Le Grand Jeu
Plan de Terra => Les contrées du Chaos => Les terres sauvages => Discussion démarrée par: Estelle le samedi 15 janvier 2022, 23:20:56
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- Par tous les esprits! Impossible de fermer ce placard!... Allez!... Ferme-toi!... Allez!... Enfin!
Et voilà. J'ai enfin réussis à refermer mon quarante-septième placard, spécial souvenirs de vacances. Mais je n'arrivais pas à comprendre, pourquoi j'avais autant de mal à refermer cette porte... Qui m'a ramené ce vieux placard tout branlant déjà?...
- Dame Estelle, venez vite! Un humain attend à nos portes! Il veut vous voir personnellement! Mais il refuse de nous dire pourquoi il est là...
- Un humain?... Il ressemble à quoi? Dites-lui que je n'accepterais de le recevoir, qu'à la seule condition qu'il soit beau et grand! Et jeune aussi... C'est important la jeunesse, quand on est soit-même tout juste dans la fleur de l'âge, non?...
- Je...
- Qu'est-ce qu'il y a encore? Tu doutes de ce que je raconte? Fais attention parce que sinon, je serais obligée d'invoquer les esprits pour te punir. Ces jeunes, vraiment... Aucun respect pour leurs ainés...
Lorsque je fais signe à ce jeune garnement de partir, je regarde fièrement ce grand placard qui a essayé de me tenir tête, avant de sortir de la grande réserve souterraine. Lorsque j'arrive dehors, je cours à toutes vitesses vers ma tente personnelle. Je n'avais déjà plus qu'une envie, rencontrer cet humain.
- Où ai-je mis mes lunettes à rayons X?...
Pendant que je me dépêche d'enfiler quelques bijoux de plus, avec ma longue tunique chamanique rouge et noire, je parviens enfin à retrouver mes précieuses lunettes. Elles n'avaient pas grand chose de différent d'une monture normale, mais elle permettaient de facilement déshabiller n'importe qui, d'un seul regard. Mais cet objet m'a couté un bras! J'ai dus offrir un rituel important, pour l'avoir en échange. Heureusement que personne n'est au courant... Juste au moment où je suis prête à sortir, lunettes et bâton des anciens en mains, pour que ça fasse plus vrai que nature, un masque des esprit anciens me tombe presque dessus...
- D'accord... Vous et moi, savons ce que font cette époustouflante paire de lunettes à rayon X. Mais c'était vraiment important pour moi... C'est bon maintenant?...
Tandis que je sors dehors, dans ce froid habituel. Que je passe par la grande place, où je vois plusieurs enfants qui sont en train de jouer avec la neige de l'hiver, je passe à côté des différentes maisons de pierres et autres totems des esprits... Ils me donnent franchement l'impression de me regarder étrangement, aujourd'hui... Arrivée peu de temps après devant la grande porte en bois toujours fermée, l'un des gardes de notre tribu me fait signe, du haut de la tour de guet. En m'indiquant qu'il était seul et non armé, je lui faisais signe d'ouvrir la porte. Mais lorsque je me rapproche de celle-ci, prête à voir cet humain, que j'espérais être un bel étalon bien musclé et bien membré, une dizaine des miens viennent tout à coup pour me presser comme citron...
- Faites attention dame Estelle. Il est peut-être dangereux.
- Et si c'était un espion envoyé à la solde de la cité état de Nexus?...
- Vous savez quoi? J'ai parié avec ma meilleure amie, qu'il ne tiendrait pas une seconde devant mes charmes. Laissez-moi faire.
- C'est un magicien! Il est venu avec tous ses livres, pour nous apprendre à faire des tours uniques au monde.
- Ce serait peut-être une occasion de demander à cet étranger, s'il ne serait pas intéressé de se marier avec ma septième fille, non?
- Mais qu'est-ce que vous faites?... Mais arrêtez de vous coller à moi... Allez reculez! Le premier qui s'approche mon étal... de cet humain à moins de dix mètres, recevra un sort jusqu'à la fin de sa vie!
Le temps que je dise aux autres de reculer, la porte s'ouvre pour me laisser enfin voir notre invité. A peine je pose les yeux dessus, que ma bouche s'agrandit toute seule. Il ressemblait tout à fait l'idée que je me faisais de lui. Quel beau morceau appétissant!
- Bienvenue étranger. Je suis Estelle, grande chamane de ce modeste village. Mais... Laisse-moi d'abord te regarder d'un peu plus près... Je vois ici beaucoup plus de choses, que tu ne pourrais le croire...
Avec un grand sourire, je mets les fameuses lunettes. Aussitôt, mes iris rétrécissent et j'ai la sensation d'avoir toutes mes dents qui s'allongent, lorsque je vois la carrure de ce beau jeune homme. Il était grand, bien gaulé et surtout, il avait un sexe qui donnait drôlement envie...
- Intéressant... Quel beau voyageur égaré, la belle et cruelle nature nous ramène...
- Dame Estelle? Faites quand même attention à vous...
- Mais qu'est-ce qu'elle fait encore mamy? Elle croit vraiment qu'elle a une chance avec lui? Elle devrait savoir, que c'est moi la plus belle du village. Elle aurait dut me laisser y aller...
- Silence! Je n'ai pas envie de prendre une malédiction à cause de vous!
Alors que je me colle à ce beau jeune homme, pendant que j'entends que ça chuchote sur moi pas loin de moi, je l'épluche soigneusement du regard. J'avais un grand sourire, en l'observant. J'ignorais quel était le motif de sa visite, mais j'avais déjà une idée bien en tête du genre de discussions, que j'aimerais engager avec lui... Après avoir fait assez durer le jeu, je retire les lunettes de mon petit nez. Il restait quand même plus sexy, sans vêtements...
