais contrairement à tout à l'heure, petite lupine n'avait pas vraiment eu mal. Vulve devenue bizarrement sensible, tremble et convulse toute seule, quand elle sent l'attribut de l'humain se mettre à bouger à l'intérieur de son sexe à elle. Louve se remet alors à pleurer, pendant que son corps se soulève et suit les mouvements que l'homme mauvais lui imposait de force. Sarya qui est à quatre pattes, ne peut maintenant s'empêcher de gémir en même temps que son souffle se coupe, à chaque fois qu'il s'enfonce tout au fond de son sexe de furry lupine.
- Non... Ha!... Han!!! Ha... Ha!...
Oreilles dressées de petite bleutée entendent le maudit mâle humain qui la viole encore se mettre à rire d'elle, pendant qu'elle reçoit encore de force son énorme engin qui va et qui vient tout au fond d'elle avec brutalité. La vulve de louve n'arrête maintenant plus de se presser et de se contracter, à chaque fois qu'il allait de force en elle. Son bas-ventre lui tirait encore, sauf que ça semblait être devenu plus supportable pour pauvre louve. Mais plus l'horrible mâle allait vite, plus louve qui commençait à se sentir complètement perdue. Malgré qu'elle était censée détester ça, Sarya sentait que son corps avait bizarrement l'air de trouver ça agréable. Et alors qu'il continue de la prendre de force à quatre pattes, Sarya jappe et écarte un peu plus ses cuisses pour l'homme. Petite bleu sentait qu'elle commençait de plus en plus à perdre le contrôle de son corps. C'était comme si il voulait obéir tout seul à ce gros mâle qui l'avait déjà souillé sa chatte avec son horrible engin...
- Hou!... Whou!... Whou!... Whoooou!!!
-
Il l'entendait. Il le sentait. Qu'elle le veuille ou non, la femelle commençait à apprécier le traitement subi. A chaque coup de rein, sa longue verge s'enfonçait de plus en plus aisément en elle, comme absorbé par la vulve de la terranide. Aussi déterminées et valeureuses qu'elles étaient, les terranides, en particulier les femelles, étaient incapables de lutter contre leur nature primitive et animale. Résister aux plaisirs de la chair était impossible pour eux. Ainsi, alors qu'elle gémissait, n'essayant même plus de cacher son plaisir alors que le bassin de l'homme continuait de percuter ses croupe, il la saisit fermement par les hanches.
- Tu... ah... deviens raisonnable ! Brave fille...
Les mouvements du bassin de Grayle étaient moins agressifs et violents, plus langoureux, plus amples, son pénis sortant presque entièrement avant de se refourrer en elle. Il respirait de plus en plus fort, et les minutes défilaient, leurs plaisirs et cris conjugués devenant de plus en plus évident. Il le sentait, il était en train de perdre pied.
- Han... han.. t'es... aaaah... t'es un appel au sexe Sarya !
Il se pencha en avant, saisissant un poignet de la shaman, puis un autre. Elle se retrouva avec ses deux bras tirés vers l'arrière, la forcant à relever son visage et d'accentuer sa cambrure. Courbée ainsi, elle pouvait ressentir chaque millimètre de la verge humaine aller et revenir en elle. A chaque coup de boutoir, un bruit spongieux se faisait entendre, celui de la semence projetée entre ses fesses et ses cuisses, mélangée à la cyprine.
- Han, han, ha...
Il avait accélléré ses mouvements d'un seul coup. Le plaisir, foudroyant, irrésistible, pris possession de tout son être. Continuant de tirer sur ses bras, il se cambra vers l'avant, entièrement fiché en elle, son gland directement au fond de son utérus. Pour la seconde fois, il se vida en elle, le foutre brûlant et gorgé de magie rose se répandant en elle tel un tsunami, se répandant sur le sol.
Il poussa un râle primitif et vulgaire, avant de se laisser tomber en arrière, emmenant Sarya à sa suite. Ses fesses cognèrent contre ses propres talons, avant que ses jambes ne glissent sur l'herbe de la forêt. Il se retrouva assis par terre, jambes écartées, Sarya dos à lui, assise et empalée sur lui, les bras toujours prisonniers de la poigne de l'homme. Contre son dos, elle pouvait sentir la poitrine humide et le torse brûlant de l'humain, sentir son odeur musquée de mâle. Petite, ses oreilles caressaient le menton de Grayle, qui la tenait fermement contre elle. Mais surtout, elle avait une vue parfaite sur la verge qui déformait son bas-ventre, duquel coulait une quantité invraisemblable de semence, au point qu'une petite flaque commençait à se former.
- Ha... t'es une vraie salope... dit-il d'une voix qui n'était pas la sienne, complètement drogué par les produits illicites. Son sexe était toujours dur et vigoureux.
Il se cambra, s'enfonçant en elle. Impossible pour elle de manquer ce spectacle, sauf si elle décidait de fermer les yeux.
- Les terranides comme toi sont faites pour prendre les bites d'humains... pas vrai ? Avoue que t'aime ça... dit-il en ponctuant chaque syllable d'un coup de rein ravageur.
-
Petite chatte de louve ressentait de plus en plus sensiblement le pénis de l'homme qui était logé tout au fond d'elle. Pendant que bleue jappait et n'arrivait plus du tout à s'arrêter de gémir à chaque fois qu'il s'enfonçait durement en elle, Sarya sentait son sexe de femelle comme désirer de plus en plus la verge de celui qui se moquait bien d'elle. Mais Sarya ne voulait pas. Même si son sexe commençait à aimer, louve sensible ne voulait pas que l'humain l'entende lui dire aimer ça. Alors Sarya serre les dents aussi fort qu'elle peut, surtout quand l'humain s'est mis à lui attraper ses hanches fines et graciles. Oreilles dressées sur la tête de cheveux bleus durcissent et bougent en l'entendant la complimenter et lui dire qu'elle était devenue raisonnable. Même queue poilue de louve commençait à vibrer elle aussi. Pour ne pas aider lupine des neiges, l'humain s'est mis à ralentir pour encore plus lui faire ressentir son énorme sexe de mâle viril, toujours logé bien tout au fond du sexe féminin de pauvre louve devenu tout brûlant et tout gluant.
