Le Grand Jeu
Plan de Terra => Ville-Etat de Nexus => Discussion démarrée par: Rhéa le dimanche 22 novembre 2009, 00:22:37
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- Ce que les humains peuvent être chiant, il ne me laisse aucun répit, pire que des rapaces.
Rhéa n'était pas vraiment heureux de devoir obéir à des esclavagiste, mais on il fallait savoir de quel côté de la chaine il fallait se trouver et utiliser ces pouvoirs de titan aurait rameuté les dieux et les fanatiques de monothéiste qui croient que leur dieu est uniques et que les autres son des diables, bon d'un autre côté c'est vrais que Zeus, hades et Poséidon sont des petits diables à avoir enfermé le titanide, malgré tous ce qu'il avait fait pour eux.
- Pfff ! Va falloir que je me trouve une belle perle pour ne plus l'avoir sur le dos pendant un mois (soupir), dire que je pensas prendre un jours de congé, c'est pas de tous repos de ce faire passer pour une mortelle, surtout sur Terra, manquerait plus qu'il finisse avec un colleir autour du coup, rien que l'idée me dégoute.
Effectivement il ne voulait en aucun cas devenir un esclave, il continua à sa balader, pour prendre la directions de la place publique, là il fit les divers étables de vente, regardant chaque esclave, demandant même à ces derniers de répondre à certaine question indiscrète et de se mouvoir, mais malheureusement, il ne pouvait pas allier beauté et prix bas, les belle perles coûtaient horriblement chère et les vendeur étaient des radins, même en essayant d'utiliser sa poitrine comme une partie du paiement, ils ne voulaient rien entendre, aussi finit-il par rebrousser chemin, en mangeant un plat végétarien, il fallait qu'il fasse attention à sa ligne et une bonne salade cale plus qu'un repas classique.
- Je vais me faire taper sur les doigts si je trouve pas vite quelque chose à lui proposer, c'est la première fois que j'ai l'impression d'avoir sa lame sous ma gorge.
Il se mit à courir pour chasser cette impression et prit divers route, se qui faisait qu'il se paumait volontairement dans la ville de Nexus, pourquoi ? Car le hasard fait souvent les meilleurs prisent, il continua donc à marcher, puis il entendit un bruit, il tourna la tête et sentit quelqu'un le percuter, il regarda ce qui l'avait bousculé et vit une jolie terranide, dont les couleurs étaient rare, de plus elle ne semblait pas trop violente ni réactive, la victime parfaite.
- Vous allez bien mademoiselle, je m'excuse, je n'ai pas fais attention .... Ton maître n'est pas censée être avec toi ?
Rhéa aurait de la pitié ? non, mais vous le prenez pour qui, il allait déjà se faire passer pour une femme de noble, qui cherche une terranide douce pour un boulot payer, la honte pour quelqu'un qui travaille dans l'esclavagisme. il allait avant tous se renseigner un maximum sur elle, après ... et bien on verra, si elle est gentille et naïve, elle allait avoir le droit à un cadeau, enfin cadeau cela dépend du point de vue.
- Je suis vraiment confuse, tu n'as rien ?
Le titan tutoyait pour ne pas paraitre suspect.
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C'était une belle après midi. Je me baladais enfin dans la ville, suite à la mort d'un de mes Maîtres, il y avait eu une débandade, et nombreux étaient les terranydes qui avaient réussis à s'enfuir.
Tenant toujours mon violon dans la main, je cherchais un endroit tranquille pour jouer de tout mon art, mais pour cela, si je ne voulais pas susciter des visions plutôt cauchemardesques, il me faudrait être seule ...
Mes précédentes aventures m'avaient rendue craintive à l'égard de toute face, et j'avais appris à me faire discrète, tellement discrète qu'il aurait fallu me bousculer, sans le faire exprès, ou du moins passer très près de moi.
Tandis que je pensais justement à ça, une belle et grande femme me bouscula. Je failli tomber à terre, protégeant mon violon.
Elle fut cependant d'une grande gentillesse, ce qui me rendit encore plus suspicieuse.
- Vous allez bien mademoiselle, je m'excuse, je n'ai pas fais attention .... Ton maître n'est pas censée être avec toi ?
Tout en disant cela, elle me détailla d'un regard qui me fit frémir, qui était cette femme et que me voulait-elle ?
- Je suis vraiment confuse, tu n'as rien ?
Vraiment c'était étrange, une personne normal aurait engueulé la personne contre qui elle s'était cognée... Cette gentillesse, je la trouvais étrange. Je décidais de répondre rapidement puis m'éloigner pour aller chercher ce coin tranquille auquel j'aspirai.
"Non, non, merci bien. Je n'ai rien."
