Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Complexe d'études secondaires et supérieures => Dortoirs et douches => Discussion démarrée par: Kohana le dimanche 04 janvier 2009, 17:15:45
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Cela faisait plusieurs mois maintenant que la jeune fille n'avait pas remis les pieds ici. Elle n'était plus élève au lycée, théoriquement. En tout cas, elle devait être effacée des fichiers depuis longtemps. Pourtant, elle avait conservée sa carte de lycéenne qui lui permis d'arriver jusqu'ici.
Ce n'est pas que l'endroit lui manquait. Au contraire, elle se serait bien passé d'y revenir. Mais son hygiène laissait à désirer. Son maître lui avait laissé des vacances. Cela lui faisait du bien, mais elle se retrouvait seule et sans nul endroit où aller ! Comment peut-on rester propre en traînant dans les rues ?
Heureusement, Kohana n'était pas une maniaque de propreté et elle avait réussi à faire sans jusqu'à maitenant. Mais, elle comptait bientôt retourner chez son maître et elle ne voulait pas ressembler à une souillon en arrivant chez lui.
Elle se cacha dans les toilettes en attendant qu'il n'y ait plus personne dans les parages. Puis, lorsqu'elle fut certaine d'être seule, elle entra dans les douches. Consciente que n'importe qui pouvait débarquer et lui demander des explications (elle n'avait pas le droit de se trouver là à une heure aussi tardive, surtout qu'elle ne faisait plus partie de l'établissement). Alors, consciencieuse, elle ferma la porte derrière elle et actionna le verrou afin de bloquer la porte.
Elle se retourna et examina les lieux. Cela faisait effectivement longtemps qu'elle n'était pas venue. Il lui semblait qu'ils avaient changé les robinets, que ceux-ci étaient plus brillant qu'auparavent.
Elle se déashabilla et déposa ses habits dans un coin, le plus loin possible des douches pour qu'ils ne prennent pas l'eau. Elle n'en avait pas d'autre et elle devrait remettre cet uniforme pour ressortir.
Elle s'approcha d'une douche et tourna le robinet. Un fil d'eau jaillit au-dessus de sa tête.
"Ah !"
L'eau était fraîche et dégoulinait dans ses cheveux avant de glisser le long de sa peau. Heureusement, la température augmenta rapidement et Kohana put se glisser sous le jet toute entière.
Elle savourait cette eau qui parcourait son corps et la chaleur du liquide la grisait.
*Je ne me suis pas retrouvée seule depuis si longtemps... j'ai bien le droit d'en profiter un peu*
Doucement, elle se mit à genoux sur le carelage. L'eau battait contre son dos lui prodiguant un massage agréable. Ses mains parcouraient son corps. Elle n'avait pas de gel douche mais ce n'était pas important. Ses caresses l'emportaient dans un autre monde. Un monde où son corps lui appartenait.
Elle pinça son téton et se mit à l'agiter avec le doigt. Etrangement, ce geste lui fit autant de bien que si un homme l'avait fait. Elle décida donc de pousser plus loin ses recherches. Sa main passa sur son ventre, traversa son nombril et arriva dans un endroit plus boisé. Au centre de la forêt, une petite clairière, et là, un puit.
Kohana n'attendit pas plus longtemps, son doigt parti à la recherche du seau qui s'était perdu dans les profondeurs...
Le temps passa et plus ses recherches progressaient plus le plaisir augmentait. La jeune fille s'allongea à même le sol afin d'aider son doigt à s'enfoncer, commençant à faire des mouvements du bassin. Alors qu'elle ne s'attendait pas à tout cela, son majeur lui permis d'atteindre un horizon qu'elle ne pensait devoir qu'à l'engin des hommes.
A bout de souffle, elle se retourna et s'assit. Elle mit sa tête entre ses genoux et calma sa respiration. Après quelques minutes, elle se releva et termina sa douche.
Lorsqu'elle eut fini, elle se rendit compte qu'elle n'avait pas de serviette. Elle décida donc d'attendre que l'eau sèche. Avant de se rassoir, elle tâta sa fesse où Don avait laissé une empreinte au fer rouge. La peau n'était plus à vif à présent, cela ne lui faisait plus mal quand elle se déplaçait ; mais ce moment resterait à jamais gravé dans sa mémoire.
Elle s'assit et remit sa tête entre ses genoux. Le temps passait et ses paupières devenaient lourdes. Elle finit par s'endormir.
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Le bruit d'une douche qui marchait, résonna dans la pièce. Akira passant par les couloirs, en revenant de son cours du soir, remarqua une présence dans les douches alors que c'était complètement prohibé. Constatant que la serrure était verrouillée, et qu'une demoiselle criait, il constata qu'elle avait besoin d'aide. Courant aussi vite qu'il le pouvait, il remarqua que la deuxième ne l'était donc, pas. Akira fonça à travers le gymnase pour passer, où les sportifs le feraient.
Le lycéen remarqua des vêtements d'une lycéenne, mais ceux-ci étaient plus d'actualité depuis beaucoup de temps. Il n'en avait jamais vu, donc la jeune fille était scolarisée ici il y'a longtemps. Des fils d'eaux jaillissaient de la poire de douche argentée, avant de frotter la jeune femme qui n'avait pas remarquée sa présence. La buée que fit la chaleur environnante, se déposa sur ses lunettes, comme si la nature ne voulait pas qu'il regarde son corps.
La jeune fille était endormie, toute nue sur le banc des douches. Akira caressa avec un de ses doigts la joue de la jeune fille puis lui chuchota à l'oreille de se réveiller car elle prendrait froid, vu que la chaleur se dissipait peu à peu. L'étudiant continua ses caresses attendant qu'elle se réveille assez rapidement. Sa tète était mignonne, ainsi que des jolies hanches, et ses cheveux encore humides étaient collés à sa peau. Ses yeux se fermèrent, puis il posa sa veste sur le corps de la jeune femme, alors qu'il commençait à attendre des jubilements, qui lui donnait beaucoup de charme. Sa fesse droite était tatouée, par un étrange signe qu'il avait jamais vu. Akira comprit donc, que cette jeune femme était une esclave en fuite...
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Kohana s'était assoupie. Cela faisait bien longtemps qu'elle n'avait pas dormi. Elle s'était habituée à être une femme de la nuit, mais son corps avait tout de même besoin de repos. Elle commençait à rêver à présent. Son rêve était doux, chaleureux et il y avait... Aya... La succube lui manquait. Son expérience, sa tendresse, sa féminité... tout ses gestes qu'elle n'avait pu retrouvé en personne d'autre. D'abord Hazel, puis Aya... existait-il d'autres personnes comparables à ces deux anges de douceur ?
La jeune fille pencha la tête. Aya lui caressait la joue comme une mère caresserait son enfant. Son rêve était si imprégné dans son esprit qu'elle avait l'impression de le vivre ! Mais petit à petit l'image de sa protectrice devint floue et commença à s'effacer, pourtant, les caresses ne cessaient pas !
Kohana ouvrit les yeux et eut un mouvement de recul. Un jeune homme se trouvait à ses côtés.
*Comment a-t-il pu entrer ? Aurait-il des pouvoirs magiques ?*
Kohana ne connaissait pas l'existence de la seconde porte des douches qui avaient été rénovées. Cette porte, pour elle, avait toujours été condamnée à cause du chewing-gum qui était collé dans la serrure. Avec les travaux effectué, la porte fonctionnait à nouveau, mais l'adolescente ne pouvait s'en douter.
Dans sa surprise, elle ne prit pas le temps de dire quoi que ce soit, d'esquisser d'autres gestes que ceux du recul. Elle ne tendit pas la main vers ses habits et qu'elle fut son étonnement lorsqu'elle se rendit compte qu'une veste était déposée sur elle.
Le garçon la regardait ou plutôt la fixait aurait-on dit. Elle vit son regard se diriger vers ses fesses et apercevoir la marque de Don. Alors Kohana se releva et se tint bien droite regardant le lycéen qui était resté accroupit. Elle ne le toisait pas, mais son regard restait froid et n'invitait pas aux rapprochements. Elle enleva la veste et lla ui tendit.
"Reprend-la, je n'en ai pas besoin. Et elle va se mouiller si elle reste ici."
Après que la veste est changée de propriétaire, Kohana se retourna. Elle ne cherchait pas à cacher sa nudité et elle ne montrait pas d'intérêt pour celui qui voulait se montrer gentil avec elle. Elle lui tournait le dos ostensiblement montrant ainsi qu'elle n'avait pas peur qu'il s'en prenne à elle par surprise pendant qu'elle ne le surveillait pas.
Elle attrapa ses habits et les enfila naturellement les uns après les autres : la culotte, le soutien-gorge, la jupette puis le chemisier. Enfin, elle fit à nouveau face à l'individu.
"Pourquoi es-tu entré ? N'est-ce pas réservé aux filles en soirée ?"
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Selon les paroles qu'elles prononçaient, elle semblait faire des beaux rêves, vu qu'elle ne remuait pas non plus. Des anges de douceur, il en faisait parti malgré sa passion pour les grosses poitrines. Son rêve avait pris contact avec la réalité, vu que Akira la caressait déjà depuis un bout de temps. Kohana leva ses lourdes paupières, toujours endormies, puis recula à la vue de l'homme.