- Bon... Les esprits me disent que tu es venu ici, paré de bonne intentions. Et puis comme on dit, il n'y a que la vérité qui sait se mettre à nue, eheheh!
Je passe une main dans mes cheveux roses, le regard lubrique en direction de ce beau garçon, qui doit avoir une trique d'enfer, dès qu'on la secoue un peu.
- Dis-moi ce que nous pouvons faire pour toi, mon garçon? Il parait que tu voulais personnellement me voir? Et bien je suis juste devant-toi... J'espère que le tableau te plait?
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A situation urgence, la réponse devait être appropriée.
Grayle faisait face à un problème : il avait besoin de quitter Terra. Une de ses connaissances était passée à travers un portail temporaire vers une réalité parallèle, laissant Grayle derrière. Pour secourir son ami, le pérégrin devait trouver un portail, mais hélas ! Il n'en connaissait pas la localisation. Désemparé, il avait alors entendu parler, lors de ses pérégrinations dans les bas-fonds de Tekhos, à la recherche d'informateurs et d'informatrices, d'une personne pouvant l'aider. Une femme nommée Estelle, une chaman d'une tribu terranide à plusieurs semaines de marche de Tekhos, savait où se trouvaient les portails dimensionnels, mais, selon la rumeur, la femme demandait un prix colossal.
Peu importe. C'était sa seule piste, et Grayle était prêt à toutes les extrémités et les épreuves qu'elle lui imposerait. S'équipant et s'habillant pour l'occasion, avec des bottes épaisses, un pantalon chauffé et des vêtements d'hivers, il avait alors quitté la ville.
Presque un mois de marche à travers les contrées sauvages, à esquiver patrouilles Tekhanes et animaux, avaient été nécessaires pour trouver le petit village isolé. L'immortel avait préféré prendre la route la plus rapide, ignorant les villages en chemin. Il arriva devant la porte en bois du village, et on le laissa entrer.
- Bienvenue étranger. Je suis Estelle, grande chamane de ce modeste village. Mais... Laisse-moi d'abord te regarder d'un peu plus près... Je vois beaucoup plus de choses, que tu ne peux l'imaginer...
Il... ne s'attendait pas à ca. C'était donc elle, Estelle ? Il imaginait une vieille furry ridée, mais voilà qu'il était face à une adorable créature, ne lui arrivant même pas aux pectoraux. Ses cheveux roses contrastaient avec une fourrure bleue qu'il pouvait deviner douce au toucher. Elle semblait jeune, presque adolescente, et sa tunique, légèrement fendue au niveau des jambes, soulignaient un corps élancé et athlétique. Il fut impossible pour le jeune homme de ne pas hasarder un oeil dans son décolleté. Rien qu'à cause de la différence de taille, ce dernier s'offrait à ses regards.
Elle tournait autour de lui, avec un air... avide. Elle le dévorait des yeux, portant d'étranges lunettes. Il remarqua qu'elle regardait beaucoup son bassin, ses fesses, et son entrejambe... elle était... assez originale, mais il se sentait rassuré. Après un mois de solitude, il avait besoin de tout sauf d'une vieille acariâtre et sérieuse. Elle enleva ses lunettes, avant de lui lancer un regard qui... attendez... c'est plus que de la curiosité là. Il connait ce genre de regard. Il a voyagé assez longtemps pour identifier cette attitude. La shaman a des yeux qui crient braguette. Et il doit avouer qu'elle ne lui déplait pas... petite, fine, élancée, mais avec une croupe et une poitrine opulentes, pour sa petite taille... et après un mois de voyage solitaire, l'idée ne lui déplaisait pas...
- Dis-moi ce que nous pouvons faire pour toi, mon garçon? Il parait que tu voulais personnellement me voir? Et bien je suis juste devant-toi... J'espère que le tableau te plait?
Il lui répondit en souriant d'un air un peu canaille, ses yeux bleus glace plongeant dans ceux de la shaman.
- Il dépasse mes attentes... votre portrait est bien plus flatteur que ce que j'imaginais. Mais je me présente, je m'appelle Grayle, dit-il en s'inclinant, entendant distinctement les villageoises piailler devant ce genre de aller à leurs commentaires au mieux grivois, au pire carrément déplacés. Il décida d'en rajouter un peu. Il se mit sur un genou, afin d'être à la hauteur de la Shaman.
- J'ai marché tout seul dans le froid pendant plus d'un mois pour vous trouver dit-il en prenant ses mains entre les siennes. On m'a dit que vous pouviez localiser les portails interdimensionnels avec de puissants rituels. j'ai besoin de votre aide, je suis prêt à vous faire tout ce qui est nécessaire...
Sa langue avait-elle fourchée ? N'aurait-il pas voulu dire "faire tout ce qui est nécessaire ?"
- ... pour vous convaincre.
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Mes yeux deviennent tout étincelants, lorsque le grand garçon commence à me flatter. Je lève un sourcil, avec un air tout simplement amusé et très satisfaite par ses propos, lorsque le bel étalon qui s'est présenté sous le nom de Grayle, s'agenouille à ma hauteur. Comme un chevalier qui parle à sa reine, il me dit avoir marché dans le froid pendant plus d'un mois, dans l'unique but de me rencontrer, moi la petite, mais grande Estelle. Pendant que ça continue de pinailler derrière-moi, il me prend par la main, pour m'annoncer en même temps la raison de sa visite, en ces terres reculées. Même si sa motivation restait finalement assez classique en l'écoutant parler, il semblait être très motivé. Cette fois, la situation commençait à beaucoup me plaire. J'étais même déjà en train de me délecter, seconde après seconde, de la suite... Je trouvais tout ceci très amusant. Aussi, je n'avais nullement besoin de m'attarder sur les détails. Puisqu'il avait tant besoin de mon aide, je n'allais certainement pas le lui refuser. Qui serait assez fou, pour laisser passer une occasion pareille, après avoir en plus vu le gros membre, qui attend tout sagement entre ses cuisses? Sûrement pas moi!
