Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => Discussion démarrée par: Tsuki le mercredi 06 mars 2013, 14:29:23
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Magnifique, c'était le premier mot qui venais à mon esprit pour décrire cette immense boule blanche qui me regardait. A vrai dire, je pensais qu'elle était là pour moi, pour me donner chance dans cette nouvelle vie que j'entamais pas à pas. Je venais tout juste d'arriver sur cette Terre et je m'y sentais déjà bien et j'étais prête à la découvrir dans les moindres recoins. Un vent glacial me passa a travers mon petit corps, me forçant à frotter mes mains contre mes bras pour me réchauffer un peu. Il faut dire que je n'avais pas d'autre vêtements qu'une chemise courte légèrement déboutonnée, et une petite culotte rose avec un petit neko cousu dessus. Mais, sans mentir, cela ne me dérangeais point du tout. Pour moi les habits ne servent qu'a cacher des choses qui ne demandent qu'a être vu des gens.
La nuit était calme et sans bruit, on entendait à peine les insectes voler. Je marchais tranquillement sur un chemin assez caillouteux qui me faisait légèrement mal aux pieds. De temps en temps, je m'asseyais sur le sol pour me reposer un peu. Pendant que je marchais, il m'arrivais de croiser une personne seule ou accompagnée, mais je me cachais suite à mon manque de courage, sûrement..
Cela devait faire 45 minutes que je marchais, et je commençais à être fatiguée.. Une seule explication, la faim. Cela devait faire plusieurs heures que je n'avais pas mangé. "Humm.. Je vais rebrousser chemin pour revenir à mon point de départ !" Je me retourne, et décide de commencer à marcher. Là, je me stoppe net. Moment de réflexion, et après mettre retourner plus de 5 fois et ayant regarder tout autour de moi, je me suis rendu compte que j'étais... Perdue ! Moi qui était sûre d'où aller ! Épuisée et un peu stressée, je baisse légèrement mes oreilles, en sentant quelques larmes monter, mais pas couler. J'attrape un bout de ma chemise et commence à le tortiller doucement. J'avais peur. Peur qu'un prédateur vienne me violer ? Non, bien au contraire ! Peur que personne ne vienne me chercher..
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Marie se dépêchait. Elle avait du courir pour faire des courses urgentes, tout ça perce que Lucie avait décidé de faire un menu-surprise. Bon, ça partait d'une bonne intention... Yukio, la demoiselle qu'elles servaient, ne semblait pas aller bien récemment. Lucie avait donc eu l'idée de lui remonter le moral. D'où la situation actuelle de Marie.
En approchant du manoir, la servante vit une jeune fille un peu plus loin. Pas très grande, les cheveux marrons, elle était uniquement vêtue d'une chemise et d'un sous-vêtement. Elle semblait perdue. Marie s'approcha d'elle pour lui demander si tout allait bien. La réponse confirma ce qu'elle pensait. Sa nature généreuse lui fit proposer à la jeune fille de venir au manoir pour arranger les choses...
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je ne sais pas trop où j'en suis... En ce moment, j'ai l'impression de ne plus être moi-même. J'ai des pensées et des envies que je n'avais pas avant, qui me semblent répugnantes, et qui pourtant me plaisent. Tout cela a commencé après cette nuit avec Mélinda. Pour une obscure raison, je ne me souviens pas de ce qui c'est passé, mais pourtant, je sens qu'il y a un lien.
Je suis interrompue par un raffut en provenance du couloir. D'après les voix, je reconnais Wolfang et Marie. Ce qu'ils disent est en revanche trop étouffé pour être comprit. Je dors pour en savoir plus. Wolfang et Marie sont un peu plus loin. Je remarque également la présence d'une fille, à moitié vêtue, que je ne connais pas. Tout le monde se tait quand ils m'entendent arriver, et me regardent.
" Et bien ? Quel est le motif d'un tel chahut ? "
- Ah, Oujo-Sama... Marie a ramené cette fille perdue ici, et voulait vous la présenter. J'essayais de lui dire que...
" C'est bon, Wolfang, un peu de compagnie ne me fera pas de mal. Installez-là dans mon boudoir, et faites-nous monter quelques appéritifs, en attendant le diner. "
- Bien, Oujo-Sama.
Peu de temps après, la fille et moi sommes installées. J'en profite pour la détailler un peu. Sa taille est semblable à la mienne, pourtant, ses formes sont incroyablement développées. Ses yeux ont une couleur rouge qui, associée à ses cheveux, lui donne un air chaleureux. Je remarque également une paire d'oreilles sur sa tête, sûrement un accessoire. Et bien sur, le fait qu'elle n'ait qu'une culotte et une chemise à moitié ouverte.
" Je t'en prie, met-toi à l'aise. Je m'appelle Yukio, et toi ? "
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Le temps passa, et personne n'avait sembler remarquer ma présence. Plus la nuit se faisait et moins de personnes pouvant m'aider passait, rendant mes espoirs de retourner d'où je venais morts. C'est alors qu'une femme d'un pas pressée passa devant moi. Puis un peu plus loin elle s'arrêta et rebroussa chemin pour venir devant moi. Elle était essoufflé. Elle me regarda alors de haut en bas. Ma nature timide me fit légèrement reculer.
"-Tu es perdue ?"dit elle en me regardant droits dans les yeux
"-Je... Humm.. Et bien.. Je..."
"-Et bien je vais te ramener au Manoir et nous verrons là bas ce que nous pouvons pour toi. Viens suis moi !"
Je ne dis pas un mot et la suivit immédiatement. À vrai dire je n'attendais qu'une âme chaleureuse pour m'aider un peu..
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Arriver au Manoir, la dame me fit alors entrer puis patienter. Elle commença alors une discussion avec un certain Wolfang. Un peu plus tard, une troisième voix se fit entendre. Je devina alors que ce fut la maîtresse de la maison. Peu après, on me demanda de m'installer, j'obéis alors.
Je me trouvait face alors de celle qui devait être "Oujo-Sama". Je ne pouvais m'empêcher de voir qu'elle me regardait attentivement; ce que je fis aussi dans ma tête. C'est une fille très belle, avec de beaux, mêmes magnifiques, qui tombaient sur ses épaules. Je remarqua qu'elle avait des yeux vraiment.. Particuliers.. Mais il dégageaient une certaine "chaleur".
"Je t'en prie, met-toi à l'aise. Je m'appelle Yukio, et toi ?"
Ces paroles m'interrompit dans mon petit théâtre mentale. Je ne m'empêcha de rougir un peu et de répondre difficilement.
"Tsu.. Tsuki.. Je.. Je suis Tsuki.."
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" Tsuki ? C'est un joli nom que tu as là "
Je remarque aisément sa gêne. Elle a tout de la petite fille timide. Assez paradoxal, vu qu'elle se promène à moitié nue... Je me rapproche un peu d'elle et lui fais un sourire.
" Allons, Tsuki-chan, ne sois pas si timide, je ne vais pas te manger.
Au contraire, je suis ravie que tu sois là, je me languissais, seule ici. Avoir un peu de compagnie me ferait un grand plaisir. Tu veux bien me tenir un peu compagnie ? "
Nous sommes interrompues par Wolfang, qui apporte sur un chariot plusieurs boissons ainsi que des verres, et une foule d'amuse-bouches. Bien qu'il insiste pour faire le service lui-même, je le congédie, puis me retourne vers Tsuki.
" Cet homme est Wolfang, c'est le majordome de ce manoir. Et tu as fais la connaissance de Marie, je suppose, la jeune femme qui t'a amenée ici.
Bien, fais-toi plaisir, prends ce qui te fais envie. Tu veux une boisson particulière ? "
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"Tsuki ? C'est un joli nom que tu as là"
Jolie voix. C'est un des nombreux points forts que j'ai pu relever de Yukio. Elle s'approcha ensuite de moi et me fis un sourire chaleureux. Ma timidité me força à regarder le sol. Mais une chose est sûre, je me sentais bien avec elle..
"Allons, Tsuki-chan, ne sois pas si timide, je ne vais pas te manger.
Au contraire, je suis ravie que tu sois là, je me languissais, seule ici. Avoir un peu de compagnie me ferait un grand plaisir. Tu veux bien me tenir un peu compagnie ? "
Je n'eu même pas un moment de réflexion, la réponse était oui. Je ressentis un sentiment très bizarre, comme ci j'étais devenue un tout petit peu plus forte. Je regarde donc ma partenaire en face, et lui fais un léger sourire. Même si j'ai réussi à regarder quelqu'un dans les yeux, mon rouge aux joues était toujours là.
Tout de suite après, un bonhomme entra dans la pièce, accompagner d'un chariot d'amuses bouches. Yukio me fait une courte description de cet homme qui n'est autre que son majordome. Yukio se retourna alors vers moi pour me proposer une boisson. A vrai dire j'avais très faim et soif, mais je n'aimais pas que l'on me propose des choses. Si je devais choisir, je préfèrerais que l'on me mette à manger directement dans ma bouche.
"Je.. Non merci..."
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elle semble ne rien vouloir. Pourtant, vu la façon dont elle regardait le chariot quand il fut apporté, je pensais qu'elle allait se jeter dessus. Bon, je me suis trompée, on dirait... Sans chercher à discuter sa décision, je me sers un vin léger, et récupère une assiette de toast. Puis je me rassois en face d'elle.
Je remarque que sa timidité semble baisser d'un cran. Si ses joues sont toujours rouges, maintenant elle n'hésite plus à me regarder. Puis mon attention est captée par ces oreilles sur sa tête. Intriguée, je viens à coté d'elle.
" Tu me permets Tsuki-chan ? Je me demande ce que c'est... "
Joignant le geste à la parole, ma main vient toucher une des ces oreilles. La sensation est réelle... Non plus que réelle, ces oreilles sont en réalité ses oreilles ! Comment est-ce possible ? Pourtant, ce sont bien des vraies oreilles, leur chaleur ne trompe pas...
Je suis interrompue dans mes réflexions par un petit grondement. Je souris. Elle a dit ne rien vouloir, mais son ventre est d'un tout autre avis on dirait...