- Ha... Ha... Han...
Sarya tire la langue et halète, pendant qu'elle commençait à sentir ce sexe si désirant de vouloir plaire au sien. Une terrible pression, suivie d'une vibration dans le vagin animal de louve venait se faire sentir à poils durs, quand l'humain lui prend les poignets pour la tirer en arrière et la forcer à se cambrer. Sarya gémit en ressentant encore plus les vas et viens du gros pénis de l'humain dans sa fente humide où s'étaient mélangées sa cyprine avec le sperme du mâle. Louve ne pouvait croire qu'elle était vraiment en train d'aimer ce qu'il était en train de lui faire subir contre son gré. Elle devenait de plus en plus attentionnée à vouloir essayer de ressentir le sexe viril à l'odeur forte du mâle, lui traverser toute sa fente en continu. Mêmes les oreilles de lupine bougeaient dans tous les sens en entendant les bruits spongieux qui venaient de leurs sexes unis.
- Oui... Oui... Non!
Le visage entier de louve commençait à devenir tout chaud. Sarya commençait à sourire et à avoir de plus de plus de mal à cacher à l'homme qu'elle aimait maintenant ça. C'en était si bon et si fort, qu'elle en avait failli jouir, quand le mâle s'était mis à accélérer encore une fois, juste avant qu'elle ne ressente à nouveau son foutre parcourir son intimité de femelle animale. De nouveau, Sarya pouvait sentir toute la semence reproductrice de l'homme viril et dominant affluer en abondance dans le sien. Louve qui serrait encore fort sa gueule et ses petites dents pointues pour ne pas craquer, essayait de tout faire pour ne pas crier de plaisir alors que son corps tremblait. Elle sentait le liquide chaud et gluant du mâle inonder toute son intimité pour la seconde fois. L'humain râle pour montrer à Sarya sa dominance et sa satisfaction de l'avoir prise et violée encore, une fois qu'il a terminé son second accouplement bestial avec elle.
Mais alors qu'elle pensait qu'il allait s'arrêter pour de bon, le mâle qui refuse de lâcher Sarya, change soudainement de position. Cette fois, poils bleus voyait qu'elle était assise sur lui, avec son gros sexe toujours bien calé dans le sien, les bras de lupine des neiges retenus derrière par l'homme qui voulait continuer de la violer encore. Pendant la pose, museau sensible pouvait encore plus sentir l'odeur de sexe viril mêlé avec le sien. Jamais la chatte de Sarya n'avait autant été aussi chaude. Cette fois, toutes ses chaleurs ressortaient. Elle avait beau vouloir encore essayer de résister, elle trouvait cette position vraiment très agréable. Jamais Sarya n'aurait pensé qu'elle aurait pu apprécier s'accoupler avec un mâle et qui en plus était vraiment méchant et violent avec elle.
Une fois encore, le sexe de louve se contracte quand Sarya entend le mâle la traiter de salope. C'est alors que louve gémit très fort, quand elle sent l'humain se remettre à bouger son gros sexe tout au fond de sa chatte. Petite bleue était maintenant à deux doigts de jouir de cet accouplement obscène et viril et qui pourtant lui faisait vraiment honte. Elle était maintenant devenue sensible et attentionnée à tous ses mots. Au point que Sarya n'arrive plus du tout à se contrôler et même à avouer à l'homme qu'elle aimait ça quand il lui demandait son avis, alors qu'il lui ramonait lentement et durement son sexe dégoulinant de sa semence virile, mélangé avec la cyprine de furry.
- Ha!!!!... Oui... Encore... Sarya elle... Sarya veux que tu la violes encore!
C'est en tout ressentant une très forte satisfaction de révéler ça au mâle humain, que Sarya avoue et encourage l'humain à la violer encore une fois. Chatte sensible et malmenée par le puissant pénis du mâle humain voulait encore le ressentir se caler et se cambrer en elle. La chatte brûlante et aspergée de fluides odorants voulait encore recevoir toute sa semence d'homme viril en elle. Ressentir ses puissants coups de reins le plus possible et bien tout au fond de ses entrailles sensibles. Louve désirait maintenant ardemment cet homme. Elle avait même envier qu'il l'insulte et qu'il l'humilie encore une fois.
-
Un rugissement de triomphe s'échappa des lèvres de Grayle lorsque son ancienne tueuse, les yeux révulsés, lui confiait avec une voix éclatée et aiguë qu'elle voulais qu'il continue de la violer. L'esprit de l'humain, rendu arrogant et désinhibé par les drogues, devint encore plus malicieux et pervers, convaincu de sa supériorité et de la justesse du viol qu'il lui avait infligé : après tout, elle en voulait plus et encore ! Grisé par la satisfaction d'avoir brisé une femme par la seule force de sa bite, il tira encore plus sur les bras de la belle tout en pilonnant sa chatte qui cette fois l’accueillait sans poser la moindre difficulté. Tirée en arrière, Sarya se retrouva entièrement plaquée contre le corps puissant de l'humain, dont les mains lâchèrent ses bras pour saisir ses seins qui rebondissaient à chaque impulsion.
- Qu'est-ce que t'es bonne Sarya ? O-On te l'a déjà dit ? Ha... ha... quelle question conne... je suis sûr que toute ta tribu de l'a dit ! rugit-il alors qu'il pétrissait ses seins en rythme avec ses coups de boutoir. La pauvre terranide était harcelée de partout, et commençait même à couiner sans arrêt lorsqu'une main baladeuse de l'homme vint caresser sa chatte écartelée et juteuse, harcelant son clitoris gonflé. Grayle avait senti qu'elle se contractait lorsqu'il l'insultait, un vrai fourreau brûlant et compressant sa verge gonflée à bloc sur laquelle elle rebondissait.
Une vraie masochiste dont il comptait bien profiter, et abuser...
- T'es le vide-couille des tiens, pas vrai ? Pour ça que t'es tout le temps à poil je suis sûr...
- Oui! Louve rêve de se faire baiser par toi et par tous les siens qui ne l'ont jamais prise comme toi tu fais !
