Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Complexe d'études secondaires et supérieures => Salles de cours et bibliothèque => Discussion démarrée par: Leïla le lundi 09 juin 2008, 21:50:55
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Leïla était ravie. Elle avait enfin dégoté un endroit plein de livres, et elle en rêvait depuis très longtemps. Des livres, son royaume, son univers! Il y avait même un bonhomme qui occupait l'accueil, caché derrière ses lunettes, même pas enclin à discuter! Ces petites choses simples et banales rendaient la jeune fille très heureuse. Plus elle découvrait l'extérieur, plus elle était contente d'être enfin sorti. Cependant, son inquiétude première était de paraître normale, car, n'ayant jamais intéragi naturellement avec des gens de son âge, elle avait peur de faire des bourdes...
"Monsieur, demanda-t-elle alors à l'homme qui ne l'écoutait pas au comptoir, où je pourrais trouver des livres sur le comportement des adolescents?"
"Mmm troisième rangée à gauche."
Rien de plus. Comme elle ne voulait aps vraiment ouvrir de conversation pour le moment, elle se dirigea vers la rangée désignée, mais ne trouva pas les livres qu'elle était sensée trouver.
"Mais zut alors! s'exclama-t-elle, Je n'ai plus qu'à chercher moi-même..."
Alors, errant dans les longues et grandes rangées désertes ou presque, Leïla observait tous les livres pour trouver le sujet qui l'interessait.
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Don cherchais depuis un bon moment quelque chose pour renflouer son commerce. Il était revenu sur Terre dans le but de trouver ce quelque chose, mais ses recherches s'étaient revelées infructueuses, il était repassé au lycée dans le but de trouver quelque chose là bas, après tout il y avait pas mal de lycéennes ici...Il pouvait toujours tomber sur la perle rare, il passa dans une ruelle et enfila son costume de surveillant qu'il avait volé a un pauvre type qui n'avait plus jamais revu la lumière du soleil après ça...Il réajusta sa cravate, se coiffa correctement, et mit une paire de lunettes sur son nez. A première vue il ressemblait véritablement a un pion, bien batti, mais un pion quand même. Il portait un pantalon en jean et une chemise correcte ainsi qu'une cravate rouge. Il entra dans le lycée et se mit a regarder autour de lui, mais rien qui n'attirat vraiment son attention. Il soupira, passa devant la bibliothèque et se dit que, tant qu'il était là, il allait faire le plein de livres pour pouvoir les lire sur son retour.
-Monsieur, où je pourrais trouver des livres sur le comportement des adolescents?
Don leva le nez et apperçut Leila, bien qu'elle ne l'appercevait pas. Et aussitôt celà tilta dans sa tête, c'est tout ce dont il avait besoin...Pourvu que...Pourvu que...Il s'approcha du documentaliste et lui lança
"Salut, je viens prendre la relève."
-Pff, tu ferais mieux de fermer, y'a personne ici c'est chiant...
Don sourit alors qu'il lui donnait les clefs et sortait de la bibliothèque. C'est vrai que mis a part Leila elle était quasi déserte...Non, il n'y avait apparement personne...Parfait. Il alla fermer la porte derrière l'homme, regardant bien si la jeune fille ne le voyait pas, les enfermant tous les deux dans la bibliothèque. Puis, il alla la rejoindre dans les rayons et lui tapota sur l'épaule
"Excusez moi mademoiselle, vous faites partie de cet établissement?Ou est votre uniforme?"
Lança t'il sèchement a Leila, entrant dans son rôle de surveillant
-Hj-Si tu pouvais décrire ce que tu porte...^^-Hj-
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-HJ No problem HJ-
Leïla se retourna, surprise qu'on s'adresse à elle. De plus, ce n'était le documentaliste bourru qu'il y avait en face d'elle, mais une jeune gomme largement plus agréable et enclin à aborder. La jeune fille se retourna vers lui, lui souriant dans sa belle robe blanche et décolletée qui mettait en valeur sa poitrine, ses petits mpieds dans d'adorables sandalettes blanches et les cheveux relevés en une demi-queue de cheval tressée.
"Pardonnez-moi, monsieur...je suis une future élève, je commence les cours demain, mais je voulais venir ici tout d'abord..."
Leïla rougit, doutant soudain de son droit à être présente dans cette tenue dans la bibliothèque du lycée. Avait-elle fait quelque chose de mal? Elle ne le savait aps, mais dans le doute, elle inclina la tête, gênée.
"Pardonnez-moi, Monsieur, ce n'était vraiment pas de ma volonté que d'enfreindre le réglèment de cet établissement...si je l'ai enfreint....désolée!"
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Don eut un sourire. Il sentait qu'il allait aimer ce qui allait se passer, l'homme qui se tenait devant elle était imposant, environ deux mètres de haut, une véritable montagne de muscles ambulantes, et ces petites lunettes sur son visage le rendait un peu menaçant, mais son visage était très agréable a regarder malgré tout. Le teint légerement bronzé montrait qu'il n'était pas japonais, peut être un étranger en visite. Bien, il n'avait pas beaucoup de temps a perdre, ni l'envie de passer du temps là dessus a vrai dire, il fronça les sourcils et répondit
"Je suis navré, je vais devoir prendre votre nom, et vous demander de quitter l'établissement jusqu'au lendemain, c'est le reglement."