" Hihi ! Tsuki-chan, tu n'es pas honnête avec toi même. Tiens, fait Aaaaaah... "
Ayant récupéré un toast dans l'assiette, je lui tends pour le mettre dans sa bouche. Je ne sais pas si elle va se laisser faire ou au contraire résister, mais elle me donne la terrible envie de le faire...
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Ma faim augmente de plus en plus.. Le fait de regarder toutes ces petites choses délicieuses me met l'eau la bouche.. J'étais tellement concentrée dessus que je ne vis même pas Yukio venir tout prêt de moi. Elle avais l'air intriguer par quelque chose.. Mais de quoi ?
Mes oreilles. C'est sur que ces petites oreilles ont fait parlé plus d'un curieux. Trop de concentration sur mes intrigues a causé le fait que je n'avais pas entendu ma partenaire, si bien que sans que je m'en rende compte, elle m'attrapa une oreille puis commença à la toucher. Involontairement, elle avait trouver un de mes points faibles: alors qu'elle venait de me tripoter une oreille je laissa s'échapper un léger gémissement.
Trop occuper à apprécier ce doux moment, je n'entendis pas mon ventre gargouiller, ce qui me fis extrèmement rougir. Yukio souria.
" Hihi ! Tsuki-chan, tu n'es pas honnête avec toi même. Tiens, fait Aaaaaah... "
Suite à ces mots, elle me tendis un toast qu'elle voulais apparemment me faire manger. Ne lui montrant pas de résistance, j'obéis, toujours aussi rouge.
Aaaaah...
Pendant que j'ouvrais la bouche, mes yeux se fermèrent seuls, sûrement pour me dire que je devais prendre le plus de plaisir possible à ce que Yukio m'offait.
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Cette petite me plait vraiment. Sans résister, elle ouvre la bouche pour que je lui mette le toast à l'interieur. Elle ferme même les yeux, ce qui la rend vraiment craquante. Une fois le toast en bouche, celui-ci est vite englouti. Souriant, je lui en donne un deuxième, puis un troisième, à chaque fois de la même manière. Puis je caresse à nouveau ses petites oreilles félines, une chose qu'elle a l'air de vraiment apprécier. En tout cas, moi je l'apprécie énormément...
" Tsuki-chan, tu es trop mignonne... Tu veux un peu à boire ? "
Je lui propose mon verre, mais elle ne le prend pas. Pourtant, elle ne le quitte pas des yeux. Je souris à nouveau. Comme pour les toasts, je suppose que je dois lui donner directement... Je prends donc une gorgée du breuvage, puis prends la tête de Tsuki entre mes mains. Mes lèvres se posent sur les siennes et les écartent, ce qui me permet de déverser le liquide dans sa bouche.
" Alors, Tsuki-chan, dis-moi... Tu as aimé ? "
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J'étais aux anges. Voilà qu'elle me mit un premier toast dans la bouche. Je le mâcha puis l'avala assez rapidement, mais en savourant. C'est petites choses étaient vraiment exquises, et ce l'était encore plus car une une fille vraiment belle me faisait vivre ce moment. Yukio me donna un deuxième toast, puis un troisième, de la même manière. Alors que je savourais cet instant intense, Yukio recommença à me caresser doucement les oreilles, ce qui me fit extrêmement gémir et.. Rougir. Elle avait l'air d'aimer les caresser, ce qui était plutôt bénéfique pour moi.
" Tsuki-chan est trop mignonne... Tu veux un peu à boire ? "
J'entrouvris un œil. Sur ces mots, elle me tendait son verre. Je rougit puis tournis un peu la tête sur le coté.
" Humm.. Non... Merci... "
Quelle idiote.. Mais bien sûr que je le voulais son verre ! J'avais tellement soif.. Mes yeux n'arrivaient pas à se détacher du liquide qui avait l'air délicieux. Yukio a fini par le remarquer; elle pris ma tête et me fis boire par la bouche..
Je sentais ses lèvres toutes douces qui écartaient les miennes pour ensuite me déverser le liquide que la jolie bouche de Yukio avait bu auparavant. Que dire sur cet instant.. C'était un délice.. Je sentais mon cœur battre fort.. Une fois le baiser terminé, je venais de me rendre compte que je venais d'échanger mon premier baiser.. Baiser ? C'était plutôt rapide, mais tant que les lèvres se touchaient, c'était une façon de s'embrasser. Elle me dis ensuite ces mots :
" Alors, Tsuki-chan, dis moi... Tu as aimé ? "
A ce moment là j'avais envie de lui dire que j'avais adoré et quelle pouvait recommencer quand elle voulait. Si j'aurais pu je lui aurais aussi fait pleins de petites léchouilles pour le dire merci, mais j'avais une grande et vieille amie : Timidité.
" Je... Oui j'ai beaucoup aimé... M.. Merci... "
C'était les seuls mots que j'avais pu dire à ce moment là, mais je l'avais regarder dans les yeux, ce qui est déjà énorme pour moi.
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décidément, Tsuki était vraiment timide. Ses yeux ont l'honnêteté que sa bouche n'a pas. Elle a adoré ça...
Voir cette fille timide et innocente me donne envie de jouer d'avantage avec elle. J'aurais envie de la prendre maintenant, lui enseigner ce qu'est le vrai plaisir... Mais non, je dois me retenir. Laissons le jeu s'installer, pour la pervertir petit à petit. Le résultat n'en sera que meilleur.
Je suis interrompue dans mon fantasme par Wolfang, qui vient nous chercher pour le diner.
" Merci bien, Wolfang, mais je pense que nous dinerons ici, en toute simplicité. "
- Fort bien, Oujo-Sama. Comme je me doutais que vous diriez ceci, j'ai prit la liberté de prendre le service avec moi.
" Vraiment ? Je vous en félicite alors. "
Avec expertise, Wolfang dresse une table, avant d'apporter les plats, différentes salades. Puis il se retire, me laissant seule avec Tsuki. Puisque le diner ne risque pas de refroidir, j'en profite pour me pencher vers ma nouvelle amie. J'approche ma bouche de son oreille.
" Était-ce ton premier baiser ? As-tu aimé ? Voudrais-tu y regoûter ? "
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J'étais encore tout émue de ce baiser.. C'était si important pour moi ! Étant petite, je l'imaginais avec un beau brun ténébreux mais là, j'avais eu la chance d'être tomber sur Yukio. Un sentiment inconnu c'était développer en moi.. C'était un mélange de joie et d'envie.. Et puis, la température de mon corps augmenta d'un coup.. Je regardait encore une fois discrètement ma partenaire.. Elle semblait être pensive. En passant, j'aurais bien aimer visiter sa chambre.. Je me souvenais qu'avant, les filles qui venaient chez moi demandais toujours à visiter ma chambre avant tout.
Mes pensés furent interrompu par Wolfang, le majordome. Il proposa à sa maîtresse qu'il était temps de dîner. Elle répondit alors qu'elle préfèrait manger ici.
Une fois que le majordome était partit, nous étions à nouveau seule. Peu après, la belle Yukio se pencha vers moi, puis porta sa bouche à mon oreille. Elle me posa finalement des questions sur ce qui c'était passé un peu auparavant.
" Était-ce ton premier baiser ? As-tu aimé ? Voudrais-tu y regoûter ? "
Elle voulait sûrement en savoir plus sur moi.. Je lui répondis sans me poser de questions, mais assez difficilement..
" Je.. Oui... C'était mon pre.. Premier baiser... J'ai beau.. Beaucoup aimé et se serais un.. Un honneur pour moi de re.. Recommencer... "
Mon cœur battait rien que de penser à ce baiser, et j'eu encore plus chaud qu'avant.
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Aah, j'avais vu juste. Je me réjouissais d'être la première à avoir pu gouter ses lèvres, et en même temps, je regrettais qu'il ait été si peu sensuel. Le premier baiser est special, comme toute première fois, en particulier dans le sexe. Il me fallait donc rectifier cette erreur... D'autant plus qu'elle m'y invitait.
" Très bien Tsuki-chan, je vais t'en donner un autre... "
Une de mes mains vient caresser sa joue, pendant que l'autre lui relève le menton. Je commence par simplement poser mes lèvres sur les siennes. Un simple contact, des petits baisers sur ses lèvres. Puis j'insiste un peu, j'augmente le contact, et penche un peu la tête. J'entre-ouvre ma bouche, et la sienne fait de même. Ma langue vient à la rencontre de la sienne. Bien sur, je ne fais que quelques attouchements, je lui laisse le temps de s'y habituer. Puis, quand je sens qu'elle est prête, je commence à faire tourner ma langue. Petit à petit, elle de laisse aller des ses mouvements, ce qui me permet d'accélérer un peu.
Ma main ne tient plus son menton, à la place, elle vient prendre la sienne. Je prolonge le baiser encore un peu, avant de me retirer doucement.
" Tsuki-chan... Sois honnête, que voudrais-tu ? "
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" Très bien Tsuki-chan, je vais t'en donner un autre... "
Non.. Ce n'était pas possible.. Je devais rêver.. Elle voulais vraiment m'en refaire un ? Lirait elle dans mes pensées ? Je n'osais pas bouger tellement j'étais contente.. C'est comme si Dieu m'avait bénit.. Depuis le temps que j'attendais ce moment.. Étrangement, je sentais un vide en moi.. Je voulais juste qu'elle m'embrasse..
Elle commença par me caresser la joue comme pour me préparer un peu.. Elle posa ensuite ses lèvres sur les miennes tandis que moi, je fermait les yeux.. Je sentais mon cœur battre encore plus rapidement et bruyamment, je sentais que cela aller être.. Magique.. Elle continua alors ce qu'elle avait commencer. Peu de temps après, nos langues se caressèrent, et nos salives se mélangèrent. La main qui avant était sur ma joue s'est retrouvée sur ma main, ce qui ne me déplut pas.
Yukio se retira finalement après m'avoir montrer un baiser digne de ce nom. J'aurais voulu répéter l'action encore et encore.. Je regardais Yukio avec des yeux qui brillaient et un léger sourire. Finalement, elle me posa une question à laquelle je m'attendais.
