Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Centre-ville de Seikusu => Le quartier de la Toussaint => Discussion démarrée par: Don le dimanche 01 février 2009, 16:31:13
-
Bien, Don n'avait pas lessiné sur les moyens. Même si il était sur que personne n'aurait pu le voir il avait pris ses précaution, il avait fait une demi heure de voiture pour sortir de la périphérie de Seikusu. Ainsi non seulement personne ne pourrait le poursuivre a pied car la camionnette allait trop vite, mais en plus en déboulant sur les routes de campagne il éliminait le trafic de la ville et pouvait clairement voir si il était suivi par un velo ou bien un engin a moteur. Quand il fut bien sur que personne ne le suivait, il fit le tour et rentra par une autre entrée de la ville pour garrer la camionette devant sa boutique d'antiquités. Don saisit délicatement Armelle et l'emmena au premier étage, là , il l'allongea sur le lit, l'attacha solidement aux mains et aux jambes pour éviter qu'elle ne s'enfuie avant de sortir, remettre le contact de la camionette et aller la garer plusieurs rues plus loin. Normalement les gosses, aussi nombreux qu'ils étaient ne pouvait pas couvrir autant de quartiers a la fois. Qui plus est s'infiltrer chez lui pendant son absence était vain, toutes les portes en apparence innofensives étaient doublées avec de l'acier.
On gardait des Espers ou on en gardait pas. Quand aux serrures elles ne s'ouvraient que depuis l'exterieur avec deux passes, une carte magnétique qu'il possédait toujours sur lui et une clef qu'il avait également sur lui. Il avait payé cher une guilde de voleur Nexanne des plus compétente pour qu'elle fasse sur ses portes un tel travail d'orphèvre. Être prêt a tout anticiper, tel était son crédo. Une fois celà fait, il alla directement dans le premier café alentour pour prendre un café, se changer, et sortir de celui ci avec d'autres vetements pour rentrer dans son QG après avoir fait quelques détours. Depuis le temps, Armelle devait s'être reveiller depuis 5 bonnes minutes le temps qu'il fasse tout ça, l'idéal pour qu'elle se pose un maximum de questions. Don avait pris un million de précaution pour ne pas être suivi, il esperait qu'elles porteraient leurs fruits. L'homme entra chez lui et poussa un long soupir. Tout était verouillé ici, si ils entraient il le saurait. La boutique d'antiquité n'était pas là où il gardait ses marchandises, mais pas loin car il les formait ici. Aussi il voulait être sur que cet endroit serait aussi inviolable que les enfers: vous qui entrez ici, perdez tout espoir.
Don entra dans la piece où se trouvait Armelle, pas de drap, des menotes avec cadenas sur celles ci pour l'empecher de bouger, elle était toujours là. Bien, il allait pouvoir la détacher sans risque.
Il entra dans la chambre et détacha Armelle sans dire mot une fois qu'elle le fut entièrement il s'assit sur le lit
"Bien, commençons a parler."
Commença t'il. Armelle ne pourrait plus jouer aux jeunes filles préssée, pas de fenètres et la porte d'où était entré Don était vérouillée.[/]
-
Elle avait passé un moment très désagréable. Toujours la même image qui revenait sans cesse: elle voyait la rue vide, puis d'un coup quelque chose de blanc s'étalait sur son visage, et ensuite le noir total... Son esprit était tellement embrumé qu'elle ne se souvenait que de ça, et rien d'autre. C'était pénible, tellement pénible, elle voulait se réveiller immédiatement, arrêter cette espèce de vidéo qui repassait en boucle en la narguant... C'était ignoble, tellement insupportable.
Mais entre le rêve et le réveil, elle ne savait pas ce qu'était le pire. Son corps était tout endolori du voyage inconfortable a l'intérieur de la camionette, elle avait l'impression qu'on l'avait tordue dans tous les sens durant son sommeil forcé. Mais le pire était cette migraine, ce mal de tête atroce qui se faisait sentir au rythme des battement de son coeur, elle l'entendait battre dans sa tête et elle n'en pouvait plus, il fallait que ce mal de crâne s'arrête... Elle voulut frotter son front, mais rien n'y fit: une chaîne solide la retenait à un lit. En fait, ses chevilles et ses poignets étaient attachés au lit par une chaîne bien solide. Elle fut tentée de se secouer dans tous les sens, mais c'était inutile tant la chaîne était solide, et son mal de tête ne faisait qu'empirer.
Et là, devant elle alors que la salle commençait à peine à dessiner ses contours, une porte s'ouvrit, faisant rentrer une lumière vive qui l'obligea à fermer les yeux. Elle s'y accoutuma rapidement, avant de voir un visage familier: l'homme du supermarché.
" M-monsieur, aidez-moi ! Aïe, ma tête... "
Elle laissa retomber sa tête lourdement, tant elle avait mal. Visiblement, il avait entendu son appel, et vint la détacher. Elle se redressa en se tenant la tête, elle voulait absolument que ca s'arrête, les battements du coeur dans sa tête...
" Parler ?... Monsieur, je ne vois pas de quoi vous voudriez parler, et j'ai mal à la tête... Je veux rentrer... "
-
Bien, elle ne comprenait toujours pas ce qu'elle faisait là. Don allait se faire un plaisir de lui expliquer, c'était la première fois qu'il avait a faire parler quelqu'un, mais celà ne lui posait aucun problème, il emploierais la méthode habituelle, Armelle ne tiendrais surement pas longtemps a ce rythme là, personne ne tenait très longtemps quand c'était lui qui menait la danse, ignoble et insupportable, ça ne l'était pas encore, ça allait très rapidement le devenir. Néanmoins Armelle pouvait se consoler en se disant qu'une fois au service de Don, elle aurait ENFIN un pagne a sa taille et. A la bonne heure le marchand d'esclave laissa la jeune fille faire ce qu'elle voulait dans la chambre pour le moment, ça n'avait aucune importance, elle ne pouvait pas partir, elle n'irait pas loin, elle était bloquée dans cette piece, il aurait voulu se dire qu'elle avait été perdue dès qu'il avait croisé son regard, mais cette fois ce n'était pas vrai, il devait embrasser dame chance pour lui avoir donné pareille opportunité de mettre a bien ses plans. La chance lui souriait toujours a lui, alors qu'il était le pire de tous les hommes...
Ainsi allait le monde les gens courraient sur un grand jeu de l'oie universel, et a la fin de la partie il arrivait et gagnait. C'était comme ça. Pour le moment il avait attrapé l'oie blanche, mais il les voulait toutes, l'oie rouge, l'oie bleue, il les voulait toutes au creux de sa main...Et ainsi il pourrait jouer quand il le souhaiterais, a ce jeu où il était le seul vainqueur...Mais pour l'instant il était là avec l'oie blanche, et elle était tombé sur la case de l'hotel. Elle allait donc devoir passer un tour...Avant le commencement du prochain.
"Ne t'inquiète donc pas."
Fit Don alors qu'il prenait Armelle sous son bras d'un geste paternel
"J'ai pris mes dispositions pour que tu n'aie plus a rentrer."
Le marchand d'esclave se tourna vers elle et lui lança
"Je veux savoir combien vous êtes et où vous êtes établis. Il y a deux façon de procéder, où tu va tout me dire tout de suite sans résister, et tout se passera bien. Soit tu refuse et a ce moment là tu peut être sure que tu me fera le plus grand des plaisirs de te tirer ces informations moi même."
Lança Don
-
Elle avait du mal de comprendre, d'écouter. Ses paroles résonnaient dans sa tête douloureusement et, comme de fait, elle ne voulait pas écouter. Elle tenait sa tête en grimaçant. Mais qu'est ce qu'elle avait bien pu faire pour mériter pareilles souffrances ?
Il fallait qu'elle rentre, tout de suite. Combien de temps avait-elle dormi ? Où était-elle ? Elle n'en savait rien et ca la perturbait. Elle voulait rentrer, tout de suite...
" Q-quoi ? Non... Je veux rentrer, ils doivent sûrement être en train de me chercher... Je n'ai pas envie qu'ils s'inquiètent... "
Elle parlait bien entendu des membres de la Maison qui, à l'heure actuelle, avaient sûrement déjà décelé l'absence d'Armelle qui d'habitude passait son temps avec Benjamin et Manon, ces deux pauvres enfants qui à présent devaient être perdus sans leur "grande soeur" tant aimée.
Elle sentit un bras se poser sur son épaule, qu'elle regarda du coin de l'oeil en se tenant le front. Elle sentait que la douleur dans son crâne commençait à s'amenuiser, lentement...
" P-pardon ? Monsieur, de quoi parlez vous ?... "
Elle commençait à avoir des doutes. Etait-il au courant pour la Maison ? Une boule se formait dans son ventre: la peur... Sans savoir pourquoi, une peur la menaçait: celle de trahir la Maison. Elle ne voulait en aucun cas trahir ce qu'elle avait promis à ceux qui l'avaient tirée de la misère. Elle ne pouvait pas leur mentir... Ou alors elle ne méritait pas de s'occuper des enfants. Non, il devait sûrement parler d'autre chose, qui n'as rien à voir avec la Maison...