Il réajusta ses lunettes pour montrer une certaine inflexibilité dans son mouvement, pour montrer également qu'il ne plaisantait pas, mais il s'agissait de bluff evidement, il n'avait aucune idée du reglement de cet établissement. Qui plus est les portes étaient fermées, il ne voulait pas qu'elle parte, il voulait lui demander son nom.
"J'ai bien peur que je doive en parler, vous savez nous sommes très stricts sur l'emprunt de livres, on a eu des vols dernièrement, il suffirait que celà retombe sur vous pour entacher votre scolarité..."
Lança t'il, dans le but de la faire flipper un peu, mais...Rien a faire, il ne pouvait pas détacher ses yeux de son décolleté alléchant
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Leïla blêmit pendant qu'il parlait. Alors, s'il y avait quelque chose, elle serait automatiquement accusée? Ce n'était pas juste si elle 'nétais pas coupable.
"C'est injuste! Je n'ai rien fait, moi!"
Elle prit une mine un peu boudeuse, mais, oubliant soudainement que, de un, elle était dans une bibliothèque, et que, de deux, la personne qui était devant elle lui avait semblait d'un premier abord avenant, elle fut prise d'une soudaine impulsion: la porte...
Se diriger vers la porte!
Elle se mit alors à courir à toute vitesse vers la sortie, gênée à mort d'être accusée de vol qui n'avait pas encore eu lieu, et ft bouche bée lorsqu'elle se trouva nez à nez avec la porte...fermée...
"Mais! Qui diable a fermé cette porte?!"
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Don eut un sourire goguenard, bien sur qu'elle n'avait rien fait, il venait de tout inventer. Il lui lança alors une platitude pour rebondir sur ce qu'elle lui disait
"Ca, je n'en sais rien mademoiselle, tout ce que je vous demande c'est de me donner votre nom pour que nous puissions enque..."
Il fut surpris de voir la fille courir. Il l'avait accusé de vol injustement, mais celle ci fuyait, avait t'elle quelque chose a se repprocher?Ca a allait être bien plus facile qu'il ne le pensait. Don la suivit en marchant, pas besoin de se presser, la porte était fermée. Elle s'en apperçut et s'eclama qu'on avait fermé la porte.
Le surveillant sortit au détour d'un couloir et sourit
"Pourquoi fuyez vous, mademoiselle?Si vous fuyez, c'est pour une bonne raison : vous êtes le vrai voleur."
Il ne lui disait pas pour autant pourquoi il avait fermé la porte, il sortit un téléphone portable de sa poche et lança
"Très bien, j'appelle la police."
Evidement il ne l'appellerait pas, le but de cette manoeuvre était que Leila l'empeche d'appeller
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Leïla était totalement paniquée. Enfermée??? Comme par ses parents, dans un lieu clos, sans pouvoir sortir? ah, non!
Mais déjà, Don arrivait, et elle tremblait.
"La police?!"
La jeune fille blêmit. Alors, il croyait vraiment qu'elle était une criminelle? La jeune fille en avait les larmes aux yeux. Il allait réellement le faire...Le portable était ouvert sous ses yeux...L'inconnu allait donc réellement appeler? Oh, non...pas ça...
*Je voudrais tant être une explosion qui casse ce maudit portable en même temps que cette fichue porte!*
Les yeux de Leïla se mirent alors à scintiller, puis soudain, un nuage de fumée apparut, accompagné d'une explosion, une vraie, la porte étant en charpie, et un éclat ayant décapité le téléphone.
"Pardon...j'ai recommencé!"
Elle se faufila alors par la porte, cachée par la fumée, tentant alors de fuir de là. Elle n'était pas une voleuse, et n'en serait une!
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Don vit les yeux de Leila scintiller et il comprit alors son erreur et se jetta purement et simplement sur elle, plus le temps de se soucier de ça, le portable lui eclata dans la main, lui coupant celle ci et il retint un grognement. La porte explosa sous ses yeux et libéra le passage. Maldiction!Avec une explosion pareille ils allaient se faire repérer!Cette fille était une utilisatrice de magie perdue. Il croyait qu'il s'agissait d'une simple humaine et avait sous estimé ses reactions. Don se jetta a sa poursuite, loin d'être aveuglé par le journal, il écoutait les pas de Leila qui hésitaient un peu. Ils n'allaient pas tarder a courir...Si elle croyait lui échapper!Lui le prédateur parfait, elle se mettait le doigt dans l'oeil jusqu'au coude.