- Mais quelle traînée ! ne peut-il s'empêcher de s'exclamer, la sentant gémir à cette insulte. La pauvre parvenait à peine à garder le fil de ses mots constants, alors qu'il la martelait encore et encore, sentant une douleur brûlante, désormais familière, s'embraser en lui. Il pinça son mamelon avant de tirer sur son sein.
- Alors, à partir de maintenant, tu sera le mien ! Crie le ! Haut et fort !
Il n'eut même pas besoin de lui demander : elle se mit à hurler à plein poumons.
- Hoooo oui! Louve est le vide-couille du beau gros mâle qui la viole !
- Bien ! C'est là qu'est ta place... et tu sais quoi ? gronda-t-il en serrant la mâchoire, se sentant au borde l'explosion. T'es le meilleur vide-couille que j'ai jamais eu le plaisir de baiser ! Son rythme cardiaque s’accéléra, alors que sa verge continuait de s'enfoncer en elle, envoyant jaillir des gouttes de semence et de cyprine sur ses cuisses et le sol à chaque allez-retour. Saisissant son clitoris entre deux doigt, il se cambra vers le ciel, avant de jouir, une troisième fois.
- Prend tout !
Il l'entendit gémir, couiner, crier, et hurler, alors qu'à son tour, Sarya se mettait à jouir avec une violence inouïe, ses entrailles repoussant le sexe de Grayle avant de l'aspirer encore et encore. Ils retombèrent sur le sol après de longues secondes, le souffle court. Sorti de sa chatte béante de laquelle coulait une rivière de semence, le sexe de Grayle tremblait, continuant d'expulser quelques jets qui s'écrasaient sur le bas-ventre de la shaman.
Ils restèrent ainsi pendant une longue minute. Puis, Grayle la repoussa sur le sol, se relevant avec hésitation.
- J'en ai encore envie...
En effet, malgré les trois orgasmes, son sexe ne semblait pas faiblir. Pire, il en redemandait, toujours aussi large et violacé. Lees grands yeux de Sarya avaient pris une teinte rosie, la magie rose circulant par le sperme de Grayle et s'infiltrant en elle. Se tenant debout, il savoura cette vision de la shaman vaincue, allongée sur le sol, du foutre -son foutre- coulant de son intimité violée.
- Bonne chienne.
Il se pencha sur elle, saisissant ses doux cheveux, avant de la forcer à se relever, ou au moins à se mettre à genoux devant lui. Il lui présenta sa verge, complètement souillée et dégoulinante face à elle. L'odorat de la terranide pouvait sentir, de plein fouet, l'odeur puissante et virile du mandrin, mais aussi celles de leurs fluides entremêlés, et contempler l'objet de sa défaite en gros plan.
- Pompe moi, Sarya. Si tu me satisfait, je te laisserais choisir la prochaine position. Allez, vas-y. Montre moi ce que tu sais faire. Si tu me déçois, tu n'aura plus jamais le droit à cette bite. A la place, j'irais baiser celles de ta tribu. Je suis sûr qu'elles sauront l'apprécier.
C'était bien sûr un mensonge. Il était absolument incapable de résister à Sarya. Tout son corps et son esprit était focalisé sur une seule chose : se reproduire avec elle.
Avec un mouvement sec, il plaqua son sexe contre son visage. Ses lourdes testicules déjà pleines frottaient contre son menton, tandis que son gland se perdait dans ses cheveux, le vit turgescent et surdimensionné se reposant le long de son museau et entre ses yeux.
- Allez, au travail !
-
De la bave commence maintenant à couler de gueule de louve, alors qu'elle se contracte et qu'elle grimace de plaisir. Jamais Sarya n'avait ressenti la perte totale de contrôle de son corps et de son esprit pour un mâle. Mais maintenant, petite poilue s'en moquait de ce que l'humain mauvais pouvait penser d'elle, car elle aimait ça! Elle voulait que ça continue et que ça ne s'arrête plus. Le mâle avait triomphé d'elle et femelle soumise devait obéir et accepter son sort. Faire tout ce qu'il voulait, comme une chienne fidèle à son maitre. Pendant qu'elle l'entend râler et rire de plaisir en la voyant aimer être sa chienne, louve se fait encore plus tirer les bras en arrière et pilonner sa chatte toute dilatée en même temps.
- Haaaa! Oui! Prends Sarya! Humain... Baise-là comme tu baises les prostituées humaines!
Sarya halète et rit, tout en tremblant. Elle ressentait sa fente brûlante de faire attraper et cogner encore plus fort par le mâle qui ne voulait plus jamais s'arrêter de la baiser et de la faire sienne. Louve apprécie quand il lui agrippe ses petits seins tout durs et tout sensibles avec vigueur. Elle ressentait toute sa chaleur humaine qui la prenait de partout. Même là où l'humain ne la touchait pas, elle était brûlante. Pendant qu'elle se faisait attraper, elle se sentait comme aimée et désirée par l'humain. Oreilles dressées qui entendent encore des commentaires sur elle, bougent encore plus fort quand le mâle lui dit être son vide-couilles.
- Oui! Louve rêve de se faire baiser par toi et par tous les siens qui ne l'ont jamais prise comme toi tu fais!
Créature soumise est ravie d'entendre ces mots qui continuent d'encore plus l'exciter. Elle était heureuse d'être devenue un vide-couilles pour un humain à l'odeur virile et qui la traitait comme un petit animal. En réponse à ce qu'il dit, le sexe de louve se contracte au maximum de ce qu'il pouvait pour lui faire savoir qu'elle aimait vraiment ça et qu'elle voulait encore son gros manche en elle. Pendant que chatte à Sarya aspire le beau gros sexe viril de l'humain qui la viole toujours, il lui pince son petit mamelon. Ça provoque une nouvelle réaction à créature du grand nord qui gémit. Surtout que l'humain lui demande de crier d'aimer être son le vide-couilles.
- Hoooo oui! Louve est le vide-couille du beau gros mâle qui la viole!