" Tsuki-chan... Sois honnête, que voudrais-tu ? "
Toutes les réponses se mélangèrent dans ma tête, mais il fallait une réponse courte et efficace. Je rougis très légèrement, et ne quittant pas ma partenaire des yeux, je lui répondis simplement :
" Que... Vous me montriez ce qu'est le vrai.. Plaisir... "
J'ai été honnête, mais je ne pu m'empêcher de vouvoyez ma partenaire. A cet instant, je voulais réellement voir ce que cela fait, de se masturber, de monter au 7ième ciel, ou encore de jouer à la soumise. Je voulais tout savoir, et je voulais énormément que Yukio soit celle qui m'apprendra tout cela..
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Hhmmm... Cette petite fleur innocente qui ne demande qu'à être cueillie... J'ai vraiment de la chance que Tsuki soit ignorante du plaisir sexuel. Je vais prendre plaisir à lui enseigner ce que c'est. Pervertir une jeune innocente est vraiment jouissif...
" Fort bien, Tsuki-chan... Je vais te faire gouter au vrai plaisir...
Je pourrais la masturber de suite, mais ça ruinerait le jeu. Ce n'est pourtant pas l'envie qui me manque... Mais je dois me retenir.
Je commence par l'embrasser à nouveau. Une de mes mains passe dans son dos, pour remonter dans sa nuque. L'autre vient glisser le long de sa chemise, lentement, ôtant chaque bouton progressivement. Finalement, les pans de son vêtement s'ouvrent, révélant son joli petit corps, et sa poitrine opulente. Nos langues toujours prises dans une danse endiablée, mes doigts commencent à courir sur son ventre et ses hanches, appréciant le contact de sa peau. Petit à petit, je les remonte, pour terminer sur un de ses seins. Main main saisit délicatement le globe de chair, et commence à le masser lentement.
" Tsuki-chan, tu as vraiment un joli corps... En particulier ces seins. "
Je réapproche ma bouche, cette fois pour lécher son cou, pendant que ma main continue de malaxer son sein. Mes coups de langue sont parfois interrompus par des légers suçons, ou de petits coups de dents.
Pendant ce temps, ma main quitte son sein, et descend le long de son ventre. Instinctivement, Tsuki écarte légèrement ses cuisses quand ma main arrive sur sa culotte, ce qui me permet de venir au niveau de son intimité. Mes doigts commencent alors à décrire de longs vas-et-viens le long de sa fente, que je sens chaude et humide au travers du tissu.
" Alors, Tsuki-chan... Tu aimes, ce que te fait ta maitresse ? "
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Ça y est, on est y.. Ça allais commencer.. J'été prête à faire n'importe quoi pour qu'elle m'apprenne.. Étrangement, je pensais que je pourrais tout gâcher.. Je décida alors que je me laisserais faire, sauf si on me demande de faire quelque chose.
Elle semblait aimer le fait que je lui dise ce que je voulais. Elle commença par répondre à ce que je venais de dire un peu avant :
" Fort bien, Tsuki-chan... Je vais te faire gouter au vrai plaisir... "
On aurait dit qu'elle n'attendais que cela, mais je devais m'avouer que moi aussi j'attendais ce moment patiemment. Yukio commença à m'embrasser, pendant qu'une de ses mains caresse mon dos, ce qui me fit frissonner un peu.. Je ferma les yeux, et sentis sa deuxième main déboutonner doucement les quelques boutons qui cachaient mon ventre. Ma poitrine était alors nue.
Elle m'embrassait toujours, tout en promenant ses doigts sur mon ventre, ce qui fis gémir. Elle termina sa petite balade sur l'un de mes seins.
" Tsuki-chan, tu as vraiment un joli corps... En particulier ces seins. "
Je n'eu pas le temps de répondre que sa bouche, ou plutôt sa langue, commence à lécher mon cou. Sa main malaxait toujours mon sein, et ses légers cou de langues me faisait gémir un peu plus fort. Sans que je m'en rende vraiment compte, elle descendit sa main vers mon ventre, comme pour mon montrer qu'elle voulait descendre plus bas.. J'écarta un peu les jambes pour faciliter son passage. Elle commença alors à caresser mon intimité a travers ma culotte. Je mouillais beaucoup, et je pense qu'elle l'avait remarqué.
" Alors, Tsuki-chan... Tu aimes ce que te fait ta maîtresse ?"
Aimer n'était pas le mot approprié.. Je lui répondis entre deux gémissements.
" Haa.. J... J'adore ce que ma.. Ma maîtresse me... Fait.. "
Depuis le temps que je voulais l'appeler Maîtresse ! J'adorais ce qu'elle me faisait, et je voulais aller plus loin.
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Elle l'a dit, elle m'a reconnue comme sa Maitresse. Penser à l'emprise que j'ai sur elle me donne des frémissements. Et l'entendre pousser des petits gémissements m'excite terriblement. Je dois fournir des efforts pour ne pas céder à mes propres pulsions...
" Humm... Tu es une petite fille très honnête, Tsuki-chan... Et j'aime les filles honnêtes. "
Ma main de glisse dans sa culotte et vient caresser ses lèvres intimes. Je les sens brulantes sous mes doigts, tout comme je sens son nectar couler. Je caresse ses lèvres, glissant parfois sur le bout des ongles pour faire varier les sensations. Ma bouche revint au contact de la sienne étouffant les petits cris qu'elle poussait. J'en voulais plus...
Mon majeur se glissa entre ses lèvres intimes, frottant l'intérieur de sa fente. Dans le même temps, mon pouce vint titiller son bouton de plaisir, lequel était déjà bien tendu d'excitation. Ma main dans son dos, elle, fit le tour de son corps, pour revenir saisir son sein. Plus précisément, mes doigts visèrent l'extrémité de son sein, ce petit teton tout dur de plaisir.
La sentir s'abandonner complètement, comme en témoignent ses jambes grandes écartées et son nectar qui dégouline sur mes mains, me fait sentir chaude et humide en bas... J'interromps la masturbation pour porter mes doigts à ma bouche. Étrangement, don nectar a un goût un peu sucré. Puis je glisse mon pouce entre ses lèvres.
" Tu aimes, Tsuki-chan ? C'est le goût du plaisir, le goût du sexe...
Bien, comme c'est ton premier orgasme, il faut que tu découvres par toi-même ce que c'est... "
je viens chercher sa main, pour la glisser dans sa culotte, là où était la mienne.
" Vas-y... Caresse-toi comme je t'ai caressée... Pénètre-toi... Si tu veux connaitre la jouissance et le vrai plaisir, c'est comme ça qu'il faut faire... "
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Elle continuait toujours à me caresser.. Cela me faisait tellement du bien.. Elle continua alors comme cela pendant un petit bout de temps, puis me souffla ces mots :
" Humm... Tu es une petite fille très honnête, Tsuki-chan... Et j'aime les filles honnêtes. "
Elle venait juste de terminer sa phrase qu'elle glissa sa main à l'intérieur de ma culotte pour caresser mon vagin, en entrant le bout de ses doigts de temps en temps.. Maintenant je ne gémissais plus, je commençai à jouir.. Elle me ré-embrassa encore, étouffant mes petits jouissements.
C'est là que ma Maîtresse enfonça son majeur en moi, alors que son pouce vint jouer avec mon clitoris. Sa main libre attrapa un de mes tétons. Cette sensation était.. Divine.. Je jouissait encore plus fort, et je sentais qu'un liquide s'échappait peu à peu de mon corps. Quelques larmes montèrent, mais ce n'était pas de la tristesse, c'était de la joie.
Ma maîtresse interrompu finalement pour porter ses doigts à sa bouche, sûrement pour goûter à mon nectar. Son pouce termina finalement sa course entre mes lèvres; je n'hésita pas une seconde à le lécher.
" Tu aimes, Tsuki-chan ? me demanda celle qui m'avait fais jouir un peu avant. C'est le goût du plaisir, le goût du sexe...
Bien, comme c'est ton premier orgasme, il faut que tu découvres par toi-même ce que c'est... "
Elle pris ma main puis la glissa dans ma culotte, et me dis :
" Vas-y... Caresse-toi comme je t'ai caressée... Pénètre-toi... Si tu veux connaitre la jouissance et le vrai plaisir, c'est comme ça qu'il faut faire... "
Je lui répondis " Oui Maîtresse ", et m'exécuta. Mes doigts caressèrent ma fente de haut en bas, en s'arrêtant quelques fois pour que je puisse caresser mon clitoris. Je rentra finalement un doigt, puis deux.. Commença alors la première fois que je me masturbais. Mes doigts faisaient des vas et viens doux, puis de plus en plus rapides. Je jouissait très fort, et mis ma main devant ma bouche ouverte pour être plus discrète. Je continua encore un peu puis me cambra légèrement. Je venais d'avoir un orgasme.
Épuisée, je ressortis mes deux doigts. Je respirais fort. Je venais à peine de terminer que j'en voulais déjà plus. Je me tourna vers ma Maîtresse: mes yeux étaient brillants, et ma petite langue ressortais de ma bouche.
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Quelle brave petite... Sans hésiter, elle m'obéit et commença à se masturber. Je la regarde faire, attendant de voir comment elle allait s'y prendre. Ses doigts commencèrent ses vas-et-viens, et ses gémissements reprirent. De temps en temps, elle poussait un petit cri quand elle venait toucher son clitoris. La voir faire me donnait envie de faire pareil...
Sous ma robe, dans mes sous-vêtements, mes parties féminines étaient au comble de l'excitation. Mes tétons étaient durs comme le roc, mon intimité me brulait, et je mouillais abondamment. Mais, pour finaliser l'instauration de cette relation maitresse-soumise, il me fallait lier Tsuki à ma volonté, et céder à mes pulsions m'empêcherait de le faire. Pour m'imposer comme sa maitresse, ma volonté doit être forte. Je la regarde faire, résistant à l'envie de faire pareil.
Tsuki continue de se masturber, cette fois avec deux doigts en elle. Sa main s'agitait dans sa culotte, et elle tentait vainement d'étouffer ses cris avec son autre main. Si mignonne... Elle se cabra soudain. Ça y est, l'orgasme. Tsuki resta tendue un instant, puis se relâcha. Sa tête se tourna vers moi.
