Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Complexe d'études secondaires et supérieures => Bureau de la direction et infirmerie => Discussion démarrée par: Amalia le samedi 28 décembre 2013, 15:20:58
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La charmante Amalia avait reçu une mission de la part de sa douce mère qui consistai à infiltrer le lycée Mishima en tant que lycéenne et de pervertir les jeunes humaines qu'elle rencontrerait. (Cela ne fait pas un peu pompeux, monsieur le narrateur?) Du tout, c'est une magnifique introduction donc laisse là comme elle est merci. Je disais donc, qu'elle devait s'infiltrer dans le lycée Mishima mais nul référence à Splinter Cell ou Metal Gear Solid ici. Puisque cette infiltration était tout simplement une nouvelle inscription en tant qu'élève à Mishima ce qui ne relève guère de l'héroïque. (C'est pourquoi je t'ai dit de ne pas en faire des tonnes. C'est si compliquée d'expliquer que je m'inscrit comme nouvelle élève dans un lycée?) Oui, car tu n'est une élève comme les autres tu es une succube et cela change ta mission car tu n'as pas pour tâche de travailler, n'est-ce pas? ( Oui, je sais, mère m'a dit de tenter les humaines mais je peux aussi découvrir ce lycée avant, non? ) Fais ce que tu veux, c'est ton histoire championne, je suis juste là pour la conter. D'ailleurs tu dois te rendre dans le bureau d'une certaine Miss Stevens pour qu'elle fournit tout ce que tu as besoin pour explorer librement le lycée. (Miss Stevens, hein? Allons la voir, elle va surement me remettre ma carte et mon emploi du temps. ) Attend! Je n'ai pas encore expliqué où tu te situais.
Donc, Amalia se trouvait à l'entrée de Mishima. Dans son dos, on pouvair voir un splendide parc avec des arbres et des fleurs à moitié gelée à cause de la saison. Et devant elle, se trouvait une magnifique double porte pour pouvoir entrer dans l'établissement. Quel suspens! Amalia allait t-elle entrer ou s'enfuir dans les enfers devant une telle pression? (Arrête de raconter n'importe quoi bien sur que je rentre) Rahhh, mais ne foire pas le suspens du scénario! (Quelle suspens? N'importe quelle débile saurait que je vais entrer dans le lycée sinon il n'y aurait pas d'histoire.) Ce n'est pas faux! Bon, n'oublie pas, deuxième étage, bureau A324. C'est là que tu dois te rendre. Et pour cela tu as le choix entre les escaliers et l'ascenseur. Tu prend quelle choix? (Les escaliers bien sur, pour affiner ma taille) Sauf que là tu te goures, c'est l'escalier B. J'ai dis A! C'est pas compliqué quand même. ( Et t'est sur que le couloir A ne rejoint pas le couloir B au deuxième étage? ) Heu, si en fait, désolé....
Amalia, la courageuse, avait donc décider d'emprunter l'escalier A pour rejoindre le second étage et rejoindre le couloir A. Une fois arrivé au couloir B.... ( J'ai fait vite dis donc!) C'est une éllipse temporel, je te le dis tout le monde s'en fiche de savoir comment tu as monté des escaliers et franchit un couloir, les gens veulent du spectaculaire pas du train train quotidien! ( Oh, je vois! )
Amalia arriva devant le bureau A324. Qu'allait t-elle faire? (Je toque à la porte et j'entre) Mais... c'est à moi de dire ça! ( oups ) Donc elle entra, pour se retrouver face à un bureau normale et devant une magnifique femme. Trop joli semblait t-il pour qu'elle ne soit que simple secrétaire. Des vêtements dévoilant une magnifique poitrine forte et des tissus de peau. De là, ou était Amalia elle ne pouvait voir les collants de la belle qui dévoilait de charmantes cuisses, ni sa mini-jupe noir. Elle n'avait rien à envier à la tenue décolière d'Amalia. (Pervers!) Je suis le Narrateur d'une succube c'est pas étonnant! Mais si Amalia n'agissait pas vite que penserait son hôte d'elle? Que c'était une déséquilibrée mentale? Déjà, qu'Amalia rougissait depuis mon portrait élogieux! (Je te déteste!)
-Excusez-moi, Miss Stevens, c'est bien ça? Je suis nouvelle à Mishima et l'on m'a conseillé sur ma fiche de venir vous voir pour me remettre ma carte étudiante et mon emploi du temps... dit-elle d'un air penaud et adorable à la fois tout en s'asseyant sur la chaise qui était situé en face du bureau de Miss Stevens. Je ne sais pas si je suis au bon endroit répondit t-elle avec une mimique très succubesque (T'invente des mots? J'ai juste mit mon ongle contre ma bouche) Oui, c'est ça une mimique succubesque.
Il n'y a plus qu'à attendre la réponse de Miss Stevens.
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« Alors, ça parle de quoi, cette fois ?
- On reste dans le classique, ou presque... Cette fois, c’est la prof’ qui se fait défoncer le cul par l’élève... Et par la tante de l’élève. »
Shani se mit à sourire, et posa le gobelet de café à ses lèvres, en buvant une partie, avant de le reposer. Devant elle, l’écran d’ordinateur de l’administration. La jeune secrétaire se trouvait dans le bâtiment central du lycée Mishima, dix minutes avant de se rendre au bureau A324, où elle avait rendez-vous avec une jeune femme qui venait d’arriver, Amalia. La procédure interne voulait que, en cas de nouveaux élèves arrivant au lycée, l’administration procède à une visite guidée des lieux, une présentation sommaire du lycée, présentation pouvant s’effectuer, soit par un professeur, soit par un secrétaire, soit par un élève. Les hasards et les caprices du calendrier faisaient que, cette fois, ce rôle incombait à la jeune Française.
Avant d’y aller, elle assurait toutefois son rôle de secrétaire, organisant le fonctionnement administratif du lycée : envoi de courriers, organisation du planning, gestion des examens, etc... Une activité annexe, et très enrichissante, était l’inventaire et le rangement du matériel confisqué : téléphones portables saisis par les professeurs, et que les élèves récupéraient à l’administration, armes blanches... Mais aussi littératures pornographiques. Il fallait bien admettre qu’on en trouvait beaucoup à Mishima. Il y a à peine une demi-heure, sa collègue, Akiko (http://artgerm.deviantart.com/art/Office-Lady-II-289941377?q=gallery%3AArtgerm%2F157933&qo=115), avait reçu un carton rempli de matériels saisis lors des fouilles dans les vestiaires et dans les sacs. En théorie, une fouille dans un sac était illégale sans autorisation, mais l’administration savait se débrouiller. L’élève qui refusait qu’on fouille son sac recevait généralement un mot sur son carnet, ce qui, souvent, les incitait à ouvrir leurs sacs. Dans un environnement scolaire élitiste, les mots dans les carnets étaient le genre de fardeaux qui pouvaient vous faire rater une admission dans une université. Il y avait donc intérêt à les éviter.
De la main, Akiko tendit à Shani un petit livre, qui était la retranscription d’une bande dessinée érotique, Passing The Test. L’histoire, si tant est qu’on puisse parler d’histoire, campait une prof’ et son élève, la prof’ partant dîner chez la tante de l’élève, afin de lui parler, vraisemblablement, du comportement de l’élève, ou de ses résultats scolaires en baisse. Elle finissait par dormir chez elles, et, en pleine nuit, la prof’ était réveillée par des bruits sourds venant du rez-de-chaussée... Et se retrouvait ensuite être la victime de deux hermaphrodites qui lui labouraient férocement le cul... Le genre d’histoires qui ne laissaient jamais Shani totalement indifférente, surtout quand elle les lisait avec Akiko. Elle sentait déjà son intimité la faire silencieusement souffrir, et retint un soupir, se mordillant les lèvres.
*Non, Shani, tu as un rendez-vous dans dix minutes, contrôle-toi !*
Cette fois, elle ne pouvait pas se permettre de se détendre avec Akiko, comme elle avait généralement l’habitude de le faire. Cette fois, elle devait se retenir. Elle se releva alors, et rendit le livre à Akiko.
« Je vais aller accueillir Amalia. »
Akiko esquissa un léger sourire amusé, comme si elle savait ce que Shani était en train de ressentir.
« À bientôt, alors... »
Ce « à bientôt » était bien mystérieux. Shani sortit rapidement. La porte s’ouvrit sur un élève, et, discrètement, Akiko reposa la bande dessinée érotique dans le carton, puis Shani sortit. Elle quitta le bâtiment principal, et rejoignit assez rapidement le bureau A324, emmenant sous le bras un épais dossier comprenant un paquet de feuilles blanches, et le dossier d’Amalia. L’une des premières règles du travail, fondamentale, était de toujours donner l’impression d’être surchargée, et d’avoir quantité de choses à faire. Une règle que Shani suivait sans difficulté. L’air frais lui fit du bien, soulageant sa torpeur.
Elle arriva dans le bureau cinq minutes avant Amalia, et eut tout juste l’occasion de s’asseoir derrière le bureau, et de le dépoussiérer un peu. Ce bureau était pour l’heure vacant, et servait généralement à accueillir les stagiaires venant au lycée, et repartant en étant dépucelés, ou même enceintes. Shani ouvrit lentement le dossier, et commença à le parcourir. Mishima était un lycée très cosmopolite, et il y avait donc des individus venant de toutes les contrées. Elle vit rapidement une photographie d’Amalia, et s’humecta les lèvres, ressentant son feu interne bouillonner entre ses cuisses.
*Mignonne, cette petite...*
Shani n’eut même pas le temps de voir d’où elle venait qu’on toqua à la porte. Elle releva alors la tête, et vit Amalia entrer. Avec sa longue chevelure blonde, son léger rouge à lèvres, et son uniforme scolaire, elle était à croquer. Shani déglutit silencieusement, louchant brièvement sur ses jolis seins, qui ressortaient de sous son chemisier.
« Excusez-moi, Miss Stevens, c'est bien ça ? Je suis nouvelle à Mishima et l'on m'a conseillé sur ma fiche de venir vous voir pour me remettre ma carte étudiante et mon emploi du temps. »
Shani hocha lentement la tête, et lui fit un sourire :
« Tout à fait, nous avions rendez-vous...
- Je ne sais pas si je suis au bon endroit » ajouta alors Amalia.
La petite blonde semblait délicieusement timide et nerveuse. Que des qualités, pour Shani !
« Tu peux me tutoyer, ne t’en fais pas. Appelle-moi Shani. »
Elle chercha dans le dossier, et trouva le carnet de classe d’Amalia, qu’elle le lui tendit, avec la carte d’étudiant.
« Il te faudra toujours cette carte et ce carnet avec toi, si jamais les surveillants te le demandent... Bien que ça n’arrive jamais, mais bon... Si tu veux manger à la cafétéria ou au réfectoire, ou même emprunter des livres, il te faudra aussi cette carte. »
Shani s’humecta la gorge, et décida alors d’entamer les familiarités, de se rapprocher de cette femme :
« En revanche, je dois t’admettre que, comme cette réunion a été rapidement organisée, je n’ai pas eu l’occasion de me renseigner plus avant sur tes origines... Tu viens d’où ? »
Shani avait escompté lire le dossier hier soir, mais elle avait passé sa soirée avec un amant, et... Disons qu’elle n’avait pas spécialement eu le temps de se replonger dans les dossiers scolaires.
En tout cas, cette petite était vraiment mignonne.
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Miss Stevens que l'on appellera maintenant Shani lui donnait la possibilité de la tutoyer. Amalia accepta l'idée. Shani lui tendit sa carte. Et, Amalia la prit en regardant la photo, pas son plus jolie portrait mais la photo était excellente. (Merci!) Oui... Hmm...Hmm... Ou en étais-je? Ah oui, Shani t'expliqua a quoi sert cette carte.
-Merci, Shani! répondit-elle avec un délicieux sourire.
Puis, Shani lui demanda d'où elle venait. Comment expliquer d'où elle venait, bon sang... Elle ne savait pas ce que le démon serviteur avait mis sur sa fiche et s'en moquait du moment qu'elle était dans le lycée mais Shani verrait que ce n'est pas le même lieu si elle mentait...
-Eh bien, je viens d'une contrée lointaine, d'un petit village au nord du Japon dans le nom ne vous dirai rien. La directrice de mon ancienne école m'a recommandé de venir ici pour apprendre disons certains arts.... Elle m'a dit que cette école conviendrait mieux pour moi, que j'étais suffisamment belle et intelligente pour intégrer cette école. Sincèrement, je suis si jolie que ça? répondit t-elle d'un air perplexe en fronçant les sourcils qui affichait un mignon petit contraste sur son visage. Tout en tortillant avec un doigt une mèche de ses cheveux ondulés.
(C'est à peut près la vérité si on se dit que la directrice est ma mère.) C'est fou ce que l'on se rapproche de la vérité quand on ment... Et crois pas que j'ai pas vue que tu commences à tenter cette humaine. (Il faut bien que je m'y mette et puis c'est à elle de faire le premier pas. Ma mission c'est de tenter les humaines pas de les y obliger donc on verra si elle est réceptive.) Ben, tu fais fort pour ton premier jour, toi.
-En tout cas, je suis très contente d'être dans cette nouvelle école. Mais, j'ai une histoire toute bête, tu ne trouves pas? Oups, je crois que tu ne m'as pas encore donné mon emploi du temps. Je sais que je n'ai pas cours aujourd'hui mais il me le faut quand même. dit-elle en mettant ses mains délicates sur son propre visage comme si c'était alarmant.
La douce Shani se laissera t-elle tenter ou résistera t-elle?
