Le Grand Jeu
Plan de Terra => Les contrées du Chaos => Les terres sauvages => Discussion démarrée par: Vaelh le dimanche 25 août 2013, 17:16:16
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Zda'Dubrel Vecth, "La nature qui décide". Ainsi annoncerait, avec emphase, un démon s'apprêtant à narrer son incroyable périple au travers des terres sauvages. Quel endroit... Les éléments s'y livrent une lutte pour la domination du paysage, un combat titanesque qui relègue les civilisations au second plan. Un monde où l'horizon est la ligne de front d'un conflit d'usure avec pour protagonistes la roche érodée de gargantuesques monolithes minéraux, contre la sublime empyrée azure zébrée de ses flottilles de nuages. Là bas, le sol élève ses milliards de tonnes de roches en de terribles pointes menaçantes qu'il appelle montagne. Là haut, le firmament se défile habilement pour évité d'être percé par pareils épieux, mais ne manque pas d'en vicier le piquant par ses pluie torrentielles. Ils luttent, sans considération pour la vie qui n'a d'autre choix que de s'adapter au relief de ce champ de duel.
En retrait, infiniment loin et pourtant si proche de ce tableau apocalyptique, se tient l’astre du jour. Il ne fait qu'observer, juge impassible au cœur pourtant en fusion, spectateur indifférent de toute cette débâcle de splendeur. Cet astre est là pour nous aider, misérables être vivants insignifiants que nous sommes. Comment ? Avec ses rayons, ces chaudes raies d'or qui se posent avec indulgence sur les endroits de ce champs de bataille infini que l’œil ne doit pas manquer.
Comme les doigts doucereux d'une amante, sa lumière glisse sur la peau rocheuse des montagnes, les sublimant, les chauffant. Parfois, cette même lumière accroche le reflet arc-en-ciel de quelque veine de minerais précieux éclatée, ouverte comme une superbe plaie.
Comme une onde qui se propage, sa lumière bondit d'un nuage à l'autre, dispersant sa chaleur au cœur de ces amas de coton. Elle leur donne ainsi vie et les fait s'illuminer d'un scintillement apaisant.
Et tandis que se déroule le silencieux et merveilleux combat des éléments en cette chaude journée, un discret faisceau d'or, scindé par quelque lointaine charmille émeraude, se pose sur le sol non loin de nous. Il met à jour une pousse, chétive, bousculée par la brise tiède. Puis une seconde, puis d'autre, et une multitude. Les hautes herbes, les collines, les arbres. La vie. Partout atour de nous, tout porte la marque du ciel et de la terre qui, las de leur conflit, se sont imposés une trêve pour s'aimer. Une trêve pendant laquelle le ciel à fécondé la terre par ses pluie. Une trêve pendant laquelle deux ennemis sont devenus amants et ont procréés. Mais une trêve qui visiblement n'aura pas durée longtemps, puisque en arrière plan, monts et cieux se défient encore.
Ainsi l'ennemi peut devenir un ami, puis un amour, pour mieux redevenir un ennemi. L'histoire se répète depuis l'aube des temps, mais ne s'achèvera qu'à sont crépuscule.
Et au milieu de tout ça, nous sommes petits. Infiniment petits.
Le décor est planté.
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Vaelh cligna des yeux. Il n'avait pas la moindre idée du temps qu'il avait passé ici. A vrai dire, le temps avait semblé cesser de s'écouler depuis que la magnificence du paysage, du monde, s'était imposé à lui. Dans les Enfers, il n'y avait ni soleil, ni plantes émeraudes. Mais ici, clarté et vie s'étalaient à profusion. Une telle vision l'avait d'abord choqué, avant de manquer de le rendre complètement fou. En effet, Incube qu'il est, chaque expérience, chaque sensation, chaque petit plaisir est amplifié des centaines de fois pour devenir une extase sans pareille. Là où la brise caressait la peau des vivants, elle provoquait des frissons d’exaltation chez le démon. Là où la vue ébahissait les badauds, elle avait fait tomber à genoux l'Incube. Tout était amplifié, à un tel point que le plaisir devenait torture.
Alors quand il s'était trouvé face à ce panorama impossible, oui, la folie avait menacée de tout balayer.
Heureusement, des siècles d'hédonismes avaient enseignés au démon que pour un plaisir découvert, mille et uns autres encore plus intense attendaient. Vaelh s'était alors lentement redressé, un sourire carnassier, avide et conspirateur aux coins des lèvres. Terra recelait-elle d'autres jouissances plus spectaculaire que celle-ci ? Le seul moyen de le savoir restait de partir à l'aventure.
Il se félicita d'ailleurs d'avoir eu le génie de choisir Terra comme premier périple touristique. Ses attentes étaient si nombreuses en ce lieu. Il espérait tant voir le monde dans son entièreté ! Il espérait tant rencontrer les vivants ! Ah, ce serait une étape fort amusante... peut être pourra-t-il en pousser un très grand nombre à s'abandonner aux plus extrêmes débauches d'hédonismes. Ils finiraient ainsi en Enfer et viendraient grossir les rangs des sujets du démon.
L'esprit plein d'espoir de découvertes et de rencontres, l'Incube s'était lentement dirigé au gré des vents. Il avait déjà, à plusieurs reprise, contourné quelques petits villages peuplés d'êtres mi-humains mi-bêtes. Il ne voulait pas se mélanger à eux tout de suite, il souhaitait encore profiter des plaisirs de l'explorations tant qu'ils le faisaient frémir d'envie. Il n'essaya pourtant pas d'être discret, de toutes façons ses atours d'outre-monde ne l'y aidait pas. Il était vêtu comme le monarque des plaisirs, véritable personnification de la tentation. Sont haut aux étranges découpes laissait nu son ventre et son pectoral gauche sur lequel était tatoués nombre de motifs complexes. Sont pantalon, d'avantage semblable à une robe de mage, était taillée indécemment bas au niveau du ventre. En regardant de plus près, on devinait qu'il cachait tout de même des armes là dessous. Partout sur son costume s'étalaient diverses inscriptions ésotériques. Il était semblables à un amas de mots occultes et interdits gravés à même sa chair pâle, parfaite et musculeuse. Chacun de ses pas, chacun de ses gestes, exsudaient une grâce telle qu'un bête mortel n'aurait pas même pu l'appréhender. Le moindre de ses regards semblait être vecteur des plus indécentes invitations au plaisir ; pourtant il sondait simplement les environs, en quête d'autres merveilles à dévorer des yeux.
Il eut alors un pressentiments, comme l'intime conviction que quelque chose... non, quelqu'un allait très bientôt avoir le culot de le déranger alors qu'il était occupé à prendre sa dose de plaisir. L'idée paraissait folle. Qui pourrait oser lui adresser la paroles -ou du moins s'imposer à son champ de vision- en cet instant ?
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Mon regard observait le miroir, tout doucement je cherchais ma nouvelle proie, fixant le monde de Terra de mes yeux d’émeraude, quelques mèches de ma chevelure de charbon caressant mon visage au teint basané et au reflet tout frais nettoyer, un sourire naquis sur mes lèvres alors que je regardais une région, les hommes-animaux, sauvages mais d’une élégance particulière méritant de se faire découvrir, mais en même temps si facile à tenter dans n’importe qu’elle tentation, que ce soit la gourmandise, l’avarice ou même la luxure, c’était des proies aussi facile que les hommes, mon regard vint sur une créature que je n’avais jamais vue, je l’observa, il était étrange, mais attirant en même temps, je me mordilla la lèvre, est-ce lui qui me tenteras dans tous les choix que j’avais? Je verrais.
Je me leva, j’étais nue comme à mon habitude, mes familiers pendue à mes jambes et l’un à mes bras, mes fidèles serpents d’or et de jade aussi majestueux que leur maîtresse, je regarda mes vêtements un à un, puis délicatement je prit cette robe d’or qui suivait mes délicates courbes féminine et qui dévoilait la courbe qui laissait voir la naissance de sa poitrine en son centre, un bijou d’émeraude placer au centre de cette courbe. Cette robe descendant à mes genoux, laissant voir une délicieuse ouverture sur le côté de ma cuisse. Je m’observa dans le miroir, replaçant quelques mèches derrières mes oreilles, j’eus un sourire et y installa mes bijoux, sur mes bras, mon cou puis mes oreilles, puis je me regarda dans le miroir en faisant un tour sur place et me trouva parfaite pour descendre voir celui que je tenterai.
Je fis descendre mes serpents qui partient se cacher, je regarda une dernière fois à travers mon miroir magique qui permettait de voir les gens et j’observa ma proie, parfait, le jeu commence, le jeu de la tentation. Je partie chercher le portail infernal menant au portail qui menait le plus près de l’endroit de la créature, l’emprunta et apparue là où je le désirais, je l’aperçus au loin, je pouvais le reconnaître, il était si étrange comparer aux autre que j’aurais pu le reconnaître dans n’importe qu’elle foule, mais là, il était seul à cette endroit…
Je l’observa, puis le jeu débuta, je savais exactement quoi faire, je partie en sa direction, délicatement, je ne chercha même pas à me cache de son regard, mes yeux d’émeraude le regardant, une légère brise caressant ma chevelure noir, mes oreilles pointues se faisant voir, j’avançais gracieusement, mes pouvoirs de tentatrice activée sur cet homme à la chevelure bicolore, il pouvait sentir sa tentation montée face à moi, j’aime activée se pouvoir quand je suis peu certaine du résultat, je m’approcha pour que seulement quelques mètres nous séparent, je le regardais, je jouais un jeu, peut-être dangereux, mais j’essayais de le tenter à s’approcher de moi, mon regard d’émeraude le tentant, je restais muette, ne voulant gâcher ce moment de mes paroles. Est-ce que cet homme entrera dans mon jeu de la tentation, en y succombant ou tentera-t-il de me tenter? Nous allions bien voir cela.
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Les craintes de l'Incubes s'était avérées justes : les hautes herbes et feuilles séchées bruissèrent, trahissant l'approche peu discrète de quelque visiteur. Au pseudo-vacarme que l'intéressé générait, soit il était particulièrement mauvais pour masquer sa présence, soit il ne cherchait justement pas à se dissimuler. Insouciant de nature, Vaelh choisit plutôt de croire en cette seconde option. A peine quelques instants plus tard, la créature qui s'approchait fut enfin en ligne de vue.
Et quelle créature ! Une femme... Non, plus que cela. Une simple mortelle n'aurait jamais pu exsuder pareille sensualité au moindre de ses mouvements. Celle-ci avait quelque chose en plus qui fit bouillir le sang du démon. Elle avançait dans un silence arrogant et majestueux, avec la démarche de celle qui sait qu'elle est sublime.
Quand elle fut plus proche, il plongea son regard d'or dans celui émeraude de la femme. Alors il sut qu'il avait peut être à faire à l'une de ses sœurs.
A présent, le démon souriait de toutes ses dents. Un sourire si grand, si blanc, si merveilleux ! Paradoxalement, son esprit bouillonnait de ressentis contradictoires. Un désir violent l'étreignait : celui de battre cette petite impertinente jusqu'à ce qu'elle soit méconnaissable juste pour avoir osé interrompre sa contemplation ; mais il mourrait d'envie de savoir ce qu'une de ses semblables pouvait bien faire ici. En même temps, son esprit était assaillit par un torrent de concupiscence. Chacune de ses pensées se teintait d'un intolérable désir. Plus de doute, cette créature n'était définitivement pas humaine.
Plutôt que de lutter, Vaelh décida de se laisser emporter sans retenue dans ce tourbillon de désir impérieux. Dans un soupire d'appréciations, il laissa ses pupilles dilatées courire sur le corps de la créature sans faire montre de la moindre gêne, appréciant ses courbes d'une beauté surnaturelle. Ainsi, ces envies qu'elle suscitait s'en trouvaient décuplées, et quand bien même, Vaelh choisit de s'abandonner aux scènes indécentes qui se jouaient dans son esprit pervertit. Il laissa le pouvoir de séduction de cette femme l'imprégner sans y résister, puis il ferma les yeux.
Pour l'Incube, se laisser ainsi submerger par les désirs qu'autrui provoquait chez lui revenait à préparer la dégustation d'une coupe de bon vin. Là où l’œnologue remuait sa coupe pour que l'arôme du nectar lui embaume les narines, Vaelh laissait le charme de la femme lui enflammer l'esprit. Il put ainsi en savoir un tout petit peu plus sur elle, sur sa nature. Une prédatrice à n'en pas douter... Allait-elle ne dévorer ? Cette rencontre promettait d'apporter son lot de surprise !
Mais peut être qu'aujourd'hui, celle qui se prétendait chasseresse deviendrait la proie d'un prédateur plus puissant qu'elle.
L'Incube afficha un sourire béat qui ne fit que sublimer la stupéfiante perfection de ses traits. Les mots manquaient en cet instant pour le décrire. Il était la personnification même du charme, de la beauté, de l'envie, de l'invitation à découvrir quelques obscures plaisirs. Il fit un unique pas en direction de la femme, porté par une telle déité qu'il semblait n'être que le fruit d'un rêve, d'un fantasme. Chacune des zones de sa peau pâle mise à nue par ses étranges vêtements provoquaient la spectatrice, l'incitant à venir y poser ses doigts pour y découvrir une douceur et une chaleur insoupçonnée. Dans le même mouvement, il laissa toute son aura de charme filer vers la créature. Le nuage éthéré s'enroula autour des membres de sa "victimes" avec la douceur d'une brise d'été, flattant la moindre zone de sa peau d'une caresse imaginaire d'une telle puissance qu'elle ne pouvait pas manquer de provoquer nombres de frissons.
Mais non content de flirter avec la chair de la créature, le don du démon s'insinua dans son âme, soufflant à la femme mille et une choses qu'il serait plaisant de faire avec Vaelh. Les images se succédaient à un rythme fou. Les unes suggéraient ce à quoi cet Incube parfait devait ressemblé, une fois délesté de ses atours. Les autres vantaient ses capacité à faire perdre la tête de ses victimes dans quelques jeux érotiques. D'autres encore enluminait les fantasmes que la femme pouvait déjà avoir, les amplifiant, les faisant progressivement passer du stades de désir à celui de besoin quasi-vital ! Il lui faudrait un sacré self-contrôle pour prétendre résister à tout ça.
Tandis que la femme se trouvait à son tour noyée sous quelques pensées indubitablement enivrantes, le démon daigna lui faire l'honneur d'entendre sa voix. En fait, la qualifier de voix aurait été un insultant euphémisme. C'était d'avantage une divine ode, si pure, si claire que chaque mot prononcé semblait prendre consistance dans les airs. Chaque son produit était le vecteur d'une impossible et stupéfiante musicalité. L'atmosphère elle même vibrait pour propager une si belle musique que celle qui sortait de la gorge du démon. En somme, écouter Vaelh devait conduire à ce qui se rapprochait d'un orgasme auditif.
Heureuse rencontre... Créature. Mais qu'es-tu ? Une amie ? Une ennemi ? Une démone ? Une ange ? Ah... Peut être es-tu l'une de mes sœurs ! Il sourit, l'air à la fois patient et arrogant. Eh bien qu'attends-tu pour te présenter ? Mon temps en ces lieux m'est précieux, aussi veille à te montrer intéressante si tu veux encore avoir la chance de retenir mon attention.
En attendant que la réponse vienne, le démon croisa les bras. Même un geste d'apparence si simple devenait un tissu de sous-entendus et de provocations charnelles.
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Nos regards ce croisa, celui de l’or et du vert, un mélange de deux couleurs qui me représente si bien, il n’était point un elfe, je le savais, sa nature se voyait, ce ressentait…Ce vivait, il n’était d’autre qu’un démon, c’était sure, il sentait le démon, mais si différent, il souria, un sourire magnifique et blanc, je reconnais ce genre de manière, il me ressemble, je souris à mon tour dévoilant moi-même se sourire blanc, mais le mien restait tentant, je savais que je l’avais toucher, la tentation avait attaquer, mes yeux d’émeraude l’analysa, ses vêtements, son visage, sa manière… Tout parlais pour révéler ce qu’il était : Un Incube, je n’en avais jamais rencontrée, rare était ceux-ci comparer à leurs sœurs, les succubes. Il ne me connaissait pas, je le savais car il n’aurait pas agis ainsi à me voyant, pourtant à présent, on me connaît au enfer, je suis une déesse infernale importante y habitant, il devait respect à la déesse que j’étais.
Il regarda mon corps, ma beauté était supérieur à toute femme, j’avais la perfection, ma peau parfaitement basanée et brillait d’une douce couverture brillant au soleil, je m’avais appliquée mon huile qui rendais ma peau plus brillante ce matin, ma robe qui moulais parfaitement mes magnifiques courbes, mes cheveux finement doux qui brillait de sa noirceur et qui glissait le long de mes épaules à découvert, je ne portais point de chaussure, celle-ci sont dérangeantes et souvent hideuse, et rare que je me fais mal aux pieds, mes bijoux d’or et d’émeraude me donnant un air de richesse.
J’avais réussie, ma tentation marchait, ses yeux fermèrent, je l’analysai, je voulais le tenter à le pousser à la tentation, je voulais être la lionne qui blesse la gazelle. Un sourire sur mes lèvres légèrement plus foncé que le reste de ma peau, j’observais l’homme comme m’a proie. J’avais devant moi le même type de personne que moi, avide tentateur comme moi qui se nourrissait de la tentation des autres, mais moi j’aime cela, me faire tenter est aussi délicieux que tenter soit même. Je sentie alors une délicate tentation naître en moi, il usait de ses dons, amusant amusant cet incube, cela s’annonçait une suite bien amusante… Ces images, Mmh amusant… Tout ce que je ressentais à ce moment était quasi inexplicable, je m’en mordit légèrement la lèvre, fermant les yeux, je voulais ce pouvoir, ses images qui parcourait ma tête, ses voix, tous invitant une luxure sans nom, c’était impressionnant et délicieux.
Heureuse rencontre... Créature. Mais qu'es-tu ? Une amie ? Une ennemi ? Une démone ? Une ange ? Ah... Peut être es-tu l'une de mes sœurs ! Eh bien qu'attends-tu pour te présenter ? Mon temps en ces lieux m'est précieux, aussi veille à te montrer intéressante si tu veux encore avoir la chance de retenir mon attention.
J’ouvris mes yeux, regardant se démon, sa voix était douce et invitante, mais qui de mieux pour résister à cette tentation que la déesse elle-même de la tentation? Il voulait savoir qui j’étais, je désirais laisser planer un mystère, j’approche doucement de lui, un de mes doigts se posant sur les lèvres du démon…
-Chuu…
J’avais un doux sourire sur mes lèvres, un sourire qui se voulait tentateur, délicatement, mes doigts glissèrent et caressèrent son cou, je fis le tour de l’incube, pendant que j’étais derrière lui, mon apparence changea, ma queue de diablesse sortie délicatement, sortant par un trou qu’un plie de robe cachait très bien, mes cornes apparurent, mes cornes si merveilleuses orner d’un bijou d’or et d’émeraude, mes ailes sortant de mon dos, puis doucement je revint devant lui sous ma forme plus déesse, je l’observa j’étais proche de lui, la tentation je la rehaussa d’un cran, il put sentir en dedans de lui une tentation vers la luxure, à vouloir me toucher, caresser mes courbes, je le fixais, mes yeux d’émeraude regardant ses yeux d’ors, lentement ma voix fit place au silence tentateur :
-Vous ne me connaissez point? Pourtant je suis une être que tous devrais connaître…surtout vous tentateur incube!
J’eus un sourire, reculant un peu, croisant mes bras à mon tour, avantageant ainsi ma poitrine, ma voix se refit entendre.
-Je suis Kalianna, déesse des péchées et des tentations et toi Incube qu’elle est le nom qu’on t’a attribué?
Je le fixa, mes yeux charger de tentation, cette tentation que je tentais de le faire mener à tenter un pas vers la luxure, je le fixais, je l’invitais du regard à m’approcher et a oser.
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A l'instant même où la déesse posa ses doigts sur les lèvres fines de Vaelh, il fut électrisé. Comme c'est le cas avec les créatures versées dans l'art du charme, les contacts physique ont tendance à décupler les désirs déjà ressentis. L'Incube ne fit pas exception à la règle. Il aurait normalement dû craquer et se jeter sur le femme, sauf qu'il n'avait pas l'habitude d'être attiré de la sorte et sa curiosité prit le dessus sur le désir. Vaelh était après tout le monarque du Palais des Plaisirs, ses dons et sa résistance étaient immenses, si bien que c'était normalement lui qui faisait craquer autrui, pas l'inverse. Mais là, cette créature lui donnait du fil à retordre et, même s'il enrageait de l'admettre, le charme qu'elle exsudait était au moins égal au sien, sinon supérieur.
Cette tentatrice ne pouvait plus être une simple démone. Soit il s'agissait d'une Succube de haut rang, peut être une reine, une impératrice ? Ou une déesse ? Ah, quelle chance ce serait de pouvoir converser avec une divinité ! Et quel hasard ! C'était la première personne à qui Vaelh adressait véritablement la parole. Pour le coup, sa curiosité salvatrice ne fit que croître, lui empêchant un abrutissement par le désir qu'il ressentait. L'heure était à a contre-attaque.
Avec une habilité qui trahit des éons de luxurieuses aventures, Vaelh entre-ouvrit la bouche pour s'emparer du bout de l'index de l'inconnue. Il le gratifia d'une très légère morsure, comme s'il goûtait ce met délicieux qu'on lui proposait, sans omettre d'y placer un très discret coup de langue. Le geste était subtil, mais emprunt de plus de sensualité qu'aucun humain n'en serait capable en une vie complète. Pendant sa manoeuvre, ses yeux d'or se rivèrent dans ceux de l'inconnue. Son regard se fit chaud, entendu ; le message était claire : "devine où ma langue pourrait appliquer pareille caresse". Bien sûr, un tel contacte lui permit à son tour d'amplifier ses pouvoirs de séduction. Ils étaient tels qu'après présent, un vivant qui en aurait été victime aurait perdu une grosse partie de ses facultés mentales pour sombrer dans ses instincts primaux. Satisfait, il laissa la femme se défiler. Elle se mis à graviter autour de lui d'une démarche indécemment chaloupante, si gracieuse qu'on se serait damné mille fois pour pouvoir y jeter un œil. Pendant qu'elle était dans son dos, Vaelh ressentit le désir grimper d'un échelon. A nouveau, il laissa son esprit se noyer sous les trombes de scènes osées qui s'imposèrent à lui. Heureusement, sa curiosité infinie le gardait conscient, si bien qu'il décida de jouer le jeu pour durcir son aura autour de la femme, la soumettant à son tour à d'avantage de visions, d'envies, de désir.
-Vous ne me connaissez point? Pourtant je suis une être que tous devrais connaître…surtout vous tentateur incube!
Elle croisa les bras, invitant sommairement l'Incube à porter son attention sur sa poitrine. Simple mais efficace : il ne se fit pas prier. Ce genre de chose, pour lui, était comme un bon présent : ça ne se refuse pas.
-Je suis Kalianna, déesse des péchées et des tentations et toi Incube qu’elle est le nom qu’on t’a attribué?
Une déesse ! Sous le coup d'une authentique surprise, le sourcil gauche du démon s'arqua. Il bouillonnait d'extatisme, trop enjoué de rencontrer une si lubrique divinité en un lieu pourtant si reculé. En même temps, il était rassuré : si la femme n'avait été qu'une Succube anonyme, Vaelh se serait trouvé faible de succomber à ses charmes banaux. Mais là, avec une déesse... Il était excusable ! Il pencha innocemment la tête sur le côté, offrant subtilement sa gorge. Se montrer défiant avec une telle déesse pouvait être risqué.
Et Vaelh aimait le risque.
L'on m'appelle... Inkueh Stre'Ex Zabd'Evect Kom'rgahg Bihiel'Ehtan Sta'Ph. Monarque du Palais des Plaisirs, Gardien des Doux Secrets, treize fois vainqueur des jeux de l'extase, Grand Chante-Âme, Créateur de la fresque de l’orgasme infini -et bien d'autres-. Mais ne te casse donc pas la tête à retenir tout ceci, tu n'y arriverais pas. Appelle moi plutôt Vaelh, c'est mon pseudonyme le plus fréquemment employé.
Sans laisser à la déesse le temps de répliquer, il osa lever sa main avec grâce et arrogance pour lui imposer le silence. La divinité n'avait certes pas d'ordre à recevoir d'un Incube, même noble, mais la surprise de se voir imposer le silence pouvait peut être la faire se taire quelques instants. Vaelh mit ce petit délais à profit pour approcher de la déesse et entreprit de graviter autour d'elle à son tour. Lors de sa première révolution, ses yeux se posèrent sans vergogne sur chaque parcelle de peau visible et sur les attributs démoniaques maintenant visibles. Il se livra ainsi à un intense examen, prenant son plaisir par la vue. Quel corps que celui-ci, quand même ; digne d'une déesse.
Au second tour, Vaelh s'arrêta dans le dos de la femme. Sans le moindre son, il vint poser ses paumes bouillantes sur ces hanches basanées. Ses mains étaient d'une légèreté telle qu'on pouvait aisément confondre leur contacte avec la caresse d'un nuage duveteux. Avec beaucoup de subtilité, ses doigts s'appuyèrent le longs des courbes de cette paire de hanches, comme pour se les approprier ; un excellent moyen de sous-entendre à la déesse que le démon avait mit la main sur elle, pour le meilleur et pour le pire. Puis, sur une impulsion, il entreprit de laisser glisser une de ses mains sur le ventre nu de la femme, avant de la faire remonter dangereusement près de sa poitrine. A chaque nouveau millimètre carré de peau parcourue, les délices infligés par la caresse croissaient. Là où au début le contacte était électrisant, il était maintenant intolérablement délicieux. Une véritable extase pour la peau, un tel plaisir que les muscles en dessous pouvaient en frémir. Dans la foulée, sa seconde main adopta une trajectoire plus descendante pour marquer l'arrêt sur la cuisse de la déesse. Vaelh soupira. Inspiré par le désir qu'il ressentait, il devenait facile d'amplifier encore toutes ces scènes indécentes qu'il faisait voir à sa proie. Les images était d'une concupiscence folle, et le simple fait de les visionner apportait un plaisir réel, palpable. Il y eut un silence et une immobilité intolérable qui sembla s'étirer sur l'éternité puis, malicieux, l'Incube recula, ôtant ses mains. Il frémit d'extase, pas pour avoir touché une déesse, mais pour ne pas lui avoir donné ce qu'elle attendait.
Les idées de diverse jeux se profilaient déjà depuis longtemps dans l'esprit de l'Incube. Cependant, il refuserait de s'y livrer tant que sa curiosité sans borne n'était pas satisfaite. Aussi revint-il devant la divinité, arborant un sourire taquin.
Ah, revenons-en à ce que tu prêchais à l'instant. Je ne t'ai pas reconnu tout de suite, non, parce que les descriptions qu'on ma faite de toi divergeaient de ton apparence précédente. Maintenant tout est si clair ! Mais... Me cacherais-tu d'autres appendices ? Voilà des cornes, des ailes, une queue... Dissimule tu d'autres surprises ? Est-ce là ta véritable forme ou l'une de toutes celles que tu peux prendre ? Il secoua la tête avec un sourire entendu. Ne sois pas timide, montre-toi sous ton véritable appareil !
Vaelh avait théâtralement écarté les bras, comme s'il s'attendait à une autre transformation spectaculaire. Il avait choisit ce dernier mot, "appareil", à dessin. La déesse comprendrait-elle ce que l'Incube lui avait véritablement demandé de manière pourtant si innocente ?
Comme une autre question lui vint soudain, il baissa les bras.
Oh ! Légende que tu es, sans doute pourras-tu m'éclaircir. Tes... Spécialité sont sujettes à débats. Quand tu évoques être la divinité des pêchées, évoques-tu tous les pêchées, ou celui qui me sied le mieux ?
C'était effectivement quelque chose que l'Incube se demandait, mais si au final, il avait sa pettie idée sur la question...
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Je l’observais tout doucement il eut une réaction, son sourcil gauche se leva, son visage montrait Presque le plaisir de cette nouvelle, qui ne serait pas heureux de ce retrouver devant la merveille que je suis! Tous voudraient rencontrer l’être que je suis, la beauté incarnée en une femme, je le voyais succomber lentement à mon charme… infernal. J’avais un sourire tenteur sur mes lèvres tout en l’observant pendant qu’il pencha lentement sa tête sur le côté, montrant sa gorge comme un geste quasiment d’abandon, un maigre rire vint entre mes lèvres, mes yeux de chasseresse l’analysant pour voir ce qu’il me préparait.
L'on m'appelle... Inkueh Stre'Ex Zabd'Evect Kom'rgahg Bihiel'Ehtan Sta'Ph. Monarque du Palais des Plaisirs, Gardien des Doux Secrets, treize fois vainqueur des jeux de l'extase, Grand Chante-Âme, Créateur de la fresque de l’orgasme infini -et bien d'autres-. Mais ne te casse donc pas la tête à retenir tout ceci, tu n'y arriverais pas. Appelle moi plutôt Vaelh, c'est mon pseudonyme le plus fréquemment employé.