- Ah... Tout ce que tu me dis est vraiment très intéressant, Grayle. Dire que tu as certainement traversé mille dangers, dans l'unique but de me rencontrer, moi Estelle, la grande et si respectée chamane de ce modeste village, je trouve ça.... très courageux de ta part. Et puis, je vois que tu ne manques pas d'argument et encore moins d'atouts forts intéressants, pour essayer de me convaincre. Aussi...
Pendant que je fais semblant de réfléchir, histoire de laisser planer un peu plus le mystère et l'aura qui m'entoure naturellement, je finis au bout de plusieurs secondes d'attente, par rendre mon verdict. C'est donc avec un regard lubrique et des plus malicieux, que je plonge dans ses magnifiques yeux bleus, pour lui répondre. Il ne le savait pas encore, mais il allait être à moi! Et pas que pour une seule nuit! Il était hors de question, que je laisse passer une occasion pareille! Eheheh...
- Je décide donc d'accéder à ta requête, jeune homme. Et comme tu dois certainement être un peu fatigué après avoir parcouru un si long voyage, je t'accorde notre hospitalité, durant les prochains jours à venir. Sois le bienvenue dans notre village, Grayle.
- Je ne le sens vraiment pas bien. Je suis vraiment sûr, que c'est un espion venu de loin...
- N'importe quoi... C'est vraiment n'importe quoi... Comment une vieille chamane toute rabougrie comme elle, pourrait avoir une chance de séduire un type de son genre? Ou alors, il doit drôlement être aveugle...
- C'est moi ou le village est de plus en plus en train de devenir une terre d'asile, depuis que c'est Estelle qui dirige?
- Taisez-vous! N'oubliez pas que chaque mot que vous prononcez de votre bouche, est entendu par les esprits!
- J'espère au moins, qu'il logera chez-moi...
- Là tu rêves, princesse. Ca va se passer comme d'habitude, dès qu'elle voit un étranger qui lui plait. Elle va se le garder pour elle. Elle va tout faire pour l'épuiser de la manière qu'on connait, jusqu'à ce qu'il récupère et qu'il s'en aille...
Comme je m'y attendais, ça continue de chuchoter derrière-moi. Tout le monde n'approuvait pas toujours les décisions, que je prenais pour le bien du village, mais j'avais toujours le flaire, pour savoir à qui j'avais vraiment affaire. Et puis, mon museau ne me trompe tout simplement jamais.
- Bon... La récréation est terminée. Je vais maintenant devoir m'occuper de notre nouvel invité. Il y a beaucoup de travail qui m'attend et les esprits comptent sur moi, comme d'habitude.
Pendant que je faisais comprendre aux autres de gentiment s'en aller, j'attends que mon prince charmant se relève de toute sa belle stature vigoureuse et musclée, pour garder ma main dans la sienne. Pour ne pas perdre de temps, alors que je suis déjà en train d'imaginer toutes les choses bien perverses, que je pourrais faire avec lui, je pars avec mon nouvel et charmant invité, en direction de ma tente. Avant de lui répondre encore, je me lèche les babines, impatiente de l'emmener vers ce rituel sexuel, dont je compte bien lui faire gouter et peut-être même abuser.
- Mon nom est Estelle, mon mignon. Et ne fais pas attention, aux racontars des autres. Le village reste toujours assez méfiant, vis-à-vis des étrangers. Je ne me contente pas que de le mener en tant que seulement chamane respectée, mais je participe aussi très activement à la vie quotidienne de celui-ci... Mais peu importe. Ce n'est pas le sujet du jour et nous avons beaucoup à faire ensemble, tous les deux...
Avec de plus en plus d'envies de m'occuper personnellement de ce bel humain, j'accélère le pas avec lui, en direction de la tente. J'étais en train de jubiler à l'avance et de frémir d'une excitation pas possible!... Lorsque nous arrivons sous la tente en un temps record, je le laisse entrer à l'intérieur, puis je referme la toile de l'entrée. Il était hors de question que je sois dérangée! Je le laisse s'installer alors comme il peut, parmi tous les objets qui mélangent l'ancien et le moderne. Mais surtout, je m'étais équipé d'un bon et grand lit bien moelleux, de taille plus qu'humaine. Et ce n'était évidemment pas par hasard...
- Actuellement, aucun de nous n'a la place pour pouvoir t'héberger. Je vais donc encore une fois me sacrifier au nom des miens et donc forcément pour la bonne cause, en t'accueillant ici. Et puis sans te mentir, ça reste quand même le devoir d'une grande chamane et ancienne respectée comme moi, de faire ça. Mais rassure-toi tout de suite, ça me fait évidemment très plaisir, de te recevoir dans mon intimité. Compte sur moi pour tout faire, pour que tu t'y sentes bien et y récupères toutes les forces dont tu auras besoin, avant de devoir repartir. Un aventurier comme toi, a de temps en temps bien besoin de prendre un repos mérité.
J'avance évidemment une piètre excuse à mon grand et bel aventurier, qui s'est tant donné de mal pour venir me rencontrer. Mais je doute honnêtement, qu'il soit contre l'idée que je l'héberge en personne, vu ses manières. Et puis, c'est ça être la chef du village. Avantages de baises gratuites.
- Bon... Maintenant que nous avons passés les présentations, je vais avoir besoin que tu me donnes un peu plus de détails. Saches que les rituels que je pratique, ne sont pas non plus gratuits. Pour faire court, ça peut te couter soit de l'argent, des objets ou des ingrédients de différentes valeurs. Mais surtout, cela coute généralement de devoir passer en même temps, un rite sexuel...
