Le Grand Jeu
Bac à sable => One Shot => Discussion démarrée par: Rubis Starling le dimanche 12 janvier 2025, 00:00:21
-
Il existe de nombreuses théories et recherches sur les univers et réalités parallèles, des concepts fascinants qui évoquent l'existence d'autres mondes semblables ou radicalement différents du nôtre. Selon ces théories, il s'agirait de dimensions pouvant coexister avec la nôtre, séparées par des frontières invisibles où les lois de la physique, les événements ou même les versions de nous-mêmes varieraient.
Dans ces théories scientifiques (comme celle du multivers) on suppose que chaque choix ou événement pourrait engendrer une nouvelle réalité, donnant ainsi naissance à ce que l'on appelle un univers ou une réalité parallèle.
Et aujourd’hui, nous nous trouvons dans l’un d’entre eux où nous suivons les aventures de deux individus bien distincts, dont le destin semble adorait jouait avec eux et leurs rencontres. Et l’un de ces individus, ou plutôt l’une, est Rubis Starling, une charmante jeune demoiselle pas comme les autres, pas ordinaire pour cette drôle de planète qu’est la terre et même pour ce pays qu’est le Japon, dans notre charmante ville de Seikusu.
Voyez-vous, c’est une albinos avec donc des traits distincts comme une chevelure blanche comme la neige, des yeux d’un rouge digne de la pierre précieuse dont elle tire son prénom et une peau si claire et sensible au soleil qu’on pourrait croire que c’est un vampire (ou lui faire la blague de, mais vous ne serez sûrement pas le premier à lui faire cette blagounette). Bien sûr, contrairement à la norme japonaise, elle est grande et élancée du haut de ses 1m68 (mais un peu plus en fait à cause des talons qu’elle porte, donc compter dans les 1m76/78) et elle a des formes qu’on peut qualifier de généreuses oui, avec une poitrine et des hanches voluptueuse à en faire tourner les têtes (faute de faire tomber des langues comme dans les cartoons).
Donc physiquement, cette demoiselle est donc assez atypique, notamment pour notre beau pays du soleil levant, même si les cosplays ont populariser pas mal les looks particuliers avec le port de perruques et lentilles de toutes couleurs. Et en parlant d’atypique, son look vestimentaire peut l’être tout autant. Vêtue principalement de noir (et parfois de blancs pour les chemises ou autres exceptions vestimentaires), elle affectionne particulièrement une casquette et une veste en cuir (noire bien sûr) et arbore quelques bijoux ainsi que des piercings aux oreilles, mais aussi un ras de cou noir en plastique avec lequel elle joue de temps en temps entre ses doigts quand elle réfléchit. Et pour rajouter une couche à sa particularité, la demoiselle a un tatouage entre son cou et sa poitrine, qui est un symbole qu’elle a vu dans un livre de son paternel et qu’elle a revue en rêve adolescente, lui donnant le déclic de se faire tatouer ça un peu sur un coup de tête mais en suivant son instinct aussi paradoxalement.
Et des paradoxes, elle en a quelques uns la demoiselle, de nature douce et gentille elle s’est enfermé dans une carapace de rebelle et provocatrice, qui ne se laisse pas faire et sait envoyer les gens valser avec classe et glamour, enfin ça, ça dépend des jours, parfois elle envoie valser sans prendre de gants, mais bon vous verrez si ça vous tombe dessus ou pas hein.
Mais pourquoi une personne douce et gentille de base se cache derrière tout ça me direz-vous ? C’est simple, la vie nous forge et parfois, ça brûle tellement qu’on veut à tout prix résister à la douleur du feu ardent qui nous façonne, pour le meilleur et le pire. Et ça a surtout était le pire pour cette chère Rubis Starling dont la triste histoire lui revient parfois à ses souvenirs, comme aujourd’hui…
~~~
Rubis n’est pas japonaise (vous l’aurez pariez), elle nous vient de la Suède, qu’elle a quitté il y a environs deux ans à ses 19 ans, donc nôtre demoiselle a 21 ans à l’heure où nous parlons. Dans son beau pays souvent enneigé et entourés de natures verdoyantes, de montagnes majestueuses et de splendides lacs bleus comme sur des cartes postales, Rubis a eut une enfance compliquée. Elle a été élevé par un couple de deux scientifiques, travaillant tout deux sur des sujets totalement opposé : une mère spécialisée en biomécanique et un père spécialisé en univers parallèles et multivers, d’un côté un domaine très terre à terre comme on dit et un autre plus la tête dans les nuages. Et leurs spécialisations étaient souvent la source de plaisanterie l’un envers l’autre, mais du jour au lendemain, cette source de plaisanterie devint celle de toute leurs disputes, avec une petite fille au milieu de tout ça, qui voyait ses parents se déchiraient pour des broutilles.
Élevée dans une famille en conflit perpétuelle, Rubis trouva refuge dans les livres, la nature et les étoiles, lui permettant de s’offrir des moments de solitude et d’échappatoires à toutes ces disputes familiales. Mais malgré cela, ses parents l’aimaient quand même, partageant de doux moments avec elle, mais leurs mauvaises ententes et leurs rancœurs pesaient lourd sur le coeur de cette petite fille qui se demandait pourquoi ils passaient souvent leur temps à se déchirer. Et c’est d’ailleurs dans un moment de déchirement, qu’un drame se produisit ! Les parents de la demoiselle étaient en voiture, avec elle, et une nouvelle dispute éclata, toujours et encore à cause de leur spécialisation mutuelle et tout ce qui les opposés, comme d’habitude. Mais cette fois, la dispute finisa mal, la voiture accéléra, dérailla, et le drame se produit… Un terrible et horrible accident de la route, tuant ses deux parents à l’avant du véhicule sur le coup et elle… Elle en échappa, blessée mais sauve, secourue à temps par d’autres automobilistes sur la route.
Rubis devint donc orpheline âgée de 9 ans, en entendant sans cesse autour d’elle que c’était elle la source de malheur de ses parents, qu’ils ne se disputaient jamais avant sa naissance, que sa mère aurait dû l’abandonner (on vous épargne les therme plus horrible comme la noyade) en découvrant qu’elle était une albinos car ils portaient malheur, la preuve étant en parlant de l’évolution de ce charmant couple qu’était ses parent à leur début avant de l’avoir et de la mort tragique qu’elle avait provoqué car elle portait malheur. C’est dur à porter sur de jeunes épaules de telles choses, qui sont souvent rabâcher dans votre dos et parfois juste devant vous, pour bien vous montrer que vous n’êtes pas comme les autres, que vous n’êtes pas désiré dans le troupeau car vous n’en fait pas partie.
C’est donc ainsi que la jeune Rubis commença sa vie à l’orphelinat, où les enfants n’étaient pas tendre avec elle à cause de sa différence, de ses histoires autour, du fait qu’elle portait malheur et pouvait apporter la mort. Les années à l’orphelinat furent compliqué pour la jeune fille, qui malgré ses maintes tentatives de gentilles et douceurs naturelles étaient rejettés autant par les pensionnaires que le personnel de l’orphelinat. Rubis était majoritairement seule, dans une chambre entouré de livres ou dehors dans un coin loin de tous, isolée et meurtrie même, victime d’harcèlements en continue. Et c’est à l’adolescence qu’elle commença à se rebeller, à faire le mur, affrontant ses camarades quand ils l’embêtaient et ayant été jusqu’à casser la figure d’un d’eux même ! Mais pour sa défense il l’avait attraper par le col et elle s’était juste défendue, mais bon, qui croirait une demoiselle en pleine rébellion après tout, et surtout, qui la croirait elle, l’albinos porte malheur qui attire les conflits ? Personnes… C’est donc avec ce genre de pensées et attitudes d’autrui que Rubis se referma encore plus, se forgeant cette carapace de rebelle, provocatrice, qui n’a peur des mots ni d’en venir aux mains si nécessaire, car elle devait avant tout se protéger de ce monde qui ne voulait pas d’elle.
Rubis continua donc sa triste vie à l’orphelinat, attendant patiemment sa majorité pour quitter les murs de cette horrible bâtisse avec ces horribles personnes, sachant pertinemment que jamais personne n’adoptera une albinos. Et en attendant cela, elle se réfugiait dans les livres et dehors quand elle faisait le mur, allant se balader dans la ville, admirer les étoiles ou se perdre dans les bois ou parfois même en ville, poussant le vice jusqu’à travailler de temps en temps dans les bars en tant que serveuse pour se faire un peu d’argent au black, en attendant patiemment le jour où on lui ouvrira la cage pour qu’elle puise prendre son envol.
Et quand le jour de ses 18 ans arrivèrent enfin, Rubis sortie de sa « prison » comme elle la surnommer ironiquement mais avec une pointe de vérité dans le cœur, et elle embrassa cette liberté où elle n’aurait plus à subir les harcèlements et mauvais mots quotidiens de la part de tous ces gens qui l’entourait à l’orphelinat (mais pas que malheureusement). Par chance, Rubis était de nature sérieuse malgré sa rebelltiude et elle avait tout organisé pour avant sa sortie quand le jour viendra, lui permettant ainsi de pouvoir trouver un logement pas cher dans une résidence pour jeunes gens tout en allant proposer son cv à différents endroits pour travailler.
Mais bon, c’était une petite ville, tous le monde se connaissait, tous le monde connaissait les mauvaises histoires sur les albinos et le malheur qu’ils apportent, et une majorité des gens la connaissait, malgré elle. Elle ensuivit donc plusieurs refus pour des postes quand elle n’était pas chassé de certains commerces même, qui refusait qu’elle y mette les pieds. Mais par chance, au bout de plusieurs jours, quand elle alla à un des bars où elle avait fait la serveuse au black quelque fois, et qu’elle parla avec la barmaid de son soucis à trouver un emploi, on lui proposa un petit contrat de quelques mois pour être serveuse. C’était une chance que la demoiselle se saisissa sans hésiter et c’est comme ça que commença sa carrière de serveuse dans les bars, lui permettant de pouvoir accumuler pas mal d’argent car ça payer bien, surtout quand c’était du travail de nuit, qu’elle favorisait donc pour la rentabilité puis parce qu’elle aimait l’ambiance de la nuit, tous ces gens qui s’amusaient et danser… Ha danser, elle aimait ça et elle avait découvert les joies de la danse en découvrant les bars adolescente en faisant les murs, c’était une des rares choses de bien qui lui était arrivé dans la vie ça, lui conférant une certaine passion pour la danse aujourd’hui d’ailleurs.
La vie commençait enfin à se dérouler sans accro pour Rubis, qui pouvait enfin profiter de sa liberté et de la vie, même si ce n’était pas facile tous les jours dans une ville où les gens vous hait on pouvait le dire. Et c’est lors d’une de ses journées sans travail, peu de temps avant la fin de son contrat dans le bar dans lequel elle avait commencé à travailler, que Rubis découvrit une pub pour une sorte de tombola/tirage surprise de voyage organisé par l’aéroport pour encourager les jeunes à voyager dans le monde, en leur « offrant » un aller simple (contre une petite somme d’argent) dans un pays tirés au hasard, afin de les inciter à voyager et pourquoi pas travailler dans ce pays. Le concept était loufoque mais il plaisait terriblement à cette demoiselle qui se disait que c’était peut-être l’opportunité pour elle de quitter son pays, ce pays qui semblait n’avoir jamais voulu d’elle d’ailleurs en lui enlevant les seuls êtres chers qu’elle avait et en l’entourant de gens qui la haïssait sans cesse. Même s’il y avait quelques exceptions, comme ces collègues au bar ou les autres personnes qu’elle connaissait de ce milieu, elle avait souvent l’impression d’être de trop.
Et c’est donc ainsi que Rubis, après avoir fini son contrat, récupérer les papiers nécessaires pour le voyage et fait sa valise en emportant le peu d’affaire et livres qu’elle avait, se dirigea à l’aéroport, s’inscriva à la tombola du jour et tira au sort avec ses petites mains un billet pour le Japon direction la belle ville de Seikusu ! C’est donc ainsi du haut de ses 19 ans qu’elle quitta son pays la Suède et arriva au Japon, curieuse et enthousiasme pour vivre sa nouvelle vie, mais restant sur ses gardes et rebelle malgré tout, car… Bah, on ne peut pas enlever des années de souffrances et une carapace chargée d’histoires si rapidement, cela prendra du temps, surement.
~~~
Et c’est en repensant à tout cela, son histoire, les raisons qu’ils font ce qu’elle est, que notre chère Rubis se mit doucement à souffler par le nez en souriant amusée toute seule, jouant avec son collier autour de son cou tout en étant plaqué contre un mur dans une ruelle près de la porte de service du bar dans lequel elle travaillait depuis quelques mois. C’était calme, c’était paisible et le seul bruit était les grésillements d’une lampe d’un commerce à côté dont les leds clignotaient en permanence en faisant quelques bruits, ce qui ne semblait pas dérangeait la demoiselle plus que ça, même au contraire, elle semblait les admirer en se perdant dans ses pensées lointaines en ce moment.
Mais quelque chose vint l’importuner, un bruit de pas et une odeur de cigarette, la faisant doucement froncer des sourcils que sa casquette siègé sur sa tête cachée. Ni une ni deux, la jeune albinos jeta son regard en direction du bruit et de l’odeur, fusillant du regard une collègue qui jeta son mégot au sol.
« Hey Sakura ! Bon sang de bonsoir, t’exagère putain ! »
Siffle Rubis entre ses dents, se redressant de contre le mur en se dirigeant vers elle pour ramasser le mégot et lui foutre sous le nez, les sourcils toujours légèrement froncé en regardant la jeune femme face à elle à présent.
« C’est pas une poubelle ici, putain de… Raaaah ! » tapant du pied avant de se retourner pour aller vers la poubelle, écrasant bien le mégot à l’endroit à cet effet avant de le jeter dedans, la demoiselle aux prunelles écarlates reporta son regard vers sa collègue « Fais attention quoi, t’es pas chez ta mère ici, t’es au boulot ! »
Et sur ses mots, Rubis soupira en croissant les bras, avant de se diriger vers la porte de service pour rentrer dans le bar et commencer à prendre son service, tout comme sa collègue jetteuse de clope sur le sol qui ne pipa pas un mot face a la ralerie de la demoiselle à la blanche chevelure, qui n’aimait apparemment pas qu’on jette des trucs au sol sur son lieu de travail.
-
Il est si facile d’altérer une vie, d’altérer un traumatisme et ainsi, changer la façon de gérer un évenement pour une personne, un simple changement, c'est tout ce qu'il suffisait pour changer entièrement des évenement, prendre à gauche au lieu d'à droite, manger dans un restaurant au lieu de chez soi.
Pour Karl, tout ce passa le jour fatidique qui l'envoya sur terre, Son épouse avait prit cette fois son courage à deux mains, et avait remplacé le valet pour attendre dans la tente de son époux, voulant lui annoncer une heureuse nouvelle. Sous l'annonce qu'elle lui fit, accompagné de son père pour témoin, Karl était aux ange, le sourire jusqu'aux oreilles et le cœur battant à en rompre. Cette fois, ce n'était donc pas le valet qui vint prendre un carreau d’arbalète, mais sa bien aimée. Tout ce passa beaucoup plus vite pour lui, l'adrénaline, la haine, la rage, le firent dégainer son épée plus vite, venant abattre l'assassin sous un crie mélangé de douleur et de rage.
Dans cette univers, la garde rapproché eut le temps de venir à leur aide malgré le piège tendu et, seulement guidé par la haine et la vengeance, Karl ne voulait et ne pouvait faire qu'une chose, faire payer la personne derrière tout cela.
Pour le Karl que vous connaissez, il arriva sur terre par le sort jeté de son épouse pour le sauver de son exécution, pour ce Karl là, se fut, quand il battu à mort la personne responsable de la perte de celle qui représentait tout pour lui que cela arriva. Dans son dernier souffle, le magicien incanta un sort pour essayer de se sauver, mais rien en fut, mélangeant les mots, se fut Karl qui fut donc transporté. Sur terre, Karl fut donc bien plus violent, lorsque la police le trouva et, lui manqua de respect du à son rang, il finit bel et bien au poste et fit de la prison pour agression sur agent des forces de l'ordre. Le Japon avait bien tenté de l'extrader dans son pays d'origine, mais, aucune trace de lui sur terre, rien, alors, il finit un temps en asile, le faisant se calmer, seulement pour pouvoir en sortir.
Karl, après tout cela n'était pas devenu barman, mais plutôt homme de main, ayant passé son temps à se battre dans les rues de Tokyo, puis de Seikusu, il lui fut demander de travailler un peu comme videur pour un bar de la ville ayant des liens avec les Yakuza.
Sa façon de s'habiller elle, ne changeait pas, toujours habillé avec classe, chemise blanche, cravate noir, pantalon noir et chaussure noir, ses deux mains, bien en chair, mais couverte de cicatrice sur ses phalanges. Son regard lui, n'était pas simplement posé, il donnait constamment l'impression de vouloir en découdre, ce qui n'était pas vraiment faux. Il souhaitait toujours rentrer dans son monde, mais ses inspirations étaient beaucoup plus noir. L'heure du service arrivait, lui était déjà dans le bureau du patron, quand celui-ci lui demanda d'aller chercher Rubis pour qu'il lui parle
" Je suis là pour faire la sécurité, pas pour faire votre pigeon voyageur."
Son ton était sec, froid, autant que son regard envers lui, qui, il savait qu'il pouvait bien lui demander des choses, mais étant seulement autorisé à l'avoir comme videur, il savait qu'il ne pouvait pas le forcer. Karl sorti donc de la pièce, descendant au bar pour en sortir par la porte de service, voulant d'abord souffler un coup, arrivant, il put voir Sakura le visage un peu coincé et, put entendre quelqu'un pester contre elle. Poussant la porte, il se retrouva donc dans la ruelle mal éclairé et, put donc voir la râleuse en question. Au début, il n'en prêta pas plus attention, oui, il la trouvait belle, un caractère bien trempé, mais plaisant, mais il avait d'autre chat à fouetter. Il se posa contre le mur du bar, prenant quelques secondes avant de briser le silence
" Mademoiselle Starling, il parait que le patron veux vous voir, je vous préviens, ça ne va pas vous plaire."
Sa voix était plus douce, moins agressive, elle donnait moins l'impression qu'il voulait détruire la terre entière en cette instant.
-
Alors que les demoiselles s’apprêtaient à entrer dans le bar, une voix sortit de nulle part vena interpeller avec douceur les oreilles de Rubis, qui reporta son regard en direction de la provenance de celle-ci. Le regard de l’albinos se posa sur une silhouette épaisse et grande, la faisant cligner des yeux plusieurs fois en regardant Karl, restant sans un mot pendant quelques secondes alors que Sakura se demandait quelle mouche avait piquait sa collègue qui chantait y a encore quelques secondes.
Et après son petit bug durant lequel elle était juste entrain d’admirer son collègue en se disant qu’il était vraiment classe et très beau, remarquant son timbre de voix plus douce quo l’avait adoucie aussitôt, elle revint à elle et répondit en hochant doucement la tête à la japonaise pour le remercier.
« Ho ? Ha… Je… Bon, bah je vais aller voir ça… Merci Monsieur Neumann… »
Sa voix était plus douce aussi en lui répondant et en le regardant, pendant que Sakura se demandait ce qui avait pu la calmer d’un coup en les zieutant tout les deux, passant son regard de l’un à l’autre avant d’arrêter de peur de se faire prendre par l’un des deux et d’avoir droit à un regard d’eux. Profitant de l’opportunité, la demoiselle prit la poudre d’escampette en passant devant l’albinos, qui continuait de regarder Karl avant de voir le manège de Sakura qui lui passait devant mais surtout qui se barrait.
« … Mais vas-y je t’en prie, passe devant hein… Va le voir pour moi le patron tant qu’on y est hein ! »
Sifflant ses quelques paroles en levant les bras en l’air avant de finir par les croiser en regardant Sakura se sauver comme une bécasse, Rubis leva les yeux au ciel en soupirant, avant de marmonner tout bas quelque chose.
« Si cet enfoiré me reparle de ces extra… Je lui fais bouffer son bureau… »
Puis après son soupirage accompagné des mots à peine audible qu’elle avait murmuré, la demoiselle reporta son regard vers le videur, se sentant un peu idiote à rester là comme ça.
« Je… Heu… Merci encore et bonne pause ! »
Et un petit salut de tête en levant légèrement sa casquette avec sa main pour saluer Karl en lui faisant un beau sourire, Rubis se faufila par la porte de service et pénétra dans le bar, se dirigeant vers le bureau de leur patron, avec un mauvais pressentiment sur ce qu’il lui voulait, espérant quelque part au fond d’elle que ce n’était pas ça, sinon ça allait swinguer.
-
Karl jeta un regard sur Sakura qui avait décidé de rester au final, pour quel raison ? Il n'en savait rien et s'en fichait un peu dans le fond. Il eut un sourire en coin qu'il ne put retenir en entendant Rubis râlait après cette pauvre Sakura. Elle n'était pas méchante cette chère Sakura, elle avait juste le nez un peu trop fourré de partout et tout le monde au bar savait que c'était elle à qui il fallait parler pour les ragots les plus croustillant.
Lorsque se fut au tour de Rubis de repartir dans les bureau, Karl croisa les bras avant de hocher la tête, venant lui répondre d'un très simple
" Bonne chance."
Car oui, il savait que son patron allait lui prendre la tête bien comme il faut pour faire des extra, sûrement essayer de la soudoyer pour ou la faire chanter. Lui détestait ça,mais ce n'était pas son problème, en tout cas, par pour le moment alors il s'en fichait. La ruelle était maintenant déserte, il était enfin seule, avec les bruits désagréable de la ville. Il restait encore une bonne demi heure avant l'ouverture de la nuit, quand, des loubards arrivèrent,venant s'en prendre à lui, car, il avait refusé l’accès à l'un d'eux la nuit dernière et l'avait sèchement reconduit à vite partir. Batte de base-ball, chaîne de vélo, démonte pneu, ils avaient tout prévu. Karl en était presque content, pouvoir se battre, s'occuper, se défouler, il savait qu'il allait avoir mal, il savait qu'il allait prendre des coups, mais cela lui faisait du bien, ressentir une autre douleur, combler un vide, voila le gain qu'il y voyait. Le combat fut plutôt rapide, Karl commença par remonter ses manches sous leurs insulte, puis, jeta la poubelle en métal la plus proche vers eux, lui créant une diversion pour foncer droit sur eux juste derrière. Son poing droit s'écrasa directement dans le visage du beau parleur avant que son coude gauche ne parte lui, dans les cotes d'un de ses comparse armé du démonte pneu. Il eut à peine le temps de relever son bras droit, le pliant pour se protéger la tête qu'il y reçu un coups de batte dessus, reculant un peu avant de lever de nouveau les poing, prêt à se battre. L'un d'eux fonça sur lui en l'insultant, brandissant son arme, ce qui poussa Karl a venir donner un violent coup de talon dans son ventre pour le projeter contre un des mur avant de recevoir un coups de poing d'un autre. Il encaissa le cou dans les cotes et vint riposter d'un coups de tête directe et franc avant de venir donner un cou de talon sur le coté d'un genoux.
Les coups pleuvaient de sa part, il en recevait, mais arrivaient à en esquiver le plus possible et à encaisser le reste, puis, enfin, tout cela s’arrêta, le groupe venant à fuir la queue entre les jambes et en boitant, tandis que Karl cracha un peu de sang par terre en les regardant partir. Ses poing étaient encore serré, l'adrénaline à profusion dans ses veines, reprenant son souffle pour chercher à se calmer. Ensuite, il rentra à l’intérieur du bar, allant jusqu'au comptoir sous le regard d'un des serveur, quelque peu médusé par son apparence, ses cheveux décoiffé, ses poings rouge et taché de sang, des ecchymose sur les avant bras.
" Le jour ou je vous demanderez votre avis je vous le direz."
Dit-il sèchement avant que l'un d'eux ne se mette à vouloir lui parler, tandis qu'il se servit un verre d'alcool bien chargé, avant de le boire cul sec. Il se mit ensuite à passer ses mains sous l'eau pour les laver, venant se recoiffer en attendant que le service commence.
-
Avant de se faufiler dans le bar, Rubis avait très bien entendu les mots du videur qui lui souhaitait bonne chance, ce à quoi elle s’était contenter de hocher la tête tout simplement avant de passer la porte de service.
Et alors qu’elle traversa le couloir en croissant quelques collègues qui se mettaient en marche pour préparer les choses, ne manquant pas de les saluer au passage, car même si c’était une petite rebelle, elle était quand même polie la petite demoiselle hein ! Tandis qu’elle continuait sa traverser du couloir en finissant par arriver dans le bar, Rubis se prépara mentalement quand elle continua son chemin vers le bureau de leur patron. Une fois devant la porte du bureau, la demoiselle soupira doucement en jouant avec son collier autour de son cou avant de toquer à la porte, entendant aussitôt la douce voix de son patron qui se voulait mielleuse en invitant à rentrer, ce qu’elle fit en pénétrant enfin dans le bureau en croisant sa tête des bons jours tout sourire, contrastant avec le visage non-souriant de la demoiselle.
« Bonsoir Monsieur… Il parait que vous vous voulez me parler ? »
« C’est exact ma petite Rubis ! J’ai une proposition à te faire ! »
« … Ha ? »
« Tu te souviens de ce que je t’ai parler les dernières fois ? J’aimerais savoir si tu y as réfléchit ? »
« … Réfléchit ? »
Le voyant hocher de la tête, Rubis soupira doucement par le nez amusé avant de répondre de rire doucement en secouant la tête à la négative.
« Sérieux ? Vous vous foutez de moi ? Vous avez pas compris quand je vous ai dis que je ne voulais pas de votre merde ?!? »
« Mais pas du tout ma petite Rubis, je comprend tout à fait que tu as pu être surprise c’est normal ! Mais tu sais, pas mal de tes collègues en font des extras, ça leur donne de l’argent en plus puis ça leur permet de rencontrer du beau monde aussi et… »
« J’en ai rien à cirer de rencontrer qui que ce soit et gagner plus d’argent ! C’est non, ok ? Nada, rien ! »
« Allons allons ma petite Rubis, calme toi… Tout cela est tout à fait normal et ça peut être une chance pour toi de… »
« Une chance de faire le tapin sous couvert ?!? »
Elle éclata de rire tellement c’était ironique, venant à se tenir la tête en secouant la tête tant les paroles de son patron étaient ridicules et pathétiques à ses yeux. Mais le patron voyant son employée ne voulant toujours pas coopérer, se releva pour s’approcher vers, venant à poser ses mains sur ses épaules avec calme et un grand sourire affiché. Ce geste tout comme son approche fit perdre son rire à la demoiselle qui le regarda en le fusillant du regard, la mâchoire serrée en se demandant ce qu’il faisait là.
« Ma petite Rubis, allons… C’est tout à fait normal ce genre de demandes dans nos milieux… Puis tu sais, je suis un patron qui veille quand même sur mes employés, je vous envois pas avec n’importe qui… Et puis, tu pourrais au moins essayer avant de dire non hein ? Après tout, j’ai été gentil avec toi, tu peux bien l’être avec moi hein ? »
Rubis se retenait de l’interrompre et de s’énerver, elle serrait ses petits poings au rythme de sa mâchoire qui se desserrait et se resserrait au fur à mesure que son patron lui parlait en souriant, caressant ses épaules avec bienveillance tout en lui sururrant ses paroles si avenantes comme il essayait de lui faire croire. Elle réussissait à garder son calme malgre qu’elle bouillonnait sur place, mais elle éclata quand son patron vint lui caresser la joue avec douceur, lui faisait ouvrir de grands yeux et lever sa main qu’elle lui colla directement dans la tronche, l’envoyant valser sur son bureau tandis qu’elle se mit a pester.
« Posez pas vos sales pattes sur moi espèce de… ! Enfoiré va ! Va te faire foutre avec tes extra de merde, je t’ai dit non, je suis pas ta pute ! »
Toute colère et a raison, Rubis tourna les talons et sortit du bureau furibonde, sans vraiment regarder en ouvrant la porte, avant de se retrouver face à des collègues qui étaient là devant, a écouter « discrètement » aux portes, la faisant cligner des yeux plusieurs fois abasourdis.
« Hein ?!? Que… Quoi ?!? Nan mais ça va bien vous aussi ?!? Vous avez payez le ticket d’entrée pour le spectacle ?!? »
Fusillant ses collègues du regard en croissant les bras en les regardant, tandis que son patron se relevait derrière en regardant se qui se passait devant son bureau tout en se frottant à joue, il jeta des regards noirs aux écouteurs de portes tandis que la jeune femme fonça dans le tas pour sortir de ce bureau des enfers. Ses collègues s’écarterent pour la laisser passer, tout penauds et cons d’avoir été pris sur le fait à écouter, et alors qu’elle passa entre eux et retrouva le couloir, elle marcha tellement vite qu’elle se prit dans un pli de tapis sur le sol mal mis, la faisant donc chuter et tomber en avant, s’apprêtant à se casser la figure et ne pouvant pas se rattraper. Bon bah tant pis, on ferme les yeux et met les mains en avant en espérant limiter la casse…. À moindre d’un miracle qui sait.