Si long titre pour ne rien dire, enfin presque, Inkueh Stre’ex Zabd’Evect Kom’rgahg Bihiel’Ehtan Sta’ph. Étrange nom démoniaque, je pensais que les démons n’aimait pas ce casser la tête avec des noms à dormir debout, je me suis tromper. Monarque du palais des Plaisirs, magnifique place pour m’accueillir, gardien des doux secrets… Treize fois vainqueur des jeux de l’extase, ooh sa c’est intéressant, faudra vérifier, Chante-âme, je ne sais pas c’est quoi, créateur de la fresque de l’orgasme… J’allais parler, mais il leva la main, il osait faire cela à moi Déesse de la tentation, lui petit incube?
Je compris rapidement lorsque je le sentis jouer au même jeu que moi, son regard pénétra mon corps, me le transperçant de ses yeux avides de plaisir, il commença à faire doucement le tour, regardant chaque parcelle que mon corps pouvait montrer, un sourire sur mes lèvres, j’aime me faire observer et j’aime donner envie, comme j’aime observer et que les autres essaie de me tenter. Doucement il entama le deuxième tour et s’arrêta dans mon dos, ses mains exécutant ce que je voulais, ses délicieuses mains vinrent s’agripper à mes courbes près de mes hanches, un frisson ce fit sur mon corps, ses mains respirant comme l’enfer, d’une chaleur invitante au laisser aller. Je sentais son souffle dans mon cou, un frison frappa, l’une de ses mains montant délicieusement près de ma poitrine sans toutefois l’atteindre tandis que l’autre rendis visite à ma cuisse. De folle image frappa mon esprit, des scènes sensuellement palpable, j’adorais avoir ce genre de vision, je m’en mordit légèrement la lèvre, un sourire ses mes lèvres. Le silence emportant une source torride à ce moment, le soleil frappant nos deux corps, la tentation de mon corps semblant frapper plus fort la tentation de l’incube. Il enleva ses mains d’un geste lent, encore une astuce d’incube à attirer, mais je suis la déesse des tentations et il faut un peu plus pour me tenter. Mais j’avais eu ce que je voulais, il avait succombé à mes demandes. Il revint devant moi, son sourire affichant un air taquin, tandis que moi le mien exprimer le jeu.
Ah, revenons-en à ce que tu prêchais à l'instant. Je ne t'ai pas reconnu tout de suite, non, parce que les descriptions qu'on ma faite de toi divergeaient de ton apparence précédente. Maintenant tout est si clair ! Mais... Me cacherais-tu d'autres appendices ? Voilà des cornes, des ailes, une queue... Dissimule tu d'autres surprises ? Est-ce là ta véritable forme ou l'une de toutes celles que tu peux prendre ? Ne sois pas timide, montre-toi sous ton véritable appareil !
S’exprimer ainsi d’une manière si théâtrale, cela me fit sourire un peu plus, je le regardais, pensant rapidement à ce que je pouvais répondre, j’ai 3 formes celle que j’avais au départ, celle des succubes… puis celle que j’avais avant ma descente au enfer, celle que j’avais à l’Olympe, mais je ne désirais pas la prendre, reprendre cette pureté de corps, cela ne me correspondait point à présent! Je gardai le silence tandis que cet Inkueh Stre’ex Zabd’Evect Kom’rgahg Bihiel’Ehtan Sta’ph descendit ses bras, quand dans son visage ce lisa d’autre question!
Oh ! Légende que tu es, sans doute pourras-tu m'éclaircir. Tes... Spécialité sont sujettes à débats. Quand tu évoques être la divinité des pêchées, évoques-tu tous les pêchées, ou celui qui me sied le mieux ?
Un large sourire m’apparue, je l’observa et m’approcha à nouveau de lui mes fins doigts caressant la peau de son torse libre, tout doucement du bout de mes charmants doigts, je lui soufflais de la tentation à nouveau, lui soufflant d’idée de revenir me toucher, cette tentation désirais le pousser à pencher vers ses penser de luxure, je ne désirais que cela. Ma lèvre inférieur se faisant mordiller légèrement par mes dents, geste de tentation, je m’approcha un peu plus, pour qu’il sente que légèrement mes formes sur lui, ma main continuant sa caresse sur son torse, sans jamais faire qu’elle que chose plus osés, mais je lui envoyais à chaque caresse, une dose importante de tentation, je voulais le faire céder, faire céder un Incube, cela allait être délicieusement amusant.
-Vous posez beaucoup de question, mon cher Inkueh Stre’ex Zabd’Evect Kom’rgahg Bihiel’Ehtan Sta’phm ou plutôt Vaelh… Trop de question, tue le moment, pourquoi ne pas simplement découvrir aux lieux que je vous révèle tout par moi-même…
Je parlais d’un ton lent et délicieusement sensuelle, ma main s’étant dirigée vers son pectoraux à découvert que je caressais doucement en allant par la suite à son cou, d’un geste lent et presque cruel dû à la douceur délicieuse de ses doigts, mon regard son visage d’un regard qui se voulait attirant. J’attendais sa réaction, les doses que je lui envoyais de tentation, était bien plus haute que j’envoyais à n’importe qu’elle humain, il devait se se sentir terriblement tenter face à mon corps si chaud et rapprocher de lui.
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Le cœur de l'Incube fut percé par un élan de vive frustration lorsque la Déesse choisit d'éluder ses questions plutôt que d'y répondre. Par tous les Diables, qu'il détestait ne pas obtenir ce qu'il voulait ! Sous le coup d'un saut d'humeur d'une incroyable soudaineté et intensité, Vaelh ne put contenir un froncement de sourcil exhaustif. L'espace de quelque infimes instants il détesta cette femme et n'avait que l'envie de la gifler. Mais lorsque les doigts experts de la Déesse vinrent flatter son pectoral, son ire fondit comme neige au soleil. Il était littéralement électrisé par toute cette ivresse transmise par ce simple geste ; comme sous l'effet d'une puissante drogue, son regard se fit vide. Quelles merveilleuses scènes de débauches lui imposaient la Déesse ! Chacun de ses fantasmes était magnifié et poussé à son extrême, son désir était aiguisé encore et encore, jusqu'à devenir si acéré qu'il pouvait aisément trancher les derniers liens qui maintenaient sa raison en place en son fort intérieur.
Il fut encore plus ardu de garder la tête froide lorsque le corps de la Divinité se lova avec une sensualité toute démoniaque contre le corps du noble Incube. Pour cette fois, Vaelh était forcé d'admettre qu'il avait trouvé quelqu'un avec de plus grands pouvoirs que lui. Quoi que... Peut être pas ! Il se rappela que depuis son incarnation, ses pouvoirs s'étaient atténués. Sans doute que dans les Enfers, les choses se seraient déroulées autrement. Pour l'heure tout portait à croire que ce serait lui la proie. Il n'avait pas l'habitude d'être vu comme une casse-croûte puisque c'était normalement lui qui dévorait autrui ; ça ne l'empêcha pas de trouver la situation enivrante. Tellement enivrante...
Comme à son habitude, il ne luttait pas contre le désir. Il le laissait l'enflammer, consumant sa raison petit à petit pour le conduire jusqu'à la l'extase mentale. Ses tourments étaient bien visibles, ses envies de débauches trahis par l'excessive dilatation de ses pupilles qui ne laissait de ses prunelles que deux fines corolles chatoyantes. L'on pouvait également voir sa carotide battre anarchiquement, pulsant puissamment son sang brûlant à travers tout son corps. Pareil désir aurait rendu fou un humain, broyant son esprit pour le faire retourner à l'état de stupide bête, mais en Vaelh coulait l'essence même du pêché de chair. Il ne manquerait certes pas de se jeter sur la Déesse pour livrer un corps à corps torride, mais ne verserait pas dans l’abîme de la déraison.
Coincé sous une pluie torrentielle d'érotisme, et trop enivré pour la faire cesser, Vaelh eut peine à comprendre ce que la Déesse lui soufflait. Toute sa concentration fut requise pour qu'il parvienne à mettre un sens sur ce qu'il entendait, et quand il y parvint, il ne put répondre que dans un soupir qu'on aurait aisément confondu avec le râle de jouissance le plus sensuel jamais entendu.
Étonnant... Est-ce là mon nom complet que je viens d'entendre ? Peu le retienne du premier coup. Quelle mémoire... A moins que tu ais déjà entendu parler de moi ! Ah, serais-je connu même jusqu'à notre panthéon démoniaque ?
Il vacilla avec indolence, se laissant doucement déporter contre le corps de la divinité. Son regard voilé de désir se braqua dans celui de son interlocutrice, et avec autant de subtilité que d'intimité, il fit se modifier les visions qu'il imposait à la femme pour qu'elles reflètent celles qu'elle même faisait se générer dans l'esprit du démon. De cette manière, la Déesse devint la spectatrice privilégiée des désirs imagés qu'elle provoquait chez Vaelh. Les visions étaient si claires, nettes, intenses, qu'il n'était plus possible de les dissocier de la réalité. L'espace d'un bref instant, la démone pouvait se voir allongée à même le sol, subissant les assauts viriles de sa "proie". Le moment d'après, la scène se modifiait pour prendre place contre le tronc d'un des arbres des plaines, avec la Déesse qui s'y accrochait ferme pour ne pas se laisser déstabiliser par des coups de bassins trop vigoureux. Ainsi se succédaient plusieurs vue, chacune plus érotique que la précédente ; les dernières prirent même une tournure ésotérique, mettant en scène les corps couvert d'étranges symboles des deux démons qui s'ébattaient avec une ardeur impossible.
Et pour chacune des caresses ainsi imaginée, les sensations semblaient réelles. Quand les images cessèrent, la Déesses pouvait sentir refluer une authentique sensation de plaisir consommé mais ténue, comme si toutes les scènes avaient eut véritablement lieu, mais comme si elle s'étaient achevés depuis quelques instants. Là où les doigts de Vaelh avait imaginairement glissé sur -en- la Déesse persistait une intolérable sensation d'extase sourde ; là où la langue de l'Incube avait dérapé, la Démone pouvait sentir comme des sillons humides et bouillant qui provoquaient nombres de minuscules spasmes musculaires. Il y eut comme une sensation de vide, puis la femme se retrouva à nouveau face à l'Incube, dans la réalité. Il lui faisait face, si proche qu'il devenait douloureux de résister. Alors, dans un sourire d'une complicité touchante et d'une avidité effrayante, il souffla.
As-tu vu tout ce que tu m'inspires ?
Sans attendre de réponse, il approcha ses lèvres fines de celles de la démone. Dans le même mouvement, avec une grâce et une subtilité époustouflante, ses paumes glissèrent sur la peau de la Déesse, portées par des caresses d'une rare légèreté. Calculateur, il fit coïncider l'instant ou ses lèvres ne furent qu'à un misérable petit millimètre de celle de la Divinité avec l'instant ou sa main gauche et droite s'immobilisèrent plus près que jamais de son entre jambe et de sa poitrine opulente. Ses doigts étaient si proche de la peau de sa victime qu'elle n'avait plus aucun mal à se les imaginer sur elle. Les secondes s'étiraient, véritable torture de passivité. Il n'aurait fallu qu'un minuscule mouvement pour que la Démone obtienne ce qu'elle désirait, rien qu'un geste insignifiant... Elle pouvait sentir la chaleur fiévreuse de Vaelh qui irradiait de tout son corps, trahissant un désir incommensurable ; elle pouvait percevoir les battement de son cœur qui cognait à ses côtes comme un prisonnier fou furieux frapperait les barreau de sa cage pour qu'on le laisse sortir !
Bien sûr, le désir de faire sienne cette Déesse le consumait. Oh, par les diables, quand il s’abandonnerait, ce serait merveilleux, sauvage, primal. Mais pour l'heure... Il préférait prendre son pied autrement. En se nourrissant d'incrédulité et de frustration.
Alors il recula, comme ça, se soustrayant lentement mais inexorablement, laissant sa victime baigner dans une mare de désir en fusion sans la moindre pitié pour elle. Il exhala un souffle avant d'arborer un sourire tant joueur que moqueur.
Hmhm, pas maintenant... Je suis venu en ce lieu pour que ce soit la nature, par ses roches, ses cieux et ses plantes qui me régalent les yeux. Il fit quelque pas en fixant non plus la démone, mais le paysage. Il ne pouvait plus retenir ses frissons d'extases qui le secouaient parce qu'il faisait mariner une authentique Déesse ! Ah, il ne s'était pas amusé comme ça depuis si longtemps ! Et si je te demande de me montrer quelques merveilles naturelles de ce monde, hm ? Oh, au cas où tu demandes, il s'agit d'avantage d'une question rhétorique que d'une requête. Il claqua des doigts avec insolence. Alors passe devant, et montre moi monts, collines et chutes d'eau !
Un sourire luxurieux vint alourdir le sens de cette fin de réplique. La Déesse comprendrait-elle ? Et surtout, comment allait-elle réagir ?
Allez, en chemin ! Sois sûr que je te dévorerais du regard, Lish'ra, souffla-t-il. Evidemment, tout travaille mérite salaire. Si tes talents de guide sur le chemin des merveilles sont satisfaisant, tu seras rémunérée. Et je suis quelqu'un de ... Généreux
Vaelh n'ajouta rien de plus, pas même un geste. Le message était pourtant on ne peut plus claire : "peut être vais-je payer en nature".
A la déesse de faire ses choix.
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L’attirance, terrible fléau que peut provoquer une simple rencontre, un simple contact, moi j’adore jouer avec cela, mon apparence fait craquer quiconque me regarde, Vaelh semblait adorer mes contacts, il semblait fasciner par ce que j’étais et ce que je dégageais, la tentation, pièce maîtresse de mes pouvoirs, mes pouvoirs qui ne désire que refaire leurs apparitions, mais pour cela il faut tenter. Maudit dieu, cruel créature remplie de jalousie, soyer plus fort qu’eux et attention à leurs courroux, ils frappent sans merci et brises les plus fort pour les faiblir et les détruire, heureusement je suis toujours là, ma vengeance seras terrible, vous pouvez en être sure, oh dieu de l’olympe, je reviendrais!
Je revins à la réalité quand cet Incube me parla, sous une voix mielleusement sensuel, on dirait presque moi, mais homme et plus étrange.
Étonnant... Est-ce là mon nom complet que je viens d'entendre ? Peu le retienne du premier coup. Quelle mémoire... A moins que tu ais déjà entendu parler de moi ! Ah, serais-je connu même jusqu'à notre panthéon démoniaque ?
Un sourire sur mes lèvres, oui j’ai une bonne mémoire, je retiens bien les noms, même les plus compliquer, un de mes talents naturels, c’est la première fois en plus que j’attendais parler de lui, dommage pour lui, mais je peux faire quelque chose pour qu’il soit connu, si t’elle est ce qui veux, mais tout cela à un prix, la marque. Peut-être saurait-il faire honneur à celle-ci? Je ne sais point encore. Son regard d’or se posa dans sur mon regard, je le fixait son regard exprimant le désir, j’en eus un frisson, j’adore voir ce gens de regard fixer sur moi, cela me fait vibrer d’un intense désir. J’adorais voir ses délices imagés qu’il semblait m’envoyer et je frisonna lorsque tout s’embrouilla pour me montrer des scènes torrides et délicieusement ardent, c’était si réel que j’en étais abasourdit. Je me mordillais la lèvre inférieur pour résister à ces scènes si claires, j’en sentis même les sensations, ce démon était une créature merveilleusement tentatrice, ce pouvoir m’hypnotisait complètement sous cette exquise merveille qui troublais mon regard, tout passait si vite et si lentement en même temps, une sensation que je désirais garder contre moi, car j’adorais cela. Je ressentais tant de chose, il était sure que je ne le laisserais pas partir ainsi, oh non.
Puis vint le moment où je crus craquer, je ressentais sa langue ainsi que ses doigts qui me caressait… Tout pour rendre dingue n’importe qui, même moi j’avais de la misère à cette tendre attaque. Je ferma les yeux, un souffle de béatitude sortie de mes lèvres, puis j’ouvris doucement les yeux pour me retrouver face à la réalité véritable, nous étions si proche, nos souffles s’entremêlant, une excitation frappa la base de ma queue de succube qui faisait de gracieux mouvement jusqu’à ma nuque.
As-tu vu tout ce que tu m'inspires ?
Un sourire m’afficha, et il s’approcha de moi, nos lèvres si proches, qu’un seul mouvement et ils serraient réunies, ses mains douces traitresse qui s’arrêtait si proche de mes formes sans même me toucher, vilaine créature, tenter la déesse à son propre jeu, généralement, c’est elle qui tente pour rendre fou les gens, et non pas l’inverse! Cruellement, il recula, je le fixais de mes yeux de vert et observa son sourire qui lorsqu’il débuta à parler tourna son regard vers le paysage.
Hmhm, pas maintenant... Je suis venu en ce lieu pour que ce soit la nature, par ses roches, ses cieux et ses plantes qui me régalent les yeux. Et si je te demande de me montrer quelques merveilles naturelles de ce monde, hm ? Oh, au cas où tu demandes, il s'agit d'avantage d'une question rhétorique que d'une requête. Alors passe devant, et montre moi monts, collines et chutes d'eau !
Un claquement de doigts, comme un ordre qu’on m’exigeait, je n’aime point me faire donner un ordre ainsi. Être insolent ainsi, surtout face à une déesse, n’importe qui serait partie, même moi par avant, mais je ne suis pas ainsi fait à présent, j’ai devant moi un être qui me ressemble, je ne peux partir, même devant l’affront qu’il venait de me faire, j’allais en profiter pour m’amuser, sans même m’avoir touchée et avoir réussie à réveiller autant de plaisir, cela était quelque chose de formidable!
Allez, en chemin ! Sois sûr que je te dévorerais du regard, Lish'ra. Evidemment, tout travaille mérite salaire. Si tes talents de guide sur le chemin des merveilles sont satisfaisant, tu seras rémunérée. Et je suis quelqu'un de ... Généreux
Un sourire s’afficha sur mes lèvres, payer au nature, voilà tout ce qui me frappa, je n’aimais pas son attitude qui se voulait meilleur que moi, sa je n’aimais moins, l’insolence sa se puni, et avec moi ce seras d’une marque… Ce sceau qui permet au tentateur de me donner un peu plus de tentation… Je m’imaginais déjà en train de lui laisser cette marque, un frison parcourut mon corps. Je l’observa et me retourna pour être dos à lui, puis lentement je fis quelque pas en avant, je marchais avec une finesse qui me va de droit, une idée m’harcelait la tête, quand celle-ci vous atteint, vous devez vous y fier. Lentement, je lui fis un signe de me suivre, mon regard regardant derrière pour l’observer et un sourire goguenard sur mes lèvres fines et délicates. Sans un mot j’avança dans la nature de cette endroit, on attendait une chute plus loin, je marcha en cette direction, plus on avançait en cette direction, plus mon aura de tentation frappais Vaelh, tentant de l’attirer vers moi, qu’il ose s’approcher de moi…
La chute se fit voir, elle était magnifique, la végétation abondante entourait celle-ci lui donnais un air magique, cette chute donnant sur une rivière, dont cette place était entourer d’arbre, j’en frissonnant d’envie, toujours avec le sourire je me retourna vers Vaelh, je m’approcha doucement de lui, mes doigts sur son cou, du bout de mes doigts je caressa ce cou, glissant mes doigts, allant dans son dos, quand je le touchais, il pouvait sentir des décharges de plaisir, la tentation devenait forte, même pour moi je ressentais cette tentation à ne pas sombrer dans la tentation que je provoquais chez cet incube. J’étais près de lui, il pouvait sentir mon souffle bouillant d’une douce sensualité.
-Il est dangereux de jouer avec l’insolence Vaelh, elle fait la perte de beaucoup d’être, surtout quand c’est contre un dieu, mais je suis sure un bon jours… Pour répondre à votre question de tout à l’heure… Le panthéon démoniaque ne vous connaît point, mais grâce à moi, vous pourriez être connu… et je ne suis point une guide dans ce monde...
Je le regarda dans les yeux, mes yeux le tentait, j’essayais d’influencer ses gestes pour qu’il me touche, succombe à ce corps qui se retrouve face à lui.
-Ce n’est pas bien de résister à la tentation Inkueh Stre’ex Zabd’Evect Kom’rgahg Bihiel’Ehtan Sta’phm
J’eu un rire délicat qui traversa mes lèvres, puis je ne dis plus rien, seul mon regard désirais finalement faire opérer la magie de la tentation. Ma main s’enleva de son cou, monta vers son visage, effleura doucement du bout de mes doigts ses lèvres, je ne voulais point être celle qui fait changer le tournant du jeu de la tentation, changer pour tomber dans la succombation.
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L'Incube fut grandement satisfait de voir que son petit sous-entendu égrillard avait fait mouche. Il lut le désir dans les yeux de la Déesse lorsque celle-ci comprit qu'elle aurait Vaelh tout entier si il obtenait satisfaction. Incroyable ! Le démon venait tout bonnement... De tenter la tentation elle même ! Une grande fierté lubrique l'étreignit, et sa curiosité fut exacerbée : pouvait-il donner encore plus envie à cette Déesse de le dévorer ? Et quelle curieuse Déesse d'ailleurs. Vaelh n'arrivait pas à la faire se braquer. Il se montrait discourtois, autoritaire... Mais rien. Elle faisait preuve d'un sang froid effrayant. En fait, Vaelh comprit rapidement qu'il ne s'agissait pas de sang froid dont la Déesse faisait preuve, mais d'assurance. Comme si... Tout ce qui advenait là était prévu, comme si l'issue de cette rencontre était inéluctable. Elle avait le contrôle...
La divinité se mit finalement en marche, aguicheuse, provocatrice et désireuse à souhait. Vaelh sentait l'aura de cette femme frapper sa conscience comme une furieuse tempête s'écrase sur une digue fragile, menaçant de tout engloutir. Son regard se fit lointain en même temps qu'il souriait béatement. Ces scènes, ces envies qui s'imposaient à son esprit était tellement excitante, même du point de vue d'un Incube, c'est dire ! Tout son corps vibrait, secoué par de puissant frissons de désir et par les battement fou de son coeur démoniaque. L'organe propulsait un sang bouillonnant dans -tout- l'organisme du monarque, si bien qu'à mesure qu'il suivait la Déesse en lui fixant les hanches, un délicieux fourmillement vint lui chauffer le bas ventre. Il ne put contenir un soupir, caressant sans même chercher à s'en cacher son bas ventre, avec la volonté d'apaiser ce feu vicieux qui brûlait dans ses entrailles. Tout son corps chauffait à un tel point que c'en devenait douloureux. Même le souffle lui manquait ! Impressionnant. C'était donc ça, faire face à Kalianna, Déesse de la tentation.
Il était à nouveau sur le point de craquer, le désir poussé à des sommets vertigineux, si puissant qu'il n'avait qu'une envie, et la Déesse devait s'en rendre compte : sauter sur elle, la déposséder de ses légers atours avec une fougue effrayante et lui donner ce qu'elle voulait tant à même le sol. Ça aurait été bestial, ça aurait délicieux... Mais ça aurait été trop tôt. Le démon souhaitait être aguiché comme jamais, littéralement rendu fou par le désir. Et la Déesse l'y aiderait.
Visiblement, elle connaissait le coin. Le cadre était idyllique, et le démon avait cette délicieuse impression qu'il avait été attiré en plein dans un piège de luxure ! La proximité qu'elle lui imposa ne l'aida pas à garder les idées claires. Les images qu'elle lui imposait... Son parfum surnaturelle... La douceur de ses caresses... Le simple fait de la voir... Tout ceci devenait si bon, si extatique que ça en devenait insupportable. Et Vaelh, pauvre fou qu'il est, continuait de mettre sa santé mentale en périls en n'opposant aucune résistance à tout ses désirs. Il en redemandait ! Oh, qu'il voulait tant s'effondrer sous le poids de trop grandes envies... La déesse devait n'avoir aucun mal à voir... "l'ampleur" du mal qu'elle lui faisait pour peu qu'elle daigne descendre les yeux au niveau de sa ceinture.
Étonnement, malgré sa délicieuse vulnérabilité, Vaelh réussit à se ressasser ses propres mots."Monts, collines et chutes d'eau !" L'Incube avait cru que la Déesse avait saisit ce sous-entendu là, mais elle avait tout pris au pied de la lettre. Il était un peu plus subtile certes, mais cette Femme n'était-elle pas le charme incarné ? Elle était censé en connaître un rayon sur les non-dits. Pourtant... Pour le coup, Vaelh fut prit d'un rire impromptu. Le son clair de son hilarité évoquait la chute d'une pluie cristalline sur des étendues de pierres précieuses chauffées par le soleil. Pareilles musique n'avait rien d'humain, mais par tout les Diables, qu'elle était belle...
En notant la surprise de son interlocutrice, Vaelh lui expliqua les raisons de ses rires d'un ton mi-amusé, mi-désireux.
Oh, navré... Mais c'est que tu es si naïve ! Oh oui, naïve ! J'ai souvenir de chansons, sagas et poèmes sur ton compte, dans lesquels tes talents de... Courtisane sont magnifiés ! Même certaines légendes parlent de toi. Des textes évoquent tes compétences dans le domaine de la chair, et comment tu en fit usage contre mille et un ennemis, les terrassant d'extase à la seule expertise de tes mains. L'on chante des louanges sur ta poitrine, sur ta chute de reins ! L'on glorifie ton timbre suave, ta capacité à faire fantasmer quiconque ose poser les yeux sur toi... Et tout cela est vrai, je l'admet. Mais malgré tout... Tu restes bien naïve. Innocente même. La preuve, tu n'as pas saisis ce que j'exigeais. Il s'approcha, si près que le relief qui se formait avec lenteur sous sa ceinture vint effleurer l'entre jambe de la Déesse. Il la fixa d'un regard de braise, consumé par une ardeur torride sans pareille. Un regard aussi chaud aurait suffit à faire tomber quiconque l'aurait croisé, du moment qu'il ne s'agissait pas d'une divinité.
Tu sais... Par "collines", je m'imaginais la découverte d'une lande merveilleuse, débutée par une plaine basanée, musculeuse, reliée à deux collines jumelles, fermes et charnues. Pour appuyer ses propos, il resta face à la déesse et fit courir ses doigts dans son dos, mettant tout son talent pour lui transmettre nombre de frissons de plaisir. Ses caresses étaient vectrice d'une telle magie que c'était comme si le dos de la Déesse était devenu érogène. Quand il mentionna les deux collines jumelles, Vaelh passa ses doigts sous les vêtements de la prédatrice pour effleurer directement son fessier, faisant mine de guider ses doigts toujours plus bas.
Et par "monts"... Je sous entendait qu'il m'aurait été plaisant de voir ces deux monts là, perchés plus haut, fermes eux aussi à n'en pas douter. Sa voix s'était teinté d'un furieux et soudain appétit animal. Encore pour illustrer ses propos, et parce qu'il en mourait d'envie, il déplaça avec une célérité déconcertante ses mains jusqu'à la poitrine de la déesse, jetant la délicatesse aux orties pour les pétrir très brièvement, mais avec une fougue si intense, si folle, que la Déesse pouvait en perdre la tête. Et c'était sans mentionner ses pouvoirs fantastiques qui transmettait un réel plaisir à chaque contacte ! Même si ses doigts n'avait pas traînés longtemps sur les seins de la Déesse, nul doute qu'elle avait dû ressentir quelque chose qui devait s'apparenter à un véritable orgasme à même sa peau.
Et par "chute d'eau"... Je m'imaginais une toute autre rivière, plus étroite que celle derrière nous, et qui laisse s'écouler une eau bien plus chaude. A cet instant, ses doigts glissèrent -enfin- le long du ventre de la Déesse avec une intolérable lenteur. Une véritable torture tant c'était délicieux ! Il dépassa avec une extase non dissimulé le nombril de la démone et glissa avec expertise l'une de ses mains sous ces petits bout de tissus qui lui barrait la route. Quelle fournaise ! Se savoir si près de l'antre des délices de la Déesse lui carbonisait le coeur d'une soif de sexe brûlante. Il descendait, encore et encore, jusqu'à ce que son majeur soit odieusement près de ce petit organe sensible sur l'intimité de la Déesse. Un millimètre, un seul, et il pourrait mettre le doigt directement dessus pour y décrire de délicieux petits cercles.
Mais dans une ultime bravade, sa main se retira, et il afficha un sourire cruel. L'insolence dont il faisait preuve l'enivrait, le rendait dingue. Qui d'autre aurait osé se comporter ainsi avec une authentique Déesse ? Lui seul en était capable ! Mais c'était douloureux pour lui également de faire durer les choses...