C'est ce qu'elle espérait.
-
Bien sur qu'il voulait parler de la maison, ou qu'importe son nom importait peu de toute manière ce qu'elle était :une mine d'esclaves potentiels, était bien plus interessant pour Don, et alors que le pion de l'oie blanche tentait de se faufiler en dehors des mailles du fillets il jettait les dés et espérait faire un double, mais les dés pilèrent au lieu de rouler et se mirent a trébucher vers le rebord de la table
"Tu sais très bien de quoi je parle."
Avant de tomber dans le vide. Don sortit de sa poche un appeau a hibou, celui d'Armelle et le tourna entre ses doigts délicatement comme on tournerait un bon cigare avant de le ranger immédiatement dans sa poche de Jean et se tourner vers Armelle
"Je parle de tes petits camarades qui viennent te sauver la peau a chaque fois que tu utilise cet appeau. Tu sais cet après midi, j'ai vraiment cru que tu ne parviendrais pas a m'échapper. Le fait est que ça a été le cas. Vous êtes organisés pour une bande de mioches..."
Don venait d'annoncer sans le moindre scrupule qu'il était l'instigateur de l'incident du super marché rien que pour voir la tête que tirerais Armelle. L'esclavagiste laissa sa phrase en suspens avant de se relever et de se tourner vers Armelle pour s'asseoir droit devant elle. Ses yeux noirs dans les siens, il lui lança d'une voix beaucoup plus dur
"Alors s'il te plait, dis moi ce que tu sais, je te donne une dernière chance avant que je ne m'enerve pour de bon: Je veux la location de cet endroit, je veux le nombre de personnes. Et je les veux MAINTENANT."
Cria t'il, c'était psychologique, il n'était pas en colère, seulement hausser le ton avait tendance a faire peur chez les ados comme Armelle...
-
Les révélations qui allaient s'ensuivre, rien que le fait que Don dise qu'elle sache de quoi il parlait, la surpris au plus haut point. Elle le regarda avec de grands yeux, comme si ses parents lui avaient annoncée qu'elle avait été adoptée...
Elle recula un peu sur le lit, en sentant douloureusement le sang passer dans sa tête. La migraine n'avait décidément pas envie de s'en aller de sitôt...
" Mais, Monsieur... "
Elle regarda l'appeau à hibou d'un air stupéfiée. Comment avait-il pu se procurer cet appeau... Oh, si, elle s'en souvenait. Elle avait perdu le sien, des heures plus tôt. C'était sûrement là que Don l'avait ramassé... Quelque part dans le sillage d'Armelle.
" C-comment vous avez su ?... Impossible... C'était vous ?... "
Ainsi, c'était lui le responsable de ses mésaventures d'aujourd'hui, du début à la fin. Les vigiles, la visite chez le sous-directeur, leur fuite, l'étrange personnage qui la suivait elle et Marie... Tout était de sa faute, alors qu'il avait été si gentil... Armelle tombait des nues.
" Non... "
Elle se tint la tête lorsqu'il hurla, son mal de tête s'amplifiant en même temps que la voix de Don. Des larmes se mirent à perler ses joues, et elle releva doucement la tête.
" Non... J'ai promis de ne rien dire à personne ! Je n'ai pas le droit de les trahir ! "
Elle essaya d'oublier son mal de tête, malgré sa présence bien marquée, et fonça droit vers la porte, ses mains se lancèrent vers la poignée et s'acharna dessus comme une furie: rien à faire, c'était verrouillé. Elle se mit à tambouriner la porte en hurlant
" NON ! A L'AIDE ! QUELQU'UN AU SECOURS ! "
Elle avait affreusement mal à la tête, et voulait que ca s'arrête, elle avait l'impression que son crâne allait exploser. Il fallait qu'elle sorte, qu'elle se repose, qu'elle parle à Benjamin et Manon...
-
Evidement qu'elle avait été adoptée, après tout elle était dans un orphelinat, alors celà n'était pas sensé la surprendre, c'était la vérité qui allait tomber tôt ou tard. Mieux valait que ce soit lui, avec son infinie délicatesse qui l'enseigne a Armelle. Ses cris, comme il s'y attendait l'avaient fait paniquer, ce qui était une bonne chose. L'homme croisa les mains sur son torse et lança a Armelle avec insistance
"Quoi, tu pensais vraiment que tout celà n'était que la suite logique de ta journée?J'avoue qu'il y eut quelques imprévus, mais tout ce que tu as vu était de mon fait, pas uniquement de mon fait, certes, car sinon tu te serais retrouvée dans cette piece plusieur heures plus tôt. Je ne regrette rien néanmoins J'ai pu grâce a toi prendre connaissance de l'existence de ce réseau organisé qui m'interesse au plus haut point."
Puis elle se mit a pleurer et a crier. Ah. Enfin. Don avait eu l'impression qu'on arriverait jamais a ce moment. Là il était en territoire connu. Là il se sentait bien et apte a user de ses compétences. Don se leva et s'assit sur le lit la regardant faire d'un air amusé
"Tu es sur que tu ne veux pas m'en parler?Parce que si ce n'est pas le cas, je passe toute de suite a ma méthode, méthode que tu risque de ne pas apprécier au début. Mais surement autant que moi une fois que j'en aurait fini avec toi. Tu peux crier et hurler autant que tu le veux. Personne ne t'entendra."
Fit Don alors qu'il attrapait gentiment Armelle par le col de son top et la tirait pour l'envoyer avec deux doigts sur le lit.
"Alors tu ferais mieux de te mettre a table, Sinon..."
Oh dieu, oh dieu comme il esperait qu'elle demande sinon quoi
-
Elle avait, en plus d'avoir accentué son mal de crâne féroce, raté sa tentative d'évasion et irrité Don. Elle voulait tellement se réveiller de ce cauchemar, mais elle se rendait douloureusement à l'évidence qu'elle ne dormait pas, et c'était ignoble. Pourquoi, elle qui avait toujours été si gentille, qu'on la maltraite comme ça ? Même a l'orphelinat, certaines soeurs la qualifiaient de petite sainte tant elle était bien apprise et sage. Sauf a l'exception d'une seule, qui l'avait qualifiée de...
Soudain, elle ouvrit grand les yeux tant la surprise était grande. En fait, la vieille dame n'était pas folle du tout, et ce qu'elle avait vu était bien vrai: Armelle n'avait rien d'une sainte, elle n'était qu'un pion du Diable. C'était donc ça, ce qu'elle voulait dire par "elle est avec Satan en personne". Elle n'avait pas vu le présent, mais l'avenir !
Et le Satan en question était l'homme qui venait de l'attraper par le col et la projeter sur le lit. Et toutes les paroles de la vieille dame lui revenaient en tête. "La pondeuse" "Des centaines de démons naîtront de son corps et de ses larmes"... Armelle qui n'avait pas voulu croire en ses paroles, qui avait plutôt rejoins l'avis des médecins qui prétextaient un "problème hormonal", elle s'était totalement trompée: elle était un pur produit destiné à l'accomplissement des desseins des démons. Rien que ça. Elle n'osait pas se rendre à l'évidence qu'elle servait l'enfer, elle qui aspirait à une vie pure et sans que le péché ne l'entache. Elle avait tant donné dans ce but...
" N-non... Je ne veux pas le dire... "
Sinon ? Elle savait très bien ce qui allait se passer, à présent. Le diable allait se venger en l'utilisant pour faire venir son armée démoniaque. Un peu comme la Sainte Marie avait été pour Dieu, elle en était l'équivalent pour Satan: elle ne voulait pas faire naître le "Jésus" de Belzébuth.
" Sinon vous... Vous allez faire naître les démons... Je ne veux pas le dire ! Je savais déjà ce qui allait m'arriver ! Pourquoi je ne l'ai pas écouté... Je ne veux pas voir le Diable... "
Tous ces évènements rendaient ses propos désordonnés et presque incohérents, à penser qu'elle allait sombrer dans la folie... Ce qui risquait d'arriver, si Don insistait sur ce point.
-
Ah bien sur, c'eut été un peu trop théatral si Armelle s'était exprimée ainsi. Bien soit, il n'aurait pas le sinon. Don s'étira un peu et fit craquer ses articulations. Le cours théorique n'avait pas encore commencé mais Don était un professeur qui préférait faire d'abord les travaux pratique, il se foutait comme de sa première chaussette de ce qu'Armelle allait penser. Quand soudain elle lui parla comme a un illuminé et Don s'arrêta devant le lit. Etait ce possible qu'Armelle soit croyante et en plus de ça assez stupide pour croire ce que disaient les prêtres?Dans ce cas là, alors la tache de Don était en mille fois simplifié et a Don de prendre son ton sanctimonal
"C'est exact mon enfant, tu va bientôt voir le diable."
Don s'arrêta en court de chemin
"Toutefois. Toutefois il est encore temps de te repentir de cette folie, en cachant au regard de dieux ces enfants que tu protège ils seront petit a petit consummés par les flammes de l'enfer, tu pensais vraiment que Dieu allait laisser passer les larçins et le mensonge?!"
