Otome Yuugi (https://e-hentai.org/s/c0f2a4aa70/1325024-674) était un garçon très renfermé sur lui-même, qui était en train de planifier son ultime plan. Il planifiait cela depuis des semaines, et le jeune homme obèse était très impatient à l’idée de pouvoir le faire. C’était son grand projet, son plan… Là, dans sa chambre, il avait devant lui une impressionnante installation informatique comprenant trois écrans, et visualisait toute la maison familiale avec une série de webcams qu’il avait installé en de nombreux endroits. Il y avait passé toute une matinée, pendant que sa mère était au travail, installant des caméras absolument partout. Tous les appareils étaient reliés en WiFi à un boîtier central, utilisant pour cela la fibre optique présente dans la maison. Après tout, sa mère n’était pas une spécialiste en informatique, et c’était lui qui gérait toute l’installation depuis sa chambre. Les alarmes, les volets de sécurité, et l’intégralité du système de vidéosurveillance. Il avait surtout mis des webcams dans des endroits spécifiques : la douche, les toilettes, et une bonne dizaine dans la chambre de sa mère, en de multiples angles. Sa mère ignorait tout cela, tout comme elle ignorait une chose fondamentale : Otome était profondément amoureux d’elle.
Yuki Yuugi (https://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=4509432) était une mère-célibataire, ce qui était toujours mal vu au Japon. Elle avait divorcé il y a des années, dans un contexte houleux et très éprouvant, surtout pour Otome, qui était encore jeune. Son père trompait Yuki, et l’avait même battu. Otome avait longuement cauchemardé de cette période, et avait subi un lourd décrochage scolaire qui l’avait fait redoubler, et l’avait amené à suivre une forte thérapie auprès d’un pédopsychiatre. Yuki avait également dû suivre une thérapie, car elle avait été d’un naturel soumis, et s’était révoltée contre son mari, jusqu’à déménager avec Otome.
Ce qui avait surtout marqué Otome fut une période où sa mère, dans un élan dépressif, avait quitté le domicile conjugal. Il était resté seul pendant des heures, pleurant dans son lit, sans personne pour lui venir en aide. Sa mère avait été portée plainte, et, suite à cela, ils avaient eu une relation très proche. De fait, Otome avait dormi pendant des années dans le lit de sa mère, tétant son sein pendant très longtemps. Il n’avait jamais confessé cela à sa psychiatre quand il en avait une, mais ses terreurs nocturnes s’étaient dissipés en dormant avec sa mère. Et il avait dormi avec elle jusqu’à l’âge du collège.
*Ma maman…*
Otome souffrait d’un fort complexe œdipien. Il aimait fortement sa mère, et celle-ci avait actuellement trouvé un petit-ami, un vieux Japonais rabougri et desséché comme une vieille plante pourrie, Hadaka Shitsuji (https://e-hentai.org/s/c38b2c0329/1161518-1141). Elle l’avait rencontré au travail. Yuki travaillait comme secrétaire dans une entreprise, et Hadaka était l’un des clients réguliers du cabinet. Ils sortaient ensemble, et Otome avait filmé chaque séquence où ils se faisaient l’amour. L’homme s’épuisait vite, et rappelait beaucoup à Otome son ancien père. Un homme dominateur, arrogant, qui méprisait Otome pour son surpoids.
Du fait du divorce compliqué, Otome avait souffert d’une forte boulimie, un réflexe de survie pour combler ses carences affectives. Il était depuis lors particulièrement gros, sans que sa mère ne trouve un moyen de le lui reprocher, tant elle s’en voulait d’avoir été jadis une mauvaise mère. Yuki pardonnait donc Otome, qui l’aidait beaucoup pour tous les problèmes techniques. Yuki ne cessait de dire qu’il était le « petit homme de la maison ». Malheureusement, avec Hadaka, son influence s’atténuait. La dernière fois, c’était lui qui avait réparé la télévision, et non Otome. Hadaka ne l’aimait pas, et Otome non plus.
*Tu es à moi, ma Maman, pas à ce sale bonhomme…*
Ce soir, Yuki-san se préparait pour une soirée romantique avec ce sale con. Pour Otome, c’était le coup de trop. Il avait donc préparé ce soir une tisane spéciale pour sa mère, car elle se préparait pour sa sortie. Le jeune homme s’approcha donc d’elle, prêt à l’action, dissimulant son érection comme il le pouvait sous son pantalon. Le jeune homme était très excité par la situation ambiante. De fait, il n’avait jamais vu un seul film pornographique de sa vie, et avait fait toute son éducation sexuelle avec les photographies insolites et les vidéos qu’il faisait de sa mère, notamment quand elle se masturbait en se douchant, ou dans d’autres circonstances.
