Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Centre-ville de Seikusu => Discussion démarrée par: Souta et Janus le mercredi 15 décembre 2021, 12:59:15

Titre: Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid) [Fini]
Posté par: Souta et Janus le mercredi 15 décembre 2021, 12:59:15
= 22h18 : dans un bar de Seikusu =

- Putain ! J'en ai croisé des branleurs, mais toi...
- J'suis désolé ! J'voulais pas ! J'ai-
- Ta gueule ! Casse-toi fissa !
- Non, j'vais m'le faire ! L'enculé, il m'a-
- Tu vas rien t'faire du tout. Faut qu'on t'amène au toubib.
- Il a clamsé la semaine dernière. Ces connards d'albanais l'ont fait bouffer vivant par leurs clebs car un de leur chef est mort sur le billard.
- Merde, c'est vrai. Bah, pas le choix, on va aux urgences. On trouvera bien une excuse.
- Ou alors je leur dis la vérité. Que ton cousin est un connard qui ouvre un peu trop sa gueule.
- Non, s'te plaît. Sa mère risque de le buter.
- Et ce serait que justice.
- T'abuses, mec. Puis elle mérite pas de perdre son gamin de cette façon.
- Tu fais chier. Tu le sais ?



Tout se passait bien et on rigolait autour après une mission facile et pas trop mal payée. Sauf que le cousin d'un membre du groupe a voulu frimer devant des nanas en se vantant d'être un excellent lanceur de couteau. Résultat des courses, je me trouve avec une lame plantée dans l'aine et l'envie de casser la gueule à ce connard.
Le pire c'est que je ne sais même pas comment ce débile a fait pour me viser et m'atteindre alors que j'étais dans son dos ! Il a forcément fait exprès, je vois pas d'autre possibilité.

Faute d'autre solution, mon collègue et moi décidons de faire un saut aux urgences avec sa bagnole. Même si il a foutu une serviette et un drap pour éviter que j'en foute partout je suis content de pouvoir au moins saloper un peu sa bagnole en guise de vengeance. Le sang ça part pas facilement et même si on ne le voit pas les flics peuvent toujours le faire réapparaître avec leurs produits chimiques.
Ca lui vaudra pas de grosses emmerdes non plus si ça venait à arriver, mais un homme peut bien rêver.


= 22h45 : arrivée aux Urgences =

Le bras autour du cou de celui qui m'aide à tenir debout nous nous dirigeons à l'accueil où se tient le cliché de toute série médicale. Une bonne femme est là, clope à la gueule, le téléphone dans une main et son portable dans l'autre.

- Faut que vous aidiez mon pote.
- Hein ?
- Il est blessé à la jambe.
- J'suis pas aveugle.


La femme s'interrompe une seconde pour se redresser et vérifier ma blessure avant de retourner sur sa chaise.

- C'est bon, ça coule pas. Il est pas, non plus, en danger de mort.
- Vous déconnez !
- Un peu de respect ! Allez donc remplir ce formulaire et on vous appellera le moment venu.


On les connait les nanas comme ça. Elles pensent qu'à leur gueule et à moins d'avoir du fric sur soit on ne peut pas négocier avec elles. Cette conne ne perd rien pour attendre car je suis du genre rancunier.


= 23h27 : dans la salle d'attente =

J'ignore si c'est le fait de rester sans rien foutre depuis tout à l'heure mais je commence à sentir de moins en moins ma jambe. En décidant de regarder, plus par curiosité qu'autre chose étant donné que je ne sens pas plus de douleur que ça, je constate que le sang s'est remis à couler le long de ma jambe.
Au même instant un médecin débarque et demande à ce qu'on m'emmène sur un brancard avant d'hurler sur la grognasse de la réception.
Enfin, je ne peux que voir car je n'entends rien de plus que des sons inaudible et caverneux qui me résonnent dans les oreilles. Même mes lèvres refusent de bouger alors que je tente de toutes mes forces de lâcher un "Bien fait pour ta gueule" à celle qui m'a laissé crever ici.


= ??h?? : dans les couloirs de l'hôpital =

J'émerge lentement avec un mal de crâne carabiné comme après une mauvaise cuite. Mes fringues sont partiellement déchirées et découpées alors que j'entends difficilement une voix qui semble provenir de plusieurs kilomètres de distance. Signe que je suis encore dans un état foireux.

- Bonsoir ! Vous m’entendez ? Nous sommes parvenus à guérir votre blessure et ce ne fut pas simple car cela aurait pu devenir grave si nous étions intervenu trop tard.
Je vous demanderai de ne pas bouger pour le moment, quelqu'un va venir vous recoudre dans quelques minutes.


N'ayant ni l'énergie, ni l'envie de vérifier ce qui se passe autour de moi, je reste allongé en fixant les lumières au plafond. Laissant également les divers bip, les voix d'inconnus et autres sons me bercer. Pour le moment j'ai juste envie de souffler.
Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Astrid Grace le jeudi 16 décembre 2021, 18:48:36
Début de la garde, 19h. Tout commence par des urgences calmes. Les collègues m'ont laissé un service plutôt tranquille. Pas trop de monde, des petites blessures à droit à gauche mais rien de bien méchant. Je m’accorde un café pour commencer ma nuit, deux sucres et du lait, comme chez Mamie. Hanna vient me voir pour me confirmer mon planning de la semaine prochaine, il manque encore du monde sur certains jours, je vais encore devoir me taper une journée supplémentaire de garde pour compenser. C’est la quatrième ce mois ci. J’espère secrètement que ça se répercutera un peu sur mon salaire pour pouvoir me payer quelque chose de sympa à la fin du mois. Peut être des sous-vêtements. Ouais on a toujours besoin de nouveaux sous-vêtements. Une sirène me sort de mon état pensif. Trauma crânien, tombé d’un toit. Ca y est ,le bordel commence. Je regarde l’heure rapidement. 19h13. Super, le calme aura duré 13 minutes.

22h17

La c’est Bagdad. Une épidémie de gastro est arrivée. Les gamins sont tous en train de vomir dans tous les sens. Y’a deux mecs bourrés qui se sont battus, l’un à une fracture de la mâchoire, l’autre à la main et ils continuent à se hurler dessus. J'essaye de calmer les deux alcooliques en leur proposant un médicament pour la douleur, l'infirmière mets de la glace sur la main de l'un pendant que je vais chercher de la morphine pour l'autre. Y’a trois petits vieux qui ont chutés à la maison et au moins, un des trois s’est peté le col du fémur, si ça n’est pas les trois. Y'a un gamin qui s'est ouvert le front en fonçant dans une table, un autre qui s'est mordu la langue jusqu'au sang. On nous a déjà appelé pour nous prévenir que deux voitures s’étaient percutés pas loin d’ici et que les blessés allaient pas tardé à arriver. On ne sait pas trop ou donner de la tête. La salle d'attente est déjà pleine, les gens s'entassent les uns sur les autres. La nuit va être longue.

23h31
 
«  Mary, pourquoi y’a du sang par terre? » Je fronce les sourcils en voyant la mare de sang dans l’entrée et demande à l’hôtesse d’accueil ce qui se passe. Celle ci hausse les épaules, absolument pas intéressée par la flaque. Je remonte la trainée de sang et trouve un gars assis sur une chaise, à peu près conscient. Je crie sur mes collègues «  J’ai besoin d’aide » Un des médecins débarque avec un brancard et m’aide à soulever le mec pour le placer dessus. Et au passage, Mary se fait remonter les bretelles par le chef de service qui lui demande pourquoi une telle plaie n’a pas tout de suite été pris en charge. Mary baisse les yeux, peu fière d’elle. Ca n’est pas la première fois qu’elle foire. J’espère presque qu’elle se fasse virer. En attendant, on dirige le patient vers une salle de consultations. Il a déjà perdu pas mal de sang, les infirmières le perfusent pendant qu’on essaye de trouver d’ou ça saigne. Le médecin essaye d’éponger ce qu’il peut pendant que je trifouille pour trouver le point d’appel. «  J’ai! » Dis-je fièrement en mettant mon doigt dessus. Le saignement s’arrête presque instantanément. Quelques points au niveau de la plaie, quelques compresses pour absorber ce qu’il reste et le patient est sauvé. Il est pale, un peu shooté mais toujours vivant. Le médecin me tape sur l’épaule d’un air reconnaissant puis frappe doucement la joue du patient pour le réveiller. « Bonsoir ! Vous m’entendez ? Nous sommes parvenus à guérir votre blessure et ce ne fut pas simple car cela aurait pu devenir grave si nous étions intervenu trop tard. Je vous demanderai de ne pas bouger pour le moment, quelqu'un va venir vous recoudre dans quelques minutes. » Il me lance un signe de tête sur la plaie pour me montrer que c’est mon boulot maintenant. « Bonsoir, je m’appelle Astrid, je suis l’une des internes ici. C’est moi qui vais vous recoudre. Vous pouvez me dire votre prénom et comment vous vous êtes fais ça? » Je m’installe sur une chaise près du patient pour examiner la plaie. Je penche ma tête vers celle ci. Son boxer est sur le chemin, on a même pas prit le temps de lui enlever pendant la bataille. « Je vais devoir découper votre boxer comme vous avez pas le droit de bouger. » Il a l’air jeune, plus jeune que moi. Je suis un peu gênée de devoir faire ça mais bon, c’est nécessaire. Les joues rougies, je prends des ciseaux et commence à découper, en essayant de faire attention à ses parties intimes pour qu’elles soient toujours couvertes.
Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Souta et Janus le jeudi 16 décembre 2021, 23:23:13
Le repos dont j'espérais profiter n'est que de courte durée. Une question de secondes à peine ? Ou alors il s'est écoulé une heure entre les deux interventions vocales ? Le fait d'être dans les vapes et crevé n'arrange rien à ma notion du temps. Pour ce qui est de la douleur je peux gérer sans véritable souci. Par contre la came et les médocs c'est une autre affaire vu que j'évite ça comme la peste. Font chier les toubibs à ne penser qu'avec leurs cachets et autres produits. A croire que ce sont des putains de sadiques qui attendent la première excuse pour te planter ou te charcuter. Ils veulent aider leur prochain ? Et mon cul c'est du poulet ?

C'est d'ailleurs pas vraiment un cul, même si elle en a forcément un, voilà que quelqu'un se présente à moi. Astrid ? C'est pas très japonais tout ça. Je tourne la tête par réflexe en suivant le son de sa voix pour mettre un visage sur la femme qui me cause.

Pour le moment son visage reste encore flou pour moi. Saloperie de médoc ! Comment je vais la reconnaître si jamais elle se foire ? Les salauds ont prévus le coup. Ils bourrent les patients de saloperies pour se couvrir à l'avance en cas de pépin.

- Mon prénom ? Bonne question...

En général on a l'habitude de balancer de fausses identités quand on fait un saut à l’hôpital, question de sécurité. Le souci c'est que mon état m'empêche de réfléchir et de trier mes pseudonymes encore actifs ou déjà cramés. Heureusement pour moi, j'enchaîne sans trop réfléchir en détournant le sujet.

- Ce qui m'est arrivé ? De ?

Mon regard se dirige cette fois vers ma jambe blessée. Putain ! Je m'en souviens. Un brin de lucidité anime ma voix quand je lui réponds.

- Quoi, ça ? C'est rien ! Juste le fruit d'un verre de trop et d'un pari débile.

Évitons de crier sur les toits que j'ai déjà vécu bien pire. Surtout qu'elle ne perd pas de temps pour annoncer la couleur et commencer à se jeter sur mon boxer.

- Ah ?

Je me retiens cette fois de faire une blague un peu sale. Elle tient des ciseaux après tout. Un mot de travers et elle me la coupe sur le champ en prétextant un accident.
Vu le côté où elle s'est positionnée je sais d'avance par où elle va attaquer et, cette fois, c'est juste trop tentant.

- Heureusement que j'me suis pas blessé à l'autre jambe, sinon l'accès aurait été bloqué.

D'un geste lent et discret je tire sur le drap qui couvre mon autre jambe pour montrer que mon boxer est bien rempli du côté opposé où elle se trouve. Même au repos il y a déjà de quoi bien remplir le sous-vêtement. Il arrive même que mon gland dépasse quand je me tient debout. Si ce n'est pas le cas actuellement c'est sûrement parce qu'il est trop intimidé.

- Même endormi il peut être difficile à réveiller et pousser.
Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Astrid Grace le vendredi 17 décembre 2021, 17:19:54
Entre tous les drogues qui lui ont été administrés, je suis un peu surprise qu’il arrive encore à me parler correctement. La morphine sait très bien soulager la douleur et provoque de temps à autre des états euphoriques. Ses réponses ont l’air cohérentes, mais ça ne sont pas des réponses. Je n’ai toujours pas son prénom, ni comment ça lui ai arrivé. Il esquive mes questions. Je fronce les sourcils. Qui fait un pari stupide et se retrouver avec un couteau planté dans la jambe? Le mec est bizarre ou il a des copains bizarres. Ou les deux « Du coup, vous êtes ivres là? » Ca explique le bordel qu’il doit y avoir dans sa tête, en plus des anti-douleurs et de l’anesthésie. «  Et j’ai toujours besoin votre nom. » Je tiens le bon bout, il faut absolument que je lui fasse cracher son identité. En soi, même une fausse identité, ça me conviendrait, tant qu’on peut le noter sur l’ordinateur à un autre nom que XXX, ce qu’il est pour le moment.

J’écarquille les yeux en l’écoutant. Attends, il est vraiment en train de se découvrir pour me montrer sa bite? J’espère profondément que c’est l’anesthésie qui le fait parler au médecin qui est censée le recoudre. Et il continue en plus. J’attrape le drap et le recouvre rapidement, ma main posé sur son entre jambe par dessus le tissu. «  Tu rigoles là? T’es vraiment en train de me la montrer? Gamin, je suis censée te recoudre. » Puis je me rends compte de ma position, ma main posé sur sa queue, mon visage à 5 cm de ma main. Si quelqu’un rentre maintenant, on peut croire que je le branle en consultation. Je retire ma main comme si j’avais été brulé. Bordel. Je l’ai appelé gamin et je l'ai tutoyé, j’ai dépassé les bornes. « Huuum, désolée. On va dire que ce sont les drogues qui ont parlé et que tu n’as pas essayé de me montrer… Ton engin. » Mes joues qui étaient déjà rosées, deviennent rouges de honte. Alors oui, j’ai vu et senti sa grosseur, est ce que ça m’a un peu excitée? Un peu. Putain de perverse que je suis. Je suis censée le recoudre et je pense déjà à toutes les façons ou il pourrait m’utiliser. Je secoue la tête, essayant de replacer mes pensées dans le bon sens. C’est un gosse, il a pas plus de 25 ans c’est sure, Astrid, tu peux pas baiser un gamin, reste professionnel.

Je me lève de la chaise pour prendre le matériel de suture. Pense aux aiguilles, aux fils. Je me re concentre comme je peux. Un peu d’anesthésiant local. « Reste calme, je vais te refaire une anesthésie locale. » Je mets mes gants et prends la petite seringue, piquant autour de la plaie. Puis j’entame la suture, 6 points à l’intérieur, 8 points à l’extérieur. Plusieurs fois, ma main l’effleure, mais je garde ma concentration, je ne peux pas penser à ça maintenant. Une fois terminé, je me recule pour admirer le résultat. La plaie est propre, les points ont l’air de tenir malgré mon manque de concentration. J’appuie doucement sur la plaie pour tester la douleur. « Ca fait toujours mal quand j’appuie là? »
Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Souta et Janus le vendredi 17 décembre 2021, 19:03:30
Ah ouais, la vache ! Je balance quelques blagues et elle fonce directement pour vérifier l'état de la marchandise ? On est également passé au tutoiement en un temps record. Sans parler de sa tête qui s'est dangereux rapproché de mon paquet. Un peu plus et je tenais le tiercé gagnant dans l'ordre.
Mon objectif était juste de détendre l'atmosphère et de rigoler un peu. Surtout qu'en général le personnel dans les hôpitaux ne s'offusque pas pour grand chose car des cours d'anatomie ils en ont eu plus d'un avec les années.
Vivre à Seikusu doit également avoir permis à chaque personne qui bosse ici d'avoir vu des bites par dizaines. En plus des corps étrangers exotiques logés dans des cavités où ils n'ont pas leur place. Sa réaction est amusante et me donne envie de jouer davantage pour voir comment elle répondra à mes gestes.
Même sa façon de s'exprimer est pudique. Un "engin" ? Soit c'est de la timidité, soit c'est de l'envie car elle a pu entrevoir les dimensions du bout de viande.

Lorsqu'elle revient à la charge avec sa seringue en me demandant de ne pas bouger je joue le jeu alors que j'aurais préféré ne pas me taper de piqure supplémentaire et inutile. Font chier avec tous ces médocs, à croire qu'elle veut abuser de moi ou me foutre KO pour avoir la paix.

- Toujours ? Non, j'ai pas eu mal avant non plus. C'est normal d'ailleurs ?

Par réflexe je retire le drap qui protège mon autre jambe pour vérifier que je peux la plier.  L'espace d'un instant j'oublie pourquoi elle avait été recouverte par l'interne qui est plutôt mignonne. Ce n'était pas de la panique, mais cette surprise m'a procuré une brève sensation de lucidité.
Sauf que dans le feu de l'action, plus rien ne masque la vision de mon entrejambe qui est aligné là, sur le lit, comme s'il s'agissait d'une planche à découper.

- Oups !

Je ne prends même pas la peine de revenir me couvrir. Ce qui est fait n'est plus à faire comme on dit. Pas sûr que ça colle à la situation actuelle par contre.