Je profite d'avoir avoué à mon bel et magnifique étalon la présence du fameux rite sexuel, pour me rapprocher au plus près de lui et lui faire mon petit numéro de charme. J'avais une envie de folie, de baiser avec lui! Je l'imaginais déjà avec sa grosse bite dans ma bouche, qu'il me forcerait à devoir sucer goulument! Et je passe tout le reste ensuite! J'en frémissais carrément!
- Tu sais, de toi à moi, je mentirais en disant qu'ils sont obligatoires mais... ils sont souvent plus accessibles et ils allègent grandement la plupart des conditions, qui sont nécessaires. Sans ce genre de rite, qui demande la participation du corps en lui-même et qui me connecte directement aux esprits, la communication peut parfois avoir plus de mal à passer, dans certains cas. A moins que tu ne préfères un rituel basé sur la souffrance, avec une bonne grosse malédiction à devoir te trimbaler pour le restant de ta vie, en échange? Mais vu le beau garçon auquel j'ai affaire juste devant-moi et qui s'est tant donné de mal pour venir me rencontrer, j'en aurais sincèrement le coeur brisé...
En même temps que je tente de lui faire de la séduction, en exagérant un peu certaines choses à propos des mes rituels, je lui fais un clin d'oeil et je touche son adorable petit nez, avec un doigt. Puis je le descends ensuite vers ses lèvres humaines, pulpeuses et à la couleur rosée, avant de poursuivre progressivement mes investigations, jusqu'à ses beaux pectoraux, que je caresse ensuite. Je n'attendais déjà plus que ça. Il était carrément à mon gout, cet humain.
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- Bon... Maintenant que nous avons passés les présentations, je vais avoir besoin que tu me donnes un peu plus de détails. Saches que les rituels que je pratique, ne sont pas non plus gratuits. Pour faire court, ça peut te couter soit de l'argent, des objets ou des ingrédients de différentes valeurs. Mais surtout, cela coute généralement de devoir passer en même temps, un rite sexuel...
Grayle lève un sourcil et fronce l'autre. Il ne s'y attendait pas, mais... en vrai, il n'était pas surpris. Il avait vu beaucoup de choses et de personnes, et dans un monde où les succubes existent, la présence de rite sexuel ne le surprend pas. Il sait à quel point la magie rose est puissante, et, vu l'attitude particulièrement promiscuiteuse de la chamane, quelque chose lui dit qu'elle doit être particulièrement adepte et puissante dans ce domaine... Il lui sourit d'un air charmeur, s'asseyant sur le lit. Sa tente est impressionnante. Si elle n'était pas là, à onduler devant lui, il passerait bien son temps à regarder tout son barda d'objets.
- Un rite sexuel, mon dieu, quelle horreur... dit-il avec sarcasme, le regard brillant. Il voit clair dans le petit jeu de la terranide, même s'il n'a aucun mérite, tant elle ne fait guère de mystère sur ses intentions ou ses envies. Même assis, il est plus grand qu'elle, et il y a quelque chose de grisant de voir une créature si petite et vulnérable, lui faire un numéro de charme.
- Tu sais, de toi à moi, je mentirais en disant qu'ils sont obligatoires mais... Ils sont souvent plus accessibles et ils allègent grandement la plupart des conditions, qui sont nécessaires. Sans ce genre de rite, qui demande la participation du corps en lui-même et qui me connecte directement aux esprits, la communication peut parfois avoir plus de mal à passer, dans d'autres circonstances. A moins que tu ne préfères un rituel basé sur la souffrance, avec une bonne grosse malédiction à devoir te trimbaler pour le restant de ta vie, en échange? Mais vu le beau garçon auquel j'ai affaire juste devant-moi et qui s'est tant donné de mal pour me rencontrer, j'en aurais sincèrement le coeur brisé...
- Oh, aucune inquiétude, répond le beau garçon en question. La terranide, sauvage, à la fourrure bleuté, mais habillée d'une robe civilisée rouge, éveille des instincts de mâle chez l'humain, qui sent une douce chaleur se diffuser dans son bas-ventre, alors qu'elle s'approche de lui. Entre la souffrance et le plaisir, j'ai vite fait mon choix... ils vous plaisent ? reprend-t-il alors que la main de la petite terranide s'arrête sur ses pectoraux. Il saisit la main minuscule, et la pose sur son entrejambe, déjà chaud, déjà un peu gonflé. Même bien écartés, les doigts de la belle auraient bien du mal à saisir toute sa hampe, et elle peut sentir le membre gonfler peu à peu, déformant le pantalon de manière grossière.
L'autre main du jeune homme se pose sur la chevelure rose de la chamane, l'attirant doucement vers lui. Il a écarté les jambes, et, même debout, elle peut sentir ces dernières se refermer derrière elle, comme pour l'emprisonner. Ses doigts passent dans les cheveux de la terranide, avant de glisser sur son épaule... pour descendre le long de son dos, et, sans ambage, prendre sa croupe à pleine main, ses doigts s'enfonçant dans la chair de son cul, avant de serrer ce dernier avec autorité.
- J'ai une question, toutefois... dit-il d'un air mystérieux, sa main s'écartant de sa croupe pour passer lentement sous sa robe, revenant capter ses fesses à nu. Il approche son visage du sien, la fixant de ses yeux bleus. Son autre main lâche celle d'Estelle, toujours placée contre sa verge grossissant à vue d’œil. Il en a presque mal. Il le voit dans son regard. Elle est presque en train de baver sur lui. Les mouvements de sa queue la trahisse. Comment un si petit corps pourra supporter mes assauts. J'ai besoin d'être rassuré.... finit-il, venant caresser un des petits seins de la terranide.
