Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Complexe d'études secondaires et supérieures => Salles de cours et bibliothèque => Discussion démarrée par: Kamui Meisa le mercredi 03 juin 2009, 21:48:10
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Les cours de Kamui venaient de finir et le jeune homme en était assez soulagé. Les cours de son enseignant privé avait été barbant, mais là, il s'était déjà fait quelques copains. En cours, le jeune homme avait pu remarquer que toutes les filles de sa classe étaient... très mignonnes. Non pas que ça le gênait... enfin, si, peut-être un peu. Il avait eu du mal à se concentrer durant le cours. Il avait horreur de ça. La seule explication, c'était qu'il n'avait vu que très peu de filles en dehors de ses cousines. Bon, Kamui aurait bien voulu sortir, mais bon, quand on s'endort en cours, faut assumer les conséquences qui vont avec, malheureusement. Il regarda les autres partir, un peu agacé de devoir rester en classe. Comme conséquence, il devait nettoyer la salle de cours au grand complet. Évidemment, il ne pouvait s'empêcher de faire la gueule. Comment il était supposé faire ça, lui? Aux dernières nouvelles, c'était les serviteurs qui nettoyaient. Et comme il n'en avait aucun sous la main, il maugréa quelques mots inintelligibles et se mit au travail, mettant à profit sa mémoire pour copier les mouvements que faisaient les serviteurs pour nettoyer la salle à manger, pour les avoir vu faire des millions de fois.
-Si seulement un truc sympa se passait... soupira-t-il.
Comme répondant à son souhait, le prof n'avait aucunement envie de rester avec le délinquant qu'il était et s'en alla, lui ordonnant de finir le travail avant de partir, sinon, il risquait d'être collé une semaine totale à repeindre les murs du bâtiment. "C'est mieux que rien" Songea-t-il, le sourire aux lèvres. Il se remit au travail, sans se préoccuper de ce que le prof avait dit puis il entendit la porte claquer avec force. Kamui n'était plus frustrer, puisque personne ne pouvait le regarder avec le petit air hautain que le prof affichait sans cesse, il se sentait un peu mieux.
Quelques minutes passèrent. Kamui n'avait toujours pas fini de nettoyer la classe, mais de toute façon, il se reposait, assit sur un des bureaux. La porte s'ouvrit puis se ferma dans un claquement. Il sursauta, regardant dans la direction du son. Soit le prof était de retour, soit il y avait un autre élève de collé ou alors, un suppléant venait le surveiller. Pour essayer de voir le coté positif des choses, Kamui se dit que ça lui ferait au moins un peu de compagnie pour passer le temps. Il se contenta de sourire au nouveau venue (ou a la nouvelle venue).
-Bonsoir. Se contenta-t-il de dire.
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La nymphe venait de rentrer dans la salle de classe, alors qu’un courant d’air soudain venait de faire claquer la porte après son apparition. Que venait-elle faire ici ? Elle ne savait pas trop, sa seule certitude était qu’en cette soirée, elle volait au gré du vent, et que l’une des salles semblait habitée d’un beau spécimen de mâle, un humain à priori…
Profitant de la fenêtre entrouverte, Namya pénétra dans la salle sans éveiller le moindre soupçon, sous sa forme dissipée, et prit forme dos à l’étudiant, après avoir vu son professeur s’en aller…
Arrivée tout proche de la porte, elle fit mine de l’ouvrir, comme si elle avait souhaité paraître la plus normale au monde…
Elle savait déjà que le prof ne reviendrai pas, et elle savait pourquoi il était parti. Ainsi, elle fit un léger sourire au jeune homme qui s’était retourné, et répondit au jeune homme d’une voix neutre mais agréable, qui aurait pu être bien plus sensuelle si elle l’avait souhaité.
- Bonsoir.
Puis, le plus simplement du monde, elle se rendit, comme si de rien n’était, vers le pupitre assigné aux maîtres, et prit place le plus simplement du monde, observant une éventuelle réaction de l’intéressé.
Mais quelle était la forme de Namya aujourd’hui, à quoi ressemblait-elle ?...
Et bien, en cette douce soirée, elle était Nimelya, une grande brunette de près d’1m80, à la chevelure brune foncée particulièrement longue et soyeuse. Des lunettes rondes qui lui donnait un certain air… peut-être coquin par moments, mais présentement, plus sérieux surtout. Un visage auquel on aurait pu donner le bon dieu sans confession, de longues jambes cachées par des bas, une jupe plus que fendue, un chemisier qui laissait dévoilé son nombril, et une sorte de blouse blanche, comme si elle avait été prof de chimie…
Si l’on descend d’une couche, un porte-jarretière, une fine culotte brune, assortie à sa tenue, pour le bas. Pour le haut, et bien à vrai dire, simplement rien…
(http://www.kaelys.com/rpforum/Nimelya.jpg)
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Kamui avait eu de la chance. C'était une femme qui était entrée. Une femme... et vachement belle en plus. S'il aurait un peu moins de manière, il serait déjà en train de baver sur le sol, mais bon, il doutait sincèrement que ça l'aurait aidé. Il continua son travail un moment, puis, jugeant le plancher correctement nettoyé, il rangea la serpillère et les produits dont il s'était servi pour laver le sol dans un coin, loin de la demoiselle pour ne pas l'incommoder avec l'odeur des produits nettoyants. Puisque l'enseignant n'était pas revenu, il n'avait pas le droit de quitter la pièce et, de toute façon, il lui restait les tables de travail à nettoyer. Il aurait pu rester silencieux, mais bon, tant qu'à avoir un peu de compagnie, autant valait-il de connaître le nom de la nouvelle venue. Il s'assit à coté du pupitre de l'enseignant, sur une table de travail puis regarda la dame. Elle avait des cheveux bruns très longs, encore plus que les siens et portait des vêtements pour le moins provocateurs. De là où il était, il pouvait lui accorder un seul adjectif: Absolument désirable.
-Seriez-vous une enseignante, miss? Demanda-t-il, le plus poliment du monde.
Si elle l'était, elle déconcentrait très certainement ses élèves masculins. Ce n'était pas que les vêtements qu'elle portait. Une chose en elle attirait le regard des hommes, leur ordonnant de l'admirer. Il lui fit un sourire, un peu plus charmant que le premier qu'il lui avait fait quand elle était entrée. Il se dit que c'était normal pour les hommes de la désirer. D'ailleurs, quelque chose en lui s'éveillait déjà. Quoi? Il n'en savait rien (gros indice; libido). Il devait taire ce désir avant de paraître déplacé et de risquer qu'elle se sente mal à l'aise.
[HS: Ne sois pas trop dur avec ma rep, s'il te plait. Ça fait un bail que j'ai pas rp. ^^]
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Elle ne savait pas vraiment ce qui lui avait valu cette à priori retenue, et corvée de nettoyage. Sans en avoir vraiment l’air, elle l’avait longuement détaillé, et risquait d’avoir rapidement envie d’un peu d’amusement. Pas l’air habitué, mais il essayait au moins de faire ce qui lui avait été demandé, c’était un bon début. Après avoir rangé une partie de son bordel de nettoyage, il s’était approchait, et, avait entamé une conversation.
- Et bien oui… j’enseigne plusieurs matières.
Elle se sentait presque désirée, déjà, et elle eut un sourire plus qu’aguicheur, qui accompagna sa voix devenue très, très sensuelle…
Elle s’est levée, puis a lentement contourné le bureau, sans quitter Meisa du regard. Ses fines mains avaient caressé le bois du pupitre, et elle vint simplement s’appuyer contre le bureau, faisant parfaitement face à sa proie de la soirée.
- Mais dis-moi… qu’est-ce qui te vaut une telle corvée ? Ne me dit pas que tu as oublié ton réveil… sois précis, car après tout, c’est de ta faute si je suis ici, à devoir te surveiller, alors que j’aurais tellement mieux à faire.
Elle était encore plus douce et sensuelle, elle ne cherchait qu’à le faire culpabiliser, tant de la désirer, que de la faire rester ici pour toute la soirée, alors que rien n’était vrai, mais comment aurait-il pu le savoir ?...
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Kamui était vraiment mélangé. Est-ce qu'elle lui faisait une mauvaise blague ou si elle lui faisait des reproches? Cette femme agissait en contradictions. Elle lui disait que le jeune homme était responsable de ses heures supp', pourtant, elle parlait d'une voix... très sensuelle, ses mots embrouillaient davantage l'esprit de Kamui. Si elle lui faisait des reproches, il ne sentait aucune atmosphère accusatrice peser sur lui, ça sonnait trop faux. En fait, elle semblait jouer avec lui. Il chassa l'embrouillement de sa tête, la regarda puis lui sourit. Il se leva à son tour, plantant son regard dans celui de la belle dame.
-Deux minutes de sommeil contre une soirée de colle. Lui avoua-t-il, un sourire sur les lèvres. Voilà ce pourquoi votre beauté n'illumine que cette pièce, miss.
Les charmes de cette femme avait agit plutôt rapidement sur le jeune homme. Il n'avait eu aucune peine à laisser sortir ce compliment. La voix de la jeune femme restait en écho dans la tête de Kamui, comme une chanson qui refusait de lui sortir de la tête. Il était maintenant debout, à deux mètres devant elle, la regardant dans les yeux. Quelle magie opérait-elle pour lui faire perdre autant de retenue avec sa simple voix? Elle lui avait simplement dit quelques mots, même pas provocant, mais son désir augmentait. Il aurait peine à rester calme, si elle continuait avec cette attitude sensuelle. Il était piégé. D'un coté, il devait trouver un moyen de résister, et de l'autre, il n'avait pas envie de le faire. Il n'arrivait pas à faire autre chose que la dévorer du regard, désireux. Pour décrocher ses yeux d'elle, il baissa la tête.
-Je m'excuse de vous obligé à faire des heures supp. Si je peux faire quelque chose pour vous, pour me faire pardonner, je le ferai.
En même temps, il espérait pouvoir l'éloigner de son champs de vision pour ne pas perdre le contrôle de ses gestes et faire un truc qu'il pourrait regretter.
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Les jeunes sont un vrai régal, décidément, surtout les moins expérimentés, peut-être aurait-il droit à certains cours particuliers ? L’idée ne déplaisait en tout cas pas à Nimelya. Il ne s’était pas laisser embrouiller, il souriait, conservait une certaine assurance…
Il la complimenta, et bien, ça promettait vraiment, mais à quoi aurait bien pu vouloir jouer la nymphe, bien difficile à deviner en cet instant précis.
Puis ce désir devenant de plus en plus présent, il ne résisterait pas longtemps, quelques minutes, peut-être plus, mais pas beaucoup plus… et elle ne s’était pas encore décidée, pour faire patienter un peu, le temps de la trouver, son idée, elle lui lança spontanément, de la même voix sensuelle et aguicheuse, mais douce, et plus faible, à lui qui c’était approché. Elle s’amusa également à croiser ses bras sous sa poitrine, afin de la relever, chose qui était bien évidemment plus qu’inutile.
- Cher payé, de t’endormir, pourtant les élèves sont mignonnes ici, non ? Tu es à ce point indifférent à leur charme ? alors que tu t’amuses à me complimenter comme si tu voulais pouvoir t’amuser avec moi ce soir, et pas autour d’une partie de cartes…
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Elle ne le laisserait définitivement pas partir. Kamui devait reprendre une certaine contenance sinon, il risquait de finir par lui lécher les pieds avant même de s'en rendre compte.
- Cher payé, de t’endormir, pourtant les élèves sont mignonnes ici, non ? Tu es à ce point indifférent à leur charme ? alors que tu t’amuses à me complimenter comme si tu voulais pouvoir t’amuser avec moi ce soir, et pas autour d’une partie de cartes…
À ces mots, un sourire se dessina sur ses lèvres, une idée venait d'occuper son esprit. Doucement, il s'approcha de la belle demoiselle, maintenant à deux-trois centimètres d'elle, puis la regarda dans les yeux. Il savait que son désir ne tarderait pas à le faire fléchir devant elle, alors, il devait essayer de la déstabiliser légèrement ou alors, de confirmer son hypothèse. Il se pencha légèrement sur elle avant de lui parler.
-Ne serait-ce pas plutôt votre cas, sensei? Dit-il, son regard chargé d'encore plus de désir que la minute précédente.
À son tour de jouer avec les hormones de la demoiselle. Il n'allait pas se laisser piégé aussi facilement et la laisser se foutre de sa gueule sans qu'il ne se débatte. Si l'analyse qu'il avait fait du comportement de "l'enseignante" était correcte, alors, il pourrait reprendre une certaine assurance devant elle. Il devait essayer de jouer avec elle, ne serait-ce qu'un peu.
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Il ne semblait pas vraiment se laisser déstabiliser, plutôt bien, un peu trop peut-être. Proche, il était désormais trop proche, et en plus il voulait jouer à une jeu qu’il ne maîtrisait sans doute pas encore assez bien…
Ou alors, il ne se rendait pas compte de sa situation, à quoi avait-il bien pu penser en lâchant, l’air de rien, cette phrase des plus… amusantes ?
Bien tenté en tout cas, mais à peine eut-il fini que Nimelya, qui s’amusait de voir le regard du jeune inconscient, détourna le regard, avec un sourire malicieux qui se dessinait sur son regard, alors qu’elle relevait un peu le menton, le prenant purement et simplement de haut, avant de… lui répondre simplement, d’une voix qui se voulait moins sensuelle et bien plus ferme :
- Tu es assez mal élevé tu sais, jeune insolent, peut-être qu’une soirée entière de nettoyages ne te suffirait pas ?
Et ainsi, la prof avait tout loisir de le menacer d’une seconde soirée, ou plus, si elle le souhaitait…
Elle n’était pas vraiment prof, mais lui, le savait-il ? Après quelques secondes, elle revint croiser et soutenir le regard de Meisa.
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Kamui regretta ses paroles. Vraiment, cette femme avait l'habitude de jouer à cette sorte de jeu, ou alors, c'était lui qui n'avait pas qui n'avait pas assez d'expérience. Il baissa les yeux, l'air triste et coupable. Elle le tenait. Il ne trouvait plus rien à redire, du moins pour le moment. Doucement, il releva les yeux, lui faisant un beau sourire, une nouvelle fois. Elle était douée et elle analysait bien. Elle soutenait son menton, l'air hautaine, son regard dans le sien.
-Vous êtes très forte, miss. Je m'excuse de mon comportement.
Cependant, il ne bougea pas d'un centimètre, regardant les beaux yeux de la dame. Elle avait un petit quelque chose qui l'empêchait de s'en aller, la queue entre les jambes, qui le fascinait. Il continua de sourire, amusé.
-Je me plierai à votre châtiment, mademoiselle. Que vous soyez sensei ou non.
Comment avait-il deviné? C'est assez simple. Si elle était vraiment une enseignante, de un, elle l'aurait déjà puni pour une semaine complète, et de deux, elle serait déjà partie. Elle n'agissait pas en enseignante, malgré que Kamui ne comprenait pas vraiment quoi. Elle dégageait non pas une autorité qu'un prof faisait sentir à ses élèves, mais une aura tout ce qu'il y a de plus attractif. Son sourire ne disparut pas de son visage, mais il n'était plus amusé, mais admiratif. Très admiratif.
-Puis-je vous demander votre nom?
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Il avait perdu une bataille, mais peut-être pas encore la guerre. Mais en effet, de ses nombreux siècles de vécu, elle était plutôt douée, et il n’avait de loin pas tout vu. Des excuses, presque mignon… Mais encore présent là, elle devait presque le tenir, une ou deux répliques bien recherchées…
Puis il devint docile, ça alors… mais il doutait, pourquoi douter, les rumeurs, moui… ça ira en guise de réponse. Un sourire admiratif, et une nouvelle demande, amusant.
- Les seules excuses vraiment valables sont les actes, pas les mots, l’inconscient.
Attrape derrière elle la liste des retenues, et regarde simplement le nom de son vis-à-vis, souriant toujours, avant de lui faire face, recroisant les bras, et de reprendre.
- Sensei ou non… tu dois vraiment aimer frotter avec insistance, dis-moi, Meisa. Ici tu n’es pas dans n’importe quel lycée, les profs ne sont pas n’importe quoi… Sois un peu prudent dans tes paroles, et va frotter un peu, je n’aimerais pas devoir passer toute la nuit ici.
Le ton restait plutôt ferme, mais doux, et un peu amusé, surtout, de se jouer de ce gamin. Pour la dernière question, elle resterai en suspens…
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Les femmes étaient vraiment les êtres les plus puissants de cette planète. Un homme lui aurait parlé ainsi qu'il l'aurait immédiatement rossé, prof ou non. Il la regarda dans les yeux en souriant. Il haussa les épaules puis lui tourna le dos.
-Si c'est ce que vous voulez, tant pis. Soupira-t-il, un peu déçu quand même.
En fait, il aurait voulu qu'elle lui demande autre chose, mais bon, si c'est ce qu'elle voulait, il se plierait à sa volonté. Il aurait bien voulu essayer de draguer la belle dame, comme son désir lui disait de faire, mais pour le moment, elle aimait bien jouer avec lui. Elle était apparemment une professionnelle dans ce domaine et lui arracher son plaisir dépêcherait son départ. Non pas qu'il voulait vraiment qu'elle parte, mais quelque part, il sentait qu'elle continuerait à jouer avec lui si elle restait.
- Miss, s'il-vous-plait. Dites-moi ce que vous voulez, que je vous le donnes et que vous cessiez de jouer avec moi comme le fait un chat avec une souris.
[Hs: Désolé, j'ai un peu de mal à trouver une idée pour me sortir du petit jeu de ton perso ^^]
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Il s’exécutait, bon début, excellent début… mais il semblait s’attendre à autre chose. Ou comment faire naître une belle désillusion, le pauvre garçon, et il allait encore en voir d’autres…
Ce qu’elle, elle voulait ? Elle eut un rire, avant de lui répondre, amusée.
- De un… tu m’appelles maîtresse.
Le ton ne laissait pas de place à la négociation, et puis miss, ça fait un peu copine, quoi. Et comme si ça ne suffisait pas, sans avoir bougé du tout, elle ajouta.
- Tu sais, si éventuellement tu es sage, je pourrais éventuellement retirer une ou deux soirées de colle que je pense t’ajouter…
Horrible ? Oui elle l’était, et le jeu ne faisait que commencer…
( Pas de soucis. ^^ )
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Il hoche la tête puis la regarda, souriant, essayant de cacher ce que son corps voulait derrière un sourire plaisant. Il s'inclina devant elle, tel ses serviteurs devant lui, auparavant, la tête bien basse.
- Si c'est ce que vous voulez, maitresse, je serai sage.
En fait, il savait qu'il se laissait tomber dans un jeu qu'il ne comprenait pas et qu'il n'était pas vraiment sur de vouloir le connaitre. Il se contenta d'obéir à ses ordres et arrêter de se débattre pour rien. En ce moment, c'était elle, la reine, et elle pouvait lui faire faire tout ce qu'elle désirait. Il s'empara d'un produit nettoyant, d'un linge puis se mit au travail, comme elle le lui avait demandé. S'il était sage, elle laisserait peut-être aussi ses hormones en paix. Il nettoya les pupitres.
- Ma maîtresse me donnerait-elle son nom?
Il se souvenait très bien que ses serviteurs l'appelaient "maître Meisa" comme ils le faisaient tous avec son père. Il voulait aussi savoir le nom de cette belle dame, pour se souvenir d'elle, en quelque sorte. Il se fichait s'il s'agissait d'un faux nom, juste de pouvoir mettre un mot sur son visage autre que Maîtresse.
[Ma près disait vrai, on dirait. On pourrait vraiment le comparer à un chien -_-]
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Elle apprécia le sourire, et l’attitude des plus docile qui s’en suivit. Le jeu était-il déjà fini ? Allait-il simplement obéir, déjà ? Il semblerait… la suite allait pouvoir débuter.
- La maîtresse se nomme Nimelya… tout simplement.
Il était docile, ce n’était qu’une petite récompense après tout, et puis, ce soir, il allait probablement apprendre bien des choses. C’était trop simple…
- Dis-moi, l’insolent… tu ne voudrais pas frotter autre chose… ? Je me sens bizarre, un massage des mollets me ferait un bien fou…
Sensuelle dans sa voix, presque suppliante, mais tout de même ferme, quelle allait être la réaction…
( On dirait ! ^^ )
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À la demande de la dame, Kamui laissa le linge et le détergent sur une table puis s'approcha d'elle. Un massage? Rien de plus facile. Il se souvenait très bien des techniques qu'exerçait le masseur de sa mère pour détendre les muscles de celle-ci. C'était loin d'être compliqué. Puisqu'elle n'était pas allongée, il la fit asseoir sur le bureau de l'enseignant, sans trop la forcer puis s'agenouilla devant elle. Doucement, il commença à lui retirer ses chaussures puis ses longs bas, dénudant les jambe à la peau parfaite.
-Ma maîtresse veut certainement un massage de qualité. Ces bas ne feraient que me gêner.
Sur ce, il lui prit doucement la jambe droite de la belle demoiselle et en massa le mollet avec beaucoup de douceur et d'expertise, son esprit se souvenait très bien comment faire. Il massait les muscles de Nimelya sans mettre trop de pression sur celui-ci, juste assez, comme le lui avait montrer le serviteur de sa mère. Lorsqu'il eut fini avec le premier mollet, il s'occupa du second. Il leva la tête vers la belle femme. Ses yeux brûlait de désir maintenant qu'il avait touchée la douceur incomparable de sa peau. Il la regarda avec intensité, contenant au mieux ses pulsions, sans arrêter son massage.
-Autre chose, maitresse Nimelya?
"Maitresse" était un titre qui allait à ravir à la belle dame. Kamui sentait bien en lui qu'il ferait absolument tout ce qu'elle désirait pour pouvoir encore la toucher, pour prolonger son contact avec la peau de la belle Nimelya. Il n'avait envie que d'une chose, qu'elle lui demande tout ce qu'elle voulait.
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Elle s’assit sur le bureau qui se trouvait derrière elle, puisqu’il sembla des plus enclin à répondre favorablement à sa demande, puis était à genoux, un vrai jeune qu’elle aurait tout loisir de bien dresser pour la suite de sa vie, une aubaine !
Il n’était pas trop pressé, par contre, et gardait des gestes doux. Ca ne déplaisait pas à Namya, bien au contraire, c’était plus une bonne surprise, simplement. Elle n’allait pas le gronder de lui retirer ses bas, après tout, il les lui aurai filés, autrement. Concentré, il l’était dans son massage, si elle avait du le comparer à ce que sa longue vie lui avait offert, il ne serait pas dans les premiers, mais au léger soupirs d’aise qui de dégageaient de Nimelya, elle appréciait les gestes à leur juste valeur. Autre chose ? Bien sûr ! Mais quoi…
- Tu te débrouilles plutôt bien Meisa. Dès que tu auras fini, j’aimerais bien que tu sois un peu moins vêtu pour retourner accomplir tes tâches de nettoyage…
Elle souriait, sans non plus se délecter trop visiblement de la situation qui commençait à presque l’échauffer un peu. Elle avait peut-être dépassé certains limites, quoiqu’ici, tout était différent, peut-être que ça passerait…
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Kamui continua encore un peu son massage, mais retira quand même sa chemise, dénudant son tronc, répondant à l'ordre de la belle maîtresse. Il n'était plus gêné, et de toute façon, au point où il en était, ça n'avait plus d'importance. Il ne voulait que combler la dame. Elle voulait qu'il retourne au nettoyage. Il hocha la tête, posa un baiser sur la jambe de Nimelya avant de se relever. Son désir ne devenait que plus brûlant à chaque fois qu'elle l'éloignait d'elle. Il se plia une nouvelle fois à sa demande. Avant de s'éloigner, il lui parla de la même manière que lui parlait ses propres, enfin, anciens, serviteurs.