-
Les mains propres mais égratigné et rougis par l'altercation, Karl se recoiffait donc au coté du Barman qui n'en menait pas loin. Il déroula ses manches, les boutonnant de nouveau proprement avant de défroisser sa chemise avant de se rendre compte qu'elle était taché. Il grogna quelque peu de fatigue de cela, devant donc partir se changer avant que la soirée ne commence, Mais, son regard fut attiré par le fait que la moitié du personnel c'était amassé dans le couloir menant au bureau du patron du bar.
" Bande d'idiot" [/color]
Dit-il doucement en hochant la tête négativement, les voyant tel des papillons de nuit inexorablement attiré par la lumière des ragots pour pimenter un peu leur propre vie morne, voir inutile. Il sorti ensuite de derrière le comptoir pour se diriger vers le vestiaire, devant passer prés du troupeau de badot avant de voir, sortant en trombe et vociférant contre tout le monde, la jeune Rubis, qui comme il le pensait, était allé voir le patron, envoyant chier les autres employé qui fuyait tel des poules à qui ont courait après sous son, arrivé. Là, elle passa devant lui, quand elle se prit les pieds dans le tapis, le laissant la voir se lancer dans une chute pour embrasser le sol. Karl tendit son bras en réflexe sous elle, venant la saisir juste au dessus de ventre et juste en dessous de la poitrine.
Son bras lui faisait mal en cette instant, la douleur des coups et les muscles de ses avant bras crispé venant être attisé en cet instant, attendant qu'elle se redresse pour la lâcher. Il n'en dit pas mot, lui lançant simplement un regard pour voir si elle n’allait pas retomber, puis, repartis au vestiaire pour changer sa chemise taché de quelques goutte de sang, cela ferait mauvaise image pour le bar si les clients qui allaient arriver voyait ça. Une fois changé, la journée, ou plutôt la soirée pouvait commencer, pour le meilleur comme pour le pire.
-
Elle s’y attendait à la chute, elle s’y était préparer même, fermant par réflexe ses yeux et tendant ses bras en avant pour ne pas trop se faire de mal et mieux supporter la chute. Quand soudain elle sentit quelque chose la réceptionné, l’attrapant au niveau de la taille juste entre la poitrine et le ventre. Rubis ouvra immédiatement les yeux en se rendant compte qu’elle avait été stopper dans sa chute, clignant plusieurs fois les yeux devant elle avant de les reporter sous elle pour y voir un bras dont elle suivit la ligne pour retrouver du regard son propriétaire. Rougissant très légèrement en voyant qui l’avait rattraper mais aussi à cause de la situation, la demoiselle se redressa presque comme un diable sortant de sa boîte, clignant plusieurs fois des yeux en regardant celui qui l’avait sauvé d’une embrassade non-désiré avec le sol.
« Heu… Je… M-merci et désolée… »
Balbuta-t-elle un peu gênée en hochant la tête pour remercier Karl, avant de le voir partir pour filer vers les vestiaires. Elle resta plantait là quelques secondes, debout au milieu du couloir, pendant qu’il partait, avant de remarquer au loin qu’il semblait avoir des taches de sang sur sa chemise, venant à la faire se questionner sur le fait qu’il s’était peut-être blessé et sans imaginer à la réelle origine.
Et pendant qu’elle était resté planter là, que certains de ses collègues avaient pris la poudre d’escampette en l’entendant et d’autres étaient restés près de la porte du patron en la regardant, Rubis reporta son regard vers eux en clignant plusieurs fois les yeux avant de rougir légèrement de nouveau de gêne par la situation.
« Qu’est-ce qu’il y a ? Vous voulez ma photo ?!? »
Ni une ni deux après avoir pesté en fronçant les sourcils, la demoiselle reprit sa route, calmement cette fois et en faisant attention où elle marchait, en prenant soin avant tout ça de remettre bien en place le tapis défait en venant s’agenouiller pour être sur que ça soit bien fait et qu’il n’y ait plus d’accidents de ce genre. Et une fois son chemin fait pour se diriger vers le bar récupérer son plateau et faire les dernières vérifications en salle pour être sure que tout était nickel avant l’ouverture du bar, la soirée et le travail purent enfin commencer, tranquillement comme d’habitude pour un bar, les serveurs et serveuses courant partout pour servir les clients qui arrivèrent de plus en plus nombreux comme très souvent.
Mais alors que le service battait son plein après quelques heures après le commencement, Rubis put apercevoir son patron au loin faire ses apparitions auprès de ses clients VIP, tout sourire et riant gênée quand il montrait sa joue. La jeune albinos esquissa un petit sourire en coin à cause de ça, se demandant bien quelle histoire il inventait pour justifier cette trace. Mais à un moment elle croisa son regard, le voyant tout sourire en la regardant et elle, bah elle venait de perdre son petit sourire rien qu’à sa vue, avec en prime un frison dans le dos qui lui vint d’un coup.
Et afin de ne plus le regarder et quitter cette drôle de situation, la demoiselle tourna les talons en regardant ailleurs, retournant s’occuper de ses clients tout sourire en bonne serveuse qu’elle était. Puis après un petit moment encore à travailler en salle ainsi, elle décida de se sauver prendre une pause, signalant à quelques collègues qu’elle allait en pause avant de déposer son plateau au bar, se sauvant ensuite dans les couloirs pour se diriger vers la porte de service et sortir enfin respirer de l’air frais, mais surtout fuir tout ce bruit et ce regard de son patron qu’elle ne pouvait plus supporter et qui la mettait terriblement mal à l’aise ce soir. Une fois dehors, elle souffla un bon coup et alla se poser contre un mur, dos au mur, se laissant doucement glisser contre celui-ci pour s’asseoir doucement sans s’assoir, voulant juste être accroupie quelques instants pour se détendre et se reposer.
-
Il n'avait pas vraiment réagit à son remerciement, il avait juste continuait son chemin jusqu'au vestiaire pour se changer avant de démarrage de la soirée, puis, quand tout fut bon et qu'il était de nouveau présentable, il partit vers l'entrée du bar pour s'installer et attendre le début des hostilité. Et la soirée battait son plein, il y avait du monde pour un endroit que Karl trouvait ridicule, mais, en meme temps, ses goûts n'était pas très proches des gens de ce monde et ça il le savait.
Accepter, refuser des gens, ne serait-ce qu'en les regardant, en devinant leur personnalité, leur façon d’être, ou juste parce que la tête de certain lui revenait et d'autre au contraire. Des prises de tête aussi, avec les gens qui était refusé, surtout ceux ayant un peu trop bu, voulant en découdre avant d’être rapidement calmé par Karl et son collègue de boulot. Il y avait aussi ceux qui avait réussi à passé et qui causait des problème à l’intérieur du bar, qu'il fallait virer sans plus attendre. En soi, c’était un travail qui occupait, un travail qui ne laissait pas le temps de se préoccuper de l'heure.
D'ailleurs, en parlant d'heure, après tout cela, il était temps pour lui de faire une pause, laissant son collègue seul un instant. Il passa par l’intérieur du Bar, puis, ressorti par la porte de service pour se retrouver dans la ruelle qui, en cet heure, paraissait si silencieuse comparé aux alentour. Tournant la tête, il put voir que quelqu'un était là aussi et, regardant avec plus d'attention, c'était La jeune Rubis, assise contre le mur du Bar
" Dur soirée ? "
Dit-il d'une voix grave et posé, voyant bien qu'elle avait l'air au bout de sa vie. Il glissa ensuite ses mains dans ses poches tout en restant debout, ne s'attendant pas forcement à une réponse et, se mettant à regarder ailleurs après sa question.
-
Cela faisait quelques minutes que Rubis avait pris sa pause, profitant de cet instant pour souffler un peu et essayer de chasser ce qui la contrarier de l’esprit. Alors qu’elle se demandait qu’est-ce qu’elle allait devoir faire pour se débarrasser de son patron avec ses propositions malaisantes, elle ne put s’empêcher à un moment de se demander si tout cela était normal, puisqu’il lui disait que pas mal de ses collègues faisaient ça, est-ce qu’après tout c’était pas elle qui n'était pas normal de refuser cela ?
Soupirant en laissant tomber sa tête contre ses genoux, elle pesta intérieurement en se disant que non tout cela n’était pas normal, qu’il fallait qu’elle trouve un moyen de lui faire comprendre qu’il pouvait toujours courir et aller se faire voir avec ses extras, et qu’elle allait donc devoir encore l’affronter ce soir. Mais à part l’envoyer valser et lui en collait une, elle ne voyait pas trop comment faire pour lui dire non.
Alors qu’elle se perdait dans ses pensées, la jeune albinos n’entendit même pas le bruit de la porte de service quand celle-ci s’ouvrît pour indiquer que quelqu’un prenait sa pause à son tour. Mais ce qui la ramena à la réalité et la fit sortir de ses pensées était une voix lointaine qu’elle entendi, une voix qu’elle reconnaissait et qui attira tout de suite son attention, relevant sa tête de ses genoux et reportant son regard en direction du son pour regarder celui qui lui avait donc poser une question.
« On peut dire ça… Et vous ? »
Repondit-elle dans un petit soupir d’une voix fatiguée, avant d’esquisser un petit sourire en ayant une voix douce, regardant Karl regarder ailleurs en se demandant par curiosité qu’est-ce qu’il pouvait bien regarder.
« Pas trop compliqué pour vous à l’entrée ce soir ? »
Demanda-t-elle avec curiosité et pour commencer à faire un brin de causette avec son collègue, enfin si celui-ci avait envie de discuter pendant sa pause.
-
Karl regardait le foutoir que son altercation avait laissé dans la ruelle, poubelle renversé, déchets éparpillé et piétiné, bref, de la saleté en somme.
" Comme d'habitude."
Répondit-il à sa première question, ne voyant pas l'utilité de parler de cette évènement qui s'était déroulé avant le début de son service et qui surement se répercuterais plus tard, mais pour le moment, il s'en fichait. Et là, dans le tas de déchet trainant, il put voir que l'un des idiots de tout à l'heure avait oublié quelque chose d’intéressant. Il marcha donc de quelques pas avant de se baisser pour le ramasser, venant sortir une batte de base ball de derrière un sac poubelle, commençant à la regarder, cherchant si elle était fendu ou non avant de la baisser, la tenant en main alors qu'il entendait la demoiselle lui poser une nouvelle question
" Pas plus que d'habitude, toujours son lot d'idiot, toujours son lot de personnes qui se crois être l'acteur principale de ce monde."
C'est l'impression que lui donnait beaucoup de gens dans ce monde, toute ses personnes qui se croient supérieur, qui pense que tout doit être fait pour eux, juste parce qu'il l'ont décidé et pas parce qu'il l'ont mérité ou alors qu'ils ont travaillé pour. Il tourna de nouveau le regard vers Rubis, venant lui dire
" La prochaine fois, un bon coup de pied dans les bijoux de famille du patron devrait le faire."
Il savait très bien pourquoi elle faisait cette tête et était assise contre ce mur, il n'y avait pas besoin d’être un devin pour cela, alors, il lui donna la solution principale.
-
Tout en écoutant son collègue lui répondre que tout était comme d’habitude, Rubis ne le lâchait pas du regard en regardant dans la direction où il regardait, pouvant admirer au passage le bordel qu’il y avait ici, se faisant la remarque intérieurement que ce n’était pas comme ça tout à l’heure.
Évidemment qu’elle était curieuse de ce qui avait pu se passer pour ce soit ainsi, laissant donc son regard quittait un moment le dos de son collègue qu’elle zieuter, histoire de regarder un peu autour d’elle. Remarquant des choses traînaient par-ci et là, voyant même quelques traces de sang sur le sol qui lui fit hausser un sourcil interrogateur, venant à se demander si tout ça n’était pas le résultat d’une bagarre. Tandis qu’elle admirait les tâches de sang au sol, cela lui rappela qu’elle avait vu quelques taches de sang sur la chemise du videur qui l’avait sauvé de sa chute tout à l’heure, reportant donc son regard vers lui en le voyant entrain d’inspecter quelque chose plus loin alors qu’elle l’admirait de dos faire ses affaires.
Elle se demandait si tout cela avait un lien, et si oui est-ce qu’il était blessé, mais ne voulant pas jouer les demoiselles qui se mêlent de ce qui ne la regarde pas, elle garda cette pensée pour elle pour le moment, venant lui demander à la place si la soirée ce soir n’était pas trop compliqué pour lui à l’entrée. Et en entendant sa réponse, elle ne put s’empêcher de souffler doucement amusée.
« Haaaaa nos fameux amis qui sont le centre du monde ! Quoique… Vu le comportements de certains, je dirais plutôt qu’ils pensent être le centre de l’univers mmmh… ha ! »
Lâcha-t-elle en soupirant avec amusement, riant même doucement avec légèreté en secouant sa tête, retrouvant un tant soit peu de joie et le sourire en parlant de ces drôles de gens.
Cela lui avait fait du bien de rire un peu, lui permettant d’oublier ce patron qui était un réel problème pour elle pendant quelques instants, avant que Karl ne lui en reparle en la regardant, la faisant cligner les yeux plusieurs fois avant de rire avec légèreté de nouveau en secouant la tête.
« Bonne idée Monsieur Neumann ! Je n’y ai pas songé tellement j’étais en colère tout à l’heure… Mais j’en prend bonne note pour la prochaine fois ! » répondit-elle avec douceur en arrêtant de rire, fermant les yeux quelques instants en les rouvrant en regardant le sol « Reste plus qu’à espérer qu’il ne soit pas maso et qu’il aime ça… Sinon je suis mal ! »
Termina-t-elle par ajouté en riant aux éclats, secouant la tête tant c’était cocasse ce qu’elle venait de dire.
« Auriez-vous d’autres suggestions à me proposer par hasard au cas où ? »
Demanda Rubis ensuite en reprenant un ton plus calme mais amusée, tout en passant une main dans ses cheveux, sa tête nue car elle avait laissé sa casquette aux vestiaires, regardant de nouveau son collègue avec un joli sourire sur ses lèvres qu’elle avait gagné à force de rire à cause de leur conversation.
-
Être le centre de l'univers mmm ? Karl se disait que les gens pouvait bien tenter, mais cela ne fonctionnerait pas. Même lui, alors qu'il était encore à l'apogée de sa vie social, savait qu'il y avait bien plus haut que lui, ne serait-ce que dans son propre monde, alors maintenant qu'il savait la vérité sur l'univers, il savait qu'il n'était qu'une grain de sable sur une plage à perte de vue, mais un grain de sable qui allait se loger dans le plus d’œil qu'il le pouvait.
Après cela, il lui avait donné une autre solution pour résoudre sa prise de tête avec leur patron. Au moins, cela lui avait tiré un rire et avait de nouveau placé un sourire sur le visage de la demoiselle qui n'était pas pour lui déplaire. Quand elle se mit à se demander ou plutôt à espérer qu'il ne soi pas du genre à aimer la douleur, Karl, ne put retenir un léger rire, et ne se fit pas prier pour répondre à cela
" Non, de ce coté là, je vous rassure, il n'aime pas ça."
L'avantage d’être une pièce rapporté au tableau de se bar, d’être l'homme de main de personne au dessus de lui, c'est qu'il en savait beaucoup sur ce dernier, plus que les employer et il avait donc put voir que, quand quelqu'un lui était supérieur, il n'en menait pas large du tout. Il s'approcha un peu plus de Rubis, puis, vint lancer en l'air la batte pour la faire tourner, venant la rattraper de façon a tendre la poignée en direction de la serveuse
" Première solution, à la prochaine prise de tête, vous le menacez avec ça, un petit coup dans les tibia pour appuyer vos propos. Seconde solution, vous le menacez par la voie légal, harcèlement etc."
Il n'était pas du tout convaincue par cette deuxième solution, que ce soit par rapport au policier qui n'allait sûrement pas faire grand chose, et donc l'effet de peur que pourrait recevoir leur patron, serait ridicule. Mais là, il eut une autre solution en tête, venant la regarder dans les yeux avant de lui dire
" Il y a aussi une troisième solution. Dit-il lui que vous êtes déjà prise."
-
Après avoir rie lâchant qu’elle n’espérait pas que leur patron aime qu’on lui fasse du mal, Rubis haussa un sourcil en écoutant son collègue rire également, ne pouvant s’empêcher de le regarder discrètement en se disant qu’il était vraiment séduisant. Mais tout en le zieutant, la demoiselle eut le plaisir de pouvoir l’entendre parler de nouveau, lui arrachant un nouveau petit rire tout en secouant la tête avec amusement.
« Ho, c'est vrai ça ? Vous avez peut-être déjà expérimenté ce coup-là sur lui alors ? »
Demanda-t-elle en plaisantant, avec un joli sourire taquin et un regard amusé en regardant Karl. Puis Rubis put le voir ensuite revenir vers elle après qu’elle lui ait demandé s’il avait d’autres suggestions à lui faire, tout en le regardant jouer un peu avec une batte de baseball dans les mains. Et quand il tendit ensuite le manche de la batte tout en lui répondant, la jolie albinos haussa de nouveau un sourcil en le regardant, riant ensuite avec légèreté en se relevant doucement.
« C’est une première solution forte intéressante je l’avoue et j’imagine bien dissuasif… Après, je me demande bien comment cacher ça, sous mes vêtements ça va être compliqué. »
Dit -elle en riant amusée, enfin debout et venant poser ses doigts sur la batte de baseball tout en la regardant quelques secondes, son regard se perdant un instant ailleurs.
« Quant à la seconde solution, j’ai de forts doutes sur le fait qu’elle lui fasse peur ou même qu’elle puisse marcher… Surtout qu’il semblerait qu’on est quelques policiers dans la clientèle, j'imagine qu’ils sont surement au courant de ce qui trame ici… »
Soupirant doucement en fermant les yeux rapidement, avant de les rouvrir et relever ses yeux vers Karl, croisant directement son regard dans lequel elle plongeait tout en l’écoutant attentivement, toujours un sourcil en l’air avant de cligner plusieurs fois des yeux en ne le quittant pas des yeux, son coeur battant légèrement en cet instant.
« Lui dire que je suis déjà prise en troisième solution ? Mais par qui s’il le demande ? Je… Vous… Vous croyez vraiment que ça pourrait marcher et lui dissuader d’arrêter avec tout ça si je lui dis ça ? »
Demandant-t-elle d’une petite voix en le regardant bien droite face à lui, ses doigts continuant à se balader sur la batte de baseball sans vraiment faire attention où elles les dirigeait, où ils allaient et ce qu’ils allaient toucher à force de les faire courir sur le bois de la batte.
-
Sous cette question sur le fait qu'il ait put tester les gout du patron envers la douleur, il ne put que hocher la tête négativement, répondant sincèrement
" Non, mais je l'ai déjà vu bégayer pour ne pas perdre ses dents."
Dit-il comme si cela était tout a fait normal, comme parler de faire ses courses, ou encore se brosser les cheveux. Ensuite, pour les nouvelles solutions qu'il lui proposa, elle était plutôt attiré par la première, chose dont il ne doutait pas vu son habitude assez explosive au travail, comme elle avait put le montrer ne serait-ce que ce soir avant le début du service.
" Qui vous a dit de la cacher ? "
Répondit-il simplement. Cacher quelque chose offre un effet de surprise, mais le montrer offre un effet d'imagination, un facteur peur et vu que leur patron en avait trop au gout de la jeune femme, cela serait parfait dans cette situation. Pour la seconde solution, elle pensait la même chose que lui, mais cela ne faisait rien perdre à part un peu de salive que de le proposer. Pour la troisième, il s'amusa de voir la réaction qu'elle eut à cette proposition. Le clignement de ses yeux, ses sourcils figé en l'air. Elle se mit alors à donner bien des questions sous cette proposition, ce qui l'amusa beaucoup, puis, il lui répondit
" Il est plutôt du genre frileux envers la gente masculine, il a l'impression que tout celle qui travail pour lui son sa propriété, donc savoir que quelqu'un d'autre se trouve sur son territoire, ça va le chambouler, surtout si ce dernier à eut plus que ce que lui a put avoir. S'il questionne, donnez soi un travail important ou un travail très physique à votre " homme " et ça devrait suffire."
C'est sous ses mots qu'ils put sentir la douceur de ses doigts fin toucher les siens, mais, il n'eut pas vraiment le temps d'y réfléchir, car, la porte de service s'ouvrit avec vitesse, laissant apparaitre une Sakura quelque peu tendu, qui resta légèrement hébété un instant avant de prendre la parole
" Heu ... le ... le patron veux te voir Karl, il y a du monde apparemment."
Il releva un sourcil, intrigué par cela, puis, tourna une dernière fois son regard vers Rubis avant de lui dire
" Je vous laisse y réfléchir."
Il lâcha ensuite la batte, la lui laissant alors qu'il se mit à marcher pour rentrer à l’intérieur du bar, passant ses mains sur sa chemise pour vérifier que tout était propre et en place, voulant savoir ce qui l'attendait la bas.
-
En entendant Karl lui répondre qu’il n’avait jamais expérimenter le fait de savoir si leur patron aimait la douleur mais avouant simplement qu’il l’avait vu flancher de peur, Rubis souffla doucement d’amusement par le nez en riant un peu, amusée par cela tout en se demandant avec curiosité intérieurement la tête que devait faire ce type dans ces moments-là, la faisant un peu plus rire quelques secondes.
Une fois relever et face au videur, Rubis avait écouté attentivement la première suggestion de Karl, venant à en toucher la batte tout en se demandant comment elle allait cacher cela. Et quand elle l’entendit lui demander qui lui avait demandé ça, la demoiselle haussa un sourcil interrogateur en le regardant, penchant même doucement la tête en ne le quittant pas des yeux.
« Je… Vous pensez que… Cela serait mieux de ne pas la cacher et d’aller discuter avec directement en main ? » elle fit une petite moue réflexive en se pinçant les lèvres « Mmmmh… La voir le fera cogiter et lui fera avoir des tas d’idées en se demandant qu’est ce que je vais faire avec ça surement… Mmmh… Bon, pas de cachette pour la dame alors ! »
Dit-elle en finissant par un nouveau rire léger, amusée par cela tout en continuant à caresser la batte de bassball avant de partager son avis avec lui sur la deuxième solution qui lui paraissait perdue d’avance. Mais la troisième solution l’avait fort étonnée, la faisant cligner des yeux pendant que son cœur se décida de lui jouer un peu de batterie, partageant donc ses interrogations avec son collègue.
C’est avec grande attention que Rubis écouta la réponse de Karl à ses interrogations, la faisant hocher doucement de la tête en l’écoutant, tandis que ses mains jouaient sur le bois de la batte mais aussi sur la peau des grands doigts du videur. Son coeur tambourinant un peu plus dans sa poitrine à ce contact auquel elle n’y fait pas le lien pour le moment, la jolie albinos n’eut point le temps de reprendre la parole que Sakura apparut de nul part car elle cherchait Karl.
Reportant son regard quelques instants sur la jeune femme qui vint les interrompre, les yeux de Rubis revint vite se poser sur Karl en l’entendant parler. Hochant la tête à ses mots en esquissant un petit sourire, la demoiselle serra délicatement la batte de bassball entre ses mains.
« Bien… Merci… »
Dit-elle d’une douce voix en esquissant un petit sourire, regardant donc le videur partir ensuite et disparaître derrière la porte de service, avant de reporter son regard vers Sakura qui semblait bien tendue, inquiétant la demoiselle tout de même.
« Tout va bien ? »
« Je… Je ne sais pas… »
Haussant un sourcil intriguée, Rubis se demanda ce qui pouvait bien mettre sa collègue dans cet état, elle qui était du genre à avoir toujours l’air sûre d’elle, là elle semblait inquiète mais pour quelle raison ? L’albinos l’ignorait mais elle se disait qu’ils le seraient tous bien assez tôt.
Regardant la batte de bassball entre ses mains, la demoiselle la caressa du bout de ses doigts de ses mains quelques instants, avant de fermer les yeux et les rouvrir en se dirigeant vers la porte de service, histoire de rentrer dans le bar et de reprendre le travail. En passant à côté de Sakura, Rubis lui jeta un regard un peu inquiète de la voir comme ça, venant poser une de ses mains sur son épaule en lui faisant un petit sourire comme pour lui dire « ça va aller », avant de pénétrer à nouveau dans le bar pour reprendre donc le travail mais surtout savoir ce que la suite de la soirée allait leur réservait à tous, la faisant serrer un peu plus ses doigts sur le manche de la batte de bassball en ayant un mauvais pressentiment sur la suite.
-
Karl s'amusa de sa réaction à sa proposition, voyant que cela l'amusait elle aussi à l'idée de faire frémir leur patron de peur. Mais tout amusement à une fin et, la fin de la pause fut sonné par Sakura qui vint le chercher car, apparemment il était attendu.
Il sentait bien que cela n'amenait rien de bon, mais, avait-il vraiment le choix ? Il avait donc prit congé du groupe, puis, avait rejoint le carré VIP du bar, un coin un peu à l'écart, au canapé plus luxueux et en cercle, comme fermant la zone. Là, plusieurs personnes en costard buvait et patienté tranquillement, tandis que le patron de la boite leur faisait de la lèche et n'était pas du tout à l'aise, cherchant à les satisfaire autant qu'il le puisse. Karl entra donc dans le carré en question, il les connaissait tous, ils étaient tous des Yakuza, mais, parmi eux, il reconnu surtout quelqu'un qu'il avait vu il y a quelques heures.
Il s'inclina respectueusement devant son supérieur, pas le patron de la boite, son vrai supérieur, puis dit
" Vous m'avez demandé ? "
Là, le plus âgé se redressa un peu dans le canapé en cuir, entouré de jeune femme avant de prendre à son tour la parole, une voix sérieuse et sombre
" Karl, Karl, il paraîtrait que tu connais ce jeune homme ici présent. Est-ce vrai ? "
Le videur tourna son regard vers la personne en question, c'était celui qu'il avait viré la veille et avec qui il s'était battu tout à l'heure. Ensuite, il regardait de nouveau vers son supérieur
" Oui je le reconnais."
Sous ses mots, son supérieur vint prendre un verre, ses mains tatoué jusqu'au première phalange, amenant une coupe de champagne jusqu'à ses lèvres, finissant par reprendre la parole, toujours sou un ton calme, mais qui sonnait si fort pourtant.
" Tu peux donc m’expliquer pourquoi tu à agressé le neveux de l'un de nos membre ? "
Oh il pouvait voir le sourire narquois du jeune homme en question, ce dernier savait que sa oncle était bien placé dans ce monde là et cela lui faisait pousser des ailes. Karl savait qu'il était dans un pétrin plutôt bien enlisé, mais répondit toujours pareil, venant faire une révérence à son supérieur avant de répondre
" Pardonnez moi de ne pas avoir su cela plus tôt, mais ce fait n'aurez rien changé à ce qu'il s'est passé hier soir."
Cet réponse eut l'effet d'une goutte de sang dans un aquarium remplis de requin, faisant tourner tout les regard sur lui. Là, le ton du supérieur devint beaucoup plus ferme, montrant bien que la réponse ne lui plaisait pas et que cela allait vite mal se passer pour le videur.
" Et pourquoi cela hein ? "
Demanda t-il donc en se penchant vers le videur, les bras appuyé sur ses jambes, attendant la réponse qui ferait sûrement tomber sa sentence. Là, Karl tourna son regard droit vers le plus jeune et répondit sans détour
" Parce que ce petit con se croit tout permis, je les laissé rentré malgré sa tenue négligé, il a consommé au bar jusqu'à s'en prendre à d'autre client ainsi que des serveuses, donc je les viré, puis, il est revenu tout à l'heure pour essayer de régler mon compte avec sa petite bande d'incapable, mais il n'y ait pas arrivé. "
Les regard était incrédule, inquisiteur, se regardant entre eux, tandis que Karl venait relever ses manches. Là, ont pouvait voir des tatouages sur ses avants bras, descendant juste avant que les manche de chemise ne se finisse. Malgré cela, on pouvait y voir des contusions fraîche et des marque de bleu. Bien sûr, cela faisait beaucoup de preuves de son cotés et il avait déjà montré son efficacité auprès de la famille, mais, il restait un étranger, alors ses mots avaient moins de poids, il le voyait et le savait, alors, voyant que le patron du bar préférait fermer sa bouche, il le regardait, puis dit
" Vous n'avez qu'à appeler Sakura et Rubis, elle en ont fait les frais de lui et de ses amis, pas vrai ... Patron ? "
-
Le patron du bar n’avait plus pipé un seul mot dès que le videur qui fut appelé arriva, se contentant d’assister en silence à l’échange qui se passa entre le chef des Yakuzas et Karl. L’ambiance était lourde, sombre voire glaciale lors de la discussion, pourtant un sérieux et calme exemplaire y régnait des côtés des deux interlocuteurs, s’en était intimidant et impressionnant pour ceux qui admiraient la scène. Mais lorsque Karl campa sur ses positions en parlant de la situation du jeune homme, tout le monde en fût bouche bée, subjugué par le sang-froid du videur qui ne lâchait pas le morceau. Et quand il rajouta à cela qu’il y avait des demoiselles qui pouvait témoigner du comportement du fautif qui était venu jouer sa victime, les hommes autour de la table fut sous le choc presque, s’échangeant des regards entre-eux tout en regardant le jeune homme à leurs côtés qui ne faisait plus trop le malin. Puis, quand le videur se tourna vers le patron du bar pour lui suggérer d’appeler Sakura et Rubis qui avaient eu affaire au drôle d’oiseau, le patron n’en mena pas bien large, déglutissant légèrement avant de faire signe à un serveur qui passait par là.