Il a envie de se jeter sur elle... mais elle lui a parlé de rituel. Pas de partie de jambes en l'air. Les choses risquent d'être plus compliquées que prévu... et plus elle fera attendre le mâle... plus elle sera surprise de sa vigueur inépuisable.
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Le bel humain semble vouloir se montrer joueur avec moi et j'aime ça. Ca passe d'abord par une petite plaisanterie assez contradictoire avec mes propos, avant qu'il opte pour évidemment faire le meilleur choix possible, sur un ton d'humour qui me plait beaucoup. Il se saisit en même temps de ma main, pour me demander de façon amusante, comment je trouvais ses pectoraux. Mes petites babines toutes alléchées s'écartent encore une fois, dès qu'il la pose en plein sur sa queue, qui grossit derrière son pantalon de jeune aventurier remplit de fougue. Comme il avait déjà bien compris où je voulais en venir, Grayle m'invite à voir de plus près sa bosse, en m'attirant doucement vers elle. J'ai alors la délicate surprise de me retrouver la tête en partie bloquée, le visage en train de presser le gros dragon, encore retenu à l'intérieur de sa tanière. Pendant que je sens l'odeur de sa virilité qui émane à travers le tissu, ses doigts glissent ensuite le long de mes cheveux roses, pour descendre lentement de plus en plus bas, jusqu'à m'attraper mon petit cul, avec fermeté. Sa grosse paluche encore toute froide, trouve rapidement un accès à travers ma robe de chamane et je gémis coquinement, dès qu'elle se saisit de mes fesses. Mon bel étalon fougueux s'interrompt, pendant que je suis de plus en plus en train de chauffer, lorsqu'il me pose une question qui ne cessera jamais de me faire rire.
- Ahahahaha! Le bel humain s'inquiète pour moi? Tu te demandes si mon corps va être capable, de pouvoir supporter les assauts du tiens? Et bien si tu veux tant connaitre la réponse, pourquoi ne pas tester directement? Le rituel peut bien attendre, si tu n'es pas pressé? Et puis tu sais, j'ai quand même un peu peur que tu ne sois pas à la hauteur. Le rituel demande une grande endurance, ainsi qu'une participation très active du corps...
Je profite de l'ouverture faite pour le chauffer un max, alors qu'il a rapproché son magnifique visage de jeune mâle viril, vers le mien. Le provoquer en remettant en cause ses capacités sexuelles, serait un bon moyen de le pousser à me baiser à mort, comme une bête sauvage. Quant à mon coeur, qui s'accélère sous le poids de l'excitation à voir ce mec bander comme un fou pour moi, je finis de rapprocher mon visage du sien. Alors que sa main est en train de caresser mes seins voluptueux, je colle tout simplement ma bouche directement contre la sienne. Sans plus attendre, pendant que je transpire de plus en plus d'envie, je plonge ma langue à l'intérieur. Lorsqu'elle trouve rapidement la sienne, je la caresse avec intensité, en effectuant un intense mouvement rotatif. J'adorais tout simplement embrasser des humains comme lui! Mais je ne me contente pas seulement de l'embrasser allègrement. J'utilise en même temps mes deux mains, pour trouver d'abord la bordure de son pantalon. Et lorsque j'arrive à l'abaisser assez facilement grâce à mes doigts d'experte en la chose, pendant que je me délecte de la superbe bouche bien chaude de mon étalon, j'agrippe sa belle grosse trique drôlement bien volumineuse. Je commence ensuite à la secouer avec autant de fermeté, que je goute sa langue avec passion. Ma chatte était maintenant en feu, rien qu'en me saisissant de l'instrument.
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- Ha....
Après plus d'un mois seul dans les terres sauvages, se retrouver comme ça, la bite à l'air, astiquée violemment par une petite terranide en chaleur... que demander de plus ? Il y avait quelque chose de naturel, d'établi dans les lois de la nature. Une terranide femelle, essayant de bien faire plaisir à un mâle humain... la belle sait y faire, pressant son vit gonflé et caressant sa peau fine avec suffisamment de force pour délicieusement impacter son gland, envoyant des petites décharges électriques dans le bassin de l'homme. Les mains bleutées d'Estelle sont trop petites pour empoigner la verge en totalité, qui est aussi épaisse et longue que l'avant bras de la chamane.
L'odeur forte, virile, un peu puante du mâle excité, commence déjà à envahir la tente, alors qu'il continue d'embrasser à pleine bouche son hôte. C'est lui même qui met fin au baiser, tirant la chamane par les cheveux avec autorité. Un mince filet de salive reliait leurs deux lèvres.
- Pas à la hauteur ? Estelle, je suis capable de vous baiser jusqu'à l'évanouissement puis culbuter l'intégralité des femelles de votre petit village...
Ca sonnait presque comme une menace. Il se leva, son vit se retrouvant face au visage d'Estelle. Il plaqua son visage contre le membre turgescent, qui était bien plus long que son visage.
- Je m'en voudrais de faire atteindre mon ainée...
Il s'écarta et poussa Estelle contre le lit. La chamane se retrouva allongée contre ce dernier, et avant même qu'elle ne puisse se retourner, la main chaude de l'homme se trouva autour de sa nuque. Un bruit de tissu, alors qu'il remonte la robe de la chamane, dévoilant sa croupe, et une intimité minuscule et rouge vif, excitante et déjà dégoulinante. Son sang ne fait qu'un tour en la voyant, et son sexe gonfle encore plus, agité comme un chien n'attendant que d'être lancé sur sa proie.
Tenant fermement la terranide par la queue, il la fesse, administrant une claque vibrante sur sa croupe, faisant rebondir la fesse.
- Même pas de culotte, tout comme j'aime... Il la tire legèrement vers elle.