Un regard froid se posa sur Akira, qui le mit mal à l'aise, surtout dans une situation comme celle là, surtout que ça commençait à dégénérer quand il regarda le tatouage de sa fesse. Le jeune lycéen ne cherchait pas à rechigner, il reprit sa veste, et remarqua une preuve de gentillesse dissimulée sous sa méchanceté, qui n'était qu'une façade. Se retournant, la jeune femme n'avait vraiment aucune pudeur, ce qui fit rougir le garçon à lunettes, intimidé par Kohana. Elle ne surveillait pas ses gestes, m!ais de toute façon, Akira n'était pas du genre à sauter sur la jeune femme, et se la prendre tout de suite. C'était que si la personne était consentante, ou donnait des approches plutôt directe.
Ses habits se placèrent aux endroits où ils devaient être, puis elle retourna son corps pour de nouveau faire face au jeune homme intimidé. Cette question s'était avérée très délicate, car elle pensait surement qu'il était là pour la mater, ou la violer.
« Ne vous étonnez pas de ma présence, j'ai entendu vos cris dans le couloir, et quand je vous ai vus par terre, j'ai cru que vous vous étiez évanouis. Je suis passé par la porte des gymnases, vu que celle des couloirs étaient fermés à clef. Merci beaucoup pour ma veste!»
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Le garçon en face d'elle semblait à la fois à l'aise et gêné. Ce n'est pas que cela la perturbait, mais elle ne comprenait pas pourquoi une telle réaction. Elle leva un sourcil puis haussa les épaules. Etait-ce si important ?
Lorsqu'il lui apprit comment il était venu, elle soupira. Décidément, elle n'était vraiment pas quelqu'un de très prudente. Sa naïveté la rattrapait toujours.
*Il me remercie pour la veste ? Pourquoi ?*
Encore une fois, Kohana fit une mine suspecte. Ce jeune homme n'avait pas toute sa tête ou alors il se trouvait dans une situation dont il n'avait pas l'habitude. Quoiqu'il en fut, elle avait d'autres chats à fouetter. Maintenant qu'elle était propre, elle pouvait retourner fièrement vers son maître.
Elle enfila ses ballerines sans même avoir besoin de se baisser. Ses pieds glissèrent dans l'ouverture et s'y installèrent confortablement. Puis elle s'avança en direction de la porte verrouillée. Elle actionna l'engin dans l'autre sens et ouvrit le battant. Avant de franchir le seuil, elle prit soin de lancer un clin d'oeil au pauvre garçon qui ne voulait que l'aider.
"Entre détresse et jouissance, il faut savoir faire la différence ! Ton ouïe n'est sans doute pas habituée aux plaisirs"
Avec un sourire en coin, elle franchit le seuil et tourna dans le couloir. Elle fit quelques pas et s'arrêta. Elle se colla au mur et attendit de voir combien de temps il lui faudrait pour se décider à sortir à son tour.
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Une telle réaction, était certainement produite par un renfermement sur soi intense. Kohana, soupire face au explications un peu prise sur le tas de Akira, qui ne s'empêchait pas de frotter sa tête. Il se trouvait carrément dans une situation très habituelle, où une mine suspecte se dessina sur le visage de la jeune femme nue. L'ancienne lycéenne se rechaussa, vu qu'elle avait fini sa douche par une petite sieste. Elle expliqua carrément qu'elle jouissait de plaisir et non de détresse, qui le rendit encore plus mal à l'aise vu l'explication un peu trop cru à son goût.
"Argh, désolé mademoiselle!"
Un clin d'œil lui fut envoyée en guise remerciement, ce qui le fit virer au rouge écarlate. Kohana sortit ensuite, avec un sourire aux lèvres en pensant à ce qui allait se préparer. Tout seul, au milieu des plaques blanches des douches, il reprit sa sacoche puis sortit de la salle, avant de rencontrer à nouveau la jeune femme, qui semblait contente de le voir.
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L'adolescente se tenait dans le couloir. sa tête était appuyée contre le mur ainsi que sa jambe droite qui était repliée en équerre. Elle regardait le plafond, un sourire aux lèvres, comme si une blague était inscrite entre les dalles de placo.
On aurait pu croire qu'elle cherchait à déceller les moindres détails du plafond. On aurait pu croire qu'elle avait remarqué la fissure qui s'éloignait de la fenêtre pour venir zébrer la peinture blanche. On aurait pu croire qu'elle comptait les tâches noires faites par la saleté accumulée par les années. On aurait pu croire qu'elle laissait divaguer son esprit et avait des pensées perverses. On aurait pu croire, en voyant son sourire, qu'elle était en train de préparer un plan d'attaque pour surprendre le garçon qui était encore dans les douches.
Mais il n'en était rien.
Kohana attendait simplement. Elle ne pensait à rien. Elle n'imaginait rien. Sa tête n'était pas vide, des fragments de pensées se frayaient un chemin, mais elles n'avaient rien d'intéressant, rien qui concerne l'instant présent.
Sa posture permet à sa poitrine de respirer librement et de prendre tout l'espace dont elle avait besoin. Son dos était cambré et sa jupette remontait le long de sa jambe relevée en équerre.
Lorsque le garçon sortit des douches, il avait récupéré une sacoche, qui devait être la sienne. Il s'était stoppé net en voyant Kohana, mais celle-ci ne s'était pas tout de suite rendue compte de sa présence.
Au bout de quelques secondes, qui ne firent même pas une minute, elle détourna la tête. Elle ne la retira pas du mur, elle garda exactement la même position. Si ce n'est son sourire qui diminua quelque peu sans s'effacer complètement pou autant.
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L'adolescente semblait complètement perdue dans ses pensées, alors que sa jupe laissa un aperçu de sa culotte brodée. Un sourire innocent était dessiné sur son visage enfantin, vu qu'elle pensait à pratiquement rien, sauf à des fragments de souvenirs qui cherchaient à se recoller. La poitrine suivit les mouvements respiratoires de son corps, qui semblait assez perdu. Akira ne bougea pas d'un chouïa.
Son visage fut teinté par sa timidité, car il ne savait pas quoi faire dans cette situation. Elle ne le remarquait pas, jusqu'à qu'elle bouge son crane pour l'avoir enfin dans son champ de vision. Le lycéen à lunettes, les remonta, avant de s'engager sur la route de sa maison, qui l'attendait. Le sourire de la jeune femme, disparut presque, jusqu'à ce qu'il s'effaça presque complètement.
" Que faites vous là, rentrez mademoiselle, sinon vous aurez des problèmes!"
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"Des problèmes ?"
Ce garçon allait finir par devenir drôle. Alors qu'elle n'avait pas envie de jouer tout à l'heure lorsqu'elle venait de se réveiller, maintenant, elle avait envie de s'amuser. Les humains étaient si manipulables, elle le savait elle en était un, pourquoi ne pas en profiter ?
"Quels genres de problèmes ? Seriez-vous un psycopathe ?"
A ces mots, la jeune fille éclata de rire. Un rire presque sadique, mais pourtant totalement innocent et incontrôlable.
Lorsqu'elle réussit à se calmer, elle respira lentement. Amplissant ses poumons avec soin et au maximum, ce qui faisait se soulever sa poitrine considérablement. Elle regarda à nouveau le garçon qui s'éloignait et elle l'interpella à nouveau.
"A moins que ça ne soit en fait vous qui ayez peur que je vous attire des ennuis ? Auriez-vous peur d'une jeune demoiselle ?"
Sur ce, elle lui emboita le pas. Glissant son bras sous celui du garçon, comme un père guidant sa fille à l'autel.
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" Ben, des problèmes avec l'administration vu que vous êtes pas une lycéenne de cet établissement."
Un sentiment d'amusement se glissa sur son visage innocent, lui donnant un air assez pervers. La jeune fille prononça une phrase amusante à l'humour d'Akira, quand il la vit se plier de rire. Le calme chez la jeune fille revint assez vite, alors que sa poitrine se soulevait de plus en plus, bougeant au rythme de la respiration.
Son regard mignon se posa sur son corps, alors que Akira entendit le bruit des chaussures qui frappaient le sol, avec la semelle. Kohana le suivit, en empoignant son bras avec le sien, comme des jeunes mariés, ce qui rendit Akira plus gêner que n'importe qui.
L'adolescent plongea son regard dans le sien, continuant leur marche, avant de prendre sa joue avec l'une de ses mains, et de embrasser pleinement la jeune fille toute mignonne, qui l'attirait beaucoup.
" Je n'ai pas peur de vous, au contraire, vous m'attirez beaucoup..."
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Le garçon semblait la dévorer des yeux. La jeune fille savait qu'elle gagnait du terrain. Tout n'était plus qu'une affaire de temps. Elle continuait à le regarder comme si de rien était.
Soudain, il s'approcha d'elle et lui vola un baiser.
Elle se laissa faire. Lui donnant l'occasion de l'embrasser pleinement. Cet acte avait apparemment un but précis : montrer à l'adolescente que le jeune homme n'avait pas peur d'elle.