-Si vous le désirez, maîtresse. Mais, si vous me permettez une nouvelle insolence, je préfèrerais m'occuper de vous.
Il lui sourit avec douceur avant de se retourner et se dirigea à nouveau vers les bureaux, dont la majorité était déjà propre, reprit le linge et le détergent et se remit au travail, nettoyant les bureaux avec un peu plus d'énergie, souhaitant retourner au plus vite auprès de la belle femme. Lorsqu'il eut fini de tout nettoyer en un temps record, il retourna auprès de la dame.
-J'ai fini, maîtresse. Que puis-je faire d'autre pour votre plaisir?
[Désolé, post court, mais il y avait pas grand chose pour ce coup là]
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Un baiser, il avait osé le faire, sans même qu’elle le lui demande… ou avait-il simplement pris une sorte de petite récompense pour son massage qui lui avait convenu ? En tout cas, il restait obéissant, peut-être trop peu, tout de même, il n’avait enlevé que sa chemise, elle en aurait espéré plus. Et comme il le disait si bien, une nouvelle insolence, encore… ceci dit il s’appliqua à sa tâche, et allait finir avec une espèce de motivation qui semblait le guider, là où il aurait probablement du prendre bien plus de temps pour un travail moins bien fait.
Nimelya avait usé de l’un de ses pouvoirs, et s’était dissipée dans cette pièce aérée, et lorsqu’il lui posa sa nouvelle interrogation, tout en se retournant, il restait certes, aux pieds du bureau, des chaussures et des bas, mais aucune trace de la prof qui semblait s’être tout simplement volatilisée, alors qu’elle se contentait simplement d’errer, invisible pour le jeu garçon, dans la pièce. Elle avait forcément un but, et peut-être même plusieurs, mais pour le moment, elle se contentait d’attendre la réaction de celui qui la désirait tant en cet instant.
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Disparue. Nimelya s'était tout simplement évaporée et Kamui s'inquiétait. Où était-elle passée? Est-ce qu'il avait été trop audacieux? Il n'en savait rien. Il savait seulement qu'il ne la voyait plus et qu'il s'inquiétait pour elle. La porte ne s'était pas ouverte, alors, Kamui regarda autour de lui. Il se sentait affreusement mal. Il se pencha sur les chaussures et les bas. Non, il n'avait pas halluciné ni rêvé. Son odeur était encore dans la pièce.
- Maitresse Nimelya?
Il vit bien que personne ne se pointerait. Il s'en affligea. Il soupira puis reprit son linge à nettoyer pour se remettre au travail. Sa chemise restait sur l'un des bureaux et il la remettrait une fois qu'il aurait fini. Il sentait encore la chaleur de son désir se dégager de lui, mais elle baissait en intensité. Le froid se faisait déjà sentir, la fenêtre étant toujours ouverte. Sa main se crispa sur le linge alors qu'il essaya faire revenir celle qui avait allumer ce feu en lui. Il voulait la revoir.
- Je ne sais pas si vous êtes toujours là... mais je vous demande pardon.
C'était des excuses minables, sans argument, mais il était vraiment désolé. il n'avait jamais su comment agir avec les femmes et il craignait que son ignorance ait causé le départ de la belle demoiselle. Il nettoya les bureaux sans se presser, travaillant seulement. Si elle ne revenait pas, alors, autant valait-il qu'il ait fini et qu'il puisse partir et oublier cette histoire. Il avait envie de lui dire qu'il avait envie d'elle, mais il hésitait. Après tout, il ne savait pas comment le dire à une femme aussi belle qui semblait prendre un malin plaisir à se foutre de sa gueule.
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Ainsi, il n’avait pas vraiment fini, et mieux encore, il se sentait coupable, désolé, peut-être même amer. Mais il était mignon… ça aurait été dommage de partir, de déjà partir. Ainsi, après l’avoir encore observé à son nettoyage un certain temps, elle finit par réapparaître. Elle l’avait laissé se calmer, se détendre, et sans doute ne plus vraiment penser à elle, maintenant qu’un bon quart d’heure s’était écoulé.
La nymphe réapparu presque inchangée, si ce n’est que la blouse blanche avait disparu, mais elle ne fit pas son retour n’importe comment, non. Meisa pouvait sentir dans son dos un corps chaud, très proche, trop proche, tout simplement collé, apparu aussi soudainement que la belle s’était volatilisée quelques minutes plus tôt, et, le laissant dans son état de très certaine surprise, ajouta, sur un ton amusé mais doux :
- Tu me demandes pardon, c’est bien, mais pardon pour quoi ?...
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Kamui sentait la chaleur de sa nouvelle maîtresse dans son dos, collée à lui, le surprenant. Il frémit cependant à son contact mais il n'osait pas se retourner. Seulement de savoir qu'elle était proche de lui suffisait, du moins, pour le moment. Il sentait la chaleur qui l'avait envahis quelques minutes auparavant le reprendre, mais avec moins d'intensité. Il répondit à mi-voix.
- Pour avoir poser un geste envers vous sans que vous ne me l'autorisiez et pour mon insolence.
C'était ce qui avait de plus logique, mais il ne savait pas vraiment si c'était ce qui avait poussé la jeune femme à se volatiliser. Il se retourna puis la regarda. Il resta cependant immobile, malgré la proximité qui lui donnait envie de l'embrasser. Mais il ne voulait pas qu'elle disparaisse une nouvelle fois, et ce, pour de bon. Il se fichait de savoir si elle jouait simplement avec lui, mais il n'avait pas envie qu'elle parte, contrairement à ce qu'il avait voulu, il y a près d'une trentaine de minute de ça. Il resta aussi silencieux, ne sachant plus quoi dire.
[ HS: et encore une rep courte, pardon -_-]
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En tout cas il avait l’air doué pour les nettoyages, c’était le moins que l’on eusse pu dire. Son état à elle, alors qu’il s’était retourné, contre elle, ainsi plaqué ? Amusée, amusée d’être ainsi puissante face à lui. Finalement, sans prendre de « détour », la nymphe releva son genou gauche, jusqu’à pouvoir atteindre l’entrecuisse du gamin. L’objectif était double : savoir s’il bandait ou non, ou s’il commencerait ainsi à bander, dans un premier temps, et dans un second, dévoiler plus que nécessaire sa cuisse, à travers sa jupe fendue, et de ce fait, voir s’il allait baisser le regard ou non.
S’il l’avait fait en tout cas, il aurait pu s’apercevoir de l’absence du sous-vêtements qui était encore présent un peu plus tôt. De son coté, elle gardait son sourire amusé, joueur, devenu un instant presque sadique. Elle lui adressa la parole, enfin.
- Mais je ne doute pas que tu soit prêt à tout, absolument tout faire, afin d’être pardonné, n’est-ce pas, l’insolent ?
( Pas grave, c'est sympa de temps en temps un RP plus court aussi. ^^ )
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Ainsi face-à-face de sa belle maîtresse, Kamui parvenait vraiment à peine à s'empêcher de la toucher. Il sentit alors le genou gauche de la belle dame sur son sexe durci par le désir et l'excitation qu'elle faisait naître en lui. Surpris par son geste, il baissa les yeux sur la cuisses, pour savoir ce qui le touchait à cet endroit et découvrit la cuisse tout simplement parfaite, il ne put s'empêcher de bander davantage en remarquant qu'elle ne portait aucun sous-vêtement. Il la regarda dans les yeux, presque sur le point de lui sauter dessus. Elle lui demanda si il était prêt à tout faire pour être pardonné. Il ne trouva qu'une réponse qu'il prononça à voix basse, essayant de vainement faire taire ce désir avant qu'il ne tombe dans un nouveau piège.
- Absolument tout, maîtresse. Demandez et j'obéirai.
Il était prêt à obéir une nouvelle fois aux moindres désirs de la belle femme, corvée ou non. Mais cette fois, il essayerait de ne pas se laisser avoir par un nouveau malentendu.
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La belle sourit, plus doucement cette fois-ci. Belle érection qui ne faisait que de grandir, encore, et encore…
Elle retira son genou, replaçant son pied nu à même le sol, puis lui dit avec une certaine perversité dans la voix.
- On dirait que tu es un insolent, mais surtout, un pervers…
Le regard lubrique, elle se recula, et rejoignit son bureau, afin de simplement reposer une fesse sur celui-ci, les jambes croisées, ne dévoilant bien entendu rien.
- Tu dois te sentir un peu à l’étroit là-dessous, je suis sûre que tu aimerais libérer toute cette tension de tes vêtements, tu serais tellement plus à l’aise…
Attendant qu’il s’exécute, non sans le quitter du regard, avec cette distance retrouvée, son regard justement s’égarait par instants dans la pièce.
-
Elle se foutait vraiment de sa gueule. Elle essayait de l'exciter et ensuite, elle s'éloignait de lui, passant un petit commentaire. Pervers? Kamui? Il n'y avait rien d'anormal. Tous les hommes l'étaient, il ne faisait pas exception à la règle. Elle alla s'asseoir sur le bureau, les jambes croisées, le regardant. Elle lui demanda de se dévêtir. Kamui aurait bien voulu éviter de se retrouver dans une position aussi gênante. Était-ce un piège? Il resta immobile un moment puis il retira ses chaussures, ses bas puis son pantalon. Il hésita un moment à retirer son boxer mais il soupira intérieurement, qu'est-ce qu'il avait à perdre? Il avait dit à la belle dame qu'il obéirait à chacun de ses ordres, et donc, il retira le dernier vêtement masquant son sexe. Le voilà maintenant en costume d'Adam. Qu'est-ce qui se tramait dans la tête de sa maîtresse, il aimerait bien le savoir.
- Voilà, maîtresse.
Il ne savait plus trop ce qu'elle voulait et surtout, si elle lui avait seulement demander de se dévêtir pour se moquer de lui, mais bon. Il n'avait pas encore cerné la personnalité pour le moins étrange de la belle dame. Il s'approcha d'elle, mais conserva une distance de deux mètres et demi entre eux, restant parfaitement immobile.
- Et maintenant? Que voulez-vous me faire faire?
-
Le jeune Meisa sembla un peu mécontent, ou juste résigné, déçu peut-être, mais il s’exécutait l’air de rien, sans être non plus se mettre en valeur plus que ça. Qu’allait-elle bien pouvoir faire de lui ? A vrai dire, la nymphe était encore hésitante.
Elle ne se gêna pas de découvrir la verge gorgée de sang de « son » élève, et en sourit, plus doucement. Il se tenait devant elle, attendant la suite, mais quelle suite ? Elle avait déjà expérimenté tant de chose, connaissait tellement de possibilités, qu’elle ne savait pas vraiment en quoi il serait bon. La communication est parfois une bonne chose, et puis, autant profiter un peu de son statut actuel…
- Dis moi, le petit pervers…
Elle ne regardait pas le gosse, non, elle regardait son membre, avec un sourire amusé, avant de poursuivre sa question à celui qui répondrait de manière un peu plus aisée à comprendre, tout de même.
- J’aimerais bien savoir deux choses… premièrement, vu ton jeune âge, tu t’es déjà servi de ton engin autrement que tout seul ? Et ensuite, à quoi penses-tu, là… tout de suite ?
Elle sourit doucement, redevenue sensuelle et douce, sans exagération aucune.
-
La belle dame lui posa deux questions. La première était un peu embarrassante tandis que la seconde lui paraissait un peu plus normale. Il chercha une réponse qui ne lui attirerait pas de moqueries de la part de sa maîtresse. Une fois qu'il eut bien réfléchi, il laissa voir un charmant sourire.
-Eh bien, puisque je suis encore vierge, je crois que vous pouvez très bien vous imaginer le reste. Pour ce qui est de mes pensées, je crois que vous pouvez facilement deviner ce que pense un puceau devant une femme aussi attirante que vous l'êtes, qui voudrait pouvoir réaliser les désirs de cette femme, si elle lui accordait la chance de lui prouver sa valeur.
Il la regardait avec un sourire, se délectant de la beauté de la femme. Il savait qu'elle continuait de se moquer de lui, mais il était franc et il s'en moquait. Il n'avait pas peur d'avouer ses désirs, et de toute façon, il ne disait rien qu'elle ne savait déjà. Il baissa cependant la tête, prêt à voir une nouvelle fois la belle demoiselle se volatiliser. Il gardait quand même son sourire plein de douceur. Il se doutait bien de la tournure prochaine des évènements, mais la belle maitresse étant imprévisible, il attendait sa réaction à ses paroles aussi franche que possible.
-
Un charmant sourire, mais une réponse bien évasive, au final, mais elle conservait son sourire délicat, elle ne s’était plus moquée de lui depuis un moment maintenant, après tout. Puis il baissa la tête, signe de soumission, ou autre chose peut-être, en tout cas, le compliment plut à la nymphe, et les deux souriaient…
- Tu n’es pas très alléchant dans tes propos, tu sais, et j’aurais imaginé un puceau plus imaginatif que toi, tu ne voudrais pas peut-être… je ne sais pas moi, être plus explicite dans ce que tu voudrais me faire pour que peut-être, je te prenne ton pucelage ? Ou alors, tu es un peu moins pervers et plus attaché aux sentiments, et tu veux la conserver pour une femme plus aimante ?!
Elle ne se moquait toujours pas, elle était juste curieuse d’en savoir un peu plus, et comme pour le motiver, elle écarta lentement, très lentement, sa jupe, dévoilant à peine quelques instants rien que le bord de son intimité, en observant une réaction au niveau de l’intimité du jeune insolent.
-
Une femme surprenante et très perspicace, c'était ce qu'était la belle maîtresse. Mais elle lui demandait d'être explicite. Là, s'il répondait, il risquait vraiment de passer pour un pauvre pervers. Remarque, c'est bien ce qu'elle disait penser de lui. Il releva la tête puis fit un pas vers elle. C'est alors qu'elle écarta légèrement sa jupe, dévoilant une nouvelle fois sa vulve, faisant réagir le jeune homme. Devant cette nouvelle provocation, il n'arrivait plus à se contrôler. Il fit deux pas vers elle, mais s'arrêta.
- C'est votre corps qui éveille le désir en moi. Je voudrais pouvoir embrasser vos lèvres et votre corps. Vous m'avez demander de vous avouer, belle maîtresse, ce que je voudrais faire. Je veux découvrir votre corps, je veux savoir comment sont les femmes et savoir comment les combler.
Ces mots avaient quitté ses lèvres malgré lui. La moitié de ce qu'il avait dit, il aurait voulu l'enlever tant ca le gênait. Pourquoi fallait-il toujours qu'il parle sans y penser à deux fois? "Moi et ma grande gueule" maugréa-t-il. Il ne savait pas comment séduire une femme, mais il espérait que sa maîtresse puisse, si elle lui accordait ce privilège, le lui enseigner. Il était plutôt proche d'elle, mais juste assez éloigné d'elle pour qu'elle puisse le frapper si elle le désirait, après tout, s'il l'avait mise en colère, il le méritait.
-
Il avait presque perdu tout contrôle, par un simple geste bénin, elle avait même pensé qu’il essayerai de la toucher, mais cette fois-ci, ainsi « emballé » par ses désirs pervers, il avait tout « déballé ». N’était-elle pas son enseignante ce soir-là ? N’était-elle pas une nymphomane ? Les deux pouvaient bien évidement donner une suite favorable à la « requête » de l’étudiant.
- Je pourrais éventuellement, moui, mais je ne suis qu’une enseignante tu sais, et je n’ai pas été engagée pour cela. Après tout, je ne suis qu’en surveillance en plus, pas en plein cours…
Elle fuyait à nouveau, simplement par ses mots, des mots bien véridiques si on y pensait… mais c’était amusant de temps en temps d’apprendre à la relève, et puis un dépucelage, ça avait ses inconvénients… et ses avantages. Puis soudainement ses yeux scintillaient, elle avait trouvé sa réponse.
- Si c’est moi que tu désires, mon petit puceau, c’est moi qui tu combleras… si tu en es capable, après tout, tu devrais jouir bien rapidement et risque de me laisser sur ma faim, et de ce fait de ne pas me combler… sauf si tu rebandes bien vite, voir ne débande pas…
Ca faisait longtemps qu’elle n’avait pas été recouverte de sperme chaud et épais, ce soir allait-elle peut-être combler ce désir ? Après, sa nymphomanie pourrait donner un mauvais exemple à ce jeune homme, mais peut importe pour le moment, ça n’arrivera peut-être pas s’il est à la hauteur…
Nimelya se baissa, et, l’air de rien, approcha une main sûre de la verge du puceau. Elle décalotta le membre et entrepris un lent va-et-vient, uniquement sur la hampe du phallus, avant de relever son regard et de le plonger dans les yeux de son élève…
-
Elle avait vraiment effacer les doutes de la tête de Kamui. Elle lui avait dit que s'il la désirait, il devrait faire de son mieux pour la combler. Évidemment, Kamui n'était pas totalement ignorant. Comme tous les autres, il avait une certaine connaissance de la sexualité via les films, magazines, etc. Il avait aussi pu entendre quelques conversations de mecs vantant leurs exploits sexuels avec leurs copines.
La caresse de sa maîtresse sur son sexe lui procurait un bien fou. Il essaya de trouver un moyen d'échapper à cette caresse, ou du moins, de ne pas être le seul à prendre du plaisir. La belle femme lui avait clairement dit qu'elle devait être comblée. Elle le regardait maintenant dans les yeux, certainement pour voir quel effet ça lui faisait. Il fit doucement reculer la belle dame sur le bureau, sans détacher son regard du sien.
-Je suis déjà excité, belle maîtresse, mais je ne sais pas si c'est votre cas.
Il ne lui demandait pas d'arrêter, après tout, c'était agréable, mais doucement, sa main gauche grimpa l'intérieur de la cuisse droite de la demoiselle, puis il atteignit son intimité, y découvrant une légère humidité, ce qui était un peu rassurant. Doucement, il y glissa son majeur, regarda le visage de la belle, savoir si elle appréciait sa caresse. Il fit de petits mouvements avec son majeur dans l'intimité de la belle, caressant particulièrement son clitoris.
-Aimez-vous?
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Et la réponse attendue ne vint pas, tout comme l’air que venait de prendre la « maîtresse » n’était en rien rassurant pour la suite. Elle qui avait presque l’éternité devant elle n’allait en tout cas pas se dépêcher, et là, elle voulait son foutre, et rien d’autre !
- Non ! Je n’aime pas ton insolence et ton impatiente, mon petit puceau !
Le ton en était devenu froid et sans doute la peur de la punition allait se lire rapidement sur le visage du môme. Elle le repoussa sèchement, et lui offrit une gifle mesurée, mais qui laisserait son empreinte pour quelques longues secondes.
- Tu es là pour me combler, et tu n’es qu’un petit puceau sans la moindre expérience, que sais-tu des désirs que je pourrais avoir en ce moment-même ?
La leçon lui serait dans tous les cas utile pour l’avenir, après tout, ce qu’il avait du voir en regardant des pornos, et la réalité, faisaient deux, et bien deux. Se redressant, elle se mit à avancer, ne se doutant pas un seul instant qu’il pusse la repousser, ou lui tenir tête, pas après ses belles paroles qu’il allait devoir pleinement assumer.
En effet, la belle avança, de manière plutôt vive, jusqu’à ce que le gamin soit contre une étagère, et tout comme ses propres vêtements pouvaient apparaître ou disparaître de sa simple volonté, des liens semblaient « attraper » les chevilles, le ventre ainsi que les poignets du jeune homme, et le ficeler au mur, dans le simple but de lui rendre service, lui qui voulait tant la combler…
Elle sourit longuement, et dans cette position dans laquelle tout espoir de fuite semblait plus que lointain, tout vêtement de la nymphe disparurent, la dévoilant dans toute sa nudité. Une pilosité pubienne plus que faible, pas épilée, mais taillée plutôt courte, en son centre, et épilée tout de même en une sorte de triangle qui indiquait « l’entrée ». Si l’on remonte à son buste, on découvre une poitrine qui semble bien aller à sa taille plutôt grande, mais sa carrure plus frêle : une poitrine pas petite, mais de loin pas opulente non plus, dont le sillon semblait tailler pour recevoir une verge bien dure…
Elle le regardait, presque « victorieuse », avec un petit sourire sadique et empli de lubricité, ainsi, elle aurait pour le moment tout loisir de se combler d’elle-même…
( Si j’ai trop forcé le RP sur toi n’hésite pas à me MP et je modifierai. =) )
-
[HS: Nan, t'inquiète, je ne suis pas difficile.^^ En fait, si mes reps ne te plaisent pas, envoie-moi un mp, j'éditerai. Ce serait plus plaisant comme ça]
Kamui en avait vu de toute les couleurs. Elle lui avait donné une gifle plutôt douloureuse, lui laissant une belle marque bien nette. Bien que ça ne lui avait pas vraiment fait mal, cette gifle plutôt blessé son orgueil. Un peu étourdi par ce coup, il recula en même temps qu'elle, mais contre une étagère, essayant de garder son équilibre. Il l'avait vraiment frustrée, et il était déçu d'avoir échoué encore une fois. Ce n'était pas simple d'être puceau, à son âge, mais vraiment pas. Lorsqu'il parvint à reprendre un pied stable, des liens sortie de nulle part lui agrippèrent les poignets, les chevilles et le ventre, l'immobilisant contre le meuble. Il se cogna la tête contre le bois de l'étagère, tellement elles le ramenèrent rapidement, détachant l'élastique qui tenait ses cheveux en queue de cheval. Ceux-ci s'étalaient maintenant dans son dos. Il regarda sa maîtresse, puis baissa la tête. Elle semblait vraiment contente de l'avoir ainsi attaché. Il ne put s'empêcher de sourire, mais il n'était pas vraiment heureux. Il était plus désolé de ne pas pouvoir répondre par lui-même aux attentes de la belle femme. Les demoiselles étaient-elles tous comme elle, à l'intérieur?
-Veuillez m'excuser... maîtresse...
-
- N’oublie jamais cette petite leçon, le puceau !
Le ton était ferme, mais elle ne s’amusait pas vraiment, à vrai dire, elle avait été déçue plus qu’autre chose, et la leçon se devra d’être longue, car des « perverses » qui ne pensent qu’à être touchées, prises fortement, et directement sur des endroits très ciblés, ce n’était pas non plus ce qui courait majoritairement les rues.
La nymphe aurait, elle, bien pu le prendre, dans une autre situation, sans aucun doute, mais là, il fallait le calmer au mieux, et à en voir sa mine déconfite, c'était réussi.
- Tu as de la chance que ce soit moi, avec 9 femmes sur 10, tu aurais ressenti une douleur des plus pénibles au niveau de tes couilles plutôt sensibles. Pour le moment… je vais me combler seule, puisque la seule fellation ne semble pas te convenir, et que ton enthousiasme débordant et ta méconnaissance des femmes te force à t’empresser de me toucher là ou la majorité des femmes, y compris moi en ce moment, n’a pas envie d’être « agressée » !