Il y avait deux raisons pour laquelle Leila n'allait pas pouvoir se tirer de là facilement. La première était que Don avait pu anticiper l'attaque magique, grâce a sa grande experience de Terra, elle avait donc perdu l'effet de surprise, et avait commencé a courir avant même que le sort soit lancé, et ne s'était pas arrété malgré sa main coupée, la seconde était qu'il était un sportif de haut niveau et elle une jeune fille. Voilà ces deux raisons. Quoi qu'il en soit il ne pouvait pas la laisser filer comme ça.
Don jaillit de la fumée et courrut après Leila devant le regard ahuri des élèves et des professeurs...Niveau discretion c'était loupé, mais son trophée n'en serait que meilleur. Alors qu'elle empruntait un escalier, Don sauta de la rembarde où il se trouvait pour atteindre l'escalier du dessous, tombant littéralement sur Leila, la saisissant par les poignets.
"Je te tiens."
Aussitôt son propre pouvoir se mit en activation comme a son habitude. Les pouvoirs de Leila étaient annulés...Il la fit pivoter et la pris sous son bras...Il entendait les pas venir vers lui, il ne pouvais pas se permettre de rester dans le coin...Trop dangereux. Alors qu'il lui tenait les deux bras, d'un seul de ses gros poings il fouilla dans ses papiers et sortit une de ses fausses pieces d'identitée...Avoir des relations ici permettait tout. Et quand les professeurs arrivèrent, médusés, il leur présenta une carte d'agent de police.
"J'ai mis la main sur un element terroriste, je requisitionnerais une piece de votre etablissement pour interroger celle ci. Je me chargerais de payer la reconstruction.[/i]
Lacha t'il sur un ton autoritaire avant de faire remonter Leila par l'escalier pour la ramener dans la bibliothèque, de force, la tenant fermement par le bras, puis il la jetta au sol, se tenant dans l'encablure de la porte...Il avait bien fallu 2 minutes pour la monter, et il ne l'avait pas laché de tout ce temps...Ce qui signifiait que ses pouvoirs ne reviendraient pas avant deux heures.
"Tu m'en aura causé des emmerdes."
Lança Don tandis qu'il levait sa main a son visage pour remonter ses lunettes, en profitant pour lécher le sang qui coulait de celle ci, d'un air bien sadique
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Muette, Leïla s'était laissé remué de tous les côtés sans rien dire. Elle 'navait aps osé une seule seconde ouvrir a bouche. Elle avait tellement peur d'être prise pour une cinglée qu'elle avait préférer étouffer ses appels à l'aide à l'extérieur.
Il faut dire aussi qu'elle n'en revenait pas de ce qui était en train de lui arriver... que venait-il de se passer soudain? Elle cherchait juste des livres pour savoir comment se comporter normalement...et maintenant, elle se retrouvait toute seule, face aux griffes d'un inconnu, terrifiée.
Il ne ressemlait à quelqu'un de relativement sympathique, maintenant, il lui faiait peur. Quelque chose qu'il avait dans le regard lui rappelait un peu son père lorsqu'il sombrait dans la folie. Est-ce que tous les hommes étaient ainsi? Est-ce qu'ils voulaient tous pouvoir abuser des jeunes filles alors qu'elles sont toujours en position de faiblesse? Elle était vraiment terrifiée.
Alors qu'il léchait sa mai à la main, dû au téléphone qu'elle avait fait exploser, elle se mit à souhaiter profondément devenir un courant d'air qui s'échapperait de cette bibliothèque d'où elle se retrouvait à nouveau enfermée...
Enfermée? Non! La porte de sortie avait explosé...alors il lui restait une chance de s'enfuir! Il fallait simplement...passer devant Don...
Glissant alors au sol, Elle se releva, tentant de faire face à cet inconnu qu'elle trouvait maintenant réellement malsain.
"Pourquoi vous me faites ça?"
Elle voulait au moins comprendre, puisqu'elle ne voulait pas deviner par elle-même.
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Soit Leila était une professionelle du Bluff et feignait l'innocence avec trop de talent pour qu'elle soit vraiment humaine, soit...Soit elle était vraiment stupide. Ne lui avait t'il pas dit qu'il était surveillant dans cet établissement?Et après la scène, ne devrait t'elle pas être persuadée qu'il était agent de police?Décidement...Cette petite ne finissait pas de le laisser perplexe, mais il ne se laissa pas démonter. Il avait deux heures pour mener sa mission a bien, il aurait surement le temps de prendre plus, mais pour l'instant il avait deux heures de répis. Aussi la masse de muscles qu'il était se dirigea vers Leila et la tira par le bras pour la ramener vers lui avant de lui faire une clef de bras pour les immobiliser
"Cessez de jouer les innocentes, vous avez fait exploser une partie de cet établissement, il ne fais aucun doute que vous êtes une menace. Où avez vous obtenu ces explosifs et quel était votre but premier?Nous le serons bientôt, vous avez le droit de garder le silence, tout ce que vous direz pourra être retenu contre vous."