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« Eh bien, je viens d'une contrée lointaine, d'un petit village au nord du Japon dans le nom ne vous dirai rien. La directrice de mon ancienne école m'a recommandé de venir ici pour apprendre disons certains arts.... Elle m'a dit que cette école conviendrait mieux pour moi, que j'étais suffisamment belle et intelligente pour intégrer cette école. Sincèrement, je suis si jolie que ça ? »
Une contrée lointaine... Shani, elle, venait de France. Ce qui la troublait, surtout, c’était que, pour une Japonaise pure souche, Amalia ne ressemblait pas du tout à une Japonaise. Peut-être avait-elle eu un parent occidental ? C’était de plus en plus fréquent, et il y en avait beaucoup à Seikusu, mais, malgré tout, ils héritaient quand même des traits génétiques de leur branche orientale. Or, Amalia était autant japonaise qu’un curé élevant ses vaches en Normandie. Néanmoins, Shani n’était guère une policière, et la fin des explications de la jeune blonde dissipa les questions qu’elle avait en tête.
*Belle et intelligente...*
Encore une fois, Shani sentit son entrejambes se réveiller. Son trou recommença à la démanger, et elle résista à l’envie de remuer, en serrant délicatement ses jambes, et en se réfugiant dans le dossier scolaire de la jeune fille. Elle avait vu son doigt s’enrouler innocemment autour de ses mèches de cheveux, et essaya de repousser, vainement, les envies et les idées qui lui venaient en tête. Shani savait très bien de quels « arts » son ancienne directrice lui avait parlé, tout comme elle savait très bien que ce n’était pas la vérité vraie. À Mishima, il était fréquent de tomber sur des dossiers scolaires erronés, qui renvoyaient à des bulletins de notes fictifs, à de fausses adresses, à des signatures contrefaites... Un inspecteur de l’académie qui aurait réellement cherché à faire son travail ici aurait vu un sacré pactole. Cependant, malgré les nombreuses plaintes que l’établissement recevait, les rapports des inspecteurs étaient toujours nickel, attestant que Mishima était un très bon lycée, que sa réputation était factice, et que les élèves s’en sortaient très bien, les cas réputés d’agression sexuelle étant liés à des évènements extérieurs au lycée. Shani était suffisamment intelligente pour se douter que la corruption sexuelle avait ses effets. Vraiment, elle ne voyait pas une directrice issue d’une école des profondeurs du Japon recommander à ses élèves d’aller à Mishima... C’était le Japon traditionnaliste, celui où les femmes avaient pour fonction d’être des femmes au foyer, et les hommes de travailler. La dualité traditionnelle du ménage, qui volait en éclats sous l’influence de l’individualisme occidental.
Shani contempla les notes d’Amalia. Elles étaient relativement bonnes, et semblaient faire vrai. Pour autant, Shani était convaincue que, si elle envoyait un courriel à ce lycée, elle n’obtiendrait aucune réponse. Shani releva la tête vers Amalia, et consentit alors à répondre à sa question, se rappelant qu’elle lui avait effectivement posé une question.
« Je dirais que les garçons risquent de t’apprécier, oui. »
C’était une réponse assez neutre. En réalité, il n’y avait pas que les garçons qui étaient susceptibles de l’apprécier, mais Shani devait se retenir. Diable, elle n’allait quand même pas sauter sur une élève dès son premier jour ! Pourtant, elle avait clairement le sentiment que c’était ce que cette Amalia voulait. Depuis qu’elle était à Mishima, Shani avait compris que ce lycée ne fonctionnait pas comme les autres, et qu’il y avait quelque chose de particulier. De plus, elle avait clairement eu l’occasion de comprendre que cette ville abritait des êtres guères normaux, depuis sa soirée animée dans une boîte de nuit*, ou sa séance de sexe intense**, qui lui avait valu de coucher avec un de ses voisins.
Amalia recommença alors à lui parler... Et elle était décidément bien mignonne :
« En tout cas, je suis très contente d'être dans cette nouvelle école. Mais, j'ai une histoire toute bête, tu ne trouves pas ? Oups, je crois que tu ne m'as pas encore donné mon emploi du temps. Je sais que je n'ai pas cours aujourd'hui mais il me le faut quand même. »
Shani se mit à sourire.
« C’est vrai. J’allais le faire, Amalia. »
Shani tourna ses pages, et ne tarda pas à sortir l’emploi du temps.
« Les cours d’aujourd’hui ne sont pas pour toi cette semaine, précisa-t-elle, confirmant ce qu’Amalia avait dit. J’ai aussi d’autres papiers à te remettre. Il y a... Ceci... C’est un plan du lycée, ça peut t’être utile, le lycée est plutôt grand. Et, sinon, il y a... Ce fascicule... Il recense la plupart des clubs du lycée, les activités extrascolaires, et les différentes associations avec lesquelles l’établissement coopère. »
C’était une sorte de guide touristique très pratique, et plutôt bien fait. Shani devait parler à Amalia de plusieurs choses. Elle ouvrit le fascicule, et lui montra ainsi une double-page permettant de voir plusieurs clubs : le club féminin de natation, son pendant masculin, le club d’échecs... Les associations étaient des évènements en-dehors du lycée, mais qui profitaient de l’existence du lycée pour faire leurs publicités. Clubs de jeux vidéos, clubs d’Histoire, de mangas, on trouvait un peu de tout... Il y avait même une association consacrée au cosplay, et proposant des ateliers de couture et d’essayage le week end.
« Tout est gratuit, bien sûr. »
Shani s’éclaircit la gorge, laissa planer quelques secondes, puis regarda Amalia, sa belle chevelure, s’imaginant l’embrasser, la coincer contre le mur, et l’entendre gémir contre elle.
« Quant à ton histoire... »
La secrétaire laissa planer quelques secondes. Elle hésita un peu, puis son visage se fendit d’un innocent sourire, révélant ses dents blanches, alors que l’un de ses doigts alla se poser sur ses lunettes, les revissant près de ses yeux.
« Je te conseille d’en trouver une meilleure quand tu te présenteras devant tes camarades, ma belle. Les Japonaises sont rarement blondes, à moins d’être métisses, et, même dans ce cas, c’est un phénomène assez rare. Précise que tu viens d’Europe et que tu adores les French Kiss, et les garçons te mangeront dans la main... »
Elle rajouta alors, après avoir ménagé une courte seconde :
« Et probablement pas que les garçons, d’ailleurs. »
* : RP « Fête de nuit (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=10191.0) »
** : RP « Gang bang sauvage (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=12483.0) »
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Shani lui indiqua que les garçons la trouveraient belle ce qui ennuyait Amalia vu qu'elle était de l'autre bord. Puis, Shani lui donna son emploi du temps et un plan du lycée ce qui fit plaisir à Amalia. Shani lui expliqua aussi que son mensonge était dévoilait à cause du fait que les asiatiques n'étaient pas blondes. Mais comment Amalia aurait pu deviner cela? (Si tu me l'avais dit aussi...) Tu m'écoutes jamais! (C'est pas faux!)
Shani lui démontra que les French Kiss devrait attirer les hommes ainsi que les femmes. Amalia commençait à se demandait si la femme ne s'intéressait pas à elle. Car, elle ne s'expliquait pas comment elle lui aurait dit ça sinon... Alors, Amalia prit son ton le plus innocent et le plus mignon en même temps pour dire:
-Ce que vous me dîtes là me fait très plaisir, parce que vous voyez je ne suis pas vraiment attiré par les garçons. Je n'ai pas encore vraiment eu de relation sérieuse mais je sais que je suis attiré par les filles. Il y en a beaucoup des filles comme moi dans ce lycée? J'ai un peu peur d'être pris pour quelqu'un de bizarre pour être attirée par les femmes. Toute petite, on me disait que je serais attiré par le prince charmant mais n'a t'on pas le droit d'être attirée par la princesse charmante?
Jolie mensonge! (Merci! Je m'améliore!)
-Enfin, je suppose que je devrais vous laisser à moins que vous vouliez me faire une visite guidée de l'école ou que vous avez oublié de me transmettre quelquechose Shani ,auquel cas je serais ravie de vous accompagner ou de rester ici.
C'était le moment clé, où Amalia tendit son piège. Soit Shani mettait fin à l'entrevue et s'en était finie de cette histoire, soit elle était tentée par la petite succube et elle tomberait dans le piège d'Amalia. Les phrases d'Amalia était discrète et elle ne tentait pas d'agir physiquement parlant. Elle tentait c'est tout. D'autant, qu'elle adorerait jouer sur l'archétype du mineur et de l'adulte.
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« Ce que vous me dîtes là me fait très plaisir, parce que vous voyez je ne suis pas vraiment attiré par les garçons. Je n'ai pas encore vraiment eut de relation sérieuse mais je sais que je suis attiré par les filles. Il y en a beaucoup des filles comme moi dans ce lycée ? J'ai un peu peur d'être prise pour quelqu'un de bizarre pour être attirée par les femmes. Toute petite, on me disait que je serais attirée par le prince charmant mais n'a t'on pas le droit d'être attirée par la princesse charmante ? »
Voilà qui était inattendu... Délicieusement inattendu. Une lesbienne, donc ? Shani soupira intérieurement, fermant brièvement les yeux. Ce ton doux, mignon... La secrétaire n’était pas idiote. Si Akiko avait été là, elle aurait esquissé un léger sourire, en toisant délibérément Amalia. Shani savait comment les élèves fonctionnaient. Ils faisaient leurs innocents, leurs timides, en espérant que les adultes tomberaient dans leur piège. La secrétaire savait comment les choses fonctionnaient ici, car sa propre expérience faisait écho à celle d’Akiko. Sa collègue couchait également avec les élèves, sans aucune hésitation, et, généralement, les élèves ne s’affichaient pas comme des dominateurs, mais jouaient sur le fait qu’ils étaient encore mineurs pour pouvoir attiser la perversion de leurs interlocuteurs. Pour Shani, Amalia répétait le même scénario, avec un certain talent.
Un fourmillement se fit ressentir dans le corps de la secrétaire. Elle ne pouvait pas le nier, cette petite l’attirait. Elle l’excitait, tout simplement. La secrétaire n’eut pas le temps de lui répondre que la jeune blonde enchaîna rapidement, continuant volontiers avec ses nombreux sous-entendus :
« Enfin, je suppose que je devrais vous laisser à moins que vous vouliez me faire une visite guidée de l'école ou que vous avez oublié de me transmettre quelque chose Shani. Auquel cas, je serais ravie de vous accompagner ou de rester ici. »
Lui « transmettre » quelque chose... Shani avait accompli son boulot : présenter le lycée, les clubs, les activités périscolaires, et remettre à cette dernière sa carte d’étudiant, et son carnet de suivi. Il n’y avait donc, techniquement, plus rien à faire. Concrètement, il était fréquent que Shani effectue une visite du lycée, notamment afin de montrer les dortoirs, ou répondre aux questions des jeunes élèves... Ici, elle avait toutefois une activité complètement différente en tête. Un sourire naquit ainsi sur ses lèvres, et Shani se redressa lentement.
Sans rien dire, elle contourna le bureau, sentant, dans son bas-ventre, une sorte de nœud se former. Un léger vent de plaisir qui se distillait dans ses veines et dans ses muscles. Elle s’humecta les lèvres en se rapprochant, une main glissant sur le rebord du bureau, son regard toisant celui de la jeune lycéenne.
« Il y a encore une chose dont nous devons discuter, en effet... »
La secrétaire s’avança lentement, sa main glissant sur le bureau. Ce n’était pas son genre de résister. Elle savait que c’était mal, qu’une secrétaire, adulte, ne devait pas coucher avec une élève, mineure, mais c’était plus fort qu’elle. Comment résister, comment les repousser ? Elle s’en sentait tout simplement incapable ! Cette belle petite blonde, avec sa manie de pencher la tête sur le côté, avec ses belles lèvres et ses phrases tendancieuses, l’excitait chaudement. Du bureau, la main se déplaça légèrement, venant caresser la joue de sa partenaire, glissant brièvement dessus. Elle se pencha alors vers elle, fléchissant les genoux, et l’embrassa sur les lèvres. Un bref baiser, rapide, qui ne dura que quelques secondes, avant qu’elle ne retire ses lèvres, en souriant légèrement, sentant sur ses lèvres et sur sa nuque la respiration de sa partenaire.
« En réalité, Amalia, il n’y a rien de bizarre à aimer les femmes, bien au contraire... Ces attirances sont largement tolérées dans ce lycée... Que ce soit par les élèves, ou même par les membres de l’administration. »
Shani se releva alors, et se rapprocha de la porte du bureau, la verrouillant d’un tour de doigt. Elle se retourna ensuite, et posa chacune de ses mains sur les épaules d’Amalia, avant de les rapprocher, pour les placer sur sa nuque. Elle les avança alors, caressant la peau de la femme, pour les poser sur son menton, et, ainsi, l’amener à redresser sa tête. Shani se pencha alors vers elle, fléchissant les genoux, ses lèvres se rapprochant de la sienne.
