Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Centre-ville de Seikusu => Le quartier de la Toussaint => Discussion démarrée par: Ryo le dimanche 12 décembre 2021, 09:13:49

Titre: Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Ryo le dimanche 12 décembre 2021, 09:13:49
"Comment c'est arrivé?"

Ryo se tenait à quelques pas de la morte qu'il avait bien connu. Et pour cause, c'est lui qui l'avait introduite dans le métier. Autrefois, elle avait été belle. Ses longs cheveux blonds, son visage fin, ses yeux émeraude et son corps de dingue rendaient fous ses clients. Elle était canadienne, s'il se rappelait bien. Elle devait avoir une petite vingtaine d'années et prévoyait d'intégrer l'université de Seikusu pour suivre un cursus linguistique. Ca, il s'en souvenait car après l'avoir kidnappée, elle l'avait rabâché en pleurant jusqu'à ce qu'il lui colle une baffe qui avait failli la tuer. Dommage pour elle. Au mauvais endroit au mauvais moment. Les clients des bordels tenus par les yakuzas kiffaient les putes occidentales mais plus encore, les plus fortunés d'entre eux préféraient les jeunettes  innocentes pour les violer en leur faisant mal. Rien de mieux qu'une touriste ou une étudiante pour s'adonner à ce genre de jeu. En un an, c'était la deuxième que Ryo voyait crever et bien qu'il s'en foute, la suite le faisait chier royalement.

"Le client lui a fait prendre un rail de coke pure, elle a claqué en deux minutes."

"Fais chier! Ca fait qu' deux mois que je vous l'avais ramenée."

"Désolé Ryo, le mec a craché une fortune. De toute manière, elle était destinée à finir comme ça hein?"


Le grand flic haussa les épaules. Boss Takeda, propriétaire du bordel, yakuza puissant et ami de circonstance, lui avait déjà commandé une nouvelle fille. S'en procurer était un travail long et laborieux, précédé d'une préparation minutieuse. Les disparitions d'étrangères n'étaient pas prises à la légère par les services de sécurité au Japon. Le ripoux le savait bien, il avait déjà diligenté une enquête sur ses propres agissements. Le cas avait bien sûr été classé ...

"Faites dissoudre le corps dans de l'acide et virez moi tout ça dans les égouts."

Ryo quitta l'établissement situé dans une rue discrète du quartier de la Toussaint. A l'extérieur, la population habituelle pullulait, fidèle à elle-même. Des parias, des camés, des putes de trottoir, des petites frappes, erraient  en quête d'un sens à donner à leur vie misérable. Des berlines de luxe déposaient des mafieux ou de riches officiels devant des bâtiments où se tramait l'avenir criminel de la cité. Il flottait ici un sentiment de danger permanent qui corrompait même les flics les plus endurcis. Ryo était né dans ce quartier et en connaissait les moindres fluctuations. Il n'était pas entré dans la police pour faire appliquer la Loi mais pour l'utiliser à son propre profit. Il était pourri jusqu'à la moelle. Son loft n'était pas loin aussi était-il venu à pied. Les rues étaient salles et les rats s'y faisaient des festins. Souvent, des junkies crevaient seuls, reclus dans des cabanes en cartons et détritus et quand on retrouvait leur corps, les rats s'étaient déjà bien régalés.

La petite avenue que Ryo remontait à présent était appelée "La petite Saïgon" en référence aux innombrables bordels de la ville vietnamienne lors de la guerre contre les USA. Il faisait déjà nuit et les néons multicolores diffusaient leur lumière criarde à en faire mal aux yeux. Des rabatteurs harcelaient les passants et les vigiles dévisageaient quiconque s'approchait de leur zone à protéger. Quelque uns, reconnaissant le flic, lui firent un signe amical. Ryo était connu dans le quartier et mieux valait l'avoir comme ami que l'inverse.

Le flic haussa un sourcil. Devant lui, un groupe de parasites, des néo-punks faisaient chier une personne qu'il ne voyait pas. Il détestait ces mecs qui puaient la pisse et ne servaient à rien. Même dans le milieu criminel, leur utilisation était limitée. En s'approchant tranquillement, son intérêt s'éveilla d'un coup. La nénette importunée par le groupe d'abrutis était un joli pt'it lot digne de toutes les attentions. Bien foutue où il fallait comme il fallait, une gueule d'ange avec ses cheveux courts et une paire de loches comme les japonaises n'en portaient pas! La fille était paumée, ça se voyait comme les yeux au milieu de la figure, elle n'avait pas le profil du coin. Qu'est-ce qu'elle foutait là? Grand mystère ... Ryo entendit une exclamation en anglais. Putain! Il n'aurait pas à se faire chier à courir après une occidentale pour remplacer Johanna. Elle lui tombait directement dans les bras, et au bon endroit en plus! Du pain béni!

Le grand flic s'afficha un sourire de circonstance, pas facile, il souriait rarement, roula ses larges épaules dans son cuir usé et avança pour poser son énorme paluche sur l'épaule d'un des abrutis.

"Dégagez!"

L'autre se retourna brusquement.

"Va t'faire foutre connard!"

Le gros poing de Ryo lui brisa le nez, la mâchoire et quelques dents au passage. Le type vola pour s'effondrer contre un mur. Un comparse sortit une lame de sa poche avant de se pétrifier. Le canon du .44 de Ryo contre son front l'incita à ne pas continuer sa connerie.

"Faut rester cool mec hein! Déconne pas là hein, on s'barre ok? Reste cool!"

Les déchets détalèrent et Ryo put enfin prendre la mesure complète de la beauté qui lui faisait face. Superbe! Un joyau perdu dans l'écrin de merde de la Toussaint. Le grand flic la dépassait de deux bonnes tête et sa largeur d'épaules .... Bref, il était une montagne de muscles. Avec son jean, ses godillots et son gros cuir, il représentait l'image parfaite du flic des rues. En plus, il était rasé de près aujourd'hui, fait rare! Peut être qu'il pourrait inspiré confiance. Mais pour assurer le coup, il exhiba sa carte officielle.

"Inspecteur Nagata! Police de Seikusu! Il semblerait que vous ne soyez pas chez vous ici mademoiselle. Je peux vous aider?"

Comble de la chance, un éclair zébra le ciel et le tonnerre gronda au dessus de la ville. La saucée qui allait s'y abattre serait sévère. Quelques gouttes commencèrent à tapoter sur le trottoir et Ryo invita l'inconnue à se mettre à couvert sous la devanture d'un troquet tout proche. Le tenancier, qui le connaissait, crut que Ryo venait le taxer comme assez régulièrement.

"Inspecteur!! Venez donc vous asseoir à table! Entrez entrez! Je vais vous servir une soupe de poisson délicieuse, à vous et à votre amie."

"Ouais, bonne idée."

La salle était petite, discrète et parfumée des odeurs traditionnelles d'un troquet japonais.

"Et un remontant sera pas de trop je pense. Amène une bouteille de Saké!"
Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Cora Travers le dimanche 12 décembre 2021, 14:34:42
Ordinairement, Cora savait se diriger dans le quartier de la Toussaint. Elle savait quelles rues éviter pour ne pas se faire emmerder, quel raccourcis prendre pour regagner tranquillement son appartement, et quand baisser la tête et remonter sa capuche pour éviter d’être repérée par les proxénètes. Mais ce soir, ce n’était pas un soir ordinaire. L’oreille collée au téléphone, Cora avait une discussion animée et fascinante avec l’un de ses nouveaux collègues au labo sur un projet tout juste démarré. Tellement prise dans sa discussion, la blonde ne faisait pas attention aux routes qu’elle empruntait.

Sa petite veste en cuir noir scintillait presque sous les lampadaires fatigués, les boutons et la fermeture dorée étincelant à chaque mouvement. En-dessous, le bustier de dentelle corseté maintenait sa lourde poitrine de façon arrogante et soulignait sa taille fine et ses hanches plus évasées. Et le jean noir qui moulait plutôt bien ses fesses rebondies complétait sa tenue avec perfection. Le bruit de ses bottines à talon aiguille, claquant sur les pavés, résonna soudain à ses oreilles alors qu’elle raccrochait.

Ses prunelles pâles effleurèrent les bâtiments devant lesquels elle passait, et elle jura soudainement entre ses dents.

Non seulement la laborantine avait reconnu la rue où elle était -et ce n’était pas une bonne nouvelle- mais elle avait aussi entendu des bruits de pas derrière elle. Et dans ce quartier, ce n’était pas une bonne nouvelle. Si sa mémoire était exacte, elle n’était pas loin du quartier phare de la prostitution en plus.

Nerveusement, elle tourna à droite, puis à gauche tout aussi rapidement, commençant à courir. Avant de se rendre compte qu’elle venait de marcher droit dans un cul de sac. Elle se tourna, dos au mur, pour apercevoir un groupe d’hommes, chacun avec un style clairement néo-punk, s’approcher d’elle. Clairement, vu les regards qu’ils posaient sur elle, ça faisait un moment qu’ils la suivaient.

Plus ils avançaient, plus elle reculait. Jusqu’à ce que son dos heurte le mur derrière elle. Et ils approchaient encore. Ils étaient quatre, et probablement bien imbibés si l’odeur qui émanait d’eux était un indice. Ils ricanaient grassement, ayant probablement déjà discuté de ce qu’ils voulaient lui faire.

Ils étaient trop proches à son goût, maintenant. L’un d’eux tendit une main, que Cora battit sévèrement de la sienne pour la repousser. Ils s’enhardirent, et la jeune femme sentit une main agripper le galbe de sa poitrine quand une autre claquait ses fesses.

« Fuck, jura-t-elle, repliant le poing pour donner un coup à un troisième qui venait de choper sa nuque pour l’attirer à lui. »

Ses phalanges frappèrent un nez, et un craquement retentit. La douleur se propagea aussi dans sa main alors qu’elle la ramenait vers elle. Malheureusement, les trois autres en profitèrent pour la tirer à eux, la plaquant entre deux d’entre eux pendant que le quatrième jurait avec son nez cassé.

Soudainement, une grande silhouette s’interposa. Un autre des quatre lascars eut un nez brisé. Malgré le bruit, Cora entendit le bruit d’une lame sortie, mais bien vite, ses agresseurs se dispersèrent. Les prunelles bleues de la jeune femme se posèrent sur le canon de l’arme qui avait fait fuir les autres. Un gros calibre, assurément. Elle comprenait un peu mieux la dispersions des punks. Puis ses yeux prirent en compte son sauveur, et elle comprenait totalement que les lascars se soient enfuis. Elle devait limite lever la tête pour le détailler complètement, tant il était grand par rapport à elle. Et large. Mais dans le bon sens, pas large comme une barrique. Large, comme un puissant étalon, plutôt.

Fuck, songea-t-elle alors qu’elle sentait ses reins s’échauffer rien qu’à observer l’homme. L’inspecteur Nagata, comme il se présenta un peu après.

« Enchantée, inspecteur, souffle-t-elle en se décollant du mur pour promener brièvement ses yeux sur la carte brandie avant de les ramener sur lui. J’habite à l’autre bout du quartier, je me suis égarée, offrit-elle ensuite, opinant à la mention qu’elle n’était pas du coin. »

Elle s’apprêtait à lui demander s’il pouvait lui indiquer la direction pour retrouver le chemin des rues un peu moins dangereuses du quartier de la Toussaint quand le tonnerre gronda après un éclair lumineux. Sans protester, elle suivit l’inspecteur pour s’abriter de la pluie, n’ayant pas pensé à prendre un parapluie le matin en partant au taff.

Le propriétaire du troquet devant lequel ils s’abritèrent reconnu le grand flic et les invita à entrer et à se mettre à table. Cora protesta faiblement, Je ne suis pas très fan de la soupe de poisson, vraiment, ce n’est pas la peine, mais finit par suivre son sauveur et s’installa à une table après qu’il eut demandé à boire en plus. Le saké, c’était une meilleure idée, déjà.

« Merci pour votre intervention, inspecteur. J’ai été négligente, et je n’ai pas fait attention où j’allais, ça aurait pu mal tourner. »

Elle lui offre un sourire, reconnaissante, tout en se morigénant mentalement. Elle avait été complètement idiote de se laisser accaparer par sa conversation téléphonique ainsi. Elle se jura de se montrer plus prudente à l’avenir.

« Je m’appelle Cora, inspecteur, se présenta-t-elle finalement en se rendant compte qu’elle ne l’avait pas fait jusqu’ici. Cora Travers. Quand l’orage sera calmé, est-ce que ça vous dérangerait de m’accompagner ? Je connais mal ce coin, et j’aimerais éviter d’autres rencontres aussi… Désagréables. »

Elle se tut quand le propriétaire du troquet apporta une assiette de soupe de poisson pour l’inspecteur, et une bouteille de saké. Deux verres furent déposés sur la table avant qu’il ne s’éclipse, un sourire obséquieux aux lèvres qui ne montait pas jusqu’à ses yeux. Au moins, il avait écouté ses faibles protestations sur la soupe de poisson.

Tournant son regard vers l’extérieur, laissant au flic le soin de leur servir un verre, la blonde grimaça en voyant le torrent qui s’abattait à présent sur les pavés. Elle espérait que ce serait aussi court qu’intense, elle ne rêvait que de rentrer et de se caler dans le lit avec un livre.

Ou de rentrer et de déshabiller ce grand inspecteur, songea-t-elle en reportant son regard sur le colosse, posant une main contre son ventre comme si elle pouvait sentir la chaleur qui s’y diffusait rien qu’à l’imaginer sans ses habits.
Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Ryo le dimanche 12 décembre 2021, 17:49:05
"Alors Cora, je suis totalement d'accord avec vous! La soupe de poisson est immonde ici mais la moindre pièce gagnée est importante dans ce coin. Les rares commerçants honnêtes du quartier méritent qu'on les aide un peu. Je fais un effort et j'avale cette cochonnerie. En revanche, le saké est de première qualité!"

Il leur servit une rasade généreuse, trop généreuse, et leva son verre.

"Kampai!"

Il prit une seconde pour que Cora le suive à l'imitation et s'envoya son shot cul sec.

Heureusement que la salle était à peu près chauffée car dehors, les premières gouttes se transformèrent en déluge. La rue se vida de ses passants et les putes reçurent l'autorisation d'aller s'abriter. La pluie crépitait sur les devantures en tôle, faisant un boucan d'enfer.

"Il semblerait qu'on en ait pour un moment ... Mais, bien sûr, je vous accompagnerai jusqu'à votre domicile. Ce n'est pas tous les jours qu'il m'est donné d'escorter une étrangère dans ce quartier miteux."

Cette discussion lui demandait un effort de concentration. A force de vivre au milieu e cette populace, il parlait comme elle, et c'était loin d'être correct. Son cerveau fonctionnait à cent à l'heure, élaborant une stratégie. Il aurait aussi bien put assommer la fille et la livrer à son commanditaire mais la manière dont elle l'avait regardé l'avait retenu. Il se savait désiré par le sexe faible, tout du moins, jusqu'à ce qu'il devienne violent. S'il pouvait sauter cette nénette avant de la refiler aux yakuzas, ce serait pas mal. Et puis, il allait connaitre son adresse sans avoir à bosser ...

La première cuillerée de soupe le fit grimacer, il n'avait pas à se forcer, et il sourit tristement à la fille.

"... pour le bien de nos commerçants hein!"
La seconde lui arracha la même mimique. Du coup, il s'empressa de leur resservir un verre aussi plein que le premier. Il se l'envoya de la même façon.

"Faut pas hésiter! Le saké réchauffe le sang et on va en avoir bien besoin."


A interpréter comme on voulait, toutes les possibilités restaient ouvertes. D'autant plus que Ryo pouvait maintenant détailler Cora sous toutes les coutures. Un sacré canon, digne de figurer dans les meilleures productions pornos! il la violerait bien sur la table, maintenant, mais l'odeur de la soupe de poisson ne l'aida pas à favoriser ce choix. Cependant, il bandait presque. Son esprit pervers s'imposait à sa volonté. Pour contrer l'effet de ses pulsions, il se leva pour débarrasser l'assiette au plus loin de leur table.

"Merci pour votre fair-play, dans un pays étranger au mien, j'aurais créé un scandale pour une horreur pareille."

Il sourit du sourire le plus candide qu'il put produire.

"On boit encore, vous m'avez l'air d'être une guerrière des rues Cora, j'admire votre résistance."


Il parla beaucoup, les servit encore, descendit des shooters en claquant les verres sur la table. L'ambiance était sympa et il n'eut aucune difficulté à diluer un peu de poudre d'ecstasy dans le verre de Cora. Pas de quoi la défoncer mais juste de quoi augmenter sa stimulation sociale et sexuelle. C'est elle qui devrait faire le premier pas vers lui pour ne pas éveiller les soupçons, si jamais ça devait se produire aujourd'hui. La demie heure suivante vit   mourir la bouteille de Saké, l'humeur était détendue et le regard de Ryo glissait régulièrement dans le corsage de Cora.

Quand la pluie cessa, il décida qu'il était temps de partir. Il laissa un billet généreux sur la table et se promit de revenir défoncer le patron pour lui avoir servit une merde pareille. S'il choppait la chiasse cette nuit, il foutrait le feu au restaurant!

Dehors, un vent frais s'était levé et il ôta sa lourde veste de cuir imprégnée de son odeur de mâle pour la déposer sur les épaules de Cora. Lui, restait en t-shirt, dévoilant son torse musculeux et ses bras de mastard. Son flingue passé dans un étui de ceinture paraissait petit contre ce corps massif.
Il serra amicalement et sans excès Cora contre lui et la guida en suivant ses indications.

"Personne ne nous importunera, ne vous inquiétez pas."

Elle était tiède et délicieusement alléchante.

"Vous savez que je vais provoquer une vague de jalousie dans le quartier à marcher à vos côtés?"
Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Cora Travers le dimanche 12 décembre 2021, 18:41:00
Cora retint un gloussement en voyant la grimace de l’inspecteur face à la soupe, et se trouva soulagée de n’en avoir pas eu. Même si c’était pour le bien des commerçants, il y avait des limites à ce qu’elle était prête à s’infliger. Elle eut envie de s’asseoir à ses côtés, plutôt qu’en face, pour le réconforter quand il avalait une cuillérée de soupe, mais elle croisa les mains entre ses cuisses pour se retenir de quoi que ce soit de déplacé. Foutues hormones. Et elle ne pouvait pas non plus blâmer le saké, dont elle n’avait bu qu’un verre en imitant le flic.

Un petit rire lui échappa malgré tout quand il leur resservit un second verre, et qu’il s’empressa de vider le sien pour faire passer le goût de la soupe. Elle l’imita, mais juste pour ne pas le vexer en ignorant son verre. Et peut-être aussi parce que l’alcool passait toujours bien, quelle que soit la situation.

« Oh, je cherche à éviter les scandales, personnellement. C’est pas toujours évident, mais je fais ce que je peux, souffle-t-elle en songeant a son histoire avec les forces de l’ordre et les malfrats, dans son pays natal. Ici, pour l’instant, mis à part l’incident à son premier labo, avec le Wolverine, elle n’avait pas eu à faire aux flics pour des histoires louches. »

Elle le suivit en riant, quand il les resservit, encore et encore, jusqu’à ce que la bouteille soit vide. La blonde était bien, détendue, et parlait avec de grands gestes quand elle décrivait quelque chose pour l’inspecteur. Cora se sentait totalement à l’aise, et plus d’une fois elle dû se retenir de ne pas se pencher sur la table pour effleurer la joue du flic quand il les resservait, ou se retenir de ne pas étendre ses pieds pour les mêler aux siens sous la table.

L’alcool n’aidait pas à réfréner ses désirs, et c’est presque avec un soupir de soulagement que la jeune femme accueillit la fin de la bouteille et l’arrêt du déluge. Elle suivit avec gratitude le colosse hors du restaurant, frissonnant à peine avec le vent frais. L’alcool réchauffait, disait-on. Et ce n’était pas faux. L’excitation aussi, apparemment. Mais elle ne refusa certainement pas la veste galamment posée sur ses épaules. La veste qui avait l’odeur de l’inspecteur imprégnée, et sa chaleur. Un autre genre de frisson la parcourut, et elle retint à grand peine un soupir alors qu’elle se retrouvait contre le flanc de l’homme qui la raccompagnait.

« Vous m’en voyez infiniment soulagée, inspecteur, pépia-t-elle quand il affirma que personne ne les importunerait. »

Si la mutante se colla un peu plus contre lui tout en lui indiquant le chemin pour aller chez elle, elle n’en eut aucune honte. Un gloussement se fraya un chemin entre ses lèvres ensuite, quand il parla de provoquer la jalousie, et elle prit un pas d’avance sur lui pour s’arrêter face à lui. Levant les yeux pour les plonger dans les siens, elle se mit sur la pointe des pieds et glissa une main dans sa nuque pour l’inciter à baisser la tête vers elle.

« S’ils sont jaloux rien que parce que vous me raccompagnez, qu’est-ce que ça sera quand je vous embrasserais ? Murmura-t-elle, les seins plaqués contre son torse puissant, appuyant un peu plus sur sa nuque pour pouvoir joindre le geste à la parole. »

Comme si le simple contact de leurs lèvres scellées ne suffisait pas, la blonde s’enhardit et remonta une jambe contre les hanches de l’inspecteur, pour ensuite se hisser complètement et nouer ses jambes derrière ses fesses pendant que ses mains s’agrippaient à ses épaules et sa nuque pour la maintenir.

« J’imagine que la jalousie sera d’autant plus exacerbée quand ils vous verront entrer chez moi, et ne pas en ressortir tout de suite, mh ? Souffla-t-elle d’une voix caressante, essayant de ne pas lâcher prise malgré le gros calibre qui poussait contre la chair de ses cuisses de façon légèrement inconfortable. Sauf si vous préférez leur offrir un spectacle en me défonçant contre la porte de l’immeuble ? »

Cora était directe. Plus que d’ordinaire, et elle n’avait déjà pas froid aux yeux, d’ordinaire. Mais ce soir, il lui fallait s’approprier l’inspecteur Nagata. Elle avait besoin de le sentir la ravager avec son deuxième gros calibre qu’elle devinait sous le jean qu’elle avait détaillé plus tôt en espérant ne pas en avoir l’air. Elle ne comprenait pas d’où lui venait ce besoin subit, mais la violence de son désir éradiquait toute pensée parasite.

« Fuck me, inspecteur. En public ou en privé, I don’t care, mais j’ai besoin… Elle gémit langoureusement en contractant les abdos pour pouvoir rouler des hanches contre lui. I need you to fuck me now, haleta-t-elle en plantant ses ongles dans le tee-shirt au niveau de ses épaules. »
Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Ryo le dimanche 12 décembre 2021, 21:46:53
Si ca pouvait être aussi facile tous les jours, la vie ne serait pas ce qu'elle est. Ryo n'aurait jamais cru qu'il suffise d'une si petite étincelle pour provoquer un incendie pareil. Son ventre s'était embrasé d'un coup devant l'effronterie de Cora. Ca se passait comme ça dans son pays? On baise? Ouais allez, c'est parti! Faudrait qu'il pense peut être à s'y installer. Bitchland hein?

Trente secondes avant, Cora était passée du statut de protégée à celui de salope patente. Il s'était arrêté quand il lui avait fait face, sans savoir à quoi s'attendre, et la sangsue américaine s'était accrochée à lui pour lui rouler une galoche dont seules les occidentales ont le secret. Un truc bien gras avec la langue qui colle ... Ses gros nibards avaient semblé jaillir du corset quand elle s'était appuyée contre lui. A eux seuls, il pouvaient faire tomber une dictature ...

Elle savait rouler une pelle la cochonne. Une vrai vamp. Ses lèvres devaient faire des miracles scellées autour d'une queue. Ryo se retint de la traiter de pute qu'elle s'enroulait autour de lui comme un boa, sûr de ne pas lâcher sa prise. Elle en avait après sa nuque comme si elle avait peur qu'il la jette. Putain! Elle le bouffait littéralement, et en le chauffant en plus. Ses paroles allaient dans le même sens que ses actes. Aphrodite pouvait en apprendre sur l'art de teaser un mec, avec elle. Bordel! Elle devenait vulgaire. Le flic se demanda un instant s'il ne s'était pas planté avec la dose d'excta mais non, il apparaissait que Cora était tout simplement une machine à baiser. rien que des points positifs ce soir. Finalement, c'était bien que Johanna ait claqué. On remplacerait une pute moyenne par une top class escort. Le blé allait retomber en pluie fine.

On arrivait au bout du plaidoyer. Cora plaidait sa cause comme une pro. ben oui bien sûr, personne allait s'opposer à ce genre de demandes.

"I need you to fuck me now."