Lança Don, impitoyable, il avait changé de rôle comme de chemise, il n'était plus surveillant mais l'agent de police infiltré qu'il avait prétendu être. Décidement, cette fille lui avait fait griller sa couverture dans le lycée, il lui faudrait des mois pour en créer une autre...Il plongea une main dans sa poche et l'ammena jusqu'aux étagères de fer. De là il sortit des menottes, c'était parfois un ustensile très important a emporter en mission pour chercher une marchandise, il accrocha Leila a la bibliothèque, si elle voulait partir elle devrait non seulement la faire s'écrouler et la trainer. Don enleva ses lunettes et les rangea précautionneusement dans sa poche avant de lancer
"Vous allez passer un long séjour a l'ombre miss...C'est bien dommage, une belle femme comme vous...."
Fit Don, a présent qu'il avait attaché Leila, il lui mit la main au fesses sans aucune vergogne. Son pouvoir était suspendu pour bien deux heures et si elle criait personne ne viendrais malgré la porte ouverte, les gens croiraient que ça ferait partie de l'interrogatoire...
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Leïla ne savait pas comment réagir correctement, tellement elle était terrifiée. Mais jamais personne n'avait pu empêcher son pouvoir de s'exprimer! Elle savait qu'elle aurait du devenir du vent...pourquoi n'y arrivait-elle pas? De plus, maintenant, elle était attachée? Cela devenait n'importe quoi!
"Je ne suis pas une terroriste, je suis juste une future étudiante!"
Mais ce n'était pas la peine de parler, cet homme ne l'écouterait pas de toute façon. Elle était donc prisonnière...encore une fois...
"Je refuse qu'on m'enferme encore une fois!"
Mais déjà, la main de l'inconnu se posait sur ses faces, lui arrachant un frisson de surprise et de dégoût. Ce n'était pas que ce n'était pas agréable, mais cela la gênait et l'outrageait, au vu des circonstances...c'était pour cela qu'elle avait poussé un cri de surprise. MAis personne ne viedndrait, maintenant que tout le monde croyait qu'elle était une terroriste...
Le reagrdant alors d'un air furieux, elle ne put s'empêcher de lui lancer, aussi terrifiée qu'en colère.
"Vous êtes comme mon père...!"
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Don eut un rictus désagréable et celui ci fut suivi d'un sourire, il lécha encore un peu le sang sur cette main. Et regarda Leila depuis l'endroit où il se trouvait, il l'avait attachée là et a présent qu'elle avait les mains prises il pouvait la palper autant qu'il le voulait. Don répliqua avec malice a ce qu'il disait
"Moi je ne vois pas de future étudiante, je vois surtout une très vilaine menteuse..."
Lança t'il tandis qu'il se collait a elle, la rapprochant de lui, passant ses mains autour de son ventre pour la serrer. Don eut un petit rire et lança a Leila
"Mais tu n'a pas le choix ma petite...A partir de maintenant tu es a moi. Tu es mon objet."
Fit il tandis que ses mains caressaient son ventre a travers sa robe. Quand elle lui lança qu'il était comme son père il rit et frappa sa fesse d'une tape
"C'était un charmant homme, j'en suis sur."
A présent, Leila pouvait sentir entre ses deux fesses quelque chose de dur et de rigide, les mains de Don s'avancèrent près de son décolleté, en sortirent un sein et se mit a le pelotter doucement
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Leïla ne trouva rien de mieux à faire qu'à dévisager Don d'un regard froid et assassin, ses yeux rouges semblant être aussi tranchants que des lames de rasoirs. Être ainsi à la disposition d'un homme qui la prenait pour un objet...cela lui semblait être un monde de fous! Pour elle, tout ce qu'il se passait semblait issu d'un rêve, ou alors d'un sacré cauchemar qui commençait. Mais comment se sortir de là, avec des menottes de métal au poignets, face à un homme plus vieux, plus grand et plus fort qu'elle, qui la tripotait?
"C'est vous le menteur...Vous êtes le mensonge dans le corps et dans l'âme..."
Mais, pourtant, elle sentait bien quelque chose de dur contre elle, quelque chose que seuls les hommes pouvaient élever...
Leïla déglutit, semblait hésiter entre s'évanouir et perdre totalement son sang froid.
"Un père incestueux ...un violeur...les hommes sont tous pareils..."
Elle marmonnait de colère, car elle savait, cette fois, qu'elle ne pourrait pas s'échapper aussi facilement, puisqu'elle ne pouvait pas faire exploser la bibliothèque comme elle avait fait sauter sa propre maison.
"Et vous n'avez même pas dit votre nom, espèce de pervers!"
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Don eut un petit rire quand elle le traita de menteur. Et il pressa son sein en conséquence, avec plus de force et de méchancetée avant de la fesser a nouveau. Décidement cette petite au regard rouge lui plaisait bien, il en tirerais surement un prix d'or au marché au esclaves, mais évidement il devait tester lui même sa propre résistance...Aussi s'amusait t'elle avec elle tant qu'il le pouvait. Mais là il lui faisait mal, pour qu'elle se taise un peu et qu'elle l'écoute, lui qui était a présent son maître
"La ferme, désormais tu me devras obéissance, pour la seule bonne raison que je peux te faire connaître en très peu de temps des souffrances pires que la mort...3
Ses doigts remontaient vers la pointe de son mamelon, le titillant et l'écrasant parfois sous son doigt, il accentuait les caresses avec plaisir, tandis qu'il aggripait la fesse droite de Leila pour la palper encore plus
"Ah, je suis navré, je m'appelle Don. Je suis ton maître a présent, et je vais t'apprendre a me respecter..."