« Comme moi... Je te trouve très attirante, Amalia, si tu veux tout savoir... Alors, tu n’as pas à t’en faire, personne ne te montrera du doigt pour tes attirances sexuelles. »
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Shani se leva avec aisance et se dirigea vers la petite Amalia avec une main posée sur la table en lui disant qu'elle devait lui expliquer une chose. La secrétaire la toisait de toute sa magnificence. L'adulte, c'est elle et toi misérable vermine.... (oui?) Non,non,rien, c'est juste sur le moment comme ça.... Shani posa sa main délicatement sur le visage d'Amalia. Amalia ressentit un doux contact la faisant frisonner puis la secrétaire se pencha et l'embrassa tendrement. Cela ne dura que quelque secondes mais pour Amalia elle en eut le souffle coupé, elle ne s'y attendait pas. Ce n'était pas la première fois qu'elle embrassait mais jamais son partenaire avait été si explicite. Elle redoutait un peu la suite n'ayant jamais goûté aux joies du sexe. Puis la secrétaire recula, Amalia en profita pour répliquer sur le fait que le personnel était d'accord sur le fait que les lesbiennes étaient accepter dans l'école par un:
-Je vois ça...
Et Shani verrouilla la porte puis elle posa ses mains sur ses épaules et sur sa nuque, alouette! (Concentre toi!) Hmm... La tête d'Amalia se redressa, elle était obliger de regarder droit dans les yeux la secrétaire qui était à quelques centimètres de son visage. Elle lui parle:
-Tu as verrouillé la porte, je suppose donc que vous avez une idée derrière la tête, Shani. Saches juste que je suis encore vierge....
Et, Amlia l'embrassa d'un autre baiser qui dura aussi longtemps que le premier après tout, elle se sentait pris au piège dans la toile de l'araignée à moins que ce ne soit Shani? Car, lorsque Shani ouvrira la boite de pandore il se peut que son énergie se fasse dévorer... Amalia recula la tête, et d'une autre mimique succubesque, oui j'atore ce mot et je t'emm.... (Mais j'ai rien dit!) Donc, d'une manière succubesque et s'exclama:
-Je ne sais pas ce qui m'a pris, c'est juste que tu étais là et tu m'a embrassé alors je n'ai pas résisté à embrasser tes lèvres c'est comme si elle m'avait attiré. Mais, je suis mineure et tu es adulte, ce n'est pas bien. On risque gros, toi et moi.
Bien sur, Amalia ne pensais pas u mot de tout cela, elle avait adoré l'embrasser et ne souhaiter que recommencer mais elle voulait voir si l'humaine serait tenter au point de franchir la barrière qui sépare un mineur d'un adulte. Shani, avait prouvé qu'elle souhaité passait à autre chose vu qu'elle s'était emfermée avec elle.
-Shani, est-ce que tu me désires? Est-ce que tu veux m'embrasser à nouveau? Mais, ça ne serait pas très professionnelle... dit-elle en lui caressant la joue sensuellement.
Elle attendait de voir jusqu'où Shani était capable d'aller dans le chemin de la perversion.
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« Tu as verrouillé la porte, je suppose donc que vous avez une idée derrière la tête, Shani. Sache juste que je suis encore vierge... »
Shani esquissa un sourire. Est-ce que ce mensonge était vrai ? Elle en doutait, vu l’aplomb dont Amalia faisait vrai... Mais, après tout, pourquoi pas ? C’était encore plus excitant de se dire qu’on couchait avec une élèvevierge. Shani avait déjà éduqué quelques vierges, et leur enlever leur virginité était toujours un véritable petit bonheur. Ils n’étaient pas doués, mais ils compensaient cela par une sorte de douce innocence que Shani leur ôtait, entre ses doigts et sa langue experte. Pour le coup, elle aimait autant les hommes vierges que les femmes, même si, avec les hommes, c’était toujours assez rigolo. Quand ils étaient en érection, ils devenaient tout honteux, comme s’ils avaient commis le pire des crimes, la plus atroce des offenses. Shani se régalait de jouer, pendant quelques secondes, la secrétaire scandalisée, prétendument effarouchée, avant de soulager leurs membres en rut. La vie était ainsi, faite de petits plaisirs qu’il fallait savoir croquer à pleines dents. Shani ne s’en privait pas. Si la vie était un gâteau, alors elle adorait en prendre des parts.
Ce fut au tour d’Amalia de l’embrasser, et Shani avança sa langue dans sa bouche, caressant celle de sa partenaire. Ce fut un baiser assez long, également, rythmé par l’élève, avant qu’elle ne rompe. Adoptant cette petite moue qui lui allait si bien, Amalia reprit ses explications :
« Je ne sais pas ce qui m'a pris, c'est juste que tu étai là et tu m'a embrassé alors je n'ai pas résisté à embrasser tes lèvres c'est comme si elle m'avait attiré. Mais, je suis mineure et tu es adulte, ce n'est pas bien. On risque gros, toi et moi. »
Très gros, en effet. Dans un pays aussi conservateur que le Japon, s’il y avait de véritables preuves de ce qui s’y passait à Mishima, le lycée aurait été fermé depuis fort longtemps. Shani se contenta d’un léger sourire évasif, sans préciser ce qu’elle avait en tête. Oui, les deux femmes risquaient gros... Mais n’était-ce pas, après tout, encore plus excitant ainsi ? Voilà qui rajoutait à leur échange un petit risque supplémentaire, ce frisson qu’on ressentait à chaque fois qu’on s’exhibait en public, qu’on faisait l’amour dans un lieu public... Un fantasme pour bien des gens, une réalité pour Shani. Elle avait déjà été enculée sur le bord de l’autoroute par un motard qui l’avait arrêté pour excès de vitesse, et l’avait sodomisé entre deux portières, avant qu’elle ne suce sa grosse queue tendue dans sa bouche. Quant à l’église, Shani avait déjà couché dans la cathédrale de Notre-Dame avec une amie.
Elle était donc bonne à damner.
Shani repensait à tout ça, tout en se déplaçant un peu, fléchissant les genoux pour se mettre à côté d’Amalia, son visage à hauteur du sien. L’étudiante était évidemment plus petite qu’elle, mais ce n’était nullement pour la déranger, bien au contraire. Elle se rapprocha un peu de son visage, louchant sur ses seins. La secrétaire regarda ensuite les belles lèvres d’Amalia remuer, et sourit quand elle lui posa alors une question :
« Shani, est-ce que tu me désires ? Est-ce que tu veux m'embrasser à nouveau ? Mais, ça ne serait pas très professionnelle... »
Elle lui répondit en attrapant tendrement la main qui lui caressait la joue, et la déplaça devant ses lèvres. Elle l’attrapa entre chacune de ses mains, l’attrapant par le pouce et le petit doigt, et, lentement, suça longuement chacun de ses doigts, les léchant ensemble, les baisant, avant de les fourrer, l’un après l’autre, dans sa bouche. Son regard était rivé sur celui d’Amalia, et sa bouche s’arrondissait en cul-de-poule, ses lèvres gobant le doigt, l’enfonçant profondément, mimant une sorte de fellation sensuelle. Shani joua ainsi avec chacun des doigts de la femme, avant de lentement les retirer, et de se pencher vers elle. On aurait pu croire qu’elle allait à nouveau l’embrasser, mais, au lieu de ça, elle se contenta de l’embrasser sur la joue, tout en attrapant chacun de ses poignets.
« Je te désire, ma belle, avoua-t-elle alors. Etr ce n’est effectivement pas professionnel... Mais, après tout, les Présidents couchent bien avec leurs secrétaires. Alors, pourquoi ne le pourrions-nous pas ? »
Bill Clinton, paix à ton âme. Shani tira lentement Amalia, l’extirpant du fauteuil, et la guida de l’autre côté du bureau, où elle put s’asseoir sur son fauteuil, plus confortable qu’une chaise.
« Installe-toi sur moi, ma belle... »
Shani l’embrassa à nouveau sur les lèvres, tout en aidant Amalia à se blottir contre elle, ses jambes ressortant de part et d’autre du dossier du fauteuil. Elle posa une main sur ses cheveux, les pressant, caressant, avec l’autre, ses hanches. Elle glissa dessus, aventurant l’une de ses mains près de ses fesses.
« Tu veux que je te dise, Amalia ? Tu ressembles à une pure Française... Et, comme je suis moi-même originaire de Paris, il me semble de bon ton de te faire goûter à notre French kiss. »
Elle porta son autre main sur la chemise d’Amalia, à hauteur des boutons, et, tandis qu’elle les défaisait, lentement, très lentement, elle l’embrassa à nouveau, sensuellement. Shani était une grande spécialiste de ce genre de baisers, qui consistaient à jouer avec la langue. Ainsi, sans poser ses lèvres sur la bouche d’Amalia, elle aventura sensuellement sa langue. Leurs nez se heurtèrent, se caressant l’un à l’autre, les lunettes de Shani, si sexy, se plaquant un peu plus contre ses yeux, et elle avança sa langue, caressant les lèvres de la jeune femme, avant de remonter, de dessiner le pourtour de ses lèvres, pour titiller ensuite l’ouverture de la bouche. Elle restait ainsi, à tâtons, à exciter la femme, enfonçant ensuite sa langue, la faisant rouler dans la bouche de la femme, soupirant et gémissant de plaisir.
Un à un, les boutons de la chemise d’Amalia se défirent.
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Shani ne lui répondit pas et préféra s'amuser avec ses doigts en les embrassant et en les suçant. Amalia ne s'était jamais fait sucé les doigts mais il y avait quelque chose de sensuelle, d'animal dans ce geste qui la laissa exclamer un petit gémissement presque animal.
Parce que les secrétaires ne sont pas mineures, mais je vois que ça ne te rebute pas, Shani...
Et, Shani lui prit la main tendrement puis la pressa de se diriger vers le fauteuil de la secrétaire. Shani s'installa et lui demanda de s'installer sur elle. Shani hésita, elle avait peur de faire du mal à la jeune secrétaire en s'asseyant dessus. Mais, quelque chose, sans doute l'excitation du moment la poussa à s'assoir sur Shani. Elle s'installe à califourchon. Ses jambes ceinturant la secrétaire de telle façon qu'elle ne pouvait se dégager de cette étreinte. Shani l'embrassa et commença à lui toucher les cheveux. Amalia ne savait pas quoi faire, aussi se contenta t-elle de la regarder. Elle sentait sa chemise se déboutonnait, tout comme elle sentait que sa culotte à travers sa jupe touchait les jambes de Shani.
Je serais très ravie de goûter à un French Kiss...
Amalia ne savait pas ce qu'était un French Kiss, elle n'en avait jamais fait auparavant. Elle pouvait observer Shani de très près, laissant sa langue tâter le terrain, Shani s'engouffra bientôt dans sa bouche, et ce qu'elle fit à l'intérieur fut magique. Elle ne savait comment Shani si prenait, mais les mouvements de sa langue excitait Amalia. Elle commença même à effectuer à frotter sa culotte conte les jambes de Shani. La chemise dévoila un splendide corset qui recouvrait les formes d'Amalia. Quand le baiser, fut terminé, Amalia s'exclama:
- Oh, Shani, je me sens si fiévreuse à tes attentions, tu me fais quelque chose je ne sais pas ce que c'est mais j'ai envie que tu m'embrasses, que tu me touches avec ta langue, partout...
Amalia éprit d'un sentiment nouveau dévoila ce que le corset dévoilait de ses seins proche de la tête de Shani attendant que la belle Shani continue de faire son oeuvre. Amalia ne savait pas vraiment quoi faire de son côté, mais il était clair qu'elle était très excitée, elle se sentait même humide en bas comme si elle avait fait pipi.
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Cette jeune femme était vraiment délicieuse, et, tandis que Shani lui offrait ce baiser si particulier, qu’elle maniait évidemment à la perfection, elle sentit le bassin d’Amalia frotter contre ses jambes, ce qui arqua brièvement sur ses lèvres un léger sourire, tandis qu’un frisson remonta sur sa peau. Brave petite. Les doigts de Shani continuaient à jouer sur sa chemise, déboutonnant cette dernière, et, après le baiser, ce fut à son tour d’être surprise. Faute d’un traditionnel soutien-gorge, Amalia portait un succulent corset rouge en cuir, les lacets filant entre ses seins. Shani déglutit, tout en continuant à défaire le chemisier, remontant ses mains pour le faire glisser le long des épaules de la jeune femme.
« Oh, Shani, glissa alors Amalia, de cette délicieuse voix de velours qui excitait la brave secrétaire, je me sens si fiévreuse à tes attentions, tu me fais quelque chose je ne sais pas ce que c'est mais j'ai envie que tu m'embrasses, que tu me touches avec ta langue, partout... »
Shani sourit devant cet aveu. Pour porter un tel corset, Amalia était-elle aussi innocente qu’elle le prétendait ? Shani n’en savait rien, mais elle allait faire comme si... Après tout, pour elle, tomber sur une novice, une jeune femme encore naïve de ce genre de choses, c’était un grand régal. La guider lentement sur les voies de plaisirs exquis, la corrompre délicieusement, la pervertir avec une lenteur exquise...Voilà un domaine dans lequel Shani se plaisait, et qu’elle allait expérimenter sans plus attendre. Dans un sourire, elle acheva de se débarrasser de la chemise d’écolière d’Amalia, la jetant sur le bureau, puis posa ses mains sur ses hanches, caressant le corset de la femme, pour glisser ensuite ses mains dans le creux du dos de sa partenaire.
« Hum... Les corsets, ça, c’est français, ma belle... Tu le vois bien, tu es faite pour venir de Paris... »
C’était son petit fantasme, ça, le corset. Un sous-vêtement élégant, qui moulait très bien les formes. Elle en portait fréquemment, et, d’ailleurs, sous sa chemise blanche, Shani portait également un corset noir, bien qu’il ne soit pas en cuir. Elle portait plus souvent ce genre de vêtement qu’un soutien-gorge classique, car elle estimait que le corset, non seulement maintenait bien les seins, mais était aussi plus élégant, et beaucoup plus excitant. Plus difficile à mettre, certes, mais le résultat était bien plus gratifiant. Elle constata que le corset d’Amalia n’était pas trop serré, et pile à la perfection.