Après avoir ignorée la première question et répondu brièvement à la deuxième, je fit demi-tour et marcha vers une ruelle, pas trop sale, mais pas assez propre pour des personnes nobles qui voudraient un esclave.
Après m'être posée, je me préparai à jouer.
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La voix de la terranide était magnifique, tous ce que cherchait le titan. Une jeune âge, un beauté féline, des couleur pour le moins assez rare, un art pour le violon au vue de celle que la terranide portait et elle n'était pas très bavarde, un avantage en tant que servante ou simple esclave.
Rien que ces qualités là offrait à peut près 75 % de bénéfice pour la personnes qui aurait voulut acheter Pandora, c'était une occasion à ne pas laisser passer, mais il ne fallait pas l'effrayer, les chaton on tendance à fuir très rapidement, surtout quand on leurs présentent une chaine avec un collier.
De plus comme Rhéa se trouvait sur Terra, il ne pouvait pas utiliser ces pouvoirs, même une simple flammèche aurait fait un boucan pas possible sur l'Olympe, l'ex-résidence du titanide. Il comptait bien un jours faire connaître son existence, mais pas pour l'instant, il fallait attendre.
Il laissa la demoiselle partir, tout en y accrochant une très fin fils qui ne pouvait se voir à l'œil nu, le titan laissa la bobine se dérouler, puis vint un moment où le fils cessa de bouger, signe d'un arrêt, il suivit le lien qui allait lui montrer l'endroit où était la terranide.
près quelqeu minute, Rhéa la vit, le violon sur l'épaule, elle allait jouer un air de musique, c'était le moment parfait pour savoir de quoi était capable cette gamine, plus la musique sera belle, plus Pandora vaudra chère.
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Je commençais donc à jouer, limitant les effets de ma musique sur la ruelle dans laquelle j'étais.
L'archer posé sur les cordes, j'interprétais à ma façon la onzième des quinze études de virtuosité de Moskowski, celle en la bémol majeur, offrant à ceux qui passaient dans la rue une vision d'une plaine verdoyante, une rivière passant en plein milieux, avec un flot assez rapide pour emporter un humain. Dedans on voyait des saumons la remonter vers la petite cascade en amont.
Des fois une nuage venait obscurcir ce paysage idyllique mais rapidement chassé par le vent qui soufflait.
Je me tenais au centre de cette vision, la concentration se lisait sur mon visage épanouit. Mes doigts couraient le long du manche avec une vélocité et précision sans égales.
Si la femme qui m'avait abordée me voulait quelque chose, elle serait aussitôt enchaînée dans cette seconde réalité que je venais de créer.
Si elle venait... Ce fût ma dernière pensée. J'étais à présent complètement immergée dans ce que je venais de créer. Je dansais a présent et ne me souciaient pas de ceux qui pourraient me voir. De toute façon pour eux c'était sans doute un spectacle agréable à voir, il était rare de voir une terranyde pouvant jouer avec tant de virtuosité d'un instrument...
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Rhéa fut content de voir l'art de Pandora. L'art de matérialiser une illusion via le son d'un instrument, ce genre de personne ce comptait sur les doigts d'une seule main et valait une somme conséquent, le seul ennuis fut du comment l'approcher, il avait deux choix. Mais il fallait d'abord casser cette illusion, rien de plus facile, une illusion à la base affecte l'esprit, ce se dernier et plus forte que l'illusion, alors elle se brise d'elle même, chose facile pour un titan ayant vécu dans le Tartare, le lieu où tous les cauchemars les plus abyssal et sombre se réalise. Il se concentra à peine, que l'illusion se brisa, permettant ainsi de voir la terranide jouer, se croyant à l'abri de ce dernier.
* Comment fais-je faire ... hum ... J'ai une idée *
Le titan s'amusa à se faufiler derrière la chatte se délectant du la beauté et de la concentration intense que cette dernière offrait aux yeux de tous le monde, une terranide comme celle-ci vaut plus que la prime normal, de plus ces doigts sont parfaite ... parfaite pour une esclave qui peut servir d'objet sexuel ou d'outil musical. Rhéa se dit qu'il allait un peu jouer avec elle. Il s'approcha derrière elle et utilisa sa langue, dire que cela faisait une éternité qu'il ne l'avait p^lus utilisé et au moment où la partition sembla perdre en puissance, elle l'enroula autour de la terranide, tout en prenant son violon, pour l'examiner.
- Tu as un bien joli instrument et tu sais en jouer avec une maîtrise inégalée, je pense que tu me seras utiles, oh ! Je ne me suis pas présentée en faite.
Il fit une révérence avec un regard malsain.
- Rhéa, femme faisant des petit boulots et étant actuellement traqueuse d'esclaves potentielles (rire).
Sa langue se mit à être enduit d'un liquide qui passa à travers les vêtements et entra dans le corps de la terranide, provoquant une mouillage de l'intimité et une envie irrépressible de se masturber.