Elle était neutre, sans sourire, une véritable enseignante de la seule matière qu’elle pouvait d’ailleurs enseigner, puis, s’en rendant compte, elle en sourit. La punition semblait en tout cas avoir fait son effet, espérons que dans quelques minutes il se montre moins empressé, et à l’avenir aussi…
Ainsi nue, elle s’approcha à nouveau, et, après s’être agenouillée lentement, en déposant quelques baisers sur le ventre de son élève, qui eux aussi descendaient lentement, elle reprit la base de la verge d’une main douce et ferme, et recommence le lent va-et-vient, sur toute la longueur du membre d’abord, puis seulement sur la base ensuite, alors qu’elle déposa de nouveaux baisers sur le g land, avant de l’aspirer lentement, entre ses lèvres humides et chaudes. La langue se mit à tourner lentement autour de ce sommet turgescent…
-
Elle était revenue vers lui, loin d'être contente de lui. Kamui avait très mal aux poignets tellement les liens étaient serrés, sans que son sang n'en soit coupé. Elle avait beau être très belle, elle l'inquiétait un peu. Elle s'agenouilla, l'embrassant quelques fois sur le ventre, descendant vers sa virilité durcie par les précédentes caresses. Il n'osait pas la regarder, mais il sentait très bien la main de la dame sur son sexe, y faisant un lent va-et-vient qui lui arrachait des soupirs de plaisir. Il sentit par la suite les lèvres sur son membre qui se gonflait encore plus d'excitation, mais lui, il était loin de s'amuser ou d'y prendre du plaisir. Seul son corps appréciait les caresses de sa maîtresse. Il sentit par la suite sa langue lui caresser son gland. La fellation avait l'effet escompté, Kamui ne put retenir un gémissement. Il ferma les yeux avec délice. Elle était douée pour ça, il n'avait rien à redire. Mais bon, même si ça ne se passait pas vraiment comme il l'avait prévu, il devait avoué que ce n'était pas si mal, même si il aurait préféré participer, mais il était très déconseillé, il l'avait compris, de chercher à se faire pardonner. Tout ce qu'il pouvait faire, pour le moment, c'était la laisser faire ce qu'elle voulait de lui, et essayer d'en tirer une leçon, les femmes n'aimaient pas qu'on aille vite, ça lui était très bien entré dans le crâne. Cependant, le désavantage d'être puceau, c'était qu'on pouvait venir très rapidement, l'avantage, c'était qu'on pouvait rebander à la même vitesse. Heureusement, il n'avait pas la bouche bâillonnée.
-Maitresse... je vais...
-
Oui, il allait jouir, et si elle avait voulu être d’un sadisme affolant, être la garce qu’elle savait être quand elle le désirait, elle l’aurait mordu sans le moindre scrupule. Après tout, elle ne lui avait pas demandé de parler, et elle commençait à sentir les légers tressautements de la verge qu’elle flattait, annonciateurs d’une éjaculation qui allait arriver incessamment sous peu…
Elle ne fit rien, toutefois, car il n’était que son objet sexuel, comme ces poupées gonflables destinées aux hommes, Meisa était devenu son puceau, aussi capable de se défendre que la poupée susmentionnée.
Retirant ses lèvres qui entouraient le gland du jeune homme, elle fixa son regard au plus profond de celui de son puceau, les yeux étaient clos, mais peut-être s’ouvriraient-ils à l’instant final de ce premier plaisir.
Elle avança sa propre poitrine, après avoir retiré sa main, et enserra ses deux seins autour de la verge dressée, puis entama, un malaxage savant qui aurait sans aucun doute un effet foudroyant sur ce jeune puceau, et comme si ça ne suffisait pas, elle avança à nouveau sa langue pour flatter le gland qui dépassait, à quelques reprises, jusqu’à entendre, et surtout sentir, la puissante éjaculation de ce jeune impatient s’étaler en plusieurs jets puissants entre ses lèves, sur son visage, son cou, ses seins, alors qu’elle le fixait toujours, ainsi zébrée sur le haut du corps…
-
Kamui n'avait pas pu se retenir. Il avait jouit sur elle, malgré lui. De toute façon, c'était apparemment ce qu'elle voulait, puisqu'elle avait intensifié ses caresses. Il avait ouvrit les yeux et avait regardé le visage couvert de la semence de Nimelya. Malgré la libération, son sexe était toujours aussi dur et droit.
Il la regarda dans les yeux, comme elle le faisait. Il voulut lui faire des excuses, mais il n'arrivait pas à parler. Il doutait qu'elle se sentait mieux comme ca, mais quand même, il ne trouvait rien à dire. Que pouvait-il lui dire d'autre? Qu'il était désolé d'avoir joui sur elle comme ça? Il ne trouvait cependant pas le courage de détacher son regard du sien
[le plus court... si tu as une idée pour améliorer cette rep, fait le moi savoir, s'il te plait.]
-
Elle lui sourit, puis se pourlécha le contour de ses lèvres, récoltant un peu de foutre encore chaud, et s’en délecta, apparemment. Finalement, devant l’air navré de son puceau, elle reprit enfin la parole :
- Alors, cet avant-goût d’une patience que tu ne sembles pas avoir était comment ?
Elle n’était pas vraiment moqueuse, elle voulait juste découvrir de quelle manière il avait reçu cette première leçon. Puis elle se releva, appuyant son bas ventre contre le sexe resté en érection de son insolent, et profitant de sa taille, lui dit le plus simplement du monde :
- Nettoie-moi…
Elle lui souriait doucement en le regardant, sachant très bien qu’il n’avait qu’un seul moyen d’accomplir pleinement sa tâche, une sorte de deuxième leçon. Certaines femmes apprécient d’avaler, d’autres non, il aurait peut-être tout loisir de bien s’en rendre compte si le goût ne lui convenait pas… mais elle le stimulerait, se hissant parfois sur la pointe de pieds pour lui laisser l’accès à des zones plus basses, alors que son pubis finement taille frottera le phallus dressé…
-
[Heureusement que c'est un rp -_-]
Il ne répondit pas à la question de la jeune femme, mais il lui sourit, évitant de dire une nouvelle connerie. Elle lui ordonna de laver son buste. Seulement, le jeune homme comprit qu'il devait le faire avec sa langue, ses mains étant attachées et elle ne semblait pas porté à les libérés. Doucement, Kamui pencha sa tête pour nettoyer le corps de Nimelya à coup de langue. Il trouvait ça un peu répugnant, mais il en faisait sa conséquence pour son insolence. Il commença par la poitrine, qui était la zone la plus basse. Il lécha doucement le sperme puis sur les seins de sa maîtresse sans laisser voir son dégout. Lorsque tout fut bien propre, il releva la tête et lécha tout ce qu'il avait à sa portée, entre les seins de la demoiselle, en remontant vers son cou, puis recula, la bouche pleine. Il ne pouvait pas recracher ce qu'il avait dans la bouche et il regretta de ne pas avoir quoi que ce soit pour se boucher le nez. Il avala sa propre semence, se forçant à ne pas vomir. Vraiment, il se rappellera pour le reste de ses jours de cette conséquence. Il regarda les beaux yeux de son "enseignante" et les fixa. Il sentait bien le pubis de celle-ci sur son sexe, toujours aussi bien dressé qu'avant son éjaculation. Il sourit gentiment, essayant de faire taire son dégout.
-
( Ca donne à réfléchir tout de même ! ^^ )
Il s’y prenait bien, malgré une appréhension que Nimelya avait depuis longtemps pressentie en montant son coup, à vrai dire, cette leçon avait été décidée depuis bien longtemps. Dès qu’elle fût nettoyée, sans lui offrir le moindre soupir ou gémissement, malgré quelques frissons qui étaient nés du passage de cette langue sur son visage, son cou, le haut de son buste et ses seins.
Il la fixait, elle le regardait, puis elle déposa un baiser sur les lèvres du jeune homme, très bref, avant de reculer son visage, puis de se décoller entièrement, alors que les liens qui retenaient les poignets du jeune homme s’effaçaient peu à peu, avant de disparaître totalement, lui rendant l’usage de ses mains.
- Maintenant, tu peux commencer à me toucher… et ne descend pas trop vite, ne sois pas impatient tout simplement. Ne me considère pas non plus comme un jouet que je ne suis, et ne serai jamais…
Douce et sensuelle, mais ferme, elle savait ce qu’elle ne voulait pas, et avait déjà quelques nouvelles tortures physiques ou mentales, voir les deux, en réserve…
-
[Ouais, celle-là, il risque pas de l'oublier :P]
Lorsqu'elle l'avait embrassé, Kamui comprit que ses lèvres étaient les plus savoureuses qu'il ne connaîtrait pas une nouvelle fois avant un moment, même si le baiser fut bref. Lorsque les liens relâchèrent ses poignets, il agrippa l'étagère pour ne pas tomber. Elle lui permettait de la toucher à nouveau. Ses leçons étaient particulières, mais elles faisaient leur effet sur la tête du jeune homme. Il la regarda un moment, songeur. Il devait rester patient et ne pas aller trop vite. Elle n'avait pas aimé ses précédents attouchements et s'il voulait éviter de se retrouver dans une autre situation inconfortable. Cependant, que pouvait-il faire? Il ne savait pas ce que sa maîtresse aimait ou détestait. Il devait quand même tenter quelque chose. Il fouilla dans sa tête.
- Que devrais-je faire, maîtresse? Qu'aimeriez-vous? Dit-il, malheureusement à court d'idées.
Après tout, aux dernières nouvelles, c'était sa première fois, il devait apprendre, mais il n'avait pas vraiment envie de se retrouver à nouveau attaché de partout. Il avait des idées, mais il ne voulait pas se faire à nouveau repousser, il avait son orgueil qui lui barrait la route.
[Faut être réaliste, il ne peut pas être un expert au premier coup, non? Il lui faut des indices, pauvre mec :P ]
-
Elle sourit, presque amusée, lorsqu’il avoua ne pas savoir quoi faire d’autre que probablement recopier ce qu’il avait du voir à la télé, tard le soir, et qui ne semblait pas correspondre à la sublimissime enseignante. Mais l’amusement qui se lit sur le sourire qui s’était esquissé sur ce visage des plus mignons changea rapidement, devenant un peu plus tendre.
Non, il n’avait pas commis une nouvelle bévue, il avouait simplement ne pas comment s’y prendre, et c’était sans doute ce que bien des femmes auraient voulu entendre, au lieu de subir un assaut désagréable.
Elle saisit la main droite de Meisa, et la posa avec une certaine délicatesse sur sa hanche gauche, puis vint le tour de la seconde mimine, qui arriva, elle, avec la même douceur, sur le sein droit de la nymphe. Elle lui offrit un nouveau sourire, et lui donne quelques nouvelles recommandations, d’une voix douce et sensuelle : il n’avait pas à subir un sadisme gratuit, après tout, elle allait plus ou moins le façonner, et étant une nymphe, elle avait certains devoir à accomplir, non ? Pas forcément, mais ce n’était de loin pas contraire à son rôle non plus, enfin elle ne lui montrerait que ce qu’elle, elle aime, mais peut-être ne comprendrait-il pas tout ? Comme cette éjaculation faciale, elle l’avait souhaitée, et se l’était donnée, si l’on veut bien, mais peut-être qu’il avait compris là que c’était une chose à faire, et qu’il pourrait un jour, la refaire de lui-même, il fallait qu’elle se montre plus prudente, peut-être, quoique non, elle lui avait dit que c’est elle qu’il comblerait, autant lui laisser la chance de commettre quelques erreurs par la suite…
Pour en revenir à la voix douce et sensuelle…
- Considère-moi comme ta Reine, tout simplement… toute zone du corps peut être érogène, et pas uniquement les seins ou le sexe, alors vas-y doucement, lentement, et tu sentiras les caresses que je préfère, et celles qui me font moins d’effet… et n’oublie jamais qu’une femme est une femme, et pas un objet que l’on prend, que l’on remplit, et que l’on jette comme une chaussette…
-
Apparemment, il avait bien fait de se contenir d'agir par lui-même. Doucement, elle lui avait pris sa main droite et la posa sur sa hanche gauche, puis attira sa main gauche sur sa poitrine. Elle lui avait fait un beau sourire. Cette partie de l'apprentissage du jeune homme était beaucoup plus agréable que la précédente et il mit beaucoup de douceur à peloter le sein de sa belle maîtresse, laissant son autre main découvrir la rondeur parfaite de sa hanche. La peau de la belle femme était si douce, encore plus que le satin. Elle lui dit de la considérer comme sa Reine, lui apprenant que toutes les zones du corps pouvait être agréable à caresser, mais que certains endroits étaient plus sensibles aux caresses. Il regarda les beaux yeux de son enseignante, surveillant ses réactions avec le plus d'attention possible. Bien qu'il aimât la texture de la poitrine de la belle femme, il allait bientôt devoir trouver d'autres endroits qui pourraient lui donner du plaisir. Il faisait son possible, mais il devait absolument éviter de commettre une erreur et ca le stressait un peu. Il regardait également les belles lèvres de sa maîtresse. Comme il aurait aimé les embrasser une nouvelle fois. Son esprit était encore embrumé de questions. Il regarda une nouvelle fois, suppliant, cette fois-ci, les yeux de son enseignante.
- Est-ce bien, maîtresse? Où aimez-vous être caressée?
Il savait qu'il devait tôt ou tard agir de lui-même s'il voulait donner du plaisir à la belle dame, mais pour l'instant, il voulait surtout éviter de se bruler les doigts.
-
Nimelya n’était pas insensible à cette douceur bienvenue, dans ce corps qu’elle s’était choisi dans cette situation là, et, quelques frissons la prenaient, alors qu’elle se rapprochait juste un peu du jeune puceau. Il avait sans aucun doute pu ressentir de légers signaux sous ses mains, tant sur sa poitrine que son flanc, son ventre non plus n’était pas insensible, le reste l’était toutefois moins, mais s’il avait eu l’idée de remonter un peu plus haut, là, il y a tant d’endroits qui affectionnent des gestes…
- C’est beaucoup mieux qu’avant, incomparable tout simplement… Tu devrais utiliser ta bouche pour autre chose que des paroles, pour le moment…
Elle l’avait lâché, pour le début du moins, dans un léger soupir, alors qu’elle venait d’apprécier une caresse qui avait flatté son téton droit… et comme pour l’aider, elle inclina légèrement la tête sur la gauche, l’invitant à venir jouer sur son cou.
-
Elle lui demanda ensuite de se servir de sa bouche puis s'était avait légèrement décliné la tête, Kamui avait capté le message. Il approcha doucement la tête du cou de sa merveilleuse maîtresse et le bécota doucement. Sa main droite quitta la hanche de la demoiselle, grimpant doucement le long de son flanc puis alla s'aventurer dans son dos, où elle s'arrêta, l'attirant un peu contre lui. Il devait essayer autre chose. Ses baisers descendaient maintenant, sur la partie supérieur du buste de la dame.
Sa main gauche, qui malaxait depuis un moment le sein droit de la belle femme, alla remplacer la droit dans le dos de celle-ci. Son autre main se déplaça doucement et alla caresser doucement le sein gauche qui, jusqu'à maintenant, n'avait pas été touché.
Lorsqu'il eut embrasser tout le cou de sa belle, Kamui descendit vers sa poitrine, sans cesser d'embrasser la peau à sa portée. Doucement, il alla découvrir de ses lèvres la sublime colline du sein droit, posant de petits baisers sur celle-ci. Il s'approcha du mamelon puis, lorsqu'il l'atteignit, il le lécha avec douceur.
Il restait maintenant à savoir si Nimelya allait apprécier ou si elle allait le réprimander.
-
Nimelya appréciait les attentions qu’on lui offrait, tant les baisers, tous plus délicieux les uns que les autres, sur son coup, puis descendant lentement vers cette espèce de centre de gravité que représentait sa poitrine, poitrine même qui attirait vraiment l’intention du jeune homme…
Puis des caresses, dans son dos, elle avait été rapprochée encore plus, les intimités s’étaient une nouvelle fois collées, le pubis de la nymphe frottant le sexe dressé du jeune adolescent…
Les pointes de la brune s’étaient lentement érigées, sous les caresses un peu maladroite et hésitantes, mais pas si mauvaises que cela, pour un débutant… qui allait tout de même trop directement se concentrer sur ses protubérances mammaires…
Pour le guider, la main gauche de la belle vint saisir la main droite, celle-là même qui s’égarait sur sa poitrine, et la remonta lentement sur sa propre joue, d’abord, se caressant elle-même, avant de la délaisser lentement, longeant désormais le bras droit de l’homme, jusqu’à glisser sa main dans la chevelure foncée, et de la caresser quelques instants, avant d’aller masser sa nuque de quelques doigts agiles et surentraînés.
Elle le laissait pour le moment jouer de sa langue et de ses lèvres sur son mamelon, la chaleur et l’humidité était très appréciable, et fit soupirer une nouvelle fois la nymphe.
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Alors qu'il continuait de s'occuper de sa poitrine, Nimelya lui prit sa main droit et la fit monter sur sa joue, attirant l'attention de Kamui sur son visage. Il décolla ses lèvres du mamelon de la belle et la regarda dans les yeux, caressant sa joue, douce comme tout, souriant tendrement, et retourna l'embrasser dans le cou, posant quelques baisers sur sa peau parfaite pour en garder la chaleur sur ses lèvres. Il la bécotait sans cesse, remontant lentement vers son oreille droite. Il sentait le souffle chaud de sa belle sur son épaule, ce qui lui indiquait qu'il était sur une bonne voie. Il mordilla doucement le lobe.
Sa main gauche serrait davantage mais légèrement la maîtresse contre lui, réagissant à son désir. La chaleur de son corps fit monter la température du sien. C'était si agréable de pouvoir la serrer ainsi. Son autre main, sur la joue de l'enseignante, continuait ses petites caresses sur la visage de celle-ci. Son sexe contre le pubis de la dame avait prit davantage de volume, excité par cette proximité si enivrante.
Il recula doucement la tête pour pouvoir la regarder. Elle était si belle, si chaude et si douce. Il alla l'embrasser sur les lèvres, ce qu'il désirait surtout. Elles étaient humides et agréables, irrésistibles.
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Le message avait plus que bien passé, trop peut-être, à tel point que la poitrine de la nymphe avait été entièrement délaissée, et que son visage, et son cou, recevaient toute l’attention du jeune homme qui commençait à comprendre ce que voulait dire « prendre son temps ». Léger soupir lorsque son lobe fut atteint, et légèrement mordu. La température commençait à lentement monter, tout comme leurs envies respectives, et la prochaine étape allait commencer, bientôt.
Elle lui massait toujours la nuque, puis de sa deuxième main le dos, le bas du dos, le flanc droit, et pus il l’embrassa, baiser auquel elle répondit favorablement, avec douceur, le rendant langoureux, avant d’écarter à peine ses lèvres pour en laisser une langue aventureuse s’échapper, partant à la recherche de celle de son élève.
Elle frottait son bas-ventre avec un peu plus d’insistance sur le sexe bandé du gamin, tout comme son corps ondulait à peine contre le sien, le sien qui se retrouva entièrement libéré de tout lien par la même occasion…
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Lorsque la langue de sa belle enseignante se joignit à la sienne, il sut qu’il venait d’avancer d’un pas dans la bonne direction. Il appréciât énormément ce baiser, qu’il avait d’abord craignit manquer par son manque d’expérience. Elle commença à onduler agréablement contre lui, frottant son bas-ventre contre son sexe et réchauffant davantage le feu de son corps. Les liens qui retenaient les chevilles et le ventre de Kamui se volatilisèrent, rendant la liberté de celui-ci. Leurs lèvres se décollèrent un moment, leurs langues toujours liées par un fil de salive, le moment de reprendre un peu leur souffle puis il l’embrassa une nouvelle fois, glissant sa main droite derrière la tête de sa maîtresse. Kamui savait qu’il devait rester doux et attentionné, et donc, il ne s’avança pas sur des terrains dangereux.
Kamui avait complètement oublié son propre désir, ce qu’il l’intéressait, c’était les agréables soupirs de la demoiselle. Ses envies de petit puceau s’étaient calmées et même tues, le laissant chercher à satisfaire ceux de Nimelya, plus exigeants, mais de meilleures qualités. Il avait enregistré dans sa petite tête tout ce qu’elle lui avait enseigné et il avait bien l’intention de s’en servir pour lui donner du plaisir.
Ses mains descendirent doucement vers les hanches. Sa main droite quitta la tête de Nimelya, caressant au passage son cou, le haut de son buste, son flanc gauche avant d'aller retrouver la douceur et la perfection de sa hanche gauche, tandis que son autre main, plus directe, descendait tout simplement le long du dos avant de faire de même avec la hanche droite. Il la serrait un peu contre lui sans briser son baiser sur les lèvres chaudes et mouillées de sa belle partenaire. Sa langue continuait de caresser la sienne, toujours plus tendre, toujours plus adroit. Les sensations que la dame éveillait dans le jeune homme étaient tout simplement délicieuses, tout comme elle l'était elle-même. Ses baisers se faisaient plus insistants, mais il n'était plus vraiment pressé. Il voulait en profiter et qu'elle en profite tout autant, sinon plus, que lui.
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Certes le baiser était tout sauf parfait, mais c’était normal, et puis… il n’avait qu’à recopier mes gestes, et tout se passerai bien pour lui, d’ailleurs, c’est ce qu’il a fait, puis il a répondu de sa langue à mon « invitation », un peu gauche d’abord, mais vite agréable, jusqu’à ce qu’il le rompe lui-même…
Nouveau baiser, plus fougueux, et nous avions tous les deux une main sur la nuque de l’autre, et puis je sentis ses mains longer mes hanches, en passant par bien des endroits de sa main gauche, hmm délicieux frissons, il faisait bien mieux qu’avant, à tel point qu’il délaissait complètement mes seins.
Il allait en s’améliorant et c’était le moment de passer plus loin, je le lui signalais en mordillant à peine sa langue, puis dès qu’il la rétractât, sous l’effet de la surprise, ce fut au tour de sa lèvre inférieure de subir le même sort, puis, j’ai mis un terme à ce baiser, avant de plonger mes douces lèvres sur se joue… son oreille droite… petite morsure douce sur le lobe… baiser sur la joue… dans le cou… puis d’autres en direction de l’épaule, puis ma langue est revenue à son cou… sa joue… et je les ai approchées, mes lèvres, de son oreille… et lui ai susurré quelques mots…
- Tu as le droit de devenir « plus entreprenant » maintenant…
J’ai choisi une voix douce, ça oui, mais emplie de désir, d’envie, et sensuelle… à lui de se débrouiller, je lui mordillais encore le lobe un instant, puis laissais un petit soupir au creux de son oreille…
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La flamme torride du désir dans le corps de Kamui ne pouvait, ou presque, être plus intense. Après qu'elle eut brisé son baiser, Nimelya commença à l'embrasser et à le mordre légèrement ici et là, lui arrachant des soupirs de plaisir. Elle lui donna la permission d'être plus entreprenant, ce qui, dans la tête de Kamui, voulait dire qu'il devait trouver une autre manière de donner du plaisir à sa maîtresse, une manière qu'il saurait exécuter à la perfection. Doucement, il la fit reculer vers un pupitre, l'y renversant lentement pour ne pas qu'elle se fasse mal ou qu'elle soit prise d'inconfort. Il prit place devant elle, entre ses cuisses, mais il n'avait pas l'intention d'aller aussi loin aussi vite. Premièrement, ce serait insatisfaisant et deuxièmement, il se retrouverait certainement au sol, attaché de partout par des liens sortis du néant. Il se pencha doucement vers elle pour qu'elle sente sa chaleur, à quel point il était brulant de désir pour elle, et seulement que pour elle.
Il l'embrassa doucement dans le cou. Sa main gauche quittait sa hanche pour se diriger vers sa cuisse droite, la découvrant aussi douce que le reste, mais infiniment plus agréable à caresser. Il mordilla doucement à son tour le lobe de l'oreille droite de la dame, puis il descendit sur son cou, le haut de son buste, remontant vers sa gorge. En même temps, il dirigea sa main droite vers le sein gauche de la demoiselle et le pétrit tendrement, sans cesser ses petits baisers. Il n'alla pas tout de suite s'occuper de la vulve de sa maîtresse. Elle avait dit entreprenant, mais il doutait que ça incluait la vitesse. Dans la petite tête de l'élève, si elle aurait voulu qu'il caresse son intimité, elle aurait fait un second sous-entendu.
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La nymphe lui avait donné le feu vert pour la suite, et était presque persuadée que son jeune amant, puceau, rappelons-le, se souviendrai à merveille de ce qu’il avait subi, et ne voudrai pour rien au monde retenter l’expérience… et elle ne s’était pas trompée. Il l’avait poussée sans la brusquer, puis allongée sur l’un de ces bancs d’élèves, qui la fit frissonner, et se cambrer légèrement, tant la froideur du bois était une surprise qui ne durerai pas.