Pendant qu'elle lui dit la vérité tout en souriant avec désir, elle sort sa longue langue de sa gueule pointue. Sarya halète en l'entendant dire être satisfait d'elle et qu'elle est le meilleur vide-couilles qu'il n'a jamais baisée. Sarya continue alors d'encourager l'homme très viril à la prendre comme la chienne qu'elle est. Museau de louve s'emballe en sentant les odeurs sexuelles venir sans cesse titiller son odorat très fin et développé. Elle savait que porter son odeur et sa semence, était devenu un vrai honneur et plaisir pour elle. Rien pour Sarya ne comptait plus que de vouloir continuer à se faire baiser comme une chienne et une prostituée en manque de bites.
- Ha oui! Oui ! Ouiiii! Baise-moi! Je te veux humain! Je suis une louve salope! Je suis ton esclave et ta femelle soumise!
Sarya crie pendant qu'elle gémit en même temps. Puis elle continue de l'encourager, quand le mâle fini par jouir encore une fois dans son sexe brutalisé et devenu tout sensible à force de se faire prendre aussi fort. Elle ressent pour la troisième fois, toute sa chaleur et l'humidité envahir le fond de ses entrailles. Et puis louve est saisie de surprise, quand il lui prend en plus son clitoris entre les doigts. Sarya qui était déjà à bout, sent une pression qui la fait presque s'évanouir de plaisir.
- Haaaaaaaa!.... Ouiiiiii! Hooooo! Encore! Encore! Je suis une chienne pute à gros mâle humain! Ouiiii!
Sarya relâche encore plus de cyprine et jouit, pendant qu'elle finit d'accueillir toute la semence que l'homme lui projette dans sa chatte. C'était incroyable pour elle. Jamais de toute sa vie entière de jeune louve, Sarya n'avait ressenti ça. Oui, les mâles étaient vraiment les meilleurs pour faire jouir les femelles! Et une fois que c'était fini et que louve voyait que son ventre avait triplé de volume, l'humain qui halète de fatigue ressort son bel engin de sa chatte toute engluée par sa semence virile. Sarya sent son sexe convulser tout seul, tellement elle s'est fait encore malmener. Tout son corps brûlait. Jamais elle n'a été baisée comme elle l'a été aujourd'hui.
- C'était tellement bon! Sarya a encore tout pris en elle comme tu le voulais. Hahaha...
Quand le mâle repousse Sarya et qu'elle voit son beau liquide reproducteur épais continuer de sortir de son vagin, il lui dit qu'il a encore envie d'elle. Tout de suite, petite bleue remue la queue, car elle savait qu'elle allait encore se faire baiser comme une vilaine trainée qu'elle était devenue pour l'humain. Le mâle attrape alors femelle soumise et dévouée par les cheveux et qui la regarde avec joie et désir. Elle se laisse naturellement faire, tout en l'aidant à se mettre comme son nouveau maitre le voulait. Quand elle se trouve sur les genoux, la gueule juste à hauteur de beau gros sexe rouge et gluant de l'humain, Sarya ressent plus que jamais la très forte odeur qui en émane. Cela a pour effet de lui faire remuer encore plus frénétiquement sa belle queue touffue, alors qu'elle sentait que son sexe en voulait encore. Mais elle savait que ce ne serait pas par là qu'il allait encore la prendre. Surtout quand elle entend le mâle lui dire qu'il voulait qu'elle suce son gros manche encore tout dur et tout poisseux. Créature des forêts enneigées se met immédiatement au travail sans attendre quand l'homme le lui ordonne, surtout qu'il a dit que si elle faisait ça bien, qu'elle pourrait choisir la prochaine position pour se faire encore baiser et violer. Louve avait aussi intérêt à faire ça bien, sinon il allait prendre les autres femelles de son village et ça, Sarya ne le voulait pas. Elle voulait être sa chienne à lui et qu'il n'ait que elle à prendre et à dominer.
- D'accord maitre. Je vais tout faire pour que tu sois content de louve!
Sarya commence donc à tirer bien fort sur l'énorme engin viril du mâle, après l'avoir reçu en plein sur son visage. Après s'être délectée à sentir ce délicieux membre très odorant, louve passe sa langue à la fois douce et rapeuse sur le gland de son nouveau maitre. Elle tourne bien fort plusieurs fois dessus avec force et application, tout en sentant les fluides qui ont surgi du très gros engin de l'humain, continuer de ressortir de sa chatte qui s'est faite prendre trois fois de suite par lui. Puis Sarya, bien trop excitée que pour attendre très sagement, prend la grosse verge humaine en plein dans sa gueule. Elle pompe alors très fortement le bel engin, tout en essayant de faire comme les femmes et les prostituées lui ont déjà parlées. Sarya voulait tout faire pour donner encore du plaisir à l'humain qui voulait toujours baiser et dominer la louve en chaleur constante. Même si elle n'avait pas vraiment l'habitude de faire ça, Sarya s'appliquait pour faire aller et venir sa tête, pendant qu'elle tenait l'énorme manche entre ses deux petites mains. Louve ressentait l'énorme essieu qu'elle faisait aller et venir jusqu'au fond de sa gueule. Quand elle pompait, elle entendait régulièrement des bruits qui allaient avec. D'ailleurs elle faisait tout pour y aller le plus fortement possible. Sarya voulait se faire encore récompenser comme elle le méritait. Elle n'avait maintenant plus qu'une seule envie, celle d'avaler tout ce foutre en elle, quand l'humain craquerait encore pour la belle Sarya devenue la pute et le jouet de l'homme dont elle ne connaissait rien.
-
Brisée, la louve le regardait avec des yeux devenus roses, tant la semence imbibée de magie de l'humain s'était infiltrée dans tout son corps. A genoux devant lui, ses petits seins tendus et sa croupe exposée, elle était adorable, soumise, parfaite. L'entrain de sa voix n'était pas fin car, dès qu'elle s’exécuta, c'est avec un dévouement total qu'elle se mit à lécher, puis pomper le vit de l'humain, large et dur comme un pied de vigne.