- C'est juste une bite de toute façon.

Elle l'a touchée juste avant, alors la voir prendre l'air ne va pas non plus la traumatiser. Évitons juste de balancer ça à voix haute pour ne pas qu'elle pique une crise. Les femmes ont pour vilaine habitudes de se mettre à gueuler sans raison la majorité du temps. C'est pas de la misogynie mais juste le fruit de mon expérience. Bon, d'accord, dans 80% des cas elles s'étaient retrouvées avec ma trique en pleine érection. Et ce n'est que dans les pornos ou les hentai que les femmes fondent devant des bites surdimensionnées, soyons francs. Toute femme normale lâchera un "non, je refuse de m'infliger ça".

Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Astrid Grace le dimanche 19 décembre 2021, 10:13:44
« Oui c’est tous les anesthésiants qu’on t’a donné. Tu ne peux pas avoir, mais ça va revenir. »

Je ne prends même plus la peine de le vouvoyer. Il est clairement plus jeune que moi et essaye de jouer les caïds, même avec une plaie profonde dans l’Aisne, ne voulant pas me donner son nom et esquivant mes questions avec brio.

Bon alors apparemment le gamin ne comprends pas la pudeur. Il veux absolument que je la vois. Quand il se découvre sur vérifier que sa jambe fonctionne encore, son sexe réapparait, comme par magie. Et en plus, il me nargue avec. Alors oui, elle est grosse et elle n’est même pas bandé, ça j’avais compris, je l’ai déjà vu de près, ça m’a déjà titillé. Le gars doit avoir des tendances nudistes… Ou exhibitionnistes. Comme toute femme, je réagis « Oui c’est juste une bite. J’en ai vu des plus impressionnante. » Et je lui souris, ravie d’avoir un peu pu le narguer à mon tour.

« -Astrid? On va avoir besoin de toi par ici ! » hurle le médecin à travers la porte. Une nouvelle urgence se profile et je dois laisser le gamin seul. «  Bon on te garde jusqu’à demain matin. Si tu te sens bien, tu pourras partir. Mais en attendant, tu bouges pas et tu dors. »

6h25

« Comment tu te sens? » Une main sur son épaule, je le secoue légèrement pour le réveiller. Il a dormi 6 heures d’affilé. Il ouvre un oeil, pas pressé de se réveiller complètement. Il a toujours moitié la queue à l’air, vu l’heure qu’il est et mon état de fatigue, ça me fait plus rire qu’autre chose. Je suis sure que c’est le genre de mec qui se trimballe à poil en permanence dans son appartement. « Je regarde ton pansement et si tout va bien. Tu peux y aller. » Cette fois, la fatigue de ma nuit l’emporte et je le découvre complètement. Il est tard ou tôt d’ailleurs, je suis claquée, ça m’amuse. Sa bite est à complètement à l’air cette fois, je me penche au dessus pour regarder la plaie, les joues rosies par ma audacité, le dos tourné à la porte pour que personne ne me voit faire. Le pansement est propre, la peau a l’air saine, je ne m’attarde pas dessus. «  C’est bon. Tu auras juste besoin de pansements tous les jours. Tu peux dire à tes potes de venir te chercher. » Je le recouvre, tout sourire et le laisse seul en lui faisant un petit signe de la main.


7h48:


La libération. Fin de garde. J’ai pas dormi une minute, j’ai des cernes de 45 cm sous les yeux, j’ai mal aux bras d’avoir soulevé des gens toute la nuit, mais j’ai fini. Je vais rentrer, prendre une douche et aller me coucher. Une fois dehors, je m’étire en baillant. Putain, et y’en a une nouvelle dans 2 jours. Fais chier.

Il caille en plus, je m’emmitoufle dans mon écharpe, sachant un nuage de fumée blanche en passant et m’engage vers ma voiture. C’est là que je le trouve. Sur un banc, affalé, en train de cailler avec son pull même pas épais. « Hey l’exhibitionniste! Qu’est ce que tu fais encore là? » Il a l’air seul, abandonné et frigorifié. « Tu sais quoi. Si tu me donnes ton prénom, je te ramène chez toi. » Je tapote sur ma propre épaule pour lui signaler de s’appuyer dessus pour s’aider à se relever et marcher. Ca sera ma bonne action de la semaine.
Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Souta et Janus le dimanche 19 décembre 2021, 12:27:01
Si mes souvenirs sont bons, je ne pense pas avoir trop abusé sur la picole hier soir. Ouais, hier soir... Si j'en crois les infos qui sont diffusées à la télé pas loin de mon lit. J'ai dû m'écrouler comme une merde lorsqu'elle m'a conseillé de me pieuter quelques heures.
Par contre j'ai encore un peu la tête das le cul lorsqu'elle repasse me voir. Moins farouche cette fois en tout cas vu qu'elle n'a plus l'air si gênée qu'avant par ce que je ne me fais pas chier à cacher. Trop fatigué, une flemme incommensurable qui m'empêche d'aller chercher le bout du drap pour le remonter.

La coquine cachait bien son jeu en fin de compte. J'suis prêt à parier qu'elle est de celles qui attendent que les mecs prennent les devants pour vraiment se lâcher. Elle ne dira jamais oui d'elle même, mais... elle n'ira jamais dire non si on l'engage comme il faut.

Au bout d'une demie heure, une femme vient me voir pour me donner ma fiche de décharge en me ramenant mes fringues pour que je me sape. Dommage, je me serais bien fait la petite Astrid si elle était dans le coin. Malheureusement je la vois nulle part et je ne compte pas rester des plombes à glander pour un plan cul qui pourrait ne pas se concrétiser.

J'appelle le mec d'hier pour qu'il vienne me chercher mais j'obtiens que sa messagerie. Le portable que j'ai est réservé au boulot de la veille, du coup pas d'application pour réserver un taxi. Idem pour le bus, la majorité des chauffeurs vérifient qui mets un ticket ou pas. L'autre jour un gars a carrément appelé les flics car une grand-mère avait oublié sa carte et avait pas de monnaie sur elle. Y a pas à dire, on vit dans un monde de crevards.

Après plus d'une demie heure à me geler le cul en réfléchissant sérieusement à faire le trajet à pieds, une bonne surprise m'attend. Je ne l'avais même pas vu avant qu'elle ne m'appelle.

- Ah ? On se donne déjà des petits noms ? Bah, c'est évident, j'attends une solution qui me tombera du ciel.

Tant que c'est pas un avion, je suis preneur de quasiment tout le reste. Quasiment seulement, car les démons aussi ça craint et ces saloperies ont souvent des ailes.

- T'as l'air vraiment déterminée à me connaître.

Je souffle un grand coup pour tenter d'évacuer le froid avant de lui répondre.

- J'm'appelle Souta.

Autant lui donner mon vrai prénom. De toute façon j'aurais aucun mal à me sortir de possibles emmerdes le moment venu si j'en ai qui me tombent sur la gueule. En la voyant me proposer son épaule je refuse sans être méchant.

- Ca va aller, je suis pas encore devenu handicapé. Mais merci.

Tout logiquement nous nous dirigeons vers sa caisse dans laquelle je monte sur le siège passager à côté d'elle une fois qu'elle déverrouille la portière. Y a pas à dire, on est plus au chaud là-dedans. Juste le temps de laisser le froid qu'on a fait entrer dedans s'en aller. J'attends qu'elle démarre pour engager la conversation.

- J'suis curieux. T'offres souvent à des inconnus de les ramener après les avoir tripoté dans des lieux publics ? Je juge pas, hein !

La question est posée avec humeur vu que je rigole en même temps que les mots sortent de ma bouche. Pas de ton coquin ou plein de sous-entendu, juste une question pour détendre l'atmosphère.

Entre ses gestes avant ma sortie et le fait qu'elle soit partante pour me raccompagner je me lance à une question bien plus tendancieuse.

- Alors comme ça t'as vu des bites plus impressionnantes que la mienne ?

Ma main vient se poser sur sa cuisse pendant qu'elle tient le volant. Une astuce comme une autre pour profiter de la situation. Cette route je la connais par coeur et je sais qu'il y a très peu de feux, ce qui m'offre une opportunité parfaite de continuer mon petit jeu.

- Par contre je doute que la mienne puisse entrer dans une aussi petite bouche et délicate que la tienne.

Un fait que je suis pressé de vérifier par moi-même dans un moment. Ma main sur sa cuisse s'en éloigne pour attraper sa main libre au niveau du poignet pour la déposer sur ma trique qui commence à se réveiller doucement mais sûrement.
Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Astrid Grace le mardi 21 décembre 2021, 10:49:23
Il me fait rire. Il parle beaucoup. Il a une certaine confiance en lui que j’apprécie. Ca n’est pas un des fils de riches que j’ai l’habitude de soigner avec leur portable à l’oreille et leur carte Gold, qui nous regardent travailler de haut. Lui m’a vraiment parlé, genre une vraie discussion. Bon une discussion qui tournait autour de l’exposition de sa bite, mais ça c’est une autre affaire. «  Déterminée à te connaitre, je sais pas. Mettre un nom sur l’exhibitionniste que tu es, ça par contre oui. »

Souta, finalement je mets un prénom sur son visage. Il reste convenable et refuse mon épaule offerte avec compassion. Le gars veux peut être avoir l’air d’être d'un dur à cuire. Nous nous dirigeons vers ma voiture sur le parking des employés. Je la déverrouille et le vois se faufiler à l’intérieur avec soulagement. Je mets le contact et allume le chauffage. Je ne sais pas depuis combien de temps le jeune homme est dehors mais un peu de chaleur ne va pas lui faire de mal.

J’essaye de me concentrer sur la route. Je me convaincs que si je le ramène chez lui sans avoir fait de sous entendu, je le laisse partir et je n’y repense plus. Je souris quand il me demande si je ramène souvent mes patients. La vérité? Ca m’arrive jamais de proposer à des patients de les ramener chez eux. Je ne l’ai d’ailleurs jamais fais avant aujourd’hui. Et si l’un d’entre eux était un psychopathe? Et si Souta était un psychopathe? J’essaye de me persuader dans ma tête que c’est pour me donner bonne conscience et que c’est parce qu’il est jeune et qu’il fait froid, mais soyons réaliste. C’est surtout que j’ai joué avec le feu une partie de la nuit avec lui et que ça me reste en tête. Le but n’était pas de finir comme ça, coincée avec lui dans une voiture. « Non à vrai dire, ça n’arrive jamais. Et je ne t’ai pas tripoté ! » Faussement offusquée, je ris, les yeux rivés sur la route. C’était pas du tripotage, c’était au pire de l’effleurage.

Puis Souta prends des initiatives, Sa main se pose sur ma cuisse. Putain. Il pense à la même chose que moi. Et là, il lance les hostilités. Mes joues rougissent d’un seul coup, alors oui, j’y pense depuis plusieurs heures, mais de là, à ce que ça se réalise… C’étaient potentiellement des pensées parasites de médecin fatiguée pour s’aider à continuer, le joli fantasme médecin - patient, celui qui nous fait regarder des pornos et acheter des costumes d’infirmières sexy à Halloween. Il prends mon poignet et la dirige vers sa queue, commentant sur le fait qu’elle ne rentrerait surement pas dans ma bouche. Je reste surprise devant son audace. Et en même temps, j’ai déjà vu sa bite plusieurs fois, je l’ai invité dans ma voiture et je lui fais des sous entendus vexants sur son penis depuis tout à l’heure. L’arrogance du gamin est ressorti évidemment. Les yeux toujours fixés sur la route, je la sens grossir sous ma main. Ok, c’était clairement le genre de queue qu’on commente entre collègues aux Urgences, celle qu’on voit par inadvertance et qui nous fait fantasmer en sortant. Je m’arrête au seul feu rouge de la route, les joues en feu, l’excitation palpable, et relance le jeu. « Il va falloir qu'on vérifie  ça ensemble alors. » Avec mon index et mon pouce, je défais le bouton de son jean, descends sa braguette et sort sa bite, passablement excitée et déjà imposante. Je l’enserre entre mes doigts et commence à la faire glisser. L’exhibitionniste a maintenant le droit à une branlette dans la voiture. Prescription du médecin. « Reste concentré quand même, tu dois m’indiquer la route. » Plutôt fière de mon coup, je passe quelques vitesses avant de la reprendre en main et de le branler, plus vigoureusement cette fois.
Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Souta et Janus le mardi 21 décembre 2021, 13:23:46
Le jeu démarre bien plus rapidement que je l'avais anticipé, preuve qu'elle avait juste besoin d'une situation propice et d'un coup de pouce pour se lâcher. En parlant de doigt, les siens se baladent sur mon jean pour l'ouvrir et venir chercher ma tige encore molle qui gonfle petit à petit sous ses caresses maladroites étant donné qu'elle doit quand même conduire la voiture en surveillant la route.

L'air frais qui rentre dans la voiture depuis le petit espace laissé ouvert au niveau de la vitre de mon côté me permet de prendre autant mon temps que possible pour grossir. Il ne faudrait pas que ça se termine trop vite non plus vu qu'elle semble aimer ce genre de pratique coquine. Pour quelqu'un qui me qualifie d'exhib, branler un mec dans sa bagnole en sachant que n'importe qui pourrait nous voir ne semble pas la déranger.

C'est vrai que la majorité des personnes en voitures qui vont au boulot à cette heure sont encore à l'ouest. Mais ce serait sans compter sur un bus qui pourrait passer à côté de nous. On n'est jamais à l'abri d'une surprise.

- Tourne à gauche après le carrefour là-bas où on voit l'enseigne verte.

Plus on se rapproche de mon appart et plus je sens l'excitation monter en moi. Pas au point de finir en pleine érection cependant. Alors que ses doigts fins et délicats continuent de faire gonfler ma trique, on finit par arriver à un stop avec personne aux alentours ou derrière nous.

- Attends... Repars pas tout de suite. Bave un peu dessus pour mieux me branler.

Bien entendu je ne compte pas attendre d'arriver dans mon appart pour essayer de la faire goûter à ma queue. Sauf que vu qu'on est encore en voiture, ça la foutrait mal si elle venait à s'étouffer avant de nous envoyer sur le décors sur un mauvais mouvement.

Après un peu moins de cinq minutes supplémentaire de trajet, on fini enfin par arriver à mon adresse. Je la laisse se garer, enclencher le frein à main et couper le contact  pour venir glisser une main entre ses cuisses par-dessus son bas pour venir la chauffer un peu. Ce n'est que chose normale vu qu'elle n'a pas hésité à jouer avec moi. Mon visage s'approche du sien, langue légèrement tendue pour aller à la recherche de la sienne afin de l'embrasser de manière baveuse et sale. La chose dure à peine une dizaine de secondes, le temps de la titiller.

- J'suis pas un monstre, j'vais pas dégueulasser ta bagnole. Descends et suis-moi.

Le parking ici n'en est pas vraiment un. Il s'agit juste d'un petit espace pour quelques caisses à côté de la porte d'entrée du bâtiment qui, elle aussi, ne tient même plus fermée. Je ne prends même pas la peine de me rhabiller en la tirant avec moi dans le hall couvert de tags. Des lettres et autres prospectus sont étalés, écrasés, couverts de traces de pas boueuses à même le sol.

- On sera bien ici.

Ma trique déjà épaisse et grasse alors qu'elle encore à demie dressée dans l'autre main, je lui fais comprendre de se mettre à genoux devant moi alors que je me colle dos contre un mur.

Étant donné que je ne bande pas encore suffisamment, j'ai besoin de soulever mon gros bout de viande pour présenter mon gland humide à son menton. Ce dernier s'écrase sur sa peau si douce et parfaite. L'odeur qui provient de mon sexe couvre facilement celle qui régnait dans le hall d'entrée vu son positionnement par rapport à ses petites narines.

Puis quitte à être traité d'exhibitionniste, autant jouer le jeu jusqu'au bout, non ?
Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Astrid Grace le lundi 27 décembre 2021, 01:47:29
Mes yeux essayent de se concentrer sur la route, mais ma tête ne pense qu’à sa bite qui grossissait entre mes doigts. Certes, toute la ville aurait pu nous voir, quelqu’un aurait pu facilement griller cette branlette sauvage, pourtant toute la situation me rends folle. Je ne pensais pas être comme ça, dépravée et délurée oui, mais pas aussi confiante, jamais aussi audacieuse.

A un stop, je me penche sur lui et sors la langue. Je lape sa queue tendue de la base au point culminant, étalant ensuite la salive partout avec ma main puis je me redresse pour reprendre la route. Ma concentration est de plus en plus fluctuante. Il faut qu’on arrive vite. Il me fait tourner et m’indique ou aller. Arrivée à destination, j’ai le droit à un roulage de pelle rapide, sa main cherchant à m’exciter rapidement. Comme si je n’étais pas déjà mouillée d’avance. Sa façon de faire me fait sourire, il a l’air… Presque respectable. Il me chauffe langoureusement, parle crûment, sort sa bite à tout bout de champs, mais il est franc et honnête. Contrairement à moi, il sait exactement ce qu’il veux et comment l’obtenir. Alors que je remets toujours en cause mon esprit pervers, lui reste fidèle de ses sentiments et les applique avec fermeté. Ca m’impressionnerait presque si j’avais le temps de réfléchir.