Toute rouge, ses yeux légèrement clos étaient brillants du plaisir qu'elle avait eu, et sa bouche entrouvetre laissait passer sa langue, tandis qu'elle haletait doucement. Elle dégageait un tel érotisme... Lentement, délicatement, je pris sa tête dans mes mains. Je suçota un peu sa langue, lécha sa joue et ses larmes, puis remonta à son oreille.
" Tu as aimé, Tsuki-chan, je le sais... Tu as aimé, et tu en veux encore... Et je peux t'en donner plus... "
Ma main caresse sa joue. Je suis sur le point de la soumettre totalement...
" Sois à moi, Tsuki-chan... Deviens ma poupée, et je t'en donnerais autant que tu veux... Je suis une Maitresse généreuse, tu l'as bien vu, non ? Sois à moi... Sois ma mignonne petite poupée... "
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Je ne trouvais pas de mot pour décrire mon premier orgasme. Je me suis sentie un peu plus mature, même si je n'y étais pas aller assez fort pour percer mon hymen. Et ce n'était pas tout.. Ma timidité était là, mais j'avais le courage de dire ce que je voulais. Je pouvais enfin dire ce que je voulais faire et être aux yeux de ma Maîtresse.
Mais, elle l'avais déjà compris. Je venais de terminer mon premier orgasme et mes yeux étaient fixer sur ma Maîtresse. Elle me pris la tête dans ses bras pour me lécher la langue, et je fis de même. Elle lécha ensuite ma joue et porta sa bouche à mon oreille pour me chuchoter ce qu'elle avait remarqué.
Je le savais, qu'elle avait vu que j'en voulais plus. Sa main me caressa finalement la joue pour me faire une proposition que j'espérais entendre :
" Sois à moi, Tsuki-chan... Deviens ma poupée, et je t'en donnerais autant que tu veux... Je suis une Maitresse généreuse, tu l'as bien vu, non ? Sois à moi... Sois ma mignonne petite poupée... "
Je lui souris alors puis lui répondit, presque charmée par ce qu'elle venais de me dire :
" Maîtresse est très clémente envers moi.. J'accepte d'être la petite poupée de ma Maîtresse qui est si gentille avec moi. "
J'été prête à répondre à tous les besoins de sa Maîtresse, car maintenant, j'étais sa petite esclave.
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Elle accepte, et je souris.
" C'est bien, Tsuki-chan... Sois une gentille petite poupée, et je te récompenserai... Et maintenant, viens avec moi. "
Je prends sa main, et l'entraine dans la pièce à coté, qui n'est autre que ma chambre. Spacieuse, comme toutes les pièces du manoir, elle est meublée de plusieurs éléments : une imposante armoire et deux commodes où sont rangés mes habits, une coiffeuse, et surtout, un lit de taille impressionnante. Les deux grandes vitres donnent dur le jardin, et à cette heure de la nuit, la lumière lunaire inonde les lieux.
Je me glisse derrière Tsuki, et fais tomber sa chemise et sa culotte au sol. Un de mes doigts entre dans son vagin, pendant que mon autre main caresse son corps.
" J'ai tout le temps pour jouer avec toi, ma jolie poupée... Nous avons la nuit pour nous... "
Je m'écarte d'elle, et me déshabille à mon tour. Il ne me faut pas longtemps pour être nue. Je m'assois alors sur le bord du lit, face à Tsuki. Mes cuisses s'écartent, révélant mon intimité mouillée de l'excitation que j'ai eu à pervertir cette fille.
" Tsuki-chan, approche... Utilise ta petite langue pour nettoyer ta Maitresse... "
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Elle me sourit, et je fis pareil. Après m'avoir dis que si j'étais gentille elle allais me donner une récompense, j'eu encore plus envie de jouer avec elle. Depuis toute jeune j'adorais les récompenses.
Elle me prit mon bras pour m'emmèna dans une grande pièce digne d'une princesse; je devina qu'il s'agissait de sa chambre. Ce qui m'avait le plus marqué était son lit: il était énorme ! Je n'avais jamais vu cela... Mais cela ne m'étonnait pas.. Elle a un majordome, alors pourquoi pas un énorme lit ? La lumière de la Lune passait à travers les vitres, ce qui donnait une aura de royauté. Derrière moi, je sentis ma Maîtresse qui c'était glisser derrière moi pour me déshabiller. Elle glissa ensuite un doigt dans mon vagin encore humide.
" J'ai tout le temps pour jouer avec toi, ma jolie poupée... Nous avons la nuit pour nous... "
Toute la nuit rien que ma Maîtresse et moi, quel honneur... Et cette idée de jeu ne me déplaisait pas non plus.. Ma belle Maîtresse s'écarta un peu de moi pour se déshabiller sou mes yeux admiratifs.. La personne à qui j'ai donner mon corps était magnifique..
Ma splendide Maîtresse s'assit sur le bord de son lit et écarta les jambes, ce qui me laissai voir son intimité mouillée.
" Tsuki-chan, dit Yukio, Approche... Utilise ta petite langue qpour nettoyer ta Maîtresse... "
" Oui Maîtresse, je vais le faire tout de suite. "
Je répondis tout de suite. Je m'agenouilla alors devant ma Maîtresse et mis ma tête entre ses jambes. Un fois devant son intimité, je commença à mettre des petits coups de langues, tout en buvant sa liqueur qui était un délice. De temps en temps je suçait son clitoris, mais j'essayai de m'appliquer le plus possible.
Une fois le vagin de ma Maîtresse propre, je releva la tête, attendant les prochains ordres.
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Tsuki obéissait sagement. Je le regardais s'approcher, puis s'agenouiller devant moi, pour glisser sa tête entre mes cuisses. Sa langue commença à lecher ma fente, et je souris. Mine de rien, elle était plus douée que je le pensais. Sa langue rapeuse allait et venait contre mes lèvres intimes et entre, et elle venait parfois titiller mon bouton de plaisir. Je me devais de l'admettre, elle était douée, en dépit de son manque d'expérience. J'eu même u soupir d'aise, pendant que je caressais sa tête.
Après un long moment de plaisir, Tsuki relève la tête. Honnêtement, j'aurais aimé qu'elle continue un peu, mais j'ai un role à tenir... Je prends sa tête et dépose un baiser sur son front.
" C'est très bien, Tsuki-chan... Maintenant, jouons vraiment... "
Je me lève, et vais à ma commode. J'ouvre un tiroir, d'où j'en sors une boite, puis je reviens sr mon lit. J'y pose la boite, pour l'ouvrir devant Tsuki. Le contenu n'est autre qu'une collection de sex-toys en tout genre : godes simples ou doubles, plugs, oeufs vibrants... J'attire Tsuki à moi, qu'elle puisse voir également.
" Ecoute-moi, Tsuki-chan... Tu es ma poupée, et je veux jouer avec ma poupée... Sois une gentille poupée, et j'exaucerai un de tes voeux... "
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Je la regardais toujours et elle m'embrassa sur le front. Elle avait eu l'air d'avoir aimé ce que j'avais fait, et j'en était plutôt fière. Après m'avoir embrasser, elle me dis une phrase qui me marqua un peu..
" C'est très bien, Tsuki-chan... Maintenant, jouons vraiment... "
Vraiment jouer ? Avec des... Jouets ? Ce qui allait suivre allait sûrement être inoubliable...
Ma maîtresse se releva pour aller vers sa commode, d'où elle pris une boîte. Elle posa cette boîte mystérieuse et l'ouvris devant moi. C'était une boîte remplie de jouets en tout genre. Mes yeux brillèrent d'envie de tester toutes ces jolies choses avec ma Maîtresse. Elle m'approcha et et me dis doucement :
Ecoute-moi, Tsuki-chan... Tu es ma poupée, et je veux jouer avec ma poupée... Sois une gentille poupée, et j'exaucerai un de tes voeux... "
J'étais charmer... Elle allai exaucé un de mes voeux..
" Oui, Maîtresse.. Je serais une gentille poupée. "
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" Tu es une si gentille fille, Tsuki-chan... Ta Maitresse est fière de toi. "
Je lui offre un long et langoureux baiser, avant de me placer derrière elle. Mes mains caressent son corps, en particulier ses seins. Puis je récupère dans la boite un œuf, que montre à Tsuki. D'un mouvement des doigts, je fais tourner la partie supérieure, ce qui déclenche le moteur. L'oeuf se met à vibrer dans le creux de ma main.
" Commençons avec ce jouet... "
Je commence par promener l'oeuf sur le ventre de Tsuki, et lui faire décrire des cercles autour de son nombril. Les cercles se resserrent, jusqu'à ce que je pose l'oeuf directement sur son nombril. Entendre ses petits gémissements de plaisir m'excite. Je viens alors mettre l'oeuf sur son sein, directement sur le teton. Pour ne pas faire de jaloux, mon autre main vient jouer avec son deuxième sein. Je remarque alors que son intimité recommence à mouiller. Je souris, et récupère un second œuf, que j'allume également. Tsuki pousse un cri quand j'insere cet œuf dans son vagin.
" Chuuut... Laisse-toi faire, ma jolie poupée... "
Ma main continue de masser l'extérieur de son intimité, pendant que l'oeuf le stimule de l'intérieur. La quantité de nectar coulant sur mes doigts grimpe en flèche. Je fourre ma langue dans sa bouche, léchant la sienne sur toute sa longueur. Tsuki semble succomber assez rapidement...
" Ne te retiens pas, Tsuki-chan... Laisse-toi aller... "
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Le fait d'entendre que ma Maîtresse était fière de moi me rendit presque heureuse car cela voulait dire que je faisais bien mon devoir d'esclave. Celle qui à qui j'était soumise m'embrassa langoureusement, puis se mit derrière moi pour caresser mon corps. D'une main, elle sortis de la boîte un œuf qu'elle me montra.. J'avais déjà vu un joujou comme cela, mais je ne l'avais jamais utiliser auparavant. Ma Maîtresse alluma le jouet à l'aide de ses doigts.
" Commençons avec ce jouet... " me souffla t-elle.
