Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Complexe d'études secondaires et supérieures => Dortoirs et douches => Discussion démarrée par: Kamui Meisa le lundi 20 juillet 2009, 23:39:05
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Encore une autre journée assez ennuyeuse. Cours de Science, de math, de français suivi d'un cours d'éducation physique et de santé. De quoi me mettre en rogne. Ça n'a pas pris un long moment avant que je ne me diriges vers les douches pour me détendre. Nu, je me plaçe sous un des jets d'eau, doutant que quelqu'un prendrait la peine de me rejoindre. Plaçant mes mains sur le mur, je regarde mes mèches dégouliner d'eau, regardant vers le sol, laissant l'eau froide couler sur mon dos, relaxant ma mauvaise humeur. Un sourire amusé nait sur mes lèvres alors que l'eau qui était si froide au début est maintenant chaude... pas mal chaude
J'entends la porte s'ouvrir, j'ai pourtant verrouillé la porte... mais bon, ça n'a pas vraiment d'importance. Je demande simplement, sachant que j'avais un visiteur du beau sexe, soit féminin, avec une voix poli, regardant vers la porte, souriant chaleureusement
-Bonsoir.
(Un peu plus long que je ne l'ai prévu ^^ Pas obligée de rep un autre texte comme ca)
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La tête pleine de notions politiques et didactiques, elle était entré dans les douches sans même prêter attention au bruit de l'eau qui coule. Ce n'est que lorsqu'elle se retrouva face à ce jeune homme et que son sang se mit à tiédir, elle sentit qu'elle n'était pas seule. Elle fit un pas en arrière et dit :
"Oh, excusez moi !"
Elle marqua quand même un arrêt pour l'observer, il avait l'air si .. Parfait, pour une des premières fois elle se sentait attirée par un être qui avait l'air assez humain, vu la température de son sang. Elle regarda ses pieds, ses cuisses, ses fesses, ses épaules, et enfin son visage, ses yeux, qui la laissaient comme pétrifiée.
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Toujours aussi souriant, je lui fais signe d'approcher avec gentillesse. Elle était vraiment mignonne, ma visiteuse. Mais tout comme elle, ma chaleur interne venait de monter d'un cran, juste à la regarder. Heureusement que j'avais un contrôle parfait sur moi-même, parce qu'une trique d'enfer en ce moment, cela aurait été... déplacé. Son regard avait parcouru mon corps, je le sais bien. Je ne savais pas si elle regardait mon physique ou mes cicatrices, cependant
-Ne vous en faites pas, mademoiselle. Je ne suis pas un pervers. Vous pouvez prendre une douche, si vous voulez... mais il n'y en a que deux qui fonctionne. La mienne et ma voisine.
Non, je n'invente rien, c'était marqué sur un panneau de plastique sur chaque pomme de douche avec le symbole "hors d'usage". Mon sourire invitant était malgré moi pratiquement irrésistible.
-Vous voulez bien me tenir compagnie?
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* Oh mais il essaye de me charmer !! * Pensa la jeune femme, son air hautain qu'elle employait dans les couloirs du lycée ne pouvait que s'évanouir devant ce sourire ravageur. Elle engagea un simple discours :
"Je n'en ai pas le choix, ne croyez pas monsieur que je n'ai pas prit ma douche chez moi parce que je suis SDF, ni parce que je sais qu'il y a toujours des jeunes hommes avec qui discuter, juste parce que je viens d'étudier le capitalisme pendant plusieurs heures, et qu'il faut que je me vide la tête"
Elle s'avança, laissant tomber sa serviette, sans pudeur, et marcha vers la douche voisine de celle de cet homme magnifique, elle alluma l'eau et soupira lorsqu'elle vint toucher sa peau, cette eau fumante était plus froid que son corps. Elle mouilla sa longue chevelure colorée et se tourna vers l'homme, pour se rendre compte qu'il la regardait, elle lui sourit puis demanda :
"Comment se fait-il que mon sang chauffe à votre contact, monsieur ? Seriez vous autre chose qu'une simple étudiant humain ?"
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Son sang s'échauffait à mon contact? Cet aveu me fit légèrement rougir, car elle aussi me donnait l'impression d'avoir le sang qui bouillait dans mes veines. Je lui souris à mon tour, elle était très belle, cette demoiselle.
-Je suis un être de sang-mêlé. Un humain à un tiers, si vous préférez.
Je disais à un tiers, mais je n'en étais moi-même pas certain. Alors, puisqu'elle abordait le sujet de sa chaleur à mon contact, je lui lancai aussi un aveu.
-Je dois avouer que depuis que vous êtes là, l'eau me semble... plutôt froide et pourtant, je n'ai pas baisser la chaleur et le thermomètre montre la même température.