Il m’entraine hors de la voiture, la queue à l’air, le jean simplement maintenu par ses hanches et se pose dans le hall d’entrée. L’endroit est sombre, mal éclairé, l’ampoule au dessus d’eux a l’air d’être cassé. La situation me fait mouillée, j’ai un peu l’impression d’être une prostituée qu’on baise dans un coin d’immeuble à la va vite avant de retourner à la vie normale. Il commence à me signaler de me mettre à genou. Son sexe est déjà luisant de notre précédente altercation, elle est déjà de bonne taille. Mon visage parait presque petit à coté, je pose mes lèvres sur son gland, roulant ma langue autour, les yeux levés vers lui. Je commence tout juste à le titiller, suçotant le bout histoire de l’exciter un peu plus, comme si ma bouche ne pouvait pas prendre plus, puis je m’enfonce sur sa bite et entame de long va et viens. De la salive s’accumule dans ma bouche, ça coule un peu à coté, il me remplit exactement comme il faut. Mes mains se posent sur ses cuisses et accompagnent le mouvement. Je le regarde toujours droit dans les yeux, ses pupilles puent le plaisir et sa bouche s’entre-ouvre d’une façon obscène. J’ai envie de cette bouche partout. 

Soudain, on entends une porte claquée au loin, beaucoup plus haut dans l’immeuble. Mon mouvement s’arrête au fond de ma gorge, peur d’être prise sur le fait. Je ne me relève pas encore. On entends quelqu’un descendre des escaliers, se rapprochant de plus en plus. Dans un élan de panique, je pousse Souta dans un coin vraiment très sombre du hall, près de l’escalier principal, derrière un mur, là ou il n’y a presque pas de lumière. A genoux, on m’aperçoit à peine. La personne se rapproche quand je glisse un doigt sur mes lèvres pour lui dire de se taire puis entreprends de gober son chibre loin dans ma gorge. Je m’étouffe sur sa bite et il ne peut pas dire un mot au risque d’être découvert. C’est jouissif. L’exhibitionnisme me va plutôt bien au final. Le mec passe dans l’entrée, un casque sur les oreilles, une démarche assurée, il ne voit même pas qu’à deux pas de lui, un mec se fait sucer la bite dans l’obscurité.
Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Souta et Janus le lundi 27 décembre 2021, 10:06:15
Vu la façon dont les évènements s'enchainent, mon impression sur la petite interne en médecine ne fait que se confirmer. La majorité des nanas aurait réclamé de faire ça ailleurs ou, au moins, dans d'autres conditions. Pas elle. Oh non, la petite vicieuse sur laquelle je viens de mettre la main s'est exécutée en venant me pomper la queue sans aucun signe d'hésitation. Ou alors elle a l'habitude de chauffer des mecs à la vue de tous.

Pour le moment je l'observe tranquillement en soupirant de plaisir à la sensation de sa douce langue qui goûte mon gland avec timidité. Lorsque la chaleur de sa petite bouche recouvre mon gland je lâche un son bien plus perceptible. La chaleur de mon haleine se transforme en petit nuage de fumée lorsqu'elle quitte mes lèvres dans ce froid qui règne. Le mélange des températures est un excellent moyen de pousser l'excitation d'un homme quand on s'amuse de cette manière.
Ma langue se glisse lentement le long de mes propres lèvres pour les humidifier avant qu'elles ne gercent. Même ma gorge me semble sèche car je n'ai rien bu ou manger depuis plusieurs à bien y repenser. C'est alors que je me dis que, situation bandante mise à part, j'aurais probablement dû aller à mon appart pour boire un truc. Comme quoi, les besoins primaires ne sont pas les même pour tout le monde. A l'heure actuelle c'est à elle que je veux offrir une boisson si particulière.

- Urrrrgh !

Un étrange son s'échappe de ma bouche car je me fais embarquer en même temps que j'avale ma propre salive. Le fait de me déplacer sur le côté ne l'empêche pas de garder ma queue dans sa bouche en tout cas. Sa sucette doit vraiment lui plaire pour ne pas vouloir la lâcher.
Si elle finit par le faire, c'est uniquement pour me faire signe de ne pas parler avant qu'elle ne se remette au boulot. Amusé par la situation, je pose ma main sur l'arrière de son crâne pour appuyer dessus en voyant qu'elle tente déjà de son côté de m'avaler autant qu'elle peut.

Assez rapidement je remarque qu'un mec traverse le hall. Vu sa dégaine et sa démarche il doit s'agir de Kanzaki. Une petite frappe qui enchaîne les plans foireux et les dettes à une vitesse folle depuis quelques mois. Le pauvre type s'est fait entuber par sa nana qui s'est tirée avec un autre mec après avoir emprunter du pognon à des mecs pas nets en utilisant son nom à lui. Du coup il est obligé de traîner dans des plans hyper foireux si il veut pas finir à bosser dans une mine ou de vendre certains de ses organes sur le marché noir.
Le genre d'histoire qu'on entend à tous les coins de rue dans ce quartier quand on vit depuis assez longtemps.

La porte se met à claquer au fond, signe qu'il est parti. Ce n'est pas pour autant que je relâche la pression sur Astrid pour la voir engloutir presque trois quart de ma grosse queue qui continue de gonfler et durcir dans son antre chaude et baveuse. J'attends d'entendre sa respiration devenir plus difficile et voir sa salive éclabousser partout pour la libérer et admirer le beau spectacle de son beau minois un peu plus souillé.

- Même comme ça tu restes jolie comme tout.

Je la fais alors se relever pour glisser une main sous son haut pour venir chercher ses seins. La seconde se glissant tout aussi rapidement pour venir agripper son petit cul avec fermeté. La chaleur me gagne encore plus alors que je la presse contre moi en gémissant comme un animal en chaleur. L'excitation est si forte que je ne contrôle pas totalement mes gestes. J'ai froid, chaud, j'ai envie de lui faire un million de choses.
Ma main empoigne encore plus fort une de ses fesses alors que ma langue s'étire pour venir lui faire une longue et lente léchouille dans le coup pour goûter à sa transpiration.
A chaque fois que je contracte mes doigts sur son cul, les muscles de mon bras se contractent pour la faire se presser un peu plus le ventre contre le mien.

- Continue de me branler, ma belle.

Le petit jeu de caresse continue une dizaine de secondes. Ou du moins jusqu'à ce qu'un de mes doigts vienne se faufiler entre ses fesses pour venir titiller son œillet. Sans pour autant y entrer, ou alors pas vraiment. Je m'amuse à faire semblant de vouloir le visiter en m'arrêtant à l'entrée de ce dernier. La voir se tortiller est tellement amusant et excitant.

De mon côté, je sens que ma trique ne va plus tarder à gagner sa forme ultime en sentant les doigts d'Astrid s'écarter sur la circonférence de ma tige épaisse. L'heure du vrai test est enfin arrivée. Mes lèvres se collent aux siennes dans un baiser bien baveux que je romps rapidement avec un grand sourire en baissant le regard pour lui faire comprendre où allait se dérouler la suite de cet échauffement.

- A genoux ! Et montre-moi ta langue.

Comme un gamin, je prends plaisir à venir tapoter sa langue avec mon gland pour tâter le terrain. La main à la base de ma trique pulsante et dont la chaleur est encore plus évidente avec le froid ambiant, je mesure à vue d’œil si elle va pouvoir entrer dans sa petite bouche et la chose semble assez mal engagée. Même si elle s'en est très bien sortie avant, les choses ont évoluées et de façons drastiques.

- Tu voulais voir si tu pouvais me bouffer la bite ? C'est le moment.

Mes hanches remuent légèrement alors que ma trique encore un peu humide se frotte sur une de ses joues dont la chaleur prouve l'excitation de ma partenaire du soir. Vu qu'elle avait déjà du mal à me prendre en entier avant, ce sera déjà un miracle qu'elle puisse engloutir la moitié du massif bout de viande que je lui offre en guise de petit déjeuner. Elle devrait d'ailleurs être contente d'avoir un truc à grignoter alors que je crève de faim en face d'elle. Et est-ce qu'elle ferait preuve de gratitude en me remerciant ? Même pas. Aaaah, les bonnes valeurs se perdent.
Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Astrid Grace le lundi 03 janvier 2022, 11:14:49
Pourquoi je ne suis même pas surprise? Une pipe dans un couloir public ne le dérange pas, ça l’excitait même un peu plus, je sens sa bite grossir encore dans ma bouche pendant que l’inconnu passe dans mon dos. Ils allaient devoir aborder le sujet un peu plus tard, l’exhibitionnisme leur convient parfaitement. Souta est silencieux mais pas inactif, ses mains viennent aider ma bouche à engloutir peu plus son sexe.  Ma respiration devient de plus en plus dure, son gland tape dans le fond de ma gorge, empêchant l’air de circuler correctement. Alors que des petites larmes coulent du coin de mes yeux et que de la salive s’échappe de la commissure de mes lèvres, il continue de pousser dans ma bouche. Je pensais que c’était pour taire les bruits de succion et éviter de se faire repérer mais l’inconnu est déjà loin et Souta continue de m’étouffer. Avec un sourire un peu sadique, il relâche son emprise et m’aide a me redresser, admirant son travail, presque fier. Je dois avoir l’air d’un sacré bordel, mais ça ne l’empêche pas de commenter sur ma beauté approximative. Petit con. C’est de ta faute si j’ai l’air d’une trainée.

C’est à son tour de jouer avec moi. Pendant que mes mains s’activent sur son bout de chair, ses doigts à lui se faufilent sur mes fesses. Il les pétrit avec force, m’arrachant un long gémissement. Si lui est presque en érection complète, je suis actuellement complètement trempée. La chaleur dans mon ventre ne fait que d’augmenter et j’ai très envie de le sentir en moi. Je ne sais pas comment j’en suis arrivée là , à branler un patient dans un couloir d’immeuble, mais la situation est foutrement excitante. Ses doigts bougent sur mes fesses, jouant légèrement mon anus. Je me dandine contre lui, laissant mon cul venir au contact de ses doigts. Mes yeux se posent sur ma main, pensant à la suite des événements. Il est gros, très très gros, je ne sais pas si ça passerait. Je couche régulièrement avec des hommes mais pas de cette taille. Je ne suis pas un grand gabarit et il fait déjà plus d'une tête de plus que moi. Ma main peine à faire le tour de sa bite, je la pensais au maximum de son érection mais elle continue de grossir. Si j’arrive à le prendre en entier, ça sera déjà un exploit.

Souta revient à la charge pour me rouler une pelle pleine de salive. Je lui souris, les lèvres et le menton souillés, avant de redescendre à genoux. Je lui tire la langue, pensant qu’il voulait jouir dessus et mater la scène mais non. Il joue les petits cons, il tapote son gland sur ma langue, me montrant à quel point elle est grosse. Son bassin s’active et avance dans ma bouche, j’essaye de lécher sa trique comme je peux mais elle prends trop de place. J’arrive à rentrer à prendre à peu près la moitié en bouche grâce à ses mouvements mais ma respiration redevient compliqué. Quelques bruits obscènes résonnent dans la pièce, mélange de salive et de fluides corporels. Je le sens tremblant, mes deux mains se posent sur ses cuisses dégagées, griffant doucement sa peau. Ca fait son petit effet, Souta est en érection complète. Il ne peut pas aller plus loin et moi non plus, s’il s’enfonce plus loin, je vais étouffer pour de bon. Le but du jeu n’est clairement pas de retourner à l’hôpital. Je comprends qu’il ne va pas tarder à exploser, je l’espère presque. Son endurance est aussi impressionnante que sa queue. Une de mes mains vient rejoindre ma bouche pour masturber ce que cette dernière ne peut pas atteindre. Elles essayent de bouger en même temps pour le branler tout du long. Puis d’un coup, tout son corps se crispe, il passe une main dominatrice dans mes cheveux, maintenant la position qu’il veux et finit par éjaculer entre mes lèvres. J’ai du mal à tout avaler, ça déborde et coule dans mon cou puis sur mon tee shirt. Pas grave, il ira à laver ce soir. Après de longues minutes à profiter de son orgasme, Souta se calme, le dos caler dans le mur, allaitant. Je me releve et pose mes deux mains sur son torse avant de me mettre sur les pointes de pieds pour glisser à son oreille. « Ca mérite au moins un petit déjeuner ça non? » Je souffle dans son cou et y dépose un baiser qui aurait pu être tendre s’il n’était pas souillé de fluides.

J’ai très chaud alors qu’il fait un froid de canard dehors. Mon cul est à moitié à l’air, mes cheveux sont un bordel monstre et j’ai probablement du sperme resté sur les lèvres. Pas du tout crédible l’enfant modèle. Je prends Souta par la main et le dirige vers les escaliers, je n’ai strictement aucune idée d’ou je vais mais j’y vais. Il m’indiquera la route à suivre jusqu’à son appartement. Je ne pense plus qu’à une chose, rejoindre son appartement pour pouvoir continuer les festivités.

Arrivé à sa porte, je le laisse ouvrir avec ses clés et me glisse à l’intérieur. Une fois la porte refermée, je viens plaquer mon torse contre le sien et le pousse contre le mur. Dans l'entrée, nos manteaux tombent au sol puis rapidement, j’attrape le bas de son tee shirt et le fais voler par dessus sa tête. J’ai très envie de le voir complètement nu. Le mien ne tarde pas à rejoindre celui de Souta par terre. Je n’ai même pas pris la peine de mettre un soutien gorge pour le boulot. Inconfortable. Ma poitrine se colle à lui, espérant bien être récompenser pendant que mes mains explorent son torse avec passion. Mes seins sont tendus par l’excitation, ils ne demandent qu’à être touchés. Suppliante, mes lèvres contre les siennes, je lui murmure. « C’est à ton tour de me montrer ce que tu sais faire avec ta langue. »
Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Souta et Janus le mardi 11 janvier 2022, 11:21:03
L'idée était juste de la mettre au défi pour m'amuser avant de passer aux choses sérieuses. Je m'étais pas imaginé un seul instant qu'elle chercherait à me vider une première fois avant qu'on aille dans mon appart. Faut croire que j'ai encore décroché le gros lot ce soir en tombant sur une affamée ou une nympho en manque qui a besoin de bien se faire tirer pour calmer ses envies. Heureusement pour elle que c'est dans mes cordes et que l'envie ne manquera pas ce soir.

- Mouais, faut voir.

Le fait de m'avoir partiellement vidé mérite un bon point après tout. Je fais genre de la jouer détaché alors que de toute manière il était déjà prévu qu'elle passe la nuit chez moi. Et probablement un peu plus demain. En grande partie pour surveiller l'état de ma guérison, bien entendu. Après, si elle offre des bonus dans la foulée, pourquoi se priver ?

Alors que l'on s'avance dans les escalier et paliers, je l'arrête pour lui indiquer que mon appartement est là. L'insertion de la clé est hasardeuse mais je finis par réussir à ouvrir la porte qui se referme aussi vite derrière nous. Nos fringues ne mettent pas plus de temps à voler dans l'entrée. La fatigue et le manque de sommeil me privent d'une partie de mon endurance malheureusement. D'habitude je ne m’essouffle pas aussi rapidement et facilement.

Vu la qualité de l'immeuble, le chauffage est loin d'être stable et élevé. Sentir son corps brûlant contre le mieux me rend sacrément servir pour pas me les geler. Ses petites mains ne sont pas en reste niveau température. On dirait deux petits bouillottes qui massent mon torse musclé avec avidité. Le manque de luminosité m'empêche de déceler son regard qui doit être rempli de désir.

Ma main gauche vient caresser son sein droit avec délicatesse pendant que la droite vient claquer son petit cul avec violence dans un son qui résonne dans toute la pièce. Collée à cette petite forme parfaitement ronde, je la soulève en l'entraînant vers l'avant pour la faire s'asseoir sur le buffet installé contre le mur opposé. Avec un poids plume comme elle cela n'a rien de difficile, même dans mon état de fatigue avancé.

La transpiration saccadée, mes deux mains viennent se plaquer sur sa poitrine pour la caresser et la pincer afin de faire ressortir ses pointes sensibles pour mieux les sucer. Vu que l'on est désormais seuls il n'y a plus aucune raison de se faire discrets. De toute manière il n'y a quasiment aucune intimité ici vu que les murs semblent être en papier mâché.
D'audibles et humides sons s'échappent se ma bouche quand je tire sur un de ses mamelon pour le recracher en laissant une traînée de salive dessus. Puis je passe à l'autre.

De la main gauche je continue mon massage conjointement effectué avec l'aide de ma bouche, tandis que mon autre main descend lentement le long de sa peau chaude et couverte de sueur. Ses hanches fines, son ventre, son nombril... Je m'amuse à laisser mes doigts vagabonder dessus avec sensualité pour accentuer l'effet de mes succions sur sa poitrine.

Il ne me faut pas plus de quelques secondes pour me glisser sous sa culotte et découvrir qu'il y a une sacrée fuite que même le plus célèbre des pompiers moustachu ne pourra réparer. Heureusement que j'ai les bons outils à portée de main pour ce genre de situation.

Amusé par ma découverte, je m'arrête de jouer avec ses seins pour relever la tête et lui lancer en souriant.

- T'es trempée depuis longtemps ?

Je dépose alors un baiser et une léchouille dans le creux de sa nuque pour ensuite lui saisir la taille des deux mains pour la faire redescendre du meuble. C'est un meuble tout neuf, je veux pas le saloper rapidement.

- Amène ton petit cul, on va continuer sous la douche.

Je remonte alors mon pantalon que je tiens d'une main. L'autre venant lui claquer une nouvelle fois ce même boule que je lui ai ordonné de déplacer sans tarder.
La salle de bain n'est pas loin et je ne m'embête pas à fermer la porte de cette dernière. Mon pantalon, mon boxer et mes chaussettes sont les derniers morceaux de tissus qui finissent au sol avant que je n'aille allumer la lumière.

