Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => Le parc et son sous-bois => Discussion démarrée par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le vendredi 07 novembre 2014, 12:09:03

Titre: S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le vendredi 07 novembre 2014, 12:09:03
J'ai préféré vivre dans la rue quelques jours, histoire de ne pas trop attirer l'attention. Je comptais même continuer avant de recevoir une lettre, signe que des personnes savent que je suis ici. Les personnes en question n'ont pas été un problème, leurs intentions n'étaient pas mauvaises, enfin, pas envers moi en tout cas. Mais s'ils m'ont trouvé c'est que d'autres le peuvent surement eux-aussi et je n'ai pas l'intention de leur laisser le temps d'y parvenir. Cela peut sembler paranoïaque de ma part mais, si je me fais capturer je risque beaucoup trop. Après tout je ne serais pas la première succube à être transformée en sex-toy vivant grâce à un bon lavage de cerveau et à de longues séances de tortures sexuelles. J'en ai déjà vu une comme ça une fois, elle ne comprenait même plus son propre nom, elle ne pensait qu'à baiser, même sa propre survie lui était devenue égale. Si vous tombez sur ce genre d'esclavagistes, autant vous suicider directement, parce que tout ce qui vous attend c'est une existence en tant qu'objet, qu'on utilise, qu'on brise, qu'on jette, car oui, dans cet état vous vous contentez d'exister, vous ne vivez plus. Une vulgaire poupée de chair dépouillée de toute volonté, c'est très certainement ce que je deviendrais si je suis capturée et une vie de succube c'est une éternité, au sens propre du terme. Endurer cela pendant des siècles et des siècles, sans pouvoir compter sur le répit de la mort. Non c'est trop horrible, bien que ça ne m'empêchera pas de le faire aux autres pour autant, dès que j'en aurais l'occasion et le pouvoir.

Pour résoudre mon problème il ne me suffi pas de trouver n'importe quelle maison. Ça ne me plait pas trop mais, il faut que je trouve de puissantes créatures de Terra sur Terre qui soient de mon côté. Sans cette protection je suis condamnée à me faire capturer un jour ou l'autre, je suis une cible trop alléchante et trop facile à dégommer pour être simplement ignorée. Car ce n'est pas tous les jours qu'on croise une succube aussi jeune sans protection, d'habitude elles sont très bien entourées. Aucun chasseur d'esclaves digne de ce nom ne laisserait passer une telle prise. C'est ce qui m'a motivée à prendre des risques, car si j'attends passivement en espérant que ça passera je me ferais avoir de toute façon. Je me suis assurée que personne ne regarde et j'ai repris ma forme de succube quelques secondes, juste assez pour que toutes les créatures capables de sentir mon aura me repèrent. Elles purent déduire trois choses de cette aura : premièrement que je suis une succube car nous avons une aura particulière qui ne peut pas être confondue avec celle des autres démons, deuxièmement que je suis soit une succube qui a perdu ses pouvoirs, soit une jeune qui ne les a pas encore, à cause de la faiblesse de mon aura et enfin que c'était une invitation, car l'émission de l'aura n'a duré que quelques secondes, juste assez pour les "appeler". Maintenant que c'est fait, deux types de créatures vont répondre au signal, les chasseurs qui veulent me réduire en esclavage et les protecteurs qui me prendront sous leurs ailes en échange de faveurs sexuelles ou de la signature d'un contrat, voire les deux ou d'autres conditions.

J'ai beau être jeune, je réfléchis quand même un minimum, pas de risques inutiles. Je me pousse immédiatement après être revenue sous ma forme humaine, il ne faut pas qu'on me trouve en première. Un petit bosquet non loin de là m'offre une bonne cachette et une vue imprenable sur l'endroit où j'ai utilisé ma "balise de détresse". Je m'y cache, attendant patiemment que quelqu'un se manifeste. Et ça ne tarde pas à arriver, un homme arrive très vite, comme s'il me cherchait déjà et je le reconnais, c'est un chasseur d'esclaves qui me poursuivait déjà sur Terra. De ma cachette je le vois patrouiller, il me cherche c'est sûr et lui il ne veut clairement pas me protéger. Il commence à fouiller les bosquets, il n'a vu personne s'enfuir et il est arrivé vite, il doit penser, à juste titre, que je suis encore toute proche. Je sors immédiatement de ma cachette dans la direction opposée, si je reste ici il finira par me trouver et ce sera la fin pour moi. Mon seul espoir de m'en tirer c'est de maintenir mon ancienne cachette entre lui et moi de manière à ce qu'il ne me voit pas m'enfuir. Accroupie, je m'éloigne rapidement, priant pour que personne d'autre ne débarque. Il faut que je quitte le parc et que je m'éloigne le plus possible afin de ...

"OUMPHF !!!"

Tout mon air est brusquement sorti de mes poumons, un homme m'a bondit dessus pour me plaquer par surprise. Complétement sonnée par le choc je n'arrive pas à lui résister lorsqu'il me lie les mains. Je n'ai même pas le temps de parler avant d'être forcée à avaler une boule de tissus faisant office de bâillon. Je suis foutue. L'homme s'exclame triomphant :

"Et bien ! Tu nous auras bien emmerdée toi ! Trois semaines que tout le monde te cours après, bravo pour avoir tenu aussi longtemps mais, maintenant c'est fini ma jolie. Pas la peine de te torturer l'esprit au fait, vu le montant de la prime sur ta tête tu n'avais aucune chance et de toute façon tu n'auras bientôt plus aucun souvenir de tout ça. Même si tu m'échappais tu ne t'en sortirais pas, donc contente toi d'accepter ton sort et ne résiste pas."

Je me débat comme je peux, montrant ma vive opposition à ces projets me concernant ! Devant mon manque évident de coopération l'homme soupire, sortant une petite fiole de sa poche.

"Ce serait cruel de te laisser paniquer pendant tout le voyage, je vais t'endormir avec ça. Comme ça quand tu te réveilleras ton esprit aura déjà été altéré et tu n'auras pas eu à souffrir avant."

Je fais énergiquement "non" de la tête. Non mais ça ne va pas espèce de malade ? J'ai trop de projets à réaliser pour finir comme ça ! On doit pouvoir s'arranger non ? Non, on ne peut clairement pas s'arranger ... Il a ouvert le flacon et fait tomber une goutte du liquide sur mon nez. Pour moi c'était la fin, c'est comme si j'étais déjà morte. Ne voyant plus aucune échappatoire je me suis mise à pleurer, tandis que l'homme passait sa main dans mes cheveux en me disant :

"Ça va aller, ça va aller. Je te l'ai déjà dis, tu ne peux rien y faire. Tu verras, tu seras heureuse de servir tes futurs maîtres."

J'ai perdu connaissance.
Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le samedi 08 novembre 2014, 02:14:14
L’obscurité était tombée sur la ville depuis quelques heures maintenant. Elle ne le dérangeait pas, car elle était l’alliée naturel des vampires. Contrairement aux croyances populaires, beaucoup de vampires pouvaient survivre à la lumière du jour, mais tous, généralement, appréciaient le manteau de la nuit. La nuit était l’heure où les petits joueurs rentraient chez eux, la queue entre les jambes, afin de laisser parler les vraies prédateurs. Les gens comme lui... Bran Warren (http://nsa32.casimages.com/img/2012/11/28/121128105432444451.jpg), torse nu, était au milieu du parc, juché sur un arbre, dissimulé dans l’obscurité, et voyait passer devant lui des proies potentielles. En soi, il était un peu inutile, pour lui, de s’abaisser à chasser les humaines comme un vulgaire pervers sexuel en manque. La totalité des femmes du harem de sa sœur bien-aimée auraient été ravies de lui offrir leur gorge, mais, contrairement à sa sœur, Bran, lui, était un vampire-chasseur. Un prédateur nocturne qui aimait sentir le long de son échine le frisson de la chasse. Il avait besoin de ce genre de moments, car ils lui permettaient d’être plus en phase avec ses sens, avec sa puissance et avec ses capacités. Il se sentait alors coupable d’abandonner sa sœur, de ne pas veiller sur elle, et se rassurait en se disant, d’une part, qu’elle était à l’abri au sein du manoir, et, d’autre part, qu’il faisait ça comme une espèce d’entraînement.

Le parc central de Seikusu était une grande structure verte perdue au milieu de la ville, si grand qu’il s’apparentait en fait à une petite forêt, comprenant un sous-bois profond. La nuit, la police déconseillait aux citoyens de s’y rendre, en raison des multiples agressions potentielles qui y avaient lieu. Le parc avait en son centre un agréable restaurant, qui fermait à partir de Minuit, et le parc lui-même fermait une demi-heure plus tard. Pour autant, il y avait toujours quelques personnes qui jugeaient bons de s’y rendre. Bran était là pour les cueillir. Contrairement à sa sœur, il était un guerrier, un chasseur, qui avait été entraîné pour utiliser au mieux ses instincts vampiriques dans le combat.

L’homme s’attarda sur une cible potentielle, une jeune femme qui était sur son portable, écoutant de la musique. Une proie presque trop facile... Trop facile pour lui. Elle devait probablement écrire à ses copines, pour parler de son rencard avec un homme. Elle était plongée dans son monde. Il pourrait tomber sur elle et l’immobiliser très rapidement, mordrait dans son cou, et la prendrait contre le sol. Il n’y avait là aucun challenge, aucun piquant. Tout cela, il pouvait le faire au manoir. Bran voulait un peu d’action, il voulait ressentir le frisson sur son échine. S’il l’avait pu, il aurait préféré se rendre dans les profondes forêts sur Terra, mais y aller aurait été se séparer trop longtemps de Mélinda, ce qu’il ne pouvait tout simplement pas faire. Il avait un besoin compulsif de sa sœur, de la voir en train de dormir, de lui faire l’amour, de la voir faire l’amour. S’éloigner d’elle le déprimait, le rendait plus colérique, beaucoup plus instable.

Alors qu’il commençait à se dire que cette morne soirée n’avait rien de palpitant, et qu’il ferait mieux de retourner humer l’odeur de sa sœur et caresser l’ourlet de son corps, il sentit alors quelque chose de particulier. En tant que vampire, il disposait d’un sixième sens vampirique, lui permettant de capter les groupes sanguins autour de lui. Un pouvoir très utile, un don qui faisait qu’il était virtuellement impossible de piéger un vampire... Et ce sang était... Juteux. Un sang sucré, chargé de délicieuses odeurs. Bran se déplaça rapidement, descendant sur le sol, longeant les arbres et les buissons.

« ...Bonne, cette salope ! »

Bran s’arrêta prudemment derrière un tronc d’arbre. Plusieurs individus encerclaient une jeune femme posée sur le sol... Une démone. Vu l’odeur particulière de son sang, le bel éphèbe optait pour une succube.

« On doit vite la ramener. C’est une démone, je ne sais pas combien de temps le somnifère fera effet...
 -  Oh, ta gueule, Kyle ! L’alchimiste nous a dit qu’il l’endormirait pour plusieurs heures. Ça nous laisse donc le temps de la ramener... Mais avoue que ça serait dommage de se priver d’un si joli minois.
 -  T’es... T’es sérieux, là ?!
 -  J’ai l’impression d’entendre un pédé de puceau... Oh, Kyle, on se réveille ! Regarde-moi cette pute, et dis-moi que t’as pas envie de te la faire !
 -  Si, mais...
 -  T’as jamais baisé une femme pendant son sommeil ? Crois-moi, mon pote, c’est magique... Comme se taper une putain de poupée gonflable, mais avec un vrai corps. Car, pendant qu’elle dort, son organisme continue à tourner, tu piges ? C’est comme fourrer une nana, mais sans tous ces cris de salope. »

Ces types traquaient une succube, probablement pour la ramener à Terra. D’autres esclavagistes ? Ils n’avaient pas l’air de ressembler à des paladins, en tout cas. L’un d’eux avait retiré son pantalon, mastiquant son mandrin en se rapprochant de la femme. Bran, lui, se disait que ce serait un joli cadeau à offrir à sa sœur. Une belle succube...

« J’vais m’la faire en premier... Putain, ouais, une succube, j’en rêve depuis des mois... Allez, ma belle. »

Sa grosse main potelée vint caresser l’un des seins de la femme, et l’autre se déplaça vers la culotte noire de la femme. Ils étaient trois, l’encerclant. Bran se décolla lentement de son arbre. Tout ça allait être très rapide. Il était aussi furtif qu’une ombre, dans une partie du parc où aucun lampadaire n’était présent. Prudemment, il avançait le long de l’herbe, cette dernière étouffant ses pas. Deux des trois étaient côte à côte, lui montrant son dos, observant le troisième se masturber contre la culotte noire de la démone.

Les griffes de Bran jaillirent d’un coup, et égorgèrent les deux hommes, passant devant eux, glissant sur leurs cous. Ils se mirent à gargouiller, et le troisième homme, se surpris se redressa... Pour voir Bran l’attraper par le cou et le plaquer contre le sol.

« HAAAAAAAAAAAAAA... !! » hurla l’homme de terreur.

La dernière chose qu’il vit fut les crocs de Bran fondant sur lui, des canines pointues et acérées, qui se plantèrent dans sa gorge, sectionnant sa veine, et s’aspergeant généreusement de son sang. Le corps de l’homme se débattit faiblement, avant de cesser de remuer, inerte. Bran se redressa, et essuya son visage recouvert de sang, puis contempla le corps de la femme, inerte, couchée à ses pieds... Et grogna.

« Baiser une femme endormie... »

Il considéra les queues rabougries des trois imbéciles heureux, et attrapa la femme, la tenant entre ses bras. Il regarda brièvement son beau visage... Et se dit que Mélinda serait ravie. Il la prit entre ses bras, et s’éloigna du parc, laissant les trois cadavres derrière lui.



La succube était allongée dans un confortable lit, au sein d’une chambre assez grande et confortable. C’était un lit deux places, et, quand elle commença à se réveiller, Zan (http://fc08.deviantart.net/fs70/i/2012/050/6/0/zan_by_sakimichan-d4qbr99.jpg), la jeune femme qui veillait sur elle, s’extirpa de son siège, reposant son livre, et se pencha vers son visage, l’embrassant tendrement sur le front.

« Vous vous réveillez ? Rassurez-vous, vous êtes dans un endroit familier... »

Zan disait ça, mais, en fait, elle ne savait pas trop si la femme l’entendait.
Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le samedi 08 novembre 2014, 14:15:13
Le développement de mes pouvoirs de succube a été altéré par ma traque. À force d'être menacée, mon corps a lentement construit des défenses qui n'attendent qu'une bonne occasion pour se manifester. Sous l'effet du somnifère j'ai anticipé mon dressage en rêve, imaginant les tortures que j'allais subir. Le stress ressenti m'épuise, cette pression me force à évoluer vers une branche bien particulière des capacités de ma race. Les effets du somnifère sont encore actifs, si bien que je me retrouve dans un état de semi-conscience où mon esprit se croit encore menacé. Dans cet état, Zan est perçue comme une menace et comme une source idéale de nourriture pour me remettre sur pieds. J'ai tellement mal à la tête ... Je commence à remuer.

"Vous vous réveillez ? Rassurez-vous, vous êtes dans un endroit familier..."

Une main invisible vient se plaquer sur la bouche de la jeune-femme, tandis qu'une autre appuie sur l'arrière de sa tête pour l'empêcher de bouger. Physiquement son corps n'est soumis à aucune force, à aucune contrainte mais, son esprit lui ne voit pas les choses de cette façon. Les mains se multiplient, certaines attrapent ses vêtements et tirent dessus, d'autres la poussent dans le dos, d'autres encore l'attirent vers moi, elle peut également sentir des caresses, qu'on cherche à lui immobiliser les membres. Si quelqu'un d'autre avait été dans la pièce, il aurait simplement vu Zan penchée sur la succube, comme hypnotisée par son visage. J'ouvre les yeux et je la vois, juste au-dessus de moi, à ce moment là j'ai été enlevée et droguée pour être transformée en esclave, donc cette femme ne peut être qu'une ennemie. Je n'ai pas l'intention d'attendre de comprendre la situation pour me défendre. Je plonge mon regard dans le sien et elle se sent irrésistiblement aspirée par mes yeux, comme si elle était en train de tomber dans ma direction au ralenti. Elle commence à entendre des rires de femmes tout autour d'elle, des gémissements explicites, tandis que sa vision se trouble peu à peu. Jusqu'à ce qu'il n'y ai plus que du noir.

Elle se réveille en sursaut dans la même pièce, avachie dans sa chaise, son livre est tombé par terre et la succube qu'elle devait surveiller n'est plus dans le lit. Le manoir est totalement silencieux, l'extérieur aussi, à l'exception du rire amusé d'une jeune-femme dans le couloir. Elle a gardé tous ses vêtements, elle n'a aucune blessure, vraisemblablement elle a juste dormi, rien de plus. Quand elle ira voir dans le couloir, elle constatera qu'il n'y a personne et que le rire s'est arrêté. Dans la chambre qu'elle vient de quitter elle entendra une voix :

"Tu veux jouer à un jeu ?"

En se retournant elle constatera qu'il n'y a personne à nouveau, puis la voix de la succube retentira à nouveau dans le couloir :

"Je suis allée jouer dehors."

Là non plus il n'y aura personne, puis il n'y aura plus aucun bruit, Zan ne croisera personne dans le manoir d'ailleurs. Comme s'il était complétement vide. Le seul endroit où elle recroisera quelqu'un c'est au niveau de la porte d'entrée, la succube sous sa forme humaine lui faisant coucou par la fenêtre en lui souriant. Elle l'attendra patiemment à l'extérieur.
Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le dimanche 09 novembre 2014, 14:13:36
Zan venait de l’autre côté de la mer du Japon (qu’elle avait encore tendance à appeler par son autre nom). Elle était originaire de Chine, ou, plutôt, sa famille l’était. Elle faisait partie de ces bataillons de Chinois envoyés à l’étranger, la fameuse diaspora chinoise, qui l’avait, fort heureusement, amené dans un pays assez proche du sien, Seikusu. Le Japon et la Chine étaient deux rivaux se regardant en chiens de faïence, ce qui n’avait pas empêché la famille de Zan de l’envoyer à Seikusu. Elle y avait rejoint son oncle, et s’était inscrite au lycée Mishima. La suite était assez classique. La jeune femme était tombée sur Mélinda Warren, et, comme tant d’autres, avait été rapidement interpellée par la femme. Avec sa longue chevelure bouclée et ses yeux verts étincelants, Mélinda attirait plutôt bien l’attention, et Zan avait juste été intriguée par elle, sans pour autant ressentir une attirance particulière. De fait, les premières amies qu’elle s’était fait lui avaient dit de se méfier de cette femme, cette gaijin occidentale... Techniquement, Zan était cependant aussi une étrangère, et elle savait que les Japonais étaient encore un peuple avec une philosophie insulaire, relativement xénophobes... Surtout à l’encontre des Chinois. Et, sans le savoir, Zan avait été sous le regard de Mélinda.

Plutôt mignonne, elle avait progressivement fini par se rapprocher de Mélinda, par le biais de son frère. Elle était tombée dans un piège, savamment concocté par la vampire. En sortant du lycée, elle retournait vers l’appartement de son oncle, quand elle était tombée sur Bran, presque accidentellement. Les deux s’étaient tamponnés, et Bran lui avait expliqué être un étudiant de Seikusu, et venir aussi de Chine. Un mensonge parfait. Bran était un parfait manipulateur, spécialement formé par sa petite sœur pour pouvoir être un caméléon. Zan avait sympathisé avec lui, charmé par le visage de l’homme. Après quelques soirées à se voir, elle avait fini par le rejoindre dans le manoir. Toujours vierge, elle s’était dit que s’offrir à Bran serait parfait, et son cœur hurlait dans sa poitrine. Elle était alors tombée sur sa sœur, et sa première fois s’était transformé en une séance de sexe à trois, où elle avait acquis la conviction qu’elle était une bisexuelle.

À partir de là, le reste n’avait plus été qu’un engrenage qui l’avait progressivement amené, à observer cette magnifique succube. Zan était obéissante et docile, tout en étant une camarade sympathique, une bonne amie, qui aimait bien les jeux vidéos, se plaignant fréquemment de la censure en Chine concernant l’importation de jeux vidéos étrangers, notamment japonais. Elle adorait écouter la musique occidentale, et avait appris, avec stupéfaction, que le monde n’était pas aussi rationnel et cartésien qu’elle aurait pu le croire.

*Putain, qu’est-ce qu’elle est belle !*

C’est à ce moment même qu’elle commença à sentir des trucs bizarres... Ses yeux s’écarquillèrent quand une « main » invisible se posa sur sa bouche. D’autres jaillirent alors, et elle se mit à gémir, avant de voir la démone ouvrir les yeux, plantant son regard dans le sien.

*Je suis avec toi, nous venons de te sauver ! Arrête ça !!*

C’est ce qu’elle avait envie de dire, mais aucun son n’arrivait à sortir de sa bouche :

« HMMMMMMMMMMMM-HMMMMMMM !! »

Sa tête lui tournait, elle entendait des rires malicieux autour d’elle, et se mit à espérer que sa Maîtresse débarque rarement. Elle savait que les succubes étaient capables d’utiliser de la magie, mais elle s’était plutôt attendue à ce que la femme lui pose des questions, pas à ce qu’elle l’attaque immédiatement ! D’après ce qu’elle avait compris, c’était un choix plutôt logique, dans la mesure où Bran l’avait sauvé d’autres esclavagistes qui avaient eu envie de la violer pendant son sommeil.

Zan s’écroula sur le sol, et se réveilla... Dans son fauteuil. Elle bondit sur place, et son livre tomba sur le sol.

« Ohlàlà ! »

Est-ce qu’elle avait rêvé ? Elle regarda le lit... Et vit que la succube n’était plus là !

« Oh non ! »

Qu’est-ce qui se passait ? Elle regarda autour d’elle, s’attendant presque à la voir dissimulée dans un angle, et regarda même sous le lit. La femme se dirigea vers la porte, et l’ouvrit. Les couloirs étaient généralement tous éclairés, mais celui-là était plongé dans la pénombre. Sa main se tendit vers l’interrupteur, et appuya dessus... En vain. La lumière ne s’alluma pas, et elle commença à déglutir. Pour sa défense, il fallait avouer que le manoir de Mélinda, de style victorien, avait quelque chose de sinistre, digne d’un film d’horreur.

« Euuuuuuuuuuuuuuuuh.. Allô ? Y a... Y a quelqu’un ?! »

Sa voix se répercuta le long des murs, et elle entendit alors une voix fluette résonner derrière elle. Zan sursauta, et bondit sur place. La voix venait de la chambre, demandant... À jouer. Elle cligna des yeux, regardant à droite et à gauche. Un fantôme ? Elle devait être en train de rêver... Mais ce rêve avait l’air sacrément réaliste ! Comme si la voix la narguait, la belle voix fluette, pleine de douceur et de sensualité, se finit à nouveau entendre :

« Je suis allée jouer dehors. »

Zan cligna des yeux, et se mordilla les lèvres.

« On ne te veut aucun mal ! Bran t’a sauvé des types qui te voulaient du mal ! Tu es notre invitée ! »

Elle ignorait si la femme l’écoutait, et elle ne pouvait pas rester là. Elle regarda par la fenêtre brièvement, la voyant la saluer, mais sans visiblement l’avoir entendu. Zan remonta le long du couloir, laissant ses yeux s’habituer à l’obscurité. Elle arriva dans le grand salon central, avec une grande table longue, la salle de banquet. Elle était vide, tout comme la piscine se trouvant dans la cour interne. Il y avait toujours des filles ici, d’habitude, mais là... Personne.