« Haku ! Va me chercher Sakura et Rubis tout de suite ! »
Le jeune serveur aux quelques tatouages et piercings se retourna, bugguant légèrement sur les derniers mots de son patron, avant de hocher vivement la tête et se sauver chercher ses collègues. Quittant donc le carré VIP pour repasser dans la salle, Haku cherchait les demoiselles du regard, se demandant bien où elles étaient, avant de les apercevoir au loin revenir du couloir de la porte de service. Et ni une ni deux, il alla à leur rencontre directement, son plateau sous le bras et vint interpeller les deux demoiselles.
« Sakura ! Ru… Rubis ! » un léger bug sur le coup avant de tousser et se reprendre « Le patron veut vous voir au carré VIP. Je ne sais pas pourquoi mais ça a l’air sérieux vue sa tête… »
Les deux serveuses se regardèrent en clignant des yeux, Sakura avec une mine pas rassurée et Rubis intriguée, se demandant toutes deux ce qui se passait dans leurs petites têtes. Reportant ensuite toutes deux le regard vers leur collègue, l’albinos hochant la tête alors que celle à la chevelure rose déglutissa doucement avant de soupirer.
« Bien… On y va alors. Merci Haku. »
« Heu… Ouais merci… » soupirante une nouvelle fois « Je le sens mal cette histoire… »
« De rien… Vous inquiétez pas, je pense pas que ce soit pour des extras, ça a l’air d’être autre chose… Faites attention à vous quand même. »
« J'aurais préférée les extra perso… »
Rubis haussait légèrement un sourcil en entendant ça en regardant sa collègue, avant de fermer les yeux en soufflant par le nez pour ne pas faire de commentaires, tapotant l’épaule de Sakura avant de saluer de la tête Haku et se mettre en marche en direction du carré VIP. Une fois arrivée devant, les deux serveuses entrèrent à l’intérieur et cherchèrent du regard leur patron, Sakura faisant parfois des coucous en souriant à quelques clients avec qui elle avait l’habitude de « travailler », faisant souffler par le nez l’albinos qui ne comprenait décidément pas tout ça.
« Mes petites Sakura et Rubis ! Venez ici ! »
Entendant la douce voix mielleuse mais stressée de leur patron, les demoiselles reportèrent leurs regards vers lui, le voyant un peu plus loin dans un cercle en leur faisant signe de la main de venir les rejoindre. Et les serveuses s’exécutèrent donc, venant à rejoindre le groupe, pouvant y voir leur patron, Karl et tout un tas de gens qu’elles regardèrent rapidement avant de les saluer poliment à la japonaise en s’inclinant, disant toutes deux « bonsoir » en coeur, une avec une voix douce et l’autre un peu tendue.
« Mes chéries ! Est-ce que par hasard vous connaissez ce jeune homme ? »
Commença le patron du bar pour introduire la discussion, leur montrant respectueusement le jeune homme à la table, avant de laisser le patron des yakuzas reprendre la danse quand les demoiselles auront répondus à la négative ou l’affirmative à la chose, espérant au fond de lui que tout ça finira pas mal car sinon ça allait barder pour lui encore. Et c’est avec des yeux bien ouverts que les deux serveuses regardaient le jeunot en question, clignant plusieurs fois des yeux avant de répondre.
« C’est le gars d’hier soir qui… Nous a un peu embêté avec ses copains
Lacha en premier Sakura, riant un peu nerveusement, déglutissant ensuite car elle était encore plus angoissée de voir que c’était des yakuzas à la table, les reconnaissant à leurs tatouages et aussi parce-qu’elle avait eu des extra avec l’un d’eux.
« Un peu embêté… ? » clignant plusieurs fois des yeux en regardant Sakura avant de les plisser, Rubis haussa un sourcil en soupirant « Ce connard n’a pas arrêté de la soirée avec ses chiens galeux de copains de nous mettre des mains au cul ou nous attraper par les hanches ! Il a même essayer de peloter la poitrine de Saki au bar et de nous embrasser en nous chopant par le bras ! Et encore s’il y avait que ça ! »
« Ho… C’était de la taquinerie… Puis c’était pas méchant… »
« … Pas méchant ? Il nous a harcelés toute la soirée et c’est comporter comme un gros connard avec nous ! Je te rappelle que lui et ses copains glissaient leurs sales paluches sur nos cuisses si on s’arrêtait trop longtemps près du bar, y a fallu les faire virer dehors tant ils nous ont emmerder et qu’ils ont même fait chier d’autres clients ! »
Le patron cligna plusieurs fois des yeux en assistant à la discussion des deux serveuses, avant de rire nerveusement en regardant ses clients VIP en souriant gêné de tout ça, voyant bien que Sakura faisait tout pour arrondir les angles mais que Rubis… Avait décidés d’aller en sens inverse visiblement, ce qui risquait de peut être lui attirer des ennuis ou pas, en tout cas, ça l’angoissait bien et il ne faisait pas le malin tout comme le jeune homme assis à la table qui devint blanc comme un linge avec les révélations de sa soirée d’hier soir.
-
Le temps que Rubis et Sakura arrive, le carré VIP avait été plongé dans une ambiance des plus tendu, un silence que même la musique du bar n'arrivait pas à percer. Il y avait des regard échangé entre les yakuza, fusant entre l'accusé et la défense, mais aucun mot, même les extra se trouvant dans les bras des hommes de mains n'osaient faire quoi que ce soit ou dire quoi que ce soit. Karl, restait debout, les avant bras tatoué toujours dénudé, attendant patiemment en silence.
Quelques minutes qui parurent interminable, surtout pour le patron du bar qui n'en menait pas large, passèrent avant que les demoiselles n'arrivent. Après leur salutations, le patron, le vrai, reprit la parole, son ton calme mais strict reprenant la conversation. Sous sa question, se fut Sakura qui répondit en premier. On pouvait dire qu'en cette instant, elle avait tellement cherché à arrondir les angles sur ce qu'il s'était passé qu'elle aurait put rouler dessus. Karl la regardait et il se souvenait pourquoi il avait refuser de faire quoi que ce soit avec elle il y a quelques années, du genre à aimer les ragots, mais à ne pas supporter les conséquences, et surtout, peu fiable pour ce qui est de ne pas tromper son partenaire.
Mais heureusement, il y avait rubis dans le lot, elle qui ne savait pas garder sa langue dans sa poche quand quelque chose lui prenait la tête et d'ailleurs, cela en choqua plus d'un de surprise dans l'assistance, la regardant tous, tandis que le patron du bar grinçait des dents et que le jeune homme était passé de victime à accusé. Sakura, gêné par tout cela, tenta d'arrondir de nouveau les angles mais ça ne passait toujours pas, ce qui amusa beaucoup Karl en voyant Rubis la rabattre de paroles.
Les regard s'échangeaient entre Yakuza, on voyait bien que, encore une fois, les paroles d'une étrangère ne tenait pas trop d'estime dans leur cœur, mais, cela commençait à faire beaucoup, surtout en ajoutant les mots de Sakura qui même lissé au possible, restait une confirmation.
" Suis nous dans le bureau."
Dit alors le chef sèchement en direction du jeune homme, se levant, sans même demander la permission d'emprunter les lieux au propriétaire du bar, tandis que le reste des hommes de mains le suivaient et surveillaient que le jeune homme les suivent. C'est donc sans adresser un mot que tout ce monde parti, laissant une bonne dizaine de minutes flotter avec interdiction à qui que ce soit d'approcher le bureau en question. Karl lui, savait très bien ce qu'il se passait, le jeune homme était en train d'apprendre une leçon sur ce qui arrivait lorsqu'il salissait sa famille, donc, redescendant ses manches de chemise, il se remit en route pour retourner travailler, hochant la tête en passant à coté de Rubis au passage. Après ces dix minutes, le groupe ressorti, donnant une serviette tacheté au patron du bar avant qu'ils ne disparaisse par la porte de service, comme si de rien n'était.
-
Après les déclarations des deux serveuses qui semblaient avoir des avis divergents, mais qui malgré cet opposition confirmaient les dires du videur à propos du jeune homme qui n’était pas blanc comme neige comme il le prétendait, le patron du bar se décomposa en attendant le verdict du vrai seigneur des lieux. Et quand celui-ci se leva en sommant au fautif de le suivre, se dirigeant vers les bureaux avec son équipe, les demoiselles assissent sur le canapé les regardèrent partir sans un mot, tout comme le patron du bar qui ne faisait pas le malin mais qui restait silencieux, Sakura déglutissant avec inquiétude avant de regarder Rubis avec un regard qui disait « tu pouvais pas te taire ? », ce qui fit plisser les yeux de l’albinos qui la zieutait à son tour en soufflant par le nez agacée en lui jetant un regard du genre « puis quoi encore ?!? ».
Tandis que tout ce beau monde s’éloignaient pour régler leur petite affaire, le patron du bar fit un signe aux demoiselles de bouger et reprendre leur service, ce dont elles ne se fit pas prier. Sakura regarda le patron avec un air presque désolée tandis que Rubis détourna le sien, agacée du comportement de sa collègue et laissant ses yeux trainaient un peu au hasard vers le sol, avant de voir les bras du videur et haussait un sourcil, remarquant ses tatouages et coups sur ses avants-bras qu’il était entrain de recouverts. Plusieurs questionnements passèrent dans la jolie caboche de la serveuse, mais elle se les garda pour elle pour le moment, remontant ses yeux vers Karl en le voyant se préparer à partir, le voyant lui hocher la tête avant de les quitter, lui retournant son hochement de tête à son tour avant qu’il ne s’éloigne.
Une fois que le videur s’éloigna des trois personnes restantes, Rubis se retourna vers son patron et Sakura, les salua avant qu’ils ne puissent dire un mot et se sauva elle aussi, retournant en salle pour reprendre son travail. Alors que Sakura s’apprêta à faire la même chose, le patron du bar posa sa main sur son épaule pour la retenir un instant.
« Ma petite Sakura… J’aimerais que tu échanges avec Rubis à propos des extra… Vend lui la chose afin qu’elle accepte, venant d’une collègue ça passera peut être mieux. »
« Bien patron ! »
En parfait petit soldat, Sakura hocha la tête et partis ensuite à son tour, quittant la partie VIP pour retourner en salle reprendre son travail tout en réfléchissant à comment elle pourra aborder sa collègue ce soir au sujet des extras. Quant au patron, il se retrouva seul et attendit le retour des yakuzas, les voyant revenir après une bonne dizaine de minutes, se voyant donner une belle serviettes teintés de belles taches rougeâtres, déglutissant sans dire un mot avant de saluer les hommes qui quittèrent ensuite l’établissement. Une fois seul, le patron fit signe à des serveuses qui passèrent par-là de nettoyer la tablée, avant de filer vers son bureau en soupirant et pestant, en pensant au ménage qu’il allait sûrement devoir faire dedans après tout cela.
La soirée reprit son cours, tous le monde retournant à son poste et travaillant au rythme endiablé au fur à mesure que la nuit avançait, avant de commencer doucement à se calmer, annonçant bientôt la fin du service. Après avoir couru partout comme une déchaînée, Rubis fit une halte au bar, là où elle avait confier la batte de basssball à Saki, allant la voir pour lui signaler qu’elle prenait une pause et aussi pour demander où elle pourra récupérer son joujou avant de partir.
Une fois cette petit mise au point faite, la jolie albinos se dirigea vers le couloir de la porte de service, s’apprêtant à prendre une pause bien méritée après tout ce travail et les émotions de la soirée, ne se doutant pas qu’un instant que la soirée était loin d’être finie et qu’elle allait avoir droit à quelques montées émotionnelles en rab plus tard dans la soirée.
-
Le reste de la soirée fut des plus calme à ses yeux, il n'avait pas recroisé ses collègues, il n'avait rien entendu de nouveau par rapport à cette affaires, alors cela ne pouvait dire qu'une chose, il était tranquille, pour le moment en tout cas. Son service continua donc comme d'habitude, avec son lots d'idiot et d'ennuis, mais sans grand bouleversement, surtout alors qu'il passait le moment de la soirée où plus aucune personne n'arrivaient, mais au contraire, repartaient.
Donc pour lui, c'était la période de la soirée la plus ennuyante, devant simplement attendre et faire attention à ce que personne ne se batte devant le bar en sortant, ce qui arrivait rarement et, malheureusement, cette soirée n'en faisait pas exception. Surveillant souvent sa montre, il en soupira lorsqu'il était enfin temps de prendre sa pause, laissant son collègue seul pour gérer ... rien du tout.
Une fois de nouveau dans l'allée, il put voir que, aujourd’hui, quelqu'un avait suivi son planning et s'amusait à prendre ses pauses en même temps que lui. Il se mit donc à se rapprocher de la porte de service pour la regarder et prit la parole
" Je vais finir par croire que vous me suivez aujourd’hui. "
Dit-il dans un premier temps, s’arrêtant de marcher à quelques mètres d'elle, la regardant toujours avant d'ajouter
" Je suis désolé pour la situation de tout à l'heure et d'avoir dut vous demander votre assistance."
S'il avait put se débrouiller sans témoin, i l’aurait fait, mais là, il n'avait pas vraiment eut le choix et il n'avait pas eut vraiment envie de recevoir un châtiment pour un jeune blanc bec se pensant au dessus de tous.
-
Alors qu’elle marchait en direction de la porte de service, la tête ailleurs tout en étant là, la demoiselle sortit de ses songes en entendant une voix familière, la faisant se stopper devant la porte de service, poignée en main. Tournant légèrement sa tête derrière elle en direction du videur, Rubis esquissa un sourire amusée à cause des mots de Karl, haussant un sourcil en le regardant avec un air taquin au visage.
« Je vais finir par croire la même chose vous savez ? » dit-elle en posant sa main de libre sur ses hanches en penchant la tête, une petite mine soupçonneuse en le regardant « Puis… Qui me dit que vous n’avez pas jeter un œil à mon planning et repérer mes pauses ? Mmmmmh… »
Riant avec légèreté après ses paroles, la jolie albinos redressa sa tête en regardant le videur, reprenant son sérieux en l’écoutant, haussant un sourcil en clignant plusieurs fois des yeux en le regardant, secouant doucement la tête à la négative avant de sourire.
« Ho ? Ne soyez pas désolé, vous avez bien fait au contraire. Ravie d’avoir pu vous aider en balançant ce petit malotru ! »
Termina-t-elle par dire en relevant sa main qui était posée sur ses hanches, levant son doigt en l’air en fermant les yeux avec sérieux en terminant avec une pointe d’humour à la fin dans ses propos, essayant de dédramatiser la situation. Puis doucement, la demoiselle poussa la porte de service, reprenant sa marche pour sortir, se posant à l’extérieur en tenant la porte que le videur sorte aussi.
« Je sais que vous avez une belle vue d’ici, mais croyez-moi, la vue est pas mal non plus dehors. »
Un sourire amusé avec un sourcil en l’air, une voix un peu taquine en s’adressant à Karl, Rubis s’amusait à taquiner légèrement le videur sur la pause de sa marche dans le couloir, attendant qu’il daigne passer la porte de service après ses paroles qui se voulait juste amusante pour le rassurer sur tout ça.
-
Se redressant, bombant le torse, il écoutait la répartis de la jeune albinos, un léger sourire en coin avant de lui répondre pour suivre son jeu
" Peut être que c'est le cas en effet."
Dit-il pour voir sa réaction, même si, cela était faux, il n'avait pas que cela a faire que de stalker les jambes, même aussi plaisante à voir que la demoiselle ici présente. Ensuite, il put s'amuser en regardant ses gestuelle après qu'il se soit excusé de l'avoir attiré dans le traquenard du carré VIP, mais surtout, au vu des mots qu'elle avait put sortir, la voir le traiter simplement de " malotru " le fit bien rire. Là, leur pas reprirent écoutant la demoiselle lui indiquer que prendre leur pause était aussi bien à l’extérieur, tournant sa phrase pour le taquiner et sûrement pour le déstabiliser, chose qui ne fonctionna pas, suivant plutôt ses dires en passant devant elle
" Oui, la vue était très belle en effet et l'air est plus respirable à l’extérieur, mais je n'allais pas vous bousculer pour sortir tout de même."
Dit-il alors qu'il fit exprès de la frôler. C'était vrai, il avait eut une belle vue de derrière, mais, il pouvait acquiescer que la voir de face était mieux, car oui, si elle le lui demandait, il ne cacherait pas qu'il la trouvait séduisante. Une fois bien dehors et la porte refermé, il releva la tête en prenant une bouffée d'air, une grande et profonde bouffée d'air, cherchant à se détendre, avant de venir sentir quelques chose tomber sur son visage, puis, quelques seconde après, de nouveau, venant rouvrir ses yeux, en baissant la tête
" Il commence à pleuvoir."
Bien, ils allaient devoir rentrer à cause de cela se dit-il.
-
La demoiselle passa d’une mine soupçonneuse à une bouille étonnée, clignant plusieurs fois des yeux face à la réplique du videur à laquelle elle ne s’attendait visiblement pas. Mais tel un chat qui retombe sur ses pattes, elle reprit une expression amusait et poursuiva son petit jeu.
« Je vois… Je comprend mieux beaucoup de choses aujourd’hui… » dit-elle en haussant un sourcil en le regardant avec un sourire en coin « Si ça se trouve le patron vous a envoyé pour me zigouiller aujourd’hui… Ça expliquerait toutes nos rencontres « fortuites » ! »
Lâcha-t-elle avec un air dramatique en redressant sa tête, faisant mine d’être effrayée et d’avoir compris quelque chose, avant de rire doucement avec légèreté en reprenant ensuite son sérieux quand le videur reprit la parole pour parler de ce qui s’était passé dans le carré VIP. Et après cette rapide discussion sur ce petit événement de la soirée, pendant laquelle ils avaient fait une pause dans le couloir devant la porte de service, la jolie albinos en sortant enfin dehors s’amusa à taquiner le beau brun en lui tenant la porte, attendant patiemment sa réaction à ses mots.
Mais au lieu de le déstabiliser, c’est la réponse du videur qui déstabilisa la demoiselle, la faisant cligner des yeux de nouveau avant de rougir légèrement quand il passa près d’elle et la frôla, faisant accélérer son petit coeur d’un coup et lui donner un coup de chaud aux oreilles, avant de tousser doucement pour se reprendre.
« Heu… Évidemment, c’est exact sur tous ses points soulevés mon cher ! »
Riant un peu gênée en ayant les joues légèrement rosées, essayant de ne rien laisser paraître de la déstabilisation que le charmant videur avait réussi à faire en retournant la taquinerie de l’albinos contre elle, qui se demandait si c’était vrai ou si c'était juste pour contrer sa plaisanterie. À ses pensées en refermant la porte de service, Rubis secoua doucement la tête pour se reprendre et ne pas penser à cette interrogation soudaine qui faisait battre son cœur d’un coup, ce qui la déstabilisa encore plus. Fermant les yeux en soufflant doucement pour essayer de se reprendre comme elle pouvait, la demoiselle sentit également quelque chose lui tomber sur la tête, la faisant rouvrir ses yeux et se retourner pour être dos à la porte et s’en éloignait un peu, levant son minois vers le ciel pour regarder le ciel nocturne avant de se prendre une goutte sur le bout du nez et lui faire fermer les yeux en secouant la tête que s’en était presque comique.
Finissant de secouer sa tête et rouvrir ses yeux en écoutant Karl, Rubis se tourna légèrement pour le regarder, hochant doucement de la tête pour confirmer ses dires avant de se prendre une goutte d’eau encore sur le nez et secouer sa tête avec énergie.
« On dirait bien oui, brrrrr ! »
Fit-elle en fermant les yeux en continuant de secouer sa tête, rouvrant ses yeux en plissant les yeux en regardant son nez et touchant celui-ci du bout de son doigt pour enlever la goutte d’eau, avant d’ouvrir en grands ses mirettes en clignotage en sentant plusieurs petites goutes lui tomber sur la tête, la faisant hausser un sourcil en levant ses yeux en l’air avant de reculer et aller se caler contre le mur.
« On dirait une petite pluie pour le moment… J’aime bien la pluie… » chuchota-t-elle sur ses dernières paroles en regardant en l’air, regardant les quelques gouttes tombées ici et là pour le moment, reportant ensuite son visage vers le videur « Ça vous dit de rester un peu quand même dehors à profiter de l’air frais ? Ce ne sont que quelques gouttes d’eau, ça peut pas faire de mal puisqu’on est pas en sucre… Quoique, peut-être si pour vous ? mmmh… »
Demanda-t-elle avec un sourcil surélevé interrogateur avant d’esquisser un petit sourire taquin en le regardant en coin.
-
Oh oui, cela l'avait grandement amusé de la voir coincé sous sa remarque, la regardant cligner des yeux en essayant de reprendre de sa contenance sous le regard soutenu de Karl. C'était vrai, il la trouvait charmante, que ce soit dans son caractère que dans son physique et, il était connue pour ne pas vraiment avoir sa langue dans sa poche.
Sentant les première goutte d'eau tombant du ciel, il préféra prévenir la demoiselle au cheveux blanc, au cas où elle n'aimerait pas cela et se prépara à rentrer,, il put la voir réagir de façon singulière et amusante sous les gouttes qui vinrent lui tomber dessus, finissant par répondre en secouant encore une fois sa tête.
" Vous allez finir par vous décrocher la tête si vous la secouer à la moindre gouttes d'eau."
Dit-il pour la taquiner, ses pas le rapprochant de la porte d'entrée, posant la main sur la poignée avant de l'entendre lui répondre, mais, contre tout attente, elle aimait la pluie. Lui, la détestait, pas pour ce qu'elle était, car avant, il aimait cela aussi, le bruit qu'elle produisait sur toute les surface sur laquelle elle tombait, mais plutôt parce que désormais, elle lui ramenait surtout de mauvais souvenir. Le coup d'état de la famille Darrik, la bataille d'Androf, la capture de la ville de Draft et surtout, l'assaut du manoir des Darrik, tout cela c'était passé sous la pluie et, resté un gout bien plus qu'amer au fond de sa bouche et de son coeur. Lorsqu'elle se mit à lui proposer de rester un instant, il l'entendit de nouveau chercher à le taquiner, mais, cela ne marchait pas sur ce coup, venant lui répondre simplement
" Pour le savoir il faudrait autre chose que de la pluie, mais, je déteste cette dernière."
Mais alors qu'il voulu rentrer, la porte s'ouvrit, venant se faire percuter par une personne, Sakura réapparaissant tel un furet comme à son habitude, percutant le torse de Karl avant de s'excuser, puis, son regard fureta entre les deux rapidement
-
À la taquinerie du videur sur ses secouages de tête répétitifs à chaque goutte d’eau qui l’a touchait, la serveuse se mit à devenir légèrement rouge comme une pivoine, tournant légèrement la tête pour regarder sur le côté en se pinçant doucement les lèvres, avant de les relâcher et se mettre doucement à rire en venant se frotter la tête, essayant de ne pas laisser paraître sa gêne passagère.
C’est alors qu’ensuite elle se mit à reculer en arrière pour s’adosser contre le mur, venant à zieuter le ciel avant de reporter son regard vers son collègue en lui proposant de rester un peu dehors, tout en venant lui lancer une petite taquinerie pour remonter en selle. Mais en entendant la réponse de Karl, la jolie albinos haussa doucement un sourcil dans un premier temps, avant de se pincer doucement les lèvres en se sentant bête dans un second temps, en entendant qu’il détestait la pluie, ce qui faisait qu’elle s’en voulait un peu d’avoir manifesté son intérêt pour cette dernière et surtout de lui avoir proposer de rester en profiter.
Alors qu’elle le regardait s’apprêtait à ouvrir la porte de service pour rentrer, elle vit cette dernière s’ouvrir toute seule et assista au percutage entre Karl et Sakura, la faisant cligner des yeux plusieurs fois en regardant la scène, retenant un rire car c’était légèrement comique. Et après que Sakura s’excusa d’avoir percuté Karl, passant son regard de lui à l’albinos, elle resta là à bugguer quelques instants avant de voir qu’il commença à pleuvoir dehors, s’excusant de nouveau en reculant, afin de laisser Karl et Rubis rentrait à l’abri.
Histoire de ne pas passer plus pour une originale qu’elle ne l’est déjà, la serveuse suivit les pas du videur et rentra, Sakura passant de nouveau son regard du videur à la serveuse avant de se rapprocher de la demoiselle à la chevelure de neige à peine rentrer à l’intérieur, ce qui la fit cligner des yeux plusieurs fois surprise.
« … Ouiiiiii ? »
« Ho ! Comment t’as su que je voulais te parler ? »
« Peut-être parce que je suis un peu sorcière ? » un petit sourire en coin amusé, avant de soupirer par le nez amusé « Ou c’est sûrement parce-que tu viens de t’approcher de moi d'un seul coup aussi ? »
« Haaaa oui ! Hahaha ! Oui, héhéhé ! Je… J’aimerais te toucher deux mots au sujet des extras… »
Rubis perdit son petit sourire et se retrouva à plisser des yeux en soupirant par le nez, venant se pincer l’arrêt du nez en soupirant de nouveau en secouant la tête, avant de contourner Sakura et avancer dans le couloir, s’éloignant d’elle en claquant de ses talons au sol tant ça l’agaçait.
« Rubis ! Attends ! Laisse moi te parler ! »
« Non merci ! Mon cul est pas à vendre ! »
Poursuivant son avancée dans le couloir agacée sans se retourner, Rubis s’éloigna contrariée, venant à en oublier sa pause et le moment agréable qu’elle passait en charmante compagnie avec le videur qui ne la laissait pas de marbre. Quant à Sakura, elle resta à côté de Karl dans le couloir, regardant la jolie albinos s’éloigner sans qu’elle ne lui accorde un regard, venant se gratter la tête en soupirant désespérément.
« Haaaaa… Mais quelle tête de mule ! Comment je vais faire pour lui vendre l’idée comme le patron a demandé si elle refuse d’écouter quoique ce soit ? »
-
Au vue de la tête que faisait Sakura, Karl était curieux de savoir ce qu'elle allait demander. Oui, il la connaissait quelque peu, donc il savait quand elle avait quelque chose à demander et là, c'était clairement le cas.
Sous la demande de Rubis, qui, elle aussi n'avait pas que cela a faire que d'attendre qu'elle crache le morceau, elle se mit enfin à le faire. Sa logique toujours assez au ras des pâquerettes, elle mit un temps à comprendre qu'elle avait été percé à jours avant d'enfin poser le sujet de sa venue. Et malheureusement pour Rubis, le sujet en question était de nouveau sur les extras. Il savait déjà ce que cela allait donner et le regard qui changea en une demi seconde sur le visage de la jeune demoiselle au cheveux blanc laissa deviner que, encore une fois, se serait non.
Sans dire un mots elle se mit à partir avant d’être rattrapé par Sakura. Mais le refus était net et elle fut de nouveau envoyé bouler, Rubis repartant aigris de cette fin de pause. Karl, toujours à coté de Sakura, l'entendit s'en plaindre, cherchant à voix haute à réfléchir
" Laisse la tranquille, elle n'en veux pas, vous n'avez pas à la forcer."
Dit-il d'un ton sec, venant attirer le regard de Sakura, qui, fut d'abord surpris avant de lui répondre
" Tu es mal placé pour dire ça quand même, ça ne t'avais pas déplut quand tu es arrivé."
Dit-elle en prenant une pause suggestive, un regard en disant long. Du coté de Karl, il pencha la tête sur le coté, prenant un air plus Yakuza, strict, ferme, venant lui répondre en se rapprochant d'elle, la surplombant de façon non amicale
" Je ne t'avais rien demandé, c'est toi qui est venu et dois-je te rappeler que par la suite c'est toi qui en redemandait."
Les argument posé, elle plissa légèrement les yeux, puis lui dit en joignant les mains
" Alleeez ! S'il te plait, tu ne veux pas m'aider à la convaincre, le patron va encore me prendre la tête si je n'y arrive pas. "
Karl ne changea pas d'aspect et le fait qu'elle insiste était d'autant plus énervant à son gout
" Laisse tomber je t'ai dit ."
Elle se mit à souffler sous cette négation, venant s'écarter en évitant son regard, jouant avec ses cheveux avant de répondre, une pointe de jalousie dans sa voix
" pffff.. Ok. A t'écouter on croirait que tu en pince pour elle. Mais est ce qu'elle sait que tu es pas le genre de personne à approcher quand on est sage ?"