Elle commença à parcourir mon ventre avec son œuf, puis termina par mettre l'œuf sur mon nombril. Je gémissais et mouillais extrêmement, mais essaya de serrer mes jambes. Pendant qu'un de ses mains jouait avec l'œuf, l'autre tripotait mon second sein. Puis, sans crier gare, ma belle Maîtresse pris un autre œuf qu'elle pénétra dans mon vagin, ce qui me dis me cambrer et pousser un cri de surprise.
" Chuuut... Laisse-toi faire, ma jolie poupée... "
J'obéis et essaya de ma faire discrète, même si c'était presque impossible. L'œuf toujours en moi me procurait énormément de plaisir, et je mouillais plus que je ne le pensais. J'essayais de me retenir pour faire durer encore et encore.. Ma Maîtresse me lécha la langue et me dit :
" Ne te retiens pas, Tsuki-chan... Laisse-toi aller... "
Je n'arriva pas à lui répondre.. Et je me laissa donc aller.. Un de mes bras passa atour de ma Maîtresse, tandis que l'autre me servit à malaxer le téton sans œuf. De temps en temps je léchai les délicieuses lèvres de ma partenaire, plus je jouissait et plus je continuait plus je sentais l'orgasme arriver.
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Quelle adorable chose... Complètement dominée par le plaisir, Tsuki se laissait complètement aller. Elle se massait le sein dont je ne m'occupais pas, et osait même échanger des baisers avec moi. Cette petite pointe d'audace de sa part me plaisait bien...
Restait qu'elle ne tiendrait plus très longtemps à ce rythme. Son intimité ruisselait de son nectar, une vraie fontaine. De plus, sa respiration s'était considérablement accélérée, et ses cris devenaient de moins en moins mesurés. Finalement, dans un éclat de voix, Tsuki se cambra, alors que son vagin se contractait, expulsant l'oeuf en un jet de liqueur. Je ramassais celui-ci et l'eteignais, avant de le mettre un peu en bouche.
" Tsuki-chan, est-ce que l'on t'as déjà dit que tu étais délicieuse ? Ton nectar de plaisir a vraiment bon goût... "
Je la laisse un peu récupérer, pendant que je range les œufs pour prendre un gode. Il s'agit d'un modèle tout simple, bleu, de taille réduite. Étant donné le manque d'expérience de Tsuki, commencer par des petits modèles l'aiderait à s'y faire... Puis il y aura le sexe anal, plus tard...
Soudain, un doute me prend. Je me penche sur Tsuki, et enfonce deux doigts dans son vagin. Ceux-ci sont rapidement bloqués...
" Tsuki-chan, tu as encore ton sceau de pureté ? Pour une poupée ayant déjà joui deux fois, ça ne va pas... Tu veux le briser toi-même, ou tu préfères que ta Maitresse s'en charge ? "
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Le deuxième orgasme de la soirée ne fut pas long à venir... Je me cambra et l'œuf sortit en même temps qu'un jet de mouille.. C'était délicieux...
" Tsuki-chan, est-ce que l'on t'as déjà dit que tu étais délicieuse ? Ton nectar de plaisir a vraiment bon goût... " me dit ma Maîtresse, après avoir mis quelques coups de langues sur l'œuf, qu'elle alla finalement ranger dans sa boîte. Elle en sortit aussi un god, bleu et assez petit.
Puis elle se pencha vers moi, m'enfonça deux doigts puis me dis :
" Tsuki-chan, tu as encore ton sceau de pureté ? Pour une poupée ayant déjà joui deux fois, ça ne va pas... Tu veux le briser toi-même, ou tu préfères que ta Maitresse s'en charge ? "
Effectivement... Je n'étais pas aller assez loin pour percer mon hymen... Mais je trouvait plus excitant que se soit quelqu'un d'autre que moi qui le perce..
" Excusez moi Maîtresse... Pouvez vous vous occupez de percer l'hymen de votre poupée ?.. "
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" Ufufu... Si tel est ton souhait, ma petite poupée...
J'envisage enfoncer le gode dans son vagin et déchirer son hymen ainsi, mais je rejette l'idée de suite. Pour quelque-chose d'aussi unique que de briser son sceau de pureté, il faut que ce soit spécial. Je range donc le gode que j'ai en main pour en prendre un autre. Il s'agit d'un modèle peu courant, que j'ai du mal à acquérir. À deux têtes, d'une couleur vert pomme transparent, un peu plus gros que le précédent, et plus mou aussi. Ce modèle est particulier : au lieu d'être en plastique, l'intérieur est fait de gel, et la paroi est souple. De fait, si on presse une extrémité, l'autre gonfle en proportion. L'idée de ce concept est de permettre à la fille l'utilisant de ressentir plus de plaisir lorsqu'elle pénètre une fille plus étroite.
Dans un soupir de plaisir, j'enfonce le gode en moi, puis viens me mettre juste devant Tsuki.
" Bien, Tsuki-chan, je fais faire de toi une femme... "
Je pose l'autre extrémité du gode contre sa fente, et commence à appuyer. Je crains un moment que la taille soit trop importante, mais entre les propriétés du gode et l'état de son intimité, trempée de fluides sexuels, ce n'est pas un problème très longtemps. Je me retiens de donner un grand coup de rein, pour à la place rentrer délicatement.
" Nous y voilà, ma poupée... "
Je sens une résistance. J'ai déjà atteinds l'hymen. Je sais qu'elle va avoir mal, mais c'est comme un pansement : si j'y vais trop doucement, la souffrance n'en sera que plus longue. Je force donc avec mon bassin. La pelicule de chair résiste un peu. Puis cède.
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Je me sentais un peu gênée.. Mais ma Maîtresse n'y vit pas de problèmes. Elle rangea alors le god bleu qu'elle avait dans la main et sortit de sa boîte remplit de surprise un autre god, cette fois-çi vert, avec deux têtes. On aurait dit un jello tailler en forme de jouet masculin.
Ma maîtresse enfonça en elle la première extrémité du god, puis vint se mettre au dessus de moi. J'écarta les jambes et la regarda.
" Bien, Tsuki-chan me dit elle doucement, je vais faire de toi une femme..."
Mon cœur battait. Je me sentais enfin prête. C'était peut être un peu précipité, mais je le voulais... J'avoue j'avais un peu peur, mais je savais que tout allais bien se passer..
Maîtresse rentra délicatement et avec aise l'autre bout en moi, me faisais un peu gémir. Elle s'arrêta un peu avant mon hymen.
" Nous y voilà, ma poupée..."
Mon cœur battait un peu plus sur ces paroles.. Je ferma les yeux pour montrer que j'été prête. Je savais que cela allait me faire mal, mais je ne voulais pas en faire tout un plat.. Ma Maîtresse força, puis un peu plus... Et il se perça, laissant couler un fin filet de sang. Oui, j'avoue, cela me faisais mal. Un cri assez fort s'échappa de ma bouche, mais ce ne fut pas très long. J'été hereuse, et le fait d'enfin être une femme me mit la larme à l'œil.
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L'hymen s'est déchiré. Comme attendu, ce fut douloureux pour Tsuki. Le gode s'enfonça de plusieurs centimètres dans son vagin. De part mon expérience personnelle, je savais que maintenant, il fallait attendre qu'elle s'habitue à cet objet en elle. Si je commençais à bouger maintenant, je ne lui causerais que des douleurs supplémentaires.
Ses parois internes étaient contractées au maximum, et je le ressentais dans mon propre vagin, via le gode qui se dilatait. Je prends Tsuki dans mes bras et caresse ses cheveux.
" Là, là, ma poupée... Détends-toi, ta Maitresse va bientôt te faire sentir bien... "
Peu à peu, je sens Tsuki se relacher. J'attends encore un peu, puis je me mets à bouger lentement mon bassin. Je prends garde à ne pas la forcer, à ne pas lui faire mal. J'ai beau être sa Maitresse, et elle être ma poupée, je prends soin d'elle. Et puis, la nuit est longue, j'aurais tout le temps d'assouvir mes pulsions...
" Alors, Tsuki-chan, tu aimes ta première fois avec ta Maitresse ? "
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Je sentais toujours le god en moi. Je ne pensais pas que cela allait me faire aussi mal; Maîtresse l'avait compris. Je pensais aussi qu'elle allait commencer des vas et viens brutales pour son propre plaisir mais cela ne fut pas le cas. Elle me pris dans mes bras et me caressa doucement les cheveux.
" Là, là, ma poupée... Détends-toi, ta Maitresse va bientôt te faire sentir bien... "
Sa réaction ? Je la trouvais un peu bizarre... Mais je pense que pour une première fois elle ne voulait pas que je pense que le sexe rime avec douleur. Ses paroles me détendirent, je souffla un peu.
Finalement, elle commença à bouger doucement le bassin.. C'était bon.. Je ne commençai à ne plus sentir la douleur : elle se transformait petit à petit en plaisir.
" Alors, Tsuki-chan, tu aimes ta première fois avec ta Maitresse ? "
Je répondis calmement, en gémissant un peu.
" Maîtresse... Oui.. C'est très.. Hummm.. Bon... Haa.. "
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J'y allais doucement. Pourtant, je ne rêvais que donner de violents coups de rein. Ma seule envie était de baiser sauvagement Tsuki. Seulement, il faut savoir prendre soin de ses poupées. Si je veux pouvoir jouer longtemps avec elle, je dois faire attention à ne pas l'abimer.
Je ressens l'étroitesse de son intimité via le gode, lequel atteint une taille conséquente dans la mienne. Il s'est tellement dilaté que j'ai du mal à garder la tête froide face aux ondes de plaisir qui me parcourent chaque fois que je bouge. Pour résister, je viens embrasser Tsuki, dévorant ses lèvres et sa langue.
Peu à peu, je la sens s'habituer au gode en elle. Les mouvements deviennent plus fluides, et elle crie de moins en moins. La douleur dans sa voix cède petit à petit, pour être remplacée par le plaisir. J'en profite alors pour augmenter la vitesse et l'amplitude de la pénétration. Ses gémissements étouffés par ma bouche qui l'embrasse toujours m'excite terriblement.
