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La fatigue mentale est en train de se faire de plus en plus pesante dans la maison secondaire d'un client que nous sommes en train de protéger en ce moment avec un autre garde du corps que je connais depuis quelques mois. Le dispositif de sécurité complet compte au moins une vingtaine d'agents positionnés sur des points clés de la propriété, mais c'est surtout Mark et moi qui assurons la protection rapproché de Franky Mascarpone.
Suite à un conflit avec un autre membre haut placé de la même organisation, cet homme a décidé de se cacher en attendant qu'une opportunité se présente pour se débarrasser de son ennemi.
Le souci c'est qu'il n'a pas commencé à prévoir le moindre début de plan depuis qu'il s'est réfugié ici et sa paranoïa commence à peser sur tout le monde.
- Il va venir ! Il va me buter ! Je le sais !
Les heures passent et il est quasiment 18 heures lorsque le moment pour Mark et moi de prendre la relève arrive. Autant dire que cela est en train de devenir un calvaire plus qu'autre chose même si on est grassement payé.
- J'en peux plus... A ce rythme je vais me foutre en l'air avant qu'on nous attaque.
- Arrête, tu vas pas m'abandonner avec ce connard ?
- Si rien ne bouge on va tous se tirer dessus en faisant croire qu'un exercice à mal tourné.
- Ca me donnerait presque envie.
Mark est un black de 2m10 au physique assez imposant qui parvient généralement à intimider ses adversaires rien qu'en les fixant. Alors pour que même lui en arrive à cet état d'épuisement moral c'est vraiment que la situation est compliquée.
A l'instant où l'on entre dans la chambre où se trouve notre client, ce dernier fonce dans notre direction en gesticulant dans tous les sens et en hurlant presque.
- Faites quelque chose !
- Wow ! Calmez-vous !
- Pardon ! C'est juste que... Je... On va devenir fous à ce rythme.
- C'est pas faux.
- On veut bien, mais qu'est-ce que vous voulez au juste ?
- N'importe quoi ! Une distraction ! J'en sais rien !
- T'as une idée ?
- Pas vraiment.
Au moment où je termine ma phrase une idée me vient finalement à l'esprit et je reprends rapidement la conversation.
- Quoique, j'ai p'tète un plan intéressant.
- Je t'écoute.
- Tu te souviens de ce que je t'ai montré l'autre fois ?
- Non ! Tu parles de...
- Ouais ! J'suis sûr que ça peut le faire.
- Je dis pas non. On a tous besoin là.
La seconde qui suit je sors mon portable pour envoyer un message rapidement sous le regard curieux du client qui se demande de quoi on parle. Mark se charge alors de lui expliquer ce dont il est question et son visage s'illumine dans la seconde avant qu'il ne s'écarte pour s'installer sur un fauteuil en regardant par la fenêtre.
Le message envoyé est le suivant :
Salut, ma belle !
Ca te dirait une petite visite à domicile pour t'occuper de trois mecs qui ont pas vu une nana depuis des semaines ? Je sais que tu peux gérer, mais si t'as une copine à amener avec toi ce serait mieux.
Je t'attendrais à l'entrée de cette adresse *** pour 21h.
Voilà que je me mets à bander rien qu'en pensant à ce que ça pourra donner. Nos dernières rencontres assez chaudes risque d'être gentillettes si on les compare à cette soirée.
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(PoV : Nea et Yor)
Je glandouille tranquillement en attendant l’ouverture du club quand je sens comme une tempête approcher. Une tempête ? Non encore mieux, Yor ! Mon instinct me trompe rarement lorsqu’il s’agit d’elle, ou plus précisément quand elle s’apprête à proposer un plan hasardeux mais très excitant. Et effectivement…
« Les filles !! Plan cul, visite à domicile, ça branche l’une de vous ? »
Nous échangeons un regard avec Ada et Jun. De l’autre côté de la pièce, Aoi se fait discrète : la connaissant, elle est plutôt partie pour aller chauffer des gens en ville. Nous nous mettons finalement à rire, nous disant toutes que ça ne serait pas mal d’avoir quelques informations. Mais nous n’avons pas le temps de poser la moindre question que Yor ajoute :
« C’est le même mec que pendant la partouze du bus. »
« Prems ! »
Pas le temps de réfléchir, je me porte volontaire ! C’est presque devenu une légende cette histoire. Ada et Jun me regardent avec un air dépité, presque frustrées de ne pas avoir dégainé le prems plus vite que moi. Je leur souris et les taquine :
« Pas d’inquiétude, j’en profiterais pour vous ! »
De son côté, Yor est déjà en train de taper frénétiquement sur le clavier de son téléphone. Aucune idée de ce qu’elle note, sans doute qu’elle confirme notre venue. Je suis bien en dessous de la vérité…
Je ramène une nympho qui n’a rien à m’envier, si vous avez d’autres potes à inviter faut pas hésiter !!
Pendant qu’elle s’excite sur son téléphone, je file me préparer. Elle semble déjà prête, mais ce n’est pas encore mon cas… même si visiblement, nous allons pouvoir nous habiller assez simplement. Ce n’est pas comme si nous allions garder nos vêtements très longtemps de toute manière, si ? Alors après une dizaine de minutes, je la rejoints.
« Tu sais où c’est ? »
« Oui évidemment ! En avant ! »
Une téléportation et quelques minutes de marche plus tard, nous voilà arrivées face à un grand portail. On dirait une résidence bourgeoise, le genre isolée et très sécurisée. On aurait peut-être dû mettre de jolies robes finalement. Yor sonne à l’interphone, attendant que quelqu’un semble décrocher pour prendre la parole… avec sa classe habituelle.
« C’est nous, on vient pour pimenter la soirée ! »
Et maintenant… il n’y a plus qu’à entrer !
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L'ambiance n'est pas ce qu'on pourrait qualifier de détendue même si elle reste moins lourde que durant ces derniers jours depuis que l'on annoncé notre petite idée au client. Et Mark aussi semble impatient après avoir lu la réponse de Yor que lui ai montré.
Très rapidement un message par radio nous prévient que deux femmes viennent de se présenter au portail principal de la résidence.
- Vas-y, je reste là pour surveiller le client.
- T'es sûr ?
- Ouais, ça devrait le faire.
- Okay, okay. Car il a l'air d'avoir du mal à tenir en place.
Effectivement, le client est de plus en plus agité depuis une bonne trentaine de minutes. Il fait les cents pas, n'arrête pas de marmonner dans sa barbe comme s'il était sous l'effet de la drogue. En gros, il faut vite amener de quoi le calmer.
Je réponds au garde à l'entrée que j'arrive et me dépêche de traverser la résidence pour voir Yor et sa copine qui attendent bien sagement à l'entrée.
- Putain, t'es toujours aussi bandante.
Mon regard se tourne vers son amie qui est toute aussi agréable à regarder. Compte tenu du message que je lui ai envoyé je suis persuadé qu'elles savent toutes les deux pourquoi elles sont là, donc inutile de faire semblant.
