--- Manoir de Rachele, Quelque part autour de Seikuzu ---
--- 23 heures et trente minutes ---
Comment tout avait pu merder aussi vite ?
Quelques jours plus tôt, "Max", Dona Florenza, dominait les rues de Seikuzu. Elle avait mis les Yakuza à genou, leurs familles n'osaient plus sortir de leur forteresses sous peine de subir un sort atroce. Certaines s'étaient même soumises à la Cosa Nostra, l'implorant d'épargner leur vie, la suppliant de bosser pour elle. Leurs meilleurs brutes se ralliaient à elle et obéissaient à ses moindres desirs.
La guerre était sur le point de finir...et elle avait gagné...
Alors que c'était il passé ?! Pourquoi ?!
Un simple meurtre de trop, le sang d'une gamine de plus dans les caniveaux de la guerre des gangs. Une insignifiante goute d'eau... qui venait de faire exploser le vase comme venaient d'exploser les portes du manoir de Rachele...
Les questions se bousculent dans sa tête alors que cet homme... ce démon... se présente seul dans le hall. Elle ne comprend pas, elle regarde prostré, les caméras de sécurité, son pistolet tremblant dans sa main, l'incroyable danse de mort qu'effectue cet inconnu. Et elle voit ses hommes tomber... les uns après les autres... Rachele ressent une émotion qu'elle avait oublié depuis bien longtemps, depuis le temps où elle vivait enchaînée au lit de son oncle: de la peur.
Imperturbablement, il approche, enjambant les cadavres de ces gorilles que Dona Florenza pensait invincibles...
Mais comment un homme seul pouvait accomplir un tel carnage ? Elle qui avait fondé son Empire sur le pouvoir du nombre, de la stratégie, de l'argent et des contacts, comment pouvait elle être défaite par la brutalité et la simplicité d'une attaque frontale ?
Soudain, les détonations des armes cessent. Le manoir sombre dans un silence de mort. Rachele se met à trembler, au fond d'elle-même elle sait qu'il n'est pas mort... qu'il est toujours là... qu'il vient pour elle...
Les lumières se mettent à clignoter, le silence avant la tempête est brisé par le bruit des pas d'un homme qui marche seul... Rachele se fige, son sang gèle dans ses veines. Il est là !
La porte de son bureau/salle de torture vole en éclat !
Sans même attendre son ordre, ses derniers gardes du corps ouvrent le feu et inondent le couloir d'une marée de balles. Mais le démon est rapide comme une tempête , sa lame décrit des éclairs d'argent dans les airs quand il esquive les balles ou les dévie, rien ne semble pouvoir l'arrêter. Comme dans les pièces précédentes du manoir, le sang de la Cosa Nostra se met à maculer les murs à mesure que Arlan abat sa lame vengeresse.
Dona Florenza est acculée mais elle refuse de s'avouer vaincue. Elle saisit un second pistolet et se lance à l'assaut. Plusieurs fois, elle parvient à surprendre son adversaire par sa souplesse et sa virtuosité au pistolet, l éraflant à plusieurs reprises. Finalement après une interminable passe d'armes, il ne reste plus qu'eux, chacun d'un côté de la pièce...
Rachele se tient droite et digne face à son bourreau, sa robe à moitié déchirée révèle une partie de son sein droit et de ses cuisses, ses deux Walter fumant entre ses mains. Le regard baissé, elle lui fait face.
Scène:
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- Tu n'aurais jamais du me défier Yakuza...
Elle lève alors sa main droite, vise le démon au sabre... et presse la queue de détente...
*clik*
Les yeux de Rachele s écarquillent de surprise. Son arme est vide...
Rachele se réveille d'un sommeil douloureux, la nausée toujours profondément chevillée au ventre, le monde tourne autour d'elle à mesure qu'elle reprend ses esprits.
Ses beaux yeux papillonnent et quittent peu à peu leur position révulsés, ce qui lui donne pour la première fois un air vulnérable et séduisant.