Ryo aurait explosé un titan pour baiser une meuf pareille. Le grand flic claqua ses mains sur le cul de Cora et les y laissa, ses doigts ancrés dans le tissu du jean. Il grogna d'anticipation. C'était bien de jouer le flic sympa, y'avait des limites au théâtre. Elle voulait se faire troncher, fallait pas lui dire deux fois. En deux pas, il s'enfonça dans un recoin sombre et la plaqua contre le mur en briques d'un immeuble vétuste. Elle jouait des reins, il joua des siens, augurant une joyeuse intrusion vaginale. Il chercha encore une fois sa bouche pour la déguster goulument. C'était sale et follement excitant.

"Ici et chez toi, la nuit va être longue, tu vas tâter d'ma queue."

C'était rugueux, âpre, ça venait des tripes, elle allait morfler. Tout de suite. Ryo lui aurait bien baiser la gueule, ou se serait branler entre ses seins mais là, non ... Ca viendrait plus tard.

Il attrapa Cora par les hanches et la retourna.

"Baisse ton fût!"


Si elle hésitait, il la broierait.

Quand son petit cul se dessina dans l'obscurité, il ne perdit pas de temps et écarta ses jambes avec ses pieds. Il la tira un peu en arrière qu'elle puisse s'appuyer au mur et lui présente un angle idéal pour se faire prendre.

Ryo se défroqua et laissa son jean tomber sur ses chevilles. Sa queue jaillit de son boxer, face au paradis. Avec son engin, il en avait déchiré des filles. Il était énorme, veineux, trapu, massif. Tous les adjectifs signifiant gros lui allait. Manquait plus que monstrueux et le tour était fait. Ryo chopa sa queue et chercha un court instant entre les cuisses de Cora. Rien que le contact de sa peau pouvait le faire venir à présent. Dès qu'il sentit la moiteur caractéristique de l'entrée, il l'embrocha d'un coup, partiellement mais pour une première, c'était déjà considérable. Il ressortit pour revenir plus sauvagement. Il empala la fille jusqu'à la garde, tapant loin dans son ventre. Elle pourrait gueuler, il s'en branlait. En trois coups de reins, il termina de l'ouvrir. La résistance avait été fugace. L'élasticité de sa petite chatte avait été mise à rude épreuve, et bien qu'elle soit trempée de la moule, Cora avait dû douiller. Le grand flic ahanait comme une bête, accompagnant ses pénétrations de grognements sauvages. Il agrippa Cora par sa tignasse courte et la tira contre lui, arquée, tandis qu'il saisissait sa gorge de sa main libre. Par derrière, il lui explosait le vagin, détruisant les muqueuses sans pitié, de son énorme membre.

"Bordel!"

Il avança d'un pas et la colla au mur. Ne lâchant pas ses cheveux, il la secouait de tout son poids. La démembrer aurait été plus sympa. Ryo fléchissait sur ses jambes et remontait brutalement. Quand il se viderait en elle, ce serait une inondation.

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A quelques mètres d'eux, trois clodos s'étaient extirpés de leurs cartons pour les mater. Deux d'entre eux se branlaient tandis que le troisième arguait qu'une pute comme elle devrait se faire sodomiser.

Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Cora Travers le dimanche 12 décembre 2021, 23:20:11
Une vague de soulagement traversa Cora lorsqu’elle sentit le flic répondre à ses avances, à ses baisers. Un frisson d’anticipation la saisit quand elle sentit les mains -larges et viriles- de l’homme claquer contre ses fesses, se crispant dans le jean sombre. L’américaine n’avait pas froid aux yeux, et elle pouvait encaisser beaucoup, pour un petit gabarit comme le sien. Déjà, ses reins s’enflammaient à l’idée de se faire ravager par le colosse. A la pensée de ce plaisir et de cette douleur qui se mêlent quand la chevauchée est rude.

Elle gémit presque alors qu’il les amena dans un coin sombre, que son dos cogna contre la brique. Elle gémit totalement alors qu’il l’embrassait pendant que leurs bassins s’entrechoquaient déjà, délicieux prémices de ce qui allait suivre. Les paroles rudes de l’inspecteur ne faisaient que redoubler l’anticipation de la blonde, et elle se tortillait contre lui comme une chienne en manque.

Une part de son esprit se demandait ce qui lui prenait, de se comporter comme la pire des salopes dès le début. Mais le reste était noyé dans le désir qu’elle éprouvait pour le flic. Sa carrure, sa voix, ses paroles… Elle frissonna de plus belle quand il la retourna contre le mur, et lui ordonna d’enlever son jean. Avec un petit soupir, elle s’exécuta, déboutonnant et repoussant le vêtement contre ses cuisses tout en se déhanchant pour le faire glisser le long de ses jambes. Le tout petit bout de coton -détrempé à présent- qui lui servait de sous-vêtement descendit en même temps, livrant son intimité et sa croupe à l’air frais de la nuit. Et aux mains du colosse.

Dès que le jean fut abandonné sur le sol, à ses chevilles et par-dessus ses bottines à talon, la blonde ne cacha pas son gémissement quand il la guida pour une position adaptée. Le mur serait son seul soutien quan-

L’esprit de la mutante s’arrêta de fonctionner un court instant, alors que le chibre massif se frayait un chemin entre ses chairs trempées. Une fois. Deux fois. Et elle se sentit enfin complètement planté en elle la troisième fois. La douleur d’une pénétration aussi rude était court-circuitée par le plaisir que la blonde prenait à se sentir élargie, dominée, remplie. Elle cria, oui, mais c’était pour l’encourager. Elle allait prendre son pied, ce soir, et tant pis pour les conséquences (marcher allait être difficiles les jours d’après).

« Oh, fuck yes ! Réussit-elle à grogner alors qu’elle se livrait sans résister aux assauts du colosse. Tu es si -ah !- si gros, complimenta l’américaine malgré sa gorge prisonnière de la grande main du flic. »

Elle se pliait souplement à la violence de leurs ébats, encaissait chaque coup de rein d’un couinement satisfait. Elle n’entendit, ni ne vit, les trois clochards qui assistaient à son rodéo. Elle ne faisait que souffler des yes assortis de compliments sur la vigueur et les mensurations de l’inspecteur.

Et son premier orgasme, issu d’un plaisir souligné de douleur, la prit par surprise. Cora sentait son corps se contracter comme il le pouvait autour de la masse qui remplissait déjà son intimité. Elle ne sentit plus le mur de brique contre lequel elle était plaqué, ni la main autour de sa gorge, ou celle dans ses cheveux. Elle n’était consciente que de la chaleur qui coulait dans ses veines comme de la lave en fusion. Elle n’était consciente que de l’éruption d’étoiles derrière ses paupières fermée.

Il lui faudrait sûrement plusieurs jours pour se remettre de cette nuit. Mais vu comment elle commençait, la mutante n’avait pas de doute que ça le vaudrait totalement.

« Oh, inspecteur ! Si… Si gros… Si... Puissant ! Haletait-elle, toujours contractée autour de sa queue gonflée. En-Encore ! Gémissait-elle, l’appétit à peine aiguisé par cet orgasme en entrée. Où t-tu veux… Aah ! Pour m-me remplir… Je veux que tout le m-monde sache que… Que tu m’as tringlée ! »

Et elle ne donnait pas de signes que son désir faiblissait, malgré sa première jouissance. Son corps souple encaissait toujours autant, et elle se démenait pour essayer d’amplifier chaque coups de reins avec les siens. Petite chose menue contre un tel colosse, l’américaine n’avait pourtant pas la moindre crainte.

Ou peut-être que c’était la drogue qui la désinhibait aussi totalement, et qui annihilait son sens de la sécurité.
Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Ryo le lundi 13 décembre 2021, 12:29:00
L'inspecteur Nagata s'était effacé pour laisser la place à Ryo, la brute des bas-fonds. Heureusement que Cora ne voyait pas son visage car elle aurait eu peur. Les mâchoires crispées, les yeux fous, il incarnait la brutalité pure d'un esprit dérangé. Il s'acharnait dans le corps de Cora et lorsqu'elle jouit, il ne s'arrêta pas un instant, la pilonnant comme un sauvage. Sa grosse queue plongeait dans la chatte inondée de sa partenaire, comprimant les fluides qui s'en échappait.

Elle couinait, demandait, de cette voix de salope qui lui allait si bien. Et lui, de continuer à la baiser comme une chienne. Il était en feu.  Ryo réprima l'envie de lui faire mal, d'écraser sa gueule de pute contre le mur de briques. Dans cet état, il était dangereux, il ne fallait pas que ça dérape.

D'une poussée démente, il se ficha au plus profond du corps de Cora et gronda de plaisir. La jeune femme perdit pied, fut soulevée, ses jambes battant l'air, à trente centimètres du sol. Seulement maintenue par le pieu qui l'empalait, son vagin était écartelé. Ryo cria. Il devait faire quelque chose de ses mains. Sa poigne dans les cheveux courts fut plus rude et il glissa deux doigts dans la bouche de la salope. Son corps massif cachait celui de Cora, compressé contre le mur. Il s'immobilisa, prêt à gicler.

"Putain! Comme t'es bonne!"

Il se retenait. Fallait pas que ça cesse. Il transpirait la luxure à grosses gouttes quand il avisa un bout de matelas, sûrement celui d'un des clodos. Il se décala et en deux pas s'effondra dessus, emmenant Cora dans le mouvement. Trimballée comme une chiffe molle, elle paraissait morte, empalée de la sorte. Elle n'avait pas son mot à dire, même quand Ryo prit appui sur ses épaules, l'enfonçant dans le matelas défraichi. Il reprit ce qu'il avait si bien commencé, la pulvérisant sous ses coups de boutoirs. Le petit cul de la belle tressautait à chaque assaut, c'était divinement bon et le flic ne se souciait que de son plaisir. Il bourrinait tellement fort qu'il glissa et s'abattit sur le dos de l'américaine. Rien à foutre. Son bassin roulait, puissant et inarrêtable. Où qu'il cogne, son gland ne rencontrait que muqueuses dilatées, chaudes, et humides. Quand il se redressa, il agrippa les coudes de Cora et l'arcbouta en arrière. Peu après, il la saisit à nouveau par sa tignasse pour la marteler de plus belle.

Un des clodos s'approcha, visiblement prêt à gicler au visage de la fille.

"DEGAGES!!!!!!!!!!!!!" hurla Ryo, une lueur meurtrière dans les yeux, et l'autre, comme ses comparses, fila sans demander son reste. Ce connard venait d'ôter l'envie de jouir à Ryo, ce qui n'était pas plus mal aussi. 

Il ne prit le temps de se retirer que pour retourner Cora sur le dos. Il la voyait ravagée, le visage défait, superbe. Il lui attrapa les chevilles et l'écartela presque tant il y alla fort. Sans regarder, il s'abaissa sur elle. Sa queue appuya durement contre sa petite rondelle, son petit fion bon à être cassé mais glissa tant elle était mouillée. il dérapa et s'engouffra à nouveau dans sa chatte de salope, jusqu'à la garde. Tant pis! Plus tard! Il bourrina comme un malade. Le bout de son sexe apparaissait dans le ventre de Cora, le déformant en une protubérance ronde à chaque à coups. Il haletait, dégoulinait sur elle, la maintenait accessible en tirant sur ses chevilles pour lever son bassin. Le coït dépassait les règles même de la pornographie et se réduisait à une baise primaire et instinctive où curieusement, le plaisir dominait.

La pulsion qui lui vrilla le cerveau faillit le faire défaillir. Il s'ancra aux hanches de Cora et hurla tandis qu'il se vidait en elle, déversant des flots de sperme au plus profond de son ventre. Il trembla comme un fou, s'effondra sur elle, l'embrassa goulument, cherchant la douceur de ses lèvres ... de pute.
Reprendre son souffle fut un effort, même pour ce sportif accompli. Il bascula sur le côté, à côté d'elle. Son sexe avait glissé hors du vagin pulvérisé avec un suintement visqueux.

"Bon sang ... T'es encore vivante? Tu t'es piquée au gingembre ce soir?"

Autant jouer le mec étonné ... Ryo peina à se redresser puis se leva pour se refroquer. Son flingue était tomber sans qu'il s'en aperçoive et il le remit dans son étui. En temps normal, il aurait pisser sur la pute qu'il venait de martyriser mais ... non, pas ce soir. Au contraire, il aida Cora à se relever. La bimbo n'avait plus rien d'honorable. Son visage ruiné et ses cheveux en bataille prouvaient l'intensité du moment qu'elle venait de vivre, et ses cuisses maculés de foutre et de cyprine confirmaient qu'elle avait donné.

"Tu m'en voudras pas si je te dis que t'es ultra sexy comme ça?"

Un vent frais les fit frissonner, annonciateur de nouvelles pluies. La nuit n'était pas si avancée que ça. la baise avait été intense mais pas si longue qu'il aurait cru.

"J'habite pas loin d'ici ... si tu n'as pas peur de visiter l'antre de la Bête ..."

Comme pour ponctuer sa phrase, un claquement de tonnerre résonna tandis qu'un éclair zébrait l'obscurité de ce ciel nocturne.
Il ajouta en rigolant, tout du moins d'un rire qui sonna honnête.

"J'ai encore des réserves au cas où ..."

Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Cora Travers le jeudi 16 décembre 2021, 20:15:38
Le plaisir qui inondait ses veines persistait, chaque coup de rein l'amplifiant si cela était possible. Elle ne sentait pas le mur racler contre son buste, salissant la dentelle du bustier. Elle ne sentait pas le froid de la nuit s'insinuer contre la peau nue de ses jambes non plus. Elle ne ressentait que l’épais chibre qui la défonçait, la silhouette puissante de Ryo derrière elle, les coups de reins presque exagérés qui menaçaient de lui briser les os, et le souffle brûlant de l'homme contre sa nuque. Elle chevauchait l'orgasme comme si c’était un étalon sauvage, tentant de le dominer sans se faire éjecter.

Ses doigts râpaient le mur de brique, cherchant une prise alors qu'elle ne touchait plus le sol, qu'elle n’était retenue que par la fougue du mâle qui la martelait sans répit. Sa tête s’inclina vers l’arrière, docilement, appréciant la prise brutale dans ses cheveux, et ses lèvres accueillaient sans broncher -avec gourmandise, même !- les doigts qui s'y inséraient. Sa langue les léchaient, comme elle le ferait avec une queue, et elle les aspirait, les suçaient avec appétit. Ses cris et gémissements s'étouffaient contre eux.

Et puis contre le matelas crasseux où les emmena ensuite le grand flic. Cora était presque écartelée de l’intérieur, son corps mis à rude épreuve avec l’intensité des coups de butoir de l'homme, avec la taille imposante de son organe mâle. Et le plaisir ne cessait pas, pulsant dans ses veines au rythme des battements effrénés de son cœur. La blonde, sous sa coloration rosée, ne vit pas arriver le clochard en érection qui était prêt à lui repeindre le visage. Elle était tellement inondée de sensations délicieuses qu'elle en aurait probablement jouit une seconde fois. Mais Ryo veillait. Et son rugissement découragea l'audacieux autant qu'il excita la mutante.

La seconde d’après, la belle pouvait observer le visage de son amant, déformé par le plaisir qu'il prenait à la ravager. Et il n'en était que plus attirant. Ses lèvres formèrent un cri de plaisir qui s'étrangla dans sa gorge alors qu'il appuyait contre son anneau serré. Trop, peut-être, contractée comme elle l’était par les vagues orgasmiques qui la dévastaient, car il glissa et revint brusquement taper contre ce point interne non loin de son utérus. Et déclencha le second orgasme de sa soirée.

« Fuck, fuck, fuck, réussit-elle à articuler quand l'assaut de ses sens se calma. »

Elle gémit contre l'inspecteur quand ce dernier l’embrasse, répondant avec autant de fougue qu'il en mettait. Un soupir déçu lui échappa ensuite, quand il se laissa tomber sur le matelas à ses côtés, alors que sa hampe quittait le cocon malmené de sa fleur. Un petit rire suivit ce soupir, en réponse aux paroles de son amant.

« Je ne sais pas vraiment, murmura-t-elle. Je sais que je suis le genre de femme à savoir ce qu'elle veut et à se démener pour l’obtenir, mais je t'assure que je n'avais jamais été aussi rapide. Par contre, je pense pouvoir dire avec honnêteté être toujours aussi… peu fragile… pour les parties de jambe-en-l'air, termina-t-elle avec un sourire en coin. »

Ses prunelles observèrent le colosse se rhabiller avec une moue appréciatrice. Un sourire amusé se glissa sur ses lèvres à son compliment, et elle secoue la tête pour lui assurer qu’elle ne lui en voulait pas. Elle accepta volontiers son aide pour se relever, et se démerda comme elle pu pour trouver un mouchoir dans une poche et essuyer au mieux entre ses cuisses. Elle enfila ensuite son jean -tombé au sol avec ses bottines et sa culotte pendant l'acte- en grimaçant, songeant que le tissu serait vite poisseux entre ses cuisses. Elle ne s'embêta pas à remettre sa culotte, la glissant avec un clin d’œil dans une poche de pantalon de l’inspecteur. Cora se penche finalement en avant, pliée en deux pour terminer de remettre ses bottines. Et si elle s’était placée de telle manière a ce que Ryo ait une vue imprenable sur ses fesses, ça resterait entre elle et lui.

« J'en serais ravie, répliqua-t-elle quand il proposa d’aller chez lui. Le tonnerre ne put que l’encourager. Et, cette Bête à un prénom ? S'enquit-elle ensuite avec un rictus amusé. Pas que ça m’ennuie de continuer à crier « Inspecteur ! » pendant l’action, hein, termina-t-elle en riant, glissant un bras sous le sien. »

Elle le laissa mener pour aller chez lui, flirtant outrageusement avec lui sur le chemin. Elle se collait pratiquement à lui pour marcher, appréciant sa carrure imposante et la chaleur qu'il dégageait. Elle qui pensait rentrer tôt et se coucher de bonne heure pour une fois, il s’avérait que sa nuit serait longue. Et riche en sensations. Ça ne lui déplaisait pas du tout, pour être honnête. Elle anticipait même la suite avec impatience.
Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Ryo le jeudi 16 décembre 2021, 22:45:16
C'est vrai que le terme inspecteur donnait une importance à celui qui portait ce titre: inspecteur de police, inspecteur des impôts, inspecteur de ... mon cul.

"Ryo, je m'appelle Ryo. Je trouve que ça matche bien avec Cora."

Le grand flic se dit qu'il se débrouillait assez bien à jouer le rôle du policier sympa. Bon, après la séance de baise qu'il venait de vivre, même lui pouvait avoir des pensées positives. D'autant plus que l'objet de son plaisir s'accrochait à lui comme une sangsue affamée. Cora était une bonne vraie salope nymphomane comme il en avait rarement rencontrée. Les putes et autres bonnes femmes, qui n'avaient comme utilité que de le purger, gueulaient souvent, mais jamais de plaisir. Cora l'avait avalé comme s'il avait un chibre de politicien, une 'tite bite quoi. Il n'en était pas vexé mais juste étonné. La jeune femme, hormis ses nibards de dingue, n'était pas épaisse, bien foutue mais pas pouliche. Elle avait dû se former à chevaucher des kilomètres de queues dans son pays ...

Sur ses pensées philosophiques, il l'emmena à travers les rues sales du quartier de la Toussaint vers son antre. Ils marchèrent assez rapidement et chaque ondée qui passait, ils trouvaient refuge qui sous un porche, qui sous un abri bus. Chaque occasion était bonne pour se peloter, se frotter l'un à l'autre et continuer de manière plus soft ce qu'ils avaient si bien commencé. Dans la ruelle, Ryo n'avait qu'à peine profité, juste avec les yeux en fait, de ce que représentait la poitrine de Cora. Quand sous la lumière blafarde d'un lampadaire, elle jaillit devant lui alors qu'il malmenait le corset, le grand flic Ryo, la terreur des rues, en resta abasourdi. Ca! Chez une fille normale, même pas actrice X! Ca relevait du miracle. Il la pétrit de ses gros doigts, sans douceur, écrasant ces mamelles l'une contre l'autre.

"C'est pas possible! Rappelle moi d'y glisser ma queue!"

Sale pute, t'es qu'une trainée de caniveau bonne à pomper du foutre! c'est ce qu'il aurait dit ... mais non. Quand ils repartirent, seuls sur le trottoir, le corset était toujours défait et un bras par dessus les épaules de Cora, il lui serrait un sein comme on serre une poire de lavement.

Marcher lui permettait de réfléchir, il avait prévenu Cora que le quartier à cette heure ci craignait vraiment, et en plus d'observer les alentours, il pensait à la suite. La suite d'après, la suite des jours à venir. Boss Takeda voulait une nouvelle pute occidentale et Cora en valait dix. Un coup d'œil bref à l'américaine et sa trique revint à la vue de la poitrine tressautant. Ouais, au moins dix. Elle durerait peut être un an, voire un peu plus si les yakuzas la préservait un peu. Elle leur rapporterait une petite fortune et finirait dans l'acide. et il faudrait recommencer.

Putain, mais quelle chaleur elle dégage! Cora est collée à lui, se dandine, l'allume. L'alcool c'est bien, l'ecstasy c'est mieux. Non Ryo, déconne pas! Y'a le business qui prime, le reste ca compte pas. Est-ce qu'elle suce bien? Parce que là, il l'a baisé mais si elle prend l'initiative, ça donne quoi? Il se doute de la réponse. Salope! Stop Ryo, t'y penses pas en fait. Ben si j'y pense et je sais déjà que j'vais merder.

A la Toussaint, quand tu trouves un diamant dans la rue, tu le gardes pour toi. Ryo réfléchit à cent à l'heure, répond en souriant à Cora, lui indique qu'ils ne sont pas loin. Il va se le garder ce petit morceau de vice incarné chienne. Rien que pour lui, enfin presque. La location, ca existe aussi. Et puis avoir en réserve une paire de loches pareille pour ouvrir les portes, c'est utile.

Cora vient de se trouver un copain à Seikusu, elle en a de la chance. Elle ne devrait pas lui coûter bien cher. Du fric, il en a. Du tout pourri, du bien moisi, des biens aussi, à l'image de son loft qu'il a récupéré il y a maintenant 2 ans à un gros dealer récalcitrant. c'était pas un arrangement, le mec dort toujours six pieds sous terre à la cave. Faudra se débarrasser du corps un jour quand même.

"On arrive, c'est là!"

Il désigne du doigt un immeuble en brique style Chicago années 70. Y'en a quelques uns comme ça dans le quartier, occupés par des mecs qu'on a pas envie d'emmerder. Son loft occupe la totalité de ce qui était les deux derniers étages. Bien foutu, cossu, ordonnancé, propre, la femme de ménage était passée le matin même et l'ancien proprio avait bon goût.

Ryo tape le code d'entrée et entraine Cora dans le hall. De douces lumières s'allument automatiquement. Il y fait bon après la fraicheur de l'extérieur. L'appel du cul.

Ryo plaque sa compagne au lambris onéreux qui tapisse les murs. Fini le petit couple qui  marche amoureusement sous la pluie. On arrête les conneries et on re-mélange les cartes. Il lui malaxe les seins qu'il arrive presque à couvrir de ses paluches. Vicieusement, il lui agace les tétons avant d'ancrer ses doigts dans la chair molle pour y laisser leurs marques.

"J'ai vraiment envie de vérifier à quel point t'es pas fragile ... et si tu me regardes encore avec cet air là, je crois que je te viole la bouche."

Il se frotte à elle. Sans être athlétique, elle est sculpturale, belle et foutrement bandante. Les mains de Ryo libèrent ces seins dantesques pour suivre la courbe des épaules, remonter le long de son visage et saisirent ses cheveux qu'elles maltraitent.

"J'ai envie de t' baiser les seins."

Il tire les cheveux pour lui faire incliner la tête avant de la redresser et de lui lécher les lèvres.

"J'ai entendu dire que les américaines sucent comme des déesses ..."

C'est susurré à son oreille avant qu'il y glisse sa langue.

"J'ai envie de te casser le cul. Tu veux me sentir ravager ton fion?"

Sa pression sur le corps de Cora est totale.

"Je veux te remplir à nouveau et me purger en toi."

Sa grosse queue qui palpite contre le ventre de Cora rend acte.

A ce moment, un "clac" annonce l'ouverture du sas de l'entrée. Un asiatique costaud en sort, bien foutu dans un costume blanc. Kio, le yakuza du premier.

"Salut Ryo! T'évites d'en foutre partout dans le hall, l'entretien coûte une fortune. Tu serais sympa..."

Aussitôt dit, aussitôt parti en quittant l'immeuble.

"Putain!"

En rut, Ryo tire Cora plus loin, appelle l'ascenseur privé, y enfonce sa clé, et roule une galoche monstrueuse, baveuse à souhait, à sa bimbo tandis que l'ascenseur s'élève. 10 secondes de montée, la grille s'ouvre et ils déboulent dans le salon du policier. L'antre de la Bête (https://zupimages.net/up/21/50/rsko.jpg).

Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Cora Travers le samedi 18 décembre 2021, 21:03:59
Ryo, répéta mentalement la mutante, souriante. Ça lui allait bien. Et elle se voyait tout à fait gémir ce nom quand il glisserait ses grandes mains partout sur son co-

Focus Cora, attends au moins d’être chez lui pour te lâcher à nouveau !, se gourmande-t-elle. Mais se concentrer, c’est dur. Surtout quand le duo s’arrête régulièrement pour se galocher ou se tripoter, sur le chemin. Cela dit, elle ne s’en plaint pas. Les compliments -bruts- de l’homme la feraient presque rougir. Elle prend soin de laisser sa poitrine sortie du corset pour le laisser l’admirer, et la toucher, alors qu’ils marchent. Elle a le sourire aux lèvres, les yeux brillants de convoitise dès qu’elle les pose sur la silhouette imposante qui la protège des dangers du quartiers, et les reins qui bouillonnent d’envie.

Quand ils arrivent finalement, l’américaine est chaude. Son corps est fiévreux, malgré la température fraîche au-dehors, et son souffle semble haché par moment. Elle gémit même lorsqu’il la plaque contre le lambris du hall. Son corps réagit tout de suite aux sollicitations de Ryo. Son dos se creuse pour lui offrir sa poitrine un peu plus, et Cora soupire langoureusement lorsqu’il la maltraite. Un petit rire lui échappe alors qu’il la prévient qu’il risque de lui violer la bouche et elle murmure d’un air taquin :

« Est-ce que c’est vraiment un viol si je suis consentante ? »

Elle frotte ses cuisses l’une contre l’autre alors qu’il continue, son excitation ne cessant de grandir. Elle craint de finir par se consumer totalement avant qu’il ne l’emmène chez lui à proprement parlé. Une combustion spontanée, pour cause d’excitation trop intense. C’est assez classe, comme mort.

Mais elle préfère la petite mort de l’orgasme, et elle répond à chaque parole de Ryo par un acquiescement soufflé d’un ton rauque, chargé de désir. Elle se presse autant contre lui qu’il ne le fait contre elle, à tel point qu’on pourrait les croire soudés si elle se ne frottait pas tant à lui.

Le claquement du sas d’entrée la fait à peine réagir, si ce n’est pour constater que le grand flic décide de l’emmener plus profondément dans son antre. Elle bouillonne de désir, et les dix secondes d’ascenseur paraissent presque trop longues pour la mutante. Mais presque trop courtes, aussi, alors qu’elle répond avec fougue au baiser, qu’elle agrippe ses doigts dans le dos et la nuque de l’inspecteur, qu’elle s’enroule presque autour de lui comme une liane.

Quand ils pénètrent enfin dans l’appartement –le loft ! se corrige-t-elle immédiatement- la blonde n’a que le temps d’apercevoir ce qui fait office de salon, avec les canapés et fauteuils agencés autour d’une table ronde à base de rondins de bois et d’un plateau en verre. Elle tire sur la veste de Ryo, qu’elle lui a rendu à un moment pendant leur marche puisqu’elle était aussi chaude qu’une bouillotte, et l’entraîne vers le canapé. Elle l’y pousse, peut-être un peu soudainement, pour qu’il s’y affale.

L’observant d’au-dessus, elle lui décoche un sourire ravageur et se laisse tomber sur ses genoux après avoir poussé la table basse pour se faire de la place.

« Tu vas avoir l’opportunité de vérifier par toi-même si les Américaines sucent bien, lui susurre-t-elle. »

Sans perdre plus de temps, elle s’active pour le débarrasser des vêtements superflus pour ce genre d’activité, et elle prend entre ses mains fine la grosse hampe qui l’a si bien remplie plus tôt. Son regard gourmand quitte celui de Ryo pour se concentrer sur le chibre qu’elle tient entre ses mains, certaine de pouvoir le prendre en entier avec un peu d’aide de sa part.

Les lèvres de la mutante se promènent sur la chair sensible, de haut en bas, embrassant chaque parcelle, avant qu’elle ne sorte la langue pour le lécher comme une glace. Elle s’attarde particulièrement sur le gland à la fin, et humidifie ses lèvres avant de les arrondir pour le happer entre elles.

Cora aspire la chair violacée, laissant sa langue jouer contre la courbure, avant de laisser descendre sa tête plus bas. Elle s’est mise à quatre patte devant le canapé, et essaye de garder sa trachée alignée pour l’enfoncer au maximum entre ses lèvres. Elle prend soin de jouer avec ses testicules d’une main, l’autre s’agrippant à sa cuisse, et des petits gémissements étouffés lui échappent. L’américaine remonte après avoir humidifié un premier tiers, et redescend de plus belle, plus bas. Elle recommence ce manège, encore et encore, cherchant à le sentir taper au fond de sa gorge, à le faire forcer la barrière de sa glotte. Quand elle lève un regard complice vers lui, elle l’autorise à aider s’il veut. Ou à prendre les rênes, maintenant que la hampe est bien luisante.

Son fin collier avec une perle d’obsidienne cogne parfois contre la chair tendre des bourses lorsque sa main s’égare sur la cuisse, ou le bas-ventre de son amant, sans que la blonde ne s’en rende compte. Ses mèches courtes, en bataille et d’une légère teinte rosée, tombent parfois devant son regard.
Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Ryo le samedi 18 décembre 2021, 23:16:06
Ici, c'est chez Ryo.

Il n'y a qu'à cet endroit que l'on peut retrouver des fragments de l'histoire de cet homme, ou des objets qui lui sont familiers et auxquels il tient. Pour tenir dans ce milieu de merde, à côtoyer les pourris, les crevures et la moisissure humaine de cette ville, il est nécessaire d'avoir un cocon dans lequel se réfugier et être quelqu'un d'autre  qu'un flic corrompu. Le loft de Ryo est cosy, loin de l'image qu'on pourrait s'imaginer d'un domicile lui correspondant. C'est là que, quand il vire ces groles et son cuir râpé, il se pose sur son canapé après avoir lancé un Vinyle des Doors. Il aime se servir un verre et s'évader, accompagné par la voix de Jim Morrison. Quel queutard aussi ce Jim!

Personne n'est jamais invité chez lui. Il n'accepte aucune intrusion dans cet espace intime sacré. De mémoire, même bourré, il n'y a même jamais ramené une fille à tringler. Cora est la première, et   entrer chez lui avec ce canon enlacé à sa taille est comme une révélation.

Là, on mettra le parc à bébé. De ce côté de la table, on posera la chaise haute. Dans ce placard, on pourra stocker des cartons de couches et bien entendu, le berceau sera à côté de leur lit, dans la mezzanine. Ryo se rangera, deviendra un bon policier et sera décoré pour ses mérites. Et quand il reviendra chez lui, Cora l'accueillera, bardée de son tablier de cuisine et préparant des cookies ...

Foutaises! Il va la troncher dans le canapé, lui exploser le cul sur le comptoir de la cuisine, lui pisser dans la bouche au dessus des chiottes, et la faire ramper jusqu'à son lit! c'est une bien meilleure idée.

Il fait bon dans le loft. A l'extérieur, la pluie crépite sur les grandes baies vitrées. Il faut s'y habituer mais Ryo trouve ça reposant. La vue donne sur les toits du quartier, il n'y a pas de vis à vis. le grand flic, malgré son excitation se dit qu'une douche serait nécessaire pour eux deux. Cora n'a pas l'air d'y penser et le tire derrière elle. Elle a déjà un truc en tête car elle le pousse sur le canapé vert - son préféré - et se campe devant lui. Trop bonne! Allumée, dépoitraillée, campée sur ses jambes écartées, une vraie Mata Hari!


"Tu vas avoir l’opportunité de vérifier par toi-même si les Américaines sucent bien"


"Oh putain ouais, fait moi voir ça!"

Il a tripé sur cette bouche à bite durant tout le repas au restaurant. Ses lèvres pulpeuses ne peuvent avoir qu'une seule fonction, sertir une bonne grosse queue! Godasses, futal, boxer, tout jarte de partout. Elle la veut sa bite! Tombée à genoux Cora offre le plus tableau qu'un mec puisse rêver. A quatre pattes entre les cuisses de Ryo, ses loches massives se balançant au rythme de ses coups de langue, elle le mate, le lèche, le cajole comme un objet sacré. Putain, ils devraient vraiment prendre une douche! Ca n'a pas l'air de la déranger, elle. C'est sûr qu'après la soupe de poisson et le matelas des clodos, on peut tout accepter.

De toute manière, Ryo bande à mort et Cora l'a déjà englouti. Lui câliner le gland n'a pas suffit, la cochonne veut aussi bouffer le chêne. La bouche de Cora, c'est comme un écrin de bonheur, rien à voir avec sa chatte confortable, c'est différent. C'est plus étroit, il s'y sent compressé dès qu'elle en gobe le tiers. Il sent ses dents même si elle fait l'effort de développer une technique de Wondersuceuse. C'est salement bon! Et elle en veut plus. Ryo a le front humide. Elle se dandine pour choisir le bon angle et tente de l'avaler. Ca coince sérieusement, en largeur, en longueur. le gros gland se heurte au goulot défendu par la luette. Elle se retire, recommence, plusieurs fois, ramenant avec elle des trombes de salive, et ses propres fluides à lui. Et ce regard de pute ... bordel!

Malgré toute sa volonté, l'échec est proche et il n'est pas question que Ryo foire un moment pareil. alors qu'elle revient à la charge, il se redresse sans prévenir, la saisit par la tête et appuie de toutes ses forces. Il sent qu'il part de traviol, qu'il râpe là où il ne faut pas. Si elle dégueule, il s'en branle. Il ajuste son bassin et glisse brusquement dans la gorge de Cora qui gonfle sous l'intrusion. C'est pas fini, il en manque. Sans douceur et par à coups, il l'investit. C'est serré, le goulet distendu qu'il vient de forcer le comprime. Attend, elle roule des yeux là? Rien à foutre! Avale ma grande! il vire les mains de la fille qui veulent peut être le repousser, ou l'attirer encore plus.

"RHHHAAA bordel Cora! T'es la meilleure bouche à pipe que j'ai pu croiser! J'te garde pour moi!"


Il est tout en elle et la laisse mariner jusqu'à ce qu'elle ne tienne plus. Il la repousse, la regarde inhaler l'air qu'il lui a interdit par sa présence. Elle bave sur ses seins qui paraissent prêts à exploser. Et puis c'est reparti.

"Tes mains! Dans ton dos!"

Il s'accroche à cette tignasse blonde aux reflets rosés qu'il kiffe à mort et la ramène entre ses cuisses. Plus de papouilles et trucs sympas. Là c'est de la gorge profonde bien cradingue qu'il veut. Sans que ce soit facile, il revient forcer l'étroit passage en guidant la tête de Cora comme il le veut. Elle doit morfler, il lui tire les cheveux et lui cogne le nez contre ses abdos en béton à chaque ravalement. C'est dégueu, c'est le top! Le cliché du mec affalé sur le canapé qui utilise la bouche de sa copine en prévision d'une vidange bien grasse.

Ryo la qualifie d'adjectifs flatteurs tous liés au milieu de la prostitution. Les bruits qui s'échappent de la bouche de Cora sont obscènes, visqueux, sonores, moitié régurgitation, moitié gobage forcé. Et plus les minutes passent, la laissant se remettre au minimum, plus la pression des mains du grand flic sur la tête de la bouche à pipe s'accentue. Le rythme et la vitesse aussi. Elle a la gueule ravagée et noyée de larmes mais ne semble pas pour autant blasée du traitement. Non, ce genre de salope n'a pas de limites.

Ryo soupire d'aise. Il pourrait rester comme ça toute la nuit mais en s'étirant, sa main heurte un truc dur. Une bouteille de whisky, collée sous un coussin, du bourbon US!

Il fait sauter le bouchon et s'en enfile une rasade avant de saisir Cora par la gorge et de lui coller le goulot dans la bouche.

"Bois! C'est de chez toi!"

Ouais elle boit et il lui maintient la tête.

"Merde Cora, tu kiffes vraiment ça? Attends, bouge toi comme ça!"

Il se lève et la retourne. Elle reste accroupie sur ses talons, le dos contre les coussins d'assise du canapé, la tête disponible. Il va lui baiser la gueule méchamment. De toutes ses forces. Mais alors qu'il presse son gland contre les lèvres de la salope, il aperçoit par terre un petit sachet. Ouais, pourquoi pas commencer maintenant? Il s'interrompt et ramasse le truc pour l'agiter devant les yeux de Cora.

"Si tu crois savoir ce qu'est un orgasme, tu te trompes! Avec ce truc, on va grimper bien plus haut qu'le paradis. Tu veux tester? J'taccompagne."

Il va la shooter à la coke. Ryo cale deux lignes sur un petit miroir qu'il sort d'un tiroir de la table basse et une petite paille. Les rails de coke sont ridicules mais il aimerait éviter que Cora claque chez lui. Il s'envoie la première ligne qui lui brûle les narines.

"Putain!" A toi ..."

Le rail de coke et la défonce de gueule après. Le pied!
Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Cora Travers le jeudi 30 décembre 2021, 20:29:56
L’américaine ne se plaint pas du tout du traitement vigoureux infligé par Ryo. Elle lui a offert les rênes de bon gré, et elle apprécie pouvoir le gober en entier malgré sa taille et les désagréments que ça occasionne. Oh, elle aura probablement mal à la gorge le lendemain, mais elle ne s’en soucie pas. Elle prend son pieds à le sucer. Non, à se faire baiser la bouche. Elle bave, elle manque d’air, mais elle kiff. Un seul regard entre ses cuisses suffit à le constater. Elle mouille, et pas qu’un peu.

Frottant ses cuisses l’une contre l’autre, mais sans tricher en glissant une main entre elle pour se soulager, la mutante déglutit autant l’excès de salive que la boisson qui coule dans sa gorge alors que le grand flic partage son whisky. Elle rit, se frotte les yeux pour en chasser les larmes, et s’installe contre le canapé comme le lui demande son amant. Elle l’observe avec un sourire gourmand, et ouvre déjà la bouche pour le retrouver caler au fond de sa gorge quand le gland se retire alors qu’il n’était même pas totalement calé entre ses lèvres.

Cora arque un sourcil en voyant Ryo ramasser un sachet au sol, et se force à ne pas loucher alors que la chaleur de l’alcool s’ajoute à la sienne et que la tête lui tourne légèrement. Saké plus tôt, et Whisky juste avant, ce n’est peut-être pas une bonne idée les mélanges. Mais elle est trop excitée pour s’en soucier.

De même qu’elle ne percute pas tout de suite que c’est de la drogue que lui propose le colosse, et elle accepte sans hésiter. Quand son cerveau rattrape son retard, elle ne se dérobe pas pour autant. Il a bien dit que les orgasmes étaient encore mieux avec ça, non ?

Elle rit de plus belle, et se sniffe le rail sans tarder en suivant l’exemple de son compagnon de la soirée. Peu habituée, voire pas du tout, elle manque d’éternuer après coup, mais se frotte le nez en grimaçant avant de se replacer contre le canapé, enlevant son jean et son bustier ruiné, après un instant de flottement.

« Okay, on reprend ? Questionne-t-elle avec un sourire amusé, provocateur. J’ai bien envie de te vidanger une première fois avec ma gorge. Je n’ai pas pu goûter tout à l’heure, souffle-t-elle, impatiente. »

Elle ouvre même la bouche pour l’accueillir alors qu’elle est à genoux face à lui, les jambes écartées. Il peut voir qu’elle ne ment pas. Ses cuisses sont luisantes de son excitation. Le jean avait absorbé pas mal, et maintenant qu’il n’était plus là ça coulait librement. Elle tire également la langue, comme ces actrices dans les pornos, pour l’inciter à revenir envahir sa gorge.
Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Ryo le vendredi 31 décembre 2021, 15:12:28
Cora est follement allumée ... non, carrément cramée! Ryo la pulvérise et elle se marre là toute autre aurait déjà fini aux chiottes. Elle n'a pas les idées claires mais le flic se demande si même sobre, elle ne s'essaierait pas quand même à tout. Elle a le profil de la nénette qui assume et qui n'a peur de rien. Elle tabasse! Ryo serait un mec normal, il la choierait pour se la mettre dans la poche et ce serait surement un échec. Elle n'était pas du genre à papouiller à tout bout de champ.

Elle s'enfile la ligne de coke sans sourciller. Faudra que Ryo lui demande si c'est sa première ...  car ça n'a pas vraiment l'air de la choquer. Tant mieux! Elle le prend bien, proprement, et en d'autres temps d'autres lieux, sa mimique aurait été adorable. Ryo trouve qu'elle a la plus gueule du monde à cet instant. Bordel! Lui aussi s'est envoyé un rail et l'euphorie monte. Quand elle se désape, c'est l'hallali. Putain, ce corps de malade!

"Okay, on reprend? J'ai bien envie de te vidanger une première fois avec ma gorge ...."

Le spectacle qu'elle lui offre est de la pure luxure. Elle renverrait n'importe qu'elle actrice porno au vestiaire. Elle a de la poudre qui lui colle au narine. Ryo y écrase son pouce pour l'essuyer et se lécher le doigt après. C'est l'heure de la poésie.

"T'es vraiment une sale petite pute tu sais...."

Il se cale bien en face d'elle, lui saisit la tête, et lui éperonne la gorge d'un coup de queue magistral. Même si il se foire et qu'il la prend de travers, ça ne l'empêche pas de farfouiller pour s'ouvrir le passage. Il ne s'arrête que quand la pute à ses lèvres serrées à la base de sa queue.  Il appuie sur la nuque de la chienne en chaleur qui se caresse comme une folle. Et quand elle vient à manquer d'air, il la maintient. Elle veut du foutre, il va lui en donner. Elle joue la salope, va falloir qu'elle assume. Quand il la sent prête à s'étouffer méchamment, il la libère, lui serre le visage en la tenant par la mâchoire avec sa grosse paluche, et lui crache la gueule. Le molard lui colle aux cils, participant au désordre de ce visage ravagé. Son maquillage ruiné la classe dans la catégorie pute de caniveau. De longues trainées noirâtres marquent ses joues rougies par le mélange détonant de sexe/alcool/coke.

 Ryo revient à la charge, plus bestial, plus sec. C'est coups de reins perforent la gorge de Cora. C'est rapide et dense, il ne la laisse pas souffler, profitant pleinement de ce deepthroat extrême. Furieusement, il lui secoue la tronche pour accentuer ce qui n'est déjà plus possible. Mes mèches de la pute volent, se collent à ses abdos humides. Putain qu'elle bave! En fait, elle ne maitrise rien, servant seulement de défouloir et de trou à bite. Ryo fait un pas en avant et pose un pied sur le sofa. Cora est calée sous lui, entre ses cuisses. Il lui étire les bras vers le haut et les verrouille contre ses pecs. Les épaules de la jeune femme sont en extension vers l'arrière. La pose doit être désagréable, contraignante, mais pour lui forcer cette bouche durement, la malmener, dilater cette gorge trop étroite pour sa queue malgré ce déferlement de violence. La fille est tendue à l'extrême. Ryo est compressé en elle, chaque mouvement pour la baiser est accompagner d'une poussée râpeuse qui accroche les muqueuses. C'est tellement physique que son plaisir déboule sans prévenir. Sa grosse queue gonfle alors qu'il est niché au plus profond de sa gueule. il fléchit des jambes, l'écrase et en grognant comme un animal, se décharge en lui secouant la tête. Il lui remplit le bide de foutre sans passer par la case "swallow". Depuis le début de leur petit jeu, il en a envie de se vider putain. Les jets de sperme chaud se succèdent, il pulse dans cette gorge serrée.

Et quand il se retire, tout suintant, c'est totalement purgé même s'il reste virilement bien dressé. Il tient toujours la fille par les cheveux, comme s'il tenait un seau. D'une rotation, il lui gifle la gueule d'un revers de bite. Puis encore une fois. Il s'essuie le bout du gland contre la joue maltraitée, y étalant ses derniers relents de plaisir.

Puis sans s'inquiéter de montrer une quelconque affection, il la cambre, le dos posé sur l'assise du sofa, et vient loger sa queue entre ses énormes mamelles.

"Rhhha bordel ouais!!"

Il crache à nouveau sur sa partenaire et bouge ses hanches pour profiter de la tiédeur de ses loches.

"Presse les! Fais bien ta chienne! ... You fucking whore!"

Il la laisse bosser, se contentant de limer cette poitrine superbe. L'idée lui vient d'immortaliser l'image. il se tord pour récupérer son portable et filme sa grosse queue coulissant dans ce fourreau soyeux. il prend quelques clichés, tous plus salaces les uns que les autres. Un plan large de Cora qui s'adonne sourire aux lèvres à une branlette espagnole d'exception. Cora, le visage enduit de salive, une lueur de pute scintillant dans son regard shooté. Cora qui lèche le gland dès qu'il passe à portée de sa langue ...

Encore une fois, Ryo ne contrôle pas son orgasme. il balance la purée comme un enfoiré. La première giclée balafre le visage de Cora sur toute la longueur. La deuxième finit dans ses cheveux, la troisième, elle se la prend dans un œil. Là encore, photos à l'appui, Ryo immortalise l'instant. Il pèse sur le ventre de l'américaine, s'y frotte le cul.

"On s'occupe de ton backdoor maintenant?"

Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Cora Travers le samedi 08 janvier 2022, 13:55:10
Elle n’a plus le contrôle, quand Ryo revient envahir sa bouche. Mais elle ne se plaint pas. Elle ne sait pas si c’est la drogue, ou l’alcool, ou juste une face cachée de sa personnalité, mais elle adore ça. Le manque d’air l’emmène au bord de la jouissance plus d’une fois, alors que son amant investit sa gorge comme s’il était propriétaire des lieux. Mais il la libère toujours avant qu’elle ne s’évanouisse, avant que l’orgasme ne la terrasse. Et il recommence, et elle est pire que trempée. La dégradation, l’humiliation, ne font que booster son excitation.

Quand il se déverse en elle, quand elle sent les jets de sperme couler dans sa gorge sans qu’elle ne puisse les goûter de sa langue, Cora est à la fois déçue et embrasée. Ses lèvres tentent d’aspirer la peau fragile qui se retire, sans grand succès. A peine réussit-elle à laper le gland qui s’enfuit. Son regard pâle, assombri par le désir, l’alcool et la drogue, se lève vers l’inspecteur qui la maintient toujours, et elle lui offre un sourire amusé. Elle est haletante, le visage trempée de larmes et de salive, mais elle reste fière et échauffée. Passionnée. Exigeante. Elle gémit même alors qu’il la gifle de sa queue, aller et retour, ajoutant salive et sperme mêlés contre sa peau rougie. Si elle avait un miroir, elle ne se reconnaîtrait probablement pas.

L’américaine se laisse faire alors qu’il prend une nouvelle initiative, et elle place instinctivement ses mains contre ses seins pour les presser autour de la queue qui vient coulisser entre eux. Un autre que le grand flic aurait été littéralement « avalé » par la chair mammaire. Mais Ryo est bien monté, et il se fait compresser entre les seins de Cora sans voir son sexe disparaître complètement. Un nouveau gémissement échappe aux lèvres de la jeune femme alors qu’il lui crache à nouveau dessus, et elle garde les lèvres entrouvertes et accueillantes, si jamais il voulait recommencer, se sentant tout à fait indécente mais appréciant énormément.

Elle baisse néanmoins la tête pour venir suçoter le gland quand il passe à portée de son visage, frottant ses cuisses l’une contre l’autre avec impatience dès lors qu’elle le serre entre ses lèvres. Elle ne calcule pas tout de suite le téléphone sorti, son attention concentrée sur cette masse rigide de chair virile qu’elle presse entre ses seins. Mais quand elle le remarque, elle ne s’offusque pas, et prend même parfois la pause pour l’objectif, relevant la tête avec la bouche ouverte et la langue sortie, ou gobant le gland violacée entre ses lèvres en penchant la tête vers l‘avant.

La seconde fois où Ryo crache la purée, Cora est à l’affût. La bouche ouverte, et la langue sortie, elle réussit à recevoir une partie, et garde la pose alors qu’il continue de la prendre en photo. Les yeux fermés, pour éviter que le sperme de soit directement dans son œil, elle lâche un rire bas, empli de désir. Frottant juste son œil pour retirer le sperme, elle lèche ses doigts en relevant les yeux vers l’inspecteur.

« Mmmh, fuck yes ! Rétorque-t-elle en finissant de lécher le sperme sur ses doigts. »

Et avec plus de force que son apparence ne le laisse supposer, elle s’extirpe d’entre les cuisses de son amant pour se retourner, les bras appuyés sur le dossier du canapé, et cambrant les reins en présentant sa croupe au flic.