- Ne vous retenez-pas, dit-il d'un ton poli avant, sans sommation, de s'enfoncer en elle. Il serre les dents, grogne, tant elle est serrée, mais il s'enfonce tout de même en elle comme dans du beurre, déformant l'intimité à l'extrême. D'une impulsion, il la remplit déjà entièrement, mais n'est enfonce qu'à moitié. Qu'à cela ne tienne... il se recule, et se renfonce encore, enchaînant les coups de boutoir, la tenant fermement en plus. A chaque coup de rein, un claquement, depuis de son bassin contre ses fesses, alors que ses couilles pleines percutent le bas-ventre de la belle.
Après une bonne demi-minute d'effort, la tâche est accomplie : il est entièrement enfoncé dans la minuscule terranide, dont le ventre est déformé par la protubérance masculine brûlante enfoncée en elle.
- Ah... ca va ? dit-il d'une voix rauque et souriante, voyant la chamane remuer contre le lit. Ainsi prostrée, la robe relevée, elle ressemble à une fille de joie vulgairement prise par un soudard. Il sourit, et s'enfonce en elle, encore, et encore, et encore. A chaque impulsion, des fluides sont projetés hors de la chatte de la créature, souillant ses cuisses et le lit, qui bouge légèrement, alors que les coups de rein, de plus en plus forts, deviennent audibles même en dehors de la tente...
Elle s'est offerte, et il compte bien la prendre dans son intégralité.
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- Je vois que mes baisers passionnés, ne retiennent déjà plus la fougue sauvage qui brule en toi, Grayle. Ihihi...
J'ai sans difficultés réussit à toucher en plein dans le mille, la fierté de mâle de ce beau et et grand jeune humain. Le voilà tout excité et déjà prêt à me sauter dessus. Devenue sa petite proie sexuelle qui n'attend que de gouter à sa bite turgescente, avec ses couilles bien pleines à décharger rapidement, le beau brun me saisit virilement par la nuque quand il me pousse sur le lit. Pendant que je souris vicieusement, je ressens l'air frais qui me caresse les poils des jambes. Grayle vient de me soulever ma robe de grande chamane et le coquin ne peut déjà rien faire d'autre, que de se délecter de ma petite chatte brulante, que je lui offre dans une position aussi confortable que celle-là. Pendant que ma chatte se presse toute seule, rien qu'en le sachant la regarder et prêt à me pilonner avec son gros gourdin, le bel étranger m'attrape par la queue et me fesse en même temps. Je couine en laissant volontiers échapper un gloussement, alors qu'il me fait bien remarquer que je ne portais pas de culotte.
- Ihihi... Pourquoi faire, mon bel étalon?...
Lorsqu'il me tire légèrement à lui, j'ai enfin la joie de ressentir le bout de gros gourdin de chair bien chaud, presser contre mes toutes petites lèvres déjà enflammées. Grayle en profite pour me traiter sans faire de manières et ma chatte se contracte fortement, alors qu'elle ploie en même temps contre sa bite, qui s'enfonce déjà. Pendant que je couine avec plaisir, je la sens qui entre sans sommation bien à l'intérieur de mes chairs intimes.
- Aaaaah Grayle! Mon grand fougueux! Toi tu sais comment parler aux femmes comme moi!
Déjà dans l'extase de me faire monter par ce bel humain aussi pervers que moi, il enchaine plusieurs coups de reins pour continuer à forcer le passage dans ma vulve, sans doute un peu trop étroite pour sa grosse trique excitée. Mon clitoris vibre en même temps que je ressens les fantastiques contractions qui se succèdent, au fur et à mesure qu'il cherche à s'enfoncer autant qu'il le peut dans ma fente sensible. Lorsqu'il a finit de mettre sa grosse bite jusqu'au fond de ma vulve déjà à la limite de passer à un état volcanique, c'est avec joie que je peux une fois encore ressentir ce mélange de plaisir et de douleur simultané. Ces deux sensations contradictoires mais agréables pour moi, se propagent à l'intérieur de mon sexe et va au moins jusque dans tout le bas de mon ventre, à chaque fois que je me prend un coup de sa trique un peu trop grosse pour moi.
- Ahahahaha... Grayle. Pourquoi ça n'irait pas? Montre-moi plutôt de quoi tu es capable, si tu ne veux pas que je finisse par oublier un jour le beau visage à qui appartient cette belle grosse bite, qui est maintenant logée au fond moi.
Tout en riant parce qu'il s'inquiète encore pour moi, le bel étranger aussi bien monté qu'un âne, ne perd pas de temps, pour me faire passer à table. C'est dans une position drôlement confortable, la robe relevée et prise comme le petit animal que je suis, qu'il commence enfin à me prendre dans des vas et vient calibrés. Je suis si excitée, que à chaque fois qu'il percute généreusement au fond de moi, ma cavité humide et animale, fait déjà ce qu'il faut pour le sucer follement. Les coups de reins deviennent rapidement violents et me voilà en train de me faire prendre sauvagement, par un homme qui compte bien me faire une jolie démonstration de ses performances sexuelles.
- Aaanh... Tu ne trouves pas ça excitant, de prendre une jolie femelle comme moi, que tu connais à peine? Oui tu as compris, j'aime croquer la vie à pleine bouche. J'aime y enfoncer mes petits crocs bien aiguisés dedans, comme en y enfonce ses dents dans une pomme bien rouge et aussi juteuse, que ma chatte que tu es train de prendre, avec toute ta fougue!
Tout en écartant les cuisses au maximum, je gémis en laissant Grayle continuer de me sauter.
- Mais je crois surtout que le pauvre petit chou, a surtout bien besoin de se vider les couilles un peu trop pleines, dans un bon étau de chair chaleureux comme le mien.
Un sourire enjoué teinté de malice traverse mon visage de terranide bien perverse, pendant que mes yeux brillent d'un éclat qui veut déjà tout dire à lui tout seul.