Il prit place entre les cuisses de Nimelya, qu’elle écarta pour lui faciliter l’accès, et se pencha sur elle, partageant sa chaleur à la sienne, alors que sa cambrure diminuait lentement. Elle ne sentit pas que sa chaleur non plus, la verge du puceau était toujours aussi dure, probablement qu’il ne tarderait pas à sentir dans cette région des douleurs que l’enseignante se devra alors de calmer…
Caresses sur la hanche puis la cuisse, un vrai délice, mordillement, le cou, la gorge, un sein était lui aussi pris d’assaut, avec cette délicatesse qui persistait encore…
La nymphe se recula un peu sur le pupitre, pour pouvoir prendre appui de ses pieds sur les bords de la table, et relever lentement, mais régulièrement, son bassin contre celui de l’adolescent, tout en lui donnant plus de places pour qu’il continue de caresser sa cuisse… Et ses mains, elles, s’étaient déposées dans le dos de Meisa, la droite descendit lentement sur sa fesse gauche, la malaxant lentement, tandis que la gauche, elle, caressait son dos, et son flanc droit, lentement, parfois avec les ongles…
Le jeune homme pouvait sentir une légère humidité commencer à émerger de son vagin, une très légère humidité qui allait sans aucun doute augmenter s’il continuait dans cette voie là. Soupirs et gémissements faisaient également parie intégrante de la scène qui se jouait dans cette pièce vide, alors que la nuit avançait lentement, au dehors…
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Le jeune humain sentait maintenant le bassin de la dame contre le sien, l'excitant davantage. Il retint cependant une nouvelle vague de désir qui le submergeait encore une fois. Son sexe était douloureux, mais ce n'était pas une douleur insupportable. Un peu d'inconfort n'était rien comparé aux délicieuses caresses que l'enseignant lui accordait. La main dans son dos le faisait toujours frissonner lorsqu'elle revenait sur son flanc, le caressant du bout des ongles, lui arrachant davantage de frissons.
Dans son esprit, il cherchait toujours à comprendre. Qui était-elle? Il n'avait jamais vu de femmes aussi belles, aussi parfaites qu'elle. À coté d'elle, les top models de la ville semblaient égales aux autres. Il suffisait d'être près d'elle pour savoir qu'elle est là, sans même la regarder, comme si elle était un soleil vivant. Sa peau était d'une douceur si sublime que Kamui aurait souhaité la caresser jusqu'à la fin des temps. Sous ses lèvres, sous ses mains tout comme contre lui, il n'arrivait pas à s'empêcher de la toucher, désormais. Les mains de la belle sur sa chair le faisait sans cesse frissonner. Pourquoi? Cette question ne cessait de lui trotter dans la tête. Il se la posait à tout moment.
Malgré ses réflexions, il ne semblait pas songeur, loin de là. Il semblait totalement absorbé par elle et uniquement par elle. Il chassa ses pensées de sa tête pour ne se concentrer que sur sa maîtresse, sa Reine, lui accordant à nouveau toute son attention.
Il n'y avait plus aucun son dehors, excepté un léger bruit de vent. L'obscurité de la nuit, plutôt rassurante pour l'occasion, envahissait graduellement la salle de cours. Dans un certain sens, Kamui en était satisfait, car il n'y avait plus aucun risque qu'ils ne se fassent déranger par qui que ce soit, puisqu'aujourd'hui, les concierges rentraient tôt et nettoyaient les classes que le lendemain, tard dans la journée.
En caressant la cuisse de son amante, Kamui remarqua dans la partie intérieure supérieure de la cuisse une légère humidité qui lui fit un grand plaisir. Cela signifiait que le corps de sa belle maîtresse appréciait ses caresses et il en était très content. Il ne s'aventura cependant pas en cet endroit pour le moment... du moins, pas maintenant. Si ses caresses parvenait à ce résultat, il était hors de question qu'il cesse ses traitements, au contraire, il les chercha à les rendre encore plus passionnés et tendres.
Ses lèvres embrassaient avec une infinie tendresse chaque partie à sa portée du buste de sa maîtresse, insistant sur le cou, qui semblait faire partie des parties les plus sensibles de celle-ci. Sa main sur le sein gauche de sa partenaire malaxait celui-ci avec douceur, s'attaquant également à son mamelon. Sa main gauche caressait maintenant la fesse droite de la demoiselle, caressant ensuite celle-ci en dessous de la cuisse, ne s'arrêtant qu'en atteignant l'articulation du genou avant de remonter sur le coté pour aller caresser le flanc de sa belle, traitement auquel elle avait montré de l'appréciation auparavant.
Si elle le désirait, il s'attaquerait à son intimité, mais il n'était pas pressé. En fait, il avait tout son temps. Il cherchait surtout à découvrir et à s'assurer des points sensibles de la demoiselle. Il l'embrassa une nouvelle fois sur les lèvres puis descendit doucement sur son cou, continuant ses baisers. Il ne s'arrêta pas là, il descendit encore plus bas, bécotant ensuite entre les seins de Nimelya puis s'attaqua à son ventre. Il n'avait pas sinon peu caresser cette partie du corps de sa maîtresse et il comptait bien se rattraper. Il parsema cette étendue de chair de tendres baisers. Il descendrait plus bas lorsque sa belle enseignante l'y invitera.
[Désolé si ce n'était pas vraiment ce que tu voulais par "dans cette voie là" Ce n'était pas très clair ^^]
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Nimelya était toute occupée à Meisa, ne pensant à plus rien d’autre sinon au plaisir qu’ils risquaient d’enfin pouvoir échanger, maintenant que tout avait été lancé, après quelques mésaventures qui n’existaient déjà plus vraiment dans son esprit. Esprit qui d’ailleurs s’échauffait, tout come l’entier de son corps, sous les caresses nouvelles, ou non, dont elle était la proie, et une proie consentante…
Lui qui voulut s’occuper d’elle était sans aucun doute comblé, car il est vrai qu’en dehors de soupirs, gémissements devenant plus fréquents, et quelques maigres caresses, pour le moment, la nymphe était relativement peu active. Elle savait la fenêtre ouverte, sans doute que des personnes passaient encore, rarement, dans le préau, mais ce n’est pas ça qui allait l’empêcher, bientôt, tout bientôt, de crier son plaisir si son maladroit de puceau continuait de s’améliorer comme il le faisait depuis qu’il avait été puni.
Cuisse, buste, sein, mamelon entièrement dressé, cou, fesse, baiser partagé, les langues se mêlant à peine un court instant, puis d’autres baisers dans son cou, le ventre, et tout était un délice, tant les caresses étaient diversifiées, souvent doublées, et le collé ne pouvait ne pas le savoir, à l’humidité qui avait encore grandi.
Comme pour l’inviter à aller plus loin, Nimelya qui continuait ses caresser la fesse, le dos, les cheveux, les flancs, en alternance, de son élève, finit par simplement lui souffler en un murmure empli de ce désir montant…
- Continue… tu es sur une excellente voie…
Et elle pencha la tête en arrière, se permettant de fermer ses yeux, et de simplement se laisser aller aux sensations qu’elle éprouvait, sans pour autant cesser les caresses de ses mains délicates, ou du bout de ses ongles, qu’elle offrait généreusement au lycéen à la fois par envie, mais surtout pour le rassurer, et lui indiquer qu’il était vraiment très très bien parti, lors de ce « second départ ».
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Elle voulait qu'il continue. Elle semblait vraiment apprécier les caresses du jeune homme. Ses gémissements se faisaient plus fréquents et il adorait ça. Il était satisfait de son travail, car il commençait à donner plus de plaisir à son enseignante. Ses lèvres quittèrent le ventre de sa belle maîtresse pour descendre sur sa cuisse droite, y posant d'autres doux baisers. Il regarda un moment l'intimité de son enseignante, duquel s'écoulait un peu de liquide. Il leva les yeux vers elle et lui sourit avec douceur. Il continua cependant à embrasser l'intérieur de la cuisse, détournant son regard du sexe de son amante.
- Vous êtes si belle, maîtresse. Murmura-t-il, en partie pour lui-même.
Il se leva pour mieux se pencher à nouveau sur elle, recommençant à l'embrasser sur les lèvres. Il glissa doucement sa main derrière la nuque de sa Reine pour la garder contre lui. Il aimait tellement le gout de ses lèvres, mais il avait envie de goûter son intimité. Les commentaires qu'il avait entendu des autres types de sa classe disaient que ça avait un goût particulier, mais après avoir gouté à sa propre semence, pratiquement plus rien ne lui semblait répugnant. Sa main remonta doucement la cuisse de sa maîtresse. Ses lèvres quittèrent celles de cette dernière puis il s'approcha de son oreille et en mordilla le lobe. Son bras droit l'enlaça doucement, serrant leur deux corps l'un contre l'autre, désirant sentir la chaleur de Nimelya, comme pour ce convaincre que tout ça était bien réel. Sa main gauche continuait de la caresser, de découvrir la perfection de sa cuisse droite, remontant légèrement pour aller masser la fesse. Il décida d'aller s'occuper un peu de la généreuse poitrine de son amante de ses lèvres. Il lécha doucement le mamelon droit, le tétant et le mordillant parfois, sentant la petite pointe se dresser sous sa langue. Le tout dans un soin et une attention toute neuve.
- Si vous avez un désir, ma douce maîtresse, permettez-moi de le réaliser... tous vos désirs. Susurra-t-il de sa voix pleine d'envie.
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Délicieux baisers que ceux qu’elle recevait sur sa cuisse, il y était presque, il aurait pu en quelques baisers atteindre son intimité qui s’humidifiait lentement, mais sûrement, toujours un petit peu plus. Partage d’un regard, très bref, et il revint à sa première occupation, nouveau frissons, envie toujours plus présente…
Il la complimenta, et la nymphe prit les mots qui lui furent destinés dans leurs deux sens, et en sourit un peu plus, durant un court instant. En effet, un court instant car à nouveau leurs lèvres se rejoignirent, et elle aussi remonta une main contre sa nuque, partageant avec une douce fougue ce baiser. Frissons, encore… et toujours… alors que Meisa laissait glisser une main le long de la peau veloutée de Nimelya, sur sa cuisse…
Léger cri, alors qu’on lui mordît le lobe de l’oreille, ils étaient ensuite enlacés, alors qu’allongés, l’une sous l’un, et la belle brune était tout aussi chaude que son puceau du moment, qui ne le serai probablement plus pour très longtemps, par ailleurs. La fesse, ses seins étaient à nouveau devenus une attraction sur laquelle on se déposait avec envie, mais comme si l’on pouvait savoir la chance que l’on avait d’y être, on en profitait, sans en abuser, puis une fois son sommet atteint, un gémissement, encore un, et l’on savait que la descente, tout comme le final, allaient bientôt arriver…
Question on ne peut plus simple, mais la maîtresse ne l’était plus vraiment, plus encline à recevoir du plaisir qu’à autre chose en ce moment même, et sa seule réponse fut…
- Goute-moi, tu en as tellement envie… goute à ce fruit que tu désires tant, mais garde ton attitude, elle est très plaisante…
De son côté, la nympho-nymphe continuaient de caresser les flancs, les fesses, les cheveux, de son amant, dans des gestes gracieux, légers, lents, parfois du bout des ongles, parfois bien plus fermement de sa main, et elle allait bientôt ne plus rien pouvoir lui offrir… mais c’est ce qu’il voulait, alors pour s’emplir de remords inutiles ?...
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Kamui adorait les gémissements de sa belle maîtresse. Il sentait son corps bouillir contre le sien, ses frissons de plaisir qui parcourait sa peau sous ses lèvres pendant qu'il l'embrassait, quittant son mamelon dressé. Puis elle lui accorda enfin la permission qu'il attendait depuis un moment, la permission de goûter son jardin interdit, il sourit pendant une fraction de seconde, heureux, mais ne cessait aucunement ses baisers, frissonnant sous ses caresses partout sur son coeur. Elle lui avait clairement dit qu'elle voulait qu'il garde son attitude. Soumis comme jamais à sa belle Reine, Kamui obéit encore une fois à ses ordres. Il remonta légèrement vers la partie supérieure de son buste, embrassant chaque parcelle de peau sur son passage et redescendit encore une fois. Ses mains allèrent se positionner sur les flancs de sa belle Reine et commencèrent à les caresser doucement en même temps que Kamui s'approchaient de l'intimité humide de son amante. Il l'embrassa entre les seins, passant sur le plexus, le ventre puis le pubis avant de trouver l'organe reproducteur. Avec beaucoup de tendresse, il lécha le liquide lubrifiant qui s'en échappait et trouva le goût de celui-ci beaucoup moins désagréable que celui de la semence. En fait, il alla même jusqu'à trouver ce goût "Plaisant".
Lorsque le surplus de liquide fut avalé, il posa doucement ses lèvres sur celles, beaucoup plus intimes, de son enseignante. Sa langue lécha celles-ci, se frayant doucement un passage entre elles. Il explora doucement l'intérieur, caressant doucement les parois du vagin avant d'aller retrouver son clitoris, qui lui avait auparavant valu une belle petite gifle. Il lécha doucement la petite perle d'amour de sa maîtresse, sachant que cet organe était très sensibles aux caresses. Il ne savait pas si sa technique était au point, mais il faisait de son mieux, comptant sur les conseils de son professeur pour le réorienter sur la bonne voie.
Ses mains, caressaient doucement le corps de son enseignante, brulantes, cherchant sans cesse à lui fait du bien pendant que le jeune homme s'affairait plus bas. Les mains du jeune humain caressaient maintenant ses cuisses et remontaient dans son en massant la peau sous elles avec tendresse.
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Quelques soupirs s’échappaient, alors que la nymphe sentit le corps de son apprenti descendre et la fuir, elle ne pourrai bientôt plus rien faire lui faire. Elle était toujours allongée sur ce pupitre, les jambes ouvertes et repliées, les pieds reposant sur le rebord du banc. Ca faisait un certain temps maintenant qu’elle était à un tel point offerte, dans une posture plus qu’indécente, et son puceau d’amant n’allait qu’enfin arriver sur son intimité, caressant ses flancs, la recouvrant dans sa lente descente d’exquis baisers.
Enfin, il y était arrivé, mais pas encore il s’y était jeté, se contentant de lécher la cyprine de trop qui s’était échappée d’entre ses lèvres. Se redressant à peine, se retenant sur ses coudes, Nimelya regardait son élève la lécher, alors qu’elle recommençât à gémir. Nouveau gémissement imperceptiblement plus fort, plus aigu, lorsque cette langue s’engouffra entre ses lèvres. Il « l’embrassait » carrément, et elle adorait ça, lançant sa tête en arrière, les yeux clos, se contentant d’attendre la suite, expulsant quelques nouveau soupirs. Il n’était de loin pas parfait, mais ce corps moins nécessiteux d’expertise était aux anges, et serai bientôt comblé, à n’en plus douter.
Le puceau n’était pas des plus efficace, mais sa maladresse ne gâchait rien, à tel point qu’un nouveau cri retentit lorsqu’il la lécha pour la première fois. Elle n’avait pas de nouveau conseil à lui offrir, après tout, elle lui avait déjà tout dit… douceur, pas de précipitation, et écoute de la partenaire et de son corps, et les caresses des mains du jeune homme accompagnant sa bouche provoquaient bien des réactions de plaisir, tant au corps de Nimelya qui propulsait légèrement son bassin à la rencontre de cette bouche qui « l’embrassait », tant de part sa posture plus qu’éloquente, que les soupirs, gémissements, légers cris qu’elle échappait, que de la légère sueur qui la rendait quelque peu brillante, que tout… elle était prête à la suite, mais si l’attente la ravissait, encore un peu, encore… elle languissait, dans l’attente de la suite qui risquait d’être bien trop courte…
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Kamui entendait très bien les cris de son amante et ça lui faisait plaisir de savoir qu'elle appréciait son cunnilingus malgré qu'il ne soit pas expérimenté dans ce domaine, ni dans les autres, d'ailleurs. Il était un peu maladroit, mais cette maladresse semblait ne pas déranger son amante, qui poussait légèrement son intimidé contre la bouche de son élève, prouvant qu'elle en tirait beaucoup de satisfaction. La mouille, pour son plus grand plaisir, quittait encore plus rapidement le vagin et Kamui continua son "baiser", se délectant du nectar de la jeune femme, léchant avec avidité ce liquide. Il se rendit compte qu'il adorait le goût de sa maîtresse. Il avala sans peine et même avec plaisir la cyprine. Sachant qu'il ne pouvait rien contre l'écoulement, il alla sucer le clitoris de la demoiselle, le mordillant parfois, cherchant encore à donner plus de plaisir, laissant l'organe se remplir de sang. Lorsqu'il fut satisfait de la quantité de mouille qui quittait le vagin, il recula doucement pour regarder sa maîtresse. Il souriait, léchant le peu de cyprine qui coulait sur le bord de ses lèvres. Il remonta vers le visage de sa maîtresse pour embrasser ses douces lèvres, serrant leur deux corps l'un contre l'autre. Il savait que le moment ultime approchait, mais il n'attendait que son signal. Il malaxa doucement le sein droit de Nimelya de la main droite. Son autre main monta vers le visage de son amante pour lui caresser la joue, rendant par la suite le baiser encore plus passionné. Il avait peine à se contenir d'entrer en elle, mais c'était à elle de décider si elle était prête à avancer à cette dernière case. Il n'attendait que sa demande.
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Elle aimait être ainsi bue, et aurait pu l’être durant des heures, jouissant à de nombreuses reprises, mais il sembla que son jeune puceau d’élève collé en ait décidé autrement, et qu’il remonta pour venir l’embrasser, partageant avec elle le goût divin, car c’était le mot, une nymphe étant une entité divine, dans un baiser qu’elle lui rendit, l’enlaçant assez vivement, ainsi chauffée, et à nouveau caressée. De nouveaux gémissements s’émanaient de Nimelya, tous étouffés par le baiser qui durait, encore et encore, puis vint le moment, enfin, de lui faire perdre ce statut de puceau, car il l’avait mérité, après un départ manqué.
Ainsi, utilisant sa main droite pour caresser sur un bout les cheveux de Meisa, puis laissant ensuite sa main glisser le long de la hanche de se dernier, elle finit par glisser sa main entre leurs corps, pour se saisir de la verge turgescente, et sans aucun doute devenue douloureuse, de l’adolescent. Elle fit quelques va-et-vient, aidée par le garçon qui s’était élevé pour lui faciliter la prise, et les quelques mouvements, puis, excitée plus qu’assez, elle guida le phallus vers sa vulve chaude et humide, et le présentant à l’entrée, elle souffla à l’oreille, après avoir rompu le baiser :
- Sois doux… et n’y va pas trop vite, je voudrais que tu tiennes plus de 17 secondes…
De loin pas moqueuse, elle voulait juste elle aussi pouvoir jouir, même si pour cela il devait la caresser et l’embrasser à bien des endroits, en plus de la simple pénétration qui ne suffirai probablement pas, au vu des sensations inouïes procurées par un vagin étroit, chaud, humide, contre un gland bien trop sensible face à autant de sensations nouvelles.
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Nimelya semblait aussi prête que lui. Kamui aurait volontiers continué ses traitements sur le jardin interdit de son amante, mais seulement, le désir de la jeune femme voulait, tout comme le sien, passer à la prochaine et ultime étape. Elle prit doucement sa virilité en main, y faisant quelques va-et-vient. Pour lui donner un petit coup de pouce, il s'éleva un peu. Après quelques mouvements, elle guida sa verge contre la vulve toute prête et accueillante. Elle rompit son baiser puis chuchota à son oreille d'être doux et d'éviter l'empressement. Il comprenait parfaitement qu'elle voulait aussi atteindre l'orgasme. Kamui l'embrassa doucement sur les lèvres, lui laissant savoir qu'il ferait de gros efforts pour ne jouir que lorsqu'elle l'aura fait avant lui, puis laissa sa verge entrer lentement dans l'intimité de la belle demoiselle, guidé par la main de celle-ci. Évidemment, il n'entra pas d'un coup. Il laissa la vulve accueillir lentement son gland, très sensible à cette nouvelle expérience. Ce fut simple, puisque l'entrée était déjà très bien lubrifiée. Son sexe glissait pratiquement tout seul. Il recula un peu puis s'enfonça légèrement plus, répéta doucement et graduellement l'opération, habituant peu à peu le vagin à son sexe. Il n'était pas pressé, il devait être doux et patient. Il n'y avait rien qui pressait, il n'était qu'onze heure du soir, ils avaient tout leur temps devant eux et le jeune homme comptait bien en profiter et d'en faire profiter sa toute première amante. Les va-et-vient se faisait a une bonne vitesse et sa verge s'enfonçait toujours plus profondément.
Kamui, sans cesser ses mouvements, embrassa doucement le cou de son amante, caressant sa poitrine d'une main, l'autre, sur la hanche de la demoiselle, s'affairait plutôt à l'empêcher celle-ci de glisser sur la sueur ayant mouillé le pupitre, ce qui aurait lamentablement gâché le reste de la soirée si elle tombait. Le jeune homme restait très concentré pour éviter toute gaffe, embrassant chaque parcelle du cou de sa belle. Les mouvements de ses reins ne s'accéléraient pas encore. Kamui surveillait les gémissements de son amante, sentant que, lentement mais surement, sa verge entrait encore plus profondément en elle. Lorsqu'elle y fut au complet, Kamui commença un rythme plus rapide de va-et-vient, mais il ne cherchait pas à aller trop vite. Il voulait que ce plaisir dure plus longtemps et il avait bien l'intention de faire un peu languir Nimelya, lui procurant ses caresses toujours plus douces et expertes que les minutes précédentes.
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Elle avait hâte de le sentir en elle, au plus profond d’elle, et de pouvoir commencer à jouer de ses muscles vaginaux, qui procureraient sans doute aucun un certain plaisir à son amant de l’instant, celui qui en ce moment même, tentant une pénétration ralentie par des retours réguliers, perdait son statut de puceau, et s’y prenait de la meilleure des manières à en croire les gémissements de plaisir qu’elle laissait s’échapper, encore et encore, puis qui s’étouffèrent dès qu’un nouveau baiser survînt.
Puis de nouveaux baisers dans le cou, caresses de sa poitrine, puis enfin il fut tout au fond d’elle, de sa grotte chaude, humide, qui n’attendait plus qu’un nouveau jet de sperme pour tarir un feu devenu intense en elle, et qu’il l’emporte dans la jouissance elle aussi. Les pieds de la nymphe quittèrent enfin le pupitre, alors que, les va-et-vient commençant, elle enlaça la taille de son jeune mâle de ses jambes, rythmant la pénétration à sa convenance à elle, tout en gémissant encore, et encore, sou ce plaisir dont elle se délectait.
Il la gratifiait de nombreuses caresses, toute meilleures les unes que les autres, et ne voulant pas le laisser en reste, elle se remit à caresser son dos, sa chevelure sombre, ses flancs, ses fesses, et sentant bien qu’il prenait un malin plaisir à garder un rythme trop lent pour juste s’empêcher de jouir trop précipitamment, la sublimissime Nimelya se mit à contracter ses muscles autour de cette verge qui allait et venait en elle, sachant parfaitement que si il persévérait dans sa lenteur exagérée, il risquerait d’atteindre l’orgasme bien avant elle, elle qui lui adressa un regard, ainsi qu’un petit sourire presque sadiques, sachant pertinemment que là encore, elle avait le dessus…
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Kamui avait eut tort de croire qu'il pourrait être dominant avec elle. Il sourit brisant le baiser, il ne pourrait jamais inverser les rôles entre eux, c'était elle la patronne et c'était bien ainsi. Comprenant à son regard qu'elle ne risquait pas de jouir en même temps que lui s'il continuait à cette vitesse, il accéléra ses mouvements de va-et-vient, prenant un rythme encore plus rapide. Il sentit les jambes de la belle maîtresse entourer sa taille. Il sentait très bien les muscles contracté sur son pénis et il ne trouvait la pénétration que plus agréable. Le rythme rapide de la pénétration excitait énormément sa verge, déjà très dure au départ. Il était conscient qu'il serait certainement puni s'il jouissait trop tôt, il se retenait donc du mieux qu'il pouvait. Les va-et-vient se faisait toujours un peu plus rapide à chaque minute. Kamui ne savait pas si le temps s'était arrêté, tout ce qu'il voyait, c'était les yeux hypnotiques de son enseignant, desquels il n'arrivait pas à détacher le regard. Pour briser ce contact visuel, il se pencha sur elle et l'embrassa dans le cou, remontant vers le lobe de son oreille qu'il mordilla avant de couvrir l'étendue entre celui-ci et son épaule droite de baisers, y faisant parfois de petits suçons.