Tu ne m'as pas montré le paysage que j'attendais. Je suis... Déçu. Pour te racheter, tu peux me parler de ce moyen que tu as de faire de moi une célébrité, et peut être même un Dieu. pendant tes explications, guide moi vers ces contrées sur lesquelles que souhaite poser mes yeux. Et... Tu sauras que je ne résiste pas au désir. Regarde, mon corps ne peux pas mentir. Oh, si tu savais comme je te veux, hmm... Fit-il en reversant lentement et sensuellement sa tête en arrière, exposant sa gorge. Mais j'aime aussi savourer toute cette douleur que tu m'inflige. Je t'ordonne de m'en infliger plus. Je sais que me tourmenter te plait, et que tu dois trouver délicieux cette manière que j'ai de te regarder...
-
Alors que je le regardais, il éclata de rire, clair et qui pénétra mon corps, je n’aime pas qu’on rit de moi ainsi! Ce rire me déstabilisa, je fronça les sourcils, puis il m’expliqua les raisons de son rire, son ton semblait mélanger de deux façon, Le désire et l’amusement.
Oh, navré... Mais c'est que tu es si naïve ! Oh oui, naïve ! J'ai souvenir de chansons, sagas et poèmes sur ton compte, dans lesquels tes talents de... Courtisane sont magnifiés ! Même certaines légendes parlent de toi. Des textes évoquent tes compétences dans le domaine de la chair, et comment tu en fit usage contre mille et un ennemis, les terrassant d'extase à la seule expertise de tes mains. L'on chante des louanges sur ta poitrine, sur ta chute de reins ! L'on glorifie ton timbre suave, ta capacité à faire fantasmer quiconque ose poser les yeux sur toi... Et tout cela est vrai, je l'admet. Mais malgré tout... Tu restes bien naïve. Innocente même. La preuve, tu n'as pas saisis ce que j'exigeais.
Il avait enfin céder, le jeu changeant doucement vers la succombassions, je le regardais et sentais son membre, sous ce tissu, faisant un doux relief, contre ma douceur cachée, un sourire presque pervers, je le regardais qui lui me regardais de son regard chauds, un regard qui devait faire chavirer tout cœur de femme qu’il regardait, mais je sais résister. Je ne suis pas une naïve, enfin, tout dépends des circonstances, je joue un jeu, il me doit de le jouer, je n’allais tout de même pas m’abandonner moi-même à mon propre jeu! Non, je devais que l’autre subissent mon jeu et il était en train de perdre, fort heureusement!
Tu sais... Par "collines", je m'imaginais la découverte d'une lande merveilleuse, débutée par une plaine basanée, musculeuse, reliée à deux collines jumelles, fermes et charnues.
Il accompagnait ses mots de ses gestes, ses doigts sur mon dos, nos regards croiser, tandis que ses doigts suivait la courbes de mon dos pour se diriger vers mes fesses, un frisson de plaisir parcourut mon dos, comme si l’endroit qu’il touchait devait une endroit sensible de sensation, mon sourire était grand, il craquait sans même s’en apercevoir, la succombassions si près… Il passa ses doigts sous mes vêtement, effleurant mes fesses, descendant à nouveau ceux-ci, je frisonna.
Et par "monts"... Je sous entendait qu'il m'aurait été plaisant de voir ces deux monts là, perchés plus haut, fermes eux aussi à n'en pas douter.
Sa voix, elle était remarquable, elle changeait pour ce montrer un peu plus animal et d’une prestesse il déplaça ses mains qui remonta jusqu’à ma poitrine, pour la caresser avec une fougue et si brièvement, un frison frappa à nouveau mon corps, je m’en mordilla les lèvres, mon corps en voulais encore plus, cruel petit incube, osez faire cela à sa déesse. Tout ce plaisir que le contact de ses doigts exprimait sur mon corps est indescriptible! C’est un contact, que je n’oublierais points.
Et par "chute d'eau"... Je m'imaginais une toute autre rivière, plus étroite que celle derrière nous, et qui laisse s'écouler une eau bien plus chaude.
Puis d’une longueur qui paraissait éternel, ses mains descendirent, glissant le long de mon ventre, ses doigts m’envoyant des sortes de spasme d’excitation, j’adorais cela, cet être qui paraissait si étrange au départ, avait un don qui m’intéressait beaucoup, sa tentation était égal au miens, il est un de ses êtres, que je ne peux laisser partir… Ses caresses ont le don de me faire oublier ce que je veux dire, ses doigts passèrent le tissu, puis il arrêta sa descente lorsqu’il fut si près que si j’aurais été qu’une vulgaire humaine j’aurais céder à la tentation de lui sauter dessus, mais heureusement je n’en suis point une, je me mordilla la lèvre d’un geste sensuelle en le regardant… Puis il fit ce que je redoutais, il enleva ses doigts, continuant son insolence, mais j’eus un sourire en le regardant, lui-même avais un sourire, mais bien contraire au miens, les démons tous pareils! Ils se croient tout permis et font à leurs tête, sans ce douter que celle qui le manipule est la déesse qui se retrouve devant lui.
Tu ne m'as pas montré le paysage que j'attendais. Je suis... Déçu. Pour te racheter, tu peux me parler de ce moyen que tu as de faire de moi une célébrité, et peut être même un Dieu. pendant tes explications, guide moi vers ces contrées sur lesquelles que souhaite poser mes yeux. Et... Tu sauras que je ne résiste pas au désir. Regarde, mon corps ne peux pas mentir. Oh, si tu savais comme je te veux, hmm... Mais j'aime aussi savourer toute cette douleur que tu m'inflige. Je t'ordonne de m'en infliger plus. Je sais que me tourmenter te plait, et que tu dois trouver délicieux cette manière que j'ai de te regarder...
J’ai dû mettre cœur et âme pour résister à ne pas éclater de rire, il m’ordonne, lui un simple incube il ordonne à la déesse même de la tentation se le tourmenter plus! Je le regarda, un sourire malicieux sur mes lèvres, je le regarda de mes yeux magnifiquement émeraudes, je cligna des yeux très doucement. Ma main se leva et elle toucha son pectoraux, du boût de mes doigts, lentement je me plaça dos à lui, mes bras l’entourant, l’une de mes mains osa descendre, vers cette ceinture, mais je n’osa point oser d’entrer mes doigts, au lieu je glissa doucement sur cette élévation et du bout de mes doigts fit la ligne qui déterminait cette bosse, puis je la remonta et je chuchota d’une voix remplie de désir :
-Vous savez on ne donne point d’ordre à une déesse… Vous disiez que j’étais une naïve, mais vous êtes le naïf, vous croyiez vraiment que j’allais succomber à la tentation de vous montrer, mes monts, mes collines et ma chutes d’eau… Je vous ai menez ici pour que vous pensiez que j’étais une naïve… Je sais comment obtenir ce que je veux, je savais que la naïveté t’atteindrais et que tu succomberais à la tentation de me montrer ce que vous croyez que je n’avais pas saisit! J’eus un rire quasi cristallin. Comme ça, on chante mes exploits, je suis encore dans des légendes, je suis heureuse de l’entendre… Mais n’y a-t-elle pas une qui raconte que Kalianna adore les étendues d’eau, les chutes qui font un délicieux fonds à une torride scène!
Mes doigts caressèrent ses bras, tout doucement, du bout de ceux-ci, mon souffle chaud dans son cou, je ne succomberais pas à la tentation, il devait succomber, car j’étais celle qui réussissait à faire succomber tous avant moi, ma résistance au tentation était élevé, mais pas infinie, je savais craquer et il savais exactement comment faire, mais moi aussi, car plus je le touchais, plus il devais sentir cette tentation de me prendre l’envahir, mon souffle chaud dans son cou qui semblais lui chuchoter de me prendre, alors que c’était que mon souffle qui se faisait sentir, mes doigts caressant doucement son torse, attendant que le craquement de l’incube.
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L'expression délicieusement malicieuse de la Déesse de la Tentation confirma à Vaelh qu'il s'était en fait dirigé droit dans un piège. Il pensait avoir plus ou moins le contrôle de la situation, il s'était persuadé que cette Divinité ne devait pas être tant diabolique que ça... Et voilà que toutes ses certitudes se lézardaient, fragilisées par le doute. Une violente onde d'incertitude chatouilla son coeur, fit se tarir légèrement son sourire narquois... Et ses craintes se firent encore plus grande quand la Déesse lui exposa sa stratégie. Elle avait retourner l'avantage de Vaelh contre lui, ni plus ni moins.
L'Incube, ultra-sensible de nature, fut si vexé, si bafoué qu'il eut envie de meurtre. Une telle colère fit s'enflammer son sang déjà bouillant. Mais en même temps... Il ressentait quelque chose d'étrange et d'inhabituel pour quelqu'un de son rang et de son caractère. Il savait maintenant qu'il était le jouet des désir de la Déesse, et que quoi qu'il fasse la Divinité aurait toujours un coup d'avance sur lui. Il eut conscience de n'être vu, malgré ses pouvoirs immenses, comme une distraction. Cette sensation était à la fois horrible et... Délicieuse. Il n'avait pour ainsi dire pas l'habitude de se trouver face à plus fort que lui. Et... Il avait un mal à l'admettre, mais se sentir si faible, si petit, si insignifiant face à une authentique Divinité du vice était jouissif. Il adorait ça au point que le pouvoir de charme de la Déesse fit encore plus durement effet sur lui, et au même moment elle lui imposa le contacte de ses doigts experts sur son torse. C'est précisément à cet instant que Vaelh perdit le duel de volonté contre la Déesse. Ses pouvoirs n'étaient tout simplement pas assez grand pour qu'il garde un semblant de conscience après un tel assaut de sensualité. Son esprit était plein de vision d'érotisme, plus intenses, plus excitante à chaque secondes qui passait. Les doigts de la Déesse contre sa peau le brûlait, et la sensation d'extase qu'il ressentit lorsqu'elle fit glisser sa main sur son intimité encore dissimulée... Indescriptible. Le corps de Vaelh réagit sur le champ, le sang affluant dans son bas ventre pour que ce relief sous sa ceinture devienne un élévation nettement dessinée qui croissait doucement, étirant à chaque instant un peu plus le tissu.
De ce qu'il était capable de se souvenir, il n'avait jamais baigné dans une telle sensualité. Ses sens aiguisés étaient soumis à des stimulus quasi-meurtrier, si puissant qu'on ne savait plus s'il s'agissait de douleur ou de plaisir. Sentir la Déesse derrière lui, sentir sa main à cette endroit... Dire qu'elle venait juste, elle, la Divinité, de caresser du bouts des doigts toute l'ampleur du désir d'un Incube ! C'en fut trop, et le gémissement de pur plaisir qu'il libéra de sa gorge véhiculait une excitation telle qu'il ne manquerait pas de faire vibrer d'envie la Déesse.
Et zut. Il décida d'abandonner, se laissant subtilement aller contre le corps de la championne de ce petit tournois d'aguichement. Mais ça n'était pas grave, elle était une déesse, et lui un démon. C'était pure folie d'avoir pu croire qu'il l'aurait emporté. Il avait quand même bien lutter malgré son statut non-Divin. Le fait d'accepter la défaite, de se soumettre en quelque sorte, fit se briser quelque chose en lui. Les visions ne cessaient plus, elles étaient si bonnes ! Il en tira inspiration, et son don s'embrasa, gagnant une puissance phénoménale pour frapper la Déesse de plein fouet. S'il devait perdre, il emporterait son adversaire dans la folie avec lui ! Son pouvoir de charme vint lécher la Déesse au moment où il se retourna pour se ruer contre elle, lui imposant le contacte de ses lèvres fiévreuses contre les siennes. Un tel baiser déclencha dans tout le corps de sa partenaire des frissons de plaisirs qui s'apparentaient à une véritable extase. La chaleur était suffocante, et pour ne rien arranger, il transmit tout ses désir à la Déesse. Ainsi, toute ces envies qu'elle lui imposait se retournèrent contre elle, et elle fut confronté à son propre pouvoir.
Avec sauvagerie, il donna à la Déesse surprise un second baiser si chaud, si fougueux, que le précédent n'était rien en comparaison. Sans même attendre, il entre ouvrit sa bouche pour que sa langue agile passe entre les lèvres de la déesse pour venir caresser sa propre langue. Ainsi, les deux organes entamèrent un ballet d'érotisme pendant lequel l'Incube rendu complètement fou ouvrit les yeux pour fixer la femme. En tant que Divinité de la Tentation, elle n'eut pas de mal à comprendre le message : "vois comme je suis habile de ma langue, et imagine là ailleurs". Pour illustrer ses propos implicite, il fit décrire à sa langue un mouvement de subtile va et viens dans la bouche de la déesse, avant d'y décrire quelques cercles.
Mais ça n'était pas tout. Tout son corps était pressé contre la responsable de sa folie. Elle avait voulu ronger la patience de Vaelh, et elle y était arrivé. Sa récompense fut de sentir onduler le corps musculeux du démon contre le siens. Ses ondulations souples, subtiles, presque serpentines faisait s'appuyer son torse contre la poitrine de la Déesse, l'écrasant avec envie, et permit au relief de son intimité tendue de venir clairement s'appuyer contre l'entre jambe de sa tortionnaire pour y décrire des caresses suivant un mouvement de va et viens. De telles caresses, à un tel endroit... Même si leur peau ne se touchait pas directement, la Divinité pouvait sentir entre ses jambes une chaleur incroyable, mais surtout un plaisir brut et soudain qui approchait déjà celui d'un orgasme.
Qu'est ce que ce serait, lorsque l'Incube passerait aux choses sérieuses ? Que la Déesse fantasme sur pareille question !
Au prix d'un effort incommensurable, il parvient à se détacher de quelque centimètres. Jamais il n'avait été aussi enivré, et la déesse devait le sentir, sinon le subir. Il plongeait l'esprit de cette femme sous des visions érotiques d'une puissance complètement débridée, provoquant une excitation telle que, même si elle était une déesse, elle pouvait avoir un peu de mal à les dominer. Mais elle pouvait sentir que sa proie était à point... Vaelh lui souffla d'un ton qui n'était plus que désir.
Tu gagnes cette bataille, Déesse. J'ai tant perdu ma raison que le contrôle sur mon corps, tu sens ça ? Fit-il en imprimant un mouvement souple à son bassin, qui fit se glisser son intimité voilée entre les jambes de la Déesse, sur toute sa longueur. Je suis forcé... Un gémissement. D'admettre que tes pouvoirs sont grands. Mais tu es une déesse. Il semblait pensif, poursuivant toujours ses assauts sensuels sans cesser de fixer la démone. Et si maintenant tu me parlais de ce moyen de me faire connaître ? J'aurais tant à t'offrir en retour...
Sa voix s'était faites mystérieuse, si bien que la Déesse sut qu'il devait détenir quelques sombres secrets sur des domaines qui lui plaisaient.
Et... Hm... Oh, donne moi encore plus envie ! Maintenant. En es-tu seulement capable, ou donnes-tu déjà ton maximum ?
C'était une provocation. La Déesse allait-elle y répondre ?
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Sous mes doigts je le sentis craquer, il avait succombé, je le sentais frémissant de désir, je sentais ce désirs l’envahir profondément, j’en avais un sourire, mes pouvoirs n’étais pas encore de retour, enfin pas complètement, s’il aurait vu ma puissance par avant, il aurait craquer plus rapidement que maintenant, toujours derrière lui, je continua l’assaut de mes doigts sur ses bras. On ne pouvait pas dire que ses assauts ne me faisait rien, au que oui, elle m’atteignait, mais je suis résistante avec la tentation, je serais une mauvaise Déesse si je ne serais pas capable de résister à ce que je suis…
Jamais on avait essayé de me tenter ainsi, c’était comme tenter le diable pour savoir qui était le plus méchant. Mais c’est toujours moi qui gagne dans le cas de la tentation, j’avais un sourire sensuelle sur les lèvres, je sentis alors l’incube lâcher un gémissement de plaisir, un frison parcourut mon corps, j’en lâcha même un soupire en sentant toute cette tentation qui amenait de Vaelh, un relâchement qui fit me fit sentir si bien, mon corps en fléchissait tellement que j’avais adorer toute cette tentation libérer de ce démon. Quand on succombe à la tentation, c’est là que le moment deviens le plus plaisant pour moi.
Ce fut alors que je ressentie un plaisir naître, enfin s’accroître intensément, me frapper alors que l’incube se retourna vers moi, avant que je puisse réagir, il fondit sur moi, ses lèvres se collèrent contre les miennes, un flot d’émotion, de sensation, de plaisir me pénétra, j’en tomba presque à la renverse, mais je réussie à bien rester en place, mais sur le coup, ce fut fort, une onde de plaisir m’envahissant, j’en fus abasourdie, tout ce plaisir qui se propageait dans mon corps, c’était quasi comme un orgasme, je l’adorais déjà. Ce pouvoir, je voulais l’avoir et j’allais l’obtenir! Le baiser me fait désirer l’incube, plus que son pouvoir, il m’attire comme si aucune barrière y était, la tentation passe autour de ce bouclier que je me suis moi-même donner pour résister à la tentation, mais elle se brise lentement, lentement je cède sous le plaisir de me faire prendre par la tentation, je savoure ce moment. La chaleur de ses lèvres emprisonnant les miennes dans une douce onde de chaleur… Puis elles se détachèrent des miennes quelques secondes, puis revinrent d’un geste spontané se coller contre ceux-ci, offrant un baiser encore plus chaud et admirablement tenteur, j’en frisonna d’envie, puis sa langue vint se faufiler entre mes lèvres, j’en eu un sourire, il allait de l’avant ce jeune démon, parfait, j’aime bien mieux sa que de devoir faire toute la tâche moi-même! Enfin revenons à ce baiser, c’était un baiser différent de l’autre, mais au combien pas moindre que l’ancien, cette bouche avait quelque chose que j’aimais bien, surement sa chaleur, l’ardeur de ses lèvres qui me rappeler la douce chaleur que le charbon dégageait de fourneau, plus qu’il fait chaud, mieux j’aime cela… Surtout quand il y a tout près une endroit d’eau, une chute, comme en ce moment.
Cette langue caressais la mienne dans une dance endiablés, j’entrouvrit les yeux lentement, et vue le regard du démon qui me regarda, un regard qui semblait me dire *As-tu vue ce que je suis capable de faire avec celle-ci, image là ailleurs* J’en eu un nouveau sourire, mon idée de la signification de son regard, se confirmât, quand sa langue fit de léger mouvement de va et viens sur la mienne et qu’il en exécuta même de petit cercle, des délicieuses images vint se placer dans ma tête et j’en eu un grand frison d’envie. Son corps était coller contre le mien, sentir ce corps désireux contre le mien, surtout le corps d’un être tentateur, c’était pour beaucoup impossible de résister à cette envie, mais je ne suis pas n’importe qui, je résiste même si je me laisse aller, sinon il serait déjà nu à l’heure qu’il est. Mais je suis une tentatrice, je ne me laisse pas aller aussi facilement à la tentation. Son torse appuyait sur mes seins, son ventre, contre le miens, son membre voilés qui se collait avec envie contre le mien tout autant voiler, la chaleur de dégageant de ses deux endroits, je frémis de plaisir, la suite était déjà prévisible et malgré tout je l’attends avec impatience!
Puis les images refont surface dans mon esprit, tandis qu’il se détachait, je m’en mordilla les lèvres, le goût de la luxure animant nos deux êtres, j’avais un sourire en le regardant d’un air quasi provocant, plus que ses images vicieuse, parcourait mon être, plus je sentais mon être fondre d’envie, la tentation de la luxure s’agrippant à chaque parcelle de ma peau, de mon être, devant cette force tentatrice, je me sentais sur le point de céder moi-même sous se péchés si délicieux qu’est la luxure, comme une bête affamée, mais cela était délicieux... Cette sensation, j’en lâcha même un soupir d’envie. L’incube avait un tout autre air à présent, une voix désireuse, une expression du corps qui se collait contre moi, et un membre qui se posait si près de mon intimité caché qui même à travers ce tissu se faisait désirable.
Tu gagnes cette bataille, Déesse. J'ai tant perdu ma raison que le contrôle sur mon corps, tu sens ça ? Je suis forcé... D'admettre que tes pouvoirs sont grands. Mais tu es une déesse. Et si maintenant tu me parlais de ce moyen de me faire connaître ? J'aurais tant à t'offrir en retour...
Je frémis sous ses mots, gagner, ce mot me faisait frémir à chaque fois, il est normal que je gagne, je suis une déesse de la tentation et lui qu’un Incube, le faire connaître, c’était très facile, au enfer je suis connue et respecter, surtout depuis que ma force commence à revenir, tous sais que je ne suis point une personne à me mettre à dos… J’allais parler, mais il parla.
Et... Hm... Oh, donne moi encore plus envie ! Maintenant. En es-tu seulement capable, ou donnes-tu déjà ton maximum ?
Il osait me provoquer à nouveau, et bien, étant à la succombassions, mieux valait répondre dans le même sens que nous étions rendue, je le regarda doucement et j’affichai un sourire charnel sur mes douces lèvres qui semblait lâcher de temps en temps un doux et sensuel soupir, me collant un peu plus à lui, je le regardais droit dans les yeux, mes mains se posant sur les habits de l’incube, lentement il put voir mes cornes disparaitre, comme par magie, puis ce fut le tour de ma queue de diablesse et de mes ailes de disparaître.
-Et bien… Mon chèr Vaelh… Tout d’abord je suis une Déesse, ma parole vaut pour beaucoup chez les démons, imaginer ma parole lors de conseil diabolique, ou tout autre réunion…
Je fis un pose, mes lèvres se posant sur la mâchoire de l’incube, un souffle chaud pu se faire sentir, mes lèvres posant un baiser sur cette chaire tendre et tentant, je descendais délicatement mes baiser jusqu’à la base de son cou, mes mains commençant à enlever l’habit que le démon portait, lentement, délicieusement, mes lèvres restant au même endroit et parfois j’arrêtais pour le regarder, mes mains ayant finalement réussie à enlever le ‘’haut’’ de l’homme incube, mes mains se posant sur son torse désormais nue complétement, caressant doucement se torse qui m’est offert à voir.
-Ne te sent tu donc pas attirer par moi…?
Je pris l’une de ses mains pour la guider à ma poitrine pour qu’il puisse y toucher, j’en frisonna et je lui sourit sensuellement en me collant un peu plus à lui, pour que tout mon corps se fasse sentir sur Vaelh.
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Incroyable. Bien que la Déesse n'était pas aux Enfers et donc que ses pouvoirs étaient amoindris, bien que Vaelh donnait absolument tout ce qu'il avait... Elle ne craquait pas. Elle s'amusait même d'être aussi désireuse, mais sans jamais verser dans la folie. Oh, Vaelh se jura qu'il faudrait qu'il la rencontre aux Enfers, d'abord pour pouvoir prendre sa revanche et la soumettre à toute l'ampleur de ses pouvoirs, mais aussi pour qu'il subisse lui même la puissance maximale de la Déesse. Ce serait une rencontre... Historique ! On s'en rappellera comme le jour où plaisir et tentation se s'affrontèrent pour au final ne faire qu'un.
Parallèlement, de folles idées naquirent dans l'esprit malmené du démon. S'il réussissait à écraser la Déesse sous le plaisir, dans son propre palais, pourrait-il prétendre l'avoir vaincu ? Si oui, cela impliquait-il qu'il pouvait prendre sa place, son statut ? Sinon, être l'amant favoris d'une Déesse pouvait-il aider être propulsé aux devants de la scène ?
Il aurait aimé y penser plus souvent, mais d'autres vagues d'envie le submergèrent cruellement, le tirant de ses pensées. La puissance du don de la Déesse semblait ne jamais décroître, comme s'il était une machine qui, une fois entraînée, ne perdait jamais son élan. Mais qu'est ce que ça pouvait être bon ! L'Incube n'avait jamais autant désiré une femme de toute sa vie. Tout son corps lui hurlait de la prendre, de la posséder ; son coeur battait si fort qu'il menaçait d'éclater, son cerveau secrétait des doses d'endorphine records qui perturbaient complètement ses pensées en noyant son intellect sous des sensations d'extase et de satisfaction. Et que dire de son membre qui commençait à se dresser glorieusement, chaudement...
Les baisers tendres et les mains de la Déesse n'arrangèrent rien à la situation du démon. Encore une autre vague d'extase désireuse, si puissante qu'elle aurait tué un humain, vint le frapper. Il ne put retenir une suite de discrets gémissements qui transportaient avec eux des brides de ses pouvoirs. Si elle les entendait, Kalianna serait forcée de faire face à un désir encore plus grand. Les sons que produisait la gorge de l'Incube était anormalement envoûtant, excitant... Et nul doute qu'il en pousserait d'autre si la Déesse s'appliquait.
La voix de la Déesse -un véritable nectar pour les tympans- se fit entendre comme dans un rêve, à la fois si lointaine et si proche. Vaelh était littéralement écrasé par son pouvoirs, si bien que ses perceptions étaient brouillées. Il lui fallut un gros effort de concentration pour lui répondre.
Si, je connais le poids de tes mots. Mais que pourraient-il m'apporter ? Que pourrais-tu dire à mon propos qui me soit avantageux ? Il laissa s'écouler un instant puis, dans le plus merveilleux et lubrique des sourires, souffla : ah, peut-être vas-tu raconter à quel point il t'a plu de connaître pour la première fois le véritable orgasme avec un Incube ? Vaelh vacilla, heureusement que la Déesse était proche, elle l'aida à garder son équilibre. Avec un air provocateur, il ajouta : Après pareille expérience, crois moi, tu auras très envie de m'inviter maintes et maintes fois dans ton palais.. Et aux Enfers, le plaisir que tu ressentiras n'en sera que plus grand.
Sonné par le désir, il ne remarqua que maintenant qu'il était torse nu. Sa peau pâle était parcourue de symboles étranges à la signification occulte. Ils étaient minuscules, mais s'imbriquaient les uns aux autres pour former de plus grosses runes, qui elles même s'assemblaient les unes aux autres pour construire des marques plus imposantes. En fait, l'ensemble du torse et du ventre du démon était le support d'une grande rune constituées d'une infinité d'autre symboles. Selon l'angle à partir duquel on regardait le tout, le symbole changeait littéralement de forme pour adopter des géométrie perverties, corrompue. La magie de tels tracés résidaient dans le fait que, même si la Déesse ne pouvait les lires, ils lui transmettait d'avantage de visions d'extase. C'était comme les comprendre sans pouvoir les déchiffrer.
En dessous de ces tatouages se tendait la musculature parfaite du démon, développée dans le but de plaire. Ses muscles fermes et fins lui donnait une silhouette d'athlète toute en souplesse. Sa peau y était délicieusement tendue, bouillante... Et semblait inciter Kalianna à y poser ses lèvres pour la goûter.
Avoir enfin une pleine vue sur le torse nu du démon pouvait agir comme une révélation chez la Déesse. Comme si... On lui avait raconté toute sa vie des contes et légendes qui évoquaient un être merveilleux, parfait, et qu'elle le tenait enfin en face d'elle.
Et tout ça, elle pouvait le toucher, le posséder.
Puis il remarqua que sa main avait été guidée sur la poitrine de la Déesse. Il sourit, ravi de se dire qu'un tel geste était la preuve charnelle que la Déesse le désirait vraiment. Cette petite victoire fit enfler son courage. Il vissa son regard enfiévré dans celui de Kalianna, lui promettant silencieusement une extase comme elle n'en n'avait jamais connu, puis avec une douloureuse lenteur entreprit de décrire de simple petit cercle sur ce grand sein offert. Sa main y était plaqué, s'enfonçant subtilement dans cette colline de chair ferme tandis qu'elle y appliquait un massage sensuel. Brusquement, l'Incube concentra tout son don de plaisir dans ce contacte, foudroyant littéralement la Déesse d'une vague d'extase irrésistible. Il avait tellement envie d'elle qu'il fit s'intensifier son don à un point jamais atteint, la soumettant à une infinité de visions dans lesquelles elle se laissait pétrir la poitrine d'une multitude de manières différentes. Les visions étaient si nettes, si puissantes qu'il n'était même plus possible de faire la différence avec la réalité. Ainsi... La déesse était, pour l'heure, condamnée à se laisser masser la poitrine dans une infinité de vie différentes, mais simultanément. Là, l'Incube massait avec force et rage ses deux seins, les pétrissant comme deux balles de pâtes, lançant à la Déesse un regard fou de désir, en lui soufflant nombres de coquineries ; ici, Vaelh était allongée sur elle, répandant mille et un baiser sur ses seins, n'hésitant pas à sucer délicatement leurs extrémités tendues ; là, l'Incube venait d'arracher avec sauvagerie le misérable petit bout de tissu qui préservait la poitrine de la Déesse, avant de l’entraîner au sol pour l'y soumettre. Dans cette vision -ou peut être était-ce la réalité ?-, l'Incube écrasa ses lèvres contre celle de la Déesse, avant de se dresser sur elle pour lui imposer la présence de son intimité raidie entre ses deux montes de chair avant d'y commencer des vas et viens sensuels.
Tout ceci sembla durer une éternité. Éternité durant laquelle la Déesse n'avait absolument plus de repère. Elle ne pouvait que contempler l'infinité de visions, subir tout l'improbable plaisir qu'elles engendraient, et se demander où était la réalité.