Elle sourit timidement, comme pour lui montrer que sa bravoure finissait par avoir raison d'elle. En vérité, il n'en était rien. Cet homme était tendre et doux comme un agneau. Son action, bien que soudaine, n'avait rien d'une action violente. Kohana aimait la douceur, mais elle trouvait cela ridicule chez un homme. Les hommes sont tous les maîtres des femmes. Un homme qui se montre inférieur n'en est pas un, ou ne mérite pas d'en être.
Elle voulut donc continuer son petit jeu.
"Oh ! Le vilain !"
Elle lui donna une légère tape sur la joue, attrapa les lunettes d'Akira et s'enfuit avec, en courant.
Elle sortit du bâtiment et arriva dans la cour. Elle repéra un banc non loin de l'entrée, qu'on ne pouvait pas distinguer tout de suite en sortant du bâtiment. Elle pourrait ainsi avoir une longueur d'avance sur son jouet.
Elle s'assit, ou plutôt elle se coucha et releva les jambes en les écartant. Sa jupette laissait apparaître sa culotte.
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Kohana se laissait faire, elle le laissa continuer, car elle semblait apprécier les garçons assez doux mais pas trop non plus. Akira se reprocha un peu, d'avoir pris les devants avec un baiser volé, mais seul dieu savait comment elle lui plaisait. Une claque fut rendu en guise de réponse, ainsi qu'un vol de lunettes pour s'enfuir le plus rapidement. L'étudiant littéraire fut assez étonné de sa réaction, la claque pour le baiser certes, mais le vol de lunettes semblait un peu trop sévère comme sanction.
" Je dois récupérer mes lunettes le plus vite possible!"
Les jambes agissaient comme un mécanisme chargé de le faire avancer, elles heurtaient le sol assez violemment avant de rencontrer les escaliers qui montraient la sortie du lycée. S'arrêtant net, il regarda dans les alentours où elle avait pu bien passer. Il marcha pendant quelques pas dans la cour, quand le reflet de la lune se posa sur les verres, et rejeta cette lumière lunaire, dans un reflet. Akira regarda le reflet et courut pour voir des jambes écartées, qui invitait n'importe qui à la prendre sur le banc.
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La jeune fille regarda le garçon courir vers elle. Cette vision la séduit quelque peu. Il était si mignon de le voir courir à perdre haleine pour récupérer ses lunettes.
Elle s'amusait à les faire tourner, les tenant par une branche et leur donnant une impulsion par un mouvement du poignet.
"C'est ça que tu cherches ?"
Elle était à nouveau repassée au tutoiement, risquant de perdre le garçon dans divers niveaux de langage. Cela ne la dérangeait pas et continuait même plutôt son petit jeu. Elle s'amusait beaucoup de la perplexité de son interlocuteur. Ce lycéen ne semblait pas très prompt à s'amuser. Il fallait bien qu'elle le déride quelque peu.
Kohana gardait toujours les lunettes en main, mais elle stoppa le mouvement de rotation. Puis elle approcha la branche qu'elle ne tenait pas de son jardin secret. Elle l'effleura à travers sa culotte, retraçant la ligne séparant ses lèvres et s'arrêtant sur la petite colline au-dessus qui lui servait de perle de plaisir. Elle la titilla du bout de la branche et sourit. Un lueur perverse s'était installée dans son regard.
"A moins que cela soit cela que tu es venu chercher ?"
Contente de sa petite démonstration, elle attrapa les lunettes à deux mains et les posa sur son nez. Sa vue se troubla et elle voyait à présent un lycéen déformé aux traits grossiers.
"Ah ! Ce que tu peux être moche comme ça !"
D'un geste agacé de la main, elle le pria de récupérer son bien avant qu'un mal de crâne s'empare d'elle.
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Les lunettes tournaient grâce à la force centrifuge de la rotation de ses lunettes, sur son doigt. C'était effectivement ce qu'il était venu chercher. Le tutoiement était de la partie, alors qu'ils ne se connaissaient que depuis peu de temps, mais cela ne semblait pas gêner Kohana. La lycéenne au visage innocent semblait s'amuser de la timidité du étudiant. L'amusement, il ne connait pas ça depuis un paquet de temps, vu qu'il était toujours vautré dans son siège à étudier la philosophie des grands écrivains du siècle.
Les lunettes arrêtèrent leur tournoiement rotatif, pour se rapprocher de la culotte, alors un gloussement provenant de la gorge du timide, se fit entendre dans la cour. Les parties métalliques frottèrent volontairement le sexe à travers le morceau de soie. La colline de plaisir, se faisait titiller par ses lunettes, alors qu'il pensait qu'une seule chose, les récupérer pour les porter même la nuit, vu où la paire avait été placée. Une lueur perverse installée dans ses yeux, comme si Kohana l'invitait à venir la prendre sur le banc tout de suite.
" Je suis venu récupérer mes lunettes en effet, mais vous semblez m'inviter à jouer à un jeu..."
Kohana mit les lunettes sur son nez mutin, puis regarda le lycéen qui était déformé, vu que les verres n'étaient pas adoptés à sa vue. Akira voulait récupérer ses binocles, mais il devrait avant parcourir le corps de la jeune femme. Akira s'approcha d'elle, puis commença à lui caresser les jambes avec ses mains teintées de douceur.
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La douceur avec laquelle Akira lui caressa les jambes la chatouilla. Elle se mit à rire et à gigoter. Elle donnait des coups de pieds dans le vide et essayait de ne pas atteindre le garçon mais... ce qui devait arriver arriva. L'un de ses pieds vint se loger sur le tibia du lycéen.
"Oups^^désolé"
Avec les lunettes sur le nez, Kohana ne voyait pas grand chose. Eviter de donner des coups de pieds n'étaient pas aisé. Alors elle décida de se calmer. Elle prit quelques profondes inspirations et cessa de rire.
Le garçon ne semblait pas pressé de récupérer ses lunettes... Devrait-elle le supplier de l'en débarrasser ?
C'est ce qu'elle aurait fait avec Don ou avec Belial, mais avec cet humain ? Non, non non !
Alors qu'il s'approchait de plus en plus de son endroit secret. Elle serra les jambes de toutes ses forces, emprisonnant les mains du garçon.
"Non, non, non ! Tu viens récupérer tes lunettes as-tu dit n'est-ce pas ? Elles ne sont pas par là ! Si tu n'es même pas assez grand pour trouver le chemin et que tu confonds mon cul avec ma tête, on va pas aller bien loin !"
A ce moment, elle éclata de rire. Sa tête trressautait et les lunettes tremblaient, menaçant de tomber. Mais les mains du jeune homme étaient prisonnières et Kohana était trop occupée à rire pour se rendre compte du drame qui allait se produire !
Heureusement, dans son hilarité, elle écarta les jambes, juste au moment où les lunettes glissaient de son nez pour entamer leur chute vers le sol.
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Des coups de pieds furent donnés en guises de remerciement, alors que ses mains continuaient leur chemin vers les lèvres. Son tibia, lui faisait assez mal, mais ce n'était qu'une mauvaise période à passer. Les éclats de rires cessèrent, ils furent remplacés par le bruit de la respiration. Les lunettes, c'était la dernière chose qui occupait son esprit, vu qu'il allait faire des jeux assez coquins avec Kohana. Ses mains furent immobilisées, pour empêcher sa progression, ne voulait elle pas le faire en fin de compte, Akira ne savait plus quoi penser.
"Non, non, non ! Tu viens récupérer tes lunettes as-tu dit n'est-ce pas ? Elles ne sont pas par là ! Si tu n'es même pas assez grand pour trouver le chemin et que tu confonds mon cul avec ma tête, on va pas aller bien loin !"
" Désolé, je pensai que vous vouliez vous lancez dans des aventures sexuelles, j'en suis confus."
Les éclats de rires revinrent à nouveau, certainement pour se moquer de sa réponse, ou de la vulgarité qu'elle avait prononcée. Les lunettes volèrent vu les secousses que produisaient son corps avide de sexe, pour se fracasser contre le bord du banc, et se faire éjecter, avec les verres brisées. L'étudiant avait encore une paire à la maison, mais comment allait-il y retourner avec sa myopie? Les mains baladeuses arrivèrent à destination, pour que les doigts rentrent dans le vagin tout chaud.
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*Des aventures sexuelles, voilà donc ce à quoi il pense depuis le début*
La chute des lunettes et leur éclat sur le sol fit sursauter la jeune fille. Au même instant, elle sentit deux appendices d'un corps étranger s'introduire en elle.
Le rouge lui monta aux joues. Elle n'était pas gênée d'avoir cassé les lunettes. Elle ne pensait pas que cela était de sa faute. Elle rougit à cause des doigts, de ces deux doigts qui avaient maintenant pris place à l'intérieur d'elle-même. Comment s'était-ils retrouvés là ? Elle contrôlait tout depuis le début, et voilà que maintenant elle avait perdu.
Le lycéen avait repris les choses en main, à la fois métaphoriquement et physiquement. Déçue d'elle même, Kohana plongea un regard froid et dur dans celui qui avait pénétré son intimité. Un sourire masochiste se dessina sur ses fines lèvres.
D'une main elle empoigna le dossier du banc et de l'autre, elle aggrippa le poignet du jeune homme. En s'aidant de ses bras, elle souleva légèrement son bassin afin d'avoir un meilleur angle de pénétration. Puis, avant même que le garçon ait commencé à faire des mouvements, elle se mit à les faire elle même.