*Brrr, c’est trop flippant !*

Elle rejoignit la porte de sortie. Ce n’était pas la grande porte d’entrée, et elle la conduisit dans le jardin. Le vent fit remuer ses cheveux, et elle vit alors, sur la cour d’entrée, faite de graviers et de petits cailloux. De cette manière, elle pouvait mieux voir la succube, qui avait pris l’apparence d’une humaine. Une belle jeune fille aux longs cheveux bruns avec des yeux verts.

« Tu... Tu m’as jeté un sort, hein ? Écoute, on n’est pas avec les types qui t’ont agressé... Je m’appelle Zan, et... Tu es notre invitée, tu n’as pas à avoir peur ! »

Pour le coup, c’était Zan qui flippait.
Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le dimanche 09 novembre 2014, 16:07:34
Quand tu as besoin d'informations ne demande pas à ton ennemi de trahir son camp, tu y perds ton temps et l'effet de surprise. Assure-toi plutôt qu'il te révèle ces informations sans en avoir conscience. Zan fut une informatrice docile, déstabilisée par la situation elle n'a probablement pas compris ce qu'il s'est passé. Pour la remercier je le lui expliquerais lorsqu'elle se tiendra devant moi, avant de passer à la seconde étape, la plus amusante.

"On ne te veut aucun mal ! Bran t’a sauvé des types qui te voulaient du mal ! Tu es notre invitée !"

Peut-être, peut-être pas. Lorsqu'un ennemi tombe dans votre piège il est normal qu'il essaie de vous manipuler pour en sortir, c'est la dernière chose qu'il lui reste. Si j'ai survécu aussi longtemps seule malgré mon jeune âge, ce n'est pas par hasard, je ne prends aucun risque inutile et je ne crois pas ce qu'on me raconte. Si je la relâche maintenant et qu'elle me veut du mal je risque ma vie, si je la maintiens ici un peu plus longtemps et que je fais ce que j'ai à faire, elle ne risque absolument rien en revanche. La solution la plus sûre pour nous deux est donc que je l'ignore et que je continue sur ma lancée. La seule conséquence pour elle sera de dormir profondément pendant quelques heures, rien de bien méchant. J'ai même l'intention de lui faire du bien, beaucoup de bien.

Lorsqu'elle est arrivée au niveau de la porte elle a rebroussé chemin, probablement pour aller inspecter les lieux où pourraient être ses amis, en tout cas c'est ce que je ferais à sa place. Sans même s'en rendre compte elle me facilite grandement la tâche, il faudra vraiment que je la remercie tout à l'heure. Finalement elle est sortie, par derrière, parfait tout cela. Elle n'est pas rassurée et ça je peux tout à fait le comprendre mais, je ne veux pas lui faire peur, juste la neutraliser et me servir d'elle. J'ai envie de m'amuser, j'ai envie qu'elle s'amuse elle aussi, pour qu'elle s'amuse il faut qu'elle comprenne, car si elle ne comprend pas ce qui lui arrive elle aura peur et ne s'amusera pas. Je me suis tournée vers elle en lui souriant, sourcils hauts pour lui montrer que mes intentions ne sont pas mauvaises, que je ne lui veux aucun mal.

"Tu... Tu m’as jeté un sort, hein ? Écoute, on n’est pas avec les types qui t’ont agressé... Je m’appelle Zan, et... Tu es notre invitée, tu n’as pas à avoir peur !"

Perplexe j'ai posé mon index sur mes lèvres tout en réfléchissant, regardant vers le bas, sur le côté.

"Hum ... Bonne question ! T'ai-je jeté un sort ? Je ne sais pas si on peut appeler ça un sort. Tout ce que je sais c'est qu'actuellement nous sommes dans ton esprit, je suis rentré dedans et j'ai pris le contrôle. Ensuite je n'ai aucun moyen de savoir si tu dis la vérité ou non, tu pourrais aussi bien me vouloir du mal et simplement vouloir sortir d'ici."

Comme si quelque chose me revenait à l'esprit je me suis brusquement redressée. Puis je me suis à nouveau tournée vers elle en lui souriant.

"Ah oui tant que j'y pense ! Merci de m'avoir montré comment sortir de cette maison, je ne peux pas lire directement dans ton esprit, donc il fallait que tu me montre l'intérieur tel que tu t'en souvenais. Ça me sera très utile !"

Bon ça revient un peu à lui dire : "merci d'avoir trahi les tiens sans le savoir, tu m'as bien aidé à les baiser" mais, j'ai envie de la remercier quand même.

Pendant ce temps, contrairement à elle, j'ai également accès au monde réel. Je me suis levée et je l'ai allongée dans le lit à ma place. Elle aussi est brune, donc elle fera une diversion parfaite si je la couche de manière à ce que les autres ne voient pas son visage. Je m'empresse de lui retirer tous ses vêtements, avant de l'enfouir sous les draps, ne laissant dépasser que sa tête. Puis je m'habille avec ses habits, de loin on me prendra pour elle comme ça. Une seule chose m'inquiète, mon mal de tête ne passe pas et je me sens tellement faible. Il faut au moins que je mange avant de partir, je ne sais même pas combien de temps je suis restée inconsciente. Normalement, enfin non, si j'ai de la chance plutôt, personne ne devrait débouler dans cette chambre pendant que je mange Zan.

Dans l'esprit de Zan justement, tandis qu'elle se concentre sur la représentation de moi qui se trouve devant elle, elle ne remarque pas qu'une autre vient d'apparaitre derrière elle. Ma deuxième moi la dépasse sur sa droite, venant juste devant elle pour la pousser en arrière. Pendant ce temps, un lit deux places, semblable à celui de la chambre, se matérialise en-dessous pour amortir sa chute. La petite chinoise tombe dans le lit et mes deux moi oniriques se rapprochent d'elle.

"Tu sais ce que mange les succubes Zan ?"
"On a très faim !"
"Il faut que je mange tu comprends ?"
"Pour regagner des forces avant de partir."
"Tu vas surement te faire gronder à cause de moi."
"Mais je ne peux pas rester ici."
"En attendant détends-toi, tout ceci n'est qu'un rêve."
"Un rêve sans conséquence."


L'une des deux moi se couche à la gauche de la jeune-femme, l'autre se couche à sa droite. Les deux sourient, leur repas d'aujourd'hui est mignonne à craquer, elles l'auraient bien emporté. La moi de gauche lui retire son casque, puis glisse ses mains dans ses cheveux, de l'avant vers l'arrière, retirant ainsi sa capuche avant qu'elle ne l'embrasse sur la bouche. Je prends mon temps, je la regarde dans les yeux, j'apprécie les courbes de son visage, caressant ce dernier du bout de mes pouces, glissant l'un d'entre eux sur ses lèvres avant d'y recoller les miennes.

Pendant ce temps mon autre moi balade sa main sur le ventre de la jolie chinoise, afin de ne pas être oubliée je glisse mon nez dans le creux de son cou. Venant l'embrasser là aussi, avant de lui murmurer :

"On t'as déjà dis que tu es très belle Zan ?"
"Et elle doit être encore plus belle une fois nue !"
"Mais on l'a déjà vue toute nue, dans le monde réel."
"Oui mais là on peut toucher et elle peut nous sentir !"
"On peut manger aussi."
"On peut manger aussi."


Les deux Inuko riaient de bon cœur, jouer avec Zan est amusant. Je veux oublier mes problèmes et profiter de cette superbe gardienne. Au moins si je me fais choper je partirais avec de beaux derniers souvenirs.
Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le mardi 11 novembre 2014, 01:51:00
Les efforts compliqués d’Inuko pour tenter de sortir étaient vains. Non pas parce que sa stratégie était mauvaise, mais parce qu’Inuko négligeait quelque chose d’important : Mélinda était une vampire, tout comme son grand-frère. Or, pour les vampires, il existe, outre des sens affinés, un sixième sens, très particulier, permettant de sentir le sang. C’était en sentant le sang d’Inuko que Bran avait débarqué pour la sauver. Une succube avait un sang différent d’un simple humain, un sang assez érotique... Il n’y avait qu’un vampire pour trouver le sang érotique. Quand elle commença à déshabiller Zan, à l’allonger, et à prendre les vêtements de cette dernière, son activité sanguine s’emballa, et la vampire le perçut. Elle n’intervint toutefois pas immédiatement.

L’heure était avancée, ce qui faisait que, globalement, les parties communes du manoir étaient désertes. Néanmoins, le grand salon que Zan avait emprunté dans son rêve, lui, était toujours occupé. Il y avait un groupe de personnes dans un angle, à droite du couloir, qui était en train de jouer à des jeux vidéos. Il y avait une Terranide, Macy (http://fc04.deviantart.net/fs71/f/2013/016/6/5/macy_sky_by_squirrelshaver-d5rocba.jpg), et d’autres lycéennes, qui jouaient à un jeu de combat.

« Ouais ! Boum !
 -  Hey, c’est pas juste ! »

Elles ne se doutaient de rien, se contentant de jouer ensemble. La grande pièce était plongée dans la pénombre, mais, fait plus compliqué, la porte empruntée par Zan dans son rêve était fermée. En revanche, la porte vitrée menant à la piscine se trouvant dehors était, elle, entrouverte. Un léger vent frais en filait, et deux femmes se trouvaient, de fait, dans la piscine. Cette dernière étant chauffée, deux femmes étaient en train de se faire l’amour. Ayumi Nasegawa (http://nsa21.casimages.com/img/2012/04/18/120418025009978027.jpg), une championne de natation, était pénétrée par une Futanari, Megumi (http://image.noelshack.com/fichiers/2014/45/1415573923-megumi-swimsuit.jpg), une autre lycéenne terrienne qui s’amusait à la déflorer joyeusement. Rien de particulièrement étonnant pour Ayumi, qui avait toujours aimé se faire prendre par des Futanaris. On pouvait l’entendre gémir et hurler, couinant contre le corps de Megumi, les deux femmes portant encore leurs swimsuit. De simples activités nocturnes pour des femmes noctambules peinant à trouver le sommeil.

Quant à Zan, la brave Chinoise comprit donc, avec les explications de la succube, qu’elle était en train de rêver... Elle déglutit, en comprenant que la succube peinait à la croire. Pourtant, si elle était dans son rêve, elle devrait bien savoir que Zan ne mentait pas ! La Chinoise allait lui en faire la remarque quand elle sentit du mouvement dans son dos. Une main la poussa alors, et, au lieu de s’étaler sur le sol, Zan tomba sur un grand lit venant d’apparaître comme par magie. Oui... Oui, c’était bien un rêve, mais un rêve extrêmement crédible, un rêve si réaliste que Zan en fut troublée. Le pouvoir des succubes était-il donc aussi fort ? Malheureusement, elle reconnaissait volontiers son manque de connaissance devant ce peuple démoniaque.

La succube lui annonça qu’elle comptait partir, et, alors que Zan cherchait quoi dire, elle vit deux clones de la femme se poser à gauche et à droite d’elle... Ce qui la fit déglutir. Il fallait bien admettre que cette succube, que ce soit sous sa forme humaine ou démoniaque, était atrocement belle. La succube à gauche de Zan se pencha vers elle, et retira sa capuche. Comme hypnotisée, Zan avait ses bras de part et d’autre de leurs corps. Se nourrir sur elle... Quand la femme l’embrassa, elle comprit de quoi il s’agissait. Elle soupira, et, lorsque le baiser se rompit, Zan la regarda droit dans les yeux. Sa bouche brûlait, son intimité également, et, quand la femme se pencha à nouveau vers elle, elle l’accueillit en entrouvrant les lèvres, devenue sa chose... Était-ce par pur plaisir ? Ou est-ce que, dans un niveau inconscient, Inuko n’exerçait-elle pas sur elle une sorte de contrôle fantasmagorique ? Zan était dans un trop piètre état pour y répondre, et son intimité en feu exprimait clairement ce qu’elle ressentait en ce moment.

« Mmmmhmmm... »

Contre son ventre, elle sentit la main de l’autre Inuko. Il était peut-être aussi possible que le fait de faire l’amour avec des jumelles soit aussi un fantasme de la femme. Elle les regarda toutes les deux, et sa main se déplaça le long de la succube à sa gauche, venant se poser sur ses fesses, les caressant. Elles avaient des têtes d’anges...

« Vous êtes exactement comme ma Maîtresse... Si mignonne, et si perverse... Mais... Si... Si c’est un rêve, alors... Enfin... Tout ce que nous faisons ne dura que quelques secondes... Dans le monde réel, je veux dire... »

Elle bafouillait un peu, car son cœur était emballé, comme une machine déréglée. Elle les regardait à tour de rôle. De mémoire, elle se souvenait avoir vu, dans certains films, que des heures de rêve correspondaient en fait à quelques secondes dans le monde réel. Elle se pinça les lèvres, et reprit :

« Pre... Prenez-moi pendant... Pendant des heures... »

Rien qu’à cette idée, ses doigts se serrèrent nerveusement.

C’était exactement comme ça que Mélinda avait su la faire craquer : Zan peinait à se calmer face au sexe. Son cœur s’emballait, et ses réactions la trahissaient. Elle observait ces femmes avec une lueur extrêmement perverse dans les yeux. Puisque c’était un rêve... Tout était techniquement possible, non ?

Le rêve lui-même commençait à évoluer, car, si Zan était manipulée par Inuko, cette dernière avait bien précisé qu’elles étaient dans SON esprit. Malheureusement, elle n’avait reçu aucune formation digne de ce nom pour réussir à le contrôler, mais on pouvait, par exemple, sentir les arbres alentour se mettre à remuer plus fort, le vent nocturne étant plus violent.
Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le mardi 11 novembre 2014, 16:36:40
Zan se méprend sur les succubes, Inuko n'a pas le pouvoir de lire dans son esprit, elle ne peut que parasiter ses rêves, en faire son terrain de jeu. Si seulement elle pouvait accéder directement à sa mémoire ou à sa personnalité, tout serait tellement plus facile. Mais non, ça ne marche pas comme ça, elle la surestime sur ce point. Ensuite oui, les pouvoirs mentaux des succubes sont de très loin les plus puissants qu'elles possèdent, pour une raison toute simple. Avant d'être des démones avides de chair, elles se contentaient des rêves des hommes. Les anciens récits sur les succubes parlent tous d'êtres rencontrés en rêve, c'est leur mode opératoire naturel, elles sont faites pour ça. Paradoxalement il est plus étonnant qu'elles aient un jour réussi à se nourrir dans le monde réel que l'inverse. Mais laissons ce petit cours sur les succubes de côté.

Contre toute attente la petite chinoise ne reste pas peureuse bien longtemps. Il aura suffi de l'exciter un peu, un tout petit peu, pour que la peur s'envole, laissant place à une franche excitation. Je ne vais pas m'en plaindre, c'est juste surprenant qu'on puisse passer de l'une à l'autre aussi facilement. En fait elle semble plus insouciante qu'il n'y parait et elle donne l'impression de ne pas savoir se contrôler. Cette impression n'en reste pas longtemps une, elle s'emballe vite. Le problème c'est que son esprit est complétement instable, je risque de perdre le contrôle si elle continue comme ça. Même si c'est horriblement mignon de prendre les choses autant à cœur. Réflexion faite je ne pense pas qu'elle soit dangereuse, j'en suis presque sûre à 100% maintenant, à moins qu'elle soit elle aussi esclave ? Il y a quelque chose qui ne colle pas dans la suite des événements, il me manque des éléments. Que s'est-il passé pendant que j'étais inconsciente ? De quoi a-t-elle parlé déjà ? D'un certain Bran, qu'ils n'étaient pas avec ceux qui m'ont agressés. Et si c'était vrai après tout ? En proie au doute je préfère continuer, sait-on jamais. De toute façon, menacée ou non, j'ai besoin de reprendre des forces.

Je me suis laissée attendrir. Je regarde Zan en lui souriant, lui murmurant :

"Tu réfléchis trop, laisses-toi simplement aller."

Inuko de droite continue à embrasser langoureusement la jeune-femme, une main sur sa nuque tandis que l'autre s'en va vers sa poitrine, se glissant sous les vêtements qu'elle porte encore dans ce monde-ci. Ses doigts se perdent sur ses courbes, s'amusant à en dessiner lentement les contours de leurs extrémités. Parfois un de ses tétons se retrouve pris entre deux doigts qui le pincent, le caressent, le chatouillent. Pendant ce temps Inuko de gauche joue les vilaines filles. Elle s'est relevée, est sortie du lit et s'est mise à genoux face aux jambes écartées de la petite chinoise. Un sourire malicieux aux lèvres, elle s'emploie à débarrasser sa proie de ses vêtements du bas, les jetant sur le côté avant de glisser sa tête entre ses cuisses. L'intimité de Zan est déjà toute humide, elle ne fait pas semblant quand elle s'y met. Inuko de gauche, que nous appellerons Inuko d'en bas à présent, s'en occupe. Elle embrasse son sexe, suçant son clitoris comme un délicieux bonbon, glissant sa langue en dessous pour pénétrer sa caverne détrempée. Je veux qu'elle hurle de plaisir, que ses doigts se crispent sur les draps pendant qu'elle criera mon nom en répandant sa cyprine partout.

Le monde mental de Zan est de plus en plus instable, j'ai peur qu'elle se réveille en sursaut et m’éjecte de son esprit. Si nous revenons dans le monde réel que devrais-je faire ? Lui faire l'amour comme elle le désire et comme je le désire aussi ? Ou bien fuir comme prévu initialement ? Je ne suis plus sûre de ce qu'il faudrait faire. Je l'aime bien cette petite. Je crois que je n'aurais pas le cœur à l'abandonner comme ça, je pense que je trouverais de quoi l'attacher et la bâillonner, puis je lui ferais l'amour avant de m'enfuir.

Tandis que l'Inuko d'en bas aggrave la situation, l'Inuko d'en haut rompt son baiser pour demander, souriante et taquine :

"Dis Zan. Tu as parlé de ta "maîtresse". Tu peux me parler d'elle ? Qui est-elle pour toi ? Est-ce une bonne personne ? Tu as l'air de l'aimer. Et j'ai une autre question pour toi ma jolie. Comment te sens-tu ? C'est agréable ? Où voudrais-tu que je te touche ensuite ? Toi voudrais-tu me toucher quelque part ?"

Poser plein de questions en même temps va l'obliger à s'en rappeler, à réfléchir, à se concentrer dessus. Moins concentrée sur son corps et ce qu'il est en train de subir, elle ne ressentira que davantage de plaisir. Piège cruel et délicieux à la fois.
Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le mercredi 12 novembre 2014, 01:34:30
Allongée sur le lit, entourée par trois répliques de cette femme, Zan avait l’esprit embué, plongé dans le sexe. La Chinoise av ait ses points faibles, et elle maintenait une main sur le fondement d’une des trois Inuko, qui retourna l’embrasser, ne répondant nullement à ses questions. Zan rougit, en se disant que, si c’était un rêve, ce dernier était terriblement réaliste. Elle sentait les frissons le long de son corps, les fourmillements dans son intimité, la faisant soupirer et gémir. Ses yeux clignaient lentement, à plusieurs reprises, et elle gémit en sentant les lèvres de cette femme, ses doigtrs venant se crisper sur ses fesses, les serrant à travers sa jupe. Cette démone avait un corps extrêmement doux, une apparence magnifique, et qui dissimulait une grande perversion. Gémissant contre sa bouche, Zan ne parlait plus, se contentant de savourer, son autre main venant se crisper sur le lit, serrant la couette.

Avec ses mains, elle lui pelotait les seins, et Zan, prisonnière, n’osait pas bouger, se contentant juste d’apprécier la rondeur des fesses d’Inuko, et la douceur magnifique de ses lèvres. Sa langue partait à l’assaut de la sienne, réitérant les leçons buccales que Maîtresse Mélinda lui avait fait faire, en lui expliquant toutes les formes de baisers qui existaient. Elle s’en souvenait encore. Les baisers, c’était un autre point faible chez Zan. Habituellement, c’était une femme assez solitaire, une geek traînait sur son ordinateur avec son casque sur les oreilles, mais sa Maîtresse savait comment lui faire perdre ses moyens... Et là, face à ces femmes, elle était vaincue, comme un deux face à un flush royal. Tandis que ses tétons se déployaient, elle sentit les mains de l’autre Inuko se glisser sur sa minijupe, venant déboucler sa ceinture.

En sentant ensuite les mains de la femme tirer sur son shorty, Zan gémit, et mordilla involontairement les lèvres de la première Inuko. C’était à croire que cette dernière voulait battre le record du plus long baiser de sa Maîtresse sur elle ! La vampire l’avait embrassé pendant une dizaine de minutes, en se collant contre elle, caressant ses cheveux, l’embrassant et caressant son dos... Puis elle l’avait sauvagement baisé. Warren’s way. Zan se retrouva sans sa minijupe et sa culotte, et l’autre Inuko s’attaqua alors à son sexe, montrant tout le talent des succubes, enfouissant sa langue dans son intimité, s’attaquant à sa vulve.

« Hnnnnnnnn !! »

Difficile de parler, car sa bouche était occupée par celle de la première Inuko. Une main sur ses fesses, l’autre se déplaça pour caresser la tête de l’autre Inuko, s’agrippant parfois à ses cheveux. Les arbres, eux, remuaient de plus en plus, et, dans le lit, la véritable Zan était en train de gémir, de se tortiller, son corps en ébullition... Ce qui, effectivement, amenait un risque qu’elle finisse par se réveiller. Inuko embrassait son sexe, le léchait, enfonçait sa langue en elle, faisant mouiller la Chinoise, qui continuait à se tortiller sur le lit... Et le ciel prenait des teintes roses, tandis que la réalité-même du rêve semblait se fissurer, se distordre. Le lit semblait s’agrandir, le manoir diminuer, et un parfum érotique flottait en l’air. Inuko sembla le réaliser, car elle rompit soudain le baiser, et Zan cligna les yeux en croisant son regard.

« Dis Zan. Tu as parlé de ta "maîtresse". Tu peux me parler d'elle ? Qui est-elle pour toi ? Est-ce une bonne personne ? Tu as l'air de l'aimer. »

Les belles lèvres de la femme étaient hypnotiques, et Zan les regardait, avec la soif d’une droguée en manque. Parler de sa Maîtresse... La tâche était difficile, car elle avait du mal à parler, à se retenir, et à se concentrer. Sa main continuait à tenir la tête de l’Inuko s’attaquant à son sexe, caressant ses cheveux, des cheveux d’une douceur incroyable.

Elle poursuivit ensuite, ayant une autre question sur les lèvres :

« Et j'ai une autre question pour toi ma jolie. Comment te sens-tu ? C'est agréable ? Où voudrais-tu que je te touche ensuite ? Toi voudrais-tu me toucher quelque part ? »

Zan cligna des yeux, et entrouvrit les lèvres. Que dire ? Que faire ? Les idées se multipliaient dans son esprit, et le décor se mit alors à changer, à se transformer, confirmant à la question d’Inuko... Elles arrivèrent dans une chambre noire, un donjon sadomasochistes avec des chaînes, des fouets, des croix en bois, des chevalets... Et tout ce qu’il fallait. Le rêve était en traind e s’adapter aux fantasmes de la femme, et même le grand lit sur lequel elles étaient allongées s’était transformé, les bords s’incurvant, pour ressembler à un énorme cœur rouge.