- Oups j'avais oubliée de te dire que j'étaie spéciale ?
Le titan attendis un moment, la faisant pendre à deux mètre du sol , puis vint la poser au sol, en étant sur que la première chose qu'elle ferrais c'est tenter de fuir tout en luttant de façon veine, contre son envie de se faire plaisir, du aux stimulation que le liquide sa sa langue avait produit, la terranide était libre de mouvement, restait à savoir combien de mètres allait-elle faire avant de s'écrouler au sol en se stimulant manuellement. bien sur Rhéa avait l'antidote, mais il allait attendre qu'elle s'épuise toute seule, pour ensuite prendre la relève.
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Concentrée sur ma musique, étant prise moi-même dans cette autre réalité, même si une personne avait crié devant moi dans mes oreilles, je ne l'aurai pas entendu.
Au moment où cette illusion se perdait après avoir chassé les nuages pour relancer le cours de la rivère, une chose baveuse s'enroula autour de moi et mon violon s'échappa de mes mains.
- Tu as un bien joli instrument et tu sais en jouer avec une maîtrise inégalée, je pense que tu me seras utiles, oh ! Je ne me suis pas présentée en faite.
Surprise, je poussais un cri d'horreur, sa langue me tenait à plusieurs mètres de haut. Elle se présenta.
- Rhéa, femme faisant des petit boulots et étant actuellement traqueuse d'esclaves potentielles (rire).
"Enchantée, dis-je, Je suis Pandora, terranyde libre, joueuse du violon que tu tiens en main."
Mon regard accusateur se portais sur Rhéa.
Ce regard se changea vite en effroi car je m'apperçu que mon corps devenait moite, et ne répondait plus à mes ordres convenablement... Une envie que je n'avais jamais ressentis avant se mit à naître en moi.
Après m'avoir retenue dans les airs quelques minutes, Rhéa me reposa à terre. Dés que je touchais le sol, je me précipitai vers Rhéa, griffes sorties, pour tenter de lui crever les yeux, ou lui faire le plus de mal possible. On ne touche pas mon violon. C'est la seule pensée qui occupais mon esprit. Malgré toute ma volonté, je me sentais faiblir et après avoir tenté de griffer cette femme, je m'écroulais à terre, toute tremblante, résistant à mes pulsions. Je n'arrivais même plus à lever la tête pour voir si mes griffes avaient atteints leur but. Je savais que j'avais touché quelques chose, quelque chose de mou.
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Rhéa esquiva l'attaque au millimètre près, mais voulut se donner une raison de répondre à l'agression de la petite chatte, aussi laissa-t-il les griffes faire sauter les boutons de son chemisier blanc et griffer un peu son ventre, tous cela en faisant en sorte de na pas recevoi de dégâts plus sérieux, il aurait put tout aussi bien éviter, mais une perle se doit d'avoir son moment de gloire, avant de découvrir qu'il n'était que le fruit d'un plan murement pensé. Il dit d'un voix faussement colérique.
- Regarde ce que tu as fait, moi qui avait achetée cette chemise en marchandant. Il va falloir que tu me rembourse petite chatte.
Le titan prit un malin plaisir à écraser la queue de Pandora, tout en maitrisant la terranide qui était maintenant face contre terre, à plat ventre, toujours sous l'effet du produit, Rhéa lui murmura à l'oreille avant de le lui mordre avec sadisme.
- Erreur, tu es Pandora, esclave depuis peu et qui va jouer pour ces futurs clients, mais avant il va falloir que tu sois un gentil matou et que tu me suives sans opposer de résistance, je ne me vois guère devoir t'exhiber nue avec une laisse autour du cou comme les chats, non ?
Rhéa prenait toujours ces boulots à coeurs et malheureusement pour la terranide, il était capable du pire, mais il pouvait aussi se montrer doux, cela dépendrait de l'analyse de Pandira sur la situation, même si Rhéa se doutait bien que sa fierté allait l'obliger à défendre sa liberté ou que son esprit tente de le corrompre pour pouvoir fuir, dans tous les cas le titan savait comment paré à ces éventualités, travailler seul offre des avantages, comme des inconvénient.
- Alors mon petit chaton que décides-tu ? Il serait dommage que je t'arrache ta queue pour te forcer à obéir.
Il allia le geste à la parole retenant d'une main les poignets et de l'autre la queue en serrant assez pour montrer qu'elle n'était pas en position de force.
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"Un gentil matou ? Pfeuh, c'est ce qu'on verra... Ahh ma queue ! Co......"
Je m'étais fourrée dans un pétrin pas possible ... Cette femme... Je voulais voir où étaient ses limites..."
Ainsi je résistais à toutes ces tortures, morales, ou physique.