- Et ta copine aussi.
Le garde à l'entrée partage clairement mon avis car il n'arrive pas à détacher son regard des deux bombasses ici présente alors qu'il est censé s'assurer que les environs sont sûrs. Mais avant de les débarrasser de cette distraction je dois d'abord les fouiller.
- Avant de vous faire entrer je dois m'assurer que vous n'avez rien de dangereux sur vous. Mettez les mains sur le grillage et écartez les jambes. Ca devrait pas être un problème je pense.
Ma demande est accompagnée d'un léger ricanement tandis que je m'approche de Yor dans un premier temps. Mes mains passent le long de ses hanches et de l'intérieur de ses cuisses. On ne sait jamais où une arme peut être cachée après tout.
Puis je les fais remonter rapidement pour passer sous son haut histoire de palper directement sa grosse paire de loches une dizaine de secondes.
- Rien à signaler de ce côté. Passons à toi.
J'offre un traitement quasi similaire à son amie au détail près que je prends un peu plus mon temps pour en profiter et découvrir les formes toutes aussi pulpeuses de cette dernière. Ma main droite en particulier vient lui malaxer le cul avec fermeté pour jauger ses réactions jusqu'au moment où je lui demande de se retourner pour me faire face.
- Montre ce que t'as sous ton haut. Car soit t'as des seins énormes, soit tu caches des trucs pas nets.
Une fois qu'elle s'exécute je me saisis de ses obus pour les malaxer tout en approchant ma bouche de ses pointes pour les mordiller et tirer dessus. Puis je les presse l'un contre l'autre tout en continuer de les titiller de la langue pendant plusieurs secondes pour finir par les recracher en effectuant un pas en arrière.
Je la fais alors se retourner pour revenir dans sa position initiale, le visage face au grillage. Puis sans les prévenir, je glisse deux doigts de chaque main sous leur culotte. Un petit mais léger doigtage en règle qui me fait sentir qu'elles sont déjà bien chaude et prêtes à l'emploi.
- Tout m'a l'air conforme. Mais j'ai un dernier truc à vérifier. Ouvrez la bouche et tirez la langue.
Cette fois mes mains viennent saisir leurs chevelure respective pour approcher leurs têtes de la mienne. Ou plus particulièrement leurs langues pour leur faire comprendre de venir jouer avec la mienne de manière vulgaire quitte à voir cet échange de salive finir sur leurs fringues et leurs nichons.
- Aucune arme de ce côté non plus.
Satisfait, ou excité au point d'en déformer mon pantalon, je leur fais un signe de la tête d'avancer sous le regard dépité du garde qui va devoir rester là en attendant son tour.
Une fois arrivé dans la pièce où se trouvent Mark et le client, je frappe deux fois comme convenu. La porte s'ouvre sur un espace terriblement vaste qui pourrait accueillir une vingtaine de personnes sans difficulté.
- Comme convenu, deux grosses chiennes livrées à domicile.
Autant appeler un chat, un chat.
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Nous n’avons pas à attendre longtemps pour qu’un type nous observe par le grillage, puis qu’un autre le rejoigne. Je suppose que celui qui vient d’arriver doit être l’ami de Yor, car il se montre très familier à la seconde où il arrive et annonce la couleur dès ses premiers mots… Yor a raison, ça va être une très bonne soirée !
« Merci ! J’te présente Nea. »
Et lui de me gratifier du même compliment ! Je souris, ravie de voir que nous allons directement aux familiarités sans passer par la case des longues et parfois gênantes politesses. Parfait !
« Merci, j’ai entendu beaucoup de bien sur toi. Je suis sûre que nous allons bien nous amuser cette nuit. »
Je souris, et voyant l’autre garde nous mater lui fait un petit clin d’œil aguicheur. Qui sait comment il me prendra d’ici peu ?
L’ami de Yor se montre néanmoins prudent, nous annonçant qu’il va nous fouiller… encore que prudent… il n’aurait pas envie de nous peloter avant de nous faire entrer lui ? Si c’est le cas, il est le bienvenu !
« Je suis une bombe sexuelle, je suis un danger à moi seule ! »
Yor lui répond tandis que nous nous mettons toutes les deux en position, nous prêtant au jeu. C’est presque dommage que l’autre type ne participe pas à la fouille, après tout il pourrait rater quelque chose en la faisant seule… encore que quand je le vois prendre autant ses aises avec Yor, je me dis que non. Il a l’air de beaucoup aimer ses seins, ce que je peux comprendre ! Puis il vient s’occuper de mon cas, prenant plus son temps. Il a l’air de beaucoup apprécier mon cul si j’en crois la main qui s’y arrête, m’arrachant un gémissement des plus érotiques… puis il me demande de me retourner, et me voilà en train de lui faire face.
« Je plaide coupable, j’ai des seins énormes. »
Et pour le lui prouver, j’enlève mon haut sans la moindre pudeur et le lance sur l’autre type qui semble halluciner devant le spectacle. Yor en profite même pour lui caresser l’entrejambe, et vu la bosse il semble bander dur. Et pendant qu’elle fait joujou avec lui, Souta lui le fait avec ma poitrine : d’abord en les malaxant, puis il vient les goûter en les écrasant l’un contre l’autre… même la fouille est très agréable ! Une fois qu’il est satisfait, il nous demande de nous replacer contre la grille – au grand désarroi de son collègue qui semblait apprécier la main de Yor – et vient nous doigter.
« Hmm… j’adore me faire fouiller… »
« Et attend la suite… »
Yor ricane alors que la dernière étape de cette fouille débute : un triple roulage de pelle, avec de longs filets de salive qui finissent un peu partout… dont certains sur mes seins nues. Tant pis, il faudra que quelqu’un se dévoue pour nettoyer ça ! Et maintenant qu’il est sûr que nous n’avons pas d’armes autres que nos corps, il nous invite enfin à avancer vers la demeure. De mon côté je me tourne vers son collègue, qui a toujours mon haut :
« Vous me le rapporterez après ou je viendrais le récupérer, d’accord ? »
Je ne suis pas cruelle au point de le laisser finir la soirée seul sans profiter de notre présence ! Yor vient glisser son bras sous le mien, suivant Janus en commentant.
« T’es vraiment une salope Nea, te promener les seins à l’air comme ça… »
« Parce que tu crois que tu vas les garder longtemps tes vêtements toi ? Déjà que ton haut menace de lâcher d’un moment à l’autre… »
Pour prouver mes propos, je viens attraper la fermeture éclair qui contient difficilement les deux gros seins de Yor et tire dessus tandis que Souta nous fait entrer dans une immense pièce. Les seins de Yor tombent alors lourdement, tandis que son ami nous présente comme ‘deux grosses chiennes’… est-ce qu’il a tort ? Pas vraiment… les seins a l’air, nous nous tournons toutes les deux vers les deux autres hommes. Je pensais qu’il y aurait plus de monde tiens, surtout vu la taille des lieux !