Car il y en avait. Il ne s'imaginait pas un autre moyen que ces enfants survivent dans la rue, Don prit un ton cérémonieux
"Repens toi pécheresse!Repent toi de tes péchés, et dis moi où se trouvent tes camarades que je les libère du mal qui les ronge!"
Il pointa son doigt accusateur vers Armelle
"Ce n'est que dans le repentir que tu trouvera la réponse!Tu sais quel est la voie de dieu!Répond!"
-
Elle n'en croyait ni ses yeux, ni ses oreilles. La surprise était telle qu'elle en avait oublié son mal de tête, qui s'était comme envolé d'un seul coup. Elle resta sur le lit à regarder Don d'un air effarée, comme si elle allait avoir une attaque sur-le-champ. Mais son coeur était encore trop robuste pour ce genre de chose, et il continua de bafouiller, en reculant sur le lit.
" N-non, ce n'est pas vrai... Vous mentez... Vous ne l'êtes pas vraiment... Pourquoi ? Pourquoi moi ? "
Elle se rendait bien compte que les évènements la rendaient dérangée. Mais autant emporter le secret de la Maison dans sa folie, si telle est son destin. Après tout, rien ne garantissait sa survie si elle avouait tout, surtout qu'avec le Diable, mieux valait se méfier. Mensonge étaient ses paroles.
" P-pourquoi est ce qu'on me pardonnera si je vends mes amis ? Non, non, vous mentez ! Vous n'êtes qu'un démon à la langue fourchue ! Je ne peux pas trahir la parole que j'ai donnée ! "
Elle se releva, alors qu'elle était recroquevillée sur elle même, et tendit les bras en les ouvrant, et se mit à sourire tout en pleurant.
" S-si c'est comme ça, alors je préfère donner mon âme plutôt que de les vendre... Ils ne méritent pas d'aller en enfer, ils sont innocents, ils ne font que ce qui est juste... "
Elle y croyait vraiment.
-
Ah, il sentait les défenses céder petit a petit, il allait devoir jouer a ce petit jeu encore quelques temps et peut être qu'il obtiendrais de meilleurs résultats que si il violait Armelle ici et maintenant. Après tout la foi était plus forte que la faiblesse du corps. Si il pouvait la convaincre que dénoncer son prochain serait retourner dans la foi il pourrait tirer les informations de la bouche d'Armelle bien plus facilement qu'il ne le pensait, il lança avec une voix lourde et sourde
"Comment OSE TU?!Me dire que je ment?!Est tu une envoyée de dieu pour me dire que je ment?Alors que je m'evertue a te rétablir dans le droit chemin c'est a moi de te demander pourquoi tu met des batons dans mes roues petite démone!?"
Cria Don avant de pointer son doigt vers Armelle avec une expression couroucée sur le visage
"Je ne suis pas le diable espèce de sotte, crois tu vraiment que le diable travaillerais de concert avec la police et les vigiles des magasins et s'evertuerais a réunir au sein du foyer le père et le fils?En revanche toi ma fille, tu es une pécheresse, une pecheresse qui a souillé la pureté de son âme par ses actes infames et en empechant ses amis d'être sauvés."
Don tandit une main aidante vers Armelle
"Réfléchis une seconde!Crois tu que ce que font les membres de ta bande les guidera vers les sentiers du paradis?Crois tu que les proteger les empechera d'être chatié par dieu?En te taisant tu leur ôte la chance d'être sauvé et tu les précipite tous en enfer petite égoiste!Et dieu se moque bien d'une âme pervertie par le vice et qui refuse de demander son pardon!As tu pensé une seconde que les parents de ces enfants pouvaient souffrir bien plus que toi en ce moment des caprices égoistes de leur progéniture?"
Don croisa les bras sur sa poitrine, aussitôt il avait pris la figure autoritaire du père d'église, merci a ses cours de théatre
"Tu as le choix a présent, ou bien tu t'excuse auprès de dieu et de son représentant et tu me dis où se trouvent ses camarades et ensemble, nous marchons tous vers le chemin de la lumière et de la vérité, ou tu me ment encore une fois et ma fille je ferais sortir le démon qui est en toi pour que tu me dise tous les moindres détails. Accepte le pardon, ou je te l'administrerais!"
-
Elle baissa ses bras, avant de carrément laisser tomber son corps à la renverse, tombant dans le lit sur le dos, ses talons se retrouvaient au dessus de ses fesses. Elle regardait une petite lampe au plafond d'un air ailleurs, comme si elle était en transe, les yeux grands ouverts.
" Je ne suis qu'une humaine, c'est tout... Je n'ai jamais voulu faire de mal... Comme tout humain, j'ai péché... Et je ne peux pas m'empêcher de penser que ce que je fais est juste... Mon coeur me dit de me taire, mais mon âme me dit de parler... "
Elle se releva, en fixant vers le sol cette fois. Elle tenait ses mains sur le matelas, en sanglotant, ses larmes venaient tacher le matelas.
" Je ne peux pas trahir la parole que j'ai donnée... Je ne peux pas... "
Elle se mit à pleurer véritablement.
-
Bon, elle était véritablement irrécupérable. Don sourit. C'était comme si elle l'implorait de passer a l'acte pour délier sa langue. Et Don ne se ferait pas prier loin de là. Il avait déjà un certain mal a refrener son errection a la voir ainsi étendue aussi finement vétue sur le lit. Ne t'inquiète pas se dit Don. J'aurais tôt fait de d'ôter le superflu, il fit craquer ses poings, bien, il était temps la comédie n'avait que trop duré, Armelle l'avait voulu, elle l'aurait, il ne fallait plus cesser de réclamer, car ça allait arriver incésament sous peu.
"Tu as perdu le chemin de la vérité. Heureusement comme je te l'ai dit, je te ramenerais dans ce chemin, que celà te plaise ou non."
Fit le Don prêtre avant de s'avacer sur le lit et lança a Armelle, son regard était comme deux néons noirs sur celui d'Armelle et les larmes de la jeune fille étaient comme deux ruisseaux délicieux qu'il allait s'empresser de gouter pour en savoir la saveur. Don eut un sourire mauvais et commença a s'atteler a sa besogne en attrapant Armelle par la taille et en l'attirant vers lui
"Tu verra, tu seras tout de suite plus coopérative une fois celà fini."
Fit il alors qu'il aggripait son t-shirt et d'un mouvement simple arrachait le haut de toute façon déjà prêt a craquer. La plaquant, son dos contre son torse, elle pouvait sentir contre ses fesses pointer l'extrémité de Don, mais surement ignorait t'elle ce dont il s'agissait pour le moment?
-
Elle se tenait les mains sur sa tête. Non pas que son mal de tête se faisait sentir, mais c'était toute cette frustration qui lui embrumaient l'esprit. Elle en savait plus comment penser, et ce n'était plus qu'un amas de pensées désordonnées et incohérentes qui filaient dans sa tête, une sorte de véritable chaos intérieur depuis cette espèce de "révélation".
Seulement, même si après cela elle en était convaincue, une profonde partie d'elle-même lui disait que tout ça n'était qu'affabulation et que le soi-disant justicier de Dieu devant elle n'était qu'un charlatan comme tous les autres. Mais a ce stade, elle comprendrait qu'il n'était en aucun cas un envoyé de Dieu, et probablement la sauver des ténèbres de la folie... En prenant quelque chose de tout aussi important que sa lucidité au passage.
" Je ne peux pas trahir ma parole... On ne me le pardonnerait jamais... "
Elle se remis à sangloter, mais sans verser de larmes. Ce n'était pas son coeur qui pleurait cette fois, mais son âme, son âme qui se déchirait entre la voie sainte et celle de ses amis...
Elle sentit son corps se soulever, et se rendit vite compte qu'elle venait de se coller à l'homme en face d'elle. Mais qu'est ce qu'il faisait ?
" Q-quoi ?! "
Dénudée violemment, ses vêtement furent arrachés, laissant rebondir sa poitrine librement. Même si c'était une libération pour son corps, c'était l'inverse pour son âme: elle se sentait incroyablement gênée. Le pire étant qu'elle ne pouvait rien voir, dos à Don, elle sentit quelque chose contre ses fesses. Dur et gros... Qui lui rappellaient vaguement d'autres objets, elle pensa en premier à un cierge, vu la situation. Allait-il la purifier avec un cierge ? Mais pourquoi se mettre dans cette position, alors ?
" N-non ! Lâchez moi, je n'aime pas ça ! "
-
Tu n'aime pas ça?Mais ma pauvre tu n'avais pas le choix. Don eut un sourire, Armelle de toute évidence ne savait pas ce qui était bon pour elle, alors c'était a lui de le lui enseigner. Après tout que ne ferait t'il pas pour aider son prochain?A présent qu'l était un sois disant homme d'église. Il allait baratiner Armelle comme il le voulait et en tirer tout le jus de cette relation jusqu'a ce qu'il se désinteresse d'Armelle, ce qui ne risquait pas d'arriver!Elle avait déjà de quoi enfanter pleinement si jamais elle ne se vendait pas, il avait l'impression d'avoir une Terranide bovine au creux de ses bras tellement Armelle était plantureuse malgré son jeune âge, deux formidables qualités, il se demandait d'alleurs comment il allait les exploiter au mieu...En parlant de qualitées d'ailleurs, Don leva ses puissantes mains pour saisir les seins d'Armelle et les sous peser. Ils étaient lourds et rond, le marchand d'esclave était sur d'en tirer un maximum, il avait trouvé la bonne vache aux oeufs d'or...Elle allait le rendre riche et pour le moment lui faire prendre son pied. Quand Armelle serait éduquée elle serait surement une des meilleures esclaves de sa promotion.