Tout en disant ça, il passa sa main sous sa juppe et lui caressa les jambes pour remonter au niveau de son entrejambe, caressant un peu ce qu'il y avait là a travers le tissu, avant de tirer la culotte le long des jambes et de les saisir a pleine main, lachant le mamelon
"Tu me traites de pervers..."
Il passa sa tête sous la juppe
"Mais vu ton état ça serait plutôt toi la perverse, non?"
Fit il en se mettant a lecher son intimitée avec sa langue, tenant fermement ses pieds pour ne pas qu'elle se débatte
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Leïla ne put faire qu'une chose, tellement l'idée que quelqu'un croit qu'elle n'était qu'un objet: elle cracha à la figure de Don, furieuse comme pas permis.
"Je ne suis pas votre chose, et je ne vous dois rien!"
Elle songea à mettre un coup de genoux dans les bijoux de famille, mais ce geste fut arrêté avant qu'elle en ait eu l'intention: Il lui avait bloqué les chevilles en la démunissant de sa culotte!
"Non, pas là! Je vous l'interdis!"
Elle était furieuse, mais ne put s'empêcher de réprimer un gémissement alors que Don commençait à la lécher dans ce qu'elle avait de plus intime, et ce avec sa langue en plus!
"Vous n'êtes...qu'un sale pervers..."
Mais qu'avait-il donc, cet homme, pour faire ça? Et qu'es-ce qu'elle avait, elle, à se sentir soudain aussi fébrile que démunie? Un cauchemar, bien sûr que ce ne pouvait être qu'un cauchemar...avec des senastions drôlement réelles, par contre...
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Don se fit cracher au visage, ce n'était pas la première fois. Pas la dernière surement. Il sourit, ce geste était tellement...Classique, classique de la part de l'assailli, qu'il ne le remarquait pratiquement même plus, il attrapa le cracha qui avait attéri sur sa joue avec l'index, puis le porta a ses lèvres et le lécha lentement...Avec un plaisir sadique montrant qu'il y prenait vraiment, vraiment gout.
"Tu n'es pas encore ma chose, mais je vais bientôt prendre possession de toi."
Lança l'homme avec un sourire sadique pendant qu'il s'appliquait a la lécher. Il sentait l'humiditée redoubler et son corps se tordre sous ses caresses. Il eut un large sourire avant d'enfoncer sa langue dans ses secondes lèvres pour caresser ses parois interieures, quand il la sentit génir il pénétra un de ses gros doigts dans le sexe de la jeune fille, le tatant un peu avant de le ressortir, couvert d'humiditée
"Regarde...Tu aime ça. Tu ne peux pas le nier."
Fit il tandis qu'il essuyait ses doigts sur sa bouche. Il eut un sourire puis, posa les mains sur son pantalon et se mit a le débraguetter, présentant a Leila une verge aussi grosse qu'un avant bras.
"Je te donne une chance, si tu t'occupe de ça je te laisserais partir sans m'attaquer a ta virginité, sinon tu ne me donne pas d'autre choix..."
Fit il tandis qu'il présentait son sexe a la bouche de Leila
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Leïla savait une chose: on ne pouvait rien contre les volontés du corps, alors effectivement, non, elle ne povait pas nier que son corps appréciait ça...et le sang de succube qui était en elle bouillait littéralement dans ses veines alors que son esprit, sa raison, et même son coeur, ne voulait pas de cet homme, cet intrus de Don, en elle.
Et il lui proposa alors ce marché fou, ce marché qu'elle ne'aurait jamais supposé s'entendre proposer un jour. S'occuper de son sexe? De cette énorme...chose? Mais...comment? Comment voulait-il qu'elle fasse cela, attachée et immobilisée, et... comment? Puis, le voyant rapprocher son sexe de sa bouche, elle comprit: il voulait qu'elle fasse rentrer ce truc dans sa bouche??? Mais il rêvait?! Elle n'y arriverait pas!
"Je...je..."
Mais il était trop tard, c'était trop près. Don le lui avait enfoncé dans la bouche, et elle ne put rien faire d'autre que d'élargir sa machoire pour ne pas le mordre, pour que "ça" puisse rentrer. Son côté humain détestait ça! Mais son côté succube, lui, guidait à sa place ses lèvres et sa langue, alors que Leïla elle-même n'avait pas la moindre idée de ce qu'elle faisait, gémissant silencieusement. Mais, au moins, elle pourrait repartir intacte...