« Je... Euh... Maîtresse Mélinda est... Très perverse... Mais... Je... Je l’adore, haaa... Elle... Elle est tout pour moi, hummm... Elle m’héberge, elle me loge, et... Oooohhh... Elle... Elle me fait si bien l’amour... Haaaa... Comme... Comme toi, mais... Hunnnn... A-Avec une queue... »

Parler était difficile, ses mots étant entrecoupés de gémissements et de longs soupirs de plaisir. L’orgasme approchait à grands pas, filant à toute allure.
Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le mercredi 12 novembre 2014, 17:40:44
Le monde intérieur de Zan s'est mit à changer, échappant à mon contrôle. Je suis probablement encore trop jeune et inexpérimenté pour utiliser ce genre de pouvoirs correctement. Pour être honnête, le simple fait d'avoir été capable d'entrer dans son esprit m'a surprise, quelque part je ne dois ce succès qu'à sa faible résistance et aux circonstances. On peut dire que j'ai de la chance sur ce coup là. Le manoir disparait, le jardin aussi, de hauts murs noirs poussent tout autour de nous, des machines et objets prennent forme, des chandeliers s'allument aux murs, révélant l'intérieur d'une sorte de salle de torture sexuelle. Même le lit sur lequel nous étions s'est transformé, passant d'un modèle tout à fait classique à un espèce de grand cœur rouge. Mais son esprit ne s'est pas arrêté là, elle ne l'a très certainement pas souhaité consciemment mais, sitôt le mot "queue" sorti de sa bouche j'ai senti quelque chose me pousser entre les jambes. Inutile de regarder pour deviner de quoi il s'agit, elle avait envie que je la prenne comme sa maîtresse le faisait, elle avait envie de prendre son pied. Souhait accordé petite chinoise, avant de me nourrir je vais t'offrir un bon moment, un joli rêve.

Mes trois moi se lèvent, l'une d'entre nous reste avec notre repas pour retirer le reste de son emballage et le jeter sur le côté. Pendant ce temps les deux autres partent à la recherche de jouets amusants pour la suite. Menottes, sangles, écarteurs métalliques, bâillons, cravaches, il y en a pour tout les goûts. Au final nous revenons les bras chargés de toute sorte de choses et les déposons près du lit.

"Vous ne trouvez pas que Zan a été très vilaine de nous interrompre ?"
"Si c'était très méchant de nous envoyer ailleurs comme ça ..."
"D'après moi ça réclame une bonne punition !"


L'une d'entre nous se saisit d'un large bandeau muni de plusieurs sangles de cuir, fait pour recouvrir complétement les yeux et ne plus bouger tant qu'il n'est pas détaché. Elle installa le tout sur la tête de la petite chinoise, la privant ainsi de sa vue.

"Puisqu'elle a été vilaine, sa première punition sera de ne pas nous voir toutes nues ! Elle devra nous imaginer !"

Une autre s'est emparée des menottes, des sangles et des écarteurs, enfermant poignets et chevilles avant de les restreindre. L'attachant de sorte qu'elle se retrouve bras et jambes écartés sur le ventre.

"Hi hi, elle ne mérite pas non plus de pouvoir bouger. Tu vas devoir rester comme ça ma jolie !"

La dernière d'entre nous attrape un rouleau de bande adhésive et recouvre l'intimité de Zan avec, de façon à ce que rien n'y rentre ou n'en sorte.

"Comme elle a été très vilaine elle n'aura pas le droit de se faire prendre par ici ! Tu vas souffrir !"

Maintenant qu'elle est prête nous pouvons nous préparer nous aussi. Nous nous dévêtissions, révélant nos sexes masculins, tous semblables, longs d'environ vingt-cinq centimètres. Nous ouvrons des tubes de lubrifiant et de gel dilatant, avant d'étaler ces derniers sur nos queues. Tandis que l'une d'entre nous prend une cravache pour la faire glisser le long du dos de la jeune-femme, une autre demande d'une voix coquine :

"Sais-tu par où on prend les vilaines filles Zan ?"

Elle put alors sentir le gland de cette dernière se coller contre son anus, attendant pour la pénétrer. Puis elles répondirent toutes en cœur :

"Par derrière !"
"Par derrière !"
"Par derrière !"


Au même moment, le membre imprégné de lubrifiant et de gel dilatant s'enfonça dans son fondement sans effort particulier. J'ai commencé à la prendre ainsi, tandis qu'une autre lui donnait un petit coup de cravache au hasard de temps à autres. Mes mains posées sur ses hanches, j'ai accéléré jusqu'à ce que je puisse y aller à fond sans lui faire mal. Et je l'ai bourrée ainsi jusqu'à éjaculer dans son cul. Ensuite j'ai été laver mon sexe dans une petite bassine, pendant ce temps une autre moi prenait la relève et ainsi de suite. Nous n'avons pas compté combien de fois nous avons fait le tour mais, à la fin son cul était complétement ouvert et remplit de sperme chaud.

"Lève plus tes fesses Zan ! Sinon ça va sortir et tu vas en foutre partout !"
"Ne me dit pas que tu es déjà fatiguée ? Allez c'est à mon tour, hop !"
"Zan dit nous à quel point tu aimes nos bites ma jolie."
Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le jeudi 13 novembre 2014, 01:39:53
Ce que Zan vivait était un fantasme intégral... Mais n’était-ce pas là le propre d’un rêve ? Les trois Inuko se retrouvèrent membrées, et, comprenant très bien de quoi étaient faits les fantasmes de Zan, agirent rapidement. Elle se retrouva couchée sur le ventre, un bandeau sur les yeux. Zan mouillait déjà comme une cochonne, et sentir ses membres être immobilisés, puis un morceau de bande sur son intimité, l’acheva sur place. Incapable de se retenir, elle tremblait sur place, serrant ses poings, et sentit ensuite les trois femmes venir successivement la pénétrer... En lui défonçant le fondement. Elles en parlèrent entre elles, et s’enfoncèrent ensuite, l’une après l’autre, les hurlements de Zan se mélangeant aux coups de cravaches de l’autre Inuko sur son corps. Elle gémissait, hurlait, se tortillait, en sentant son cul se faire remplir. Pour le coup, elle pouvait littéralement le dire : c’était comme dans un rêve !

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNN !! »

Ça hurlait, c’était fort.


Zan se doigtait tendrement, gémissant et couinant en se tortillant sur son lit. Elle n’en pouvait plus, tout son corps était tendu, et ses doigts se déplaçaient automatiquement en elle, filant sous la jupe d’Inuko et sous sa culotte pour heurter son intimité épilée. C’était un geste qu’elle connaissait, un geste automatique à faire, qu’elle accomplissait machinalement, sans vraiment se poser de questions, simplement pour le plaisir de le faire. Ses doigts remuaient en elle, machinalement. Elle en connaissait le chemin par cœur, sa Maîtresse lui avait appris à bien se doigter, et elle heurtait son clitoris, gémissant et soupirant en se tortillant.

La Chinoise sentait les grosses verges remuer dans son fondement, et elle mouillait en se frottant contre le lit, hurlant et gémissant. Le rêve s’emballait, comme le moteur d’un train gagnant de plus en plus de vitesse, jusqu’à risquer de dérailler. Zan était comme ça : une locomotive sur le point de dérailler. Les femmes la prenaient sans relâche, violemment, le rêve facilitant les glissements, rendant tout ça aussi parfait que possible. C’était aussi simple que ça. Zan était au Paradis, et les minutes disparaissaient. Le temps filait dans tous les sens.

Elle hurlait et se frottait contre le lit. Oh, comme elle aimait ça ! La sodomie... Devenir esclave de Mélinda, c’était devenir une grande sodomite, vu la passion de cette dernière pour les jolis culs. Inuko ne pourrait que se plaire ici, et Zan se disait qu’elle avait vraiment tout faire pour tenter de la convaincre qu’elle n’avait aucune raison de la craindre, de se dire que sa Maîtresse chercherait à la piéger... Et ce même si, honnêtement, Zan ne savait pas ce que sa Maîtresse comptait sincèrement faire avec cette succube.


La Chinoise se tortillait dans son lit, et continuait à gémir, se mordillant les lèvres. Dans sa grotte, ses doigts s’enfonçaient, ses tétons étaient tendus, creusant ses vêtements. Ses doigts étaient enduits de mouille, recouverts de cyprine. Le plaisir était là, au rendez-vous, vibrant de plus en plus, dominant son corps endormi, stimulant ses pulsions profondes. La mouille venait, affluait...

La corde se rompait. Une verge se retira d’elle, une autre en vint. Zan mouillait drastiquement, et même les murs semblaient se liquéfier, alors que ses cris se perdaient tout autour d’elles. La réalité du rêve se dilatait totalement, les couleurs explosant en rose, alors que Zan jouissait comme une véritable fontaine. De loin, elle entendit les femmes lui dire qu’elle aimait ça...

« Je... »


L’orgasme éclata.

« J’adore vos queues !! » hurla-t-elle en se redressant.

Elle se tenait assise, et cligna des yeux, en comprenant qu’elle était revenue dans sa chambre. Le rêve s’était rompu, tant l’orgasme de Zan avait été fort. Constatant qu’elle avait une main humide, elle la releva, et, dans l’obscurité de la nuit, la contempla. Elle était couverte de mouille, et elle avait mal au cul... Zan se releva rapidement, et posa son autre main derrière... Elle constata que ses fesses étaient normales, et regarda autour d’elle. Ça n’avait été un rêve... Mais un rêve si crédible que son cerveau en avait été dupé, et pensait qu’elle avait réellement été défoncée par le cul.

Par contre, elle ne voyait pas où était Inuko, et, avant de sortir, elle s’empressa de sucer ses doigts, léchant sa mouille.

« Hum-hummm... »

Elle ferma les yeux en goûtant à ça, puis alla ensuite ouvrir la porte, débarquant dans le couloir.

« Inuko ? Inuko, où es-tu ?! »

Curieusement, elle connaissait son nom, alors qu’elle était sûre que la femme ne le lui avait jamais dit. En entrant dans son rêve, Inuko avait tout simplement relié son esprit au sien, créant une sorte de passerelle, passerelle qui, si elle avait été surtout dans l’esprit de Zan, lui avait néanmoins permis de saisir certaines informations. Malheureusement, Zan n’étant pas une télépathe, les informations figuraient dans son inconscient, et étaient confuses. C’était comme une sorte de sentiment de déjà-vu, mais en l’appliquant aux informations : elle connaissait le nom d’Inuko, mais sans pouvoir s’expliquer d’où elle venait.

Surtout, elle avait peur qu’Inuko ait profité de ce rêve pour s’enfuir...

Ce qui serait une grosse perte !
Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le jeudi 13 novembre 2014, 18:55:01
Zan n'était pas la seule à mouiller, sentir l'anus dilaté de la chinoise accueillir mes trois queues oniriques à tour de rôle est tout aussi stimulant. Je me suis laissée emporter, dès que j'ai commencé à m'occuper sérieusement d'elle je n'ai pas eu le cœur de l'abandonner. Il a fallu que je jouisse en elle, encore et encore, que je la fasse jouir elle, encore et encore. Je n'avais pas envie que le rêve se termine, je voulais la baiser jusqu'à l'épuisement. Résultat, c'est moi qui ai mouillé le shorty que je lui avais piqué au final. Déguisée en Zan, j'avais profité de la nuit tombée pour me balader dans le manoir, avec les lumières allumées il était facile d'éviter les pièces occupées. Mais trouver un chemin vers la sortie s'annonçait plus difficile que prévu, car même à cette heure il y avait du monde partout dans cette baraque !

Puis j'ai été brutalement éjecté du rêve. C'est une sensation très désagréable, on se sent complétement désorienté, il faut quelques secondes avant de pouvoir se resituer dans l'espace. Immédiatement après cette déconnexion forcée on entendait à l'étage :

"J’adore vos queues !!"

J'ai pensé avec tendresse : "égale à elle-même". En plus elle me fournis la diversion parfaite, les autres allaient surement aller voir ce qui lui prenait de hurler comme ça. Je me suis planquée dans un couloir en attendant mais, personne ne daignait bouger. Il vaut mieux que je sorte avant que Zan n'arrive, sinon je ne pourrais plus fuir. Prenant mon courage à deux mains, je commence à traverser une pièce occupée comme si ne rien était, habillée comme Zan avec la capuche sur la tête.

Mais lorsque j'arrive au milieu de la pièce on entend :

"Inuko ? Inuko, où es-tu ?!"

Pourquoi maintenant ? Pourquoi ? Grillée je commence à courir vers la porte de derrière, si j'arrive assez vite là-bas ils n'auront pas le temps de m'arrêter. En tout cas c'est ce que je pense. À moi la liberté ! Je pique un sprint parfait, prenant tout le monde de court sur mon chemin, traçant vers la porte telle une petite fusée toute mignonne. La porte est maintenant en vue, j'approche, je n'ai plus qu'à tendre la main ! ET !

"Clac !"
"Gné ?"
"Clac, clac ... Claclaclaclaclac !"


Merde ! Quelqu'un a fermé la porte à clé ! Et j'entends déjà des personnes arriver derrière moi, c'est la fin de ma tentative d'évasion on dirait. Échouer à cause d'une porte fermée ...
Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le jeudi 13 novembre 2014, 23:18:53
Inuko se rua vers la porte indiquée dans le rêve de Zan, courant rapidement, mais, en tentant de l’ouvrir, elle constata que la serrure était là. La porte était fermée, et refusait obstinément de s’ouvrir, la coinçant à l’intérieur. Dans son dos, une femme se mit à glousser, et les lumières du grand lustre s’allumèrent, éclairant toute la grande pièce. Les filles en train de jouer clignèrent des yeux, et une petite femme apparut juste à côté de la succube, relâchant son doigt de l’interrupteur. Un sourire sur le coin des lèvres, Mélinda se retrouvait juste face à la succube, et Zan arriva alors, en se dépêchant... Puis rougit en voyant la situation.

« Qu’est-ce que c’est ?
 -  On a fait trop de bruits ?!
 -  Maîtresse, je... » commença Zan.

Imbroglio total. Mélinda leva une main, et, assis sur le rebord de la table, on pouvait voir Bran. Torse nu, le vampire observait la succube, bras croisés, ne disant rien. Le silence s’instaura, et Mélinda regarda la succube.

« Je suis une vampire... J’ai senti ton sang appétissant se mettre en marche dès que tu t’es réveillée... Je t’ai laissé jouer avec Zan, car je ne voulais pas te sauter d’emblée dessus. Je sais que les succubes égarées comme toi sont craintives... Et, vu ta beauté, je le comprends. »

Mélinda lui sourit. Zan rougissait en baissant la tête, et Mélinda s’écarta un peu d’elle. Muettes, les spectatrices observaient. Pendant ce temps, dans la piscine, Megumi continuait à pénétrer Ayumi, les deux femmes semblant totalement insouciantes à ce qui se passait. Il fallait bien dire que les pouvoirs hydrauliques d’Ayumi agissaient sous l’effet de son plaisir, transformant la piscine en un jacuzzi. Mélinda se déplaça un peu, résistant à l’envie de caresser le corps de la succube.

« Je m’appelle Mélinda Warren, et, si tu avais laissé à Zan le temps de s’exprimer avant de la violer sur place... Ce qui ne l’a toutefois nullement dérangé... Elle t’aurait dit que tu étais mon invitée. Tu n’es pas une prisonnière. Si tu veux partir, je te conduirais à la porte... Mais je t’invite à y réfléchir. Mon grand-frère t’a sauvé d’un sort assez triste, et, ici, tu es à l’abri... Avec des femmes qui t’aiment bien. »

En disant ça, elle pensait évidemment à Zan, qui continuait à rougir, les joues cramoisies, en baissant la tête. Elle n’osait pas parler, et Mélinda esquissa un léger sourire, qu’elle voulait rassurer, laissant planer quelques secondes.

« J’ajoute que j’aimerais beaucoup que tu restes ici... Ne me dis pas que je te fais peur... »

La vampire n’était pas contre l’idée de soumettre une succube, mais elle savait ô combien les démons étaient sensibles à la question de leur indépendance, et elle avait vu que cette dernière maîtrisait plutôt bien la magie. Certes, Mélinda pouvait toujours se défendre en sortant de son pendentif son cristal en dymérite, un matériau fort qui permettait d’annihiler la magie... Une sorte de grosse protection si jamais cette belle succube se décidait à l’attaquer.

On ne sait jamais !
Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le vendredi 14 novembre 2014, 22:30:06
La lumière s'allume et je vois une femme à côté de moi. Elle ne dit rien, elle se contente de sourire. Je me suis tournée vers elle lorsque Zan est arrivée en courant, rougissant et tentant manifestement de s'expliquer :

"Maîtresse, je..."

"Maîtresse" hein ? Je vois. Bon visiblement les filles autour de nous ne semblent pas maltraitées, elles ont même l'air plutôt insouciantes. Zan elle-même m'avait dit que j'étais leur invité, je ne l'avais pas crue par principe de précaution mais, tout va dans son sens. J'expire un grand coup, relâchant la pression avant de m'adosser à la porte fermée, croisant mes bras sous ma poitrine. La "maîtresse" m'inspecte, m'observe, elle me regarde un moment sans rien dire, probablement pour me jauger ou pour voir autre chose qui m'échappe. Un seul bruit rompait le silence :

"AAAH MEGUMI-CHAN !!! AAAAAH !!! AAAAAAH !!!"
"HUMPH !!! Tu es - vraiment une petite - Oh ! - salope Ayumi ! Humph ! Tu le sais ça ?"

Finalement elle s'est présentée comme étant une vampire. Oula, vampire = emmerdes ! Le dernier que j'avais croisé voulait m'attacher à un pilier et me planter un tube dans le ventre pour pouvoir remplir son verre de sang de succube en tournant un simple robinet. Autant dire que les suceurs de sang de Terra ne m'ont pas laissé un bon souvenir. Mais bon, je suppose que mon état de faiblesse et ma nature attirent naturellement à moi les pires membres de leur espèce et que tous ne doivent pas être comme ça. Celle-ci a l'air différente, j'ai envie de la croire lorsqu'elle me dit que je suis juste son invitée et que son frère m'a sauvé des esclavagistes. C'est cohérent avec ce que m'a raconté Zan et avec le peu que j'ai pu voir. De plus j'ai surement été inconsciente longtemps, s'ils avaient vraiment voulu me faire du mal ils auraient eu tout le loisir de le faire. Et s'ils avaient voulu me nuire ils ne m'auraient pas laissé aussi libre de mes mouvements. Inconsciemment j'ai dû trouver l'idée de la tentative d'évasion amusante, car objectivement tout cela n'était pas nécessaire. D'où ma réaction légère au discours de la vampire :

"Je me rends ! Vous m'avez eu !"

Dis-je en levant les bras et en tirant la langue, visiblement amusée par le bordel que j'avais fichu. J'ai bien vite rebaissé mes bras, en profitant au passage pour basculer la capuche en arrière et retirer le casque de Zan.

"Merci de m'avoir sauvé des esclavagistes. J'ai été habituée à me débrouiller seule, donc je n’espérais pas ce genre d'aide. Je suis suffisamment en sécurité pour reprendre ma vraie forme ou vous préférez que je reste comme ça ? Quant à l'invitation je pense que je vais l'accepter, je ne suis pas assez forte pour me défendre seule."

J'ai regardé Zan dans les yeux en lui adressant un sourire complice et j'ai mordillé mon pouce avant de poursuivre :

"Et je manquerais trop à Zan je crois."
Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le dimanche 16 novembre 2014, 02:10:56
Mélinda avait posé les termes de son association envers la succube. Bien sûr, elle aurait été très vexée que cette dernière choisisse de foutre le camp, mais, en soi, elle ne mentait pas. La succube pouvait partir. Difficile de dire jusqu’où Mélinda avait anticipé les réactions de la femme, mais elle ne fut qu’à moitié surprise quand la démone accepta de rester ici. Au loin, on pouvait entendre, comme en fond sonore, les gémissements et les hurlements d’Ayumi et de Megumi. Deux lycéennes très timides, qui, dans le sexe, laissaient libre cours à toute cette passion éteinte en public. Les voir coucher ensemble était, partant de là, exquis, et Mélinda se demandait si cet acte ne motivait pas inconsciemment la succube à rester. C’était une succube, et, du peu que Mélinda savait de ces démones, les pulsions sexuelles les attiraient comme l’argent attirait un avare. Elle pouvait aussi voir que, tout en étant une Maîtresse, la vampire laissait à ses esclaves une grande liberté.

C’est ce qui amena la succube à choisir de rester, réagissant de manière assez enfantine, en tirant la langue, et en allant ensuite se mordiller le pouce. Elle avait pris sa forme humaine, une belle jeune Japonaise avec de longs cheveux bruns, qui avait pris les vêtements de Zan. Sa tactique avait été bonne, mais Mélinda n’était pas née de la dernière pluie. Des démons avaient déjà attaqué son manoir il y a de nombreux mois, et, suite à cela, elle avait renforcé la sécurité de ce dernier, notamment en l’entourant de discrets cristaux magiques, de caméras de sécurité, et en s’assurant que toutes les portes soient bien verrouillées la nuit. Ce n’était pas encore Fort Knox, car elle ne voulait pas donner l’impression aux femmes venant juste d’entrer à l’intérieur que son manoir était une prison, mais la sécurité était tout de même là. En retrait, Macy continuait à les observer, clignant des yeux. Comme les autres filles en train de jouer, elles étaient surprises, ne comprenant pas trop ce qui venait d’arriver. Finalement, la succube remercia Mélinda de l’avoir protégé, et demanda si elle ne voulait pas voir sa véritable forme... Avant de s’adresser à Zan, qui rougit encore plus, se recroquevillant sur elle-même. Le rôle de Zan était de surveiller la succube, de s’assurer à ce qu’elle ne tente pas de s’évader, et, partant de là, elle estimait s’être totalement loupée.

« Oh, tu ne manqueras pas qu’à Zan, ma chère... »

Mélinda s’était rapprochée d’elle, et sa main vint caresser la joue de la femme. Elle avait retiré sa capuche, permettant ainsi de dévoiler une belle petite tête, un visage qui transpirait une sorte d’innocence enfantine... Comme le visage de Mélinda. La vampire, qui portait ce soir sa traditionnelle robe dorée ample, avec un profond décolleté à hauteur de son ventre, se pencha vers la femme, et l’embrassa sur les lèvres, la plaquant contre la porte close en appuyant son corps contre le sien. Ce fut un bref baiser, dans lequel Mélinda attrapa la lèvre inférieure de la femme entre les siennes, et tira un peu dessus. Elle le rompit ensuite, et s’écarta d’elle, puis s’approcha de la table, dos à la femme. Son doigt se glissa alors sur le lacet noir se trouvant à hauteur de ses seins. Sa robe était un tissu assez complexe, qui était à la fois complète et laissait en même temps voir de nombreux aspects de son anatomie. L’enlever, de même, semblait impossible, à moins de trouver la manière dont elle avait été conçue. Elle défit le lacet noir entre ses seins, ce qui eut pour effet d’ouvrir la robe par le haut. Elle s’ouvrit le long du buste de Mélinda, et tomba ensuite sur le sol, la révélant dans toute sa nudité... Car, ce soir, la vampire ne portait même pas de culotte ! Elle s’assit sur la table, et se retourna alors, s’appuyant sur ses mains, écartant ses jambes en regardant la succube, le dos partant légèrement en arrière.

« Montre-moi de quoi une succube est véritablement capable... »

La vampire ne connaissait même pas encore son nom, mais elle estimait que ça n’avait pas trop d’importance. Quel meilleur moyen que le sexe pour mettre une succube en confiance ?

« Montre-moi ta véritable forme, ma chérie... » reprit Mélinda, sur un ton langoureux et chargé d’envie.

Faire l’amour sous les yeux de ses esclaves ne la choquait nullement... Bien au contraire, même !
Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le dimanche 16 novembre 2014, 23:04:33
Mélinda est une femme directe, pas de chichi, elle me prend contre la porte et m'embrasse, j'aime ça. J'aime les femmes qui savent ce qu'elles veulent (tout en allant dans mon sens). Je n'ai pas pu manger Zan donc je suis déjà affamée et elle ne trouve rien de mieux à faire que de m'aguicher encore plus. Je la regarde avec des yeux mi-clos, complétement conquise par son baiser, si bien que lorsqu'elle le rompt mon cou s'allonge par réflexe pour retrouver ses lèvres, sans succès. Je reste quelques secondes immobile contre la porte, cambrée et souriante, regardant avec envie son petit numéro.

"Montre-moi de quoi une succube est véritablement capable..."