Mon cœur battait la chamade dans ma poitrine. Je me tournais vers elle et je la regardai dans les yeux. Pourquoi j'avais si chaud de l'intérieur, juste à poser le regard sur elle? Bon, oui, elle était très belle, mais rien que je ne connaisse aurait pu me donner un tel coup de chaud. J'avais une étrange envie de la toucher.
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Comment était-il possible qu'il ressente la même sensation ? Bon certes, la sensation d'Hana était bien inférieure à celle qu'elle éprouvait au contact des lycans et des vampires, mais quand même, elle se sentait incroyablement attirée par cet homme. Elle ne put s'en empêcher, et céda, elle tandis sa main pour la poser sur sa joue, la sentant brûlante, elle retira brusquement sa main, sursautant. :o
" Seriez vous un mélange des races qui me font augmenter la température du corps ? Car croyez moi vous êtes très beau comme un vampire, et votre peau brûle plus que la mienne, comme celle d'un lycan. J'avoue que là je suis perplexe. Et je ne comprends pas d'où me vient cette envie de vous embrasser..."
Elle s'approcha, très bras, et sans pouvoir résister à elle même, l'embrassa, hésitante, tremblante, et terriblement remplie d'envie. Elle se recula, ses joues rougies par la honte.
"Excusez moi."
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Son baiser fit soudainement me fit rougir, mais mon corps y réagit tout de même. Moi qui auparavant ne ressentait cette sensation qu'auprès des femmes Terranides ou même des créatures telles que les vampires, je la ressentais encore une fois, mais pour une humaine. Mes bras l'enlacèrent, presque sans gêne, par la taille, l'attirèrent vers moi et je l'embrassai à mon tour. Je ne sais pas ce qui m'a pris à ce moment-là mais j'avais horriblement envie de ce baiser. Ma langue se fraya un passage entre les lèvre de la demoiselle et alla trouver sa jumelle.
Doucement, je la collai au mur, posant mes mains, maintenant détachées de sa taille, à coté de chaque flanc. Sa poitrine s'écrasait entre nous deux. Réalisant ce que je venais de faire, je reculai un peu mon corps du sien, juste assez pour séparer, mais je ne la quittai cependant pas, curieux de savoir ce qu'elle allait penser.
-Je m'excuse... je ne sais pas ce qui me prend...
Je l'embrassai une seconde fois. Comment allait-elle réagir à cela?
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-hj- Tes mains sur mon corps m'obligent à te dire encore ♫ -hj-
Il fit ce qu'elle désirait le plus : il l'enlaça. Elle sentit son sang chauffer encore. Comme si une réaction chimique s'oppérait. Elle le laissait jouer avec se langue et vint poser ses mains sur son torse brûlant. Elle désirait savoir ce qu'il était tout de même, ou simplement, qui il était. Elle rompit le baiser et se rapprocha de son oreille pour lui murmurer :
"Dîtes moi qui vous êtes."
Puis prise dans sa folie, elle saisit le lobe de son oreille avec ses dents et se mit à le suçoter, à le mordiller.. Elle se demandait ce qui lui prenait. Elle recula tout à coup le visage pour l'observer, espérant une simple et claire réponse..
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hj -Ca veut dire quoi, la note de musique? ^^- hj
-Je m'appelle Kamui Meisa.
Je lui fis un nouveau sourire, plein de tendresse. Je ne me posais plus la question sur ce qui était en train de m'arriver, je savais juste que j'avais très envie de l'embrasser, de la caresser et tout. Tout doucement, répondant à la passion qui m'animait, je m'emparai de ses doigts, les portant à mes lèvres pour y poser des baisers très doux. Le corps d'une femme était sensible aux baisers, surtout à ses extrémités. Je démontrais ainsi que je n'étais pas qu'attiré par ses avantages physiques, mais qu'elle m'attirait en entier. J'allai ensuite l'embrasser dans le cou, à l'endroit où se trouvait sa trachée. Sous l'impulsion de mon envie, j'exerçai une succion sur sa peau et je laissai une marque rouge dans son coup, un suçon quoi.
-Vous pouvez me tutoyez, si vous le désirez, belle demoiselle.
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hj - C'est une chanson, http://www.youtube.com/watch?v=a1c5WmVSMgw - hj
Tutoyer un inconnu, pourquoi pas, au point où ils en étaient, le mot inconnu n'était plus trop valable. Elle avait tellement envie de lui, c'était inhumain, ou dumoins ça ne l'était qu'à un tier. Elle posa sa main sur le torse de cet homme et bascula la tête en arrière, acceptant le suçon qu'il commença à lui faire. Elle soupira puis se colla à lui, se cambrant ainsi légèrement. Mais il s'avança pour la plaquer contre le mur froid. Elle redressa sa tête, sourit, puis l'embrassa à nouveau langoureusement.