Suivant la demande de la jeune élève, et sans aucune forme de honte, la secrétaire se pencha, et embrassa le corset, à hauteur des lacets, le léchant, glissant sur les cordes, remontant petit à petit, les mordillant parfois, tirant dessus, mais veillant évidemment à ne pas les rompre. Pas encore. Elle embrassa ensuite directement le corset, se frottant dessus, la tête penchée, puis la releva, et embrassa Amalia dans le cou, posant sa main sur l’arrière de son crâne, en appui. Son autre main fila vers le bas du dos d’Amalia, glissant sous sa jupe, pour attraper la lanière de sa culotte. Shani agissait de manière experte, sans trembler, mais elle était bel et bien excitée. Ses joues avaient rougi, elle soupirait faiblement, et, comme Amalia, sentait la délicieuse démangeaison entre ses cuisses... Le signe féminin que le plaisir était là, qu’il tapait à la petite porte en se rappelant à vous, et en attendant qu’on daigne le satisfaire.
Mais, pour l’heure, Shani restait dans son rôle d’adulte : s’occuper de la jeune enfant devant elle. Elle embrassait donc son cou, mordillant sa peau, très légèrement, avant de la lécher, et de remonter. Elle glissa sur sa joue, remontant sa langue, caressant quelques mèches de cheveux. Elle embrassa sa peau, et remonta jusqu’à son oreille, fourrant sa langue dans cette dernière, remuant un peu, la titillant. Son autre main tirait sur la culotte, la serrant entre ses doigts. Elle se déplaça ensuite sur le visage d’Amalia, et, conformément à ce que cette dernière souhaitait, mais aussi à ce que Shani voulait, elle lui léchait le visage, l’embrassant tendrement. Elle glissa sur son front, sur ses yeux, embrassant chacune de ses paupières, ainsi que son nez, et retourna finalement sur ses lèvres. Elle les lécha tendrement, glissant dessus, essayant, autant que faire se peut, de ne pas pénétrer dans sa bouche. Elle embrassa ensuite son front, le léchant également, ressemblant presque à une espèce de chienne qui ferait plaisir à son maître en le léchant avidement.
Quand Shani en eut fini, et qu’elle bascula son corps en arrière, en souriant, ses seins étaient tendus, et elle commençait à mouiller. Elle sourit à Amalia, tout en ayant relâché sa culotte.
« Et si tu retirais cette jupe, ma belle ? J’ai très envie de voir quelles autres surprises tu me réserves... »
Qu’Amalia soit encore mineure était un sujet à débat : elle était suffisamment vieille pour avoir atteint sa majorité sexuelle.
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Shani dévoila un peu plus le corset d'Amalia. Et, commença à jouer avec les lanières de ce corset. Amalia se rappela que ce corset avait été donné par sa mère à l'âge de 18 ans. Et, lui avait expressément recommandé de le porter le jour où elle perdrait sa virginité. Aussi, Amalia avait décidé de le porter à son premier jour de classe. Bien, qu'elle ne savait pas qu'elle allait perdre sa virginité aussi vite. Elle se demandait si toutes les femmes de cette établissement était aussi perverse que Shani car si c'était le cas. Les jours dans cette école seraient au beau fixe.
Amalia ne s'aperçut pas tout de suite que sa chemise n'était pas retiré. Mais, elle était toute honteuse de ne rien faire pour sa partenaire mais elle ne savait pas quoi faire. Elle ne savait même pas si Shani était excitée.
Mais, la belle Shani reprit les devants en embrassant le corset et en jouant avec les liens. Cela titiller Amalia ses seins commençaient à être tendue. Elles sentaient ses tétons durcirent, quelque chose qui ne s'était jamais produit avant.
Elle sentit une chose soulevait sa jupe et attraper sa culotte par l'arrière et tirer dessus. Amalia espérer que les démangeaisons vers son intimitée s'arrête mais pire encore elle s'emplifièrent. Et, elle ne savait comme les assouvir. Mais, Shani devait savoir comment faire. C'était donc ça le désir?
Shani remonta progressivement pour l'embrasser sur tout son visage et même dans l'oreille ce qui lui firent remonter encore plus de désir. Tellement bien, qu'elle se tortillait sur place frottant son intimité contre le vêtement de sa culotte que Shani tirait vers l'arrière.
Quand, Shani recula en ayant finit son oeuvre. Amalia était presque en transe. Elle avait envie d'assouvir le feu intérieur qui la brûlait mais ne pouvait plus le faire parce que Shani avait arrêter ses gestes. Aussi, quand la jeune femme lui demanda de retirer sa jupe, elle s'exécuta car elle n'avait qu'une envie c'était retourner dans les bras de Shani. Elle voyait aussi que Shani était petit à petit dans le même état qu'elle car ce n'était plus tout à fait la Shani qui l'avait reçut, tout en restant elle même. Elle vit aussi une espèce d'énergie tourner autour de Shani restant fixer autour d'elle. Amalia ne savait ce que c'était mais aussitôt une grande faim l'envahit. Il lui fallait cette énergie. Elle avait l'air si bonne.
Amalia retira donc sa jupe, laissant dévoiler une culotte blanche, trempée non pas d'urine mais d'un fluide transparent. Dans la foulée, Amalia retira aussi sa culotte blanche laissant dévoilée son pubis. Et, de son air le plus mignon, Amalia répondit:
-Regarde ce que tu m'as fait Shani, ce n'est pas bien. J'en ai envie, de plus en plus envie....
Cette dernière phrase était énigmatique. Amalia parlait-elle de sexe ou de cette énergie?
Elle s'approcha de Shani ne savant pas quoi faire. Il était clair qu' Amalia attendait que l'adulte intervienne.
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Brave petite Amalia. Que voilà une élève obéissante et docile ! Satisfaisant immédiatement la requête de Shani, elle retira sa jupe, dévoilant une courte culotte blanche. Si Amalia pouvait légitimement se poser des questions sur ce que la secrétaire ressentait, c’était tout simplement parce que la secrétaire, contrairement à elle, avait une grande expérience du sexe. Nymphomane, il ne se passait assurément pas une journée sans qu’elle n’ait l’occasion de coucher avec quelqu’un, que ce soit des élèves, des camarades, un policier, ou même des voisins. Il semblerait que tout le monde aime coucher avec la petite Shani. N’ayant pas réellement d’affinité magique, elle ne pouvait pas guider Amalia. Ce que la jeune succube ressentait ne devait pas être que le simple désir de Shani, un désir vif et fort, mais aussi sa nature semi-divine, qui renforçait ce désir, qui l’embellissait. La secrétaire savait contrôler ses nerfs, mais il suffisait de voir ses yeux, dévorés par de vives lueurs de désir, son sourire en coin, ses joues légèrement rouges, la manière dont son corps frissonnait, pour constater qu’elle était furieusement excitée par le spectacle qu’elle voyait. Très simplement, Amalia lui rappelait la France, elle lui rappelait Paris, toutes ces fois où elle avait couché avec des étudiants, ou d’autres personnes, que ce soit dans le labyrinthique métro parisien, aux Champs-Élysées, sur les bancs de la Sorbonne, au sommet de la Tour Eiffel, le soir, à offrir sa cyprine à Paris toute entière, dans la nef de Notre-Dame de Paris... Amalia avait un parfum de France, avec sa chevelure blanche, ce corset glamour, cette belle silhouette... Un charme fou qui rendait la belle Shani électrique. Comme pour mieux la tenter, Amalia alla retirer sa culotte, découvrant son intimité, propre, nue, épilée.
Shani esquissa un léger sourire en humant l’odeur de ce sexe, ce parfum de sexe et de désir féminin. C’était tellement beau. Elle était toujours aussi habillée, se sentant de plus en plus serrée dans ses vêtements. La secrétaire ne comptait nullement retirer à Amalia son élégant corset, il lui donnait une sorte de petite touche ne faisant qu’accroître sa beauté. Les mains de la secrétaire glissaient lentement sur le corps de sa partenaire, jusqu’à ce que la petite blonde finisse par parler :
« Regarde ce que tu m'as fait Shani, ce n'est pas bien. J'en ai envie, de plus en plus envie... »
Pas bien... Cette remarque arqua sur les délicieuses lèvres de la secrétaire un sourire amusé. Elle se pencha alors, et administra à Amalia un nouveau baiser. Le moins qu’on puisse dire, effectivement, c’était que la jeune femme était de plus en plus excitée, comme en témoignait le liquide que Shani commençait à sentir sur ses cuisses. Shani remonta alors ses lèvres, et vint frotter avec sonnez celui d’Amalia, optant pour un délicieux baiser d’esquimau.
« Hum... »
Voilà le genre de baisers que Shani aimait. Les lèvres se rapprochaient, et on jouait avec les nez, ce qui avait tendance, quand c’était bien fait, à exciter encore davantage les partenaires. Shani le faisait souvent à Paris, sur les bancs des promenades filant le long de la Seine, tandis qu’elle avançait l’une de ses mains sous le jean ou le pantalon de son partenaire, pour le masturber. Elle se souvenait notamment avoir fait ça avec un avocat, une fois, quand elle était poursuivie pour exhibitionnisme par le Ministère public. Le brave avocat avait joui entre ses doigts, et elle avait léché ses doigts crémeux, sous les yeux du brave avocat, peu avant sa plaidoirie.
Shani souleva alors Amalia, et la posa sur le bureau, l’amenant à se coucher sur le dos, ses jambes pendant dans le vide. Shani conserva ses mains sur le sommet des jambes, les écartant, un sourire ravi sur les lèvres.
« Effectivement, Amalia, ce que tu as es mal... C’est pour ça que je vais m’appliquer à utiliser sur ton magnifique corps un traitement qui, j’en suis sûre, devrait t’aider à te porter bien mieux. »
Vu son état de nervosité, il était probable qu’Amalia était encore vierge, ce qui ne faisait que la rendre encore plus excitante. Shani fléchit ses genoux, relevant ses mains, et les posa sur les cuisses de sa partenaire, utilisant ses pouces pour jouer sur la peau d’Amalia, près de son intimité. Elle pencha ensuite son visage, et enfonça sa langue dans l’intimité de sa partenaire, léchant ses parois internes, glissant sur sa peau chaude et humide, avant de soupirer de plaisir.
Ce faisant, elle entreprit de lui faire un cunnilingus dans les règles de l’art.
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Après la dernière réplique d'Amalia, Shani fut entreprenante. En effet, elle s'approcha d'Amalia en frottant son nez et l'embrassa. Amalia ne résista pas. Au contraire, elle avait envie de s'abandonner au plaisir, que Shani continue et ne s'arrête pas.
-Ah!
Amalia fut surpris quand Shani la souleva. Il y avait dans ce cri, un mélange de désir et de peur. Amalia, se laissa basculer sur la table de bureau. De toute manière, elle ne savait pas quoi faire dans cette situation. Elle aurait pensé que Shani se serait bas culer à son tour pour l'embrasser. Au lieu de ça, elle resta debout et posa les mains sur les jambes d'Amalia pour les écarter.
Elle expliqua à Amalia qu'elle allait faire disparaître son sentiment. Mais, Amalia aimait ce sentiment, elle n'avait pas envie qu'il disparaisse et Shani paraissait si succulente. Shani écarta les jambes et approcha la tête de son intimité. Amalia ne pensait à rien, elle attendait. Quand elle sentit la langue de Shani contre les parois de son intimité, elle trouva le sensation bizarre mais petit à petit cette langue qui la parcourait l'exciter encore plus. Du liquide coulait encore plus et elle sentit une vague de chaleur la parcourir, des frissons. Elle sentit son corps se cambrait et elle haletait. Elle avait envie que Shani continue et ne s'arrête pas. Ce contact régulier était bon, elle ne savait pas pourquoi mais elle savait que c'était bien pour elle.
-Ahhh.... Ahhh.... Shani, c'est si bon ce que tu me fais. Tu m'as menti, tu as empiré mon état mais je ne t'en veux pas, ahhhh....
Amalia profitait mais elle songea que Shani était peut être aussi dans le même état qu'elle et que de son côté elle ne faisait rien pour assouvir les désirs de sa partenaire. Peut-être qu'elle devrait faire quelque chose... Un idée germa et elle déplaça légèrement sa jambe de telle façonque Shani continue son oeuvre, son pied s'approcha de la mini-jupe de la secrétaire, la souleva et frotta son pied maladroitement contre l'intimité de Shani. Le ied d'Amalia portait une chaussure rouge à talon qui ne recouvrait pas entièrement son pied et elle pouvait sentir l'humidité de Shani à travers sa culotte ou peut-être était ce directement l'intimité de Shani elle ne saurait le dire. Le pied d'Amalia avait surgit discrètement et peut être la secrétaire avait était surprise.
-Ahhh..... Ahhhh.... Tu ne m'avais pas dis que tu était dans le même état que moi.... AHHHH.... Je n'ais pas envie que t'arrêtes mais peut-être veux-tu
que je te lèche aussi? Tu es si gentille avec moi Shani que j'ai envie d'être gentille avec toi.... Ahhhhh....