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Don eut un large sourire en voyant Leila se resigner a s'occuper de lui comme un bon objet se devait de faire, il lui pénétra la bouche et se mit a donner des petits coups de reins, tenant la tête de Leila avec ses deux mains pour enfoncer sa virilité au maximum, soudain il sentit un courrant l'electriser...Etait t'il possible qu'elle réagisse elle aussi?Don poussa un murmure d'approbation, il sentait sa langue l'attiser de plus en plus et titiller son membre dans une tempete de désir, ca faisait longtemps qu'une femme n'avait pas été volontaire envers lui et Don savoura celà avec d'autant plus de delectation qu'a en voir le visage de Leila, ce n'était pas fait exprès...
"Je te l'avais dit, que tu aimerais ça, être un objet..."
Fit il en riant alors qu'il accellerait le rythme, conscient de provoquer chez Leila des hauts le coeur, il lança
"Je suis sur qu'une fille comme toi a attendu ce moment, le moment où un homme allait s'unir a toi toute ta vie, pas vrai?Tu dois être vraiment heureuse que ça soit moi...N'est ce pas?"
Il éclata de rire alors que les coups de hanches s'accelleraient et finalement il lacha tout dans un râle, la semence s'écoula dans la bouche de Leila et Don tint fermement la tête dans le but qu'elle en avale le plus possible
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Leila ne pouvait rien faire, rien répondre, puisque Don lui en avait ôté la possibilité en lui remplissant la bouche. Non, ce n'était pas vrai, elle n'aimait pas ça. Elle n'était son objet, elle ne voulait pas l'être, et n'aimerait pas l'être. Mais elle ne pouvait aps se rebiffer contre se que faisait son corps à cause de son sang, et elle était totalement bloquée dans ses mouvements. Elle ne pouvait que le laisser faire...
Jusqu'à ce qu'il lui remplisse la bouche de son essence. Ce n'était pas bon, mais, vu comment il lui tenait la tête, si elle voulait être libérée, elle comprit qu'elle devrait avaler...et, encore une fois, contrainte par la force, elle avala ce qu'elle put, alors qu'il lui en coulait encore un peu sur le coin de la bouche...
*Est-ce qu'il va enfin me relâcher maintenant?*
Elle n'avait plus qu'une idée en tête: partir et être loin de lui, et se laver la bouche encore et encore, jsuqu'à ce que cet affreux goût passe.
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Don se dégagea de la bouche de Leila avec un air satisfait sur son visage, il secoua un peu son membre pour faire partir ce qui restait et essuya les résidus sur la joue de la jeune fille, il avait pris un petit coup de mou mais la taille de sa verge restait quand même impressionante malgré tout. Don eut un sourire narquois avant de tapotter la tête de Leila avec la main
"Garce, j'espère que ton repas t'a plu. Tu fais moins la maline quand on en viens a la force brute et que ton pouvoir n'est pas là pour te sauver la mise hein?"
Fit il en la fessant a nouveau pour l'humilier, tournant autour d'elle lentement comme si on menait un interrogatoire, donnant parfois des claques sur ses fesses de la main gauche et tenant son sexe de la droite.
"Tu va apprendre a tes dépends aujourd'hui qu'il y a toujours plus fort que toi, et qu'il ne faut jamais completement s'appuyer sur soi même..."
Il se pencha au niveau de son visage et le caressa du dos de la main
"Est ce que tu as retenu la leçon?"
Il lui donna de petites tapes sur la joue comme on taperais sur le flanc d'une vache
"Hein?"
Il se leva et passa derrière elle, Leila put sentir les mains de Don se poser sur ses hanches et descendre jusqu'a ses jambes pour les soulever, sur son sexe elle pouvait ressentir quelque chose de dur la titiller
"Tu sais, je suis un très bon menteur, mais là quand même, c'était un peu gros de ta part de croire que j'allais te laisser le meilleur alors que tu es en position de faiblesse...Je te conseille de serer les dents!"
Et d'un seul coup il entra en elle, enfonçant le maximum qu'il put de son sexe d'un coup brutal et celui ci rentra a moitié en elle, Don resta là a attendre sa réaction, se penchant sur elle pour lui sussurer a l'oreille
"Alors, qu'est ce que ça te fais?"
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Leïla se sentait totalement humiliée, bafouée dans sa propre dignité d'être humain. Comment cet homme...non, ce monstre! pouvait-il faire une chose pareille? Elle savait bien que le monde n'était pas tout rose, mais, quand même, elle ne pensait pas qu'un être pouvait être aussi vil et bas que ça.
Et en plus d'un bafoueur de dignité, il était un fieffé menteur... il ne lui laissait même aps le temps de aprler, et, de toute façon, elle était trop hébétée par ce qu'elle était en train de vivre qu'elle n'arrivait pas à réagir. Ce n'était qu'un mauvais rêve...oui c'est ça: un très mauvais rêve... et, demain, quand elle se relèverait, elle aurait tout oublié...
Mais le problème, ses que ses mains sur son corps, elle les sentait réellement. Elle ressentait sa verge sur son visage, ses mains ses ses hanches, les tapes contre ses fesses, juste pour le plaisir qu'elles claquent...