Me voilà complètement nu, les pieds sur le carrelage qui semble être encore plus glacé que d'habitude avec la différence de température qui règne. Cela n'empêche cependant pas ma bite de rester dressée et gonflée à bloc. Comme si mon éjaculation n'avait eu aucun effet sur mon endurance. Et pour le moment ma blessure ne me lance pas trop.

Remonté à bloc, je savoure ce court interlude en reluquant la jolie petit Astrid m'imiter pour ensuite l'emmener à mon tour sous la douche. J'en oublie même d'ouvrir le robinet en la plaquant face contre l'un des murs en verre pour me glisser à genoux derrière elle. Mes mains se collent contre l'intérieur de ses cuisses afin de les lui faire écarter ces dernières pour que j'entame une visite des lieux en bonne et due forme.

- Faut que je prépare le terrain. Je veux pas te casser trop vite.

Le fait qu'elle mouille abondamment m'aide à faire glisser mes doigts plus facilement entre ses lèvres intimes qui s'ouvrent sans aucune résistance pour m'accueillir. Mon pouce, lui, retourne titiller sa petite rondelle en entrant dedans progressivement. Je pense pas tester cet entrée aujourd'hui, mais ça peut pas faire de mal de la préparer un peu. Au moins psychologiquement.

Je ne peux malheureusement pas rester indéfiniment à genoux dans cette position car mon aine commence à me faire mal. Avec une certaine difficulté, je parviens à me relever et pense enfin à ouvrir les robinets alors que je viens me coller à mon tour contre elle. Mon torse parfaitement dessiné contre ses frêles et délicates épaules. Astrid semble si fragile, menaçant de se rompre quelque chose au moindre contact trop brut.
Ma bouche revient alors se poser sur son épaule que j'embrasse délicatement pour ensuite y déposer mes dents qui glissent dessus lentement. En bas, je n'ai pas arrêté mon exploration à l'aide de mes doigts qui continuent et préparer et ouvrir la voie dans sa petite chatte humide et dégoulinante.

- Tu veux plus que mes doigts ?

La pression de ses derniers se fait bien plus insistante, allant jusqu'à soulever son petit corps dans la foulée. Elle peut probablement m'entendre ricaner dans son oreille pendant que je m'amuse avec elle.

- Alors viens t'empaler sur ma bite comme une bonne petite pute. T'en crèves d'envie, je le sais.

Aucune nana normale ne mouillerait aussi facilement et rapidement qu'elle. Pourtant j'en ai croisé des nymphos dans ma vie. Là je crois que j'ai trouvé un cas assez particulier qui ne demande qu'à être étudié.
Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Astrid Grace le jeudi 13 janvier 2022, 13:53:29
Le surveiller, c’est ma priorité. Est ce que je vais essayer de justifier le fait de l’avoir suivi chez lui en disant que c’était à des fins purement professionnel? Peut être. En soi, tant que je suis avec lui, on peut dire que je le surveille. Pas sure que de l’exercice soit vraiment conseillé dans sa situation, mais je ne suis qu'étudiante en Médecine, j’ai le droit de faire des erreurs. Le fait de me soulever pour me poser sur un meuble par exemple, je suis à peu près sure que c’est pas conseillé. Je ne suis pas une charge lourde mais quand même. Mon esprit de médecin prends le dessus une seconde pour regarder au niveau de sa plaie, puis repart aussitôt quand ses doigts commencent à jouer avec mes seins. Mon intégrité médicale n’a strictement aucune chance face à mon excitation.

Je sens ses mains sur mon corps bouillant, ses lèvres sur mes tétons dressés, son haleine qui glisse sur ma peau. Bordel que c’est bon. Je me tortille sur son meuble, ne sachant plus ou me mettre. Il a partout et nul part à la fois, j’ai chaud mais je frissonne. Il sait comment s’y prendre pour m’exciter. Malgré son jeune âge, il doit avoir pas mal d’expérience. Et moi qui pensais avoir affaire à un branleur qui ne tiendrait pas 5 minutes, bite en main, je dois reconnaitre que j’avais tort sur tous les points. Mes mains glissent dans ses cheveux, m’accrochant comme si ma vie en dépendait. « Beaucoup trop longtemps. » J’ai envie de ses mains partout sur moi, partout en moi. Il s’arrête sous mon regard suppliant. Je lâche un gémissement de contrariété, je ne veux pas m’arrêter là. Mais ça n’est pas le plan de Souta non plus, il m'attrape par les hanches pour me faire descendre. « Attends, ne me porte… » Je ne réussis pas à finir ma phrase avant de toucher le sol. «… Pas. » Si son bien être complet était mon principal problème ce matin, j’aurais commencé par éviter de le sucer dans un hall d’entrée. J’essaye de me sortir de la tête que je suis une médecin en carton qui s’apprête à baiser son patient de la nuit, alors qu’aucun des deux n’a vraiment dormi, que l’un d’entre eux a prit beaucoup d’anesthésiants et que l’autre tient au café. Les consentements sont évidemment là mais est ce qu’ils sont vraiment éclairés, c’est une autre question.

Je reste incrédule devant lui. Je l’ai vu en chemise d’hôpital, je l’ai vu en boxer, mais là dans son plus simple appareil, en érection en plein milieu d’une salle de bain glaciale, j’en ai du mal à avaler ma salive. Je le reluque de haut en bas, prenant le temps de défaire mon jean et d’enlever mes chaussures. Il y a quelques heures, j’étais en train de le suturer, le visage beaucoup trop près de sa bite et là, j’étais presque nue, complètement mouillée à baver sur ses abdos.

A peine déshabillée, Souta me pousse contre le mur de la cabine de douche. Il fait froid putain. Ma peau est en feu, excitée par tous les gestes de Souta et l’impatience de nos actes, mais le carrelage glaciale sous mes pieds me rappelle que nous sommes nus dans une salle de bain sans chauffage. Tout mon corps tremble, autant de froid que d’appréhension. Je ne vois pas ce qui se passe derrière moi, je sens juste ses mains qui me parcourent et sa voix amusé qui me dit ce qu’il a l’intention de faire. Ses doigts se glissent en moi, enfin récompensée de ma patience. Je gémis de plaisir, j’ai l’impression de me liquéfier. De la cyprine mouille ses doigts et dégouline le long de mes cuisses, des cliquetis humides se font entendre, mes hanches bougent sur sa main, essayant de les enfoncer plus loin, plus fort. Son pouce retourne explorer l’entrée de mon cul, je ne sais déjà plus ou donner de la tête alors s'il commence aussi à s'occuper de cet orifice là, on a pas finit.

Il rit à mon oreille, continuant de jouer avec ma patience. Je hoche la tête rapidement, oui putain, j’en veux plus. Il est là, blotti contre moi à me murmurer des mots pervers, je sens son énorme queue collé contre mon dos, je sens son souffle chaud dans mon cou, toutes mes craintes par rapport à lui, à sa blessure, à son âge, au fait qu’il soit un patient, s’envolent. Je bouillonne, prête à l’emploi, prête à devenir la salope qu’il rêve de baiser sous la douche. Je ferais absolument tout ce qu’il me demande tant qu’il promets de me prendre. Il a assez joué avec moi pour voir que je ne peux absolument pas résister à lui, j’ai juste envie d’une bonne baise et nos préliminaires m’ont trop excitées pour qu’on en reste là. Une de mes mains part à la recherche de sa bite dans mon dos. Une fois trouvée, je tends mon cul en arrière, positionnant son gland l’entrée de ma chatte. Elle est toute trempée mais elle reste étroite pour le recevoir. Je recule contre lui, le maintenant fermement pour qu’il puisse rentrer à l’intérieur sans glisser. « Oh putain… » Je n’ai rentré qu’à peine un quart et déjà je me sens remplie. Mes parois vaginales s’écartent, mais c’est toujours très serré. J’entame des légers va et viens, juste pour aider à m’écarter comme il faut pour pouvoir me baiser avec force. Je tremble de plaisir, la chatte écartelée. « Prends moi Souta. Baise moi. Putain, j’ai besoin que tu me baises. » Merde, c’était suppliant ça. Je n’arrive plus de retenir mon impatience. L’eau chaude coule sur nos corps entremêlés, ne nous aidant pas à calmer l’atmosphère. Mes hanches ondulent sur lui et essayent de grappiller quelques centimètres de bite. Une de mes mains se pose devant moi, m’aidant à tenir debout en tendant les fesses en arrière, l’autre glisse entre mes jambes, explorant mon clitoris gonflé avec la pulpe de mon index.
Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Souta et Janus le jeudi 13 janvier 2022, 18:10:14
Ma demande ne restera pas longtemps sans réponse. A force de me presser contre elle avec la bite gonflée à bloc, celle-ci s'est logiquement logée entre ses fesses pour venir initier un premier contact et une friction exquise pour me mettre en appétit. Le contact est cependant de courte durée car sa main vient tout aussi rapidement se saisir de mon manche comme elle le peut et le guider à l'entrée de tous les plaisirs. A l'instar de l'entrée cachée sous une cascade, ma bite se glisse en passant outre le déluge de liquide qui dégouline dessus pour s’engouffrer timidement dans une grotte étroite qui me laisse peu de marge de manœuvre.

- Urrrrrrgh !

Un premier et lourd gémissement s'étouffe entre mes lèvres en même temps qu'elle exprime à sa façon la situation. J'ai limite l'impression de me faire une vierge tellement ses parois m'écrasent et me barrent la route pour aller plus loin. Pour le moment je la laisse faire alors qu'elle initie les premiers mouvements pour s'habituer à ce qui risque d'occuper l'intérieur de son corps un bon moment.

Je me contente de l'observer pour le moment. Commentant par moment ce début tranquille mais ô combien intense d'une toute autre manière. C'est un étau et non une chatte qu'elle a là.

- Merde ! Ce que t'es serrée.

Son petit cul remue, se balance d'avant en arrière sous mon regard émerveillé en voyant une partie de mon sexe disparaître dans le sien.  Où est-ce qu'elle arrive à foutre ça dans un corps aussi frêle que le sien ? Aaah, la beauté de la science.

Au bout d'un moment je l'entends me demander de la baiser une fois que j'ai commencé à bien dilater et ouvrir un chemin décent en elle. Mes deux mains se saisissent alors de ses fesses que j'agrippe de toutes mes forces pour pousser et forcer encore quelques centimètres dans ce savoureux, lisse et humide trou qui ne demande qu'à être malmené.

Le passage fini cependant par bloquer en me laissant avec encore le dernier quart rattaché à ma base qui est à l'air libre. A force d'appuyer et de pousser dans sa direction, je finis par la plaquer de nouveau contre la vitre de la cabine de douche. Ma bouche, collée à son oreille, déverse des soupirs lourds et répétés pendant que je commence à accélérer le rythme de mes coups de hanche au fil des secondes.

Une de mes mains vient se saisir d'un de ses seins à la pointe dressée et malmener celle-ci du point de l'index et du pouce. J'ai remarqué tout à l'air qu'elle aime que l'on joue avec. La seconde remonte lentement le long de sa cuisse pour accéder à sa hanche sur laquelle elle se pose quelques secondes le temps de maintenir ma position. Ses courbes fines me donnent envie de la briser en deux en m'acharnant sur elle. Mais je n'en ferais rien. Par contre je ne vais pas me retenir de m'amuser avec cette nympho qui a clairement un côté soumise.
Curieux de voir ce que cela va donner, ma main continue son ascension pour finir par se placer, à l'envers, au niveau de son cou sur lequel j'effectue une légère pression. Juste de quoi prendre la température.

- N'importe quelle nana serait en train d'hurler de douleur en se prenant un truc pareil.

Ma poigne s'accentue légèrement sur les deux parties de son corps auxquelles je suis englué. Idem pour les coups de hanches qui se veulent plus brutaux et secs. J'ignore si c'est mon imagination, mais je pourrais jurer que son corps se soulève parfois quand je lui file un coup de bite trop puissant.

- Mais toi ça t'excite.

Déchaîné, je la pilonne en soufflant comme un bœuf pendant de longues secondes avec une intensité folle. Avant de diminuer le rythme pour effectuer un pas en arrière afin qu'elle puisse aussi souffler.
Ma main sur sa gorge se glisse pour se déposer dans ses cheveux à l'arrière de son crâne et effectue une nouvelle pression pour qu'elle collée à la vitre sans pour autant lui écraser la face dessus. Alors que j'initie une nouvelle série de pénétrations en profondeur alors que ma bite désormais brûlante suite à ce long et intense passage en elle, mon autre main vient lui claque de nouveau le cul.

- Ce putain de cul ! Merde !

Que je lâche en revenant le faire claquer une nouvelle fois. Si je continue à m'amuser dessus il va lui rester des marques. Avec la fatigue qui commence à me gagner je me dis que je ne vais pas pouvoir m'éterniser. Et il est hors de question que je me gâche le plaisir en finissant crevé avant de m'être fait plaisir avec elle.
Je glisse alors deux doigts dans sa bouche pour qu'elle les suce et les humidifie pendant que cette dernière continue de me limer la tige avec une efficacité redoutable. Deux doigts qui vont ensuite venir se glisser lentement mais sûrement dans son petit œillet. A en juger par la réaction de son corps, le résultat est évident. Je risque de ne même plus pouvoir ressortir de sa chatte qui m'essore comme un vieux torchon humide.

- KUUUUUUUUH !

Les mots refusent de sortir de ma bouche. Jamais une femme n'avait mis autant de pression sur ma queue auparavant. Sans le vouloir, pris par surprise, ma main lui écrase encore plus fort la tête sur le mur de douche. Je ne me rends même pas compte car les informations et les sensations se bousculent dans ma tête et dans tout le reste de mon corps. Mes muscles se crispent, ma mâchoire se serre, je transpire plus vite que l'eau n'évacue ma sueur... Je crois qu'on va pouvoir lancer un essai clinique d'un genre particulier tous les deux.

Dénué du moindre contrôle sur mon corps, c'est l'explosion. Le soulagement. L'extase s'empare de moi après la vive et subite douleur. Je me vide en elle durant des secondes entières. Remplissant tellement sa chatte de ma crème épaisse, que le liquide visqueux et blanchâtre repousse ma bite qui se fait expulser de là dans un son humide digne des pornos les plus crades de l'histoire.

- Putain... de merde... J'lavais pas vu venir... celle-là.

Enchaîner deux mots de suite est presque un supplice. Ma gorge est desséchée et me sert tellement. La salope est parvenue à me couper plus d'un truc.
Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Astrid Grace le vendredi 14 janvier 2022, 20:18:33
Souta prends le relai et réussit à faire claquer mes fesses contre son pubis. Un long gémissement s’extirpe de ma bouche entre-ouverte et colle mon front contre la vitre froide, pensant que ça m’aidera à me calmer. Rien du tout, que dalle. L’intensité de ses mouvements me font perdre la tête, ma chatte s’écarte comme elle peut mais mes muscles pressent sur sa bite comme pour l’écraser. Je sais que je suis petite et que par conséquent, mon vagin est proportionné à mon corps, mais j'ai couché avec d'autres mecs, j'ai encaissé des bites plus grosses que la normale et je n'ai jamais ressenti une telle pression. Il me remplit complètement, je ne suis même pas sure que ma cyprine a la place pour sortir. Quand ses coups de butoirs deviennent plus violents, je crois même que mes pieds ne touchent plus le sol. Il maintient mon corps frêle entre ses deux mains, une sur ma gorge, l'autre sur ma hanche, j’ai l’impression d’être manipulée comme une poupée. Une poupée en train de se prendre des sacrés coups. La position m’oblige à cambrer les hanches, basculant mon cul en arrière pour le rencontrer, mais ça ne fait qu’accentuer la pression de ma peau contre la paroi froide. Ma tête elle aussi bascule en arrière sous la poigne de Souta, il serre légèrement, provoquant un hoquet de désir dans ma gorge. J'ai presque envie qu'il serre plus fort, mais je suis incapable de lui dire le moindre mot. La température ambiante est mitigée, l’eau chaude, la baise, la jouissance approchante me donnent chaud, mais la vitre glaciale refroidit chaque centimètre de peau qu’elle touche. Ca a l’air d’amusé Souta d’ailleurs puisqu’il prends le temps de bien m’appuyer dessus, écrasant ma poitrine contre le verre.

Mes mains cherchent l’équilibre, ne le trouvant pas devant moi, l’une entre elles attrape l’épaule du jeune homme et plante mes ongles dedans. Je ne cherche pas vraiment à lui faire mal ou à laisser des marques, juste à ne pas tomber. Ses mots ne m’aident pas à retrouver mes esprits. Il me compare aux autres filles, celle avec qui il a couché avant, celles qui ont eu mal à le baisant. Je ne dis pas que c’est plus facile pour moi, je vais probablement avoir du mal à marcher dans les prochains jours, mais le plaisir est tellement intense et que ça vaut toutes les marches en canard du monde. Je me sens pleine à ras bord, pleine de lui, plein de foutre et de cyprine, sa bite tape dans les profondeurs de mon vagin, je ne savais même pas qu’on pouvait aller aussi loin. La pression de sa bite se ressent jusque dans mon ventre, il bouge contre mes entrailles. Je ne sais plus ou donner de la tête.

Une premier claque s’abat sur mon cul, m’arrachant un couinement audible. Une marque rouge de la forme de sa main apparait dans ma peau puis disparait rapidement. Je n’ai pas le temps de profiter de la sensation qu’une deuxième arrive. Mes fesses ne restent rouge qu’une petite seconde mais la brulure elle, reste et m’irradie, je suis un peu plus proche de l’orgasme. Deux de ses doigts viennent s’insérer dans ma bouche, récupérant de la salive, je les suce comme je peux entre deux respirations saccadées. Il essaye peut être de me faire taire, mes gémissements deviennent vraiment bruyants, je n’arrive plus à choisir entre respirer et gémir du plus profond de mes cordes vocales. Mes hanches continuent de bouger sur sa bite, c’est raide, c’est dur, c’est intoxiquant. Chacune des contractions de ma chatte m’envoient presque au 7ème ciel, je le sens brûlant l’intérieur de moi.