Sur ses mots, Karl se tourna, commençant à partir pour retourner à son poste, devinant bien que la conversation allait s’éterniser sinon, finissant cela en disant
" Je pense que oui, elle a vu mes bras et par ici, ce n'est pas le genre de chose que tout le monde à. Le reste, ça ne te regarde pas."
Il hocha simplement la tete en croisant les bras
-
Sakura s’offusqua presque de la manière que Karl lui répondait, le regardant tourner les talons et repartir tranquillement à son poste.
« T’exagère ! Après tout ce qu’on a vécu tu pourrais au moins le dire ou me donner un coup de main ! Ou bien même les deux hein ! »
Dit-elle en le regardant s’éloigner en tapant du pied et en croissant les bras en même temps, plissant des yeux un moment avant de les fermer en soufflant agacée par le videur et désespérée de pas réussir à discuter avec sa collègue, se demandant donc bien comment elle allait se dépatouiller de tout ça.
Pendant ce temps, Rubis avait rapidement rejoint la salle faisant bien claquer ses talons au sol de mécontentement, commençant à en avoir ras le bol de cet harcèlement au sujet d’extra dont elle ne voulait pas entendre parler. Et en arrivant au bar pour reprendre son plateau afin de terminer la petite heure à peine de boulot qui restait, Haku s’approcha d’elle et vint lui parler un peu hésitant tout en ayant l’air comme à son habitude.
« Ru-Rubis ? »
« Mmmh… Moui ? »
« J’aimerais te parler de quelque chose… »
« Tu vas pas t’y mettre toi aussi hein !?! »
Le jeune homme l’a regardait avec de grands yeux, clignant plusieurs fois des yeux, se demandant bien de quoi elle parlait avant de percuter.
« Je… Non voyons, non ! Je viens pas te parler des extras, absolument pas ! Je serais même du genre à t’en dissuader mais… » il se gratta la tête en regardant ailleurs un instant « Je… Je voulais juste te dire qu’après le service, on allait rester avec Saki pour boire un verre, je… Je comptais aller proposer à tous le monde, histoire que ça soit plus sympa après la soirée compliquée qu’il y a eu… »
La demoiselle à la chevelure de neige écouta attentivement le jeune homme en face d’elle, le regardant se gratter ses cheveux de multiples couleurs, ayant des mélanges de mèches brunes et blondes un peu partout sur la partie de son crâne qui n’était pas rasée, un peu embarrassé surement à cause du fait qu’elle lui ait légèrement hurler dessus sans raison. C’est donc gênée qu’elle se pinça les lèvres et vint se caresser la nuque à son tour en regardant le sol quelques instants, avant de se reprendre et relever son regard vers son collègue, en lui parlant d’une voix douce.
« Je suis désolée… Je… Je ne voulais pas te crier dessus… Je pensais que toi aussi tu allais t’y mettre avec cette histoire… Pardon… » son plateau dans les mains, jouant à tapoter sur les rebords de celui-ci en regardant ailleurs quelques instants, elle reprit doucement « Quant au verre tous ensemble, je… C’est pas une mauvaise idée ma foi. Je suis d’accord mais je reste que pour un verre et je me sauve après. »
« C’est vrai ? Heu… Je veux dire super ! Je vais aller demander aux autres alors ! Et… Heu… T’inquiètes pas pour le fait que tu te sois emporté, c’est pas grave. Bon à plus tard Rubis ! »
Le regardant détaler aussi vite qu’il était apparu à côté d’elle, Rubis haussa un sourcil en se disant qu’il devait être bien jouasse de boire ce verre après le service, ne se doutant pas un seul instant que c’était à cause d’elle qu’il était aussi content, et ce n’est pas le rire amusé de la discrète Saki qui allait lui mettre la puce à l’oreille, ho non !
Et pendant que notre cher Haku faisait la tournée de tous les employés, hormis le patron, pour savoir qui voudrait rester boire un verre après le service, la jolie albinos reprit son travail tranquillement, servant les derniers clients et nettoyant les tables au fur à mesure qu’elles se libéraient, prenant donc de l’avance sur le menage après service.
Puis, doucement mais sûrement, la fin de service arriva, les derniers clients sortirent joyeusement, d’autres en râlant en pestant contre leur boulot demain matin et d’autres en se demandant où ils allaient finir la soirée, mais pas de quelconque encombres en vue pour le moment, permettant donc à qui le souhaiter de profiter de cette fin de soirée calme au comptoir du bar, où Haku et Saki attendaient leurs collègues pour leur servir un petit verre et papoter, le tout aidait même par Sakura qui s’improvisât barmaid aux côtés de Saki qui la surveillait pour pas qu’elle fasse de conneries, pendant que Haku priait pour pas qu’elle recommence avec ses extras ce soir et agace Rubis, qui allait pas tarder à les rejoindre avec les autres collègues qui ont acceptés l’invitation.
-
Après tout ce qu'ils avaient vécu. Elle était plutôt culotté de dire cela au vu du peu de temps que cela avait été, ayant vite laissé tombé quand il put voir le caractère de la demoiselle un peu trop volage à son gout, surtout qu'elle avait le choix au vu de son ouverture envers toute les gentes existante.
Karl était donc retourner à son poste, où la nuit était des plus tranquille, trop tranquille, c'en était même d'un ennuie presque mortel, venant à discuter plus ou moins avec le deuxième videur, jusqu'à ce que cela soi perturbé par l'arrivé de Haku. Le jeune homme n'était pas très impressionnant et, entre les deux hommes de mains, il n'en menait pas vraiment large alors, il y eut d'abord un petit temps avant qu'il ne se mette enfin à ouvrir la bouche, venant à proposer de boire un verre après le service.
Les deux videurs se regardèrent, puis, le seconde lui, refusa, devant rentrer chez lui au plus tôt après la fin du service. Karl lui, hésita. Cela ne lui apportait pas vraiment grand chose, puis, il haussa les épaules, les bras croisé avant de lui répondre pourquoi pas. Après cette conversation, tout fut à la fois lent et rapide, une petite heure, mais d'une longueur interminablement ennuyante. Quand l'heure fut enfin terminé, son collègue en soupira avant de le saluer, partant directement au vestiaire pour se changer. Karl lui, marcha vers le bar où déjà certain attendait le reste des invités, voir même commençait à se servir.
Il se se mit regarder tout ce monde, et, un peu comme un jeu, il se mit à les observer. A force d’être videur et avec ses années de politique dans son monde natal qui aidait bien aussi, il pouvait lire les expressions qui était vrai sur les visages des autres, leurs émotions, presque comme lire leur pensée pour certains qui pouvait etre de vrai livre ouvert. Sakura qui jouait avec l'alcool, cherchait à épater certain, mais surtout, elle cherchait à penser à autre chose que ce qui lui trottait dans la tête, ce qui le laissait pensait que cela avait un rapport avec son patron. Saki elle, stressait à cause de Sakura, beaucoup trop anxieuse par son travail. Haku lui, il était impatient, il regardait autour, il attendait quelque chose, ou plutôt quelqu'un. D'ailleurs, son visage changea du tout au tout lorsque Rubis arriva à son tour au comptoir. Il n'était pas discret, c'était le moins que l'on puisse dire, mais avec les deux autres à coté de lui, cela faisait assez diversion pour que cela ne soit pas remarqué.
-
Quant Karl fut arrivé au comptoir, Saki essaya de garder un œil inquiet sur Sakura qui jouait les apprenties barmaids en faisant des mélanges étranges, tandis que Haku était presque comme un môme qui attendait noël avec impatience. Alors que Saki tenta de braver son inquiétude pour aller vers le videur lui demandait ce qu’il souhaiterait boire, elle fut distraite par la vue de Rubis qui arriva au loin et par un faible « Yes ! » lâchait par son collègue serveur et barman à ses temps perdus qui eut son visage qui changea du tout au tout en cet instant, ce qui fit légèrement rire la barmaid amusée par tout cela.
Arrivant au bar avec une démarche quasiment féline, la jolie albinos prit place sur une des chaises au comptoir et vint déposer son plateau sur le plan en marbre, poussant celui-ci vers Saki pour qu’elle puisse le récupérer et ranger avec les autres plateaux. Et pendant que la brune s’affaira à la tâche, ce cher Haku reprit la relève pour la commande des boissons, étant peut-être un peu trop enthousiaste à cela même.
« Alors, qu’est-ce que vous souhaitez ? Karl ? Rubis ? »
« T’avais drôlement envie de boire dit donc… »
Ne put s’empêcher de lâcher Rubis ingénue, pendant que Saki se retint comme elle peut de rire derrière le bar en se tenant de l’autre côté sur le plan de travail du comptoir, alors que Sakura s’arrêta dans ses mélanges étranges afin d’observer ce qui se passait, toujours à l’affut telle la fouine qu’elle était.
« Heu… É-évidemment ! J’en avais très envie de ce petit verre entre collègue ! Alors, qu’est-ce que je vous sers vous deux ? »
« Ravie de pouvoir aider alors ! Je prendrai… Un truc pas trop fort, mmmh… Un Monaco, c'est possible ? »
« Pour toi, je dis oui à tout ! » dit avec enthousiasme le jeune homme, avant de rire un peu gêné de ce qu’il venait de dire, se retournant ensuite vers Karl « Tu as droit au même traitement bien sûr Karl haha ! Et toi qu’est-ce que tu voudras ? »
Pendant que Haku s’occupa de prendre les commandes de la jeune serveuse et du videur au comptoir, Saki essayer de reprendre son sérieux pour arrêter de rire à chaque réaction de Haku. Et durant ce temps, Sakura n’avait pas manqué une miette de tout ça et ça lui avait même donné une idée pour la suite de la soirée en parfaite fouineuse et fouteuse de merde qu’elle savait être quand elle voulait quelque chose.
-
Un livre ouvert, il l'avait pensé il y a quelques secondes de là, mais en cet instant, Haku en était un, presque livré avec une loupe, cela en serait d'autant plus comique si Rubis ne s'en apercevait pas. Mais, peut être que cela était le cas au vue de sa réponse lorsqu'il se jeta sur elle en lui demandant ce qu'elle voulait boire, laissant un peu bête le jeune homme, laissant Saki se mettre à rire sous une discrétion forcé, ainsi que sous le regard de Sakura qui n'en perdait pas une miette, s'étant même arrêté de jouer avec l'alcool pour cela.
Lorsqu'elle lui demanda une boisson, un Monaco, sa réponse fut encore un délice aux yeux des filles, tandis que Karl lui,, l'observait sans dire un mot, mais amusé tout de même, venant à se demander si il avait une chance avec elle, si ce jeune homme était son genre.
Puis, quand il se tourna vers lui et demanda à Karl ce qu'il buvait, il sorti un mélange très étrange
" Un Shochu vodka "
Ce qui avait plutôt laissé un regard étrange dans l'assistance. Oui, il savait que cela serait dégueulasse, que cela serait fort, mais il savait que personne ne boirait dans son verre, que cela lui ferait une bonne brulure au fond de la gorge, un moyen de ressentir quelque chose, et surtout, la tête que le groupe ferait quand il le boirait n'aura pas de prix. Les commandes passé une à une, Karl eut enfin son verre et, en bu une bonne gorgée d'un coups. C'était dégueulasse, c'était fort, mais il n'en laissait apparaitre rien du tout, comme s'il buvait une boisson toute simple, voir de l'eau.
-
En entendant ce que souhaitait boire le videur, les trois jeunes gens derrière le comptoir le regardèrent avec des yeux qui en disaient long, pensant visiblement que ce mélange était des plus étranges, en tout cas c’était ce qu’il y avait d’écrit sur leurs visages en cet instant. Quant à l’albinos, elle haussa légèrement un sourcil, surprise elle aussi, mais se demandant bien quel goût ça pouvait avoir cette drôle de mixture, venant à se demander si c’était aussi dégueulasse que son mélange rhum gin vodka saké et liqueur à la fraise, ou les autres mélanges étranges qu’elle faisait quand il restait des fonds de bouteilles chez elle.
Mais la demoiselle fut bien vite sorti de ses songes quand Haku donna à chacun son verre, venant au passage à servir également ses deux autres collègues près de lui, Saki acceptant avec joie une pause pendant que Sakura arrêta pour le moment de jouer avec les alcools. Une fois tout ce beau monde servit et avec son verre en main, la jolie albinos leva doucement son verre en l’air en lâchant « À la vôtre ! » avant de boire une bonne gorgée de sa demie-pinte de Monaco. Et pendant que chacun dégustait plus ou moins son verre, les regards étaient tous tournés vers Karl, le regardant ne rien laisser paraître en buvant son drôle de mélange.
« … Ça a quel goût ? »
Demanda Rubis qui brisa le silence en le regardant, sa tête légèrement penché en clignant plusieurs fois des yeux, curieuse tout simplement. Les trois autres derrière le bar se posaient exactement la même question, mais ils avaient plus un regard de dégoût rien qu’à l’idée d’imaginer la chose, alors que la petite tête blanche là, elle avait une tête de demoiselle intriguée au possible comme quelqu’un qui se demande quel goût pouvait avoir un plat.
-
Leur têtes étaient un délice du début à la fin, que ce soit de les voir réagir à sa commande, que de le voir boire, levant son verre sans dire un mot lorsque Rubis vint leur dire, à la votre.
Oui, c'était dégueulasse, mais, étant donné que cela était tiré de bouteille de bonne facture, cela allait, mais il avait déja fait des mélange étrange tiré d'alcool pas chère de supérette. Il avait bu quelques gorgée quand Rubis vint poser une question.
Quel gout avait cette boisson ? Le regard des autres fusa entre elle, puis lui, intrigué et devenue curieux par ce fait. Karl aurait bien dit un gout de chiotte, mais, il eut autre chose en tête. il fit glisser son verre sur le comptoir jusqu'à elle, puis, la regardant droit dans les yeux, tourné vers elle, lui répondit sur un ton des plus décontracté.
" A toi de me dire."
Oui, c'était une invitation à ce qu'elle y goute a voir sa réaction et, il savait aussi ce que cela pouvait représenter pour les Japonais. Pour certains, partager le même verre ou autre était considéré comme un baiser indirecte, et lui le savait, alors, si elle acceptait de boire dans son verre, son regard allait forcément se tourner vers Haku pour voir sa réaction à cela et juste s'imaginer cela l'amusait.
-
La réponse du videur ainsi que sa réaction avait littéralement scotché les trois collègues derrière le bar, qui furent sous le choc de ce qui se passait sous leurs yeux. Sakura en était même un peu jalouse, car elle n’avait jamais eu droit à toucher un seul des verres du videur, qu’elle en pesta presque intérieurement en confirmant ce qu’elle pensait plus tôt à son sujet et le fait qu’il en pince pour la petite tête blanche. Quant à Haku, il en clignait des yeux plusieurs fois, son regard passant de Rubis à Karl, déglutissant en se demandant ce qu’allait faire la demoiselle face à cela, un peu inquiet qu’elle accepte la proposition du brun surtout.
Rubis regarda le verre glissait sur le comptoir jusqu’à elle, gardant un sourcil en l’air durant toute la glissade de celui-ci, avant de reporter son regard vers le videur qui l’invita à y gouter pour vérifier par elle-même. Redressant donc sa tête tout en se tournant sur sa chaise pour être plus vers lui et lui faire face, la jolie albinos esquissa un sourire amusé en le regardant tout en se saisissant doucement de son verre avec ses doigts délicats.
« Très bien… J’espère que tu n’as pas peur que je lise tes pensées suite à ça alors… »
Venant confirmer ainsi en répondant d’une voix taquine qu’elle acceptait son invitation à boire dans son verre, la demoiselle leva lentement le verre du videur vers lui avant de l’apporter à ses lèvres en ne le quittant pas un instant des yeux, avant de boire quelques gorgées d’un coup. Fermant ensuite doucement les yeux durant quelques secondes, pendant qu’elle retira le verre de ses lèvres avant de le reposer sur le comptoir, n’ayant pas sourcillé un seul instant et conserver un calme des plus impressionnants, la jolie albinos rouvra ses yeux doucement en riant amusée en reportant son regard vers Karl.
« Je dirais un bon goût de décapant wc mais que ça fait du bien par où que ça passe, non ? »
Riant avec légèreté après ses quelques mots, la jeune serveuse ne quitta pas un instant du regard Karl, attendant de voir et entendre son verdict à lui concernant le goût de sa drôle de mixture. Mais pendant ce temps, les trois collègues derrière le bar n’avaient pas raté une miette du spectacle, étant choqués tous les trois face à ce qu’il venait de se passer ! Saki avait mise sa main devant sa bouche tant elle était stupéfaite de ce qui venait de se passer, Sakura avait la bouche grande ouverte à s’en casser la mâchoire, ne croyant visiblement pas ce qu’elle voyait, quant à Haku, il était devenu aussi pâle qu’un linge et en avait les épaules tombantes, plus dégouté que surpris du spectacle en voyant que Rubis avait bu sans hésiter dans le verre de Karl.
Mais si ce qui venait de se passer les surprenait déjà tous grandement, la suite allait les achever avec la jeune serveuse qui n’avait pas sa langue dans sa poche et qui avait le vers joueur et taquin au possible dès qu’elle était lancée.
« M’enfin… Tu es une crapule Karl… Tout ça pour un baiser indirect quand même… Si tu voulais un baiser, il suffisait de le dire hein. »
Et les nouveaux mots de la demoiselle qui se redressa sur sa chaise en croissant les bras, s’amusant à taquiner le videur à côté d’elle, ne firent que choqués encore leurs collègues derrière le bar, quant à la tête de ce cher Haku, il était bouche bée et totalement déconfit de ce qui se passait sous son nez.
-
Elle accepta de boire dans son verre, sous le grand plaisir du videur qui, ne perdit pas une miette du regard que les autres employé lançait. Il attendait impatiemment qu'elle le fasse, si elle le faisait bien-sur, puis, quand elle posa ses lèvres sur son verre et en bu quelque gorgée, il en fut satisfait, se délectant de la tête que faisait les autres.
Après quelques gorgée d'un calme olympien de la part de la demoiselle, il put entendre son verdict qui lui tira un furtif sourire, venant récupérer son verre après cela tout en répondant.
" Un gout de débouche chiotte en effet."
Puis, sous ce ballet d'émotions pour les trois japonais, Karl rajouta un peu de glaçage, venant reprendre une gorgée dans son verre en faisant bien attention de poser ses lèvres là où le rouge à lèvres de Rubis avait laissé une trace, le finissant donc rapidement avant de poser le verre vide sur le comptoirs. Après cela, il ne pouvait pas se mentir à lui même, elle l'avait bien eut, venant lui dire que s'il avait envie de l'embrasser, il n'avait qu'à le lui demander plutôt que de le lui dérober indirectement ainsi. Mais il n'en perdit pas de sa contenance, continuant à la regarder, un sourire joueur en coin. , relevant légèrement la tête pour s'imposer un peu plus dans la conversation en ajoutant d'une voix suave
" Je prendre donc cela pour un oui alors ? "
Après ses mots, il se rapprocha d'elle, quelques centimètre les séparant à peine, faisant monter la tension dans le groupe, mais surtout, voulant voir la réaction de Rubis à tout prix
-
En entendant le videur lui confirmait le goût qu’avait son drôle de mélange d’alcool, la jeune serveuse ria doucement amusée en hochant la tête à ses dires, le regardant ensuite récupérait son verre et le boire, reportant son regard naturellement vers ses lèvres d’ailleurs, pouvant s’apercevoir qu’il les posait par-dessus les traces de son rouge à lèvre. C’était peut-être un pur hasard et pouvait sembler anodin, mais cela avait fait emballer le pauvre petit cœur de la demoiselle, faisant même rougir légèrement ses oreilles cachées par sa blanche chevelure alors qu’elle le zieuter sans le lâcher des yeux, tout en venant se saisir de nouveau de sa demi-pinte qu’elle vint apporter à ses lèvres pour en boire quelques gorgées.
Après un peu d’hydratation qui permit à la jolie albinos de calmer doucement son palpitant cardiaque ainsi que son léger rougissement, elle profita de l’occasion pour jouer un petit peu avec le videur, venant le taquiner sur ce baiser indirect échangé par le contact de leurs lèvres sur ce verre. Et le petit jeu de Rubis avait abasourdi les trois japonais derrière le bar, leurs regards passant entre leurs deux collègues, se demandant bien jusqu’où ils étaient lancés maintenant, même si parmi eux il y en avait un qui était plus que sous le choc de ce qui s’était passé jusqu’à présent.
Et ce fut encore pire quand ils entendirent Karl répliquer en le voyant se rapprocher ensuite de l’albinos, qui visiblement ne fuyait même pas la situation. Rubis avait haussé un sourcil en entendant le videur répondre à sa provocation taquine, son cœur se mettant de nouveau en marche en entendant le ton de sa voix et en le voyant se rapprocher d’elle, la faisant doucement rougir de nouveau, mais cette fois sur les joues.
En voyant leur collègue rougir face au videur, les trois japonais pensèrent qu’elle allait surement le repousser, enfin, un l’espérait très fortement en tout cas en serrant son verre entre ses doigts. Mais la réaction de Rubis allait les faire devenir encore plus blanc qu’ils ne l’étaient, venant à esquisser un petit sourire charmeur en penchant doucement la tête, regardant le videur tout proche avant de venir se saisir délicatement de sa cravate entre ses doigts fins et graciles.
« Hum hum… Tout à fait… »
Puis agrippant sa cravate d’un coup avant de la tirer vers elle tout en rapprochant de lui, la jolie albinos vint poser ses lèvres contre celles du videur en fermant lentement les yeux, lui offrant donc un doux baiser sous le choc de leurs trois collègues, dont un qui en avait lâché son verre qui éclata au sol tant il était stupéfait et dégouté de ce qui se passait.
-
Non, il ne s'était pas attendu à ce qu'elle prenne les devants, mais, ce n'était pas pour lui déplaire, au contraire. Sous sa réponse positive, il la senti tirer sur sa cravate, le faisant légerement s'incliner vers elle avant de sentir ses lèvres se poser sur les sienne. Son parfum, son gout, sa chaleur, mélangé à l'humidité fruité de ses lèvres causé par sa boisson prise juste avant en faisait un délice.
C'est donc sous les yeux médusé de leur collègue que leur baiser se déroula, mais, il n'allait pas dire son dernier mot la dessus, au non, il n'allait pas lui laisser la main si facilement. La, sa main droite vint remonter pour venir se glisser sous la nuque de la belle, ses doigts prenant l’arrière de sa tête en coupe ainsi que le haut de sa nuque, glissé dans sa chevelure blanche, puis, doucement, laissa sa langue venir passer sur les lèvres de la belle, invitant la sienne pour lui donner un nouveau coup de chaud et surement rendre encore plus blanc leur spectateur.
Après ce baiser improvisé, Karl relâcha la nuque de la belle, puis, se tourna de nouveau vers les autres, presque comme si de rien n'était, seulement un sourire de sale gamin figé sur le coin de ses lèvres, venant leur dire
" Vous me remettez la même ? "
Tout en prenant son verre, le faisant tinter sur le comptoir pour les sortir de leur état, s'amusant beaucoup d'eux à leur dépend avant de tourner à nouveau son regard vers Rubis pour observer sa réaction à elle aussi, l’évènement lui ayant beaucoup plut en tout cas.
-
Une fois qu’elle posa ses lèvres contre celles du videur, la jeune serveuse eut le plaisir à son tour de pouvoir mieux sentir le parfum qu’il avait, ressentir la chaleur de ses lèvres mouillées aromatisées à cette drôle de mixture qu’elle avait goûté, mais qui sur les lèvres du beau brun goutait délicieusement bonne, faisant ressortir le sucré et côté vivifiant de sa boisson sur ses succulentes lèvres.
La jolie albinos frissonna légèrement en sentant Karl passait sa main dans sa nuque, avant de venir se saisir de sa tête en glissant ses doigts dans sa chevelure, en faisant avoir une délicieuse chaire de poule qui parcourait toute sa colonne dont le videur pouvait ressentir sous ses doigts car celle-ci prit naissance dans la nuque de la jeune femme. La demoiselle sentait la chaleur montait petit à petit à mesure que ses lèvres caressaient à chaque fois celle du videur. Et cette chaleur fut encore plus puissante quand elle sentit la langue de son collègue passait sur ses lèvres, la faisant très légèrement gémir et frémir en même temps tout en gardant ses paupières closes, venant à son tour passait sa chaude petite langue humide sur les lèvres du brun, avant de laisser celle-ci glissait entre ses lèvres pour venir chercher la sienne et enchaînait un petit ballet lingual sous le regard abasourdis des trois japonais derrière le bar.
Après cela, reprenant chacun leur place tandis que la demoiselle relâchait la cravate du videur, les trois employés n’avaient pas entendu Karl s’adressaient à eux et ils sortirent un peu de leur état de choc quand celui-ci vint faire tinter son verre sur le comptoir, venant à quémander un nouveau verre tout en souriant comme un gamin.
Sakura était sur le cul, elle n’en croyait pas ses yeux qu’elle s’en pinça le bras pour vérifier la véracité de ce qu’elle venait de voir en pestant que ça faisait mal de se pincer, quant à Saki, elle jeta un œil discret vers Haku qui était comme vidé de tout soudainement, venant à lui tapoter discrètement l’épaule afin de le faire revenir parmis eux pour servir le videur. Le jeune homme était dans un état second, bien calme et moins jouasse tout d’un coup, hochant simplement la tête en silence en marchant dans les bouts de verres sur le sol de son verre qu’il avait lâchait, venant se saisir sans un mot du verre de son collègue pour lui resservir son mélange des plus étranges mais qui laissait un goût amer en bouche du jeune barman après ce qu’il venait de se passer.
Pendant ce temps, Rubis reprit un peu de sa pâleur naturelle, remettant discrètement ses cheveux en place, avant de se pincer discrètement les lèvres en repensant à ce qu’il venait de se passer qui avait été loin de lui déplaire. Reprenant doucement son verre pour le finir, la demoiselle reporta son regard vers Karl, le regardant afin de voir comment il se portait après cela, se demandant bien ce qu’il en avait pensé mais se voyant très mal lui poser la question. Mais elle sortit de ses songes en entendant son verre se remplir de nouveau, jetant un regard vers Haku qui lui avait rempli et n’osait même plus la regarder.
« Ho… Merci Haku… »
Se saisissant délicatement de son nouveau verre en essayant d’adresser un sourire au jeune homme, elle put le voir la regarder brièvement avant de jeter un regard à Karl, avant de détourner son regard d’eux et sortir de derrière le bar sans un mot, se dirigeant vers la porte de service comme ça d’un coup. Cela surprit la demoiselle à la blanche chevelure qui se demandait bien ce qui se passait, mais les deux autres demoiselles derrière le comptoir avaient compris ce qui se passait, spécialement la fouine de service qui esquissa un sourire amusée avant de quitter ses collègues pour aller suivre le jeune homme, alors que Saki se retrouva seule avec nos deux stars du moment et ria un peu nerveusement en les regardant, avant de s’occuper de ramasser les morceaux de verre sur le sol, pendant que Rubis reporta son regard de nouveau vers Karl, en se demandant bien ce qui se passait tout d’un coup.
-
Karl s'amusait du choc et de la pudeur des trois japonais, du choc que leur petit cœur avait eut à cet instant, mais, il s'amusait aussi de la réaction de Rubis après ce baiser. sa façon de replacer ses cheveux, son regard et, oui, il avait bien entendu le léger gémissement que le passage de sa langue sur ses lèvres lui avait dérobé.
Une fois servie, il put reprendre une gorgée de son horrible boisson. Il voyait bien la gêne qu'avait Haku en cette instant, il n'en avait même pas remarqué les débris de verre sur lesquels il avait marché,, venant servir la demoiselle avant de sortir de derrière le comptoir en direction de la porte de service. Avait-il était trop loin ? Cela était fort possible, mais, il s'en fichait quelque peu. Il passerait à autre chose, aurait les yeux sur une autre fille ou tomberait peut être dans les filet de Sakura qui sait.
Mais dans tout cela, le plus amusant fut de voir que Rubis n'avait pas l'air de comprendre ce qui se passait, ce qui le surpris un peu, mais ne le choqua pas plus que cela.
" Tu n'a toujours pas compris ? "
Dit-il d'abord, venant regarder Saki qui, se mit à fuir son regard pour ne pas être embrigadé la dedans, ramassant les débris de verre rapidement pour les jeter et éviter que quelqu'un se blesse.
" Il en pince pour toi."
-
La demoiselle cligna plusieurs fois des yeux quand elle entendit les premiers mots du videur, venant à secouer doucement sa tête à la négative en le regardant, apportant doucement son nouveau verre à ses lèvres pour boire quelques gorgées. Pendant ce temps, Saki fuyait clairement la discussion et ne voulait pas s’en mêler, préférant travailler et laisser le videur gérer la bombe qu’il était en train de lancer à l’albinos. Et en effet, ses seconds mots eut l’effet d’une bombe sur Rubis qui se mit à ouvrir de grands yeux et manqua de recracher le contenu de son verre qu’elle en l’avala de travers en toussant légèrement.