« Salut ! Qui a commandé une petite sauterie ? »
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Les yeux du client et de Mark sont à deux doigts de jaillir de leurs orbites comme dans un dessin animé lorsque la marchandise arrive à destination.
- Ooooh !
- La vache !
D'un naturel calme et posé, Mark ne peut s'empêcher de se saisir de l'imposante forme qui est déjà clairement visible sous son pantalon pour la frotter de manière peu discrète alors que son regard est fixé sur les deux massives paire de nibards qui ne sont qu'à quelques pas de lui.
Pour ce qui est de notre client, la retenue est encore moindre vu qu'il déboucle sa ceinture pour laisser tomber au sol son pantalon. Il se baisse ensuite pour enlever ses chaussures et finir en caleçon et chemise. Ce n'est qu'en suite qu'il s'approche de nous trois en regardant les filles.
- C'est moi qui paye.
Le bonhomme me fait un geste de la main pour me dire de reculer un peu avant de les saisir toutes les deux par le cul. Ses doigts venant immédiatement titiller l’œillet de ces deux cochonnes.
- Et vous savez ce qui vous attend ce soir ?
Après avoir laissé le temps et femmes de répondre, le client vient insérer le majeur de chaque main s'enfoncer tout entier dans le trou du cul de chacune des filles pour voir laquelle serait la plus réactive. Il se tournera alors vers la plus sensible des deux sur qui il jettera son dévolu.
- Je vais m'amuser un peu avec toi. Et quand j'aurais terminé vous irez vous occuper de mes hommes. Tous mes hommes ! Ils sont environ une vingtaine.
- Y compris nous.
- Oui, bien sûr. D'ailleurs, amène-toi, Mark.
- Inutile de me le dire deux fois.
- Quand à toi, pétasse, à quatre pattes !
Dans cette configuration, le client est allé se placer derrière sa proie tandis que Mark est en face. Les deux semblent être surexcités. Le regard embrumé par l'envie et les gestes difficilement contrôlables.
Mark ne sait pas si il doit se déshabiller tout de suite ou patienter, alors que le client est déjà parti virer tout ce qui était sur son chemin pour ouvrir le cul qui lui était offert afin d'y insérer sa langue et trois doigts.
Quand à moi, je me retourne vers la pauvre créature qui a été abandonnée en lui lâchant sur un ton amusé :
- Qu'est-ce qu'on pourrait bien faire pour s'occuper de notre côté ?
Pour une fois que je laisse l'initiative dans ce genre de situation. Voyons ce qu'elle pourrait avoir en tête ?
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On dirait bien qu’en nous donnant en spectacle nous avons éveillé l’intérêt des collègues de Souta. Les seins à l’air, ils ont une vue directe sur la ‘marchandise’ et vu leur réaction ils l’apprécient ! L’un des deux hommes se caresse la bite alors que l’autre… se déshabille. Il ne perd pas de temps lui !
Yor fixe le gaillard encore habillé, lui souriant en posant ses yeux sur sa queue pour le moment cachée par ses vêtements.
« Te touche pas trop, c’est à nous de nous occuper de ça ! »
Elle a raison, il ne manquerait plus qu’il se lâche dans son caleçon… ça serait quand même dommage ! L’autre ne perd pas le nord, s’approchant de nous en annonçant qu’il paye. Parfait, on pourra dire à Aya que c’était une sortie professionnelle comme ça ! Et lui de prendre ses aises, venant nous toucher les fesses et glisser un doigt dans nos culs en nous demandant si on a une idée de ce qui nous attend…
« Hmm… là comme ça, je dirais une très très bonne soirée… »
Je souris aux propos de Yor, qui a visiblement attiré l’intérêt du chef du groupe. Enfin je suppose qu’il l’est ? En tout cas il lance des ordres de partout, demandant au troisième homme de le rejoindre lui et Yor et à celle-ci de se mettre à quatre pattes. Elle ne proteste absolument pas au petit surnom qui lui est donné pour l’occasion, prenant place entre les deux hommes.
« Allez Mark, montre-moi la belle queue que tu caches là-dessous… »
Pendant que le client commence à préparer le terrain en enlevant le peu de vêtements qu’il reste à Yor, celle-ci ouvre la bouche en passant la langue pour inciter le dénommé Mark à se faire plaisir lui aussi. Elle laisse échapper quelques soupirs de surprise en sentant les doigts et la langue la pénétrer, presque surprise que l’homme prenne le temps de lui offrir quelques préliminaires tant il semble pressé de lui démonter le cul.
De mon côté, en plus de profiter du spectacle et de voir les gros seins de Yor pendouiller alors qu’elle va très certainement se faire prendre de tous les côtés dans les minutes à venir, j’échange quelques mots avec Janus qui se demande bien comment nous pourrions nous occuper.
« Je ne sais pas, vous avez peut-être un Cluedo ? Sinon vous pourriez peut-être faire une fouille approfondie, et demander de l’aide à vos collègues… c’est qu’il y a plusieurs orifices à vérifier. »
Après tout s’il y a une vingtaine d’entre eux ici autant commencer à en inviter ! A part si leur client s’attend à ce qu’on se promène nues et potentiellement couvertes de sperme dans toute la demeure à la recherche de bites à sucer ? Mystère !
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Une belle queue ? Pas sûr que le terme soit adapté si elle fait référence à la beauté de l'engin. Car je l'ai vu démonter plus d'une nana au fil des années quand on était en planque et que la venue d'une pro était vitale pour pas qu'on pète les plombs. En tout cas le garde du corps accepte la demande de Yor et déballe le paquet, non sans difficulté vu qu'il a déjà une demie molle.
- Okay.
Sort alors de son pantalon un épais et long morceau de viande qui atteint largement les 35cm au repos pour finir par se poser sur le crâne délicat de la salope qui va en avoir pour son argent. Mais sa surprise sera de courte durée car le client vient lui ouvrir le cul à deux mains pour cracher trois fois d'affilé dedans tout en y insérant plusieurs doigts aussi profondément que possible.
- Elle doit se le faire ouvrir souvent pour qu'il soit aussi élastique.
Voilà la situation un poil compliquée dans laquelle se retrouve Yor. D'un côté un black légèrement timide mais monté comme un poney. Et de l'autre un queutard en manque qui va y aller comme un dératé dans les secondes qui vont suivre car il a un besoin évident d'évacuer son stress.
Quant à moi, je me mets à ricaner à la première remarque de Néa tout en m'approchant d'elle.
- C'est con mais on n'a pas de jeu de société dans la résidence.
Une fois que je me trouve presque collé contre elle je glisse une main dans ses cheveux pour faire plier légèrement son visage sur le côté sans trop y mettre de force en lui présentant ma langue.
- Ou alors je pourrais te remplir tous tes trous jusqu'à les faire déborder avant d'appeler mes potes qui viendront les boucher ensemble.
Après quelques coups de langue sur la sienne, je la fais se mettre à genoux. Là, je déboucle rapidement ma ceinture et fait sortir ma queue sur laquelle vient s'écraser son visage. Si elle veut être traitée comme une pute je ne vais pas me gêner de la mettre en condition.