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Cette vision qui s'offrait à lui, celle de la petite Terranide à la robe relevée et à la croupe offerte, écartée, distendue par sa bite, était presque dégénérée et impure, tant la chamane, plus petite qu'une enfant, criait comme un catin à chacune de ses impulsions, articulant des paroles qui relevaient autant de l'encouragement que de la moquerie. L'esprit de l'homme laissait peu à peu sa place à celui du mâle qui, devant cette femelle offerte, ne peut rien faire d'autre qu'assouvir ses instincts de reproduction les plus primitifs.
Par le rideau couvrant la porte de la tente, n'importe qui d'un peu curieux pourrait assister à la scène glorieuse, celle d'Estelle, les jambes grande écartées, le ventre légèrement bombé et se déformant toujours plus à chaque impulsion, se faire prendre avec violence par l'humain, dont le souffle devient vite un râle presque primal. Le corps de la chamane est à la hauteur de son esprit pervers, et est un vrai délice à envahir et à saccager.
Un "clac" se fait entendre alors qu'il gifle la croupe petite et rebondie de la créature, continuant de la faire ployer sous ses assauts. La sueur coule de son front, se retenant de son mieux pour ne pas jouir, gorgé de désir qu'il est pour elle.
- Ah putain... ouais je vais me vider... en toi... et sur toi...
Il s'est mis à la tutoyé. La politesse n'est plus de mise lorsqu'on est en train de saillir en levrette quelqu'un. Au-delà même du rituel, la chamane, espiègle, petite, moqueuse, est une vraie invitation à la débauche, et il a envie de lui faire un peu ravaler sa fierté, et la voir ramper, complètement conquise et soumise par le plaisir. Ses mains autour de son bassin, l'enserrant complètement, il accéllère alors ses coups de reins à un rythme frénétique, jusqu'à ce que le barrage cède, dans un grand râle de plaisir.
Une fois, deux fois, trois fois, les jets de succèdent, alors que la semence du Pérégrin, épaisse et brûlante, se déverse généreusement dans le Terranide. A chaque inhumaine éjaculation, un coup de rein, et à chaque coup de rein, un bruit de plus en plus humide, jusqu'à ce que le trop plein de sperme déborde et jaillit entre les cuisses de la femelle. L'orgasme de l'homme dure plus d'une demi-minute, continuant de marteler la pauvre terranide, jusqu'à ce qu'il se retire à cause de la pression. La pauvre se retrouve avec une petite flaque de sperme odorant entre les jambes, coulant paresseusement en cascade de son intimité écartelée.
- Woah... fiou...
Il reprend sa respiration, écartant ses cheveux étant retombés sur son front. Son vit est toujours dur, tendu vers elle.
- Alors, Estelle... est-ce que je suis à la hauteur ?
Peu importe sa réponse, l'homme a très envie d'un second assaut....
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Pendant que Grayle s'amuse à m'attraper virilement, la bonne odeur de nos effluves commencent à envahir la tente. Le nouveau mâle qui est en train de s'inviter avec fougue directement entre mes cuisses, me tient fermement dans une position que je trouve irrésistiblement parfaite, pour un accouplement qui se veut être à la fois bien brutal et terriblement bestial. Je halète avec plaisir, laissant faire mon jeune invité qui me ramone avec force la chatte, dont mes lèvres entourent démesurément son gros sexe de destrier en manque de sensation fortes. Pendant que je suis secouée sauvagement comme un petit prunier, il me renvoit une petite attention en me claquant la croupe.
- Anh!
Je laisse échapper un gémissement aigu, tout en suçant à mort son gros bâton de chair qui n'arrête pas d'entrer et de ressortir à vitesse de plus en plus forte, en moi. Malgré la pression intense, je ressens avec joie le frottement à la fois rugueux et lisse de son engin. Sa hampe me donne des décharge de plaisir continuels, qui me faisait de plus en plus mouiller. Et mon petit corps soumis aux désirs fougueux de cet aventurier, qui a dut attraper un nombre impressionnant de femelles en chaleur comme moi avec sa grosse trique, me secoue le corps avec une belle violence. Plus il me la mettait avec rage et plus j'entendais le claquement de son bassin contre le mien. Et c'est finalement dans mon petit con bien serré et élastique, que le bel humain se décharge copieusement en moi.
- Oh vas-y! Remplis-moi! Oh vas-y Grayle!
C'est sans oublier d'encourager le beau voyageur à me fourrer avec toute sa purée, que je ressens son foutre bien épais et tout juteux, m'asperger généreusement l'intérieur de mon minou en transe. Je le laisse se déverser en moi et se faire généreusement du bien, pendant que je profite allègrement du plaisir qu'il m'offre. J'avais le sexe complètement dilaté par ses gros coups de boutoirs, mais rien ne m'empêchait de ressentir son désir de se déverser sans cesse en moi. J'absorbe ainsi ce liquide bien frais, que je sens couler abondamment dans mon sexe frémissant. Au point qu'une partie ne pouvait malheureusement faire autrement, que de laisser ressortir sa belle semence. Mais plus il me remplissait, plus le bruit devenait spongieux. Et c'est après avoir bien été martelée comme il faut, qu'il se retire de moi, après près d'une demi-minute à me jouir comme un fou jusqu'au fond de l'utérus. Dès que son gros sexe sort ma vulve, une plus grande quantité de ses fluides en ressort instantanément. Tout ou presque part sur le lit, pendant qu'il semble légèrement fatigué. C'est avec un sourire amusé, que je l'écoute l'entendre me demander si l'avais trouvé à la hauteur.
- Ahaha! Grayle, tu es vraiment tout mignon tu sais? En plus tu as salit mon lit, espèce de vilain petit coquin!