« Que qui que quoi ?!? » ouvrant de grands yeux, en clignant plusieurs fois des yeux en regardant Karl à côté d’elle avant de jeter un regard à Saki qui esquissa un petit sourire gênée avant de continuer sa tâche comme si de rien n’était, repassant son regard sur le videur avec des yeux clignotants « Haku… Il… Moi ? »
Visiblement la demoiselle n’avait rien vu venir et ne s’était rendu compte de rien, venant à jouer embarrassé avec ses cheveux d’une main, en regardant le comptoir en continuant de clignoter des yeux, se repassant pleins de situations dans sa tête pour voir ce qu’elle avait raté.
« … Ha… Je me suis rendu compte de rien… Je… » dit-elle en regardant son verre, continuant à jouer avec ses cheveux avant de soupirer en lâchant son verre et venir se décoiffer à deux mains ses cheveux « Bordel de ! »
Saki qui avait finit son travail continuait de faire mine de rien à la conversation, préférant laisser le videur gérer les dégâts de la bombe qu’il avait lancé, faisant mine de nettoyer des verres soudainement qui étaient déjà propres. Quant à Haku qui était sortit à l’extérieur sans un mot prendre l’air, il partit se mettre dans un coin pour allumer une clope mais il n'y arrivait pas tant il tremblait de nerf et déception, mais Sakura ne tarda pas à venir à son secour en venant l’aider.
« Dure soirée hein ? »
« … Je… Ouais… On peut le dire… »
« Je suis désolée pour toi… C’est pas cool ce qui arrive… » tapotant l’épaule de son collègue avec un sourire compatissant « Les gentils garçons comme toi n’ont vraiment pas de chance, alors que les bad boys, bah ils ont la cote. Regarde, Rubis ne t’as jamais jeté un seul regard alors qu’à Karl... »
« Ouais mais… »
« Mais quoi ? Tu étais là, tu as vu ce qu’on a vu non ? »
Le jeune homme resta sans voix, sa clope se consumant à sa main au point que la cendre tomba sur sa peau et le brûla légèrement, venant le faire lâcher sa clope instinctivement en pestant. Mais cette chère Saluka qui se montrait beaucoup trop avenante et gentille tout d’un coup, vint s’occuper de la main du jeune homme, le rassurant de gentilles paroles tout en continuant à le torturer un petit peu, essayant d’en faire ce qu’elle voulait en jouant les demoiselles consoleuses. Et pendant ce temps, à l’intérieur du bar, Saki s’était sauvé un instant pour laisser nos deux jeunes stars seuls, dont l’une commençait à comprendre bien des choses et arrêta de se décoiffer, venant se recoiffer comme pour se calmer .
-
Karl regardait donc la Rubis qui en tombait des nues d'apprendre que Saki en pinçait pour elle. Ne pouvant se retenir d'un sourire, surtout en regardant ensuite Saki qui fuyait cela comme la peste, mais qui ne pouvait s’empêcher d'écouter la conversation qu'elle aurait très bien put quitter étant donné que leur service était fini depuis quelques temps.
Karl laissa l'albinos se remettre de cette révélation, buvant tranquillement son verre, puis, quand il put voir qu'elle se calmait, il reprit la parole calmement
" Je dois avouer que ce baiser était pour voir leur réaction, mais oui, j'avais surtout envie de savoir quel gout avait tes lèvres."
Il savait très bien qu'il pouvait être qualifié de connard en cet instant, torturer Haku sous cette vision, mais en même temps, c'était la vie, on ne pouvait pas avoir tout ce que l'on souhaitait et il fallait s'y faire, lui l'avait bien trop appris et en souffrait toujours, ce qui l'avait dans un sens mené à faire cela, une envie de ressentir quelque chose, comme ce qu'il venait de ressentir en embrassant Rubis, un énorme plaisir sucré.
Tourné vers cette dernière, il était détendu, totalement ouvert, il savait qu'il pouvait très bien recevoir une claque de sa part en cet instant et se disait qu'il le mériterait surement, alors il se fichait de s'en protéger, venant simplement ajouter
" Et Sakura est surement en train de profiter de la situation en cet instant d'ailleurs."
-
Alors qu’elle termina de se recoiffer en retrouvant son calme, la jeune serveuse releva son regard vers le videur en l’écoutant reprendre la parole, haussant doucement un sourcil en l’entendant dire qu’il voulait juste voir la réaction de tout le monde en l’embrassant, puis se mettant ensuite doucement à rougir en ouvrant en grand ses mirettes quand il ajouta qu’il voulait savoir quel goût avait ses lèvres. À ses dernières paroles, le cœur de la jolie albinos s'emballa tandis qu’elle pinçait doucement ses lèvres en le regardant.
« Tu… Tu étais au courant pour Haku et tout ça alors ? Mais… Pourquoi tu voulais voir leur réaction à ça ? » demanda la demoiselle un peu intriguée en penchant sa tête en le regardant, essayant de comprendre ce qui avait poussé le videur à tout ça, avant de rougir doucement en sentant son coeur tambourinait à toute allure, détournant un instant le regard en poursuivant d’une voix un peu hésitante « Et… Et alors ? Est-ce qu’elles ont le goût que tu imaginais ? »
Relevant son regard vers lui en se pinçant les lèvres, venant à jouer du doigt sur le rebord de son verre en le regardant, curieuse de savoir si il avait été déçu ou non de ce qu’il imaginait, voulant savoir si ça lui avait plu, car elle, elle ne cacherait pas que cela lui avait terriblement plu ce baiser.
Étant toujours touts seuls pendant que Saki s’était sauvée on ne sait où, Rubis redressa sa tête en plissant les yeux un peu inquiète en entendant les nouveaux mots de Karl.
« Sakura… Mais qu’est-ce qu’elle peut bien faire pour profiter de la situation avec ce pauvre Haku ? »
Questionna la demoiselle en regardant son séduisant collègue, visiblement intriguée et cherchant à comprendre ce que Sakura pourrait faire au jeune serveur et barman, se demandant bien ce qu’elle pouvait préparer avec ce pauvre jeune homme. Et pendant ce temps dehors, Sakura faisait en effet mijoter ce pauvre Haku, se montrant beaucoup trop douce et gentille à son habitude, mais vu qu’elle avait trouvé un petit oiseau blessé, tel un chat vicieux elle jouait avec pour s’amuser.
« Mon pauvre Haku… Tu sais, elle va se faire briser le coeur si ça peut te consoler… »
« Hein ? Comment ça ? »
« Je te l’ai dis… Tu es un gentil et Karl pas… Il m’a brisé le cœur donc je sais de quoi je parle… »
Un peu de comédie et une petite voix triste, cette chère Sakura faisait mine de souffrir et être inquiète, voyant bien que ce cher Haku marchait dans son jeu.
« Je pense… Que pour la sécurité de Rubis… Il faudrait mieux la sortir de là avant qu’elle ne termine dans ses bras… »
« … Comment ? »
« Il faudrait lui faire accepter l’idée de faire les extras… »
« Heu… Attends… En quoi ça va l’aider ça ? Tu me prend pour un idiot ? »
« Non, je ne te prend pas pour un idiot voyons… » dit-elle en se rapprochant de lui, venant prendre sa main avec délicatesse « Réfléchis… Si Rubis est occupé avec les extras, elle n’aura pas le temps pour une relation… Et de ce fait elle ne fera pas attention à Karl… Puis… Il est pas du genre partageur donc il ne voudra pas de toute façon qu’elle fasse ça… »
Voyant qu’elle avait toute l’attention du jeune homme, Sakura poursuivit en caressant sa main, venant même coller celle-ci à son visage en la frottant contre sa joue avant de l’embrasser délicatement en le regardant.
« Donc les extras pourraient la sauver d’avoir le cœur brisé par Karl tu vois… Sauf si tu as envie de te venger, de la voir souffrir et être le lot de consolation après lui, car elle viendra sûrement pleurer dans tes bras… Mais si on arrive à la convaincre d’accepter les extras, Karl ne lui accordera pas un seul regard et toi… Tu pourras avoir tes chances ensuite… Qu’en dis tu ? »
Un nouveau baiser dans la main du jeune homme fut donner, le tout avec quelques caresses sur son bras avec douceur que Sakura lui offrait, regardant avec compassion et tendresse Haku qui semblait perplexe mais perdu, tellement au désarroi qu’il ne savait plus quoi faire mais qui se demandait si sa collègue n’avait pas raison dans le fond.
La jeune femme savait le jeune homme sensible et même un peu niais, mais elle le savait très amoureux de la petite tête blanche aussi. Et ce qui s’était passé ce soir était une belle opportunité pour elle, lui permettant de gagner un partenaire dans son plan de faire accepter les extra à Rubis comme lui avait demandé son patron, mais aussi de se venger par pure jalousie en ne laissant pas Karl s’approchait de l’albinos pour qui il semblait avoir le béguin, ce qu’ elle avait bien compris après l’épisode du bar. Reste plus maintenant à savoir si le jeune homme marchera ou pas dans sa combine, s’il se laissera amadouer et convaincre par les talents de Sakura. Mais, cela dépendra aussi surement de ce qui allait se passer au bar en ce moment avec nos deux stars ce soir et ce qu’ils allaient se dire.
-
Pourquoi voulait-il voir leur réaction ? C'était une bonne question, qui avait beaucoup de réponse possible. Karl vint donc hausser les épaules, répondant sincèrement
" L'amusement, l'ennuie, je viens d'un coin déjà prude par rapport à d'autre pays, mais eux, ils sont pire. Et oui, j'étais au courant, en même temps, je crois que tu devais être la seul à ne pas l’être."
[/color]
Ensuite, il fut ravis de voir l'entendre finir par demander, même avec pas mal d’hésitation, ce qui l'amusa quelque peu et, ne cherchant rien à caché, vint lui répondre de nouveau avec sincérité
" Meilleure oui, très douce et qui se mariait bien avec le gout de ta boisson, presque addictif même."
Totalement même, mais ce n'était pas drôle s'il en disait trop non plus. Ils étaient donc maintenant seul tout les deux, buvant tranquillement, un silence étant revenue, enfin, avec la musique de fin de soirée en fond bien-sur. Il avait prévenu sur le fait que Sakura allait être une peste et, cela attira la curiosité de Rubis, qui le questionna. Encore une fois, il haussa les épaules, répondant simplement ce qu'il avait en tête
" Je ne sais pas, surement être encore et encore l'épine dans le pied de quelqu'un, elle essayait déjà de me convaincre de te parler pour les extra alors bon."
-
La demoiselle hocha doucement la tête en écoutant les explications sur la raison qui avait poussé le videur à s’amuser des réactions de leurs collègues, comprenant bien ce qu’il disait, vu que dans son pays les gens étaient aussi prudes, mais franchement le Japon les battait à plates couture. Mais quand Karl vint lui confirmer qu’il était au courant pour Haku, elle ouvrit de grands yeux, surprise en rougissant un peu quand il termina par dire qu’elle était la seule à ne pas être au courant de la situation.
« … Je… Je suis vraiment pas douée avec ça… Y en a combien encore qui ont le béguin pour moi et que je vois rien ? »
Lâcha la demoiselle en regardant le comptoir quelques instants, les joues toujours un peu rosées avant de relever de nouveau son regard vers son collègue, osant lui demander si le goût de ses lèvres avait été comme il l’avait imaginé, et la réponse qui lui donna fit rougir un peu plus la jeune serveuse. Se pinçant d’abord les lèvres en regardant Karl après cet aveu, Rubis passa son regard de son visage à ses lèvres sans s’en rendre compte, avant de mettre sa main devant ses lèvres en les touchant, reportant son regard un instant sur le comptoir, son cœur tambourinant à tout rompre dans sa poitrine que ça en était déstabilisant.
« Je… Flattée que cela ait été à la hauteur de ce que tu imaginais… » dit-elle avec une petite voix timide mais avec un ton rassuré, gardant ses lèvres cachées pour le moment « Je dois avouer que les tiennes étaient absolument délicieuses, qu’elles en sublimés le goût de ta boisson… »
Osa-t-elle avouer en reportant son regard de nouveau vers le videur, retirant doucement sa main de ses lèvres qu’elle pinçait de nouveau en le regardant. Et tandis qu’elle jouait avec les rebords de son verre sur le comptoir, venant questionner Karl sur ce que Sakura pourrait bien faire à ce pauvre Haku, Rubis écouta avec grande attention la réponse de son collègue, venant soupirer doucement en secouant la tête à la négative.
« C’est pas vrai… Elle est venue même te voir pour ça… Mais pourquoi ? »
Élevant sa voix un peu énervée en venant taper du poing sur le comptoir du bar, agacée de tout ça.
« C’est pas possible, je ne parle pas bien le japonais ou ils font exprès de pas comprendre ? Je veux pas faire cette merde, qu’ils me fichent la paix avec ça ! Je suis pas intéressée, je veux pas de leurs frics et de leurs relations, ça ne m’intéresse pas de me faire passer dessus par la moitié de Seikusu quoi ! » soupirant en se laissant accouder au bar, attrapant son verre qu’elle vida d’une traite avant de se redresser « Donc… Si elle est venue te parler pour ça, elle va surement le faire avec Haku aussi j’imagine… Mais… Je vois pas comment ça pourrait marcher avec lui, il est déjà contre l’idée des extras de base donc… »
Relevant son regard vers son le videur, la jolie albinos le regarda avec une mine soucieuse, se demandant bien ce qui allait se passer avec tout ça. Puis quelques minutes après cela, Sakura et Haku firent leur grand retour, bras dessus et bras dessous, venant se remettre comme si de rien n’était derrière le comptoir. Enfin, Haku resta toujours aussi calme, mais était un peu plus bavard, ce qui rassura Saki qui revint enfin parmis tout ce beau monde, ayant pris autant de temps pour se changer car elle devait y aller.
« Hooooo déjà ? Aller, un dernier petit verre Saki ? »
La barmaid soupira mais hocha la tête, restant debout au comptoir en refusant de s’asseoir pour ne pas s’éterniser, acceptant donc un dernier verre tout en regardant discrètement Rubis et Karl, voulant voir comment aller l’albinos après la bombe qu’il avait lâché, pouvant constater qu’elle avait l’air normale aux premiers abords. Puis elle jetta ensuite un regard vers Sakura et Haku, plissant des yeux en ne pouvant s’empêcher de trouver cela louche que Sakura soit toute mielleuse avec Haku si soudainement, se disant que ça puait l'arnaque à des kilomètres.
-
Il se mit à sourire doucement sous sa question. Combien de personne ont le béguin pour elle et qu'elle ne voit pas ? C'était une question amusante à laquelle il ne put s’empêcher de répondre
" Est ce que l'on compte les clients ou seulement les employé du bar ? "
Car oui, la liste changerait radicalement de taille selon le choix de la jeune demoiselle et c'était là le point amusant. Mais il voulu être pendant un instant gentil avec elle, venant lui dire, avant qu'elle ne puisse lui poser la question
" Pour ce qui est de compter seulement les employé, seulement trois. "
Bien-sur, pour le moment il préféra laisser la demoiselle se demander qui était ces trois personnes et c'était la tout le charme de cette phrase, voulant apercevoir le visage qu'elle pouvait bien faire en réfléchissant.
Bien-sur, Karl avait par la suite répondu avec franchise sur le fait que oui, le goût des lèvres et de la langue de la demoiselle avait été à la hauteur de son imagination, si ce n'est plus même et bien-sur, il ne put que lui retourner la question. Son sourire s’agrandit en la voyant, incapable de cacher ses émotions, rougir, se pinçant les lèvres, ce qui lui ajoutait un coté qui n'était pas pour lui déplaire la regardant réfléchir à ce qu'elle allait pouvoir dire.
Et là, sous sa réponse, son sourire s’agrandit encore, un sourire victorieux et séducteur, la regardant toujours sans être gêné par quoi que ce soit, à part peut être une envie d'encore, voir de plus.
" Je suis des plus ravis que de l'entendre."
Puis, la conversation reprit sur quelque chose de moins difficile pour la demoiselle au cheveux blanc, parlant à nouveau de la situation dans laquelle ils étaient, venant à lui avouer les possibilité qui se cachait derrière le fait que Sakura est suivi Haku dans son départ précipité. Il haussa simplement les épaules lorsqu'elle en fut surpris, venant boire de nouveau un peu de son verre, souriant sous son caractère qui ressortait vivement lorsqu'elle s'énervait, trouvant cela plutôt charmant aussi.
Il haussa de nouveau les épaules quand elle fit par de son questionnement, se demandant comment elle ferait pour retourner Haku dans son sens, répondant seulement.
" Je ne sais pas, mais elle est doué pour apporter les emmerdes, alors ça ne m’étonnerait pas qu'elle y arrive."
Une vrai fouille merde, capable de bien des choses tant que cela l'arrange. D'ailleurs, en parlant d'elle, il ne fallut pas longtemps pour qu’elle revienne, accompagné de Haku qui, étrangement ,avait totalement changé de façon de se tenir, comme si rien ne s'était passé et, papotant joyeusement avec Sakura. Tout cela ne faisait que confirmer ce dont ils avait parlé et, Saki, elle, qui avait tout entendu, continuait à vouloir seulement être tranquille. Karl lui, prenait aussi un air tranquille, mais, connaissant déjà les risques qui pouvait arriver, avait donc une longueur d'avance sur leur petit jeu.
-
Étant estomaquée d’apprendre que Haku avait le béguin pour elle, n’ayant rien vu venir d’ailleurs, Rubis se demanda donc s’il y en avait d’autres aussi qui craqués pour elle, et que bien entendue, elle n’aurait rien vue non plus comme pour son jeune collègue barman.
C’est donc en admirant toute gênée le comptoir quelques instants avant de reporter son regard vers Karl, que la jolie serveuse le regarda toute gênée après lui avoir partager ce questionnement. Et la première réponse du videur sous forme de question d'ailleurs fit ouvrir de grands yeux à la demoiselle, la faisant cligner plusieurs fois des yeux quand il lui demanda si son interrogation concernait les clients ou les employés. Mais n’ayant point le temps de rétorquer, la mignonette n’eut point à réfléchir à la question quand son séduisant collègue vint lui confier le nombre de collègues qui avait donc un crush sur la demoiselle, la faisant rougir un peu plus alors qu’elle passa sa main dans son cou toute gênée de nouveau.
« Trois ? Donc… Il y a Haku, ce qui fait qu’il en reste deux c’est ça ? Mais… Qui sont les deux autres alors ? »
Commençant à caresser son cou, les joues toujours rouges, Rubis détourna parfois le regard, se pinçant les lèvres en fronçant de réflexion doucement les sourcils, essayant de trouver qui pouvait être les deux autres employés en question.
« Bon… J’ai pas été très douée pour m’en rendre compte pour Haku… Comment faire… Peut-être réfléchir à qui est « plus gentil » ou « sympathique» avec moi que les autres, non ? Et… Faut-il que je prenne en compte nos collègues féminines ?»
Demanda-t-elle autant à elle-même qu’au charmant videur à ses côtés, commençant donc après cela à énumérer les prénoms de tous leurs collègues, en venant y ajouter des petits « Non ? » , « Oui ? » et « Peut-être ? » ou encore des « Mmmm… Sûrement pas ? » . Cela était sûrement très comique à observer, surtout pour le videur qui se retrouvait pour le moment seul avec elle, Saki ayant pris la poudre d’escampette pour le moment et Sakura étant en pause avec Haku. Passant son regard du comptoir au visage du videur, le regardant comme si elle cherchait une approbation ou désapprobation de sa part à chaque fois qu’elle disait un nom, la jolie albinos cherchait bon gré mal gré qui pouvaient bien être ces fameux employés sous son charme.
Et, quand à un moment après avoir fait le tour de pas mal de monde, notamment des collègues masculins, arriva donc enfin le tour du videur, la jolie albinos rougissa beaucoup plus en déglutissant doucement, son coeur battant à milles heures en regardant le comptoir, avant de relever doucement son regard vers Karl.
« Heu… Je… Tu… Est-ce que tu… Enfin, je veux dire… Tu… Toi aussi, tu as… Le… Pour moi ? »
C’est en bégayant d’une voix timide qu’elle lui demanda cela, rougissant de plus belle en venant jouer avec ses cheveux en le regardant, déglutissant doucement en détournant le regard vers le comptoir.
Rubis n’osait pas le regarder, appréhendant sa réponse, ayant peur de ce qu’il pourrait lui dire, alors que son cœur tambourinait de plus belle dans sa poitrine dans un faux espoir mais aussi par crainte. Car, si elle était honnête avec elle-même, elle devait reconnaître qu’elle était tout sauf indifférente au charme du videur mais aussi à ce qu’il avait pu montrer de son caractère au boulot ou lors des discussions. Oui, il lui plaisait énormément et elle l’appréciait tout autant, ne pouvant s’empêcher de le zieuter discrètement à chaque fois qu’elle le voyait passer d’ailleurs. Mais, elle craignait que cela ne soit pas réciproque et préférait donc se taire, c’était peut-être lâche, surtout pour une grande gueule comme elle est, mais elle préférait ça que passer pour une petite idiote à ses yeux.
Après cela, la jolie albinos avait d’autres interrogations qui concernaient à présent ce baiser qu’ils avaient échangé tous deux un peu plus tôt. Touchant ses lèvres par moment tout en se les pinçant de temps à autre, continuant de rougir en le regardant, la jeune serveuse fut plus que touchée d’apprendre que Karl n’avait pas été déçu par le goût de ses lèvres et sa langue, la faisant rougir de plus belle alors que son coeur s'emballer à cet aveu. Venant ensuite avouer à son tour qu’elle avait été conquise par les siennes aussi, venant les qualifier de délicieuses et de sublimatrices de goût, tout en continuant de rougir et se pincer les lèvres en le regardant, le coeur de la demoiselle n’arrêtait pas de jouer son concert en l’entendant lui répondre qu’il était ravie de l’apprendre, le tout en souriant avec son si beau sourire qui la faisait littéralement fondre.
« Je… Ravie de te ravir alors… » répondit-elle d’une petite voix en jouant légèrement avec ses lèvres du bout de ses doigts en ne le quittant pas des yeux « Tu… Elles ont un goût de revenez-y pour être honnête… »
Avoua-t-elle timidement en continuant de jouer avec ses lèvres de ses doigts graciles ou de ses petites quenottes blanches, avant de détourner timidement le regard en regardant ailleurs, gênée de son aveu sortie comme cela.
Puis après ce petit moment de confidences assez intenses il fallait le dire, la conversation revint à un sujet des plus sérieux, qui faisait s'enthousiasmer la jolie serveuse en la faisant pester de plus belle, retrouvant son petit caractère bien trempée qui dénotait totalement avec ses petits instants de gênes et timidités. Soupirant et pestant, de colère mais aussi d’inquiétude à cause de ce pauvre Haku dont Sakura apparemment avait jeté son dévolu sur lui, Rubis se faisait un tas de réflexions mais se posait aussi des questions dont elle fit part à Karl. Mais les haussements d’épaules du videur ne rassurait pas vraiment la demoiselle et encore moins sa réponse, qui ne faisait que lui confirmer ses craintes sur Sakura et son possible lavage de cerveau sur leur collègue.
Restant silencieuse et buvant quelques gorgées de son verre tout comme son charmant collègue à ses côtés, l’albinos haussa doucement un sourcil en voyant justement la serveuse et le barman revenir ensemble, bras dessus et bras dessous. Saki quant à elle arriva peu de temps avant eux, ne manquant pas les commentaires exceptionnels de Karl sur leur collègue, avant d'annoncer son départ pour rentrer chez elle tandis que Sakura la suppliait presque de prendre un dernier verre, ce que la barmaid accepta en soupirant, prévenant qu’elle se sauvait après cela.
Alors que Haku servait de nouveau joyeusement un verre à tout ce beau monde, Saki le regardait en buvant silencieusement son verre, ne pouvant s’empêcher de trouver cela louche de voir Sakura autant lui toucher le bras ou même lui parler d’une voix mielleuse. Mais bon, elle se disait que le jeune homme n'était pas assez con ni désespéré pour se faire avoir par cette emmerdeuse de compétition, en tout cas elle l’espérait fortement. Jetant aussi un œil à nos deux loustics qui ont fait le buzz avec leur baiser ce soir, la barmaid ne pouvait s’empêcher de demander avec curiosité ce qui allait se passer entre ces deux-là.
Mais bon, curiosité ou pas, Saki s’enfila rapidement son verre et salua ses collègues, finissant par se sauver par la porte de service. Ils se retrouvérent donc maintenant à quatre autour du bar, deux de chaque côté du comptoir, avec un silence pesant qui venait de prendre place soudainement, mais qui fut rapidement brisé par la petite tête blanche.
« Bon bah, je vais pas tarder moi aussi… Je finis mon verre et j’y vais aussi. »
« Déjà ?!? Mais reste encore un peu Rubis ! S’il-te-plait ! »
Soupirant doucement en fermant les yeux, la jeune serveuse reporta ensuite son regard vers son collègue à ses côtés, se demandant seulement en cet instant ce qu’il allait faire, est-ce qu’il allait rester ou partir tout comme Saki et comme elle prévoyait de peut-être le faire après cette soirée des plus mouvementées émotionnellement. Est-ce qu’elle allait l’imiter ? Bien sûr que oui, sur ce coup-là elle allait faire sa petite copiteuse en le copiant avec subtilité bien entendu.
-
Un long sourire se figea sur son visage sur un coin de ses lèvres lorsqu'elle se mit à réfléchir avec insistance sur qui avait le béguin pour elle parmi les employé. Dans le lot, elle en avait déjà un, donc, plus que deux à deviner. Ses mimiques étaient très amusante à ses yeux et le faisait discrètement rire venant répondre à sa première phrase
" Tu peux prendre en compte la gente féminine."
Oui, cela rajoutait pas mal d'option, mais cela ne servait à rien de mentir. Il la regardait se battre contre ses propres pensées, n'ayant, comme lorsque l'on écoutait quelqu'un qui parlait au téléphone, que la moitié de sa conversation. Prenant une gorgée de sa boisson, il l'entendit lui poser la question, voulant savoir si lui, en faisait parti. Un simple sourire au visage, un regard droit vers le sien et une voix langoureuse il dit simplement
" Plus qu'une personne à deviner désormais."
Venant donc confirmer sa demande, mais sans s'y attarder. Il ne savait pas s'il pouvait parler de béguin, mais oui, elle lui plaisait, elle l'attirait et titillait sa curiosité sur beaucoup de points. Histoire de mettre une petit clou en plus sur tout cela et de voir les émotions de la demoiselle rebelle partir au quart de tour, ils avaient discuté de si cela leur avait plus, la réponse ayant été positif, il fut des plus ravis lorsqu’il l’entendit lui avouer que, leur baiser avec un goût de reviens-y, le laissant la regarder, un léger rire se faisant entendre avant de lui répondre de la même voix séductrice
" Je vois donc que le goût va avec la pensée alors. "
Dit-il pour lui faire comprendre que oui, il ne dirait pas non à goûter à nouveau à ses lèvres, à leur parfum et leur douceur, ainsi que de les caresser de sa langue. Mais voilà, après tout cela, un sujet plus sérieux avait prit place sur la table, celui des manigances du patron, mais aussi celle de Sakura. Les points éclaircit et surtout, Rubis maintenant au courant de tout cela, les chances pour que leur petit jeu fonctionne sur elle n'irait pas bien loin, enfin, il l’espérait.
A leur retour, ils avaient bien put voir se retour à la " normal " beaucoup trop rapide et étrange, ce qui, il n'allait pas se mentir, l'amusait grandement. Saki, après un autre verre avait décidé de prendre la poudre d'escampette. Tel des domino, l'envie de partir était contagieuse et, Rubis laissa la même réponse se faire entendre d'entre ses lèvres. Bien-sur, cela souleva la réaction de certaine personne, Karl, venant cacher son sourire en finissant son verre, puis, le posa sur le rebord du comptoir avant de s'exprimer.
" Bon, c'est pas tout, mais je vais me rentrer moi aussi."
Pas de bonsoir pour les deux loustiques derrière le bar, seulement un regard verre la demoiselle au cheveux blanc, curieux de savoir si, elle continuerait à hésiter sur rester ou partir et si elle allait se faire laver le cerveau par leur collègues en restant trop longtemps là.
-
La demoiselle haussa doucement un sourcil en entendant le videur lui confirmer qu’elle allait devoir prendre en compte les dames parmi la liste des collègues ayant le béguin pour elle. Rougissant de plus belle à ses mots, la faisant cligner de surprise ses petites mirettes écarlates, étonnée d’apprendre que la gente féminine faisait partie aussi de la partie, Rubis hocha doucement de la tête en regardant Karl, commençant donc une longue série de petites remarques envers elle-même en énumérant plusieurs prénoms, commençant son introspection à la recherche de ses fameux collègues sous son charme. Puis vint enfin le tour du videur à ses côtés, la faisant encore plus rougir et la mettant dans un état intérieur qu’elle pourrait jurer que son cœur pourrait exploser à n’importe quel moment tant il battait fort dans sa poitrine.