- Commence donc par me bouffer la queue. On verra le reste après.
Histoire de préparer le terrain j'ai laissé ma radio allumée mais uniquement vers l'extérieur et sur un canal précis pour que les prochains puissent entendre. Les mecs seront bien remontés quand leur tour viendra.
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Lorsqu’elle voit la taille improbable de l’engin que sort le dénommé Mark, Yor est aux anges. Elle sourit, toute excitée à l’idée de s’empaler dessus… et encore, qu’est-ce que ça va être une fois qu’il bandera totalement ?
« Oh la vache… ça doit pas être simple de te trouver des meufs qui peuvent encaisser ça hein ? T’as du bol, ce soir tu vas pouvoir te laisser aller. »
Et tandis qu’elle sursaute en sentant l’autre lui préparer le cul comme si il avait une queue aussi énorme à y glisser lui aussi, elle vient poser une main sur le membre pour le maintenir contre son visage pendant qu’elle le frotte dessus. Et tant qu’à faire ça, elle vient donner des coups de langue sur les couilles dès qu’elles passent à portée de sa bouche…
« Vous avez l’air de l’aimer mon cul boss… »
Yor se dandine un peu, amusée à l’idée que celui-ci va surement bientôt lui monter dessus et la sodomiser jusqu’à ce qu’il se soit vidé les couilles.
De mon côté, la situation est plus simple. Seule avec Janus, nous échangeons quelques idées et nous mettons rapidement d’accord car, malheureusement, il n’y a pas de jeu de société ici. Ca ne laissera donc qu’une de nos deux options : la baise ! Sous son impulsion je penche la tête et sort la langue pour lui rouler une pelle, pensant déjà au programme de la nuit. Ça s’annonce parfait !
« Tant que l’on s’amuse… »
Je prends ma meilleure voix de chienne en chaleur pour lui répondre, avant de docilement me mettre à genoux. Bien vite, je me retrouve face à face avec sa queue et la prend en main pour la branler… puis la prendre entièrement en bouche, la laissant durcir au fil de mes mouvements de tête. Je la sens bien vite commencer à atteindre ma gorge, et le bruit que je fais en suçant l’engin couvre presque celui que font les trois autre à côté. Une chose est sûre, sa bite va être bien lubrifiée !
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J'avais beau avoir fait un topo à Mark avant l'arrivée des filles, la prise d'initiative de Yor le prend clairement au dépourvu. L'armoire à glace à trois jambes n'en mène pas large face à la crevette à gros nibards qui se trouve à genoux devant lui. Ses jambes semblent avoir du mal à supporter son poids alors que sa bite reste collée à ce doux et délicat visage par ce que des prêtres pourraient comparer à une succube.
- Urgh... Je sais pas trop. Hooouuuu !
La sensation de cette langue sur ses bijoux de famille fait clairement son effet. A croire que l'abstinence l'aurait rendu sensible de ce côté et que la surprise soit totale pour lui.
Derrière, Franky y va encore plus franco en formant un pistolet avec ses doigts pour venir enculer sa victime comme un possédé. Il veut l'entendre gémir, couiner, le supplier même de venir lui foutre autre chose que ses doigts. Là où d'autres prennent les devant, lui préfère attendre pour ressentir un semblant de puissance avant de passer à l'acte.
Toujours est-il que cela ressemble à une véritable douche écossaise pour Yor qui se retrouve avec un mord de faim à son cul et un grand timide collé à sa face.
Vlurp ! Slurrrp ! Fluuuurp !
Les sons humides et bien dégueulasses s'enchaînent de notre côté alors que je m'amuse à enfoncer ma queue de plus en plus profond dans la gueule de Nea. Je sais pas pour les autres, mais moi j'adore quand une nana bave en faisant assez de bruit pour envahir la pièce lorsqu'elle est en train de m'astiquer le manche façon Adriana Chechik.
Au bout de quelques minutes je décide de me retirer quelques seconde pour frotter à mon tour ma queue tendue et gonflée sur le doux visage qui semble si innocent de Nea tout en prenant soin de la bifler à plusieurs reprises.
- T'as l'air d'aimer bouffer des queues, toi aussi.
C'est à peine si je lui laisse le temps de répondre que j'enfourne de nouveau ma queue dans sa bouche d'une traite pour voir jusqu'où elle peut l'avaler avant de la bloquer de longues secondes. Puis je la libère dans une explosion de salive. Et je recommence. Encore, encore, encore, encore... Jusqu'à voir son faciès déformé par l'envie.
Je me retourne alors vers Mark pour aller dans le sens de Yor quelques secondes plus tôt.
- Faut pas réfléchir avec ces putes. Elles feront tout ce que tu leurs demandes. Regarde...
Mes mains ne prennent plus aucun appuie sur le crâne de Nea alors que j'attends qu'elle me regarde dans les yeux pour lui ordonner :
- Bouffe mes couilles comme la chienne que t'es.
Si ça ne suffit pas à le motiver, je ne vois pas trop ce qui y parviendra.
-
Du coin de l’œil, je vois que Yor continue de bien s’amuser avec le dénommé Mark. Sa queue toujours déposée sur son visage, elle s’amuse toujours à lécher ses couilles mais commence aussi à branler son immense bite. Elle a l’air aux anges, poussant des gémissements à force de se faire refaire le cul par le type derrière elle. Après ça, il a intérêt d’y aller fort aussi quand il va y aller à coup de bite… !
« Aaah… j’espère que t’as l’intention de me bourrer aussi fort avec ta bite… ? »
Visiblement, nous sommes sur la même longueur d’onde ! Elle provoque ‘le boss’ avec quelques mots, puis vient s’occuper plus sérieusement de la queue de Franck. Sa langue lèche toute la longueur, jusqu’à arriver au gland qu’elle glisse entre ses lèvres. Elle lève les yeux vers celui-ci, demandant avec une voix qui se veut innocente :
« Ou il prépare le terrain pour que tu m’atomises le cul… ? »
Je rirais si je n’avais pas la bite de Janus enfoncée dans ma bouche. Je bave à outrance, des filets coulant régulièrement sur mes seins exposés, alors que lui semble adorer ce qu’il se passe. Il finit cependant par libérer sa queue de mes lèvres, et vient me tartiner le visage de salive en me donnant des coups de bite. Je garde la bouche grande ouverte et la langue sortie, souriant lorsque j’entends son affirmation. Dire que je n’aime pas ça serait clairement un mensonge !
« Mfffoui… ! »
A nouveau, la queue se glisse dans ma bouche et mon visage vient taper contre son bas-ventre. Ma gorge est en partie envahie par le membre lubrifié pour notre plus grand plaisir, et cela même si il finit par le ressortir aussi rapidement qu’il l’a entré. Puis il la remet… et l’enlève… et ça en boucle jusqu’à ce que j’halète comme une chienne en chaleur. Un peu plus et je vais finir à quatre pattes les cuisses écartées !