Vaelh arborait un sourire carnassier, excité au possible. Kalianna était la Déesse de la tentation, et il avait perdu son duel contre elle. Il avait été tenté, soumis à un pouvoir trop puissant pour lui. Mais... Kalianna n'était pas la Déesse du plaisir. Et le plaisir, Vaelh en connaissait un rayon dessus. Il en avait fait sa spécialité et sa raison d'être.
La Déesse avait gagné la première manche, mais ce sera bientôt à elle d'implorer que Vaelh ne cesse jamais ses caresses. Il en bouillonna d'envie. Il fantasma en s'imaginant le corps de la Divinité secoué de spasmes de plaisir incontrôlables... Quelle délicieuse vision. Il se perdit dans ses pensées, laissait la Déesse subir sa torture pendant encore de longues secondes, avant de faire cesser les vision. La Déesse était de retour dans la réalité et pouvait sentir l'Incube qui caressait son seins avec une tendresse touchante, comme pour la rassurer.
As-tu fais bon voyage ? Lui souffla-t-il sensuellement en faisant mention aux visions. Je suis sûr que tu as vu de merveilleuses choses. Et tu en verras bientôt beaucoup plus. Oh oui, tellement plus...
Vaelh jeta à la Déesse un regard qui sous entendait qu'il connaissait nombre de tours plaisants. Avec lenteur, il se pencha pour poser un baiser sur le haut de son sein puis, avec une habilité étonnante, priva la Déesse de son haut, exposant ses appâts opulents à l'air libre. Il se perdit dans leur contemplation en se mordillant la lèvres, serrant son bassin contre celui de sa partenaire. Ces collines étaient simplement merveilleuses, si bien qu'il ne put résister à l'envie d'y coller son oreille pour entendre le coeur de la Déesse battre en dessous. Il se régala de ses palpitation anarchique avant de revenir poser sa main sur le sein de la Déesse pour le masser pensivement, saisissant parfois son extrémité jusqu'à sentir le tout se durcir douloureusement. Il fixa à nouveau la Déesse, son expression sensuel se changeant en un masque de malice. Il souffla :
Tu m'as tenté. Tu as gagné cette première bataille. Mais tu vas perdre la suivante. Maintenant jouons selon mes règles. Il aurait voulu se détacher, mais l'envie de rester contre la poitrine de la Déesse était beaucoup trop fort. Trop de tentation ! Hm... Souhaites tu ressentir... "plus" ? Si oui, montre moi ce paysage que j'ai mendié tout à l'heure. Il souffla, plus bas encore, plissant les yeux et détachant chaque mot : tout de suite, Kalianna.
Il avait sciemment employé son prénom, sous entendant ainsi que malgré le fait qu'elle soit une déesse, il pouvait parler comme si elle était son égal.
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Si, je connais le poids de tes mots. Mais que pourraient-il m'apporter ? Que pourrais-tu dire à mon propos qui me soit avantageux ? Ah, peut-être vas-tu raconter à quel point il t'a plu de connaître pour la première fois le véritable orgasme avec un Incube ? Après pareille expérience, crois moi, tu auras très envie de m'inviter maintes et maintes fois dans ton palais.. Et aux Enfers, le plaisir que tu ressentiras n'en sera que plus grand.
Cela… Cela reste à voir sur ses invitations à sa résidence démoniaque, à ce moment, juste une personne avais la permission de revenir, et c’était un de mes pions, un marqué, si cet Incube devenais un marqué de mon sceau… Et me satisfait aussi bien pendant tout le long de cette charmante rencontre et bien je vais y penser. J’observais ce torse de bonne musculature qui m’attirais, j’en eu un sourire, mes mains découpant se torse au toucher, je me mordilla la lèvres inférieur, j’observas ses étranges symboles qui malgré soit indéchiffrable pour moi, m’attirais, me faisais frissonner d’envie… Une poussée pour la mener sur le chemin de la luxure à l’état pur, j’adore cela. Il me donnait encore plus d’envie que j’avais déjà au départ…
Je sentie alors une chaleur encore plus forte me prendre alors que je croisais le regard de Vaelh, sa main caressant l’un de mes seins, il s’avait comment les caresser pour pour que j’aime cela, bon départ, je lâcha un doux soupir d’entre mes lèvres, malgré que le tissu de mon haut cache mes seins, cela me fit un long frisson de plaisir, puis je sentie une force m’envelopper sous une sensuel chaleur et pendant un millième de seconde, tout devint noir puis tout revint clair. Tout semblais si claire, mais en même temps si incroyable, je me sentais caresser les seins avec ardeur, l’incube me murmurant des paroles taquinent en même temps de me regarder avec un regard remplie de désir que j’en frissonna, un soupire quittant mes lèvres, puis tout changea, je compris que j’avais été pris dans un piège, un piège au combien délicieux… Puis tout changea, elle était au sol, elle sentait l’herbe sous son corps, un frisson la parcourant, on aurait dit la réalité, car tout semblait si vrai… Ses lèvres se posant sur mes seins qui parfois il agrippait à l’extrémité, me faisant lâcher une douce plainte de plaisir, j’en souris grandement. Puis il l’embrassa directement sur ses lèvres chaudes et demandante, puis il se redressa sur moi, se membre démontrant une virilité remarquable se plaçant entre mes seins, puis remplie de sensualité il débuta des vas et viens, je me mordis la lèvre inférieur affichant un petit air pervers… Puis nouvelle vision, autre plaisir, je fus déçue que ce ne soit pas la réalité, que ce soit qu’une autre vision, avec toutes ses visions aguichantes, j’espère qu’il me décevra pas rendue au chose plus sérieuse.
Doucement tout revint noir et en quelque seconde tout revint clair, elle était de retour devant Vaelh qui lui caressa tout doucement le sein, un sourire sur ses lèvres, moi-même mon sourire s’agrandit grandement. Vilain garnement, il voulait vraiment que je le marque, me montrer autant de plaisir et me tenter encore… Cela mérite vraiment une belle et magnifique marque dans le creux de sa nuque…
As-tu fais bon voyage ? Je suis sûr que tu as vu de merveilleuses choses. Et tu en verras bientôt beaucoup plus. Oh oui, tellement plus...
Son regard me perçait, j’avais compris qu’il avait plus qu’un tour dans son sac, heureusement… Puis un baiser vint sur un de mes seins, j’en frissonna au contact de ses lèvres, puis habillement, mon haut s’enleva, mes seins sentant alors le vent les caresser d’une douce caresse. Puis il posa sa tête sur moi, près de mon cœur qui battait de mille battements. Sa main revint à la rencontre d’un de mes seins qu’il caressa pour vint s’amuser à saisir mon bout qui se durcissait à son contact, puis son regard se reposa sur le mien, ce ne fut pas de la sensualité que je lisa sur son visage, mais de la malice…
Tu m'as tenté. Tu as gagné cette première bataille. Mais tu vas perdre la suivante. Maintenant jouons selon mes règles. Hm... Souhaites tu ressentir... "plus" ? Si oui, montre moi ce paysage que j'ai mendié tout à l'heure… tout de suite, Kalianna.
Encore cette histoire de mont, colline et chute d’eau… Il usait de mon nom, comme si j’étais son égal… Mais je le suis point… Je le regarde sans dire un mot, mon regard est durcit, il méritait que je le punisse, il méritera sa punition… Malgrés mon regard dur, j’avais un grand sourire qui se faisait voir , dévoilant mes dents de la couleur de la pureté, mes mains caressèrent son torse et lentement je vins les descendre, se posant alors sur le bas de l’Incube, mes mains bloquant sur son tissu, puis perversement, je le fis tomber au sol, exposant ainsi son membre au yeux de la nature autour de nous et de mon regard que regardait ce membre, puis qui revint regarder les yeux de Vaelh, je me colla un peu plus à lui, mes mains prenant possession des siennes, je guida ses mains vers mes seins, une main sur un sein, je le regarda et mima de mes lèvres le mot : Collines…
Je les fit me masser, mes mains par-dessus les siennes pour qu’il fasse ce que je voulais, puis je vins embrasser Vaelh avec fougue, mon baiser se faisant ardent, l’embrassant avec ma langue pour que nos deux appareils buccal fasse un dance osée, pendant se baiser, je fis descendre ses mains pour qu’elle caresse mon ventre et délicieusement je les fis descendre sur mes fesses, protéger de ce délicieux tissu dorée, lentement je me déroba de se baisser en disant dans un murmure presque inaudible :
-Mes monts…
Mon sourire était toujours présent et doucement j’emporta l’une de ses deux mains à mon entre jambe, mais je le força qu’a le frôler, je n’allais pas lui donner tout ce qu’il désirait d’un seul coup, je suis patiente et il devras l’être, malgré mon envie si grandissante, il le fallait, pour le jeu! Je n’ai jamais aimée respecter eux des autres, elle ne me convienne jamais. Je ne perds jamais, je gagne, je succomberais point! Mais j’ai tant envie, mais je dois montrer ma force!
-Aller mon beau, tes visions sont si alléchante, est-ce pour cacher qu’en vérité tu ne sais point faire de bien à une femme…?
Je le provoquais, mon sourire était autant provocateur que sensuel, je le désirais et je sais qu’il me désire, je ne veux juste pas succomber la première… Car je suis la gagnante!
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Appeler la Déesse par son prénom sembla ne pas lui plaire au vu de la pointe de dureté qui vint nuancer son regard. Vaelh était ravi de son effet ! En fixant sa partenaire, il n'avait aucun mal à deviner que celle-ci se vengerais tôt ou tard pour un tel affront. Il ne connaissait pas la nature même de la punition qu'il subirait, alors ce sera comme une surprise quand il le découvrira. Et Vaelh est friand de surprise, même quand elles sont mauvaises.
Les mains de la Déesse, si douces qu'elles semblaient éthérée, glissèrent sur le derme albâtre du Démo, épousant délicieusement les reliefs nets de sa musculature, déclenchant de puissant frissons de plaisir. Vaelh suivait des yeux le trajets des mains de la Déesse jusqu'à ce qu'elle arrive à sa ceinture. De leur point de vue, Incube et Déesse pouvaient voir un merveilleux mât de chair tendu qui entrouvrait à lui seul les robes qui le dissimulaient, avant qu'elles ne tombent au sol dans un bruit de tissu froissé et d'acier. Le membre du Démon en fut alors fièrement exposé dans toute son ampleur, impérieusement dressé, telle la bannière de l'érotisme comme pour haranguer les cohortes de l'envie et du désir de mener une charge dévastatrice, en profondeur dans les lignes ennemis. Que Kalianna s'y prépare, elle allait vivre une expérience hors du commun.
L'Incube ne fut pas gêné le moins du monde de se retrouver si déshabillé. A vrai dire, la notion de "pudeur" lui était étrangère. Il lui arrivait de s'ébattre publiquement et ne comprenait pas la gêne d'autrui -surtout celle des humains, disproportionnée- dans ce genre de situation. Il se permit un sourire taquin en remontant ses yeux dans ceux de la Divinité, l'air de sous entendre qu'il n'était pas démuni. Ce fut une petite victoire pour Vaelh que de se dire que c'est la Déesse qui aura craqué en première pour voir son intimité, et non l'inverse. Mais peut être était-ce encore calculé ?
A nouveau avec ce mélange de douceur et d'autorité, la Déesse s'empara des mains du Démon pour les guider jusqu'à sa poitrine. Elle le fixa d'un regard de braise en murmurant tout bas. Vaelh allait avoir droit à cette visite guidée tant désirée. Kalianna ne s'arrêta pas là puisqu'elle fit imprimer au mains du Démon de doux mouvements, sensuels au possible, pour que sa poitrine soit massée. Vaelh ne chercha pas à mener la danse et se laissa complètement guider. Il sut ainsi comme la Déesse se serait elle même massé les seins et cela lui donna quelque indication sur les mouvements qu'elle préférait. Sans prévenir, elle écrasa ses lèvres sur celles du Démon, lui coupant le souffle alors qu'il aurait tant aimé soupirer d'extase. Une telle surprise déclencha un pic dans son don qui transmit très brièvement à la Déesse une montée de plaisir colossale. Vibrant de désir, il sentit que ses mains glissaient jusqu'au merveilleux fessier de la Déesse. Il fut aux anges -aux diables, plutôt- quand il éprouva toute la douceur, la chaleur et la fermeté de cet endroit. Il parvenait à percevoir toute la perfection de la Déesse rien qu'au touché, avec une facilité effrayante.
Et, enfin, sa main fut guidée jusqu'à l'entre jambe de la Déesse. A mesure que ses doigts approchaient, il perçut la fournaise sous le tissu, il put s'imaginer à quel point cet endroit devait être doux... Mais cruelle Déesse qu'elle est, Kalianna ne lui permit pas un contacte directe. En cet instant, Le démon ne put contenir un vague gémissement de protestation désireux en fixant sa partenaire d'un air outré. Son désir était trop fort pour qu'il lutte plus longtemps.
Puis vint la provocation. Aux oreilles de l'Incube, une telle chose était si absurde... Qu'il ne put se retenir d'émettre un rire cristallin. C'était la pire de toutes les provocations qu'on ai pu lui faire. En tant qu'incube, faire plaisir aux femmes étaient sa raison d'être ; et on insinuait qu'il était incompétent dans ce domaine ? Quelle farce. Ayant cessé de rire, Vaelh fixa la Déesse avec doux sourire amusé, restant nu, complètement offert sous elle comme une délicieuse et attendrissante friandise. Il souffla presque comme un confident enfiévré :
Si tu n'avais pas tant de pouvoirs sur moi, je t'aurais quitté pour m'avoir dit ça. C'est comme dire à un poisson qu'il ne peut respirer sous l'eau, comme dire à un oiseau qu'il ne sait pas voler. C'est un non-sens Il fit doucement rouler sa tête sur le côté, fermant les yeux. Il semblait presque relaxé, hormis les petits tremblements d'envie qui l'agitaient. Mais c'est un jeu d'érotisme et de provocation auquel nous jouons, alors... Je vais jouer le jeu. Je te le dois bien puisque tu m'as vaincu, non ?
Vaelh riva ses yeux dans ceux de la Déesse, arborant un authentique masque d'outrance. Sans plus se laisser guider, il fit se plaquer sa main entre les cuisses de la Déesse, sans l'avoir encore complètement dénudé. Acceptant de se prêter au jeu de la Déesse sans aucune réserve, il lui infligea une série de caresses appuyée, presque rageuse pour lui faire regretter ses paroles, montante et descendante le long de sa chaude intimité. Il n'activa pas son don, du moins pas encore, et pour l'heure la Déesse pouvait quand même ressentir un plaisir nettement supérieur à celui qu'elle aurait éprouvé des caresses d'un autre.
Et même si pour l'instant c'était Vaelh qui donnait du plaisir à la Déesse, cela ne l'empêcha pas d'être plus excité encore. Les charmes de Kalianna le transperçaient sans merci jusqu'à ce qu'il atteigne cet étrange point de rupture qui lui fit voir la Déesse sous un autre jour; C'était comme si il ne parvenait à appréhender la beauté de sa partenaire que maintenant. Avant, il la trouvait parfaite, à présent, elle apparaissait comme la plus merveilleuse des utopies...
Le Démon en fut désireux au point que toute sa passion pour la Déesse se mua en une étrange inspiration. Il allait composer une symphonie faite de ses cris d'extases, s'amusant à moduler le plaisir pour en tirer divers gémissements. Ce serait sa plus grande oeuvre, et la Déesse s'en souviendra à jamais. Elle en resterait terrassée.
Un sourire se dessina sur les lèvres de l'Incube, un mélange de perversité pure et d'une érotique cruauté. Sa main s'appuya avec plus de force contre l'entre-jambe de la Déesse, lui dispensant une nouvelle série de caresse, avant qu'il ne laisse que son index sur le petit bouton de plaisir et qu'il y décrive des cercles si petits qu'on pouvait croire que son doigt ne bougeait pas.
Et dire qu'il n'avait pas encore chassé ce dernier bout de tissu...
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Douce sensation qu’est le plaisir de la luxure, je le sentais tenter, comme moi j’étais tenter, un sourire remplie de provocation se lisant, je savais qu’il n’aimerait pas mes paroles, peu d’incube supporterais ses paroles, mais justement, c’est cela la provocation, le forcer à qu’il lui prouve le contraire! J’observa son visage se décomposer allant de la perversion à l’incompréhension puis il éclata de rire, bien entendue, les Incubes sont si incompréhensif dans leurs agissements, j’étais sure qu’il allait agir d’une manière qui allait m’énerver un peu et il l’avait fait, son rire m’agaçait, jamais au bon moment, Je n’ai jamais aimer avoir l’impression qu’on riait d’elle. Il arrêta son rire et me fixa avec un sourire qui revint dans l’amusement, je l’observa calmement, mon sourire remplie de perversion afficher sur mes lèvres, lentement il me parla de sa voix presque mélodieuse et sensuelle à mes oreilles :
Si tu n'avais pas tant de pouvoirs sur moi, je t'aurais quitté pour m'avoir dit ça. C'est comme dire à un poisson qu'il ne peut respirer sous l'eau, comme dire à un oiseau qu'il ne sait pas voler. C'est un non-sens. Mais c'est un jeu d'érotisme et de provocation auquel nous jouons, alors... Je vais jouer le jeu. Je te le dois bien puisque tu m'as vaincu, non ?
Il ne m’aurait quitter pour le moins du monde, je le sait, je l’avais dans mes liens, il ne pouvait fuir, trop attirer vers moi pour pouvoir tenter de partir. Nos regards se croisait, puis sa main changea de position, se plaçant entre mes jambes, sur ce tissu qu’était mon sous-vêtement, je frissonnai, me mordillant la lèvre du bas, enfin il entrait dans le jeu, mon jeu préférer, la succombassions…
Il appuyait, faisant des petits mouvements au-dessus de ce tissu au combien encombrant dans ce chaud moment, je me mordilla la lèvre et je le regarda, je lâcha un petit gémissement de plaisir, j’adorais sa façon rageuse de me caresser, j’en frissonna d’envie, je remarquais bien qu’il était un habituer des caresses, je m’en mordilla la lèvre sous le plaisir qu’il m’offrait, ses doigts arrêtant leurs jeux coquins, mais ce ne fut le tour, qu’un seul doigts de faire l’effet qu’il désirait, il l’avait poser précisément sur ce petit bouton de plaisir, cette endroit qui fait tant de plaisir à une femme pour si peu. Je m’en mordilla la lèvre, je n’aimais pas rester inactive, mon tour était arriver, ma main se posa sur son torse, mon regard avait découvert un arbre de bonne taille, lentement et avec grâce je le poussa pour qu’il recule…
Son dos prit appuie sur l’arbre qui était placer peut-être 2 mètres plus loin, ce n’était pas qu’un petit arbre de pacotille, non il était imposant et magnifiquement fait. Je leva ma jambe pour que mon genou ce pose dessus l’arbre, mes bras de chaque coté du corps du succube, le dominant de ma position, je le regarda droit dans les yeux, mon sourire et mon regards semblait dire de me prendre, de me faire plaisir, je me mordilla du coin de la lèvre puis mes lèvres se posèrent contre les siennes, ma langue pénétrant sa bouche, une valse érotique se lança entre nos deux organes buccaux, j’avais l’une de mes mains se posa sur sa nuque, lentement elle se mit à descendre, allant sur son torse que je caressa du bout de mes doigts, lentement ils glissèrent pour se rendre au soldat qui se tenait au garde à vous, au départ je traça que d’un doigts sa longueur, puis je revint vers la base une fois arriver au bout. Mes doigts firent le tour de son membre et lentement je lui fis de lent va et viens, mon corps coller un peu plus contre lui, le bout de son membre pouvant coller contre mon vêtement restant qui demandais que de se faire enlever. Mais je donnais aucun répit à son membre, j’y allais parfois doucement et d’un geste lent, parfois rapide mais j’appuyais légèrement un peu plus arriver à son bout pour qu’il reçoive une dose de plaisir. Mon pouvoir de tentatrice le percuta à nouveau un sourire sur mes lèvres, j’avais relâcher mon baiser pour laisser sortir des doux soupirs plaisant…
«Alors mon beau incube, que compte tu me faire?» Dis-je de manière lente et pervertie
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Était-ce seulement possible de se sentir attiré à un tel point ? L'Incube désirait tant la Déesse qu'il en vint à se demander si tout ceci n'était pas qu'un rêve né de la consommation de quelque hallucinogène. Pourtant... La chaleur de la peau basanée de la Tentatrice... Son arôme... Sa texture... Les gémissements qu'elle poussait... Tout était d'une incroyable limpidité. Vaelh ne rêvait pas. Il allait belle et bien prendre une Déesse. LA Déesse !
Parler d'elle comme étant parfaite aurait été une insulte à sa beauté. Chacun de ses gestes étaient empreint d'une majesté pervertie qui rendait dingue l'Incube. Même ses courbes appelaient à la luxure ! Vaelh était si hypnotisé qu'il se laissa docilement guider dos jusqu'à un arbre à l'écorce douce et fraîche ; là, la Déesse lui offrit une vue imprenable sur son merveilleux corps en adoptant une posture des plus lascives... Tout, absolument tout chez elle narguait le Démon, le provoquant de la prendre dans l'instant avec toute l'énergie dont il disposait. Et tandis qu'une inavouable vague de fantasmes le submergeait, les lèvres chaleureuses de la Déesse se posèrent contre les siennes. Il réagit immédiatement en ouvrant la bouche pour permettre à la langue de Kalianna de venir danser avec la sienne. Une étreinte humide s'engagea dans le confinement de leurs lèvres, étreinte que l'Incube ne rendit que plus plaisante en serrant chaudement sa langue autour de celle de la Déesse.
Vaelh aurait juré qu'il n'aurait pu être plus excité qu'en ce moment. Et il se trompait ! La folie menaça de le terrasser quand les doigts de la Déesse s'enroulèrent avec une grâce serpentine autour de son membre virile. Ce dernier se tendit encore un peu plus et gagna en fermeté, comme pour réclamer d'avantage de caresses. Sa peau douce et bouillante glissait à merveille contre la paume de la Déesse. Involontairement, l'Incube imprima un vas et viens très subtil du bassin, agitant ainsi son membre dans les doigts de la Tentatrice comme s'il la pénétrait. Il fut obligé agripper l'herbe tendre à pleine poignée pour ne pas donner de coups plus violent. Par tous les Diables, si seulement elle pouvait savoir à quel point il la désirait corps et âme...
Pour ne rien arranger, la Déesse imposait au Démon une dangereuse proximité. Son désir ne fit que croître, tout comme son inspiration, si bien que malgré la chaleur de la situation il trouva assez de lucidité pour réfléchir. Au vu de l'expertise des doigts de la Déesse, nul doute qu'elle avait déjà dû caresser des centaines, sinon des milliers de membres. Et a voir son assurance, elle avait déjà dû rendre fou de désir des continents entiers. Ses pouvoirs étaient tels... Que chacune de ses proies ne se maîtrisaient plus et ne résistait pas à l'envie de la prendre avec une sauvagerie sans borne. Certes, ce devait être génial de pouvoir s'ébattre avec des partenaires excités comme pas possible. Mais du coup, est-ce que le Déesse avait connu, ne serait-ce qu'une fois dans sa vue, ce qu'était la tendresse dans le sexe ? Avait-elle eu une seule fois du plaisir sans s'être faite... Défoncée ?
Cette idée fit son bout de chemin dans l'esprit de l'Incube pendant qu'il se laissait masturber. Il tenait là un moyen de faire vivre à la Déesse quelque chose qu'elle ne connaissait peut être pas ! Ah, s'il n'avait pas été aussi ivre d'envie, il se serait qualifié lui même et à voix haute de génie !
La voix de Kalianna le fit sortir de ses pensées. Il cligna plusieurs fois des yeux, écrasé par le désir, avant de regarder avec délice la manière dont elle flattait son mât d’indécentes caresses. Il lui souffla d'un ton enfiévré et perverti :
Ce que je vais te faire ? Du bien. Oh, tant de bien...
Il se pencha pour l'embrasser à nouveau, mais ce baiser là n'avait rien à voir avec les autres. Il n'était pas le vecteur d'une luxure sans borne, mais plutôt... D'une touchante complicité. Il ne chercha pas à faire s'insinuer sa langue contre celle de la Déesse, il se contenta plutôt de l'embrasser très simplement, tenant tendrement son visage, avant de lui souffler :
Tout ça risque d'être nouveau pour toi. Mais tout ira bien. Ai confiance en ton servant.
L'Incube était excité au point que son membre ne saurait être plus raide. Tout son corps vibrait, et il mourrait d'envie de prendre Kalianna si violemment qu'elle n'aurait pas pu se relever avant un moment. Mais elle lui avait offert un cadeau merveilleux, une excitation comme il n'en avait jamais ressenti de sa vie ! Alors pour la remercier, l'Incube était prêt à tirer un trait sur la sauvagerie pour ce premier ébat, il était prêt à guider la Déesse sur une voix que, selon son hypothèse, elle ne connaissait pas.
Avec lenteur, et surtout avec beaucoup de complicité, l'Incube fit glisser ses mains autour du petit bout de tissu qui dissimulait encore l'entre jambe de la Déesse. Elle ne devait pas garder ses habits longtemps puisque ses milliers d'amants devaient sans doute les lui arracher pour accéder à son intimité. Pour le coup, Vaelh le défit simplement d'une série de gestes habiles et habitués, s'offrant alors une vue superbe sur le sexe chaud de sa partenaire. Il donna sans le vouloir un coup de bassin plus violent dans la main de la Déesse, le souffle court, avant de poser sa paume entière sur son intimité. Enivré par la chaleur qu'il percevait et la douceur de sa peau, il décrivit de petits cercles. De telles caresses étaient bien évidemment ciblées sur le petit bouton de rose de la Déesse. Mais Vaelh ne voulait pas bêtement la "chauffer", il souhaitait sincèrement que ses attouchement donnait un véritable plaisir à Kalianna ; et même si elle était novice dans le domaine de la tendresse, elle comprit au regard du Démon que ce dernier luttait contre son désir, rien que pour elle. Il lui sourit même de manière rassurante avant de faire glisser deux doigts dans son intimité, les agitant d'avant en arrière sans cesser de masser son bouton de plaisir du plat de sa paume.
Il se mordilla la lèvre, n'essayant même pas de cacher le plaisir qu'il avait de toucher ainsi la Déesse.
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Je regardais l’incube de mon regard remplie de confiance et d’envie, je le désirais et je savais au combien il me désirait mon corps avec passion, son regard disait tout, c’était un regard remplie de luxure, d’envie et d’une vive sensualité et c’est moi qui vais en profiter en ce moment, j’aime me sentir désirer comme cela, c’est encore plus explicite, au son de mes paroles il se mit à cligner des yeux, je sentie alors son désir augmenter, il regarda alors son membre se faire caresser et sa m’encourageais à continuer, je voyais très bien qu’il adorait cela, puis doucement son regard se posa sur moi et sa voix délicieusement démoniaque résonna à mes oreilles :
Ce que je vais te faire ? Du bien. Oh, tant de bien...
Puis il se pencha vers moi, d’un geste lent, son souffle se faisant sentir contre mon visage, une chaleur respirant le plaisir, j’en fus séduit, j’adore sentir cela, c’est si attirant, je me souviens encore de l’une de mes relations, j’avais réussie à tenter le dieu de la douceur, je peux vous dire que les débuts avait été tendre et j’ai réussie à tout briser sa douceur quand j’ai réussie à le tenter assez, pour briser son être, c’est un de mes exploits, je vais toujours m’en souvenir, dommage qu’il soit mort en se moment, à ce qui parait il à été détruit par Zeus, mais sa je sais pas, j’ai trop été enfermé longtemps dans cette foutue prison! Alors que je repensai à ce moment, cela fut briser par un baiser, Vaelh tenais mon visage entre ses mains et l’embrassait d’un baiser remplie de tendresse et d’une complicité incomparable, un baiser comme jamais j’en avais reçue, j’en fus légèrement gêner, étrange… Un frison me parcourut le dos, un autre type de frison que je n’ai pas l’habitude de ressentir… Qu’est-ce qu’il m’a fait…? Lentement se baiser s’acheva et il me souffla de sa voix échauffé :
Tout ça risque d'être nouveau pour toi. Mais tout ira bien. Ai confiance en ton servant.