Après le fer d'un de mes anciens maîtres, tout cela n'était que broutille...
- Alors mon petit chaton que décides-tu ? Il serait dommage que je t'arrache ta queue pour te forcer à obéir.
"Et toi, grande perche, pour qui te prend tu, je veux bien que tu me frappe ou fasse ce que tu veux, mais tu repose le violon dans un endroit sûr, et de toute façon, je ne pense pas que si les gens savaient pour ta langue, ils t'apprécieraient encore. Peut-être serais tu vendu en tant que bête de foire... De toute façon, tu ne comprend rien à l'art, ainsi comment pourrais tu dire que je joue bien, ou pas ... je pense que le collier t'ira bien mieux à toi qu'à moi."
Je la regardais désormais d'un air méprisant.
"Et peut-être aurais tu le droit à ton susucre du jour pour te remercier d'avoir baver devant la populace qui viendrai te voir. Je vois même l'affiche au dessus de toi ! Il y aurait marquer "La moche à longue langue" beau, n'est-ce pas ?"
Après avoir mit autant de mots cote à cote j'essayais de lui envoyer un coup dans son entrejambes.
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il ne fallait pas essayer de mettre en boule un titan et encore oins faire une tentative aussi débile qu'est de lui envoyer un coup de pied dans les partie, car cela se payait très cher, aussi cher que de vouloir frapper un dieu, si ce n'est pas plus.
Rhéa lâcha la petite terranide pour éviter le coup, pour ensuite dire avec sadisme.
- Le métier ne se définit pas à la race, petit chaton.
Le titan mit un méchant coup de pied aux côte de Pandora, qui ne put pas réprimer sur son visage une grimace de douleurs.
- Si tu te crois apte à m'énerver, sache que tu as tous faux, j'ai connut plus chiante que toi et aussi plus résistante. tu tient tant à ce violon ? Voyons voir si je sais en jouer.
Rhéa allait commenter l'irréparable, car ne pas savoir jouer correctement de cet instrument l'abime et donc affaiblit le son qu'il produit, il fit trois note, qui étaient désastreuse, même Pandora devait en avoir mal aux oreilles et aux coeur surtout, car un instrulent est comme une armes, c'est un fragment de l'âme de la personne qui le possède. Il esquiva quelque faible tentative de de griffure, même si le titan était surprit de ne pas la voir se tordre sous l'effet de son produit, sans doute ne connaissait-elle pas mes pratique adéquates.
- Bon je crois que je vais t'offrir une seconde chance, je déposerais l'objet si tu admet ici et maintenant que je suis ton maître, sinon ...
Rhéa avait avancé son genoux, le violon entre ces deux mains, la menace était évidente, il allait le briser net si elle ne se pliait pas.
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Ce son était horrible, on entendait à travers cette note le violon qui appellait à l'aide.
- Si tu te crois apte à m'énerver, sache que tu as tous faux, j'ai connut plus chiante que toi et aussi plus résistante. tu tient tant à ce violon ? Voyons voir si je sais en jouer.
J'allais répliquer quand je vis ce que cette démone allait faire ...
Casser mon violon ? a MOI ?
Impossible, me tenant les cotes je m'approchais en rampant après de Rhéa.
"Madame ... ne faites pas cela je vous en prie !... Je..."
Les mots étaient très durs à sortir, je me forçais et la regarda d'un air implorant
"Par pitié, ne faites pas cela... Je ferai tout ce que vous voulez... tout."
Complétement obnubilée par l'avenir de ma vie, ou plutôt du violon, je ne ressentais plus la douleur, ni l'effet de son produit.
Et enfin sortirent les mots fatidiques.
"M... maîtresse..."
Sur ce coup je me mordis la langue si fortement que je crachais un peu de sang qui vint eclabousser le pied de Rhéa.
"Ne faites rien au violon."
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Rhéa eut un sourire en entendant le mot qu'il attendait et saisit la terranide avec sa main droite ces deux joues.
- Et bien voilà c'est pas si terrible, je vais donc me montrer magnanime et faire ce que j'avais dit, mais tâche une seule fois de me faire un coup fourrée et je le briserait, même si tu me lèches les pompes.
Le titan le déposa sur une banc qui n'était pas loin, en tous cas assez pour que Rhéa puisse la récupérer avant la terranide, il remarqua la tache de sang sur sa chaussure qui était des chaussure féminine avec des talons plat, il s'approcha de la chatte et dit en mettant sa chaussure devant le pif de la terranide.
- Bon Pandora, tu vas me faire le plaisir de lécher se sang que tu m'as cracher, si tu le fais je te donnerais l'antidote pour que tu puisses un minimum te lever.