La main qui tenait le banc, l'aidait à faire des aller-retours, tandis que celle qui tenait le poignet du lycéen enfonçait les deux doigts de plus en plus profondément en elle. Si loin que le garçon pouvait toucher paroie de son vagin, tout au fond.
Kohana se faisait mal. Cette pénétration s'était faite alors qu'elle n'était pas très humide. Les frottements lui déchiraient l'intérieur, mais elle aimait ça. Elle s'infligeait cette punition pour avoir perdu la partie. Ses yeux s'embuèrent de larmes, mais aucune ne coula. La jeune fille n'avait plus d'amour-propre depuis longtemps, mais il était important pour elle de servir ses maîtres.
Depuis le début, elle avait jouer avec ce jeune homme comme s'il n'était pas de sexe masculin. Elle s'était mal comportée envers lui, elle ne l'avait pas traité comme une femme doit traité un homme. Elle était donc punissable. Et elle allait devoir se racheter.
La violence de ses gestes commençaient à lui donner chaud. Son jardin se trouvait inonder du liquide du plaisir. A présent, elle était prête. Ses joues restaient rouges. Son regard ne fixait plus l'homme. Elle avait les yeux baissés. Ses mouvements ralentirent et ses jambes s'écartèrent plus encore. Elle s'arrêta.
"Je suis à vous maître. Que voulez-vous de moi ?"
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La jeune fille sursauta car elle ne pensait pas qu'Akira prendrait une telle initiative, qu'il s'étonna lui même de ses actes. Kohana rougissait, vu qu'elle s'attendait à que ce soit elle qui prenne en main le rapport, elle s'était prise de dépourvue. Un regard transperça le maitre de la situation, teinté par une noirceur phénoménale. Son sourire habituel innocent se transforma rapidement en un sourire, d'une personne qui aimait les martyrs, ainsi que la douleur sous toutes les coutures.
Sa main l'aida à faire les vas et vients, qui lui permettrait de l'exciter, ainsi que de lui donner toute la souffrance qu'elle voulait. La main plongée dans son sexe, fut agrippée par celle de Kohana, qui se servit de l'appui, pour avoir une meilleure vue, et elle commença les gestes. Les extrémités des doigts touchaient le fond du vagin, puis fut trempée par la cyprine qui coulait à flot. Les frottements furent très violents, et brulaient les deux peaux qui se rencontraient trop précipitamment.
La punition, c'était ce que ne voulez pas Akira, vu son éducation bercée dans la tendresse et dans la compati. Les larmes remplies de sel apparurent, ce qui attrista la vision du jeune homme, qui avec son autre main, les enleva. Le lycéen attentif caressa la joue de Kohana puis l'embrassa à nouveau, avec plein d'intensité. Ses yeux étaient baissés, montrant que son choix importait peu, mais cela ne fit que remplir de tendresse les gestes d'Akira. Les vas et vients s'arrêtèrent, puis elle posa une question qui lui posa problème , même si la réponse était sincère.
" Tu n'es pas à moi! Tu ne m'appartiens pas! Je ressens juste des sentiments pour toi!"
Akira s'allongea sur l'adolescente sans volonté, puis lui fit des baisers dans le cou, avant de l'embrasser sur la bouche, et lui lécher les lèvres.
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Le garçon lui cria dessus. Mais celà ne l'effraya pas, ni ne la blessa. Elle comprit qu'une fois de plus, elle ne faisait pas ce qu'il fallait. Le lycéen demandait des sentiments.
Kohana ne savait éprouver des sentiments, si ce n'est pour les femmes. Cependant, elle comprenait ce qu'impliquait avoir des sentiments.
La jeune fille se laissa embrasser dans le cou puis elle sentit les lèvres se déposer sur les siennes. Elle répondit à la douce pression donné par une pression tout aussi tendre. Sa main quitta le banc pour venir se loger entre les côtes de son partenaire, lui caressant les hanches avec légèreté.
Alors qu'il lui lécha les lèvres, elle posa son autre main sur une de ses fesses pour la lui masser avec lenteur. Aucun de ces gestes n'étaient brusques ou violents. Elle recevait, elle donnait, et tout cela dans les règles de la douceur amoureuse.
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La jeune fille ne répondait pas à ses propos, ce qui l'étonna fortement, elle avait le regard vide, qui montrait que des sentiments, elle n'en avait pas les capacités, ni l'envie. Les mains baladeuses de la jeune fille, caressait les hanches d'Akira, ce qu'une partenaire n'avait jamais fait auparavant. Les lèvres féminines répondaient avec la même douceur, et la même légèreté. Ses fesses se faisaient caresser par une main pleine de douceur, pour une fois qu'une fille voulait toucher ses fesses. Elles les massaient avec une douceur inégalée, malgré son manque de sentiments, et ne pouvant pas les éprouver, elle semblait assez heureuse de sa position.
Arrêtant de lécher ses lèvres, l'étudiant baissa sa main pour la glisser sous l'uniforme de Kohana, afin de toucher cette poitrine, et de caresser ses pommes d'amour. Il l'embrassa de plus en plus bas, pour finalement atteindre le décolleté, alors que ses mains commençaient à peloter ses seins.
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L'étudiant commençait à prendre des initiatives, invité par les caresses de la jeune fille. Il glissa une de ses mains sous son uniforme et empoigna cette chaire rebondie qui lui faisait office de sein. Les baisers d'Akira descendirent le long de sa gorge et laissèrent Kohana basculer la tête en arrière, valorisant ainsi son atout principal : une poitrine chaleureuse.
La tête du garçon s'enfouie entre ses deux collines. Le nez était tout froid et fit poussé un petit cri à la jeune fille. Ses jambes s'écartèrent encore un peu plus, laissant toute la place nécessaire au corps du lycéen.
La main qui caressait les hanches descendit prudemment, sans heurts, avec une extrême délicatesse. Sa progression était si lente qu'elle était presque imperceptible. Pendant ce temps-là, Akira continuait de s'amuser avec le haut du corps de la jeune femme.
Celle-ci fit remonter son autre main, celle qui se trouvait sur la fesse, pour la placer sur la tête de son partenaire. Elle s'emmêla dans les cheveux du garçon afin de lui procurer un petit massage crânien. Ses phalanges se repliaient méthodiquement, prodiguant ainsi des caresses et grattant, de la peau du bout des doigts, la base des cheveux.
L'attention du jeune homme était ainsi détournée. C'est alors que la main pernicieuse toucha son but ultime : le mont Olympe de l'étudiant, encore prisonnier de vêtements.
Kohana ne chercha pas à l'en débarrasser. Au contraire, elle prit soin d'entourer la montagne avec la paume de sa main et de la frotter doucement, comme pour en enlever la neige du sommet.
Après quelques instants, la main retourna sur le dos du garçon et glissa sur ses fesses, entre son jean et son caleçon. Cette proximité lui permit de donner des caresses plus sensuelles et plus excitantes. Ainsi elle put empoigner pleinement le bout de chair et le forcer à approcher son bassin plus encore.
De son côté, la jeune fille souleva le sien. Les deux corps étaient maintenant comme collés l'un à l'autre. Alors Kohana commença frotter son intimité contre le jean du garçon. Sa jupette se soulevait de plus en plus et sa culotte s'emplissait de plaisir.
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C'était la première fois que Akira prenait des initiatives vu que généralement sa timidité l'en empêchait. La main entièrement posée sur son sein, malaxait les seins tel la pince dans les fêtes foraines qui servait à prendre des peluches. La tête de Kohana fut basculé vers l'arrière, lui offrant tout le bassin. La poitrine généreuse fut à son tour, embrassée par des milliers de baisers teintées par une douceur. Un petit cri fut poussé de la bouche de l'ex lycéenne, vu que son nez était d'une froideur inexpliquée. Les jambes féminines s'écartèrent pour qu'il soit mieux à l'aise.
Les mains descendaient le long de son corps, avec une légère délicatesse, jusqu'à descendre dans les parties sexuelles du jeune homme, qui se révéla très sensible, car à la moindre caresse, le sexe entra en érection. Ses cheveux d'un noir profond furent caressés par son autre main, ce qui lui fit un bien fou. Les corps collés à l'un à l'autre, ses attributs fessiers furent de nouveaux massés par les mains aventureuses de Kohana, alors que Akira reprit un baiser de plus belle avant de rerentrer ses doigts dans le corps de la jeune fille.
Le sexe mouillait de plus belle, la cyprine coulait sur ses longs et fins doigts. Le pénis frottait avec insistance le vagin, les doigts se retirèrent pour se reloger dans la bouche avide de sperme.Cette situation lui plaisait, il adorait faire l'amour avec des filles, mais seulement, il n'avait jamais le courage de demander à des partenaires, vu son physique assez minable, et son manque d'initiative qu'il avait comblé par Kohana. L'anxiété était visible, il ne tirait aucun plaisir, à caresser la jeune femme, cela était du aux manques de sentiments dans le plaisir charnel ?
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Les doigts du garçon semblaient prendre plaisir à venir se loger à l'endroit le plus chaud d'elle même. Ce n'était pas pour lui déplaire. Mais, elle avait l'impression que le lycéen n'était pas habitué à une telle situation : ces gestes étaient répétés, ils n'exploraient pas de nouveaux endroits...