- Oh bordel ! S'écria Grayle par surprise. Elle le prenait complètement au dépourvu. La terranide, vulnérable, fragile et soumise, se démenait comme une lionne, prenant l'initiative d'elle même. Il pouvait sentir la chaleur quasiment tropicale de sa gueule engloutir sa bite dans toute sa longueur, sa grande langue tourbillonner autour de son gland sensible et le long des veines épaisses de son sexe, dans un orchestre de bruits visqueux. Il se pencha légèrement en avant, posant ses mains sur le crâne de la belle.
- Qu'est ce que t'es douée, merde ! Aaaaarh...
Il la sentit heureuse lorsqu'il la complimenta, alors qu'elle redoublait d'efforts, continuant de lui offrir la fellation de sa vie, sans ralentir, alors que le sexe épais cognait jusqu'au fond de sa gorge, son museau brûlant.
- T'as du sucer plein de bites pour être aussi b-bonne... aaaaah... non ? Oh p'tain, j'crois que j'vais te garder avec moi... aaaah...
Il commençait doucement à onduler du bassin. Clairement, le mâle était sous le charme, complètement subjugué par les dons oraux de la sauvage, alors qu'un mélange de pré-foutre et de bave commençait à couler du menton de Sarya, dont il continuait de chanter les louanges.
- J'ai baisé des chattes qui étaient moins bonnes que ta bouche Sarya... hm... il caressa doucement ses cheveux, flattant ses grandes oreilles. T'es une suceuse d'enfer... ah... t'es vraiment... hm... faite pour ca...
Soudainement, sa respiration, s’accéléra, son torse musclé montant et redescendant, alors que plusieurs frissons agitaient son corps. Elle pouvait sentir le sexe de l'homme trembler et pulser entre ses lèvres, prêt à expulser d'un instant à l'autre le précieux jus de vie. Le pompage incessant qu'il recevait aurait rendu fou n'importe quel homme, tant la shaman était douée. Grayle ferma les yeux, se laissant porter par les sensation qu'il recevait, continuant de maintenir le visage de sa victime, poussant des soupirs de bonheur, avant de se crisper. Là ! Il le sentait ! Le plaisir, prêt à exploser...
- Plus vite !
Ce n'était pas une supplication, mais un ordre. Alors que les mouvements de la terranide continuaient de plus belle, Grayle finit par céder. Cambré vers l'avant, le visage vers l'arrière, tout son corps concentré dans la seule action de jouir, il ferma les yeux et expulsa un geyser de foutre, suivi d'un autre, son sperme brûlant filant à toute vitesse. Il ne savait même pas s'il se vidait entre les lèvres de Sarya ou souillait son visage, poussant des râles de plaisir animaux alors que son vit tremblant continuait de cracher presque un demi-litre de foutre.
Après avoir repris ses esprits, ayant eu un black-out de quelques secondes, Grayle plongea ses yeux roses dans ceux de Sarya.
- Je n'ai jamais rencontré une aussi bonne suceuse que toi. Tu devrais abandonner la magie et te concentrer sur ca. Tu rendrais plein de beaux humains heureux... maintenant, ta récompense. A toi de me dire comment tu veux que je te baise. Tu le mérite bien.
-
Sarya n'arrête plus. Elle enchaine avec grande vigueur les coups de tête pour astiquer le gros manche qu'elle prend jusqu'au fond de la gorge, pendant qu'elle sentait que le jus de l'humain continuait de toujours ressortir de sa chatte qui s'est faite démonter et violer avec virilité. Et au plus Sarya va fort à vouloir sucer l'engin du beau mâle, plus grandes oreilles sur poils entendent des bruits forts et visqueux venir lui chatouiller les tympans. Encore plus motivée d'entendre son beau violeur gémir, Sarya essai de tout donner à fond pour sucer cette belle verge masculine en manque de femelle. Petite poilue bien dressée aimait ça. Elle commençait même à regretter de ne pas avoir fait ces choses là plus tôt, quand l'humain lui dit qu'elle était douée et qu'elle avait dut sucer plein de belles grosses queues viriles comme la sienne avant. Sarya excitée par les mots de l'humain qui apprécie beaucoup ce qu'elle est maintenant en train de lui faire avec son gros pieux poisseux à l'odeur musqueux, s'arrête une seconde de sucer sa grosse verge sensible pour lui répondre.
- Sarya regrette surtout de ne pas s'être faite violer plus tôt par toi. Sarya aime vraiment ça.
Tout de suite après, louve excitée comme jamais replonge le gros sexe de l'humain dans sa gueule, profitant au passage de sa bonne odeur si forte qui titille le museau de bleue. Alors Sarya va et vient. Elle tourne la langue et retourne avec force et plein d'entrain. Elle faisait encore et toujours aller sa tête comme une furie, entendant toujours les bruits de succions qui s'accompagnaient avec ses mouvements très puissants et rapides. Elle pompe, creuse les joues, fait tout instinctivement comme une parfaite femelle en chaleur et toute obéissante qui répond à son mâle fougueux et dominant qui veut la baiser et surtout la prendre pour son plaisir partagé avec le sien. Alors que Sarya sent les mains de l'homme sur sa tête, elle entend encore des compliments sur ses performances. Petite bleue qui est déjà au maximum de qu'elle peut faire, continue de s'acharner goulument sur le manche de l'humain. Sa tête bouge très vite. Sa langue tourne très fortement autour du gland de son beau mâle dominant et qui lui donnait autant de plaisir. Elle presse au maximum, creusant sa gueule comme une prostituée le ferait. Oui Sarya est devenue une chienne et une pute. Elle se sentait heureuse de se faire baiser et soumettre par un tel mâle aussi brutal et désireux d'elle. Elle était si compétente, que l'humain fini par rapidement jouir, après lui avoir dit d'aller encore plus vite. Sarya essayait de lui dire qu'elle était au maximum et ses mots s'étranglaient à l'intérieur de sa gorge, coincée par cette énorme tige qu'elle malmenait avec amour, vigueur et désir brûlant, comme une sauvage soumise et aux ordres de son maitre.
- Hmmmmpf!!!