"Enchantée de faire ta connaissance."
Puis sa main descendit doucement pour se poser sur ses fesses. Elle vint frotter sa langue contre la sienne tout comme son esprit lui supplier de le faire avec leurs bassins.
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-Puis-je savoir le tien?
J'ai demandé cela avec un sourire de plus charmeurs. Je sentais sa main sur mes fesses et ça me prouvais qu'elle avait autant envie de moi que j'ai envie d'elle. Ma main se glissa délicatement dans ses cheveux pour qu'elle me regarde dans les yeux. Je commençai à peine à comprendre comment réchauffer davantage cette demoiselle. Apparemment, il nous suffit de se regarder un moment pour avoir encore plus envie l'un de l'autre. Je l'embrassai avec plus de fougue alors que ma main droite venait caresser son sein gauche. Elle était si chaude... si belle...
-J'ai très envie de connaitre le nom de la séduisante demoiselle qui fait ainsi bouillir mon sang.
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"Je m'appelle Hana, juste Hana."
Elle lui sourit puis, désireuse d'augmenter sa fièvres, elle le regarda dans les yeux, un léger de très discret sourire au lèvres. Elle remonta sa main le long de son dis puis vint la poser sur sa nuque pour l'attirer doucement vers elle et lui offrir un autre baiser fougasse. Cette créature était vraiment d'une très agréable compagnie, et ce qu'elle désirait, c'était juste de rester là, contre le mur frais, à l'embrasser, jusqu'à la tomber de la nuit, jusqu'au lever du jour. Elle ne comprenait pas ce qui opérait entre lui et elle, mais c'était fort, elle avait envie de se laisser faire, de se laisser aller. Elle ressaisit ses lèvres et se mit à les mordre délicatement.
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Certes, elle avait un très beau nom. Il me plaisait beaucoup. Je lui souris tendrement et lentement, je la fis tomber sur le sol, me servant de l'alchimie pour faire en sorte que l'eau reste derrière elle, comme un matelas moelleux le temps de la chute. Nous finîmes donc ainsi, moi sur elle, la regardant dans les yeux et elle sous moi, me regardant elle aussi. Je l'embrassai une nouvelle fois.
-Tu as dit que tu aimais les vampires, n'est-ce pas? Ca te plairait que j'en sois un, juste pour toi, cette nuit?
Je la regardai avec un air plutôt sérieux. Je pouvais prendre l'apparence d'une telle créature, pour lui faire plaisir.
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La proposition vint heurter ses pensées. Elle sourit, pleine d'envie. Mais finit par lui déclarer :
"Tu es parfait tel que tu es, je n'ai aucune envie d'un vampire ce soir."
Elle le fixa tout en posant ses mains sur ses épaules musclées, qui étaient vraiment brûlantes. Elle l'embrassa, toujours avec autant de fougue et d'envie. Elle n'arrivait pas à détourner son regard du sien, elle passa sa main sur son corps ardent puis lui dit, d'un air gêné :
"Par contre si ta peau était de la température de celle d'un vampire, j'en serais ravie"
Elle se cambra pour coller tout son corps contre lui et bascula la tête en arrière pour lui offrir sa gorge, où une marque violacée était déjà incrustée.
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Je ne pus sourire à sa demande. C'était parfaitement impossible de faire cela, il m'aurait fallu mettre de la glace en moi-même et ça m'aurait été fatal. Je lui souris un moment et je baissai la température de l'eau. L'eau m'était si froide que j'en gémis sur le coup. Je ne l,ai pourtant pas baisser assez pour avoir si froid. Habitué, je la regardai puis je me servis de mes capacités pour étendre le froid dans mon dos sur tout mon corps. Ce n'était qu'une simple manipulation nerveuse, facile comme tout.
-C'est mieux ainsi?
J'allai l'embrasser dans le cou avec tendresse et passion, laissant parfois d'autres suçons. Mes mains posées de chaque coté de son corps pour m'empêcher de l'écraser, me gardaient en l'air, même si nos bassins restaient l'un contre l'autre.
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L'opération qu'il venait de réaliser, rendit Hana mal à l'aise, elle le toucha, pour s'assurer qu'il allait bien, car l'eau qu'il s'était efforcé de se laisser couler sur le corps était vraiment froid par rapport à son corps. Elle lui sourit et répondit à sa question en acquiesçant de la tête. Elle sentait sa virilité contre son bassin, une chaleur de plus. Elle l'embrassa à nouveau, se colla encore plus à lui.
"Parfaitement parfait ... " lui murmura-t-elle.
Elle posa ses ongles sur la peau de ses épaules et se laissa embrasser.