Lentement ses mains allèrent à mon tissu restant, ses mains me créant de doux frisons sur mon corps qui désirait tant prendre son corps d’incube, je m’en mordit la lèvre, mais je comprenais pas quelque chose, qu’est-ce qui pourrait être nouveau pour moi qui est déjà tout essayer? Avoir confiance, je n’en avais jamais vraiment accordé de ma confiance, peu ne l’avait et fallait la méritait vraiment pour que je leurs donnent, mais je me prêtai au jeu, lentement et avec d’une douce agilité, il semblait bien habituer et j’en eux un sourire, ma main caressant toujours se membre dresser et plaisant de vue, puis se léger bout de tissu tomba, me provocant un autre frison de plaisir, il donna un coup de bassin et je resserra mon emprise sur son membre, continuant de le caresser avec envie. Puis sa main arriva sur son entre jambe et commença ses caressent qui se plaçait directement sur ce bouton de plaisir, je lâcha un doux soupir de plaisir. Ses doigts étaient de véritable expert en question de caresse et j’adorais cela, je m’en mordilla la lèvre inférieur et me laissa faire, je lâchais de tendre soupire, je voyais dans son regard la résistance à se laisser aller, mais non, il ne fallait pas ce retenir… Retenir cette pulsion c’est mauvais et c’Est tellement plus plaisant de ce laissé aller… Il voulait user de tendresse envers elle, pourquoi? Pourquoi quand quelque seconde avant il y allait avec plaisir et se laissait aller. Je ne compris pas, certaines notions des démons m’échappent encore. Jamais on à user de tendresse envers moi… Et les tendres en son rapidement devenue brutal sous la tentation que je leurs offraient, mais lui il résistait… J’en fus bouche-bée, mais j’en étais heureuse, une autre sorte de plaisir m’attendais et j’avais hâte à la suite…
Il me fit un doux sourire, le genre de sourire qui veux rassurer l’autre, je me mordilla la lèvre et un gémissement sortie d’entre mes lèvres lors qu’il commença à entrer ses doigts et y faire des vas et viens, sa paume caressant en même temps mon bouton de plaisir, je poussais de douce plainte de plaisir, il était habille de ses doigts, sa j’en était certaines, beaucoup avait dû succomber à la douceur de ses doigts, je m’en mordit la lèvre, je l’observa, il avait autant envie que moi, peut-être même plus que moi, mais main se posa sur l’une de ses fesses que je caressa, mon autre main continuait à faire ses mouvement de va et viens, variant la vitesse pour lui causer plus de plaisir, je l’observais, mon regard doux l’observant droit dans les yeux, je cligna doucement ceux-ci, je tentais encore de l’attirer à moi! Mais j’obtiens toujours ce que je veux et je sais qu’il allait craquer dans peu de temps, aucun homme résistait à la tentation de me prendre sauvagement, pourquoi cela changerait-il?
J’appréciais ses traitements, chaque mouvement provoquais un frison et un soupir plaisant sortait de mes lèvres, j’espérais… enfin j’étais sure que c’était la même chose de son coté, lentement le véritable plaisir allait arriver… Je ne disais rien, mes mots auraient été de trop dans ce tourbillon de plaisir qui m'habitait.
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L'Incube ne fit aucun effort pour masquer son ravissement quant à l'apparente surprise de la Déesse. Il avait vu juste : elle n'avait pas l'habitude d'être prise avec douceur. C'était si évident, ses yeux, son corps, ses frissons parlaient pour elle. Décidément, Vaelh avait réussit un véritable coup de maître ! Ah, prétentieux qu'il est, sans doute s'en vantera-t-il pendant des siècles, sinon des millénaires. On parlera de lui comme de l'Incube qui était parvenu à surprendre la Déesse de la Tentation. Enfin, pour l'heure, il valait mieux se concentrer sur l'instant présent.
Les gémissements de plaisir de la Déesse était une merveilleuse symphonie aux oreilles du Démon. Lui qui avait déjà entendu des milliards de râle d'extase, ceux de Kalianna ne sonnaient comme aucun autre. C'était comme si... Toutes les précédentes "victimes" de Vaelh avaient été des instruments aux sonorités connue, et que Kalianna représentait un tout nouveau type d'instrument capable d’émettre des notes d'une impossible sensualité. Artiste qu'il est, le Démon fut grandement contenté. Il se jura qu'il allait jouer de la Déesse comme personne n'avait joué d'elle avant. Du moins quand l'épisode tendresse serait achevé.
En parlant de ça, Kalianna semblait prendre un malin plaisir à vouloir faire échouer ses plans. Chaque seconde qui passait apportait son lot de tentation, toute plus irrésistibles les unes que les autres. Ses caresses étaient incomparable, si bien que l’érection de Vaelh était d'une raideur époustouflante ; et quel plaisir il en tirait ! Il se sentait à nouveau sur le point de craquer, de mettre la douceur de côté pour simplement sauter sur la Déesse et la soulager à grand renfort de coups de membre. Mais il désirait tant lui donner quelque chose qui change ! Sa seule solution pour garder un minimum de contrôle restait de mettre aux courant la Déesse, ce qu'il fit d'une voix enrouée d'envie :
Eh bien... Doucement, doucement. Te fais-je donc tant d'effet ? Il eut un sourire charmeur. Si tu me tente plus, je ne pourrais plus du tout résister, et cet ébat ressemblera à tout les autres pour toi : violent, brusque... Si seulement tu pouvais te laisser faire sans plus rien tenter, je te montrerai une forme de plaisir que tu ne connais pas. Après ça, rien ne t'empêche de me rendre fou de toi, si tu désire tant la violence.
Tandis qu'il parlait, l'Incube agitait plus lentement ses doigts dans l'étroite intimité de la Déesse. Il ne cherchait pas à lui faire le plus de bien possible, si bien qu'il avait repoussé son propre don. Kalianna pouvait quand même ressentir un plaisir déjà anormalement élevé pour de si petites caresses, mais rien d'insurmontable. Son véritable but était de transmettre plus de sentiments que de plaisir ; ses doigts allaient et venaient lentement, comme pour signifier en douceur que tout se passerait très bien. Il voulait réellement faire cadeau de tendresse à la Déesse, mais la décision lui revenait : si elle atténuait ses charmes, Vaelh aurait carte blanche, sinon, elle se ferait prendre comme elle l'a déjà fait des millions de fois. Pour mettre toute les chances de son côté, Vaelh vint poser ses lèvres contre le seins gauche de la Déesse. Contre son coeur battant. Il y déposa nombre de baiser avec une douceur sans pareille, avec une tendresse inégalée. Presque... Avec amour ? Il souffla tout bas :
Laisse moi juste mener la première danse. La seconde sera pour toi.
Sur ces derniers mots, il retira ses doigts du sexe de la Déesse et, pour son plus grand plaisir, vint les lécher devant elle pour savourer son excitation. Il aperçue alors que Kalianna était délicieuse. Littéralement... Bonne. Il se passa la langue sur les lèvres, avide de pouvoir s'abreuver à même la source ; mais il attendait d'abord la décision de la Tentatrice.
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Mes caresses que je donnais à Vaelh lui causaient terriblement du bien, je le sentais craquer à l’intérieur, de magnifique fissure ce créant dans sa volonté de vouloir me résister, je rêvais du jour où une personne pourra résister complètement à ma tentation ou même me donner du plaisir à n’en plus finir en me résistant, mais je savais ce jour loin, mais je savais qu’il viendrait. Mon regard restait poser sur ce délicieux incube, je me mordilla la lèvre doucement, son membre était fièrement tendu et montrait toute la fierté de son maître, ma main continuait sa caresse avec une délicieuse envie, mon regard l’observant avec un petit air d’envie, il me regarda et sur un même ton désireux il dit :
Eh bien... Doucement, doucement. Te fais-je donc tant d'effet? Si tu me tente plus, je ne pourrais plus du tout résister, et cet ébat ressemblera à tout les autres pour toi : violent, brusque... Si seulement tu pouvais te laisser faire sans plus rien tenter, je te montrerai une forme de plaisir que tu ne connais pas. Après ça, rien ne t'empêche de me rendre fou de toi, si tu désire tant la violence.
Pendant qu’il parlait il ne cessait pas de bouger doucement ses doigts en moi, j’aimais terriblement cela, je n’ai jamais laissée une personne tenter quoi que ce soit, moi seule peut tenter, pourquoi est-ce que sa changerais aujourd’hui? Je sentais ses caresses diminuer dans le plaisir, je compris rapidement la raison, il diminuait ses pouvoirs pour qu’elle sente un plaisir plus naturel? Étrange Incube… Mais très au combien très intéressant, ses caresses me faisait tout de même un bien énorme, je me mordilla la lèvre inférieur lentement, je n’avais pas toucher à mon pouvoir, une forte tentation se faisait toujours amener de mon corps, je l’observait de mon regard émeraude, puis ses lèvres vinrent se poser sur un de mes seins, un nouveau frison m’accueillit, une zone si magique pour moi, j’ai toujours aimer me les faires toucher, caresser, embrasser, c’était une zone qui dégageait beaucoup de plaisir pour moi, Vaelh y posait de doux baisser remplit d’une tendresse charger de passion, j’en échappa un soupir de mes lèvres. Ses doigts continua son va et viens doux, me faisant frissonner sous cette douce dose de plaisir.
Puis dans un murmure il chuchota :
Laisse moi juste mener la première danse. La seconde sera pour toi.
Puis il enleva ses doigts de moi et je lâcha un léger gémissement de protestation, il vint alors mener ses deux doigts près de sa bouche, Je frissonna sous le geste qu’il fit, il lécha ses doigts devant elle, ses doigts remplie de ma délicieuse douceur tentatrice, sa langue venant récolter le restant sur ses lèvres, elle l’observa et elle posa ses mains sur le torse de l’Incube, me collant un peu plus à lui, mon don de tentation se fit alors grandissant et puis diminua rapidement sous la puissance tentatrice, je le regarda droit dans les yeux et je souffla d’une voix terriblement douce et tentatrice que dans le ton :
-Montre-moi ce que tu sais faire et lorsque je mènerais le bal, tu seras au combien récompenser…
Ce qu’il ne savait pas, c’est que cette récompense se valait en deux partie : Du plaisir intense et une marque douloureuse quelque instant, mais cette marque seras pour lui le plus grand des cadeaux, rare était leurs possesseurs, je les offrais qu’au meilleur! Et s’il en valait la peine il l’aura! Je vint poser mes lèvres contre les siennes, répondant à son baiser de tout à l’heure avait un semblant de baiser doux, la douceur et la résistance à la tentation était point dans mes habitudes, puis le fit changer de côté, moi contre l’arbre lui face à moi, mon dos coller sur l’écorce me fit frissonner de plaisir, je l’observa de mes yeux calmes, il pouvait encore sentir de la tentatrice, mais cela était naturel chez moi, il se dégageait toujours de la tentation de mon corps, mais il pouvait facilement supporter cela. Je le laisse débuter, j’espère sincèrement ne pas regretter se choix, si je le regrette, cela ne se passeras plus jamais ainsi, lentement je mordis ma lèvre, tentant de l’attirer à moi, mais sans user de mes pouvoirs.
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La Déesse avait exigé une démonstration des talents de courtisant du Démon, et elle allait être servie. Qu'elle s'y prépare : elle vivrait en cette chaude et belle après-midi une odyssée d'un genre nouveau.
Il était coutume de dire qu'Incube et Succube était les démons du sexe. Mais ça n'était pas vrai. En réalité, ils sont les démon du plaisir, et le plaisir ne vient pas que par de profonds vas et viens et quelques caresses bien placées ; non, le plaisir est en fait un ensemble de saveur différentes que Vaelh connaissait comme sa poche. Même parmi ses pairs instables il était un exemple d'érudition sur cette voie. "Le plaisir est en tout lieu, en toute chose, en tout temps. Seul importe de savoir le savourer", se plaisait-il à prêcher.
Ses lèvres quittèrent les seins de la Déesse lorsque celle-ci choisit de s'installer plus à son aise. Quand elle fut adossée à l'arbre, l'Incube planta ses iris d'or en fusion dans ses émeraudes avant de s'autoriser un sourire sincèrement attendrissant. Il avait passé sa longue vie à affiner ses talents de séducteur et à perfectionner ses techniques pour donner et recevoir le plaisir sans jamais oublier les divinités qui, selon lui, étaient maîtresses de la race des Incubes et des Succubes. Chaque entraînement, chaque débauche, chaque orgie étaient autant de prières impies à ces Dieux et Déesse qui avaient donné naissance aux démon du plaisirs. Evidemment, Kalianna était du nombre. Et aujourd'hui, Vaelh avait cette chance de la prier en chair et en os. A sa manière...
Il fallait que l'instant soit parfait, et surtout qu'il offre quelque chose à la Déesse dont elle se souviendra toute son immortalité. Eh oui, derrière ses airs malicieux et provocateurs, Vaelh était, d'un point de vue démoniaque, un monarque très pieux.
Il vint s'installer à genoux devant la déesse, fier et magnifique dans sa parfaite nudité. Il fit atterrir ses paumes bouillantes sur les genoux de la Divinité et, après avoir affiché un petit sourire mutin, raffermit l'emprise de ses doigts et écarta les mains, éloignant les genoux de la Déesse l'un de l'autre. Ainsi eut-il une vue mémorable sur le corps dénudé de Kalianna et son intimité offerte.
Elle était parfaite. Oh, si parfaite ! Cette nudité... Lui allait comme un gant. Souvent, monarques, empereurs, et dieux ne parvenaient à afficher toute leur majesté que grâce à l'aide d'une tenue spécifique et de quelques accessoires représentatifs de leur fonction. Zeus par exemple avait sa foudre. Mars ses armes. Et Kalianna avait sa parfaite nudité.
Pareille vision mis à mal la résolution de l'Incube. Plus que jamais, l'envie d'insérer son membre dans l'entre jambe de la Déesse pour la labourer sans merci lui brûlait les entrailles. C'est seulement grâce à l'inspiration que la vision de son corps nue provoquait, couplé à sa profonde et sincère dévotion pour la Déesse, Sa Déesse, qu'il parvint à se retenir.
En tant que Démon du plaisir, Vaelh pouvait goûter à l'extase de mille et une manières, dont l'une consistait tout simplement... A mettre son propre plaisir de côté pour se concentrer sur celui de sa partenaire. Le démon s'autorisa un grand sourire éclatant, intimement persuadé qu'AUCUNE créature n'avait dû réussir à faire passer son plaisir après celui de la Déesse. Et nul doute qu'elle avait dû être déçue par des milliers d'amants trop excité pour se contenir assez longtemps.
D'une certaine manière... Peut être était-elle... Triste ?
Désireux de remédier à ça, tant pour contenter la Déesse que pour lui prouver sa dévotion, Vaelh fit glisser ses paumes sur ses cuisses écartées. Toujours sans chercher à user de ses talents pour faire croître le plaisir, mais en donnant toujours plus à la Déesse que n'importe quelle créature, il fit habilement dériver ses mains des cuisses jusqu'à ce ventre doux et ferme. Profitant de son élan, il fit monter ses paumes jusqu'à la poitrine de la Déesse, la soupesant coquinement avant de passer à des caresses amplement plus douces, complices mais encore désireuses. Ses doigts se crispèrent sur la peau tendue de cette incroyable poitrine, piégeant chacun de ces grands seins dans une étreinte torride qui se mua avec subtilité en de doux attouchements circulaires. Sans quitter le regard de la Déesse, il profita de chaque circonvolution pour venir s'emparer de l'extrémité tendues de ses seins, les titillant avec malices.
Très observateur, Vaelh avait vite compris que la poitrine de Kalianna était une zone très sensible pour elle. Il aurait pu passer la journée à continuer de la masser ainsi, sans se préoccuper de ses propres envies, rien que pour que la Déesse soit satisfaite, sinon divertie. Elle devait forcement sentir que les caresses de Vaelh n'étaient pas comme les milliards d'autres qu'elle avait déjà reçu. Elles ne cherchaient pas à... Simplement la chauffer pour qu'elle soit en de bonne disposition. Non... Ces attouchements là étaient nouveaux. Doux, tendres... Ils n'étaient conçus rien que pour le plaisir charnel et spirituel de la Déesse.
L'Incube soupira doucement pour tenter de faire refluer son désir, à présent si grand et puissant qu'il le faisait littéralement souffrir. Mais peu lui importait sa douleur, peu lui importait ses propre envie. Kalianna l'avait justement tellement tenté... Qu'à présent il ne vivait plus que pour son plaisir à elle, et plus le siens. Et désirant lui fournir une nouvelle preuve de sa sincère dévotion, l'Incube vint lui donner un baiser. Pas quelque chose de spécialement chaud, pas de langue... Juste ses lèvres fiévreuses contre les siennes ; sans doute quelque chose de nouveau pour la Déesse qui n'avait jamais dû connaître la douceur, ou qui l'avait connu l'espace d'une minute avant que sa "victime" ne craque.
Perfectionniste, le Démon-monarque passa même ses bras autour de Kalianna pour presser tout son corps contre le siens tandis qu'il l'embrassait. A présent, la divine poitrine n'était plus masser par une paire de mains expertes, mais par un torse musculeux qui la comprimait érotiquement. Pour peu qu'elle soit attentives, la tentatrice pouvait même percevoir le coeur de Vaelh qui cognait comme un damné aux barreau de sa prison d'os et de muscles.
Après un long moment, Vaelh finit par s'écarter. Le souffle court, il fixa la Déesse droit dans les yeux avant de lui souffler vraiment tout bas, d'un ton qui trahissait délicieusement son dévouement:
Ton plaisir avant tout.
Son visage glissa vers le bas avec une intolérable lenteur. Ses lèvres glissèrent, indolentes, sur le cou de la Déesse, ses clavicules, s'attardèrent sur sa poitrine avant de tomber plus bas, sur son nombril. Il marqua une ultime et douloureuse pause... Puis embrassa l'intimité même de la Déesse. Ses lèvres s'y posèrent avec une douceur dont aucun amant n'aurait été capable, transmettant à Kalianna nombre de nouvelles émotions en plus d'un plaisir d’emblée incroyablement vif. Le Démon ouvrit grand la bouche avant de lentement la refermer en la laissant en contacte avec l'antre humide de la Déesse, comme pour la dévorer. Il s'appliqua à caresser ainsi l'intégralité de son sexe lisse, appuyant de manière experte ses passage sur son clitoris.
Le pauvre vibrait d'envie. Un feu douloureux brûlait en lui, le blessant impitoyablement. Mais sa dévotion était trop forte, et en ce jour, il serait le premier que Kalianna n'aura pas fait craqué le temps d'une danse. Il ne fit surtout pas cesser ses caresses ; il les fit ralentir pour mieux leur faire gagner en intensité, caressant le ventre chaud de la Déesse avec une grande douceur, comme pour la rassurer au milieu de toute ces sensations nouvelles.
Après quelques instants, il recula son visage pour repositionner ses lèvres pile sur le petit bouton de plaisir de la Déesse. Il ne prit même pas le temps d'éponger le bas de son visage trempé de cette divine excitation, si bien que ce fut une langue doublement trempée qui vint s'appuyer sur ce petit bouton. Elle y resta d'abord fortement appuyée, avant de commencer un léger mouvement de bas en haut. Il leva les yeux pour croiser le regard de la Déesse, et cette dernière put y lire quelque chose de très troublant qui devait le plus se rapprocher... D'un sentiment d'amour. Un sentiment certes étrange, mais sincère.
Loin d'être las d'infliger un plaisir à la fois si doux et vif à la déesse, Vaelh produit de petites aspirations sur cette petite boule de chair sensible. Ça, plus les coup de langues... La Déesse pouvait savourer un plaisir constant, sans la moindre interruption. Un plaisir déjà si haut qu'il exigeait d'elle un grand contrôle pour ne pas sombrer dans l'extase. Vaelh lui offrit une caresse profondément aimante sur le ventre, du bout des doigts, en redressant juste assez le visage pour pouvoir lui souffler quelques mots.
N'ai crainte. Ta jouissance ne sera pas le dernier pas de cette danse. Je compte te faire découvrir encore bien des plaisirs. Alors... Laisse toi simplement aller. Oublie tous ces amants décevants, peu endurants, auxquels tu as dû t'offrir sans jamais avoir ton propre plaisir en retour.
Aujourd'hui, rattrapons tout le plaisir que tu as en retard. Tout est pour toi.
Pour illustrer ses propos, Vaelh replongea sur l'intimité luisante de la Déesse, bombardant son clitoris de doux coup de langue, l’aspirant parfois tendrement, et se permit de glisser lentement deux doigts en elle, imprimant un très agréable mouvement de va et viens.
Et il sourit, heureux de pouvoir satisfaire celle à qui il avait adressé nombres d'offrandes.
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Vaelh me regardait de ses yeux d’or, ressemblant au plus magnifique joyaux d’or que j’ai pu observer de ma vie, ses yeux sont fascinant, mais peut-être pas autant mes yeux de joyaux émeraudes, nos regards s’analysant, il laissa démontrer un sourire différent des autres, un sourire doux et réaliste, pas un sourire comme on me fait qui est faux à 100% Non, une vrai sourire qui frappa mon cœur de déesse, j’en fut ravis. Il gagnait des points, s’il continuait ainsi, il est sûr que nous nous reverrons, en enfer, là ou nos pouvoirs seront au plus fort et au plus chaud, j’imaginais le moment, j’en eus un frison de plaisir.
Lentement il vint s’agenouiller devant moi, un frison de grandeur fit place dans mon corps, j’aimais cette effet de grandeur, j’imagine déjà mon retour dans l’Olympe, lorsque ses dieux s’agenouilleront devant moi parce qu’ils seront vaincu! Cela me donne tant de plaisir cette penser, mais faut que je me concentre sur l’instant présent, quand je pense à ma futur victoire je me détache un peu trop de la réalité et surtout en ce moment, je ne veux pour le moins du monde fuir cette délicieuse réalité. Ses sourires se change souvent pour exprimer d’autre sentiment, ses lèvres révèles des idées et j’aime bien cela, je sens alors ses mains se poser ses mes genoux, elle son chaude et confortable, lentement je m’assoie d’une grâce apparente et une fois mes fesses touchais au sol douillais d’herbe verdoyant, puis m’écarta les jambes d’un geste tendre, et son visage montra alors l’envie en cette vision délicieuse de mon intimité et de mon corps ainsi offert, j’étais peu habituer à me laisser aller sans riposter, ce n’est point dans mes habitudes, mais pour être impressionner, faut parfois essayer de nouvelle chose, peut-être vais-je aimer cela? On raconte tant de chose sur des Incubes, qu’il à déjà la barre haute, il va falloir qu’il me surprenne!
Son sourire irradiait la joie, est-ce mon corps qui lui fait tant d’effet? Ou est-ce qu’il pensait à ce qu’il allait me faire et sa le faisait plaisir. Ses mans caressant mes cuisses se mirent en mouvement, se dirigeant avec agilité et plaisir vers mon ventre, je compris pourquoi j’aimais tant la chaleur de ses mains, c’est de la chaleur de l’enfer, j’aime la chaleur de cette endroit, parfais pour rester dévêtue sans avoir froid et c’est si réconfortant la chaleur… Ses mains caressant ma peau, montant sur mon ventre puis d’un geste différent il s’empara de mes seins pour les caresser d’un geste si différent… Non pas comme tous les autres qui les attrapent férocement et qui les caressent comme si c’était de vulgaire morceaux de viande, non son geste est tendre et délicat, fait uniquement selon les goût pour moi et seulement pour moi, notre regard s’entrecroisait encore, il pouvait voir le plaisir dans mes yeux, pendant ses sublimes caressait je lâcha des soupirs remplie de plaisir sortir d’entre mes lèvres, j’adorais cette sensation qui me harcellait le corps, je m’en mordilla même la lèvre. À ma grande surprise il plaça son visage devant le mien puis vint m’embrasser, un baiser tout spécial, un baiser qui se voulais emplie de tendresse, rare les baisers que j’avais reçu ainsi, il y allait même en grand en serrant mon corps contre le siens, mes seins contre son torse, tout si sensuellement, même en continuant de m’embrasser, je pouvais même sentir son cœur battre comme un soldat se battant pour sa vie, j’en eu un frison. Petit incube, si tu continues ainsi tu deviendras sérieusement mon nouveau jouet préférer, et cela est un honneur de se faire considérer ainsi surtout par moi…
Alors qu’il arrêta son baiser il parla d’une voix basse, comme un murmure dans le fond de mon oreille, dévouant tout son âme dans cette futur phrase :
Ton plaisir avant tout.
Puis son visage commença à descendre, je sentais ses lèvres caresser mon corps dans sa terrible descente, le tout débuta sur mon cou, puis mes clavicules et par la suite sur mes seins, j’en eu un long frisson, il s’y attarda un peu plus avant de glisser ses lèvre à mon nombrils puis s’arrêta pour une pause qui me faisait languir, je me mordue la lèvre à nouveau, qu’elle plaisir formidable, il avait raison, je n’ai jamais vraiment vécue de douceur avec mes amants, la tentation était trop forte pour eux et il ne pouvait résister à me sauter dessus malheureusement… Mais cet incube résistait à ma tentation et j’en étais surprise, mais j’adore cela. Ses lèvres vinrent alors embrasser ma douce intimité, un frison ravagea alors mon corps, cette douceur m’enivrait, sa bouche prenant place sur mes lèvres intimes qu’il se mit à prendre de ses lèvres chaudes, j’en lâchai un léger gémissement, mes mains agrippant légèrement l’herbe qui m’entourait, c’était une sublime sensation que je ressentait, elle frappait mon corps si rapidement, ses doigts caressant mon corps, sa bouche caressant mon intimité, cela était de la si bonne torture, mes pouvoirs en étaient tout déboussolés. J’avais même de doux spasmes qui frappait mon corps, de doux gémissements sortant de ma bouche, exprimant ainsi tout le plaisir qu’il m’offrait, après un moment il arrêta, je cru qu’il arrêtait, j’en fus déçue, mais heureusement il n’arrêta point et fit que se replacer sur mon bouton de chair si tendre et si plaisant, sa langue entrant dans la partie, j’en lâcha même un léger gémissement un peu plus fort que les autres, diable que c’est bon… Ce plaisir me terrassait, m’empêchant même de penser, ses caressant y sont trop parfaite et j’adore cela. Alors qu’il prit une légère pose, il leva son regard d’or vers le mien, tant de chose pouvait s’y lire à présent, mais ce que je vis me troubla, on aurait dit un sentiment aspirant l’amour plus qu’autre chose… Était-ce vrai? Ou était-ce que mon imagination qui fleurissait de tels dires? Je ne sais point, surtout quand on me caresse aussi bien avec une langue à cette endroit si précis.
N'ai crainte. Ta jouissance ne sera pas le dernier pas de cette danse. Je compte te faire découvrir encore bien des plaisirs. Alors... Laisse toi simplement aller. Oublie tous ces amants décevants, peu endurants, auxquels tu as dû t'offrir sans jamais avoir ton propre plaisir en retour. Aujourd'hui, rattrapons tout le plaisir que tu as en retard. Tout est pour toi.
Sa langue caressait ma boule de chair d’un geste si connaisseur si intense que je pouvais m’empêcher de lâcher de douce plainte de plaisir, ses lèvres tentant de l’aspirer me faisait frissonner de plaisir, mes mains se dirigeant vers la tête de l’incube que je caressa, puis lâcha un gémissement légèrement plus fort en sentant ses doigts entrer en moi et faire ses longs mouvement de va et viens, je gémissait légèrement tenant sa tête pour qu’elle reste là, je me mordilla la lèvre, oh oui, j’adorais me faire toucher là, bien que j’adore qu’on me touche les seins, j’adore encore plus avoir la langue de mes amants entre mes cuisses, je ne savais pas quoi faire, à mes longs souvenirs, je crois que c’est la première fois que je ne sais pas quoi faire, généralement je dominerais cet amant, mais je me devais de me laisser faire, je me mordilla la lèvre doucement une autre fois…
Mes pouvoirs me faisait défaut, je sentais mon pouvoir de tentation réagir bizarrement à tout se plaisir, il augmentait la tentation autour de moi, attirant Vaelh être tenter encore plus à ma tentation et par la suite la tentation diminuait puis reprenait, c’était magnifique toute ses tentations, j’espérais que cela finisse jamais, mais après quelque minute je sentis une envie de jouir…
«Mmh devine ce qui s’en viens mon chèr… Inkueh Stre'Ex Zabd'Evect Kom'rgahg Bihiel'Ehtan Sta'Ph ♥ »
J’avais prononcé son nom complet avec sensualité et passion, je sentais que ce plaisir était sur le point d’éclater… Puis lentement je lâcha un gémissement plus fort tenant la tête de l’incube toujours à mon intimité et je me laissa aller, je jouis d’un plaisir différent et que j’adorais, j’espère bien que cela allait continuer de cette manière un peu plus longtemps, j’adorais cela…
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Ce que ressentait Vaelh était incomparable. Il contribuait lui même au plaisir d'une Déesse -et pas n'importe laquelle- ; il avait réussit le coup de maître de la faire voyager sur des océans de nouvelles sensations ! Tout simplement incroyable.
Au vu des réactions de Kalianna quant aux caresses qu'elle se voyait infliger, l'Incube savait qu'il agissait divinement bien. Il ne s'était pas trompé sur les expérience de la Déesse, et fut touché de voir qu'elle pouvait tant apprécier des caresses d'un nouveau type. Elle semblait... Simplement s'épanouir, profiter de l'instant présent sans qu'aucun enjeux ne vienne le troubler. Ce devait être un bien beau moment pour elle, et le savoir renforça la résolution du Démon. Sa langue s'agitait avec une envie croissante de couler Kalianna sous un torrent d'extase qui lui soit entièrement dédié. Vaelh devait mobiliser toute sa résistance pour ne pas succomber aux pouvoirs de la Déesse qui malmenaient son âme de manière étrangement irrégulière, mais il tenait bon. Pour rien au monde il n'aurait voulu craquer en cette occasion. Le plaisir de la Déesse avant tout !