« Crache bien dessus, hein ? Même si je mouille surement assez pour lubrifier le passage pour un tronc d’arbre… Souffle-t-elle en tournant la tête, se léchant les lèvres. »

Et puis, laissant à peine le temps à Ryo de choisir de faire ou non ce qu’elle demandait, elle étire un bras vers l’arrière, agrippant la queue toujours rigide, et la guide entre ses fesses. Elle la fait d’abord tremper dans la cyprine qui macule ses cuisses et ses lèvres intimes, et elle l’amène ensuite contre sa rondelle. Avec un gémissement affamé, elle pousse sur ses reins et sur la queue qu’elle maintient pour s’empaler d’elle-même, forçant son anneau jusqu’à ce qu’il libère le passage pour faire pénétrer le gland.

Relâchant le mandrin de sa main, elle s’agrippe au dossier du canapé et pousse de nouveau sur ses reins, venant l’enfiler jusqu’à la garde entre ses entrailles.

« Mmmh, yes, yes, yes ! Gémit-elle, s’immobilisant contre l’aine du flic. Vas-y, défonce-moi ordonne-t-elle presque en se contractant autour de lui. Je regrette presque que tu n’aies pas deux bites, marmonne-t-elle ensuite, les yeux fermés, concentrée sur la sensation de le sentir l’écarteler de la sorte. »

Et si elle lui a ordonné de la défoncer, elle n’est pas en reste. La blonde donne du sien pour cette sodomie, et bouge les reins avec ferveur pour amplifier les mouvements. Elle a envie de jouir, bien sûr. Mais elle a envie de sale aussi. Elle a besoin de se sentir écartelée, de se sentir investie à la limite du possible.

« Fuck, Ryo, plus fort ! Halète-t-elle, et elle vient lui attraper une main pour la guider vers l’avant, pour l’entourer autour de sa gorge. Serre, intime-t-elle, le souffle court et la voix rauque. »
Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Ryo le dimanche 09 janvier 2022, 14:15:59
Non ne doit pas être un mot que Cora utilise souvent. Aussitôt suggéré, aussitôt réalisé. Ce que veut Ryo à présent emballe la jolie femme peut être plus encore que lui-même. Ryo la kiffe. Elle est ravagée, à du foutre plein la gueule et elle trouve encore le moyen de sourire et d'exiger plus. Il n'a même pas à forcer le passage qu'il se retrouve emmanché dans ce cul divin jusqu'à la garde. C'est elle qui vient de prendre le lead et la brute ne trouve pas ça désagréable. La facilité avec laquelle elle s'est enfilée son chibre est sidérante. Elle l'a avalé comme une huitre, et sans montrer le moindre signe de rejet ou de douleur. Cora est défoncée, si c'est bien l'effet de la poudre qui la transcende en super-pute. Et quand elle exprime la volonté d'y aller plus durement, il ne se fait pas prier. Il lui serre le cou de sa grosse paluche, plus qu'il ne faudrait et suffisamment pour qu'elle hoquète. S'il elle n'était pas fumée, elle paniquerait. Le geste est significatif de la violence qui va s'instaurer entre eux. Il comprime vicieusement sur la trachée de Cora, presse sur ses carotides pour bloquer l'afflux sanguin et quand elle manque défaillir, il relâche la pression pour que le retour noie le cerveau de la fille sous un tsunami d'oxygène. Il lui fait mal, à taper durement dans son cul, il y met tout son poids, toute sa virilité. Elle est écrasée  contre le dossier du sofa et chaque coup de reins de Ryo est un empalement profond. Il lui défonce le fion, l'écartèle sans merci, se rate, glisse hors de son cul pour y revenir en poussant de travers. Les entrailles de la fille sont ravagées, tordues, dilatées alors qu'il y bourrine comme un marteau-pilon. Il libère son cou de son emprise pour ramener les bras de Cora dans son dos. Il la verrouille à lui déboiter les épaules, creusant son dos en une cambrure extrême.

"Si tu veux plusieurs queues dans le cul, j'peux t'arranger ça un d'ces quatre."


Il y pense déjà. le bénéfice d'avoir une chienne pareille à sa disposition peut être un boost pour ses finances. Tout en gardant la primeur de l'utiliser comme un sac à foutre, il pourrait la louer à prix d'or. Des gros élus ou magistrats véreux de Seikusu paieraient une fortune pour troncher l'américaine.
Ryo grogne comme une Bête. Une main lui suffit à la maitriser. Il la domine physiquement et ne laisse pas s'échapper. Elle portera demain les marques de ses doigts et aura des bleus. Il s'affale sur elle, s'emboite sur ce corps voluptueux. La gueule de la petite s'enfonce dans le coussin moelleux. Rien à foutre! Il la pulvérise comme elle l'a demandé. D'une main, il lui relève la gueule qu'elle puisse respirer et la replaque avant qu'elle est terminée. Plusieurs fois, sans jamais qu'elle puisse trop récupérer, toujours la maintenant sous tension. Il a une furieuse envie de la gifler. Quand elle ne peux plus supporter son poids, elle s'effondre, tordue sous lui. Sa nuque pourrait céder qu'il s'en fout. Il ne peut plus s'arrêter de la baiser. Elle tressaille, elle gigote, il l'encule. Son cul n'est plus qu'un trou à bite, un garage à queue, béant, le sphincter détruit. Quand l'orgasme monte, il rugit, martèle de toutes ses forces pour finalement s'ancrer le plus loin possible et se purger de toute sa semence alors qu'il gueule tout ce qu'il a.  Il transpire, elle aussi. Quand il décide de la libérer, il se redresse. Cora est un morceau de chair ravagé. Son cul ne se referme pas et des flots de foutre en dégoulinent.

"Viens par là salope!"

Par les cheveux, il la tire du canapé et l'agenouille au sol. Il s'essuie la queue dans ses cheveux qui gardent les traces du passage par sa cavité anale. Ryo halète. Mine de rien, le shoot lui fait de l'effet aussi. Cette pute est un appel au vice. Une nouvelle fois, il lui crache au visage et l'emmène à la salle de bain, sans lâcher ses mèches. Qu'elle suive en titubant ou à quatre pattes n'est pas son problème. Il la traine dans la douche où il se campe face à elle. Elle veut du hard, c'est pas fini. Il tape sa queue contre le beau visage avant de faire un pas en arrière. Si elle n'a pas deviné ce qui va arriver, elle va être surprise. La chaleur monte et il se libère de son envie. Il lui pisse dessus comme il pisserait contre un arbre, longuement, jusqu'à la dernière goutte. La boucle est bouclée. Re-photo. il actionne le levier de la douche est fait monter la température de l'eau à la limite du supportable. Ryo refait un passage par la case fellation mais n'a plus grand chose à décharger. Cora est pleine de son foutre et il va falloir qu'il recharge les cuves. Il se lave, et dans un élan purement intéressé, aide l'américaine à se débarrasser de sa crasse. Peu de mots sont échangés. L'eau brulante fait un bien fou.

Une fois séchés, il la prend dans ses bras et la monte dans sa chambre, sur la mezzanine. Le lit est spacieux et confortable. Ils s'enfouissent sous la couette et Ryo retrouve une nouvelle vigueur alors qu'elle s'emboite contre lui. L'idée qu'elle pourrait le faire crever de trop baiser lui traverse l'esprit. Ce serait une belle mort.

"Arrête d'me chauffer Cora!"

Il est dur comme la pierre. Il la fout sur le dos et après s'être enduit la queue de lubrifiant (il en a toujours dans le tiroir de son chevet), il s'abat entre les cuisses pour lui enfiler le cul à nouveau. Il y entre tout simplement alors qu'il écrase ses lèvres contre les siennes. le pieu souffre de cette agitation brutale qui le secoue. Encore une fois, il la défonce et fait de son corps, un temple de la sodomie. il vient rapidement même si ce n'est que de quelques gouttes avant de s'effondrer. Il s'endort fiché en elle et en murmurant des vulgarités ... très vraies.

C'est tard qu'il se réveille le matin suivant. Cora pionce encore. Il descend prendre une douche et s'envoie un verre de whisky. Ils ont picolé comme des trous. Le loft nécessite un bon coup de propre, la femme de ménage va avoir du boulot. Ryo passe un boxer et s'allume une clope. Quelques minutes plus tard, il remonte dans la mezzanine et s'assoit côté Cora. Il pose sur le chevet un verre contenant un mélange vin rouge-coca, le top pour se remettre d'une cuite, il faut toujours relever le taux d'alcool quand on se sent mal. Et sur un petit miroir, une petite ligne de coke coupée. Elle va peut être se réveiller avec une gueule de bois monstrueuse. Autant qu'elle s'y habitue. la dépendance ne pourra qu'être bénéfique pour les projets du flic.

"Hey salut beauté! Tu te souviens de moi? Le type sympa que t'as sauvagement violenté toute la nuit...."

Il se marre, c'est pas faux. Il est bien, rien à voir avec un réveil aux côtés d'une pute anonyme.

Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Cora Travers le samedi 18 octobre 2025, 15:31:06
Avec un amant tel que Ryo, Cora est servie. Elle voulait du sale, du brutal ? Elle a le droit à la totale. La drogue joue sûrement un rôle dans l’abandon avec laquelle elle se livre sans rechigner à la moindre cochonnerie venue. Oui, elle est libérée, mais la blonde n’est pas suicidaire. Et la façon dont elle manque d’air parfois, dont il comprime sa gorge sans douceur… Sans la drogue, elle aurait probablement mis un stop à ces tentatives d’étouffement.

Comme elle est droguée, elle se complaît plutôt dans cette sensation de ne devoir la vie qu’à la bonté de Ryo. Elle mouille à la pensée qu’elle est ainsi à sa merci. Elle gémit, crie quand elle le peut, son plaisir de se faire ainsi maltraiter. Elle jouit alors qu’il ne fait que l’ouvrir en deux avec son chibre avant de lui remplir les entrailles de cette semence brûlante à laquelle elle a déjà goûté.

Elle s’affaisse littéralement comme une poupée quand il la relâche enfin et elle doit lui offrir un spectacle bien pitoyable. Ruinée, ravagée, dégoulinante de foutre…. Et l’air totalement béat de celle qui vient d’avoir un putain d’orgasme. Elle ne proteste pas alors qu’il empoigne sa courte crinière blonde pour la faire se mettre à genoux devant lui. Elle lève un regard embrumé vers le mâle, ne tiquant pas quand il se sert de ses cheveux pour s’essuyer la queue. Elle se mord la lèvre, alors que l’excitation court toujours dans ses veines. Elle se frotte les cuisses l’une contre l’autre quand il lui crache au visage. Son corps tremble, noyé sous l’extase et la drogue qui bouleverse sa chimie interne. Elle halète, gémit alors qu’il la traîne par les cheveux jusqu’à sa salle de bain, le suivant à quatre patte comme elle le pouvait.

Elle retrouve une position agenouillée devant lui, les jambes écartées, mais dans la douche cette fois-ci. Hagarde, haletante, cherchant toujours à retrouver le plaisir de l’orgasme, la mutante lève un regard enfiévré vers le flic. Avec l’alcool et la drogue qui se mélangent dans son sang, la blonde ne réfléchit plus. Elle se contente d’agir, de réagir. Quand le mandrin de Ryo tape contre son visage, elle cherche à le happer de ses lèvres. Ses mains viennent se caler entre ses cuisses pour frotter contre sa perle gonflée. Il peut voir à quel point elle est désespérée pour une autre jouissance alors même qu’il commence à lui uriner dessus. Elle ne tique pas, acceptant la douche dorée comme elle aurait accepté un bukkake. Elle ouvre même la bouche et lui offre un spectacle obscène en se gargarisant avec, ses mains frottant toujours contre son clitoris malmené, ses doigts essayant sans succès de combler le vide de sa fleur mais incapable de reproduire l’effet de la queue de son amant.

A vrai dire, à ce moment, elle ne réfléchit plus du tout. Son cerveau cesse de fonctionner, n’enregistre plus le moindre souvenir. Elle n’est qu’instinct et besoin. Elle s’offre à la douche dorée autant qu’à la vraie douche qui suit. Elle le suce avec entrain même s’il ne décharge pas de quoi l’étouffer avec son foutre cette fois-ci. Cora est ravagée mais surtout sous le coup de la drogue. Elle qui n’en avait jamais pris auparavant -si on exclut l’opium avec laquelle elle avait été droguée une fois- et ça se ressentait dans sa façon d’agir.

Elle glousse quand il la porte pour l’emmener au lit, et se colle contre lui sous les couettes. Elle se love de manière à pouvoir l’allumer de plus belle, ses courbes généreuses contre ce colosse au chibre ravageur. Sa voix se casse alors qu’elle profite de cette dernière sodomie, et son corps atteint enfin cette jouissance qui lui avait manqué après celle d’avant. Rassasiée -ou peut-être juste trop épuisée- la mutante se laisse sombrer enfin dans le sommeil réparateur dont elle a bien besoin. Non sans gémir d’approbation quand il murmure des insultes à son encontre.



Le réveil est brutal. Pas autant que la soirée de la veille, mais son crâne est martelé par un pic-vert invisible. Elle a la gorge sèche, irritée. La bouche pâteuse. La cuite de la veille était une bonne. Elle rechigne à ouvrir les yeux alors même que la voix de Ryo lui parvient au travers de la couette dans laquelle elle s’est emmitouflée.

« J’dirais qu’on s’est violenté m’tuellement, marmonne-t-elle en levant un pan de couette pour darder son regard clair sur le beau brun. »

Ses prunelles accrochent le verre qu’il a posé sur la table de chevet. L’idée de boire ou de manger quelque chose à cet instant lui était insoutenable. Mais la curiosité était visible sur ses traits encore relâchés par le sommeil.

« Qu’essessait ? énonce-t-elle sans réussir à articuler. »

Elle s’étire légèrement sous la couette, et une grimace déforme alors son visage brièvement. Ouch. Elle la sent bien la nuit passée. Mais un sourire satisfait étire ensuite ses lippes.

« Daaaamn, tu m’as bien ravagée cette nuit, glousse-t-elle d’un air comblé. »

Reportant son attention sur Ryo, elle rejette un peu plus la couette, exposant son corps nu et encore brûlant de sommeil à l’air frais du loft. Au passage, son regard accroche la réflexion de la lumière dans le miroir posé sur la table de chevet à côté du verre. Et la ligne de coke.

Troublée, elle ouvre les lèvres pour parler mais pas un son n’en sort. Elle n’aurait pas dû accepter la drogue hier, mais elle l’a fait. Remettre ça, en revanche ? Elle n’était pas certaine que ce soit un choix judicieux. Et que ce soit proposé par un flic ? Un millier de question se bousculaient soudainement dans son esprit.

« Tu es sûr pour… ça ? Demande-t-elle finalement en désignant la drogue du menton. Si tu voulais une excuse pour me mettre les menottes… Il fallait juste demander ! Tente-t-elle de plaisanter. »

Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Ryo le dimanche 19 octobre 2025, 16:15:07
La frontière entre délire, alcool, stups, sexe et réalité était ténue. Il suffisait de peu pour que tout bascule d'un côté ou de l'autre, entre une plongée dans le monde de la déchéance et un retour à une normalité plus rassurante. Cora en était là. Elle pouvait être prise d'un rejet violent de ce qu'elle avait fait ces dernières heures ou alors elle pouvait s'enfoncer en espérant retrouver les sensations intenses qu'elle avait vécu.
Devant son hésitation, Ryo revint vers elle, et d'une manière très virile, très masculine, la prit par le menton pour la tirer à lui et l'embrasser. Cora n'était pas une poupée de porcelaine. Pour la conquérir, il fallait être puissant, dominant, sûr de soi. Ce salopard de flic pourri le savait, l'avait compris. Une fille comme Cora, on ne lui faisait pas l'amour, on l'enculait comme une pute pour qu'elle puisse atteindre son point de jouissance.

"Te mettre les menottes ... MMmm c'est une idée en effet. Mais pour cela, il faudrait que tu m'offenses et là, tu es la plus adorable merveille qu'un mec voudrait trouver dans son lit."

Il lui pelote un sein, ne mentionne ni ne regarde le rail de coke, puis retourne se faire couler un nouveau café, offrant à sa proie la vue de ses dorsaux massifs surmontés d'épaules de buffle.

"Tu devrais boire ma mixture même si ce n'est pas ragoutant. Avec ça, dans une heure, tu me grimpes dessus."

Il la laisse faire. Là, elle tergiverse et la presser d'une manière ou d'une autre pourrait être désastreux. Cora dispose d'un très gros potentiel et nul doute qu'une fois pervertie, elle fera un superbe objet sexuel pouvant peser lourd dans certaines négociations.

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One month later ...

Ryo attend au volant de sa Mustang. Il est garé devant l'entrée d'un labo dont le nom est connu de la communauté scientifique. En double file, il emmerde tout le monde et répond aux coups de klaxons polis par des doigts d'honneur bien plombant.
Cora ne va pas tarder à sortir. Sa petite cocaïnomane a plongé. Ce fameux rail de coke, elle se l'est envoyé et ça a été le départ d'une accoutumance consommée. De la coke, il en a toujours sur lui mais il joue le pote, l'amant, le maitre, protecteur :"Doucement Cora, c'est trop là..." ; "Ça suffit pour aujourd'hui ma belle".
Il s'arrange pour qu'elle demande, et pas que lui propose. Là est toute la différence. Et quand généreusement, il la poudre, généralement, il la défonce juste après. Parfois, ça va loin. Une fois, elle n'a pas pu aller au travail tellement son cul lui faisait mal...

La porte du labo s'ouvre en coulissant et les vigiles s'écartent. Boom! Prends ça dans ta gueule Ryo. C'te salope sait se faire remarquer, même quand elle s'habille comme une humaine et pas comme une chienne en chaleur. De loin, il lui fait un geste.

Ils vont faire du shopping ... Du putain de shopping de merde! Trainer dans des rayons à choisir des daubes qui finiront arrachées. L'angoisse...
Enfin ... il a promis et comme c'est un peu nécessaire pour ses projets, il va essayer d'y mettre du sien. Ils ne vont pas aller au mall sympa du centre où tous les débiles de Seikusu vont se fringuer "à la mode". Non, il l'emmène là où les putes se sapent. Y'a tout un tas de boutiques tenues par des maquerelles à la retraite  qui n'attendent qu'une pute occidentale à fringuer. Là bas, pas d'élégance: on exhibe pour gagner du fric. Et le corps de Cora, c'est un putain argument de vente.

"Salut ma belle!"

Ses lèvres sont fraiches, son parfum enivrant.

"Prête à vider mes poches?"
Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Cora Travers le dimanche 26 octobre 2025, 17:41:33
La jeune mutante avait résisté à l’attrait de la drogue, au début. Elle avait fait comme si elle n’en avait jamais pris, comme si elle n’avait pas ressenti des choses merveilleuses alors qu’elle était sous l’emprise de la coke. Mais elle n’avait pas tenu. Le sexe avec Ryo était bon, c’était indéniable. Mais il lui manquait quelque chose pour retrouver les sensations de cette nuit-là. Et Cora avait flanché. Elle avait sniffé ce second rail. Et puis un troisième. Et ainsi de suite. Jusqu’à ce qu’elle soit devenue irrémédiablement accro. Et, un mois plus tard, la mutante n’avait pas décroché.

Oh, elle faisait illusion pour ses collègues. Elle mettait ses retards ou ses absences sur le compte de sa vie amoureuse bien remplie, de maladies éphémères ou autres mensonges. Elle ne se droguait pas au taff, mais c’était là l’une des seules limites qu’elle s’était imposée.

Ce jour-là, elle sort du labo avec un sourire radieux en voyant que Ryo l’attends déjà. Elle ne s’attendait pas à ce que leur relation soit autre chose qu’une nuit sans lendemain. Pourtant, elle a l’impression d’être aussi accro à sa présence qu’à la drogue qu’il lui fournit avec hésitation. Le sexe entre eux est fabuleux. La mutante est comblée par cet amant fougueux. Elle n’imagine pas trouver quelqu’un d’autre qui puisse la satisfaire. Mais ils s’entendent bien aussi. Du moins, elle en a l’impression, même quand elle n’est pas droguée.

Ignorant les vigiles qui s’écartent pour la laisser passer, la jeune femme aux courts cheveux teintés en rose se précipite vers la voiture où attend le flic qui partage sa vie et ses nuits. Elle contourne le véhicule et s’installe côté passager, se penchant vers lui, écrasant sa poitrine contre son torse alors qu’elle l’embrasse pour le saluer.

« Hello darling, réplique-t-elle en souriant après s’être redressée sur son siège. Et pas que tes poches ! Mmh, d’ailleurs, tu aurais un petit quelque chose pour me requinquer, après cette journée de taff éprouvante ? »

Elle lui offre un regard suppliant, écarquillant ses grands yeux bleu pâle, sa main venant caresser la cuisse de l’homme alors même qu’il semble prêt à se réinsérer dans la circulation. Il peut voir que la main qui se rapproche de son entrejambe tremble légèrement, signe certain de manque alors qu’elle n’a pas pris de drogue depuis hier soir. Cora sourit, penchant légèrement la tête sur le côté et arquant son corps pour mettre en valeur cette poitrine qui n’en avait guère besoin.
Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Ryo le lundi 27 octobre 2025, 16:29:19
Alors que Cora recherche l'appât du gain, c'est à dire la grosse queue du flic et un rail de coke, Ryo reçoit un message. Boss Takeda!

Citer
"Hey Ryo!  J'espère que tu ne m'as pas oublié. On m'a dit qu'on te voit pas mal avec une bombe ces derniers temps. C'est ma marchandise?"

Ryo crispe ses mâchoires d'irritation. Le yakuza sait tout; la Toussaint, c'est son quartier et c'est vrai que Ryo lui a promis de lui rapporter une pute occidentale de qualité pour remplacer la dernière ... S'il met Cora entre ses mains, elle finira comme l'autre: dissoute dans un bain d'acide une fois qu'elle aura trop servie ... Mais il a d'autres plans pour elle, des plans plus personnels. Il répond sans attendre, Boss Takeda n'est pas homme à prendre à la légère.

Citer
"Je n'oublie pas mes promesses Boss mais celle-ci est mon casse dalle perso. Et puis, elle est déjà pas mal usée, elle en a pas pour longtemps. Ce serait de la mauvaise came pour vos clients spéciaux. Je traine pas et je vous en rapporte une premium."

De la mauvaise came? Surement pas. Cora c'est de la top qualité made in america. Il la regarde, alors qu'elle se trémousse façon junkie qui peut se lâcher, loin des regards de ses collègues. C'est une toute petite quantité de dope qu'il l'autorise à s'enfiler: pas assez pour se shooter, mais suffisamment pour combler le vide qui s'installe. Ensuite, il baisse sa braguette, sort sa grosse nouille, prend Cora par la nuque et ramène sa tête entre ses cuisses.

Le gros moteur de la Mustang vrombit quand il démarre et il s'engage dans le flux intense de la circulation de Seikusu. Quand ils arrivent et s'arrêtent devant la devanture rose fuchsia du Lady in Pink, il lui a déjà massivement giclé dans la gorge et il ne l'autorise à se redresser que quand il coupe le V8.

Le Lady in Pink est tenu par Sakura Masada (https://zupimages.net/up/25/44/s4m2.jpg), une ancienne pute qui a gravi les échelons jusqu'à tenir simultanément quatre bordels. Intelligente, elle s'est reconvertie dans la mode quand les Grands ont commencé à s'intéresser à ses business. Maintenant, elle gagne encore plus de frics en habillant une majorité des escorts et putes de la ville, et en fournissant aussi les clubs des yakuzas.

"Ryo ... Ça fait longtemps ... Tu m'amènes une ... amie?"

"Ouais madame, c'est une amie qui m'est ...chère."

"Et tu veux lui faire un petit cadeau pour la rendre encore plus ... expressive?"


"Ouais, c'est l'idée, plusieurs cadeaux même ... pour diverses activités."

"Très bien, laisse la moi, reviens dans une heure, je te la prépare."

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Une heure plus tard, le flic est de retour. Sakura est une pro et elle dispose encore d'une grande influence dans le Milieu. Sa boutique, elle la gère, c'est elle qui habille les filles et elle sait y faire. Deux gros sacs estampillés Bitch of the Day attendent sur le comptoir, bien remplis. Vêtements, pompes, accessoires, il y en a pour un demi million de yens. Putain! Il retira ça de ses impôts en frais courants! Mais au moins, ça envoie sévère et l'investissement vaut le coup pour la suite. Sakura a tiré quelques clichés (https://zupimages.net/up/25/44/4qjh.jpg) pour présenter ses produits sur Cora et le résultat est époustouflant.
Ryo passe son bras autour des épaules de Cora.