"Regarde comme ta poitrine est lourde du poids de tes péché, remplie de ce vice et de cette dépravation carractéristique de celles qui ont perdu leur âmes..."
S'ensuivit d'une pression effectuée sur les seins d'Armelle avant que Don ne se mette a les pétrir de ses mains expertes, comme un boulanger a l'ouvrage, la rapprochant de lui il lui demanda avec un sourire sournois
"Est ce que cette punition te procurerais un plaisir?Mais ce plaisir t'es interdit, c'est une punition, tu n'a pas a y éprouver de plaisir...Il va donc falloir passer aux choses serieuses pour sortir le diable de ton corps...Tout d'abord."
Fit Don en aggripant le short d'Armelle
"Il faut que tu revienne tel que tu l'était a ta naissance!"
Fit il en déchirant le jean, la laissant entièrement nue
-
Bon pour elle ou pas, elle n'en avait aucune idée mais ses manières lui faisaient peur. Elle n'avait jamais rien fait de mal, alors pourquoi s'acharnait-on sur elle ? Parce qu'elle était différente ? Ce n'était pas de sa faute si elle était née, avec son "problème" gravé dans ses gênes qui avaient surgi dès son plus jeune âge.
Elle n'en était en rien responsable, alors pourquoi la considérait-on comme si c'était elle la fautive ? Le monde était vraiment cruel de jeter son mal vers elle, elle qui ne voulait que le bonheur des autres. Mais peut-être fallait-il recevoir le mal des autres pour leur donner le bonheur... Mais alors, où était le sien, de bonheur ? Pour l'instant, il semblait presque impossible à rattraper. Il était loin, très loin, car Don la tirait dans les ténèbres de la tristesse.
" N-non ! Lâchez-moi, je vous en prie ! Ce n'est pas de ma faute si je suis comme ça, je ne l'ai jamais voulu ! "
Elle continuait de s'agiter en faisant frotter d'elle-même, et ce indépendamment de sa volonté, sa poitrine entre les mains de l'esclavagiste et ses fesses sur l'entrejambe de l'homme. C'était à peine croyable mais, pour autant que son mal de tête avait disparu, un espèce de plaisir malsain commençait à prendre place, une chaleur bizarre dans tout son corps, la même chaleur que quand elle avait inspecté pour la première fois sa poitrine, ce qu'elle n'avait jamais recommencé d'ailleurs. Mais cette fois, elle n'avait pas le choix: elle en avait eu peur, mais là elle devait le subir de force. C'était bon, incroyablement bon, mais elle ne pouvait pas s'arrêter de se dire que c'était mal, profondément mal.
Elle poussa un gémissement plaintif, témoignant de son plaisir et, pire que tout, Don put sentir couler entre ses doigt un liquide en abondance... De la poitrine d'Armelle sortait doucement du lait en très grosse quantité, plus qu'une mère bien portante pourrait en avoir, provoqué par les pétrissements de Don, on n'avait même pas besoin de téter pour que ça sorte... Elle n'avait jamais revu "ça" depuis son unique inspection, et elle se remit à gémir, en rougissant fortement.
" N-non, c'est trop étrange, arrêtez ! J'ai l'impression que c'est mal, tellement mal... "
Elle sentit une main se poser sur son short, et l'arracher avec autant d'aisance qu'on déchire une feuille de papier. Sur le coup, elle sursauta vers l'avant, comprimant sa poitrine entre les mains de Don et provoquant un petit jaillissement de lait.
" NON !! "
-
Ha ha ha, ça commençait sur les chapeau de roue. Don était impatient de voir ce qu'allait donner l'inspection de sa nouvelle petite protégée. Il était même plus qu'impatient de la faire gémir et craquer entre ses bras. Mais pour le moment il était en mode "redempteur" et continuait a faire le "bien" pour la grandeur de la justice. SA Justice. Don se sentait déjà passablement appaté par les mouvements de bassin d'Armelle et avait de plus en plus de mal a retenir son erection pour se reserver pour plus tard. C'était cette partie qu'il préférait dans la capture et l'interrogation, la partie ou plein de choses devait se passer dans le corps d'Armelle et que sa tête se posait tout un tas de questions sur ce qui se passait dans la tête de la jeune fille. C'était ce qu'il aimait, voir le visage d'ange de cette fille se tordre sous ses caresses lui était vraiment très agréable alors qu'il allait bientôt prendre possession de ce corps de jeune fille, mais déjà si mature, ses mains faisaient le tour de propriétaire et s'étaient arrétés sous la belle vue que lui offrait les deux seins d'Armelle alors qu'il les pressait il lui lança
"Qui est tu pour dire que ça n'est pas de ta faute?Tu es une sainte peut être?C'est le poids de tes péchés qui se trouve dans ces mamelons et...Doux jesus!"
Fit Don, a fond dans son rôle alors qu'il sentait du liquide couler sur ses doigts et qu'il voyait les seins produire du lait. Armelle n'était pas une terranide laitière et elle pouvait faire ça?Le lait de femme était quelque chose qui se vendait assez cher dans Nexus, Don n'en croyait pas sa chance, il était tombé sur une perle rare, si Armelle était capable de produire ce lait a l'infini elle allait faire très bien dans son établi avec les autres Terranides vache...Sinon eh bien il boirait lui même le breuvage, une fois n'est pas coutume, il aimait se faire plaisir. Il lança a Armelle
"C'est serieux."
Pour la faire paniquer un peu plus. Cette fois il était inutile de retenir l'erection de Don, elle était a son comple, et il attendait impatiement pour pouvoir exploiter celle ci. Don lança a Armelle
"C'est le mal!Le mal resiste a la prise de mes saintes mains!"
Il avait envie d'éclater de rire mais il résista tant bien que mal et et pinça le bout des tétons d'Armelle pour les tordre avant de passer son cou par dessus la nuque de la jeune fille
"Je vais extraire le démon hors de ton corps"
Fit il avant d'empoigner le mamelon et de le mordre avant de le sucer goulument pour boire le lait
-
Elle ne voulait pas croire que cela faisait partie de sa fameuse "purification". A l'orphelinat, personne n'osait mentionner le problème hormonal d'Armelle, ni faire un commentaire, par respect mais aussi par crainte de ce qui pouvait arriver. Car, même si les soeurs ne lui en tenaient pas rigueurs, toutes étaient intriguées par Armelle et certaines en voyaient là un fait surnaturel provant du Diable ou de Dieu, les avis étaient partagés.
L'avis de la vieille gouvernante, elle, était bien clair. Pour l'avoir pointée du doigt en hurlant au suppôt de Satan et avoir, de sa propre personne, mis Armelle à la porte loin de l'orphelinat, c'était quelque chose. Mais elle ne pourrait jamais en vouloir à cette vieille dame: folie ou prédiction, Armelle ne verserait aucune rancune envers elle. Elle n'était pas fautive. Elle non plus, n'était pas fautive, pourtant c'était sur elle que s'abattait la punition.
" Non, NON ! Vous me faites mal, arrêtez ça ! "
Elle poussa alors un cri de douleur en le sentant la mordre, cette partie de son corps étant aussi éxagérément développée qu'elle était éxagérément sensibles, les plaintes de douleur virèrent vite en gémissements de plaisir alors qu'il la tétait.
" Noooon, je vous en prie, arrêtez ça, je n'aime pas ! "
-
Don savourait ce moment avec beaucoup de plaisir, bientôt il allait passer aux choses serieuses, bientôt...Pour le moment il savourait sa victoire sur Armelle. Après quoi il allait la posséder entièrement, pour le pire, mais dans son cas, surtout pour le meilleur. Il avait terriblement envie de cette fille deopuis qu'il l'avait vu et il allait assouvir ses fantasmes sur le champ sans plus attendre. Armelle n'avait de toute façon, pas d'autre choix que d'obeir a Don, il allait en faire son esclave, bien sur, elle opposerais de la résistance au début, mais une fois qu'il l'aurait convenablement dressée, elle oublierais ses pitoyables petits amis et lui donnerait toutes les informations sur la maison, le supplierais de continuer et serait ravie de lui obéir, comme toutes celles qui était passées avant elle; Don était patient, il avait tout le temps du monde pouc créer ce traumatisme.
"Vraiment?Je te fais mal?Alors c'est que ta purification n'est pas encore achevée."
Fit Don avec un sourire alors qu'il arrêtait de s'abreuver au sein droit d'Armelle pour donner le même traitement a l'autre, il avait la bouche pleine de lait, il la transformait en boule de plaisir. Et finalement quand elle lui dit qu'il n'aimait pas ça, il fit quelque chose d'innatendu.
Il s'arrêta.