Ses grandes mains caressaient maintenant la peau parfaite des cuisses de son amante, remontant ensuite vers ses hanches. Il commença non seulement un rythme rapide, mais un peu plus fort. Ses mains tenaient tendrement mais fermement les hanches, aidant ainsi Kamui à conserver son rythme toujours plus rapide. Il posa un baiser plein de tendresse sur les lèvres de Nimelya, fermant les yeux. La chaleur de leur corps qui ne faisaient maintenant qu'un était pratiquement à son paroxysme. Kamui suait tout comme son amant, ses cheveux collés sur son dos par l'humidité. il haletait légèrement, mais il supportait très bien l'effort. Il n'attendait que le cri de jouissance de son amante pour relâcher enfin la tension de son pénis, toujours douloureux tant il était dur.
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Il avait parfaitement compris le message, et avait aussitôt accéléré son coulissement, et pour l’aider à se retenir, les contractions vaginales cessèrent presque aussitôt, sous d’autres gémissements de plaisir. Puis vinrent d’autres frissons, alors que la belle nymphe était embrassée au cou, la joue, l’oreille, et surtout son lobe, puis un mordillement, qu’elle rendit aussitôt sur l’oreille qu’elle avait à portée, avant de la léchouiller.
Puis d’autres baisers se déposaient sur elle, des petits suçons, des caresses sur ses cuisses, ses hanches, avant de s’y arrêter pour y prendre prise, alors que le rythme de la pénétration s’accélérait encore. Haletants tous deux, recouverts de sueur, elle savait qu’il n’allait pas tarder à jouir, et qu’ils ne devraient pas avoir de temps pour une deuxième position, ou peut-être plus encore. Nouveau baiser, alors qu’il fermait les yeux, une erreur de débutant, qu’il allait payer, mais à vrai dire, elle ne fit que de rompre le baiser pour lui soupirer quelques mots…
- Laisse-toi aller l’insolent… sur moi si tu veux, mais pas en moi…
Et à peine les mots avaient été prononcés que les contractions du vagin de la belle enseignante reprirent, voulant amener l’adolescent à une jouissance qu’il avait méritée après tout ce qu’il lui avait offert en caresses. Elle n’était, elle, pas très loin du plaisir, mais elle voulait lui en apporter un petit peu plus, alors elle se forcerai à languir encore un peu, pour son plaisir à elle, qui ne sera que plus grand, après tout…
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Une partie de la personnalité de Kamui dont il venait de se rendre compte, c'est qu'il était horriblement tenace. Malgré la douleur de sa verge et les contractions du vagin de Nimelya sur celle-ci, il se refusait à se laisser aller, préférent encore souffrir un peu plutôt que de laisser sa maîtresse insatisfaite, et ca, c'était affreusement dur pour un puceau. Il continuait ses mouvements de va-et-vient, encore plus rapide, ses caresses toujours plus intenses sur le corps de rêve de sa maîtresse, ses baisers passionnés sur ses lèvres. C'était elle qui accéderait à l'orgasme la première, c'était ancré dans la tête du jeune homme, et il refusait de changer d'idée. Son regard gris devenait très dérieux lorsqu'il parla.
- Cette nuit, mon rôle est de vous combler, maîtresse. Si je dois me retenir encore un peu plus longtemps, pour vous, je le ferai. Ne vous inquiétez pas, je ne me laisserai pas aller en vous. Je ne tiens pas à vous mettre en colère.
Il reprit de plus belle. Une de ses mains retourna torturer la poitrine de sa première amante et ses lèvres embrassaient son cou avec une énergie renouvelée. Il savait qu'il n'allait pas tarder à jouir, mais il devait au moins essayer encore lui faire atteindre l'orgasme. Il était vraiment déterminé à ne pas décevoir la belle demoiselle. Il savait bien qu'il était rare pour un puceau de donner un orgasme à une femme qui avait de l'expérience, mais il n'avait rien à perdre à donner son maximum.
(HS: Ca serait pas très sympa, mais si tu préfère que ca se passe autrement, tu n'as qu'à me MP ^^)
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( Jouons-le comme ça, ça ne me gêne pas du tout. ^^ )
Effectivement, plus Meisa précisait ses caresses, augmentait son rythme, et surtout, lui dit clairement qu’il voulait la faire jouir, plus Nimelya s’approchait de l’orgasme qu’elle semblait vouloir retarder à en croire la demande qu’elle venait de faire.
Soupirs, gémissements et cris augmentaient encore en intensité, en fréquence, tout comme les halètements, les battements de son cœur, cette vague de chaleur mêlée à de nombreux frisson qui naissaient en elle : la sublime Nimelya n’allait pas tarder à jouir, et en souriant grandement, elle laissa un dernier cri s’échapper, alors qu’elle se cambrait, et que tous ses muscles eux-aussi se tendaient : la belle nymphe venait de jouir, enserrant de ses jambes crispées la taille de son élève pour ce cours du soir, lui empêchant bien involontairement de sortir de son antre chaud et humide, se resserrant encore plus autour de la verge qu’il accueillait, alors que la jouissance ce poursuivait, encore…
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Elle poussais des gémissements et des cris qui ne faisaient qu'augmenter l'ardeur du jeune homme. Ils haletaient ensemble, soupiraient ensemble et Kamui sentait qu'il ne tiendrait que quelques minutes tout au plus à ce rythme endiablé. C'était agréable de la sentir contre lui, mais il savait qu'elle ne tarderait pas à jouir et qu'elle serait probablement partie dans quelques minutes.
Cet orgasme prit un peu moins de temps qu'il l'aurait voulu. Nimelya laissa échapper un dernier cri et se cambra. Tous ses muscles se tendaient et Kamui le sentait très bien sur sa verge. Il n'avait cependant pas prévu qu'elle enserrerait sa taille malgré elle, l'empêchant de sortir. C'était déjà un effort de sortir d'elle, mais c'en était un encore plus fort si elle le retenait. Il fit un effort pratiquement surhumain pour sortir d'elle et éviter la catastrophe, car dès que son gland s'extirpa de l'intimité de la demoiselle, il jouit sur elle, relâchant l'horrible et douloureuse tension de sa virilité dans un râle profond. C'était fini, tout deux avait eu leur part de plaisir et ça lui arracha un sourire. Cela avait été très bon. Il avait très envie de le refaire, mais bon, quand faut s'arrêter, faut s'arrêter.
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La nymphe redescendit curieusement assez tôt de son petit nuage de plaisir, alors que Meisa lui, avait cet air de béatitude gravé sur le visage. Se détendant, allongée, les jambes dans le vide, elle était déjà à la recherche de la première punition qu’elle allait lui infliger. Elle était peut-être un peu dure, car oui, elle avait joui, et même bien joui, mais il lui avait désobéi, et c’était contraire à leur espèce de contrat…
De ce fait, elle lui offrit une gifle plus forte que ne l’avait été la première, et devant sa redescente rapide, et son incompréhension, elle se redressa, assise, encore haletante, sur le bord du pupitre, et regardait dans les yeux Meisa, avec un petit sourire quelque peu mystérieux, qui ne présageait rien de bon, mais rien de bien mauvais non plus… puis elle s’exprima après quelques secondes, d’une voix sensuelle, contrastant volontairement avec les mots choisis, afin d’embrouiller un peu plus le gamin au regard encore embué.
- Tu ne m’as pas comblée, sale insolent, si je te demande de te laisser aller, tu te laisses aller, et tu ne te refuses pas à m’offrir ton sperme. Ou peut-être est-ce que tu l’as fais délibérément pour pouvoir me nettoyer ?...
Elle souriait franchement, se demandant s’il allait s’exécuter ou non, mais elle avait déjà la suite en tête, qui ne différait pas vraiment, sauf peut-être dans l’esprit du jeune lycéen.
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[Bizarre, je crois pas qu'il ait commis une erreur, là]
Le jeune homme n'y comprenait plus rien. Il avait fait exactement ce que Nimelya lui avait demandé. il l'avait fait jouir et pourtant elle l'avait giflée, le faisant reculer sur la surprise. Il sentit sa joue lui bruler, mais aussi, il sentait une goutte de sang couler, elle l'avait légèrement entaillée. Elle lui dit qu'il ne l'avait pas comblée et qu'il lui avait refusé son sperme et pourtant, c'était elle-même qui lui avait dit de ne pas jouir en elle et c'est pour lui avoir obéi qu'il se faisait giflé? Kamui était blessé et triste d'avoir échoué. Elle lui fit un autre sous-entendu. Elle voulait qu'il la nettoie une nouvelle fois. Il essuya d'abord la goutte de sang qui avait quitté sa chair puis s'approcha à nouveau d'elle. Ses yeux étaient plein de regrets, il pensait avoir bien agit en quittant son intimité, obéissant à son ordre. Il s'agenouilla devant elle et lécha la semence, cachant une nouvelle fois son dégout pour l'horrible goût de celle-ci, qui avait prise place sur le ventre de la demoiselle. Puisqu'elle était assise, le sperme avait coulé le long de son corps. Il lécha donc en suivant la petite trace, descendant une nouvelle fois vers son intimité. Il n'osait cependant pas la toucher de ses mains, la croyant quand même fâchée. Il lécha doucement le sperme qui s'étendait sur la vulve de la demoiselle et caressait celle-ci, toujours mouillée, peut-être pour se faire pardonner de l'avoir déçue, il ne savait pas vraiment. Heureusement, le goût de la cyprine s'était mêlée à celle de la semence, la rendant un peu plus supportable. Encore une fois, il n'agissait pas pour son plaisir.
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( Quand Nimelya a soupiré ces quelques mots : « Laisse-toi aller l’insolent… sur moi si tu veux, mais pas en moi… », ce n’était pas forcément un choix que devait faire Meisa, comme tu dois t’en douter maintenant. Si ça te gêne, n’hésite pas à me MP. )
Il n’a pas vraiment hésité, et la belle Nimelya en souriait, appréciait les quelques caresses qu’il faisait de sa langue, tant sur son ventre, parfois très proche de son buste, et surtout sur sa vulve, mais en fin de descente encore, elle n’était pas encore trop réactive, et faisait tout pour ne pas l’être, en apparence en tout cas.
Ce qui était le plus amusant, c’était qu’il ne se rendait pas compte de son erreur, mais agissait tout de même pour se faire pardonner, effectuant parfaitement sa punition, un véritable futur petit esclave…
Enfin propre, la nymphe perdit un peu de son sourire, et, prenant avec une douce fermeté le menton de Meisa, elle le força à la regarder, avant de lui murmurer, très lentement :
- J’espère que tu seras encore capable de bander, si tu veux pouvoir me satisfaire.
A vrai dire, elle lui mettait là une certaine pression qu’il aurait eue dans tous les cas, et au vu de sa jeunesse, la belle brune savait qu’il banderait assez rapidement, à moins d’être déjà atteint d’impuissance, mais ça ne semblait pas être le cas.
- Assieds-toi sur le bureau d’en face.
A peine l’avait-elle dit, que la nymphe, elle, se redressa, et avança, poussant son élève, qui n’était plus puceau, vers le pupitre en question, avec un certaine sourire arrogant sur le visage, et un regard plutôt lubrique…
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(Nan, ca va, je fais avec ^^)
Kamui ne cessa pas de nettoyer sa belle enseignante avant que celle-ci lui relève le menton pour qu'il la regarde. Il s'attendait à une autre gifle mais elle murmura lentement qu'elle espérait qu'il pourrait bander s'il voulait la satisfaire. Elle lui dit de s'asseoir sur le bureau d'en face. Il se leva en même temps qu'elle puis elle avança, obligeant le jeune homme à reculer pour conserver son équilibre. Il s'assit sur le bureau, se demandant ce qu'elle avait en tête, exactement. Il en avait une petite idée, mais comme la demoiselle pouvait réagir tout à fait différemment à ce qu'il pourrait suspecter, il essayait de trouver autre chose.
(Dsl, rep courte)
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( Pas grave. =) )
A elle de se retrouver entre les jambes pendantes de Meisa, cette fois-ci. La belle conservait ce sourire quelque peu mystérieux, ni inquiétant, ni rassurant, mais elle avait clairement, à la lubricité de son regard, une idée en tête…
Elle se pencha sur son élève, lui prenant les bras, alors qu’elle déposait quelques baisers sur son torse, remontant à son cou, en délicats baisers. Elle écarta ses bras, les laissant pendre tout comme les jambes au bas du pupitre, puis, aussi prévisible que ce fusse, les étranges liens apparus plus tôt refirent leur apparition, liant les deux mains du jeune homme, ensemble, sous le pupitre… et les chevilles furent reliées chacune a un pied de la table, et comme si cela ne suffisait pas, un dernier lien vient à nouveau enserrer son ventre.
Puis, effleurant ses lèvres à celle du jeune homme, elle lui fit un petit clin d’œil avant de se retirer, et, faisant fi de sa nudité, elle sortit simplement de la pièce, refermant la porte derrière elle…
( C’est pas fini, je te rassure. )
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(Si ça aurait été le cas, ça serait trop chiant et tordant XD)
Kamui s'était fait avoir comme le pire des idiots. Nimelya l'avait bien eu. Elle lui avait prit les bras, les écartant en l'embrassant sur le torse et dans le cou, le faisant frissonner. Elle les plaça de chaque coté du pupitre puis Kamui reconnut la très mauvaise sensation d'être attaché. Ses yeux se remplirent de déception. Elle était loin de vouloir lui pardonner. Ses chevilles étaient une nouvelle fois attaché aux pattes du meuble et un autre lien vint se lier à son ventre. Il ne se débattit même pas, comme s'il sentait qu'il méritait cette punition. Elle effleura ses lèvres d'un baiser puis s'éloigna, faisant un peu paniquer le jeune homme. C'était une farce, elle n'allait quand même pas le laisser là! Il s'agita, essayant de rompre les liens, pratiquement furieux de s'être laissé faire. Il se débattait avec colère, c'était hors de question qu'il reste ainsi toute la nuit! Puis, il abandonna. À quoi bon se débattre, il ne pourrait pas rompre les liens. Il resta comme ça, s'attendant à se faire retrouver le lendemain matin par les élèves de sa classe et de devenir la risée du collège. Il n'aurait plus qu'à déménager sur Terra et s'y terrer dans un trou à rats pour ne plus jamais voir qui que ce soit et retomber dans un piège aussi bête. Il serra les poings, amer. Allait-elle vraiment le laisser comme ça? Le laisserait-elle subir cette humiliation? Oui, peut-être. Restait à savoir si c'était ce qui allait se produire. Il se doutait que la jeune femme venait de partir, puisque la porte s'était refermée. Il ferma les yeux. Quelle poisse.
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La nymphe s’était adossée au mur qui faisait face à la porte de la salle, et à vrai dire, elle devait se retenir de rire, et elle était plus que partagée entre ses envies…
La première, quelque peu sadique, qui aurait simplement consisté à ce qu’elle s’en aille, le laissant dans son inconfortable posture pour la nuit, et surtout, pour le lendemain matin. Elle avait du mal à se retenir de rire à l’idée de la situation. Et elle était tout à fait capable d’agir de la sorte, elle avait déjà fait bien pire par le passé, et elle se délectait vraiment de sa position de force suprême…
La seconde serait sans doute cette que non pas Namya aurait prise, mais celle de Nimelya, la gentille étudiante, qui n’était qu’une prof, certes, dans une matière plus que spéciale, mais elle aimait bien faire son travail, c’était la moindre des choses après tout… et là, au moins, il aurait eu tout le temps de cogiter à sa situation, et serai sans doute un élève modèle dans sa matière.
Ainsi, après une longue demi-heure de nudité dans ce couloir, et d’intense solitude pour Meisa, elle déposa une main ferme sur la poignée, et poussa la porte, restant à l’extérieur de longues, très longues secondes, se délectant de la réaction du lycéen, avant d’enfin, seulement enfin, apparaître, et rester silencieuse, dans l’embrasure de la porte…
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Kamui avait les poignets et les chevilles en sang tant il s'était débattu. Il n'avait pas mal, puisque de toute façon, ses blessures se refermaient immédiatement, le privant de cette douleur. Assis sur le bureau, silencieux, il regardait tranquillement le sol. Il entendit la porte de la classe s'ouvrir et aperçut le regard de la belle dame. Il baissa les yeux, se sentant idiot devant elle. Oui, il avait l'air idiot. Il était attaché une nouvelle fois sur un meuble, comme si il avait attendu une séance de sado-masochisme et qu'il s'était fait complètement planté, par des cordes sorties de nulles par et il celles-ci était pleine de sang séché. Il releva la tête.
- Je vous dois certainement des excuses, maîtresse.
Il faisait le lien entre sa punition et le fait qu'il avait rompu sa promesse de la combler. Il ne savait pas si elle le laisserait se rattraper, et il doutait qu'il aurait été prudent de lui demander une seconde chance. Il n,avait pas vraiment envie de sourire et il avait la gueule pleine de l'horrible goût de semence. Il était bien décidé à sécher les cours aujourd'hui. Cependant, il était calme et il attendait que la belle femme lui fasse part des conséquences de son échec. Il s'attendait à une moquerie et à des railleries sur sa situation actuelle et sa confiance aveugle envers la belle demoiselle.
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Elle caressait le bois de cette embrasure, lentement, en conservant un sourire amusé, peut-être légèrement sadique, tout en observant le jeune élève. A vrai dire, elle savait ce que serait le final, mais pas comment y arriver. Puis il fit une fausse excuse, et elle s’approcha, lentement, nue, après avoir refermé la porte, lentement et en douceur.
Une fois plus proche, soit à deux bons mètres, elle le regarda, conservant son silence longuement, avant d’enfin, finalement, daigner entrouvrir ses merveilleuses lèvres, desquelles la voix qui s’enfuit était très calme, douce, mais plutôt ferme, à vrai dire, elle était joueuse, un peu comme une chatte face à une petite, une insignifiante souris prise au piège le plus vieux du monde, prête à bondir, mais voulant encore s’amuser un peu, avant de la croquer, cette petite souris…
- Certainement ? Juste, certainement ?
La nymphe se mit à rire, presque moqueuse cette fois, alors qu’elle se retournât, prête à s’en aller, peut-être définitivement cette fois-ci…
-
Kamui la vit entrer dans la pièce puis refermer la porte de la pièce sans bruit puis elle s'était doucement approchée de lui. Elle s'était arrêtée devant lui, son silence inquiéta le jeune élève. Elle lui demanda s'il croyait qu'il ne lui devait que "certainement" ses excuses. Il se rattrapa immédiatement, la voyant se diriger vers la porte.
- Non. Je vous dois mes excuses, maîtresse. Je suis vraiment désolé.
Sa voix était suppliante, implorant le pardon de sa maîtresse. Il ne voulait pas qu'elle parte. Il n'aurait pas été attaché qu'il aurait voulu qu'elle reste quand même. Kamui s'était de quelque peu attaché à elle. Il l'avait remarqué lorsqu'elle était sortie.
- S'il vous plait, ne partez pas...
Il était désespéré. Il ne savait plus quoi dire pour la retenir sauf la supplier. Il savait qu'il devait avoir l'air pitoyable, mais il s'en foutait, il voulait juste qu'elle reste. Il pourrait se détacher, à force de se débattre, c'était sur, mais la revoir, c'était pratiquement impossible, avec la capacité de se volatiliser qu'elle possédait.
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La belle s’arrêta, appréciant les suppliques du jeune homme, et en souriait, surtout intérieurement. Après quelques instants, elle finit par enfin se retourner, et, avec un petit sourire, ajouta :
- Je préfère ça, petit homme.
Et oui, il était tout petit à vrai dire, dans cette situation, pitoyable, et à sa totale merci… La punition avait peut-être assez duré, et Nimelya se rapprocha de Meisa, en souriant, finit par s’agenouiller, et, profitant de sa posture assise, saisit délicatement sa verge débandée, à force. Elle fit à peine quelques va-et-vient, puis commença à lécher ce membre, attendant une réaction plus que souhaitable s’il ne voulait pas passer la nuit ainsi…
-
Kamui retint un soupir de soulagement lorsqu'elle s'arrêta puis se retourna pour le regarder, apparemment satisfaite de ses excuses. Définitivement, cette femme aimait bien le pouvoir qu'elle exerçait sur le jeune homme. Elle pouvait lui faire ce qu'elle voulait, il ne se dresserait pas contre elle. Elle souriait. Elle se rapprocha à nouveau de son esclave, s'agenouilla entre ses jambes et reprit sa verge, plutôt molle, et y fit quelques va-et-vient. Elle lécha doucement le sexe qui commençait à remonter assez rapidement. Porté par l'excitation que lui donnait cette unique caresse, les mains de Kamui se crispèrent sur les liens bien malgré lui. Un seul coup de langue avait suffit pour faire remonter sa verge. Vraiment, même dépucelé, il était facile de faire monter l'excitation sexuelle chez le jeune homme.
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- Et bien dis donc mon petit garçon, tu es drôlement pervers ! Je devrais aller le dire à quelques filles de ta classe, tu ne crois pas ? Tu viens de jouir deux fois, de me nettoyer tout autant de fois, et un petit coup de langue de rien du tout te rend tout dur…
Elle l’avait regardé droit dans les yeux, avec un sourire des plus pervers, puis a repris sa fellation, sur quelques secondes, alliant ses doigts sur la hampe et la langue qui jouait autour du gland du jeune homme, prêt pour la suite.
Nimelya se hissa sur la table, à quatre pattes, forçant le môme à s’allonger, et le regarda, encore, ses genoux de chaque côté de son corps, son intimité déjà humide, tant la situation l’excitait, en plus des quelques caresses qu’elle s’était offertes juste avant de revenir dans la pièce. Puis, elle présenta sa vulve contre le gland du jeune homme, sans encore s’empaler dessus, et, le regard toujours empli de cette lubricité :
- Regarde bien ton membre se faire avaler… lentement… mon petit pervers… et sois heureux de l’être, ce soir, c’est sans doute ce qui te permettra de me combler…
Dans le même temps que ces paroles provocantes, elle commençait à s’installer sur Meisa, le pénétrant très, très, très lentement, avec ce sourire sadique, puis une fois bien arrivée au fond, elle se redressa, et regarda le gamin sans bouger.
- Et toi… tu aimes n’être qu’un objet sexuel, dont on se sert pour son propre plaisir ?
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La fellation de Nimelya avait été très efficace sur le pénis de Kamui, déjà facilement excité. Lorsqu'elle fut suffisamment dure au goût de l'enseignante, elle monta sur la table, à quatre pattes, l'obligeant à coller son dos sur la froide surface du bureau et le regarda dans les yeux. Il sentit à nouveau le chaud contact de l'humide intimité de sa maîtresse contre son gland, l'excitant que davantage, les yeux de la demoiselle plein de lubricité. Elle lui dit de regarder son sexe entrer en elle lentement. Elle lui dit également qu'il devrait être heureux de l'être, puisque, apparemment, c'est ce qui la comblerait.