L'enseignant peut alors constater la beauté stupéfiante de la Sicilienne. Ses traits sont parfait, ses cils longs et délicats, ses lèvres, généreuses et dessinés pour embrasser un sexe. Quand à son corps, il est à ce damner, ses courbes sont splendides, ses seins sont deux superbes melons dressés et droit, ses hanches conçu pour être prises en main et fessés avec brutalité. Tout ce qui compose Dons Florenza est un appel au viol.
-La sieste est terminé, on se réveille.
Elle revient finalement à elle. Réalisant qu'elle est attachée, elle ne cherche même pas à répondre à son geôlier. Elle se débat frénétiquement et tire sur ses menottes dans l'espoir de faire glisser ses poignets hors des courroies de cuir. Mais en vain, elle fini par se fatiguer et adresse finalement un regard à Arlan.
- Je pense qu'on peut se tutoyer vu comme notre premier rendez-vous s'est bien passé. Inutile également de te faire des menaces. Tu sais que je n'ai aucune réticence à me salir les mains. D'ailleurs, en parlant de couple. Beaucoup aiment les sextapes, non ? Toi aussi à ce que j'ai cru comprendre. Alors dans l'intention de te faire plaisir...
Avant que l'étranger ne continue, la Sicilienne retrouve sa contenance et son calme et lui répond.
- Je ne tutoie que mes amis et les membres de ma Famille.
L'écran s'allume et révèle à Rachele le spectacle de sa propre personne, filmée en direct, sous tout les angles.
- Souris, tu seras la vedette de ton propre long métrage.
La mafieuse ne se laisse pas intimider par le jeu de cet homme qu'elle crois être un mercenaire ou un ronin au service d'une famille Yakuza. Intimidations, mises en scènes, ce sont ses propres méthodes et elle les connait tres bien. Une fois de plus, elle pense pouvoir retourner le jeu à son avantage pour gagner la partie. Après tout, tous les hommes ont un prix...
- Je ne vouvoie que ceux avec qui je suis en affaires, alors je vais vous vouvoyer, parce que j'ai une offre à vous faire, une offre que vous ne pourrez pas refu... mais que faire vous ?
Dit elle en le voyant se retourner, se déshabiller et quitter la pièce. Quelques instants plus tard le bruit d'une douche lui parvient d'un peu plus loin. Rachele dispose de quelques minutes et elle les met immédiatement à profit.
Elle scrute la pièce et examine sa disposition avec soin. Un appartement, vraisemblablement chamboulé à la va vite pour installer tout ça. Même pas un lieu dédié à l'emprisonnement et à la torture de ses ennemis. Tout cela pu l'amateurisme à plein nez, ce qui rassure un peu Rachele, les professionnel de son métier ne commettent pas d'erreurs, alors que les néofites...
Elle commence à secouer son épaisse chevelure, la première chose a fouiller scrupuleusement chez une femme. Mais Arlan n'est pas un maître dans l'art du kidnapping et Rachele s'est entraîné toute sa vie pour le cas où une telle chose lui arriverait. Après quelques mouvements de tête, une petite mèche, habillement dissimulée sous sa nuque se détache et vole vers sa bouche. La mafieuse l' attrape entre les dents et en tire une petite épingle à cheveux.
Elle lève le visage vers ses mains, menottés au plafond, ajuste son angle de vision et crache l'épingle entre ses doigts. Elle la rattrape avec une habileté féline et commence à triturer la serrure. Mais son ravisseur fini sa douche avant qu'elle ne réussisse à se libérer. Elle ferme alors le poing sur l'objet de son salut et fait comme si de rien n'était.
-Tu as été sage ? J'espère que tu l'as été et que tu le resteras car c'est de ton comportement que dépendra ton traitement. J'aurais bien voulu te tenir compagnie mais j'ai mieux à faire alors tu ne m'en voudras pas
- Écoutez, j'ai énormément d'argent, des contacts dans tous les milieux, je peux réaliser vos rêves les plus fous si vous acceptez de faire du business avec moi. Je suis prête à vous payer le triple de ce qu'on vous paie déjà, sans compter le reste: renommé, pouvoir, filles, tout ce que vous voudrez.