Rhéa savait que tant qu'il avait le violon entre les mans, il possédait Pandora, il avait connut jadis une personne qui tenait à un collier qui n'avait aucune valeur monétaire, mais qui était le point faible de le pauvre fille. C'était le même cas avec cette terranide et il n'allait commettre aucune erreur. Déjà il fallait l'humilier aux maximum pour tester sa résistance, non pas que le titan veuille détruire le violon, mais il voulait savoir jusqu'à où était capable Pandora pour protéger le violon.
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Je soupirais de soulagement voyant mon violon en sureté. Si lui était sauf, je le serai surement aussi.
- Bon Pandora, tu vas me faire le plaisir de lécher se sang que tu m'as cracher, si tu le fais je te donnerais l'antidote pour que tu puisses un minimum te lever.
Je ne compris pas tout de suite ce que je devais faire et la regardais interloquée, moi lecher des chaussures ? Elle devait rigoler ...
Je l'observais et vit dans ses yeux une lueur cruelle, Rhéa tendit sa chaussure près de ma bouche. Brisée, je fit ce qu'elle demandais et lentement je sortie ma langue et baissais la tête vers la chausse...
Ca avait un gout horrible, un mélange de sang de boue et de sueur, calmant ma répulsion, je continuais ma tache et une fois le sang partie, je m'arrêtais et me relevais...
"Êtes vous contente ... mai... maitresse ?"
Je ne supportais vraiment pas ce mot ...
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Rhéa trouva cela amusant, elle obéissait comme une bonne esclave, ce qui fit apparaitre un sourire satisfait sur le visage du titan.
- Je suis contente, mais tâche d'être un peu plus sur de toi quand tu dit maîtresse, on a l'impression que tu te fous de moi, mais je te félicite pour utiliser le vouvoiement, d'habitude les jeunes esclaves ne le font pas. Je pourrais sans aucun doute faire de toi une terranide correcte.
Le jeu pouvait enfin commencer, il fallait maintenant la faire craquer, voir jusqu'où le prédateur pouvais s'amuser avec sa proie. aussi dit-il avec une mine contrarié.
- Je voudrais te donner l'antidote, mais j'ai peur que u ne me fasses un mauvais coup ... Hum ... Je sais, tu vas devoir obéir à vingt de mes ordres, si tu le fais je te rend le violon, si tu rates, je le garde pour moi et j'en jouerais tous les soir. Tu es contente n'est-ce pas, hein ?
Comment faire preuve de cruauté envers un terranide comme Pandora, très simple. donner des ordres qui devront l'humilier et dont son sens moral devra être mis de côté. Autant dire que Rhéa avait plein d'idée en tête. Il se balada un peu, histoire de bien dégueulasser ces chaussures et fit mine de réfléchir.
- Hum ... Quel serait le premier ordre, je sais !
Il s'assit sur le banc près du violon.
- Pandora, tu va complètement nettoyer mes chaussures et ceux jusqu'à la dernière saleté, avec ta langue bien sur.
Il faut dire que sur ce coup là le titan y allait trop fort, car la terranide devait d'abord se trainer dans la boue avant d'atteindre le banc et d'obéir à l'ordre. Une des choses les plus humiliante, mais il fallait savoir si Pandora tenait vraiment à son violon.
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- Je voudrais te donner l'antidote, mais j'ai peur que u ne me fasses un mauvais coup ... Hum ... Je sais, tu vas devoir obéir à vingt de mes ordres, si tu le fais je te rend le violon, si tu rates, je le garde pour moi et j'en jouerais tous les soir. Tu es contente n'est-ce pas, hein ?
Quel être abjecte... vingt de ses ordres, je ne sais pas si j'y survivrai. Vu la puissance du coup qu'elle m'avait donné dans les côtes, elle pouvait être très forte et me briser comme un fétu de paille...
Son premier ordre, je l'attendais mais quand je l'entendis... je failli protester.
Elle avait fait exprès de patauger un peu partout jusqu'au banc ils étaient plein de boues.
Je la regardais une fois de plus d'un air révolter et baissait une fois de plus la tête, elle était sur le banc, mon violon aussi...
Si j'arrivais à l'atteindre, il se pourrait que je puisse le prendre et m'enfuir loin de cette folle.
C'est donc avec cette idée que je me trainais lentement près du banc. Je haïssais vraiment cette folle.
Baissant donc cette fois la tête jusqu'au sol je fit ce qu'elle demanda, sortit la langue pour lécher cette boue et failli plus d'une fois vomir. Je crachai discrètement un morceau de caillou et finit cette horreur...
J'attendais le second ordre. Suffit qu'elle se lève en laissant le violon là et je serai sauvée.
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Rhéa n'avait pas vue une terranide aussi intelligente, elle semblait savoir que son violon était dans les mains d'une femme qui n'allait pas la rater au moindre faux pas et il vit aussi la faible inclinaison des yeux de Pandore se focalisant sur le violon. Aussi ne fit-il pas de remarque en voyant le petit caillou que la chatte voulait faire disparaitre, plutôt que de l'avale.