Mais lui a une autre idée en tête, essayant de convaincre son ami à la fois timide et monté comme un étalon de se laisser aller et franchir le pas. Visiblement même Yor a du mal à le faire démarrer, et pourtant elle ne lésine pas sur les moyens ! Alors, pour bien montrer l’exemple, j’obéis à Souta et vient lui sucer les couilles tout en fixant Mark. Ça serait bien qu’il se laisse aller à la débauche lui aussi… !
-
La pipe dégueulasse se poursuit de mon côté. Je passe plusieurs secondes à me faire dévorer les boules par Nea avant de me retirer en la laissant admirer son œuvre. Si ça se trouve elle peut voir son propre reflet dans toute cette salive dégoulinante le long de ma queue tendue et gonflée qui coule jusqu'à atteindre mes couilles pour finir sur le sol dans de longs filets.
- Je te le dis, Mark, ce sont les dernières des putes et elles aiment être traité de cette façon. Pas vrai, salope ?
Ma question est agrémentée de coups de queue visqueuse sur son visage. Chaque bifle résonne en produisant un son humide durant les secondes qui suivent. Mais l'amusement va bientôt toucher à sa fin car on n'a pas toute la soirée et j'ai un boulot à faire en remplissant chaque trou de Nea comme je le lui ai promis plus tôt.
Mes mains viennent prendre toutes les deux possession de son crâne pour me permettre de lui baiser la gueule alors que j'effectue quelques pas en avant pour la forcer à tomber sur le dos à même le sol. Et là c'est la déferlante de coups de rein pour lui faire bouffer ma queue. Mon gland cogner n'importe où dans sa gorge et je n'y prête aucune attention car je suis trop occupé à tenter de finir par lui exploser en pleine gueule.
Un peu plus détendu, Mark finit par poser son cul au sol en gardant la tête de Yor à proximité de son sexe qui contenu de durcir au contact de la bouche experte qui travaille dessus.
- C'est vrai qu'il me fait envie ton cul. J'ai envie de le déformer depuis que t'es entrée dans la pièce.
L'imposante main du black vient se poser avec tendresse sur la joue de Yor pour l'encourager à faire ce qu'elle fait car rare sont les femmes assez téméraires pour venir jouer avec son engin lorsqu'elles découvrent sa taille.
- Vaut mieux que tu la lubrifies aussi bien que le fait ta copine à côté pour que ça rentre quand ce sera mon tour.
Sauf que le visage de Yor viendra s'abattre rapidement sur la tige veineuse et brûlante de son partenaire quand Franky viendra l'enculer sans le moindre avertissement tout en lui grimpant dessus. Son envie et son énergie n'ont pas baissé en intensité. Ce serait même tout le contraire car il y va comme une bête en manque en tenant la belle par les épaules comme on monte une jument.
- Hooouuu ! Hooouuu ! Prends ça dans ton cul !
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J’obéis sagement à la demande de Souta en lui lubrifiant les couilles, continuant ainsi de le faire chauffer tout en m’assurant que le dénommé Mark comprenne que nous ne sommes pas là pour jouer aux cartes. Bon il doit surement l’avoir compris maintenant que Yor lèche sa bite comme une glace, mais ça a l’air d’être un grand timide. Souta en rajoute une couche, nous traitant de putes – techniquement, c’est un peu ce que nous sommes ! – et en revenant me baiser la bouche après m’avoir mis quelques coups de bites sur le visage. Avec toute cette salive, j’ai une bonne partie de mon torse bien humide…
« Hmmf… ? »
Je tombe à la renverse sous la pression, ce qui est sans doute son but, et me voilà maintenant sur le dos avec une bite qui fait des va-et-vient aussi rapides que brutaux dans ma gorge. La salive valse dans tous les sens, recouvrant rapidement mon visage, alors qu’il continue de fourrer ma bouche comme il le ferait avec mon cul ou ma chatte…
… et du côté de Yor, les choses ont l’air d’avancer aussi. Maintenant que Mark a pris du poil de la bête, il semble encourager Yor à bien le lubrifier. Vu la taille de l’engin, il vaut mieux… et elle ne se fait pas prier, commençant à cracher dessus en lui souriant jusqu’à ce que…
« Ooooh putaiiiiin ! »
Le ‘boss’ plonge sa queue dans son cul déjà bien dilaté par les doigts qu’il y a mis durant de longues minutes, la baisant comme un animal en rut. Le bruit du pilonnage envahit vite la pièce, tout comme les couinements de Yor qui arrive malgré ça à continuer d’étaler une quantité impressionnante de salive sur l’énorme bite qu’elle a face à elle. Une vraie chienne ! C’est rare de la voir autant s’amuser !
De mon côté, je sens que la bite de Janus s’apprête à verser un torrent de foutre dans ma bouche. Je ne sais pas si c’est dans son intention ou non, mais en tout cas je m’assure d’être prête à en avaler un maximum…
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Le mafieux y va sans aucune douceur sur le cul de Yor qu'il tente de maintenir aussi ouvert que possible en étirant sa peau tonique de ses deux mains. Où est-ce qu'il cachait toute cette énergie ? Niveau sonore, elle doit l'entendre grogner bien fort dans ses oreilles alors qu'il lui pilonne le cul comme un dératé qui se retrouve avec une fille pour la première fois. Le tout sous un torrent de remarques bien graveleuses sur le fait qu'il va l'enculer jusqu'à faire déformer son cul.
Ce qui peut être assez drôle quand on l'entend avec du recul car même s'il parvient à ses fins, le record risque d'être de courte durée si Mark décide de passer derrière lui avec sa troisième jambe parfaitement lubrifiée par le traitement qui lui est offert.
Le garde du corps y va même de sa promesse :
- Je vais t'ouvrir encore plus grand ton petit cul que notre patron.
Sans vouloir copier notre client, mes hanches viennent s'abattre sur la pauvre Nea qui prend cher de son côté aussi. Toute cette bave qui gicle de sa bouche termine en partie sa course sur mes cuisses et mon bas ventre alors que je sens la pression augmenter. Les mains posées contre le sol pour conserver mon équilibre je souffle de plus en plus fort. La chaleur gagne mes membres et mes jambes semblent si lourdes dans cette position. Seule une éjaculation pourra me permettre d'aller mieux, alors pourquoi résister ou me retenir ?
Je ne prends même pas la peine de la prévenir quand mon corps se crispe d'un coup et que mon gland laisse échapper une grosse giclée de gélatine épaisse et crémeuse dans sa bouche pour finir en partie dans sa gorge si elle parvient à l'avaler par réflexe. Puis les choses s'enchaînent alors que je grince les dents en la gardant coincée dans cette position qui doit lui être désagréable.
- Urrrrrrgggggh !
Cette salope peut et va s'étouffer sur la quantité massive de sperme qui prenait la poussière dans mes couilles à cause de cette mission. De toute manière Yor a dû la prévenir car j'y suis pas allé de main morte avec elle non plus la dernière fois.