La jeune fille rapprocha sa tête de l'oreille de son partenaire et lui glissa quelques mots.
"Détends-toi... laisse-toi aller... tout ira bien... Tu vois comme mon corps a envie de toi ?"
Kohana souffla de l'air chaud dans le creux de l'oreille de l'étudiant avant de lui lécher le lobe de l'oreille. Elle ne s'en saisit pas pour le mordiller, elle se doutait que cela aurait été trop précipité et violent pour le garçon, qui semblait quémander la douceur.
"Attends"
La jeune fille se redressa, obligeant le garçon à s'écarter. Elle se leva, rajusta sa jupette, comme à son habitude puis se tourna vers le lycéen.
"Recommençons depuis le début tu veux bien ?"
Elle voulait le rassurer. Elle était là pour faire plaisir aux hommes et cela avait toujours suffit qu'elle joue sa "chaudasse", mais aujourd'hui, pour contenter celui qu'elle avait en face d'elle, il fallait qu'elle change d'approche. Hazel lui revint en souvenir et leurs découvertes mutuelles si hasardeuses. Hazel lui avait enseigné de nombreuses choses sans s'en rendre compte. Kohana allait devoir initié à son tour le jeune garçon.
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Le lycéen n'était pas du tout habitué à ce genre d'approche, surtout que tout ses relations étaient situées dans la douceur. Généralement, c'était plutôt la femme qui prenait l'initiative dans ses histoires de cœur. Les gestes de l'étudiant se répétait au désespoir des deux partis, car la lassitude était au rendez vous. Son corps avait envie de lui, selon ses dires, qui lui disait de se détendre un maximum. Son oreille fut léchée par la langue toute chaude de Kohana, dans un geste sensuel et terriblement séduisant.
La jeune fille se redressa, puis se réajusta ses vêtements avant de se retourner vers lui. Elle semblait avoir une idée derrière la tète, qui comblerait cette lassitude entre les deux personnes.
" Je veux bien recommencer si vous voulez mademoiselle!"
Akira attendit devant le corps levé de la jeune femme, attendant qu'elle lui montre quoi faire, il regarda avec fixation les seins de la jeune femme, qui lui plaisait trop.
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Pour la première fois depuis des mois, Kohana se retrouvait devant un homme sans savoir quoi faire. Logiquement, elle devrait prendre soin de lui, y aller doucement, le mettre à l'aise, lui prodiguer des caresses attentionnées, l'étreindre doucement, l'emmener peut-être dans un coin plus à l'écart pour éviter les regards indiscrets, lui laisser tranquillement découvrir son corps, lui donner l'occasion de pouvoir libérer la puissance qui se trouvait en lui, le choyer, voire même l'aimer. Mais la pauvre esclave ne s'en sentait pas capable. Les sentiments s'étaient depuis longtemps envolés de son coeur, pour ne plus jamais atteindre l'esprit de la fillette. Bien évidemment, ils n'étaient pas si loin qu'elle le pensait, ils étaient juste enfouis au plus profond d'elle même et ils leur arrivaient même de refaire surface lorsqu'il s'agissait de Belial.
Mais Kohana ne soupçonnait rien de tout cela. Tout ce qu'elle savait c'est qu'elle était là debout devant ce lycéen, incapable de bouger, de penser et d'agir, métamorphosée en statue, en automate détraqué qu'on aurait oublié de programmer. Elle se sentait désarmée. Quand elle n'avait pas besoin d'être plus qu'une esclave, tout était plus simple. Elle n'avait pas besoin de décider. Les seules initiatives qu'elle prenait étaient entièrement sexuelles. Tout ce qu'elle faisait, c'était ce que Don lui avait enseigné !
Aya et Hazel avaient été de magnifiques partenaires. Avec elle, l'adolescente avait découvert des terrains inexplorés, des sentiments qu'elle avait refoulé depuis longtemps, des envies totalement différentes, des besoins qu'elle ne se connaissait pas ! Mais avec celui qui se trouvait face à elle, elle ne savait que faire.
Ses mains pianotaient contre ses cuisses. Son pied droite frappait le sol à intervalles proches et réguliers. Sa poitrine se soulevait et s'abaissait, épiée par le jeune homme. Cela ne dérangeait en aucun cas la jeune fille. Au contraire, cela la rassurait même de pouvoir percevoir ce côté pervers du jeune homme, qui, selon ses expériences, était commun à tous les hommes. Mais il n'y avait que ça, rien de plus, pour la rassurer. Tout le reste la terrorisait : sa maladresse, sa tendresse, son amour...
Il était vraiment temps de tout recommencer. De repartir dès le départ, et de se comporter en Japonais civilisés. Des jeunes gens qui ne s'approchaient pas avant plusieurs rendez-vous, des prénoms non prononcés, ainsi que des regards timides qui n'osaient se croiser. D'ailleurs, Kohana ne put s'empêcher de baisser les yeux. Sa bouche s'ouvrait et se refermait, mais aucun son n'en sortait. Puis finalement, après de nombreuses hésitations, elle put se lancer.
"Je m'appelle Onô. J'ai quitté ce lycée quelque temps avant le début de l'année scolaire. Je n'ai donc effectivement rien à faire ici, comme vous me l'aviez fait remarqué dès le départ. Je m'excuse de mon intrusion et vous prie de m'excuser. Peut-être aurons-nous l'occasion de nous rencontrer de nouveau à une occasion moins illégale. J'espère ne pas vous avoir donner une mauvaise impression de ma personne."
Comme pour souligner sa bonne volonté et son remord, elle tendit la main au garçon en signe d'amitié. Elle l'aiderait à se relever du banc par la même occasion. Evidemment, elle avait bien évoqué le fait qu'ils pourraient se revoir. Elle se doutait qu'elle serait ammenée à revenir sur Terre et elle pourrait sans doute le revoir. Peut-être que dans d'autres conditions, dans un autre contexte, dans un autre état d'esprit, en partant sur de bonnes bases, elle pourrait enfin le combler et lui faire découvrir le plaisir à deux. Car ce sont bien sûr les femmes qui sont aux ordres des hommes, mais sans elles ils ne pourraient pas atteindre la jouissance par excellence. Et Kohana gardait bien plus d'un tour dans son sac pour déployer ses charmes et ses mystères au moment venu.
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Le rapport se termina aussi soudainement qu'il avait commencé, la jeune fille sans sentiment ne se sentait pas capable de s'occuper de lui, et apprendre àa la prendre avec de la souffrance, que lui fit avec tendresse. Cela le désespérait, car elle pensait que son corps ne l'attirait pas. Kohana aimait un tout autre homme, plus bien bâti, dégageant plus de charisme, et de charme démentiel. L'amour pour Akira n'était pas tourné que vers le sexe, malgré ses précédentes relations tournées que sur ce plaisir charnel.
Les mains coudes de la jeune femme, tout son corps était stoppé, malgré quelques mouvements nerveux. Une relation, malgré le discours de la jeune élève, Akira savait qu'il n'allait plus la revoir, alors que des larmes coulaient sur son visage, qui refléta la lueur de la lune. Certes, le discours fut gentiment prononcé envers son égard, mais il cachait un message. Erikawa fixa le sol, sans penser pendant quelques instants, le regard vide ne put l'empêcher de voir la main de l'ancienne lycéenne, et n'adressa aucun regard à celle ci. Première déception amoureuse, un adieu devait se passer le silence pour éviter qu'un des partis souffrent.
Une mauvaise impression ? Non, l'élève ne pensait pas du tout comme ça. Sa pitié il en avait pas besoin non plus, donc il ne serra pas la main de la jeune femme avant qu'il prenne la parole à son tour, empli de tristesse lui donnant une voix triste-glacée.
" Je crois mademoiselle que j'ai compris votre déclaration, je n'ai pas besoin de vous pour me relever, même si je suis pas très épais. Adieu Kohana, malgré les sentiments que je ressentis pour vous."
Le lycéen voyait le mal partout, alors qu'il se releva tout seul, blessé dans son orgueil de chiffe molle du lycée, ainsi que une déception sentimentale. Les larmes coulaient sur son visage, alors qu'elles resplendirent de la lueur de l'astre lunaire. Akira courut sans hésiter une seconde, sans regarder une fois derrière son dos, pour faire des adieux silencieux à Kohana, alors que les flots des gouttes cristallines, continuaient leurs torrents.
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La réaction du garçon avait choqué Kohana. Pourquoi des larmes ? Pourquoi une tristesse s'était emparée de lui ?
Le temps était passé, la lune était ronde et pleine. L'adolescente n'avait même pas besoin de lever les yeux vers l'astre pour s'en rendre compte.
Voilà que le lycéen parlait de sentiments... une fois de plus. La jeune fille n'y comprenait plus rien. Depuis quand était-il question de sentiments entre les deux jeunes gens ? Pourquoi s'était-il compliqué la vie comme cela ?
Elle regarda s'éloigner, en se mettant à genoux sur le banc, les bras acoudés au dossier. Il courait et ne prenait même pas le temps de se retourner. Son corps rapetissait à mesure que ses pas s'accélèraient. Bientôt il ne fut plus qu'une forme noire dans la nuit.