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Je souris et je remontai la température de l'eau, sans augmenter celle de mon corps pour autant. Je rendis les baisers de la demoiselle avec une tendresse infinie, comme tout homme se devrait de témoigner à une femme... bien qu'à différents degrés. Comme je voulais que nous progressions, je quittai les lèvres de cette merveilleuse fille et je caressai son visage de la main gauche.
-J'ai... très envie de toi...
J'étais sincère et mon regard le montrait bien. Mon corps aussi, parce que mon sexe commençait à démontrer des signes de faiblesse vis-à-vis de la beauté de la demoiselle.
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Elle s'étendit au sol, s'étirant de tout son long, comme pour offrir plus de place à son partenaire qui descendait de plus en plus bas, traçant un sentier de baisers. Elle laissa sa tête en arrière et se laissa faire, immobile, comme elle aimait le faire.
"La réciprocité t'étonnerait ? "
Tout à coup elle se releva, l'attrapa par les épaules et le colla à lui, l'embrassant langoureusement, avec une envie presque inhumaine.
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À ces mots, je ne retins plus du tout ce que je maintenais en moi. Avec une passion relâchée, je l'embrassai sur les lèvres et j'amorçai une descente vers les parties intimes de mon amante, ce feu qui me dévorait ne me lâcherait pas tant que mes envies et les siennes ne seront pas satisfaites. Sans un mot, mes mains se mirent à caresser la ferme poitrine de mon amante pendant qu'une ligne de baiser se faisait sur elle. Les femmes qui m'ont attiré dans leurs bras pour une nuit ou deux ont toujours démontré une certaine affection pour ce traitement. Nos corps bouillant entraient dans une sorte de résonance, s'accordant à la perfection dans leurs envies.
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Hana se rappela de sa première fois, et les préliminaires, elle ne connaissait pas. Pour cela elle désirait follement de passer à l'acte, mais, elle savait que ce n'était pas la façon normale de faire l'amour, elle cambra en arrière, laissant plus de place à son amant d'un soir qui la tapissait de baisers. Elle ne savait quoi faire, timidement, elle descendit ses mains vers la virilité brûlante du jeune homme, qu'elle l'effleura du bout des doigts, plus l'entoura et fit glissa sa main tout le long, sans s'arrêter de faire des aller retour. Il était plus expérimenté, plus doué, elle le voyait, elle abandonna, voyant qu'elle faisait mal.
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Voyant qu'elle avait abandonné sa masturbation, je suis allé l'embrasser sur les lèvres et j'ai entrepris de la rassurer. Je n'aimais pas que l'on me compare à ces mecs qui critiquent et agressent leurs amantes.
-Hana, ne t'arrête pas. Je ne porterai aucun jugement. Tout est nouveau pour toi, je le sais, mes yeux peuvent me le dire. Je serai doux avec toi, je te le promets.
Dans mes yeux, elle pouvait lire une tendresse infinie et une affection sincère pour elle. C'était aussi la première fois que je dévierai une demoiselle, la douceur et la délicatesse étaient de mise dans une telle situation.
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Non, décidément, ils croyaient tous qu'elle était vierge, et pour cette fois-ci c'était faux, car Don était passé par là, elle s'en rappellerai sûrement longtemps, aussi longtemps que de son avortement forcé et de sa brûlure sur sa fesse droite. Elle lui sourit puis décida tout de même de se laisser faire, et ne pas trop en donner, car c'était cela qu'elle aimait, être la fainéante. Elle lui sourit puis l'embrassa à nouveau à pleine bouche, poussant leur tête sous le jet d'eau froide.
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On dirait que mes yeux se sont trompés. En lui rendant son baiser, je me mis à penser à Fiela. Dans les deux cas, manque évident de dourceur. Une pensée me traversa alors l'esprit: Don. Avec douceur, ma main gauche alla se poser sur sa fesse droite et j'y trouva la signature de cet être abject... elle était donc son eslave.
-Hana...
Cet homme était une erreur de la nature, un monstre pire que moi-même. J'embrassai la demoiselle avec douceur. Je me jures encore une fois de tuer cet esclavagiste répugnant.
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Lorsqu'il prononça son prénom, elle sentit son corps chauffer, très vite. Elle se recula, confuse, elle ne voulait pas que ça arrive. Elle posa sa main sur son ventre et une larme lui échappa. Elle avait avorté, heureusement, et Don n'avait aucune autorité sur elle, il l'avait marqué mais ne l'avait pas emprisonné, un peu vexé de croire qu'elle n'étais pas vierge pour lui. Elle releva les yeux, le regarda, désolée, puis se releva, elle marcha vers la douche et ouvrit le robinet d'eau froide au maximum, lorsqu'elle se mit sous l'eau, une vapeur d'eau se dégagea de sa peau. Elle trembla, c'était violent. Appuyant ses mains contre le carrelage froid, elle enfoui sa tête sous l'eau glacée.