Le pied d'Amalia devint plus tendu, plus raide. Un déferlement d'émotion jaillit en Amalia, le frisson ultime, la jouissance. Elle avait eut son premier orgasme, elle ne savait pas si c'était normale de l'avoir aussi vite mais après tout c'était une succube. Et, elle ne désirait qu'une chose recommencer... Elle ne savait pas si elle avait crier mais la sensation était bonne et son pied avait repris son oeuvre. Elle se demandait si Shani allait accepter la proposition. Mais, l'énergie qui se dégageait de Shani était plus forte depuis qu' Amalia avait pris son pied au sens propre comme au figuré. Etait-ce parce qu'elle avait joui ou que Shani était plus excitée? En tout cas, depuis que Shani avait démarré elle réussissait à capter une partielle de cette énergie et elle était très bonne, elle aussi....
-
Tout se passait très bien. Shani avait senti que la fleur intime d’Amalia serait délicieuse. Plus elle la voyait, et plus elle lui rappelait la France et ses beautés traditionnelles et sensuelles. L’image était peut-être forte, mais la belle secrétaire y tenait. Elle enfouit sa langue dans l’intimité de la jeune lycéenne, et entreprit de faire ce qu’elle savait faire de mieux : lécher, sucer, frotter, et remuer. En soi, ce n’était pas compliqué, et la langue de la secrétaire remua dans le corps de sa petite partenaire, filant entre ses lèvres intimes. C’était un contact délicieux, tendre, intime, chaud, et liquide. Shani alla chercher le clitoris, ce petit bouton, et appuya dessus, enfonçant sa langue dessus. Comme un pressoir, la mouille de la jeune femme déferla sur sa langue avide et assoiffée. Shani avala en remuant dessus, posant ses mains en appui sur le bassin de la jeune blonde, sentant ses jambes glisser le long de son corps. Si Amalia se laissa faire au début, probablement submergée par cette vague qui l’engloutissait, elle sut ensuite réagir, impressionnant Shani. Pour une novice, elle s’en sortait bien !
Ses longues bottes rouges étaient un autre élément qui la faisaient craquer. Difficile de voir en elle une simple jeune fille innocente qui passait sur le bureau sans trop comprendre ce qui lui arrivait. Elle lui évoquait un peu cette figure légendaire des contes, le Petit Chaperon Rouge, une jeune fille habillée dans un rouge flamboyant qui se faisait serrer par un violeur. Quand on tendait une perche, c’était pour qu’elle soit saisie, et, pour Shani, quand on avait de longues bottes rouges à talons, avec un corset comme sous-vêtement, le message était clair. Non pas que Shani puisse désapprouver ce qu’elle voyait, au contraire, mais elle n’avait ainsi aucune forme de remords. On était à Mishima, et elle avait depuis longtemps compris que, dans ce lycée, les relations sexuelles constituaient la norme.
Elle sentit ainsi la botte rouge de la femme remuer le long de ses hanches. Amalia la remuait lentement, et Shani entreprit de l’aider. Vu sa position, il lui serait difficile de se déplacer. La secrétaire écarta donc un peu son corps, sans pour autant retirer sa tête de l’entre-jambes d’Amalia, trop heureuse de s’attaquer à son intimité, de la sucer, de la lécher. Sa langue partait et revenait, léchait les parois de sa fleur intime, caressant les pétales trempées de son corps, avant d’atteindre le bourgeon, qu’elle butinait alors avec sa langue, ce tas de muscles concentré appuyant avec insistance sur ce dernier, glissant autour de cet élément flasque, cet interrupteur déclencheur du plaisir. Qui mieux qu’une femme pour connaître l’anatomie sexuelle d’une autre femme ? Shani avait répété ce geste tellement de fois qu’elle savait y faire. Elle n’avait plus ces tremblements caractéristiques de la nervosité chez les jeunes amants empressés, sourcilleux de bien faire, mais inquiets de mal faire. Shani y allait, avec instinct et sérénité.
Sa main caressait ce cuir. Une matière noble, délicieuse, chaude, agréable. Comme elle aimait se parer de cuir ou de latex ! En un sens, c’était presque dommage qu’elle ne puisse pas avoir un tel uniforme au lycée, mais, au moins, elle pouvait ainsi se préserver pour ses propres amants. Elle déplaça lentement la botte d’Amalia, tout en se déplaçant aussi, afin que le talon de cette dernière puisse heurter sa culotte. Shani portait une belle culotte à dentelle (http://img104.xooimage.com/files/5/5/7/culotte-saint-tro...-aubade--4460490.jpg), originaire de Saint-Tropez, et qui, selon elle, s’apparentait plus à un shorty qu’à une culotte. Le genre de controverse susceptible d’entraîner des débats sans fin. Le pied d’Amalia remua entre ses jambes, masturbant ainsi son sexe. Ce n’était pas grand-chose, c’était même très peu, mais c’était suffisant. Shani la laissa faire, caressant sa jambe, remontant le long de sa botte, tout en continuant à jouer avec sa langue, recueillant cette cyprine, qui commençait à fuir, s’amassant de plus en plus.
La secrétaire aurait pu continuer ainsi, mais elle sentait l’empressement d’Amalia, sa volonté à agir. Aussi Shani prit-elle la décision de se relever. Excitée, emportée par son élan, elle embrassa fougueusement sa partenaire, mordillant ses lèvres, pressant son corps contre le sien, joues rougies par l’effort et le plaisir, une saine alchimie. Sa langue partit à l’assaut de sa cavité buccale, s’y enfonçant, pour un échange lingual qui se prolongea pendant quelques délicieuses secondes, jusqu’à ce que Shani s’écarte pour de bon. Elle posa un doigt sur les lèvres d’Amalia, comme pour inciter cette dernière à ne pas parler, puis se déshabilla sous les yeux de la femme.
« Ne te déshabille pas, précisa-t-elle quand même, tu es encore trop belle avec ton emballage. »
Shani, elle, ôta tous ses vêtements, sous les yeux d’Amalia, comme un genre de strip-tease, si ce n’est qu’elle ne dansait pas. Elle finit ainsi toute nue, ses lourds seins pointant devant elle, son intimité épilée laissant s’échapper quelques filaments de cyprine.
« Tu me trouves à ton goût, j’espère ? Parce que moi, pour ne rien te cacher... »
Toute nue, et nullement gênée, Shani se rapprocha à nouveau d’Amalia, caressant l’une de ses jambes, remontant rapidement ses doigts pour les caresser contre son intimité. Elle esquissa un sourire près d’elle, posant une main sur sa tête, agrippant ses cheveux, rapprochant sa bouche de ses seins.
« ...Je raffole de ton petit corps. Maintenant, viens... Caresse mon corps, embrasse ma poitrine, ressens par toi-même les courbes du beau sexe. »
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Amalia sentait que Shani appréciait le contact de sa chaussure. Elle ne savait pas, en revanche, si elle appréciait autant sa chaussure qu'elle même appréciait sa petite langue. Amalia ressentait l'effet et se lâchait, s'abandonner au plaisir. Puis, Amalia constata que le plaisir diminuait. Elle ne comprit pas de suite ce qu'il se passait. Mais, quand elle apperçut Shani se relevait elle put lire dans son regard du désir, une certaine soif de sexe. Elle se demanda si elle même avait ce même regard.
Il y quelques temps, elle avait déjà aperçut ce regard quand elle avait surpris deux succubes en train de faire l'amour. Elle n'avait pas compris à l'époque comment sa mère et l'autre pouvait avoir ce regard fiévreux, possessif. Maintenant, elle ne le comprenait que trop bien et elle s'en voulait de ne pas s'être abandonner au sexe, il y a longtemps avec sa petite camarade de jeu Emilie qui était un peu plus âgée qu'elle.
Les regrets, elle en avaient mais pendant qu'elle embrassait Shani, elle se dit que cela aurait put être pire... Elle aurait put attendre encore plus longtemps. Amalia avait envie de continuer l'échange mais Shani s'éloignait... Voulait-elle arrêter? Amalia n'en avait pas envie et elle pensait que Shani, non plus...
Puis, la jeune femme commença à se déshabiller sensuellement tout en recommandant à Amalia de ne pas le faire. Amalia fut encore plus émoustiller par le spectacle, quelle torture c'était d'attendre!
Puis, Shani se dirigea vers elle lui disant de goûter aux joies du beau sexe.
-Tu as un splendide corps aussi, Shani... répondit-elle en se laissant caresser la jambe.
Amalia avait la tête situait au niveau des seins de Shani. Elle s'approcha timidement puis commença à lécher le sein droit ainsi que le téton. Plus elle léchait et plus le téton devenait dur. N'ayant qu'une bouche sa main s'occupe du deuxième sein. Amalia se sentait de nature aventureuse et glissa sa deuxième main proche de l'intimité de Shani et sentit sa mouille la même qu' Amalia... Amalia se demandait quelle goût avait la mouille aussi glissa t'elle un doigt pour en recueillir et goûterdans sa bouche, tout cela sous les yeux de Shani.
-Tu as vraiment bon goût... Je me demande si je pourrais pas y goûter un peu plus...
Et Amalia s'agenouilla en faisant sa tête de la poitrine de Shani jusqu'à son intimité épilée... Détail amusant, Shani s'épilait à la mode démoniaque...
Puis, Amalia passa sa langue dans l'intimité de Shani pour y goûter plus profondément. Les rôles s'étaient échanger C'était Amalia qui faisait l'action maintenant...
Oui, tu as vraiment très bon goût...
Elle posa ses mains sur les fesses de Shani pour y faire pénétrer plus profondément sa langue et plus elle y parvenait et plus elle captait la mystérieuse énergie de Shani. C'était presque aussi bon que tout à l'heure. Elle sentait Shani faiblir de plus en plus puisque elle pouvait capter de plus en plus d'énergie. C'était donc ça, les joies de la luxure? Elle n'en pouvait plus tellement qu'elle était excitée, elle se sentait comme une petite chienne qui attendait que son maître la récompense...
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Surtout, prendre son temps. C’était là le maître-mot, la consigne suprême à respecter. Si, comme Shani le pensait, cette belle femme était effectivement vierge, alors il fallait que les choses se déroulent calmement. Il fallait que, lentement, Amalia s’initie au sexe, que, lentement, mais sûrement, elle finisse par s’y plonger. Si c’était sa première fois, Shani se devait d’être une formatrice, de l’instruire, de la guider... Tout en sachant très bien qu’il y avait, dans le sexe, quelque chose de profondément personnel. Toute nue, Shani s’offrait sans la moindre hésitation, et agrippa tendrement les cheveux de la femme. L’idée n’était pas de la retenir, oh non, mais de la guider. Il fallait lui faire apprendre les vertus d’une relation lesbienne, et, plus généralement, le bonheur qu’il y avait à embrasser le corps d’une femme, à le caresser. Cette femme, avec son charme français, était une petite perle. Shani se doutait bien que, pour venir avec des vêtements aussi sexys, elle ne devait pas être totalement prude concernant les relations sexuelles, mais il fallait bien reconnaître que, physiquement, elle agissait avec la douceur du candide amant. Ceci la rendait encore plus adorable, mais, pour autant... Pour autant, il fallait bien le reconnaître : la petite savait y faire !
Sa bouche suçait tendrement son sein, sa langue s’attardant autour de son téton, ce qui eut pour effet de durcir ces derniers, les muscles du désir venant se contracter. Son autre main alla jouer avec l’autre sein de Shani, qui commençait à se sentir seul, et la jeune secrétaire se mit à soupirer, écartant légèrement les jambes, posant ses mains sur les hanches de la belle poupée, savourant son contact. Elle se blottissait contre elle, avec un indéniable talent, avec un indéniable doigté. Hum, oui, c’était agréable ! Jouissif ! Shani sentait sa mouille s’échapper de ses lèvres intimes, surtout lorsqu’Amalia choisit, très malicieusement, d’approcher ses doigts de sa fleur. Un frisson traversa le corps de la secrétaire, qui écarta un peu plus les jambes, afin de mieux accueillir la présence des doigts de la femme.
« Haaa... Amalia, hummm... » soupira-t-elle silencieusement.
Elle ferma brièvement les yeux, basculant sa tête en arrière, et remua un peu son corps. Amalia recueillit un peu de sa cyprine, et s’en servit pour y goûter. Le liquide devait lui plaire, car elle s’empressa de le commenter, sa petite voix fluette excitant davantage la belle secrétaire :
« Tu as vraiment bon goût... Je me demande si je pourrais pas y goûter un peu plus... »
Shani esquissa un léger sourire, resserrant un peu ses doigts sur les cheveux de la belle blonde. Elle voyait très bien où cette dernière voulait en venir, et acquiesça silencieusement :
« Je... Je t’en prie, Amalia... Fais donc... »
C’est ce qu’elle fit, filant à genoux devant Shani. Elle s’agrippa à ses fesses, et la secrétaire, en baissant la tête, retourna caresser ses cheveux, l’incitant ainsi à y aller. L’intimité de la secrétaire était propre, et elle ne voulait surtout pas rester ce spectacle. Un petit cunnilingus entre deux femmes, surtout entre une novice et une expérimentée... Shani voulait voir ça, elle voulait voir l’innocence à l’œuvre, elle voulait voir la douceur de la femme s’exprimer, elle voulait laisser Amalia s’attaquer à son sexe, se ruer entre ses cuisses, et la dévorer avec sa langue.
« Oui, tu as vraiment très bon goût...
- Alors, viens, ma belle, viens, et goûte-moi profondément... »
Shani adorait ça : ce sentiment, cette sensation de plaisir qui explosait entre ses cuisses... C’était comme si elle était en train de lentement fondre, remuant légèrement ses fesses, déplaçant son bassin d’avant en arrière, accompagnant ainsi les mouvements d’Amalia, tout en veillant à bien enfouir sa tête contre ses cuisses.