"Ca t'as plu? Dès ce soir, tu pourras en porter une. On sort! Un diner élégant avec des personnes importantes ..."
Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Cora Travers le samedi 01 novembre 2025, 17:20:10
Cora sniff avec joie la poudre présentée. Pas une grosse dose, cette fois-ci, mais ça comblera les effets du manque qui se font ressentir. Elle ne cille pas devant les manières brusques du flic. Elle s’y est habituée, depuis un mois. Et elle aime le sentir ainsi dominateur. Sans broncher et avec enthousiasme, la jeune mutante entreprend alors de le sucer puisqu’il lui a si gentiment collé sa queue entre les lèvres. Avec ardeur et savoir-faire, la blonde avale la chair rigide jusqu’à ce qu’il cogne contre sa gorge et plus loin encore. Son nez finit par toucher l’aine de l’homme alors que sa gorge se contracte, et elle redresse la tête. Encore, et encore, elle l’aspire, elle lèche et creuse les joues, elle le dorlote tant et si bien qu’il finit par venir et elle peut sentir le sperme chaud couler dans sa gorge alors que sa salive enduit le manche solide et tache probablement le pantalon.

Elle déglutit comme elle peut avec cette queue qui lui occupe la gorge et continue son œuvre alors même qu’il n’a pas fini d’évacuer cette jouissance. La laborantine adore sentir sa main contre sa tête, la maintenant en place pendant qu’il conduit. Elle ne se soucie pas du levier de vitesse qui rentre dans ses côtes parfois alors qu’il change de vitesse, ni même de sa petite culotte qui se retrouve vite trempée.

Quand ils arrivent finalement à destination, la jeune femme s’essuie la bouche avec un mouchoir et réapplique rapidement une touche de rouge à lèvre avant de suivre Ryo dans la boutique face à eux. Elle garde le silence, collée contre lui, observant les échanges qu’il a avec la patronne. Elle l’embrasse avec affection avant qu’il ne parte, et se laisse ensuite guider par la vendeuse pour aller essayer des fringues.

Tout ce qui est dans la boutique est vulgaire. C’est fait pour montrer sans complexes. Il n’y a pas la moindre tentative de cacher ou d’esquisser plutôt que de dévoiler. Mais ça ne dérange pas Cora. Et si ça plaît à Ryo, alors encore mieux ! Elle ne porterait pas ça pour aller au boulot, mais elle imagine déjà les petites soirées qu’ils pourraient faire, tous les deux.

Quand il revient la chercher, plus tard, les sacs sont prêts et chargés. Cora a laissé la patronne choisir les pièces qui lui allaient le mieux, n’ayant pas vraiment de préférences. Ce n’est pas son style habituel, alors elle fait confiance à celle qui connaît sa marchandise. Et ses clients.

« Oh, super, darling. Il va falloir que tu m’aides à me préparer par contre, rit-elle en se collant à lui. Certaines de ces fringues, tu n’imagines pas ce qu’il faut faire pour les faire tenir ! »

Il paye, et elle l’entraîne avec lui pour sortir de la boutique, saluant Sakura d’un geste de la main. Elle remonte dans la voiture et attends qu’il remette le contact pour venir à nouveau laisser ses mains s’égarer sur lui. Elle ne tremble plus comme à la sortie du taff, mais il peut néanmoins sentir la tension qui guide ses gestes. Cora attends toutefois qu’ils soient arrivés chez lui pour venir lui faire d’autres avances, le poussant littéralement sur le sofa avant de venir s’installer sur ses cuisses.

« Si tu savais comme la journée a été longue… Et je ne pensais qu’à une chose, susurre-t-elle en ondulant sur lui comme une petite chatte en chaleur. On peut peut-être s’amuser un peu, avant de se préparer pour le dîner, mh ? Une petite dose de bonheur, une grosse dose de ton foutre partout sur moi et en moi, et à la douche ? Je pense que c’est un bon programme, tu en dis quoi ? »

Tout en parlant, ses mains cherchaient déjà à le déshabiller. Elle avait ôté sa veste et son débardeur et collait sa poitrine sous le nez du flic sans aucun remords.

« J’ai vraiment très envie de toi Ryo. Je crois même que c’est un besoin à ce niveau-là… »
Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Ryo le lundi 03 novembre 2025, 12:12:30
Si Ryo s'était considéré comme une bonne personne, alors il aurait mesuré la chance d'avoir une bombe telle que Cora comme copine ... ou quel que soit le nom qu'on pouvait donner à leur relation. Elle représentait tout ce qu'un mec standard pouvait attendre de sa nénette, tant en comportement qu'en présence physique.
Mais le flic n'était pas un bon mec et la considération qu'il portait à l'américaine se limitait à ses capacités exceptionnelles à assumer sa condition de petite salope. Quoique ... peut être pas seulement car Cora diffusait aussi sa bonne humeur contagieuse et plus d'une fois, elle l'avait fait rire franchement. Lui qui était plutôt du genre loup solitaire se plaisait de la compagnie de sa cochonne de service, et même s'il la shootait volontairement et qu'il abusait d'elle à outrance, on pouvait considérer qu'il en prenait soin, à sa manière.

L'homme posa ses mains sur les hanches de Cora. Elle se dandinait sur ses cuisses, véritable vestale du culte du cul, topless, et ses grosses loches ballotaient sous le nez du flic qui durcissait déjà face à ce spectacle lourd de promesses.
Les doigts de Cora, agiles et expert dans le domaine du déshabillage d'opportunité, couraient sur les vêtements de Ryo et en moins de deux, il était torse nu, débraguetté, et le chibre à l'air.

Il était arrivé à ses fins et Cora était prête à être employée de la meilleure des manières. L'américaine était dépendante de ses services et il dosait savamment les rails qu'il lui permettait de s'envoyer pour la garder sous contrôle sans pour autant qu'elle se grille, et le cerveau, et au boulot. Il avait réfléchi un peu. Il l'aurait bien gardé juste pour lui mais elle représentait un atout pour ses business. Avec elle, il pouvait obtenir ce qu'il voulait. Le premier test serait pour le soir même.

Ryo lâcha les hanches de Cora pour saisir ses seins à pleines mains. Il les claqua entre eux, les pressa plus que nécessaire, imprimant la bonne mesure pour creuser un sillon à branlette espagnole. C'te paire de mamelles, il la kiffait. Très souvent, c'est par là qu'il commençait,et c'est aussi là qu'il se terminait, l'inondant de crème épaisse.

Mais à cet instant, alors qu'elle l'avait bien chauffé, il voulait autre chose. Rien de respectueux ni de mignon, non. Il se leva sans effort et pivota faisant glisser Cora sur l'assise du canapé. Elle s'y affala comme une loque et il lui retira son futal et sa culotte. Il allait l'enculer, lui faire le fion, lui péter le cul.
Depuis qu'il la connaissait il avait toujours un tube de lubrifiant à proximité et il s'enduisit la queue de la substance nécessaire à ce qui allait arriver. Ryo se laissa tomber sur elle de tout son poids, relevant une jambe de Cora et écartant l'autre. Il chercha à se guider sans trop y voir et quand il sentit la rondelle serrée s'opposer à son introduction, il y alla franco en grimaçant.  Ça faisait toujours mal au début mais il s'en foutait. Son gros gland domina la résistance et la perfora pour qu'il s'enfonce en elle et sente son rectum l'envelopper totalement. C'est seulement à ce moment là qu'il lui répondit.

"J'en dis que t'es une super coach du cul et que je vais te remplir le fion. Et si t'es une bonne salope, j'te repeindrai la gueule aussi."

Maintenant, elle avait l'habitude de sa vulgarité et des ses petits mots gentils. Pute, salope, cochonne,  sac à foutre, étaient des qualificatifs assumés que Cora savait authentifier à la perfection.

Il la défonça sauvagement. Elle pouvait gueuler ce qu'elle voulait, cela ne changeait rien. Quand il la sodomisait, il fallait que cela soit brutal, dur, intransigeant sur l'extrême violence de sa manière de faire. Cora était écrasée, tordue sous lui, dominée, contrainte. Comme toujours, Ryo cogna jusqu'à ce que Cora ait le cul explosé, et il s'y vida comme un porc en longues giclées poisseuses.

Bien sûr, il n'oubliait pas son plaisir à elle mais à défaut de bite, il utilisa une bouteille vide pour lui ramoner le vagin. Pratique dégradante et humiliante mais perchée comme elle l'était ... Et puis si elle l'ouvrait trop, il lui poudrait le nez et elle devenait enragée du cul. C'était une spirale sans fin.

Il s'était retirée d'elle, laissant une rondelle éclatée qui mettrait un moment avant de retrouver son élasticité. Il se redressa et la releva en la prenant par les cheveux, hissant sa tête à hauteur de sa queue. Il la tenait bien, les mèches de cheveux blonds-roses pointant entre ses doigts serrés.

"Nettoie!"
Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Cora Travers le mardi 04 novembre 2025, 19:35:00
La mutante se dandinait sur les cuisses de Ryo, offrant sans complexe sa poitrine avec laquelle il adorait jouer. Elle se frottait contre l’érection qu’elle sentait prendre de l’ampleur, mouillant déjà rien qu’en repensant aux nombreuses fois où elle l’avait remplie. Peu importe l’orifice, elle en retirait autant de plaisir.

Un cri de surprise lui échappa quand le grand flic retourna la situation, mais elle s’empressa de l’aider alors que le jean et la culotte valsaient. Ses pupilles s’étaient dilatées encore plus que lorsqu’elle avait sniffé son petit rail dans la voiture tout à l’heure, rendant ses prunelles glacées aussi sombres qu’une nuit d’hiver. Elle sut immédiatement où est-ce qu’il allait la remplir quand elle le vit prendre le tube de lubrifiant non loin, et ses lèvres s’étirèrent en un sourire d’anticipation. Elle gigota un peu alors qu’il se positionnait, jusqu’à ce que l’une de ses jambes repose confortablement sur l’épaule du colosse et que l’autre menace de renverser ce qui se trouvait sur la table basse.

Un halètement lui échappa quand elle le sentit forcer l’entrée et s’insérer brutalement, mais le plaisir prit bien vite ses aises dans son corps. Autant que Ryo, d’ailleurs. Les lèvres de la blonde s’écartèrent mais aucun son ne franchit le passage alors que ses yeux roulaient presque dans leurs orbites. Damn, ce qu’elle aimait ça ! Sentir le flic user et abuser de son corps était divin. Peut-être était-ce la coke qui parlait, où l’accoutumance depuis ce mois qu’ils se connaissaient. Mais elle s’en fichait, parce que les sensations qu’il lui procuraient valaient bien le coup.

« Fuck yes !, s’exclama-t-elle d’une voix plus stridente que la normale, le programme l’enchantant décidément beaucoup. Ravage-moi, Ryo ! Mmmh, que je ne puisse plus m’asseoir confortablement quand on dînera ! »

Et il entreprit de faire exactement ça. La jeune scientifique prenait clairement son pieds, à l’entente des gémissements et des cris qui lui échappaient. Et quand elle atteignit le sommet, quand son esprit cessa toute activité pour ne faire que ressentir l’extase ultime, ses ongles se plantèrent fermement dans les épaules de son amant. Elle le sentit d’ailleurs se vider peu après, lui remplissant les entrailles et prolongeant les vagues de délice qui la faisait trembler contre lui.

Encore groggy après cet orgasme foudroyant, la mutante était aussi malléable qu’une poupée. Et quand le colosse lui ordonna de nettoyer sa queue poisseuse, elle ne put que s’y plier de bon cœur. Ses lèvres s’arrondirent pour venir happer le gland, suçotant et usant de sa langue pour nettoyer les fluides qui le couvrait. Une main vint se caler contre les hanches de Ryo tandis que l’autre venait caresser les bourses, comme pour les remercier de lui offrir tout ce bon foutre brûlant.

Bientôt, ses lèvres s’enhardirent. Elles aspirèrent de plus belle et progressèrent le long de la tige veineuse. La jeune femme prenait les ordres de son amant très au sérieux, et elle le nettoyait méthodiquement. Chaque centimètre carré de peau était aspiré, léchée, possiblement mordillée aussi. Enfin, le gland toucha la glotte. Puis passa outre alors que la blonde continuait jusqu’à ce que son nez s’écrase contre le pubis de l’homme. Là, elle le garda prisonnier de longues secondes, ne luttant plus que vaguement contre le réflexe qui voulait qu’elle ait des haut-le-cœur. Avec soin, elle contracta sa gorge autour du gland avant de relever la tête, reprenant son souffle un instant. Et revint aussitôt ensuite, prenant un rythme soutenu pour espérer recevoir sa récompense. De temps à autres, la mutante relevait les yeux vers Ryo et le ressortait d’entre ses lèvres pour jouer avec le gland contre sa langue, pour frotter son visage contre la hampe luisante de salive. Elle prenait plaisir à lui offrir ainsi sa bouche et sa gorge. Et il pouvait le lire dans son regard assombri, dans son empressement à venir l’avaler ou encore dans la manière dont ses cuisses se frottaient entre elles et luisaient de cyprine.

Quand elle le sentit sur le point de venir, la petite délurée s’empressa de venir coller son nez contre l’aine de Ryo, lui laissant libre usage de sa gorge abusée. Elle comptait bien recevoir sa dose de foutre directement dans l’estomac pour ne pas en perdre une goutte.
Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Ryo le mercredi 05 novembre 2025, 16:36:06
Quelle faiblesse que celle de l'homme face à l'expertise d'une suceuse de l'envergure de Cora. S'il avait vraiment voulu s'arrêter là, il n'aurait pas réclamer la voracité de sa bouche. On n'interrompait pas gentiment une pipe de l'américaine comme on éteignait la télé. Non, nécessairement il fallait aller jusqu'au bout car lui comme elle ne toléraient pas la demie mesure. Si limites il devait y avoir à leurs relations, principalement sexuelles, ce serait comme restreindre un réacteur nucléaire au fonctionnement d'une mobylette.

Aussi quand Cora passa d'une fellation gourmande à une gorge profonde cradingue, Ryo ne put que suivre le mouvement et prit son tour de responsabilités.

Il fallait voir la scène que même un réalisateur de porno confirmé n'oserait pas demandé à une actrice chevronnée. Le sofa était le support de l'acte, les protagonistes une putain vampirique conditionnée au sperme et un colosse ultra violent sans aucune moralité, et l'objectif: purger les burnes de l'un pour remplir l'estomac de l'autre.
Ryo retira les mains de Cora de son corps et craqua un rictus quand il constata qu'elle l'avait griffé au sang: adorable! Il l'arracha à sa queue et la repoussa sur l'assise du sofa, mal foutue, à moitié posée sur le dos, à moitié prête à en tomber. Lui, vint s'agenouiller au dessus de la poitrine de Cora. Il lui coinça un bras contre le sofa en calant son genou au dessus du creux du coude de la jeune femme pour ne pas la blesser non plus. Ensuite il pivota son bassin pour accéder à son visage. Pas d'avertissement! Il pèse et force les lèvres pour lui plomber la gorge, de traviole, c'est dégueulasse. Qu'elle encaisse ou pas, rien à foutre! Le colosse neutralise l'autre bras de Cora en le verrouillant au dossier de sa poigne de fer. Elle est à lui, sa gueule de salope est à lui, exclusivement et totalement.

"HAN!"

Sa force pourrait lui déboiter la mâchoire.

"HAN! HAN!"

Deux coups de reins mal gérés l'empêche de passer là où il veut. Il remue, ajuste!

"PUTAIN, PRENDS CA!"

Il sait très bien que ce n'est pas clean tellement ça râpe sur les bords. Putain qu'il explose. La gueule de Cora, c'est une fosse, pas sceptique, mais pas loin.

"HA! HA! HA! BORDEL! ARGH !!!"

Les mouvements du flic sont désordonnés. Il nique comme un sauvage et la tête de Cora est prise dans un étau sans pitié. Le pelvis de l'homme s'y écrase furieusement. Là, on a dépassé l'acte sexuel, on est déjà plus dans l'extrême démesure de la décadence de ce couple improbable.

Et quand l'orgasme arrive, Ryo hurle comme un animal blessé et se fiche au plus profond de la gorge de Cora. Son énorme gland gonflé de sang se loge dans l’œsophage de la jeune femme, forçant le conduit à se dilater comme il ne l'a jamais fait. C'est une première fois ... et quelle première fois ...
La tête et les épaules de Cora sont masqués par l'énorme masse du flic. Il la comprime, lui interdit tout mouvement, empêche les spasmes de se libérer. Magnifique bouche à foutre, superbe outre à sperme que la nymphomane américaine.

Ryo ne la relâche pas, NE L'Y AUTORISE PAS!


Il abuse égoïstement et reste en elle. Putain ouais qu'il sent qu'elle veut réagir. Mais non salope! Encaisse putain!

C'est trop, c'est extrême. Et quand il se retire enfin, c'est avec une immense satisfaction qu'il contemple SA loque.

"J'vais pisser. Si t'as encore soif ..."

Il se dirige vers la salle de bain.
Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Cora Travers le mercredi 05 novembre 2025, 19:50:49
La mutante ne tarde pas à sentir la situation se renverser. Repoussée contre le sofa dans une position qui pourrait certainement être plus confortable, la blonde se retrouve bien vite coincée. Mais loin d’elle l’idée de protester. Au contraire. Ses lèvres s’ouvrent en grand, prête à accueillir de nouveau la trique épaisse de Ryo.

Dans l’état d’excitation où elle était, Cora n’avait plus de limites. Plus c’était brutal, plus elle appréciait. Ou peut-être que c’était son amant qui l’avait conditionnée de la sorte après un mois. Mais, dans tous les cas, elle se livrait bien volontiers à cet assaut sexuel brutal. Quitte à avoir la mâchoire endolorie ensuite. Elle n’en avait cure. Elle voulait juste cet orgasme qui la narguait de plus belle.

La force avec laquelle le flic investissait sa bouche, sa gorge, était anticipée. Le manque d’air qui se faisait parfois sentir aussi. La laborantine avait les yeux qui se révulsaient presque alors que le plaisir montait toujours plus dans son corps maltraité. Les grognements de son amant, les mots « doux » qu’il pouvait avoir à son encontre, la puissance de ses coups de reins… Tout ça faisait parti des déclencheurs de son deuxième orgasmes. Mais ce qui la fit basculer, ce qui l’envoya directement au-delà du septième ciel, ce fut le manque d’air. Dans son corps à la chimie chamboulée par la drogue, le manque d’air qui la faisait trembler et se débattre futilement contre la puissance de Ryo fut le moment décisif pour faire de la nymphomane blonde une femme fontaine. Ses cuisses n’étaient plus humides, elles étaient trempées.

Son corps qui se débat toujours vainement contre la prise que l’homme avait sur elle. Le manque d’air commence à lui faire tourner la tête en plus de la faire jouir. Elle tremble, la pauvre, la gorge pourfendue par l’épaisse queue du flic.

Enfin, finalement, il la relâche. Cora tente de prendre une grande inspiration. Elle tousse, son corps agité de soubresaut alors qu’il se réhabitue à l’air qui circule de nouveau dans ses poumons. Elle manque de vomir, mais retient l’impulsion avec peine. Elle bave, en revanche. Elle pleure. Elle a le nez qui coule. Mais, malgré tout, elle plane. Vaguement, elle entend les paroles de son amant. Il faut un certain temps avant que la signification de ce qui avait dit lui parvienne au cerveau.

Une lueur salace éclaire son regard larmoyant alors qu’elle lève la tête pour voir son dos s’éloigner en direction de la salle de bain. Elle tente de se relever mais chancelle et se ramasse contre le tapis. Tant pis, elle ira à quatre patte. La jeune femme atteint péniblement sa destination et, comme elle l’avait deviné, il est là, l’attendant dans la douche. Elle se rapproche aussi vite qu’elle peut, avant de s’installer à genoux devant lui.

Cora ferait presque peur à voir avec son visage au maquillage ruiné par les larmes, la morve et la salive. Mais le regard qu’elle lance à Ryo est pleinement satisfait. Elle sait qu’elle aura certainement le droit à un autre rail de coke après la douche, et elle en frissonne d’anticipation. Elle lui adresse un sourire salace avant d’ouvrir grand la bouche et de tirer la langue, prête à s’humilier de plus belle en se faisant arroser d’urine.

La mutante était vraiment devenue une bonne chienne bien dressée, il n'y avait pas à dire.
Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Ryo le jeudi 06 novembre 2025, 15:39:46
La porte de la salle de bain était ouverte et Ryo l'avait vue, sa chose dépravée, sa catin de luxe incapable de se sorti du filet dans lequel il l'avait enfermé. Le loft du flic était devenu l'antre de la perversion, de la décadence et de la débauche.  Pas un meuble n'avait échappé aux positions imposées par Ryo à Cora. Écrasée contre un placard, allongée sur une commode, prise sur le plan de travail de la cuisine, bourrinée d'innombrables fois sur le grand sofa.  Et pas que ... Leurs jeux les avaient poussé jusqu'à utilisé des objets de la vie courante, tous insérés dans le corps de Cora: bouteilles de tailles et formes diverses et d'autres choses improbables.

Cora avançait comme une chienne blessée, à quatre pattes, se trainant vers sa gamelle: la douche, et son maitre: Ryo. L'homme l'attendait, grand seigneur, la bite molle mais fourmillante de ce qu'il avait a purgé. Gaver Cora de foutre n'était pas tout. L'esprit malade du policier voulait aller plus loin, tester d'autre chose, repousser les limites de la jeune femme et en faire l'objet sexuel parfait, capable de s'acquitter de toutes les ignominies. Il ne l'aida pas, la laissant galérer pour le rejoindre, ne bougeant pas d'un iota jusqu'à ce qu'elle s'agenouille devant lui, offerte mais aussi désireuse de s'abreuver du supplément proposé.

Il avait gagné. La coke et sa queue avaient fait de Cora ce qu'il en voulait: une femme capable de jouer les putes de caniveau comme les escorts de luxe, celles que l'on ne trouvait que dans les grands palaces, disponibles aux bars de ceux-ci, sirotant un champagne hors de prix dans l'attente d'un richissime client.
Cora était belle, sublime même, quel que soit son état. Il suffisait dorénavant de la gérer, c'est à dire de la maintenir dans un état acceptable pour en faire un atout de première main. Et premier test, ce soir!
Mais en attendant ...

"Arrête de gigoter putain, on dirait que c'est toi qui veux pisser. Redresse toi, ouvre bien la bouche. Ouais, comme ça. Interdit de cligner des yeux! Et tu recraches pas!"

Ryo orienta sa queue vers le visage de l'américaine et ne prit pas la peine de viser. Le geyser d'urine jaillit, assez chaotique. Si la trajectoire directe parvint à la bouche de Cora, des éclaboussures imbibèrent ses cheveux et son visage. Et puis, il y en avait bien trop en réalité donc il secoua sa molle un bon coup et termina de ruiner SA femelle.

"Bonne petite chienne. Lave toi maintenant et prépare toi ensuite. Applique toi, il faut que tu sois belle. Fais ça bien et j'te préparerais un kiff à la cuisine." (Il entendait par là un rail conséquent qui ramènerait Cora à une réalité sereine, loin des nécessités de la dépendance).

Il se lava, monopolisant la flotte et la laissa glander ensuite alors qu'il se préparait. Ils allaient rencontrer un élu de la ville, le directeur des projets immobilier et adjoint au maire actuel. Ce type était une crapule, un salopard de la pire espèce, fabuleusement efficace devant les médias mais cruel, avide et totalement corrompu dans son activité professionnelle. Il gérait ses petites affaires d'une main de maitre et Ryo le soupçonnait d'être justement soutenu par le maire contre lequel personne n'avait rien à dire ....

Mais ce qui amenait Ryo a rencontré l'homme véreux ce soir, c'était l'ouverture d'une tripot clandestin au cœur du quartier de la Toussaint. Par tripot, on entendait un établissement de luxe enterré sous les fondations d'un vieil hôtel pouilleux. Les yakuzas aimaient le jeu et les bimbos occidentales et les fonds dont ils disposaient intéressaient bien évidemment les loups des business moisis. Le quartier de la Toussaint, c'était le territoire de Ryo, son terrain de chasse et sa zone de prospection. Avec lui, l'élu voulait éviter l'intéressement de la police mais ce n'était pas gratuit et cette petite soirée allait définir les "avantages" que Ryo allait tirer de cette "collaboration". Et Cora allait contribuer à la générosité de l'élu, qui serait accompagné de "collaborateurs" importants.

Une fois n'est pas coutume, il se rasa et passa un costume couteux (sans cravate). Autant faire bonne impression, et particulièrement ce soir-ci.

Après, en attendant Cora, il lui prépara son rail , hautement mérité, puis s'alluma une clope.
Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Cora Travers le jeudi 06 novembre 2025, 18:53:12
Le regard clair de la mutante se fixe sur Ryo alors qu’elle cesse de se tortiller. Sagement, elle obéit aux injonctions et n’a pas à attendre longtemps pour être un peu plus dégradée encore. Elle fait son possible pour avaler au maximum ce qui inonde sa bouche, mais une grande partie lui coule sur les joues, le menton et termine sa course le long de sa poitrine. Elle essaie de ne pas ciller, de se montrer parfaitement obéissante pour faire plaisir à son amant, et son regard larmoie de plus belle alors qu’elle se fait arroser comme si elle était sous la douche.