Mon bassin remue toujours plus vite et fort entre ses cuisses. Je lutte pour ne pas me laisser aller au plaisir moi aussi. À la place, je resserre mes parois vaginales, augmentant du même coup l'épaisseur du gode en elle. Entendre les bruits humides et obscènes causés par mes vas-et-viens me fait naitre plein d'idées perverses pour la suite. Mais avant, je dois finir sa première fois...
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Sa y est, ma douleur c'est transformée, désormais je ne ressentais que du plaisir. Maîtresse continuais de faire des vas et viens doux, mais ils furent bientôt plus rapides. Je sentais le god se dilater en moi.. J'adorais cela, c'est si bon. Alors c'est cela, le sexe ? Je pensais plus qu'il s'agissait d'un aperçu, mais on ne sait jamais, et j'espère me tromper.. Je sens Maîtresse qui viens me lécher et mordiller la bouche; je fis de même. En passant, j'ai remarqué qu'elle ne jouissais pas.. Peut être était elle habituée à cela, et que pour elle ce n'était rien.
Sa bouche étoffait mes jouissements, le god se dilatait encore plus. Je sentais que l'orgasme était proche.. Je ne voulais pas que cela se termine, comme cela... Je pris ma Maîtresse dans mes bras, approchant ma bouche vers son cou que je lèche et suçote un peu. J'espère qu'elle ne va pas me réprimander pour ce que je viens de faire, mais le plaisir était tellement fort que je n'arrivais pas à ne "rien faire".
Quelques secondes se passent, puis finalement, je me cambre un peu, en laissant échapper de ma bouche un jouissement fort et.. Mignon.. Je venais de jouir, c'était délicieux. J'embrasse encore une fois ma Maîtresse qui venait de s'arrêter, et la regarda dans les yeux, la bouche légèrement ouverte. C'était une façon de lui dire "Encore", et j'espère juste qu'elle l'a compris..
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Finalement, Tsuki finit par avoir son premier vrai orgasme. La façon dont elle se cambre et laisse échapper un cri faisant penser à un miaulement est très mignonne. Pour ma part, j'évite la jouissance, ce qui m'aurait discréditée en tant que Maitresse. Toujours en elle, je regarde son visage. Rouge, bouche entrouverte et haletante, d'où s'échappe une langue humide, yeux luisants d'envie... L'incarnation même de la perversité.
" Fufufu... On dirait bien que sous ton innocence apparente, tu es une vraie perverse, Tsuki-chan... Regarde... "
Je la relève, pour tourner son visage vers la glace. Dans le même temps, deux de mes doigts viennent s'agiter dans son intimité.
" Ton visage est celui d'une vraie perverse, Tsuki-chan... Et entends-tu ces bruits faits par ta petite minette ? Avoue-le, Tsuki-chan, tu es une petite perverse accro au sexe, pas vrai ? "
Je continue de remuer mes doigts, avant de les porter à sa bouche. Dans le même temps, je récupère un autre gode, de taille bien plus importante, tant en longueur qu'en largeur, que j'agite devant Tsuki.
" Tu aimerais sentir ça en toi, pas vrai Tsuki-chan ? Alors dis-le... Dis que ma petite poupée est une perverse... Dis qu'elle aime ça... "
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" Fufufu... On dirait bien que sous ton innocence apparente, tu es une vraie perverse, Tsuki-chan..."
Elle me regardait d'un air amusé, comme-ci elle s'attendait à cela.. Mais je n'allais pas lui mentir, elle avait tout à fais raison : j'étais une perverse qui en voulait toujours plus.
"Regarde..."
Elle me tourna vers un miroir pour que je puisse me voir dans l'état où j'étais. Je baissa les yeux.. C'était gênant après tout... Maîtresse me mis alors deux doigts dans mon intimité. Humm oui encore.. J'en voulais plus..
" Ton visage est celui d'une vraie perverse, Tsuki-chan... Et entends-tu ces bruits faits par ta petite minette ? Avoue-le, Tsuki-chan, tu es une petite perverse accro au sexe, pas vrai ? "
Elle continua un peu de jouer avec moi pour ensuite porter ses doigts à ma bouche que je léchais sensuellement. Je répondis, entre deux léchements.
" Humm oui Maîtresse, je suis une vraie perverse.. "
C'était vraiment embarrassant.. Mais je ne voulais pas lui mentir.. Maîtresse pris alors un autre jouet, bien plus grand et gros.. Mon cœur battait d'envie...
" Tu aimerais sentir ça en toi, pas vrai Tsuki-chan ? Alors dis-le... Dis que ma petite poupée est une perverse... Dis qu'elle aime ça... "
Elle avait trouvé.. Maîtresse me connaît déjà beaucoup..
" Maîtresse.. Votre poupée est une perverse, et elle aimerais beaucoup ressentir ce god en elle... J'adorerais cela... "
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" C'est bien, Tsuki-chan. Ta Maitresse aime quand tu es honnête avec elle.
J'allonge à nouveau Tsuki sur le lit, et approche le gode de son sexe. Puis une idée me vient. J'hésite un instant, puis opte pour cette nouvelle option. Ma main inoccupée rend la main de Tsuki, pour lui mettre le gode dedans. Puis elle revient positionner le tout sur don petit sexe.
" J'ai une meilleure idée, Tsuki-chan... Plutôt que de jouer avec toi, cette fois tu vas me montrer à quel point tu es une perverse... Je veux que tu me montres à quel point ça te fait jouir quand tu t'enfonces ce gros gode dans ta minette trempée... Car c'est ça que tu veux, pas vrai ? "
Clairement, j'ai envie de voir si elle va le faire. Va-t-elle se rabaisser jusqu'à se faire jouir alors que quelqu'un la regarde ? Est-elle perverse à ce point ? Ou juste soumise ? Ou encore mieux, un mélange des deux ? J'ai envie de pousser les expériences plus loin encore, de voir jusqu'où je vais pouvoir m'amuser avec ma poupée...
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" C'est bien, Tsuki-chan. Ta Maitresse aime quand tu es honnête avec elle. "
Je souris. J'avais vraiment bien fait de dire la vérité, même si elle était un peu gênante.. Maîtresse m'allongea, puis mis le bout du god contre ma fente. Je le sentais déjà en moi. Mais, ma Maîtresse ne me pénétra pas.. A la place de cela, elle réfléchis un instant et me mis le god en main. C'était assez bizarre, sa réaction.. Je regarda ma main, puis ma Maîtresse. Elle pris le god que je tenais toujours pour le remettre devant ma fente, au même endroit qu'avant. Elle me dis alors :
" J'ai une meilleure idée, Tsuki-chan... Plutôt que de jouer avec toi, cette fois tu vas me montrer à quel point tu es une perverse... Je veux que tu me montres à quel point ça te fait jouir quand tu t'enfonces ce gros gode dans ta minette trempée... Car c'est ça que tu veux, pas vrai ? "
Humm.. C'était une bonne idée pour me "tester", on va dire. Je la regarda quelques secondes, assez pensive. Puis je baissa un peu les yeux. Je voulais me faire plaisir, j'aurais aimer me le mettre en moi, bien profondément, mais après tout, l'esclave, c'était moi. Je pénétra alors un petit bout du god en moi, puis releva la tête pour répondre le plus honnêtement possible.
"Et bien... Je.. Oui, c'est ce que je veux.. Mais j'attend que vous me l'ordonniez.. Je ne fais que vous écoutez, Maîtresse...
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Tsuki commença à appuyer sur le gode, mais s'interrompit bien vite.
"Et bien... Je.. Oui, c'est ce que je veux.. Mais j'attend que vous me l'ordonniez.. Je ne fais que vous écoutez, Maîtresse...
Que je lui ordonne ? Mais ne venais-je pas de lui dire que je voulais la voir prendre du plaisir à se pénétrer ? Fallait-il vraiment que je lui explique tout en détail ? J'approche mon visage du sien.
" Je t'ai dit que je voulais te voir jouir. Est-ce insuffisant comme ordre, pour toi ? e n'aime pas cette attitude, et pour ça, une punition s'impose. Passe tes mains au dessus de ta tête, et interdit de bouger. "
J'arrache le gode des mains de Tsuki, et me dirige vers ma commode. J'ouvre un tiroir, où je récupère un petit récipient. Puis je rejoinds Tsuki, lui présentant une bille que j'ai sortie de la boite. Sans rien dire, j'enfonce profondément cette bille dans son vagin. Puis je me place à cheval au dessus de son visage, de telle sorte que ma fente goute directement sur ses lèvres. Je prends ses mains dans les miennes.
" Tu vas me nettoyer avec ta langue, Tsuki-chan, comme tout à l'heure. Et tu as intérêt à bien t'appliquer, si tu veux que je te libère. "
Sa petite langue commence son office. Je la sens récolter mon nectar dans le creux de mes cuisses. Puis elle remonte vers mes lèvres intimes, puis l'interieur, sans oublier mon petit bouton de plaisir.
Elle s'interrompt soudainement. Je devine que la bille commence à faire effet. Cette bille est en réalité une pillule composée d'un aphrodisiaque puissant. Dans la chaleur et l'humidité d'une intimité féminine, cette pillule se dissout, libérant le produit, qui excite les terminaisons nerveuses. En conséquence, Tsuki va maintenant ressentir une puissante excitation sexuelle.
" Je ne t'ai pas autorisé d'arrêter, Tsuki-chan. Continue ! "
Elle doit mourir d'envie de se soulager. Imaginer la torture que ça doit être pour elle de ne pas pouvoir se satsifaire m'enchante. Sadique ? On dirait bien...
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" Je t'ai dit que je voulais te voir jouir. Est-ce insuffisant comme ordre, pour toi ? Je n'aime pas cette attitude, et pour ça, une punition s'impose. "
Les choses se changèrent.. Ma Maîtresse a mal compris ce que je venais de lui dire, elle allais maintenant me punir ! Bon, je suis une bonne soumise, je lui obéirais.. Et puis, si j'ai fais une erreur, je dois la réparer..