Mais son ravisseur ne l'écoute pas. Il se contente de partir sans même lui répondre. Tans mieux se dit elle, cela lui laisse plus de temps pour de libérer. Elle recommence alors à jouer avec la serrure de ses menottes en priant lieu qu'elle y parvienne à temps.
--- Le lendemain matin, 7 heures ---
Rachele à passé toute la nuit à essayer de se libérer mais n'a réussi à libérer qu'une seule main, seulement quelques minutes avant que Arlan ne revienne. C'est une bien maigre réussite mais elle doit s en contenter, elle entend qu'il arrive...
Elle reprend sa position et fait semblant d avoir toujours la main gauche attachée. Elle n'aura qu'une seule chance, une seule...
- Alors, on a bien dormi, princesse ?
Lui dit l'homme décidément bien désinvolte. Elle ne lui répond pas, garde la tête baissée et attend qu'il approche à sa porté. Et au moment où il arrive devant elle, elle lâche subitement sa main gauche de la menotte, ferme le poing pour ne laisser dépasser que le pli du pouce et le frappe de toutes ses forces en pleine tampe.
Le coup est d'une violence et d'une précision dévastatrice. Il aurait probablement assommé ou même tué un homme normal sur le coup. Mais Arlan n'est pas un homme normal...
Dans les ténèbres de l'étroit couloir de grillage rouillé, Rachele avance, son bras armé tendu vers l'avant tant pour se donner du courage que pour se détendre.
Pendant d'interminables minutes, elle marche droit devant elle, ignorant l'odeur de plus en plus prenante qui imprègne l'air et les murs. On dirait un étrange mélange de sueur animal et de pistil de fleur tropicale, comme de l' ibiscus ou une curieuse variété d' orchidée.
Soudain, son pied plonge dans une matière visqueuse, chaude et collante qui macule le sol. Elle tressaille de dégoût, pensant qu'elle a du mettre le pied dans les excréments d'un chien de garde. Puis elle baisse le regard et remarque avec surprise que ça n'en est pas...
En lieu et place de la matière fécale qu'elle s'était imaginé, elle découvre une glu de couleur blanc-beige qui tapisse intégralement le sol. Quand elle libère son pied, la matière résiste quelques instants et reste collé en finalement épais à ses orteils et à la plante de son pied, provoquant un bruit spongieux de succion. Rachele a un nouveau rictus de dégoût, elle regarde le couloir devant elle et prend une grande inspiration... Elle n'a pas le choix... Elle ne peut pas revenir sur ses pas... Elle va devoir avancer, les pieds dans cette boue immonde.
Elle crispe ses doigts sur la crosse de son 9mm et serre les mâchoires, puis elle avance à nouveau son pied. Il s'enfonce de nouveau dans la glu, provoquant un nouveau bruit répugnant. La mafieuse tente de fermer son esprit au contact de cette chose sur sa peau délicate et reprend son périple.
La progression est épuisante, Rachele a la sensation de marcher dans une épaisse couche de neige tant la boue beige ralenti ses mouvements et lui impose d'importants efforts pour lever une jambe puis l'autre. À chaque pas, elle fatigue un peu plus, à chaque mètre elle se sent un peu plus oppressée, mal à l'aise, comme si on l'observait depuis les ténèbres. Malgré la chaleur humide, Rachele frissonne, une nouvelle peur s'insinue dans son cœur, celle de l'inconnu, du noir, de ce quelque chose qui l'observe... Quelque part... Tout près d'elle...
Quelques mètres encore... La belle est à bout. Elle pousse un long soupire et tombe à genoux dans cette glu qui répugne tant, mais elle ne peut faire autrement, son corps est épuisé, ses muscles courbaturés lui font tellement mal.
- Respire Rachele... Reprend toi... Juste quelques instants... le temps de reprendre ton souffle et c'est reparti... Allé...