" Je ne veux plus être 'La fille de la prophétie'! " dit-elle d'un ton agacé.
Elle se retourna et se mit à le regarder, longuement, d'un air triste et complètement désespéré.
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Je me relevai, m'approchant d'elle. De mes bras, je l'enlaçai et de mes lèvres, j'embrassai sa nuque avec tendresse. Elle n'avait pas choisi ce qui lui était arrivé, elle l'a subi et c'est tout. Doucement, je la fis pivoter vers moi pour ensuite l'adosser au mur. Je ne voulais pas lui rappeler de mauvais souvenir.
-Hana... reste avec moi... pardonne-moi.
Et je l'embrassai avec toute la délicatesse du monde, me collant à elle pour qu'elle sache que je n'ai que faire de Don, pour le moment, liée à elle par un dur lien d'affection, de compréhension et de compassion. Je la serrai bien fort dans mes bras, d'une étreinte dont elle ne pourrait se défaire, et je prolongeai mon baiser. Je ne comprenais vraiment pas le besoin de Don de toujours vouloir faire du mal aux autres pour réduire toutes les femmes en esclavage. À la maison, j'avais déjà deux esclaves qu'il avait violée et torturée avant de les vendre. Fiela fut la première que j'ai achetée... mais elle avait disparu suite à une dispute... et il y avait Kayla et Lily, mes deux nouvelles esclaves qui s'occupaient actuellement de ma demeure sur Terra.
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Hana n'avait pas l'habitude d'autant de douceur, elle se sentait en sécurité, en confiance. Elle lui sourit un peu par force, et l'embrassa tendrement, collant son bassin au sien, laissant ses épaules contre le mur. Elle effleurait la peau de ses épaules de ses ongles, et une de ses mains vint entourer sa nuque doucement. Elle ne rompit le baiser tout en se collant de plus en plus. Enfin elle se sépara de ses lèvres et lui murmura à l'oreille :
"Je crois que dorénavant je prendrai mes douches ici."
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Je lui rendis ses baisers, toujours tendre.
-Je crois que je vais en faire de même.
Je l'embrassai dans le cou. Mes mains cessèrent leur étreinte et allèrent s'occuper de ses hanches un moment. Je me mis à caresser ces formes qui facilitaient la sortie d'un enfant avec une douceur rare, toujours avec la plus grande attention. Tel que l'on parlait à une vierge, je lui dis ces mots, avec la plus grande tendresse dans la voix.
-Je ne ferai rien que tu ne désires, Hana... alors, dis-moi ce qui te plairait... un fantasme quelconque, un désir et je te promets de le réaliser pour toi.
Je lui souriais tendrement, murmurant aussi qu'il n'y a rien de pervers pour moi, tout n'est que désir caché ou refoulé. Et c'est exactement ce que c'est. Il n'existe pas une seule personne qui ne soit pas perverse, mais il existe les gens qui veulent le cacher, c'est tout.
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Il lui parlait comme à une vierge, mais Hana n'avait aucun fantasme en elle, sauf un, irréalisable : faire l'amour avec un Lycan. Elle ne lui soumit même pas l'idée, sachant que c'était impossible. Elle lui sourit et lui dit :
"Ce que j'aimerais, c'est être une poupée immobile, que tu fasses ce que tu veux de moi."
Elle l'embrassa à nouveau doucement, passant ses mains dans son dos, d'une façon qu'on aurait pu croire qu'elles lévitaient à la surface de sa peau et ne faisaient que l'effleurer. Elle posa ses mains sur ses fesses et le tira contre lui pour accentuer son baiser.
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Lui faire tout ce que je voulais? Cette idée résonna mal un moment dans ma tête, car je ne voyais pas comment elle pourrait tirer de l'expérience sexuelle au cours d'une soirée de parfaite inactivité. Doucement je l'embrassai avec une tendresse alliant fougue et délicatesse parfaite, comme je m'y connais.
-J'aime bien les poupées qui bougent... et qui gémissent.
Lui souriant d'un air lubrique mais doux, je me dirigeai vers son intimité, m'arrêtant un moment sur son sein droit pour le couvrir de baisers et pour aller suçoter un peu son mamelon, pour la faire gémir avant de reprendre ma route vers son jardin secret. Mon objectif fut ensuite atteint et j'y apposai un coup de langue, puis un autre, pourléchant le contour des lèvres intimes de la demoiselle. Je me mis aussi à caresser son corps de mes mains expertes, massant la chair de ses flancs avant de m'attaquer à sa douce et chaude poitrine.