Quand le jet se tarit enfin, la blonde referme la bouche et cligne rapidement des paupières. Dans l’état où elle est, abrutie par le plaisir et la drogue, elle ne s’offusque absolument pas du ton ou des manières brusques du flic. Elle lui offre au contraire un sourire satisfait et attends sagement qu’il termine de se doucher.

S’aidant du mur, Cora réussit enfin à se redresser et tourne immédiatement le jet d’eau plus chaud, fermant les yeux en savourant le bien-être que l’eau chaude procure à son corps abusé. Si elle avait eu le temps, elle se serait prélassée dans un bain chaud pendant un long moment. Mais il fallait penser à la réservation qu’avait Ryo pour le dîner, aussi fit-elle en sorte de limiter le temps passé sous la douche.

Sèche, elle retourna dans le salon entièrement nue pour y saisir le sac de fringues que l’homme venait de lui acheter. Avant de retourner à la salle de bain pour s’habiller, elle lui demande quelle tenue il préfère qu’elle porte ce soir. Puis elle va se déguiser dans le costume choisi. Oui, pour Cora, toutes ces fringues ne sont que des déguisements. Tant qu’elle ne les met pas dans la vie de tous les jours pour aller bosser ou faire des courses, ça restera ainsi.

Une fois prête, elle prend le temps de souligner son regard de khôl, d’allonger et épaissir ses cils avec du mascara et, enfin, elle peint ses lèvres au rouge à lèvre. Comme coiffure, sa courte crinière ne permet pas grand-chose. Aussi se contente-t-elle de les sécher avec soin et de les brosser. Une paire de boucle d’oreille complète la session maquillage. Pour terminer, elle glisse ses pieds dans les chaussures assorties au déguisement et descend enfin retrouver le flic dans la cuisine.

« Comment tu me trouves, Darling ? Demande-t-elle en venant près de lui, tournoyant sur elle-même pour lui faire admirer la vue. Oh, c’est pour moi ? Demande-t-elle en avisant le rail de coke déjà préparé. Tu crois que tu pourras en amener pour le dîner ? Je ne m’excuserais pas longtemps pour me « repoudrer le nez » comme le veux l’expression, je te le promets. C’est juste pour être en mesure d’apprécier la soirée encore plus, mmh ? »

Et elle ne tarde pas à sniffer la récompense quand il lui donne le feu vert, rejetant ensuite la tête en arrière avec un frisson qui lui parcourt tout le corps. A la limite de ronronner, elle se colle après contre lui comme une chatte en chaleur, le remerciant de sa générosité à son encontre.
Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Ryo le vendredi 07 novembre 2025, 15:35:45
Superbe. Il fallait, et ce n'était pas difficile, le reconnaitre. La présence de Cora était absolument fascinante. Ryo en oublia de tirer ses taffes et apprécia chaque détail qu'elle lui exposait. Cette robe fourreau ivoire, d'une indécence absolue, était ce qui caractérisait le mieux la jeune femme: outrance, exposition, exhibition, déballage des atouts physiques. On ne pouvait que se perdre dans ce décolleté tellement profond qu'il ne cachait presque rien. La taille, les hanches étaient définies parfaitement et la coupe verticale sur le coté droit permettait un visuel effarant sur les bas ravageurs que portait Cora. Baisable comme jamais. S'il la lâchait ainsi sur le trottoir, le premier mec qui passait la foutait à quatre patte et la plombait en public.

"T'es craquante Cora. Me chauffe pas, faut qu'on y aille."

Il sort de sa poche intérieure un pochon de coke qu'il lui montre pour répondre à sa question et le remet à sa place. Bien sûr qu'elle va y avoir droit. Pour ce qu'elle va avoir à faire ce soir, elle en aura bien besoin. L'élu en question  n'est pas un beau gosse. Et nul doute que ce qu'il conserve dans son futal n'est pas des plus reluisants. L'abus d'alcool et de tabac se devine à la couleur de sa peau, plus foncée que le commun des asiatiques.

La rencontre à lieu au Takashiro's . Il s'agit d'un restaurant huppé, apprécié des connaisseurs pour la qualité de ses prestations mais aussi pour la discrétion du personnel. Et pour cause, le patron est un yakuza notoire et il a tout intérêt à faire de cet établissement prisé un lieu où l'argent transite loin des regards.

Quand Ryo s'y présente, Cora accrochée à son bras, fervente amoureuse au regard amouraché, l'effet est triomphal bien malgré eux. Quel couple parfait digne des meilleurs comptes Onlyfans! Beaucoup de tête se tournent et là  où les nénettes devraient engueuler leur mari trop voyeur, elles matent le flic colossal en retour. Après quelques pas sur une moquette épaisse, un maitre d'hôtel vient s'enquérir de leurs qualités, non sans manquer tomber dans le décolleté de Cora dont les seins semblent vouloir jaillir de l'ensemble.
Sobrement, Ryo donne juste un numéro de table et l'homme affable acquiesce et les mène dans le fond de la grande salle. Là, quelques box savamment isolés permettent aux Grands et aux Riches de faire leur petites affaires. Au numéro 2, le maitre d’hôtel tire un rideau lourd et leur permet le passage. Là, une table ronde, six fauteuils autour, et 4 occupants déjà bien installés. Tout comme le reste du restaurant, l'endroit est ultra luxueux. La table est nappée de draperies françaises, la vaisselle est de haute marque allemande et le vin déjà ouvert et servi est hors de prix. Le prix d'un seul des fauteuils doit valoir le salaire annuel d'un cadre moyen et le capitonnage du box est à l'épreuve des balles autant qu'il isole des bruits entrants et sortants. La lumière n'est ni douce ni vive, juste suffisante pour que tout soit apprécier à sa juste valeur.
En bref, ça pue le pognon.

Les quatre personnes présentes, tous des hommes, se lèvent à l'entrée du couple. Tous se foirent en louchant sur Cora. Si le japonais est réputé pour savoir masquer ses émotions, ce n'est pas le cas ce soir. Nobu Toshida, l'élu, les salue tandis que les autres s'inclinent. L'homme est gras, ventripotent même. Court sur patte et large, il occupera bien toute l'assise de son fauteuil. Son visage est un masque de tofu jaunâtre et ses cheveux noirs épars sont collés à son crâne à grands renforts de laque. On voit bien qu'il a chaud et le col boutonné de sa chemise lui rentre dans le gras du cou. Affreux ... mais important.

"Ryo! Mon brave Ryo ... Je disais justement à mes collaborateurs à quel point je t'apprécie."

"J'en suis ravi monsieur Toshida."

"Et tu nous fait le cadeau de nous amener une ... ton amie. C'est bien, c'est très bien! Bienvenue mademoiselle. Enchanté de faire votre connaissance. Nobu Toshida. Maire adjoint à la ville. Le titre est pompeux mais d'importance, vous comprenez? Asseyez vous donc."

Cora est assise entre Nobu et Ryo; Les autres hommes ne ressemblent ... à rien si ce n'est à des marionnettes dédiées au service de l'élu. Mais ils portent les attributs d'hommes aisés: montres de luxe, costumes de grandes maisons, mains entretenues ...

S'ensuivent les inévitables flatteries et de longues louanges, autoproclamées de l'élu. Tous approuvent, lèvent leur verres, puis après quelques minutes insupportables, le véritable sujet est déballé. Ryo n'en peux plus, il est prêt à exploser. Heureusement que les choses commencent.

"Ryo, mon ami, j'ai étudié tes tarifs. Je comprends ton point de vue mais mon établissement n'est pas lancé. Pour débourser de telles sommes, j'ai besoin d'asseoir la réputation de ma salle. De belles recettes entrainent de belles dépenses mais ce n'est pas pour tout de suite."

"C'est la cinquième salle que vous ouvrez monsieur. Les recettes seront de l'argent de poche; Mes tarifs sont calculés au plus bas, parce que nous nous apprécions."

"OH OH OH! Ryo Ryo ... Tu es malin. Tu prends notre amitié en otage. J'aime ta franchise mais tes tarifs sont trop élevés."

Les cinq derniers mots étaient tombés comme un couperet. C'est là que les négociations commençaient.

L'homme gras se tourna vers Cora et posa ses doigts huileux sur son avant-bras.

"Vous devez vous ennuyez mademoiselle. Parlez-nous un peu de vous. Vous aimez le vin? Quel est votre point de vue. Participez donc."

Son avis, il s'en cognait. Là aussi, les négociations commençaient.

Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Cora Travers le vendredi 07 novembre 2025, 17:21:15
Un grand sourire étire les lippes de la mutante. La douche lui a fait du bien et elle marche presque comme si elle ne s’était pas fait défoncer le cul juste avant. Entendre le compliment de Ryo lui faisait plaisir, autant que de voir le petit pochon de poudre blanche qu’il avait dans sa poche. Elle rit, doucement, et le laisse l’entraîner vers la sortie, la voiture puis le restaurant. Durant le trajet, elle le questionne un peu sur les gens avec qui ils vont dîner. Sur le rôle qu’il veut la voir jouer. Parce qu’elle est peut-être droguée et incapable de lui dire non, mais elle n’est pas conne. Elle est même plutôt intelligente, tant au niveau académique que social.

Bien entendu, elle sait jouer la petite dinde superficielle et qui ne pense qu’à sa prochaine dose de coke. Et s’il veut la voir jouer ce rôle, s’il veut qu’elle ne soit qu’un appât pour que quelqu’un morde à l’hameçon, elle ne va pas refuser de l’aider.

Quand ils entrent finalement dans le restaurant, la blonde s’accroche au bras du flic comme si elle n’était qu’une bimbo faisant parti de son style, de sa décoration. Le regard amouraché qu’elle lui glisse n’est pas feint, mais l’apparente futilité de son être, en revanche, oui. Elle observe les lieux à mesure qu’ils avancent et qu’ils se retrouvent dans une alcôve privée.

Cora sourit joyeusement aux quatre hommes déjà présent, inclinant le buste profondément dans une parodie de respect alors qu’elle captait juste leur attention avec sa poitrine savamment mise en valeur. Elle feint d’être impressionné quand l’homme le plus important face à eux se présente, et glousse doucement, nerveusement, comme si l’idée d’être présenté à quelqu’un de si haut placé lui fait de l’effet.

« Cora Travers. C’est un honneur de vous rencontrer, monsieur ! S’exclame-t-elle pour le flatter avant de prendre place. »

Elle écoute attentivement les hommes parler, jouant distraitement avec le pourtour de son verre de vin du bout de l’ongle. Une main se loge sur la cuisse de Ryo, comme pour s’assurer de sa présence. Cora -pensant qu’elle n’est là que pour les distraire- joue de son corps pour sans cesse attirer les regards. Soit elle s’appuie contre la table, réhaussant sa poitrine, soit elle se prélasse contre le dossier de sa chaise, croisant et décroisant les jambes sous la table, frôlant régulièrement le maire adjoint dans ses mouvements.

Elle comprend bien que Ryo souhaite les assouplir pour son propre bénéfice. Et elle joue le jeu. Quand son voisin de table s’adresse finalement à elle, une main se posant sur son avant-bras, la blonde resserre un instant son étreinte sur la cuisse du flic à ses côtés. Puis, forçant un sourire joyeux, elle tourne la tête pour regarder son interlocuteur.

« Oh, vous savez, je trouve toujours à m’occuper pour ne pas m’ennuyer, commence-t-elle avec un petit gloussement qui voulait tout dire. Je n’aime pas particulièrement le vin, non. Je suis plus adepte de bière, ou d’autres alcools plus fort encore. »

Un clin d’œil est adressé à Nobu tandis qu’elle ramène un bras sous sa poitrine, le long de la table. Elle peut voir les regards s’y diriger mais feint de ne pas y faire attention.

« Vous désirez mon point de vue ? Mince, je n’ai pas prêté attention à la conversation, je pensais n’être là que pour faire joli, plaisante-t-elle, tirant un rire aux quatre japonais. En réalité, je me dis que vous devriez vraiment accepter les termes de Ryo. Je ne prétends pas avoir vos connaissances des affaires, mais je sais que my darling travaille dur et sait de quoi il parle. »

La mutante ne tique pas alors que la main de l’élu glisse contre son bras, venant serrer son épaule avant de revenir sur la table. Elle sait qu’ils se fichent de son avis. Elle le voit bien. Son regard clair glisse sur son amant alors qu’elle sent la main de Nobu venir tâter sa cuisse, glissant sous le tissu de la robe en profitant de la fente qui dévoilait ses bas. Elle voudrait bien gifler cet importun, peu attirant au demeurant, mais ça n’irait pas dans le bon sens pour les négociations que le flic espérait mener.

Mmh, peut-être était-il temps d’un petit repoudrage de nez ? Ses prunelles questionnent le grand flic en dardant sur la poche intérieur de son blouson puis revenant à ses yeux. Au moins, avec de la coke, elle pourrait supporter plus facilement les attouchements de son voisin de table.
Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Ryo le lundi 10 novembre 2025, 16:40:22
Au moins deux des acolytes de l'élu s'imaginent très bien caler un shooter entre ses deux mamelles incroyables pour venir s'y abreuver alors que Cora les met en avant en parlant d'alcools forts. Tous sourient poliment à sa plaisanterie sans y accorder une once d'intérêt. Qu'une femme soit assise à leur table relève de la limite presqu'acceptable mais le fait qu'elle soit sexuellement si parfaite compense l'insulte. Son avis passe à des années lumières de leur considération mais au moins, la partie "échanges de politesse" est faite.

Ryo observe. Les choses vont évoluer. Là, on pose les bases. Chacun émet son point de vue. C'est très japonais comme hypocrisie, surtout en sachant que tout peut terminer dans un bain de sang très rapidement si susceptibilité blessée il y a. En vérité, Nobu va payer et Ryo touchera bien moins que le prix demandé; mais comme celui-ci est déjà calculé avec la perte des négociations ...

Les mouvement moyennement discrets de l'élu à l'égard de Cora ne lui échappent pas non plus, comme à personne. C'est pour cela, à minima, qu'elle est là. Elle fait de gros efforts pour rester américainement courtoise et c'est tout à son honneur; l'homme est répugnant.
Le flic a bien compris l'objet de ses œillades discrètes et il lui sourit. C'est un peu tôt pour la dose mais si elle en exprime le besoin, c'est qu'il existe. Alors que les attentions se plombent dans le décolleté de Cora, Ryo lui glisse ce qu'elle demande dans la main. En revanche et elle ne le sait pas, la coke est couplée avec un truc bien plus pernicieux, le genre de substance qui incite à bien plus que des papouilles tant ça chauffe le corps. C'est dégueulasse mais ... c'est comme ça.

Ryo s'est posé des questions à ce sujet mais quand on parle pognon ... y'a des priorités. Cora aura un petit billet, il la niquera bien méchamment après, et ce sera oublié ... Et puis au pire si elle fait chier, il a des films et des photos qui entrent dans la catégorie super compromettante. Il avait hésité, il l'aime bien Cora. Elle l'aura son diamant ...

Quand elle est partie, son cul captant encore toutes formes de fantasmes, il se cale dans sa chaise.

"Tu veux quoi?"

"Ta pute."

"Elle est pas à vendre Nobu."

"Ta pute, aujourd'hui et quand j'en ai envie. Et tu prends 15000 par mois"

"18000. Y'a aussi le palais de justice à endormir."

"... "

" ... "

"Elle suce bien?"


"Y'a pas mieux."

"Tu nous laisses un peu?"

"18000 ?"

"18000"

 Quand Cora revient, Ryo se lève à son tour pour aller aux chiottes. La fille a les yeux qui brillent, légèrement vitreux. J'reviens qu'il lui dit mais il ne va pas se presser.

Dans le box, Nobu admire le retour de sa marchandise. C'est d'autorité qu'il lui palpe sa cuisse et qu'il prend la main de Cora pour la poser sur son paquet. Le déballage pourrait être imminent ... enfin, les déballages car ils sont quatre à convaincre, pour la forme.

"Passe sous la table."

C'est déjà moins sympa comme ton ...


   
Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Cora Travers le lundi 10 novembre 2025, 19:58:08
C’est avec gratitude que la blonde embrasse Ryo avant de s’excuser pour aller aux toilettes, les doigts serrés contre le petit pochon de drogue qu’il vient de lui refiler. Elle prend soin de rouler des hanches, bien entendu, avant de disparaître de la vue des hommes à table. Une fois seule, les toilettes étant désertées pour le moment, la mutante sort un petit miroir de la pochette qu’elle traîne avec elle et une carte de crédit. Avec dextérité, elle se fait un rail et se l’enfile sans faire de manière.

Pendant qu’elle prend son temps à ranger son matériel, la jeune femme sent la drogue agir. Un coup de fouet, une envie de bouger, de danser… De baiser. Contrairement à l’habitude, son corps s’échauffe sans même que Ryo ne soit responsable. Dans le miroir, la blonde voit ses pupilles s’élargirent alors qu’elle a du mal à s’empêcher de se trémousser pour frotter ses cuisses l’une contre l’autre. Diablement efficace, cette addition dont elle n’est pas consciente dans sa dose habituelle.

Elle se lave les mains, pour donner le change alors que quelqu’un d’autre rentre dans les toilettes, et retourne dans la salle. Par-dessous le tissu ajusté de la robe, la pointe de ses tétons se fait connaître. La pauvre mutante, arrivant à la table, est déjà bien échauffée. Avec dépit, Ryo se lève quand elle se réinstalle. Son regard le supplie de ne pas la laisser seule, mais il lui fait comprendre qu’il va revenir et elle se rassure.

Un sourire hésitant orne ses lèvres peintes en rouge. Il se fige alors que Nobu se fait plus entreprenant, sans prendre de gants. Le souffle de la blonde devient erratique alors que sa main est posée contre l’entrejambe de l’élu et que sa cuisse est prise d’assaut sans vergogne. Mais, consentante ou non, son corps réagit à l’extrême. Comme si un courant électrique la parcourait. Ses lèvres s’entrouvrent de surprise quand l’ordre est donné. Elle déglutit, mais la tension dans ses reins se fait plus forte. Elle a besoin de sexe.

Dans un état second -probablement dû à la drogue-, la jeune femme obéit sans broncher et se glisse sous la table. Agenouillée, avec la vision de quatre paires de jambes qui s’écartaient comme pour l’attirer, la blonde n’hésite qu’un instant avant que la main qui est plaquée contre la trique de l’élu ne s’anime. L’autre la rejoint pour libérer l’engin –beaucoup moins imposant que Ryo, se dit-elle avec dépit- et le branler d’abord doucement.

« Suce, et dépêche-toi, intime Nobu comme elle hésitait. Et n’oublie pas de t’occuper de mes voisins également… »

Une paire de jambe bouge et fait le tour de la table pour s’installer à la place libérée par la mutante aux cheveux roses. Presque comme dans un rêve, elle guide d’abord le sexe de l’élu entre ses lèvres, se rapprochant pour être quasiment lovée entre les jambes de l’homme, et ses mains se dirigèrent à tâtons de chaque côté, vite aidée par les hommes qui calèrent leurs sexe raidis entre ses doigts et se servirent allègrement de ses mains pour se branler.

« C’est ça, petite pute. Suce bien, avale bien ma queue, c’est tout ce que tu mérites ! Qu’elle entend Nobu dire, l’imaginant bien reposer sa tête contre le dossier du siège pour profiter de sa pipe. »

Les mains de l’élu ne tardent d’ailleurs pas à venir se caler sur son crâne. Il la laisse découvrir à son rythme pour un temps, n’appuyant sur son crâne que pour la maintenir quand son nez s’enfouit contre sa toison et la relâchant après quelques longues secondes.

« Quelle petite bouche délicieuse, complimente-t-il tandis qu’elle augmente un peu le rythme des allers-retours de ses lèvres contre sa tige. Vas-y, petite salope. Etouffe-toi contre ma queue ! »

De chaque côté de l’élu, les hommes grognent doucement, ayant hâte de sentir sa bouche chaude contre leurs triques. Ils se branlent sans vergogne avec ses mains pour l’instant, mais ils n’attendaient qu’une chose : Que Nobu lui remplisse la gorge avant qu’ils ne puissent se l’approprier.

La mutante prend vite de la vitesse quand les doigts huileux du maire adjoint se crispent dans ses cheveux. Mais, bientôt, il prend le contrôle et dirige sa tête sans vergogne pour lui baiser la gorge. Il lui cogne le nez contre son aine, encore et encore, puis se crispe alors qu’il est au fond de sa gorge. Il lâche la sauce, exhalant de plaisir.

« Ouais, avale bien tout, c’est tout ce à quoi tu es bonne, catin. »

Enfin, il la relâche. La blonde a le menton couvert de salive et un peu de foutre lui coule au coin des lèvres. Le manche de Nobu est couvert de son rouge à lèvre. Il lui intime encore quelques vas-et-viens, lui ordonnant de nettoyer sa queue poisseuse, avant de la repousser sèchement contre les jambes de celui qui a pris sa place.

« Sa petite bouche de suceuse est toute à vous, les amis, indique Nobu alors que son voisin de table attrape les cheveux teints en rose pour lui coller la bouche sur son propre sexe. »

De taille moyenne, mais fin, il ne tarde pas à utiliser sa bouche comme son vide-couille personnel. La branlette de ses doigts fuselés l’a mis en appétit. Avec quelques rudes allers-retours, il se lâche à son tour, tapissant sa gorge et -retirant son sexe au dernier moment- son visage. Il râle de plaisir, ne la lâchant pas alors qu’il revient lui fourrer son sexe entre les lèvres pour qu’elle nettoie la salive et le foutre qui restent sur sa tige.

« Putain ouais, elle est trop bonne. A vous, les gars ! »

Et, à son tour, il la repousse. Il se lève peu après pour reprendre sa place, reboutonnant son pantalon d’un geste brusque. Et la pauvre Cora est de nouveau attrapée comme si elle n’était qu’une poupée. Elle ne résiste pas, son corps brûlant d’envie de se faire démonter, et ouvre même la bouche avant qu’une main ne vienne la traîner jusqu’à une queue aussi grande que Ryo mais plus fine, plus insidieuse.

Sans se soucier de l’odeur de ce sexe, ses lèvres se referment sur la peau tendue tandis qu’une main la pousse à le prendre en entier dès le départ. La main appuie sur son crâne sans douceur tandis que le gland passe sa glotte et se loge dans sa gorge, manquant de la faire tousser. Bien décidé à se servir lui aussi de cette délicieuse bouche à pipe, il ne prend pas de gants et entame dès le début un rythme soutenu. La blonde en a les yeux qui pleurent alors qu’elle peine à respirer. Elle bave abondamment comme elle n’a pas le temps de déglutir, et son décolleté ne tarde pas à être inondé de sa salive. Son rouge à lèvre est ruiné, à ce point, laissant toutefois encore des marques sur la trique qui cherche à lui pourfendre la gorge.

Une main est prise d’autorité pour se refermer sur un sexe de taille moyenne, une nouvelle fois, mais plus large que tous les précédents. Son pouce et son index n’en font pas le tour. Tandis que sa gorge se fait pilonner sans merci, sa main est utilisée pour branler le dernier des hommes.

Un peu plus tard, le nez enfoui contre l’aine de l’homme qu’elle suce, Cora a de nouveau la gorge repeinte. Elle manque de s’étouffer tant celui qu’elle suce presse sa tête contre sa queue et de la semence coule de nouveau au coin de ses lèvres. Alors qu’elle se sent défaillir avec le manque d’air, que ses doigts se crispent contre la bite qu’elle branle à côté, il la relâche finalement pour lui imprimer quelques mouvements de plus afin de se nettoyer la queue.

« Ryo n’a pas menti. Putain, sa bouche est bonne. J’aimerais bien voir le reste également, patron ! »

Tremblante, la jeune femme est enfin attirée vers la dernière paire de jambe. Vers ce sexe de taille moyenne mais si épais que ses doigts n’en font pas le tour. Pas au niveau de Ryo, certes, mais quand même. Cora ne saurait dire si Ryo est revenu entre temps, elle n’a pas le temps de se le demander. De nouveau, sa bouche est prise d’assaut. Un rythme violent est imposé, le gland violacé butant contre sa gorge sans pitié tandis que la main dans ses cheveux garde une prise ferme.