Un cri déchire le silence et les ténèbres du couloir. Celui-ci n'a rien d'humain, ni même d'animal, en tout cas aucun animal que Rachele connaisse. Instinctivement, elle relève le bras tenant le pistolet pour le pointer dans la direction du cri. Mais la glu semble devenir plus poisseuse, plus collante qu'elle ne l'était jusque-là et libérer sa main à moitié immergée lui demande un effort titanesque. À nouveau elle pointe son arme devant elle mais son bras tremble à cause de la fatigue, l'arme devient de plus en plus lourde, l'effort qu'elle a fait pour se libérer de la boue lui a ôté la force nécessaire pour garder le flingue braqué. Très vite, son bras armé retombe contre sa cuisse. C'est à ce moment que le Phalen décide de révéler sa présence...
Un puissant battement d'ailes résonne dans la pièce étroite au moment où une créature monstrueuse se détache du plafond obscur où il s'était tapi. Rachele pousse un hurlement d'horreur. La créature ressemble à un immense papillon mélangé de manière répugnante avec un insecte et un poulpe. Ses ailes sont de grandes membranes osseuses garnies de griffes, sa tête et son corps de céphalopode vomissent une batterie de tentacules qui gesticulent en direction de sa proie. Enfin, le bas de son corps est composé d'un hideux sac de peau beige duquel supur une substance cireuse et crasse. Deux énormes testicules palpitent à l'intérieur alors que trois monstrueux pénis tentaculaires glissent entre leurs plis pour venir pendre dans le vide.
Rachele hurle de nouveau et tente de lever son arme pour tirer sur le monstre qui lui fait face. Mais elle n'y arrive pas, quelque chose retient son bras. Horrifiée, elle quitte le monstre des yeux pour baisser son regard. La glu dans laquelle elle patauge depuis tout à l'heure à changé de couleur et de texture, elle semble plus gluante encore, incroyablement collante, sa couleur fait maintenant penser à la soie d'une araignée.
Elle pousse un troisième cri de terreur et pousse de toutes ses forces sur son bras pour le libérer et le dresser vers la bête. Mais il est déjà trop tard. Le Phalen à profité de ce cours instant pour se laisser tomber lourdement devant elle, à seulement quelques centimètres de ses cuisses embourbées. D'un geste souple et fulgurant, un des tentacules fend l'air et frappe la main de Rachele, le pistolet vol et atterri plusieurs mètres plus loin dans la boue avant de s'y enfoncer.
- Non ! Non ne me touche pas ! Ne m'approche pas !
Hurle t'elle en plongeant inconsciemment les mains dans la glu derrière elle pour reculer. Mais la matière graisseuse retient cette fois-ci ses mouvements et le moindre geste de fuite lui demande un effort incroyable. Le monstre la laisse ramper ainsi sur le dos pour qu'elle se fatigue. Ses yeux, deux grandes billes noires sans expression la fixe pendant qu'elle se débat désespérément et que ses derniers forces s'amenuisent.
Rachele parvient encore à faire quelques gestes de recule, arrachant inutilement ses mains et ses cuisses à l'emprise de la toile pour s'y coller de plus belle au geste suivant. Dans sa tentative de fuite, son regard terrifié voyage entre les étranges petits tentacules qui sortent de la tête du Phalen et les énormes apindices sexuels accrochés à son énorme sac palpitant.
- Non... non non non... pitié... non... Au secours... Par tout les saints...
Mais la bête reste sourde à ses suppliques. Elle se laisse lourdement tomber entre ses cuisses pour la surplomber de tout son corps, les tentacules qui lui servent de membres préhensiles se jettent alors sur elle et s'enroulent autour de ses bras et de ses jambes pour les lui immobiliser. Le contact de la créature est abject, visqueux, chaud et palpitant, comme une immense limace chitineuse. A cette sensation Rachele hurle de plus belle et recommence à se débattre, puisant dans les forces du désespoir.
Le Phalen encaisse quelques coups-de-poing en poussant un grognement de frustration, puis il fait serpenter ses tentacules cérébraux jusqu'à la tête de Rachele.
- Que... qu'es-ce que tu fais... non ! Lâche moi, n'approche pas de ma tête Noooon !
La belle mafieuse essaie de chasser les tentacules qui se rapprochent de son visage, mais d'autres viennent l'entraver dans ses mouvements. Après quelques gestes supplémentaires et l'effort titanesque qu'ils ont nécessité, la proie finie par ne plus pouvoir bouger. Le monstre ramène alors sa sacoche à semence entre les cuisses de Rachele qui sent presser contre sa vulve, son anus, et même son urètre les trois pénis du Phalen.