La jeune fille se releva et partit dans sa direction. Elle ne pressa pas le pas, n'essayant pas de le rattrapper. Elle se doutait qu'elle le reverrait un jour ou l'autre, et suivre sa direction aiderait sans doute à accélérer les choses. Donc elle marchait tranquillement, sans un regard pour la ville plongée dans l'obscurité.
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Des larmes, au fur et à mesure, Akira s'était rapproché de cette personne autant bien sexuellement que amoureusement. La tristesse de pas avoir combler sa partenaire lors d'une partie de jambe en l'air.
La lune dégageait ses rayons lunaires sur les larmes angéliques du jeune homme, il ne voulait plus voir personne pendant beaucoup de temps, donc il s'arrêta puis s'assit à coté d'un bac à ordures, pour enlever sa peine. Il enleva ses larmes avec sa manche avant de relever la tète et vit les yeux sans sentiment de Kohana qui le fixait.
" Mais que me veux-tu ? Arrête de me suivre, je ne veux plus te voir!"
Akira prit une pierre qui trainait sur le sol, puis en jeta un sur son crane, pour avoir qu'une seule chose qu'il méritait, la mort.
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Kohana écarquilla les yeux. Elle ne comprenait rien à cet humain qui semblait s'être attaché à elle si rapidement, et qui maintenant, ne voulait même plus la revoir. Ses propos étaient incohérents. Comment pouvait-on changer d'avis si rapidement ? Pour ne pas savoir à ce point ce que l'on voulait, il fallait vraiment être très mal à l'intérieur de soi-même et ne pas s'apprécier tel qu'on était.
La jeune fille n'avait jamais vraiment eu de problèmes avec son corps. Lorsqu'elle était plus jeune, personne ne s'en préoccupait, même pas elle. Qu'elle ne fut pas la fille la plus maigre de la planète, ni la plus grande, ni la plus jolie ne l'importait pas beaucoup. Avoir de gros seins n'était pas toujours un avantage non plus. Et quand son corps commença à prendre de l'importance pour les autres, il fut toucher, dorloter, violer, baiser et caresser. Personne ne semblait la repousser. C'était d'ailleurs la première fois que quelqu'un se refusait à elle. Mais ne s'était-elle pas refusée la première ?
Les yeux de la jeune fille s'écarquillèrent encore lorsqu'elle vit la main du lycéen attraper une pierre et la lancer sur son propre crâne. Heureusement celle-ci n'était pas lourde, et dans son désespoir, Akira ne visait pas très juste. La pierre atterit sur un coin de crâne et ne fit couler qu'un mince filet de sang. Mais pour Kohana qui n'était pas habituée à la violence, autre que la violence sexuelle, se fut un coup de poignard qu'on lui plantait dans le coeur.
Elle tomba à genoux comme un être sans force. Ses muscles et ses nerfs ne répondaient plus. Comme une masse elle tomba et s'écorcha la peau. Ses mains tombèrent à plat sur le sol et des petits graviers lui entaillèrent les paumes. Sa tête se baissa et ses cheveux recouvrirent ce qu'on pouvait voir de son visage. Ses épaules s'affaissèrent et commencèrent à sautiller. La jeune fille pleurait.
"Pourquoi ? Pourquoi, pourquoi ?"
Les pleurs secouaient à présent tout son corps. Elle ne savait pas ce qui se passait dans la tête du garçon, elle ne comprenait pas sa réaction. Et elle ne comprenait pas la sienne propre. Pourquoi se mettait-elle dans des états pareils ? Elle n'éprouvait pas d'amour pour le jeune homme, bien évidemment, cela était trop tôt, trop rapide, trop inapproprié... mais elle avait tout de même de la tendresse pour lui, au fond d'elle même. Ce n'était pas quelque chose qu'elle était habituée à ressortir pour un mâle et cet afflu d'émotions la parturbait et ne faisait que redoubler ses pleurs.
"Je suis désolée... je ne voulais pas être méchante."
Elle dit ses mots sur un air innocent de petite fille, parce que c'était la jeune Kohana, celle qui n'avait pas encore été corrompue qui parlait. Mais aussi l'esclave qu'elle était devenue et qui ne supportait d'avoir pu mal faire son travail. Et cette faute ignoble la rendait faible et lui faisait retrouvée son inexpérience et sa naïveté d'autrefois.
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Akira regardait la scène avec un air perplexe, car les lames coulaient sur un si beau visage que le sien, tandis que lui avait réussi à un peu gratter la façade qui cachait une petite fille, innocente, et très fragile. Pourquoi avait il commis ce geste ? Peut être l'amour perdu qu'il éprouvait pour elle, car le principal défaut du lycéen, était de s'attacher à ses partenaires sexuelles, du même acabit que la petite fille. Si seulement il l'avait connu dans sa jeunesse, elle aurait pas eu à supporter toutes ses mains qui se baladaient sur son corps, car il lui aurait appris à vivre dans une ambiance calme, tendre, et pleine d'autre qualité, qui donne une stabilité à l'enfant.
S'approchant du corps sanglotant de Kohana, il ne put s'empêcher de la prendre dans ses bras pour la réconforter un maximum. Ses mains se glissèrent entre ses cheveux, tandis qu'il la caressa avant de lui adresser un baiser sur son crane, pour dissiper sa tristesse. L'esclave sexuelle éprouvait un sentiment, la tristesse.
" Parce que je ressens seulement des sentiments pour toi! Je le sais bien, juste que je ne peux supporter de vivre à l'écart de ton si joli visage"
Akira lui fit un nouveau baiser, avant de lui donner un morceau de sa chemise, pour qu'ils puissent couvrir leurs plaies, et éviter que celle ci s'infecte. Le Myope lui fit une caresse aux mains pour la réchauffer, tandis que lui continuait à se rapprocher d'elle, en lui accordant un nouveau câlin, plein de chaleur.
" Tout va bien ne pleure plus!"
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Le réconfort. Voilà ce que lui donnait à présent Akira. Un réconfort dont elle avait tant de fois eu besoin depuis qu'elle était partie de chez elle. Et depuis qu'elle avait quitté Hazel. Et depuis qu'elle n'avait pas revu Aya. Ce réconfort qu'elle retrouvait parfois dans la manière dont Belial s'avait la prendre. Un réconfort simple et doux qui ne demandait rien de plus que de donner.
Elle appuya sa tête sur cette épaule qui lui était si gentillement offerte et se laissa réchauffer les mains par celle d'un étudiant au grand coeur. Elle ne pleurait déjà presque plus. Seuls quelques larmes passaient encore la barrière de ses paupières pour aller se réfugier au creux de son cou, mais le plus gros des sanglots étati terminé. Elle accepta le câlin avec sincérité et ne se priva pas de le faire remarquer en entourant le jeune homme de ses bras. Elle se laissait bercer par les sentiments de ce lycéen.
Elle ferma les yeux et ne chercha plus à penser. Petit à petit, ses pensées devinrent brumeuses. Sa fatigue reprenait le dessus, elle n'avait pu que très peu dormir dans les douches puisqu'Akira était apparut. Et puis tous les évènements l'avait épuisé, éprouver tant d'émotions n'était pas dans ses cordes, elle ne pouvait plus se relever. Les seules forces qui lui restaient lui servaient à entourer le corps frêle du garçon de ses bras. Bientôt sa respiration ralentit, ses paupières devinrent lourdes, sa tête s'apesantit, son embrassade perdit de son intensité... le sommeil la gagna. Elle s'endormit ainsi, simplement, comme un bébé s'endort sur le corps chaud de sa mère, rassuré, confiant, comblé et réconforté après avoir fait un horrible cauchemar.
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Akira poursuivit son câlin à la petite fille, qui semblait apaiser sa tristesse, dans son étreinte. Avec ses doigts d'une douceur inexplicable, son doigt effaça les dernières lames de la fille dont il était amoureux. Kohana appréciait, puisqu'elle rejoignit ses mains derrière le dos du lycéen, pour prolonger ce plaisir éphémère. Une lourde pression se fit sur l'épaule du jeune homme, qui ne savait pas quoi faire dans cette situation, l'attente était la meilleure solution.
" Ne t'inquiète pas Kohana! C'est fini tout ça, tu as du bien souffrir ma pauvre."
Fixant son visage endormi pendant quelques secondes avec son regard plein de lien charnel, il lui déposa un baiser sur sa joue, avant de lui remettre une mèche de cheveux derrière son oreille, pour lui dégager sa vue, quand elle se réveillera. Erikawa eut alors une bonne idée, celle de l'inviter chez lui pendant quelques temps, donc il commença à la garder contre lui, puis glissa une main sous ses jambes, pour la porter comme une princesse qui allait rejoindre son lit, pour se plonger dans un sommeil éternel.
" Pauvre petite!"
Les premiers rayons du crépuscule se fit apercevoir, donc il décida de un peu presser le pas pour finalement arriver chez lui, et qu'il dépose Kohana, sur son lit pas très confortable, mais assez douillet.