La demoiselle semblait attendre le second ordre, aussi Rhéa eut un sourire et voulut la récompenser à sa manière, il posa sa main sur la tête de la terranide et ayant un petit rire, comme une gamine ayant eut son joue favoris, tout en faisant attention qu'elle ne puisse pas reprendre son bien, tout se tenait à ce que le titan garde le violon et s'en serve de monnaie d'échange contre sa servitude, c'était un moyen plus long et laborieux, mais qui offrait toujours de bon résultat. Rhéa prit une mine dégouté et poussa la tête de Pandore en arrière, la faisant choir sur le dos, sur le sol boueux.
- Je pense que j'aurais du te donner un autre ordre, tu es sale. Mais bon on ne va pas s'éterniser ici.
Rhéa prit le violon et se leva, pour ensuite enrouler sa langue autour de la proie, passant sous les vêtements pour ne pas avoir le désagréable goût de boue, puis il l'a trimbala dans les air vers une maison modeste, mais dedans se fut la maison de torture, avec une penderie où était une collection impressionnant de vêtements d'esclave, les colliers assortie.
Le titan déposa la terranide devant cette penderie en disant.
- Tu vas te changer et prend bien le lot en entier, collier y comprit. Pour ce qui est de tes affaires, met le dans ce bac et je ferais vérifier qu'il y ai tous. Rosie !
Une terranide-chien apparut, elle devait avoir le même âge que Pandora, elle avait des cheveux rouge agrémenté de yeux bleu, dans une robe qui dévoilait énormément son corps. c'était la fameuse fille qui ne pouvait pas se séparer de son collier
- Oui maîtresse. Que désirez-vous maîtresse ?
- Aide donc cette chatte à se changer, si elle résiste n'hésite pas à mordre où cela fais mal, je vais mettre son violon dans le coffre.
- Bien maîtresse, j'entends et j'obéis maîtresse.
Rhéa était partit mettre le violon dans le coffre fort, il y avait une serrure, puis un mot de passe, suivit d'un code à 12 chiffres.
Pendant ce temps Rosie aidait la terranide à se changer, la chienne n'étais pas très bavarde, mais tenta d'entamer une discusion.
- Tu sais, tu devrais être heureuse d'avoir été choisit par la maîtresse, elle fait toujours du mal au début, mais après elle devient plus douce envers nous, tu devrais lui être reconnaissante de ne pas t'avoir laissez dans la rue.
Cette terranide chienne était soit une fervente esclave de Rhéa, soit avait du subir un choc suffisant pour être une parfaite esclave.
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Cette Rhéa était trop intelligente, j'allais devoir subir ses dix neuf autres ordres. Sa perversité n'avait pas de limites... Au lieu de pouvoir marcher tranquillement dans la rue, à ses cotés elle me prit de sa langue visqueuse et me tint dans les airs pendant toute la durée du cheminement jusque dans une maison d'apparence modeste. Elle me fit entrer et je vis à l'interieur des vêtements que je n'aurai pas cru possible d'exister... Des sous vêtements avec ou sans dentelle, des robe dévoilant le dos, le ventre les parties... bref, toute sorte de choses que dans ma vie je n'avais jamais vues.
Elle me déposa d'ailleurs devant une penderie dans laquelle il y avait toutes ces choses... je vit d'ailleurs quelques colliers, en métal, en cuir et d'autres matières que je n'arrivais pas à définir...
Laissant cette vision de coté je restais à terre et regarda ce que faisais Rhéa. Elle avait appellée une personne, une terranide-chien, d'après les apparences. Ces cheveux flamboyants contrastaient bien avec la couleur de ses yeux qui étaient d'un bleu pur. Et sa robe, sûrement prise dans la penderie que j'avais eu, plus tôt, sous les yeux dévoilait son corps vulgairement....
Je voulu suivre Rhéa qui emportait mon violon, mais je dû suivre la terranide qui me choisit une tenue qui couvrait mon corps d'une façon convaincante... surtout comparé à sa propre robe ... Je la passais prestement, ayant entendu la menace de madame la baronne. Mais la terranide ne me proposa pas de sous-vêtements...
Après qu'elle eu bien lissé les quelques plis qui s'étaient formés, elle me montra un collier... avec une laisse au bout ... Je refusais sauvagement et reculais dans le coin le plus sombre de la pièce, en sortant mes griffes.
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Rosie se mit à trembler devant l'agressivité de la terranide, mais à ce moment précis Rhéa revenait et la chienne se mit à allez directement vers sa maîtresse, presque en larme.
- Elle ne veux pas porter de collier.