- Nooooon je...
Les tentacules qui serpentaient sur sa tête et ses tempes s'enfoncent soudainement sous sa peau et dans ses oreilles. Sa vue d'obscurci et ses sensations augmentent soudainement à mesure qu'elle sent les tentacules s'enfoncer dans sa tête. Sans qu'elle sache pourquoi, la belle petite proie se sent détendue, presque bien même, elle a chaud, ses seins lui semblent plus lourd et incroyablement réceptifs à la bouche baveuse et tentaculaire qui se vautre dessus pour les lui sucer.
Elle essaie de garder les yeux ouverts, consciente que la monstruosité est en train de lui faire quelque chose qu'elle ne veux pas. Mais elle perd petit à petit le fil de ses pensées, elle commence à oublier ce qu'il se passe autour d'elle, pourquoi elle est ici, qui elle fuit, même qui elle est. Elle sait juste qu'elle est une femelle et que la saison des amours à commencé sur Terra. Elle s'est faite attraper par un mâle et il va la féconder maintenant pour qu'elle puisse pondre sa progéniture dans quelques jours, perpétuant ainsi le cycle de vie des Phalens.
Lentement, sa main gauche glisse du tentacule contre lequel elle luttait vers sa vulve. Devant celle-ci, déjà trempée et prête à recevoir la bite de son mâle dominant, l'énorme appendice sexuel du Phalen presse maladroitement pour s'enfoncer dans l'orifice trop petit de l'humaine. Subjugué par la volonté de la créature, l'esprit embrumé et contrôlé par ses sondes cérébrales, Rachele utilise ses doigts pour écarter ses lèvres vaginales et guider le pénis palpitant vers sa vertu. La queue de la bête s'enfonce alors en elle avec brutalité, arrachant à Rachele un petit cri de douleur. Pendant quelques secondes, elle revient à elle et réalise l'horreur de la situation. Elle essaie de se débattre pour dégager ce corps dur et étranger, mais la bête sort brutalement et s'enfonce à nouveau avec sauvagerie.
- Haaaa !! Non j...
Les tentacules s'enfoncent plus profondément dans sa matière grise et à nouveau son esprit plonge dans la demense. Elle est une femelle Phalen, elle doit satisfaire son mâle dominant, elle doit accueillir sa semence et perpétuer l'espèce...
Ses doigts guident alors le second appendice vers le minuscule trou de son urètre. Du bout du majeur, elle le lubrifie et le doigte pour l'élargir juste à temps pour qu'il puisse se faire remplir par un nouveau tentacule de chaire brune. Elle hurle de nouveau, mais cette fois-ci, le plaisir se mêle à la douleur. Elle se cambre maintenant et écarte les jambes avec langueur pour permettre à son mâle de trouver plus facilement le chemin qui mène à son dernier orifice encore libre et avide de sexe.
C'est à ce moment précis que le professeur arrive.
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Il connaît le cycle et la méthode de reproduction des Phalen quand ils ont affaire à une femme d'une autre espèce. Ils contrôlent leur esprit pour les faire se prendre pour des femelles de leur race jusqu'à ce qu'ils se soient introduit en elles par tout les orifices. Une fois fait, ils les fécondent en les remplissant de toute pare de leur semence mutagène. À ce moment-là, la jeune femme est subjuguée par les hormones dominantes de la créature et devient son esclave.
Arlan remarque que le Phalen est sur le point d'atteindre cette étape. Il est en train de diriger un de ses tentacules vers sa bouche et un autre vers l'anus de Rachele. S'il le laisse faire encore quelques minutes, il jouira en elle. La belle mafieuse deviendra alors une véritable salope docile pendant une heure ou deux avant de reprendre ses esprits, à condition qu'on la sépare du Phalen et de son influence mentale et hormonale. En revanche la jeune femme sera irrémédiablement fécondé et plusieurs oeufs se développeront en elle pendant plusieurs jours avant qu'elle ne les accouche.