Son beau gros mâle viril et heureux de ce qu'elle lui faisait encore, jouit encore en elle. Ou plutôt dans sa bouche. Sarya ressent alors le liquide épais qui explose tout au fond de sa gorge. Petite poilue toute brûlante de fièvre, ne savait plus ou donner de la tête. Elle essayait de continuer de pomper comme une folle enragée l'énorme verge de l'humain, tandis que son foutre lui envoyait toujours plus fort et toujours plus loin sa semence tout au fond de sa gueule d'animale brisée et toute heureuse de l'être. Mais Sarya faisait tout pour avaler et continuer de lui plaire. En vrai, Sarya ne voulait surtout rien céder. Elle désirait que son maitre soit fier d'elle et qu'il lui dise qu'elle était la meilleur pour faire ça. Mais malgré tous ses efforts, une partie du jus du mâle ressort de sa gueule. Du foutre de l'humain coulait par terre et sur elle, tandis qu'une autre partie aspergeait aussi son visage. Alors Sarya essaie de pencher encore son corps en avant pour recevoir sur elle la semence de son violeur. Tout ce qui ressortait, tombait maintenant sur son cou, puis rapidement sur ses seins, tout en continuant d'avaler tout ce que pute de louve pouvait encore. C'était si chaud, si bon. Et quand l'humain fini de jouir, que petite chienne docile se met à tousser, elle entend le mâle s'essouffler.
- Haaa... Si bon... humain...
Le corps de Sarya était maintenant devenu brûlant de fièvre. Son cœur battait comme s'il allait exploser. Mais louve ne voulait pas que ça s'arrête. Alors quand oreilles dressées entendent l'humain lui parler, oreilles sensibles entendaient bizarrement. C'était comme si il lui parlait dans une immense caverne. Mais petite créature toute remplie de foutre s'en moquait. Et alors elle se redresse, fébrile mais toute heureuse d'avoir encore réussi à faire jouir l'humain qui la prend comme un jouet, elle sentait surtout qu'elle en voulait encore! Alors quand il lui demande comment elle voulait que pute de louve sur pattes la baise encore, Sarya lui saute dessus pour le renverser. Sarya était devenue si vive, que l'humain n'a pas eu le temps de réagir et il tombe alors au sol.
- Petite pute que tu as violé veut encore jouer. Sarya veut que tu la mettes enceinte! Baise-là encore. Même si tu dois mourir pour ça. Sarya veut tout recevoir de toi, jusqu'à ce que tu n'ai plus une seule goutte à lui offrir!
Quand louve arrive sur lui, elle ne perd pas de temps pour prendre l'engin tout chaud et tout gluant pour le mettre entre ses lèvres intimes. Sans attendre, elle fait glisser le gros manche tout poisseux en elle et qui rentre avec facilité. Louve gémit une fois qu'elle ressent le beau gros sexe reproducteur du mâle être bien entré dans celui de femelle. Et sans attendre ses commentaires, louve bleutée se penche en avant sur lui et commence à donner des rapides et violents coups de bassins.
- Haaaa voila! Maintenant c'est Sarya qui te baise, bel humain!
La trique du mâle bouge une fois encore à l'intérieur d'elle. Louve devenue très active le sentait caresser toute sa délicieuse paroi vaginale. Sarya essayait de redresser le bassin au maximum à chaque fois, sans que la belle grosse verge de son maitre ne ressorte d'elle, avant de redonner un violent coup pour que l'engin se retrouve à cogner tout au fond d'elle. Et Sarya recommence encore et encore. Elle bouge aussi vite qu'elle peut, ne voulant laisser aucun répit à elle et au mâle qui l'avait tant chauffée. Pendant qu'elle bougeait et qu'elle sentait le délicieux sexe chaud de son violeur la baiser encore de l'intérieur, Louve en fièvre utilise une main pour étaler le jus qui s'était retrouvé sur son corps tout poilu. Sarya se l'imprégnait de partout. De l'intérieur, comme de l'extérieur elle voulait en être recouverte. Le gluant se répartit sur ses petits seins, son cou, son ventre, même son visage. Ça faisait parfois un bruit spongieux Et plus Sarya s'en mettait volontairement de partout, plus elle sentait la virilité du mâle humain la recouvrir. Jamais louve n'avait connu une baise pareille et elle ne savait pas quand est-ce qu'elle allait arrêter.
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Tout le monde savait que les terranides avaient un mal fou à lutter contre leurs propres instincts primitifs. Aussi forte ou déterminée qu'elle pouvait l'être, Sarya ne faisait pas exception. Une fois la luxure goutée et savourée, le retour en arrière était bien difficile. Violée et droguée par les substances ayant imbibé Grayle, la victime s'était transformée en une complice et, avec le temps qui passe, allait sûrement se transformer en bourreau. C'est en tout cas avec l'entrain de son agresseur qu'elle lui avait sauté dessus, échangeant leurs rôles. Lui demandant... non lui ordonnant de la baiser jusqu'à mort. Pas sa mort à elle, non. La sienne.
Un autre être que Grayle aurait pu, aurait dû être terrifié par un tel changement de comportement. Mais pour l'immortel, tout aussi drogué que sa complice, c'est avec un rire puissant et ravi qu'il accueilla les paroles de la belle, avant de pousser un râle de plaisir lorsqu'elle s'empala sur lui avec force. Son petit corps l’accueillait sans problème désormais et le couple se mit à crier de plaisir alors que la verge du mâle s’enfonçait toujours plus loin dans l'intimité de la femelle.
Cris, gémissements, hurlements quasiment animaux retentissaient entre les arbres, alors que le frêle corps de la shaman se retrouvait harcelé par 2 paires de mains. En plus de siennes, celles de Grayle parcouraient son corps avec envie, agrippant ses hanches, griffant ses fesses, venant tirer ses seins tendus. S’émerveillant de la douceur de sa fourrure, profitant totalement de son corps qu'elle lui offrait cette fois avec plaisir, il jouait avec leurs propres fluides, aidant la terranide à se recouvrir de ses derniers. Le blanc et le bleu se mélangeaient, alors que l'odeur entêtante, presque infecte de leurs ébats envahissaient leur narine. La belle était souillée, puante, et plus belle que jamais.
- Tu assume enfin ta vraie nature ! dit-il avec férocité, tirant un mamelon pointu avant de se cambrer, la faisant sentir toute la raideur et la chaleur de son membre. Tu veux me baiser ? Alors vas-y. Empale toi sur moi ! Jouis sur moi ! Montre moi que t'as pas besoin que je te baise pour prendre ton pied... et je te donnerait toutes les portées que tu veux !