C’est donc avec une curiosité mais timidité ainsi qu’une envie bien palpable que la jolie albinos vint demander au beau brun s’il en faisait partis, attendant impatiemment mais aussi avec crainte sa réponse, déglutissant doucement en le regardant, ses joues devenant encore plus rouges à mesure que les secondes défilaient. Et en entendant sa réponse, son cœur ne cessa pas de battre à toute allure pour autant, non. Au contraire, il tambourinait de plus belle, mais elle put sentir une douce chaleur l’envahir dans sa poitrine, se sentant étrangement rassurée par ses simples mots, son sourire et l’intonation de sa voix, le regardant de ses yeux tremblants mais d’un regard doux, un large sourire qui se dessinait sur son visage montrant bien l'intérêt de la demoiselle pour son collègue. Mais, se rendant compte qu’elle l’admirait peut-être un peu trop longtemps et qu’elle avait un peu trop la banane sur son joli minois, elle se mit doucement à tousser et détourner le regard, sa main jouant autant dans son cou que dans ses cheveux nerveusement.
« Heu… Ahem ! M-moui, plus qu’une personne alors… »
Essayant de reprendre de sa contenance, ça sautait aux yeux à des kilomètres qu’elle était sur un petit nuage avec son sourire aux lèvres. Toussant de nouveau en ne cessant de caresser la peau de sa nuque, rougissant comme une belle tomate, la jeune serveuse essayait de faire taire son coeur et de se reprendre comme elle pouvait, ne pouvant s’empêcher de penser qu’elle devait avoir l’air d’une belle niaiseuse à sourire autant et ainsi surtout. Réussissant tant bien que mal à se calmer, l’albinos se redressa un peu plus sur sa chaise, venant poser ses deux mains sur ses genoux en fermant les yeux, essayant d’éviter le regard tant que possible de Karl pour ne pas se retrouver à avoir l’air d’une nigaude trop heureuse en allant se noyer dans ses beaux yeux. Puis, elle reprit son introspection, essayant de faire comme si de rien n’était, ce qui était un peu difficile au début, sa voix venant se tordre et s'étouffer par moment, avant de réussir à retrouver une intonation un peu plus posée au fur à mesure qu’elle énumérait des prénoms.
« Mmmmh… Saki ? Non, elle est pas de ce bord-là… Natsumi ? Mmmmh… Surement pas, elle peut voir personne ici, ça m’étonnerait fort… »
Se pinçant les lèvres, fronçant ses sourcils pensive, la demoiselle cherchait avec sérieux la dernière candidate. Puis, plusieurs événements lui revenaient étrangement en tête : les mots doux d’une collègue en particulier, le nombre de fois où elle lui a claqué voir pincé les fesses, les compliments qu’elle lui faisait aux vestiaires pendant qu’elles se changeaient ensemble, sa façon d’envoyer bouler les autres collègues qui s'approchaient parfois un peu trop d’elle, sa façon d’insister auprès d’elle pour des soirées ou autres… Rouvrant en grand ses yeux, un regard plus que surpris comme si elle venait d’avoir une révélation, Rubis regarda Karl d’un regard presque sous le choc.
« Attends, ne me dis pas que… Non ? Si ?!? Sakura ?!? C’est pas vrai… Non… ? »
Après ce bouleversement des plus inattendus pour la jolie albinos par ce petit jeu d’enquête, le moment était venu d'aborder la question du baiser qu’ils avaient échangés. Avouant tout deux que cela leur avait plu, la demoiselle ne put s’empêcher de confesser ensuite que leur baiser avait un goût de reviens-y, détournant le regard quelques instants en rougissant après cet aveu. Mais quand elle entendit le léger rire du videur suivit de sa réponse, elle releva timidement son regard vers lui, caressant doucement ses lèvres du bout de ses doigts en le regardant, avant de venir se pincer ses lèvres en ne le quittant pas des yeux.
« Mmmmmh Mmmmmh… » fit-elle d’une petite voix, avant de hocher lentement la tête, ses yeux plongés dans les siens, ses joues rosées qui refusaient de la quitter pour le moment « Et cette pensée à hâte de pouvoir savourer à nouveau ce goût… »
Ajouta-t-elle d’une petite voix mielleuse et séductrice, son cœur recommençant à battre sous cet aveu subtile, souhaitant lui faire comprendre également qu’elle ne serait pas contre à réitérer l'expérience. Bien au contraire même, elle ne demandait que ça à autant se pincer les lèvres et les titiller de ses doigts en tapotant dessus parfois, ne cessant de le regarder alors qu’ils étaient encore seuls pour le moment. Profitant du fait qu’ils étaient également tranquilles sûrement, ils discutèrent d’un sujet beaucoup moins léger après cela, venant à parler des magouilles de leur patron et des ruses de Sakura dans celles-ci, faisant tout son possible pour que l’albinos y prenne part aussi malgré ses refus à répétitions. La jeune serveuse n’aurait pas deviné sa collègue aussi manipulatrice, craignant plus qu’elle ne fasse de mal à ce pauvre Haku qu’à elle-même pour être honnête, redoutant qu’elle joue avec les sentiments du jeune barman comme elle semblait le comprendre au travers des mots du séduisant videur.
Mais voilà, après cette discussion des plus sérieuses, une fois que leurs collègues furent revenus, deux d’une pause improvisée et une autre d’une fuite pour aller prendre ses affaires en vue de rentrer chez elle, ils se retrouvèrent à nouveau en petit comité. La soirée reprit une ambiance un peu trop « normale », pesant sur l'atmosphère malgré les tentatives de reprendre ce moment convivial par Sakura. Mais Saki ayant vu clair dans son manège, était fatiguée par tout cela mais surtout à cause de leur boulot, et elle ne tarda donc pas à se sauver pour quitter tout ce beau monde. Son départ, tel l’envoi du premier feu d’artifice dans le ciel, donna fortement envie aux autres explosives colorées d’en faire de même, venant donc inspirer la jolie albinos à suivre le mouvement. Annonçant son départ également, Rubis se fit gentiment supplier par sa collègue de l’autre côté du bar de rester, ce qui ne manqua pas de faire soupirer la mignonette de son insistance. Reportant ensuite son regard vers le videur, se demandant s'il allait rester ou partir, prête à le copier en toute impunité peu importe son choix, elle put avoir le soulagement de l’entendre annoncer à son tour qu’il partait, lui arrachant un petit sourire qui ne plut pas du tout à Sakura.
« Vous vous êtes donné le mot pour être des rabats-joies vous deux ce soir ! » venant plisser des yeux en croisant les bras, jetant un regard rapide à Karl « Bon, venant de toi, je suis pas très étonnée… Mais… » reportant son regard sur Rubis, la regardant d’une mine suppliante qui pouvait autant faire pitié que rire « Alleeeeeeeeer Rubis ! S’il-te-plait, reste encore un peu ! »
Alors, même si la jeune serveuse n’était visiblement pas douée pour se rendre compte des collègues qui avaient le béguin pour elle, là, elle voyait très bien que l'insistance de Sakura était plus que louche, voire même lourde. Venant à soupirer par le nez en haussant un sourcil, la petite tête blanche secoua sa tête à la négative, ne prenant même pas la peine de lui répondre vocalement. Et cela agaça de plus belle Sakura, qui se mit à taper du pied sur le sol, venant à surprendre le jeune barman à côté d’elle qui regardait tout ça sans dire un mot, s’occupant de ses verres à laver et essuyer sans dire un mot.
« Maiiiiis ! Qu’est-ce que tu as de si intéressant à faire pour ne pas rester encore un peu hein ? »
« … Bah… Des choses bien plus intéressantes… »
« Ha oui ? Et on peut savoir quoi hein ?! »
« Mmmh … Du sport… De la danse précisément… »
Répondit Rubis en haussant les épaules d’une voix taquine, esquissant un joli sourire, bien amusée en voyant la tête de sa collègue qui ne semblait pas la croire vu l’heure tardive. Puis, étant prise d’une envie joueuse à souhait, la jolie albinos eut une idée des plus délicieuse et amusante pour surenchérir ses propos. Rubis reporta ensuite son regard vers Karl, esquissant un petit sourire en le regardant de ses yeux pétillants et amusés, se penchant lentement vers lui en venant toucher son bras, le caressant un petit peu du bout de ses doigts, avant de prendre une petite voix séductrice et impatiente sur la fin.
« C’est que cette danse ne va pas se faire tout seul… On y va ? »
Et en entendant les mots de Rubis, Sakura ouvrit de grands yeux, totalement surprise, laissant ses bras tomber le long de son corps, la bouche grande ouverte de stupéfaction, passant son regard du videur à la serveuse, n’en croyant pas ses yeux. Quant à Haku, il cassa de nouveau un verre, mais cette fois au lieu de le lâcher, il le fit éclater sans un bruit dans le torchon dans sa main, visiblement contrarié en ayant entendu les mots de l’albinos mais surtout contrarié de voir ce qui se passait sous ses yeux, encore plus après ses échanges avec sa collègue dans la ruelle pendant leur pause.
-
Karl se délectait des réactions de la demoiselle devant ses yeux. Ses mimiques, ce changement entre le fait qu'elle voulait paraître sur d'elle, rebelle par rapport à ce moment où elle était aussi rouge qu'une étudiante devant ses premiers émois. Cela l'amusait beaucoup et, lui plaisait beaucoup aussi, voyant des gestuelle chez elle qu'il trouvait attirant, son regard, ses lèvres pincé, touché de temps en temps par ses fins doigts, ce sourire qu'il n'avait jamais vu sur son visage.
Et la, quelques chose fit clique dans sa petite tête blanche, elle venait enfin de trouver, après quelques tentative infructueuse, qui était la troisième personne qu'elle intéressait au boulot.
" Bingo. "
Dit-il simplement en la regardant sous cette annonce. Déjà sous le court moment où ils s'était côtoyé, elle lui avait parlé de la jeune Rubis et lui avait même soumis quelques idées qui, ne se sont jamais réalisé au final. La suite continuait à être des plus plaisante, entendant que la demoiselle a ses cotés avait bien envie de réitéré ce baiser et que, de son coté, il n'était pas du tout contre, meme bien plus d'ailleurs, il souriait, laissant un regard tentateur et prédateur dévorer celui de Rubis, lui répondant d'une voix suave
" Quand cela te sera préférable."
Dit-il pour lui accorder la possibilité de remettre cela quand elle le souhaiterait. Mais avec tout cela, le petite monde de fin de soirée de travail était de retour pour un dernier verre, ainsi que des manigances, bien que, grâce au départ de Saki, ce fut assez rapidement écourté et, permis d’éviter tout cela. Il ne releva pas la remarque de Sakura quand il décida lui aussi de partir, tandis qu'elle cherchait à convaincre Rubis de rester encore un peu. Mais là, cette dernière, gagna des points auprès du videur, relevant un sourcil en l'écoutant dire d'abord qu'elle avait d'autre chose à faire bien plus intéressante, attirant l'attention de tout le monde à ce moment, puis, elle leur cloua le bec en venant, d'un simple regard, désigner Karl comme partenaire de danse pour la soirée.
Oh ho ho, Il allait savourer cela avec beaucoup d’intérêt, la regardant un instant avant de prendre un sourire joueur, prédateur en regardant Sakura, puis Haku. Sous la légère caresser de Rubis sur sa main, lui, laissa par la suite la sienne glisser dans son dos, venant de son pouce frôler et caresser on dos de tout son long, lentement, passant de ses reins jusqu'à la naissance de sa nuque avant de redescendre et de dire
" Et bien sur ce, il serait bête de perdre du temps alors."
Il jeta ensuite un regard vers Sakura une dernière fois pour se moquer d'elle
" Les cours particulier ne sont pas pour tout le monde."
Puis, il se tourna de nouveau vers la jolie rebelle, venant achever cela en lui disant
" Allons-y ? "
-
Quand elle entendit de nouveau le videur lui confirmer l'identité de la troisième personne sous son charme, la jeune serveuse cligna plusieurs fois des yeux de surprise, venant lâcher un faible mais fort à la fois « J’y crois pas… » tout en venant poser sa main sur sa joue, visiblement bien étonnée d’apprendre cela.
Mais la suite de leur conversation n’allait pas aider la demoiselle à être moins surprise ni moins rougissante d’ailleurs, ho non. Mais elle lui serait bien plus agréable, venant concerner directement ce délicieux baiser qu’ils avaient échangés et qui ne les avait pas laissé de marbre l’un comme l’autre visiblement. La jolie abinos venant même avouer que leur baiser avait un goût de reviens-y et qu’elle avait hâte de pouvoir recommencer, le regardant timidement mais avec envie en jouant avec ses lèvres. Et en entendant la réponse de Karl, Rubis eut son cœur qui se mit à battre de plus belle, pinçant un peu plus ses lèvres tout en les caressant de ses doigts délicats, n’essayant pas de fuir son regard pour le moment.
« Je dirais bien maintenant, mais… Je vais avoir l’air d’une gourmande doublée d’une impatiente… » venant mordiller légèrement sa lèvre en le regardant, rougissant un peu plus « Je vais essayer d’être sage et de proposer cela pour plus tard… Peut-être tout-à-l’heure même… »
Et après ce brûlant aveu dans ce moment plutôt agréable, la soirée reprit un cours plus tempéré, venant parler de divers soucis avant de revenir à une soirée des plus classiques entre collègues si on pouvait dire une fois tout le monde réunis de nouveau. Alors que l’une des convives de la soirée se sauva, donnant l’inspiration à la mignonne serveuse et le charmant videur d’essayer d’en faire de même, la nouvelle binôme de l'organisateur de cette petite sauterie tenta tant bien que mal de retenir Rubis, ne voulant visiblement pas que cette dernière s’en aille. Sakura en venait à s’agacer sous les réponses que lui donna la petite blanchette qui ne voulait pas rester, devenant même un poil arrogante, désobligeante et bien curieuse au sujet de l’emploi du temps de celle-ci, ce qui ne manqua pas d’agacer Rubis avant de fortement l’amuser, voyant là une superbe occasion à saisir pour s’amuser un peu.
Et c’est ainsi que la jeune serveuse vint chercher son séduisant collègue, venant lui caresser la main tout en le regardant de ses yeux pétillants, lui souriant en prenant une petite voix séductrice en lui demandant s’ils y allaient, venant le mêler à ce petit jeu fort amusant. C’est avec un plaisir immense que Rubis put sentir Karl répondre à son jeu, venant la faire trembler doucement de tout son corps en sentant sa main caresser son dos, venant la faire se pincer les lèvres légèrement en soupirant d’aise par le nez, adorant beaucoup trop la sensation de son pouce qui avait longeait toute sa colonne jusqu’à sa nuque. Quant à la réponse qu’il lui donna, cela la fit esquisser un large sourire, ravie de l’entendre surenchérir à son tour, alors que Sakura jeta un regard noir à Karl tandis que Haku, lui, venait à se mordre l’intérieur de la joue tant il était contrarié tout en continuant de serrer le verre brisé dans le torchon dans sa main, venant s’entailler un peu plus celle-ci.
« Mmmh mmmh, moui… »
Hochant doucement de la tête en le regardant d’un regard séducteur, Rubis tourna légèrement son siège vers Karl, venant rapprocher doucement son visage du sien, ses lèvres frôlant les siennes pour y déposer un baiser du bout de celle-ci, avant d’enfin poser les pieds au sol et se relever.
« Allons-y « Professeur ». J’ai grande hâte de commencer ces cours. »
Venant surenchérir en haussant un sourcil joueur, ses yeux pétillants de malice, la jeune serveuse attrapa délicatement la main du videur qu’elle caressait un peu plus tôt. Puis, doucement, elle le tira lentement vers elle, l’invitant à se mettre en marche pour aller aux vestiaires récupérer leurs affaires, jetant un regard fière d’elle et très amusée vers le comptoir du bar, faisant un petit salut de tête toute sourire à ses deux collègues.
« Bonne soirée et à demain vous deux ! »
Faisant un petit clin d'œil en tirant la langue, esquissant ensuite un sourire amusé tout en riant avec légèreté, la demoiselle prit le chemin du couloir pour aller aux vestiaires, gardant la main du videur dans la sienne en l’invitant à la suivre s’il le voulait. Du moins, le temps de ce petit manège fort amusant, qui faisait pester l’autre serveuse qu’on entendait taper du pied agacée depuis le couloir, tandis que le barman à ses côtés était silencieux comme un mort. Mais Rubis devait reconnaître que ce petit jeu n’avait pas était qu’amusant à ses yeux. Il avait était fort plaisant également, pouvant avoir la joie de pouvoir sentir la main de son collègue dans la sienne, ses doigts se serrant autour de celle-ci, ce qui lui faisait accélérer un peu trop son palpitant cardiaque en ce moment, mais elle adorait ça en prime.
-
Non, Karl n'avait pas la mémoire d'un poisson rouge, alors, quand elle lui dit qu'elle lui proposerait de goûter à nouveau à ses lèvres plus tard, il ne risquait pas de l'oublier, mais il n'en dit rien.
La conversation avait continuait et, la meilleure partie de la soirée,, après leur baisé bien-sur, était arrivé. La demoiselle avait choisi de faire tourner en bourriques Sakura et Haku en disant qu'elle avait des choses plus intéressante à faire en sa compagnie que de rester pour boire un verre et Karl, amusé, curieux et intéressé, suivi le jeu sans aucun problème. Il put sentir avec plaisir le corps de la belle Rubis réagir sous sa caresse, tremblant sous le passage de ses doigts, lui permettant de bien sentir toute la sculptures de la belle danser sous ses doigts, gardant un sourire en coin bien visible en faisant cela.
Le résultat escompté de leur coté était réussi, Sakura le fusillait du regard, Haku fumait intérieurement, mais n'arrivait pas à le cacher. Mais bon, toute les bonnes choses ont une fin et il ne fallait pas abuser de celle-ci, alors, il avait demandé à la demoiselle d'y aller, ce à quoi elle répondit positivement avant de lui offrir avec un grand plaisir ses lèvres, même si, cette fois ci, ce n'était qu'un simple frôlement.
Grosse erreur de sa part, cela l'avait des plus excité et frustré en même temps, alors, il allait, cela aussi, le retenir. Il la suivit ensuite, un sourire victorieux au lèvres tout en jetant un regard en coin au deux autres derrière le bar, leur offrant un geste de la main pour leur dire au-revoir tout en se laissant tirer par la demoiselle au cheveux blanc. Une fois au vestiaire, ils se séparèrent donc, Karl, allant récupérer tout simplement ses vêtements qu'il avait laissé pour les laver puis, quand Rubis sorti, il lui dit d'une voix séductrice, la surplombant de toute sa taille, la tête légèrement penché sur le coté tandis que son regard agrippait le sien.
" Alors ? Chez qui préfère tu réviser ? Il y a toute la place pour danser chez moi."
Oui, il avait bien deviné que c'était un petit jeu, mais il avait bien deviné qu'il ne la laissait pas du tout indifférente, que ce soit dans sa façon de parler, son regard et ses réaction, surtout sous la caresse qu'il lui avait offerte. Cela n'avait peut être était qu'un jeu pour se venger de Sakura, mais, il allait voir si cela pouvait se faire véritablement, ayant une grande envie de savoir comment cette belle demoiselle pouvait danser, mais surtout, chanter.
-
Tandis qu’ils marchèrent le long du couloir menant aux vestiaires, Rubis qui serrait doucement la main de Karl entre ses doigts graciles se retrouva à relâcher son emprise sur celle-ci, une fois qu’ils arrivèrent à destination. Et c’est donc naturellement mais à contre-cœur, qu’elle relâcha son emprise afin qu’ils puissent se séparer, pouvant aller s’affairer chacun de leurs côtés. De son côté donc, la demoiselle récupéra sa veste en cuir, sa casquette ainsi que son sac, et étant toujours à l’intérieur, elle garda sagement son couvre-chef dans ses mains.
Sortant rapidement des vestiaires, elle retrouva le videur devant ceux-ci, étant visiblement le premier à sortir. Et alors qu’elle s’approcha de lui, elle se mit à rougir doucement en entendant son timbre de voix, admirant ses si beaux yeux et le regard qu’il lui jetait, se sentant toute petite face à lui qui la surplombait de toute sa taille. Puis son cœur se mit à battre à toute allure sous ses mots et son beau sourire, faisant trembler ses petits yeux en se noyant dans les siens, venant déglutir doucement et lentement en le regardant, avant de prendre une petite voix.
« Je… Heu… »
Balbutia-t-elle timidement pour commencer, venant se pincer les lèvres en ne le quittant pas du regard. Même si tout cela avait été un petit jeu pour taquiner leurs collègues et se sauver d’eux, la jolie albinos devait reconnaître qu’il y avait une pointe d’envie cachée dans tout cela. Oui, elle n’était pas indifférente au beau brun face à elle, tout chez lui l’attirait et la titiller. Elle désirait en savoir plus sur lui et le connaître davantage, même plus que ça en effet.
Venant donc se rapprocher un peu plus de lui lentement, la jeune serveuse libéra une de ses mains posées sur sa casquette, reprenant lentement la parole en même temps qu’elle supprimait le peu de distance qu’il y avait entre-eux en cet instant.
« Bah… Si ta salle de cours est libre, je suis partante pour y aller… »
Prenant une petite voix mielleuse en plongeant ses jolis mirettes écarlates emplie d’envie dans ses beaux yeux, ne cessant de rougir pour autant en l’admirant, Rubis vint poser sa main de libre sur le torse de Karl, ses doigts venant jouer lentement sur le tissu de sa chemise. Puis elle attrapa ensuite délicatement sa cravate entre ses doigts, venant tirer dessus doucement pour l’attirer à elle, son visage de nouveau proche du sien comme tout à l’heure au comptoir.
« Et… Voici un petit acompte pour le cours cher professeur… »
Relâchant ses lèvres d’entre ses dents, esquissant un sourire charmeur, un regard séducteur et joueur plongé dans celui du videur, la jeune serveuse déposa ses lèvres contre les siennes. Venant lui offrir un doux et long baiser en fermant les yeux, poussant le bouchon jusqu’à lancer une invitation à un baiser plus langoureux en venant passer sa langue sur les lèvres de son séduisant collègue, dont elle avait une forte et folle envie de l’embrasser. Mais pas seulement, vu qu’elle acceptait de transformer leur petit spectacle auprès de leurs collègues en un show plus privatisé en sa compagnie.
-
Karl ne la quittait pas une seule seconde du regard, savourant de la voir perdu, balbutiante, cherchant ses mots en rougissant, se rapprochant encore un peu d'elle pour ajouter un peu de pression, puis il ne put s’empêcher de sourire un peu plus en la voyant faire de même, puis, en l'écoutant, cette fois, sans bégaiement et avec assurance.
Il se mit doucement à rire avant de lui dire toujours sous un ton séducteur
" Oh, elle est belle et bien libre. "
la regardant venir passer sa main sur son torse, s’agrippant à sa cravate pour le tirer vers elle. Ce contraste qu'elle pouvait avoir le faisait beaucoup rire, sa timidité à couper au couteau par moment venant être supplanté d'un coup, disparaissant pour laisser place à une jeune femme paraissant sure d'elle. Il prit donc avec grand plaisir l’acompte qu'elle lui offrit à cette instant, laissant ses lèvres caresser les siennes avec envie, puis, quand il senti la pointe de sa langue venir jouer sur ses lèvres, il ne se fit pas prier pour laisser la sienne la rejoindre. Mais il n'allait pas rester planter là, comme ça, sans rien faire, alors, il vint passer sa main droite derrière la tête de la belle, glissant sous sa chevelure blanche ses doigts, tandis que son autre main glissait dans son dos, se posant sur ses reins pour venir la tirer contre lui, doucement pressé contre son corps. Il savoura un instant, ce baiser avec un grand plaisir et un désir bien vif, une envie de plus bien brûlante en lui, venant lui dire dans un murmure
" Attention Mademoiselle, où je risque de vous faire un cours sur place avec un acompte trop important."
Oui, c'était un avertissement, lui n'avait pas froid aux yeux, alors, danser dans les vestiaires du bar ne lui faisait pas vraiment peur si elle le titillait de trop.
-
La jeune serveuse rougissa en entendant le videur rire avec légèreté avant d'avoir le plaisir immense de l’entendre lui confirmer que « sa salle de cours » était libre. Esquissant un petit sourire ravie à ses mots, alors qu’elle posa sa main sur son torse, venant jouer de ses doigts graciles sur sa chemise, elle lui adressa un regard joueur et séducteur, venant à prendre une voix mielleuse à souhait.
« Parfait ! »
Puis elle attrapa ensuite sa cravate entre ses doigts, venant l’attirer de nouveau vers elle, lui annonçant la transaction d’un petit acompte pour son cours particulier, venant donc ensuite prendre ses lèvres en otage pour lui offrir un long baiser qui promettait de ne pas rester doux. En sentant Karl répondre à son baiser, ayant le bonheur de sentir sa langue venir danser avec la sienne, Rubis se mit doucement à trembler en gémissant contre leurs lèvres, commençant déjà à avoir un bon coup de chaud. Et ce fut encore plus intense quand elle sentit son séduisant collègue venir passer ses mains dans sa chevelure et son dos, l’attirant contre lui et pouvant sentir tout son corps contre le sien, pouvant ressentir ses muscles réagir mais aussi son corps musclé se mouvant par sa respiration contre son corps, adorant de pouvoir le sentir ainsi si proche d’elle.
Alors qu’elle décolla lentement ses lèvres des siennes, venant récupérer un peu de souffle après ce délicieux baiser des plus brûlants, la jolie albinos put entendre de nouveau la voix du beau brun qu’elle aimait tant écouter, esquissant un sourire amusé à ses mots. Se pinçant doucement les lèvres en le regardant, sans pour autant s’éloigner de lui, restant bien collé à lui, elle lui jeta un regard malicieux et joueur, venant frôler ses lèvres des siennes avant de lui répondre d’une voix presque défiante.
« Mmmmh ? C’est comme ces offres du premier cours offert pour tester si ça nous plait avant de nous engager c’est ça ? » le regardant avec une bouille joueuse et un sourire taquin, le cherchant un petit peu « Mmmmh… Cela m’a l’air intéressant… Après tout, c’est vrai, ça se trouve je risque de ne pas aimer vos cours cher professeur… Donc, peut-être avant de m’engager et d’aller jusqu’à votre salle de cours, il serait préférable que je vérifie si vos cours me conviennent avec un essai… »
Rubis regardait Karl avec un regard des plus amusés et taquin, n’ayant visiblement pas peur de son avertissement, elle s’en amusait même en venant le taquiner sur ses talents de danseur. Ho oui, elle le cherchait bien et avait visiblement très envie de danser avec lui, venant se coller un peu plus à lui en venant lui offrir un nouveau baiser langoureux, n’ayant visiblement pas peur de ce qui pourrait arriver après cela, bien au contraire.
-
" On peux voir cela comme ça "
Dit-il dans un premier temps en entendant la blanche demoiselle reprendre la parole après son avertissement, mais, apparemment, elle avait décidé de ne pas se calmer, mais plutôt de suivre cela, venant accepter cette idée de faire un " essais " sur leur lieu de travail, ce qui ne put que lui plaire et l'amuser. Toujours collé l'un contre l'autre, la chaleur et la tension montait entre eu deux, il se doutait que quelques arriverait sûrement durant le danse, mais, il s'en fichait royalement, alors, lorsqu'elle se mit à l'embrasser de nouveau langoureusement, lui y répondit avec plus d'intensité, ses lèvres caressant les siennes avec envie, sa langue chassant roulant et dansant avec la sienne, imbibant leur lèvres d'une salive mélangé et délicieuse.
Sur ces quelques secondes passé, il ne fit rien, mais, après cela, l'embrassant toujours, il laissa descendre sa main se trouvant dans ses cheveux pour venir passer ses deux mains sous ses fesses, la soulevant alors de sol. Là, il choisit au hasard, ou plutôt, le vestiaire qui se trouvait dans al direction ou il pourrait marcher sans prise de tête, ce qui se trouva être celui des femme, poussant la porte à l'aide de son épaule en continuant de se délecter des lèvres de la jeune femme. Une fois à l’intérieur, la porte battante se refermant derrière eux, il vint plaquer la demoiselle contre les casier, coincé entre les portes et son torse en continuant de la tenir ainsi, une bosse dur pouvant facilement se faire désormais sentir au niveau de son pantalon, venant lui susurrer à l'oreille en laissant un instant ses lèvres
" Et bien que la séance d'essais commence alors "
Dit-il, venant conclure cela en passant sa langue sur sa nuque avant de mordiller délicatement son oreille.