Le moment ou ses doigts viennent appuyer sur mon anus est le moment ou il me perds. Mon corps brulant n’est plus qu’un torrent de plaisir, je ne sais plus comment je m'appelle. « Attends Souta… Attends. » Je me tortille contre lui, essayant de lutter contre l’orgasme imminent. Mais mon plaisir est plus fort que tout le reste, j’explose autour de sa grosse queue et de ses doigts. Ma chatte se resserre autour de lui, contractant tous les muscles de mon bas ventre, l’aspirant presque en moi. Souta se perds lui aussi, quelques secondes après mon propre orgasme, il gémit, pousse mon visage plus vivement contre la vitre pendant que j’essaye de récupérer ma respiration et se vide en moi dans un long gémissement. Comme si je n’étais pas assez remplie, sa semence pèse à l’intérieur de mon corps, écartant, comme si c’était encore possible, les parois de mon vagin pour l’accueillir. Mais la pression est trop forte et Souta sort et s’écarte de mon corps dans un bruit obscène. Son sperme épais et ma mouille se mélangent et glissent le long de mes jambes jusqu’à rejoindre le sol de la douche. Je suis vidée, dans tous les sens du terme. Je me retourne vers Souta, gémissant légèrement en sentant le mur froid dans mon dos et attire le jeune homme sur moi. Son corps est chaud et réconfortant. Mes bras entourent son cou et mon visage se cache dans son torse. « Je m’attendais pas vraiment à ça. » Autant dire que je ne m’attendais même à rien, c’était la première fois que je couchais avec un patient à sa sortie de l’hôpital. L’expérience avait été interessante mais je n’avais pas l’intention de continuer à chopper mes patients. « Tu te rends compte que mes jambes vont être incapables de me ramener chez moi là? Il va falloir que tu me proposes un lit, je vais pas tenir plus de 5 minutes debout. » Bizarrement, pour baiser follement dans une douche malgré le manque de sommeil, j’étais partante, par contre, une fois finie, il n’y avait plus personne. Je le serre contre moi et embrasse sa clavicule devant mes yeux, laissant l’eau chaud nous nettoyer de tous nos pêchés. 

Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Souta et Janus le samedi 15 janvier 2022, 10:02:27
Cette baise fut plutôt courte mais sacrément intense malgré le fait que je n'y suis pas allé à fond sur elle. Histoire de pas trop la marquer ou traumatiser dès le première soir. A l'écouter, la pauvre s'imaginait qu'elle aurait pu rentrer chez elle si elle n'avait pas finie dans cet état de fatigue physique. C'est mignon dans un sens de la voir penser que je lui aurais laissé le choix. La convaincre n'aurait pas été difficile vu la facilité avec laquelle elle s'est jetée sur moi depuis notre arrivée.
Que ce soit dû à une envie soudaine ou un manque à satisfaire m'importe peu. Ce genre de fille un peu soumise qui refuse de le montrer aux autres en redemandent souvent ou reviennent te voir avec des prétexte bidon pour justifier leur présence.

- Parce que tu comptais m'abandonner après avoir tiré ton coup ?

J'attrape alors une bouteille de gel douce, la retourne et en vide une partie du contenu sur ses épaules. Mes mains se mettent alors à faire mousser le gel rapidement en passant le long de ses bras, de ses hanches, de son ventre et terminent leur route sur sa poitrine.

- Cinq minutes ? On va devoir faire vite alors.

Je savonne, rapidement mais sans être brut dans mes mouvements. En dehors de quelques pressions ici et là, en particulier sur sa poitrine sensible, je ne fais que la laver.
Une main retourne faire connaissance avec son petit cul rebondit pour le masser et le laver à son tour. Puis j'attrape le pommeau de douche et commence à la rincer entièrement en le tenant d'une main. Pendant que l'autre vient se glisser dans sa chatte que j’entrouvre sans difficulté à l'aide de trois de mes doigts.

- Écarte les cuisses que je vois ce que t'ai mis.

S'ensuit un court mais autre intense doigtage en règle pour faire gicler une bonne partie de la gélatine que je me suis fais un plaisir de gicler au fond de son petit trou étroit quelques minutes auparavant. Là encore, je contracte les muscles de mon bras pour donner toute l'énergie nécessaire à mon poignet qui se fait un devoir de l'assister de la façon la plus neutre possible. C'est ça être un gentleman du nouveau millénaire.

La chose se poursuit encore quelques secondes. Je la relâche alors pour la faire s'effondrer au sol. Son cul vient s'écraser dans la flaque de sperme et de cyprine que l'on vient d'extraire d'entre ses cuisses.

Face à elle, je fais un pas en avant pour lui présenter ma queue encore souillée et maculée de sperme.

- C'est toi qui l'a dégueulassée, alors nettoie-là correctement avec ta jolie petite bouche.

Pendant ce temps je me savonne à mon tour et me rince. Cette débauche d'énergie m'a crevé et j'ai une super dalle. Je sors de la cabine de douche pour attraper deux serviettes. J'entends une à Astrid et m'essuie les mains avec la mienne pour chercher et prendre mon portable afin de commander un truc à la boulangerie du coin qui fait les livraisons de nuit et de bon matin. Histoire d'être tranquille je vise large.

Après un petit déjeuner plus que complet et survitaminé pour elle, on part se coucher pour récupérer vu qu'on en aura bien besoin tous les deux. On ne devrait de toute façon pas se réveiller avec le début de l'après-midi vu l'heure. Et ce sera l'occasion de faire plus ample connaissance si elle ne s'éclipse pas.
Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Astrid Grace le dimanche 16 janvier 2022, 20:11:56
C’est presque mignon. L’eau chaude, le gel douche qui sent bon, l’extase post coït, les mains de Souta sur mes épaules, on dirait une scène de film romantique. Ca aurait même pu m’endormir la tout de suite sous la douche. Je sens ses mains qui se baladent, frottant rapidement chaque partie de mon corps, la mousse s’étalant un peu partout. «  T’abandonner, non. Rentrer chez moi et dormir dans mon propre lit, oui. » Je ne suis pas une de ses filles qui aiment dormir avec leur plan cul. Même s’il est 4h du matin, en retour de soirée et ivre, je préfère me faire baiser et appeler un taxi pour rentrer. Les mecs sont souvent peu intéressants au réveil. Mais avec Souta, je n’ai pas vraiment le choix. Déjà, j’ai bien compris qu’il ne m’aurait pas laissé partir. Je ne sais pas ce qu’il a en tête, mais il a pas l’air d’avoir fini avec moi. Et de plus, mes jambes ne m’auraient pas maintenus plus de 50m en dehors de cette douche.

Les nouveaux plans de Souta ont l’air de commencé plus tôt que prévue. Ses mains baladeuses passent sur ma poitrine avec insistance. Est ce que c’est vraiment pour me laver ou juste pour me peloter? Je ne suis pas contre un pelotage dans les règles de l’art. J’en profite tout autant que lui, collant mon dos à lui et rejetant la tête en arrière sur son épaule. Presque immédiatement, mes tétons pointent et re-deviennent dures. La moindre stimulation les excite en quelques secondes. Puis on passe de film romantique à un film carrément porno. Souta me distrait en passant de l’eau chaude sur moi pendant que l’une des ses mains part explorer mon entre jambe. Je couine de surprise, mes deux mains attrapent son poignet dans l’action. Trois doigts se faufilent entre mes lèvres sans aucune difficulté, ils baignent dans le foutre et la cyprine. Il me nettoie de l’intérieur, me fouillant rapidement avec ses longs doigts. Je frôle l’orgasme de nouveau. «  Putaaaaaain. » J’obéis a son ordre et écarte les jambes pour lui, pour qu’il sente à quel point il m’a ouvert. Sale petit con qui sait y faire. Si le but du jeu était d’être sure que je ne parte pas, il a gagné. Quand sa main s’arrête et me lâche, mes jambes s’écroulent sous moi et seul le sol me rattrape.

La, il me tends sa bite, toujours fièrement présente et m’incite à la nettoyer. J’aurais pu me débattre et répondre que je n’étais pas la seule à l’avoir salit, mais je n’ai plus la force. A genoux devant lui, je sors ma langue de mes lèvres et le lèche sur toute la longueur. Je n’essaye même pas de le prendre à l’intérieur, le souvenir de sa bite au fond de ma gorge quelques temps plus tôt m’avait suffit pour ce matin. Ma langue récupère toutes les traces de liquides visqueux sur lui. Pendant ce temps, Souta profite de sa douche et apparemment, de moi, la petite salope entre ses jambes qui le nettoie sans broncher.

Interlude petit déjeuner. Embrumée, je regarde plutôt Souta manger goulument qu’autre chose. Je choppe un vieux tee shirt à lui par terre, l’enfile et cherche à taton où pourrait être sa chambre. Il n’y a pas 8 000 portes dans cet appart, la deuxième est la bonne. Voyant que Souta a fini sa 3ème viennoiserie, je lui montre le lit de la tête. « Je t’empreinte ton lit. » Et me faufile sous ses draps. Quelques secondes plus tard, le jeune homme me rejoint et s’en est suivi une vraie bonne « nuit » de sommeil.

16h45:

Une odeur masculine me réveille. Les muscles de mes épaules et de mes cuisses sont douloureux, j’ai un gout amer et visqueux dans la bouche et même mon utérus a des courbatures. J’ouvre un oeil, aucune idée de l’endroit ou je me trouve. Ca ne m’arrive jamais. Une sensation de chaleur entoure mon sein et bien qu’elle soit agréable, ça n’est pas normale. Mon regard descends vers le bas et je découvre le tee shirt de Souta complètement remonté sur mon corps et sa main agrippant mon sein gauche comme s’il lui appartenait. Il a l’air de dormir paisiblement, son visage de gamin affalé sur l’oreiller. Je n’avais pas vraiment eu le temps de détailler son visage, j’étais un peu plus intéressée par ce qu’il avait entre les jambes mais il est très mignon. Sans son sourire arrogant et sa voix dominatrice, Souta a presque une gueule d’ange. Reprends toi Astrid putain, tu as déjà fais assez de conneries comme ça ! M’extirpant de l’emprise de mon amant du matin, je sors du lit, uniquement vêtu de son tee shirt. Mes affaires sont éparpillées un peu partout dans l’appart. En sortant de la chambre, je trouve un haut au sol puis un peu plus loin une chaussure. Je ramasse ce que je trouve sur mon passage mais ne retrouve que la moitié de mes fringues. J’ai apparement aussi perdue mes sous vêtements.

Une tasse d’eau fraiche en main, je rascasse ma matinée et me rends compte de notre comportement quelques heures précédemment, de mon comportement. J’ai couché avec un patient que je venais tout juste de suturer pour une plaie profonde. Mais à quoi je pensais? La plaie aurait pu s’ouvrir, il aurait pu avoir mal, il pourrait avoir un hématome. Putain il aurait pu mourir pendant la nuit. Je réalise que je n’ai même pas vu s’il était vivant, s’il respirait encore. M’étouffant presque avec mon eau, je retourne dans la chambre pour vérifier en vitesse. Souta est toujours passablement installé dans son lit, sur le dos, le drap couvrant la moitié de son corps. Bordel, il est baisable. Stop. Non. Il respire déjà, c’est une bonne nouvelle. Doucement, mes mains s’approchent de lui pour voir si la plaie est bien. Je soulève le drap et évidement, tombe nez à nez avec sa bite en semi-érection. Encore. La vie doit avoir décidé de me mettre des bâtons dans les roues. Je fais abstraction de l’objet de mes convoitises pour m’intéresser à mes points de suture, qui ont l’air d’aller bien. Mon diplôme est quand même un peu en jeu si le gamin venait à mourir d’une hémorragie, du coup je me permets d’aller tâter son aine, glissant mes doigts froids sur sa cicatrice et appuyant pour vérifier qu’il ne saigne pas en dessous. Le jeune homme gémit sous la pression de mes doigts. De douleur? De peur? D’appréhension? Je ne sais pas. La seule chose sure, c’est qu’il est bel et bien vivant.
Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Souta et Janus le dimanche 16 janvier 2022, 23:44:29
Glander, flemmarder, traîner... Tous ces concepts sont appréciés et régulièrement abusés par ma humble personne au court de l'année. Par contre, si il y a un truc avec lequel j'ai du mal, c'est le décalage au niveau des horaires. Ce doit être un des seuls TOC que je possède. J'aime rester dans la même "ligne temporelle" que les gens normaux quand je le peux.
Ce qui est super contradictoire vu que je bosse pas mal de nuits quand je dois enchaîner les missions foireuses et risquées vu que les truands ne commettent que rarement des crimes, violents ou non, de jour.

Alors que je fais un rêve sympa où je rentre d'une soirée merdique avec un joli petit lot qui s'est occupée de mon cas jusqu'à finir avec moi au pieu, je sens une étrange pointe de douleur qui va et vient. Quelque chose semble appuyer sur ma peau alors que je suis en train de m'amuser à... Non, je suis en train de rêver là. Ou de me réveiller ? Je suis conscient ou endormi ? Merde, j'ai la tête qui tourne légèrement.

Mes yeux s'ouvrent lentement pendant que je laisse échapper un bâillement des plus explicites pour annoncer mon réveil. J'étire mes bras en l'air dans la foulée tout en descendant le regard pour constater que la fille de mon rêve est juste devant moi. Sa position ne pourrait être plus tendancieuse.

Ma trique se dresse alors d'un seul coup comme pour la saluer du satisfaisant travail accompli la veille sous la douche. Le regain d'énergie au levé, l'effet de la jeunesse. Je suis pas toubib après tout. Mes réflexions sur le sujet sont logiquement des plus abstraites.

- Je rêve où tu tentais d'abuser de moi dans mon sommeil ?

Je me redresse alors pour m'asseoir et me retrouver rapidement face à elle. Pas trop près non plus car l'haleine du matin ça touche tout le monde sans discrimination.

- La moindre des politesse c'est d'attendre que je sois réveillé pour en profiter.

Je me laisse alors glisser en avant en l’emmenant avec moi dans mon mouvement pour finir par nous retrouver tous deux face à face au pied du lit. Ma queue tendue, brûlante et tremblante d'énergie contre son petit ventre tout lisse.

- T'en as pas eu assez hier je parie. Désolé, ça m'arrive d'avoir des coups de mou quand je sors d'une nuit à l'hosto.

Il reste encore des viennoiseries emballées sur la table que je file ramasser et engloutir d'une traite en récupérant un peu de lait chocolaté froid dans le frigo pour que ça passe encore mieux. Le plein d'énergie effectué je peux enfin me mettre à réfléchir correctement pour démarrer la journée.
La nuit mouvementée qu'on vient de passer risque de me laisser des séquelles quelques heures au pire. Rien de bien méchant.

- Bon, on fait quoi du coup ? Tu veux laver tes fringues vite fait ? J'peux te filer un truc ou deux si t'es pressée. Okay, tu nageras un peu de dedans, mais ça peut le faire.

Dans mon placard on trouve un peu tout ce qu'on veut. Et parfois, surtout ce qu'on ne veut pas. Au moins tout y est propre. Là-dessus je déconne pas.
Fringues à moi, à des filles de passage qui pourraient venir les récupérer ou dépanner celles qui sont dans la situation d'Astrid. C'est pas tous les jours facile d'être un bon vivant. Au moins j'aide ma voisine comme je le peux dans les moments difficiles.
Pour les personnes les plus curieuses, on peut aussi trouver un sac avec des accessoires qui jonche à même le sol. Souvent entrouvert.

- Tu voulais rentrer hier, du coup j'vais te raccompagner. Pas jusque chez toi si tu veux garder ton adresse secrète. Mais pas loin quoi. Parce que faut faire gaffe, tu pourrais faire des rencontres douteuses rien qu'en sortant du boulot.

C'est vrai quoi, les rues sont pas toujours sûres en ville.
Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Astrid Grace le mardi 18 janvier 2022, 16:03:01
Voilà aussi l’une des raisons pour laquelle je ne dors pas avec mes plans culs. Je ne sais jamais comment me comporter au réveil. Alors apparemment, aujourd’hui, c’est la médecin qui a dominé mon comportement, donc je me suis mise à tâter de l’aine chez un mec endormi. La plaie est souple et belle, il n’y a pas l’air d’avoir de sang en dessous. Elle ne laissera surement qu’une fine cicatrice. J’ai vraiment cru que je l’avais tué. Triste cause de décès, je pense que je n’aurais pas été à l’enterrement. Mes légères pressions, bien que discrètes, réveillent doucement la marmotte devant moi et il me retrouve encore une fois en position compromettante, visage au dessus de son corps. Putain mais c’est quoi cette habitude. D’un mouvement brusque, je me recule. « Non mais je cherchais pas à abuser de toi! Je voulais juste être sure que t’étais vivant. » Oui parce qu’entre voir s’il était mort ou abuser de lui, le meilleur des choix était la mort. J’aurais mieux fais de me taire.

Souta continue les allusions douteuses en m’embarquant avec lui hors du lit. Coups de mou? Il est sérieux? J’hausse les sourcils, surprise. A quel moment une bonne baise sous la douche, c’est un coup de mou? Mon regard va de sa bite à son visage, un peu perdue entre les deux. Je ne suis pas quelqu’un de timide, mais mon visage innocent a toujours dissuadé les gens de se montrer crues comme si j’allais être choquée de la moindre allusion sexuelle. Lui semble tout le contraire. Certes, on a couché ensemble hier, mais il n’a pas la moindre gêne devant mon air pure et chaste. Il préfère encore jouer et me montrer son érection matinale. « Oui c’est vrai que c’était pas terrible. » Je souris en coin, sachant très bien que je joue aussi avec le feu.