-
Plus Sarya s'offre au mâle qui l'avait tant malmenée, plus il riait. Et plus louve entendait ses rires mauvais, plus elle voulait encore lui faire plaisir et se faire soumettre par lui. Alors louve continue et elle n'arrête plus de bouger sur la grosse verge de son violeur qui l'empalait encore. L'humain l'aidait à se donner encore plus facilement à lui, quand elle sentait ses grosses mains lui agripper les hanches pour la guider. Parfois il encourageait louve en lui griffant ses petites fesses sensibles. Jamais elle n'a été aussi folle et fière de se faire baiser comme ça et surtout par un mâle, alors qu'elle les détestait. Et pendant que lupine toute sensible faisait tout pour essayer de jouir encore elle aussi, elle sentait sa chatte qui se pressait très fort avec la grosse bite humaine qui était encore bien fourrée dedans. Quand l'humain lui tire un mamelon, Louve se cambre alors pour lui faire ressentir qu'elle était toute à lui et que ce mâle la possédait toute entièrement.
- Haaaa! Oui! Humain! Louve est toute à toi! Louve est heureuse de se faire violer et baiser!
Et alors qu'elle se laissait aller, il l'encourageait à continuer de s'empaler sur lui et sa grosse trique virile. Petite louve devait surtout montrer qu'elle pouvait mener le jeu et jouir sur son pieux toute seule comme la gentille fille qu'elle était. Et que le faire, amènera le mâle à le motiver pour la féconder et lui donner pleins de jolis louveteaux tout beaux et tous soyeux.
- Sarya est gentille et obéissante! Elle va jouir sur toi pour te prouver qu'elle aime ça!
Même si Sarya était déjà à fond, elle essayait de se pencher encore plus sur son maitre pour s'aider à prendre appui. Et quand elle pensait avoir réussi, elle écartait autant qu'elle pouvait les cuisses. Maintenant bien positionnée sur le gros manche tout poisseux et très viril de l'humain qui en voulait autant que elle et qui aimait rire de louve, elle bouge le bassin. Louve s'enfonce et relève sa croupe très fortement et très vite. Ça faisait du bruit à chaque fois qu'elle répétait ça. Elle le faisait comme l'animal qu'elle était. Et surtout, elle était tellement heureuse de sentir cette grosse verge odorante cogner son intimité. Sa chatte était toujours brûlante et chaude. Ça lui faisait tellement du bien! Poils bleus venus du grand nord sentait qu'elle adorait recevoir l'intimité de l'humain en elle.
- Oui! Sarya va essayer de jouir! Très vite et comme tu veux, pour que tu sois content d'elle!
Pour montrer que c'était une pute obéissante, louve continuait de bouger frénétiquement sur la grosse bite humaine qui s'enfonçait constamment en elle. Et avec le bruit qui se répétait jusque dans ses oreilles sensibles, elle continuait de sentir ses odeurs. Petite bleue était toute poisseuse du foutre de l'humain. Mais surtout, elle ne lâchait rien! Elle continuait encore et encore et plus elle le faisait, plus en sentait le bien-être monter en elle. Et elle était tellement heureuse de savoir qu’elle le servait maintenant. Et quand Sarya sentait que ça montait toujours plus. Que son petit bouton de plaisir allait expulser encore plus de cyprine qui avait déjà beaucoup coulé avant, elle tirait la langue et elle rougissait. Sarya grognait et gémissait, tout en continuant de bouger et d'écarter les cuisses comme elle pouvait.
- Oui! Louve va jouir pour toi humain! Regarde comme louve est une pute docile et obéissante à tous tes désirs de mâle violeurs qui aiment baiser et soumettre les putes comme Sarya!
Quand elle sent qu'elle est sur le point de craquer, Sarya ralentit pour donner des coups de bassins encore plus violents. A chaque coup, le sexe odorant du mâle la pulvérisait de tout l'intérieur. Il l'avait tellement prise avant, que toute sa chatte était maintenant ouverte pour sa bite. Tout glissait facilement. Et quand Sarya allait enfin pouvoir se libérer sur le gros pieux du mâle viril, elle redresse doucement la croupe, puis se renfonce avec violence dessus. Son bassin claquait maintenant très très fort et la chatte de Sarya faisait du bruit en même temps. Et puis elle recommençait encore et encore, jusqu'à ce que ça monte encore plus et que enfin, que louve se mette à jouir!
- Houuu! Houu! Houuuuu! Sarya jouit pour toi humain! Gaaaaaaaaouuuu!
Quand la cyprine de petite femelle des forêts sort en grande quantité, elle pince les yeux et regarde le ciel tout en hurlant comme la louve qu'elle était, tout en se penchant en arrière. La chatte de poils bleus sentait la grosse trique de l'homme qui était parfaitement logé à l'intérieur d'elle. Sarya en perdait maintenant la tête à continuer de hurler. Jamais de toute sa vie de louve, elle n'avait autant pris de plaisir comme ça. Et puis, quand elle sentait que c'était fini, Sarya regardait l'humain toute rouge et à la fois épuisée, la queue remuant derrière elle.
- Louve a... Louve a jouit pour toi toute seule humain! Maintenant, elle veut que toi aussi tu recommences et que tu la fécondes!
C'est très excitée et toute contente d'avoir fait plaisir au maitre humain, que Sarya le regarde, prête à le recevoir encore en elle, tout en l'encourageant à la féconder une fois pour toute, si jamais ce n'était pas déjà fait avant.
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Possédée. La terranide avait quasiment perdue toute conscience, ne se focalisant plus que sur le sexe et le stupre. La voir se déchaîner sur lui, sentir ses entrailles l’accueillir et emprisonner sa verge devenue violette sous l'excitation. A chaque déclaration enflammée et presque pornographique de la terranide, l'humain l'encourageait avec fureur, lui promettant de la remplir encore et encore, agrippant violemment ses chairs, enfonçant ses ongles dans la peau de ses fesses.