"Ah oui?Dans ce cas tu ne vois aucun inconvenient a ce que je m'arrête?"
Il s'agissait de toute manière d'une feinte, une fois qu'il avait confirmation que oui, ou que non elle voulait pas voir ça s'arrêter, il déboutonna son pantalon et en sortit ce qui pendait au nez d'Armelle depuis tout a l'heure
"Allez, lèche moi ça."
-
Don n'était pas le premier à avoir eu envie d'Armelle, loin de là. Même si certaines n'oseraient l'avouer, certaines soeurs avaient probablement été attirées par Armelle... Tout comme un nombre incalculable de personnes qui avaient vu cette pauvre fille se balader dans la rue.
Mais Don avait été le premier à pouvoir en profiter proprement dit. Et si c'était vraiment propre...
Tout ce qu'elle voulait, c'était que ça s'arrête immédiatement, elle mourait de honte de sentir du plaisir malsain à ces actes forcés, qu'elle n'approuvait pas mais ne pouvait pas tout refuser, tant c'était bon. C'était probablement ça, le fameux "fruit interdit" dont on lui avait tant parlé a l'orphelinat...
Mais en tout cas, elle n'en voulait pas. Du moins, c'était ce qu'elle croyait, même si elle pensait que son désir le plus cher était de tout arrêter maintenant et retourner à la Maison, elle ne se doutait pas qu'elle se retrouverait vite "amadouée" par ce plaisir.
" Arrêtez ça ! "
Sa surprise fut grande, car il s'arrêta net. Elle tomba vers l'avant, se rattrapant sur la paume des mains, et éprouva un espèce de manque: cet arrêt soudain avait été tellement brusque, qu'elle ressentait dans tout son corps une espèce de flamme qui la consumait, et qui ne pourrait être calmée que si elle continuait. Elle ne voulait pas y croire, mais c'était vrai: elle en voulait encore...
" Q-quoi ?... "
Dit-elle à elle-même, ne comprenant pas la réaction de son corps. Pourtant, elle n'avait jamais voulu ça, alors pourquoi elle désirait continuer ? C'était totalement insensé. Elle n'eut pas le temps de se poser plus longtemps la question qu'un appendice dur et tendu apparut dans son champ de vision, brusquement, et lui fit pousser un cri avant qu'elle tombe en arrière, sur les fesses.
" Mais pourquoi ?! Et qu'est ce que c'est ?! "
-
Bien, on allait passer au morceau le plus interessant qui allait sans doute commencer la descente aux enfers d'Armelle, littéralement parlant. Car Don ne comptait pas s'arrêter en si bon chemin maintenant qu'il avait commencé sa besogne, et maintenant qu'il avait présenté ce qui serait l'objet de son désir a Armelle, il allait falloir commencer serieusement a penser a l'éduquer maintenant, elle était en âge, et Don était plus que friand de lui "expliquer" comment il comptait faire. Mais chaque chose en son temps, il préférait qu'elle découvre elle même la puissance de son corps quand il l'eveillerait et l'utiliserait comme une machine bien huilée.
"Il est temps que je t'appenne quelque chose."
Fit Don tandis qu'il enlevait completement son pantalon pour laisser paraître un membre imposant avant de tendre son doigt vers Armelle
"Tu dois comprendre ton utilité en ce monde et l'utilité de tes amies. Il est arrivé l'âge où tu dois prendre conscience du pouvoir que détiens ton corps ainsi que de ton devoir."
Ca semblait très pédagogique, mais ça ne l'était pas
"Les femmes dans ce monde n'existent qu'a un seul but :servir les hommes. Elles ont renié cet état de fait a cause de leur propre stupidité mais c'est la vérité, et tu comprendra, une fois que j'en aurait fini avec toi, tu comprendra que toute la joie et tout le bonheur que tu aura pu ressentir dans ta vie n'est rien a coté de celui que tu éprouvera en me servant. Ce qui corrobore ma pensée: Tu es faite pour me servir."
Il saisit Armelle par le menton et avec ses deux doigts lui pinça le nez
"Tu va comprendre dès maintenant."
La forçant a ouvrir la bouche en bloquant sa respiration, il enfonça son sexe dans la bouche d'Armelle, celui ci ne rentra pas entierement mais assez pour occuper completement la bouche
Don commença alors quelques va et viens, tenant la tête d'Armelle pour l'empecher de se dégager
"Alors?Tu le sens, tu sens ce gout divin?"
Il accellera le rythme
"C'est celui de ta destiné, c'est ton préféré, celui que tu chérira plus que tout après celà[/i]
Les coups de bassins se firent de plus en plus violents et de plus en plus meurtriers et Don se retira un peu avant de jouir, se deversant un peu dans la bouche d'Armelle, mais pas assez pour perdre son errection
"Alors?comment était ce?"
Fit l'esclavagiste
-
Elle ne comprenait dorénavant plus rien. Il ne continuait plus à la sermonner avec ses saintes paroles ? Où était donc passé le fameux membre de l'Eglise venu pour la purifier ? A présent elle avait devant elle un espèce de professeur qui lui disait tout ce qu'il fallait savoir sur le sujet d'aujourd'hui. Un sujet qu'elle aurait probablement à mettre en pratique toute sa vie et ce, à ses dépens.
Elle regardait d'un air interdit le sexe de Don trembler face à elle, gonflé et durci sous le désir toujours aussi grandissant que l'esclavagiste éprouvait envers la pauvre fille. Et elle avait les yeux rivés sur ce sexe tendu, alors qu'elle écoutait les paroles de Don.
" Mais... Mais c'est pas possible, pourquoi serions-nous faite dans ce but? C'est injuste ! Je n'ai jamais demandé à être une fille, moi ! "
Aucune réponse à son commentaire, qu'aussitôt on lui pinça le nez et, de réflexe, elle ouvrit la bouche... Grave erreur. Aussitôt cela fait, elle n'eut pas de mal à se rendre compte que c'était le sexe de Don qui lui remplissait la bouche. Un drôle de goût en émanait, pas si mauvais d'ailleurs. Vraiment, est ce que tout les éléments tentaient de lui dire que c'était excellent alors qu'elle savait pertinemment que c'était mauvais ? C'était si cruel...
Cette "torture" dura des minutes interminables... Au grand plaisir d'Armelle, qui ne pouvait pas s'empêcher d'aimer malgré elle, et elle se dégoûtait elle même. Comment pouvait-elle aimer ça ? C'était inhumain, c'était à penser si elle n'était pas réellement un monstre... Et enfin, ça se finis, elle prit sa respiration comme si elle avait fait de l'apnée de longues minutes.
" C-c'était dégoûtant ! Je veux rentrer à la maison ! "
-
Don relacha sa pression et regarda son élève, jugeant qu'elle était prête pour commencer les hostilité, où devait t'il encore la torturer un peu?Il avait très envie de passer tout de suite a la partie interessante. Patience se dit il. Il fallait qu'Armelle soit parfaite, et qu'au bout de sa formation il n'ait plus qu'a claquer des doigts et qu'elle fasse tout ce qu'il souhaite sans avoir a lever le petit doigt. Armelle serait sa chose. Sa créature, il la manipulerais a sa guise, et il lui ferait cracher la location de ses petits camarades, pour l'instant il la sentait craquer au fur et a mesure, mais elle tenait toujours bon...Si il abandonnait maintenant il l'aurait pervertie et la laisserait encore "pure"...Don reflechit puis finalement il lança a Armelle
"Si tu es née femme, alors soit heureuse de l'être, tu atteindra le nirvana par le simple fait de nous servir, est ce que tu sais celà?Regarde ces seins remplis de ta frustration, c'est parce que tu n'es pas capable d'accomplir ton désir de femme qu'ils sont là, parce que tu ne peux pas accepter celà."
Don ramen a son visage près du sien et se mit a lécher ses joues, son sexe pendant entre ses jambes se balançait contre celles d'Armelle...Non pas encore...
"Je vais te le demander une dernière fois."
Celui ci eut un sourire mauvais avant de s'accroupir et d'écarter les jambes d'Armelle
"Où est ta maison?Où sont les filles femme?Tu dois m'obeir, car c'est ta destinée."
Fit Don alors qu'il titillait l'intimitée d'Armelle du bout de son doigt, il voyait parfaitement l'hymen qu'il allait bientôt briser
"Alors?Parle!"
Et Don se mit a lécher l'intimité d'Armelle. Il n'aurait de cesse jusqu'a ce qu'elle meure de plaisir.
-
Elle prit son temps pour haleter, tousser et cracher. C'était tellement frustrant de voir son corps hurler "encore!" tandis que son esprit répugnait cela. Pourquoi elle en redemandais, alors qu'elle savait très bien qu'elle n'en voulais pas ? C'était tellement frustrant, ca créait un brouillard épais dans sa tête, si épais qu'elle ne savait pas qui croire, qui écouter. Son esprit ou son corps ? Lequel serait le meilleur ?