Je me met à rire, sans raison réelle, sa petite provocation m'amuse, comme si j'avais besoin de ce genre de stimuli pour vouloir la dévorer toute crue. Mais pas de hâte. Mon plus gros défaut c'est que je suis une gloutonne, je saute sur mon repas sans prendre le temps de le savourer. Ce n'est pas bien, je me gâche mon plaisir à vouloir aller trop vite, il est temps d'essayer autre chose, quelque chose de plus raffiné. Je prends le temps de retirer les vêtements de ma petite chinoise, il faut bien qu'elle les récupère un jour. Je retire d'abord le haut, révélant ma jolie petite poitrine de lycéenne, avant de le rouler en boule et de le jeter dans la direction de Zan. Puis je retire le bas, lentement, un filet de cyprine reliant mon sexe au shorty de ma petite salope onirique qui est complétement détrempé à force. Je le lance lui aussi et elle se le prend en plein visage pendant qu'elle est en train de ramasser ses affaires. Elle peut sentir l'odeur de ma mouille qui a imprégné le tissu et rougit à l'idée que c'est pendant notre rêve commun que je l'ai ainsi trempé.

Je me transforme en succube, apparaissant déjà nue. Quel intérêt de faire apparaitre mes vêtements alors que je vais les enlever dans la seconde de toute façon ? Ma poitrine enfle, mon corps grandit un peu, mes hanches sont plus marquées, ce corps est plus féminin en somme, plus mature aussi. Et surtout mes attributs de succube apparaissent, mes ailes de chauve-souris, mes cornes, ma queue. Puis je me suis dirigée vers Mélinda, m'arrêtant juste face à elle. J'ai placé mes mains sous ma poitrine, la soulevant doucement avec mes paumes comme pour la lui présenter. Puis j'ai penché la tête sur le côté en me léchant les lèvres, mordant ma lèvre inférieure sitôt ma langue rentrée. Pour finalement m'adresser à elle sur un ton qu'elle n'attendait probablement pas de ma part, une voix suave, calme, envoutante. Je ne voulais pas gâcher ce moment avec mes gamineries, pour une fois je voulais profiter à fond du repas.

"Alors Mélinda ? Comment trouves-tu ce corps ? Il te plaît ? Tu le veux ? Le tiens me plaît beaucoup, j'ai envie de lui faire quelque chose comme ... Comme ça !"

Brusquement, Mélinda a pu sentir deux mains l'attraper par les hanches, pourtant il n'y a personne derrière elle et elle ne peut ni voir, ni toucher ces mains. Puis elle a senti une poitrine féminine se coller dans son dos, une langue venir explorer son cou et finalement le bout d'un membre viril qui se présente à l'entrée de son anus. Je m'approche un peu plus, posant ma main gauche sur sa cuisse droite, caressant doucement l'intérieur de cette dernière.

"C'est un pouvoir que j'aime beaucoup, il altère le sens du toucher pour créer des illusions. C'est troublant hein ? Plus vrai que nature ! Mais je ne suis pas sûre qu'une femme aimant dominer apprécie ce genre d'expérience. Dois-je continuer Mélinda ?"
Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 17 novembre 2014, 02:21:34
Lentement, délicatement, conformément à ce qu’une succube devait faire, Inuko se déshabilla. Mélinda avait entendu Zan murmurer son nom, et l’avait retenu. Elle resta assise sur le rebord de la table, la regardant retirer les vêtements de Zan, avant de lui lancer son shorty en pleine figure, faisant rougir jusqu’aux oreilles la belle Chinoise. Les autres femmes, elles, n’en perdaient pas une miette, surtout Macy, dont la queue remuait de droite à gauche. Le spectacle fut encore plus grandiose quand, une fois nue, la belle Inuko prit son apparence démoniaque... Celle d’une succube humanoïde, à la peau beige, avec une queue caudale, des ailes, et des cornes. Mélinda se mordilla les lèvres, louchant sur ce corps, l’observant avec désir. Elle se rapprocha, soupesant ses lourds seins, et la vampire sentit un frisson intense la traverser. Elle avait toujours aimé coucher avec les démones. Plus intelligentes et généralement plus civilisées que leurs homologues masculins, elles étaient aussi très belles, et extrêmement endurantes. Par leur nature, les démons bénéficiant à Ashnard d’un statut particulier, ce qui faisait que les soumettre et en faire des esclaves était assez difficile. Mélinda avait bien quelques démones à son service, notamment Edessa (http://img98.xooimage.com/files/2/b/4/edessa-4265072.jpg), mais c’était parce qu’elle était née entre ses bras, et avait donc toujours grandi pour être son esclave dévouée et docile. Inuko, elle, était différente, et Mélinda ne voulait pas se froisser avec ses protecteurs impériaux en tentant de soumettre une succube contre sa volonté... Et ce d’autant plus qu’elle estimait pouvoir obtenir bien plus d’aides de la part de cette succube autrement qu’en tentant d’en faire une esclave.

Inuko s’était rapprochée d’elle, penchant la tête sur le côté, se mettant en valeur, avant de se mettre à parler, posant plusieurs questions à Mélinda... C’était comme si l’hostilité initiale de la succube s’était totalement envolée, au profit d’une excitation sexuelle qui montait graduellement. Les succubes et leurs pulsions sexuelles... Là où le sang était l’aliment des vampires, le sexe était celui des succubes. Elle lui parla, mais Mélinda n’eut pas le temps de répondre qu’elle sentit des marques dans son dos. Elle sursauta, naturellement surprise, mais comprit rapidement qu’il s’agissait d’un sort magique... Ce qu’Inuko confirma rapidement :

« C'est un pouvoir que j'aime beaucoup, il altère le sens du toucher pour créer des illusions. C'est troublant hein ? Plus vrai que nature ! Mais je ne suis pas sûre qu'une femme aimant dominer apprécie ce genre d'expérience. Dois-je continuer Mélinda ? »

Ce pouvoir n’était pas maîtrisé par Edessa, même si Edessa maîtrisait d’autres sorts. Mélinda cligna lentement des yeux, et tendit sa main, venant attraper la queue caudale de la femme, la caressant tendrement, glissant deux doigts le long de sa queue. Un sourire se dessina sur le coin de ses lèvres, et elle se pencha un peu, venant embrasser l’un des tétons de la femme, tirant un peu dessus. Ses dents s’agrippèrent à sa chair, et elle tira sa tête en arrière, emmenant ce sein avec elle, avant de la relâcher. Elle lui sourit ensuite, à nouveau, et croisa ses jambes. La jambe sur le dessus se mit alors à jouer, son pied venant glisser entre les cuisses de la succube, remontant un peu. Son pied vint ainsi caresser sa vulve, et elle lui sourit à nouveau.

« Je ne veux pas d’illusions, ma chère... C’est toi que je veux, ton corps, tes capacités, tes talents... Car oui, ton corps me plaît... Et je veux que ce soit ce corps qui me défonce... Sinon, je défoncerai le tien. »

C’est ainsi que les choses étaient appelées à se passer, tout simplement. Mélinda s’humecta les lèvres avec sa langue, et remonta un peu sa jambe, son pied continuant à frotter l’intimité de la femme, de cette belle succube assoiffée... Et Mélinda était également une femme extrêmement joueuse.
Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le lundi 17 novembre 2014, 21:42:48
J'ai faim, horriblement faim, je n'ai rien mangé durant mon inconscience et je n'ai pas pu manger Zan, je n'en ai pas eu l'occasion au final. La soif peut faire faire beaucoup de choses à un vampire, pour nous c'est pareil, la faim réveille nos instincts, révèle notre vraie nature. La petite apprentie succube gauche et enfantine est endormie, celle qui attrape la cheville de Mélinda pour la pousser plus loin sur la table, l'envoyant glisser un peu sur le dos, est une adulte, une prédatrice, fière et dominante.

"Tu ne veux pas de mes illusions et je ne veux pas de ton pied ! Si tu veux me faire jouir ce sera avec tes doigts ou avec ta langue. Je ne me masturberais pas sur ta jambe comme une petite chienne."

Voilà qui avait au moins le mérite d'être clair, elle n'aime pas les pieds, dommage pour la vampire qui aurait surement adorée qu'elle les lèche. Sans aucun doute cette vision l'aurait ravie mais, ce ne sera pas pour aujourd'hui. Je monte sur la table, à quatre pattes, m'avançant comme une fauve vers une proie déjà à sa merci. Après tout la vampire a voulu ce rôle, m'aguichant pour mieux aller courir sur sa table, courir devant une fauve est pourtant la meilleure manière de se faire courser puis dévorer. Ainsi on titille ses instincts, on la pousse à nous chasser, oui, la vampire a provoqué cela donc qu'elle ne s'en plaigne pas. Aucun risque ceci dit, puisqu'elle y trouvera son compte elle aussi, une nouvelle amante un peu exotique, un peu brutale aussi certes mais, quelque chose me dit que ça ne lui déplait pas. Mes mains avancent vers elle, s'arrêtent au niveau de sa tête, de chaque côté, soutenant mon corps au-dessus du sien, lui offrant une vue imprenable sur ma poitrine qui enfle à chaque inspiration. Ma jambe gauche passe par dessus la sienne, se calant contre son flanc, tandis que l'autre reste derrière, collée à sa cuisse. Jambe dessus, jambe dessous de la sorte, il est très facile ensuite de faire coïncider nos intimités, la mienne est chaude et humide, n'attendant que la sienne.

Tandis qu'un filet de ma cyprine dégouline sur son bas-ventre, le haut de mon corps s'incline pour venir dévorer ses lèvres et sa langue. Je l'embrasse à gorge déployée, avide de sa chair, je cherche sa langue avec la mienne, mêlant nos salives tandis que nos poitrines maintenant en contact se massent mutuellement. Mon bassin descend lentement vers le sien, jusqu'à ce que nos fentes entrent en contact, je frotte doucement la mienne contre la sienne, y déposant ma mouille comme un animal marque son territoire, y prenant un peu de plaisir supplémentaire aussi. Pendant que tout mon corps ondule à chaque mouvement de bassin, ma queue de succube s'active elle aussi. C'est une part de notre anatomie très spéciale, aussi sensible qu'un sexe elle aime se glisser dans les orifices sexuels de nos repas, suintant un liquide épais aux propriétés aphrodisiaques, dilatantes et lubrifiantes. Aussi sensible qu'un sexe certes, mais pas de la même façon, c'est aussi un outil de domination. Fouetter des culs avec n'est pas douloureux, au contraire, c'est même très agréable. Du coup j'en profite pour lui en mettre quelques coups sur ses cuisses pour la stimuler, avant de glisser ce phallus de substitution contre l'entrée de son joli petit cul.

"Cette fois-ci ce n'est pas une illusions ma belle."

Le membre caudal pénètre en douceur, déversant son nectar tout en coulissant à l'intérieur. Très vite les parois internes de Mélinda en dégouline, ça glisse comme si son anus était tartiné de beurre, ça s'écarte tout seul comme si cinquante personnes y étaient passées avant moi et ça l'excite comme si ... Comme si c'était un aphrodisiaque tout simplement. Niveau plaisir je ne suis pas en reste, comme je l'ai déjà dis, cette queue est aussi sensible qu'un sexe, me procurant les mêmes sensation qu'une bonne vieille sodomie classique.

Côté bouches je suis devenue vilaine, d'un vif coup de dent j'ai attrapé sa langue, la serrant à l'aide de ma mâchoire. Si elle s'éloigne je serrerais davantage, hors de question de rompre ce balais buccal.
Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le mardi 18 novembre 2014, 01:45:49
Inuko repoussa son pied, et Mélinda sourit délicatement. La petite succube n’était donc pas une fétichiste ? Dommage... Mais sa beauté physique suffisait amplement à contempler ce manque cruel de goûts pour une succube. Mélinda s’écarta un peu, se mordillant encore les lèvres, comme une espèce de gamine venant de voir un joli gâteau au chocolat qu’elle allait dévorer sur place. Inuko monta sur la table, à quatre pattes, et s’avança vers Mélinda, avant de blottir son corps contre le sien, pour un long échange buccal. La vampire, surexcitée, y répondit tout naturellement, tout en sentant la succube déplacer un peu son corps. Inuko avait commencé par se redresser devant elle, lui offrant une vue imprenable sur tout son corps, avant de s’abaisser ensuite, venant entremêler ses jambes avec les siennes, les reliant. Une drôle de position, qui aurait sans aucun doute eu sa place dans un exemplaire du kâmasûtra, et qui eut pour effet de sentir leurs intimités se coller l’une à l’autre.

L’une des jambes d’Inuko se tenait en effet en hauteur, enroulant Mélinda à hauteur des côtes, et l’autre restait en-dessous, ce qui lui donnait une position très curieuse. La vampire se demanda même si la succube n’allait pas tomber en arrière, mais, manifestement, elle semblait avoir de l’expérience, et put embrasser Mélinda, tout en frôlant son sexe avec le sien.

« Hnnn... »

C’était un baiser intense, langoureux. Inuko frottait son intimité contre son corps, et la langue de Mélinda alla jouer avec celle d’Inuko. Une main s’agrippait à ses cheveux, et l’autre caressa l’épaule de la femme, glissant sur sa peau, et elles continuèrent à s’embrasser. Le corps de Mélinda était légèrement relevé du fait de la position des jambes de son amante, ce qui eut pour effet que ses fesses étaient exposées. Fort heureusement, si Inuko n’était pas fétichiste, elle pouvait toujours satisfaire le second profond fantasme de la redoutable petite vampire : la sodomie. La vampire mordilla ses lèvres, et couina quand elle sentit la queue caudale de la femme taper contre ses fesses, donnant de petites fessées.

Fort heureusement, la vampire avait des goûts sexuels assez ouverts. Contrairement à d’autres de ses homologues esclavagistes, elle n’était pas une dominatrice pure et dure refusant toute forme de soumission. Elle estimait en fait que le meilleur dominateur était quelqu’un qui connaissait la soumission, qui savait ce qu’un esclave sexuel ressentait... Et le meilleur moyen de le ressentir était d’en faire l’expérience. Mélinda soupira donc en sentant la queue de la succube fouetter ses fesses. Dans leur dos, les esclaves n’en rataient pas une miette, et devaient se retenir pour ne pas intervenir. C’était une succube... Le simple fait de coucher avec une démone était déjà extrêmement excitant, mais les succubes, sous l’effet du plaisir, dégageaient également des phéromones, des pulsions sexuelles qui venaient les enivrer. C’était notable pour Macy, qui était une Terranide, et qui avait donc des sens plus sensibles que les autres.

Le baiser se rompit légèrement, et les yeux de Mélinda, qui s’étaient clos, s’ouvrirent, croisant ceux de la belle et joueuse succube :

« Cette fois-ci ce n'est pas une illusion ma belle. »

Un sourire répondit à la phrase d’Inuko, et Mélinda hocha lentement la tête.

« En effet... » soupira-t-elle.

Elle sentit ensuite le bout de cette queue s’enfoncer en elle, et Mélinda gémit. La nuit était déjà bien avancée, et, avant que Bran n’arrive, Mélinda avait passé sa soirée à faire l’amour... Elle avait exploré des culs, et on avait aussi ramoné le sien. Ce faisant, ses fesses étaient encore assez bien dilatées, ce que la succube constata rapidement. Le plaisir éclata, vif, accompagné malgré tout d’une pointe de douleur, ce qui amena les ongles de Mélinda à pousser, devenant des griffes qui caressèrent la chair de la femme. Mélinda soupira en se tortillant contre elle.

Inuko en profita pour l’embrasser à nouveau, un baiser mordant, auquel Mélinda répondit, non en cherchant à s’éloigner de la femme, mais en se collant davantage contre elle, enlaçant ses mains derrière sa nuque, s’y cramponnant. Quand Inuko cessa de mordiller sa langue, Mélinda fit de même, mordant la lèvre inférieure de la succube, tirant un peu dessus, la faisant claquer, avant de jouer avec sa langue. Son visage restait collé au sien, et son corps en fit de même. Son intimité laissait filer un mince filet de cyprine.

C’est à cet instant qu’une autre femme vint les rejoindre. Macy les rejoignit, et posa ses mains sur le corps d’Inuko, avant d’aller lécher ses fesses, notamment sa rondelle. Elle soupirait et gémissait, et s’appuya contre le rebord de la table pour pouvoir atteindre sa cible, sa bouche à côté de la queue caudale de la succube. Quant à Mélinda, elle caressait les cheveux de la femme, se crispant contre elle, en savourant ce contact... Cette femme était tout simplement délicieuse, et sentir son cul être ainsi exploré de la sorte était superbe... Il ne manquerait plus qu’à cette femme de lui défoncer la chatte, et la vampire serait au Septième Ciel !
Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le mardi 18 novembre 2014, 15:00:53
N'étant pas soumise aux mouvements de mon bassin, ma queue est libre, libre d'aller où elle le veut. Elle n'est pas obligée de se limiter aux mouvements lents et amples de cette partie du corps, elle peut se tortiller à l'intérieur de Mélinda, explorer des parties de ses intestins que les autres membres virils n'atteindront jamais. Elle peut aller beaucoup plus vite qu'un sexe normal, l'excitation la fait enfler, transformant l'espèce de triangle à son extrémité en une sorte de cône rigide. Au final, le bout de ma queue ressemble à une espèce de gros crayon souple, capable de se tordre et de lui procurer des sensations qu'elle ne retrouvera que difficilement ailleurs. Je ne maitrise certes pas la magie rose qui me permettrait de me faire pousser un pénis mais, mon corps de succube a déjà de nombreuses particularités amusantes dans le vaste domaine du sexe qui compensent largement cela. Je lui baise le cul, je la pilonne sans la moindre retenue, elle voulait se faire défoncer donc je la prends au mot, je la défonce. Le fluide suintant de mon sexe se répand bien vite sur la table, coulant de son anus rosit par les vas et viens brutaux, détrempant ses adorables petites fesses. J'éprouverais une petite fierté personnelle si d'aventure elle éprouvait des difficultés à s'asseoir par la suite, ça me ferait bien plaisir et donc je travaille en ce sens. Elle n'a pas réagit à mes petites claques sur ses cuisses, qui ont formés de jolis petits triangles rouges sur sa peau, alors je suppose qu'un peu de douleur lui fera le plus grand bien.

Tandis que je m'applique à ramoner sa maîtresse dans les règles de l'Art, une petite perverse vient se glisser dans mon dos. Attirée par la douce odeur de luxure, la petite terranide pose ses mains sur mon derrière avant de glisser sa petite langue rose entre mes fesses. Loin de désapprouver cette initiative, je me mets à gémir doucement, appréciant à sa juste valeur le doux traitement qui m'est infligé. Mais la petite perverse ne s'arrête pas là, dans un éclair de génie, voyant le plaisir que je prends à défoncer sa maîtresse avec mon phallus caudal, elle humecte une de ses mains de salive. Tandis qu'elle lèche mon anus, sa main vient empoigner la base de ma queue, glissant dessus comme si elle voulait me masturber. Bingo ! La sensation est juste géniale, j'ai l'impression d'avoir deux sexes, un dans le joli petit cul de Mélinda et un autre entre les mains experte de Macy. Mon corps tremble de plaisir, ma respiration s’accélère, ma poitrine, toujours collée contre celle de Mélinda, lui procure ainsi un petit massage. Je ne peux et ne veux résister à l'envie de me cambrer, offrant encore plus mes fesses à la terranide, comme si mon corps lui disait : "plus, baise moi encore plus !". Je rompt le baiser avec la vampire quelques secondes, le temps de faire la conversation :

"Ooooh ... Humph !"

Un truc qu'on citera encore sur fassebook dans dix ans. Je sens que je vais bientôt jouir une première fois, les préliminaires avec Zan, la faim, l'envie et l'acte en lui-même, je sens que celui-là va être mémorable. Il faut juste tenir jusqu'à ce que Mélinda jouisse aussi, que je puisse la manger. Étant une vampire je me demande quel goût elle a et si elle restera consciente ou pas après avoir perdu une grande partie de son énergie vitale. Peut-être voudra-t-elle de mon sang pour récupérer ? Je le lui offrirais avec joie.

Soucieuse de la mener à l'orgasme elle aussi, je glisse ma main en nos deux ventres, descendant doucement jusqu'à sa fente humide et chaude. La tentation de glisser ces doigts en moi pour prendre encore plus de plaisir est forte. Mais si je veux que le repas soit meilleur je dois penser à travailler sa viande, je glisse deux doigts en elle, caressant ses parois internes du bout des doigts. De temps en temps je ressors ces doigts couverts de sa cyprine pour venir humecter son clitoris et jouer avec. Puis je les replonge dedans, variant les plaisirs. Les mouvements de ma queue accélèrent encore, je donne tout ce que j'ai pour la dernière ligne droite, tandis que je l'embrasse je me mets à gémir comme la dernière des salopes.

"Humph ... HUM ! Mmmm ! Ahmphh ..."

La petite Macy se débrouille bien et alors que je pensais que rien de nouveau ne se produirait avant l'orgasme, cette petite a encore un éclair de génie. Elle plonge les doigts de son autre mains dans mon anus, me doigtant joyeusement, sans doute inspirée par mes propres doigts qui venaient de pénétrer sa maîtresse. Mon corps se tord dans tout les sens, tout cela devient intenable.

Et finalement l'orgasme vient, brutal, mon corps entier se crispe, des spasmes de plaisir parcours mon corps tandis que je continue à gémir en aspirant la force vitale de Mélinda par sa bouche. Finalement je me repose sur son corps, ma queue immobilisée en elle, frottant ma joue contre la sienne après avoir rompu notre long baiser. Je glisse ma main derrière sa nuque, relevant doucement sa tête pour mettre sa bouche en contact avec mon cou. Je lui dit encore tremblante :

"Une petite soif ?"
Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le jeudi 20 novembre 2014, 03:24:23
Comme on peut très souvent s’y attendre chez Mélinda, le duo que constituait Inuko et la vampire devint rapidement un trio. Macy était une Terranide curieuse et assez intrépide, suffisamment intrépide pour avoir choisi de se rendre sur Terre, alors qu’elle venait d’Ashnard, où elle était régulièrement câlinée et amicalement défoncée et baisée par les clients. Sur Terre, sa curiosité lui avait permis de découvrir d’autres choses, comme les jeux vidéos, et elle était perpétuellement chouchoutée par les femmes vivant ici. De plus, un peu dans la même veine que Zan, elle peinait à se retenir face au sexe. Si c’était purement psychologique chez Zan, chez Macy, cela venait essentiellement de ses sens félins développés. C’était une constante qu’on retrouvait chez beaucoup de Terranides, et qui, selon Mélinda, expliquait pourquoi leur espèce était si souvent asservie. Ils étaient tout simplement faits pour ça ! Elle était donc partie à l’assaut des fesses de la succube, et s’empressa de masturber la base de sa longue queue caudale, venant parfois la lécher également.

Inuko, elle, continuait à enfoncer sa queue dans le cul de Mélinda, qui soupirait, encore et encore, tout en prolongeant son baiser avec la femme. C’était un baiser particulièrement long et savoureux. Mélinda jouait volontiers avec la langue de l’intéressée, remuant sa bouche contre la sienne, gémissant de plaisir, tout en sentant ses griffes pousser quand la queue caudale de cette dernière s’enfonçait dans son fondement, remuant en elle. Ow, ça, c’était bon ! La vampire se tortillait sur la table, se crispant contre son corps, et, quand Inuko rompait ses baisers, Mélinda se ruait dans son cou, embrassant et mordillant sa peau, la léchant. Ses instincts de vampire se mélangeaient au plaisir strictement sexuel que son corps ressentait. Mélinda était bercée par le désir, et par le sang délicieux de cette femme. Le sang des succubes avait toujours eu quelque chose d’appétissant, et, en plein acte sexuel, en plein ébat avec une représentante de cette race, ce sang se bonifiait, devenant encore plus attirant, encore plus délicieux. La pauvre Mélinda était transpercée par la soif et par le plaisir, et, pour ne rien arranger, Inuko alla jusqu’à la doigter. Le plaisir sexuel de la succube, développé par les attouchements de Macy, qui avait toujours été très douée de sa langue et de ses doigts.