Le titan eut un sourire et passa sa main sur la tête de sa servante, la caressant comme un chien et braquant un regard noir à Pandora.
- Il me semblait avoir été clair petite chatte, une tenue complète, collier y comprit.
Il saisit l'oreille de Rosie et tira dessus avec force, la faisant tomber à genous, tellement cela faisait mal.
- Rosie qu'avais-je dis si elle résistait ?
La terranide-chien répondit avec une voix qui demandait le pardon.
- De la mordre, mais elle ne m'a pas laissée le temps et j'ai peur de ces griffes.
Une baffe sonore s'entendit, Rhéa avait frappé Rosie, sans avoir le moindre remord. Puis se dirigea avec un pas félin et sauvage vers Pandora.
- Quand je dit un ordre il faut obéir, aussi tu vas me faire le plaisir de ranger tes griffes, sinon tu pux dire adieux à ton violon.
Avec une rapidité surhumaine, il saisit la terranide à la jambe droite, la relava et faucha son pied gauche, la faisant tomber par terre, Rosie sauta sur la demoiselle et mit ces crocs sur sa nuque, près à mordre au moindre faux pas.
- Rosie garde là en respect, si elle ne veut pas s'habiller comme elle le désire, elle devra porter mon choix.
Rhéa fouilla dans la penderie et sortit un lot très particulier, une robe transparente, des sous-vêtements cachant le stricte minimum et un collier qui avait une attache qui devait passer entre les seins, entre les deux lèvres intimes et passer le long de la colonne vertébrale pour enfin laisser deux bon mètre de laisse. il saisit le tous et intima Rosie, du regard, de laisser la chatte libre de ces mouvements, elle reçu les affaires.
- Tu devras porter cela et comme tu as fait peur à Rosie qui voulait t'offrir son aide, je te donnerais l'ordre suivant : Une fois ces affaires mit, nous allons faire une balade dans Nexus et tu devras te comporter comme un chat c'est-à-dire marcher à quatre pattes, ronronner quand quelqu'un te caresse et ne pas montrer tes crocs ou tes griffe sans mon autorisation.
Il se doutait bien que cela serait inacceptable pour la chatte, mais il continua sa phrase.
- Si tu refuse, j'irais immédiatement casser une des cordes du violon, il est très dure de raccorder un outils de musique aussi précieux, il est comme un être vivant unique par ces organes.(rire)
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Rhéa n'avait pas hésité à donner une baffe retentissante à sa ... son esclave...
Si à une personne qu'elle appréciait, elle ne se retenait pas... je craignais le pire en ce qui me concernait...
- Quand je dit un ordre il faut obéir, aussi tu vas me faire le plaisir de ranger tes griffes, sinon tu peux dire adieu à ton violon.
Je me retrouvais en l'air avant d'avoir eu le temps de comprendre comment puis sentis le sol s'écraser contre ma joue...
Rosie en profita pour m'imprimer la marque de ses crocs sur mon cou. Au moindre geste, je risquais de ne plus pouvoir parler, à jamais ...
Rhéa disparut un court instant de mon champ vision, et ma terreur s'amplifia quand je vis les vêtements qu'elle tenait entre ses mains. Elle comptais me faire porter cela ?
- Tu devras porter cela et comme tu as fait peur à Rosie qui voulait t'offrir son aide, je te donnerais l'ordre suivant : Une fois ces affaires mit, nous allons faire une balade dans Nexus et tu devras te comporter comme un chat c'est-à-dire marcher à quatre pattes, ronronner quand quelqu'un te caresse et ne pas montrer tes crocs ou tes griffe sans mon autorisation.
La honte qui m'envahi était sans nom, mais la menace qui suivit ne me laissait aucun choix...
lentement, très lentement je me dévêtis et tendis le bras vers les vêtements maudits...
N'allant pas assez vite à ses goûts, mon arrière train fit la connaissance avec ses chaussures...
j'accélérais un peu... une fois habillée de ces vêtements je cru mourir de honte. Mais ce n'étais rien quand je vis le collier qu'elle me tendait.
Avec difficulté, sous son regard perçant je me le passa au cou, puis mit les divers attaches en place. Chaque mouvement me rappelait non seulement mon statue de chat de gouttière, mais déclenchait aussi une onde de plaisir qui me traversais d'une vitesse fulgurante...
Je me mis donc à quatre pattes, tout en me jurant de la tuer un jour, et attendais qu'elle sorte pour la suivre...
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Rhéa était là pendant le changement de vêtements. Il faut dire qu'il n'allait pas laisser la terranide-chat faire ce qu'elle désirait, elle eut le droit de se ramasser un coût de ces chaussure sur ces fesses, l'endroit était bien marqué, mais cela eut l'effet désiré, Pandora s'habilla plus vite et le titan put voir le résultat. Rosie avait elle aussi prit une tenue similaire et, elle, l'avait enfilée très vite et montre un miroir devant la chatte.