Lorsqu'elle se mit à jouir, sa cyprine brûlante se déversant sur le torse de Grayle, il se mit à la pénétrer furieusement, refusant de lui laisser le moindre répit, le bruit mat de leurs chairs résonnant entre les arbres, un "plap plap plap plap" puissant et rythmé.
- Louve a... Louve a jouit pour toi toute seule humain! Maintenant, elle veut que toi aussi tu recommences et que tu la fécondes!
Il ne répondit pas, se contentant de la renverser. Il était au dessus d'elle, comme au début de leurs ébats. Mais cette fois, la femelle ne pleurait pas de détresse ni ne criait de douleur. Il se redressa sur ses pieds, tout en restant enfoncé en elle, l'écrasant sur le sol, ses jambes écartées au point que ses pattes étaient presque au niveau de ses épaules.
- Ah ouais ?
Il s'enfonça en elle sans la moindre douceur, le vit brûlant entrant entièrement en elle, arrachant un cri de plaisir et faisant convulser le corps de la femelle devenue trop réceptive. Ce n'était plus une baise, mais une copulation. Au dessus d'elle, capable de mobiliser toute sa puissance, le jeune homme s’enfonçait directement à la verticale, son vit noueux et dur comme un pied de vigne frottant et écartant les entrailles de la terranides, ses couilles pleines percutant ses fesses dans un bruit spongieux.
- Han ! Han ! Han ! Ptain t'es vraiment une délicieuse salope Sarya ! rugit-il avec fureur, son souffle brûlant s'écrasant contre le visage de la terranide. Il la léchait, la mordait, l'embrassait, pétrissant chaque centimètre carré de sa peau. Lorsqu'il se vida encore en elle dans un râle indécent, il se recula légèrement, saisissant les poignets de la shaman et les tirant vers lui, pressant ses petits seins l'un contre l'autre. La pauvre était dans un état déplorable, tellement saturée de magie rose que du lait coulait de ses seins. Le regard de la femelle semblait absent, et l'homme, comprenant peu à peu qu'elle perdait peu à peu conscience à cause du plaisir saturant ses sens, redoubla d'efforts.
Il ne voulait pas la marquer. Il voulait la traumatiser. Qu'elle garde à vie les séquelles de cet accouplement primitif. Qu'à chaque nuit de plaisir solitaire ou à deux, sa voix, son odeur et sa verge prennent inéluctablement possession de son esprit et de sa jouissance.
- Je suis Grayle ! Je suis ton maître... hurle mon nom ! Maintenant ! Et chaque nuit !
Peu à peu, le soleil continuait sa course...
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- Ha... ha... ha...
Grayle reprenait son souffle avec peine, jetant un oeil au corps étendu devant lui. Sarya était inconsciente, les yeux grands ouverts et relevés, la langue pendante et le souffle faible. Tordue au sol, elle ondulait, continuant un simulacre de copulation dans ses rêves. Sa fourrure bleue était maculée de leurs fluides blancs et sa petite chatte continuait de convulser, évacuant un trop-plein de semence masculine. Elle donnait l'impression que tout un village lui était passé dessus. Trempée de sueur, pas un centimètre de son corps avait été épargné par les assauts du jeune homme drogué.
Lui même se sentait tremblait. Son bassin, surtout, lui faisait mal, et il savait qu'il allait porter les stigmates de cette brutale copulation pendant des jours. Transpirant, il enleva sa chemise, essuyant son torse brûlant avec, avant de le jeter près du visage de Sarya, imbibant l'odorat puissant de la terranide avec l'odeur du mâle qui l'avait violée pendant quasiment tout l'après-midi.
- Je suis désolé, mais je dois partir. Je pense qu'il ne t'arrivera rien... à la revoyure.
Au pire... elle l'aura bien mérité.
FIN
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Louve perd de plus en plus le contrôle de tout ce qu'il se passe autour d'elle. Alors quand l'humain l'a renversée pour lui remettre sa belle grosse bite dans sa chatte tellement sensible, elle s'est encore laissé aller. Mais ce n'était plus seulement que elle qui se laissait porter et dominer, mais aussi tous ses sens qui devenaient comme endormis. La vue de petite louve s'est mise à à se troubler. Elle entendait aussi les sons s'amplifier et de déformer en même temps. Son odorat habituellement tout sensible, ne sentait maintenant presque plus rien du tout. Son corps était devenu un peu comme de la pierre ou du bois. Dur, raide, mais avec beaucoup de douleurs qu'elle ne semblait plus très bien ressentir, malgré qu’elle savait qu'elle étaient là et qu'elle lui faisaient du mal.
- Oui... Oui... Ouiiii... Sarya est... une pute pour l'humain qui la baise...
Si faible. Sarya devient vite de plus en plus faible, à mesure que le mâle continue de prendre son corps. Elle l'encourageait de plus en plus faiblement, quand elle le voyait la baiser, avec les jambes en l'air. La jouissance d'avant, a complètement fini d'épuiser louve. Et c'était encore pire après, quand il l'avait tiré à lui par les bras. Si fatiguée de se faire si violemment prendre et dominer par un humain qui aura violé Sarya pour son plaisir à lui. Louve ne savait pas dans quel état elle se retrouverait quand elle se réveillerait, mais elle savait juste qu'elle ne serait plus jamais la même qu'avant. Que son corps ne sera plus tout à fait pareil. Si Sarya avait fini par adorer ça au bout d'un long moment, elle savait déjà que la rencontre avec le mâle qui restait un humain au fond mauvais, allait à jamais changer sa nature profonde. Petit ventre de louve craignait aussi qu'elle tombe enceinte, à cause de la trop grande quantité de semence reproductrice que l'humain lui a envoyé dans son sexe de femelle animale.
Non Sarya ne sera plus jamais comme avant. Elle ne sera plus la louve toute gentille et qui aimait jouer avec les autres filles. Elle devra vivre avec ce qu'elle a subi et sans doute apprendre à devoir être une bonne mère. Une maman louve qui essaiera de protéger comme elle peut ses petits au péril de sa propre vie, qui un jour viendra peut-être bien, dans ce monde humain souvent trop cruel avec elle.
FIN