« Tu as du café? » Je meurs d’envie d’un café, de liquide brulant qui coule dans mon oesophage et qui me réchauffe. Je continue de fouiller dans son appartement, cherchant mes affaires. La plupart de mes fringues se trouvent dans la salle de bain, mais je découvre que mon tee shirt a trempé dans l’eau toute la « nuit », il est immettable. Je n’ai pas de soutien gorge non plus et me trimballer à moitié nue en ville ne fait pas partie de mes projets exhibitionnistes du moment. « Je peux t’emprunter un tee shirt alors? » Quand il acquiesce, je vais voir dans son placard pour un tee shirt propre. Son étagère de tee shirt n’est évidemment pas à ma hauteur, je tends le bras en l’air et attrape un premier qui n’a pas l’air d’appartenir à Souta, a moins qu’il aime les petites roses fleuris. Une autre de ses conquêtes. Je n’ai pas vraiment dans l’idée de porter le haut d’une autre fille et le jette sur le lit. Mon bras repart en exploration sous une pile de tee shirt, je me rapproche de l’étagère, ne regardant pas vraiment ou je mets les pieds. Mon genou cogne contre le coin du placard « Aoutch » et je trébuche sur un sac en essayant de me rattraper. Mon cul atterrit sur le sol dans un bruit sourd et quelques articles du sac se renversent par terre. Putain, c’est vraiment ma journée de la chance. Une paire de menottes noire, des pinces à tétons, quelques godes et… Un canard en plastique. Ca, ça me fait rire. Ca me détends aussi. Ca ne peut arriver qu’à moi, tomber dans le placard d’un mec et vider son sac à sextoys par terre. Je scrute le reste du sac, d’autres articles du même genre, mais alors le canard en plastique. Je le saisis, hilare et lui montre. « Vraiment? Dis moi que c’est toi qui l’as acheté? J’ai toujours cru qu’il n’y avait que dans les mauvais pornos qu’on utilisait ça. » Je me relève en riant aux éclats, le canard dans une main. Quelques tee shirts propres sont tombés avec moi dans ma chute, je pose le canard sur le coté et ramasse mon bordel, gardant un tee shirt propre vers moi pour l’enfiler.

Moi qui voulais me barrer comme une voleuse la veille, je me retrouve presque à avoir envie de passer un peu plus de temps avec lui. Bon peut être pas juste pour discuter mais sa compagnie n’est pas désagréable. Il n’a jamais été une rencontre douteuse en sortant du travail, bien que j’étais sceptique à son sujet au début. Clairement, le canard a joué en sa faveur. Il propose même de me raccompagner, tel un gentleman. « Tu sais, ma voiture est garée devant. » Je me hisse sur mes pointes de pieds et glisse mes doigts sur ses abdominaux sculptés pour parler à son oreille. « Mais si tu veux juste passer plus de temps avec moi, il faut le dire. » Et sur ce, comme une enfant, j’embrasse sa joue avant de m’éloigner de lui.
Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Souta et Janus le mercredi 19 janvier 2022, 08:31:53
La présence d'un simple petit objet semble l'amuser pas mal. Faut dire que ce canard rappelle pas mal de souvenirs tous aussi loufoques les uns que les autres.

- Ah, t'as fait la connaissance de Raoul. Disons qu'il est entré dans nos vies.

Ouep, c'est clairement le bon terme vu que l'on n'est pas passé par la case magasin/caisse pour se le procurer. Son arrivée est associée aux mots-clés : mission, véranda, tourbilol, sandwich et conduite à 160 km/h sur sol trempé. Inutile donc de préciser qu'il a du vécu et qu'il fait désormais partie de la famille. Peut-être qu'un jour j'irai lui raconter les origines hautes en couleurs de cet objet.

- Peut-être qu'il est apparu dans l'un d'eux. Il a eu une vie avant moi.

Et si jamais c'est arrivé, cela ne m'étonnerait franchement pas un instant. Ce canard en plastique a une sorte d'aura qui semble l'attirer vers des situations inexplicables lorsqu'il est dehors. Du moins, la personne qui se balade avec vivra des expériences particulières et inédites. Merde, faut vraiment que je le teste sur Astrid une prochaine fois.

- Ah ouais, j'avais zappé.

Ce qui est normal après tout ce qui s'est passé la veille. A force de me taper les transports ces derniers jours j'ai cru qu'on était rentré en bus ou en métro de l'hôpital. Dans la foulée, un petit frisson me parcoure la colonne lorsque je sens ses petits doigts fins dessiner les contours des muscles de mon ventre pendant qu'elle suggère quelque chose d'intéressant.

J'attrape alors un de ses poignet d'une main pour l'empêcher d'aller plus loin et la ramène vers moi. Son corps si léger et menu se colle, non, se plaque contre le mien. Je peux sentir ses seins s'écraser sur ma peau à travers le t-shirt qu'elle porte comme seule tenue.

- Ouais, j'veux pas te laisser partir aussi vite. Vu que t'es en bagnole ce sera rapide pour rentrer. Ca me laisse le temps de te montrer comment je m'occupe de mes invités.

Ma main droite se glisse dans ses cheveux pour tirer un peu son crâne en arrière et me procurer un accès plus ouvert à ses lèvres que je viens embrasser de manière peu sensuelle. Ma langue part immédiatement à la recherche de la sienne. Un mélange de salive ne tardera pas à venir couler sur nos mentons respectifs durant les secondes que dureront cet échange.

Lorsque je libère enfin sa bouche, c'est ma main gauche qui part à l'assaut de la seconde qui se trouve plus bas. Deux doigts viennent frôler et caresser son clitoris le temps d'une seconde seulement pour aller ensuite se faufiler en elle. On est loin du doigtage brutal quand je lui ai vidé la chatte de mon sperme sous la douche.

- J't'ai vu loucher sur ma bite tout à l'heure.

Un troisième doigt vient rejoindre rapidement les deux autres pour vérifier son état d'excitation et m'assurer qu'il est aussi élevé que le mien au réveil. Généralement je peux démarrer sans trop de souci une fois que je suis bien réveillé. Et penser aux évènements qui ont eu lieu il y a seulement quelques heures aide beaucoup dans ce sens.
Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Astrid Grace le jeudi 20 janvier 2022, 17:24:34
Cette histoire de canard me fait rire. Un simple objet peut égayer une matinée. Je le repose sur l’étagère, riant aux explications de Souta. Je m’attendais une explication sale, quelque chose de pervers mais même pas. Il est plutôt évasif, je me doute qu’il en a beaucoup plus à raconter mais qu’il garde ses informations pour lui pour le moment. « Peut être que tu auras l’occasion de me raconter toutes les histoires de Raoul le canard en plastique un jour. » Les histoires sur les petits objets trouvés partout dans les appartements des autres sont toujours les meilleurs. Souvent des souvenirs cachés qui n’ont aucun sens, sauf si vous demandez l’explication.

Souta ne perds pas de temps à continuer de m’expliquer plus. Un baiser sur la joue, une caresse sur les abdos et il est de nouveau prêt à jouer. Je sens toute sa vigueur se coller contre moi. Dès le réveil, mon amant est prêt à dégainer. C’est bon à savoir. Surement l’effet de la jeunesse. « Et tous les autres jeux du coup? Tu as l’air d’avoir un sacré collection. C’est pour tes invités aussi? » Ma tirade est interrompue par un amas de salive. Il glisse sa main dans mes cheveux pour me forcer à lever la tête et m’embrasser. Le baiser n’est pas doux ni délicat, mais il a le don de me montrer toute l’excitation du jeune homme et de faire monter la mienne. Il a envie de plus, il veux recommencer comme hier. J’ai à peine le temps d’en profiter que ses mains partent m’explorer. « Aaah putain oui. » Je ferme les yeux, blottie contre lui. J’ai déjà deux doigts qui me massent de l’intérieur mais Souta a l’air d’estimer que ça n’est pas assez et un troisième vient le rejoindre. Debout, les jambes tremblantes, gémissant sous son menton, j’essaye de garder mon concentration pour ne pas venir sur ses doigts. Il sait y faire le gamin. Mes hanches bougent au même rythme que sa main.

Je les sens s’introduire et se retirer lentement. Il veux faire monter l’excitation et me regarder gémir. Pas comme hier soir ou c’était urgent et brutal. Non, là c’est presque sensuel, c’est fluide. « Je ne vois pas de quoi tu parles. » Lui dis je, souriant entre deux gémissements. Mes doigts quittent son ventre pour prendre en main sa queue qui nous sépare et commencent à le masturber très lentement. Ca ne glisse pas comme je veux. Je garde les yeux rivés sur Souta et porte ma main à ma bouche, récupérant de la salive de notre baiser baveux puis retourne lubrifier son manche devant moi. Ma bouche recherche la sienne une nouvelle fois, pendant que mon bras s’entoure autour de son cou, le reprochant un peu plus près de moi. En m’appuyant sur mon bras, j’arrive à me hisser près de lui. Mes jambes, bien qu’occuper par la présence de Souta, quittent le sol l’une après l’autre pour venir s’enrouler autour de son bassin, je ne lâche sa queue qu’une seconde pour me re-installer. La, du haut de mon perchoir, je suis plus près de ses lèvres. La position est plutôt… Instable, l’une de mes mains est coincée entre deux corps, l’autre s’accroche a son cou et Souta essaye de maintenir une main sous mes fesses et des doigts en moi. Nous allons avoir besoin d’un plan dur pour nous maintenir en position sinon c’est la chute assurée.
Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Souta et Janus le vendredi 21 janvier 2022, 07:51:42
L'échange de salive reprend le temps d'un instant alors qu'Astrid me saute quasiment dessus. Préférant ne prendre aucun risque inutile je nous conduis tous les deux en direction du canapé qui se trouve dans le salon en la maintenant comme je le peux dans cette position. Je me laisse alors glisser sur le sofa pour me retrouver avec elle assise sur moi. Au moins on sera à l'aise et on pourra prendre notre temps pour en profiter un maximum une dernière fois avant qu'elle ne s'en aille. Surtout qu'elle est clairement plus que partante pour remettre le couvert.

Inutile cependant de perdre la moindre seconde inutilement. Ma main toute entière vient stimuler la jeune étudiante en médecine. Un quatrième doigt vient se glisser en elle pour la caresser et écarter un peu plus sa fente humide et préparer le terrain pour ma bite en même temps que ma paume part à la recherche de son clitoris pour le titiller autant que possible.

Au bout de 2-3 minutes j'inverse nos position pour faire en sorte qu'elle se retrouve à ma place, le cul sur le sofa. Je lui fait ouvrir les jambes et les avancent légèrement pour ne as qu'elle aille foutre de la cyprine partout sur mon canapé alors que je me redresse en m'éloignant le temps d'une seconde en souriant.

- Bouge pas !

De ma main propre j'ouvre le premier tiroir d'un meuble pour en sortir une boite de capote grande taille et ultra fines. J'amène l'emballage à mes doigts pour l'arracher d'un coup sec et me l'enfile sans perdre de temps. Je pourrais tout aussi bien la baiser sans. Elle s'est laissée faire hier et semblait même avoir aimé ça. Par contre j'ai la flemme de faire le ménage ou d'appeler quelqu'un pour s'en occuper. Pas aujourd'hui.

Je l'observe alors de ma position surélevée en me léchant les lèvres, imaginant ce qui m'attend. L'envie de retourner en elle est si forte que je file poser mon cul sur le sofa à côté d'elle. Ma main se glisse dans ses cheveux et les saisit pour lui faire comprendre qu'il est temps de se bouger. Une nouvelle galoche baveuse d'abord. Sale, dénuée de contrôle et de sensualité. Puis un ordre vocal.

- Reste pas plantée là, monte sur ma bite.

C'est de la même façon qu'hier que je la pousse à venir d'elle-même se remplir la chatte avec ma queue. Vu l'aura de soumise qu'elle semble dégager je pourrais très probablement la prendre de force si je le souhaite. Et ça viendra. Plus tard... Quand j'aurais décidé de m'amuser davantage avec elle.

Un long et viril soupir s'échappe d'entre mes lèvres lorsqu'elle finit par s'exécuter. Merde, la salope est aussi étroite que la veille alors que j'y suis pourtant allé de bon cœur. Combien de fois je vais devoir la baiser pour lui ouvrir tout ça correctement ?

- Putain... T'es toujours aussi serrée ou c'est parce que t'es heureuse de m'avoir ?

Tout en plaisantant je donne un coup sec et compact de bassin en elle pour la faire sauter sur moi.
Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Astrid Grace le lundi 24 janvier 2022, 13:16:43
De son point de vue, je dois avoir l’air d’un sacré petit bout de chair excitée. Son regard dominant, la capote qu’il ouvre d’un main les yeux sur mon corps, sa main trempée qui vient de finir de me doigter, toute la situation m’arrache un gémissement alors qu’il ne me touche même pas. Je connais très bien mon coté pervers, j’ai découvert ma passion pour le sexe il y a un bout de temps maintenant, mais je reste toujours surprise par ma facilité de mouiller abondamment en toute circonstance un minimum excitante. Souta n’y va pas par 4 chemins, il enfile la capote et retourne s’assoir à coté de moi en m’ordonnant de m’empaler. Il a l’air d’avoir très bien comprit qui j’étais aussi, il a rapidement vu mon coté salope soumise à ses moindres désirs. Ses ordres ne vont pas dans l’oreille d’une sourde et me transcendent dans un autre univers de perversité.

Mes cuisses passent au dessus des siennes et ma chatte s’approche rapidement de sa queue tendue. Je mords ma lèvre inférieure en m’asseyant dessus. La veille, sa taille me paraissait énorme mais je ne voyais pas ce qui se passait. La, je peux voir et ressentir chaque centimètre de sa bite qui m’ouvre et me transperce. Pendant que mon cul se dandine pour me remplir moi même, mes mains attrapent sa nuque et l’approche un peu plus de moi, collant mon front au sien. Les parois de mon vagin s’écartent avec difficulté, j’ai encore l’impression qu’il est trop gros, que ça ne rentrera pas en entier. Le doigtage performant de tout à l’heure plus la baise de la veille ont quand même aidé à m’ouvrir puisque je finis par sentir mes cuisses touchées les siennes. « C’est de ta faute aussi. Putain… Quelle idée d’être aussi gros. » La cyprine commence à couler le long de sa bite, quelques gouttes éclaboussent quand il donne un coup de bassin qui m’arrache un long gémissement de plaisir. Je coulisse de haut en bas de plus en plus fort, de plus en plus vite. Mon plaisir monte en flèche, mes tempes commencent à se tremper de sueur, mouillant la base de mes cheveux au passage. Ma lèvre inférieur continue à être martyrisé par mes dents, mordant fort pour éviter de gémir trop fort. La vitesse finit par faire claquer mon cul sur ses cuisses, me forçant à jeter la tête en arrière et lâcher un soupir bruyant. Putain ses voisins ont du nous entendre plus d’une fois. Presque gênée, les joues rouges d’excitation, je porte ma main à ma bouche pour essayer de me taire.

Ca ne marche pas terrible et mes gémissements continuent de résonner dans l’appartement. « Tes… Tes voisins vont te haïr. » Entre deux respirations étranglés, je glisse ma main entre nos deux corps pour venir trouver mon bouton rose. Je commence à me branler, la devant lui, pendant que je le baise. « Ou t’envier. » Dans un sourire, je continue de monter et descendre sur sa queue monstrueuse, non loin de la jouissance que j’attends avec impatience. Mes seins ballottent sous son tee shirt, remuant au rythme des va et vient, les tétons dressés par l’excitation. « Souta… Encore. Plus fort. »
Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Souta et Janus le mardi 25 janvier 2022, 10:27:36
Quel kiff de la voir s'activer sur moi sans que je ne bouge quasiment pas le moindre orteil. Elle se dandine en gémissant comme une adorable salope sur ma queue qui se fait masser et écraser avec une intensité presque aussi grande que ce matin à notre arrivée. Ses gémissements répétés et sa respiration de plus en plus saccadée me donnent envie de prendre le relai pour l'esquinter encore plus alors que je n'en fais rien. Non, chaque chose en son temps. Les cochonnes dans son genre il faut les garder aussi longtemps qu'on peut car elles sont rares.

- T'en fais pas pour eux, ils ont entendu bien pire.

Dans un quartier aussi merdique on a tous déjà vu et entendu tout ce qui est possible et imaginable. Une nana qui gueule en prenant son pied ça attirera plus les pervers qui veulent se rincer l'oeil que les lourds qui viendront se plaindre de pas pouvoir entendre correctement leur série télé. Puis l'après-midi il y a pas grand monde chez soi.
C'est l'heure où ça bosse ou tente de se faire du blé par des moyens douteux et risqués dans les rues merdiques de la ville.

Au bout de plusieurs minutes à rebondir dans tous les sens sur ma trique tout en allant jusqu'à se caresser, voilà que la petite Astrid me demande de m'occuper de son cas.

- Tu donnes des ordres maintenant ?

Je la regarde amusé. Mon regard plongé dans le sien qui pue l'envie et l'excitation. Mes mains viennent se plonger sous le t-shirt qu'elle porte pour se saisir de ses tétons alors que je me mets à lui offrir un grand sourire. Je les pince en les tenant prisonnier de mes doigts pendant que j'entame une succession de coups de reins pour m'enfoncer profondément en elle.
Mes hanches se soulèvent pour la faire vraiment rebondir sur moi. A la laisser faire tout ce temps je n'ai pas dépensé beaucoup d'énergie. Mes attaques se veulent sèchent, compactes et brutales pour lui faire atteindre son orgasme tant désiré.