- Tu es jolie comme-ça.
La chienne semblait avoir oubliée la baffe sur sa joue où l'on pouvait en voir encore la marque. Aussi Rhéa prit une laisse à chaque main, pour se diriger vers la porte menant vers la sortie. Il ouvrit la porte et ainsi commença la balade.
Le titan partie vers la place publique, il alla avant tous vers les divers stand et trouva enfin la personne à qui il devait un esclave, il s'approcha discrètement avec Pandore et Rosie.
- Malic ! Je t'ai amené ce que tu m'as demandé.
Malic était une homme qui paraissait frêle, mais qui avait des yeux d'où brillait un certain âge. Il ne faisait aucun doute que cette personne était un démon. Il regarda la chatte et s'approcha de la terranide.
- Elle possède effectivement un bien joli corps. Mais je vois dans ce yeux de la haine envers toi. Une acquisition récente.
- Tous juste capturée. Il faut encore que je la matte.
- Voyons cela de plus près. Si tu me mord petite je te le ferais regretter amèrement.
Malic se mit à regarder la terranide-chat sous toute ces coutures. Il examina l'état de oreilles, la queue, les yeux et la dentition, pour finalement dire avec une mine déçue.
- Je suis désolée ma belle, mais elle ne me fera pas l'affaire, mais tu t'es quand même investit, aussi je vais te laisser un mois pour m'en trouver une autre plus convenable. Cela te convient-il ?
- Oui bien sur, si tu as besoin de moi pour quoi que se soit n'hésite pas.
Ainsi se finit la balade que Rhéa avait prévue, il se doutait bien que les esclavagistes se méfiaient depuis qu'un groupe d'activiste s'amusaient à mettre la pagaille. Le titan se dirigea donc vers une autre planque, qui elle était plus richement décorée. Un maison plus de noble, que de simple citoyen et Rhéa en était assez fière.
- Bon la balade est finit, donc vous pouvez vous relever.
Il fit entrer les deux terranides et lâcha les laisses, aussitôt la chienne prit Pandore par une bras et l'amena vers la douche, c'était une chose que Rosie était habituée, ce lieux se devait d'avoir des créature propre et les terranides ne faisaient pas exception à la règle, ce que la servante du titan ne savait pas c'est qu'il y avait des caméras partout y comprit dans la salle où la chatte était trainée.
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Dés que je mit un pied dehors, la honte m'atteint comme un fouet... Un jour, c'était sûr, cette femme paiera.
Elle marchait vite, et je me fatiguais rapidement. Mes jambes devenaient rouges à cause du frottement contre le sol.
Et je commençais à mouiller. Plusieurs fois, elle s'arrêta, pour montrer aux passants sa nouvelle trouvaille, et sachant désormais mon violon complètement hors de portée, je restais calme et de moi sortais un espèce de ronronnement... Je dirai plutot un grognement mais je pensais avoir réussi à le camoufler d'une bonne manière...
Je ne faisais plus attention où nous allions, quand tout d'un coup, nous étions arrivés sur la place publique.... Elle m'enmena de force chez un marchand asez chétif, dont les yeux brillaient de cruauté.
Il prit mon visage dans ses mains et le magna avec brusquerie sans prendre en compte les quelques gémissements qui sortaient de ma bouche quand il me tordais le cou d'un geste brusque pour changer d'angle de vue. Puis il me fit ouvrir la bouche et introduisit complètement sa main à l'intérieur. Je cru que j'allais étouffer. Au bord du vomissement, il l'enleva, et je respirai goulument l'air frais en pestant toujours intérieurement contre ce marchand.
Après m'avoir triturée de ses mains agiles et curieuses, il s'arrêta, me dévisagea d'un œil critique, et finalement dit que je n'étais pas assez bien pour lui...
A ce moment je faillis le mordre et ne fut retenu que par la laisse qui se tendait m'emmenait loin de cet homme.
Au retour, nous ne nous dirigeâmes pas vers la maison où était entreposé mon précieux violon, mais vers une maisonnette plutôt coquette. Décidément, cette démone avaient bien des secrets, et avait l'air d'avoir toujours un coup d'avance sur mes pensées. L'intérieur ne faisait pas honte à la façade, richement décorée, Rhéa devait être plus riche qu'elle n'en avait l'air.
- Bon la balade est finit, donc vous pouvez vous relever.
La chienne me prit par un bras et m'emmena sous la douche, après s'être déshabillées, elle alluma l'eau et entrepris de me laver chaque replis de mon corps, épuisée, je ne réagis pas à ses caresses, parfois précises. une fois finit, je fit de même pour elle. Propres, nues, nous retournâmes devant Rhéa, sans avoir échangé un seul mot avec elle.