« C’est un bon vide-couille, c’est sûr. Hey, Ryo ! Elle sert aussi d’urinoir, ta pute ? Demande le dernier qui pilonne rudement la gorge de la blonde. »

Sans pouvoir s’en empêcher, Cora laisse un gémissement s’étouffer contre la queue qu’elle gobe. A quatre patte sous la table, sa croupe est directement tournée vers la place que Ryo occupait. S’il se penche -pour ramasser une serviette tombée, par exemple- il pourra clairement voir sa petite chatte trempée et ses cuisses luisantes.
Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Ryo le jeudi 13 novembre 2025, 20:50:58
Ryo était revenu pendant que Cora pompait l'avant dernier type. Il ne la voyait pas faire mais à voir l'expression du mec en costard, elle devait envoyer sévère. Quand il se crispa et convulsa, il entendit des gargouillis et des déglutitions sonores poindre de sous la table. Cora était dans son rôle... enfin, dans celui qu'il lui avait imposé sournoisement, et sa performance se calculait en milliers de dollars ... Cependant, le flic fronça les sourcils quand elle passa au dernier. Celui-ci avait le visage de la brute débile qui ne jurait que par la force. Hum ... venant de Ryo comme réflexion, c'était paradoxal mais lui au moins, n'était pas débile.
L'homme recule avec sa chaise et e flic voit "sa petite amie" suivre le mouvement. Elle avance à quatre pattes et sort à demie de sous le plateau de la table. De profil, Ryo voit la gorge de Cora déformée par la queue qui y pistonne. C'est crade, c'est bizarre à regarder. Ça lui fait comme un goitre énorme et la peau est tellement étirée à l'extrême que les veines du cou gonflent comme jamais. Le type veut la pousser au delà de ses retranchements et c'est le prix à payer pour que le deal soit conclu. Faut juste faire gaffe qu'elle ne clamse pas en cours de route.
Ce type officie comme chef de la sécurité de l'élu. Ça veut dire qu'il a en charge la sécu des établissements du ripoux. Ryo ne peut pas lui péter la gueule comme il le voudrait. Ça viendra peut être plus tard. EN attendant, l'homme s'accroche à la tête de Cora et se montre impitoyable. Il est tellement excité qu'il n'arrive pas à gicler. Il écrase en rythme le visage de la belle contre son pubis et l'insulte de tous les noms. On voit bien que c'est méchant. C'est brutal dans le mauvais sens du terme. Cora aura la gorge irrité voire plus car dans une ultime pression, il enfonce sa queue bien plus loin que le gorge. Tout est tellement distendu que ... Bref, c'est crade.

Quand il relâche Cora, il n'a pas réussi à éjaculer et la frustration se lit sur son visage. Mais il tente de faire bonne figure et c'est lui qui pose la question mortelle à Ryo. Ok, définitivement, dès qu'il en aura l'occasion, le flic lui brisera toutes ses putains de dents jaunes. Le mec plie sa jambe derrière la nuque de Cora et se replonge dans sa gorge. Il pompe comme un malade, arrachant de douloureux gargouillements à l'américaine. Mais ... non toujours pas.

"Ouais, elle peut aussi servir à ça."

Ryo a les yeux plissés, ceux d'un crocodile qui réfléchit à la manière dont il va bouffer sa proie. L'élu note bien la chose mais comme Ryo vient de lui soutirer plus qu'il ne l'escomptait, il ne réagit pas. En revanche, le porc, lui, crache au quart de tour. Gicler lui est impossible par contre, il déverse  dans Cora un tsunami de pisse alors que Ryo achève à peine sa réponse. Sa poigne est ferme, douloureuse, et il ne relâche la pression que quand il a fini. Sale bâtard!

L'homme éclate de rire et s'écarte pour qu'un autre vienne prendre sa place. Visiblement, celui ci hésite malgré tout à fourrer sa bite dans un urinoir déjà utilisé. Il ordonne à Cora de bien ouvrir la bouche et se soulage à une distance raisonnable, ce qui ne va pas dans le sens de la propreté. Les deux autres n'ont pas envie. Cora, bien que ce ne fut que des préliminaires, est réduite à l'état de loque.

Ryo choisit cet instant pour s'asseoir sous le regard bienveillant de Nobu,

"J'apprécie ton sens de la générosité Ryo mais j'ai une question. Est-ce qu'elle peut faire plus?"

Ryo regarde l'homme avec l'envie d'écraser son gros poing dans sa gueule de fils de pute.

"Ça entre pas dans le deal. Si tu veux plus, tu lui demandes et tu payes."

L'élu prend le temps de réfléchir. Il a suffisamment pris à Ryo et sait quand le danger risque d'apparaitre. Leur relation est particulière, basée sur menace, force et diplomatie ...

"Tu as raison. Cette demoiselle mérite notre considération. Même une pute peut être respectable."

Nobu tapote la tête de Cora.

"Combien tu prends pour qu'on te saute tous ensemble?"
Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Cora Travers le samedi 15 novembre 2025, 13:38:00
(https://www.aht.li/3944382/Cora-Ryo.png)

L’esprit de Cora est tellement embrumé par la drogue qu’elle n’essaye même pas de réfléchir. Elle ne fait que réagir, suivre les impulsions de son corps, des hommes qui profitent d’elle sans vergogne. La pauvre mutante est utilisée sans le moindre égard pour son humanité. Et pourtant… Sa fleur trempée indique qu’au moins une part d’elle adore ce traitement. Ou bien c’est juste la drogue qui la met à l’aise.

Quand Ryo confirme la question du quatrième qui pilonnait sauvagement la gorge de la blonde, il ne tarde pas et coince la tête de la jeune femme contre son aine pour vider sa vessie. Il inonde sa trachée d’urine alors qu’elle ne peut que subir et déglutir comme elle pouvait contre la trique épaisse qui déformait sa gorge.

Quand le flot se tarit enfin, il la relâche pour offrir son corps au prochain qui désir soulager une envie pressante. Cillant, toussant, la mutante obéit pourtant en s’asseyant sur ses talons à distance de l’impudent. Obéissante, elle ouvre la bouche et penche la tête vers l’arrière. L’homme, après une grimace, ne tarde pas à viser sa langue rosée et déverser un jet chaud et odorant dans la gorge offerte. Heureusement, il ne tarde pas à se soulager et Cora peut finalement se redresser.

Le regard hagard, la mutante n’hésite pas à se saisir d’une serviette sur la table pour essuyer autant son menton que sa poitrine, enlevant le foutre, la salive et l’urine qui avait réussi à y couler. D’un geste presque mécanique, elle s’empare d’un verre d’eau qu’elle vide d’un trait, avant de prendre une gorgée du verre de vin auquel elle n’avait que peu touché durant le repas. Elle ne fait que peu attention à ce qui se passe ensuite, ce qui se dit, alors qu’elle reprend son souffle et essaye de calmer les battements affolés de son cœur.

Elle est toujours, cependant, sur des charbons ardents. Le rail de coke trafiqué qu’elle s’est sniffé court toujours dans ses veines. Son corps est toujours affamé, brûlant et suintant. Elle saisit les paroles de Ryo mais le temps que son cerveau analyse et qu’elle comprenne, voilà qu’elle se retrouve à lever la tête vers Nobu. Ses grands yeux bleus passèrent de l’élu à Ryo comme si elle cherchait une réponse.

La pauvre était clairement perdue. Puis, enfin, son cerveau traduisit les sons entendus en mots et elle déglutit. Ses reins étaient toujours en feu. Son corps réclamait plus. Elle voulait un orgasme, enfin, pour soulager la tension qui la rendait folle. Essayant d’omettre le sang qui battait à ses oreilles et assourdissait les bruits autour d’elle, la blonde crispa ses mains fines contre ses cuisses, contre le tissu ruiné de la robe que lui avait payé Ryo plus tôt. Ses prunelles déshabillaient d’ailleurs le grand flic alors qu’elle cherchait frénétiquement quelle somme serait acceptable. La pauvre n’était pas habituée à ainsi marchander son corps. Elle était beaucoup plus encline à s’offrir sans retenue.

Finalement, d’une voix qui se voulait ferme mais qui trahissait ses difficultés à rester cohérentes, la blonde tourna les yeux vers l’adjoint au maire en énonçant une somme qui, elle l’espérait, contenterait l’homme sans toutefois la faire passer pour une marchandise de bas-étage.

« 300 000 yens, lâcha-t-elle après avoir converti le montant de dollars à yen. »

Feignant d’avoir l’air tout à fait à l’aise, habituée, Cora chercha malgré tout un certain réconfort en s’asseyant sur les genoux de Ryo, ses mains venant agripper la chemise qu’il portait comme pour l’empêcher de la repousser. Il était, après tout, la seule présence réconfortante de cette soirée. Mais chercher à se rassurer n’empêchait pas la blonde d’avoir l’impression d’être aussi ardente qu’un brasier et elle se trémoussait presque malgré elle sur les genoux du colosse, frottant ses cuisses l’une contre l’autre et appuyant certainement sa croupe contre l’entrejambe mâle.
Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Ryo le lundi 17 novembre 2025, 16:32:02
"... et c'est par personne ... Ça fait 1200000 pour vous quatre. C'est un prix d'amis parce qu'elle sait qu'en retour, elle pourra compter sur votre influence si nécessaire, n'est ce pas?"

Ryo, c'était le boss, le maquereau, le protecteur. Pas bienveillant quoique d'une certaine manière, il ne s'était jamais aventuré à rendre le parti d'une nénette tout simplement parce que jusqu'à présent, il s'en foutait. Mais Cora, c'était SA pute même si il n'arrivait pas à s'en persuader. Si elle était vraiment ainsi, cela signifiait qu'elle pouvait claquer à ses pieds sans qu'il ne bouge. A la limite, il ferait l'effort de faire disparaitre le corps mais pas plus. Pour l'américaine, c'était différent bien qu'il n'arrive pas à mettre un terme sur son ressenti. Quand il avait rendez vous avec elle, il n'arrivait pas en retard, et il lui avait même offert deux trois trucs inutiles mais qui avaient fait plaisir à la jeune femme. Et là, à cet instant, alors qu'elle jouait le rôle qu'il lui avait assigné, il pourrait buter le premier qui lèverait la main sur elle. C'était un paradoxe car c'est bien lui qui l'avait mise dans cet état de dépendance: à la coke et au cul.

"C'est ... évident." Nobu à l'écume aux lèvres.

Elle était là sur ses genoux, légère et encore superbement désirable malgré l'état dans lequel elle se trouvait. Elle puait. Elle puait le foutre, son haleine était lourdement chargée, mais aussi la pisse et l'aigreur rance de la sueur des mecs qui s'étaient épanchés sur elle. Elle avait tout du déversoir, mais de luxe. Ses cheveux courts sont ébouriffés, son maquillage à coulé et son rouge à lèvres est étalé au delà de ses lèvres gonflées par l'effort d'avoir trop pompé; ou plutôt de s'être bien fait baiser la gueule. Sa robe est lamentablement souillée et sa blancheur immaculée d'origine s'est jaunie d'urine et de glaviots. Bref, Cora est crade, sent fort et représente bien ce pourquoi elle est venue.

Ryo la tient par les hanches. Il se dit qu'il a peut être trop forcé sur la dose de dope additionnelle car elle chauffe comme jamais. Il la sent frémir; le traitement humiliant qu'elle a reçu n'a en rien émoussé son désir de se faire sauter comme ... une pute. Il s'apprête à la lâcher comme on lâcherait une chienne de chasse; les mecs vont déguster et même s'il est faut de dire que les asiatiques ont une 'tite bite, ils font se faire découper la queue.

Le flic ne sait pas encore comment il gérera l'après. Fatalement, Cora retrouvera un semblant de conscience et sa faculté à réfléchir. Elle se posera des questions et il faudra que Ryo anticipe cette redescente. Ouais, il pourrait même faire en sorte qu'elle ait envie de recommencer. Peut être que lui acheter une petite bagnole fera passer la pilule ... Il connait du monde dans ce secteur lucratif, il n'aurait pas à dépenser bien cher.

"Montre leur Cora ..."

Il la repousse de ses cuisses, ce qui est un signal. Les quatre débiles se lèvent aussitôt et se désapent. Rien à foutre qu'on soit dans un restaurant. On se doute bien que Ryo a demandé lors de sa sortie un supplément de discrétion. Il se passe beaucoup de choses dans ces box privés et il y a déjà eu bien pire que ce qui s'y déroule actuellement.

Cora, c'est un objet. Un objet de valeur, certes, mais qui n'a droit à aucune considération. Alors elle est happée et balancée sur un guéridon. Le meuble est petit, parfait pour qu'elle s'y repose sur le ventre. Elle peut essayer de pousser sur ses mains pour se redresser, elle n'en a pas le temps. Un des types brutalise l'accès de ses lèvres, un vrai lapin. Il se donne et lui impose un facefuck minable car il n'a ni la longueur ni l'épaisseur nécessaire pour la faire dégueuler. En revanche, il risque de lui faire mal car sa frénésie le fait cogner de traviole dans la bouche qu'il occupe. Il l'abreuve d'insultes et parvient quand même à lui contraindre le cou de manière assez dégueulasse. Ça bave un max.

Derrière elle, le mec a la bite aussi large qu'une barre de soutien relève sa robe sur son cul. Il l'embroche, il plonge dans sa chatte et passe sans avoir même à forcer. Trop réceptive la pute occidentale! Il la tient fermement par les hanches et cherche à lui briser le dos tellement il cogne dur. Lui, il a un problème d'égo. Il veut dominer méchamment, blesser, aussi Ryo se tend. Fais pas d'erreur mon pote. Y'a des enjeux pour cette rencontre mais y'a aussi un facteur nouveau qu'il ne faut pas titiller. Encore une fois, Cora est à lui.

Les deux autres viennent l'encadrer. Elle a des mains, c'est pour s'en servir. Ses doigts sont refermés de force sur des queues poisseuses et odorantes qui durcissent dès qu'elle les touche. Les glands se frottent sur sa peau, suivent la ligne pleine de la courbe latérale de ses seins écrasés sur le guéridon. On lui crache sur le dos, on l'insulte encore et on lui tire les cheveux. Ramasse salope, vis ta vie de sac à foutre!
Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Cora Travers le mardi 18 novembre 2025, 20:40:23
Cora quitta à regret les genoux de Ryo mais n'eut pas le temps de se lamenter. Immédiatement, la blonde est prise à partie. Allongée sur le petit guéridon, sa bouche est tout de suite réinvestie. Si rapidement, en fait, qu'elle n'a pas eu le temps de se préparer et qu'elle s'étouffa à moitié aux premiers coups de reins énergétiques de l'homme. Même si sa queue n'est pas imposante, ça peut passer de travers. Et ça passe de travers par moments. La pauvre mutante se retrouve avec les yeux mouillés de larmes et de la salive qui lui coule de la bouche.

Elle n'a pas le temps de s'habituer à ce facefuck brutal qu'elle sent sa robe être retroussée sur ses hanches et ses cuisses écartées sans ménagement. Un des sbires de Nobu vient de la pénétrer avec vigueur, glissant sans mal dans sa fleur trempée, et s'emploie à présent à la ramoner sans douceur. Et, malgré elle, Cora adore. Ses gémissements s'étouffent contre le sexe qui lui irrite la gorge tandis que ses mains se referment contre les deux triques restantes pour les branler. Ou, plutôt, ses mains sont employées comme des sex-toys par les deux hommes restants. L’élu commente d’ailleurs sur la souplesse et douceur du corps de l’américaine avec beaucoup d’insultes injurieuses.

Incapable de réfléchir, la blonde subit. Mais elle prend également beaucoup de plaisir, à en juger par les commentaires graveleux sur sa chatte qui dégouline. Le premier, qui prend son pied à dominer la jeune femme verbalement tout en lui percutant les reins comme s’il s’agissait de lui briser le bassin, finit par décider de changer de lieu, toujours incapable de jouir. Il crache grossièrement sur la rondelle qu’il expose en écartant les fesses de la mutante, frotte son sexe contre toute la cyprine qui suinte de sa fleur abusée, et il y va franco.

Malgré la queue qui la bâillonne, le cri surpris et douloureux de Cora est audible. Surtout qu’il ne la laisse pas s’habituer à l’épaisse trique qui fouille ses entrailles et qu’il commence immédiatement à la pilonner avec autant de vigueur que s’il était dans sa petite chatte accueillante.

« Ah, putain, Ryo, son cul ! Tu as déjà bien dû le lui détendre, mais il reste serré pile comme je les aime ! »

Et il n’y va pas de main morte. Tout en la tenant fermement par les hanches, il la secoue avec hargne, l’empalant sans merci contre son épaisse trique. Il finit d’ailleurs par réussir à atteindre l’orgasme, se fichant profondément en elle pour lui repeindre les entrailles dans un grognement d’extase. Pour bien montrer qu’il s’est fait plaisir à lui élargir la rosette, il lui claque les fesses plusieurs fois, brutalement, laissant de grandes marques rouges sur la peau pâle.

Sitôt qu’il s’est retiré, venant s’essuyer grossièrement dans sa raie, un autre prend sa place, libérant une main qui était vite devenue poisseuse. Et tandis qu’il va se poser pour reprendre son souffle, peut-être essayant de taper la discut’ avec le grand flic, Cora est de nouveau remplie. Cette fois, c’est l’homme au sexe long mais pas forcément épais. Il utilise une serviette pour essuyer le foutre qui coule de son pauvre rectum abusé avant de s’y glisser lui aussi.

« Jin, laisse sa bouche ! Viens, on va la prendre en sandwich pendant qu’elle suce le boss ! »

Sitôt l’idée est lancée, sitôt elle est mise à exécution. Celui qui avait prit la place derrière elle la redresse sans mal et l’attire contre lui alors qu’il s’écarte du guéridon. Il la guide vers Jin, qui a enfin relâché sa bouche et qui s’installe sur l’une des chaises.

« Allez petite pute, je sais que tu peux nous prendre tous les deux sans te froisser un muscle. Ça se lit sur ton visage que tu es assez salope pour ça ! »

Il la porte presque pour qu’elle vienne chevaucher Jin et elle ne tarde pas à s’empaler sur la queue tendue de ce dernier avec des gémissements d’extase. Tout à coup, la blonde se sent presque aussi remplie que lorsque Ryo la démonte tout seul.

Elle n’a pas le temps de trop exprimer son plaisir que Nobu attrape sa courte crinière pour la guider, la forcer, à venir prendre son sexe de nouveau dressé entre ses lèvres rougies et maltraitées. A trois, pendant que le dernier se repose, ils ne lui laissent aucun répit.

Ce n’est que quand ils ont tous les trois joui de nouveau, souillant de plus belle l’américaine, qu’ils la laissent s’effondrer comme une poupée de chiffon. Pourtant, Cora a pris du plaisir. Être utilisée de la sorte, bien qu’avilissant, l’a amenée aux portes de l’orgasme. Ce n’est pourtant que quand le quatrième, qui s’était reposé, revient se servir d’elle comme d’un urinoir personnel que la blonde réussit à enfin atteindre le plaisir désiré.

Rincée -dans tous les sens du termes- et tremblante, la pauvre mutante n’a plus du tout l’allure du début de soirée. Elle reste effondrée contre le guéridon, reprenant son souffle et ses esprits, pendant que les hommes reviennent discuter avec Ryo.

Cora ignore combien de temps est passé, mais elle relève bientôt la tête pour voir le flic saluer les quatre japonais qui s’en vont.

« On rentre à la maison ? Demande-t-elle d’une voix faible, cassée, alors qu’elle ne rêve que de prendre une douche… Et peut-être une autre dose de coke, s’il n’est pas trop tard. »
Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Ryo le vendredi 28 novembre 2025, 17:08:39
C'est le Black Friday pour Cora. Sa prestation coûterait en réalité bien plus que le prix qu'elle a annoncé. L'américaine a sorti la réduction de l'année à s'offrir pour si peu. Le full-service qu'elle octroie relève de la perfection. Pour Ryo, spécialiste en la matière et derniers des salopards, c'est un crime qu'elle reçoive si peu en compensation. Maintenant, c'est elle qui balancé un chiffre donc il ne va pas intervenir pour faire remonter les gains. La fille prend une sérieuse dérouillée, et en l'absence de protestations, ses assaillants se lâchent furieusement. Le cul pour le cul, c'est cool. Mais le cul pour se sentir un homme un vrai, c'est merdique. Si Cora brille, les quatre débiles sont pathétiques. De vrais minables congénitaux plus proches de la larve écrasée que du prédateur sexuel de qualité. Le flic se dit même que pour au moins deux d'entre eux, c'est une première. Les gestes sont maladroits, trop brutaux pour être assurés. On se retire pas aussi vite d'un cul pareil après une giclée. On y reste au chaud, on se caresse un peu les couilles et on repart pour une deuxième virée. C'est le minimum. Et puis, quitte à lui baiser la gueule, autant aller jusqu'au bout et la plomber jusqu'à ce qu'elle tombe dans les pommes. Là, c'est du demi boulot. En plus, sûr qu'elle aurait adoré perdre pied c'te salope.

Enfin bon, c'est terminé et les quatre ramens restent pantelants, le froc sur les chevilles. Gros bides, petites jambes ... ça fait pas rêver hein ... C'est pourquoi quand l'autre con a essayé de venir tailler le bout de gras, Ryo a grogné, histoire que le puant comprenne que sa bite est trop proche du flic.

Le deal est clos donc on échange des banalités. Les mecs ont un peu honte, allez savoir pourquoi ... Maintenant que l'excitation est retombée et que l'âcre odeur de la pisse prend au nez, ils n'ont plus d'idées salaces ni de fantasmes délirants.

"Ouais on rentre."

Il ne va pas la féliciter ni la remercier. Peut être que cela viendra après. Là, il perdrait son prestige en se rabaissant devant ce qui reste d'une femme, une souillon dépravée et périmée pour la soirée.

"Lève toi et viens."

Par miracle  et respectant l'intelligence qui fait honneur à cet établissement réputé, l'ensemble du personnel trouve une tâche à faire quand le couple traverse la salle principale vidée de ses clients. Même le maitre d'hôtel se passionne soudainement pour la propreté d'un verre quand une Cora puante et digne d'une fontaine à foutre lui passe devant en flageolant sur ses jambes fatiguées.

Cora, c'est une pute, une salope, une catin de fond d'impasse. Elle sent la pisse et le foutre et sa robe tâchée et difficilement tirée sur son corps ne cache rien des méfaits qu'il a subit. Et elle est pieds nus car si elle portait ses escarpins qu'elle tient à la main, elle se vautrerait lamentablement. Dans cet état, elle n'est plus vraiment humaine, juste un truc usé qui sent pas bon. C'est pour ça que quand ils s'arrêtent devant la Mustang de Ryo, sa précieuse voiture, le flic hésite un instant. Ça dans sa caisse? Putain, les sièges en cuir ... Elle pourrait rentrer à pieds mais où elle va se faire ramasser par la brigade de nuit, ou elle va tomber sur l mauvais gang qui va la dépiauter pour revendre ses organes ... Fais chier ...

Le flic revient vite au restaurant pour prendre une nappe qu'il ne paie pas et vient la poser sur le fauteuil passager.

"Assieds toi, fais gaffe, t'es crade, t'en as partout."

Le moteur gronde au démarrage et Ryo se dit que c'est peut être le moment d'être reconnaissant.

"Tu t'es fait un max de pognon et t'as assuré. J'ai ce que je veux, comme je le veux. Je t'achèterai un truc qui te plairas. Ah non putain! Me touche pas!!!"

Il la repousse. Elle a les cheveux poisseux. Elle veut quoi? Un bisou. Lui tailler une pipe? Hors de question. D'ailleurs il ouvre les fenêtres, c'est vital.
Il y a été un peu fort.

"T'es une chouette fille Cora." Si ça peut la consoler...

Le flic fouille dans ses poches et en sort son paquet de clopes. De la dope, il en a plus, et shootée comme elle l'est, Cora pourrait claquer. Demain, elle aura mal au casque, elle aura mal au cul, et il devra s'occuper d'elle. Maintenant, c'est une vraie nympho ... Donc c'est pas dit qu'elle ait des supers pouvoirs de régénération sexuelle, ce que le flic pourrait commencer à croire.

"Fais chier!"

Une seule clope ... Il hésite. Il lui file et le tabac couvre son haleine de mulet ou alors, lui se l'envoie et elle risque de piquer une crise, vu son regard halluciné.

"Regarde dans la boite à gants si j'en ai un autre."

Évidemment y'a rien.
Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Cora Travers le samedi 29 novembre 2025, 14:21:22
La blonde est dans une sorte d’état second. La drogue inhalée en début de soirée doit commencer à retomber. Elle n’a plus le feu au cul, et ne rêve que d’aller sous la douche pour se rincer, se savonner et ôter ces odeurs qui imprègnent sa peau et ce qui reste de sa robe. Elle ne désire rien de plus qu’un bon shampoing pour retirer ce qui souille sa crinière rose pâle. Elle ne sait même pas comment elle fait pour mettre un pied devant l’autre, chancelant en suivant Ryo pour sortir du restaurant. Elle ne voit pas le personnel qui fait mine d’être occupé pour ne pas avoir l’air indiscret.

Arrivée devant la voiture, Cora cille alors que Ryo semble hésiter. Hagarde, pas vraiment en état de réfléchir intensément, elle se contente de l’observer, puis de l’attendre quand il retourne dans le restaurant. Enfin, prudemment, elle s’installe sur la nappe qu’il vient de mettre pour protéger ses sièges. Et ramène bien vite ses genoux contre sa poitrine en craignant de salir le tapis de sol où gisent ses escarpins -propres- abandonnés.