Comme précédemment je ne cherche pas à me retenir pour faire durer le plaisir alors que je pourrais. Le but est de s'amuser et non de faire durer le plaisir de manière indéfinie pour cette première rencontre qui devrait en annoncer bien d'autres à l'avenir.

- C'est assez... fort... pour toi ? Salope !

Je continue d'enchaîner mes mouvements comme je le peux sans ménager ses tétons sensibles. De toute manière je ne compte pas m'arrêter avant de l'entendre crier sa jouissance et de remplir cette capote.
Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Astrid Grace le vendredi 28 janvier 2022, 07:51:34
Une chaleur obsédante monte en moi sans que je puisse la retenir. Ma deuxième main glisse dans ses cheveux, agrippant une bonne poignée, plus par désespoir que par dominance pendant qu’il s’amuse à pincer mes tétons. Sa remarque me fait sourire. Il n’a pas vraiment tort, ça n’est pas vraiment moi qui es le contrôle de la situation. « Tu préfères que je dises s’il te plait? » Je suis en train de perdre la tête, ma chatte mouillant chaque centimètre de sa bite en moi. Il ne cherche pas de me baiser délicatement, il va directement au but, enchainant les coups de rein profonds avec son bassin. Sa queue tape dans le fond de ma chatte, m’arrachant à un soupir à chaque mouvement. Ma première main continue d’essayer de caresser mon clitoris gonflé, mais les mouvements de Souta m’empêchent de le faire correctement, je finis par abandonner l’idée de me caresser pour profiter de ses coups de butoirs . Mes hanchent suivent le rythme sec de Souta, me faisant sautiller au dessus de lui.

Mes tétons excités ne supportent plus le tee shirt qui les maintient légèrement. D’une main rapide, je viens soulever celui ci, le coinçant sous mon menton pour lui laisser libre accès à ma poitrine. Ils sont rouges et tendus à cause des manipulations du jeune homme, ils ne demandent qu’à être utilisé. « Mords les. » Dans un sourire, j’attaque ses lèvres devant moi. « S’il te plait. » Mes lèvres collés aux siennes dans un murmure excité, je ne peux m’empêcher de le narguer. La situation reste drôle. Quelques heures plus tard, c’était moi qui lui ordonnais de ne pas bouger et de rester en place et là, je me sens soumise à tous ses assauts. Je libère ses lèvres pendant que mes deux mains viennent presser mes seins ensemble, formant un étau accueillant. Ils ne sont pas énormes, pas dignes d’une actrice porno, mais ils restent raisonnables. Juste assez pour remplir une main chacun. Souta serait capable de me dire non juste pour m’emmerder donc je continue de les pétrir pour lui donner envie de répondre à mes demandes.

La position commence à me fatiguer. Après une matinée de folie et une courte nuit, je n’ai plus la même endurance, même si Souta a prit le relai, je sens que la force de mes muscles est limité. Je l’entraine sur le canapé pour s’allonger. Lui au dessus, moi sur le dos. Si Souta le voulait pas tout salir, je ne l’ai pas du tout écoutée. Mes jambes entourent son bassin comme pour l’enfoncer un peu plus en moi. Mon bas ventre se réchauffe, annonçant une jouissance proche. J’enfouis mon visage dans le cou de mon amant du matin et essaye de ne pas encore jouir pour profiter un peu plus longtemps du moment. « Souta, je vais venir… Encore plus fort. » Ma bouche s’ouvrit et ma respiration devient saccadée, je cherche un peu plus l’air, sentant sa queue taper contre les parois de ma chatte.
Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Souta et Janus le dimanche 30 janvier 2022, 09:22:27
Cette nouvelle baise intense est sur le point d'arriver à son terme. Après m'avoir demandé de jouer avec sa jolie paire de seins, nous voilà allongé l'un sur l'autre sur le sofa. Ou plutôt moi sur elle pour venir la pilonner brutalement en la regardant quelques secondes avant qu'elle ne cache son visage dans mon cou.
Sa chatte me comprime de plus en plus depuis plusieurs secondes déjà. Ces heures de sommeil ne m'ont pas rechargé complètement niveau énergie. Il me faudra bien deux ou trois jours pour récupérer complètement de l'opération et de l'effet des médocs pour les virer de mon système. En tout cas ça ne me dérange d'y aller comme une brute en serrant les dents pour la baiser sans aucune pitié vu qu'elle ne demande que ça.

Mon rythme se ralenti légèrement le temps qu'une main vienne se saisir de son menton pour faire relever son visage et me permettre de la regarder droit dans les yeux. Je garde sa tête remontée avec une prise ferme. Ma paume est calée sous son menton pendant que mes doigts sont collées sur ses joues brûlantes.

- Regarde-moi pendant que je te baise !

Ma respiration est lourde et les mots quittent mes lèvres avec difficulté. Les hanches qui donnent toute leur puissance à mes pénétrations s'activent de nouveau comme une turbine. J'enchaîne, encore et encore. Mon gland cogne au fond de sa petite chatte. Ma grosse et épaisse bite force sur ses parois pour les repousser afin d'entrer encore plus vite en elle. C'est un double effort crevant qui me vide de mon énergie.

Au bout de quelques minutes je finis par lui arracher son orgasme tout en provoquant le mien. Mes lèvres se bloquent l'une dans l'autre quand mon sperme commence à gicler pour remplir la capote.

- Uuuurrrrrrrrggggggh ! Puuuuu... tain !

D'un geste réflexe je forme un cercle avec le pouce et l'index de ma main libre pour saisir la base de la capote qui se remplit à une vitesse folle. Ma bite est la première à quitter la fente d'Astrid en repoussant ses jambes qui me bloquaient fermement jusqu'ici. Je tire alors la capote quasiment pleine dans la foulée pour en foutre le moins possible sur le canapé.

J'ai chaud partout, mon corps est couvert de transpiration et je suis crevé. Cette nana ne connait pas le concept de la baise tranquille et relax ? On va devoir repasser par la case douche avant qu'elle se sauve.

Une main vient se saisir d'une de ses chevilles pour remonter et repousser sa jambe afin de pouvoir me poser sur le sofa et souffler un peu. Tout en reprenant ma respiration je remarque une grosse tâche de mouille sur le canapé. Je soupire de lassitude en me disant que je vais devoir faire venir quelqu'un pour nettoyer tout ça alors que j'avais pourtant fait attention. Sérieux quoi...

- T'es chiante, Astrid. T'as flingué mon sofa.

J'attends quelques instants pour qu'elle réagisse et me saisis de sa crinière sans trop forcer pour la faire s'avancer et se pencher en avant pour la faire se retrouver nez à nez avec ma queue tendue et suintante de sperme.

- Pour la peine tu vas venir me sucer, salope !

Dans cette position je pourrais très bien la forcer à se mettre à l’œuvre. Alors que non. La voir s'y mettre de sa propre initiative serait bien plus valorisant et excitant pour moi.
Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Astrid Grace le mercredi 02 février 2022, 20:25:25
Nos corps n’arrivent pas à suivre un rythme régulier. L’un comme l’autre, nous avons envie de jouer, de continuer à s’exciter et à se chamailler mais la fatigue accumulée se fait ressentir. Souta s’exécute quand je lui demande d’y aller plus fort, il tape loin, brutalement mais l’intensité de ses coups de reins ralentit, son bassin planté dans le mien. Le souffle court, la tête dans les étoiles, l’orgasme me surprends presque, venant vite et efficacement. Les mouvements de Souta ont fait leur effet, les muscles de ma chatte se contractent autour de lui, comme pour chercher à le garder au plus profond de moi. De la mouille glisse le long de sa bite, le trempant lui et ses alentours, je ne me retiens pas et laisse la jouissance m’emporter. « Aaaaaaah… » Et elle entraine celle de mon amant qui inonde la capote de son foutre épais. Je le sens qui me remplit de sa chaleur, pesant dans mes chairs. Putain que c’était bon. Souta m’a épuisé. Lui aussi a l’air claqué, puis s’exaspère quand il découvre la trace sur le canapé. Pour voir l’étendue des dégâts, je me relève doucement sur mes coudes et regarde sous mes jambes. Effectivement, j’en ai mis partout, une belle tache de mouille gît sur le tissu de son canapé. « Merde. Désolée. » Dans un sens, il mérite un peu que je me foute de sa gueule. Il a pensé à tout son sperme qui coulerait partout mais pas à ma lubrification qui éclabousserait quand il me prendrait comme une brute. « Toi qui avais fais si attention a ne pas en mettre partout en plus. » Il comprends très bien mon intention et essaye de me discipliner en me présentant sa bite à sucer.

Sa bite devant le nez, je prends le temps de descendre du canapé et de m’agenouiller devant lui pour éviter de salir un peu plus son canapé. Je commence par lécher lentement la base de sa queue en le regardant. Terminée la baise brutale, c’est le moment ou tout le monde est crevé et veux prendre son temps. Ma langue récolte les traces de mouille et de sperme, prenant de le temps de faire le tour, pendant que l’une de mes mains s’amuse à tripoter ses testicules. Petit à petit, elle recommence le long de son pieu toujours très doucement, avant d’englober le gland pour le suçoter. J’entame des petits mouvements d’aller et vient sur lui, attentive à ses réactions. Souta a l’air d’apprécié le traitement, il bouge légèrement les hanches sous moi et essaye d’approfondir le mouvement. Je récupère aussi de mon orgasme survenu quelques minutes plus tôt et ma respiration commence tout juste à reprendre un rythme normal. J’avance lentement les lèvres sur lui et avale une partie de sa queue. A mi-chemin, je prends le temps d’aspirer fermement son bout de chair, extirpant ma bouche dans un bruit obscène pour mieux retourner le lécher. Ma main continue de caresser la peau délicate de ses couilles maintenant recouverte d’un peu de salive. Pourra-il me pardonner mes dégâts grâce à une fellation bien exécutée?
Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Souta et Janus le jeudi 03 février 2022, 12:34:16
- Hum ?

Un effet de surprise apparaît sur mon visage alors que je l'exprime oralement dans la foulée. En voilà une bonne initiative de se mettre à genoux pour que je puisse l'admirer à l'oeuvre visuellement tout en savourant ce qui va suivre. Lorsqu'une femme décide de prendre une position particulière c'est souvent car elle tient à faire les choses correctement. Ou alors c'est une habitude chez elle avec son côté soumise.

Je libère un soupir de détente lorsqu'elle s'attaque tranquillement à ma tige tout en la regardant droit dans les yeux. A l'expression de son visage, j'ai la sensation que l'on va en profiter tous les deux. Chaque geste est doux et clairement maîtrisé. Ce qui est loin d'une surprise après la pipe un peu accélérée das le hall d'entrée à notre arrivée. Ce genre de prouesse n'est pas accessible à la première venue.

Entre ces mains et cette bouche experte je ne peux que me détendre en m'enfonçant dans le canapé. Inutile de la guider avec mes mains cette fois. Un énième soupire m'est arraché quand elle décide d'engloutir la moitié de ma trique pour se remplir le gosier.

- Putain, ce que c'est bon. Continue...

On a... J'ai tout mon temps et c'est clairement une façon parfaite de l'occuper. Le mélange entre baise sauvage et fellation sensuelle me fait prendre un pied d'enfer. Va vraiment falloir que je choppe son numéro quand on aura terminé car il est hors de question qu'on ne se revoit pas rapidement. Une nana comme elle ça se croise pas à tous les coins de rue.

- J'adore voir ta petite bouche se déformer en avalant mon gland.

Les gémissements continuent de s'échapper de mes lèvres alors que je me contente de la regarder faire sans bouger le petit doigt. Hier elle a eu droit à une baise de sa gorge à presque s'en étouffer. Cette fois elle est libre d'y aller à son rythme.

- Au fait, j'suis curieux... Tu préfères garder le contrôle ou te faire remplir la gorge de force comme ce matin ?

Vu la situation, autant en profiter pour apprendre à mieux se connaître en commençant par les sujets les plus importants, non ?
Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Astrid Grace le dimanche 06 février 2022, 21:46:15
Si salir son canapé était énervant il y a 5 secondes, le sujet n’est plus du tout sur le tapis maintenant. J’avais réussi à lui faire oublier mes salissures. Les réactions de Souta sont plaisantes, il gémit délicieusement et s’enfonce dans le canapé. C’est l’une de mes parties préférées. Certes, j’aime être dominée, être soumise à un mec, le sentir grand fort et viril au dessus de moi, mais ça, ce moment où je l’ai au bout de mes lèvres, ce moment où je sais que pour rien au monde il ne bougerait un cil, ce moment où je sais que j’ai le contrôle, juste quelques secondes, juste le temps de le sentir pulser dans ma bouche et le voir oublier qu’il y a un monde extérieur, ça c’est le moment que j’aime.

Malgré la baise intense il y a peu, sa queue reste tendue, pas dure comme de la pierre à cause de nos nombreuses péripéties du jour, mais plus qu’honorable vu les circonstances. Sans le quitter des yeux, je continue à lécher la peau fine de sa bite, m’attardant sur le gland quand j’arrive en haut. Mes mouvements sont lents et maitrisés, je ne veux pas qu’il vienne, je veux juste qu’il prenne du plaisir à sentir sa queue explorer de partout. Comme elle n’est pas bandée à son maximum, j’essaye de prendre ce que je peux en bouche, forçant un peu pour arriver à quelques centimètres de son pubis. Sa bite me coupe la respiration, je sens son gland vibré dans le fond de ma gorge, l’une de mes mains enfonce mes ongles dans sa cuisse pour rester quelques secondes en plus puis je relâche, les lèvres pleine de salive et le souffle court.

Lâchant son pieu, je souris à sa phrase. Son interrogatoire est tout de même particulier. Ils ne se connaissent que depuis hier soir et les seuls sujets abordés ont été comment ils pourraient baiser et à quel point je suis une salope. « La maintenant, je garde le contrôle. Tu prends beaucoup trop de plaisir pour que je m’arrête là non? » Joueuse, ma main prends le relai de ma bouche pendant que je lui parle. Mon poignet se mets à bouger au même rythme que précédemment, lentement et sur toute sa longueur. Ma propre salive aide à le lubrifier pour que le mouvement soit fluide. Pendant ce temps là, mes lèvres remontent sur son torse, embrassant ses abdos et ses pectoraux au passage, venant donner un coup de langue sur son teton dressé pour finir dans son cou, tout près de son oreille. Mes dents et ma langue viennent titiller son lobe tout en continuant de le branler dans ma main. « Mais la plupart du temps, je préfère quand on ne me demande pas mon avis. » Au moins, ça a le mérite d’être clair. Mais sur ces bonnes paroles, je n’en ai pas encore fini avec lui. Mon corps redescends pour revenir me caler entre ses jambes. J’ouvre grand bouche et sors la langue, toujours mes yeux rivés dans les siens. Ma main vient attraper la base de sa queue pour venir la tapoter sur ma langue, lui montrant bien l’image qu’il aime tant de ma petite bouche sur sa grosse queue. « Et maintenant, tu me pardonnes le canapé? »
Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Souta et Janus le jeudi 10 février 2022, 09:26:59
Ses réponses me permettent de mieux la cerner. En attendant de pouvoir les vérifier de moi-même le moment venu je vais me contenter de savourer ce bon moment. Rien ne semble lui poser problème. C'est rare que je sois aussi passif et pourtant ça me plaît bien dans ce cas de figure quand la nana prend tout en charge et sait ce qu'elle fait. La petite Doc en devenir ne maîtrise pas que le stéthoscope visiblement.
Après sa petite escalade, la voilà de nouveau à sa place, entre mes jambes avec la queue collée à sa gueule.

- Hum.... Pas encore, mais c'est en bonne voie.

Elle a beau être une suceuse expérimentée et sexy, je ne vais pas lui donner ce qu'elle veut alors qu'elle n'est clairement à la moitié de mon traitement. Lui suggérer une récompense en parvenant à atteindre son objectif serait plus réaliste par contre. Pour moi, bien entendu.

- Je suis prêt à passer l'éponge si tu me vides les couilles.

Histoire de montrer que je ne ferais rien pour l'aider à y parvenir, je lève les deux bras et les tend pour les faire se poser sur le dossier du canapé où repose déjà ma nuque pour admirer le spectacle.

- Sois pas timide sur la salive non plus. Foutu pour foutu, autant en profiter, non ?

Ma phrase se coupe un bref instant pour que ma bouche lâche un soupir de plaisir. Je me racle alors la gorge pour reprendre en la regardant droit dans les yeux.

- T'as déjà eu droit à une douche blanche ? Car c'est ce qui t'attend. J'vais t'en foutre partout dessus.

Elle comprendra alors sûrement ce que c'est que de se faire tâcher. A la seule différence qu'elle a été prévenue et qu'elle l'a cherchée.
Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Astrid Grace le dimanche 13 février 2022, 19:49:54
A ses mots, je comprends que son objectif est de me remplir la bouche encore une fois et potentiellement d’en mettre partout si possible. J’ai taché son canapé, il me repeint le visage, on peut appeler ça un esprit vengeur pervers. Sa remarque me fait sourire. Il a beau parlé et me dire des mots crus, je sens son excitation dans sa voix. Il parle pour alimenter le moment mais au final, il est tout de même à ma merci. Il semble apprécié le fait de ne rien faire et de regarder ma petite tête brune bouger sur son entrejambe. Souta arrive même à croiser les bras derrière sa nuque, me montrant qu’il n’a pas l’intention de bouger le petit doigt. Mes lèvres recommencent à prendre en bouche son gland, faisant le tour avec ma langue tout en le regardant, mes mains reviennent sur ses cuisses pour mieux le caresser et prendre appui.