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[je vais considérer que tu parlais des rayons de l'aube car nous étions déjà en pleine nuit il me semble^^]
Une caresse chaude sillonna sur sa joue et s'imprégna sur sa chair, y déposant une douce marque rosée. Ce baiser furtif d'Helios éveilla la jeune fille dans une douceur infinie. Ses poumons se remplirent d'air et gonflèrent sa poitrine qui souleva le drap qui l'enveloppait. Sa main se porta à son visage, juste à l'endroit où la source de lumière avait jaillit et s'était déversée en elle comme un torrent de chaleur. Elle sourit légèrement avant d'ouvrir tout à fait les yeux.
Sa tête était posée sur une surface moelleuse, ainsi que tout le reste de son corps. Tandis que ses paupières s'entrouvraient, elle essaya de se remémorer les conditions dans lesquelles elle s'était assoupie, qui ne lui semblait pas du tout correspondre avec sa position actuelle. N'était-elle pas à genoux lorsqu'elle s'était endormie ? Cette surface douce sur laquelle elle reposait n'était-elle pas vivante ? N'était-elle pas à l'extérieur ?
A présent, elle se trouvait dans un modeste studio d'étudiant qui lui rappelait fortement celui qu'elle avait possédé quelques mois plus tôt. Elle était allongée sur un lit dont l'odeur qui s'en dégageait prouvait que les draps avaient bientôt besoin d'être lavés et sentaient une fragance masculine. Elle se frotta les paupières du dos de la main et observa plus attentivement les lieux. Tout ceci n'était-il qu'un rêve ? S'était-elle endormie pendant tout ce temps ?
Elle porta la main à son ventre et sourit. Ses bourrelets se tendaient au fil des jours, ses formes semblaient s'étendre à l'intérieur d'elle même et amplissaient son coeur de joie.
"Belial"
laissa-t-elle échapper avec un soupir de tendresse. Son maître existait, il était réel et tout ce qu'elle avait vécut avec lui était bien loin de s'effacer de sa mémoire. Alors où se trouvait-elle ?
Petit à petit, elle rassemblait les informations et farfouillait dans son esprit. Ses pensées étaient encore tintées de sommeil et il lui était dur de procéder à un raisonnement logique. Et cet appartement était tellement semblable au sien !
Ce qu'elle ne pouvait savoir, et sans doute Akira n'en savait-il rien non plus, c'était que cet appartement leur appartenait à tout deux ! Ou plutôt... il avait appartenu à Kohana quelques mois avant l'arrivée d'Akira dans la ville. Mais la jeune demoiselle ayant désertée les lieux sans donner de nouvelles, le propriétaire, fâché, s'était empressé de louer le studio à un autre étudiant, qui, fort heureusement, n'avait pas cherché à comprendre comment cela se faisait qu'un appartement soit libre à cette époque de l'année. A présent, il s'agissait bel et bien de l'appartement d'Akira, mais le lit était resté le même, ainsi que la petite cuisine et le canapé.
Finalement, Kohana se redressa à demi, s'appuyant contre le mur derrière elle. Et c'est alors qu'elle vit le lycéen. Elle ne fut pas surprise le moins du monde, même si elle ne le reconnut qu'après quelques fractions de secondes. Elle lui sourit chaleureusement, les yeux pétillants de reconnaissance.
"Bonjour, bel inconnu au visage qui commence à me devenir si familier."
Kohana aurait bien voulu l'appeler par son nom, mais celui-ci ne s'était toujours pas présenté. Il était vrai que la conduite qu'elle avait eu n'avait pas été appréciée par le garçon qui s'était enfui et lui avait tout d'abord refuser son identité ainsi que son aide. Mais à présent, beaucoup de choses avaient changées, et l'adolescente s'avait que cette matinée passée loin l'un de l'autre, sans se toucher, ni se parler, les avait bien plus rapprocher que la dernière soirée où ils n'avaient pas été loin de franchir le cap.
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hrp-arf, désolé ^^"-hrp
Les lunettes avaient été réparés par un morceau de scotch, qui lui permettait tout juste de distinguer des formes, mais c'était mieux que voir flou tout ce qui l'entourait. Lui avait dormi à coté de la jeune fille sur une chaise pendant toute la nuit. Akira avait assisté à son réveil, et vit qu'elle se frotta les yeux, renforçant son aspect si mignon qu'elle avait déjà. sa phrase lui fit faire un sourire chaleureux, tandis qu'il continua à regarder le si joli visage de son invité qui semblait être comme chez elle, ce qui étonna fortement le garçon.
Belial, c'était le nom qu'elle avait prononcée à son réveil tandis que lui, tendit les vêtements pour qu'elle se change, qu'il avait acheté dans la matinée chez un marchand installé dans une rue voisine. Akira s'assit sur le lit, la fixant toujours de son regard si étrange, comme amoureux.
"Bel inconnu ?"
Ce compliment fit rougir Akira, car il semblait plaire à la petite fille qu'il avait amené chez lui, tandis que lui ne désirait qu'une seule chose, la prendre dans ses bras, et couvrir ses lèvres sucées de baisers intenses. Erikawa se retourna avant de revenir de face, avec le plateau, rempli de croissants chauds, un verre de café, et quelques sucres accompagnée d'un autre verre, rempli de jus d'orange.
" Faut que tu sois en forme Kohana. Vu que tu ne connais pas mon nom, je vais donc te le dévoiler, Akira Erikawa. J'habite au 4 chemin des aubergines, mais il semblerait que tu connaisses les lieux non ?"
Akira lui caressa la joue, avant de remettre la couette sur elle, pour éviter qu'elle prenne froid. Il referma ses paupières, et fit un sourire, pour montrer sa sincérité et sa gentillesse.
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Elle gardait le sourire aux lèvres. Hésitant entre rire et pleurer, elle ne préfèrait pas plonger dans l'une des deux extrêmes et gardait ce sourire chaleureux qui découvrait une partie de ses dents. Son regard était présent et brillant. Son visage, chauffé par le soleil, reprenait des couleurs qu'il avait depuis bien longtemps perdu. Toutes ses périgrinations d'un bout à l'autre des mondes l'obligeait à ne pas beaucoup dormir, ni manger, ni s'amuser. Et toute cette attention qu'Akira lui portait était la bienvenue.
Evidement, le jeune homme était loin d'être un modèle de beauté, mais sa façon de marcher, de remettre ses lunettes, son léger manque de confiance en lui et sa façon de ressentir les choses lui donnaient quelques charmes qui réjouissait la jeune fille. Akira était un homme, et en tant qu'homme il était loin d'être parfait. Sauf qu'à l'inverse de nombreux hommes, il avait conscience qu'il n'était pas parfait et ne faisait rien pour se survaloriser et atteindre le rang d'ESPer ou de démon.
Kohana regarda approcher le plateau de croissants et son ventre se mit à gargouiller. Elle ne se rappelait même plus quand est-ce qu'avait été son dernier repas. Avant même qu'Akira est posé le plateau, elle saisit un croissant et enfourna une grosse bouchée. Puis elle le reposa à l'endroit même où elle l'avait pris et mâcha tranquillement, en se balançant d'avant en arrière, comme un petit enfant content de sa bêtise.
"Je vais être en forme Erikawa-kun. Pour toi. Pour te remercier."
Elle garda le même sourire innocent qui ne montrait aucun sous-entendus. Puis elle regarda autour d'elle, se balançant toujours, avec le sourire aux lèvres. Ses yeux pétillaient et s'écarquillait à mesure qu'elle redécouvrait son appartement.
"Bien sûr que je connais ici ! C'était chez moi !"
Cela lui avait parut évident. Et même si elle n'avait rien pour le prouver ou s'en assurer, elle en était certaine.
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La peau pale de la jeune fille était devenue d'une couleur un peu plus bronzée, car les rayons du soleil se posèrent dessus, ce qu'il n'avait pas fait depuis un bout de temps. La fille à l'aspect mignon semblait apprécier être servie comme une reine.
L'invitée se servit bien vite le croissant, quand les gargouillements de son estomac résonnèrent dans la pièce. La fille semblait contente de son initiative vu qu'elle bougea son buste, pour montrer son farouchement, tandis que le garçon posa le plateau sur ses jambes.
Si seulement il le pouvait, à la moindre haltère de 10 kilos, il tomberait sur le sol directement, lui faisant ainsi une scholyose. Son sourire innocent lui disait qu'elle allait le remercier, mais en quoi pouvait elle, si il l'avait emmenée chez lui, c'était pour le mieux s'en occuper, rien ne pouvait égaler cette récompense.
"Tu n'as pas besoin de me remercier..."
Quand Akira apprit que Kohana était l'ancienne propriétaire de son logement, sa surprise était de taille, mas il voulait bien la garder ici pour la prendre dans ses bras quand il le pouvait, ce qu'il fit sans attendre. Le lycéen déposa un baiser sur la joue de la petite fille au regard vide, avant de la prendre dans ses bras.
" Tu peux rester ici autant que tu veux..."
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Le garçon semblait plus assuré dans ses mouvements. La jeune fille ne jouant plus la dominatrice, mais lui montrant patte de velour, Akira semblait se sentir en confiance. Il enlaça l'adolescente et lui déposa un baiser sur la joue en l'invitant à rester chez lui. Qui n'était autre que son ancien chez elle après tout.
Blotti contre le torse du lycéen, son regard se voila et son sourire disparut. Akira ne pouvait pas le remarquer car la tête de la jeune fille était enfouie dans le creux du cou du garçon. Cependant, sa joie, bien qu'elle ne fusse bien loin, s'était envolée.