« Huuuunnnn… Hmmmmmm !! »

Faire la conversation était difficile. Mélinda sentait l’orgasme pointer, et ses griffes s’enfonçaient dans la peau de la succube. Elle ne saignait pas, mais elle devait le sentir. Ah, la sodomie ! Jadis, Mélinda avait été horrifiée par ça. La sodomie était le premier rapport sexuel qu’elle avait connu, de la part de son frère, alors qu’elle était encore une petite fille. Elle avait eu l’impression qu’on l’écartelait. Elle avait été violée dans une petite cage dans l’ancien harem de son père, une sorte de sinistre cage à chiens où elle se chiait dessus, faisant ses besoins dans un coin, comme un animal en cage, le collier autour du cou. Quand elle avait enfin pu se venger, la sodomie avait représenté pour elle un terrible challenge… Car elle lui rappelait son traumatisme d’enfance, son impuissance, sa faiblesse… Elle, soumise face à l’appétit insatiable d’autres personnes. Il avait fallu tout le soutien de ses esclaves et de longues heures à lui lécher le cul pour qu’elle finisse par l’accepter, et autant d’années pour qu’elle finisse par apprécier ça, et par accepter qu’on glisse une verge en elle… Et maintenant, il fallait la voir, il fallait la regarder se tortiller en gémissant, son beau corps traversé de plaques rouges, son excitation galopant à toute allure de manière frénétique. Oh oui, la vampire avait surmonté ses traumatismes ! La vampire avait terrassé l’humaine, et il y avait, pour elle, dans la sodomie, une sorte de plaisir libératoire, de jouissance bénéfique qui lui permettait, à chaque fois qu’il ressentait la divine souffrance, de se sentir plus libre, de pouvoir respirer. Sentir cette queue caudale en elle était donc extrêmement jouissif, et les doigts d’Inuko… Et bien, ses doigts étaient l’ultime coup de pouce dont Mélinda avait besoin.

L’orgasme vint, fulgurant, et, alors que Mélinda hurlait et gémissait, Inuko se colla contre elle, et aspira son énergie. Mélinda écarquilla les yeux en plantant un peu plus ses griffes, faisant perler un peu de sang. Elle sentit son énergie se vider, et, alors que son plaisir était comble, et qu’elle venait de caresser des doigts les empreintes des Cieux, elle se rappela ce vieux proverbe sur les succubes : « des trésors aux mortels interdits ». En échange du plaisir sexuel, les succubes volaient votre âme. Aussi, Mélinda se mit donc à paniquer… Avant qu’Inuko ne retire ses lèvres, et ne la laisse pantoise.

C’était comme si une chape de plomb venait de s’abattre sur la vampire, qui se sentit soudain exténuée. Ses poumons étaient en feu, comme si elle venait de courir à bride abattue, et elle haletait, respirant de plus en plus fort. Macy, elle, léchait le dos d’Inuko, tout en continuant à remuer intensivement ses doigts en elle. Elle recueillait un peu de mouille, et barbouillait ensuite le dos d’Inuko de ce délicieux nectar, avant de le suçoter, de le prendre entre ses lèvres, et d’y goûter, léchant pour cela activement sa peau, l’embrassant ainsi. On pouvait tout à fait voir en Macy une fétichiste de la peau, car elle adorait embrasser le corps humain, et le lécher.

Mélinda, de son côté, soupirait lentement, avant de sentir le cou d’Inuko se rapprocher de sa bouche… Ce qui l’amena à comprendre ce qu’elle voulait :

« Une petite soif ? »

La vampire cligna des yeux pendant quelques secondes, sous l’effet de la surprise, puis sourit.

« Oh oui… »

Juste retour des choses: Inuko avait aspire sa force vitale, Mélinda allait faire de même. Cependant, avant de le faire, Mélinda lécha ses plaies, les pansant, nettoyant ses plaies, puis elle embrassa son cou, le léchant ensuite. Sa peau était magnifique, d’une douceur infinie, et ses canines pointèrent, s’enfonçant rapidement dans sa chair. La morsure, qu’on appelait aussi, poétiquement, l’Étreinte, était une tâche difficile à faire. Mélinda devait atteindre la veine d’Inuko, mais, si elle poussait trop, elle couperait la veine, ce qui, concrètement, provoquerait une hémorragie potentiellement mortelle. Elle enfonça donc ses dents jusqu’à atteindre la veine, et effleura très légèrement cette dernière. De cette manière, si rien ne se passait, Inuko ne perdrait qu’une infime quantité de sang. Mélinda écarta ses dents, les rabattant… Puis se mit à sucer.

Ses mains se serrèrent contre le corps de la femme, appuyant dessus, et elle sentit le sang affluer dans sa bouche.

« Mmhhhhm-hhhmmmm… »

La vampire gémit, se serrant contre le corps de la femme. Ce sang était très excitant, un magnifique sang de succube. Au fur et à mesure que le temps passait, Mélinda sentit le plaisir revenir… Puis Inuko dut alors sentir quelque chose de dur s’enfoncer contre son estomac. Sous l’effet du plaisir intense induit par le sang de la succube, la vampire venait de faire sortir sa verge, qui se mit donc à heurter son ventre, glissant un peu dessus.

« Mmmmmmhhhmmmmmmm !! »
Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le jeudi 20 novembre 2014, 19:37:13
Ah Macy ! Quand j'aurais mon harem il me faudra une jolie petite terranide comme elle, c'est qu'elle est sacrément habile avec sa langue, à croire qu'elle n'utilise que ça à longueur de temps. Elle s'amuse à m'asperger de mouille, puis me lèche, m'embrasse, elle est vraiment adorable. Dans mon futur harem il me faudra aussi une petite vampire, jusque là mes expériences avec les vampires avaient été plutôt traumatisantes mais, lorsque Mélinda m'a mordue j'ai compris que nous étions pareils. Lorsque j'ai aspiré sa force vitale, je l'ai sentie tressaillir, j'aurais très bien pu la tuer si l'envie m'avait pris et elle le savais très bien, puis, lorsqu'elle m'a enfoncé ses crocs dans le cou, j'ai ressenti la même chose. Vampires et succubes, nous sommes exactement pareils, nous sommes des prédateurs avec qui la moindre partie de jambe en l'air devient un véritable jeu de la roulette russe. Quelques secondes ou quelques centimètres de trop et c'est la mort assurée. Je trouve que le fait de savoir qu'on pourrait mourir à cause d'une simple erreur de l'autre donne une saveur particulière à l'acte, tout comme le fait de miser de l'argent lors d'une partie de carte rend le jeu plus intense. Ici la mise est notre vie, autant dire qu'on peut difficilement faire plus motivant et excitant.

Cela mis à part, Mélinda est vraiment mignonne lorsqu'elle gémit et vient renifler, lécher, embrasser mon cou. Mon sang l'excite, les vampires de chez Zahar aussi étaient excités par mon sang mais, eux n'étaient pas mignons du tout. Lorsqu'elle le boit, je sens son plaisir remonter en flèche, je ne peux qu'imaginer ce qu'elle ressent à ce moment là n'étant pas une vampire. Le fait de savoir qu'un fluide issu de mon corps lui procure ce genre de sensations m'excite aussi, ça me fait me sentir un petit peu spéciale pour elle. Tandis qu'elle boit je lui caresse tendrement les cheveux, ma queue immobilisée en elle, je ferme les yeux attendant qu'elle soit repue elle aussi. Lorsque tout à coup je sens quelque chose buter contre mon ventre et se glisser entre nous deux, j'en reconnais la forme et la taille : un pénis ? Je pose mes doigts dessus je le tâte un peu, c'en est bien un ! Quelques secondes plus tard elle arrête de sucer mon sang, léchant un peu la plaie avant de me laisser libre de mes mouvements. Je me sens un peu faible tout à coup mais, je lui souris avant de lui murmurer sur le ton de la protestation :

"Humph ... C'est méchant d'attendre que je sois fatiguée pour le sortir ..."

Je me suis péniblement levée pour me remettre à quatre pattes au-dessus de Mélinda. Laissant son pénis se dresser entre elle et moi. Je passe ma langue sur ma lèvre supérieure tout en souriant, regardant la vampire droit dans les yeux. Je glisse une main sur son sexe dressé, venant le flatter, jouant avec son barreau de chair. Sans doute s'attend-elle à ce que je m'empale dessus mais, je n'aime pas faire ce qu'on attend de moi. Ma queue sort rapidement de son joli petit cul, éclaboussant derrière nous et faisant un petit :

"Pop !"

Je me décale sur le côté, m'éloignant un peu de Mélinda qui doit se demander ce que je suis en train de foutre, puis je me retourne pour revenir au-dessus d'elle. Sauf que cette fois c'est mon entre-jambes qu'elle a en face des yeux pas mon visage, je me pose ainsi sur elle, plaquant mon intimité sur sa figure tandis que je prends les choses en main de l'autre côté, au sens propre du terme. J'embrasse la base de son sexe, avant de remonter lentement avec ma langue jusqu'à son extrémité, la prenant en bouche quelques secondes pour l'humidifier. Je commence à la masturber, glissant dans le même temps deux doigts dans son anus qui est resté grand ouvert à cause du gel dilatant. Et de temps en temps pour varier les plaisirs je m'amuse à le mordiller.

Après avoir suffisamment joué à mon goût, je passe aux choses sérieuses, prenant son mandrin intégralement dans ma gorge. Sur fond de bruits gutturaux je commence à faire d'ample vas et viens avec ma tête, désireuse d'aspirer autre chose que sa force vitale. Deux de mes doigts stimulant son anus tandis que mon autre main caresse l'intérieur de sa cuisse. Je laisse ma queue encore gonflée se balader à droite ou à gauche, au cas où Macy voudrait l'attraper et jouer avec.
Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le samedi 22 novembre 2014, 02:32:47
Quand la queue caudale d’Inuko se retira de son fessier, Mélinda soupira lentement. Ses fesses se refermèrent légèrement, et elle put se coucher un peu mieux sur le dos. Tout ce sang de succube venait de follement l’exciter, et tout son corps vibrait, tremblant dangereusement, sa queue bandant très bien. Elle se dressait devant elle, tel un vigoureux mât, et voir Inuko au-dessus était monstrueusement excitant… Allait-elle s’empaler sur elle ? Mélinda en rêverait presque, sentant pour l’heure seulement sur son membre viril les écoulements de mouille d’Inuko, s’échappant de son sexe bien épilé pour caresser sa verge, la faisant soupirer… Et puis, au lieu de vouloir s’empaler sur elle, elle s’écarta un peu. Macy resta en retrait, se cantonnant pour l’heure au rôle d’observatrice… Pour l’heure.

La succube agissait comme si elle était chez elle, sans aucune retenue envers le fait qu’elle n’était, pour l’heure, qu’une petite squatteuse. Autrement dit, c’était une démone dans toute la force de l’art. Elle agissait avec efficacité, baignée dans son domaine de prédilection, celui qu’elle se devait de maîtriser à la perfection : le sexe. Les deux femmes se connaissaient à peine, et étaient pour l’heure déjà en train de faire l’amour… Et, même au-delà de ça, elles avaient été jusqu’à s’échanger mutuellement leurs vies, la première en aspirant sa force vitale par un mortel baiser, la seconde en la mordillant jusqu’au sang. En somme, une indéfectible amitié venait d’ores et déjà de se lier entre les deux femmes, car elle reposait sur la confiance mutuelle. Mélinda ne chercherait pas à en faire une esclave… Du moins, pas trop. Elle voulait en savoir plus sur elle, savoir qui étaient les gens qui l’avaient attaqué, quel était son passé, et savoir comment s’attacher ses services, de préférence de manière permanente. Pour l’heure, elle vit le sexe de la succube se retrouver sous son nez, ses jambes à gauche et à droite de sa tête, et elle comprit alors très bien ce qu’elle comptait faire.

« Haaaa… »

Elle avait entrouvert les lèvres, venant goûter à la mouille de la succube, qui descendait de sa fleur ouverte… Puis Inuko fléchit les genoux, et s’assit tout simplement sur elle, son sexe à hauteur de ses lèvres. Mélinda sentit contre son nez, son menton, et, bien évidemment, ses lèvres, ce trou tendre et visqueux. Son gémissement fut étouffé par les cuisses de la femme, et elle posa ses mains en appui sur ses hanches, puis entreprit de lécher, soupirant de plaisir, avalant cette mouille,mastiquant et suçant. Rapidement, Inuko donna la réplique, se penchant vers sa queue, vers ce mât dressé, et fort douloureux. Quand un chibre était dressé de cette manière, il envoyait dans le corps de son propriétaire de furieux élancements de douleur. Une douleur grisante qui était liée à la frustration, et qui était énormément exploitée dans bien des séances sadomasochistes. L’idée était de stimuler cette verge le plus possible afin de transformer l’homme en une bête sauvage qui ne se retiendrait plus, et défoncerait joyeusement sa Maîtresse, la déboîterait à tel point qu’elle resterait ensuite sur le carreau.

Inuko joua évidemment avec cette sensation. Elle aurait pu directement prendre ce sexe en bouche, mais elle choisit d’être facétieuse. Elle commença par l’embrasser à la base, faisant hoqueter la vampire, puis, par la suite, sa langue remonta le long de cette verge. Son sexe était humide, recouvert de sa propre mouille, le rendant donc plus… Plus agréable, pour ainsi dire. Les pensées de Mélinda s’embrouillaient, et elle ne pensait qu’à enfoncer sa langue dans le corps de la femme, remuant cet appendice lingual comme une petite chienne en chaleur, ses ongles pointus s’enfonçant dans la chair de la succube, s’appuyant dessus, serrant. La succube était terriblement efficace.

« Mhhhhmmm-mhhhhmmmm… »

Mélinda couinait et soupirait, remuant ses jambes d’avant en arrière… Et sentit alors Macy revenir à la charge. Inuko s’était éloignée d’elle, mais elle pouvait désormais s’attaquer aux pieds de sa Maîtresse, pour encore mieux la frustrer ! La vampire sentit ainsi la langue de Macy caresser ses doigts de pied, sa bouche venant les suçoter, léchant ensuite sa plante, puis ses doigts de pied. Macy connaissait tout le fétichisme de sa Maîtresse, et en profitait donc volontiers. Inuko avait déclenché une sorte de tornade rose, qui était progressivement en train d’emmener avec elles les autres esclaves de la vampire.

Inuko continua son traitement, remplaçant sa langue par ses doigts, serrant sa hampe de chair entre sa main, son autre main venant alors doigter le fessier de Mélinda, la faisant soupirer et couiner. Elle se tortilla un peu, grognant et haletant, ses griffes continuant à meurtrir un peu la chair de sa belle amante. Elle couinait davantage, et sentit finalement Inuko approcher enfin ses lèvres. Mélinda était tendue comme une corde à violon, son visage invisible, mais ses soupirs, eux, bien audibles. Inuko avait même mordillé sa verge !

*Maudite succube !*

Elle allait la rendre folle, à force ! Finalement, elle sentit Inuko se pencher en avant, et sa bouche vint avaler son sexe, l’enfouissant en elle.

« HHNNNNNNNNNNNNNNNNN !!! »

Mélinda soupira, se tortillant un peu, redressant son dos sur quelques centimètres. Les seins d’Inuko heurtèrent son estomac, et elle sentit la bouche de cette dernière filer jusqu’à la base de son sexe. Oh oui ! Voilà bien pourquoi on pardonnait tout à ces maudites succubes ! Elles étaient si douées, si efficaces ! Comment leur en vouloir longtemps ? Comment leur en vouloir tout court ? Elles jouaient avec vous, mais on finissait toujours par avoir ce qu’on voulait. Même Edessa n’était pas différente, et ce malgré tout l’amour qu’elle éprouvait pour sa Maîtresse. Elle sentit les doigts d’Inuko toujours dans ses fesses, et elle-même entreprit de déplacer les siennes. Il n’y avait pas de raison qu’Inuko soit la seule à s’amuser, et Mélinda lui fit aussi goûter un peu de sodomie. Elle aventura ses mains un peu à l’aveuglette, tâtant des fesses de la femme.

Peinant à y arriver, elle allait décrocher quand une nouvelle femme vint les rejoindre.

« Laissez-moi faire, Maîtresse… » intervint alors une douce et tendre voix.

Cette femme était l’une des filles avec lesquelles Macy avait joué, Solène (http://image.noelshack.com/fichiers/2014/47/1416566752-servante-9.jpg), une femme avec de longs cheveux blancs-gris. Elle venait de les rejoindre sur la table, et ne tarda pas à enfoncer son index dans les fesses de la succube, et Mélinda sentit alors pointer sur son front, la texture arrondie et effilée d’un gode… Solène avait dû profiter de ce moment pour enfiler une culotte-gode.

Quitte à avoir une succube, autant lui offrir un traitement royal, non ?
Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le samedi 22 novembre 2014, 15:27:45
La mignonne petite vampire est sous le charme, je le sens bien, elle se laisse totalement aller et je prends le même chemin. Je sens ses griffes qui s'enfoncent dans ma chair, son côté bestial me plaît, m'excite. Sa langue semble bouger au hasard, comme folle mais, on se rend vite compte qu'il n'en est rien. Intuitivement elle la dirige vers des zones sensibles, même submergée par le plaisir elle garde ses réflexes, surement hérités de longues nuits à baiser ses esclaves. Elle est douée, monstrueusement douée, je pourrais facilement devenir accroc à cette adorable petite langue rose qui torture mon sexe. J'ai l'impression d'être assise sur une lionne en chaleur qui enfonce ses griffes dans une pauvre petite gazelle avant de la lécher au lieu de la dévorer. Mais cette situation est réciproque, si mon sexe est vulnérable, le sien l'est aussi.

En parlant de vulnérabilité, la terranide qui lui sert d'esclave est une sorte de génie démoniaque, qui trouve toujours la chose la plus horriblement succulente à faire. Séparée de mes fesses, elle jette son dévolu sur les pieds de sa maîtresse, laquelle semble particulièrement apprécier. Était-ce pour cela qu'elle avait tenté de me présenter ses pieds au tout début ? Fort probable. Et fort intéressant. Une faiblesse de plus à exploiter. Je sens les mains de Mélinda tâter mes fesses, sans doute à la recherche de mon anus, je m'amuse à bouger mon bassin pour lui compliquer la tâche. Je glousse, me moquant ouvertement d'elle, jouant avec ses nerfs. J’interromps ma fellation, masturbant son pénis pour la faire patienter le temps de lui balancer une petite pique :

"Alors Mélinda ? Tu n'arrives même plus à viser ? Hi hi !"

Oh oui, j'adore provoquer, surtout dans ce genre de situation. Une pique bien placée peut faire des miracles, pousser l'autre à se venger délicieusement. Mais alors que je partais pour reprendre son sexe en bouche, j'ai été coupée dans mon élan par une nouvelle voix :

"Laissez-moi faire, Maîtresse…"

J'ai sentis un doigt s'enfoncer dans mon anus aussitôt après. Il fait d'amples cercles dans mon cul, comme pour l'assouplir avant qu'autre chose n'y entre. Peu de temps après je sens une main agripper la base de ma queue et la serrer fermement, tandis que l'autre se désintéresse de mon anus pour se saisir tout aussi fermement du dessus de ma cuisse, m'empêchant ainsi de me dégager quoi qu'il arrive. Je sens alors le bout rond d'un gode se coller entre mes fesses, juste à l'entrée de mon anus. Il pénètre lentement en moi, m'arrachant des soupirs d'aise. Mais combien sont-elles à être aussi dépravées dans cette maison ? Elles veulent tant que ça me convaincre de rester ? Ma décision est déjà prise hein, même si je ne me plaint pas du traitement, ça c'est une fête de bienvenue digne de ce nom. Elle s'enfonce jusqu'à ce que ses cuisses butent sur mon derrière. Qu'est-ce que c'est bon ... Puis elle se met à aller et venir comme une furie, sans crier gare. Le contraste entre sa voix douce et sa façon de faire franchement brutale me surprend et m'arrache un :

"FUUUUUUAAAAAH !!!"

Elle veut réduire mes organes en purée ou quoi ? C'est quoi cette fille adorable qui se comporte comme une sauvage ? Il y a combien de folles furieuses comme elle ici sérieusement ? Mon corps tremble, entre la langue de Mélinda et le gode dans mon fondement qui me pilonne sans la moindre pitié, ça commence à faire beaucoup. Puis je vois Zan (http://fc08.deviantart.net/fs70/i/2012/050/6/0/zan_by_sakimichan-d4qbr99.jpg) passer devant moi pour monter sur la table, toujours nue. Moi qui pensait qu'elle en avait suffisamment pris dans les fesses pour aujourd'hui. Je me demande où elle va bien pouvoir se trouver une place sur cette table qui commence à être surchargée et à grincer. Surprise je constate qu'elle attrape ma queue que j'avais complétement oubliée avec tout ça.

"Zan ? Attend je ... Je te ferais plaisir après ... Soit gen-TILLEUUUUUH !!!"

Avant de pouvoir finir ma phrase, une Zan sur-excitée par l'ambiance qui régne ici s'est emparée de ma queue, encouragée par l'entrée en scène de Solène et se l'est enfoncée dans l'anus, se masturbant joyeusement avec. Je ne sais plus où donner de la tête, mon corps se crispe, agité de spasmes d'excitation, c'est trop. Trop d'un coup. Mon intimité déverse un flot continue de mouille sur le visage de Mélinda, je n'arrive plus à me contenir et je commence à me débattre par réflexe, fermement maintenue par une Solène qui prend visiblement plaisir à me labourer le cul.

"HAAAAAAAAAN HAN ... Aaaah !"

Hors de question je sois la seule à prendre aussi cher ! J'attrape le membre viril de Mélinda pour serrer sa base de toutes mes forces, ça lui fera un peu mal au départ mais elle s'y fera. Je vais bloquer sa semence à l'intérieur, lui interdire de jouir tout en la baisant avec ma gorge. Et je n'arrêterais pas tant que les autres n'auront pas fini ! Je me met donc à aller et venir le long de son épais mandrin, serrant impitoyablement son sexe pour la maintenir dans cet état.
Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le dimanche 23 novembre 2014, 02:08:04
Mélinda se trouvait probablement dans l’un des plus beaux endroits du monde : sous les cuisses d’une belle femme. La vampire devait bien reconnaître que, aussi facétieuse et perverse soit-elle, cette succube avait un corps magnifique. Sa peau, notamment, était d’une incomparable douceur. La palper, la caresser, c’était comme frotter du bout des doigts les cuisses d’un beau petit nourrisson, avec une peau fine et tendre. Les doigts de la vampire se crispaient à cette dernière, tandis que, autour d’elles, de plus en plus de monde arrivaient. Elles se trouvaient sur la grande table du salon, une table très longue, comme ces tables du Moyen-Âge, des tables de banquet capables de supporter une cinquantaine de personnes. Qu’il y ait du sexe sur cette table était donc très fréquent, comme en attestait ce moment. Les esclaves de Mélinda étaient des voyeuses, et coucher en public ne els dérangeait nullement. Pauvre Inuko ! Elle ignorait dans quelle histoire de folles elle avait débarqué !

Solène était habituellement une lycéenne modèle, calme, attentive, et très douce. Discrète et timide en cours, son seul défaut, du point de vue de ses professeurs, était sa grande difficulté à communiquer et à s’exprimer à l’oral. Une beauté renfermée que Mélinda avait su utiliser au mieux pour réveiller ses pulsions enfouies... Et, pour l’y aider, quoi de mieux que les spores chargées de phéromones qu’une succube dégageait instinctivement ? L’air ambiant en était saturé, et nul ne pouvait y échapper. Les spores venaient titiller vos narines, et les filles alentour n’avaient pas pu résister pendant bien longtemps. Solène choisit donc de s’attaquer au cul d’Inuko, et ne tarda pas à enfoncer son gode en elle, tout en remuant férocement, donnant de grands coups de reins.