Elle ne pouvait quand même pas ce soumettre à cet homme. Elle n'imaginais pas toute les souffrances qu'il ferait subir aux enfants de la Maison... Quoique, c'était si bon pour le corps... Elle se dit non, il faut garder l'esprit sur Terre: cet homme est le Mal incarné, et il est de son devoir de protéger les enfants de ce Mal, comme elle l'avait toujours fait, mais cette fois-ci elle sacrifierait son corps pour le bien-être de tous les enfants. Personne ne verrait ce sacrifice, probablement, elle ne verrait plus jamais aucun enfant, vivrait une vie en cage avec cet homme ignoble...
Elle sentit sa langue aller doucement sur sa joue, alors qu'Armelle faisait une grimace, avant de pousser un cri de surprise en le voyant écarter ses jambes.
" Qu'est ce que vous faites ?! NON ! Non, je ne peux pas le dire ! "
Qu'elle aurait parlé ou non, c'était le même tarif. Mais au moins, Armelle avait quelque chose auquel se raccrocher pour ne pas tomber dans le piège manipulatoire de Don: le souvenir de sa Maison et de ses amies. Elle savait qu'on comptait sur elle, et elle savait qu'ils la rechercheraient. Cette simple pensée lui donnait le courage de continuer à s'obstiner et résister à cette torture ignoble mais pourtant si agréable...
" N-ne faites pas ça ! "
C'était presque trop. La chaleur dégagée par cela était bien plus forte que quand il lui avait pétri la poitrine, plus présente, plus insistante, mais surtout plus puissante à en faire gémir très fort la fillette.
" Non, arrêtez ça, je vous en prie ! "
Elle poussa un hurlement en se tenant sur la tête de Don lorsqu'il posa sa langue dessus. C'était chaud et humide. Si bon, tellement bon... Des larmes coulèrent doucement sur ses joues.
" J-je vous en supplie... Je veux bien faire tout ce que vous me direz, obéir à chacun de vos ordre mais par pitié, laissez la Maison, laissez les tranquille... "
-
Ca resistait encore?Pas de soucis, Don n'en était qu'a l'échauffement après tout...Il allait bientôt faire connaître l'extase, la véritable extase a Armelle, et si celà ne suffisait pas il allait procéder a des choses bien plus poussée qui, si elles dégouteraient Armelle, ne pourrait pas l'empecher de ressentir du plaisir. Ce qui était un véritable paradoxe pour la jeune fille, il en était parfaitement conscient. Il voulait encore plus forcer sur cet horrible paradoxe et faire d'Armelle son esclave. Il y arriverais, il ne se faisait aucun doute là dessus. Armelle avait juste besoin d'un traitement intensif, une fois qu'elle aurait passé des journées entières a ne faire plus que ça elle se résignerait et lui dirait sans conditions où se trouvait la maison...Mais pour l'heure, il avait d'autre chats a fouetter, empoignant les fesses de la jeune fille pour pouvoir enfoncer sa langue plus profondement, il les aggripait ainsi et accentuait le plaisir dans le corps d'Armelle, il ne forçait pas a vrai dire, en rien, Armelle le laissait faire, il lança avec une conviction et une foi assez touchante, si on considère dégueulasse comme touchant:
"Tais toi, tu ne comprend donc pas que je suis en train de te sauver?Que ta vie n'es qu'un mensonge et que je représente la vérité?Ce corps qu'on ta donné réagit alors que ton esprit dit le contraire, mais ne t'ais je pas déjà dit que le diable avait ensorcelé celui ci?Fais moi confiance, je ne te ferais rien qui méritera que tu souffre. Tout ce que je fais, c'est rappeller ton corps a notre créateur et te rapeller a la voix de la raison, c'est pour ça que je suis là."
Fit il avant de laisser tomber les léchouilles. Bien. Le plat de résistance maintenant, Don saisit sa verge entre ses doigts. Il était temps de passer aux choses serieuses
"Où est la maison?Qui sont ses habitants?Je ne pourrais pas les sauver comme je te sauve toi si tu ne m'indique pas l'endroit où elle est, n'as tu pas envie de savoir tes amies heureuses?De savoir qu'elles éprouveront ce que tu éprouve toi aussi?Tu veux donc tout garder pour toi petite égoiste?!"
Don empoigna un des seins d'Armelle pour jouer un peu avec alors que de son autre main il abaissait sa verge contre l'entrejambe d'Armelle, a première vue le sexe semblait bien trop gros, mais Don savait avec experience qu'il n'aurait pas de problème.
"Tu m'obeira, parce que tu n'aura pas le choix et je sais ce qui est bon pour toi, alors dis moi où sont tes camarades?
Et il profita de ce moment de distraction pour saisir Armelle par la hanche et de rentrer de toutes ses forces en elle sans aucune délicatesse, il fut rapidement bloqué mais il arriva tout de même a entrer une bonne portion de son sexe dans le corps de la jeune fille
"Où?!"
-
Elle en était arrivée à un point où elle se dégoutait d'elle-même. Comment pouvait-elle aimer ça ? Elle ne le comprenait pas, mais son corps le lui rappellait bien qu'elle adorait le traitement de Don. Cette contradiction créait une frustration sans égal dans son esprit, et l'hésitation était grande. Que faire, que croire ? C'était bien une grande question, car entre écouter son esprit qui disait de continuer à résister et ne pas croire Don, et son corps qui la suppliait de se soumettre et de tout avouer, le choix était dur.
Mais elle avait fait une promesse, et tant pis pour les conséquences, elle tiendrait jusqu'à ce qu'on lui examine le cerveau si il le fallait. Personne ne devait connaître l'emplacement de la Maison, c'était comme ça, tant pis pour les conséquences. Elle ne devait pas le dire, un point c'est tout.
Un cri s'échappa de sa gorge alors qu'il insistait, les flammes de plaisir générées par sa langue s'amplifiant comme un souffle venant sous le foyer, elle ne put pas s'empêcher de se tenir à la tête de Don, et passer ses jambes en équerre autour du buste de l'esclavagiste.
" Ha... "
Elle se laissa doucement retomber quand il arrêta. Son bas-ventre était encore consumé par le désir, et son corps n'attendait que la suite, alors que son esprit voulait que ca s'arrête immédiatement. Ces deux forces opposées ne savaient pas se départager...
" O-on est... Peut-être une trentaine... Beaucoup de filles, pas beaucoup de garçons... Tous des enfants en dessous de 15-16 ans... "
Balbutia-t-elle. Elle eut un hoquet en se rendant compte de ce qu'elle venait de dire: elle avait avoué une partie du secret de la Maison, et ce de sa propre volonté. Mais qu'est ce qui lui arrivait ? Armelle avait l'impression de devenir folle. Comme pour se rattraper, elle protesta vivement.
" Non, non ! Je ne peux pas le dire ! "
Elle sentit une main s'emparer de sa jambe, la soulever... Elle sentit une autre main prendre sa hanche, et...
Dans un cri perçant, Armelle sentit son innocence se déchirer. Sa pureté volée par un homme qu'elle ne connaissait pas, soi-disant son "sauveur" qui ne faisait que la plonger dans l'enfer. Un enfer dont déjà les flammes venaient d'éclater dans son corps comme des papillons de plaisir, la faisant devenir dingue de ça.
" N-noooon ! "
-
Les défenses mentales d'Armelles étaient en train de céder, il les sentait autant que cet hymen qu'il venait de briser par sa simple force. L'esclavagiste sourit alors qu'il prenait enfin possession de la jeune fille. Enfin, il avait attendu pas mal de temps et avait cru que ce moment n'arriverait jamais, mais c'était le cas, bientôt Armelle serait en son pouvoir et sa chose allait considérablement l'aider a capturer toutes ces proies potentielles. Il n'avait plus qu'a se baisser pour pouvoir ceuillir une belle brochette de jeunes esclaves parfaites pour sa collection personnelle et qui lui rapporteraient gros une fois vendues. Don eut un petit rire alors qu'il s'enfonçait en Armelle avec grande peine au vu de l'étroitesse de l'orifice. Le marchand d'esclave exultait, bientôt il aurait en main toutes les cartes nécéssaires a la possession de la maison, car si ce qu'il venait de faire a Armelle avait suffit pour la faire craquer, maintenant qu'il allait prendre possession d'elle, elle n'était plus qu'a quelques pas de tout lui révéler!Ou plutôt a quelques coups de reins, il lui lança un peu avant de la prendre
"Bien, tu es coopérative, c'est très bien, laisse moi te reveler un pallier supérieur dans le plaisir que ton corps peut ressentir."
Puis il la prit, elle hurla et Don eut un sourire tandis qu'il léchait son cou d'oie blanche de sa langue rapeuse et qu'il s'immiscait en elle
"Voilà, voilà ce a quoi tu es destinée, ne t'inquiète pas, bientôt tu me remerciera, que dis je, tu me suppliera de t'en donner plus."
Don passa la jambe d'Armelle par dessus son épaule et s'enfonça un peu plus profondement en elle, se fichant bien de la douleur qu'il pouvait lui infliger, se préoccupant seulement du plaisir qu'il en retirait, et bon dieu...C'était comme si il était mort et qu'il était au paradis...Au lieu de l'enfer prédestiné. Il s'enfonça encore un peu avant de lancer
"Crache le morceau si tu veux plus!Dis moi où ils sont?"