"Je ne peux pas rester. Je dois partir."
Kohana ne donna pas plus d'explications et releva la tête. Son regard était toujours chaleureux et compatissant, il gratifiait le garçon pour tout ce qu'il lui avait offert, mais le sourire avait disparut. Il se reforma doucement sur les lèvres fines de l'esclave, mais ce n'était plus un sourire de joie. Il évoquait plutôt une sorte de regret et de culpabilité de ne pouvoir satisfaire le jeune homme.
"Ma place n'est plus ici. Je partirai à la tombée de la nuit."
Evidemment, Kohana ne souhaitait pas s'éterniser, mais il lui semblait correcte de couper la poire en deux et d'accéder en partie à la requête de son nouvel ami. Et cela lui ferait du bien. Se faire dorloter était toujours une bonne chose, et même s'il ne fallait pas en prendre l'habitude, il fallait savoir en profiter. Or la jeune fille ne le faisait pas souvent car elle acceptait rarement que les gens prennent soin d'elle, préférant protéger ses sentiments par des relations violentes.
Un vrai sourire franc reprit sa place entre ses joues. Un sourire malicieux d'une enfant qui, bien que jeune adulte, n'avait pas grandit et gardait en elle les même espiègleries qu'un enfant.
Tel un oiseau qui picore un miette de pain, elle déposa un baiser rapide sur les lèvres d'Akira puis elle lui pinça la joue, un sourire si grand barrait son visage que ses yeux se fermèrent pour lui laisser plus d'espace. Kohana se sentait bien et elle était d'humeur joyeuse en cette matinée. Son geste coquin et malicieux la rendait fière et elle se balança encore plus, trépignant presque.
Puis elle saisit un nouveau croissant et mordit dedans, avant de l'empiler sur l'autre croissant dans lequel elle avait mordu un peu plus tôt. Ravie d'elle même et de son impolitesse qui se voulait être un acte innocent, elle applaudit et se mit à rire.
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Quand Kohana lui dit qu'elle ne pouvait pas rester chez lui, sa mine heureuse se transforma vite en une mine remplie de mélancolie et de tristesse. Akira sentit que la jeune fille gigotait entre ses bras, ce qui lui fit relâcher un peu l'étreinte. Son regard n'avait pas été perdu, mais son sourire si mignon si, surtout quand elle avait dit qu'elle partirait à la tombée de la nuit. Le lycéen voulait vivre avec elle, et former une vie heureuse avec elle, car des liens s'étaient formés avec elle.
" Kohana...? Pour...Pourqu...Pourquoi...?"
Son sourire qui l'avait totalement charmé, revint, celui de la petite fille qu'il devait protéger. Son sourire était franc, et sembla cacher plus de chose qu'il ne voulait le croire. Quand ce fut les lèvres qui glissèrent sur celle de l'adolescent, il voulait continuer à l'embrasser tendrement, mais elle prit une deuxième bouchée dans un second croissant.
" Kohana...tu...me...déranges...pas...car...je...ressens...des...sentiments...pour...toi"
Akira poussa quelques rires assez hypocrites, vu qu'il ne voulait pas qu'elle parte. Le lycéen posa sa main contre son visage, tandis qu'il posa à nouveau ses lèvres sur celle de sa ravissante partenaire, avant de poser ses mains sur son crane, pour lui faire un nouveau câlin, il voulait la serrer contre elle le plus longtemps possible.
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Malgré sa bonne humeur et sa confiance, Kohana n'arrivait pas à cerner le jeune garçon. Il lui semblait toujours aussi impossible qu'un être humain s'attache aussi rapidement à elle alors qu'ils n'avaient même pas eu de rapport sexuel.
Elle voyait bien que sa décision faisait beaucoup de mal au lycéen, mais elle ne pouvait tout de même pas rester sur Terre ! Elle accepta son doux baiser qui semblait presque amical puis lui répondit, alors qu'il la câlinait.
"J'ai des obligations qui m'obligent à partir. Quand tu auras des responsabilités tu comprendras."
Puis la jeune fille s'écarta et détourna la tête pour ne pas avoir à supporter le regard du garçon avant de déclarer la vérité.
"J'appartiens déjà à quelqu'un et ma place est à ses côtés."
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Kohana ne pouvait pas comprendre les sentiments du garçon, et lui comprit qu'il avait aucune chance de vivre avec elle, car son cœur appartenait déjà certainement à un homme bien plus beau que le lycéen à lunettes. Des responsabilités ? Ils en avaient aucune en effet, mais il voulait quand même vivre avec une fille aussi mignonne qu'elle, mais il revint les pieds sur terre. Comment une fille aussi mignonne qu'elle pouvait tomber amoureuse d'un gars comme lui, Akira savait qu'il lui faisait pitié. Kohana quitta ses bras pour tourner la tête afin de ne plus jeter un regard sur cet être si pathétique.
" Je dois te faire pitié n'est ce pas ? Je sais très bien que tu me trouves pathétique, mais bon va t'en, si tu n'acceptes point mes sentiments. Va rejoindre ton compagnon, et laisse moi seul dans un appartement aussi vaste."
Le garçon était en colère, il ne supportait pas l'idée qu'elle le quitte pour un autre, surtout que son compagnon devait être un sacré pourri pour avoir donné à sa petite copine aucune émotion. Lui aussi se tourna à son tour, afin qu'elle parte sans lui adresser un au revoir.
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Comment pouvait-elle lui faire entendre raison ? Malgré toute son inexpérience et sa naïveté, Kohana n'avait jamais eu des réactions aussi passionnées que celle du lycéen. Un rien le faisait basculer dans la satisfaction la plus totale, ou dans le désespoir le plus profond. Etait-ce ce que l'on appelle les hormones ?
Le garçon fulminait. Il s'était éloigné de Kohana est lui tournait ostensiblement la tête. Désemparée, la jeune fille ne savait que faire. Ce n'était pas de la pitié qu'elle éprouvait pour le lycéen, comme celui-ci le croyait, mais de la compassion et de l'affection.
"J'accepte tes sentiments et je suis honorée de l'attention que tu me portes. Mais malgré tout, je ne peux éprouver la même chose pour toi."
Le garçon ne bougeait pas. Il semblait attendre le départ de la jeune fille. Elle baissa la tête et observa le plateau repas. Le thé fumait encore et de quelques croissants étaient amassés sur le côté, dont deux étaient entamés.
Kohana soupira. Dans son souffle, elle évacua toutes ses émotions qui lui enserraient le coeur. Cette situation lui causait bien plus de mal qu'elle n'aurait pu le penser.
"Ne crois pas que tu aies le privilège de la tristesse. Tu n'as pas le droit de te placer en victime simplement parce que tu es insensible à la souffrance d'autrui."
Elle se leva et regarda le lycéen toujours assis et boudeur. Elle ne pouvait rien lui offrir de plus qu'un tendre amour. L'amour passionnel était réservé à son maître. Sa présence dans cet appartement devenait incongrue.
Elle esquissa un geste vers Akira comme si elle voulait lui dire au revoir, mais il n'aboutit pas. Alors la jeune fille contourna la table basse et marcha la tête baissée et à pas lourds en direction de la porte.
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Blessé dans son amour propre le garçon se fichait pas mal qu'elle partait, mais une légère douleur se fit entendre dans son cœur, ce qui lui fit faire une grimace, à l'idée de quitter une fille qu'il trouvait joli, qu'il pensait qu'elle resterait avec lui pour l'éternité. Les sentiments semblaient acceptés, mais l'épine du problème, était qu'ils n'étaient aucunement réciproque. Insensible à sa souffrance ? Elle ne souffrait pas vu qu'elle avait déjà un petit ami qui devait beaucoup l'aimer, lui offrir des objets, alors que lui ne possédait rien. le garçon n'avait aucune beauté, aucun charme, juste une fortune que ses parents entretenaient, mais l'argent ne vaudra jamais le plaisir charnel, ni la sensation d'être aimée.
" Je ne suis pas en victime, je suis juste contrarié. Ne parle pas de souffrance avec moi, car si tu savais mon passé, tu comprendrais ma position."
Le garçon ne bougea pas un instant, il garderait sa position jusqu'à ce qu'elle parte, pour oublier cette nuit horrible, ainsi que sa première défaite sentimentale. Ses yeux plein de compassion, se retournèrent vers la jeune fille qui partait avec des pas lourds, sans tourner la tète un instant. Akira avait réussi à gratter les sentiments de l'esclave, mais son cœur restait emprisonné des chaines démoniaques de Belial. Ses lèvres glissèrent un murmure avant d'entendre la porte de bois se fermait, dans un claquement.
" Bon...voyage...Kohana..."
Hrp/ C'est la fin du topic ?-hrp
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HRP : j'en ai bien l'impression... on aura vraiment pas réussi à trouver un terrain d'entente pour ces deux persos^^ tant pis :p peut-être avec d'autres ?
on laisse ton post comme étant le dernier ou j'en fais un petit pour la route ? (je sais pas comment ça se termine un RP^^)
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Hrp/Oui pourquoi pas =)
Ben je crois qu'il y'a rien à ajouter xd, sinon en effet, j'aimerai bien que tu crées un perso qui tombe amoureuse du mien.