« Hunn-hunnn... »

Le peu du visage de Mélinda restant encore à l’air libre disparut par les cuisses de Solène, et elle sentit, le long de son nez et de son front, la mouille de cette dernière couler. Comment ne pas être excitée, pour Solène ? Elle était en train de sodomiser une succube ! Ses mains se crispèrent sur ses seins, et elle continua à remuer, d’avant en arrière, donnant de grands coups, soupirant, soupirant de sa voix si douce, ses seins s’enfonçant dans le dos d’Inuko. La succube était bien entourée, mais le pire était encore à venir. Mélinda sentit en effet un autre groupe sanguin se rapprocher. Elle peinait à respirer, ou à comprendre ce qui se passe. Inuko s’amusait à alterner entre suçage de sa queue et simple masturbation. Sa queue caudale fouettait en l’air, quand Zan, nue, réussit à l’attraper.

Un sourire espiègle se dessinait sur les lèvres de la Chinoise. Elle aussi ne comptait pas rester inactive face à spectacle de sodomites. Elle manipula la queue pour la présenter face à ses fesses, et un autre cul se retrouva butiné. La queue caudale de la succube s’y enfonça délicieusement, et Zan poussa un hurlement de plaisir, en s’abattant sur les jambes de sa Maîtresse, une main sur chacune d’entre elles. Pour le coup, Mélinda se sentait bien écrasée, avec, en tout, quatre femmes sur elle. Ses ongles continuaient à caresser Inuko, faisant couler un peu de sang, et la brave succube était surexcitée. Mélinda le sentait, que ce soit à travers ses ondulations sanguines qui s’affolaient, ou à travers sa concentration de mouille qui lui maculait le visage.

« Hummm... Quel cul magique ! On dirait qu’il n’a été fait que pour se faire défoncer, hihi ! » gloussa Solène, follement ravie.

C’est à cet instant qu’Inuko choisit de faire davantage souffrir la pauvre Mélinda. Elle se pencha vers son sexe, et serra alors sa main sur la base de sa queue.

« HUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU.. !!! »

Impossible de dire quoi que ce soit. Mélinda sentit une vague de douleur la traverser, et tenta de remuer son corps... Tâche difficile, vu tous les kilos qui étaient sur elle. Ses doigts se crispèrent davantage, et elle sentit la bouche d’Inuko avaler sa queue intégralement, mais en retenant le flux de sperme. Souffrance et plaisir, deux extrêmes, deux pôles qui étaient ici en train de se caresser et de se mélanger l’un à l’autre. Inuko prenait un malin plaisir à la torturer, et, si la verge de Mélinda était bloquée, son intimité, elle, continuait à laisser s’échapper quelques filaments de mouille.

« Cochonne ! intervint alors la voix éreintée de Zan. Hunnn... Haaaaannnn... Laisse... Laisse-en un peu pour les copines ! »

Que voulait-elle dire par là ? Très simple ! Zan se pencha elle aussi vers la verge de sa Maîtresse, et força Inuko à relever un peu son visage, afin de pouvoir lécher et embrasser la belle queue de Mélinda.

« Miam, elle est bien tendue... C’est le signe que Maîtresse est en train de souffrir, hihi ! »

Mélinda soupira pour seule réponse, et Zan se redressa, se penchant vers l’oreille de la succube, afin de lui murmurer quelques mots doux :

« Elle nous punira très fort si... Hummm... Nous continuons à la frustrer... »

Une perspective qui semblait être très loin de déranger la belle Chinoise.
Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le dimanche 23 novembre 2014, 19:03:06
Le moins que l'on puisse dire c'est que nos relations étaient passées d'illustres inconnues à copines de baise en un clin d’œil. Entre la petite vampire qui s'amusait à "marquer son territoire" en me lacérant les fesses et les cuisses, la mignonne petite lycéenne qui me bourrait l'anus comme la pire des barbares, la terranide qui laissait trainer sa langue partout et la chinoise nymphomane, il y avait du niveau. Dans le tas, la plus à plaindre est clairement Mélinda, elle se retrouve coincée tout en bas et ne peut soulager sa frustration sexuelle qu'en léchant mon intimité et en me griffant, ce dont je ne risque pas de me plaindre. Mais à cause des griffures et de ce que mon rectum ramasse en ce moment, je ne pourrais très certainement plus m'asseoir avant plusieurs jours. Et si ça se passe tous les soirs comme ça, je vais finir par oublier que je suis capable de m'asseoir et passer ma vie debout ou couchée sur le ventre ...

Lorsque j'ai compressé fermement la base de son phallus, j'ai senti mon hôte se crisper et je l'ai entendu crier. Pardon mais, il faut bien empêcher la vilaine vampire de tout cracher dès les premières caresses buccales, elle est tellement excitée que ça pourrait bien arriver. Mon sang a toujours des effets puissants sur les vampires maintenant que j'y repense, je suppose que ma nature de succube le rend en quelques sortes aphrodisiaque pour eux. Sans compter le fluide qui suinte de ma queue qui est lui aussi un aphrodisiaque, entre autres. C'est à ce moment que je regrette de ne rien y connaitre en magie rose, car je sais qu'il existe des sorts pour doper la production de sperme. Je me suis dis que la meilleure torture serait de lui lancer un tel sort tout en bloquant son éjaculation. Ainsi la semence s'accumule, s'accumule, jusqu'à ce que la douleur soit insoutenable et là, on relâche et tout sort dans une jouissance extrême. Lorsque je connaitrais tout cela il faudra que je teste mais, revenons au présent.

Ma petite Zan est insatiable, elle n'hésite pas à me bousculer pour pouvoir lécher la queue de sa maîtresse, pendant que la mienne lui défonce littéralement le derrière. Je me suis contentée de protester par un bref grognement, trop assaillie pour formuler quelque chose clairement. Je me suis poussée, léchant un côté du pieu vampirique et laissant l'autre à la langue de ma copine onirique. Pendant que l'autre malade jubilait derrière en pilonnant impitoyablement mes fesses. Comment une fille aussi mignonne peut-elle cacher une telle personnalité ? Heu, ok je suis mal placée pour dire ça ... Mais quand même ! Zan veut frustrer encore plus Mélinda mais, tu crois que je faisais quoi Zan à ton avis ? Tu as juste envie de la sucer aussi espèce de nympho ! Et de te faire punir aussi, espèce de maso. Mais je ne résiste pas à l'envie de balancer une petite pique à ma vampire adorée :

"D-Dis Mélinda ... Tu ne trouves pas que ..."
"CLAC !!!"
"AIIIIIIE !!! C'est quoi ça ? C'est q..."
"CLAC !!!"
"GNIIIIIII ..."


Je me suis pris une énorme claque sur les fesses. Ne comprenant pas trop je comptais demander qui s'était mais une autre s'est immédiatement abattue au même endroit. Jusqu'à ce qu'une voix démoniaque se fasse entendre :

"Silence ! Si tu peux encore parler c'est que je ne te défonce pas le cul assez fort petite salope ! Ah ah ah !"

S-Solène ? Mais jusqu'à quel point tu vas sombrer dans le côté obscur toi ?! Tu avais l'air adorable au début en plus ! Elle a continué à me claquer les fesses, se régalant de mes gémissements, elle a également accéléré le rythme et y va probablement à fond maintenant. De temps en temps je peux même sentir sa sueur goutter sur ma croupe tant elle met du cœur à l'ouvrage. Ne pouvant strictement rien faire, je me venge sur le sexe de Mélinda en le mordillant encore, alternant léchouilles et coups de dents. Très vite, son membre se retrouve couvert de salive et de traces de dents, elle aurait déjà dû jouir plusieurs fois je pense, son envie d'éjaculer doit être tellement intense. Finalement je pousse Zan pour prendre le sexe malmené de la vampire bien au fond de ma gorge et je retire ma main, la laissant libre de jouir, ma gorge se contractant brutalement à chaque coup de reins de Solène la barbare.
Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le mardi 25 novembre 2014, 02:58:24
C’était comme une sorte de spirale, de cercle vertueux de la luxure dans lequel, progressivement, toutes les femmes tournant autour d’Inuko s’enfonçaient. Mélinda, en tant que vampire, y était un peu moins sensible, car le sang vampirique était capable de résister à la plupart des empoisonnements. Solène, en revanche, se l’était prise de plein fouet, et cherchait maintenant à montrer à cette succube que les humaines pouvaient être aussi perverses que ce peuple de démones perverses. En temps normal, Solène ne se révélait jamais perverse aussi rapidement… Là, elle labourait furieusement le cul d’Inuko, n’hésitant pas à gifler solidement ses fesses, ou à pincer ses seins quand la succube se redressait. Mélinda était leur tapis, ne pouvant que subir, tout en essayant de ne pas trop mutiler Inuko… Elle se réconfortait en se disant que la succube, si elle était une démone, devait avoir des capacités de régénération plus poussées que de simples humains. De plus, n’importe qui pourrait comprendre son état d’excitation en voyant tout ce qu’elle était en train de subir. Ces femmes ne la ménageaient pas, et Zan, de son côté, se faisait également plaisir à sucer cette queue.

Quand Inuko s’écartait, elle ne se contentait plus de la lécher, mais enfonçait sa bouche contre cette verge, remuant dessus, fermant les yeux en soupirant de plaisir, puis laissait ensuite Inuko recommencer son travail. Elle devait bien admettre qu’elle aimait déjà beaucoup Inuko. Son rêve était encore vibrant en elle, et ce qui se passait maintenant n’en était que l’évolution naturelle. La Chinoise laissait libre cours à ses pulsions, et voir Mélinda dans cet état était, pour être honnête, furieusement excitant .Sa Maîtresse n’arrivait pas à repousser les vagues de plaisir qui la traversaient, et Zan prenait plaisir à voir cette queue… Combien de fois sa Maîtresse l’avait-elle prise avec cette puissante verge ? Combien de fois ce mât s’était-il enfoncé en elle pour la faire hurler comme une folle en déboîtant son bassin ? Combien de fois est-ce que son cul avait subi les assauts fougueux et endiablés de sa Maîtresse ? Pour une fois, Zan pouvait également donner de la note, et se faisait donc plaisir. C’était tout à fait naturel pour elle. Elle léchait cette queue comme une grosse friandise, tout en mouillant sur les jambes de la vampire, toute excitée qu’elle était. Pensez donc, elle était en train de faire l’amour à sa Maîtresse ! Grâce à Inuko, Mélinda était traitée comme elles, et, pour Zan, qui était souvent victime de la perversion de sa Maîtresse vampirique, c’était donc particulièrement excitant.

Mélinda, elle, était subjuguée, et de plus en plus frustrée. Inuko l’empêchait de jouir, et Solène ne faisait rien pour arranger ça. Sa tête écrasée sous leurs bassins, Mélinda était condamnée à se laisser faire, à laisser les femmes se faire plaisir, et à subir. Elle était soumise, et, si ce spectacle avait quelque chose de profondément frustrant, il était aussi énormément excitant. Contrairement à bien des dominateurs, Mélinda n’était pas une femme obtuse. Elle considérait qu’on  ne pouvait pas être une parfaite dominatrice si on ne connaissait pas la soumission, si on ne connaissait pas les bienfaits qu’il y avait à se soumettre, et à se faire flageller. Les esclaves de Mélinda savaient très bien que, parfois, elle demandait à certaines de ses esclaves de la traiter comme une chienne, de l’humilier et de la faire souffrir… Comme des souvenirs lointains de cette époque où elle était l’esclave brisée et martyrisée par son père. Toute la vie de Mélinda avait tourné autour de la notion de domination, de pouvoir, et elle pensait sincèrement que le mieux à faire était d’en explorer toutes les facettes.

Solène commençait peu à peu à prendre l’ascendant psychologique, ordonnant d’une voix sèche à Inuko de se taire, et de ne parler que quand elle y sera autorisée.

« Haaa… Ouuuiiii… Ça, c’est un cul magnifique, huurrmpfff… Un beau cul de traînée, de belle petite pute démoniaque… Hihi, c’est si bon, haaann !! »

Solène continuait à la prendre, et Mélinda à souffrir… Qu’elle ait un tempérament soumis ne signifiait pas qu’elle n’allait pas se venger. C’était même le contraire… Zan jouait avec elle, et, le temps venu, Mélinda lui ferait amoureusement payer l’état dans lequel elle avait été plongée. Zan profitait joyeusement de ce moment pour faire souffrir sa Maîtresse, et Mélinda se satisfaisait en imaginant la femme être ligotée, fouettée, et sodomisée pendant des heures, baisée dans tous les sens possibles du terme. La Chinoise était une nymphomane en puissance, et la vampire se promettait bien de la satisfaire sur ce point, de combler ses attentes au-delà de tout ce qu’elle pouvait espérer… Pour l’heure, cependant, tout ce que Mélinda voulait, c’était JOUIR ! Ce n’était pas grand-chose, et, pourtant, le plaisir se refusait à elle, la fuyant à toute allure, la narguant de loin. Inuko continuait à la narguer, à la provoquer, e,t au bout d’un temps qui lui sembla interminable, la succube finit, malgré tout, par lever sa main.

Zan fut poussée par Inuko, et en profita pour contre-attaquer… À sa manière. Quand le chibre de mélinda jaillissait de son corps comme un bouchon de champagne, il ne recouvrait pas toute son intimité. Une petite partie était donc accessible, et Solène s’y engouffra, tout en se dandinant contre la femme. Elle avait après tout une grosse queue de sucucbe nichée dans le cul, et remua nerveusement sa langue. Mélinda continua à gémir et à soupirer, remuant son corps,. Son sexe était si douloureux qu’elle en avait mal, terriblement mal, une souffrance qui remontait dans son organisme.

« HUUUUUUUUUUUUUUUUUUMMMMMMM !!! »

L’orgasme vint dans la douleur, fulgurant, comme une libération. Inuko l’avait retenu, et il se libéra au bout de quelques secondes, les ongles pointues de la vampire s’enfonçant dans la chair de la femme. Ce fut une magnifique érection, un orgasme surprenant. Tout le corps de Mélinda sembla se tendre et elle s’abandonna ensuite, balançant de nombreux chapelets de sperme dans la bouche d’Inuko, jouissant généreusement, encore et encore, balançant son foutre chaud, qui tapait dans la gorge de la femme.

Oooohhhhhh, ça faisait tellement de bien ! Elle en aurait presque pleuré, tant cette jouissance la soulageait, apaisant toute la tension qui s’était progressivement contractée dans ses muscles.

Pour une première soirée, cette succube était détonante !
Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le mercredi 26 novembre 2014, 01:00:37
Tandis que ma gorge sert de fourreau à la queue de la vampire, cette dernière peut enfin jouir dedans, déversant des flots de foutre chaud que j'avale avec gourmandise. Sitôt le gros de sa jouissance avalé, je m'emploie à nettoyer son membre viril, passant et repassant ma langue dessus et embrassant le bout de son sexe pour aspirer le sperme prisonnier à l'intérieur. Je n'en laisse rien, pas une goutte, me délectant de mon dessert favori avec la ferme intention de ne pas le partager. Zan à côté semble déçue de ne pas en avoir eu, aussi sourit-elle jusqu'aux oreilles lorsque je tends mes lèvres vers les siennes. La naïve, elle pense que je vais partager mais, lorsque nos lèvres entrent en contact la seule chose qu'elle sent, ce sont ses forces qui l'abandonnent et ma main qui accompagne sa tête jusqu'à ce qu'elle repose sur la table.

Bébé Zan est couché. Ma queue sort de son derrière, laissant quantité de gel s'en échapper et va pousser doucement Solène vers l'arrière, la forçant à arrêter sa sodomie. Surprise, elle n'a pas le temps de parler que ma queue s'enroule déjà autour de sa gorge et la tire vers moi, du côté opposé où Zan repose. Je me met sur mes genoux au-dessus de Mélinda et je l'embrasse aussi, aspirant sa force vitale à elle aussi. Je l'accompagne au sol pour qu'elle ne se fasse pas mal et hop. Bébé Solène est couché. Lorsque je relève la tête pour voir où est Macy, cette dernière a déjà fuis avec la lycéenne restante que je n'ai même pas pu voir de près, dommage mais, j'ai bien mangé de toute façon.

Mes facultés de régénération font que les premières griffures sur mon derrière ont déjà disparues, les plus récentes ne saignent déjà plus, se refermant elles aussi petit à petit. Il ne reste que moi, Mélinda et Bran qui observait en silence la scène. Je me relève complétement pour m’étirer longuement, bras tendus vers le plafond, puis je saute de la table pour revenir au sol.

"Fuaaaaaah ! J'ai bien mangé ! Mais la terranide et sa copine se sont enfuies ... Bah ! Pas grave ! Alors Mélinda ? Heureuse ?"

Je me suis amusée à récolter avec mes doigts la cyprine qui coulait encore entre mes cuisses, puis entre les cuisses de Zan et Solène qui dormaient profondément, avalant avec joie leurs délicieux desserts. Je n'hésite pas à glisser ma langue entre leurs cuisses alors qu'elles dorment, m'assurant de ne pas trop en laisser. Je suppose que c'est naturel pour les succubes mais, j'ai toujours adoré lécher les fluides sexuels de mes victimes une fois celles-ci endormies. De temps à autre je regardais la vampire tout en léchant ses esclaves inconscientes et finalement je me suis assise sur la table, toujours nue.

"Dis Mélinda. Tu as dis que je pouvais rester ici, même que tu voulais que je reste ici. Je peux considérer cet endroit comme ma maison et vous considérer comme ma famille en quelque sorte ? J'aimerais beaucoup aller au lycée avec Zan et les autres. Il y a plein de proies intéressantes là-bas et ça a l'air amusant. Mais il parait qu'il faut faire des papiers avant et je n'y connais rien, vous pourriez m'aider à faire ça ? Oh et, merci pour le repas, c'était très bon."

Je suis toute souriante, sur mon nuage, car rien ne me met plus en joie que ce genre de petites orgies. Je me tourne vers Bran, faisant glisser les doigts le long de ma poitrine en le regardant :

"Mon héro veut peut-être une récompense ?"
Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le jeudi 27 novembre 2014, 01:21:07
Quand Mélinda commença à émerger, elle constata que l’ambiance s’était calmée… Elle venait de jouir dans la bouche d’Inuko, et, après toute la souffrance qu’elle avait eu à jouir, elle se sentait clairement bien. Elle avait de la mouille sur le visage, et commença par se frotter les yeux. Tandis qu’elle reprenait ses esprits, elle constata qu’Inuko avait refait le plein d’énergie en se servant sur Zan et Solène. Les deux femmes dormaient sur la table, et la succube, guère gênée, profita de leur sommeil, et de son regain d’énergie, pour aller avaler leur mouille. Mélinda la regarda en souriant légèrement. Il n’y avait plus qu’elles… Et Bran. Fidèle à lui-même, son grand-frère, torse nu, traînait dans un coin. Il avait une belle érection, mais il savait se retenir. La vampire l’avait formé dans ce sens. Au bout d’un petit moment, Inuko se rapprocha à nouveau de Mélinda, et lui exposa sa requête.

L’esprit un peu embrumé, ses cheveux légèrement décoiffés, la vampire l’écouta. Lui obtenir des papiers… Un moyen de rejoindre le lycée Mishima, de s’intégrer, et de pouvoir vivre ici… Quelque chose lui disait que les soirées au manoir risquaient de ne pas être très calmes avec une telle succube… Mais, au moins, elle avait une technique bien à elle pour calmer les ardeurs de ses compagnons. Solène et Zan n’étaient pas mortes, simplement profondément endormies. Il n’y avait donc rien à craindre pour leur santé.

« Oh et, merci pour le repas, c'était très bon, enchaîna alors Inuko.
 -  Euh… Et bien, de rien… Je suppose ? »

Inuko n’avait pas vraiment attendu son autorisation avant de le faire. Les succubes… Au moins, Inuko était une succube espiègle. D’autres succubes étaient beaucoup plus vicieuses dans leur traitement. Inuko n’attendit pas la réponse de Mélinda, et son regard se porta sur Bran. Après la séance de sexe sur la table, Mélinda aurait pu croire qu’elle aurait pu être épuisée, mais c’était là mal connaître les succubes. Le sexe les nourrissait, ce qui, techniquement, les rendait presque infatigables. De plus, elle venait de faire le plein en absorbant l’énergie vitale des deux femmes.

Elle se tourna donc vers Bran, un sourire sur le coin des lèvres :

« Mon héros veut peut-être une récompense ? »

Bran se rapprocha un peu, jetant un regard vers sa sœur… Cette dernière se contenta d’un léger sourire, et Bran se rapprocha donc un peu plus. Avec ses muscles saillants, son visage angélique, et ses tendres lèvres, il était vraiment un bel homme. Mélinda l’avait formé pour qu’il soit un amant parfait, extrêmement malléable, capable d’être aussi doux que brutal, et aussi dominateur que soumis. C’était un pur vampire, car elle l’avait aussi entraîné pour qu’il soit un chasseur, pour qu’il utilise au mieux ses capacités vampiriques accrues et renforcées.

« Ma foi… »

Il se rapprocha d’elle, et défit son pantalon, ne tardant pas à s’exposer dans toute sa nudité. N’était-il pas magnifique ? Il se pencha contre la femme, posant une main sur sa nuque, une autre sur ses fesses, et s’écrasa contre elle, venant l’embrasser. Les baisers de Bran étaient toujours très bien réussis, et il se colla contre elle, son sexe venant glisser contre les cuisses de la femme. Sa bouche mordilla l’une des langues de la femme, tirant dessus avant de la relâcher, pour un autre baiser. Ses mains caressaient son corps, griffaient son dos, glissant le long de ses hanches pour frotter ses fesses, puis le haut de ses jambes.

Mélinda, de son côté, se contentait pour l’heure d’observer, tout en réunissant ses pensées. Elle finit par se rapprocher, et posa ses mains sur les épaules d’Inuko, tandis que Bran déplaçait lentement ses lèvres. Il alla les poser sur le cou de la femme, venant mordiller sa peau nue, serrant un peu dessus, léchant ensuite sa joue.

« Oui, Inuko… Je peux te trouver de faux-papiers d’identité, et me débrouiller pour t’inscrire au lycée Mishima… Dans la même classe que Zan, peut-être ? J’ai cru comprendre que tu l’aimais bien… Il me faudra quelques jours le temps de les réunir. Et, naturellement, tu peux rester ici, chez moi… De fait, je crois que mes chéries t’apprécieront toutes… Et tous. »

Mine de rien, Mélinda avait quand même quelques spécimens masculins à disposition… Probablement les hommes les plus heureux du monde. Elle se pencha un peu, et vint murmurer à l’oreille d’Inuko :

« Mon frère aime beaucoup ton corps… Je crois sincèrement qu’il adorerait te baiser sauvagement contre cette table… »
Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le vendredi 28 novembre 2014, 18:16:04
C'est toujours un plaisir pour moi de voir mes amants et amantes exténués alors que je suis toujours parfaitement opérationnelle, j'en retire une certaine fierté. Un autre petit plaisir que j'affectionne, ce sont ces visages choqués ou surpris par mon attitude sans gêne. Cela fait à peine quelques heures que je me suis réveillée dans cette maison et je me comporte déjà comme si j'y étais installée depuis des années. J'ai voulu prendre Zan dans ses rêves, je l'ai fais, j'ai voulu baiser Mélinda et son petit harem, je l'ai fais et maintenant je veux Bran. Chose amusante, il se tourne vers la vampire comme pour lui demander l'autorisation et seulement après il s'approche de moi. Il semble avoir été bien dressé. Il est bien fichu et embrasse bien, c'est un bon début, je peux sentir son sexe bien raide me caresser les cuisses pendant qu'il joue avec ma langue. Le pauvre a dû tout regarder en se contrôlant, voir toutes ces femmes se baiser les unes les autres, à quelques mètres à peine de lui. Il doit avoir tellement envie, soupçonner cette frustration chez lui m'excite, la perspective de la soulager m'excite aussi. Ma queue file vers son cou, il l'a probablement vue venir mais, il sait que je ne lui veux aucun mal. Elle s'enroule autour de sa gorge pour la serrer légèrement et séparer ses lèvres des miennes.