Cet homme, Don, le la relâcherait pas. Elle l'avait comprit. Et, comme si son esprit voulait soudainement se protéger, tout devint alors comme un rêve dans sa tête. Son esprit était loin, et son corps se faisait mou, comme si son âma avait quittée son corps, qu'elle n'était plus une poupée.
C'est pour cela que, lorsque Don la pénétra violemment par derrière, seul son corps tressaillit, mais pas ses mots. Cela aurait du lui faire mal. D'ailleurs, elle saignait un peu, sans comprendre pourquoi exactement. Elle aurait sûrement mal en se réveillant, mais pour l'instant, ça allait...
Et lorsqu'il s'adressa à elle, c'est à son regard vide et à une voix glaciale et lointaine que Don se confronta.
"Rien."
Ainsi, elle avait réellement l'air d'une poupée. Une si jolie poupée de porcelaine, sans âme, mais si fragile...
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Don esquissa un rictus horrible a la réponse de Leila, bon dieu il détestait quand ses victimes arrétaient de se débattre. Il aimait lire la peur et la douleur dans leur regard, si ils devenaient des légumes, il n'y avait plus moyen de s'amuser avec eux...Don fronça les soucils et lui tira les cheveux en arrière pour que sa tête remonte alors qu'il se recallait pour pouvoir mieux s'imiscer dans le bassin de la jeune fille, grinçant des dents il lança
"Rien?"
Il eut un petit rire fou tandis qu'il tirait les cheveux de Leila il donna un coup de hanche, agrandissant les parois pour pouvoir mieux s'immiscer. Don lança a Leila avec un sourire
"Tu ment très mal, je crois qu'il est impossible que tu ne sente pas les coups qui sont en train d'élargir ton sexe en ce moment même."
Fit il tandis qu'il la besognait a présent avec la force d'un taureau
"Ce n'est pas que je me soucie de ce que tu ressent, néanmoins, tu sais, si ça ne tenait qu'a moi..."
il la saisit par les hanches pour l'enfoncer encore plus sur sa verge
"Je pourrais rendre la situation bien pire."
Lança t'il en introduisant cette fois son membre entier
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Alors c'était ça, son plan? Essayer de lui faire mal, encore et encore, le visage juste déformée par la douleur et le désespoir? Leïla regardait Don avec ses yeux de ruis étant si vides. En fait, soudain, même si il lui tirait les cheveux, même s'il lui donnait de grands coups de reins pour l'élargir, et être au plus profond d'elle dans la douleur, il lui faisait pitié.
"Pitié..."
Ce mot la résonnait dans un murmure, étant dessiné par ses lèvres, mais son corps restait mou, et les douleurs encore lointaines de son esprit.
"Cela...fait...vraiment...pitié......"
Il la secouait, encore et encore. Non, décidément, cela faisait vraiment pitié d'^tre un animal dans un corps d'homme. Cela ressemblait tellement à une blague. Certes, une blague de mauvais goût, mais une blague quand même, qui fait malgré tout sourire.
Et le sourire se dessinait sur ses lèvres, presque avec insolence. Une poupée qui rit. C'est rare. Elle ne savait même pas pourquoi, mais bon...elle riait.
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Don la regarda et eut un sourire dément...Elle l'aurait voulu...Elle n'allait pas dire qu'elle ne l'avait pas cherché...Le chasseur d'esclaves continuait a lui donner des coups de reins et quand elle lui dit qu'il lui faisait pitié, Don se crispa, elle sentit les mains puissantes de l'homme s'enfoncer assez fort dans la peau de ses fesses tandis qu'il lançait avec humeur
"Pitié?"
Don se retira alors contre toute attente de Leila, il la laissa tomber sur le sol tandis que l'homme la regardait avec un sourire de haine pur, un sourire narquois et fourbe. Il fut pris d'une petite convulsion et finit par éclater de rire, un rire dément.
"Ma pauvre...Tu n'as rien compris..."
Lança Don, le destin des filles comme elle, crées par Aphrodite étaient indéniablement d'être prises, et par qui d'autre que lui?Il la saisit a nouveau et approcha sa croupe de son sexe
"Je vais te faire comprendre la véritable signification de la pitiée."
Fit il alors que son sexe titillait a nouveau le sien, puis soudain se mit a glisser pour remonter...
Avant de s'enfoncer brusquement dans son second trou, entrant un quart de sa virilité dans celle ci, ce contact brutal avait été fait sans aucune préparation. Don grogna
"Hmpf..."
Le trou était bien étroit, mais ça ne lui avait jamais posé de problème, un second coup de hanche et il entra a demi, deux autres plus tard il y était completement.
"Alors?Ca fait quoi maintenant?"
Fit il alors qu'il commençait a reprendre ses va et viens
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Cela la déchirait intérieusement. Don faisait tellement de mal à son corps...Pourquoi faisait-il tout ce mal en elle? Leïla n'y comprenait rien, mais elle éprouvait définitivement de la pitié envers cet être violent et pitoyable. Aussi, même lorsqu'il lui fit violence en entrant par le second chemin, elle ne cessait de sourire avec douceur et pitié.