Elle entama une très lente descente. C'était si lent que Kamui avait de la chance d'être attaché, il pouvait éviter d'accéléré tout ça. C'était une telle torture de ne pas pouvoir la toucher, comme si on lui offrait une pomme sans jus. Lorsque sa verge fut totalement entrée en elle, son amante se redressa pour le regarder. Lorsqu'elle eut dit son commentaire, Kamui ne put s'empêcher de se crisper. Oui, un objet sexuel, c'est bien ce qu'il était en ce moment. Il connaissait très peu d'hommes qui se plaindraient de sa situation. C'était dans sa nature d'obéir et de faire ce que les femmes désiraient, ce n'était pas nouveau. Il était né pour être un esclave et il aimait cette sorte de vie, car il voulait toujours servir à un truc, peu importe ce que c'était. Même quand c'était lui le maître, il n'était pas arrivé à supporter cette sorte de vie, c'était en partie pourquoi il avait fugué.
- Je ne me plais que dans la vie de serviteur. Si je peux faire plaisir à ma maîtresse, quitte à n'être qu'un esclave sexuel, ça m'est égal.
Il avait dit ces mots pour faire comprendre à la belle demoiselle que sa situation d'esclave n'était pas un changement dans sa vie. Il a toujours été ainsi, à servir à même les servantes de son ancien foyer. Ainsi attaché, il ne pouvait pas la toucher et il ne se risquerait pas à l'embrasser où que ce soit pour le moment.
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Elle sentait, tout au long de cette interminable descente, l’envie du bassin du gamin, de ce bassin qui aurait voulu pouvoir s’élever, rendant la pénétration dont la nymphe se délectait plus rapide. Elle y trouvait un double plaisir, bien qu’elle ne le laissa pas entendre, pas de gémissement, rien, juste ce regard, accompagné du sourire, qui fixaient un jeune élève qui aurait vraiment pu être apparenté à un gode des plus réels.
Objet sexuel, soit il ne s’en rendait pas vraiment compte jusque là, soit ses mots étaient faux, à cette crispation plus que perceptible. Enfin, il y avait aussi du vrai, il appréciait de la servir, la belle Nimelya, mais elle, que voulait-elle vraiment ? Elle ne savait plus vraiment, elle hésitait à le laisser à son statut de jouet sexuel ou le rendre un peu plus animé. Elle ne bougeait toujours pas, restant à le fixer, immobile, enfin, presque immobile. Elle venait d’activer ses muscles qui commençaient à se resserrer, puis se décontracter, autour de cet intrus qu’elle avait en elle. Après de longues secondes de ce seul traitement, elle entama quelques léger mouvements, mais pas de haut en bas, non, d’avant en arrière… sans dire le moindre mot, sans perdre cette étincelle perverse dans son regard, et même son sourire persistait.
Elle avait trouvé une sorte de nouveau jeu, et allait en profiter un petit peu, juste un petit peu, en cette nuit.
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Nimelya ne faisait rien. Elle ne bougeait pas, fixant son regard sur son esclave. Kamui sentait bien les muscles de sa maîtresse sur sa verge et il se retenait de gémir, puisque elle-même ne le faisait pas. C'était comme s'il ne lui apportait absolument aucun plaisir, rien, pas même un soupir. C'était dur sur le psychisme du jeune homme. Il ne pouvait absolument rien faire. Elle était sur lui, ses mains étaient attachés sous la table, ses chevilles liées aux pattes de celle-ci, l'empêchant de faire le moindre mouvement pour améliorer sa situation. Un moment passa avec ce seul traitement avant que la demoiselle commence à faire de légers mouvements, mais contrairement à ce qu'aurait cru Kamui, pas de haut en bas, mais d'avant en arrière. Ce n'était pas déplaisant, mais cette manière de faire était un peu douloureuse, puisque son érection, étant normalement dirigée vers le haut était attirée vers le bas, mais le va-et-vient était toujours là, il le sentait bien sur son membre endolori qui continuait de s'enfoncer et de reculer dans l'intimité de sa maîtresse. C'était dément à quel point avoir des rapports sexuels quand on est attaché peuvent être douloureux pour un corps plein d'envie et de désir. Il ne dit cependant rien, il serra tout de même les dents à cause de l'inconfort.
-
Le mouvement ne semblait pas convenir à ce jeune homme, en plus de sa position inconfortable, et le mouvement devint plus normal, soit de haut en bas, mais relativement lent.
- Je suppose que tu préférerais être plus actif, que tes membres s’endolorissent lentement, et que tu n’apprécies pas vraiment la situation, n’est-ce pas ?
Elle marqua une pause, le temps d’augmenter le rythme de la pénétration, en souriant toujours à l’insolent.
- Je me demande si je devrais te détacher… tu n’es pas très sage quand tu es libre, et pas vraiment obéissant, que vais-je faire de toi…
Elle commença ensuite à se caresser la poitrine, jouant avec ses pointes à nouveau dressées, lentement, puis se mordit la lèvre inférieure, cherchant simplement à rendre fou Kamui. Et comme si ce n’était pas suffisant, elle laissa des petits gémissements indécents s’échappe dans la salle.
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[Pauvre Kamui... je le plains XD]
Kamui avait vraiment l'impression de devenir dingue. Elle éprouvait un malin plaisir à profiter qu'il soit attaché pour le rendre cinglé. Cependant, en bon esclave, il se tut et la regarda. Elle était plutôt cruelle. Elle cherchait apparemment à faire monter son envie. Il avait envie de la caresser, de provoquer par lui-même ces gémissements qu'elle poussait maintenant. Oui, il avait envie de récupérer l'usage de ses mouvements, mais si l'absence de sa participation donnait à sa maîtresse l'impression de n'être que davantage puissante, Kamui fermera sa grande gueule et se contentera de dévorer sa belle des yeux, de plus en plus désireux de caresser la si douce peau de la demoiselle, l'embrasser et la savourer. Ses mains attachées se crispaient sur la corde pour faire taire ses envies. Les mouvements étaient maintenant plus normale, moins inconfortable.
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Il restait passif, mais Nimelya le sentait bien bouillir intérieurement, elle savait que tout homme ne pouvait vraiment supporter de subir un tel sort, et, elle décida que la punition avait assez duré, non sans déjà avoir de quoi lui faire se souvenir que désobéir à sa maîtresse est très dangereux, ou du moins, très douloureux…
De ce fait, les liens, tous, qui entravaient Kamui se dissipèrent, lui laissant tout le bonheur de pouvoir à nouveau se mouvoir un minimum, alors que la belle nymphe continuait d’aller et venir, au dessus de lui, gémissante, soupirante, et l’un de ces soupirs libéra quelques mots…
- Je te déconseille fortement de me désobéir ou de me décevoir à nouveau…
Malgré le plaisir ressentit par la brunette, le ton était on ne peut plus clair, et ne laissait aucune place au doute. Puis elle se pencha pour mordre sa lèvre inférieure, avant de l’embrasser à nouveau.
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Elle l'avait libéré. Rarement, Kamui n'avait été aussi content de récupérer ses mouvements. Il ne prit cependant pas le temps de se frotter les poignets pour rétablir la circulation. Elle continuait ses mouvements de va-et-vient, ses gémissements et ses soupirs. Dans l'un de ces derniers, elle lui fit savoir qu'elle ne tolèrerait aucune désobéissance de sa part une autre fois. Bien sûr, Kamui n'en avait plus du tout l'intention. Elle s'était penché sur lui, mordit sa lèvre inférieure avant de l'embrasser. Sentir ses lèvres contre les siennes à nouveau fit le plus grand bien à Kamui. Son corps se réchauffa de l'intérieur et il lui rendit son baiser, glissant sa main droite enfin libérée derrière la tête de la demoiselle pour garder ce contact si agréable. Il recommençait à apprécier cette nuit auprès de sa maîtresse et se soumit totalement à la volonté de la belle dame. Sa main gauche alla doucement caresser la cuisse de la demoiselle qui se déplaçait au mouvement de va-et-vient que celle-ci faisait. De la position qu'il avait, Kamui ne pouvait pas faire grand chose, il ne pouvait qu'attendre que sa maîtresse lui fasse part de ses désirs et envies.
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Et l’envie se fit vite présente, depuis le temps qu’elle l’attendait maintenant. Elle rompit le baiser après quelques soupirs étouffés par le plaisir ressenti des caresses qui lui étaient offertes. La nymphe fit encore quelques va-et-vient, et comme pour forcer les membres de Kamui de bénéficier d’un peu de mouvements qui leur ferait du bien, elle releva son bassin, laissant la verge droite, bien dure, et toute mouillée à l’air libre, et elle se retira du banc. Depuis entre les cuisses du jeune homme, elle lui lapa le gland, en le regardant, puis fit quelques pas, avant de se mettre à quatre patte, les cuisses, tout comme la vulve, bien ouvertes, et regarda l’adolescent.
- Tu as besoin d’une invitation ?
Petit sourire amusé, puis la belle se pencha en avant, se retenant sur un coude, et commença à caresser son clitoris lentement, de la meilleure des façons, en attendant qu’on la prenne, et pas forcément en douceur tant elle était bouillante.
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Elle continua encore un peu ses mouvements, procurant encore plus d'excitation au jeune homme, avant de relever son bassin, libérant son sexe mouillé par la cyprine de la demoiselle. Elle descendit du bureau. Elle lui lapa le gland, le regarda puis se mit à quatre pattes, les cuisses et l'intimité bien écartées, l'invitant à la prendre en levrette. Elle lui demanda s'il attendait une invitation, un sourire amusé sur les lèvres. D'une certaine manière, oui, il avait besoin de cette invitation, mais elle venait de la faire. Elle s'était penché à l'avant, se caressant le clitoris lentement, attendant que le jeune homme se décide à la satisfaire.
Évidemment, Kamui ne prit pas longtemps avant de passer à l'action. Il voyait bien qu'elle était impatiente d'être prise et il ne comptait pas la décevoir. Il se leva à son tour. Il se plaça derrière elle, posa doucement ses mains sur les hanches de la demoiselle et entra délicatement en elle. Il commença un rythme qui pourrait contenter la dame, faisant bien attention. Ses mouvements de va-et-vient n'étaient ni doux ni brutaux. Rappelons-le, la maîtresse veut être traitée comme une Reine, non pas comme une esclave qui doit subir la brutalité de son maître.
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Et l’attente fut presque longue pour la nymphe, mais heureusement, il avait compris qu’il était attendu. Petits frissons lorsque les mains de l’insolent se posèrent sur ses hanches, puis il entra, à priori, le cours n’aura pas été inutile, il savait trouver l’entrée. Et quelle entrée, les mouvements clitoridiens aidant, ce fut un profond soupir, se terminant en gémissement, qui accueillit cette verge devenue nécessaire. Et il n’y allait pas trop lentement, en plus, la belle Nimelya allait sans doute prendre son pied.
- C’est bien… tu vois, quand tu fais des efforts… tu peux te montrer plutôt bon…
Bon, bon, c’est vite dit, et entrecoupé de petits soupirs. Pour un novice, il était plutôt bon, mais il avait encore du chemin à faire. Et heureusement qu’il n’était pas mauvais, qui aurait pu l’être avec une telle enseignante, aussi ?
La brunette se laissait faire, assistant toujours plus rapidement en jouant sur son propre clitoris, mais elle en espérait encore, elle en espérait encore beaucoup pour cette soirée…
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Elle le gratifia d'un compliment. Les mots qu'elle disait étaient plutôt efficace sur le moral de Kamui. Doucement, il se pencha sur elle pour l'embrasser dans le cou. Sa main droite glissa doucement vers l'intimité de la demoiselle. Elle prit place entre la main de celle-ci et le jeune homme se mit à caresser lui-même la petite perle d'amour de son professeur de sa grande et chaude main. Son autre main alla soutenir le haut du buste de Nimelya. Le jeune homme fit de ses mouvements un peu plus rapide. C'était si agréable d'être en elle, de pouvoir toucher, embrasser et goûter sa peau. Ses baisers s'aventura vers l'oreille de la belle enseignante et il alla lui mordiller le lobe. Sa main gauche alla s'aventurer contre la joue de la dame pour lui faire tourner la tête, permettant à son jeune amant de l'embrasser sur les lèvres avec passion.
Bien sûr, il recherchait encore le plaisir de la demoiselle et il caressait avec beaucoup de douceur le clitoris de son amante, laissant ses lèvres tranquille pour qu'elle puisse gémir comme elle le voulait, allant retourner embrasser son cou. Il continua cependant de caresser son corps parfait de la main gauche, qui descendait maintenant sur le flanc gauche, puis qui remontait agripper tendrement l'épaule droite de la belle dame pour la soutenir. Il accéléra également les mouvements de va-et-vient.
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Délicieux frissons que ce baiser, puis il devenait entreprenant, il profitait lui aussi ! Nimelya n ‘avait plus qu’à penser à son propre plaisir, et Meisa continua ses caresses, remplaçant la main de la nymphe sur son clitoris, et il n’y allait pas trop vite, puis il caressa involontairement sa poitrine, pour la soutenir, il augmentait aussi le rythme. La belle enseignante gémissait de plus belle. Puis l’oreille, le lobe mordillé, la joue… puis un bref baiser passionné, bien échangé, des soupirs étouffés, puis la fin du baiser, et les gémissements reprirent.
Nouveau baisers sur le cou, la nuque, caresse sur le flanc, puis elle se déposa sur son épaule. Il se débrouillait bien le gamin mine de rien, et Nimelya prenait vraiment beaucoup de plaisir dans ce rapport, alors qu’elle allait elle aussi à la rencontre du sexe de son partenaire, gémissant toujours plus fortement, plus souvent. Elle avait retrouvé son allure brillante, recouverte d’une fine couche de sueur, tant la chaleur en elle montait, et elle était plus qu’haletante.
Entre deux soupirs, elle laissa rapidement, d’une voix on ne peut plus tremblante, croulante sous une jouissance tant attendue qu’elle arriverait tout bientôt.
- Je t’interdis de jouir… pour le moment !
La belle nymphe voulait encore profiter de cette verge si dure, si efficace pour le corps de Nimelya, trop facile à satisfaire, mais c’était si bon…
La brunette se redressa sur ses mains, retrouvant une position de quadrupède, alors que tout son corps se tendait à nouveau, sous les nombreuses caresses reçues, elle n’allait pas tarder à jouir.
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Que de gémissements et de soupirs qui quittaient les magnifiques lèvres de son amante. Les frissons qui parcouraient la peau parfaite de Nimelya se faisait sentir sous les lèvres et les mains de Kamui, se transmettant aussi à son corps. La légère couche de sueur sur le corps de sa maîtresse rendait celui-ci reluisant et Kamui pouvait la caresser avec de moins en moins de frottements de sa peau sur la sienne. Le jeune homme remarqua qu'elle participait à sa propre jouissance, venant à la rencontre de sa verge. Elle était haletante et c'en était contagieux car l'étudiant se joignit à elle, tant le plaisir était grand. Elle lui interdit, d'une voix agréablement tremblante, de jouir pour l'instant. Bien sûr, Kamui n'allait pas oser lui désobéir une seconde fois.
Elle se redressa sur ses paumes et se mit à quatre pattes. Sur sa verge et sous ses mains, qui maintenant maintenant le dos et bien sûr la petit perle d'amour de la demoiselle, le jeune homme sentait très bien le corps de la dame se tendre de partout. Elle allait jouir. Pour l'aider, les mouvements des reins de son amant se firent encore plus rapides et sa main gauche parcourait son corps, la caressant de partout. Kamui avait déjà hâte de l'entendre gémir et sentir une infinité de frissons parcourir la chaire de son amante. Il l'embrassa entre les omoplates puis dans le cou.
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elle s’approchait, rapidement, elle allait l’emporter sous peu. Elle ? La vague de chaleur de son orgasme, déjà tendue, voilà que Nimelya se cambrait, de plus en plus, la tête relevée, les lèvres entrouvertes, les yeux clos…
Elle accompagnait toujours un peu Meisa, allant à la rencontre de cette verge qui, en plus des caresses, lui faisaient tellement de bien, mais maintenant de manière saccadée, presque avec peine tant son corps était tendu, puis enfin cette vague partit, et la submergea, intégralement, sous cette jouissance tant désirée. Un long cri accompagna cette arrivée, cette arrivée d’étape, car tout n’était de loin pas fini, ho que non…
Puis elle s’affala, à même le sol, attendant de redescendre de ce puissant orgasme, encore loin dans son monde empli de cette félicité qu’elle côtoyait si souvent…
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La chaleur était très haute dans le corps de Kamui. Il avait l'impression d'être en feu de l'intérieur. Nimelya se cambra, relevant la tête, ses belles lèvres entrouvertes, les yeux fermés. Ses mouvements se faisaient plus saccadés, le jeune homme savait que tout le magnifique corps de sa partenaire était tendu, près de l'orgasme. Celui-ci ne tarda pas, puisqu'elle poussa un long cri de jouissance, de plaisir et de satisfaction.
Soudainement, tous les muscles de la demoiselle se relâchèrent. La cyprine quittait abondamment la vulve de la demoiselle. Kamui la soutint du bras avant qu'elle ne s'affale sur le sol, évitant qu'elle ne se blesse ou ne se salisse. Apparemment, elle n'était plus totalement là. Kamui voyait bien qu'elle était partagée entre la réalité et ce monde de félicité que les femmes atteignaient quand elles étaient satisfaites par leur amant.
Il la fit doucement pivoter, sans sortir d'elle, et la souleva dans ses bras pour l'asseoir sur un pupitre. Il se pencha sur elle et l'embrassa doucement sur les lèvres pour un long baiser langoureux. Il quitta ses lèvres pour poser ses baisers dans son cou, ou il lui fit un autre petit suçon. Ses bras enlaçaient les flancs et le buste de la demoiselle, la serrant doucement. Elle était encore bouillante et il l'était aussi. Il sentait la ferme poitrine de la demoiselle contre son torse pendant qu'il couvrait sa nuque de baisers. Il avait très envie de jouir, mais il devait se retenir, l'interdiction de la demoiselle n'était pas levée.
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Elle se sentit portée, déplacée, puis senti quelque chose de froid dans son dos, mais la belle Nimelya était bien loin, et elle ne se rendait surtout pas vraiment compte de ce qui lui arrivait, bien loin dans sa bulle de plaisir, de bonheur, de jouissance si délicieuse, elle aussi avait du attendre, laisser son plaisir redescendre avant de le retrouver enfin, tout ça par la faute d’un gamin insolent, désobéissant, mais c’est ce même gamin qui, par moment, semblait capable d’être plutôt doué. De plus, il ne lui semblait pas avoir senti de sortie de sperme en elle, ni en dehors d’elle, il l’avait apparemment écoutée, cette fois.
Elle était déjà un peu redescendue lorsqu’elle se sentit embrassée, doucement, et elle y répondit instinctivement de manière très langoureuse, en laissant quelques soupirs de contentement d’étouffer dans leur baiser, puis d’autres baisers recommençaient, alors qu’elle sentait encore son phallus en elle, un pal de chair encore dressé, dur…
La nymphe se remit à bouger un peu son bassin, caressant la nuque de Kamui, caressant son dos, ses cheveux, ses flancs… elle ne voulait pas en rester là, mais elle ne leva en aucun cas l’interdiction qu’elle venait de prononcer.
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Kamui sentait les mouvements du bassin de la belle dame sur son sexe et ses mains le caresser. C'était agréable de la revoir bouger d'elle-même. Le jeune homme y mit donc du sien aussi, recommençant ses mouvement de va-et-vient en elle, mais plus doucement que tout à l'heure. Ses mains, de nouveau très douces et attentionnées, caressaient lentement et tendrement le dos de la demoiselle puis descendent vers les cuisses pour leur donner leur lot de caresses, mais le jeune homme en profitait pour la soutenir et l'empêcher de reculer sous les allées et venues de son membre en elle. Il alla lui mordiller l'oreille une nouvelle fois. Elle aimait bien ce geste et Kamui l'avait bien comprit.
Évidemment, il gardait en tête l'interdiction de sa maîtresse et se retenait de jouir. C'était dur, là ou il en est et au point auquel elle l'excitait de par sa beauté, sa perfection et ses caresses. Un jeune homme qui, comme lui, venait d'être dépucelé aurait-il pu résister à ce point-là? Peut-être bien que oui, peut-être bien que non. Kamui était plutôt normal comme type, mais plus têtu que les autres quand il veut bien faire ou quand il veut exécuter une tâche... pour le moment, cette tâche était de ne pas jouir... et c'était plutôt désagréable.
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A peine descendue que déjà elle était sur une pente ascendante vers un nouveau plaisir, que demander de mieux… il avait repris ses va-et-vient en elle, il la caressait, encore, doucement, avec toute son attention sur le dos, les cuisses, embrasser et mordiller le lobe de son oreille. Les soupirs de plaisir avaient repris, et elle espérait que son insolent n’allait pas se permettre d’aller à l’encontre de sa demande, elle voulait encore jouir, une dernière fois…
Il avait tout à gagner à réussir à la mener à un nouvel orgasme, sans lui-même se laisser aller, comme tout à perdre, si c’est l’inverse qui se produisait, mais il allait lentement… trop lentement, jamais il ne pourrait la faire jouir ainsi. Assise sur le pupitre, Nimelya se laissa choir sur le bois, et à nouveau ses jambes enlacèrent l’adolescent à la taille, le forçant au moins sur ses pénétrations à être plus rapide, l’aidant en le guidant avec une certaine fermeté.
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Sur la demande discrète de Nimelya, Kamui reprit le même rythme rapide que tout à l'heure. Il voulait une nouvelle fois qu'elle repousse ce cri de jouissance qu'elle avait laissé échapper il y a quelques minutes. Kamui alla l'embrasser dans le cou, y mordillant un peu la peau qui s'y trouvait. Les jambes autour de sa taille étaient une sorte d'encouragement. Ses mains allèrent doucement malaxer la poitrine de Nimelya, qui n'avait pas été touchée depuis un moment, voir totalement délaissée. Cependant, il la massait avec beaucoup de délicatesse. Il devait trouver un nouveau moyen pour satisfaire la belle enseignante... mais un dépucelé de à peine trente minutes n'a pas vraiment plus d'idées. Après tout, les femmes des films pornographiques, c'était vraiment différent de Nimelya. Ces filles se laissaient faire, mais là, c'est la demoiselle, la patronne. Une idée traversa l'esprit de Kamui, pour pouvoir retarder le moment de la jouissance. Doucement, le jeune homme ôta sa verge de l'intimité de sa maîtresse. Sans s'expliquer, il s'agenouilla et lécha doucement la vulve qui laissait encore couler une incroyable quantité de cyprine maintenant qu'il n'était plus en elle... quel gâchis.
Kamui avalait goulûment le liquide chaud qui s'écoulait de Nimelya. Il buvait la mouille comme si sa vie en dépendait, incapable de s'en empêcher. Lorsque la quantité eut diminuée, il "embrassa" les lèvres intimes de la demoiselle, enfonçant sa langue en elle pour à nouveau aller caresser les parois de son vagin. Le goût de cette intimité lui avait pas mal manqué et ce n'était pas la délicieuse cyprine de sa maîtresse qui risquait de manquer. Évidemment, il ne manqua pas de caresser le clitoris de la dame de sa langue. Restait à savoir si Nimelya allait apprécier.
[mouais... j'aurais du faire la dernière partie avant de recommencer, mais comme quoi ça pourrait peut-être rendre le reste plus intéressant XD]
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Nimelya se régalait des caresses qui recommençaient, tant cette verge qui allait et venait en elle qui lui faisait toujours autant de bien, que les baisers sur son cou, le mordillement qu’elle y ressentît, la poitrine, qu’elle appréciait qu’à nouveau son opulente poitrine reçoive des caresses, elle en gémissait de nouveau. Puis, sans qu’elle ne lui demande rien, il força l’emprise qu’avaient les belles jambes de la nymphe, sortant d’elle, puis il se baissa, et embrassa son intimité, il la buvait littéralement, et elle adorait : une main s’occupait de sa propre poitrine, la malaxant vivement, jouant avec l’un de ses tétons dardés, puis l’autre, comme elle aimait, alors que la seconde main caressait la chevelure de Kamui, dans des soupirs qui ne cessaient…
Elle aimait sentir une langue virevolter dans son antre intime, puis passer de temps à autre sur sa petite perle du bonheur, dardée elle aussi et depuis un long moment maintenant. Pour apprécier, elle appréciait, et elle se laissait faire, elle le laissait faire, pour une fois qu’il prenait une initiative intéressante.