Les félicitations de son amant lui tirent un sourire -fatigué- et elle lève pour main pour la glisser contre sa cuisse. Avant d’être fermement repoussée. Pinçant les lèvres pour masquer l’expression trahie que le rejet provoque chez elle, elle tourne les yeux vers la route devant elle. Le compliment qui suit lui tire un sourire faible, mais elle a bien compris qu’elle doit garder ses distances tant qu’elle n’a pas pris une douche.

Du coin de l’œil, elle voit le flic sortir une cigarette -lui donnant envie de s’en griller une aussi- puis marquer un temps d’arrêt avant de jurer. Elle tourne les yeux, curieuse, et voit qu’il ne reste qu’une seule cigarette dans le paquet froissé. Elle regarde dans la boîte à gant -du bout des doigts pour ne rien salir- mais revient bredouille.

Pendant un moment, c’est le silence dans la voiture. Puis l’esprit embrumé de la mutante a un déclic. Une exclamation surprise lui échappe alors qu’elle se tourne à moitié vers Ryo.

« Oh, j’peux pas croire que j’ai oublié de te montrer ! Um… Tu l’dis à personne, hein ? J’sais pas pourquoi j’peux faire ça mais… »

Elle saisit délicatement la clope entre les ongles de son majeur et de son pouce, faisant signe à son amant d’être patient. Elle s’essuie l’autre main contre la nappe avant de poser la cigarette dans sa paume et de refermer délicatement les doigts autour. Les yeux fermés, la blonde se concentre. Elle a eu le temps de s’entraîner tout en recherchant sa mutation. Et pour un objet aussi petit qu’une clope, l’énergie dépensée est moindre. Mais Cora est rincée.

Quand elle écarte les doigts, elle révèle alors deux cigarettes dans sa paume là où il n’y en avait qu’une. Et un bout d’une troisième.

« Mh. J’n’ai plus assez de jus, marmonne-t-elle en jetant le filtre de la troisième par la fenêtre ouverte. »

Puis elle présente la deuxième clope à son amant, une expression fière d’elle malgré son épuisement et son maquillage ruiné.

« Quand j’suis pas fatiguée, j’peux dupliquer des paquets entiers, ou encore des objets plus gros. Des fois même en plusieurs exemplaires ! Mais faut pas que les gens sachent. Ils vont m’prendre pour une mutante… P’tet que j’en suis une, j’sais pas. J’ai découvert qu’j’pouvais faire ça quand j’étais ado… »

Ses grands yeux bleus, malgré le noir autour, suppliaient Ryo de garder ça pour lui. Elle ne voulait pas avoir à le fuir, à quitter le pays parce qu’il déciderait de la révéler aux yeux du mondes. Elle ne voulait pas finir cobaye. Elle ne voulait pas le quitter non plus, et pas seulement parce qu’il la fournissait en coke ou qu’il était le meilleur amant qu’elle ait jamais eu.

« Tu diras rien à personne, hein ? »
Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Ryo le dimanche 30 novembre 2025, 20:05:23
Ryo manque sortir de sa voie et emboutir une camionnette arrivant en face. La Mustang fait une embardée, vrille de travers, se rétablie et freine à bloc pour s’arrêter près d’un abri bus heureusement vide.

« Putain de merde ! »

Cora n’est pas en mesure de lui glisser une blague de magicien de sous le manteau. Elle est limite stone est tient plus à cet instant de l’épave que de la fille capable de produire n’importe quoi d’intelligent. Ce qu’elle vient de faire, c’est de l’inné et ça pue les emmerdes à plein nez. Des cas comme elle, Ryo en a côtoyé quelque uns. Seikusu est une cité particulière, il s’y passe des trucs. En coulisse, il se raconte des trucs qu’il faut appréhender avec prudence et que même les pires des tordus évitent d’aborder. Le gouvernement est dans le coup, les services secrets de nombreux pays aussi donc, à ce niveau-là de jeu, Ryo n’est rien du tout. Le flic a déjà eu à faire avec une folle dingue de la gâchette increvable qui se régénérait dès qu’elle saignait. Il a buté une créature qui n’aurait jamais dû sortir d’un film d’horreur et il a aussi baisé une vampire mais ça, il préfère l’oublier. Ces faits remontent à quelques temps déjà et il s’était promis de s’en tenir éloigné. A chaque fois, ces aventures ont merdé et il a sévèrement morflé.

Mais là, c’est dans sa caisse que ça arrive et putain de merde, avec la nénette qui lui sert de vide-burnes en ce moment ! Donc, fais chier !
Maintenant, Ryo, il réfléchit vite et l’explication miteuse de Cora l’aide à prendre sa décision. Là, le mieux serait de la balancer dans le port, emballée dans un sac lesté, mais elle a du bol : sa tare peut être utile.

« Hey, cool ! C’te surprise que tu me fais. J’ai failli nous tuer. »

Une clope, ça reste une clope. Un billet de cent dollars, c’est autre chose. Si ce qu’elle dit est vrai, dans deux mois ils sont il est millionnaire et se la coule douce dans un coin peinard où personne voudra le buter.

« Ah ouais ? Vraiment ? Et ça marche donc avec à peu près tout ton truc ? »

Parce qu’il ne faut pas se créer de faux espoirs non plus… En plus, c’est louche non ? Qu’est ce qu’elle fout comme laborantine à tenter de grapiller trois sous alors qu’elle détient un trésor qui pourrait faire d’elle … un truc énorme.

« Le dire à quelqu’un ? Non ma chérie, tu m’es trop précieuse pour que je te fasse du mal. »

C’est discutable après la soirée qu’ils viennent de passer mais elle n’est pas en mesure de le contredire. Elle a déjà du mal à parler …

« Moi je trouve ça cool. J’y crois aux mutants. J’ai toujours dis que l’humanité avait besoin d’évoluer de la bonne manière et maintenant que je te connais, toi et notre petit secret à nous deux, je ne me suis pas trompé. »

Putain ce qu’il raconte comme merde, c’est minable mais au point où  il en est, il pourrait mettre un nez rouge pour la faire rire si elle le voulait. Heureusement qu’il la tient sous sa coupe …

« Je serais muet comme une tombe bébé. Mais pour fêter cette nouvelle, on va faire un détour chez un pote à moi qui vend de la premium. Tu mérites ce qui se fait de mieux. »

Le pote, c’est Yoshi, qui se procure de la blanche directement sur le continent d’en face, à la source, sans passer par la case mélange. Elle est pure et à user avec précaution. Son gramme, Ryo il le paie une fortune mais bon … il s’en branle, c’est pour la bonne cause. De retour dans la caisse, Cora n’a pas bougé.

« Tiens, envoie-toi ça, une pointe suffit, doucement, pas plus. »

L’effet est sidérant et avant qu’elle ne sorte une connerie stupide de plus, il la prend par la nuque et amène sa tête entre ses cuisses. Il vient de se libérer, qu’importe qu’elle flaire le jap’ à plein nez. Il a besoin de réfléchir et ne veut pas l’entendre. Y’a un peu de route pour rentrer au loft. Là, il la foutra au lit, l’enculera à sec peut être, et se projettera dans le futur. Un futur bien doré …
Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Cora Travers le dimanche 30 novembre 2025, 22:19:46
Cora n'est clairement plus consciente de ce qu'elle dit, de ce qu'elle balbutie plutôt. Le filtre entre son cerveau est sa bouche a disparu, s'il a un jour existé même à faible dose. Révéler son plus grand secret à Ryo lui semble tout à fait naturel. Elle n'est même pas consciente qu’ils manquent d'avoir un accident.

« Oups ? Mais ouais, cool ! S'écrie-t-elle quand il annonce avoir failli les tuer. J’n'ai pas 'core fait d'test sur d'la biog-bioloj- sur des trucs vivants. Juste sur des trucs inan'mé, marmonne-t-elle ensuite, butant sur des mots qu'elle prononce pourtant tous les jours. »

Ses joue rosissent alors que le grand flic se montre compréhensif et la complimente en même temps. Elle lui sourit alors que ses mèches roses tombent devant son regard hagard. Et elle ne bouge pas de la voiture tandis qu'il fait un arrêt pour aller acheter un peu de poudre blanche top qualité. De toute manière, elle est toujours trop stone pour faire quoi que ce soit alors que l'effet du cocktail qu'il lui a offert en début de soirée retombe. Elle se contente de fumer sa clope pendant qu'il est sorti, mécaniquement, sans vraiment y faire attention, et jette le mégot en direction d'un cendrier sur le trottoir sans voir si elle a réussi à viser correctement.

Même si elle ne rêve que d'une douche chaude et purifiante, elle ne dit pas non à ce petit cadeau qu'il lui ramène en revenant. Avec des gestes assurés malgré la soirée passée, elle se sniffe une petite dose de ce qu'il ramène. Et elle se sent revivre malgré la crasse. Malgré son corps fourbu. Avec un grand sourire, elle s'apprête à remercier son amant quand il dirige brusquement sa tête vers son sexe qu'il vient de sortir.

Un « Mmpf » s’étouffe contre la raideur qui se glisse entre ses lèvres sans douceur, et elle tousse et bave autour alors qu'elle n'avait pas eu le temps de se préparer. Mais elle s'adapte vite, la mutante. Surtout qu'elle adore particulièrement quand Ryo se montre ainsi sans gêne et brutal. Et que de s'étouffer contre sa queue est quand même bien meilleur que sur celles des quatre hommes qui viennent de la souiller un peu plus tôt.

Elle ne pourrait pas dire combien de temps elle a passé à exercer sa mâchoire déjà fatiguée contre le chibre épais du flic. Mais elle y mettait tout son cœur malgré tout, bavant avec application autour de cette queue veineuse, s'étouffant contre le gland qui forçait sa gorge maltraitée à l'accepter et profitant du moment, savourant la sensation exquise de sentir le colosse finalement remplir sa bouche de foutre.

Cora avala comme elle pouvait, essayant de ne rien laisser à côté, et se redressa enfin alors que Ryo relâchait la pression contre son crâne. Le vrombissement de la Mustang s'était arrêté. Regardant par la fenêtre, la blonde voyait qu'ils étaient arrivés.

« Oh, j'vais p’voir aller sous la douche, soupire-t-elle d'une voix rauque alors qu'ils sortent de la voiture. Tu m'rejoins après, darling ? Suggère-t-elle, souhaitant avant tout se débarrasser des fluides du maire-adjoint et de ses associés, mais n'étant absolument pas contre chasser le souvenirs de leurs queues en elle par celle de Ryo. »

Elle n'attends pas vraiment sa réponse, lâchant la paire de talons dans l'entrée après qu'il ait ouvert la porte et chancelant, trébuchant, jusqu'à la salle de bain.

Une fois arrivée, sans tomber une seule fois malgré plusieurs frayeurs, elle se dépêche de retirer les lambeaux de sa robe avec des doigts gourds et de la mettre dans la poubelle. Clairement, elle était irrécupérable. Puis elle se glissa dans la douche, démarrant le jet et attendant que l'eau soit chaude juste comme elle aimait… Pour se laisser tomber à genoux alors que ses jambes ne la portaient plus et se frotter presque frénétiquement avec du savon, shampouinant ses cheveux furieusement, espérant éliminer toute trace de la soirée.

Son esprit refusait d'accepter ce qui s'était passé et fut particulièrement soulagé quand elle fut enfin propre, s’efforçant d'effacer les dernières heures de sa mémoire, de les refouler si profondément que seul un hypnotiseur pourrait les mettre au jour. Si Ryo la prenait au mot pour la rejoindre sous la douche, il la trouverait assise, le dos contre le mur et les genoux ramenés contre son imposante poitrine, le regard dans le vague alors que le jet d'eau continuait de l'abreuver d'une eau presque fumante.
Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Ryo le mercredi 03 décembre 2025, 10:26:20
Deux infos importantes clôturaient cette longue journée. La première, Ryo venait de s'emparer d'un beau pactole qui lui assurerait un bon train de vie tant que le business de l'élu pourri tournerait.La seule chose qu'il avait à faire, c'était de surveiller l'activité de la police dans son secteur et d'orienter les flics trop curieux sur des pistes foireuses ou tenues par les concurrents du quartier de la Toussaint. En soi, ce n'était pas grand chose car les policiers affectés dans les commissariats locaux veillaient plus à ne pas être emmerdés qu'à vraiment faire leur boulot. La Toussaint était le furoncle de Seikusu et tant que les activités crapuleuses ne débordaient pas trop sur le reste de la ville, personne ne s'en souciait vraiment.
Avec tout ce pognon, il allait pouvoir offrir à Cora des ... Quoi ? Le grand flic secoue la tête et s'allume une clope en se dirigeant vers la grande baie vitrée à partir de laquelle il peut contempler les toits du quartier. Ce n'est pas une vision de rêve mais c'est là qu'il vit. L'homme a les sourcils froncés. L'introspection, ce n'est pas son truc mais quand même, il pense pas mal à Cora en images autres qu'objet sexuel bon à tout faire. Cette dérive ne fait pas partie du plan initial et les changements de cap de dernier instant, ce n'est pas bon. Il n'aime pas ça. Ses réactions montrent bien que l'américaine dispose elle aussi d'une certaine forme de main-mise sur lui. Ce qui l'amène évidemment à considérer la deuxième information: l'aptitude de Cora à dupliquer des objets. Là, faut vraiment être prudent car elle a lâché l'info sous l’effet des drogues et alcools ingurgités. Il ne faudrait pas que cela se reproduise avec quelqu'un d'autre.
Trop la shooter reviendrait à l'orienter vers sa fin, ce qui est maintenant totalement exclu. Mais ne plus la contrôler par ce biais reviendrait à prendre le risque de la voir s'émanciper, et cela aussi est totalement exclu. Donc, il faudrait qu'elle adhère à ce mode de vie qu'il lui a imposé. Pas simple.

Cora reste trois plombes sous la douche et Ryo ne la rejoint pas. Va falloir qu'elle redescende en pression sinon elle pourrait claquer nerveusement. Et puis lui aussi, il arrive au bout de ses capacités. Il n'est pas un surhomme question cul et pour aujourd'hui, il a atteint ses limites.

Quand elle apparait, il l'accueille avec un baiser et lui montre une enveloppe sur la table.

"Ta rémunération pour ta performance. Tu pourrais gagner bien plus si tu t'engages sur ce genre de trucs."

Y'a un paquet de fric là. Ce n'est rien pour un type comme Ryo pour un citoyen lambda, ça représente un bol d'air confortable.

Après, il la porte jusqu'au pieu tout en décryptant son regard.

"Je sais ce dont u as envie mais je serais le dernier des connards si j'acceptais. Là, tu vas pieuter et demain, on parle. Et pas de coke ce soir car pour aujourd'hui, ça suffit. C'est un petit plaisir qu'il faut savoir gérer, et là je t'y aide."

Tu parles ...

Mais ouais, dès demain, la poudre, ce sera limité. Il va falloir que Cora travaille à accepter une toute petite dose de fonctionnement genre après le petit déj, ou avant le boulot. Pas plus. Les écarts pourraient être autorisés par Ryo si nécessaire ou pour évènements comme le soir-même. Son plan: très simple. Ils se foutent en couple et elle crèche chez lui. Il l'a à l’œil. Les connards du coin sauront qu'elle est à lui et feront pas chier, et leur petit secret sera bien gardé à la Toussaint où les informations circulent plus vite qu'à la NSA.
Et pour bien verrouiller le tout, il peut s'arranger avec un type qu'il connait au service de  l'immigration pour mettre un coup de pression à Cora si elle en venait à vouloir sortir de sa descente aux Enfers. Enfin, ils n'en étaient pas là.

Parce que là, Cora ronque et il est probable qu'elle ne bougera pas avant un moment. Ryo lui aussi poireaute sous la douche. Comment va t'il gérer le don de Cora? Trop de fric d'un coup, c'est pas simple à blanchir non plus et ça attire l'attention et les convoitises. Va falloir être malin.
Après, il la rejoint et pieu et il ne l'encule pas à sec. Il s'endort tout simplement pour ne se réveiller qu'à une heure avancée de la matinée suivante. Le cadavre à ses côtés ferait honte à un gros allemand entrain de rôtir sur la plage. Cora ressemble à un épouvantail, sur le dos, bras et jambes écartés, tout en vrac, mais trop craquante. Putain arrête ça!

Café, 'tit déj, tout est prêt, comme dans les films. L'amoureuse transie sera réveillée par l'odeur du pain grillée et du café ... et si nécessaire aura un médoc pour calmer la tempête qui laboure son cerveau.

Ryo traine un peu en calebard et t-shirt, il ne bosse pas aujourd'hui.

Il a son mug à la main et contemple depuis sa position préférée ce quartier qui est le sien.

"Hey salut Frankenstein! Ça va là-haut? Ça tape pas trop fort dans la boite?"
Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Cora Travers le mercredi 03 décembre 2025, 13:23:05
Quand sa peau est rouge à cause de la température de l'eau, et fripée à force de rester sous le jet, Cora se relève enfin. Avec difficulté. Elle ferme les robinets et pose un instant le front contre le carrelage de la douche, le temps de souffler. Puis, s'efforçant de ne pas glisser en sortant, elle s'enroule dans une grande serviette éponge blanche avant de sécher ses cheveux avec une plus petite. La fatigue est là, ainsi que les retombées de la drogue. Ryo n'est pas venu la rejoindre et, quelque part, elle le comprend. Elle a tendance à être plutôt insatiable niveau sexe, même après cette soirée. En évitant soigneusement de croiser sa réflexion dans le miroir, Cora se brosse les dents vigoureusement.

L’esprit embrumé autant par les contrecoups de la coke et de la fatigue, la mutante descend finalement rejoindre son amant, l'embrassant avec affection et tendresse. Ses yeux effleurent l'enveloppe qu'il lui montre, mais elle n'esquisse pas un geste pour aller la prendre, préférant venir se lover dans les bras du flic, toujours avec la serviette qui la couvrait.

La tête blonde se pose contre l'épaule de Ryo alors qu'il la porte pour l'emmener dans la chambre. Ses prunelles myosotis se lèvent vers lui alors qu'elle esquisse un sourire en coin, vite contrôlé quand il devance ses pensées et refuse gentiment. Ce sont ces petits gestes, cette considération qu'il lui témoigne, qui font que Cora ne semble pas vouloir cesser de le fréquenter. Ça, et le sexe, bien entendu. Il comprend ce qu'elle veut et le lui offre sans se faire prier.

Après un « Bonne nuit » murmuré quand il la dépose sur le lit, elle glisse rapidement dans les bras de Morphée, ne bougeant que pour se blottir contre lui quand Ryo vient ensuite se coucher plus tard.

Le lendemain, elle ne se réveille pas quand le flic sort du lit. Mais elle commence doucement à émerger peu après, plissant les yeux à cause de la luminosité, se cachant la tête sous l'oreiller en grondant sourdement. Elle reste un moment comme ça, à mi-chemin entre l'inconscience et le réveil, somnolant, rêvant de choses sans queues ni têtes. C'est la voix de son amant qui la sort enfin de cet entre-deux, et l'odeur du petit déjeuner. Elle hésite entre avoir la nausée et être affamée, ayant l'impression d'avoir une gueule de bois carabinée. Et la voix de l'homme résonne dans son crâne, déclenchant un martèlement entre ses tempes.

« Oooh, shit… Pas si fort… Supplie-t-elle d'une voix éraillée, étouffée par l'oreiller. »

Étirant doucement chacun de ses membres, son dos et son cou, elle se défait finalement de l'étreinte hasardeuse des draps pour se redresser dans le lit. Et le regrette aussitôt alors que sa vision tangue et que som crâne rugit de son sang qui afflue, qui circule dans ses veines.

« Rappelles-moi de ne pas prendre deux fois de la coke dans la même soirée, mmh ? Demande-t-elle à mi-voix en se tenant la tête, assise sur le bord du lit. »

Se massant doucement les tempes, Cora finit par se lever difficilement, tâtonnant pour trouver ce petit kimono (https://www.aht.li/3947539/58TAN62_HCY_0.jpeg) noir en dentelle et s'enrouler dedans, serrant la ceinture autour de sa taille fine.

Pieds nus, la jeune femme rejoint finalement son amant, venant se blottir contre lui avec un petit soupir de satisfaction en ressentant son corps puissant contre sa poitrine.

« Bonjour, vous… Souffle-t-elle finalement en levant la tête vers lui pour lui offrir un sourire affectueux. »

Elle ignore sciemment les évènements de la veille, préférant se concentrer sur l’instant présent. Ses mains viennent se glisser contre le torse de Ryo, remontant pour se faufiler sur sa nuque et l'encourager à baisser la tête pour un baiser.

« Tu es levé depuis longtemps, pour avoir ainsi préparé le petit déjeuner ? Demande-t-elle ensuite en restant lovée contre lui, essayant d'ignorer l'orchestre qui a décidé de jouer de la batterie dans son crâne. »
Titre: Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
Posté par: Ryo le jeudi 04 décembre 2025, 09:30:01
« Assez tôt pour te regarder dormir un long moment… »

Il accède à sa demande et l’embrasse. C’est beau l’amour hein ? … Même sous cette forme douce et laissant penser qu’ils pourraient être proches d’une lune de miel. L’illusion est alarmante car ce n’est pas dans la nature de Ryo de se laisser aller à des élans de tendresse, surtout s’ils sont véritables. Une transformation est en cours, qui ne sera pas facile à gérer et qui risque de poser problèmes dans tout un tas de domaines liés aux activités criminelles du flic. Et à commencer par ceci : Cora peut très bien déjà s’imaginer que Ryo est borderline mais elle ne soupçonne absolument pas que la partie immergée de l’iceberg est énorme. La détention et l’usage de coke : justifiées par la dureté du métier qui nécessite un petit coup de pouce pour tenir. Ses relations avec des ripoux : si l’état mettait vraiment les moyens, il n’aurait pas à magouiller pour assurer la sécurité des habitants du quartier. Ses pots de vin : hum … il en reverse une partie pour les gosses du coin (mensonges évidemment). En tout cas, ça passe et il se dit que Cora qui ne semble pas avoir une vie facile à cause de son Pouvoir, préfère éviter de faire parler d’elle. Après, peut être qu’elle se sent en sécurité avec lui et que cela efface tous les reproches qu’elle pourrait lui faire.

Il la retourne et la serre contre lui afin qu’ils regardent ensemble les toits de la Toussaint.

« Je voudrais que tu emménages chez moi. Ici tu seras en sécurité, j’ai bien compris que tu as peur que quelqu’un découvre ton secret. Tu ne seras pas seule … et on pourra baiser comme des animaux. C’est pas mal comme plan non ? »

Et puis, il l’a sous les yeux et s’assure que personne ne la lui pique.

« T’es en forme pour aller faire un tour ? »

Bon gré mal gré, aller prendre l’air est le meilleur moyen de se remettre d’une biture. Alors qu’elle prend son ‘dej et se prépare, il ne mentionne à aucun moment une prise de coke. Si elle réclame, il verra. Forcément elle aura un petit coup de barre et son corps exigera un remontant mais encore une fois, il dosera au minimum. Cora shootée, c’est bien, mais Cora sous contrôle c’est mieux.

Ryo a passé un jean et un t-shirt sur lequel il a enfilé son vieux cuir râpeux. Ils sortent à pied et immédiatement, l’ambiance du quartier prend le pas sur les ressentis. Deux types à la sale gueule montent la garde devant l’entrée du vieil immeuble en brique. Sous ses apparences, l’endroit abrite quelques pontes de la pègre. Le voisin de Ryo est un jeune yakuza qui baigne dans le milieu de la prostitution.

Dans la rue : des putes par wagons entiers, des dealers et leurs sbires, des membres de gangas qui trainent. Ça et là, une bagarre éclate, un couteau est sorti. Et au milieu de tous ça, l’absence de flics est remarquable et point plus marquant encore, les habitants du coin déambulent, emmènent leurs gosses à l’école, et les petits commerces maintiennent leur activité. Ryo prend à l’un d’eux deux soupes à emporter, fortes, crevettes et citronnelle : un tue la gueule de bois aussi redoutable que le plus costaud des médocs.

Ryo et Cora n’ont pas encore vraiment eu l’occasion de se balader ici. Jusqu’à présent, le flic a préservé l’américaine des affres de la rue mais il est temps qu’elle s’y mette. Et comme l’info qu’il se trimballe une bombe sexuelle a déjà fuité, au moins, il marque sa possession. Bien sûr, ça ne va pas dans le sens de sa relation avec Boss Tanaka mais il trouvera une solution. Cora est à lui.

Elle attire les regards, ouais putain c’est flagrant. Et c’te manière qu’elle a de se foutre en avant, c’est hallucinant. Ryo entend quelques commentaires gras et déplacés mais ne relève pas. Pas envie de buter personne aujourd’hui. Et puis … ils n’ont pas tort. Elle est sa pute.