Comme il l’a si bien demandé, je laisse de la salive couler sur sa queue, celle ci laisse une trainée sur son frein pour venir lubrifier ses testicules. Je le sens reprendre vigueur dans ma bouche, mon mouvement de lèvres l’ayant réveillé. D’une main, je saisis la base de sa bite et le branle doucement, gardant son gland entre mes lèvres. Ma main et ma bouche se mettent à bouger synchroniquement, montant et descendant sur son membre. S’il y a quelques minutes, le mouvement était lent et contrôlé, il devient plus appuyé et plus intense, le but étant de le faire venir rapidement. J’ai envie, tout autant que lui, de sentir sa douche blanche remplir ma bouche.

Un petit air frais passe sous le tissu qui me recouvre et vient caresser mon cul nu, me faisant frissonner. Mon corps est chaud, excitée par sa queue gonflée, mais cette brise me rappelle à la réalité que je suis en train de sucer un patient que j’ai suturé la veille. Je ferme les yeux, essayant d’oublier ma propre perversion et continue l’agréable progression de mes lèvres. Il est proche de l’orgasme, je le sens tressaillir dans ma bouche, j’accélère encore, ne prenant même plus la peine d’avaler la salive. Mon deuxième main vient saisir ses lourdes couilles et les fait rouler dans ma paume tout en continuant de le gober jusqu’au fond de ma gorge. Sa longueur est redevenu impressionnant, je ne peux plus le prendre en entier. Son gland touche ma glotte quand je suis au 3/4 de sa bite et je m’en sors déjà plutôt pas mal. Mes yeux se rouvrent pour le regarder et cherchent à voir quand est ce qu’il se perdra dans les abimes de la jouissance.
Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Souta et Janus le lundi 14 février 2022, 08:12:13
Un autre jour j'aurais fait durer davantage la chose. Seulement on n'a pas toute la journée devant nous et on s'est déjà plus que largement amusé à faire connaissance l'un avec l'autre de manière plutôt sale. Qu'est-ce que j'ai hâte de voir ce qu'elle me réservera à l'avenir quand je la pousserai à faire encore pire que ça. Parce que cette pipe qu'elle m'offre en ce moment est sacrément gentillette. Même si elle m'a annoncée vouloir garder le contrôle dessus, il n'en reste pas moins vrai qu'elle a obéit à chacune de mes demandes sans sourciller.
La cochonne ferme même les yeux pour se mettre à baver sur ma queue avant d'accélérer le mouvement en me pétrit les couilles comme une experte en boulangerie. Je décide de me laisser faire encore quelques secondes. Ce n'est qu'au moment où elle ouvre les yeux que je m'amuse à changer les rôles pour la dernière ligne droite.

Une main vient se poser fermement à l'arrière de son crâne pour l'empêcher de reculer alors que je me redresse sur le canapé. J'appuie sur son crâne pour bouffer ma queue comme je l'avais fait plus tôt dans le hall d'entrée de l'immeuble jusqu'à sentir sa salive se faire expulser de force d'entre ses lèvres.
Mon autre main vient se poser sur la sienne pour l'enlever afin de me permettre de me branler moi-même frénétiquement.

- Masse mes couilles avec tes deux mains !

Plus besoin pour elle de venir s'étouffer sur la grande majorité de ma trique. Je laisse donc sa tête reculer de quelques centimètres pour qu'elle puisse quand même se régaler avec un bon tiers de cette bite dont elle semble apprécier le goût. Se branler comme un forcené d'une tout en essayant d'imposer un rythme sur la tête de sa partenaire avec l'autre n'est pas facile du tout. Ma concentration est du coup consacrée à la branlette destinée à me faire éjaculer aussi vite que possible.

- Urgh... Putain, ça vient...

Jusque là j'ai surtout rempli sa chatte étroite avec et sans capote. La pipe rapide et écourtée d'il y a quelques heures ne compte clairement pas. Mon corps se crispe petit à petit alors que l'orgasme arrive sous les caresses multiples qui lui sont procurées depuis quelques instants déjà. Ma respiration devient lourde à son tour et chaque fois que j'expire de l'oxygène, c'est dans un bruit rauque.

Puis l'explosion survient enfin. J'aurais pu la prévenir, mais où serait le fun là-dedans ? La main qui me branlait jusque-là s'arrête pour que je puisse empêcher son crâne d'aller nulle part pendant que je lui rempli littéralement la bouche.

- Haaaaaa, ouais ! Essaie de m'avaler tout ça.

Chose parfaitement impossible vu que je peux admirer ses joues se gonfler sous la quantité dégueulasse de sperme dense et gélatineux qui lui inonde sa douce et délicate gueule d'ange. J'attends de voir qu'elle n'en peux plus pour me retirer et continuer de lui asperger le faciès. Ma bite s'est transformée en pommeau de douche.
Une main ferme à la base de ma queue pour mieux viser, je souris en oyant les traits de son visage disparaître sous la masse gluante et collante qui jaillit de mon gland pour s'étaler sur elle.

La chose dure encore quelques secondes. Les spasmes et l'excitation qui guidaient mon corps jusque là se calment et je reprends tranquillement une respiration stable tout en soufflant et retrouvant mes esprits. J'ai vraiment tout lâche là. Mon œuvre sous les yeux, je glisse de nouveau mon gland entre ses lèvres. J'ai beau savoir où elles sont, il me faut 2-3 secondes pour les trouver sous tout ce sperme.

- J'suis un mec de parole. T'es pardonnée pour le canapé.

Il y a du sperme partout autour de nous après cette arrosage en règle de l'appartement. Sur la table basse, sur le tapis, sur la télé qui est derrière Astrid, sur les meubles à gauche et à droite de nous. Quitte à appeler un service de nettoyage, autant en avoir pour mon argent.
Elle ne doit pas voir mon sourire alors que je lui annonce la suite.

- T'es bonne pour une dernière douche. Et juste la douche, hein ?

Je rigole un peu à ma suggestion pour ajouter sur un ton amusé avec une voix un peu plus basse.

- Par contre tu vas devoir nettoyer ma queue comme la bonne chienne que t'es pour l'avoir dégueulassée.

Un parfait salaud l'aurait même poussée à lécher les trainées qui se trouvent dans le salon. Heureusement que je ne suis pas comme ça.
Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Astrid Grace le mercredi 16 février 2022, 16:18:10
Depuis plusieurs minutes, je sens sa queue pulsée entre mes lèvres. Après une reprise de contrôle de Souta qui m’ordonne crûment de lui masser les couilles, je le tiens au bout de mes lèvres. Ma bouche n’avance plus sur sa bite pendant qu’il se branle. Mes deux mains sont sur ses testicules et les malaxent délicatement. Son geste à lui devient frénétique, presque agonisant. Il veux jouir à tout prix et me remplir de son foutre épais. Je me retrouve très vite inondée sous le foutre, ma glotte ne prenant pas assez vite le relai pour tout déglutir. J’ai pris une première giclée il y a quelques heures mais rien à voir avec celle-ci. Même la jouissance sous la douche, après une baise pourtant mouvementée, ne la dépasse pas. Il y en a partout, le liquide visqueux déborde de mes lèvres et coulent le long de mon visage. Souta se retire et continue d’éjaculer en aspergeant mon visage. Mes yeux se ferment pour éviter d’en prendre sur mes pupilles et quand je les réouvre quelques secondes plus tard, il y a du sperme collé à mes cils. Mon visage n’est plus qu’un masque de foutre, ça dégouline de mon menton sur son tee shirt, mes cheveux sont collants, je dois avoir l’air d’un sacré bordel, d’une putain de salope. Ses gémissements rauques se calment et sa respiration reprends un rythme normal. Il semble vidé. Dans tous les sens du terme.

Le sourire aux lèvres, Souta cherche mes lèvres pour m’inciter à nettoyer sa queue. J’ouvre légèrement la bouche pour lui indiquer le passage. Il me « pardonne » pour le canapé. Je lève les yeux vers lui, souriant presque sur sa bite à sa remarque. Pardonnée? Il vient de foutre un bordel monstre dans son propre appart, mettant presque du sperme sur les murs et c’est moi qu’il pardonne? Ecartant sa bite de mes lèvres, je ris sous son sperme. « Tu me pardonnes toi? J’ai fais une petite tache sur ton canapé alors que tu viens de repeindre tout l’appartement. » Un de mes doigts passe sur mes lèvres, collectant le sperme qui les macule puis le passe dans ma bouche pour le sucer avidement. « C’est plutôt toi qui vas devoir t’excuser auprès de ta femme de ménage. »

L’arroseur me propose alors une douche. La deuxième de la journée. Toujours à cause du même problème: pour laver tous nos péchés. Je lèche doucement sa tige, avalant au passage le foutre trouvé. Juste une douche, ça serait bien. Aucun de nous deux ne serait capable de plus de toute façon, je ne sais pas trop comment je vais tenir sur mes jambes et je ne pense pas qu’il puisse re-bander avant un petit bout de temps. Comme il me l’a si gentiment demandé, je le nettoie, même si je pense que ça n’est pas vraiment que de ma faute. Toujours à genoux, je prends en bouche sa bite détendue, lapant les derniers résidus de baise sur lui puis je me retire en m’asseyant sur mes talons. J’ai l’impression d’être effectivement une bonne petite chienne comme il l’a si bien dit. Attentive à ses ordres, réactives à ses paroles, ça n’est pas que ça ne me plait pas, au contraire. Mais je ne suis pas sa petite chose à lui, pas encore du moins. Je prends appui sur son genou pour me relever et passe le tee shirt détrempé au dessus de mes épaules pour le laisser tomber à coté de moi et me retrouver à poil devant lui. « Une dernière douche sans contretemps alors. » Et me faufile à la salle de bain en roulant du cul devant ses yeux.

J’allume l’eau pour qu’elle chauffe quelques secondes avant de me glisser dessous. Un soupir de bonheur m’échappe quand l’eau brulante s’écoule sur mon visage. Je sens tout le liquide souillé quitter mon corps. Ma vision n’est plus brouillée, mes traits réapparaissent et mon visage retrouve son grain habituel. Il parait que c’est bon pour la peau, je l’espère car j’aurais presque pu en faire un masque aujourd’hui. Une de mes mains attrape le gel douche et en mets un peu dans le creux de ma paume avant de le faire mousser. Ca sent le mec, évidement. Un truc musqué et viril. Je vais avoir l’impression d’avoir son odeur sur moi tout le trajet du retour. A travers la vitre de la salle de bain, je le vois dans l’encadrement de la porte. « Je peux t’aider à te laver en tout innocence si tu veux. » Le sourire aux lèvres, j’attrape la deuxième bouteille de la douche, du shampoing. C’est une salle de bain de mec, on ne peut pas se tromper, il n’y a pas 40 produits. 2, c’est amplement suffisant. Je suis même un peu surprise que le gel douche ne soit pas 4 en 1, gel douche, shampoing, dentifrice et lessive, mais c’est un autre débat. Mes mains passent dans mes cheveux trempées et essayent de laver tout le foutre que Souta a laissé. Il m’a inondé le salaud. « C’était… Impressionnant. Tu jouis toujours autant? Tu devrais penser à tourner des pornos, les réalisateurs t’adoreraient. » S’il me dit qu’il en a déjà fait, je ne serais même pas choquée. Et j’irais surement faire un tour sur Internet pour voir ce que ça donne un jour.
Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Souta et Janus le mercredi 16 février 2022, 17:31:08
Bon sang, j'ai eu quasiment droit à la totale lors de cette pipe. Ce qui m'excite le plus c'est que la quantité que je viens de lui cracher au visage ne semble pas l'avoir choquée, dégoûtée... ni même dérangée. Les nanas qui ne s'offusquent pas après un truc pareil sont tellement rares. En tout cas j'ai passé un super moment avec elle et chaque minute qui passe nous rapproche de son départ.

La vision de son petit cul qui se balance en direction de sa salle de bain risque de me rester gravé à l'esprit le temps nécessaire pour me faire patienter jusqu'à notre nouvelle rencontre. Parce que nouvelle rencontre il y aura forcément. De mon canapé je peux voir, ou imaginer à cause de la buée, ce qu'il se passe au bout de mon appartement pendant qu'elle se lave. Son travail de nettoyage est quasiment parfait, sauf que la salive ça finit par coller quand on la laisse sécher. Donc direction la douche vu qu'elle va jusqu'à me proposer de m'aider une énième fois.
Urgh, dommage qu'il faille s'arrêter là pour cette fois. Ca vaut mieux pour nous deux en même temps. Alors que l'envie de m'amuser encore un peu me rester coincée à l'esprit.

J'ouvre la porte de la douche lorsqu'elle suggère l'idée de me voir dans un film porno. Ce qui est assez cocasse car le coup du mec qui rentre dans sa douche avec la bite dressée comme un piquet dont le gland pointe vers le plafond pour un petit échange innocent qui dérive sur autre chose ferait presque cliché.

- Toujours autant ? Ça dépend... de la situation.

Il faut prendre en compte pas mal de paramètres pour offrir une réponse parfaite à cette question. Allant de la durée d'abstinence avant l'éjaculation, le physique de ma partenaire, son degré de perversité, sa façon de faire, etc... Du coup je préfère rester évasif pour le moment. L'étudiante en médecine aura de toute manière l'occasion d'effectuer sa propre étude sur le sujet.

- Ah ouais ? C'est une proposition ? J'ai déjà fait des vidéos privées, mais pas plus.

Je marque une très brève pose pour lui prendre la bouteille de gel douche des mains de façon délicate pour en verser directement sur mon torse. C'est elle qui m'a proposé son aide, alors j'en profite.

- Les producteurs c'est pas trop mon truc. Par contre, toi... ça t'a plu ?

Le temps s'écoule rapidement alors qu'on joue l'un avec l'autre de façon légère sous la douche. Mes mains semblent avoir du mal à vouloir se détacher de sa paire de seins plus grosse qu'on pourrait l'imaginer à travers ses fringues. Ou son petit cul qu'elle s'est amusée à remuer devant moi.

D'ailleurs, une fois qu'on sort enfin de la douche, j'attrape mon portable que j'avais laissé pas loin pour prendre une photo de ce dernière parfaitement formé et rebondi pour m'en servir de photo de contact. Dans la foulée je lui demande alors son numéro car je compte bien la revoir dans quelques jours.

Laisser une semaine passer rendra nos retrouvailles plus excitantes. Notre imagination aura le temps de prévoir un tas de choses chacun de notre côté également.

Après avoir récupéré d'autres fringues à moi pour se couvrir le temps de rentrer alors que le reste de ses habits sont dans un sac plastique, je la reconduis jusqu'à sa caisse pour m'assurer que personne ne cherche à lui mettre la main dessus en chemin. Parce que les salauds du coin je commence à les connaître.
Titre: Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)
Posté par: Astrid Grace le samedi 26 février 2022, 16:43:51
L’eau chaude réchauffe l’atmosphère glaciale de l’appartement de Souta. Celui ci finit par me rejoindre, répondant à mes questions avec ironie. Je ris à sa suggestion, frottant mes cheveux humides avec son shampoing. Il faut être sacrément pervers pour proposer de tourner un porno avec quelqu’un la première fois qu’on la rencontre. Mais en même temps, il faut être sacrement pervers pour faire ce qu’on a fait aujourd’hui. Je dois vraiment me pencher sur la question. D’un air réfléchie, je glisse mon visage sous l’eau, en profitant pour rincer mes cheveux. « Pour tourner un porno? Non. Trop de monde. Mais… Je ne suis pas contre les videos privées. » Pendant qu’il louche sur ma poitrine, je passe mes mains mousseuses sur son torse, appréciant les reliefs de ses muscles. Son corps est un appel à la luxure. Cette douche ne doit pas durer trop longtemps ou aucun de nous deux ne va résister à la tentation corporel de l’autre. Nos appétits sexuels semblent être complètement compatibles. Le jeune vigoureux et la petite perverse. Le mélange se fait bien. « Oui ça m’a plu. Surement un peu trop pour être normale. »

En sortant de la douche, la deuxième fois de la journée, j’entends un bruit de flash dans mon dos. Je me retourne pour trouver Souta, le sourire aux lèvres, fier de sa connerie en me montrant la photo de profil qu’il m’a attribué. Ca me fait doucement rire aussi. Je lui donne mon numéro au passage, lui faisant promettre de l’utiliser rapidement. Le tee shirt qu’il m’a prêté au réveil étant souillé, je lui en vole un autre. Un nouveau coup d’oeil dans sa garde robe m’indique que je pourrais en voler plein d’autre à l’avenir si nous nous revoyons. Plein de tee shirt à souiller, c’est une excellente idée. Son quartier craignant un peu, Souta me raccompagne jusqu’à ma voiture. Le fait d’arriver devant me rappelle tous les souvenirs de la nuit dernière. Putain, c’était inattendu. En moins de 24 heures, j’ai réussi à travailler une nuit de garde, draguer un patient, le sucer dans un hall d’entrée, prendre une douche crapuleuse, dormir un peu, me faire sauter sur un canapé, prendre une douche de sperme et reprendre une douche. Ca a été efficace. Avant de monter dans la voiture, je me retourne une dernière fois vers Souta et embrasse sa joue doucement. « A bientôt. » Puis dans un clin d’oeil, je rentre dans ma voiture et m’en vais, imaginant déjà nos prochaines rencontres.