"Ouh ! On dirait que mon héro a très envie de sa récompense. C'était dur n'est-ce pas ? Voir ces superbes femmes se baiser mutuellement et crier comme de vraies petites salopes sous tes yeux. Tu te remémores cette scène qui vient d'avoir lieu ? Ton envie de grimper sur la table pour participer toi aussi ? Pense-y très fort mon beau et sers-t'en pour évacuer toute ta frustration entre mes cuisses. N'hésites pas à tout donner, mon corps est fait pour ça."

En clair et vulgaire : "explose-moi la chatte comme si ta vie en dépendait". Ma queue a continué de s'enrouler autour de son cou comme un serpent, puis l'extrémité s'est enfoncée dans sa bouche pour y lâcher un jet de simili-sperme aphrodisiaque. Voilà qui allait l'aider à se lâcher complétement, même si je ne pense pas qu'il en ait besoin. J'espère surtout qu'il n'éjaculera pas trop vite à cause de l'excitation mais, s'il est aussi bien dressé que je l'imagine, je suppose qu'il sait se retenir pour faire durer le plaisir.

Quant à Mélinda, elle se tient derrière moi, ses mains sur mes épaules. Apparemment je n'ai plus à m’inquiéter au sujet des formalités administratives, elle va m'arranger tout cela et je pourrais aller au lycée comme toutes les humaines de mon âge. D'après les rumeurs que j'ai pu entendre, le lycée de Seikusu serait un peu, spécial. Il semblerait que de nombreux élèves soient très portés sur le sexe, certains disposant même de pouvoirs étranges. On parle également de clubs spéciaux, des clubs de futanaris ou d'utilisateurs de magie rose, etc. De mon point de vue, je me dis que cette ville doit regorger de portails vers Terra et doit être envahie de créatures diverses venant de là-bas. Voilà qui promet d'être intéressant. Surtout qu'elle me propose d'intégrer la même classe que Zan, je m'imagine déjà la tripoter en plein cours avec mon pouvoir qui altère le sens du toucher, la voir se tortiller dans tous les sens sur sa chaise en plein cours. Sans compter toutes les saloperies que je pourrais faire aux autres élèves, chantage, viol, manipulation, ah, tout ceci s'annonce très amusant.

"Mon frère aime beaucoup ton corps… Je crois sincèrement qu’il adorerait te baiser sauvagement contre cette table…"

Je jette un bref regard amusé vers le sexe du vampire, il est bien dur, bien sûr qu'il me veut. Puisque je l'ai écarté avec ma queue il ne peut plus s'approcher, oh il pourrait tout à fait forcer le passage mais, il a été bien dressé. Je lève ma jambe pour aller caresser ses testicules avec le dessus de mon pied, puis je le remonte pour écraser son pénis contre son ventre, titillant son gland avec mes orteils. Je rigole avant d'ajouter :

"Oui c'est un très gentil garçon. Il semble serviable et bien élevé mais, je suis sûr que si je le laisse approcher il deviendra très méchant. Hi hi !"

Je me suis mise à me masturber devant lui, retirant mon pied de son sexe pour écarter mes cuisses en grand. Puis je me suis allongée, soutenue par les mains de Mélinda qui me guident jusqu'à ce que je sois complétement sur le dos, ne laissant que mes fesses dépasser de la table. Bran lui est toujours retenu, à environ un mètre de moi, l'aphrodisiaque commence à faire effet et il n'a toujours pas mon autorisation pour me toucher. Je prends plaisir à faire monter encore plus sa frustration, parce que maintenant il sait qu'il va pouvoir se vider en moi, que ce n'est qu'une question de temps.

Brusquement ma queue tire sur son cou, l'obligeant à suivre et à venir se coller contre moi. Ma main agrippe son vît, le sert entre mes doigts, puis le guide jusqu'à mon intimité. Je m'amuse à le frotter contre mon sexe, imprégnant le bout de son membre de cyprine, ne lâchant pas tout de suite. Je rajoute d'une voix perverse :

"Merci de m'avoir sauvée Bran, profites bien de ta récompense."

Puis je lâche la bête.
Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le samedi 29 novembre 2014, 01:20:34
Jadis, Bran avait été un homme cruel et sadique, violent et pervers, qui avait énormément fait souffrir sa petite sœur adorée. Elle l’avait transformé en vampire afin de le faire souffrir, ne pouvant, pour d’obscures raisons, se refuser à le tuer. Aussi horrible soit-il, elle avait toujours vu en Bran un homme influencé, influencé par la démence de leur père, et qui haïssait Mélinda parce qu’il avait toujours aimé sa mère, et qu’il voyait sa petite sœur comme responsable de la mort de sa mère. L’homme avait payé au centuple ses atrocités. Pendant des années, Mélinda l’avait torturé, brisé, humilié, sans relâche. Elle l’avait enfermé dans une cave de son harem, et l’avait longuement battu. Elle l’avait griffé, fouetté, l’avait laissé souffrir pendant des jours, broyant ses os, le violant à de multiples reprises, sans jamais lui accorder la délivrance de la mort. Elle avait fait sur lui des choses innommables, et le résultat final avait été de le formater. Elle l’avait tellement fait souffrir qu’elle l’avait purgé de toute sa haine, et il était ensuite devenu complètement déphasé. Patiemment, Mélinda l’avait reconstruite, et avait réussi à créer ce qu’elle estimait être l’homme parfait. Il aimait Mélinda bien plus que lui-même, et surveillait continuellement sa petite sœur. C’était un sociopathe sadique, n’éprouvant aucun remords à l’idée de tuer, et qui tuait sur commande. Il suffisait que Mélinda lui dise de faire quelque chose pour qu’il le fasse.

Inuko essayait de l’exciter davantage, mais elle s’attaquait à une véritable montagne. La succube semblait le sentir, car elle en avait totalement oublié sa requête initiale, et se contentait de narguer Bran, enroulant sa queue caudale autour de sa nuque, répandant entre ses lèvres un liquide aphrodisiaque. La vampire sentit le sang de son frère palpiter davantage, et ses poings se serrèrent, tandis que ses sourcils se froncèrent... Mais il resta toujours muet, étonnamment silencieux. Inuko avança alors son pied, et s’en servit pour le flatter. Bran soupira faiblement. Il était un grand voyeuriste, oui, mais seule sa sœur le masturbait avec ses pieds. Mélinda adorait lui marcher dessus, et le faire jouir en coinçant sa verge entre ses deux pieds, le mastiquant. Le fétichisme était la grande passion de Mélinda, et, ce faisant, la vampire était particulièrement heureuse de voir qu’Inuko, qui y semblait initialement réticente, semblait s’y mettre.

Ses doigts de pied filèrent le long de cette verge. Bran était en train d’acquérir un beau chibre, un mât bien dressé. Mélinda salivait sur son corps parfait. Elle lui avait fait l’amour un nombre incalculable de fois, et on pouvait encore en voir les marques. Sur son torse saillant et glabre, des traces de cicatrices étaient présentes, formant de belles lignes blanches, discrètes, et, le long de sa nuque, des traces de morsure étaient également visibles.

« Oui c'est un très gentil garçon. Il semble serviable et bien élevé mais, je suis sûre que si je le laisse approcher il deviendra très méchant. Hi hi ! »

Son pied continuait à jouer, caressant le bout de son sexe, avant de revenir dessus, soulevant un peu ce vit. Mélinda, de son côté, se pencha un peu vers le cou d’Inuko, et lécha sa peau, mordillant un peu cette dernière.

« Il l’est, ma belle... Plus que tu ne peux l’imaginer... »

Autant la provoquer un peu, mais Inuko n’en avait pas encore fini. Elle se pencha en arrière, et Mélinda l’aida à s’allonger. Elle se coucha sur le dos, la moitié de son corps ressortant de la table, tandis qu’elle se masturbait devant Bran. Silencieux, les joues légèrement rouges, ce dernier l’observait. La queue caudale de la succube visait toujours à le retenir, mais, honnêtement, il avait été plus excité par les pieds de la succube que par sa masturbation. Néanmoins, son sexe était là, bien dressé, bien tendu, et, au bout d’un moment, la queue caudale d’Inuko tira Bran, le tirant vers elle. Il se laissa faire, et posa les mains sur le rebord de la table, ne tardant pas à sentir contre sa queue la main joueuse de la femme.

« Hum... »

Bran posa ses mains sur les hanches de la femme, continuant à la laisser faire, incapable de réagir, incapable de faire autre chose que de la laisser jouer. Elle approcha son membre du sien, rapprocha le bâton du trou, le frottant contre ses cuisses, contre son intimité, dardant l’extrémité de ce membre de la mouille de la succube. Bran entrouvrit les lèvres, et se pencha vers la femme. Elle le libéra ensuite, et il agit tout aussi vite.

Il posa se smains sur ses hanches, et s’enfonça en elle d’un coup sec, son corps contre le rebord de la table. Le bassin de la succube ressortant de l’objet, il pouvait la prendre en restant debout, ayant plus d’amplitude. Ses ongles transformés en griffes s’enfoncèrent dans la chair de la femme, et il remua rapidement, rudement. C’était beaucoup plus intense que quand Inuko s’était empalée sur Mléinda. Bran était plus costaud, plus lourd, et ses mouvements étaient beaucoup plus brutaux. Il grognait et haletait, soupirant, serrant les dents, la prenant longuement, d’avant en arrière. La table se soulevait parfois d’avant en arrière, et les coups de reins de Bran étaient de plus en plus intenses, de plus en plus rugueux.

« Ohlàlà, quel beau spectacle... Tu es sûre de pouvoir tenir, petite succube ? »

Mélinda, tout en disant cela, la narguait en venant suçoter l’un de ses seins, le mordillant tendrement, une lueur espiègle dans les yeux. Autant qu’elle en profite un peu, elle aussi, après tout.
Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le jeudi 04 décembre 2014, 21:18:56
Ah Bran, ce Bran, un vrai petit sauvageon sous ses airs de monsieur muscles soumis et bien élevé. Honnêtement j'ai toujours aimé les coïts brutaux et passionnés, la douceur je la réserve pour mes mères et, un jour, pour les personnes que j'aimerais. Bran n'est ni l'un, ni l'autre, c'est juste un bel homme dont j'ai envie maintenant, rien de plus. Rapidement il agrippa mes hanches pour me pénétrer brutalement, j'ai senti ses cuisses s'écraser contre mes fesses et son vît remplir mon vagin en s'y engouffrant en entier. Oh oui mon petit sauvageon, ne te retient surtout pas, fait toi plaisir. Je te l'ai dis, mon corps est fait pour ça, il est conçu pour le sexe, pour combler n'importe quel besoin, y compris les tiens mon héro. Ce n'était rien comparé aux sévices que j'avais enduré pendant ma captivité. J'ai été enchaînée comme une bête, violée à longueur de journées, parfois avec d'énormes godes qui me donnaient l'impression que mon ventre allait se déchirer de l'intérieur. Les vampires de Zahar me prenaient mon sang trop souvent, à cause de ça ma croissance a été altérée, si bien que je suis plutôt faible pour mon âge. Mais ce que j'ai perdu en magie je l'ai regagné en pouvoirs mentaux et en endurance. Mon corps se régénère plus vite grâce à toutes ces tortures, mon esprit est plus fort, plus solide, mes réserves de sang se reconstituent beaucoup plus vite que celles d'un humain. Même si Bran me mord lui-aussi, il ne me faudra que quelques jours pour tout récupérer, contre plusieurs mois pour un être humain. C'est pour cela que les vampires aiment tant les succubes, un sang délicieux et aphrodisiaque, disponible en abondance pour qui d'entre-eux possède quelques succubes à mordre à tour de rôle. Les vampires et les succubes sont deux races qui s'accordent horriblement bien, comme si elles avaient été conçues l'une pour l'autre.

Les griffes du vampire s'enfoncent dans mes hanches, m'arrachant un cri. Ouh, le vilain ! Ces vampires, je parie que c'est pour sentir l'odeur de mon sang qui commence à couler à cause de lui. Tu en veux aussi n'est-ce pas ? Mes veines t'excitent autant que mon corps hein ? Tu veux planter tes canines dedans et y goûter. Avec grand plaisir mon beau, j'adore voir dans quel état vous met ce sang, je trouve cela très flatteur de voir qu'un fluide issu de mon corps vous fait un tel effet. Sous moi je sens la table bouger après chaque coup de rein, c'est qu'il n'y va pas de main morte l'animal. Ça n'a strictement rien à voir avec Solène qui y allait pourtant à fond, il est plus massif, plus lourd, ses muscles sont beaucoup plus puissants. Ses griffes ont entaillé ma chair, descendant jusqu'au haut de mes cuisses pour me ceinturer encore plus efficacement, laissant mon sang couler sur les côtés.

"AAAAAAH !!!"

Ça fait mal, ça fait mal mais, sa bite est tellement bonne à côté que je pourrais tout lui pardonner. Je ne m'en étais même pas rendue compte avant mais, je mouille comme une petite folle. Ma cyprine coule sur la table, puis sur le sol et également le long des jambes de Bran, je suis en train d'en foutre partout. Bouche grande ouverte, langue sortie, je halète comme une petite chienne tandis que la langue de Mélinda vient s'occuper de mes tétons qui pointent vers le plafond. Mes mains se cramponnent à la table, si je la lâche cette brute pourrait m'envoyer par terre sans le faire exprès. Mélinda prend plaisir à me provoquer. Elle sait parfaitement que je suis une succube et qu'il nous faut beaucoup plus que ça pour nous fatiguer. Notre corps est conçu et optimisé pour le sexe, la séduction, les jeux pervers, y compris les plus extrêmes. Il faudrait que Bran me baisse comme ça toute la journée pour me fatiguer et encore, si je ne me nourri pas entre-temps.

"Haaan … Au lieu d- AAAAAH ! De dire … HUUUUUM !!! D'AAAAH … Haaan … BRAAAAN ! Oh zut ! Gnaaaaaaah !"

Bon, inutile d'essayer de parler là, je voulais dire à Mélinda qu'au lieu de sortir des conneries elle pouvait venir glisser son adorable petite bite entre mes seins pour se masturber. Mais plutôt qu'un long discours je lâche la table d'une main pour aller agripper le pénis de la vampire, le serrant et tirant dessus sans me soucier d'autre chose que de l'attirer à moi. Je la force à suivre le mouvement, jusqu'à ce qu'elle me chevauche, puis je glisse sa bite entre mes seins avant de l'enfermer entre mes deux globes de chair. Je lâche mon autre main, et comme prévu les coups de reins du vampire me ballotte comme si je ne pesais rien, même avec Mélinda sur moi. Pour rectifier le tir, ce dernier se cramponne davantage à mes cuisses, enfonçant encore plus profondément ses griffes dedans, je crie à nouveau. Je compresse la verge de la vampire entre mes seins et je commence à la masturber énergiquement avec. Quelque chose me dit que voir ma poitrine et mon visage recouvert de sa semence devrait beaucoup lui plaire. Tout comme je prends plaisir à voir son visage et ses cheveux toujours imbibés de ma mouille. Du bout de ma langue je viens lécher son gland, histoire de la stimuler encore plus. Je la regarde droit dans les yeux, le regard avide et vif, je m'amuse bien et j'en veux encore plus, toujours plus.

Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le samedi 06 décembre 2014, 02:27:28
Bran était un homme massif. Coucher avec une Futanari n’était pas forcément quelque chose de doux ou de tendre, et Inuko avait pu en faire les frais tantôt avec Solène. Seulement, Solène ne pouvait pas lutter contre des données biologiques évidentes. Bran était bien plus musclé qu’elle, et, ce faisant, coucher avec lui était logiquement plus intense que de se faire prendre par une Futa’… Sauf à supposer que la Futa’ soit un monstre bodybuildé avec des pectoraux énormes, mais, auquel cas, on pouvait se demander si elle était vraiment très reluisante. Dans tous les cas, Bran s’enfonçait lourdement dans le corps de la femme, défonçant l’intimité de cette petite succube. Elle avait joué avec le feu, elle avait attisé sa passion, assoiffé son désir, et ce dernier était en train de se lâcher. Il la prenait violemment, avec une passion redoutable. La table rebondissait, ses griffes s’enfonçaient dans sa chair, non seulement sous l’effet de la passion, mais aussi pour mieux ressentir ce sang enivrant. Le liquide carmin de la succube se mit ainsi à pointer le long des doigts du beau diable, qui continua à la baiser, longuement, profondément, grognant, serrant les dents. C’était une succube, un corps naturellement conçu pour le sexe et pour les coïts, ce qu’il sentait très bien en la pénétrant. Le corps d’Inuko répondait au sien, et glissait le long de la table. Incapable de repousser les vagues irrépressibles de plaisir, elle hurlait, n’arrivant plus à parler, crachant parfois un peu de sa salive.

Mélinda, elle, attisait légèrement ce feu, mais comprit bien vite qu’Inuko en voulait plus, plus que de simples baisers et mordillements sur ses seins. Sa main, après une navrante tentative de discussion, se dirigea d’elle-même vers la verge de Mélinda, et la saisit fermement.

« Ugh ! » couina Mélinda.

La petite vampire fut traînée en avant, heurta le corps chaud et tender de son amante, puis souleva l’une de ses pattes, s’appuya sur ses épaules, et, tant bien que mal, réussit à se mettre à califourchon sur elle, son sexe glissant entre ses seins. Inuko était en train de se lancer dans un show endiablé avec le couple Warren. Autant dire qu’il fallait avoir les reins solides, même pour une succube ! Bran était un amant endurci, dans tous les sens du terme. Il subissait les perversions lubriques et parfois cruelles de sa petite sœur depuis des siècles, et en avait retiré une grande expérience. Il était l’un des grands fantasmes du harem, et Mélinda ne comptait plus le nombre de ses filles qui adoraient être surprises en plein nuit pour le redoutable amant vampirique, qui se glissait dans leur lit pour les violer dans leur sommeil, et planter ensuite ses crocs dans leur gorge chaude. Elles s’endormaient parfois en ayant tout oublié, se réveillant épuisée, avec la sensation d’avoir eu un rêve torride… Ce qui avait pour effet, comme elles ne se souvenaient plus de leur ébat, de développer une dose de frustration donnant lieu à des scènes de sexe matinales, souvent avec leurs plus proches camarades. Entre les murs du manoir ou du harem, le sexe était conçu de manière très débridée, extrêmement libre. C’était un instrument permettant de rapprocher entre eux les différentes personnes qui avaient accepté de vivre sous l’égide de Mélinda, et de lui confier leur existence. Une lourde responsabilité à  laquelle, comme on pouvait le voir, Mélinda ne semblait pas trop crispée !

Sur la table, elle haletait et gémissait, remuant d’avant en arrière, offrant à Bran le plus magnifique des spectacle :s le ravissant dos de sa sœur bien-aimée, avec sa longue et parfaite chevelure, légèrement souillée Ils avait combien sa sœur affectionnait ses longs cheveux, passant parfois plusieurs heures avec ses coiffeuses, le matin, à bien les préparer. Elle avait une longue et magnifique chevelure bouclée, formant comme une longue cascade de cheveux bruns et bouclés. Un spectacle qui était tout simplement grandiose, et qui l’amenait à renforcer ses coups de pilon dans le corps de la petite salope qui se dandinait sous lui.

« Hunnn… Voilà ce qui… Hummm… Se passe… Quand… Haaa… »

Elle-même avait du mal à finir ses phrases. Ses joues étaient rouges, et ses gémissements remplissaient la grande pièce. La table remuait un peu moins, avec le poids supplémentaire rajouté par le corps agréable et élégant de Mélinda. Elle se déhanchait sur le corps de la femme, et posa ses mains sur ses épaules, enfonçant légèrement ses griffes dans sa peau, tout en sentant sa queue, ou, tout du moins, son extrémité, heurter le menton de la femme. Il remontait parfois sur ses lèvres, et Inuko entreprenait alors de le lécher.

Comprenant ce qu’elle voulait faire, Mélinda sourit, et agrippa les cheveux d’Inuko, puis tira sa tête vers elle, lui faisant probablement un peu mal… Mais ce n’était pas ça qui allait l’arrêter ! Elle souleva son visage d’une main, puis enfonça le bout de sa queue dans sa bouche, son bassin comprimant les seins de la femme, l’écrabouillant sous son poids.

« Là, salope… Hunnn… Suce bien, haaannn !! Suce, salope, allez !! Allez, sale pute, haaaannnnnnn !! »

L’état d’excitation de Mélinda venait avant tout de ces séances de sexe cumulées depuis que la succube s’était réveillée… Dire que la jeune femme avait initialement voulu s’enfuir. Maintenant, Mélinda était convaincue d’avoir trouvé une formatrice du cul, qui resterait volontiers auprès d’elle pour pouvoir coucher plus facilement avec toutes les femmes qui vivaient par ici… Ou pour l’aider à en trouver de nouvelles. Pour l’heure, seul comptait toutefois le plaisir, mais les deux vampires ne comptaient pas jouir si facilement. Il allait encore falloir qu’Inuko souffre et gémisse pendant de longues minutes avant que Mélinda ne daigne s’abandonner contre elle, ou que Bran ne se lâche.
Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le lundi 08 décembre 2014, 15:31:50
Aaaah Mélinda, cette vampire, si les choses avaient été différentes elle aurait été une parfaite succube. Alors qu'elle vient tout juste de jouir dans ma bouche après une longue attente, elle en redemande déjà. Il aura suffi de la tirer un peu vers moi pour lui redonner envie de me jouir dessus. Cette petite beauté est une véritable insatiable et je ne risque pas de m'en plaindre, bien au contraire. Voir son adorable poitrine ballotter au gré de ses coups de reins entre mes seins est un spectacle qui m'enchante. Il n'a pas fallu la prier plus, quoi qu'elle aimerait sûrement, pour qu'elle m'agrippe les cheveux tout en me perforant les épaules de ses griffes. Ma gorge ainsi pliée vers l'avant, le poids de mon hôte sur le torse, le bout de sa queue entre mes lèvres, il devient difficile de respirer pour moi. La douleur infligée par leurs griffes, la brutalité de Bran, le manque d'air, la vision du corps nu de Mélinda juste sous mes yeux et l'intense plaisir formant un cocktail explosif de saveurs. Je sens le corps de Bran heurter mes fesses à répétition, ses vas et viens sont si brutaux qu'elles sont aussi rouges que s'il m'avait mis la fessée tout ce temps. Si brutaux que ma mouille coulant sur ses cuisses se retrouve éjectée sous la table et ressort de l'autre côté.

Sous l'effet de l'excitation la vampire m'appelle salope ou sale pute, je le prends comme un adorable compliment. Oui je suis sale, si j'en avais l'occasion je remplirais volontiers une grande baignoire du foutre de mes deux amants vampiriques pour m'y relaxer. J'aime cette délicieuse saleté, mon corps adore ça, sentir tout ce succulent foutre couler en moi et sur moi. J'aime le boire aussi, si on m'en offrait un grand verre j'y tremperais volontiers une tartine pour le goûter, avant d'engloutir le reste. Quant au qualificatif de pute, j'avoue que la prostitution a un côté excitant, il faudra que je m'y essaye un de ces soirs, juste par curiosité. Pourquoi pas au lycée tiens, quand je pourrais enfin y aller. Je m'imagine déjà dans les toilettes des garçons, faire un trou dans l'une des parois, y mettre de la bande adhésive et de quoi adoucir le contact pour ne pas blesser leurs jolies petites queues. Quelqu'un ferait payer l'entrée et je n'aurais plus qu'à sucer toutes ces jolies bites. Je pourrais me faire passer pour une lycéenne pauvre qui le fait pour payer ses études … J'adore l'idée ! Du point de vue de Mélina, je semble juste perdue dans mes pensées, souriant tout en lui suçant la queue.