" Passe tes mains au dessus de ta tête, et interdit de bouger. "
Je baissa un peu la tête et obéis. J'avais maintenant les mains sur la tête et les jambes légèrement écartées.. Maîtresse m'enleva alors le god de mes mains, puis se dirigea vers sa commode. Je releva alors la tête et la vis devant moi, avec une espèce de petite chose ronde dans les doigts. Elle m'enfonça alors cette petite chose profondément dans mon vagin, et se positionna de sorte que sa semence puisse directement couler sur mes lèvres. Elle m'ordonna alors de la nettoyer, ce que je fis en m'appliquant encore plus que la dernière fois.
C'es alors que je me sentis toute chose.. En réalité, c'était un sentiment que je connaissais depuis peu.. L'envie de sexe.. Mais pas une simple envie, c'était.. Puissant.. Le fait que je ne pouvais pas bouger n'était pas favorable. Mes jambes se resserrèrent alors seules, une forte quantité de cyprine coulait le long de mes cuisses, je tremblotait et gémissais. C'était insupportable.. Cette sensation m'a alors stoppé dans ce que je faisait il y'a peu, ce qui déplut à ma Maîtresse :
" Je ne t'ai pas autorisé d'arrêter, Tsuki-chan. Continue ! "
Mon yeux remplit de larmes la suppliait de ne pas me laisser ainsi, et je répondis, entre deux gémissements.
" Ou.. Oui Maî.. Tresse... Excu.. Excusez m.. Moi... "
Je n'en pouvais plus, mais continua quand même de lécher l'intimité de ma Maîtresse du mieux que je pouvais.
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Pauvre petite Tsuki... Elle avait une telle envie qu'elle se transformait en souffrance. À dire vrai, avoir une soumise à mes ordres m'enchantait, et je ne rêvais que de ça. Seulement, Tsuki était encore nouvelle en ce qui concerne les paisirs sexuels, et je doute qu'elle soit du genre à aimer le bondage. Si je veux la garder longtemps sous ma coupe, je dois faire preuve de retenue.
" C'est bien, ma poupée... Encore un peu, et je te laisserai tranquille... "
Je caresse ses cheveux et ses oreilles, pendant que je lui dis ça. Mais honnêtement, j'aimerai rester longtemps ainsi. La langue de Tsuki est vraiment divine. Elle possède une petite langue, un peu rapeuse, et très souple, qu'elle manie très bien. Elle sait bien aller stimuler les parties sensibles de mon intimité, ce qui me ravit au plus haut point. Je commence à soupirer de plaisir.
" Hmm... Tu es très douée, Tsuki-chan... Allez... Bois le nectar de ta Maîtresse... "
Mes doigts écartent mes lèvres intimes, laissant librement couler ma cyprine dans la bouche de Tsuki. Dans le même temps, je déplace mes jambes, libérant ses bras.
" Ta Maîtresse est satisfaite... Vas-y, jouis pour elle... "
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" C'est bien, ma poupée... Encore un peu, et je te laisserai tranquille... "
Je gémis. Me laisser tranquille.. Me laisser me soulager ? Après tout, j'ai bien fait ce que ma Maîtresse ma dis, et je ne pouvais plus supporter cette sensation.. En attzndant, je continua de lécher l'intimité humide de ma Maîtresse. Elle me caressa alors mes cheveux, puis mes oreilles.
Ma cyprine coulait de plus en plus, et je voulais tellement me faire du bien que j'aurais été prête à désobéir, mais je résistai.. Maîtresse continua de me caresser puis me dit en soufflant de plaisir :
" Hmm... Tu es très douée, Tsuki-chan... Allez... Bois le nectar de ta Maîtresse... "
Elle termina a peine sa phrase qu'elle écarta ses lèvres pour laisser couler dans ma bouche et le long de mon cou son délicieux nectar que je ne me fis pas prier pour tout avaler, et essuyer bien correctement ce qu'il pourrait rester sur son intimité.
Finalement, ma Maîtresse me "libéra", et me donna la permission de me donner du plaisir, devant ses yeux. Je la regarda d'un regard presque admiratif et lui dit du mieux que je put :
" M.. Merci.. Vous ne.. Sere.. Serez pas dé.. Déçut... "
Je posa finalement mes mains sur ma poitrine, puis me mis a 4 pattes - ma position préférée - et caressa mon intimité pour entrer profondément 2 doigts. Je fis alors des vas et viens, en jouant avec un de mes seins. Je jouissait, gémissait, haletait en continuant de me masturber assez sauvagement.
" Haa.. Maî.. Maîtresse... C'est si... Haaaan.. Bon... Haa... "
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Une fois libre de se satisfaire, Tsuki ne se fit pas prier. Une de ses mains commença à masser sa poitrine, l'autre decendant à son entrejambe. Je cru qu'elle allait se masturber sur le dos, mais non, elle prit le temps de se retourner, pour tenir sur ses genoux et son épaule. Si je ne pouvais plus voir son visage afficher tout le plaisir qu'elle ressentait, j'avais désormais une vue parfaite sur sa minette trempée, ainsi que sur son petit puit secret. L'un dans l'autre, les vues se valaient.
Tsuki commença à se doigter, d'une manière assez intense. Deux de ses doigts s'agitaient furieusement dans son vagin, produisant une série de bruits obscènes au possible, tout en éclaboussant ses cuisses de son nectar. J'entendais ses gémissements, à moitié étouffés par le drap du lit. Je me dois d'avouer que de la voir dans cet état n'est pas sans effet sur ma personne. J'aimerai enfoncer mes doigts dans son antre brulante, mais ça ferait surement beaucoup, considerant l'effet de la drogue que je lui admnistrée tantôt.
Cela dit, je lui avais promis une chose, je me dois de tenir ma parole. Je récupère le gode d'un main, l'autre prenant la sienne, interompant sa masturbation. Je mets le gode entre ses doigts.
" Tiens ma poupée, je t'avais promit ceci... N'as-tu plus envie de le sentir en toi ? Tu dois en mourir d'envie maintenant, n'est-ce pas ? "
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Je continuai de me masturber encore et encore, jouissant de plus en plus fort, forçant mes doigts pour qu'ils aillent le plus profondément possible.. Mes doigts qui d'occupaient de mon sein commencèrent alors à serrer mon téton dans tout les sens, le torturant. C'était si bon...
Soudain mes doigts s'arrêtèrent, je sentais que quelqu'un me les avaient pris. Je retourna légèrement ma tête, haletant encore. Maîtresse me glissa une chose presque familière dans les doigts : un god.
" Tiens ma poupée, je t'avais promit ceci... N'as-tu plus envie de le sentir en toi ? Tu dois en mourir d'envie maintenant, n'est-ce pas ? "
Mon envie de me soulager m'avait fait oublier cette promesse dite plus tôt. Je l'avais complètement oubliée
.. Je saisis le god avec ma main trempée, et répondit.
" Maîtresse... Je mourrais d'envie de le sentir profondément en moi... "
Je commença alors à frotter le god contre mon intimité, puis l'enfonça en moi avant de faire des vas et viens. Cela me faisait encore plus de bien qu'avant. Je continua encore en allant de plus en plus profond..
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Pour une novice vis-à-vis des plaisirs sexeuels, Tsuki ne montrait aucune résistance et s'abandonnait rapidement. Elle se penetrait avec un gode dont la taille aurait provoqué un blocage chez bon nombres de filles à l'idée de le mettre en elles. Ce qui me permettait d'affirmer que Tsuki devait avoir un coté pervers. Sous ses apparences de petite ingénue, c'était une vraie dévergondée qui se cachait.
Ce qui me plaisait d'autant plus. Quelle chance qu'une fille pareille soit tombée entre mes mains, et qu'elle soit devenue, de son plein gré, ma petite poupée soumise et docile. Je pense la garder un moment avec moi, et je me demande même si elle irait formuler ce voeu...
Laissant Tsuki à son plaisir, je prépare la suite du programme. Après avoir joué avec sa minette, c'est son petit trou qui m'intéresse. Maintenant, c'est le sexe anal qu'elle va découvrir. Je commence par prévoir les accessoires, boules de geisha et plugs, que j'aligne sur un coin du lit. Puis je me retourne et regarde Tsuki arriver à jouissance.
Sa position n'avait pas changé, et sa main continuait de pousser le gode dans son vagin. Chaque coup qu'elle donnait éclaboussait ses cuisses de son nectar. Oui, une vraie perverse... Qui ne tarde pas à jouir, cambrant tout son corps, et liberant un jet de son jus sexuel. Puis elle s'effondre, surement épuisée par l'orgasme puissant. Je m'allonge à motié sur elle, une main sur sa hanche, l'autre lui caressant la tête.
" C'est bien ma poupée, ta Maitresse a apprécié le spectacle que tu lui as offert. Maintenant, je vais te montrer encore des nouvelles choses... "
Tout en parlant, ma main masse son fessier. Bien rond et rebondi, il montre cependant une élasticité parfaite, ce qui est un vrai plaisir au toucher. Puis mes doigts glissent entre ses fesses, et mon index vient caresser son petit trou.
" Savais-tu que tu pouvais prendre du plaisir par ce trou également ? Aurais-tu envie d'essayer ? "
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Je mis peu de temps avant de m'effondrer sur le lit, en laissant s'échapper un jouissement montrant le plaisir que j'ai eu à utiliser cet objet. J'haletai, sentant mon nectar couler le long de mes cuisses. Je n'avais jamais autant jouis. Et dire qu"il s'agissait de ma première nuit de plaisir.. C'était comme si ma façon de faire changeai : j'en voulais encore, tellement plus que je suis prête à me faire mal pour me faire du bien après.
J'ai ensuite remarquer différent joujous sur le rebord du lit. Malgré le faite que je n'avais jamais vu de tels jouets, je savais déjà qu'il allais obligatoirement renter quelque part.. Ayant déjà masturber mon vagin, je pense que maintenant c'est au tour de mon anus. Maîtresse se plaça alors près de moi, et me caressa les cheveux, avant de montrer son contentement à me regarder.