« Maman ! Tiens, c’est une tisane… Pour ce soir, afin que tu n’aies pas mal au crâne. »
Évidemment, il se retint de préciser que la tisane comprenait un puissant somnifère…
Le baiser de Yuki-chan sur son front avec la vision insoutenable de sa plantureuse poitrine sous son nez acheva définitivement Otome. Tandis qu’il s’installait pour manger, il dissimulait autant que possible une érection lancinante. Bien sûr, il était nerveux, mais aussi très excité. Otome réfléchissait depuis des mois à ce plan, mais la crainte l’avait toujours fait hésiter. La crainte de ne pas être à la hauteur, de briser définitivement le lien avec sa mère... Mais Otome avait bien grandi, et ne plus dormir avec sa mère était insupportable pour lui. Avoir un rival était terrible, et, à chaque fois que ce sale con d’Hadaka était présent, et mangeait avec eux, Otome se retenait de l’étriper sur place. Il avait longuement attendu ça, jusqu’à constater qu’il en voulait aussi à sa mère... Ce qui l’avait convaincu de crever l’abcès. Et là, tandis que sa mère mangeait, lui attendait patiemment, souriant légèrement, presque malicieusement, observant sans vergogne les seins de sa mère. Il avait tant rêvé de les palper à nouveau, de les embrasser encore. Otome avait après tout tété les seins de sa mère pendant très longtemps, et, même si Yuki ne s’en souvenait plus, lui se rappelait de ces réveils matinaux où il avait mal au sexe, et où il avait bavé la nuit sur les seins de sa maman. Il les avait titillés, alors, jusqu’à les sentir se durcir, et avait pris l’habitude, alors qu’il découvrait le sexe et les réactions hormonales, de les lécher le réveil.
*Et je vais pouvoir les palper à nouveau, les lécher, les pincer, les mordiller !*
Sa mère but toute la tisane sans hésitation, et il hocha lentement la tête quand elle lui parla de sa soirée. Sa vision commença ensuite à s’alourdir, et Otome lui sourit brièvement.
« ]Ça ira très bien ce soir, Maman, ne t’en fais pas... »
Elle se mit alors à bâiller, puis cligna des yeux, et tenta de prononcer son nom... Puis tomba sur le sol. Otome se redressa alors en souriant malicieusement, puis se pencha vers elle.
*Allez... En piste !*
Une demi-heure plus tard, Yuki devait commencer à émerger. Elle comprendrait rapidement qu’elle se trouvait dans sa chambre, couchée sur son lit. Un bâillon était sur sa bouche, tandis que ses poignets étaient retenus par des cordes attachées au lit, tout comme ses chevilles. Autodidacte, Otome avait appris l’art délicat du cordage en consultant des manuels et en se renseignant sur Internet, pratiquant avec des mannequins.
« Je viens d’avertir Hadaka que tu étais très malade ce soir, Maman, et que tu ne pourrais pas venir le voir. »
Les questions devaient sans doute se multiplier dans la tête de sa mère, qui devrait également constater qu’Otome avait relevé son pull violet, révélant ainsi son opulente poitrine, retenue dans un soutien-gorge appétissant. Il se déplaça un peu, et alluma la lumière de la table de chevet. Une caméra était montée sur un trépied devant le lit, et la moitié du visage d’Otome disparaissait derrière un téléphone portable, celui de sa mère. Otome avait installé les trois quarts des applications sur ce téléphone, dont des logiciels-espions indétectables qui lui avait permis de suivre continuellement sa mère.
Il portait toujours son uniforme, et son pantalon le serrait de plus en plus. Il s’était attendu à avoir un manque de confiance en la traînant dans sa chambre, mais, en réalité, plus Otome agissait, et plus il était excité. Il l’avait attaché, et avait léché ses lèvres, puis avait relevé son pull, et n’avait pas pu résister à la tentation. Les seins de sa mère étaient ainsi tendus, et son soutien-gorge légèrement humide, car Otome avait léché et mordillé les bonnets du soutien-gorge.
Sa mère devrait ensuite réaliser tôt ou tard qu’elle n’avait plus son pantalon, et que sa culotte habituelle avait été remplacée par une culotte plus élégante en dentelle. Il se déplaça encore un peu, jusqu’à la rejoindre au niveau de la table de chevet, et s’assit sur le lit.
« Tu sais que c’est là que j’ai joui pour la première fois, Maman ? Dans ce lit... Quand nous dormions ensemble. Je sentais tes seins sur mon visage, ta peau satinée et chaude au matin, si douce, et mon sexe me faisait mal. Je me caressai intuitivement contre toi. »
Il parlait d’une voix faible, presque éteinte, tout en caressant avec sa main le visage de sa mère, glissant sur sa joue.
« Je ne laisserai pas ce vieux croûton briser notre famille, Maman ! Tu t’es éloigné de moi, tu ne m’aimes plus ! »
Et il lui retira son bâillon pour la laisser parler...