En parlant de ça... Vaelh, qui était resté très attentif à ce que ressentait Kalianna, avait senti venir son orgasme. Il accéléra légèrement à cette instant tandis que sa tête se retrouvait prisonnière contre le sexe chaud de son amante. Il ferma les yeux, frissonnant d'envie en ressentant tout les muscles du corps de Kalianna se raidir d'extase.
Extrêmement satisfait, le Démon se redressa, exposant une bouche et un menton dégoulinant de l'excitation de la Déesse. Il sourit, extasié de voir le corps parfait de la Divinité encore agité de petits spasme de plaisir, mais aussi ravi de lire sur son une expression de pure joie et de pur plaisir. Il s'approcha d'elle, son regard débordant de dévotion, et vint l'embrasser avec un mélange paradoxale de fougue et de douceur. Vaelh resta ainsi à l'embrasser un long moment, posant doucement sa main sur son intimité humide d'un geste touchant, même protecteur, comme pour lui dire de ne pas s’inquiéter, que tout allait bien... Après quelques minutes supplémentaires, il approcha ses lèvres de l'oreille de la Déesse.
C'était très bien, la félicita-t-il sincèrement. Une telle douceur doit être un peu surprenante pour toi j'imagine, mais comme tu l'a senti, elle n'en est pas moins délicieuse.
Avec une tendresse qui n'avait rien de feinte, Vaelh passa ses bras autour de Kalianna pour la serrer contre lui, comprimant sa volumineuse poitrine contre son torse. Il en profita pour un petit baiser taquin.
Si seulement tu savais à quel point tu es belle quand tu jouis de la sorte... Bien sûr, "belle" était un euphémisme, mais la simplicité de ce compliment véhiculait tout un sentiment de sincérité. Avec lasciveté, Vaelh laissa reposer sa tête entre les seins de l déesse, s'y nichant confortablement. Il traça innocemment de petit cercles sur le surface du bout de son doigt, avant de se mettre à les embrasser très discrètement. Ses baisers se rapprochèrent de plus en plus des extrémités de chaque seins, jusqu'à happer leurs extrémité. Coquin, Vaelh en profita pour les suçoter brièvement. Il tentait d'amoindrir les tremblements d'envie qui l'agitait, sans succès. Son bas ventre le faisait presque souffrir, mais sa détermination à combler la Déesse le gardait encore lucide.
Bientôt, ses mains se joignirent à la fête : elles vinrent masser chacun de ces deux grands seins en partant de leur base, les soupesant, avant de glisser sur leur surface lisse avec une ardeur digne de celle d'un amant très spécial. Encore une fois, Vaelh parvint à cajoler la Déesse non pas pour l'exciter, mais simplement pour lui montrer à quel point il lui était dévoué, subjugué, prêt à tout pour son unique plaisir.
D'ailleurs, il allait à nouveau lui prouver qu'il ne vivait désormais plus que pour son plaisir. Avec une étonnante grâce féline, le Démon se replaça entre les jambes de la Déesse qu'il écarta avec encore plus de douceur que tout à l'heure. Sincèrement soucieux de la savoir prête, Vaelh posa affectueusement sa paume sur l'entre-jambe en feu de son amante, massant très lentement son sexe encore investi par le plaisir. Même si une telle caresse, pleine de tendresse et de malice, était là pour faire frissonner la Déesse d'envie, elle lui servait également à comprendre que Vaelh serait doux avec elle, et ce malgré le désir qui le rendait fou. Sa main glissa ensuite sur son ventre, jusqu'à ses seins pour une ultime caresse... Puis il empoigna virilement son long mat et en dirigea l'extrémité droit sur le bouton de plaisir de la Déesse. Tel un peintre, il usait de son membre comme d'un pinceau et appliquait de petite touche sur l'organe de Kalianna. Soupirant lui même d'envie de se dire qu'il n'aurait fallu qu'un coup de rein pour la pénétrer, il appuya l'extrémité luisante de son sexe avec plus d’énergie contre l'intimité sensible de la Déesse pour directement titiller cette toute petite boule de chair. Il manqua de craquer à un moment, se reculant pour s’insérer en Kalianna, mais tint bon. Il riva ses yeux d'or en fusion dans les siens et, excité comme jamais il ne l'avait été, fit glisser toute la longueur de son membre directement contre le clitoris de son amante. Il engagea ainsi un mouvement de va et viens lent, terriblement désireux, rien que pour le plaisir de la Déesse. Si elle baissait les yeux, elle pouvait se régaler de voir cet incroyable pieux de chair se frotter sensuellement contre son petit bouton de plaisir.
Mais le plus touchant restait l'expression du Démon. Il se faisait violence. Il souffrait -littéralement- de ne pas s'autoriser à se glisser dans la chaude intimité de la Déesse. Et malgré une telle douleur, il prenait sur lui et continuait de glisser son membre tendu à l'extrême contre le petit organe de la Déesse. Il parvint à lui adresser un petit sourire : il tiendrait pour elle. Savoure, Kalianna, tu as rencontré ton premier vrai amant.
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Ce qui est le plus fantastique lorsqu’on jouit est ses frisons qui nous parcourt, vous savez ses frissons de plaisir harcelant tout notre corps lors du moment venue? Et bien, je les ressens si puissant et si magnifiquement que mon corps en est remplie, ce plaisir m’avait habitée tout le long de la procédure du plaisir et une fois le moment venue avait décuplée et même à la fin, même après avoir jouis je ressentais ses frissons de plaisir qui me frappait encore, j’en désire plus… Beaucoup plus de ses frissons. J’avais relâchée mon emprise sur la tête de l’Incube, satisfaite de sa langue, une langue comme cela, sa serais si dommage de perdre… Si dommage quand on sait bien la maniée ainsi. Je suis déjà triste à l’idée qu’elle puisse me quitter à la fin de ce spectacle au pas endiablé. Mais je savais que cela n’était pas finie, le premier pas venait à peine de terminer…
Lentement le démon releva sa tête pour me regarder, sa bouche et son menton recouvert de mon doux liquide de plaisir. Je l’observa de mon sourire presque aguicheur, j’attendais qu’il s’approche de moi, j’attendais rien que cela, son regard poser dans le mien son regard dévoilant tout son affection envers moi, lentement il approcha sa tête de la mienne, ses lèvres venant se poser sur les miennes, un mélange d’une fougue et d’une douceur incroyable, cela ne me dégoutait pas de sentir mon tendre liquide de plaisir sur ma bouche, ce n’est pas dégoutant, vue que cela m’appartient, alors pourquoi devrais-je être réticente à cela. Sa main se posa sur mon intimité, j’eus un frisson qui parcourut mon corps en même temps de me laisser embrasser par ce délicieux incube, lorsque ce seras à mon tours de faire les pas, il verra ce qu’est la bouche d’une déesse…
C'était très bien. Une telle douceur doit être un peu surprenante pour toi j'imagine, mais comme tu l'a senti, elle n'en est pas moins délicieuse.
Ses bras passèrent autour de mon corps d’une tendresse remarquable, surement était-ce le jeu qu’il jouait? Malgré que tout semblait si réel, peut-être était-ce encore une magnifique et longue scène illusoire comme il m’avait fait tout à l’heure, mais je n’étais pas sure, ce plaisir était si réel… j’en eux un sourire tandis qu’il m’embrassa d’un rapide baiser, ses lèvres toujours aussi chaude et parfaite.
Si seulement tu savais à quel point tu es belle quand tu jouis de la sorte...
Ah? Si belle quand je jouis de la sorte… C’est la première fois que je l’attendais celle-là, elle eut le mérite de faire élargir mon sourire et de lâcher un léger petit rire gracieux, il usait de si beau mot en m’adressant la parole que je me taisais pour ne rien gâcher du moment, bien qu’un peu plus de fougue sur ses mouvements ne seras pas de refus, je l’observa tandis qu’il vint poser sa tête contre mes seins, ses doigts les caressa innocemment du bout de ses doigts, je m’en mordit la lèvre inférieur, puis ses baisers se firent sentir, il était léger, pour qu’il ne paraisse peu, lentement il dirigea ses lèvres au bout de mes seins qu’il happa de ses tendres lèvres qu’il mit par la suite à légèrement suçoter, j’en eut un long frisson. Ses mains caressant la basse de ceux-ci avant de les prendre un peu plus en mains, il n’était pas comme les autres hommes qui m’avait touché, et sa j’aimais cela, il me faisait désirait tant de chose, il passait même son plaisir en dessous du mien, sa se voyait très bien.
Il se plaça entre mes jambes, il était encore plus doux qu’avant, sa main se dirigeant sur son entre jambe qu’il massa tendrement, non pas vraiment pour l’exciter, mais pour lui prodiguer une délicatement préparation à la suite des pas de cette chaude aventure. La rencontre entre le plaisir et la tentation était une chose à voir, surtout quand le plaisir désire changer les règles de la tentation et que celle-ci accepte le changement pour cette fois. Sa main vint caresser mon ventre et doucement l’un de mes seins, son autre main vint agripper son membre, qui pouvait faire bien des jaloux a beaucoup d’homme qui n’était pas aussi gâter par la nature que lui, et heureusement en ce moment elle sera là que pour moi. Il ne fit point ce que je pensais qu’il ferait, je m’attendais à une longue et passionné pénétration, mais il me stupéfia en venant poser le bout de son membre sur mon cher bouton de plaisir. Que de léger petit coup, mais chaque petit coup dessus était accompagner d’une magnifique décharge de plaisir, qui me faisait lâcher de magnifique soupire plaisant.
Le regard du démon était une chose incroyable, jamais j’avais vue ce genre visage sur celui d’un de mes amant, un visage doux mais qui semblait se faire violence pour résister à ma tentation, jamais personne résister et ce démon résistait et j’adore cela, cela me fait tant de plaisir, autant que de sentir son membre qui fait de petit mouvement sur mon bouton de chair, mon regard se pencha et je regarda son membre, il faisait des mouvements de va et viens, son membre frottant de son long, je frissonnais sous ce plaisir, mes mains sur son torse, je le regardais doucement, mes yeux verdoyant observant son chaud regards, je lâchais de doux soupirs de plaisirs et je fit ce que je ne faisais que très rarement, je posa un doux baiser sur les lèvres du démon, puis doucement je les fis glisser jusqu’à son oreille que je lui murmura :
«Tu résiste bien à la tentation… Mon cher… j’aime ce que tu me fait… Je te le promets que lorsque se seras à mon tour de m’amuser… Je te ferais subir plus de plaisir que ce que tu me fais… Mais continue… N’arrête pas de me faire découvrir ce tendre plaisir…»
J’avais murmuré ses mots d’une voix douce et en même temps perverse, mes mains caressants son torse doucement, attendant la suite des choses…
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Vaelh avait fait mouche ; il avait su toucher le coeur bouillonnant de la Déesse dans par ses actes que par les mots. La joie qui transparaissait dans le sourire de cette dernière ne mentait pas : elle était comblée. Et pourrait bien m'être d'une autre manière d'ici quelques instants...
Le Démon avait pleinement conscience que Kalianna était épatée, sinon déstabilisée par un rapport si nouveau. Et il voulait lui en donner encore plus, beaucoup plus ! L'Incube désirait offrir à la Déesse un souvenir intarissable empreint de sensations et d'émotions si vives qu'elle en rêverait chaque nuit.
Le temps était venu de passer à niveau supérieur.
Avec un sourire aussi coquin de complice qui masquait tout le mal qu'il avait à ne pas craquer, l'Incube recula son merveilleux mât de chair raide au possible de l'intimité trempée de sa partenaire. Il se recula un peu pour l'observer en toute simplicité, se figurant encore une fois qu'elle n'était que perfection, avant de se pencher pour s'emparer de ses robes. Il en sortit un curieux petit encrier et une étrange dague. L'arme était si courbée qu'elle évoquait la griffe d'un lion, et sa lame n'était pas aiguisée. En revanche à son extrémité on pouvait discerner comme une petite plume d'écriture plutôt qu'une pointe acérée. Avec son petit air malicieux, il chargea son étrange plume d'encre noir pour l'approcher du nombril de la Déesse.
Tâche de ne pas bouger, ne me fait surtout pas déraper, et ton plaisir n'en sera que plus grand par la suite...
Puis il posa sa plume glacée sur le ventre chaud de Kalianna, traçant autour de son nombril des motifs complexes similaires à ceux qu'il arborait sur la poitrine et les bras. Avec beaucoup de lenteur, il fit décrire à son outil d'incroyables arabesque sur la peau basanée de la Déesse, y enchevêtrant toujours plus de nouvelles runes. Bien sûr, joueur, il n'hésitait pas à caresser les cuisses ou la poitrine de sa victime, rien que pour lui donner plus de mal à rester immobile.
Son art remonta ainsi jusqu'à la poitrine de la Déesse. Très concentré sur ses tracés, il parvenait à refréner ses envie avec plus de facilité, pouvant ainsi user de tout son talent sans contrainte ni tremblement. Ses lignes de runes cerclèrent chacun des imposant seins offerts avant de s'étaler dessus avec une surprenante lasciveté, décrivant nombres de cercles excentriques.
En se mordillant les lèvres, Vaelh traça de nouvelles lignes qui montèrent jusqu'au cou de la Déesse, donnant l'impression qu'elle portait un superbe collier d'encre noir. Il recula légèrement, effectuant un nouveau contrôle sur son oeuvre, avant de rajouter de nouvelles farandoles de symboles impies sur le corps de Kalianna, de ses épaules à ses poignets, de ses cuisses à ses chevilles. Il s'appliqua tout particulièrement pour tracer ses symboles vers l'entre jambe de la Déesse, lui donnant un petit coup de langue malicieux au passage.
Quand après plusieurs minutes il en eut terminé, il fixa la Déesse et lui décocha un sourire conspirateur et désireux. Il rangea son matériel et prononça les mots suivants en écartant théâtralement les bras :
Kahth'Dae Zuetra Lihen, Zdhypt Klvadje !
Et les sens de Kalianna s'embrasèrent. Chaque rune tracée sur sa peau rayonna comme un petit soleil avant de prendre définitivement une teinte argentée. D'un coup, sa peau était devenue tellement sensible que la moindre ridicule petite brise qui pouvait la frôler déclencherait d'impossibles trombes de plaisirs, si intenses, si violentes qu'elle aurait l'impression de devenir folle. Les couleurs de tout ce qui l'entouraient lui parurent infiniment plus vive, comme si elle avait passé sa vie à voir en noir et blanc et que l'émeraude de l'herbe, l'azur du ciel et l'or des yeux de l'Incube ne lui apparaissaient que maintenant. Même son ouïe fut exacerbée au point que chaque son devienne si pur qu'elle aurait pu en verser une larme. Son odorat contribuait aussi à lui faire perdre pied, sublimant chaque parfum que la nature avait à lu offrir.
Quand le choc d'une telle élévation sensorielle fut passé, Kalianna fut à nouveau confrontée à des sensations beaucoup trop extrêmes : l'Incube avait simplement posé ses paume son ses grands seins tatoués, lui donnant en un seul et unique contacte plus de plaisir qu'elle aurait pu en avoir en une journée complète,en compagnie d'une millier d'amant. c'était comme si chaque parcelle de sa peau était devenue largement plus érogène que son petit bouton de plaisir. Lorsqu'il commença à faire de simple petit mouvement circulaire, le plaisir déjà colossal que devait supporter la Déesse s'amplifia d'avantage, se transformant presque en douleur. Et Vaelh continuait, ravi de pouvoir lui offrir tant d'extase. Avec beaucoup d'envie, mais toujours autant de douceur, il se pencha pour bombarder le seins gauche de la Tentatrice de baisers chauds, avant de sucer son extrémité. Pleinement conscient de ce qu'il faisait subir à sa partenaire, l'Incube restait attentif à ses respirations. Il ne voulait pas la faire jouir à nouveau, pas de cette manière...
Il fit lentement cesser ses caresses pour laisser le temps à la Déesse de reprendre un minimum de contenance avant de se placer de manière on ne peut plus suggestive entre ses cuisses. Avec une pointe de délicieuse arrogance et de complicité, il vint simplement mettre son membre durci en contacte avec l'antre humide de la Déesse. Etant donné que le plaisir précédemment ressenti au niveau de sa poitrine était record, imaginez pour celui-ci... Avec beaucoup de lenteur, Vaelh fit glisser son membre dans l'étroite intimité de la Déesse, jusqu'à arriver en buté. Il poussa un soupir soulagé d'enfin pouvoir être en elle, et la fixa d'un regard plus désireux que jamais. Il réactiva son don de plaisir, usant de l'effet des runes tracées sur Kalianna pour transmettre à cette dernière un seuil de plaisir qui, malgré le fait que ce ne soit que le premier aller en elle, qui dépassait déjà significativement celui ressenti lors d'un orgasme. Alors l'Incube prit appuis avec ses mains sur l'herbe derrière lui, inclinant gracieusement et sensuellement son corps pour s'offrir à Kalianna tandis qu'il allait et venait profondément en elle ; le message était clair : "profite autant de la vue que de ce que je te fais." Chaque grand coup de membre viril infligeait à la Déesse des seuils de plaisirs improbables, et l'Incube, maintenant beaucoup trop excité, allait en accélérant. Que Kalianna s'accroche, il y allait avoir du sport...
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Je regardais Vaelh de mes yeux tenteurs, il m’intéressait tant, mon corps réclamant plus de plaisir, plus de sensation, plus de ses caresses, je me mordis la lèvre d’un air aguicheuse, mouillant au passage mes lèvres pour qu’elle reluise légèrement. Nos regards se croisait, il souriait d’un air d’une personne qui avait une délicieuse idée derrière la tête et qui tentait de résister à une tentation très puissante, c’est le genre de visage que j’aime observer, je lâcha une plainte de refus lorsque lentement il recula son membre de mon bouton de plaisir, il me regarda une fois légèrement plus écarter et se retourna pour fouiller dans ses choses, que faisait-il? Lentement il se retourna un peu et j’aperçus dans sa main un dague étrange et un encrier, la dague était belle et finalement, plus je la regarde et plus que je vois à son bout que c’était une plume d’écriture, il revint vers moi, il voulait dessiner sur mon corps?
Tâche de ne pas bouger, ne me fait surtout pas déraper, et ton plaisir n'en sera que plus grand par la suite...
Mon sourire s’agrandit largement en sentant la pointe se coller contre sa peau, si froid, si grand contraste délicieux, mon visage penché vers l’arrière, je le laissais faire, sentant sa plume faire de délicieux tours et arabesques, je me morda la lèvre, l’une de ses mains caressant mes seins ainsi que mes cuisses, il savait s’y faire avec le corps d’une femme, si je n’avais pas un grand contrôle de moi-même je m’aurais mis à bouger à cause de ses douces caresses, mais je résista et ne bougea point, malgré les frissons qui me tiraillait de plus en plus, vilain garçon. Lentement les coups de plumes continuèrent allant même à mes poignets et mes chevilles, un vilain coup de langue à mon entre jambe m’eut presque fait réagir, mais heureusement je ne bougeai point. Le traitement de dessin sur mon corps prit qu’elle que temps encore, je regardais du coin de l’œil mon corps pour enfin pouvoir remarquer ce que c’était, des sortes de runes, du même genre que ceux de ce chère Vaelh, et je me rappelai cette douce vision de nos deux corps couverts de ses symboles qui fessait de délicieuse chose, j’en eus un frison d’envie à nouveau.
Lentement il rangea ses choses, me regardant d’un air d’envie et moi l’observant avec un sourire remplie de perversité, lentement et avec grâce et telle un acteur de théâtre écarta ses bras en prononçant ses paroles :
Kahth'Dae Zuetra Lihen, Zdhypt Klvadje !
Ce fut à ce moment que tout éclata, les couleurs, le son, l’ouïs, les sensations, le plaisir qui m’accablait s’amplifia, me laissant pousser un petit rire mielleux entre mes lèvres, c’était le genre de sensation de plaisir qu’y m’était indescriptible à d’écrire autant de plaisir grâce à des dessins, je crois que je vais réclamer de ses services pour avoir plus souvent ses magnifiques tatouages, et lui bien attendu, Mmh… C’était sublime, s’il voulait m’épater, il avait bien réussie son coup.
Mon plaisir était si haut déjà, qu’une nouvelle bouffé de plaisir me frappa, si forte qu’on aurait dit qu’on s’amusait avec mon bouton de chair, mais mes yeux vert descendirent pour voir seulement deux mains sur mes seins, que des mains sur mes seins qui me donnait une sensation puissante, voilà que ce chère Vaelh viens encore de montée dans mon estime, je m’en mord les lèvres tellement que cette sensation est puissant, un long et expressif soupir sortie de mes lèvres, qu’elle superbe trouvaille… Lentement il se mit à faire de léger mouvement dessus, un gémissement ressortie de mes lèvres, ce plaisir est inexplicable et si puissant, beaucoup sentirait une douleur à force de trop avoir de plaisir, mais pour moi je ressentais que le digne plaisir à son meilleurs, j’en laissa même sortir de long soupire, sentir ses lèvres sur mon seins me fit lâcher un gémissement plus fort que les autres, est-ce possible que j’ai déjà envie de jouir? Pour si peu? Je m’en sentie légèrement fâchée, mais c’était si bon, ma respiration légèrement plus rapide, mon corps frissonnant d’envie et d’en avoir plus. Alors que mon plaisir augmentait considérablement il arrêta, un petit refus quittant ma bouche, pourquoi arrêter lorsque c’était si bon?
Il se passait quelque chose d’étrange en dedans de moi, ce n’était ce plaisir intense, enfin si un peu, mais c’était une autre chose, je crois que je reconnais cette chaleur douce d’y l’y a si longtemps, mes pouvoirs… Enfin un coquin qui décide revenir, lentement mes pouvoirs me revienne, lentement mon but s’agrandit… Un jour je dominerais le panthéon… Enfin changeons de sujet, je sentais ce démon s’approcher de moi, mes cuisses écarter, il s’y plaça, un grand sourire s’installa sur mes lèvres, enfin. Son membre à mon entrée cachée, un frison s’empara de moi, puissant qui parcourut mon corps, je m’en mordit la lèvre inférieur, puis son membre entra lentement, délicieusement, j’en lâcha un gémissement, qu’est-ce que c’était bon! Nos regards s’entrecroisaient, deux regards remplie de désirs et de passion, le plaisir me terrassait, mais ce plaisir n’allait pas être qu’à moi… Le plaisir était terrible, j’en manquais de souffle, ses mouvements de va et viens qui accélérait et y allait avec ‘’passion’’ m’infligeait tant de plaisir qu’un être normal en aurait déjà jouis dès les premières secondes, mais je résistais pleinement, j’étais en extase, c’était terrible le plaisir qui me prenait, j’allais me venger.
Cette torture ne continua pas longtemps, car Kalianna allait se venger, je sentais cette chose en dedans de moi vouloir éclater, j’haletais, c’était si bon et si puissant, puis j’eus un grand sourire, cela n’allait pas être que lui qui allait m’offrir un grand plaisir. Puis alors que je sentais cette puissante vague de plaisir augmenter, je tentas de reprendre le contrôle sur moi et de pouvoir bouger malgré le plaisir qui m’accablait et je saisis Vaelh par la taille, entourant mes bras autour de son corps, j’embrassa son torse lentement, ma langue caressant celui-ci, je me vengeais de son geste qui tentait à me rendre dingue de plaisir. Mes lèvres fusèrent à son cou, il pouvait sentir des sensations plaisant là où je posais mes baisers, je continuais à faire en sorte qu’il continue à faire des vas et viens et je l’embrassa, mes lèvres se collant au sienne, l’un de mes mains gardant sa tête bien placer là pour qu’il ne puisse s’y dégager et il put sentir dans mon baiser à travers ma langue qui s’agrippait à la sienne, une vague puissante de plaisir et de tentation, toutes les sensations que j’avais, autant de plaisir que de tentations que j’éprouvais en ce moment se dégageait à travers se baiser et je les transmettais à cet Incube, je lui donnais tout ce plaisir que je ne pouvais encaissée, ainsi placer comme j’étais je participa au va et viens, y allant lentement et profondément, un grand sourire sur mes lèvres,
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Un vrai régal.
L'Incube pénétrait délicieusement la Déesse, lui offrant la chance d'éprouver au travers de sa petite intimité toute la longueur et la virilité de son membre. Si ce dernier, au début, allait et venait à un rythme modéré, il traçait maintenant sa profonde route à un rythme plus soutenu. A chaque assaut de petits bruits humides s'élevait, notes subtiles d'une plus vaste symphonie composée des râles de plaisir des deux amants ; cette même symphonie se fit plus étouffée quand l'espiègle Déesse imposa la présence de ses lèvres chaudes à celles de l'Incube. Un tel contacte permit à la divinité de déverser dans l'âme de sa victime une fragrance de concupiscence pure, si vive et plaisante... Que l'Incube vit les derniers remparts de sa résistances s'écrouler subitement.
Le Démon avait littéralement l'esprit en ruine, noyé sous des flots de vice, d'envie, de perversion. Son désir était tel qu'il ne désirait plus simplement pousser la Déesse à l'orgasme, mais broyer impitoyable son âme sous le plus grand flot d'extase que le monde ai connu ; la jouissance ultime.
Réduit à l'état de concentré d'instincts désireux et passionnés, l'Incube se retira avec lenteur de la Déesse, laissant son long mât en évidence. Son regard avait changé, et Kalianna pouvait y lire une étrange passion mêlé d'un brin de folie, un regard similaire à celui d'un artiste de génie lorsqu'il se sait sur le point de donner naissance à une oeuvre historique -parce que oui, le monarque était lui même un grand artiste ; Il excellait pour la musique et se révélait être un instrumentaliste et chef d'orchestre au talent sans pareil. Aucun instrument ne lui était inconnu, pas même le corps d'une femme. Et le corps de la Déesse constituait l'instrument le plus raffiné qu'il lui ai été donné de voir. Il voulait... Jouer d'elle. Littéralement. Aujourd'hui Kalianna serait son orchestre, et il en tirerait de merveilleux sons en chatouillant ses sensibles perceptions...
Il empoigna son membre pour le masser avec une langueur qui aurait fait chavirer plus d'une âme dans la luxure, enveloppé d'un soudain calme qui annonçait une furieuse tempête. Avec une fermeté mêlé de grâce et de fougue, le monarque démoniaque fit pivoter Kialianna pour qu'elle soit allongée sur le flan, comme s'il s'apprêtait à la prendre en cuillère. Mais plutôt que de s'allonger derrière elle, Vaelh lui souleva l'une de ses cuisses chaudes et basanées et s’immisça à nouveau en elle, pareille position permettant une pénétration bien plus en profondeur...
Alors sa grande oeuvre débuta.
Dès ses premiers coups de reins, Vaelh mit tout son coeur dans la mélodie. Chaque assaut de son sexe dans celui de Kalianna était porté par une délicieuse fougue, toujours mêlée à ce désir absolu de lui faire passer le plus merveilleux moment de sa vie. Le Démon usait de son don, transformant chaque aller et venu en un authentique presque-orgasme pour Kalianna. Exerçant une main-mise parfaite sur le plaisir de la Déesse, Vaelh s'amusait maintenant à le moduler pour la contraindre à emmètre différentes sortes de râles ; par exemple, l'amant faisait monter le plaisir crescendo, jusqu'à atteindre un point de presque jouissance, avant de le faire diminuer, assaillant ainsi la Déesse sous des vagues de plaisirs.
Chante ton plaisir pour moi, souffla-t-il avec ardeur.
Chef d'un orchestre de chair, l'Incube usait de tout son savoir pour jouer de Kalianna lorsque l'idée d'une authentique symphonie lui traversa l'esprit. Voilà un cadeau qui venait du coeur, qu'on avait jamais dû faire à la déesse : une ode perverse composée de ses propres cris d'extases. Ah, douce musique que serait celle-ci...
L'Incube s'était immobilisé en Kalianna, plantant en elle son glaive de chair. Il prit son visage en coupe et, tremblant, vint poser son front contre le siens.
Il ferma les yeux, les premières notes lui vinrent.
Il se remit à bouger lentement en la Déesse, désirant plus que tout attiser son désir déjà haut. Il ondulait comme le plus gracieux des serpents, massant l'intimité trempée de la Déesse de l'intérieur. Ses mouvements étaient doux, chauds, lascifs... Ils évoquaient tout le charme dont Kalianna était capable, ils renvoyaient à l'effet qu'elle devait faire sur les mâles. Parallèlement, Vaelh ne fit se transmettre à cette instant qu'un plaisir modéré et diffus, pareille aux harmoniques produites par un groupe de violonistes qui prolongent une même note discrète en guise de prélude à la mélodie à venir. En se mordillant la lèvre, Vaelh continuait d'onduler en la Déesse, laissant son gland glisser avec paresse contre les parois chaudes et humides de son entre jambe. Il dépeignait à merveilles tout le charmes dont Kalianna était capable, s'extasiant de ses faibles soupir de plaisir...