Elle mouillait de plus en plus, soupirant tendrement, sa poitrine se soulevant et s’abaissant au fur et à mesure qu’Amalia la léchait. La belle se débrouillait plutôt bien, et Shani poussa de petits cris quand la langue aventureuse d’Amalia heurta son clitoris. Le plaisir monta d’un cran, et Shani se courba à nouveau en arrière, remuant de plus en plus frénétiquement, sa mouille remplissant son intimité.
« Amalia, haaa... Hmmm, Amalia, hummmm... Ohh, ma petite, c’est si bon, haaa ! »
À ce train, elle n’allait sans doute pas tarder à avoir un orgasme.
« Palpe-moi le cul, ma belle, joue avec, presse mes fesses, tire-les... » l’incita-t-elle toutefois, entre plusieurs soupirs.
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Shani réagissait à ses coups de langue. Elle secouait son bassin pour que la langue d'Amlia entre plus loin. Amalia était très excitée d'entendre Shani prononçait son nom sous un tel état de perversité. De plus, elle pouvait absorber son énergie de plus en plus fortement.
Amalia y prenait du plaisir et ça se sentait. Elle entendit que Shani voulait qu'elle presse ses fesses. Elle s'exécuta en malaxant les fesses de Shani puis en les tirant et en les poussant. Puis, elle réfléchait même si elle avait du mal mais elle avait déjà vu sa mère faire des fessées pour exécuter sa partenaire une fois. Et, elle se demandait si les humaines aimaient les fessées. Elle écarta donc une de ses mains et la mit à plat.
-Tu veux que je te palpe les fesse, Shani? Tu as était une vilaine femme en abusant d'une mineure, tout à l'heure, n'est-ce-pas? Tu prends un plaisir malsain en ma compagnie... Alors, je vais te punir...
Et, Amalia laissa le plat de sa main retomber sur les fesses de Shani tout en continuant de faire son cunnilingus . Elle se demander comment Shani le prendrait et si ce n'était pas aller trop loin. Mais, d'après les de sa mère, ça pourrait marcher...
Et, elle en donna une deuxième sur l'autre fesse.
-Tu aimes ça? demanda t-elle avec un petit air farouche....
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Comme elle l’avait demandé, Shani sentit les mains d’Amalia se déplacer sur ses fesses. La secrétaire était, effectivement, une perverse. Elle n’allait pas le nier, car c’était à cause de ça qu’elle avait fini par se retrouver à Seikusu, dans un lycée qui, visiblement, était taillé pour elle. Elle n’avait jamais réussi à comprendre ses pulsions, à les maîtriser et à les contrôler. Elle faisait avec, tout simplement. Shani caressait les cheveux d’Amalia, veillant à ce que sa tête ne s’écarte pas trop de son intimité. La jeune femme, elle, continuait à lécher, avec une délectable passion, enfonçant sa langue en elle, et... Haaa, si c’était bon, de sentir de belles mains explorer ses fesses, les presser, les serrer ! Amalia était un petit don du sexe, et Shani, sur le coup, était bien heureuse de lui faire l’amour. Elle savait que ce qu’elle faisait était socialement condamnable, car une secrétaire majeure n’avait pas à coucher avec une mineure, surtout au Japon, mais... Elle n’arrivait pas à s’en empêcher. Elle n’arrivait pas à réfréner ses pulsions, et à leur dire de se calmer. Il y avait bien longtemps que Shani avait abandonné la partie. C’était une question de bonne étoile, pour elle. Elle était née avec un taux de phéromones supérieures à la normale. Cet élément n’avait rien de scientifique, mais c’était comme ça qu’elle s’expliquait le fait d’avoir couché avec ses professeurs, son psychiatre, et d’autres personnes, au fur et à mesure qu’elle avait suivi des thérapies et des traitements pour se soigner de son appétit dévorant pour le sexe.
Elle couchait sans hésitation avec Amalia, et elle savait que la belle blonde n’y était pas opposée. Et puis... On ne ferait pas croire à Shani que cette jeune femme était prude et innocente, quand on voyait ses dessous. Des dessous affreusement sexy, de même calibre que la tenue rouge vive du Petit Chaperon Rouge. On ne portait pas des tenues comme ça sans arrière-pensées. La langue d’Amalia continuait à remuer en elle, distillant dans le corps de Shani des ondes de plaisir, et de longs frissons qui remontaient le long de son être. Dans sa tête, il n’y avait aucune invitation au masochisme dans ce qu’elle faisait : c’était tout simplement une image qu’elle aimait beaucoup. Elle, debout. L’élève, l’apprenti, à genoux devant son mentor, lui léchant le sexe. Un fantasme qu’elle avait ainsi l’occasion d’exercer des deux côtés. Quand elle était à la place d’Amalia, il lui arrivait ainsi de se retrouver sous le bureau d’un de ses professeurs. Maintenant qu’elle était adulte, Shani répétait le même schéma, mais en l’inversant. Elle n’aurait jamais osé frapper les fesses de son professeur...
Or, ce fut précisément ce qu’Amalia fit, convainquant, par la même occasion, n’importe quel sceptique du caractère évolutif des générations futures. Elles reprenaient ce qui avait été fait, mais en y apportant une inventivité, une supplémentarité qui, en l’occurrence, était très appréciable. Shani frissonna quand Amalia la gifla, et la belle blonde, qui avait désespérément l’air d’une pure Française, redressa sa tête, pour une indécente proposition, une suggestion qui arqua un sourire sur les lèvres de Shani :
« Tu aimes ça ? »
Shani n’allait pas mentir, et hocha lentement la tête.
« Je crois que tu as raison... Je suis une vilaine secrétaire, et... Hum... Ça nécessite une petite punition. »
La secrétaire aida alors Amalia à se relever. Les lèvres de l’étudiante étaient imbibées de cyprine, et Shani se retourna lentement, tout en bombant son cul vers la femme. La posture était digne d’un film pornographique, mais, après tout, le sexe revenait souvent à jouer avec les clichés. Elle tourna lentement sa tête vers la femme, un sourire espiègle sur les lèvres. Elle se chargea ensuite de l’inviter à venir :
« Viens me punir, Amalia... Viens… »
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Amalia avait eut de l'audace et ça avait payé. Shani l'avait relevé et montrer ses fesses en avant réclamant une punition. Amalia étant en proie à un sentiment étrange. Elle sentait en elle quelque chose de jouissif dans le fait de posséder du pouvoir sur le corps de l'autre. Savoir qu'elle était autorisé à frapper les fesses de Shani et que c'était elle qui décidait était tout simplement jouissif. Aussi, quand elle s'avança elle avait un sourire au coin des lèvres.
-Si c'est ce que tu demandes Shani, alors Je vais te punir....
Et sur ces derniers mots, elle asséna une gifle sur la fessa gauche de Shani. Ni trop légère, ni trop forte juste assez pour laisser apparaître une rougeur sur la fesse de Shani.
-Shani, tu m'as sauté dessus quand tu m'as vu. J'était innocente et tu m'a pervertis.
Et, Amalia asséna une nouvelle gifle mais sur la fesse droite de Shani. Puis, elle s'approcha d'elle et commença à faire couler sa cyprine sur les fesses de Shani.
-Tu vois ce que tu m'as fait? J'ai vraiment envie de toi, maintenant. Alors, retourne toi et fais moi l'amour comme tu ne l'a jamais fait.
Amalia désirait ardemment Shani ainsi que sa prodigieuse énergie.
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« Shani, tu m'as sauté dessus quand tu m'as vu. J'étais innocente et tu m'as pervertie. »
Innocente jusqu’à preuve du contraire, en tout cas... La secrétaire ne partageait pas totalement cette affirmation, car elle n’avait jamais vu une lycéenne innocente avec de tels sous-vêtements. Cependant, Shani ne lui répondit pas en soulignant ça, mais en soupirant, poussant deux cris. Un à chaque fessée. Elle aurait bien qu’Amalia la batte encore plus, qu’elle voit jusqu’à quel point la secrétaire pouvait sombrer dans la débauche et la perversion, mais ce n’était manifestement pas du goût d’Amalia. Elle lui asséna deux belles claques, des gifles qui résonnèrent dans le petit bureau, faisant frémir Shani. La secrétaire s’en pinçait les lèvres, se crispant en sentant son intimité chauffer, et elle sentit ensuite Amalia se blottir contre elle, la belle étudiante se serrant, faisant couler un liquide chaud et reconnaissable sur l’ourlet de ses fesses.
La Française esquissa un léger sourire. Amalia était en manque, et Shani ne pouvait pas savoir à quel point... Pour les succubes, le sexe n’était pas qu’une simple perversion, un simple moyen d’avoir du plaisir : c’était leur essence. Ils en avaient besoin pour vivre, pour conserver une certaine stabilité mentale.
« Tu vois ce que tu m'as fait ? » demanda-t-elle, sur un ton faussement scandalisé.
Cette question rhétorique n’appelait à aucune réponse, tant cette dernière était évidente, et le seul ersatz de réponse qui eut lieu chez Shani fut un léger sourire malicieux. Amalia poursuivit ensuite, clarifiant les choses :
« J'ai vraiment envie de toi, maintenant. Alors, retourne-toi et fais-moi l'amour comme tu ne l'as jamais fait. »
Innocente, vraiment ? Shani avait encore les fesses qui frissonnaient légèrement, mais elle se retourna, conservant son sourire malicieux sur les lèvres. Comme elle ne l’avait jamais fait... Shani allait probablement devoir s’aider un peu, mais, fort heureusement, elle n’avait pas choisi ce bureau sans raison. La secrétaire avait encore des arguments sous le coude. Elle se retourna donc, et sourit à Amalia, avant de caresser l’une de ses joues.
« Une bonne secrétaire se doit d’être à l’écoute des élèves, Amalia... »
Shani se rapprocha d’elle, et l’embrassa tendrement dans le cou, tout en remontant sa bouche près de l’une de ses oreilles. En chemin, l’une de ses mains alla presser les fesses de la femme, et elle appuya dessus, tout en léchant son oreille :
« Je vais te baiser comme la pire des putes, ma belle petite salope, et te faire hurler comme si tu étais une vache en train de se faire traire ! »
Pendant l’acte, il ne fallait surtout pas sous-estimer la puissance des mots, notamment des injures. Shani s’écarta alors, et libéra le cul d’Amalia, tout en posant une main sur sa poitrine. Elle repoussa alors Amalia, plutôt vivement, et le dos de la belle blonde heurta le mur, tandis que Shani ouvrit un tiroir de son bureau. Au milieu des feuilles et des stylos, elle sortit une curieuse ceinture noire, dans un cliquètement métallique, et la montra devant elle.
C’était une ceinture équipée d’un joli gode noir, et Shani avait un sourire malicieux. Elle enfila le gode contre sa taille, lentement. Pour ça, elle défit la boucle de la ceinture, et mit cette dernière autour de cette taille, avant de resserrer la ceinture noire. Elle caressa ensuite ce gros godemiché noir, et se rapprocha un peu d’Amalia.
« Je vais te défoncer avec ça, ma belle... Mais, pour ça, il faut commencer par le lubrifier un peu... Pourquoi n’utiliserais-tu pas ta bouche ? »
Pour qu’une femme aille jusqu’à planquer des godes dans les tiroirs de son bureau, c’est qu’elle devait vraiment être une belle salope. Pour le coup, la secrétaire ne pouvait que plaider coupable.
Mais, comme ça, ça rendait les choses bien plus amusantes, non ?
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Amalia se laissa faire quand Shani se retourna brusquement pour l'embrassa dans le cou. Elle lui toucha les fesses plutôt fortement. Et, lui lécha l'oreille tout en lui murmurant des mots assez forts digne de certaines démones qu' Amalia avait connu. Et, là où toute fille aurait été indignée devant de telles propos en tant normal Amalia était très excitée par ses paroles et provoquait chez un désir encore plus fort de faire l'amour avec cette femme. Elle ne savait pas vraiment si c'était du à sa nature où à son caractère mais elle était vraiment excitée. Tout dans son regard devait éveillée la lubricité de la succube.
Puis, la repoussa puissamment contre le mur. Amalia ne s'empêcher de gémir. Il y avait dans ce gémissement une mélange de douleur et de luxure. Amalia ne vit pas tout de suite que que faisait Shani mais elle aperçut un magnifique gode noir attaché à la taille de Shani. Amalia avait déjà vu de tels gode. Même si elle n'avait jamais fait l'amour cela ne l'avait pas empêchée de se masturber avec toute sorte d'ustensile tels que les godes où les oeufs. Il ne lui vient pas à l'esprit le pourquoi d'un tel gode dans un bureau de secrétaire, bien au contraire elle semblait plutôt enthousiasmé par cette objet. Et, Shani lui indiqua ce qu'elle comptait faire avec cette objet mais Amalia avait très vite compris.
-C'est que... Je ne l'ai jamais vraiment fait mais je vais essayer...
Oui, elle feignait l'innocence alors que son corps lui réclamait de s'empaler dessus, d'exprimer ses pensées les plus profondes mais elle voulait faire monter le désir en Shani. Elle s'agenouilla et commença à prendre l'engin en bouche timidement et commença à le lécher doucement.
-Comme... ça?
Puis, elle enfonça sa tête dessus pour l'avoir plus en bouche. Elle se demanda combien de fois Shani avait du utiliser un tel engin... Mais, elle se contenta de lubrifier la chose.... Puis, quand elle sentit que son oeuvre était achevée, elle se releva et cala l'engin sous son intimitée et se frotta dessus comme petite chatte. Tout en posant ses bras autour de Shani. Elle s'approcha d'elle de telle façon que les deux poitrines se touchait. Et, lui glissa à l'oreille:
-Je te laisse jouer avec ça mais j'espère que tu me laisseras l'essayer après. Je pense qu'il est bien lubrifié, maintenant... Alors fais moi l'amour et mets-y toute ton ardeur...