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Le corps d'Hana était plaqué au mur, ses soupirs plus soutenus. Elle voyait les gouttes de transpiration perler sur ses épaules et glisser vers sa poitrine où les lèvres du jeune homme avaient entamé un travail d'une douceur inavouable. Elle avait décidé de ne rien faire, juste d'avoir du plaisir, pour cette fois, pour tenter d'oublier sa "première fois". Elle gémissait chaque fois plus tandis qu'il passait sa langue entre ses jambes et lui provoquait une nouvelle sorte de tremblements, plus positifs.
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En entendant les soupirs de mon amante, je me décidai à lui faire encore plus de bien. Sans prévenir, "j'embrassai" l'intimité de mon amante avec une tendresse incroyable. Ma langue s'infiltra en elle, allant étirer les parois intérieures que ce salopard de Don avait maltraitées alors que mes lèvres se collait à celles, intimes, de ma reine du moment. Elles étaient très mouillées et je m'abreuvai de sa cyprine et je savourerai bientôt de petits cris indécents, déjà tout excité juste à y penser.
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Hana ne pouvait s'empêcher de gémir, ces sensation inconnues qu'elle découvrait étaient vraiment paradisiaques et elle sentait que son partenaire tentait de lui faire oublier le mal que Don lui avait fait. La cicatrice sur sa fesse était brûlante, encore plus chaude que le reste de corps. Elle resta collée au mur, savourant le bien qu'il lui faisait. La situation était, presque irréelle aux yeux d'Hana, elle ne pensait pas que faire l'amour pouvait procurer autant de plaisir.
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Conscient que la brûlure à sa fesse devait encore être douloureuse et sensible, je regardai mon amante, les lèvre pleines de cyprine qui dégoulinait aussi sur mon menton, je caressai doucement la marque puis je la fis doucement faire face au mur.
-Retirons cette marque.
Sur cette parole étrange, je me mis à lécher doucement l'affreuse cicatrice. Une humain n'était pas un bétail, mais une personne qui ressentait la douleur et qui pouvait souffrir longtemps. La plaie, sous ma langue, disparut doucement. Bientôt, elle aura sa fesse aussi parfaite que le jour où elle a quitté le ventre de sa mère... et voila, toute nette et douce.
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Hana sentait un drôle de picotement sur sa fesse, et quand elle tourna la tête elle ne vit plus cette immonde cicatrice, une immense sourire l'illumina. Elle l'attrapa par les épaules et le fit remonter jusqu'à son visage pour l'embrasser passionnément. Puis elle glissa au creux de son oreille un simple Merci plein d'émotions. Elle le poussa ensuite jusqu'au mur d'en face pour se retrouver contre lui, mais libre de tout mouvements. Elle continua à l'embrasser tout en se frottant contre lui.
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-Si j'avais su que guérir cette plaie m'aurait valu un si beau traitement, je l'aurais fait au départ ^^
À peine eus-je dis ces mots que je l'embrassai aussi, restant contre le mur, la serrant contre moi. Sa poitrine contre mon torse était toujours aussi chaude et je pouvais même sentir ses mamelons tout dur à cause des traitements infligés précédemment. Je caressai son visage parfait, la renversant un peu vers l'arrière, complètement enivré par son odeur qui me chatouillait les narines, par sa peau parfaite sur la mienne, par le gout de sa langue, sa beauté dans mes yeux et ses gémissements dans mes oreilles. Elle excitait tous mes sens en plus de réchauffer mon sang au-delà d'un degré normal pour un être humain.
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L'ayant plaqué au mur, Hana se sentait plus dominante, du moins un peu plus entreprenante, elle lui sourit, l'embrassa, encore, encore, sa poitrine touchant sa peau dont la chaleur était plus que grisante. Elle soupira d'envie, se frottant de plus en plus à son entrejambe, dont la virilité était raidie depuis maintenant un long moment, elle avait envie de plus, plus que des caresses et des léchouilles, elle voulait du sexe, elle voulait toucher les étoiles du 7ième ciel. Elle lâcha ses lèvres et le fixa au plus profond de ses yeux, tout en collant son bassin très fort contre le sien, un air malicieux accroché au visage.
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Fou d'envie, je la fis retourner au mur, tremblant de désir. Je regardai tendrement mon amante dans les yeux, plongeant mon regard saphir dans le sien. Je pris délicatement son visage dans mes larges mains chaudes, mon bassin collé au sien.
- Est-ce que... je peux me permettre d'entrer en toi?
Je ne l'obligeais à rien, c'était sa décision à elle seule. Elle pouvait dire oui ou non, dépendant de sa volonté et de son envie. Je n'ai nulle intention de lui faire revivre ce que les mauvaises gens telles que ce salopard de Don lui ont fait subir.