Et plus il lui faisait mal, plus Leïla souriait.
Puis, silencieusement, son rire s'éleva dans les airs. Elle ne savait absolument aps pourquoi, mais elle riait. Elle, une jolie petite poupée salie ainsi, une jolie poupée qu'on était en train de détruire, cette poupée-là même riait de son sort. Dommage qu'elle était attachée. Sinon, elle se serait bien retourner pour lui caresser la joue. La jeune fille, dans son fou rire, semblait avoir perdu la raison. Pourtant son corps avait mal, et elle ne criait pas, elle ne pleurait même pas de douleur. Elle riait comme une démente. Le plus marrant, c'est qu'elle n'arrivait plus à penser en elle-même, elle parlait en même temps, entre deux rires.
"Don..un petit animal...sauvage...dans un corps...d'homme...hihi! Et dire...hihi! Qu'il veut me faire du mal...c'est dommage...t'aurais pu me plaire...hihi!"
Ben, oui, parce que, bon, Don n'est aps moche non plus, il fait juste peur et et juste violent et sadique, mais bon...mignon quand même...$$"Hihi...Dommage...hahaha!"
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Hm. Don considéra la situation où il était, il y était allé bien trop fort finalement et l'esprit de Leila avait volé en éclat, il savait que si il ne se retenait pas il pouvait en arriver là, on l'avait mis en garde...Il fallait équilibrer amour consentant et amour forcé...Là il n'avait pas écouté...Et a vrai dire, la folie ne l'attirait pas. Mais alors pas du tout. La voir rire comme une démente comme ça lui donna envie de finir sa besogne au plus vite et de l'abandonner. Vendre une marchandise folle a un client?C'était impensable...
Don soupira, dommage elle serait tellement bien partie...Quel dommage...Alors qu'il la prenait il finit par se retirer de là où il était et d'enfourner a nouveau le sexe de Leila pour continuer son oeuvre alors qu'il se sentait venir, les coups de reins s'acceleraient, il se plaça derrière Leila et la releva contre lui, aggripant sa poitrine et continuant a donner des coups de bassins, sentant l'orgasme proche.
Il finit par jouir en elle en lachant un long râle. Leila put sentir cinq jet chaud entrer a l'interieur d'elle et finalement se deverser, Don se retirant, secouant encore son extrémitée et relachant quelques jets blancs qui vinrent s'écraser sur son visage.
Il la regarda avec mépris...Que faire d'elle a présent?
Soudain il eut une idée...Une idée tellement démoniaque...Qu'il ne pouvait en être que l'auteur...Il avait entendu certaines rumeur...Il était temps de les vérifier. Don détacha Leila et rangea calmement son engin dans son pantalon avant de l'abandonner dans la bibliothèque a son propre sort...
Le vrai spectacle allait surement ne pas tarder a commencer...
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Leila était enfin relâchée. Elle était enfin toute seule. Enfin tranquille. Allongée au sol, son esprit, petit à petit, essayait de réintégrer son corps. Elle resta longtemps allongée, des heures sûrement. Le soleil semblait déjà se coucher. Il fallait qu'elle s'en aille. Il fallait qu'elle s'en aille de là. Elle était libre. Elle devait partir de là. SI jamais Don revenait...si jamais il revenait.
"Allez, ce n'était qu'un rêve. Réveille-toi Leïla. Réveille-toi.Réveille-toi Leïla. Réveille-toi.Réveille-toi Leïla. Réveille-toi.Réveille-toi Leïla. Réveille-toi.Réveille-toi Leïla. Réveille-toi.Réveille-toi Leïla. Réveille-toi.Réveille-toi Leïla. Réveille-toi."
Elle battit soudain des paupières. Son corps avait enfin retrouvé son esprit...mais son esprit, lui, découvrait ce qu'avait subi son corps.
"Ca...ça fait si mal! J'ai....j'ai mal..."
Affalée sur le sol, elle se mit à pleurer encore et encore. Son corps avait été si malmenée, il avait tellement souffert...et maintenant, toute cette douleur, elle la subissait d'un coup.
"Réveille-toi Leïla. Réveille-toi.Réveille-toi Leïla. Réveille-toi.Réveille-toi Leïla. Réveille-toi!!!"
Mais elle l'avait déjà comprit. Ce n'était pas un rêve. Sinon, elle n'aurait pas si mal. Elle n'aurait pas ainsi perdu sa virginité aussi salement...et sa dignité avec. Elle se sentait salie, souillée...
Il lui fallu un moment avant de redresser la tête. Comme elle avait mal! Comme elle était triste! Elle se sentait tellement perdue...
Finalement, Leïla arriva parvint à se relever. Elle avait mal, elle saignait encore un peu. Sa robe était totalement débraillée sur elle, et ses cheveux en pétard. Elle semblait sortir réellement d'un cauchemar...elle décida alors de sortir de la bibliothèque, se sentant totalement vide d'elle-même, perdue, l'air hagard et ses larmes qui coulaient encore et encore dans ses sublimes yeux de rubis, telle un fantôme.