-
Ayant adoré la réponse du videur, la jeune serveuse esquissa un large sourire en venant se pincer les lèvres entre ses dents, ne le quittant pas de ses yeux pétillants de malice mais surtout d’envie, avant de venir se saisir de nouveau de ses lèvres. Puis, pouvant avoir le plaisir de le sentir lui répondre à son tour dans un baiser plus fougueux et énergétique, elle resserra sa prise de ses doigts délicats sur sa cravate alors qu’elle se collait totalement à lui, se laissant presque tomber contre lui en gémissant sous les caresses de sa langue et ses lèvres, lui donnant davantage chaud et envie de lui surtout.
Pendant qu’elle savourait avec bonheur son délicieux baiser, elle put sentir sa main rejoindre son autre main dans son dos pour venir se glisser sous ses fesses bombées, le sentant l’attraper et la soulever, la faisant relever ses jambes pour les passer autour de lui, faisant remonter doucement sa jupe et dévoilant le haut de ses bas sur ses belles gambettes qui enlaçait à présent sa taille. Puis, ne s’arrêtant pas là, elle relâcha sa cravate et vint poser sa main sur son épaule pour s’agripper un peu plus à lui, voulant lui faciliter sa prise sur elle, alors qu’elle tenait toujours son autre main sa casquette et son sac entre eux deux.
Une fois pénétré dans le vestiaire, le sentant la coller contre les portes des casiers, la coinçant ainsi entre lui et les meubles, elle en profita pour relâcher sa casquette et son sac, les faisant tomber au sol alors qu’elle vint poser sa seconde main enfin libéré sur son autre épaule, tout en continuant langoureusement à l’embrasser en gémissant un peu plus. Elle rougissait légèrement en sentant leurs deux corps bien collés l’un contre l’autre, pouvant ressentir sa bosse contre elle et surtout contre sa petite culotte commençant à devenir humide d’envie.
Alors que Karl libéra ses lèvres quelques instants, venant lui susurrer quelques mots à l’oreille, Rubis esquissa un petit sourire ravie, adorant ses mots. Puis elle se mit à trembler de tout son corps en le sentant ouvrir les hostilités de sa langue et ses dents, la faisant soupirer d’aise tant c’était bon. Hochant doucement la tête ensuite, passant un de ses bras autour de son cou pour venir glisser sa main dans ses cheveux, elle vint souffler sensuellement sur son oreille avant de lui répondre d’une petite voix chaude.
« J’ai hâte de vous sentir à l’œuvre professeur… Et que vous me donniez envie de m’inscrire à tous vos cours… »
Et là doucement, elle vint embrasser son oreille délicatement, avant de venir mordiller le haut de son oreille, puis venant déposer plusieurs baisers entre son oreille et son cou, tandis que sa main vint se placer autour de son cou, jouant avec le noeud de sa cravate qu’elle s’amusa a défaire lentement pour pouvoir s’amuser à avoir plus accès à son cou et pourquoi pas ce qui cachait sous cette jolie chemise.
-
Un sourire joueur aux lèvres sous ses mots, il n'en n'ajouta pas plus, venant simplement profiter de ses baiser dans son cou, son oreille, profitant de ce début de préliminaire. Ainsi placé, il pouvait sentir sa chaleur, mais surtout, son odeur, son parfum, venant se coller à lui, l’enivrant. La demoiselle bien accroché à lui, sa jupe remonté par la position, pressé contre lui, ses mains vinrent les suivre alors qu'il embrassait sa nuque, venant la mordiller avec envie. Tandis qu'il la sentait jouer avec sa cravate pour la défaire, lui, laissait une de ses mains sous elle, retenant la jupe d'en dévoiler un peu plus en la supportant contre les casier, tandis que l'autre, elle, venait courir sur ses jambes. Avec lenteur, il la laissa parcourir ses collant, glissant du creux de ses genoux enlacé autour de lui, redescendant sur ses cuisses jusqu'à venir sentir la limite de ses bas, là ou, le tissus laissait place à la chair.
La sensation, le contraste que cela lui offrait sous ses doigts était un véritable plaisir, passant de sentir le maillage extrêmement fin du collant à une peau d'une douceur proche de la soie, à la chaleur de sa peau. Ses doigts faisait alors de lents allez retour sur ses jambes, remontant à chaque fois de plus en plus haut, arrivant lentement sur ses fesses, puis, encore un peu plus, suivant la délimitation de sa culotte, sentant la chaleur de son corps augmenter au fut et à mesure qu'il se rapprochait de son intimité, jusqu'à de qu'il ne finisse par s'amuser à venir faire frôler la pulpe de ses doigts sur le tissus chaud et humide de sa lingerie.
Chaud et humide, voila une autre sensation qui lui donnait énormément envie d'aller plus loin avec la demoiselle, voyant donc bien que l'envie de danser était là. De son coté, il la laissait défaire sa chemise sans protestation, laissant alors apparaître un débardeur blanc en dessous qui, laissait bien visible ses épaules et ses bras, où elle pouvait les voir complètement couvert de tatouage typique des Yakuza.
-
Alors qu’elle commença à le bichonner délicatement de baisers entre son oreille et son cou, jouant avec sa cravate qu’elle commença à dénouer, venant ensuite s’occuper lentement et sensuellement des boutons de sa chemise, commençant par le col tout en descendant jusqu’à une partie de ses pectoraux, la demoiselle vint glisser sa main sous cette dernière, venant poser sa main sur son torse. Là, elle pouvait sentir le tissu du débardeur sous ses doigts, mais elle sentait très bien aussi la chaleur qui se dégageait dessous.
Et alors qu’elle s’appliqua à sa tâche d’explorer un peu plus le haut de son charmant collègue, la jeune serveuse soupirer et gémissait un peu plus fort sous ses baisers et ses caresses, lui faisant augmenter un peu plus la chaleur dans son petit corps qui commençait doucement mais sûrement à se mouvoir contre le beau brun. Mais quand elle sentit ses doigts passait autour de sa culotte puis ensuite près de son intimité, elle gémissait un peu plus fort, venant à lâcher un petit cri aiguë plaintif quand ses doigts vinrent enfin frôler son intimité mouillée encore protégée par le tissus de sa petite culotte en dentelle.
Se pinçant les lèvres tant c’était bon ce qu’il faisait en la caressant, essayant d’étouffer de petits gémissements qui témoignaient du plaisir mais aussi du désir qu’elle ressentait, elle se remit à sa « mission » et vint tirer avec force sur le tissus du débardeur, avant de le relâcher lentement. Puis, lentement, elle remonta sa main le long du débardeur, pressant bien la paume de sa main contre celui-ci pour sentir les muscles du videur réagir à ses caresses, venant glisser sa main autour de son cou au niveau de ses clavicules, le caressant du bout des doigts tout en venant passer sa main de chaque côté. Et continuant ses baisers dans son cou tout en venant pousser et faire tomber sa chemise, venant dévoiler une partie de ses épaules et bras dont elle suivit le chemin pour continuer à embrasser sa peau, la jolie albinos jeta des regards discrets à la peau nue et les tatouages du videur.
« Très jolis tatouages et très jolie peau, bien douce et réactive… Ça donnerait envie de croquer tout ça… »
Un petit sourire dessinait sur ses lèvres, venant donner un petit coup de langue sur son épaule, avant de déposer un baiser dessus puis de commencer à mordiller doucement, lui lançant un regard joueur tout en continuant de caresser son torse en mouvant son petit corps lentement contre le sien.
« On vous a déjà dit que vous étiez à croquer cher professeur ? »
Visiblement, elle le taquiner et le chercher un petit peu, mais, elle n’avait absolument pas peur en découvrant ses tatouages yakuza. Non, elle venait lui dire qu’elle trouvait cela jolis même, mais, elle avait surtout fait des compliments sur sa peau, montrant ainsi sans s’en rendre compte que c’était pas son côté « yakuza » qui l’intéressait mais plutôt lui, même si elle le connaissait pas encore très bien pour le moment.
-
Alors qu'elle défaisait sa chemise, il continuait doucement ses caresses, son index, son majeur et son annulaire venant passer doucement sur la dentelle de la demoiselle, suivant les courbes de son intimité dans de lent va et viens. Elle était déjà chaude et il sentait très bien le tissus de cette dernière déjà bien imprégné de son envie, mais, continuer de la taquiner lui plaisait beaucoup, l'excitait beaucoup, surtout en entendant ses gémissements qu'elle essayait de faire le plus discret possible en cet endroit.
Son sourire s’élargit ensuite sur le coin droit de sa bouche sous sa remarque en la regardant, toujours un peu plus haut qu'elle, son regard la surplombant, lui faisant autant voir son visage que son décolleté.
" Je peux te retourner le compliment et l'envie et, je pense que je peux aussi te rappeler que cela est compris dans le cours."
Oui, si elle avait envie de mordre, de croquer, de lécher et de griffer, elle avait carte blanche. Il détestait les femmes qui ne faisait rien et restait juste là, mais là, il sentait bien que la demoiselle savait ce qu'elle voulait, la sentant se mouvoir lentement contre lui, sous ses doigts qui continuait de la caresser avec un peu plus d'intention, celle de la faire miauler.
" Et t'a ton déjà dit que l'on te dévorerait bien toute cru ? "
Dit-il d'une voix chaude et tentatrice en suivant son jeu, venant, sur ses mots, surenchérir en venant bouger ses doigts, les éloignant un cours instant de sa lingerie, mais seulement pour venir passer en dessous, caressant directement sa fleur, ses doigts entre sa peau et le tissus, reprenant ses caresses en suivant la forme de son intimité, humidifiant volontairement ses doigts en la suivant, de la naissance de son bourgeon au porte de son jardin dans de lent va et viens.
-
Rubis admira Karl d’un peu en dessous, pouvant ressentir ainsi toute la puissance qui se dégageait de lui et cette carrure si impressionnante qu’elle aimait tant zieuter. Et quand elle vit son si beau sourire à ses remarques, elle ne put s’empêcher de se pincer les lèvres en le regardant, son coeur déjà bien lancé par leur essai de cours s’emballât un peu plus vite tant il ne la laissait pas indifférente, et qu’elle le trouvait « à croquer » comme elle disait.
En entendant la réponse du videur, la demoiselle relâcha ses lèvres d’entre ses dents en soufflant d’amusement par le nez, venant esquisser un doux sourire touchée par ses compliments, mais aussi ravie d’entendre ce qu’il disait.
« Ho ! J’aime déjà les matières que vous proposez dans ce cours professeur… Si c’est comme ça pour tous vos cours, je sens que je vais vite prendre un abonnement et seulement venir à vos cours alors… »
Répondit-elle d’une voix taquine mais chaude, venant se pincer de nouveau les lèvres en le regardant, tandis que ses doigts jouaient dans le bas de sa nuque en caressant le bas de sa chevelure. Puis elle relâcha de nouveau ses lèvres pour venir embrasser son épaule, avant de mordiller quelques fois celle-ci, tandis que ses doigts qui se baladaient sur son torse continuaient de le caresser avec envie, venant remonter sur son autre épaule qu’elle griffa doucement en le regardant, continuant à mouvoir son corps contre lui. Mais elle haussa doucement un sourcil en l’entendant reprendre la parole, se mettant à rougir comme une belle tomate à ses mots, collant ses lèvres contre son épaule en le regardant toute timide d’un coup.
« Heu… Je… N-n-non… J-j-jamais… »
Une petite voix toute gênée et timide, le regardant de ses petits yeux timidement, venant contraster avec sa façon d’être il y a quelques secondes à peine encore. Oui, elle semblait avoir le rougissement facile aux compliments ou certains mots, mais d’autant plus quand ceux-là venaient du séduisant videur.
Et alors qu’elle le regarda toute chose, ses joues complètement rouge et sa petite main griffante agrippant de ses ongles son épaule, ses lèvres toujours collés contre la peau de son autre épaule, Rubis se mit a écarquillé doucement les yeux en sentant les doigts de Karl passaient sous le tissus de sa lingerie. Puis, elle se mit à plisser doucement les yeux en le regardant, rougissant de plus belle et laissant échapper quelques gémissements à ses caresses sur l’ensemble de son intimité toute trempée de désir.
En réponse à cela, elle se mit à griffer plus fortement son épaule, ses lèvres venant embrasser son épaule avant de se commencer à le mordiller, puis le mordre plus fort en gémissant plus fort, étouffant ainsi ses petits cris de bonheur alors que son petit corps ondula de plus belle contre lui, son intimité dansante sous ses doigts alors qu’elle le regardait, le visage totalement rouge mais son regard emplie d’envie, le suppliant de ne pas s’arrêter.
-
Les petites griffes de chatte excité venaient griffer sa peau tatouer, faisant se tendre ses muscles sous leur passage et, l'excitant d'autant plus, laissant ses doigts jouer d'avantage avec sa fleur humide, glissant sur cette dernière avec facilité maintenant que ses doigts était bien lubrifié de son envie et de son plaisir. Il la sentait danser et chanter sous ses caresses, le poussant à continuer ainsi un petit temps, son regard le suppliant, il ne pouvait que dire oui.
Là, alors que ses doigts roulaient, massaient et parcouraient ses lèvres intime, ainsi que son bourgeon, il vint s'amuser à mordiller avec envie la naissance de la nuque de la belle, laissant ses dents appuyer sensuellement sur sa chair avant que ses lèvres ne viennent sublimer cela en caressant sa peau par la suite, finissant par le passage fugace de la pointe de sa langue. Il refit cela à plusieurs reprise, montant et descendant sur sa nuque, puis, se courbant un peu, vint passer un lent et long coups de langue sur son décolleté, passant entre ses seins avec délice.
" Je confirme, tu a un goût qui donne envie de te dévorer sans en laisser une miette."
Dit-il, son regard ancré dans le sien. Par la suite, Karl vint s'amuser un peu plus, venant se mettre à décaler la culotte de la demoiselle sur le coté pour laisser sa fleur à l'air libre, lui laissant plus de champ libre pour passer toute la longueur de ses doigts dessus, l'arpenter, jouer et caresser tout cela avec envie, écartant ses pétales humide, frottant sur son bouton de joie, glissant et ses lèvres intimes avant de venir doucement s'amuser à titiller les porte de son jardin de la pulpe de son majeur, ses autres doigts continuant de caresser à coté finissant au bout de quelques minutes par doucement glisser en elle tout en l'observant et en l'écoutant pour se repaitre de ses réactions.
-
Alors qu’elle savourait les délicieuses caresses que Karl lui offrait sur le long de sa fleur trempée, rougissant toujours comme une pivoine malgré son regard quémandeur qui l’implorait de ne pas s’arrêter, en demandant encore et encore, Rubis continua de griffer et mordre avec envie les épaules tatouées du videur, tout en ne le quittant pas un instant des yeux.
Puis quand le beau brun se mit à bichonner sa nuque de ses douces lèvres, de ses dents envieuses et de sa langue fugace, elle se mit à gémir plus intensément, venant redresser doucement sa tête pour lui offrir accès à l’entièreté de son cou et tout ce qui s’ensuit s’il le souhaitait. Gémissante sous ces cajoleries tout en ne cessant pas de le bichonner elle aussi, la jolie albinos put avoir le plaisir de le sentir s’aventurer dans sa poitrine, la faisant gémir plus fortement tout en le griffant avec plus de passion, balançant sa tête totalement en arrière en la collant contre les portes derrière elle, savourant avec plaisir sa langue qui glissait entre ses seins « vierges », contrairement au reste de son décolleté avec son cou recouvert d’un tatouage qui ressemblait un peu à un étrange symbole.
Et quand son séduisant collègue vint la complimenter après ce « goutage », lui confirmant qu’elle donnait envie de se faire dévorer, la jeune serveuse rougissa de plus belle et ses pupilles tremblaient.
« Dévore-moi alors… »
Répondit-elle d’une voix chaude et invitante, son regard plongeait dans le sien, alors qu’elle ramena sa tête vers lui et se mit à mordre plus puissamment son épaule tout en ne cessant de griffer l’autre, ondulant un peu plus son corps contre le sien. Mais la suite du délicieux bichonnage de Karl fit rougir un peu plus Rubis, sentant sa main jouer avec sa culotte en la tirant sur le côté, sentant l’air caressait un instant sa fleur brûlante avant de ne ressentir seulement les doigts du bellâtre sur tout son ensemble, la faisant gémir plus intensément et ondulait plus vivement contre lui, répondant aux caresses qu’il lui offrait qui lui faisait énormément d’effet.
Ne le quittant pas des yeux malgré le rouge aux joues, elle se mit à lâcher un petit cri aigu en fermant les yeux quand il fit glisser un de ses doigts entre ses pétales, esquissant un beau sourire en cambrant son bassin contre lui, adorant visiblement le début de son exploration intime dans son jardin. Gémissant et soupirant d’aise, montant le son de son chant un peu plus en relâchant son emprise de ses dents sur sa peau, la demoiselle vint poser sa tête contre l’épaule de son séduisant collègue, ne le quittant pas du regard un seul moment pendant qu’il lâ caliné.
Laissant son corps dansait plus envieux contre lui, sa voix se libérant un peu plus pour commencer à chanter ses louanges, Rubis desserra ses ongles de l’épaule de Karl, laissant sa main glissait et tomber le long de son torse, venant la faire atterrir plus bas au niveau de son ventre, posant sa main sur la boucle de sa ceinture en gardant toujours son jolie sourire aux ange à cause du bichonnage qu’il lui faisait. Et doucement mais sûrement, elle commença à jouer avec celle-ci, s’amusant à la défaire lentement, le regardant d'un regard empli de désir alors qu’elle s’attaqua ensuite au bouton mais aussi à la fermeture de son pantalon, venant se faire une petite ouverture dans laquelle elle glissa sensuellement sa main par dessus son boxer, venant toucher cette belle bosse qu’elle avait parfaitement ressentie depuis qu’ils s’étaient collés l’un à l’autre.
-
" Oh je ne vais pas me gêner pour le faire "
Dit-il en réponse à ses mots, juste avant de laisser ses doigts venir explorer l’intérieur de son intimité. Son majeur glissant humidement en elle, son index et son annulaire eux, caressaient ses pétales sous ses va et viens, venant tirer avec grand plaisir les gémissements de plaisir de la belle, se disant que, si avec cela, les autres ne l'avaient pas entendu, il allait devoir la prendre plus sauvagement après cela. Il jouait donc de ses doigts contre et en son intimité dans des va et viens ample et sensuelle, écartant un peu ses pétales sous ses mouvements, caressant ses fesses de sa paumes sous ses mouvements alors qu'il la sentait envoûté, roulant des hanches sous ses caresses. Là, avec un autre plaisir, souriant en la regardant faire, elle défaisait sa ceinture. Elle s'y prenait lentement, elle prenait le temps de défaire tout cela, alors, pour la taquiner un peu plus, son jeu avec son intimité s’accéléra un peu, jouant de son majeur en elle pour caresser les murs de son jardin secret, jouant de ses phalanges, courbant son doigt dans ses allez retour, la sentant alors se mettre à le caresser elle aussi, touchant la bosse camouflé par son boxer, mais bien visible et qu'elle pouvait bien ressentir, pulsant de désir sous son regard.
Karl continua de jouer avec elle ainsi, puis, en voulant plus, il décida de s’arrêter, venant plaquer son corps contre le sien avec plus de force pour l’empêcher de tomber alors qu'il retirait ses mains de sous elle, venant remontant celle-ci sur le chemisier de la belle pour venir l'ouvrir d'un coup, faisant sauter quelque bouton tout en gardant son regard droit dans le sien, jouant de ses hanches lui aussi pour lui faire sentir sa bosse toujours couvert, frotter contre son intimité trempé, tandis qu'il se mit à fouiller dans la poche arrière de son pantalon pour en sortir un petit carré au couleur métallique.
-
En entendant la réponse du videur à son invitation de la dévorer, la jeune serveuse esquissa un sourire des plus ravie en se mordant doucement le bas de la lèvre, son regard dans le sien emplie d’envie avant qu’elle ne se mette à mordre et griffer avec plus de force ses épaules. Mais la suite des événements lui firent arrêter ses petites attentions de minette excitée, la stoppant dans son mordage et son griffage, prenant beaucoup trop de plaisir à cause du beau brun qui fit danser ses doigts sur sa fleur et dans son jardin chaudement trempé pour ses beaux yeux, mais aussi tout le reste de sa personne !
Gémissante, soupirante, chantante et dansante, Rubis prenait beaucoup de plaisir en cet instant, adorant tout ce que lui faisait Karl. Sentant ses doigts explorer divinement l’architecture intérieure de sa cathédrale, ressentant son corps collé contre le sien et devinant l’entièreté de sa musculature par sa mouvance contre elle à cause de sa respiration, pouvant humer son délicieux parfum et ayant eu le plaisir immense de goûter à sa peau douce, chaude et délicieuse, qui elle aussi tout comme les lèvres du videur avait un goût de reviens-y. Mais la jolie albinos n’y revient point pour le moment, ses lèvres beaucoup trop occupées à chanter pour lui, venant quand même parfois embrasser sa peau alors qu’elle laissa tomber sa tête contre son épaule, continuant de l’admirer d’en-dessous dans toute sa splendeur, ce lui conférait une aura encore plus impressionnante et hypnotique.
Et c’est donc hypnotisée par le séduisant regard mais aussi le magnifique sourire de son charmant collègue que la belle demoiselle laissa une de ses mains voguer vers d’autres aventures, ayant pour mission d’aller défaire les éléments vestimentaires qui pourraient l’entraver dans son désir de parcourir également à son tour le corps du bellâtre contre elle. Doucement mais surement, jouant sur la lenteur de ses doigts graciles qui prenaient tout leur temps pour s’affairer à la tâche, la petite tête blanche comprit bien vite que le beau brun trouvait sûrement son jeu trop lent à son goût, venant donc dorloter avec plus d’énergie et d'enthousiasme son chaud jardin. Ce qui la fit se cambrer davantage contre lui et gémir plus fort, la faisant resserrer avec plus de force sa prise sur sa ceinture et les fermetures de son pantalon, mais y allant plus directement et rapidement, finissant par glisser sans attendre sa main sous son pantalon.
Sentant sa belle bosse bien dure sous ses doigts au travers le tissu, elle pouvait parfaitement ressentir l’effet qu’elle faisait et le désir qu’il avait pour elle, ayant la satisfaction de sentir son membre pulsé sous sa main. La serveuse se mit donc à caresser de la paume de sa main mais aussi de ses doigts la belle épée animée du videur qu’elle venait de découvrir, venant jouer de lents et doux vas et viens par-dessus le tissu pour la caresser. Doucement, elle se mit à monter plus vite mais lentement en vitesse, ses caresses devenant plus rapides et plus intense, la paume de sa main se pressant plus fort contre son membre pulsant, ses doigts jouant sur toute sa longueur qu’elle pouvait deviner sous leurs pulpes, espérant le titiller, l’exciter et lui faire du bien comme ce qu’il lui faisait en ce moment en la faisant divinement chantonner rien que pour lui.
Mais à force de trop le titiller en le bichonnant de sa petite main caline, Rubis put sentir Karl passait à l’étape supérieure, abandonnant un moment son jardin en venant se presser bien contre elle, l'emprisonnant entre lui et les casiers derrière, la faisant même lâcher un petit cri stupéfaite par cette action inattendue. Venant à l’imiter en petite copiteuse qu’elle était, la jolie albinos délaissa ses caresses sur l’épée bien dure du beau brun, faisant remonter sa main pour venir la poser de nouveau sur l’épaule du videur qu’elle avait bien marquée de son territoire. Venant à relever sa petite tête blanche de son épaule, redressant sa tête pour mieux le regarder de face, rougissant un petit peu en le regardant tout en se pinçant les lèvres, sursautant en lachant un petit cri surprise en le voyant faire sauter sa chemise, venant lui dévoiler son buste en dessous recouvert d’un débardeur noir, laissant deviner en-dessous un soutient-gorge de la même teinte et de la même matière que sa petite culotte, mais dévoilant bien sa belle poitrine généreuse et dansante contre lui, animait autant par sa respiration rapide que par leurs corps ondulant l’un contre l’autre.
Venant glisser sa seconde main sur son épaule dans sa chevelure, la faisant rejoindre son autre main qui y était déjà depuis le début de leurs échauffements de danse, Rubis vint caresser doucement ses cheveux en ne cessant de se pincer les lèvres, son corps répondant au sien en ondulant de plus belle, soupirant et gémissant en sentant sa belle bosse toujours couverte frotter contre son intimité trempée et brulante, mouillant encore plus en le sentant ainsi contre elle, la faisant le désirer davantage en la titillant beaucoup trop. Et tandis que Karl s’affairer à fouiller dans l’une de ses poches arrières pour en sortir une petite protection qui ne serait pas malvenue pour leur danse, continuant d’onduler en gémissant de plus en plus contre lui, Rubis redressa doucement sa tête pour venir coller son front contre le sien, ses lèvres venant se saisir des siennes pour commencer à l’embrasser avec passion langoureusement pendant une bonne minutes, ses mains le décoiffant avec fougue sans retenue, manifestant elles aussi tout comme son corps dansant et sa voix chantante son envie de lui de plus en plus extrême.
« Ha… Ha… Je… Karl… Pitié… Je te veux trop…Je meurs d’envie de danser avec toi… Prend moi tout de suite pitié… »
Une petite voix implorante entre deux baisers et ondulations de son corps contre lui, son regard brillant de désir pour lui qui le suppliait, Rubis malgré le rouge aux joues n’avait pu contenir de lui fait part de sa requête, le désirant beaucoup trop en ce moment.
Et si leurs deux collègues qui n’avaient pas bougés du comptoir pour le moment rongeaient tous les deux leurs freins et leurs rages en même temps à propos de l’aboutissement de la soirée qui n’avait pas été comme chacun l’avait souhaité, n’ayant visiblement pas entendu pour le moment ce qui se passait dans les vestiaires, ou n’ayant surtout pas fait gaffe car trop occupés à rager ensemble, ils n’allaient surement pas tarder malgré leur esprit ailleurs à bientôt se rendre compte de ce qui tramait là-bas entre nos deux stars de la soirée. Ce cours d’essaie de danse allait promettre dans tous les sens du terme, c’est certain.
-
Bien sur que les caresses de la demoiselle faisait son effet sur lui. Sentir ses petites main gracieuse caresser son mandrin dur et brûlant, meme à travers le tissus, était délicieusement excitant et lui donnait grandement envie d'aller plus loin. Il avait donc continuait ses caresses intimes avant de craquer, venant arrêter ses caresses, se pressant plus contre elle pour l’empêcher de tomber, plaqué contre les casier, son membre dur pressé contre son intimité qui humidifiait à ce moment là le tissus de son boxer. Il était venue fouiller dans la poche arrière de son pantalon pour en tirer le petit carré métallique qui, pour le moment suffirait pour leur danse d'essais.
Mais là, sous les mots suppliant qui sortir d'entre les douces lèvres de la serveuse, lui, se mit à avoir un sourire carnassier, un sourire joueur, continuant de laisser ses hanches onduler contre les sienne, laissant son membre dur, pressé contre le tissus de son boxer humidifié et la fleur de la demoiselle, frottant de son long contre, passant sous un bon appuis contre son bourgeon en lui disant, relevant le regard
" Oh mais je suis plutôt connu pour être sans aucune pitié tu sais ? "
dit-il dans un premier temps, venant de sa main droite, relever le menton de la belle pour venir y mordre la lèvres inférieur de la demoiselle, la tirant légèrement avant de passer la pointe de sa langue dessus, pour ensuite ajouté
" Mais tu es chanceuse, je me sens d'humeur à l’être .... pour cette fois."
Sa main redescendit de sous son menton, venant ouvrir l'emballage du préservatif pour en sortir le contenu, puis, passa sa main libre sous elle pour la retenir et se laisser de la place. Il repoussa de son autre main son boxer pour en laisser sa lame vigoureuse en apparaître, pulsante, perlant d'envie, puis, vint la recouvrir de sa protection en latex dans un mouvement rapide. Oui, il avait très envie d'elle, elle l'excitait et lui donnait beaucoup trop envie et, le fait qu'elle les suppliait de la prendre n'avait fait que scellé cette envie dans le marbre.
Maintenant " habillé " pour dansé, il passa sa deuxième main sous les fesses de la demoiselle pour mieux la retenir et pouvoir jouer avec elle, venant, de ses deux mains, masser son fessier, mais surtout, de la pulpe de ses doigts, masser ses pétales humide, les écartant sensuellement, juste avant que son bassin ne vienne à s'arquer, laissant glisser sa lame contre avant d’ardemment glisser en elle, coulissant dans son intimité dans une pulsation puissante, venant à la pénétrer jusqu'à la garde, son bassin bien plaqué contre le sien sans la lâcher du regard un seul instant, alors qu'un souffle lourd et roque de plaisir et d'excitation se fit entendre de sa part.
La tenant bien de ses mains et de son corps, la demoiselle installé entre les casiers et lui, la danse pouvait maintenant commencé et déjà, ses va et viens dur et pulsant se faisait endiablé, jouant de son ampleur et de sa vigueur dans ses va et viens en et contre elle.