Reste à voir si ma bite ne sera pas éjectée de force de sa petite gueule à force d'accumuler le liquide.
Nul doute en tout cas que ça va donner place à un spectacle des plus dégueulasses... et excitant.
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Même si je ne vois pas grand-chose dans cette position, j’entends très distinctement ce qu’il se passe du côté de Yor. Le patron de Souta est toujours en train de lui démolir le cul à grand coup de queue, la traitant de plein de petits noms salaces alors que lui-même la baise comme un chien en chaleur. Mais puisque je ne l’entends pas en rajouter une couche, j’en déduis qu’elle a décidé de prendre la queue de Mark en main – ou plutôt en bouche, et qu’il doit avoir le plaisir d’être en train de baiser sa bouche et sa gorge.
« Grrrrmll… ! »
Au bruit que j’entends, je sais que je ne suis certainement pas loin de la vérité. D’ailleurs le dénommé Mark prend la confiance, affirmant qu’il va lui ouvrir le cul. Magnifique, j’espère que je pourrais voir ça ! On ne voit pas souvent un humain aussi bien membré !
Mais pour l’instant je ne vois rien du tout, car je suis au sol avec la queue de Janus en bouche. Il continue de la baiser comme s’il s’agissait de ma chatte, donnant des coups de hanche bien rythmés avec pour seul but de se soulager… et qui irait le lui reproché ? Pas moi ! Bien au contraire, j’en profite bien jusqu’à le sentir se crisper durant une fraction de seconde… et balancer la sauce !
« Gmf ?! »
Je laisse échapper un petit bruit de surprise tandis que je commence à avaler ce qu’il envoie. Au début ça passe, mais je me rends vite compte que Yor ne plaisantait pas en disant qu’il balance de quoi quasiment nous couvrir de foutre de la tête au pied. J’ai donc un petit dilemme : soit je m’adapte et avale tout, soit j’évite d’avoir l’air louche et je réagis en humaine… c’est-à-dire que ma bouche va vite se retrouver pleine… et… allez, faisons ça ! Après de longues secondes, ma bouche se retrouve pleine et sous la pression sa queue finit par quitter mes lèvres pour continuer à me gicler en plein visage. Mais encore mieux, j’ai la bouche grande ouverte et remplie de sperme qui coule sur mes joues, mon menton et même vers mon nez. Couverte de sperme comme je suis, je deviens une sorte de Mona Lisa des salopes.
« Aaah… dit donc… vous aviez du stock… ! »
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Me soulager après une période d'abstinence me fait toujours le même effet. Comme si un poids quittait mon corps d'un seul coup. En tout cas la quantité est là car la place finit par manquer dans sa bouche pleine à ras-bord. A tel point que je dois légèrement me redresser pour finir par lui balancer le reste sur son visage qui n'a plus grand chose d'angélique.
Ce n'est en tout cas pas ce qui va me forcer à changer tout de suite de position car je laisse reposer mon chibre visqueux et dégoulinant de sauce blanche sur son faciès que je trouve bien chaud et reposant.
- Pourquoi j'ai le sentiment qu'il me restera plus une goutte quand tu vas me quitter ?
La perte, temporaire, de dureté n'a pas rendue ma queue moins lourde. En tout cas ça ne me dérange pas le moins du monde de m'amuser à faire retomber ma demie molle sur le visage de ma proie que j'observe droit dans les yeux en ricanant comme un idiot emporté par l'excitation.
Un peu plus loin notre patron est sur le point de se lâcher car il se retire en grommelant pour venir jouir sur une des cuisses de Yor. La chose ne dure cependant que quelques secondes durant lesquelles il halète de plus en plus fort comme le ferait une personne qui viendrait de boucler un marathon. C'est même limite s'il ne se met pas à tousser comme s'il allait en perdre un poumon.
- Huffff... Hooouuuu... C'était.... vraiment... incroyable.
Bite à la main, son gland gonflé et encore suintant fini par entrer en contact direct avec la peau de sa pute, vu que c'est lui qui régale, alors qu'il tremble de la tête aux pieds. Ce contact semble même le faire frémir encore davantage.
- Je t'aurais bien rempli mais j'ai une femme et assez de gosses.
Une situation qui ne devrait pas déranger un instant Mark. Le grand black encourage quelques instants Yor à lui pomper la queue en gardant la bouche ouverte pour récupérer autant de salive que possible avant de la faire s'arrêter. Et sans lui demander son avis, il la fait se retourner pour finir dos contre le sol. Puis il se saisit fermement de ses chevilles pour lui écarter les cuisses. Afin de pouvoir amener son gland en direction de l'oeillet qu'il souhaite déformer, il pose un mollet de Yor sur son épaule à lui tout en approchant de sa victime en devenir.
Son énorme gland violacé ne présage rien de bon pour la suite des évènements. C'est sans doute pourquoi il préfère le lui enfoncer en prenant tout son temps une fois dans la bonne position et dans le bon angle. Après, salope comme elle est, cela n'arrêtera pas Yor.
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Il lui faut un petit moment pour arrêter d’éjaculer. Lorsqu’il a terminé, non content d’avoir couvert mon visage de foutre, je sens l’épaisse queue de Souta se poser sur mon visage. Et puisqu’il est là, à portée, je donne quelques coups de langue dessus après avoir avalé tout le sperme que j’avais encore en bouche. Je souris à sa question, me décidant à le taquiner plutôt qu’à chercher une réponse réellement logique.
« Il ne restera plus une goutte dans aucunes paires de couilles de ce bâtiment tu veux dire. »
Et oui, je n’ai pas oublié le reste des gardes qui doivent déjà être bien excités vu les bruits que nous faisons. Enfin surtout le patron, qui se laisse aller comme jamais et hurle de plaisir en démontant le cul de Yor. Mais comme pas mal de monde, il succombe vite au plaisir de se taper Yor et commence à lui éjaculer dessus… mais en bien plus petite quantité que Souta. J’ai clairement tiré le bon numéro de ce côté-là !
Yor quant à elle ne dis rien lorsque celui-ci lui dit qu’il l’aurait bien remplie, gênée par l’énorme bite qu’elle a en bouche et dans la gorge. Mais la situation va vite changer, car maintenant que son cul est libre Mark a visiblement décidé de l’élargir encore plus qu’il ne l’est actuellement.
« Woouuuuh ! »
Yor rit tandis que le type la retourne comme si de rien n’était, commençant même à la traiter comme un jouet. Elle dévore l’énorme bite du regard, se laissant positionner sans opposer la moindre résistance, et ça jusqu’à ce que son partenaire commence à s’enfoncer en elle.
« Ooooh putain oué ! »
Sa poitrine se soulève tandis qu’elle prend de grandes inspirations, subjuguée par la sensation que lui procure ce membre si épais. Il n’a pas besoin de la connaître depuis longtemps pour comprendre qu’en cet instant elle prend un pied fou. Et moi pendant ce temps je continue de donner des coups de langue sur la queue de monsieur, espérant qu’il va rapidement reprendre de sa superbe ou inviter ses amis à me baiser moi aussi !