- Tu as pris une bonne initiative… tu commences à comprendre… enfin…
Le tout était entrecoupé de soupirs, de gémissements, et même d’un cri lorsqu’elle senti un passage plus appuyé sur son clitoris si sensible, si désireux de recevoir de l’attention, elle adorait, tout simplement…
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Kamui adorait le goût de sa maîtresse. C'était si bon. Il apprécia aussi le moment où elle lui caressa les cheveux, ce qui prouvait qu'elle voulait qu'il continue. Le jeune homme pourrait la boire toute la soirée sans en être désaltéré. Mais les cris qu'il entendait à chaque petite pression sur le clitoris de sa maîtresse lui faisait grandement plaisir, il n'allait pas la priver de ce traitement qui lui plaisait tant. Il se détourna de son divin breuvage pour aller lécher et suçoter la petite boule rose pour donner encore plus de sensations à sa belle amante. Il aimait tellement sa voix extasiée par le plaisir, elle sonnait comme une douce mélodie à ses oreilles. Pour se faciliter un peu la tâche, Kamui, quittant un moment le jardin interdit de Nimelya, lui écarta davantage les cuisses. Il ne put empêcher un petit soupir de contentement quand il retourna à son baiser passionné auprès l'antre de son amante. Ses mains caressaient doucement l'intérieur des cuisses bien écartées puis remontèrent caresser la douce et ferme poitrine de sa maîtresse, voulait lui procurer lui-même le plus de plaisir possible, jouant avec ses tétons bien dressé et durs.
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Et la nymphe prenait de plus en plus de plaisir, le clitoris ainsi choyé, torturé, câliné, cajolé, et les gémissements se faisaient de plus en plus cris, son corps ondulait sur ce pupitre, puis elle sentit une deuxième main en renfort sur son opulente poitrine, s’en était trop, nouveau cri, le dernière, alors qu’elle haletait, elle venait de jouir une nouvelle fois, apportant un flot plus intense de sa liqueur intime aux lèvres de son jeune amant.
Elle était un peu perdue, dans le monde de la jouissance, et elle espérait bien qu’il continue à s’occuper ainsi d’elle, toute chancelante, avec sa verge peut-être… une langue c’est bien, mais rien ne vaut une bonne colonne de chair…
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Alors qu'il était encore en train de s'occuper de l'intimité de son amante, Kamui la sentit bouger, onduler entre lui et le pupitre. Augmenta alors la quantité de cyprine dans la bouche de Kamui et un nouveau cri raisonna. Il sut tout de suite qu'il devait passer à l'action. Sans perdre de temps, ses lèvres quittèrent celles de la vulve de Nimelya. Orientant sa verge contre l'intimité de sa maîtresse, il entra à nouveau en elle, la retrouvant toute aussi mouillée et confortable, sinon plus. Le jeune homme reprit son rythme rapide de va-et-vient, se doutant bien qu'elle en avait tout aussi envie que lui. Il avait retrouvé beaucoup d'énergie et il en donnait tout autant, resserrant les jambes de Nimelya autour de sa taille avant de poser ses mains sur ses flancs pour mieux contrôler les mouvements de son bassin et les rendre encore plus rapide, comme elle l'aimait.
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La nymphe prenait beaucoup de plaisir en sentant la verge dure du gamin la pénétrer à nouveau, poussant même un long gémissement. Puis elle reprit vigoureusement les caresses sur sa propre poitrine, jouant à caresser sa peau si douce, puis, vint le tour des tétons toujours aussi durs, et là encore, elle s’appliquait particulièrement, avec une fermeté et une assurance propre à son plaisir qu’elle connaissait mieux que quiconque, jouant à les tirer, les pincer légèrement, les faire pivoter, les compresser, les…
Elle était tout simplement aux anges, gémissantes comme depuis un long moment maintenant, mais elle ne comptait pas encore délivrer Kamui, pas encore… encore une jouissance, ou peut-être deux, elle n’en savait rien… elle ne pensait plus, elle ne voulait que du sexe, et encore du sexe, et jouir…
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L'esprit de Kamui était maintenant focaliser sur trois choses; Nimelya, sa jouissance et son sexe qui veut être libéré de sa semence. Les hommes ont été créé pratiquement que pour ça, la demoiselle demandait à Kamui de lui conférer le plus haut niveau de plaisir à plusieurs reprises, ce qui aurait laissé un homme de l'âge de pierre complètement abasourdit, ce qui aurait lui aurait valu une longue séance où la demoiselle se donnait à elle-même du plaisir à partir de lui, ficelé comme un saucisson. Elle gémissait comme une dingue et la concentration de Kamui arrivait à peine à calmer l'excitation, tant il a envie de jouir.
Kamui se penche pour l'embrasser dans le haut du ventre, montant pour embrasser le petit espace entre ses seins, que les mains de la demoiselle cajolaient avec l'expérience de l'habitude, tant cette dame connaissait son corps, remontant vers son cou pour l'y embrasser. Si elle voulait du sexe, Kamui allait exaucer ce souhait sans rechigner. Il n'arrêta pas les mouvements de ses reins tant que l'envie de Nimelya ne sera pas satisfaite. Il lui mordille et suçote la peau de son cou, y laissant de petites marques rouges. Kamui veut satisfaire sa partenaire, mais il était un peu à courts d'idées et ses gestes se répétaient un peu. Il en était désolé, mais il se fiait au peu de connaissance qu'il avait. Il ne voulait pas priver son amante du plaisir que lui procuraient ses propres caresses qui semblaient tant lui plaire. Ses mains à lui caressaient doucement les cuisses des jambes enlaçant sa taille. Il n'arrêta sous aucun prétexte les mouvements de son membre gonflé d'excitation dans le vagin de Nimelya, essayant de l'empêcher de redescendre trop rapidement de son nuage.
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Nimelya appréciait toujours autant les caresses, la pénétration, et tout cette attention qui lui était portée, comme ses gémissements en attestaient. Mais c’est vrai que la scène commençait tout de même à devenir répétitive, et que son jeune amant n’osait vraiment prendre d’initiative, alors elle pensa vraiment, dans un de ses courts instants de lucidité, à bientôt mettre un terme à toute cette débauche de luxure, et surtout, à libérer le pauvre Kamui qui devait de nouveau sentir certaines douleurs au bas ventre, depuis le temps que son excitation était à son comble, depuis le temps que sa verge était aussi dure, gorgée de sang, pour le plaisir de l’enseignante.
Les frissons, les baisers, les suçons, les caresses sur les cuisses, tout était simplement génial, et la mortelle divinité allait bientôt connaître un nouvel orgasme, elle était recouverte de sueur, son cœur s’était emballé depuis longtemps, sa respiration se faisait de plus en plus haletante… elle glissait sur le pupitre pour mieux sentir ce pénis en elle, plus profondément, mais elle savait comment elle voulait faire jouir l’insolent, et ce n’est pas en la pénétrant qu’il connaîtrait ce plaisir, pas cette fois-ci, pas encore…
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Kamui essayait de penser à une solution pour satisfaire davantage la demoiselle, mais son petit doigt lui disait que tout allait bientôt finir. Elle partirait et lui allait devoir tout nettoyer. Son esprit était préoccupé à nouveau. La pièce semblait devenir encore plus présente dans son esprit, comme s'il sortait d'un rêve. Sa poitrine se serrait un peu. Il allait devoir dire au revoir à sa maîtresse, voir lui dire adieu, si elle ne souhaitait pas le revoir. Il avait sincèrement envie de ne pas y penser, mais il n'arrivait pas à effacer cette réflexion de sa tête. Il ne ressentait pas d'attache émotive envers cette femme sublime et il savait qu'il ne pourrait pas la satisfaire. Cette nuit sera peut-être la seule, mais pour lui, c'est comme un chien auquel on aurait donné un maître qu'il apprécie pour le renvoyer à la rue ensuite. Son esprit se remplissait de regrets, il avait l'impression d'avoir commis une erreur. Beaucoup pourrait traiter Nimelya de pute, mais dans la tête de Kamui, elle était autre chose. Bon, coucher avec un puceau alors qu'on a un manque aussi grand de rapport sexuel, c'était un peu bizarre, compte tenu que les puceaux se fatiguent habituellement vite. Ce qui tenait Kamui hors du sommeil, c'était son orgueil ou c'était les problèmes que ça pourrait engendrer et surtout la colère ou la situation idiote dans laquelle Nimelya pourrait le mettre.
Il vit qu'elle approchait d'un nouvel orgasme, certainement celui que Kamui aurait le plus de difficulté à atteindre, parce qu'il était un peu fatigué et qu'il avait très envie de jouir. Cette interdiction allait finir par le tuer à cause de son obéissance et il ne devait pas lâcher. Son regard avait prit un air plus sérieux quand il s'était perdu dans ses pensées et il le conservait maintenant par ce qu'il devait placer toute son énergie à plonger Nimelya dans la jouissance et à empêcher la sienne. C'était de plus en plus dur, tant sa verge avait envie de relâcher sa semence et l'antre de Nimelya était si chaud et accueillant qu'il avait peine à ne pas se laisser aller. À elle de lui dire quoi faire, car il pouvait jouir à tout moment et ça serait dommage que ce moment ne soit pas le bon.
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Nimelya ressentait cette concentration chez son partenaire, mais était bien trop proche de l’orgasme pour s’en faire, pour penser à la suite, elle n’avait plus que sa propre jouissance en ligne de mire, elle qui devenait si proche, à nouveau, vraiment si proche… encore plus proche. Elle l’allait l’atteindre enfin, avec toutes ces caresses reçues, toutes plus agréables les unes que les autres, elle n’allait plus tarder à enfin atteindre cette félicité, encore, dans sa cascade de jouissance. Elle ne savait plus combien de fois elle avait déjà atteint se paroxysme du plaisir, cette apogée de la détente, et un nouveau cri retentit, son corps se tendant, elle se cambrait sur ce pupitre, tous ses muscles étaient tendus, mêmes ceux de son vagin, et il y avait fort à parier que ne pas jouir serait une épreuve pour Kamui, mais elle s’en foutait totalement, perdue dans son propre plaisir…
Haletante, elle redescendit de son nuage, lentement, respirant fortement, mais elle était comblée, il ne lui restait plus qu’à faire baisser la pression de l’insolent, qui avait dû se dépasser pour la combler, elle, et une seule jouissance ne lui suffirait peut-être pas. Elle l’embrassa, avec douceur, avant de se redresser, puis, de se relever, repoussant l’élève avec une certaine difficulté, sans ses propres muscles étaient presque douloureux de ses crispations répétées, et elle le poussa avec cette peine, jusqu’à le faire s’assoir sur le pupitre voisin, le regardant avec une once de lubricité encore, puis elle brisa le silence, de sa voix sensuelle mais saccadée par sa respiration rapide.
- Tu m’as comblée jusqu’à maintenant… tu as rattrapé tes erreurs en tenant la distance… je vais te récompenser et enfin te laisser jouir…
Dès que se fut dit, la brune s’agenouilla, et approcha ses lèvres de ce pénis tressautant, tendu à l’extrême, si dur… non sans regarder Kamui dans les yeux. Petit baiser déposé sur le gland, léchouille à ce même endroit, puis se doutant qu’il ne tiendrait pas bien longtemps, ses lèvres s’écartèrent, alors qu’elle sentait sa propre mouille s’écouler le long de ses cuisses, et elles avalèrent lentement le gland de l’insolent. Une main alla se déposer au niveau de ses bourses, et se mit à les caresser lentement, alors que la seconde main revenait sur la hampe du gamin. Et comme l’on aurait pu s’y attendre, cette verge reçut soudainement de nombreuses sensations, de part la main sur la hampe, restant sur la cette partie, faisait aller et venir la peau protectrice, lentement, alors que la langue tournoyait autour du gland, puis la hampe fut délaissée, et le phallus se fit avaler entièrement, et les va-et-vient débutèrent, lents, alors que les testicules étaient toujours en proie à de lentes caresses. La seconde main, pour me pas rester inactive, alla jouer sur le pubis du lycéen…
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Enfin, Kamui était libéré de l’exigence de sa maîtresse. Il resta cependant surpris lorsqu’elle le poussa, certainement avec quelques difficultés si on tenait compte de la faiblesse de sa pression, vers un pupitre pour l’y faire asseoir. Ne voulant pas fatiguer davantage sa belle amante, Kamui se laissa faire et s’assit sans protester. Elle entreprit alors de lui faire une fellation, à la grande surprise du jeune homme qui se serait plutôt attendu à une simple masturbation puis merci bonsoir. Il la laissa faire mais il se doutait qu’il ne résistera pas longtemps à la jouissance, tant sa maîtresse était experte en la matière, offrant de nombreuses caresses à sa verge et à ses bourses. Il essayait de se retenir mais au bout de une minute ou deux, il lâcha tout dans un râle, éjaculant dans la bouche de la demoiselle, n’ayant pas le temps de reculer ni même l’espace. Si elle ne l’avait pas voulu, il était mal, très, très, très mal. Cependant, cette fois, il était prêt à accueillir les liens et bien déterminé à ne pas se laisser faire.
Son attitude changea soudainement, dégageant une énergie bien plus imposante qui supplanta celle, soumise, du jeune étudiant. Kamui se pencha vers la maîtresse qui lui avait accordé autant de douces sensations et l’embrassa. Le goût de la semence entre les lèvres et sur la langue de la demoiselle ne le gêna pas le moins du monde, après tout, il avait été obligé de le supporter deux fois dans la même journée, alors il s’en foutait un peu. Sa main vint caresser la joue de la belle femme avant d’aller se glisser derrière sa tête pour soutenir son visage contre le sien. Cette jouissance qu’elle lui avait accordée lui était très agréable. Doucement, il l’obligea à se relever et en fit de même.
-Merci, maîtresse.
Il s’était contenté de dire ces mots avant de l’embrasser une nouvelle fois. Leur séparation approchait à grand pas et il voulait au moins pouvoir profiter des caresses de ses lèvres sur les sienne encore une fois. Il glissa une main dans son dos, se mettant à le caresser tendrement, puis quitta ses lèvres pour aller l’embrasser dans le cou. Pour sa première amante, l’expérience fut très… éprouvante, autant physiquement que mentalement (bah oui, quand tu te fais attacher et que ta partenaire se fait plaisir, ca fesse l’orgueil XD) et il allait devoir l’oublier, elle, tout en gravant son enseignement dans son crâne et ne jamais rien oublier. Il regarda encore une fois les beaux yeux de Nimelya. Quelque chose avait changé en lui et ce n’était ni bon, ni mauvais… juste nouveau, tout en étant là depuis un moment. Il sourit à la demoiselle. Il ne risque pas d’oublier cette nuit avec elle avant un petit moment, puis, il devra l’effacer de ses pensées.
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La sublime nymphe gratifia l’insolent de toute son expertise en matière de fellation, et continuait encore, et continuerai jusqu’à sentir au fond de sa gorge son sperme. Enfin elle entendit le râle libérateur du mâle, alors qu’elle recevait du sperme sous pression, depuis le temps qu’il attendait d’être ainsi pompé, et s’en délecta, en avalant une partie, le surplus coulant en fines trainées d’entre ses lèvres. Nimelya adorait ce goût, au moins autant que celui de la cyprine, et elle lui devait bien ça, lui qui l’avait par deux fois nettoyée déjà.
Puis il l’embrassa, ce qui surprit agréablement la nymphe qui ne s’y attendait pas du tout, et elle partagea avec plaisir ce foutre qui venait de sortir avec son propriétaire, mêlant une nouvelle fois sa langue à celle de son élève d’un soir, alors que sa main, elle, continuait toujours de masturber lentement la verge de Kamui, des fois que celle-ci aurait encore quelques ressources. Oui elle avait joui à plusieurs reprises, tout comme l’ex-puceau, mais après, s’il y avait encore du plaisir à prendre là, elle ne se priverait pas. Et puis il lui caressait la joue, et dès que le baiser s’acheva, il la remercia, ce qui fit sourire, d’un léger amusement notamment, la nymphe, qui répondit aussitôt, toujours aussi sensuelle :
- Tu l’as bien mérité… mais peut-être en veux-tu encore un peu ?
Nouveau baiser, quelques caresses échangées des deux amants, mais là fin n’était peut-être pas pour tout de suite, ça ne dépendait plus vraiment de Nimelya qui ne l’aurait pas forcé à en donner plus après cette première prestation que l’on pouvait qualifier de bonne.
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Le coté sombre de Kamui esquissa un sourire amusé lorsqu'elle montra le désir de continuer. Il l'obligea à se lever et la regarda dans les yeux. Il s'approcha de son visage pour lécher le surplus de sperme qu'elle n'avait pas pu avaler des deux cotés de ses lèvres. Kamui sourit et retourna l'embrasser, ayant très bien compris qu'elle aimait le gout de la semence. Les caresses de la main de la demoiselle sur son sexe avait tôt fait de lui donner une nouvelle érection. Il posa sa main sur le poignet de Nimelya, l'incitant à s'arrêter, si elle désirait qu'il puisse continuer de bander et lui donner encore plus de plaisir. Son regard gris était empreint d'une assurance toute fraîche. L'étudiant fit reculer son amante contre un mur, plaçant ses mains à coté de ses flancs. Il l'embrassa tendrement sur les lèvres, quoique... quelque chose était différent dans ce baiser, même Kamui le remarqua. Il n'arrivait pas à discerner quoi, exactement. Son regard était infiniment sérieux, pendant qu'il plongea ses yeux d'acier dans ceux de Nimelya. Il remarqua son attitude plus posée, frôlant la dominance.
-Si vous avez envie de continuer, belle maîtresse, alors laissez-moi vous accorder une nouvelle fois ce monde de plaisir qu'accorde la jouissance.
Il remarqua que même sa voix avait changée. Elle était plus douce et encore bien plus profonde, comme s'il avait soudainement vieillit. Il caressa doucement la joue de son amante, sans décrocher son regard du sien. En la regardant, il comprit immédiatement la différence entre avoir une relation sexuelle libre et faire l'amour. Dans le premier cas, on n'apprécie que le moment présent, puis on regrette, le plus souvent, parce que on ne peut pas vraiment dire qu'on a séduit notre partenaire. Surtout qu'il n'y avait que très peu de chance qu'il ne la revoit. Il savait qu'elle lui avait mentit pour son rôle de professeur et il s'en balançait sincèrement. Elle n'avait aucun sentiment à son égard, comme il n'en n'avait guère davantage pour elle. Ses propres réflexions lui arrachèrent un sourire. Il était trop tard pour regretter.
Il brisa le contact visuel avec sa belle amante pour aller l'embrasser dans le cou. Ses mains allèrent se poser sur les poignets de la demoiselle, les emprisonnant entre elles et le mur, l'immobilisant.
-Laissez votre serviteur vous faire du bien, encore une fois.
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Nimelya se laissa entièrement faire par Kamui, devant se lever, puis il lécha le sperme restant, avant de partager un nouveau baiser, après avoir sourit. Puis il force la belle nymphe à lâcher son jouet tout fraîchement durci, une nouvelle fois, et elle le laissa faire sans un mot, mais avec un large sourire amusé. Le jeune ex-puceau avait bien changé, tant dans son regard, que son attitude, plus assurée, que sa voix également, pour peu, on aurait pu jurer qu’il voulait à son tour entrer dans le rôle du dominateur, et la belle brunette le laissait jouer à ça… sans un mot, sans lui répondre.
Elle apprécia les baisers qu’il lui déposât dans le cou, elle n’aurait pu affirmer le contraire en tout cas… quelques petits frissons naissaient, et il lui caressait même la joue, puis il s’est finalement saisi des poignets de la demoiselle, les plaquant au mur, l’emprisonnant ainsi, et la belle divinité souriait, tout en ayant tout le long soutenu le regard de Kamui, elle ne lui laisserai pas mener la danse, c’était elle l’enseignante, et à vrai dire, elle voulait juste lui refaire attendre l’orgasme à lui, elle, elle en a assez eu, mais… c’est peut-être une bonne occasion de lui apprendre autre chose…
Nimelya rit légèrement, puis le lycéen se retrouva soudainement face au mur, alors que la nymphe s’était « dématérialisée », et réapparût quelques instants plus tard assise sur le bureau destiné aux professeurs, les jambes croisées, les mains reposant sur le bord du bois, et elle observait silencieusement, mais avec un large sourire sa proie. Dès que celle-ci eût repéré à nouveau la belle brune, celle-ci lui lança, quelque peu moqueuse, mais ferme :
- Alors, tel l’apprenti pêcheur, ton poisson a glissé ?
Puis, amusée, elle reprit plus fermement.
- C’est moi l’enseignante, tu es mon petit élève qui doit se soumettre à mon autorité… tu devrais laver quelques tables pour mieux t’en souvenir…
Elle s’amusait vraiment de la situation, la belle nymphe…
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[Rohhh, elle peut pas le laisser se marrer, parfois? C'est très cruel XD]
Kamui ne put s'empêcher d'en sourire. Vraiment, cette femme avait un don pour l'énerver. Il avait complètement oublié ce truc. Elle s'était à nouveau volatilisée ne son emprise. Quelque chose lui dit qu'elle était assise quelque part dans son dos. Donc, pour s'en assurer, il la trouva assise sur le bureau. Il sourit puis s'adossa au mur, regardant son "professeur", amusé. Il avait beau essayer, il savait qu'il ne pourrait pas être le dominant dans à ce petit jeu que sa maîtresse semblait apprécier, il ne comptait pas lui retirer ce plaisir, lui-même y prenant goût, à force d'y être exposé. Répondant à son ordre, il soupira quand même et empoigna le linge de nettoyage. On dirait bien qu'elle se marrait à foutre sa fierté en l'air, et lui, il commençait à en avoir plein le dos. Il empoigna le linge et se remit à son travail de colle. Bah, comme quoi il devait déjà le faire... Il nettoya le bureau où dégoulinait un peu de cyprine qui avait été laissé là. Il soupira une nouvelle fois. "Que de gaspillage..." S'affligea-t-il. Il nettoya le liquide puis tout ce qui était par terre. Il mourrait d'envie de retourner vers Nimelya mais bon, sa personnalité refoulée était un peu moins dépendante des caresses que son attitude normale, il pouvait donc résister avec moins de difficulté.
[Ne pas se faire regarder pour une nymphe, ça, c'est énervant [référence: Narcisse]]
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( Désolé du retard, je fais au mieux vu les circonstances… )
La nymphe regardait le lycéen dans son attitude qui l’amusait, il soupirait, mais s’affairait à sa tâche, couilles à l’air, elle se retint de justesse de laisser un rire s’échapper, mais elle ne bougeait pas, le regardant, bien bandé, nettoyer la place de leurs ébats précédents… et tout ce qu’elle avait elle-même laissé traîner comme salissures.
- J’ai une vraie punition en tête pour toi… tu risques de peu apprécier, mais qui sait… enfin, en tout cas, ça sera un bon enseignement, je n’en doute pas…
Elle ne riait plus, elle était assez ferme, elle ne comptait pas lui laisser le choix, alors qu’elle reposait ses pieds au sol, et, toujours aussi nue, elle s’approcha un peu, de quelques pas à peine, avec un petit sourire qui n’avait rien de vraiment rassurant. Mais à l’attitude que venait de prendre le jeune Kamui, allait-il se laisser faire, ou pas du tout ?