" C'est bien ma poupée, ta Maitresse a apprécié le spectacle que tu lui as offert. Maintenant, je vais te montrer encore des nouvelles choses... Elle caressa alors mon anus avant de continuer. Savais-tu que tu pouvais prendre du plaisir par ce trou également ? Aurais-tu envie d'essayer ? "
J'avais vu juste. J'avais beaucoup entendu des filles dirent que l'anal faisait mal, mais moi j'avais toujours voulu voir à quel point mon petit trou pouvait se dilater. Le mal ne me faisait pas peur. Je me remis à 4 pattes et m'avança vers ma Maîtresse pour me frotter contre son cou, comme un petit chat. Mais cette fois ci, il s'agissait d'un petite chatte qui en voulait encore.
" Aah Maîtresse.. J'ai toujours voulu jouer avec mon anus, et c'est pour moi un honneur de pouvoir prendre du plaisir avec vous, Maîtresse. "
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Et bien et bien, voyez-vous ça... Tsuki vient se frotter à moi et réclamer du plaisir anal. Elle a à peine fini de jouir en pilonnant sa minette qu'elle est déjà prête pour recommencer avec son petit trou. J'attrape son visage de mes mains, et fourre ma langue dans sa bouche. Je reste ainsi quelques temps, avant de reculer.
" Fort bien, ma poupée, je vais te montrer... Tourne-toi. "
Tsuki s'exécute, et je jette un regard à son entre-jambe. Son intimité goutte encore de son nectar, toujours entrouverte après le traitement reçu. Mais c'est son fessier qui m'intéresse. Je pose mes mains dessus et commence à le masser, avant d'écarter ses fesses. Son anus est juste sous mes yeux, bien rond et propre.
Je commence par poser un doigt dessus, et décrire des cercles autour, pour l'exciter. Puis, toujours avec mon doigt, j'appuie et le fait pénétrer dans son petit trou. Tsuki réagit bien à cette intrusion, alors je fais bouger mon doigt, pour l'exciter d'avantage.
" Tu t'adaptes à ça plus vite que prévu, ma mignonne petite chatte... Voyons avec ceci, alors... "
Je ramasse un des jouets, une succession de 5 boules geisha reliées par un fil. Les boules ne sont pas très grosses, donc Tsuki devrait aimer ça. J'applique la première sur son anus, et appuie doucement pour la faire entrer. Je fais de même pour les quatre suivantes, et prends la main de Tsuki.
" Et maintenant, ma poupée... Tu vas retirer ce qui est dans ton petit cul. "
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Mon corps était impatient, ma cyprine coulait encore et j'avais une envie folle de jouer encore et encore.. Maîtresse Yukio n'étais pas contre cela. Très vite, elle me dis de le retourner avant de jouer avec mon petit anus. Cette sensation était plus que délicieuse. Elle enchaîna très vite avec son doigt qui pénétra mon petit cul. C'était bon.. Sentir ce doigt en moi me faisais gémir et m'excitais plus encore.
Elle ressorti alors son doigt ; je devinais qu'elle étais à la recherche de jouets à me mettre dans l'anus. Je ne savais pas trop ce qu'elle allais faire, mais je ne voulais pas savoir ce qu'elle allais me mettre en moi : c'était une surprise ♡. Une espèce de boule vint alors frotter mon petit trou, et s'enfonça un peu après. Sentir mon anus se dilater était divin. Très vite, quatre autres boules vinrent se mettre en moi. Je sentis la main de ma Maîtresse se poser sur la mienne. Elle me dit alors avec une voix douce.
" Et maintenant, ma poupée... Tu vas retirer ce qui est dans ton petit cul. "
Je poussa un petit gémissement. Ressortir ? Il fallait alors que je force.. Je serra alors la main de ma Maîtresse, et commença alors à expulser une première boule. Mon anus se dilatait, laissant ressortir un peu plus tard la boule. C'était gênant.. Mais il fallait l'avouer, c'était aussi bon..
Je fis alors de même pour les autres boules, poussant de mieux que je pouvais, laissant retomber celles ci au sol. Ma cyprine coulait encore plus. J'étais exciter, j'haletais quand même. Mais pour un premier anal, me voilà satisfaite. Je me tourna vers ma Maîtresse et lui souris, attendant impatiemment la suite.
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Tsuki exécuta mon ordre sagement. Je voyais son anus travailler pour faire sortir les boules qui y étaient entrées. Il s'ouvrait et se fermait au rythme des efforts de Tsuki, jusqu'à ce qu'une première boule sorte. Petit à petit, les quatre autres suivent. Tsuki prit son temps pour récupérer, et se retourna, les yeux brillants.
" Ufufu... Je n'ai pas fini de jouer avec ton petit cul, ma poupée... "
Ma main se déplie et récupère une gode-ceinture. Comme le gode vert de tantôt, il s'agit d'un gode à deux têtes, cette fois noir. Mais surtout, il est monté sur un shorty de cuir ajustable. Ainsi, il permet à son porteur les mouvements de bassin les plus intenses sans risquer de voir le gode glisser. J'enfile le shorty, règle les sangles pour que le gode tienne bien en place, et me mets derrière Tsuki. Mes mains massent ses fesses bien rondes et fermes, puis les écartent. Je pose l'extrémité du gode sur son anus, attrape ses reins, et pousse. Le gode pénètre son anus, dans un cri délicieux.
Je fais ainsi plusieurs vas-et-viens, puis change de position. Je soulève Tsuki par les épaules, pendant que mes jambes glissent entre les siennes. Ainsi, je passe en position assise, et Tsuki se retrouve au dessus, pendant que mes jambes tiennent les siennes écartées.
" Alors, ma petite chatte ? Dis-moi ce que tu vois dans la glace. Tu aimes ? "
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Depuis le début de la soirée j'avais découvert une deuxième facette de moi, même si celle ci n'était jamais vraiment cachée.. Je venais de découvrir que j'était une grosse perverse. Oui je le pensais, une vraie 'cochonne' comme disait les hommes qui venaient chez ma mère le soir.
Je continuais a haleter sous le regard presque amusé de ma Maîtresse. Elle semblait aimé le spectacle que je lui offrais, et semblait vouloir m'en donner plus : Maîtresse attrapa un god ceinture qu'elle enfilait aussitôt. Elle se glissa finalement derrière moi et me caressa lentement, doucement.. Ses mains sur mon corps me faisait tellement de bien, j'en mouillait déjà, bien que mon premier anal me ferait surement mal..
Ce moment de douceur fut court : très vite, Maîtresse me pénètra violemment, m'arrachant un cri. Elle commença alors des vas et viens profonds, avant de me soulever et de me demander ce que je voyais dans la glace qui se trouvait juste devant moi.
" Haa.. Je.. Je vois une petite chienne qui aime.. Aime ce que sa Maîtresse.. Haann.. Lui fais.. Hmm.. "
Pour un premier anal je n'avais pas mal. Et puis sentir mon petit anus se dilater me faisait jouir de plaisir.
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" Fufu... Et maintenant, ma petite chienne, tu vas te retourner pour me faire face. "
J'attends que Tsuki s'exécute, pour recommencer à pénétrer son anus. Dans cette position, j'ai une vue parfaite sur l'ensemble de son corps. Son visage, affichant tout les signes du plaisir, ses seins qui bougent au rythme des vas-et-viens, sa minette dégoulinant de mouille, et enfin sa petite rondelle dilatée par le gode que je lui enfonce dedans. Je le vois d'ailleurs convulser, signe qu'elle va avoir son premier orgasme anal. Et je suis au premières loges pour y assister.
Ça commence par des petits cris, des tressautements. Puis son corps se tend, et son nectar gicle de sa fente, droit sur moi. Enfin, quelques derniers spasmes, et elle s'effondre, toujours empalée sur le gode. Quant à moi, je suis couverte de sa mouille.
" T-t-t, ça ne va pas, ma poupée... J'espère que tu comptes me nettoyer, pour m'avoir joui dessus de la sorte ? "
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Hum que c'était bon de se faire du bien.. Mon corps se tordit d'un coup et je jouit en laisser couler un jet de mouille. Je venais alors d'avoir mon premier orgasme anal. Dire que la plupart des femmes n'appréciaient pas se faire sodomiser.. Pourtant c'était une chose comme une autre pour ce qui est du sexe. Enfin, dire que je venais de découvrir que j'étais une espèce de perverse sado-maso. Qui l'aurais crût ? Une enfant pourtant si 'innocente', comme répétaient les gens du village.. Je ne sais pourquoi j'ai revu le visage de ma mère lorsque qu'elle jouissait elle aussi.
Du coup, je m'étais relâcher, laissant ma Maîtresse couverte de mouille et mon corps comme s'il était 'faible', fatigué. Un orgasme était d'une telle puissance qu'il pourrait surement endormir quiconque vient de goûter à ce plaisir.
" T-t-t, ça ne va pas, ma poupée... J'espère que tu comptes me nettoyer, pour m'avoir joui dessus de la sorte ? "
Je ne me fis pas prier et réunit mes forces pour aller lécher ma propre mouille sur la peau douce et chaude de ma Maîtresse. Ma petit langue s'appliquait à la tâche, récoltant le plus de mouille possible. Une fois mon travail terminer, je lécha le cou de ma Maîtresse avant de se blottir contre celui ci ; c'était un signe d'affection. De plus l'odeur de ma Maîtresse était si bonne.. On aurait envie de la manger..
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Gentille petite fille... J'observe Tsuki pendant qu'elle s'exécute, et savoure la sensation de sa langue râpeuse sur mon corps, en particulier lorsqu'elle passe sur mes seins. Son nettoyage terminé, elle vient se blottir contre moi, comme un animal affectueux. Je caresse ses cheveux et gratte ses oreilles, tout en réfléchissant.
Décidément, cette Tsuki est attachante. Mignonne, docile, perverse et affectueuse. Comment vouloir s'en passer ? J'imagine déjà tout un tas de scénarios pour jouer avec elle, certains étant même très osés. Mais pour cette nuit, je pense avoir assez joué comme cela. Après tout, elle venait de lui prendre sa virginité buccale, vaginale et anale.
" Allons dormir, ma poupée. Il y a encore de nombreux jeux, gardons-en pour plus tard. "
Et je ramène le drap sur nous. Pourtant, avec nos corps chauds et nus collés l'un à l'autre, je ne résiste pas à l'envie de la caresser de partout une dernière fois avant de sombrer dans le sommeil.