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L'annonce de Néa n'est clairement pas entrée dans l'oreille d'un sourd car je vois d'un coin de l'oeil un collègue entrer dans la pièce et se désaper rapidement. Je la garde donc occupée encore quelques petites secondes en me frottant allègrement sur son visage pour lui bloquer la vue le temps nécessaire et une fois le collègue assis à quelques centimètres de nous deux je la fais se retourner. C'est alors qu'une grosse poigne vient se saisir de sa chevelure pour lui coller la gueule sur ses grosses boules.
- Commence par bouffer les miennes.
Une demande qui risque d'être bien compliqué à réaliser pour la pute du soir car la taille des engins ne lui offre que peu d'espoir d'y parvenir. En tout cas il aime déjà sentir ses lèvres et sa langue dessus car il se met à soupirer comme un animal en rut... ou une femme enceinte.
J'en profite alors pour guider mon gland encore trempé dans un mélange de sperme et de salive qui serviront de lubrifiant naturel en direction de sa chatte pour la lui enfiler d'un coup sec en prenant appui avec une main sur le sol et l'autre sur une de ses fesses. Si de son côté Mark y va doucement pour ne pas casser Yor, Nea va prendre tarif d'entrée car je ressors lentement pour revenir lui foutre un second coup de rein sec et faire cogner mes boules contre son clitoris dans la manœuvre.
- Haaan... J'avais encore jamais goûté à un cul pareil.
Dans son coin, Mark parvient à enfoncer sa queue jusqu'à la moitié non sans difficulté. Posséder un truc de ce calibre n'est pas toujours facile car rare sont les nanas à pouvoir se prendre un machin de cette taille sans finir aux urgences. Du coup même lui n'est pas habitué à pouvoir aller au fond des choses.
Après quelques secondes dans son trou chaud et étroit, il se retire pour lui demander de revenir cracher sur sa bite rapidement. Puis il reprend sa place en pressant cette fois plus fort tout lui attrapant un de ses nichons comme prise d'appui. Ses doigts le malaxe de toutes ses forces alors qu'il pousse dans le rectum de la belle salope tout en grognant comme un homme des cavernes à chaque centimètre de plus qu'il parvient à lui foutre.
- Putain de chienne ! Tu vas te la prendre toute entière.
La chose risque de prendre encore quelques instants pour qu'il trouve ensuite son rythme de croisière. Mais une chose est sûre, il ne lâchera pas Yor avant d'y parvenir.
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Je crois bien entendre une porte s’ouvrir puis se refermer, mais je n’ai pas l’occasion de voir qui s’est joint à notre petite fête : Souta semble profiter de la situation pour me bloquer la vue avec sa bite, ce qui est à la fois amusant et excitant. Puis le nouveau venu, que je devine peu habillé aux bruits de vêtements tombés au sol que j’ai entendu, vient m’attraper et me retourner avec l’aide de Souta et me fourrer ses couilles en plein visage. Je suis bien sûre plus que ravie de les lécher et les sucer, cherchant tout de même la bite qui va avec pour la prendre en bouche lorsqu’il me laissera faire.
De son côté, Souta semble avoir repris du poil de la bête. Je pensais qu’il se contenterait de regarder ou se reposer pendant que l’autre me fait son affaire, mais non : je sens très clairement sa bite venir se frayer un chemin en moi sans aucune délicatesse, me faisant couiner de plaisir comme la salope qu’il doit m’imaginer être. En même temps jusque là je ne lui ai pas donné tort, et je doute le faire ! Le visage maculé de foutre et une nouvelle bite en bouche, j’encaisse ses coups de rein puissants avec grand plaisir.
Et d’ailleurs, ça semble être la même chose du côté de Yor. Le dénommé Mark la complimente pour son cul incroyable, et à raison : il fait même envie à certaines clientes hétéros qui finissent par se laisser aller à des expériences bi. En tout cas, en plus du côté bien rond et rebondit, il peut profiter de toute la profondeur que nous pouvons offrir…
« Aaaah oui vas-y… je veux m’empaler sur ta bite géante Mark ! »
Oui, clairement, Yor s’éclate. Aucun doute là-dessus, elle se remet même à lubrifier l’énorme queue avant de se la reprendre plus profondément encore. Ce type est monté comme un cheval, et ce n’est pas vraiment une exagération ! Et je vois bien que Yor l’aide à s’enfoncer toujours plus en elle, remontant son bassin lorsque lui abaisse le sien. Je vois même son ventre commencer à se déformer sous la pression, ce qui est un spectacle on ne peut plus excitant…
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Il arrive que les sessions avec les putes dégénèrent car on ne fait recours à elles que dans des circonstances particulières. Un peu comme aujourd'hui en fait. Parfois parce qu'on se fait chier comme des rats morts et que tous les autres moyens de divertissements classiques on été épuisés. Ou d'autres quand les mecs sont tellement chargés que la vue d'une domestique peut les faire dégoupiller. Ce qui est malheureusement déjà arrivé.
Et dans le cas de types comme Mark qui ne sont pas équipés comme le commun des mortels, l'accident est vite arrivé si il ne parvient pas à se contrôler. Heureusement les choses semblent tenir jusque là alors qu'il éclate Yor comme si son cul était le dernier orifice disponible sur toute la planète et que sa queue était possédée par un esprit maudit. La manière avec laquelle il cherche à l'embrocher pourrait plus tendre du film d'horreur que de cul et pourtant les deux semblent y trouver leur bonheur.
Une main qui lui servait à prendre appuie sur l'épaule de la belle salope vient changer pour se placer sur son crâne. La tête de Yor vient donc s'engouffrer dans un coussin qui se trouvait pas loin.
- Urrrrggggh ! Mnnnnnnn !
De la bave commence à s'écouler de ses lèvres pour dégouliner jusque son menton. A se demander qui est en position de force vu que le grand black musclé semble plus souffrir que celle qui se fait enculer par une bite aux dimensions inhumaines.
Le garde du corps n'en est encore qu'aux 3/4 quand il se retire pour souffler et frotter sa tige sur la chatte dégoulinante de sa partenaire qui lui servira de lubrifiant pour repartir de si belle d'une charge plus sèche tout en beuglant et grommelant.
De notre côté, je viens me saisir du cul de Nea pour la maintenir en place afin de me frayer un chemin plus direct au fond de sa petite fente humide qui ne m'oppose aucune résistance jusque là. Difficile de savoir si elle prend son pied ou si elle s'étouffe car le mec en face d'elle se sert de son visage comme d'une serviette sur laquelle il continue de frotter son service trois pièces sans penser une seule seconde à ce qu'elle doit ressentir ou tout simplement sentir. L'odeur doit être assez particulière là-dessous.
Beaucoup des gardes présents ont des fétichismes bien à eux. Le seul avantage c'est qu'aucun ne trempe dans la violence quand il s'agit de sexe. Par contre celui qui est venue jouer avec le visage de Nea ne semble pas disposer à la laisser reprendre son souffle de si tôt. Et si son éjaculation est proportionnelle à la taille de ses couilles, c'est la douche blanche assurée pour la prostituée.