Puis subitement, ses ondulations se muèrent en authentiques coups de reins, pareils à ceux d'un amant rendu fou d'excitation. A présent, ses manières se rapprochaient d'avantages de ceux des amants médiocres que Kalianna avait connu. L'Incube fit alors croître le plaisir de la Déesse, l'emportant brutalement et rapidement au portes de la jouissance... Mais ne les lui fit franchir. A la place, le Démon ralenti, jouant à merveille un faux orgasme qui laisserait la Déesse sur sa faim. Il reprit alors son va et viens langoureux, purement excitant alors que le concerto de plaisir diminuait chez la Déesse. Il reprenait son rôle d'aguicheur, attisant à nouveau le désir de la Déesse. Et à nouveau il se fit plus brutal, jouant l'un des nombreux amants de la Déesse qui l'avait labouré sans prendre en compte son divin plaisir. Comme tout à l'heure, en bon chef d'un orchestre dément, Vaelh fit monter le plaisir en puissance, le poussant à un niveau stupéfiant et le faisant se maintenait comme une note prolongée. A nouveau, l'extase était proche pour la Déesse mais, comme avec nombre de ses amant, elle ne l'atteignit pas. A la place, le plaisir reflua, et le Démon reprit son excitant petit manège.
Une telle torture dura une petite éternité, laissant à chaque fois Kalianna mariner dans la frustration de ne pas pouvoir jouir à cause des piètres performances de ses amants. Le plaisir qu'elle ressentait s'était adouci, il n'était plus qu'une vague brise sans espoir.
Puis tout changea en un simple coup de hanche. Vaelh s'était à nouveau inséré en Kalianna, la faisant d'emblée vibrer d'un plaisir inhumain. Il ne jouait à présent plus le rôle d'un minable amant, il ne portait plus de masque. Il était simplement lui. Il recula lentement ses hanches, s'extrayant presque entièrement, avant de plonger à nouveau dans le sexe chaud de la Déesse, lui arrachant au passage de délicieuses notes d'extases. Avec une habilité stupéfiante, le Démon poussait son membre jusqu'au fond de sa partenaire en ne cherchant pas à masquer le plaisir qu'il éprouvait lui même. Chaque coup de rein devenait le vecteur d'un plaisir nouveau, encore plus puissant que celui ressenti la seconde précédente, poussant la Déesse à chanter son extase au travers de soupirs et gémissements. Et comme si Vaelh avait brusquement ordonné à son orchestre de jouer plus en puissance, il fit s'embraser le plaisir de la Déesse. Cette dernière fut immédiatement soumise à un flot de plaisir si brut qu'il surpassait un authentique orgasme. Pourtant, Kalianna pouvait sentir qu'elle ne jouissait pas vraiment et qu'elle était encore apte à encaisser encore plus.
Vaelh laissa la note de plaisir refluer légèrement... Avant de brusquement la pousser vers de nouveau sommet, là ou l'orgasme n'était plus qu'un euphémisme. La Déesse subissait à présent des coups de reins rapides, tous vecteur d'un plaisir absolument improbable qui ne faisait que croître, si puissant qu'un coeur d'humain aurait déjà lâché.
Et comme dans toute bonne symphonie, la mélopée se fit plus calme, plus tendre, offrant un bref instant de répit. A présent, l'Incube allait et venait avec une joie absolue dans l'intimité de la Déesse, la maintenant à un niveau de plaisir légèrement supérieur à celui d'une jouissance. Il jouait d'elle, prolongeant cette onde d'extase pure qui la clouait au sol, avant de repasser au chose sérieuse. Un grand coup de bassin passionné annonça le dernier couplet du concerto de chair. L'Incube avait repris ses rapides vas et viens, laissant son membre coulisser en Kalianna sur toute sa longueur. Ardent, désireux, le Démon poussa le plaisir à des niveaux inimaginables, à des paroxysmes impensables, si vifs et puissant qu'ils noyait la Déesse d'une telle extase que le plaisir de toutes ses autres expérience dû lui paraître bien terne. Lui même proche de l'orgasme, Vaelh sentait avec délice sa virilité palpiter dans l'étroitesse de Kalianna. Usant de ses derniers instants d'endurances, il bloqua la Déesse dans une boucle de plaisir sur élevé... Et céda d'un coup, lui imposant une jouissance comme nulle autre tandis que sa semence se déversait très généreusement en elle. Tout le corps du Démon se crispa dans la jouissance offrant à la déesse la merveilleuse vision de ses muscles contractés, avant qu'il ne se détende, se ramassant légèrement sur lui même mais surplombant toujours sa partenaire.
Alors, lentement, un sourire fier et victorieux vint illuminer ses traits.
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Mes lèvres, mon pouvoirs avait causé l’effet escompté, le voilà broyer par la tentation, son regard qui me fixe, ce regard de folie, tandis que son délicieux membre n’ose même plus être dans mon intimité, nos regards ce croise, le mien emportant la luxure et la tentation tandis que lui était que la folie et de vice passionné. Ce regard est généralement associé au fou artiste ou savant-fou? Je me mordis délicieusement la lèvre en sachant déjà que ce regards était associé à qu’elle type "d’œuvre", ce n’était plus des pas qu’on allait compte nos ébats, mais en note. On ne peut rien cacher à une déesse comme moi, heureusement.
Lentement, gracieusement, fougueusement il me déplaça pour me mettre sur le côté, mon regard l’observant délicieusement, la position de la cuillère, mais ce ne fut point ce que je m’attendais lorsqu’il leva ma jambe dans les airs, puis lentement r’entra à nouveau son membre en moi, un doux gémissement sortant de ma gorge, un grand sourire éclairant mon visage. Ce que j’aime cette sensation de luxure qui parcourait mon corps avec tant d’envie! Son membre qui rentre en moi et qui ressort avec une délicieuse fougue! Chaque va et viens qui sont si puissant de plaisir, cela est magique comme sensation! J’espère en ressentir encore et toujours de ce plaisir qui entre en moi!
Chante ton plaisir pour moi
Un sourire naquit sur mes fines lèvres, j’avais eu raison sur le type de d’œuvre qu’il voulait faire, je me mordit sensuellement la lèvre en le regardant d’un regard tout autant remplie de sensualité, il s’était immobilisé en moi profondément, je le sentait légèrement tremblant, ses mains attrapant mon visage, son front se posant sur le mien, il avait fermé ses yeux, dans ce geste, il y avait quelque chose de terriblement excitant, j’adorait cela et je savais que j’allais être servie par le plaisir qui était déjà si haut de mon côté et j’espérais en ressentir plus, mais je m’attendais à en avoir beaucoup, il m’avait tant convaincue que j’en serait déçue s’il manquait à mon imagination qui débordait de délicieuse idée perverse…
Puis lentement il se remit à bouger, doux va et viens et si lent pour faire monter mon plaisir qui était déjà si haut, gracieusement il ondulait de son corps de ses douces caresses chaudes et délicieuse malgré la lenteur qui n’était pourtant pas dans mes habitude d’aimer, mais cette fois si j’aimais bien, mais s’il pensait que cela serait suffissent à me faire le plus grand bien, alors là il eut faux, mes soupires se faisait faibles, déjà avoir des soupirs avec ça était un exploit, j’espère sérieusement que cela va devenir… meilleur après cela! La suite me fit plaisir et en même temps pas, cela faisait une courbe de plaisir, et cela me mets généralement en colère quand on m’enlève le plaisir que j’ai, vilain démon!
Puis le clou du spectacle arriva après ce navet de manège, tout se déroula dans ce coup de hanche qui déchira au moins un véritable gémissement de plaisir franc et qui m’excita même puis tout devint magique! Chacun de ses coups emportait un plaisir encore plus immense, un plaisir qui m’arrachait de véritable gémissement de plaisir, j’en tremblais d’excitation, j’adorais cela! J’approchais d’une jouissance qui étrangement n’arrivait pas malgré le plaisir qui m’attaquait, je tremblais sous cette torture plaisante pure qui parcourait mon corps, c’était une sensation si puissante et si nouvelle que je l’avais cru impossible et voilà que ce terrible plaisir semble quadruplé plus que le temps avance, plus que son bassin bouge, ce plaisir devenue si intense, parcourant mon corps qui commençait à avoir de plus en plus de spasme, je gémissais comme jamais j’ai dû gémir, c’était si bon!
Tout ce déroula si vite, tant de plaisir que je ne pouvais même plus pensée, seulement me concentrer sur mes gémissements qui se mêlait à mes soupires et à ce plaisir qui me harcelait le corps, je tremblais tant que j’aimais cela! Le plaisir toujours plus haut qu’une jouissance normal, cela me donnais point le goût de le laisser partir comme ça dans la nature, je voulais de lui comme mon serviteur et il le deviendra qu’il le veuille ou non, de toute façon qui refuserais d’être le serviteur de la déesse de la tentation? Avec plaisir et passion son la jouissance toujours présente mais qui ne semblait pas vouloir s’ouvrir au grand… Avant que…. Oui, je la sentais, un début de relâchement qui me fit lâcher un délicieux gémissement plus fort que les autres et tout céda peu avant lui qui craqua à son tour, délicieux gémissement que le son rassembler de nos voix, frison parcourant mon corps qui en désirait plus et encore plus pendant une jouissance, comme jamais j’avais eu par avant, je me mordit la lèvre sous le plaisir, des spasmes de plaisir parcourant toujours mon corps alors que voilà le regard de mon partenaire si victorieux et remplie de fierté me regarder alors qu’il était encore sur moi!
Je le regarda de mon regard remplie de plaisir et qui en demandait plus, sensuellement je changea nos positions, pour que ce soit moi qui soit sur lui, gardant son membre en moi, il était bien là, pas besoin de l’enlever pour l’instant, je frissonnais de plaisir toujours et l’observe doucement, comme un fauve regardant une gazelle. Je l’observais doucement et délicieusement, pour accentuer la vision, je lécha doucement ma lèvre inférieur très lentement, je me pencha sur lui, pour que mes seins se fasse sentir sur son torse, frissonnant légèrement, mes lèvres douces et chaudes prirent celle du démon, j’espère qu’il n’était pas déjà fatigué, car d’autre chose l’attends, oh oui, d’autre chose tant délicieux! Lentement, j’arrêta le baiser et alla placer ma bouche près de son oreille en murmurant :
« Abandonne toi à moi, laisse-moi te marquer de mon sceau, cela te conféreras tant d’avantage que tu en seras gagnant plus qu’autre chose! Mon sceau ne paressera même pas en plus… Aller mon cher Inkueh Stre'Ex Zabd'Evect Kom'rgahg Bihiel'Ehtan Sta'Ph… Mon cher conquérant des jeux de l’extase, oh grand chante-âme, gardien des doux secrets et n’oublions pas le plus important, le monarque du palais des plaisirs! Allez accepter ma proposition et je te le jure que jamais tu ne regretteras d’être un peu plus lié à ta déesse! »
Un grand sourire était placer sur mes lèvres, mon visage était revenu face à lui et j’attendais sa réponse, me mordillant légèrement la lèvre sous le plaisir, accentua l’attente en faisant un léger mouvement du bassin pour que son membre me pénètre un peu plus. J’espérais qu’il accepte… Enfin, il devra accepter car sinon j’userais de force, car il est un trop bon pour que je laisse partir sans marque, ni rien! Quand je l’aurais marquer peut-être que s’il est d’assaut, car moi je le suis toujours, on pourra recommencer une nouvelle partition.
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Encore un coup de maître, tant au sens propre que figuré pour cette fois. Les délicieux spasmes qui avaient agités la Déesse ne mentaient pas, ils étaient la preuve incontestable qu'elle n'avait jamais eu tant de plaisir auparavant. Ah, si seulement cette première avait eu lieu aux Enfers, Kalianna aurait pu apprendre le véritable sens du mot extase...
L'Incube avait également noté un certains mécontentement quand il avait privé la Déesse de plaisir. Et c'était bien son attention de la mécontenter, tout simplement parce que ça lui permit de mieux apprécier la suite.
Malgré ce premier ébat torride, Vaelh était tout sauf fatigué. Les Incubes dans son genre se nourrissent d'émotions, de sensations, et par extension de plaisir. De ce fait, au moment de l'orgasme, il avait resplendit de force et de vigueur renouvelé, comme un sportif qui s'accorderait une gourde d'eau entière après un intense effort pour mieux pouvoir s'y remettre ensuite. L'Incube s'était nourris, littéralement, mais conservait un appétit... Démoniaque. Pour la suite des festivité, il consentit à laisser Kalianna lui grimper dessus en gardant son membre prisonnier en elle, et quand s'allongea sur lui, l'Incube en profita pour quelque caresses coquines sur sa superbe poitrine.
Lorsque Kalianna prit la parole, l'Incube lui permit de ne placer que quelque mot avant d'imposer le silence d'un coup de rein qui poussa son membre à fouiller d'avantage en profondeur l'intimité de la Déesse.
Garde ta flatterie Déesse, même si celle-ci serait une douce musique pour mes oreilles. Une divinité ne demande pas l'avis de ses adorateurs pour agir. Pour moi, cette marque est une bénédiction. Ce fut son tour de venir murmurer à son oreille. Marque-moi... ça avait été dit avec une telle sensualité que la Déesse pouvait facilement comprendre "Baise-moi".
Ainsi, l'Incube patienta sous la Déesse, laissant son membre immobile au fond d'elle. Cette fois, c'est Kalianna qui allait mener la danse.
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J’aime dire de belle chose à mes partenaires, surtout s’il devienne mes marqués, cela devient encore plus important, car une marque fait mal, au départ… Mais c’est si délicieux pour moi par la suite, cela m’attriste moins lors du départ, car je sais qu’ils reviendront me retrouver et que je pourrais retrouver plus vite mes délicieux pouvoirs, j’avais si hâte de les retrouver et devenir plus forte et détruire cet olympe et ses dieux qui m’ont tout enlevé, oh oui… Les détruire comme ils l’ont fait avec moi, je les réduirais dans l’impuissance la plus totale et construirait mon propre royaume divin à moi et les divinités que j’aurais moi-même choisie! Ah, mes pensées en furent arrêter par un coup de rein qui me fit lâcher un doux soupire, il osait interrompre mes divines pensés de conquête?
Garde ta flatterie Déesse, même si celle-ci serait une douce musique pour mes oreilles. Une divinité ne demande pas l'avis de ses adorateurs pour agir. Pour moi, cette marque est une bénédiction.
Il marque un point, mais j’aime les flatter, comme j’aime qu’on me dise plein de flatterie, je suis heureuse qu’il l’accepte sans poser de question sur ce qu’elle pourrait lui causer, peut-être cela aurait pu être un vilain piège pour le détruire, mais je ne suis pas si méchante… Enfin, pas avec mes adorateurs. Vaelh se dirigea à mon oreille pour me murmurer d’une voix remplie d’une sensualité extraordinaire:
Marque-moi...
Un frison parcourut mon corps, je me mordit la lèvre et sourit, sans rien dire de plus, je prit sa main, les poignets, une endroit parfaite pour apposer ma marque, comme je l’avais fait avec ce démon, Mm faudrait que je le retrouve ce démon, tiens sa serait intéressant… Lentement je ferma mes yeux, je prit l’un de doigts de l’incube que je caressa lentement de mes lèvres, il pouvait voir une étrange chose provenant de ma bouche, ma salive ne semblait pas être transparente sans teinte, mais elle semblait dégager une teinte dorée. Lentement je descendit ma bouche jusqu’à sa main, je posais de délicat baiser, sur sa paume, laissant toujours de temps en temps un peu de ma salive que j’avais posé du bout de ma langue. Puis j’arriva à son poignet et je sortie ma langue recouverte de cette salive dorée, je lécha son poignet, à chaque coup de langue il pouvait sentir une chaleur, elle augmentait sans arrêt, je tenais fermement son poignet pour qu’il ne puisse l’enlever. La chaleur devenait terrible sur son poignet et j’eus un sourire avant de poser un délicat baiser à cette endroit. À ce moment précit, Vaelh put sentir une douleur terrible assaillir son poignet, cette douleur était comparable à un coup de poignard qui traversait le poignet. Il pouvait sentir ma salive bouger et former qu’elle chose sur son poignet, l’ouroboros. Il avait pris une teinte verdoyante, comme mes yeux, mais lentement le symbole disparue sous la teinte de la peau de l’Incube. Je sentie alors en moi, la force, une délicieuse force prendre par en moi, un peu de pouvoir venait de revenir, Mmh…. Cette sensation est aussi délicieuse et foudroyante, j’en tremble légèrement, un grand sourire sur mes lèvres alors que mes yeux se repose sur mon marqué.
« Mmh, merci oh grand monarque du plaisir pour ce cadeau divin que vous m’avez offert, »
Je me mordit sensuellement la lèvre en l’observant, donnant un léger coup de rein pour ensuite sortir son membre de moi, j’étais toujours par-dessus lui et je pensais à la suite, lui faire plaisir, comme il m’avait fait plaisir, cela seras un peu plus compliquer, car je n’ai pas encore retrouver mes pouvoirs sur la luxure, bah, on fera du mieux que je peux, sinon je me reprendrais à notre prochaine rencontre! Lentement mes mains caressèrent son torse, chacun de mes touchés était remplie de tentation, je l’observais de mes yeux tenteurs, ma langue caressant mes lèvres, ma salive redevenue normalement transparente.
« Alors… Vaelh… Qu’est-ce qui te tente… le plus? »
J’abordais mon doux sourire tentateurs, mon regard chaud de plaisir, j’attendais ses paroles, j’avais dictée mes mots avec lenteurs et sensualité.
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Ne sachant pas comment la Déesse allait procéder pour apposer sa marque sur le corps de l'Incube, ce dernier ne pouvait que spéculer. Sans doute allait-elle avoir recours à quelques rituel démoniaque, peut être devait-elle catalyser son pouvoir au travers d'une artefact... Mais non. Au lieu d'user de méthodes "conventionnelles" (d'un point de vue démoniaque bien sûr), la Déesse n'eut besoin que de son propre corps. L'Incube se régala de la grâce dont elle para ses gestes pour s'emparer langoureusement de son doigt avant de le napper d'un étrange filet d'or liquide. Plus inquiétant, le filet d'or véhiculait une chaleur qui ne faisait que croître jusqu'à devenir brûlante, douloureuse... Vaelh, en tant qu'Incube, jouissait d'une perception sensorielle incroyablement poussée qui lui permettait de tout ressentir de manière intense, mais ça valait aussi pour la douleur. Plutôt que de sentir une simple brûlure il y l'impression que son avant bras entier était plongé dans le magma. Malgré ça... Il n'émit pas le moindre son. En tant que monarque des plaisirs, il avait appris à faire de chaque expérience un plaisir, si bien que la torture qu'il endura se mua en... Quelque chose d'autre. ça restait bien de la douleur, bien sûr, mais c'était comme une douleur "appréciable", "vivifiante". Sous l'effet d'une si étrange extase, les pupilles du démons se dilatèrent à l'extrême pour ne laisser de ses iris que deux fin cerceaux d'or.
Puis la douleur doubla, tripla, quadrupla, comme si son bras était perforé par un milliard de lame rouillée chauffée à blanc. Il ressentit la douleur si fort que ses sens se brouillèrent avant de le transporter aux limites de l'inconscience. Mais encore une fois, souverain démoniaque qu'il est, il mua la douleur en une expérience appréciable et s'en gorgea en grinçant des dents.
Quand le mal le quitta, tous ses muscles se détendirent d'un coup, le laissant pantelant sur le sol, le corps luisant d'un subtil filet d'une étrange sueur qui, plutôt que d'empester, charriait des relents doucereux chargés de concupiscence. Il retrouva le plein usage de ses sens alors que la voix de sa partenaire lui faisait vibrer les tympans. Il inspira avant de lui répondre :
Moi qui pensais ne pas devoir renouer avec Dame Douleur avant des éons, voilà que tu m'y forces avec ton sceau. Mais Douleur est déjà partie, sans doute s'est-elle trouvé quelqu'un d'autre à tourmenter. Il laissa planer un petit silence, se rinçant l’œil sans aucune gêne ni aucun effort pour s'en cacher. Ce qu'il me ferait plaisir ? Dans l'immédiat, ce serait qu'en agissant par toi même, tu te débrouilles pour... Composer cette douleur que tu m'as infligé. Si me faire plaisir dans l'avenir t'importe également, tu me promettras que tu m'inviteras dans ton palais infernale quand tes pouvoirs te seront revenus.
L'Incube pris appuis sur ses coude, exposant ainsi sa musculature ouvragée à la Déesse. Son corps entier réclamait de nouvelles caresses, plus puissantes, plus vives. Il partagea même avec la Déesse quelques visions érotiques intolérablement excitante qui pouvait peut être l'inspirer avant de venir chatouiller le bouton de plaisir de cette dernière du bout de son mât. Il lui sourit, l'air plus affamé que jamais, attendant de faire l'objet des attention d'une divinité. Il s'autorisa même à reprendre son sourire narquois et son air supérieur, comme s'il voulait provoquer Kalianna. "Attaque", semblait-il lui intimer... "Montre moi de quoi tu es capable, femme".
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Mon regard observait Vaelh, je m’en mordis les lèvres, tant que j’avais hâte de savoir ce qui le tentais, lui un être du plaisir, sur ce qu’il aimerait recevoir comme plaisir, j’observais son corps qui avait eu une attitude étrange durant son marquage, mes yeux vert inspectant délicieusement ce corps offert à moi, un véritable corps musculeux comme je les hommes, je n’aime pas les hommes trop musclé, ni trop maigre, mais lui est juste assez de tout, parfaitement selon ce que j’aime des corps, je m’en mordit la lèvre à nouveau, tic qui démontrait bien à qu’elle point j’aimais ce corps qui m’était offert pour que j’y fasse tout ce que je désirais et je n’allais point m’en priver, surtout après ce qu’il venait de me faire vivre, je voulais qu’il m’offre sur un plateau d’argent ses tentations, ce qu’il désirait avoir, mais je savais qu’un démon aussi agile, jouerais surement le jeu de ne point me le dévoiler… Sa voix se fit découvrir alors que je me demandais s’il avait perdu l’usage du parler, mais cela aurait été dommage car il a une si belle voix…
Moi qui pensais ne pas devoir renouer avec Dame Douleur avant des éons, voilà que tu m'y forces avec ton sceau. Mais Douleur est déjà partie, sans doute s'est-elle trouvé quelqu'un d'autre à tourmenter.
Oh, il avait ressenti la douleur? Cela n’avait presque point paru, je l’observa alors que lui observa mon corps, sans gêne et sans le cacher et j’osa faire de même avec lui, profitant de ce léger silence pour regarder son corps encore mieux qu’aux débuts pour observer chacune de ses parcelle de son corps, j’en eu un frison d’envie qui me frappa à nouveau. Ce silence était délicieusement obscène et j’adorais cela.
Ce qu'il me ferait plaisir ? Dans l'immédiat, ce serait qu'en agissant par toi même, tu te débrouilles pour... Composer cette douleur que tu m'as infligé. Si me faire plaisir dans l'avenir t'importe également, tu me promettras que tu m'inviteras dans ton palais infernale quand tes pouvoirs te seront revenus.
Pas de dévoilement, rien? Ni indice, sans artifice? J’en fut déçue et cela me désappointa, je ne savais pas par où commencer, tant de chose à faire. L’invité à mon palais infernal? Et bien, nous verrons à notre départ… Même si je savais d’avance… Depuis que j’ai posé ma marque qu’il reviendra me voir en enfer et j’avais déjà si hâte, car je sais que j’aurais retrouvé de mes pouvoirs, mes chères pouvoirs, que seront ceux qui reviendra à moi le plus vite? Mes pensées furent à nouveau briser alors qu’il se plaça sur ses coudes, dévoilant encore mieux son corps si plaisant à observer, démontrant son désir à des caresses, son regard chaud dévoilant un air affamé de perversion, alors que de magnifique image parcourut mon esprit à m’en faire frissonner d’envie, Mmh…
Son sourire provocateur et dominant, tandis que son regard me perçait à jour, j’en frissonna sous cette terrible provocation qui me tenta, j’adorais cela et il méritait que je ne passe pas au-dessus de cette provocation et je le ‘’punisse’’ de ce geste qu’il avait commis envers sa Déesse, enfin, cela allait plus ressembler à une récompense, mais les récompenses sont le meilleurs moyen de dresser un être dominant, n’avais-je pas déjà ‘’dresser’’ des dieux par avant, cela allait revenir je le savais, l’heure de ma gloire reviendra…
Mon regard se fit remplie de tentation, le bout de mes doigts se posa sur son torse pour que tout son corps le haut de son corps se retrouve au sol, je l’observa lentement d’un regard séducteur, et rapprocha ma tête de l’incube, nos lèvres si près l’une de l’autre, nos souffles entrant en contact et ma main qui touchais son torse caressa doucement celui-ci, montant légèrement à son cou et ensuite à sa joue, je mordis sa lèvre et il put sentir une dose de tentation à mon égard le traverser alors que mes dents venait de mordiller la lèvre du démon avait délicatesse et perversion.
Cette main coquine descendit lentement sur son corps, caressant du bout de ses doigts son corps, lentement, délicieusement, perversement… Mon corps coller contre lui, mes seins collant son torse musculeux, ma main saisit alors le sceptre démoniaque de l’être, que je caressa lentement, enlevant délicatement les fluides de notre acte, car une autre allait s’ajouter. Lentement je descendis mes lèvres, ceux-ci frôlant son corps d’attention et de baiser qui transmettait à chaque fois de la tentation, puis lentement je posa un baiser sur son aine et voila mes lèvres si proche de cette place si précieuse pour chaque homme. Lentement je posa mes premiers baiser dessus, mon regard observant toujours Vaelh, légère pointe de provocation dans mes yeux, alors que ma langue sortie pour caresser doucement cet amas de chair, ma bouche allant par la suite à la rencontre de ce bout qui désirait de l’attention, lentement j’y plaça ma bouche pour suçoter lentement cette endroit avant que lentement mes lèvres descendent, alors que son membre entre de plus en plus dans ma bouche chaude et accueillante, lentement je débuta des va et viens avec délicatesse et passion, allant à chaque fois un peu plus loin, entrant de plus en plus dans ma gorge pour y entamer finalement une magnifique gorge profonde, comme tant d’être adore recevoir.
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Que la Déesse fut déstabilisée parce qu'elle n'avait reçu aucun indice quant à la manière de poursuivre ce jeux érotique fit sourire Vaelh. Pour le coup, il la trouva... "Relativement innocente". La Déesse de la Tentation elle même avait besoin d'aide pour dévoiler ses pleins talents lors d'un ébat ? L'Incube se retint de la taquiner ; à la place, il lui lança un petit regard ironique lourd de sens qui ne manquerait pas de la provoquer d'avantage.
Quoi qu'il en fut, il resta sagement en place -pour l'instant-, se laissant dévorer du regard. Il ne cherchait même pas à cacher sa fierté et son plaisir d'être l'objet de l'attention et des envies de la Divinité. Quelle gloire ! Lui, "simple" monarque infernal, l'amant d'une authentique divinité déchue. Il s'imaginait déjà les nouveaux titres qu'il recevrait pour ça, qui viendraient s'ajouter à la pléthore d'autre qu'il porte déjà. Tout ça pourrait contribuer à sa notoriété, à sa célébrité...
Et qui sait, s'il parvenait à aider Kalianna à redevenir une Déesse, peut accédera-t-il lui même au rang de Dieu ?
Si seulement...
Cette perspective fit souffler un vent d'allégresse sur son coeur, et il sourit plus franchement, tant satisfait par son potentiel avenir que par toute l'expertise que Kalianna mettait dans un torride baiser. Son être s'enflamma d'une soudaine envie revigorée, et il eut à nouveau envie de la prendre avec toute la violence dont il aurait été capable. Heureusement, sa lucidité l'emporta et le fit se tenir à carreau, lui permettant de savourer les délices à venir. Et quels délices ...
La Déesse avait dévié ses lèvres jusqu'à son intimité avec une malice mêlé d'un talent séculaire. la rafale de lent et concupiscent baisers que Vaelh avait subi avait été si douce qu'elle avait donné l'impression de n'être qu'une caresse intense et continue.
Puis ses lèvres s'étaient posée sur l'extrémité charnue de son membre. Sous une excitation soudaine, le don de l'Incube s'embrasa pour enflammer les perceptions et envie de Kalianna, si bien que ce long sexe qu'elle tenait jalousement en bouche devait prendre la saveur de la plus perverse et délicieuse de tous les fruits défendus. Dans le même temps, un torrent d'images s'insinua dans son divin esprit. Elles étaient les images des souhaits de l'Incube que ce dernier lui transmettait cette fois volontiers, pour qu'elle sache comment s'occuper de lui. Les premières images mettait en scène la Déesse qui, au seul talent de ses lèvres et de sa langue, parvenait à raviver un désir fou dans le coeur de l'Incube en ne flattant que l'extrémité de son mât.