Amalia recula et s'allongea sur le bureau de Shani, écartant avec ses doigts ses lèvres intimes pour que Shani la pénètre. Elle était dans une position totalement soumise.
-Baise-moi, Shani...
-
Shani avait toujours un gode près d’elle, au cas où. Dire que cette femme était une perverse n’était pas une insulte, ce n’était qu’un constat lucide et réaliste de ce qu’elle faisait. Elle admettait sans complexe, sans ombrage, sa perversion, sa lubricité, et elle en tirait sa force. Face à cette femme, elle la laissa sucer le gode, la laissant le lubrifier. Elle aurait pu le faire à sa place, elle aurait pu utiliser une lotion spéciale pour la lubrifier, pour la préparer, mais, dans l’idéal, elle préférait sentir la bouche d’Amalia se glisser dessus. La jeune lycéenne s’abaissa devant cette culotte noire, et se mit à la sucer, remuant sa belle bouche dessus. Une novice, elle ? Amalia jouait très bien son rôle, mais Shani sentait qu’elle était plus que ça, qu’elle était autre chose qu’une simple lycéenne timide surprise de se trouver devant une secrétaire, devant une adulte qui lui proposait une relation sexuelle.
C’est ce que le reste vint confirmer. Après avoir lubrifié ce gode, Amalia se redressa, et serra Shani contre elle, en lui demandant de la pénétrer. Sa voix était sensuelle, désireuse, et elle s’écarta ensuite, s’allongeant au milieu du bureau, le bout de ses jambes dépassant de la table, à hauteur des coudes. Elle lui montra sa vulve, l’écartant avec ses doigts, ressemblant alors, à son tour, à une véritable perverse en manque, ce qu’elle confirma en lançant son appel :
« Baise-moi, Shani... »
La belle secrétaire avait une main sur sa verge artificielle, et esquissa un sourire ravageur en s’approchant. Inutile de lui répondre par des mots pour l’heure. Elle se contenta de caresser les belles jambes d’Amalia en se rapprochant d’elle. Elle allait la baiser contre le bureau. C’était un gros gode qu’elle avait, un appareil de beau calibre, formant une belle verge noire tendue. Shani en avait toute une panoplie chez elle, de différents modèles. Généralement, elle utilisait ce gode pour quand elle s’ennuyait, ou avec des amies... Ou avec des élèves. Le bout du gode retourna frotter contre l’intimité de la belle blonde, glissant contre ses cuisses, et elle se rapproche un peu plus, se tenant debout, le dos droit.
Shani s’humecta les lèvres, et posa sa main sur son gode, puis l’avança, un sourire ravi sur les lèvres.
« Allons-y, ma chérie... »
Shani glissa le gode dans son vagin, puis remua son corps, posant ses mains sur les hanches d’Amalia. Elle la pénétra alors, remuant de plus en plus vite, faisant bouger son corps de haut en bas. Shani soupira lentement. Son gros gode s’enfonça difficilement au début, mais, peu à peu, il réussit à remplir la cavité d’Amalia, recouvrant son corps, se gorgeant de sa mouille. Shani soupirait, et continuait à remuer, attendant les hurlements et les gémissements de la lycéenne.
Elle se délecterait de ça.
-
Shani s'avança doucement, tendrement... Ah! Quel supplice! Quand, elle fut à portée, elle commença à caresser les jambes d'Amalia. Amalia se mit à penser qu'elle avait de la chance, d'être avec quelqu'un de doux. Elle avait déjà vu des démones faire l'amour plus violemment que cela. Quand elles les avaient espionnées bien sur elle avait remarqué qu'elles éprouvaient beaucoup de plaisir te et qu'elles aimaient ça mais elle avait eut un peu peur de ressentir les mêmes effets sur son corps
Elle ressentit le bout du gode touchait son intimité. Elle remarque aussi que Shani semblait très excitée par ce moment tout comme elle. Shani précisa qu'elle allait démarrer, Amalia acquiesça de la tête. Elle émit un petit gémissement quand elle sentit le gode pénétrer en elle. La pénétration lui faisait toujours ce petit effet. Shani commença à bouger en elle. Au début, Amalia ne ressentit pas grand chose mais comme elle était très excitée, elle ressentit quand même assez vite les premiers frissons de plaisir. D'elle même elle commença à remuer pour que le gode entre un peu plus en elle. Et, en effet, il commença à entrer entièrement en elle. Et, elle commença à sentir des bouffées de chaleur et à gémir...
-Aaah...Aaah... C'est bon.... Rapproche toi un peu plus de moi... Aaah...
Amalia joignant le geste à la parole enroula ses jambes autour de Shani pour l'attirer à elle, et la poussa pour qu'elle se retrouve encore plus proche. Ce petit geste eut l'effet escompté car Amalia pouvait sentir le contact de la peau de Shani. Elle ressentit de plus ne plus le gode en elle...
-Ahhhh.... Ahhhh... C'est vraiment trop bon... Je crois que.... Je vais... AHHHHH....
Et, ce fut la jouissance. Elle avait joui plutôt vite mais c'était une succube et les succubes étaient expertes dans ce domaine. Elle avait réussit à filtrer l'énergie de Shani à croire que Shani était très excitée de Voir Amalia dans un tel état. La vague d'énergie que ressentit Amalia monta dans tout son corps et redescendit d'un coup. Elle haletait et resserra encore plus sa prise dans le moment.
Quand ce moment passa, elle regardait Shani avec un curieux appétit. Elle avait faim et c'était clair que c'étati pas un orgasme qui allait la calmer. Elle se redressa, retira le gode en elle et s'approcha de Shani tout en tout chant ses mamelons.
-C'était bon, Shani...
Elle détacha la ceinture et se l'appropria pour se la mettre à son tour autour de la taille.
-Et si j'utilisais, ce joujou sur toi?
Le gode était dangereusement proche de l'intimité de Shani et Amalia usait de tout son pouvoir de séduction et lui caressant les seins... Elle n'osait pas intervenir sans le consentement de la belle secrétaire.
-
Le gode remuait voracement dans le corps d’Amalia, un corps parfait et magnifique. Pénétrer cette petite, voilà qui était délicieux, et Shani, clairement, n’y allait pas par le dos de la cuiller. Elle la pénétrait rudement, violemment, s’enfonçant en elle, donnant des coups de reins de plus en plus forts, tout en sentant la lycéenne accueillir avec joie ses gestes. Ses jambes s’enroulèrent autour de sa taille, et Shani vint ainsi à se pencher en avant, tombant peu à peu, elle aussi, sur le bureau. Elle se reçut au-dessus d’Amalia, et continua à donner des coups de reins, s’enfonçant de plus en plus fortement en elle, son visage proche du sien. La secrétaire s’allongeait contre elle, le bureau craquant et gémissant, la lycéenne se contorsionnant contre elle. Amalia jouit bien plus rapidement que prévu, et Shani la sentit s’abandonner contre elle. À force, la secrétaire savait reconnaître ces moments. Ses mains s’étaient posées sur les épaules de la femme, en soutien, et elle la laissa jouir contre elle, se vidant délicieusement. En était-ce terminé pour autant ? Sûrement pas. Il en faudrait un peu plus que ça pour satisfaire les deux femmes.
Shani se retrouva debout, et elle laissa Amalia se rapprocher. Si timide, la lycéenne prit maintenant les commandes, instaurant un changement de rythme étonnant, qui surprit la secrétaire. Elle lui ôta sa culotte, et la prit elle-même, l’enfilant, avant de défier Shani, d’inviter cette dernière à se faire pénétrer par cette grosse queue. Cet appel provoqua dans le corps de Shani un long frisson de désir, qui remonta le long de son échine. Elle s’en humecta les lèvres, contemplant ce « joujou », et s’avança en souriant, embrassant Amalia sur les lèvres.
« J’en dis que tu es une fille gourmande, Amalia… Et que j’aime ça. »
Beaucoup, même. Shani s’écarta un peu, ses doigts filant le long du bureau. Des traces de sueur ornaient ce dernier, constituant un discret héritage des ébats que les deux femmes avaient eu. Elle aurait pu remonter dessus, mais la secrétaire avait d’autres idées. Il fallait ménager ce pauvre bureau, car ce n’était pas la première fois qu’il goûtait au spectacle d’amants entremêlés se faisant férocement l’amour. Elle s’écarta du bureau, et tomba sur les genoux, montrant à Amalia son dos, puis tomba en avant, et se reçut avec les mains
À quatre pattes, Shani dandina alors son cul, courbant son dos, bombant merveilleusement bien son arrogant petit cul, le remuant de gauche à droite.
« Viens, ma belle… Viens, Amalia, et prends-moi comme si j’étais une grosse chienne. Laisse parler tes pulsions, et défonce-mi ! »
Elle pouvait tout à fait, depuis cette position, glisser cette verge artificielle dans son sexe… Ou alors passer par la porte arrière. Shani lui laissa l’embarras du choix, et la secrétaire était très curieuse de voir quel choix Amalia finirait par décider.
Très curieuse.
-
Amalia accueillit le baiser avec joie. Et, elle sentit aussi qu'elle avait le pouvoir avec cette ceinture. Elle fut une petit peu surprise d'apercevoir Shani qui s'écroula pour se mettre à quatre-pattes. Amalia en profita pour y mettre une petite fessée. Et, elle entendit la secrétaire. Ses paroles muait dans l'esprit d'Amalia et lui donnait tant d'idées.
-Oh oui, je vais assouvir mes pulsions et te prendre comme la chienne que tu es.
Amalia approche le gode et pénétra l'anus de Shani délicatement car c'était une zone sensible. Elle remarqua que le gode s'y engouffra plutôt vite ce qui voulait dire que la belle secrétaire avait l'habitude de se faire prendre par la porte de derrière. Amalia commença à effectuer des mouvements de va et vient d'abord lentement puis de pus en plus vite. Prendre la secrétaire sous cette forme l'exciter et de la cyprine coula sur le sol. Amalia donna une nouvelle fessée et attrapa la secrétaire par le dessous des cuisses pour la tirer à elle.
-Hum... C'est vraiment bon de te prendre comme une salope. Tu aime ça te faire prendre, hein?
Amalia se montrait violent dans ses propos mais après tout c'était la secrétaire qui avait démarrer. Et quelque chose indiquait que la secrétaire aimait ça. Peut être une intuition de succube. Elle continuait à la labourer le cul de plus en plus férocement.
-C'est dommage que je sois aussi éloignée... Je veux un peu plus profiter de toi.
Amalia enfourcha donc la secrétaire et sentit son ventre entrer en contact avec le dos de la secrétaire et elle pouvait même lui lécher l'oreille pendant qu'une main s'efforcer de pincer délicatement un téton de la secrétaire. Elle avait perdue en férocité mais continuait d'infliger des tourments mais répartie sur tout le corps de la secrétaire. D'ailleurs de cette position, la secrétaire pouvait sentir la cyprine lui couler sur ses fesses.
-Je veux t'entendre jouir, Shani...
Ces quelques mots glissaient au coin de l'oreille était dit d'une manière très sensuelle et suave. De manière que la secrétaire réagisse à ces quelques mots. Amalia pouvait sentir par l'énergie sxuelle qu'elle dévorait que la secrétaire semblait de plus en plus excitée mais était-elle au bord de la jouissance? Elle n'en savait rien...
-
Un choix délicat se présenta à Amalia, qui le résolut rapidement. Son sexe, ou ses fesses ? Amalia confirma définitivement être une grande coquine, car, bien naturellement, sa cible ne fut pas l’intimité de Shani, mais bien son anus. Elle ponctua ce geste d’une série de fessées. Encore des preuves, s’il en fallait, que la jeune femme avait bien su dissimuler son rôle. La belle blonde enfonça ce gros gode dans ses fesses, et Shani poussa un cri, un hurlement qui résonna dans le bureau. Elle se mordilla ensuite les lèvres, serra les poings, et sentit Amalia la pénétrer. La jeune lycéenne se débrouillait plutôt bien, mais, en même temps, le cul de Shani avait déjà été visité bien des fois, ce qui le rendait donc plus facile à aborder que d’autres popotins... Et, de plus, Shani étant une grosse nymphomane, les sodomies étaient plus simples chez elle que sur d’autres femmes, qui auraient pu protester devant une pénétration aussi rapide. Protester ne traversa pas une seule seconde l’esprit de Shani, qui se contenta de se faire prendre en gémissant et en hurlant, soupirant fort sous les élans fougueux de la femme :
« Hum... C'est vraiment bon de te prendre comme une salope. Tu aime ça te faire prendre, hein ?
- Ohhh... O-Oui, haaann !! Comme... Comme une grosse... Sa-Salope, haaa !! »
Il était difficile de parler distinctement quand on avait un aussi gros gode dans le cul. Amalia remuait d’avant en arrière, accroissant le rythme au fur et à mesure. Shani était prise comme une véritable chienne. Que ceux qui osent dire que le sexe entre femmes était plus doux tournent sept fois leurs langues dans leur bouche, car, en ce moment précis, le traitement qu’Amalia faisait subir à Shani n’avait pas grand-chose de doux. C’était du sexe ardent, sauvage, violent, sans grande subtilité. Amalia la pénétrait, tout simplement, et Shani mouillait de plus en plus.