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Encore? Ah non, là, Kamui en avait plein le cul. Il se tourna vers elle, fronçant les sourcils. Loin d'être le jeune homme qu'il était il y a quelques minutes, il affichait un air beaucoup plus mature et froid. Il était loin d'avoir envie de se retrouver une nouvelle fois ficelé comme un saucisson. Il aurait été sur Terra qu'il n'aurait pas oublié d'emmener son sabre, mais là, il était nu, sans aucune arme à ses côtés. Il ne se souvenait pas d'avoir fait une quelconque erreur qui lui valait une punition. Il n'avait pas non plus l'intention de finir cette soirée sur un mauvais pied avec la belle demoiselle qui l'avait traité en parfait serviteur de ses désirs... pas que ça lui ait déplu, mais quand même.
-Je n'ai pas envie de me retrouver devant toute ma classe nu comme un ver et mourir de honte.
Il regardait la belle dame avec un air révolté. S'il devait montrer qu'il n'est pas le même homme qui s'était occupée de ses plaisirs charnels, il n'hésiterait pas à se défendre. Elle avait beau être très belle, avoir la peau la plus douce du monde, des lèvres savoureuses et une voix envoûtante telle la plus belle des chansons, il n'avait pas l'intention de devoir se couper une main pour se sortir d'un piège dégradant. Il avait déjà dépensé beaucoup plus que sa fierté ne le lui permettait. Il resta cependant immobile, il ne connaissait pas ses intentions. Il ne lui faisait pas confiance, il avait déjà commis cette erreur et il en avait pâti, alors, très peu pour lui.
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Kamui ne semblait plus aussi docile qu’il l’avait été jusqu’alors, ce qui sembla amuser la nymphe plus qu’autre chose, c’est vrai que c’est toujours plus amusant d’avoir un peu de résistance, mais pourquoi résister, après tout, il avait reçu, et donné, bien du plaisir, alors pourquoi se priver d’en avoir encore juste un peu plus ? Quoi qu’il en fût, le jeune homme fendit le silence d’une remarque presque amusante, à laquelle Nimelya rétorqua simplement :
- Si j’avais voulu te faire vivre une telle expérience, je ne serais pas revenue, plus tôt…
La belle haussa les épaules, observant toujours sa « proie », penchant la tête d’un côté, puis de l’autre, en conservant son petit sourire mystérieux qui n’en disait guère plus sur ses intentions. Sa jupe et son chemisier réapparurent soudainement, lui faisant quitter sa nudité, puis elle gagna quelques petits centimètres, se retrouvant à nouveau chaussée, avant de dire, l’air amusé.
- Si tu ne veux plus jouer, le cours est sans doute fini, car tu l’as décidé, tu n’es pas un si bon élève que ça, même si tu as failli me combler totalement.
Elle jouait avec lui, choisissant bien ses mots, et déjà elle s’était retournée, se dirigeant, avec un déhanché exagéré, vers la porte de la salle…
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La réponse de Kamui à cette menace de départ ne se fit pas attendre. Sans savoir pourquoi et sans même le vouloir, il se précipita vers la belle demoiselle et l'enlaça pour l'empêcher de partir. Son regard était de nouveau doux, son coté tendre avait supplanté son coté sombre, qui n'aurait nullement réagit à cette provocation. Cependant, il devait admettre une chose; elle le tenait dans sa main comme une marionnette. Il ne voulait surtout pas qu'ils se séparent sur des mots comme ceux-ci, car il n'aime déjà pas les adieux, alors avec de telles paroles...
Son bras gauche enlaçait son abdomen et son bras droit, les épaules et le haut du buste, de manière à l'empêcher de se déplacer avant de l'avoir repoussé. Évidemment, sa nudité était plutôt embarrassante, puisque ca réduisait plutôt largement sa crédibilité, il aurait bien aimer être capable de faire au moins réapparaître son pantalon, mais bon. Il murmura doucement.
-Je préfère être attaché de partout plutôt que de vous voir partir sur cette sorte de mots.
Il ne l'avait pas totalement comblée, à ses dires, et il aimerait finir ce qu'il a promis de faire. Il resta immobile, attendant tranquillement qu'elle lui appose son verdict, quitte à se faire ficeler et à la voir partir de toute façon, mais il ne pourra pas se reprocher de n'avoir rien essayer.
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C’était bien trop facile pour Nimelya de jouer avec ce petit humain, encore puceau il y a quelques longues minutes. Elle se sentit enlacée en emprisonnée par Kamui, et s’arrêta, avec un sourire des plus amusé sur le visage. Au murmure du jeune homme, la nymphe se mit à remuer son postérieur contre la verge qu’elle sentait contre ses fesses, s’amusant vraiment à le provoquer sans la moindre honte, bien au contraire.
La belle brune était en extase, elle mouillait un peu rien qu’à l’idée de ce qu’elle allait lui faire, sans doute pire encore que ce qu’il avait déjà dû subir, mais il serait sans doute bien récompensé s’il redevenait le petit être docile qu’il savait si bien être. Elle murmura, très sensuelle :
- Si tu ne désires pas me voir partir, je n’aurai pas besoin de t’attacher pour te faire découvrir la pénétration anale, n’est-ce pas ?
Elle devait se retenir de rire, néanmoins elle était plus que sérieuse dans ses propos, et il n’avait guère le choix s’il ne voulait pas que la divinité disparaisse pour de bon, cette fois-ci. Une punition, s’en était une, il avait fait quelques écarts depuis sa dernière éjaculation, se montrant trop entreprenant, mais même sans ça, ce serait peut-être une expérience pas désagréable, elle saurai prendre son temps pour bien le préparer…
(Désolé… xD)
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[T'es fortiche sur les mystères XD]
La pénétration anale? Est-ce que Nimelya était vraiment sérieuse? Kamui avait du mal à croire qu'une femme pouvait avoir le désir de se faire pénétrer par cet endroit surtout que... bon, si elle en avait manifestement le désir, alors, il devait le respecter, mais c'était loin d'être une idée qui le charmait particulièrement. Il passait sa première fois avec une femme pas très normale... d'ailleurs, il commençait même à douter qu'elle était humaine. Quelque chose était différent chez elle qui l'envoutait sans cesse à chaque fois qu'elle faisait un mouvement. Mais son corps réagissait à cette espèce de "phéromone" et son esprit n'avait plus sa juridiction là-dessus. C'est pourquoi que, avec une infinie délicatesse, il lui fit tourner la tête pour l'embrasser sur les lèvres. Le baiser dura un moment puis il se brisa.
-Je ferai tout ce que vous voulez. Tant que vous restez, vous n'avez nul besoin de m'attacher.
Doucement, il s'aventura à l'embrasser dans le cou, un endroit où il se rappelait que les baisers lui étaient très agréables. À petits pas, il l'éloigna de la porte, sans l'y obliger, mais plus ils en étaient loin, mieux il se portait. Il ne savait pas si elle voulait vraiment cette sorte de traitement qu'il considérait comme dégradante, mais si c'était son souhait, il ne pouvait pas se dresser contre elle.
-Dès que vous êtes prête, belle maîtresse, je me plierai à votre demande.
-
(Trop... ^^)
Nimelya apprécia l’attitude de son insolent élève, et en sourit. Nouveau baiser entre les deux complices, qui fut plutôt court, et il avait cédé, déjà, ça aura été plutôt rapide. Quelques baisers dans le cou, la nymphe ferma les yeux, appréciant comme toujours ses baisers dans le cou. Elle se laissait même éloigner de la porte, avant un amusement certain, comme si elle allait partir, mais elle se demandait s’il avait bien compris le sens de ses précédents mots.
Il allait se plier à sa volonté, et ça lui plaisait. La nymphe se laissa faire un moment, avant de finalement se défaire de l’étreinte, cessant par la même occasion de remuer ses fesses contre cette verge dure qui s’offrait à elle, et elle se retourna, faisant face à son élève.
- Si tu es prêt, mets-toi à quatre pattes, mon petit…
Kamui n’avait probablement pas compris qui allait se faire pénétrer, ce qui augmenta l’amusement de la belle Nimelya, mais il pouvait encore refuser, s’il en avait vraiment l’envie…
-
[Cruel...]
Kamui comprenait maintenant le sens de ce qu'avait dit Nimelya. Elle n'avait pas du tout l'intention de se faire sodomiser, elle parlait de lui! "T'es complètement con! Tu ne vas pas la laisser te faire ça!" faisait la voix de son coté sombre de sa tête. Mais il lui avait promis de la combler totalement. Il serra les dents, sachant qu'il était lié à ses ordres par sa promesse. Sa fierté allait en prendre un sale coup et là, il était sur qu'il aurait certainement envie de se buter par la suite ou alors, rayer ce souvenir de sa mémoire. Il allait certainement se donner à fond pour tuer tous les mecs sur sa liste de chasseur de prime de Terra pour chasser cette honte de son esprit.
-Je n'ai pas le choix, à ce qu'il semble...
Il s'éloigna un peu de la demoiselle et s'agenouilla, posant ses mains sur le sol, les poings tellement serrés que ses ongles s'étaient enfoncés dans sa chair, les yeux pleins de fureur.
-Commencez... qu'on en finisse...
Il était loin d'être excité par ce qu'il allait subir. Son sexe était tout ce qui avait de plus mou et lui, il n'avait jamais autant regretté d'avoir accordée sa parole à cette femme. Il se maudissait d'être aussi soumis et loyal. Il ferma les yeux et essaya de bloquer les sensations qui allait suivre de son esprit. Il était si honteux de se laisser faire que ses joues en prirent des teintes rouges.
-
Nimelya sourit en voyant sa petite chose se faire très docile et obtempérer sans vraiment râler, bien qu’à l’en croire, il n’était pas du tout, mais alors vraiment pas du tout, motivé à se faire prendre lui aussi, et pourtant, il allait se laisser faire.
Elle laissa un moment se passer, de longues secondes, qui devinrent des minutes, et elle l’observait, sans dire mot. Elle ne faisait que d’attendre qu’il se décontracte un peu, elle n’était pas non plus pressée, et ne comptait pas le faire sans raison. Et puis, c’est bien connu que les profs ne sont pas toujours appréciés, ce n’est pas pour autant qu’ils ne sont pas de bons enseignants !
Finalement, la nymphe rompit le silence, d’une voix douce, basse, alors qu’elle ne s’était toujours pas approchée du tout de Kamui.
- Ce sera la dernière leçon sans doute, détends-toi et laisse toi aller à des sensations que tu risques d’apprécier bien plus que tu ne le penses, petit effronté.
Ceci dit, la belle brunette s’approche, et se mit à genoux derrière son élevé, venait contre lui, et elle se saisit de son membre redevenu mou et se mit à le caresser lentement, de toute son expertise, de toute sa douceur…
La seconde main, elle, lui caressait les fesses, alors qu’elle le regardait avec un petit sourire mi-tendre, mi-amusé, tant la réaction de son ex-puceau est démesurée . Elle se mit finalement à lécher ce fessier, s’approcher de plus en plus de la raie, puis de la rosace, qu’elle commençait à titiller du bout de la langue, sans cesser la lente masturbation qu’elle avait entamée.
-
La dernière leçon... Kamui comprit que cette soirée allait se terminer avec un inconfort anale. Ironique, n'est-ce pas? Lui qui avait toujours voulut éviter un tel traitement, il allait se laisser faire par la jeune demoiselle qui le masturbait avec douceur et expertise. À sa demande, il commença à se détendre, surtout parce qu'il sentait qu'elle commençait à lécher son fessier puis sa rosace. Sa douce langue sur cette partie jamais caressée auparavant était plutôt agréable, il ne pouvait le nier. Son corps de détendit doucement, résigné au traitement qu'il allait recevoir. Elle persistait à vouloir lui balancer des injures, et ça commencait à lui plaire tant il y était accoutumé, maintenant. Il essayait quand même de ne pas songer à ce qui l'attendait pour plus tard, mais il savait qu'il allait devoir mimer le plaisir s'il n'en recevait pas et ce, juste pour le bon plaisir de sa première amante. Sous l'effet des caresses, son anus commença à se détendre. Il laissa donc quelques mots lui échapper malgré qu'il n'avait pas du tout envie de les prononcer.
-Si vous le dites, maîtresse, alors, je devrais certainement apprécier ce traitement.
Évidemment, il était beaucoup trop soumis pour refuser le traitement qu'elle allait lui offrir, mais il n'en retirait aucune joie. Il allait se faire pénétrer analement et tout ce qu'il pourrait faire, c'est d'essayer d'apprecier cette pénétration. Il ferma les yeux et prit une inspiration et attendit la suite.
-
- Ca fait partie du sexe, et il y a encore bien des choses que tu découvriras, Kamui…
Nimelya avait cessé les mouvements linguaux, le temps de prononcer ces quelques mots, et déjà elle s’était remises à ses léchouilles, forçant de sa langue cet anus qui se détendait lentement. Quelques dizaines de secondes plus tard, elle cessa, approchant un doigt libre pour venir faire quelques petits cercles sur le petit trou du jeune élève, sans cesser de la masturber, avec plus de conviction que précédemment.
- Oublie aussi tes préjugés, il n’y a rien d’humiliant… mais je peux y remédier.
La voix était presque rieuse, à vrai dire, la nymphe ne savait pas du tout si ce serait la dernière leçon ou pas, mais le gamin voudra sans doute aller dormir, à un moment ou un autre…
Elle se contentait de continuer ces caresses, déposant quelques baisers dans le bas du dos de Kamui, le mordillant même, toujours en douceur, de temps en temps.
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Ses caresses arrachèrent quelques soupirs de plaisir à Kamui, et ce, bien malgré lui. Les mouvements de Nimelya était plus plaisant et son sexe se dressait bien doucement. À ses dires, elle ne le faisait pas pour l'humilier, mais pour lui enseigner. De ce point de vue, c'était bien plus agréable de se faire sodomiser, mais bon... ca restait qu'il n'était pas froncièrement enchanté non plus. Un truc que Kamui ne put s'empêcher de remarquer, c'était que Nimelya était bien plus douce durant une activité sexuelle qui ne me plaisait pas vraiment. Contrairement à ce que croyait la demoiselle, Kamui pouvait encore tenir des heures. Au pire, il l'emmenerait au dortoir pour poursuivre, si elle désirait prolonger cette nuit.
L'anus du jeune homme était totalement détendu, malgré lui, car les caresses et les mots de la nymphe ont eu raison de sa résistance. Après tout, ce n'était qu'une relation sexuelle, non un viol, il ne devait en tirer que du plaisir et découvrir de nouvelles sensations. Même si se faire sodomiser ne figurait pas sur son plan de vie, il se devait d'essayer d'apprécier et de toute façon, c'était une expérimentation, alors, rien n'était déplacé.
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La nymphe sourit en entendant les premiers soupirs de son ex-puceau. Elle constata avec plaisir qu’il était bien détendu, et l’index qui se promenait sur cette rosace disparut, le temps que Nimelya, toujours excitée, elle, alla chercher un peu de mouille dans son intimité, en guise de lubrifiant. Il revint bien vite, et il se fit toujours doux, très doux, elle voulait qu’il apprécie l’instant, et la sublimissime brunette força, lentement, jusqu’à voir une première phalange pénétrer l’insolent gamin, puis une seconde, et elle s’arrêta là, pour le moment, le laissant s’habituer à cette nouvelle approche.
Elle sentait également la verge qu’elle avait bien en main durcir à nouveau, lentement mais sûrement, comme si c’était un encouragement à ce qu’elle continue, mais elle n’en fit rien du côté anal. La verge par contre, elle, avait toujours droit à ses aller-retour de cette main qui allait parfois plus vite, qui serrait en d’autres instants plus fortement, qui ralentissait à nouveau, ce pal de chair qui se voyait par instants abandonné, alors qu’elle, cette main agile, allait jouer avec les bourses de l’adolescent, avant de revenir s’affairer sur cette hampe qui devenait de plus en plus dure.
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Kamui sentit le doigt de son amante entrer tout doucement dans son anus, mouillé de cyprine. Ce n'était pas si désagréable. Sa verge bien tendue, caressée par cette main experte, se gorgeait toujours de plus en plus de sang. Elle lui caressait les testicules pour lui donner un peu plus de sensations. Le doigt dans son anus en était pratiquement oublié.
Maintenant, la question que se posait Kamui, c'était si elle avait de la suite dans les idées. Il était presque soulagé que cette pénétration n'en restait qu'à un simple doigt. Comme elle avait plusieurs pouvoirs, Kamui avait craint qu'elle pouvait se faire pousser un sexe, ce qui aurait été assez... bah, gênant, si on puis dire ainsi. Parce que déjà que ce doigt lui donnait une drôle d'impression. Il soupire un peu à nouveau lorsqu'elle revient caresser son pénis bien bandé, mais ne bouge pas sans sa demande.
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La nymphe s’amusait de la situation, encore et toujours, mais surtout, elle prenait un plaisir certain à voir le gamin prendre du plaisir dans ce début. En effet, tout ne faisait que commencer, et ça durerai encore un moment, à n’en pas douter. La brunette continua d’enfoncer son doigt, jusqu’à l’avoir entier en Kamui. Elle se mit ensuite à aller et venir en lui, lentement, faisant des petits cercles également, dilatant ainsi l’anus de son ex-puceau.
De son autre main, la masturbation qu’elle offrait à l’adolescent se poursuivait, redevenant plus lente : elle ne voulait pas le faire jouir trop vite non plus. Elle léchait et mordillait le bas de son dos ou ses fesses également. Dès que le fondement de Kamui fût assez détendu, un second doigt rejoignit le premier…
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Pourquoi Kamui avait l'impression que c'était pas mal plus plaisant que ce qu'il croyait? Le doigt dans son anus n'étais pas désagréable, c'était bizarre, mais pas dégueux. Les caresses sur son sexe diminuaient leur vitesse, l'empêchant de jouir trop vite. Lorsqu'il sentit un second doigt entrer dans sa voie d'évacuation, il en fut légèrement surpris mais il se détendit, se rappelant qu'elle ne voulait pas l'emmerder, mais lui faire goûter à de nouvelles sensations qu'il n'aurait jamais expérimentées par lui-même. Il cherchait surtout à tirer du plaisir de cet expérience et jusqu'à maintenant, il pouvait encore espérer apprécier. Son anus se dilatait plus facilement qu'au début, simplement parce qu'il était lui-même plus détendu. Il faisait des efforts pour rester calme, car il commençait à se demander où voulait en venir la demoiselle, que prévoyait-elle pour la suite? Il lâcha, bien malgré lui, un autre soupir de plaisir quand les doigts commencèrent à se déplacer indépendemment l'un de l'autre.
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La nymphe lâcha une nouvelle fois la verge de l’adolescent. Ses doigts s’enfoncèrent profondément dans sa propre intimité, venant y recueillir quantité de mouille qu’elle enduisit sur ses autres doigts, ceux qui allaient et venaient lentement dans l’anus du Kamui. Déjà bien lubrifié avant ceci, il ne l’était désormais que plus encore, et la pénétration des doigts se faisait mieux, plus rapide, ça glissait très bien…
Cela fait, la main revint se saisir du membre du gosse, et après quelques secondes de masturbation, elle lui lâcha, amusée toujours, mais envieuse de vivre ce qui allait suivre, surtout :
- J’espère que ça va te plaire…
A peine eut-elle fini qu’apparaissait un objet. Un objet, que Kamui ne pouvait pas encore voir ou sentir. De sa main libérée, elle lui caressa le dos, remontant sous sa chevelure, allant gagner sa nuque, puis retourna caresser son dos, alors qu’il se faisait toujours enculer de deux doigts, son sexe pour le moment délaissé.
-
Kamui pouvait sentir chaque caresse de Nimelya sur son anus et sa verge bien dur, mais il était toujours réticent à l'idée de se faire pénétrer. Bah quoi, ce n'est pas une pratique courante chez un homme hétérosexuel de se faire sodomiser. Il entreprit donc de se détendre pour rendre l'expérience plus agréable. Y'a un mec qui a dit un jour que la prostate était l'endroit où se trouvait le point G masculin (Des conneries, je dirais mais bon, faut écouter les binoclards) et que l'orifice qui donnait sur le plus proche accès, c'était l'anus. Tss, pour une fois, Kamui aurait souhaiter être une fille, LÀ, il n'aurait eu aucun état d'esprit.
-Je l'espère aussi...
Son sexe restait droit, prouvant que la sodomie ne l'inquiétait plus, qu'il s'y résignait. La seule chose, c'est le problème de s'asseoir par la suite. La prochaine fois qu'il rencontrera une femme du calibre de Nimelya, il fera attention... en fait, il va faire attention avec toutes les femmes, faut croire.
-
La nymphe savait ce qu’elle faisait, et même très bien, vraiment très bien. Sous ses airs actuels de salope, car oui, il y a peu d’autre mot utilisable dans cette circonstance précise, elle n’avait pas oublié qu’elle était une enseignante qui donnait un cours très particulier…
C’est vrai ça, combien de ces mecs qu’elle avait rencontrés dans sa longue vie avaient voulu l’enculer, sans prendre le soin de bien la préparer, la déchirant parfois presque ? Bien trop, là, il aurait peut-être l’envie de s’y essayer, mais au moins, il saurait comment s’y prendre, et surtout, prendre son temps, afin que le plaisir de l’acte soit partagé, et non humiliant ou douloureux.
- Tu n’as pas vraiment eu à te plaindre jusqu’à maintenant, alors… ça devrait bien se passer.
La main de la nympho qui s’égarait sur le dos de Kamui alla caresser son ventre, puis recommença une lente masturbation sur son pal de chair tendu. Elle avait bien senti qu’il n’était pas très réceptif à l’idée de se faire prendre, mais qui sait, peut-être allait-il aimer ?
L’anus de l’ex-puceau, qui allait perdre là une deuxième virginité était bien dilaté, très bien lubrifié par une certaine quantité de mouille déjà mise en place, et Nimelya gémit, sensuellement, avant de retirer ses doigts du fondement du noiraud.
On a pu entendre la boucle dune ceinture se refermer, car malheureusement, la nymphe ne pouvait se retrouver avec une verge en chair, bien gonflée, de ce fait, elle était forcée d’user d’un artifice que son pouvoir lui permettait de faire apparaître à souhait. Puis elle présenta le membre de latex – elle venait de se pénétrer avec celui-ci, afin de bien le lubrifié – face à rosace de Kamui, et elle poussa lentement.
Le faux pénis avait un petit diamètre, il était fait pour ce genre de circonstance, et après les deux doigts qu’il avait senti en lui, il ne devrait pas remarquer une grande différence, sinon une profondeur de pénétration augmentée de quelques petits centimètres. En fait, en comparaison à un pénis moyen, mais un vrai, l’artifice était à la fois plus court, et moins épais, de quoi l’initier en douceur. Elle le pénétra, puis entama de lent va et vient, continuant de le masturber de sa main droite, la gauche se caressant le dos du jeune homme.
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Kamui se demanda s'il était le premier amant de Nimelya qui subissait ce traitement. Il sentait l'objet s'enfonce dans son cul et dans un sens, ce n'était pas si désagréable qu'il ne l'aurait pensé. Le lent va et vient, la mastubation et la main dans son dos lui arrachait même des gémissements de plaisir. Il ferma les poings et les yeux, sentant l'objet s'enfoncer, ressortir et s'enfoncer un nouvelle fois dans un rythme plaisant. Il aurait bien aimé donner du plaisir à la Nymphe, mais là, il était un peu mal placé pour ca. Il ne comprenait pas vraiment pourquoi il devait prendre ça alors que l'idée de la sodomiser ne faisait pas parti de ses idées pour faire l'amour, mais vraiment loin de là. Kamui ne cherchait qu'à faire plaisir à son amante, alors, pour son plaisir, il laissa échapper de petits gémissements de plaisir, sans se plaindre davantage. Pour se montrer un peu plus réceptif, il alla même à la rencontre de Nimelya à chaque coup de bassin, s'approchant quand elle s'enfoncait, reculant quand elle en faisait pareil, gémissant juste pour elle.
(Je vois pas ce que je pourrais rajouter T_T)