D'autres images montraient la Déesse qui, à l'aide de sa langue experte, flattait le membre magnifique qu'elle tenait devant elle de longue et humide caresse, déviant parfois quelqu'un de ses baisers sur le ventre de son partenaire.
D'autres scènes affluaient, inspirant la Déesse, chacune pré d'un étrange voile de défi, comme si Vaelh la provoquait de lui donner un plaisir incomparable. Et pendant ce temps, elle pouvait savourer la virilité de son amant qui reprenait toute sa vigueur en elle. Le mât de chair était à l'étroit dans sa gorge, mais à entendre les soupir d'extase non contenus du Démon, cela ne lui déplaisait pas du tout...
C'était à elle de jouer, à présent. Saurait-elle se montrer aussi... "convaincante" que l'a été Vaelh ? Sans doute, mais le Démon attendait de voir, ne la lâchant pas des yeux.
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On me demande souvent pourquoi je demande à tous mes amants ce qu’ils leurs tentent… Enfin on me le demande pas vraiment en fait, mais je sais que beaucoup s’en pose la question, alors je vais vous répondre c’est très simple : Qui suis-je? Bien sûre, Je suis Kalianna! Mais la déesse de quoi!? De la tentation et des péchés. Félicitation vous avez trouvez, mes pouvoirs reviennent quand les tentations de l’autre se réalise ou qu’ils s’abandonnent au vice de la tentation, ou même quand on tente une autre personne, alors je peux dire que je serais puissante une fois tous mes dons retrouver… Que dis-je? Je serais toujours plus puissante, car mes dons n’achèveras jamais d’arriver, car toute tentation est éternel et toujours chaque être vivant tenteras son prochains, je suis si fantastique.
Voilà pourquoi j’ai été déboussolé qu’il ne m’est point répondue, généralement tous me répondent impatiemment pour que je réalise leurs fantasmes, mais cette fois, il m’en cacha le plaisir, c’était dommage, pour moi qui désirait tant m’abreuver de ses douces tentations qui l’habitait, un Incube doit bien en avoir aussi, des tentations, non? Ce ne doit pas être parce qu’il est un transmetteur du vices de la luxure, qu’il ne peut en avoir... Des tentations, des vices caché, des idées qu’il désire réaliser, Mmm…. Je tente de le percer à jour, mais c’est si complexe un incube comparer à tout autre type de démon et créature, je vais vraiment devoir me surpasser si je veux lui prendre le plus de tentation possible à celui-là.
Pendant que je tenais ce membre en ma bouche, je ressentie une délicieuse sensation m’envahir, ce sexe me faisant presque réagir, son pouvoir? Surement, mais c’était si délicieux, ce genre de pouvoir, j’en voudrais bien, oh oui… Doucement à cette nouvelle sensation sous ma langue, des images me frappèrent, un flots d’images indécentes caressa mon esprit, tant de délicieuse scène perverse qui me montrait enfin ce qu’il désirait, voilà! J’aime mieux cela ainsi! Je me sens plus en contrôle, mais ce ne seras que pour ce coup, je me reprendrais bien la prochaine fois que nous nous retrouverons, car j’allais bien le revoir, lorsque j’aurais retrouvé beaucoup plus de mes pouvoirs, nous nous retrouverons en enfer, là où les incubes ont le plus leurs pouvoirs, et là juste à l’imaginaire, ce seras une partie si extraordinaire que nous nous en souviendra longtemps, là où la tentation et le plaisir n’a fait qu’un!
Son regard brûlant m’observait, et moi-même mon regard se leva pour l’observer perversement, lentement je glissa son membre pour que seul son gland soit dans ma bouche, je me mit à le suçoter, le caresser du bout de ma langue, ma main caressant sa base d’une main agile et connaisseuse. Ma langue se faisait douce et lente sur son gland, j’y allais doucement pour qu’il ressente chaque seconde de cette délicieuse caresse que je lui offrais que pour lui. Je remis son gland dans ma bouche, pour refaire de la légère succion, puis doucement mes lèvres se mirent à embrasser son membre jusqu’à la base avant de ressortir ma langue et lécher celui-ci tout le long et le remettre en bouche et faire de long va et viens, je n’allais pas lâcher ce membre jusqu’à ce qu’il jouisse, il m’avait offert une douce jouissance avec la sienne, alors je lui rendrais la pareille avec la mienne! Lentement je vins agacer son gland en l’entrant doucement dans ma gorge, chaude et serrer, pour le ressortir par la suite. Puis après qu’elleque seconde je lui fit une douce chute, prenant mon temps pour cette descente dans ma gorge et faire de doux geste comme si j’avalais son membre pour qu’il puisse tout ressentir encore plus profondément. Je lui soufflais toujours de délicieuse dose de tentation à mon égard, pour moment seul ce pouvoir m’est utile, mais gare à tous, j’ai un nouveau pion, un incube qui plus est qui risque de faire basculer le tout à mon avantage, j’en suis sure que grâce à cet merveilleuse aide de mon nouveau marquer, je reprendrais mes dons plus vites, tous mes marqués auront un délicieux cadeau, lorsque ma vengeance seras compléter, parce que je pourrais enfin tous les réaliser. Un frison de plaisir autant à cette penser qu’à la caresse que je faisais me passa dans tout le corps.
Je lui lançais des regards qui disaient tant de chose dans son mutisme, tant de perversité et de délicatesse, je continuerais mes douces caresses de ma langue, jusqu’à ce que j’ai goûté à ce délicat plaisir, avant de m’attaquer à … d’autre chose… Mmh…
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On pouvait au moins concéder le fait que Kalianna commençait bien.
Ses lèvres, si douces et si chaudes qu'elles semblait irréelles, éthérées même, glissaient avec une grâce divine sur l'extrémité du membre du Démon. Elle infligeant tant d'infimes suçotements que de pervers petits coup de langue à cette délicieuse friandise offerte. La Déesse eut même la délicatesse de venir flatter la base de cet incroyable pieu de chair à grand renfort de douces caresses.
Eh bien... Malgré le fait qu'elle soit plus habituée aux ébats violents, elle était douée pour la douceur ! Une agréable surprise.
Et le plaisir ne s'arrêta pas là. La Déesse s'appliquait avec une dévotion touchante, œuvrant au maximum de ses capacités pour satisfaire son partenaire. Avec ses sens exacerbés, Vaelh ressentait un plaisir déjà bien supérieur à celui d'un humain. Il ne se retint pas de soupirer d'extase pour souligner à Kalianna qu'elle s'y prenait comme une reine. Lorsque cette dernière entama un mouvement de va et viens vertigineux, l'Incube sut d'instinct qu'elle comptait le faire jouir ainsi. Il sourit et lui souffla le plus lascivement possible, caressant son esprit d'un millier de scènes dans lesquelles Kalianna se voyait baptisée par de grandes giclées pâle, fruit de son labeur pervers :
Tu compte m'infliger le plaisir de la sorte ? Hmm... Soit, j'y consent. Je te met même au défis de me noyer sous une extase sans pareille en ne t'aidant que de ta bouche. Vaelh sourit, se mettant à onduler avec une grâce lubrique qui aurait rendue folle n'importe quelle démone, aidant Kalianna à prendre toujours plus profondément ce beau membre qu'elle dévorait. En exsudant une aura de luxure toujours plus écrasante, il vint doucement caresser la Déesse juste à la base de son oreille avec une tendresse qui contrastait avec ce qu'elle était en train de faire.
Vaelh était aux anges. Le plaisir qu'il subissait était incroyable -mais encore insuffisant pour qu'il craque-. Tant pour encourager Kalianna à continuer que pour complimenter ses talents, l'Incube ne faisait aucun effort pour assourdir ses râles de plaisir. Quelle incroyable situation tout de même ! Une authentique Déesse était penchée sur son membre, comme par pure soumissions et dévotion. Il sourit et, enivré par ce sentiment de supériorité, décida de taquiner à nouveau la divinité. Il glissa ses mains dans sa crinière de jais pour l'agripper, empêchant Kalianna d'avaler son sexe une fois de plus, puis ondula de lui même pour faire aller et venir son mât dans la gorge de la Déesse comme s'il lui labourait l'entrejambe. Sa virilité raide traçait sa route humide dans la gorge étroite de Kalianna, de plus en plus vite, tandis que Vaelh la tenait toujours fermement par les cheveux -pas question de la laisser filer-. Le fait de prendre ainsi brièvement l'ascendant sur la Déesse augmenta encore sont plaisir, rendant par conséquent chaque va et viens encore plus délicieux, encore plus jouissif pour son amante qui se voyait noyée un peu plus à chaque secondes sous des torrents d'envies inavouables.
Puis il ralentit progressivement, finalement satisfait d'avoir brièvement dominé la Déesse. Ce petit jeu l'avait comblé, amusé ; il n'avait pas besoin de provoquer Kalianna d'avantage. En s'immobilisant, Vaelh libéra la Déesse de son étreinte et posa son index sous son menton basané avec une délicatesse stupéfiante, au limite de l'abstrait. Sans effort, il releva le visage de sa partenaire pour la regarder droit dans les yeux, mais veillant à se que son gland chaud et humide profite encore du confort de son palais. Et il lui servit un sourire tant sincère qu'éclatant, avant de lui offrir d'avantage de visions lubriques, chacune mettant très nettement en scène le membre du démon qui palpitait comme un volcan, crachant généreusement des flots de magma blanchâtre. Le produit de certaines éruption venait s'échouer à même le visage de la Déesse, tandis que d'autres disparaissaient dans sa gorge... Chacune de ces visions était comme une promesses qui semblait perversement dire : "suce-moi bien, et je serais généreux".
Persuadé que le message était passé, Vaelh caressa une ultime fois la joue de la Déesse avant de lui intimer de poursuivre. Son envie augmentait de minutes en minutes, attisée par le pouvoir de séduction de la Déesse. Il laissa ses mains glisser du visage parfait qu'elles encadraient et, avec un soupir qui aurait émoustillé la Divinité de la chasteté elle-même, il se réinstalla le plus confortablement possible pour savourer.
Ah, qu'il était splendide, qu'il demeurait majestueux dans cette pose lascive ! Même sa parfaite nudité et sa -grande- excitation ne l'amputait pas de sa superbe. Au contraire, il n'en devenait que plus parfait, plus craquant, plus attirant. Et conscient de ne pas laisser la déesse indifférente, il décida de la tourmenter encore un peu pendant qu'elle s'affairait à cajoler son sexe raide. En cela, il fit glisser ses mains du cou de la Déesse à ses épaules, ses paumes brûlantes déclenchant mille et un frissons d'extases sur leur chemin, puis de ses épaules à ses seins. Il décida de n'offrir à Kalianna que des caresses simples, mais vectrices d'un plaisir presque foudroyant : partout où ses doigts ses posaient brièvement, une terrible pulsation de plaisir inondait la peau de la Déesse.
Et cette dernière pouvait facilement deviner que mieux elle si prendrait, plus les caresses seraient intenses.
Alors Kalianna, motivée ?
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E Cela m’enrage de savoir que ce que je fais pourrait n’être en fait inutile, que ce plaisir pourrais être fis en vain! Mais qui pourrait résister à une telle bouche qu’est la mienne? Qui est-ce qui serait assez résistant pour cela? Personne! Personne ne peut résister à cela, à nouveau un frison harcela mon corps, plaisir et colère entremêler. Malgré le fait que j’attendais les soupires de l’incube, je savais que ce n’était pas suffisant, il en voulait plus, les démons en veulent toujours plus, je les connais bien vue que j’habite en enfer… Mais, il ne connait pas ma persévérance, j’allais tout de même revenir au Olympe en devenant déesse principal du lieu mythique!
Alors que je continuais le divin cadeau, des images vinrent caresser mes esprits et pervers vision m’apparue démontrant ce membre s’agitant dans ma bouche pour faire sortir sa surprise à grand coup de blancheur, un frison me parcourut, toutes visions m’étaient magnifiques et me donnait encore plus de passion à mes gestes…
Tu compte m'infliger le plaisir de la sorte ? Hmm... Soit, j'y consent. Je te met même au défis de me noyer sous une extase sans pareille en ne t'aidant que de ta bouche.
Il y consent? J’eus que le goût de rire à cette parole? Qu’il y consent ou non, je l’aurais continuer à prendre en bouche ce membre, je l’aurais lécher jusqu’à ce qu’il ne puisse penser autre que ma bouche qui entoure son membre ou bien que ma langue le caresse, qu’il céde au supplice de ma langue et qu’il en gémisse pour finalement faire sortir ce jet crémeux, je l’attendais impatiemment, mais je savais qu’il allait être difficile à obtenir, que j’allais devoir mettre tout mon talent pour le faire gémir de plaisir et exploser sous cette dose, je le savais et je m’y préparait déjà, J’avais mille et une idée de la manière à m’y prendre…
Alors que j’avais sentis ses doigts derrière mon oreille, je la sentie se glisser dans ma douce chevelure de jet. Je tremblai légèrement d’un frison délicieux et soudain sa main empoigna mes cheveux, léger grognement fâcheux sortie de mes lèvres, mais que faisait-il? La manière qu’il me tenait était fait pour que je ne puisse plus bouger, puis d’une manière rapide il entama des va et viens, labourant ma gorge comme si elle était son intimités, chaque va et viens devenait de plus en plus rapide. Il ne me lâchait pas, sa main tenant ma chevelure fortement, ceci est une chose que j’aime pas, me faire ainsi dominer, je n’aimais point, il y a des moments à la dominance, mais ce moment n’était point-là. Malgré que je n’aime pas cela, je sentie un certain plaisir entrer en moi, cet incube provoquait en moi des envies étranges, grâce à ses dons, aucun doutes. Lentement il ralentit pour s’arrêter, finalement.
Lentement il posa son doigts sur mon menton et avec douceur il releva mon visage, mon regard l’observant, gardant son bâton de chair bien dans ma bouche, son gland caressant mon palais, il me démontra un sourire et de délicieuse vision vint m’assaillir, tant de vision aussi délicieuse les une que les autres, tous démontrant qu’un évènement : Sa jouissance. Léger sourire qui vint se démontrer à mes lèvres, alors qu’avec lenteur et passion je recommença mes va et viens, je sentie ses doigts venir glisser contre mon cou, mes épaules, tant de frison parcourant mon corps à cette instant, tant de plaisir que de simple caresse me provoquais, un léger soupir quitta mes lèvres alors que je m’appliquait malgré tout à sa ‘’gâterie’’, lentement ses mains glissa pour se rendre vers mes seins, un terrible frison frappa mon corps, au combien j’aimais ses sensations qui ce provoquait dans mon corps, ses caresses pourtant simple était qu’un avant-goût, je savais que si je lui montrait plus de mon talent ses caresses allait être meilleurs qu’ils étaient déjà…
Oh oui, j’étais motivée, La fellation est un art que les femmes réussissent à bien apprendre, mais moi, cet art est l’une de mes expertises, je connais les points faibles des hommes, je sais que faire pour leurs causer le plus grand des plaisirs, je connais la manière de m’y prendre pour que les hommes apprécient pleinement leurs fellations. Une chose que tout hommes détestes : Que cela soit pareille, donc j’alternais toujours, parfois mes gestes étaient lent et il pouvait sentir ma chaudes langues caresser son membre en même temps que j’enfonçais son fière pieu dans ma bouche, parfois j’y allais rapidement, mélange sensualité et rapidité. Tout n’était que variance dans ce premier acte. Par la suite venait aussi l’application de notre bouche à son dessus, j’y variais aussi, parfois appuyant un peu plus sur ma bouche pour qu’il est l’air de se faire aspirer par ma bouche chaude et invitante, parois je n’appuyais que si peu que c’était comme si une plumes caressait avec fierté son membre…
Je me fiais à ses sons de voix pour faire mes gestes, ses délicieux sons formant une mélodie de plaisir à mes oreilles, j’attendais que le clou du spectacle, continuant de lui donner le plus de plaisir en alternant vitesse, sensation et profondeur, je m’appliquait de plus en plus, mon aura de tentation devenant toujours de plus en plus forte, qui est-ce qui pourrait résister à cette bouche si délicieuse qu’est la mienne?
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Non content de savourer un extase physique sans pareille, l'Incube s'imprégnait des humeurs de la Déesse. Aussi fut-ce un incommensurable plaisir que de la sentir vibrer d'une soudaine montée de mécontentement lorsque sa bouche fut contrainte de subir les assaut du large membre de Vaelh. A n'en pas douter, Kalianna n'avait pas du tout pour habitude de ne pas présider le déroulement des opérations. Malgré ça, l'Incube put deviner sans mal que pour elle, cette petite touche de nouveauté avait tout de même un saveur agréable.
Que ce fut à cause de cette optique de défis, de la satisfaction qu'elle éprouvait à sucer avidement le long membre ou du plaisir qu'elle ressentait sous les caresses expertes de Vaelh, Kalianna y allait à fond. Ses lèvres était -littéralement- divine. L'experte en chef de la fellation. Elle ne laissait absolument aucun répit au démon en modifiant sans cesse son rythme et ses assauts dans un parfais schéma d'instincts imprévisibles. Tellement, tellement bon... Si délicieux que le Démon, même s'il l'avait voulu, n'aurait pas pu étouffer ses râles de plaisir. De toutes façon, se retenir aurait perturbé le doux traitement qu'on lui infligeait, alors il soupira, faisant l'éloge de manière on ne peut plus sexy des talents de son amante. Plus elle s'appliquait sur son sexe, et plus l'Incube lui chantait son plaisir dans un concerto de râles sonores savamment ponctués de respirations haletante.
Kalianna méritait qu'on la complimente pour une telle fellation, mais les mots seuls n'auraient pas suffit. Soudainement éprit d'une furieuse envie de récompenser la Déesse au delà de toute mesure sans se soustraire à sa bouche, l'Incube accentua ses caresses. Ses mains pétrissaient l'opulente poitrine offerte en trahissant un désir impérieux. Aucune parcelle de peau de la Déesse ne fut épargnée. Mais l'Incube ne s'arrêta pas là. Il concentra tout le don qu'il put dans ses paumes, brusquement, avec une telle force qu'à chaque contacte contre sa poitrine, la Déesse s'en trouvait littéralement électrisée. C'est bien simple, sa poitrine semblait être devenu d'avantage érogène que son intimité. Bien sûr, l'Incube ne manqua pas de venir flatter les extrémité brunes des deux monts basanés, leurs donnant d'avantage de sensibilité que le petit bouton de plaisir de la Déesse. S'engagea alors un ballet de caresse absolument divin et imprévisible, tantôt doux, tantôt puissant et furieux, qui ne pouvait transmettre qu'à la Divinité un plaisir au delà de toute comparaison. Et plus elle s'appliquait à sucer la délicieuse friandise qu'elle avait en bouche, plus les caresses s'intensifiaient pour la récompenser.
Avec de la volonté, Vaelh serait peut être parvenu à se maintenir dans cette état pré-orgasme indéfiniment, sauf que là, il avait à faire à la Déesse de la Tentation. Et nul ne peut lui résister, c'est contre nature. Il savait qu'il allait céder très bientôt, mais il ferait tout pour le final soit spectaculaire.
Il fallut à la Déesses encore quelques petites minutes d'efforts pour sentir le membre volumineux s'agiter, secoué de très léger spasmes. Le déferlante de plaisir arrivait, ce qui valut à Kalianna des caresses toujours plus délicieuse, si bonnes qu'elles auraient mis en vrac un esprit inférieur au sien. L'Incube ne se retenait pas, et il chantait sans gêne aucune son plaisir à la Déesse : ses râle s'accentuaient, son souffle s'appuyait... Son joli membre vibrait, drainant son jus blanc en prévision de l'orgasme.
Puis eut lieu l'éruption. Dans une ultime longue série de puissantes palpitations, le pieu de chair cracha généreusement sa semence chaude par grands accoups, baptisant le palais et la gorge de la Déesse. L'orgasme secoua le sexe du démon une longue minute durant, lui coupant le souffle à chaque palpitation. Pour peu que Kalianna le regarde, elle pouvait voir sur ses traits une expression extasiée comme jamais elle n'avait dû en voir. Dans ce tsunami de plaisir, l'Incube était encore plus beau, plus merveilleux, et chaque fibre de son corps crispé criait au monde à quel point la Déesse avait été douée. Pour accompagner son extase, son aura s'enflamma, embrasant la conscience, l’âme, l'être et la raison de Kalianna. Toute les envies qu'elle avait ressentit dans sa vie éternelle, tout ses fantasmes et désirs... Tous lui furent rappelés violemment en plus qu'une infinité de vision de débauche noyait ses sens.
Puis tout cessa progressivement, comme si Kalianna avait été aveuglée mais que la vue lui était rendue fragment par fragment. Elle put alors contempler son amant qui arborait une formidable expression de pure félicité.
Et comme pour conclure, pour donner son appréciation sur la démonstration de la Déesse, il laissa échapper un dernier soupir qui, à lui seul, véhiculait plus de sensualité que Kalianna n'avait jamais dû en voir durant sa vie.
Encore enivré, il ferma doucement les yeux, s’accrochant aux ultimes brides de plaisirs qui faisait vibrer son corps. Il les savoura, les dévorant jusqu'à la dernire avec une avidité toute démoniaque, avant de rouvrir les yeux pour poser ses iris d'or sur la Déesse.
Pas mal. Satisfaisant. Bien... Ah, non. Sublime.
A n'en pas douter, ça avait été la meilleur fellation dont il se souvienne. Mais ça, il se garda bien de le dire... Il ne souhaitait pas trop flatter la Déesse non plus. Il ne fallait pas qu'elle se repose sur ses lauriers ! Ah, qu'il lui tardait de la rencontrer aux enfers pour recommencer à un niveau bien supérieur !
L'Incube avait été tant excité par un tel exercice qu'il n'avait qu'une envie : recommencer là, tout de suite. Mais ce qu'il souhaitait par dessus tout, c'était attiser son envie de la Déesse pour qu'il ne pense qu'à leur prochaine rencontre. Ainsi, quand elle surviendrait, il n'aurait qu'à libérer cette tension et obsession qu'il éprouverait pour se jeter sur Kalianna et la faire basculer dans une abîme de folie désireuse sans pareille. Et tant qu'à faire, autant que la Déesse passe son temps à ne penser qu'à lui jusqu'à leur prochaine rencontre, ainsi pourra-t-elle se déchaîner aussi.
Avec un sourire mutin, l'Incube repris le massage de l'immense poitrine de Kalianna. Plus de brusquerie, plus de sauvagerie, ses mains n'étaient plus que douceur et langueur. Il la regarde dans les yeux, s'imprégnant de son image une ultime fois, savourant tout son être, son arôme, appréciant la délicatesse de sa peau... Avant de lentement retirer ses mains. Il souffla, envoûtant :
Il est l'heure de nous quitter. Maintenant. Avant qu'elle n'ai pu protester, le Démon lui posa son index sur les lèvres. Rendez-vous en enfers, comme on dit. Nous pourrons user de nos pleines capacités plutôt que d'être ainsi limités dans ces corps. Quant à la date, je n'en sais rien. Peut être une semaine, un an, un siècle, une éternité ? Je viendrais à ton palais sans m'annoncer pour que ta surprise soit totale, et nous consacrerons... Tout le temps nécessaire pour nous épuiser l'un l'autre. Mais avant que je parte, vient un peu par ici...
Avec une attendrissante malice, il tira la Déesse à lui pour poser ses lèvres dans son coups en même temps que ses mains massaient avec attention sa grande poitrine -il n'avait pas pu résister, ses seins lui manquaient déjà-. Ses lèvres glissèrent de son cou à son épaule, chaudes, puis le petit épisode de tendresse fut clos. L'Incube se redressa, s'amusant en sentant les jambes de son faible corps vaciller un instant, avant de se rhabiller. Il ne manqua pas de jeter un dernier coup d’œil à la Déesse, tant pour s'imprégner de sa vue que pour profiter de la perfection de son corps nu, puis lui tourna le dos non sans un dernier sourire mélancolique et attendrit. Impossible de cacher qu'il appréciait la Déesse, et qu'elle lui manquait déjà.
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La passion de mes mouvements n’était point à contre dire, comme le dit ce dicton humain, je mets le cœur à l’ouvrage, encourager par ses râles plaisante qui sonnait si bien dans mon oreille, j’en avait des frison alors que ses doigts continuait si lentement une caresse qui semblait que le début de ceux-ci, qu’un léger avant-goût. Voir cet Incube partir me fendra le moral, j’avais que le goût de le capturer et d’en faire mon serviteur pour toujours à côté de moi dans le palais des enfers, que je pourrais m’amuser avec quand je le souhaiterais, il serait bien à mes coté, tout ce qu’il désire et une place de choix à côté de la plus séduisante des déesses.
Alors que je continuais mes variant mouvements de bouche et de langue, les caresses de l’incube s’intensifia, caressant ma poitrine telle que j’aimais qu’on me les caresses, un long frison parcourant mon corps d’une décharge de plaisir, cela m’encourager à aller de mieux en mieux, toujours et jours plus, ses caresses semblèrent changer mes seins en une source encore plus élevé de plaisir, chaque caresse ressemblait à une caresse à mon entre jambe, mais encore pire, un soupire étouffer sortie de ma gorge, je trembla sous ce plaisir intensif qui ravageait mon corps, cruel Incube au don si plaisant, ses caresses je m’en lasserait jamais.
Céder, là est l’une des plus belles choses qu’un homme puisse faire face à une femme qui s’occupe si bien de lui, ma langue continuant ses caresses alors que je sentais le membre palpiter, un regard victorieux dans mes yeux alors que je levais mon regard vers son visage qui démontrait tout le plaisir que ma simple bouche lui provoquait, ses râles devenant de plus en plus grande provoquant bien du plaisir en mon corps, ses caresses qu’il lui provoquait était si intensivement que j’en avais des frisons d’envies, vilain pulsion qui m’aurait forcer à lui sauter dessus pour savourer à nouveau son corps.
Vint le moment que j’attendais, ses palpitations devenant de plus en plus soutenu et sa bouche produisant une gamme de son si magnifique, je trembla de plaisir et je sentie alors le premier jet arriver dans ma bouche, un long frison me parcourut, j’avala le deuxième, puis tout changea, un frison de plaisir me parcourut, alors que j’aperçut tant de délicieuse chose, j’en trembla de toute cette dose de plaisir, ah que c’était fantastique! Toute cette gamme d’émotion, tous aussi palpitante les unes que les autres! Lentement ma vision revint, ma bouche libérée de son membre, ma langue partant caresser mes lèvres pour recueillir un léger coulis qu’il avait eu.
Pas mal. Satisfaisant. Bien... Ah, non. Sublime.
Nos regards se croisèrent, un sourire était présent sur mes lèvres, oh ce que j’étais prête à continuer cette partie, mais je savais en dedans de moi que l’incube allait partir, vile créature, mais nos retrouvailles se feront en enfer, dans mon palais, là où nous pourrons nous *Affronter* À pouvoir plus puissant, oh que j’avais déjà hâte! Nos yeux toujours fixer ensemble, il caressa ma poitrine d’une douceur parfaite, tant de plaisir ce dégageant de ce petit geste qui ne dura pas assez longtemps… Lentement il les enleva sa voix envoutante reprit des paroles :
Il est l'heure de nous quitter. Maintenant. Rendez-vous en enfers, comme on dit. Nous pourrons user de nos pleines capacités plutôt que d'être ainsi limités dans ces corps. Quant à la date, je n'en sais rien. Peut être une semaine, un an, un siècle, une éternité ? Je viendrais à ton palais sans m'annoncer pour que ta surprise soit totale, et nous consacrerons... Tout le temps nécessaire pour nous épuiser l'un l'autre. Mais avant que je parte, vient un peu par ici...
Les adieux… Je n’avais jamais aimer cela. Ses lèvres s’attaquèrent à mon cou et ses mains à nouveau à ma poitrine, je lâcha un doux soupire, mes doigts allant à la caresse de sa nuque et de sa chevelure, oh oui cette arôme de désire et de plaisir allait me manquer, j’avais déjà hâte de la sentir à nouveau. Mais ses caresses furent rapides et il se releva, allant s’habiller et moi je resta assise au sol, le regardant alors qu’il m’adresse un regard, son sourire attendrissant alors qu’il se retourna, un sourire étirant mes lèvres pour cacher ma tristesse des adieux et il put sentir sur son poignet, là où la marque était situer une douce chaleur…
Puis je me leva, remit mes vêtements, et je partie pour reprendre un portail qui menait au enfer, regardant une dernière fois le paysage et soupirant, j’avais du travail à faire d’ici notre prochaine rencontre Inkueh Stre'Ex Zabd'Evect Kom'rgahg Bihiel'Ehtan Sta'Ph lorsque tu viendras à mon palais, tu ne désireras plus y partir, noyez sous un plaisir encore plus effroyable qu’envoutant.