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A ce stade, je ne vois plus grand-chose à ce qu’il passe. Avec une queue et des couilles bien remplies qui se promènent sur mon visage, je suis maintenant trop occupée à essayer de lécher ou sucer ça pour vraiment suivre tout ce qu’il se passe. Heureusement, Souta lui a l’air de bien suivre et a toujours l’intention de participer à notre petite sauterie : ce n’est pas parce qu’un de ses collègues frotte sa bite partout sur mon visage déjà couvert de foutre qu’il va s’interdire de me baiser, bien au contraire. Je sens sa queue plus que bien lubrifiée venir s’enfoncer dans ma chatte, et qu’on soit clair je ne demandais que ça ! Quel pied… !
« Hmmf… ! »
Je pousse un petit cri de plaisir, étouffé par la couille que j’ai en bouche, tandis que Souta vient envahir toute mon intimité avec sa queue bien raide. Je crois aussi entendre Yor jubiler et balancer quelques mots à l’attention de son amant. Ou c’est à destination de tout le monde ? Difficile à dire…
« Aaah… j’ai l’impression de me faire passer dessus par un étalon… putain que c’est bon… ! »
Ou un truc comme ça. Une chose est sûre, elle n’a pas l’habitude de se faire baiser comme ça par des humains et en profite à fond ! Et d’ailleurs lui aussi doit en profiter à fond… ou plutôt du trou sans fond dans lequel il peut plonger sa queue. Ça deviendra peut-être un client régulier du club, après tout il ne doit pas souvent trouver chaussure à son pied vu sa pointure…
Je sens les deux hommes qui s’occupent de moi s’en donner de plus en plus à cœur joie. Mes seins rebondissent sous les coups de rein que je me prends, et vu la position de l’autre il giclera peut-être dessus… ou peut-être qu’il finira le boulot commencé par Souta et m’offrant un nouveau masque de sperme ? Dans tous les cas, j’ai hâte de profiter des prochaines salves chaudes de mes clients du soir… et des prochains !
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La baise se veut de plus en plus brutale entre Mark et Yor. Si la salope que je connais si bien prend un pied fou, que dire de son partenaire qui semble être possédé par une énergie insatiable.
Désireux de pouvoir s'enfoncer aussi profondément qu'il le peut dans cette chatte, il les a fait basculer tous les deux sur le côté et s'est saisit immédiatement de sa cuisse gauche pour la soulever. Ce faisant, le membre imposant du grand black peut glisser de façon plus efficace dans ce qui ressemblerait presque à trou noir. On s'y fait aspirer mais dur de dire si on peut en ressortir.
Les sons de chair qui claquent l'une contre l'autre sont accompagnés de bruitages humides bien sales et qui semblent exciter un paquet de monde car très vite on peut entendre les bruits de pas de plusieurs personnes se rapprocher de la pièce où on se trouve.
Peut-être que je suis le seul à les avoir entendu car le duo ne prend aucune pause. Pire encore, on ne peut pas déceler le moindre ralentissement dans leurs gestes. Chaque coup de hanche est suivi d'un grognement et d'une giclée de cyprine.
(https://simp6.host.church/images3/baise1ed401c2b206503c9.jpg)
En regardant bien on peut presque percevoir une légèrement déformation sur le ventre de Yor durant un très bref instant lors d'une poussée puissante et brutale de Mark qui est déterminé à se vider les couilles en elle. Ce n'est d'ailleurs qu'au bout de quelques minutes qu'il se rend compte qu'il s'est trompé de trou.
- Putain, c'est un truc de malade !
Un des gardes du corps est complètement stupéfait par ce qui se déroule dans cette grande pièce. En me retournant dans sa direction sans m'arrêter de remuer du bassin dans la petite fente humide de Nea, je peux remarquer la présence d'une dizaine de gardes qui viennent d'arriver.
La quasi-totalité des effectifs qui se trouvaient à l'intérieur de la résidence est venue passer du bon temps en plus de vérifier si les bruitages dans leur radio n'était pas une plaisanterie.
A la grande surprise du reste du groupe qui vient de débarquer, l'un d'eux vire son pantalon comme s'il devait aller aux chiottes en urgence et bouscule celui qui se faisait reluire les burnes par Nea pour attraper le visage de la belle salope et y enfourner sa bite. Sa queue est dure, tendue... Le passage en force entre ses lèvres le fait soupirer durant de longues secondes et tout le monde devine que le salaud est en train de se vider les couilles dans sa bouche.
(https://simp6.host.church/images3/bouche3b447b0b5e935b6f.jpg)
- Hoooo, putain ! J'en avais besoin !
La chose est en train de partir en vrille et j'ai même pas encore fini de m'amuser autant que je le voulais.
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Toujours au sol et en train de me faire passer dessus par Souta et son collègue, je ne remarque pas grand-chose à ce qu’il se passe. D’ici, impossible de voir que l’étalon de Yor a changé de trou ! Ni qu’il enfonce sa queue si profondément en elle que son ventre se tend sous la pression. Elle, par contre, le voit et le sent sans problème et prend son pied comme jamais.
« Alleeeez Mark ouiii… je suis ta petite pute… bourre moi comme un sextoy… »
On fait difficilement plus explicite, mais Yor n’est de toute façon pas connue pour faire dans le subtil ou le poétique. D’ailleurs vu comment elle crie les autres gardes doivent bien se rendre compte qu’il se passe des choses ici, et ça se confirme rapidement quand la porte s’ouvre à nouveau. Vu le nombre de pas que j’entends, j’ai l’impression qu’il y a soudainement bien plus de monde non ? Peu importe en réalité, tant que Souta ne s’arrête pas de me culbuter lui aussi… puis d’un coup, le type dont la bite se promène sur mon visage se décale. Ah non, un autre l’a poussé ! Durant quelques secondes, j’ai le temps de voir nos nouveaux camarades de jeux… dont l’un d’eux vient fourrer sa queue dans ma bouche grande ouverte, et s’y vider les couilles. Zut, pas très endurant lui ! Mais je prends tout de même soin de ne pas en perdre une goutte, et de bien nettoyer sa bite avant de la relâcher.
Derrière moi, j’entends Yor fanfaroner avec son amant du soir…
« Vas-y Mark, montre-leur comment un étalon baise ! »
Clairement pas dérangées par l’idée d’avoir des spectateurs ou participants supplémentaires, ni Yor ni moi ne faisons genre d’être ennuyées par leur présence. Bien au contraire, je tends une main vers eux comme pour les inviter ; et c’est rapidement qu’ils commencent à se chercher une place dans la pièce. Certains viennent autour de moi, d’autres du côté de Yor, tous à la recherche d’une occasion de nous fourrer ou au moins de profiter de la petite sauterie. On aurait peut-être dû amener une autre amie tiens, car là ils risquent de devoir attendre leur tour… !