-
Après sa supplication, la demoiselle libéra les lèvres du séduisant videur qu’elle désirait tant, le regardant de ses yeux implorant mais emplie de désir, avant de se mettre à rougir en le voyant sourire mais surtout en le sentant se saisir de son menton entre ses doigts. Et là, ses petites mirettes écarlates se mirent à trembler en entendant ses premiers mots, venant gémir autant à cause de son bassin dansant bien collé-serré contre elle qu’à ses dents mordant sa lèvre avant de venir lâ câliner de sa langue chaude et humide.
Venant à se lécher doucement les lèvres pour savourer la salive que le videur y avait déposé, la jeune serveuse rougit de plus belle en entendant qu’il lui accordait sa clémence cette fois-ci, la faisant esquisser un doux sourire et souffler doucement d’amusement par le nez malgré la situation très prenante dans laquelle ils étaient.
« Vous êtes trop bon mon seigneur… Je serais me montrer digne de votre clémence. »
Rubis prit une petite voix à la limite de la provocation en ne le quittant pas des yeux, caressant avec tendresse sa chevelure de jais entre ses doigts en terminant de lécher ses petites lèvres rosées. Ensuite, elle vint déposer un doux baiser sur celles de Karl en guise de conclusion à sa prise de parole, pouvant avoir après le plaisir de le sentir retourner à leurs préparatifs pour leur danse d’essai.
Pendant que son partenaire se préparait pour la danse, la jolie albinos resta sage. Elle arrêta d’onduler pour le laisser finir tranquillement ses préparatifs, se contentant seulement de caresser avec douceur sa chevelure en ne le quittant pas des yeux, se mordillant juste parfois ses jolies lèvres d’envie et d’impatience. Oui, elle avait terriblement envie de lui, il lui plaisait énormément et avait hâte de danser avec lui comme elle lui avait avoué.
Une fois les préparatifs finis, Rubis put avoir l’immense plaisir de sentir Karl recommencer à la cajoler, sentant ses mains massaient ses belles fesses bombées, avant de les sentir s’aventurer de nouveau sur sa fleur la câliner, la faisant de nouveau soupirer et se cambrait envieuse à ses geste. Et là, la demoiselle ne tarda pas à pousser la chansonnette plus fort, lâchant un petit crie aiguë en le sentant pénétrer en elle dans un puissant glissement, le sentant coulissait jusqu’au fond de son jardin que le bout de sa lame tamponna dans un bruit bien humide en parfaite synchro avec le claquement bruyant que leurs deux bassins firent en venant se rencontrer.
Son regard plongé dans le sien, ses mirettes écarlates tremblantes intensément dès qu’il entama la conquête de son territoire intime, l’albinos se mit à gémir plus fort et intensément à mesure que le beau brun jouait de ses puissants et endiablés vas et viens. En réponse à son corps dansant contre et en elle, elle se remit à onduler de nouveau contre lui, roulant son petit bassin qui encaisser chacun de ses assauts délicieux en elle, mouvant son petit buste contre son torse musclé dont sa généreuse poitrine vint caresser ses pectoraux avec vitesse. Puis, tout en ondulant comme une envoûtée contre Karl, Rubis fit glisser une de ses mains de nouveau sur l’une des épaules du videur, venant la masser avec douceur et envie, avant de la faire glisser sur son bras en se posant sur son bicep qu’elle caressa et massa fermement avant de se mettre à le griffer d’envie, venant reprendre son petit côté de minette excité dont l’excitation venait de monter de plusieurs niveaux par l’union de leurs deux corps.
-
La chansonnette avait bien changé d'un coups alors que sa lame dur et brûlante d'envie glissait en elle pour en combler toute son intimité, son bassin plaqué contre le sien dans un claquement délicieusement humide. Il gardait son regard dans le sien, ses coups de reins envieux venant encore et encore glisser en elle, humidifiant tout son membre sous chacun de ses mouvements, lui offrant de plus en plus de facilité pour se mouvoir en elle.
Ses mains bien agrippé à son fessier la retenait de descendre trop bas, mais, ses coups de bassin eux, la faisait remonter contre le casier sous chacun de ses assaut, écrasant son corps contre le sien avec envie. Il la sentait jouer de ses mains sur son corps, passant sur ses biceps, griffant sa peau tel une minette excitait, qui, sous cela, lui faisait beaucoup d'effet.
Alors qu'il continuait de danser avec ardeur en compagnie de la demoiselle, sa main droite remontait sur son corps, passant sur ses hanches, son flanc, venant frôler sa poitrine caché sous son débardeur avant de venir caresser sa gorge. La, sa main venait encadrer sa nuque, son pouce caressant sa mâchoire, venant doucement jouer avec elle en caressant sa peau avant de saisir sa mâchoire, sans force, relevant un peu son visage pour venir l'embrasser sauvagement, venant conquérir ses lèvres autant que son bassin venait conquérir le sien.
C'était bon, très bon et, il ne pouvait le cacher sous son souffle bruyant et lourd, il prenait son pied en cet instant, son membre pulsant en elle, sentant sa poitrine ecrasé contre son torse, terriblement excité par ce qu'il ressentait à cet instant, se disant qu'il pourrait danser avec elle toute la nuit tant c'était bon.
-
Leur danse envoûtante et endiablée lui donnait terriblement chaud mais lui donnait également beaucoup de plaisir. Ho oui, c’était bon, beaucoup trop bon même, alors que ce n’était que le début. Qu’est-ce que la suite allait donner ? La jeune serveuse se le demandait bien, mais une chose était sûre, c’est qu’elle était prête à déjà souscrire sans attendre aux cours particuliers de danse de son séduisant collègue et danser toute la nuit avec lui. Mais ça, elle lui annoncerait sûrement ces deux bonnes nouvelles après leur délicieuse leçon d’essai hein ?
Tandis que la danse se poursuivait avec passion à un rythme de plus en plus effréné, Rubis ne quitta pas des yeux un seul moment Karl. Son regard plongé dans le sien en miaulant de plus en plus fort de sa petite voix aiguë, continuant de griffer sans retenue sauvagement l’entièreté de son bicep avant d’offrir le même bichonnage de ses petites griffes acérées à son tricep et son deltoïde en se mordillant les lèvres d’envie. Mais son petit corps de déesse qui se mouvait contre lui n’était pas en reste, continuant d'onduler et danser comme un serpent charmé, son bassin claquant avec force contre le sien à chacun de leurs rencontre, son buste et sa poitrine se frottant avec envie contre son torse, ses petites jambes qui jouait à se desserrer et se resserre autour de lui, presque en rythme avec son intimité chaude et humide qui jouait de ses parois autour de son membre, venant à serrer et desserrer autour de sa belle lame qu’elle massa passionnément dans son fourreau qui devint de plus en plus trempée par le plaisir qu’il lui donnait.
Puis quand le videur vint faire longer sa main le long du corps de la demoiselle, son corps se mit à trembler doucement sous le passage de celle-ci, pouvant ressentir autant la chaleur que son envie par-dessus le tissu qui se dégageait de sa main. Et quand la belle paluche du beau brun arriva à son cou et sa mâchoire, venant leur donner un peu d’attention, la jolie albinos se mit doucement à rougir sans cesser pour autant de faire danser son corps contre le sien, au contraire, elle le fit onduler beaucoup plus vite, excité par sa main et ses doigts jouant dans sa nuque et sur son visage, qu’elle en libéra même ses jolies lèvres rosées de son emprise dentaire.
Cela tombé bien ! Car juste après sa libération de ses petites quenottes sur ses lèvres, elle put avoir l’immense plaisir de regoûter aux délicieuses lèvres du videur, les sentant venir conquérir les siennes avec sauvagerie, la faisant soupirer et trembler de bonheur tant c’était bon. En réponse à sa prise d’otage de ses lèvres, telle une kidnappée sous le charme de son kidnappeur, elle l’embrassa plus bestialement elle aussi. Ses lèvres totalement déchaînées contre les siennes, et sa langue venant chercher la sienne pour une danse férocement animale, faisant soupirer lourdement et chaudement la serveuse aux abois face au videur qui la mettait dans un état qu’elle n’avait encore jamais connue d’ailleurs.
-
Le rouge de ses joues, le miaulement sortant d'entre ses lèvres, ses soupires, le roulement de son bassin contre le sien, tant de chose ayant un effet délicieusement aphrodisiaque pour lui. Les lèvres se caressaient, se frottaient, se dévoraient avec faim, animalité, leur langue se mêlant, luttant l'une contre l'autre pour qui en aurait le plus, qui caresserait le plus l'autre.
Tandis que leur bouche était occupé à se livrer bataille à qui auraient le plus de l'autre, les hanches de Karl elle, roulait avec force et envie, se cambrant et se courbant pour jouer en elle, glissant dans son intimité trempé avec une faim insatiable, brûlante, comme si il avait attendu ce moment, cette sensation depuis des années. Il n'avait pas ressentit un tel effet depuis si longtemps, une tel envie, alors, il n'allait pas laisser passer cela si facilement.
La demoiselle plaqué entre son torse musclé, couvert de tatouage et d'un débardeur, ainsi que les casier du travail, recevait donc toute l'envie qu'il avait envers elle, toute l'ardeur qu'elle lui donnait, ses hanches venant épouser les siennes sous chaque venu en elle, claquant, humidement, sentant la douceur et la chaleur de ses cuisses contre ses hanches nu, sentant ses pétales trempé caresser et s'écraser contre son bas ventre sous chaque va et viens bestiale qu'il lui donnait. Et il la sentait aussi, cette délicieuse minette excité qui jouait de son intimité contre son mandrin aiguisé, sentant son corps agir et réagir autour de lui, alors que son regard fixait le sien sans arrêt, la mettant au défi de se donner entièrement, sans avoir à dire un mot, seulement un simple regard qui disait tout cela.
Lui, décida de changer un peu l'angle d'attaque, redescendant sa main de sa nuque pour saisir ses hanches, pouvant bien la tenir, il relâcha pendant un cours instant la prisée de sa main gauche sur son délicieux fessier pour passer son bras sous l'une de ses jambes, posant le creux de son genoux contre son biceps avant de venir poser de nouveau sa main sous elle. Sous ce nouvelle angle qui écartait un peu plus les pétales de la demoiselle, il en profita donc pour faire monter d'un cran le rythme de la danse.
-
Rubis ressentait avec un grand bonheur tout ce que lui faisait Karl, savourant autant ses vas et viens en elle que son corps dansant contre le sien, ses baisers addictifs, ses caresses si enivrantes et son regard si envoûtant dans lequel elle pourrait se noyer sans hésitation. Ho oui, il la mettait dans un état qu’elle ne connaissait pas, qu’elle ignorait même possible, mais qu’elle adorait follement ! Son corps en redemandait encore et encore, souhaitant combler ce manque qui avait toujours été là et dont il avait enfin trouvé la cause, comme s’il l’avait toujours attendu. Et il savait très bien comment y répondre d’ailleurs. C’est comme s’il était charmé tel un serpent, ondulant au son de la musique de son charmeur de serpent jouant sa mélodie, dansant encore et encore envoûté par ce charme indéfectible.
Ne cessant de soupirer de plus en plus intensément sous leurs baisers, la jeune serveuse embrassa avec bestialité et fougue le videur, ses lèvres bataillant avec les siennes tout comme sa langue, cherchant à conquérir plus de territoire que l’autre, luttant sans s’arrêter dans une lutte effréné terriblement délicieuse qu’elle en resserra sa prise dans ses cheveux de sa main logée à l’arrière de son crâne, venant appuyer un peu plus sa tête contre la sienne pour être encore plus proche qu’il ne l’était déjà. Et son petit corps suivait la cadence également, ondulant, caressant et se frottant à celui du beau-brun, ses petits griffes continuant de lacérer avec passion la peau du haut de son bras, marquant son territoire sur la chaire de son séduisant collègue qu’elle ne quittait pas des yeux, son regard plongeait dans le sien en rougissant comme si elle lisait ses pensées, venant se donner entièrement à lui, corps et âme sans la moindre hésitation, accélérant le mouvement et la cadence dans leurs danse délicieuse pour lui donner encore plus de satisfaction.
Mais la jolie albinos se retrouva à ralentir le mouvement un court instant, sentant le beau brun relâcher sa nuque pour venir faire glissait sa main sur son corps, avant de le sentir lui saisir une de ses jambes qu’il releva, la faisant lâcher un petit cri aiguë entre leurs lèvres par le changement d’angle qui venait de se faire en elle. Plissant les yeux d’extase tant c’était bon, Rubis se mit à l'embrasser avec plus de passion encore, soupirant de plus belle sous ses soupirs étouffés, serrant son autre jambe plus puissamment autour de ses hanches tandis que l’autre se resserrait sur son bicep, la faisant coller davantage son bassin contre le sien, lui offrant un contact très collé-serré entre son bas-ventre et ses pétales trempées de plaisir par lui.
Et, comme pour continuer à répondre à la requête des beaux yeux bruns de Karl, la mignonnette ondula plus rapidement et avec fougue, son corps claquant avec force contre le sien, sa respiration se faisant plus animale et forte, la chaleur ne cessant d’augmenter dans son corps en feu par l’effet qu’il lui faisait. Quant à sa petite main griffante, elle glissa le long de son avant-bras, venant s’occuper de marquer son territoire sur celui-ci, tandis que son autre main refusait de lâcher sa prise de derrière la tête du videur, tirant entre ses doigts quelques mèches de ses cheveux de jais avec passion, ses yeux plongeaient dans les siens qui commençaient à être larmoyants tant c’était trop bon ce qu’ils faisaient, le suppliant de ses yeux de ne pas s’arrêter et de continuer encore et encore, d’y aller plus fort et de ne pas la ménager, lui avouant sans un mot qu’elle avait terriblement envie de lui.
-
Il la sentait continuer de jouer de ses belle gambettes couvertes contre lui, ses doigts dans ses cheveux, ses lèvres dévorant les siennes, laissant échappé des miaulements délicieusement érotique sous chacun de ses coups de reins, ce qui l'excitait beaucoup trop. Oh il voyait très bien ce qu'elle disait dans son regard et, réussir à voir les larmes couler de plaisir sur ses prunelles l’excitaient d'autant plus, n'étant définitivement pas prêt de s’arrêter de la prendre comme ça, dans le vestiaire, contre ce casier.
Ses coups de reins puissant continuaient de claquer humidement contre son corps, sa lame, dur et insaisissable, glissant, frottant, massant et tamponnant vigoureusement, encore et encore, sans relâche son intimité, se demandant tout de meme comment cela serait sans ce fin film de latex qui les séparaient l'un de l'autre malgré tout. Sous l'excitation, Karl vint mordiller la langue de la demoiselle, l'attrapant entre ses dent en la défiant toujours du regard, la relâchant bien vite avant de venir mordre la lèvres de la demoiselle. Mais elle l'enflammait trop, beaucoup trop, elle réveillait en lui une bête affamé, voulant toujours plus d'elle. Sa main droite vint remonter sur son corps, venant masser un cours instant sa poitrine qui pour le moment était toujours caché, mais qu'il se promettait de mettre à nu lors de leur vrai séance.
Mais rapidement, sa main vint remonter, laissant sa poitrine continuer à jouer sous ses coups de reins puissant, venant se ficher autour de sa mâchoire à nouveau, son regard agrippé au sien, enflammé d'envie et de plaisir pour la petite serveuse excité qu'il prenait avec joie contre les casier et lui fit pencher sa tête, venant alors mordiller sa mâchoire, sa nuque, son épaule, remontant doucement pour mordre plus intensément son cou. Ses coups de reins se calquaient sous son envie, se faisait plus puissant, écrasant son glaive au fond de son fourreau sous des assaut brûlant, tandis que sous ses lèvres, il relâchait doucement ses dents, embrassant, suçotant et léchant sa nuque dans un souffle lourd et bruyant d'extase, sentant cette chaleur au fond de son bas ventre monter de plus en plus.
-
Les petits miaulements de la demoiselle ne cessèrent de monter dans les aigus, même s’ils étaient étouffés, leurs petits sons s’échappaient de temps à autre entre leurs lèvres sous leurs baisers battaillant sans relâche. Ses petites griffes quant à elles continuaient de lacérer avec envie l’avant-bras de son séduisant collègue, le marquant du plaisir qu’il lui donnait en cet instant, auquel son corps complètement en feu répondait en surenchérissant plus vite et plus fort à chaque fois qu’il claquait contre le sien. Et concernant sa chaude et humide intimité, elle continuait de jouer à enlacer et délacer avec passion son membre pulsant, massant, glissant et cognant en elle avec délice, la faisant pleurer de bonheur tant c’était bon. Mais tout comme lui, elle se demandait dans sa mignonne caboche ce que cela ferait comme effet s’il n’y avait pas cette protection fine de latex entre leur intimité, étant curieuse de la sensation de sa peau en elle, du relief de ses veines sur son épée et de ressentir vraiment toute la chaleur qui s’en dégageait, se faisant la réflexion que cela devait être agréable à souhait vu l’effet qu’il lui faisait déjà en étant couvert.
Mais elle fut vite sortie de ses songes par le beau brun qui vint la défier du regard, attrapant entre ses dents sa langue puis ensuite sa lèvre qu’il vint mordiller, la faisant gémir plaintivement en tremblant de tout son corps, ses griffes venant s’enfoncer plus profond dans sa chaire à ce moment alors qu’elle tira avec force ses cheveux en criant sous la sensation qu’il lui faisait ressentir. Puis la suite la fit trembler et chantonner encore plus. Là, elle put avoir le bonheur de ressentir sa main remonter sur son corps câlinait sa poitrine, la faisant gémir mais aussi contre-attaquer à son tour, venant attraper entre ses dents les lèvres du charmant videur puis ensuite sa langue, poussant le vice une fois entre ses dents pour la garder entre ses lèvres et la suçotait sensuellement un moment en le regardant de ses yeux larmoyant d’extase et emplie de défis.
Rubis arrêta de sucer la langue de Karl quand il cessa de s’occuper de ses seins, venant se mordiller les lèvres en le regardant tout en tremblant en sentant sa main remonter sur sa nuque et sa mâchoire, la faisant soupirer lourdement autant à cause de la merveilleuse sensation de sa peau sur la sienne que de ses assauts de plus en bestiaux, faisant claquer et sautiller son corps entre lui et le casier dans un bruit terriblement excitant et délicieux. Et la suite allait faire pousser la chansonnette bien plus fort à la jeune serveuse, qui se mit à gémir sans retenue quand le videur pencha sa tête dans son cou, venant bichonner de ses lèvres, de ses dents et de sa langue la mâchoire, la nuque et les épaules de la petite tête blanche qui chantait bien fort de sa petite voix aiguë à la gloire de son collègue, venant susurrer de chauds « oui », « encore » et des « Karl » en voulez-vous en voilà tant c’était bon.
Gémissant sans s’arrêter et montant dans les tours, la demoiselle était en extase, ho oui, elle prenait son pied comme jamais, qu’elle en oubliait leurs potentiels collègues qui pouvaient les entendre. À vrai dire, elle s’en fichait même en cet instant et les avez complètement oublié, ne pensant qu’à sa danse avec Karl et à Karl, voulant à tout prix le satisfaire de tout son petit corps comme il la sastifaisait, même s’il lâ mettait dans un tel état qu’elle en voulait plus encore et encore, la rendant totalement affamée et envieuse de lui.
Donc, pour se faire, elle se donna totalement à lui. Chantant et dansant sans retenue, sa voix de plus en plus intense dans ses gémissements, soupirs et petits cris. Son corps de plus envieux et déchaînés contre le sien. Son intimité davantage possessive sur son puissant membre pulsant en elle. Ses griffes de plus en plus sauvages sur l’entièreté de son bras en faisant des mouvements de vas et viens. Et sa main dans ses cheveux qui le caressait et le décoiffer avec passion. Alors que ses lèvres de leur côté, vinrent parfois embrasser avec désir ses tempes et sa chevelure, chuchotant son prénom dans de chauds encouragements, dans lesquels de temps en temps elle ajouta un petit mordillage sensuelle du haut de son oreille avant de la lécher lentement. Bien sûr, tout cela ne faisait que nourrir le feu qui brûlait en elle, pouvant sentir l’électricité gagnait son corps à présent, ayant le plaisir de pouvoir commencer à ressentir la chaleur envahir tout son bas-ventre et les picotements électriques lui indiquaient qu’elle allait bientôt pouvoir monter au 7e ciel avec lui et profitait d’un merveilleux feu d’artifice dont elle avait hâte de savourer en sa délicieuse compagnie.
-
leur chant s'intensifiait, ses râles répondant au gémissements de la demoiselles, ses soupires répondant à ses miaulements, continuant de dévorer sa nuques, ses épaules.
Le plaisir montait en flèches, les picotements qui brûlaient en lui s'intensifiait, devenant de grand cours jus, consumant son corps, le poussant à accélérer ses coups de reins. Sa respiration se faisait de plus en plus intense, gonflant son torse avec vigueur, presque en rythme avec ses va et viens puissant en et contre elle. Son membre lui, devenait des plus dur et gonflé, comblant délicieusement son intimité, pulsant doucement en elle sous chaque caresses vive qui offrait à ses parois chaude et accueillante.
Alors qu'il sentait que le feu d'artifice était prêt à être allumé, Karl vint redescendre sa main, effleurant son décolleté avant de venir sur ses hanches et, comme pour son autre jambes, il vint passer son bras sous l'autre, venant la porter entièrement sur ses bras et contre le casier, caressant ses fesses rebondit de ses mains tandis que ses hanches rebondissait contre avec fougue. Sous cette angle, cela était parfait pour le bouquet final, offrant plus de jeu dans ses roulements de reins, mais surtout, lui permettant de bien combler toute son intimité, d'aller bien au fond d'elle sous ses assauts. Il se mit donc à relâcher l'emprise de sa bouche sur son corps, venant poser son front contre le sien, passant un coups de langue tentateur sur les lèvres de la belle tout en la foudroyant d'envie du regard. Oh oui, il avait envie de jouir, oui, il avait très envie de la faire crier à en faire entendre sa voix meme dans le bâtiment voisin et il allait tout faire pour.
Ses coups de reins s’intensifièrent s’accélérèrent de plus en plus, laissant un concours entre le chant de la demoiselle prenant son pied, le bruit humidement excitant de leur deux corps s'entrechoquant ainsi que celui de la porte du casier en métal, malmené par ses va et viens puissant. Son membre brûlant pulsait toujours et encore, de plus en plus fort, son corps le brûlait, se consumait d'envie et, sous son plaisir qui se mit à l'assaillir, il vint l'embrasser animalement, dévorant ses lèvres tandis que son bassin lui, assaillait avec vigueur le sien, sa lame gonflant, repoussant son fourreau alors que le bouquet final éclatait.
-
Qu’est-ce que c’était terriblement bon « bon sang de bonsoir » comme dirait la petite demoiselle qui prenait son pied comme jamais en cet instant, miaulant à en casser des fenêtre tant elle criait dans les aiguës sous les assauts bestiaux mais délicieux de son séduisant collègue. Ho oui, c’était exquis, voire divin tant c’était bon et qu’elle était sur un petit nuage durant cette merveilleuse danse d’essai que lui offrait le videur. Est-ce qu'elle allait « souscrire » à ses cours de danse et le suivre dans sa salle de cours ? Bien sûr ! Il n’y avait aucunes hésitations à avoir là-dessus, elle en avait même grandement hâte ! Mais en attendant de passer à la suite et enfin vraiment commencer à danser comme il se doit dans les règles de l’art, la jeune serveuse savourait leur envoûtante danse, chantant des encouragements au charmant videur qui la bichonner et dansant de toute ses forces contre lui en ne cessant de le réclamer totalement avide de lui. Tout de lui était terriblement addictif et il la mettait dans un tel état qu’elle ne connaissait pas, qui lui faisait perdre pieds mais qui la faisait se sentir merveilleusement et infiniment bien. C’était un réel extase, bien plus qu’un bon mélange d’alcool et quelques ajouts illicites pour bien planer en soirée, oh oui, c’était au-dessus de tout ça tant c’était bon !
Continuant leur danse et chant l’un envers l’autre, Rubis respira plus intensément en sentant la main de Karl quittait sa mâchoire, la sentant repartir sur son corps en la faisant soupirer sous ses caresse qui l'effleurer, la faisant gémir de bonheur et sourire aux anges, adorant tellement sentir ses mains sur son corps. Puis, quand la main du beau brun vint se saisir de son autre gambette pour lui réserver le même sort qu’à sa binôme prise en otage par son autre bras, sentant son petit bassin bougeait et se faire soulever contre ses hanches, la jolie albinos se mit doucement à rougir en se sentant porter par la force des bras du bellâtre, frissonnant de plaisir au contact de ses mains sur ses fesses bombées qu’il caressait, la faisant doucement se cambrai instinctivement au passage de ses doigts sur sa peau. Et là, elle put avoir l’immense bonheur de sentir le changement d’angle, savourant encore plus chacun de ses vas et viens en elle, pouvant ressentir à merveille sa belle épée pulsante et bien dure glissait de tout son long dans son humide fourreau bien chaud, la sentant de long en large avec gourmandise en elle, chantant grégoriennement à chaque fois qu’il tapait dans le toit de sa belle cathédrale qu’il visitait avec foi et ferveur.
Mais la mignonette rougissa de plus belle quand le séduisant videur releva son visage pour venir se placer face à elle, son front contre le sien et leurs regards de nouveau connectés, son coeur battant à tout rompre et sa chaleur corporelle augmentant encore plus par ce qu’elle lisait dans les si beaux yeux de Karl et par ce succulent coup de langue qu’il lui donna, venant se saisir ensuite de ses petites lèvres rosées tel un animal affamé en l’embrassant, faisant gémir de plaisir Rubis qui était heureuse de retrouver ses délicieuses lèvres et sa succulente langue. Et sous leur baiser sauvage et ardent, les gémissements ainsi que les petits cris de la serveuse montaient dans les tours encore et encore, tout comme les mouvements de son petit corps contre lui, devenant tous plus intenses et bien audibles. Quant à ses gémissements et soupirs, même étouffés sous leurs lèvres et leurs langues se caressant sans relâche, ils arrivaient à s’échapper et se laisser entendre parfois, partageant avec quiconque ses chants à la glorification des performances de danseur de son charmant collègue qui la faisait monter au paradis.
Chantant et dansant avec passion, continuant sans s’arrêter à se déchainer comme des diables dansant au clair de lune, le 7e ciel et son feu d’artifice n’était plus très loin. La chaleur et l'électricité parcourant tout le corps de la serveuse prenait totalement possession de son être envoûté et charmé par le videur, la faisant resserrer ses jambes sur les bras du beau brun, faisant remonter sa main griffante de son bras pour la faire rejoindre son autre petite mimine dans la chevelure de jais de Karl, venant caresser et tirer passionnément ses cheveux en l’embrassant comme une damnée, son corps claquant à s’en briser s’il le fallait contre le sien, ondulant, se frottant et se caressant contre le sien avec une envie insatiable et déraisonnable. Puis, soudainement, tout le corps (ou presque) de Rubis se mit aux arrêts, stoppant ses danses et caresses quand le feu d’artifice éclata enfin, sa petite voix chantant en continue de bonheur alors qu’elle contemplait avec joie les yeux de Karl, souriant angeliquement emporté au paradis avec lui, savourant avec ravissement le merveilleux feu d’artifice qu’il lui offrait au 7e ciel.
-
Tout son corps était en feu, ses muscles tendu, crispé,, dévorant ses lèvres dans des râles de plaisir intense alors que ses coups de reins ralentir pour donner de puissant va et viens des plus profond à la demoiselle alors que le feu d'artifice éclatait entre eux. Alors que la demoiselle se figeait, lui continuait ses assaut alors que, la protection de latex se retrouvait à enfin montrer son utilité dans cette danse, son membre pulsant avec fougue en elle sous chaque explosion, tandis que ses mains elle, venait se raffermir sur son doux et rebondis fessier, jouant quelques peu sur l'écartement de ses lèvres intimes divinement humide.
Chacun de ses coups de reins venait soulever la belle contre les casier, faisant sautiller sa chevelure et sa poitrine sous l'envie de continuer à la prendre dans ce vestiaire, envoûté par ses cries, par son odeur, sa chaleur. Puis, doucement, la danse avait atteins son paroxysme et, le feu brûlant en lui redescendait donc lentement, ses lèvres se nourrissant encore et toujours des siennes, sa langue cherchant, cassant et poursuivant, voulant conquérir la sienne avec faim,, tandis que ses va et viens se mirent à se faire doucement plus doux, puis, finirent par s’arrêter en venant bien presser son bas ventre contre le sien.
Sa respiration lourde, la chair de poule passant sur sa peau, son cœur battant avec force,, cela avait été délicieux, bon, trop bon. Doucement, son corps se décontracta, se relâchant, ses mains reprenant une prise douce sur la peau de satin de Rubis, venant tout de même, une dernière fois, venir mordiller ses lèvres, les tirant délicatement tout en gardant son regard dans le sien avant de lui dire, d'une voix murmurante et chaleureusement tentatrice
" Alors Mademoiselle Starling .... est ce que votre séance d'essais vous a convaincue ? Pour ma part, je vous sent être une élève des plus prometteuse."