-
Hana, entendant cette question, ne put s'empêcher de rire, elle le regarda puis dit :
"Tu oses me poser la question alors que je me frotte à toi depuis des lustres attendant que tu te décides ?"
Elle se colla à lui, le sourire aux lèvres, la crainte passée s'était envolée, elle se sentait libre, pleine d'envie, et sa peau brûlait de plus en plus.
-
La remarque qu'elle m'avait servi aurait généralement fait débander n'importe lequel des humains, car elle venait de me dire que j'étais lent d'esprit, qu'elle n'attendait que ça. Je lui souris doucement et je pris encore une fois les devants, la soulevant par les cuisses, offrant son intimité à ma verge, je la pénétrai, très lentement pour ne rien brusquer. Je ne voulais pas lui faire mal et je ne savais pas si elle avait été blessée internement durant son viol. Je l'embrassai et entre deux baisers, je lui demandai:
-Tu n'as pas mal, Hana?
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Bizarrement, Hana s'attendait à souffrir un peu, mais aucune douleur ne se fit ressentir, juste une sensation immense de soulagement. Elle poussa remonta son corps contre le mur et se mit à donner de petits coups de bassin. Elle se mit à sourire, soulagée, heureuse de voir qu'il ne l'avait pas meurtri de l'intérieur. Elle embrassa à nouveau son amant, passant ses bras derrière sa nuque. Elle dit entre un baiser et un gémissement :
"Bizarrement, non."
Elle sourit et laissa échapper un soupir d'envie.
-
Bienheureux celui qui avait la chance de faire l'amour à une personne aussi magnifique que l'est Hana. Le vagin avait été si brutalement étiré par Don que je n'ai pas eu trop de mal à y entrer. J'étais surtout soulagé qu'elle ne souffre pas. Mes mains soutenant les fesses de ma belle amant, mes coudes contre ses cuisses et mes lèvres contre les siennes, je veillais à ce qu'elle reste en l'air. Ma force musculaire était bien plus impressionnante que la masse de mes bras et je pouvais donc la maintenir longtemps ainsi.
-Allons-y, maintenant...
Je commençai un lent va-et-vient, pour l'habituer un peu à moi, puis je commençai une graduelle accélération.
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Il se mit à accélérer, procurant une sensation étrange à Hana, comme si elle flottait dans les airs, elle se sentait légères, comme anesthésiée. Elle avait ce sourire débile sur les lèvres, celui qu'on lui connait si bien. Elle synchronisa ses coups de bassin avec ceux de son partenaire, retenant un peu ses cris, ne laissant échapper que des gémissements pour le moment. Elle passait ses ongles sur a peau pâle de son amant, l'effleurant seulement, prête à les planter à la moindre douleur, ou qui sait, au moindre tremblement de plaisir. La danse qu'ils dansait était d'une beauté fascinante pour Hana, pour la première fois elle faisait l'amour et se sentait vraiment détendue, consentante, et y prenait du plaisir, un plaisir intense et qu'elle aurait voulu ressentir toute sa vie, même si elle avoue que mouiller 24 heure sur 24 ce n'est pas vraiment pratique. Elle laissa sa tête tomber sur l'épaule du jeune homme, sentant un malaise la prendre, un malaise, une submersion de plaisir pour son pauvre petit esprit brûlant.
-
Elle gémissait. Sa voix n'en était que plus merveilleuse à chaque gémissement... mais... je me demande si ce n'est pas de faire l'amour qui emballait mes sens et que tout me semblait si parfait chez les femmes. Mais ne disons-nous pas que les femmes sont la perfection? Même dans les livres d'alchimie qui composent ma lecture du soir, on parlait des femmes comme les gens du beau sexe. Alors qu'elle avait la tête sur mon épaule, je lui mordillai l'oreille.
-Si tu souffres ou si tu en as envie, n'hésite pas à me griffer. Je ne me plaindrait pas et de toute façon, si tu me fends la chair, ma plaie se refermerait ensuite.
Son vagin était juste de la bonne taille pour mon sexe et je soupirai à mon tour, avec elle. C'était si grisant, faire l'amour, et surtout si plaisant. Mes mains se mirent à malaxer les fesses de mon amante pour lui donner plus de sensations dans le bas de son corps. En fait, j'étais peut-être un peu masochiste... en y pensant bien, la douleur que provoque une femme sur mon corps ne me déplait pas... du moins, pas vraiment.