Fit il avant de mordre un de ses mamelons
"Dit le!"
Fit Don alors qu'il lui assenait un second coup de rein particulièrement violent et que son autre main avait attrapé son autre sein pour le pétrir avec puissance et fermeté
-
Qu'était-elle en train de faire ? Encore maintenant, elle n'en revenait pas, elle ne pouvait pas croire que c'était elle qui venait de vendre une des informations de la Maison. Il fallait qu'elle résiste à cette torture, surtout ne pas parler, ou ce serait la fin de tous. Comment un soi-disant envoyé de Dieu pouvait-il être aussi brutal et méchant ? Elle ne croyait pas une seconde qu'il les aiderait.
Non, ils les mettrait juste a cette ordure immonde, elle en avait aucune idée du pourquoi mais elle savait qu'il continuerait ses actes ignobles jusqu'à la dernière des membres de la Maison, elle en était convaincue...
Elle avait mal, terriblement mal. Ca lui faisait peu de bien, ce membre trop gros pour elle lui donnait l'impression qu'on lui écartais le bassin de force, c'était tellement atroce. Elle ne pouvait pas voir les autres filles subir ça...
" Non, lâchez-moi ! Je n'en veux pas ! "
Dit-elle en grimaçant, secouant sa tête de gauche à droite pour essayer de l'empêcher de lui lécher le cou, faisant encore passer une lance de plaisir a travers son corps.
" Non, jamais ! Jamais je ne ferai ça !... "
Probablement qu'à force d'être trop gentille, on en étais punie. C'était exactement ce qui lui arrivait. Retournée, elle sentit la douleur s'accentuer encore plus, lui arrachant des cris et des pleurs, le suppliant d'arrêter.
" N-noooon ! "
Secouée et brutalisée, partagée entre le plaisir et la douleur, Armelle était comme un bateau face à une mer déchaînée: elle se sentait chavirer.
-
-Hj-Désolé du retard que je prend-Hj-
Bien, encore un peu de resistance. Pas de problème, il attendrait le temps qu'il faudrait. Il était patient, trop patient même, a présent il savait qu'il ne lacherais pas la maison. Armelle allait tout lui offrir sur un plateau d'argent, un beau set d'esclaves prêtes a l'utilisation et ne demandant qu'a être servies. Don se calla un peu mieux pour pouvoir entrer en Armelle avec plus de difficulté, l'excitation était a son comble. Non seulement Armelle était plus que désirable et faire l'amour, même de force a une telle bombe était plus qu'excitant, mais la perspective qu'elle serait loin d'être la dernière et qu'elle viendrais avec une ribambelle d'autres jeunes filles était encore plus tentant. Se pourléchant les babines, Don continua ses coups de reins de plus en plus fort, au mépris de la douleur d'Armelle et des sensations nouvelles qu'il lui procurait, accellerant les coups de bassin jusqu'a lui donner l'impression de la déchirer il lui lança
"Dis moi, tu n'a pas le choix, tu es esclave de ton désir. Désormais tu ne vis que pour me servir, et si tu ne m'obeis pas."
Il leva la main d'un air menaçant
"Je te punirais."
Et Don rabattit sa main sur la fesse droite d'Armelle et la fessa alors qu'il entrait en elle et ressortait avec vitesse, il l'attira vers lui et la colla contre son torse tandis qu'il la retournait et la mettait face contre lui en souriant.
"Regarde, regarde ce spectacle, je suis entré en toi, tu es a présent a moi."
Fit il en accellerant les coups de bassins
"Est ce que tu n'es pas heureuse de m'appartenir esclave?Dis moi, fais plaisir a ton maître, et dis moi tout, et je te promet que je reserverais un sort aussi délicieux a tes camarades."
-
Elle ne s'en rendait même pas compte, mais jusqu'ici, elle faisait preuve d'une résistance à toute épreuve, pour une fille aussi sensible qu'elle. Pour beaucoup, elles auraient déjà jeté l'éponge et tout avoué, mais le dévouement infini qu'elle consacrait à la Maison était plus fort que tout. Elle ne voulait pas les trahir, car elle avait donné la parole, qu'importe si ce traitement était bon ou non, elle ne pouvait pas les trahir et révéler le secret.
Il ne fallait pas que ce manipulateur l'apprenne, surtout pas qu'elles tombent dans ses griffes... Elle ne lui faisait plus confiance par la douleur qu'il lui infligeait, cela lui faisait plus mal dans son esprit et son coeur qu'autre chose. Et plus il en remettait une couche, plus elle souffrait... C'était ignoble.
Obligée de se tenir aux épaules de Don, Armelle ne cessait pas de crier à chaque mouvement que l'esclavagiste prodiguait dans son bassin. Elle avait l'impression que son bassin allait s'écarter et craquer d'un instant à l'autre, tant elle n'avait pas l'habitude, ça faisait atrocement mal.
" Non, c'est faux ! L-lâchez moi, j'ai mal, je ne suis pas votre esclave ! "
S'ensuivit un cri lorsqu'il abattit sa main sur sa fesse charnue, rebondissant d'un air désirable sur le coup, les larmes lui coulaient sur les joues comme une rivière.
Forcée de voir ce qu'il lui faisait, la honte l'avait envahie, elle fermait les yeux en priant pour qu'elle se réveille tant ce cauchemar était horrible, elle n'avait jamais rien vécu d'aussi terrible, mais elle se rendait durement a la réalité: elle ne s'en sortirai pas en priant pour se réveiller.
" Non, non ! Je ne suis pas à vous, jamais ! Vous êtes méchant, vous me faites mal, jamais je ne les trahirai ! Nooon ! "
Plus il accélérait, plus elle criait fort. Sa douleur montait comme le plaisir de Don montait. Un équilibre bien injuste...
-
Mais Don se riait bien des tentatives d'Armelle pour lui résister, l'esclavagiste savait que tout n'était qu'une question de temps. Il savait très bien qu'Armelle ne lui résisterais pas eternellement, pas avec un corps aussi sensible, pas avec un désir aussi ardent, et encore moins avec ses méthodes, il pouvait la sevrer brutalement quand il voudrait après quelques coups et elle viendrais quémander elle même de se faire prendre, ce n'était qu'une question de temps, qu'elle crache le morceau ici ou maintenant n'était qu'une simple formalité et bientôt Armelle serait heureuse comme elle était, avec ce qu'il lui donnait. L'esclavagiste lui, continuait ses coups de bassins violents, et plus il la sentait souffrir, plus il la sentait plier sous sa volonté, plus il se sentait vivant. Plus il avait envie de désirer plus d'Armelle, il décida finalement qu'il était temps pour la jeune fille de recevoir son cadeau de bienvenue
"Tu es mon esclave, parce que tu aime ce que je suis en train de te faire et que si je te lache maintenant personne ne sera capable de te faire crier comme moi."
Il souleva soudainement Armelle pour la renfoncer plus profondement sur son membre alors qu'il l'embrassait a nouveau et se mettait a petrir sa poitrine qui ballotait d'un air si appetissant devant lui avant de la mordre. Passant sa langue sur ses lèvres il lui lança
"Tu es a moi, tu sera toujours a moi, et je vais te dire pourquoi?"
Il se retira alors d'elle, tout d'abord pour illustrer son propos et la laisser demander plus, la torturer un peu, puis lui lança
"Si tu veux que je continue supplie moi."
Qu'elle le supplie ou non, Don retournerais alors Armelle, avec colère ou non selon la réponse alors qu'il tendait les bras vers le feu de la cheminée dans la piece où il avait laissé en entrant quelque chose, il lança a la jeune fille
"Et voilà la preuve que tu es a moi."
Fit il alors qu'il tenait fermement Armelle par l'épaule et apposait le fer chauffé au rouge sur la fesse droite de la jeune fille, lui imprimant de façon indélébile sa marque
"Alors?Tu es prête a passer a table maintenant, esclave?"
-
Comment pouvait-il tirer un quelconque plaisir de faire du mal aux gens comme ça? Armelle ne comprenait pas du tout, et elle ne comprendrait jamais comment le sadisme pouvait-il plaire à quelqu'un, qui que ce soit. Et elle serait la dernière à le comprendre, si elle comprenait un jour...
Tout ce qu'elle ressentais, c'était une vive douleur dans son bassin, comme si on l'écartais depuis l'intérieur. C'était horrible, comme une déchirure qui n'en est pas vraiment une, mais fais atrocement mal, au vu des cris de douleur d'Armelle.
Mais sa résistance à toute épreuve lui permettait au moins de surmonter ces tortures et surtout ne pas parler, car plus ça durait, plus Don montrait son vrai visage: un esclavagiste méchant et sans scrupule. Ce que Armelle ne saisissait pas tout à fait, mais au moins elle comprenait que cet homme était dangereux, et elle devait protéger la maison, à tous prix.
" N-n... "
Elle n'eut pas le temps d'encore hurler "non" qu'il était déjà sur son visage, à l'embrasser et lui mordre la poitrine, la faisant crier, étant hypersensible. Mais le pire restait encore à venir... Par bonheur, il se retira brutalement, faisant s'estomper pendant un court moment, elle restait là à haleter, rassembler ses esprits et ses forces.