Ignorant la grosse flaque de foutre conséquente, je me retrouve avec les fesses posées en plein dedans, pendant que son jus de plaisir bestial continue de dégouliner entre mes cuisses. J'attrape alors sa queue encore toute dure, que je lèche copieusement comme la dépravée sexuelle que je suis. J'avale le foutre qui est encore resté collé dessus, avant de conclure définitivement sur l'étendue de son premier assaut musclé.
- J'ai adoré Grayle. Mais... il va m'en falloir beaucoup plus que ça, si tu veux espérer avoir une chance que le rituel fonctionne, tu sais? Si je ne doute pas un seul instant des performances dont tu fais preuve, je garde toujours une certaine réserve sur ton endurance. Et moi pour être bien baisée, j'ai besoin d'avoir des mâles qui n'ont pas seulement un gros jouet comme le tiens à me faire gouter, mais qui savent aussi s'en servir sur la durée.
Tout en reprenant mes léchouilles sur ce beau membre tout frétillant et virilement odorant, je lui fais un petit clin d'oeil. Mais avant qu'il puisse prendre la parole, je me remets dans la position d'avant. Je lui montre vulgairement mon petit sexe qu'il a bien salit et explosé. Ne faisant alors plus qu'un bon gros trou bien sombre et tout englué de sa semence humaine, je pousse pour essayer d'en retirer encore un peu. Je joue la surprise en voyant encore la quantité qui en sort.
- Non d'un esprit coquin! Mais tu as vu tout ce que tu m'as mis Grayle?...
C'est tout en le provoquant, avec le regard à la fois lubrique et insolent, que j'évacue de ma fente encore une partie de ses fluides épais et gras qui trainaient à l'intérieur, alors que ma chatte n'arrêtait plus de convulser, tellement il me l'a mise comme une bête sauvage en rute! J'espérais vraiment qu'il allait continuer sur sa lancée, pendant encore un bon moment. Parce que si j'adore le sexe, il faut croire que l'âge et les expérience m'ont rendue plus qu'exigeante sur la qualité.
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- J'ai adoré Grayle. Mais... il va m'en falloir beaucoup plus que ça, si tu veux espérer avoir une chance que le rituel fonctionne, tu sais? Si je ne doute pas un seul instant des performances dont tu fais preuve, je garde toujours une certaine réserve sur ton endurance. Et moi pour être bien baisée, j'ai besoin d'avoir des mâles qui n'ont pas seulement un gros jouet comme le tiens à me faire gouter, mais qui savent aussi s'en servir sur la durée.
Pas assez bien pour elle ? Il sait qu'elle dit ca un peu pour le provoquer, mais une partie de l'ego masculin est tiraillé par la remarque, qui le touche en plein coeur. Si Grayle n'était pas du genre à se vanter de ses prouesses sexuelles, il a rarement été confronté au fait de ne pas être à la hauteur. Il fronce les sourcils.
- Ok.
Il se déshabille entièrement, se retrouvant nu alors qu'elle s'émerveille, de manière faussement naïve, de sa généreuse semence recouvrant le lit. Il tend une main vers elle, et les doigts glissent le long de la flaque, remontant jusqu'à la fente féminine. Ils s'enfoncent, puis se retirent, remontant le long du ventre, tachant la belle robe rouge -presque ruinée- d'une trainée de sperme, avant de foutre les doigts dans la petite bouche de la terranide, la faisant regoûter au précieux liquide en question.
- Et j'en ai encore plein à te mettre... dit-il d'un air charmeur. La main nettoyée se saisit d'une bretelle, faisant glisser la robe le long d'un bras, rélévant un des seins généreux de la créature, qu'il pince du bout des doigts. Il a tellement envie d'elle qu'il ne sait pas par où commencer. Sa bouche, son cul, revenir à sa fente ? Et puis, une idée germe dans sa tête. Il saisit la belle par la jambe, la faisant traîner vers lui, alors qu'il s'installe sur le lit. Soudainement, quelque chose apparaît à côté d'eux. Le sac de Grayle, qu'il ouvre, et dont il ressort une fliole au liquide bleuté.
- Un jour, je suis tombé sur une succube, qui voulais me vider de mon énergie. La pauvre ne savait plus où donner de la tête. En remerciement, elle m'a fait quelques cadeaux... dit-il alors qu'il installe Estelle sur ses genoux, comme une petite fille. La seconde bretelle tombe, découvrant entièrement la poitrine bleutée de la shaman.
D'un mouvement du pouce, Grayle débouchonne la fiole, et se met à boire une gorgée de cette dernière, avant de la ranger. Il embrasse le crâne de sa compagne, comme un père le ferait envers sa fille, ses mains venant caresser la poitrine tendue de la belle. La croupe de cette dernière peut sentir quelque chose remuer sous elle. S'allonger. Pousser. Durcir. Quelque chose de chaud... et de nouveau.
Soudainement, le jeune homme se retrouve avec non pas une, mais deux verges, l'une collée contre le cul d'Estelle, l'autre, la nouvelle, filant entre ses jambes, caressant la fente souillée de la belle, dont il lèche l'oreille, avant de la soulever.
- Je ne savais pas par où commencer... alors j'ai décidé de choisir les deux ! dit-il d'une voix chaude, avant d'empaler Estelle, d'un seul coup, sans préparation, à la fois dans son cul et sa chatte, arborant un sourire carnassier alors qu'elle couine et jappe. Sans pitié, il la soulève de haut en bas, la remuant à chaque impulsion de son bassin, les deux verges coulissant au même rythme au sein des entrailles de la terranide, qu'il fait taire en lui roulant une pelle, son nez cognant parfois contre le museau. Une main vient harceler son clitoris tandis que l'autre pétrit sa petite poitrine qui tréssaute à chaque va-et-vient.
Harcelée au niveau de son con, sa chatte, sa poitrine et sa bouche, il a hâte de voir combien de temps la shaman tiendra...