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Il voulait qu'elle le griffe, qu'à cela ne tienne, son heure arriverai vite, elle laisserait probablement autant de marques que dans le dos de Don, mais cette fois-ci pour une bonne raison. Elle donna un coup de bassin plus fort, pour qu'il accélère, et elle se sentit trembler, mais positivement. Ses ongles se plantèrent dans sa chair, involontairement, lorsqu'elle se tétanisa, se cambra, hurla de plaisir, et sa tête se remit à tourner, plus fort, sa peau brûlait, plus fort, son plaisir augmentait, plus fort. Elle ferma les yeux et revit toutes sortes d'images, son dépucellage forcé dans les cuisines du réfectoire, sa fuite de Paris, le visage doux de sa mère, l'appartement de son père, sa première vu de Seikusu, et enfin les yeux de Kamui. Elle sentit du sang couler sur ses doigts, elle devait avoir enfoncé ses ongles très profondément dans sa chair. L'orgasme la traversant, elle laissa son cri de bonheur s'éterniser. Enfin il s'arrêta, elle relâcha la pression de ses ongles, ouvrit les yeux, lui sourit, gênée, et l'embrassa passionnément.
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Lorsque j,ai sentis qu'elle venait d'enfoncer ses ongles dans ma chair, je savais qu'elle était en train de jouir et dans un rale de libération et de plaisir, je laissai ma semence entrer en elle. Fort heureusement, je pouvais faire un avortement en cinq minutes si elle tombait enceinte et si elle le désirait. Je lui rendis son baiser, tout haletant, les yeux brûlant de tendresse pour Hana. Mes mains la soulevèrent un peu et nos visages se retrouvèrent au même niveau.
-Hana...
Je prononçai ce nom qui me brulait les lèvres depuis un moment. En la regardant, trois visages me revint en mémoires: Yume, Izuna et Abigaëlle (Fiela). Étais-je devenu un homme qui n'était bon qu'à baiser à droite et à gauche? Pourquoi maintenant? Pour éviter de croiser le regard de ma belle amante, je l'embrassai dans le cou, l'empêchant de lire ma souffrance dans mes yeux.
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Il la fuyait du regard, la preuve en était qu'elle avait beau essayer de lui relever le menton, il ne daignait la regarder. Que se passait-il ? Lentement, elle cessa ses coups de bassin, et le poussa doucement pour reposer pied à terre libre. Elle l'éloigna et marcha vers sa serviette qu'elle s'enroula sur le corps. Son sourire débile l'avait encore gagné mais de l'inquiétude avait gagné ses yeux. Elle retourna face à son amant et lui releva le menton, tentant de capter son regard. Elle dit, d'une voix douce remplie d'angoisse :
"Ça ne va pas ?"
Puis elle essaya de lui offrir le sourire le plus réconfortant qu'elle put faire avec ses lèvres.
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-Simplement des souvenirs des choses qui m'ont été arrachée... et que je doutes retrouver un jour... et qui me font comprendre encore une fois mes erreurs.
Je lui souris doucement et je la serrai avant de l'embrasser avec tendresse. Je savais que j'étais destiné à tout perdre, alors, j'ai décider d'essayer encore et encore jusqu'à ma mort.
-Hana... voudrais-tu... rester avec moi... je veux dire... qu'on se revoit un jour? J'ai envie de t'emmener en voyage quelque part.
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Elle l'enlaça contre lui, voyant son angoisse, et resta ainsi un petit moment, elle avait passé un agréable moment avec lui, je dirais même un merveilleux moment. Hana attacha sa serviette, puis, prise d'une envie de mystère. Elle lui ferma les yeux de ses doigts, lui donna un doux baiser, puis glissa dans son oreille :
"On se reverra, sois-en sûr."
Elle termina sur ces mots avant de s'éloigner, elle resta une petite poignée de secondes à le regarder, avec un regard doux et affectif. Puis elle disparut dans la vapeur d'eau des douches vers la porte donnant sur le monde extérieur, celui où rien n'était orgasmique.
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Lorsqu'elle me lança ce regard si tendre, mon cœur a encore fait un bon. Elle avait dit qu'elle voudrait aussi me revoir. Lorsqu'elle eut disparut, j'ai eu envie de lui courir après, mais je ne l'ai pas fait. Qu'est-ce qui m'arrivait? L'image d'Abigaelle revint hanter mes pensées. Mais qu'est-ce que je viens de faire, moi? Je suis ici simplement pour la retrouver et la ramener chez moi, alors pourquoi je me détournes sans cesse!?
Sur ces sombres pensées, je sortis des douches, empoignant mes vêtements et les revêtant. Je quittai le Lycée, doutant fortement y revenir un jour.
-Hana... je m'excuse...
Malgré ce que j'ai fait avec elle, c'était maintenant clair dans mon esprit que j'étais amoureux. Mais seulement, je n'étais pas amoureux d'elle, malgré qu'une parcelle de mon coeur lui revient et que je ferais tout pour elle aussi si elle avait des problèmes. J'étais amoureux de Fiela... et je devais la retrouver, au plus vite avant de ne plus pouvoir la rejoindre.
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Rp Clos