" ... "
A sa demande de supplications, Armelle ne répondit pas, prête à le braver jusqu'au bout. Mais elle n'avait pas encore saisi a quel point sa désobéissance serait douloureuse...
Apparement fou de rage, Don la retourna sur le dos, et la tenit. Et avant même qu'elle ne comprit, une vive douleur s'empara de sa fesse droite, et remonta le corps, comme une morsure.
Un cri inhumain, sorti de la bouche d'Armelle, retentit.
S'écroulant par terre, elle n'arrivait plus à parler, juste sangloter.
-
Don n'avait néanmoins pas prévu de laisser une seule seconde de répis a Armelle, se penchant sur elle alors qu'elle venait de crier de toutes ses forces, Don sourit alors qu'il attrapait Armelle par les cheveux et la forçait a revenir contre lui, le marchand d'esclave léchant son cou fin et délicat de se langue rapeuse alors que sa main soupesait et pressait un de ses seins pour faire sortir un peu de lait de celui ci, Don sentait qu'Armelle ne tiendrais pas plus longtemps, il allait la faire cracher, et vite, peu importe le temps que ça lui prendrais. Le marchand d'esclave eut un petit rire alors qu'il lançait a la jeune fille
"Tu es a moi. Accepte cet état de fait, tu es née pour mon bon plaisir et ce n'est que comme ça que tu sera heureuse, en refusant d'obeir tu souffre, ce n'est pas de ma faute c'est de la tienne, tant que tu refusera ta nature d'esclave a mon service, tu ne ressentira que de la douleur là où tu devrais ressentir du plaisir."
Il la frottait contre son bassin, son sexe passant sur le sien en montrant qui'l allait peut être penser a finir ce qu'il avait commencé, Don eut un sourire cruel alors qu'il retournait Armelle contre lui et la regardait avec un air sincère
"Alors, plus de mensonges ni de retenue hein?Je veux que tu sois une esclave heureuse, tu le mérite."
Fit Don avec l'ironie et la bassesse de ce genre de sarcasme, il en profita alors pour approcher subreciptement son sexe de l'autre entrée
"Ou alors tu m'oblige a te faire encore plus de mal. Ce qui me fais souffrir, et te fera souffrir, tu ne crois pas?"
Fit il avant de pénétrer sans douceur par l'autre entrée, plaquant Armelle contre le lit
"Alors PARLE!"
Cria Don en commençant ses mouvements de bassin, frottant par ailleurs les fesses d'Armelles contre le lit et sa marque nouvellement faite lui brulant la fesse au fur et a mesure que ses coups de bassin continuaient
-
C'était un traitement immonde, inhumain, qu'elle n'avait pas mérité et qui ne forcait Armelle à penser que tout ce qu'on avait tenté de lui apprendre à l'orphelinat n'était que bêtise: Dieu n'existait pas. Et la preuve étant, si Dieu était si miséricordieux, il ne permettrait pas qu'on fasse du mal à une fidèle représentante des valeurs du Seigneur.
Rien n'était bon. Du début a la fin, même cette langue qui lui léchait le cou avec passion n'était pour elle qu'un serpent visqueux et dégoûtant qui voulait juste s'emparer de son corps. Don n'était plus un être humain pour elle, mais un porc, un démon immonde qu'elle voulait qu'il disparaisse immédiatement de la surface de la terre pour que plus jamais d'autres ne subissent ce qu'elle as subi.
Mais bien incapable de répondre à ce qu'il disait, Armelle se contentait d'avoir un air écoeurée, subissant les douleurs infligées par ce monstre.
Seulement, son silence et son refus de coopérer furent bien vite cher payé. Pénétrée là où il ne faut pas, elle poussa encore a nouveau un cri, déchirée, se tenant au lit comme a la dernière bouée de secours capable de lui faire surmonter la douleur. Elle fermait les yeux et serrait les dents, mais incapable de se retenir elle hurlait, encore et encore, a s'époumoner, la douleur de la pénétration et surtout du frottement sur sa brûlure rendant le tout presque insoutenable, c'était atroce.
" NOOOOOON ! "
-
Don profita pour s'infiltrer bien plus d'un seul coup car Armelle, trop occupée a crier venait de baisser sa garde une seconde de trop, saisissant sa jambe, il raffermit sa prise et viola son autre entrée dans un cri libérateur et empli de sarcasme. Le marchand d'esclave connaissait ici une des meilleures formation d'esclave qu'il n'avait jamais fait, parce que la matière première était sensationelle et absolument exquise, et il n'avait de cesse que d'aller et de venir en elle pour prouver sa satisfaction. Evidement, Armelle n'y connaissait rien, elle était bien incapable de savourer le plaisir qu'il se donner et être heureux pour lui, comme une bonne petite esclave, mais c'était parce qu'elle manquait d'entrainement. Don était sur qu'elle allait se rattraper par la suite, une fois qu'il l'aurait soumise a sa volonté et qu'elle obeirais comme une bonne et docile esclave. En tout cas elle avait tout ce qu'il fallait pour. Et Don ne se privait pas d'accentuer ses va et vien de poussées plus brusques et plus violentes, parce qu'il voulait qu'Armelle parle, et qu'il puisse réitérer tout ça avec les autres membres de la maison.
"Si!"
Fit il en réplique a son cri alors qu'a présent il la torturait d'avantage, ce plaisir exquis allait monter en elle, Don s'avança et lui lança
"Tu vois?Tu vois comme tu résiste au plaisir que je t'offre?Si tu ne ressent que la douleur, c'est parce que tu refuse d'être honnète avec toi même!Accepte ta condition d'esclave et soumet toi a mon autoritée!Je suis ton maître!"
Fit il avant de réitérer ses coups de bassin
"Qui suis je?"
-
Elle ne pouvait pas rester aussi longtemps sur ses gardes, à s'efforcer de le gêner le plus possible dans son acte, tenter de le faire arrêter. Après tout, c'était un homme entraîné, et elle une pauvre petite fille aux hormones qui l'ont trop travaillé, tant que ca en devenait presque un handicap.
Qu'aurait-elle donné pour pouvoir retourner en arrière et rester bien au chaud à la Maison, comme on lui avait conseillé ? Elle aurait volontiers sacrifié tout ce qu'elle pouvait donner.
Seulement, maintenant, ce n'était pas elle qui sacrifiait, mais cet être abject qui lui prenait tout ce qu'elle avait, et ce n'était pas des biens matériels, c'était bien pire que tout ça.
Par chance, même si Don pouvait violer son corps, il ne pourrait jamais pénétrer son esprit et l'empêcher de croire aux autres filles de la Maison. C'était bien cette seule, cette unique pensée qui la forcait a s'accrocher et ne pas plier à ses moindres désirs, car elle savait pertinemment bien qu'il ne leur ferait aucune pitié, et les ferait souffrir comme elle as souffert. Seulement, même si son esprit demeurait solide comme le métal, son corps avait des limites, et elle ne pourrait plus supporter tout ça très longtemps. Il fallait qu'elles fassent vite, avant qu'elle ne craque... C'est tout...
Haletante, le visage couverts de larmes, elle n'arrivait qu'à balbutier, le bravant jusqu'au bout malgré son apparence bien pitoyable à présent:
" Vous... Vous êtes... Vous êtes immonde..."
-
Arrivé a ce niveau là ce n'était plus possible de faire demi tour, il allait se donner a fond pour cette fois, si elle resistait encore, eh bien ils remettaient ça dès qu'il avait pris assez de temps pour se remettre en forme. il n'allait laisser aucun temps de répis a Armelle. Aucun, il la prendrait jour et nuit si il le fallait, il lui ferait connaître le rythme halletant qui était le sien, elle deviendrais sa chose, sa chose humble et dévouée qui lui obeirait en toutes occasions, sa petite vache a lait incapable de résister a son appel et réagissant au sexe comme si elle était en manque, elle deviendrais une esclave modèle, elle en avait les capacité, et elle avait a présent un excellent maître qui allait la mener sur la voie des premiers, il allait bientôt être dur de faire la différence entre elle et une esclave parfaitement entrainée, quand il aurait mis la main sur la maison il allait se faire une joie d'entrainer toute la bande avec lui, il avait de nombreux projets pour celle ci. Des projets pour lesquels il ne se faisait pas d'attendre.
"Mauvaise réponse."
Don répondit a celà en fessant violement Armelle, si violement qu'il laissa une marque de main rouge sur son posterieur, sur la fesse opposée de la marque au fer rouge, il se retira brutalement d'elle pour la pénétrer a nouveau par la bonne entrée et de la prendre contre elle, accellerant ses mouvements de bassin de plus en plus vite et de plus en plus fort, il soupesait ses seins, lui faisant cracher le lait contenu dans ceux ci, il lui mordit le cou avant de lui lancer
"Qui suis je?"
Il se sentait approcher des derniers instants, il la laissa retomber en levrette et força comme une brute les ultimes coups de bassin
"Qui...SUIS JE?!"
Fit il avant de prendre la croupe d'Armelle a deux mains et de venir en elle, se deversant entièrement, avant d'attendre une réponse