Mon pauvre dos … Entre Bran qui manque de me briser la colonne vertébrale à chaque coup de reins et sa sœur qui me tord le cou pour sentir ma langue sur son sexe. Je me dis que fort heureusement mon corps régénère vite. Parce que je plains sincèrement la pauvre humaine qui subira la même chose, celle-ci ne sera pas prête de s'en remettre. Néanmoins je n'y pense pas trop, soucieuse d'être appréciée par ce charmant petit couple je m'applique à sucer et lécher le bout du sexe de la vampire. Elle peut sentir mon souffle chaud le caresser sur toute sa longueur, mes seins enduit de salive et de sueur que je compresse le plus possible pour lui offrir de bonnes sensations, ma langue qui s'applique à caresser son gland. Lorsque tout à coup …

"HUUUUUUUMPH !!!"

Un cri étouffée de ma part, sous le coup de la surprise je mord le manche de Mélinda, y laissant une marque de dents sans pour autant lui faire vraiment mal. Bran vient de mordre le bout de ma queue et est en train d'aspirer mon sang. Cette partie de mon corps est aussi sensible que mon clitoris, c'est comme si j'avais un pénis et que Bran venait de me mordre en plein dans le gland ! Mon sexe caudal est prévu pour que je puisse fouetter mes amants avec et converti donc une partie de la douleur ressentie à cet endroit en plaisir. Mais mordre franchement dedans reste assez douloureux malgré tout … Quelques larmes perlent aux coins de mes yeux. Sale brute ! Monsieur décide donc de se servir, copieusement qui plus est et pense se faire pardonner en léchant et suçant ma queue par la suite. Je le soupçonne plutôt de vouloir lécher le sang qui continue de couler de ma plaie le temps qu'elle se referme. Ces vampires vont me rendre folle avec leurs griffes, leurs crocs et leur appétit. Moi-même j'imite le vampire, léchant sa sœur avec tendresse pour me faire pardonner mais, sitôt ma bouche libérée du vît de cette dernière, je mettrais tout sur le dos de son imbécile de frère !

Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le jeudi 11 décembre 2014, 02:23:14
La petite Inuko était une succube pleine d’énergie, et c’était tant mieux, car les deux vampires ne comptaient pas la lâcher. Quand Mélinda et Bran faisaient tous les deux l’amour à une esclave, cette dernière finissait toujours par tomber dans les pommes, comme si son corps ne pouvait pas supporter l’énergie intempestive et redoutable des deux amants vampiriques. Mélinda adorait voir cette succube souffrir, tout en se faisant plaisir. Il était techniquement impossible d’épuiser une succube, car elles se nourrissaient de l’énergie sexuelle. Plus on jouirait, et plus elle se renforcerait… Mais cette situation ne l’empêchait nullement d’être fatiguée, de subir, et, pour Mélinda, c’était un vrai de plaisir de la soumettre. Oh oui, elle se régalait de chaque seconde qui passait, de chaque moment en compagnie de cette magnifique jeune femme ! La petite démone serait avec elle, elle serait hébergée dans son manoir, et… Ah, ce simple fait suffisait à exciter Mélinda ! Elle avait déjà une succube sous ses ordres, et elle allait en avoir une autre ! Mélinda ne pouvait être que ravie de cet état de fait, et imaginait déjà les folles orgies qui auraient lieu… Ainsi que les situations tendues dans lesquelles cette espiègle et facétieuse succube risquait de les mettre. Inuko aimait le sexe en ce qu’il était, non seulement un rapport physique intense, mais aussi l’expression de la plus intangible des libertés, du plus solide bloc que la société n’avait pas restreint. Elle était une succube, et la vampire était convaincue qu’elle allait beaucoup s’amuser, à sa manière, avec les autres filles du harem. Faire l’amour en public ne semblait nullement déranger Inuko. Autrement dit, le pire était à craindre… Et, loin de réfréner Mélinda, ces possibilités l’excitaient encore plus.

Elle remuait son corps d’avant en arrière, glissant sur le corps en sueur d’Inuko, maltraitant à chaque fois ses seins, qui étaient frottés par ses cuisses et par ses jambes. Un sourire profondément malicieux ornait son visage, et sa queue s’enfonçait parfois en profondeur, tapant contre la gorge de la succube, y restant de longues secondes, avant que la vampire ne parte en arrière, ses doigts se crispant davantage sur la tête d’Inuko, se servant de sa belle petite chevelure comme d’une espèce de gouvernail sur lequel elle pouvait se cramponner afin de se déplacer. Elle la pénétrait, encore et encore, sans relâche, mais ce qu’elle faisait n’était rien par rapport aux coups de butoir de Bran. Ses griffes s’enfonçaient dans sa chair, et il grognait, haletant, de la sueur coulant le long de son torse, tandis que le corps de la succube répondait favorablement. Sa grosse queue labourait son champ, heurtant son clitoris, continuant, encore et encore, à défoncer la jeune femme, à la malmener, à tordre son corps et à la faire hurler.

« Hummm… Haaa, Inuko, hnnnn… Suce, ma chérie, suuuuuuuuuceee… »

Mélinda soupira, se mordillant les lèvres, et Bran en profita alors pour mordre dans le bout de sa queue caudale. Il voyait cette dernière remuer en l’air, glissant contre son corps, et l’attrapa de la main, puis planta ses dents à son extrémité. Comme il s’y attendait, cette queue était gorgée de sang, et de zones érogènes. Il planta donc ses crocs, et aspira le sang de la succube. Sous l’effet du plaisir et de la douleur, Inuko mordit alors la queue de Mélinda, qui planta ses griffes dans ses épaules sous la douleur, faisant perler un peu plus le sang d’Inuko.

« HOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO !! »

Ah, la vache ! Ça faisait MAL ! Elle l’avait mordu. Mordu ! Mélinda avait enfoncé inconsciemment ses griffes, et les retira. L’une de ses mains tenait toujours ses cheveux, et avait tiré sur ses cheveux, et l’autre… Elle ruisselait du sang de la jeune succube, et Mélinda suçota ses doigts, les essuyant partiellement, du sang coulant néanmoins de sa main, tombant sur le cou de la succube. Inuko avait mordu quand la queue de Mélinda était bien dans sa bouche, ce qui fit qu’elle mordit le fond de sa verge, là où sa queue était la plus solide. Néanmoins, c’était douloureux… Et aussi très excitant.

Bran suça son sang pendant quelques secondes, avant de relâcher sa queue, et de la lécher. Il redoubla alors d’ardeur, reposant ses mains sur les cuisses de la succube, la prenant, la défonçant allègrement, soupirant et grognant, tandis que Mélinda continuait à remuer en elle. Le sang continuait à couler des plaies de la succube, mais Mélinda ne s’en inquiétait pas trop. Elle pouvait régénérer, cicatriser… Et elle était si belle qu’elle ne pouvait pas se lasser de son corps.

Mélinda savait que Bran avait fait son gourmand, et elle finit par jouir dans la bouche de la femme, éjaculant longuement en elle, balançant de multiples giclées de foutre dans sa cavité buccale. Elle éjacula tellement que du foutre sortit de la bouche de la femme, se déversant sur son cou. Mélinda finit par relâcher les cheveux de la succube, et cette dernière retourna sur la table, Mélinda ayant dans le creux de sa main quelques mèches de cheveux de la belle succube. Elle se pencha vers elle, et vint embrasser ses lèvres, fourrant sa langue dans sa bouche encore remplie de foutre.

« Hmmm… Ma belle petite salope… Bran a été vilain avec toi et ta petite queue, hum ? Ma pauvre petite… »

Elle l’embrassa à nouveau tendrement, frottant son nez contre son visage, et susurra dans le creux de son oreille :

« Venge-toi avec ta queue… Fais-lui ressentir ta souffrance, ma chérie… »

Bran n’avait pas encore joui, et continua à la prendre, observant ce spectacle magnifique. Il voyait la croupe relevée de sa sœur, et tendit sa main, puis enfonça un doigt dans ses fesses, faisant hoqueter Mélinda, qui sursauta sous l’effet de la surprise… Puis soupira et gémit contre l’oreille d’Inuko. Sexe, sexe… Et encore sexe !
Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le vendredi 12 décembre 2014, 23:56:09
Le problème entre mon sang et les vampires, c'est qu'ils ne savent pas s'arrêter lorsqu'ils commencent à en boire. Chez Zahar les choses étaient très différentes, j'étais captive, enchaînée comme une bête et torturée. Mais il y avait ce même problème, ils pensent que parce que mon corps régénère plus vite que celui des humains mon sang est en libre-service. Et bien non, il ne l'est pas ! Même moi j'ai mes limites physiques, régénérer tout mon sang me prend plusieurs jours, contre plusieurs mois chez les humains. Deux fois en une soirée c'est trop, sans compter tout le sang qui a coulé de mes diverses blessures. Je commence à pâlir et à me sentir faible, cette sensation je ne l'ai que trop ressentie avant. Il faut que je punisse Bran, sévèrement, qu'il comprenne que j'offrirais volontiers mon sang mais, qu'il n'a pas le droit de se servir comme bon lui semble. Pendant ce temps les paroles de Mélinda me surprennent et me laissent perplexe. Je n'ai pas besoin qu'elle me dise quoi faire, je ne suis pas son esclave et je n'ai pas l'intention de le devenir. Je ne lui lécherais pas les pieds et je ne lui obéirais pas comme une petite chienne, il faudra qu'elle se fasse à cette idée. Toutefois il convenait aussi de bien s'entendre avec, je pense que simplement lui montrer que nous sommes sur un pied d'égalité suffira.

Elle s’installe sur la table, me laissant libre de mes mouvements tandis que Bran s'allonge sur moi avant de gémir à mon oreille. Si tu crois que ça va te sauver mon grand, tu te trompes lourdement. Ma queue toujours enroulée autour du cou du vampire se met à serrer sa gorge. Monsieur a beau avoir tous ces muscles et ces grosses griffes, ce ne sont pourtant pas les muscles de son cou qui l'empêcheront de manquer d'air. Ma queue le pousse en arrière et comme sa sœur m'a suggéré de le punir, ce serait comme lui désobéir de tenter de me résister. Son sexe sort du mien, étirant un long filet de cyprine entre eux deux jusqu'à ce que celui-ci ne rompe et asperge le sol. Je me redresse calmement, m'asseyant sur le rebord de la table tandis que Bran est face à moi. Je tends mon bras dans sa direction, veillant bien à la beauté du geste, puis je pointe mon index vers le bas avant de dire sèchement :

"Assis !"

S'il résiste, tôt ou tard le manque d'air le rendra trop faible pour rester debout, s'il s’exécute sans rechigner, ça m'arrange. Quoi qu'il en soit voilà Bran à genoux devant moi, ma prise se relâche, ma queue se désolidarise de son cou et se met à onduler devant lui tandis que ma main va chercher la nuque de Mélinda. Je l'amène jusqu'à mes lèvres, glissant ma langue dans sa bouche devant un vampire sur-excité à cause de mon sang et de ses précédents vas et viens. Je fais traîner, prenant tout mon temps pour offrir un baiser passionné à mon hôte et frustrer son frère. Finalement je le rompt, riant avant d'égaliser mes relations avec Mélinda en douceur :

"Dis petite pétasse, ces cicatrices sur le corps de monsieur muscles, c'est toi n'est-ce pas ? Oui, ces marques de morsures ça ne peut-être que toi. Je suppose que tu l'as beaucoup dressé avec tes pieds, tu semblais adorer ça. Je suis sûre que ça te ferais mouiller comme une vraie pute de voir une autre lui écraser les testicules du bout de ses orteils."

Ma queue, qui a dégonflé entre temps, fait soudain un mouvement brusque et gifle violemment le vampire, laissant une marque triangulaire rouge sur sa joue. Je le regarde en coin, toujours tournée vers Mélinda, lui lâchant tout aussi sèchement que la première fois :

"Ça c'est pour ma queue !"

Immédiatement après ma queue lui marque la joue opposée de la même façon :

"Ça c'est pour la queue de ma réserve de foutre. Elle aussi elle a eu très mal !"

Une troisième fois la queue gifle sa joue :

"Celle-là c'est pour avoir pris mes cuisses pour un vulgaire jambon !"

Et finalement, ma queue appose sa quatrième marque sur ses joues :

"Et celle-ci c'est juste parce que j'avais encore envie de t'en mettre une sale ingrat ! J'allais t'autoriser à jouir à l'intérieur, j'allais te faire cet honneur que ta sœur n'a pas encore eut. Tu aurais été le premier de cette maison à te vider dedans ! Et toi tu oses me mordre par surprise et voler mon précieux sang ? Non seulement je réserverais mon entre-jambe pour cette superbe catin mais, toi tu te contenteras de jouir par terre !"

J'ai levé ma jambe vers lui sans bouger de ma table, avant d'attraper sa verge entre mes orteils. J'ai commencé à la serrer progressivement, à la tordre, à tirer dessus. J'ai pris plaisir pendant de longues secondes à torturer son sexe de la sorte. Oh oui, ce petit cochon adore les pieds et bien il va en avoir. Je relâche son sexe et je ramène mes jambes vers moi, les soulevant du sol pour mieux les détendre et venir frapper le haut de son torse pour le faire tomber sur le dos. Je me sens faible à cause du manque de sang mais, ça ne m'empêche pas de sauter de la table pour venir plaquer mon pied sur ses testicules et les écraser. Vous voyez le petit geste du pied que l'on fait pour écraser quelque chose contre le sol ? Et bien je fais pareil sur ses petites couilles bien remplies, ce qui doit être assez douloureux. De temps en temps je vais caresser son sexe avec le bout de mes orteils. Je n'hésite pas à le regarder de haut pour lui dire :

"Si tu en mets une seule goutte sur mon pied je te défoncerais l'anus petite chienne, jusqu'à ce que tu jouisses à nouveau ! Maintenant je veux entendre tes excuses et tes gémissements."

Tout en continuant d'écraser ses couilles je me retourne vers Mélinda, ignorant les paroles de Bran qui n'ont aucun intérêt à mes yeux.

"Alors ? Ça t'excite de voir ton frère se faire dominer par une autre que toi ? Tu aimerais que je l'encule comme une petite pédale ? Son cul a l'air appétissant, je suis sûr qu'en le stimulant un peu il se videra par terre en criant nos noms."

Ma mauvaise nature commence à s'exprimer, je sens que je vais devenir vraiment méchante. J'aime tant céder à ces instincts démoniaques et ressentir ce sentiment de toute-puissance qui va avec. Malgré mon état je suis aussi heureuse et excitée que si j'étais en pleine forme. Mon corps a du mal à suivre mais, tant pi, il résistera le temps qu'il faudra et ensuite j'irais me coucher pour récupérer un peu de mon sang au calme.

Titre: Re : S.O.S. [Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 15 décembre 2014, 01:47:57
Si Inuko était fatiguée, Mélinda ne le sentit pas. Elle la vit repousser Bran, à l’aide sa queue caudale, et son grand frère se retrouva à genoux sur le sol, sa verge en érection pointant entre ses cuisses, se dressant vers le ciel. Des plaques rouges, sous l’effet de la fatigue et de l’effort physique qu’il avait dû faire, ornaient son corps, sans que cela ne semble le gêner particulièrement. Mélinda, elle, observa Inuko pendant quelques secondes. Elle avait déjà une succube sous ses ordres, Edessa, et Mélinda savait que les succubes étaient des démones difficiles à soumettre... Comme tous les démons. Les démons issus des Enfers ne se soumettaient qu’à ceux qui arrivaient à les vaincre, à d’autres démons qui leur étaient supérieurs, jusqu’à avoir l’occasion de pouvoir se venger, et les supplanter. Cette logique infernale se retrouvait également à Ashnard, mais de manière un peu plus détournée, car l’instabilité anarchique des démons se heurtait à la philosophie humaine, qui reposait sur un besoin de stabilité et de cohérence, qui se justifiait par la faible espérance de vie des humains. Autrement dit, les démons ashnardiens étaient partagés entre l’envie de tuer ceux qui les dérangeaient pour prendre leurs places, et le souci de marquer leur pouvoir, d’amener au sein de l’Empire une stabilité ô combien nécessaire pour un État soucieux de vaincre Nexus. En somme, il y avait, chez les démons, une sorte de profond sentiment de liberté, qui s’exprimait de manière très particulière, mais qui était bien là. Même Edessa, si elle voyait Mélinda comme sa mère et sa Maîtresse, était fréquemment hors du harem, gambadant dans le monde afin d’augmenter ses pouvoirs magiques, et ce dans le but de toujours plaire davantage à sa Maman... Mais cette situation illustrait néanmoins le fait qu’elle était incapable de rester perpétuellement au même endroit. Inuko fonctionnait un peu de la même sorte, et ça, Mélinda commençait à plutôt bien le réaliser.

Les deux femmes s’embrassèrent goulument pendant de longues minutes, et la vampire ne faisait rien pour rompre ce baiser. Au contraire, elle le partageait volontiers, ses mains s’appuyant sur les épaules d’Inuko, sa langue jouant avec la sienne, son corps se frottant contre le sien. Elle pouvait sentir l’adrénaline battre dans les veines de son frère, et, surtout, cette magnifique et merveilleuse concentration sanguine à hauteur de son sexe. Le pauvre avait été arraché de son coït de la plus brutale des manières, et sa respiration était bruyante. Il aurait pu retirer la queue d’Inuko et se mettre à la frapper, mais, intelligent, Bran voyait bien que ce n’était pas là ce que sa sœur voulait. Il obéissait donc, soumis, tandis qu’Inuko avait demandé à Mélinda si c’était bien elle qui avait ainsi griffé le torse de son frère. Pour seule et unique réponse, la vampire esquissa un sourire malicieux. Sur ce point, elle se permettait de ne pas répondre à cette question, de laisser planer le doute et les légitimes interrogations... Mais oui, effectivement... C’était elle qui avait à ce point dressé Bran, afin d’en faire un homme parfait, quelqu’un qui serait autant capable d’être le plus doux et le plus tendre des amants, que le plus cruel et le plus sauvage des violeurs. En un sens, Bran incarnait à la perfection la dualité propre à la nature vampirique, ce mélange entre le glamour et une sorte de charisme noble, et une sauvagerie physique faisant ressembler les vampires à d’ignobles monstres sanguins. Bran avait été parfaitement éduqué, ce qu’Inuko pouvait réaliser.

Chacun de ses coups de sa queue sur ses joues amena Bran à tourner la tête. C’était douloureux, mais l’homme ne disait rien, restant docile, sage, et compréhensif. Mélinda regardait son grand-frère se faire battre par une femme autre qu’elle, ce qui l’amenait à ressentir des émotions contradictoires. Outre le plaisir inhérent à la contemplation d’un tel spectacle, elle ressentait aussi une sorte de curieux nœud se former dans ses entrailles, comme si elle était... Jalouse ? Oui, c’était ça...

*Bran est mien... Personne d’autre ne le corrige, mis à part moi...*

Les autres filles du harem étaient toutes impressionnées par Bran, et il était communément admis que personne ne pouvait le frapper sans l’assentiment exprès de Mélinda. Inuko supplantait le sien, agissant de son propre fait, ce qui faisait que Bran regardait souvent sa sœur. Il avait beau avoir sauvé Inuko, si sa chère sœur lui disait, en ce moment, de lui attraper sa queue, de l’arracher d’un coup sec, et d’étrangler cette succube avec, il le ferait sans se poser de questions, et ce alors même qu’il appréciait beaucoup le corps de cette femme, et qu’il aimait bien la voir avec sa sœur, ou pouvoir lui faire l’amour... Ou encore se faire battre par elle. Bran était bien éduqué, en ce sens qu’il savait, sans la moindre doute possible, que la volonté de sa sœur transcendait totalement la sienne, et qu’il n’existait que pour se faire pardonner auprès d’elle, et pour lui rendre la vie plus agréable.

Inuko le punissait donc de l’avoir mordu, ce à quoi Bran restait silencieux, les joues en feu. Il avait agi par instinct, car le sang de cette succube l’attirait, et parce qu’il voulait voir s’il pouvait mordre une succube depuis cette partie de son anatomie... Une expérience ayant aussi permis de se rendre compte de la résistance de cette partie de son anatomie. La succube renversa Bran, et, avant que ce dernier ne finisse sur le dos, il s’appuya sur ses mains, soupirant et gémissant en sentant les pieds d’Inuko glisser sur sa verge.

« Hummmm... »

Bran n’avait jamais été quelqu’un de très expressif, et c’était aussi le cas avec le sexe. Pour qu’il le soit, il fallait le lui demander. Mélinda avait entraîné la résistance sexuelle de Bran, afin qu’il puisse veiller sur elle sans problème pendant qu’elle était en train de longuement s’envoyer en l’air. Elle s’était ainsi, durant son éducation, à l’attacher à des chaînes, et à faire l’amour devant lui, sans jamais lui autoriser la moindre jouissance, jouant avec sa verge, mettant autour de sa verge un anneau l’empêchant de jouir, tandis qu’elle se faisait prendre par lui, et jouissait sur lui. Bran avait longuement souffert, mais cette souffrance avait permis de le former à la perfection, comme il était en train de le prouver en ce moment.

Inuko était en train de toucher du pied le fantasme de Bran : le fétichisme. Sa sœur l’avait éduqué dans ce sens, et il avait déjà éjaculé simplement en sentant sur sa hampe de chair les doigts de pieds joueurs de Mélinda. La vampire observait la scène, un sourire ravi sur le coin des lèvres, et se pencha vers les cuisses d’Inuko, déposant un baiser sur le haut de sa jambe.

« Pour une femme qui n’aime pas jouer avec les pieds, tu te débrouilles bien, ma petite puce... »

Elle laissa ensuite Inuko se relever, et Bran poussa un nouveau soupir quand la succube écrabouilla sa verge sous son pied. La douleur irradia dans tout le corps du vampire, qui poussa un léger cri, remuant les jambes, ses mains venant caresser les talons d’Inuko, mais sans chercher à la repousser, tandis qu’elle-même suggérait à Mélinda de pouvoir, par la suite, lui défoncer son petit cul :

« Alors ? Ça t'excite de voir ton frère se faire dominer par une autre que toi ? Tu aimerais que je l'encule comme une petite pédale ? Son cul a l'air appétissant, je suis sûr qu'en le stimulant un peu il se videra par terre en criant nos noms. »

Mélinda sourit en retour, et s’approcha, puis posa ses deux pieds sur le torse de Bran, le faisant à nouveau soupirer. Elle marcha sur lui, et se retourna face à Inuko, puis caressa l’une des joues de la succube, avant d’aller tendrement l’embrasser, se blottissant contre elle, une main sur ses cheveux... L’autre caressant les fesses de l’intéressée, le bout de ses doigts venant également, par moment, se frotter sur sa longue queue caudale.

« Oh, oui, crois-moi, son cul est délicieux... Je peux en témoigner... »

Elle sourit légèrement, et appuya un peu sur ses pieds, mordillant la lèvre d’Inuko.

« Bran acceptera volontiers de se faire prendre par toi... N’est-ce pas, mon petit chou ?
 -  O-Oui, hummm... Haaaaaa... »

Oh oui, il avait mal, c’était... Ah, c’était tellement craquant à voir ! Mélinda en était amusée... Et ce même si elle sentait toujours en elle cette boule d’hostilité à l’idée que quelqu’un d’autre qu’elle puisse abîmer son Bran adoré...