Finalement, Amalia vint à se courber contre son corps, et Shani soupira en sentant la succube s’écraser contre elle. Bien sûr, Shani ignorait qu’il s’agissait d’une succube, mais, si Amalia le lui avait dit, elle n’aurait pas été surprise. Le gode remuait toujours dans son fondement, et la délicieuse lycéenne s’allongea contre elle, courbant tout simplement son corps vers l’avant, ses mains venant pétrir ses seins. Ses lèvres se rapprochaient de ses oreilles. Amalia jouait avec elle, la narguait, la provoquait. Une simple élève, elle ? Comment pouvait-on maintenant croire à son pieux mensonge ? Elle était en train de défoncer sa secrétaire comme une chienne, optant pour une position délicate. Rien que pour y avoir pensé, elle devait avoir une bonne expérience.
Amalia se rapprocha, et murmura dans le creux de l’oreille de Shani qu’elle voulait l’entendre jouir. L’intéressée gémit, remuant encore son corps, creusant son dos, accompagnant les mouvements élancés du chibre de la femme.
« Haaaannn... Haaaann !! Je... Haaaaa !! »
Parler était très difficile, et elle laissa son corps s’exprimer à sa place. Shani continua à remuer sur place, en sueur, répandant une flaque qui venait à grossir sur le sol.
« Allez, prends-moi, haaaa !! Haaaa !! HAAAAAAAAAAANNN !! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNNNNN !!! »
Shani poussait de longs cris, et, d’une main, elle se masturbait, se maintenant avec le reste de son corps. Vu son état d’excitation fébrile, jouir ne fut presque qu’une formalité, mais elle s’abandonna avec joie, ses doigts tripotant frénétiquement son intimité. Elle s’abandonna généreusement, se vidant sur le sol en poussant de longs soupirs.
Oh oui, ça faisait du bien !
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Elle entendit Shani criait de plus en plus, et qui ne pouvait plus se retenir. Elle vit la formidable énergie affluer d'un coup et s'échapper quand Shani s'abandonna. Elle pavint à en capter une grande partie et cette énergie fut délicieuse, vital même et avait du épuiser Shani de la prendre. Mais, ce qui était sur pour Amalia c'est qu'elle en voulait plus c'était insuffisant. Il lui fallait tout. Aussi, elle profita que la secrétaire était en position d'impuissance après sa jouissance pour se retirer et la retourner. Elle écarta ses cuisses et la pénétra. Shani devait sentir ses fesses dans la flaque qu'elle avait crée. Amalia s'étala de tout son cops sur Shani et enfonça son gros gode dans le vagin de Shani. L'énergie c'était le plus important.
-Je n'en est pas finie avec toi. Je te jure que tu vas jouir plus de fois que ça... ma belle...
Elle devenait violente dans ses propos, l'énergie la changeait et la faisait progresser en monstre et le pire dans tout ça c'est que plus elle puisait dans cette énergie et plus elle fatiguer Shani. Oh, c'était une fatigue où la victime se sentait heureuse et penser que c'était la meilleure journée de sexe de sa vie. Mais, c'était là le piège plus la victime pensait ça et plus elle voulait aller plus loin et plus elle risquait de mourir. Mais, Shani était constituée de sang divin elle n'aurait donc aucun mal à résister, ce qui tuerait une humaine n'avait pas le même impact sur une personne de sang divin.
Elle continua donc à bouger de façon dure et puissante dans le vagin de Shani. Ses lèvres embrassait tout ce qui trouvait lèvres cou poitrine. Ses mains s'acoquiner de la poitrine de la belle. Une poitrine très blanche.
-Je te veux Shani... Je veux continuer à te baiser.... Tu me rends folle....
Et c'était le cas mais pas comme l'espérait Shani bien qu' Amalia ressentait une puissante excitation sexuelle. Elle voulait surtout la dévorer de l'intérieur éteindre le feu qui brûlait en Shani et en elle, satisfaire sa faim et ce ptit orgasme l'avait à peine combler. Elle remuait de plus en plus puissamment son bassin et si Shani ne faisait rien pour la repousser en reprenant l'ascendant, Amalia allait continuer ce petit jeu à première vue sexuelle mais macabre d'un second point de vue.
-Mmmhhhh, Shani , J'adore t'entendre couiner... Tu aimes ce que je te fais, tu veux que je continue? Je suis toute à toit ma belle...
Malgrès elle, des paroles s'échappaient mais ce n'était pas la gentille lycéenne timide Amalia qui parlait... Non, C'était la terrifiante et prédatrice succube Amalia qui parlait. Shani était dans de beaux draps.
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Les choses se compliquaient et s’approfondissaient pour Shani. Elle avait comme ouvert les écluses d’un barrage, et un véritable torrent en jaillissait, rendant impossible le fait de les refermer. La secrétaire se retrouva étalée sur le sol, et Amalia s’allongea sur elle, continuant à la prendre, en y allant toujours plus fort, avec une rage de plus en plus incroyable. Shani se mit à hurler, et posa une main sur sa nuque, s’y agrippant, l’autre s’appuyant sur ses fesses. Elle se crispait contre elle, sentant Amalia être de plus en plus raide, nerveuse, intensive. Que lui arrivait-elle ? Le sexe la grisait-elle donc à ce point ? Amalia remuait lourdement, le gode s’enfonçant profondément dans le corps de la secrétaire. Elle ne sentait pas Amalia en train de la vider, et Amalia, de son côté, allait devoir comprendre que Shani était une partenaire exceptionnelle. Elle était la fille d’Eros, et l’épuiser, sexuellement parlant, était techniquement impossible, car elle bénéficiait de l’endurance légendaire d’Eros. Cependant, Amalia ne pouvait pas le savoir, car Shani ne le savait pas non plus. Elles se contentaient de se faire l’amour.
Amalia l’insultait, agressive, ne ressemblant plus du tout à la timide lycéenne que Shani avait progressivement dévergondé. Ce changement de comportement, s’il était naturellement étonnant, n’en était pas pour autant désagréable, et Shani se plaisait à se faire prendre ainsi, sa partenaire se ruant contre elle, enfonçant toujours plus profondément son gode, faisant hurler l’heureuse secrétaire, qui se tortillait sur le sol.
« Mmmhhhh, Shani , J'adore t'entendre couiner... Tu aimes ce que je te fais, tu veux que je continu e? Je suis toute à toi ma belle... »
Elle hocha la tête, en sueur, ses lunettes glissant près de ses yeux. D’une main, machinalement, elle les remit contre ses yeux. Sa chevelure était partiellement décoiffée, ses lèvres étaient entrouvertes, et elle embrassa voracement Amalia, pinçant ses lèvres, maltraitant ses fesses en se crispant dessus. Sa main heurtait son cul, le serrant, alors que son corps était rouge, en sueur. Shani répondait physiquement à Amalia, en levant sa main, et en s’en servant pour gifler le derrière d’Amalia, griffant le haut de son dos. Amalia était beaucoup plus rude, bien plus ardente dans ses gestes.
« Haaaa !! Haaa !! Baise-moi, Amalia, ouuuiii !! Haaaannn !! »
Elle voulait se faire baiser par elle, encore, encore, et encore. Sous les assauts de cette femme, Shani ne tarda pas à avoir un second orgasme, sentant ses parois se contracter, avant de se relâcher, expulsant tout son plaisir, par le biais d’intenses vagues qui jaillirent de son corps, faisant plonger ce gode dans une marée de mouille. Shani continuait à gifler les fesses de la femme, et usa de son expérience pour pouvoir, tout en serrant son beau petit cul, enfoncer un doigt dans ses fesses, sentant sa rondelle, qu’elle se mit à titiller, remuant son doigt en elle.
Amalia avait beau avoir pris l’initiative, et être en train de prendre la secrétaire, ce n’était pas pour cette raison que cette dernière se laisserait docilement faire sans réagir. Shani lui répondait, sa nature d’être semi-divin faisant que son corps était tout à fait capable de fournir en énergie le corps de la succube.
Autant dire que ça allait être délicieux.
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Amalia réagissait d'instinct et continuer à labourer inlassablement la secrétaire. Deux choses lui fit revenir peu à peu à elle. La première était la fessée que la secrétaire lui administra. La deuxième chose était le doigt dans la secrétaire dans ses fesses. Elle était un peu surprise, et cela lui fit mal au début mais cette douleur s'atténua pour lui donner un peu de plaisir au fil du temps.
Elle avait sentit la secrétaire jouir une seconde fois. Non par geste mais par l'énergie qu'elle parvint à prendre, elle était un peu plus considérable que la première fois. Peut être parce que l'orgasme avait été un peu plus fort?
-Oh, oui, ma belle. Tu auras beau me mettre u doigt dans ma rondelle... Haaa... Je vais continuer à te baiser et à te prendre sur ce sol et quand j'en aurais fini, tu n'en pourras plus...
Amalia était t-elle un peu prétentieuse ou orgueilleuse sur les bords? Peut-être, après tout c'était une démone. Et, elle se sentait un peu plus en position de dominance même si le doigt de Shani agissait contre sa soif d'appétit, elle avait encore faim. Son corps bougeait de plus en plus, labourer la secrétaire à chaque fois qu'elle reculer elle sentait le doigt de Shani, quand elle avançait c'était Shani qui sentait le gode en elle.
-C'est bon.... Hein, ma belle? Je sens qu'il entre un peu plus en toi... haaa ... haaa... Tu es coquine mais j'aime ça...
Elle ne savait plus où donner de la tête entre l'énergie et son propre plaisir. Elle n'allait pas être brisée car sa nature l'en empêcher mais nul doute qu'aucun humain aurait pu survivre à ça. Ses mouvements se faisait de plus en plus brusques car elle sentait le plaisir venir en elle la titiller elle aurait adorer pouvoir se toucher mais elle ne pouvait le faire dans cette position...
-J'aime te voir comme ça... Mon intimité te réclame...
Amalia était partager entre soif d'énergie et excitation sexuelle à tout moment la balance pouvait pesait pour l'un ou pour l'autre. Tout dépendait des choix de la secrétaire...
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Entre les deux femmes, c’était intense et sauvage. Le doigt de Shani remuait dans le fondement d’Amalia, sans hésitation, et elle hésitait même à en mettre un second. Quant à Amalia, cette dernière la pénétrait avec force et avec vigueur, haletant, gémissant, se pressant contre elle, la baisant sur le sol. Leur innocente initiation sexuelle avait dégénéré en une intense partie de baise, et la secrétaire était prise par une lycéenne déchaînée. Amalia lui cachait sûrement des choses. Avait-elle simulé son émoi, tout à l’heure ? Si c’était le cas, elle était une bonne actrice, car Shani avait marché dedans. Sous les yeux, elle avait une femme douée, trop douée pour une simple ignare venant de s’initier au sexe. La secrétaire était évidemment loin de se douter qu’elle avait affaire à une succube, et elle en profitait, sentant cette femme s’enfoncer généreusement en elle, avant d’en ressortir, pour revenir à l’assaut, décrivant le même mouvement.
Leurs lèvres se frôlaient, leurs corps se caressaient, et Shani se devait bien d’admettre qu’elle adorait ça. Elle aimait bien coucher avec des mecs, aussi, mais elle devait bien admettre que, avec les femmes, il y avait un petit quelque chose de plus qui était absolument délectable. La beauté d’un corps féminin ? Les adorables gémissements de plaisir que les filles poussaient ? La sensation de deux beaux corps en sueur se frottant l’un à l’autre ? Tout ça, peut-être… Avec un homme, le caractère sensuel d’une séance de sexe s’effaçait devant la bestialité et la sauvagerie primale qu’il y avait à coucher ensemble. Avec une femme, même quand ça devenait intense et torride, comme c’était le cas en ce moment, cette sensualité restait toujours un peu.
Les lunettes de Shani glissaient contre son nez, son corps meurtri et soumis par les mouvements d’Amalia. Sa main lui grattait le haut du dos, se posant sur sa nuque, et l’autre pétrissait ses fesses, son doigt remuant en elle. Amalia, excitée, lui avoua alors que son intimité avait besoin qu’on s’occupe d’elle. Shani sourit, mais ne répondit pas sur le coup, gémissant et soupirant.
« Haaaaannn… Baaaaaiiisseee-moi, haaaaa !! Ouuuuiiii-huuuuuunnnn !! Ouuuiiii !! »
Impossible pour elle de se retenir, et elle serra les cheveux d’Amalia, l’embrassant voracement, avant de jouir, à nouveau. Shani était également très endurante, car le pouvoir d’un Dieu brûlait entre ses cuisses, alimentant son corps. Shani retira son doigt des fesses d’Amalia, et la gifla à nouveau, avant de serrer sa chair, ses ongles s’enfonçant contre sa peau, la pressant. Elle eut un bel orgasme, jouissant contre le corps d’Amalia, leurs fronts se heurtant l’un à l’autre. Shani bascula ensuite sa tête en arrière, et, avec sa main pressée contre la nuque d’Amalia, incita cette dernière à lui embrasser le cou.
Son autre main, quant à elle, se déplaça pour titiller l’intimité d’Amalia. Elle passa par ses fesses, filant entre ses jambes, et Shani y enfonça deux doigts, sentant la vulve écartée et trempée d’Amalia. Elle atteignit rapidement son clitoris, qu’elle se mit à doigter, faisant, encore une fois, preuve de sa grande maîtrise dans ce sujet.
« Jouis, ma puce... Jouis en me sautant comme si j’étais la pire de toutes les salopes. Jouis, ma petite catin. »
Les insultes, Shani connaissait aussi. Ça rendait toujours les choses plus excitantes.