Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Myriade

Pages: [1]
1
Ville-Etat de Nexus / Des plumes entre les draps [Nô]
« le: dimanche 19 août 2012, 20:59:03 »
Les journées où Myriade n'avait pas trop à s'en faire étaient son quotidien. Un détail étonnant pour une esclave, et surtout une terranide.

Ce mercredi matin, le soleil brillait sans mauvais présage d'orage ou de pluie, premier bon point. La place du marché était tellement bondée à cause d'une foire que son marchand avait dû se déplacer dans les rues de Nexus, comme tous les autres esclavagistes, et les affaires risquaient de moins bien marcher - ce n'était pas bénéfique pour son Maître bien sûr, mais pour la tori ça signifiait d'avoir peut-être assez de chance pour que personne ne veuille la solliciter, ce qui nous faisait un deuxième bon point. Tout ce qu'elle avait à faire pour le moment, c'était de laver des vêtements et de les étendre sur un appareil de fortune construit pour la journée. Une tâche pas très fatiguante et qui lui permettait de s'adonner à une de ses activités préférés ; le chant.

Un troisième bon point, qui risquait d'attirer quelques foudres... non pas qu'elle chantait mal - son gazouillis délicieux retentissait dans toute cette partie de la rue, faisant ressentir aux rares passants une extase légère et même sourire son marchand qui se tenait sur une chaise un peu plus loin. Mais justement, c'était ce même gazouillis qui attirait l'attention sur sa personne, qui poussait homme et femme à se retourner, et à apercevoir ce délicat petit bout de femme laver le linge dans sa bassine et sa petite lessiveuse, habillée comme une ménagère, à se faire passer pour une vraie petite mariée. Mis à part la lourde chaîne autour de sa cheville droite et ses habits rapiécés, la terranide pouvait presque passer pour une fille libre. Une simple ménagère qui courait les rues de la ville, et qui s'était installée là pour étendre son linge, tant bien que mal.

« ...riade, tu écoutes quand on te parle ou non ?
- Ah... hein ? »

Le Maître poussa un soupir en se relevant avec difficulté – une certaine faiblesse des derniers jours qui l'avait gagné en même temps que ses épisodes migraineux. Il donna un coup de tête en direction du ciel, qui ordonnait à sa possession de se lever, ce que celle-ci fit sans hésiter, lâchant la cape qu'elle était en train de laver. En se relevant, la moinelle s'aperçut qu'une personne se tenait devant elle et qu'elle ne l'avait même pas vu, ou entendu, trop plongée dans son chant clair et la contemplation des bulles de savons. Elle s'inclina avec ferveur en guise de salut – et d'excuse, par la même occasion.

« Cette jeune dame te demandait ton nom et ton âge, mais il semblerait que ta lessive t'ait hypnotisé au point que tu ne veuilles même plus rendre le respect que tu dois à la clientèle, précisa sèchement l'homme.
- Je... non, ce n'est pas ça du tout ! J'étais...
- Tu n'écoutais pas, oui. Et ne me parle pas sur ce ton, j'ai plus souvent raison que toi. »

La terranide baissa la tête, ses joues rouges comme une pomme, tandis que son Maître continuait de la regarder avec sévérité. Il était plus tendre en privé, sans perdre son côté bourru et dominateur bien sûr, mais il fallait dés maintenant qu'il montre à quel point son pouvoir s'étendait sur sa marchandise. Une chose que la jeune tori ne comprenait pas, et elle se sentit peinée par le comportement de son Maître, mais surtout déçue d'elle-même pour ne pas lui avoir rendu ses honneurs en se comportant correctement.

« Bref, soupira le marchand en s'adressant cette fois-ci à la cliente, si vous la voulez pour la journée et avec les... spécificités que vous m'avez demandé, je vous la cède à 50 000 pièces d'or. Je vous accorde que c'est coûteux, mais Myriade pourra s'exécuter dans bien d'autres tâches que celle de vous donner sa virginité... bien qu'elle ne vous ait pas fait grande impression pour cette fois-ci. » lâcha-il ensuite.

Les petits rouages s'activèrent en-dessous du foulard que la terranide portait sur la tête. Louée pour la journée... pour l'acte sexuel ? Alors, c'était le moment ? Elle allait devenir une femme ? Ses camarades esclaves qui avaient perdu leur pucelage lui parlaient souvent de ce moment comme de quelque chose d'unique, de privilégié... de douloureux, et dans le cas des marchandises qu'elles étaient, d'extrêmement dégradant.
Elles avaient toutes mentionnés s'être retrouvés dans les bras de porcs libidineux pour leur première fois, mais il fallait croire que, comme d'habitude, Myriade avait plutôt de la chance. Sa peut-être-future loueuse n'avait rien d'un noble dégoûtant. La tête de la moinelle arrivait en haut d'une jambe blanche et longue ; elle n'était d'ailleurs pas sûre d'avoir déjà vu une gambette de cette taille et de ce glabre. Le yukata qui l'entourait était parsemé de couleur riches et vives, sa coiffure était compliquée et semblait impossible à enlever sans l'aide de plusieurs paires de mains. La noblesse transpirait de ce visage, de ces mains fines semblables à des ailes.

Myriade fut tellement impressionnée par la prestance de cette dame qu'elle en oublia d'ouvrir la bouche pour la deuxième fois de la journée. Ses joues se couvrirent à nouveau d'une délicate nuance rosée et ses yeux s'écarquillèrent, comme pour tout saisir de cette silhouette, chaque détail. Elle avait une envie irrésistible de toucher le tissu de l'habit magnifique, mais avec ses mains pleines de savon, s'aurait été une très mauvaise idée.

2
Les bas fonds / Un nouvel apprentissage [Jumelles Karistal]
« le: dimanche 19 août 2012, 18:39:48 »
S'échapper n'était pas la solution que la terranide préférait. Surtout que le ciel commençait à se couvrir, ne laissant même pas entrevoir la lumière du soleil à travers d'épais nuages d'un gris sombre, prêt à crever pour laisser sortir les horribles gouttes d'eaux qui effrayaient tant Myriade.

Mais au-delà de ses préférences, c'était devenu l'unique solution contre la situation inacceptable dans laquelle elle se trouvait. Même pour une esclave, ça devenait invivable. Depuis la mort du Maître et le changement de propriétaire de ses marchandises, les nouveaux Maîtres prenaient plaisir à écraser et à humilier l'ancien animal de compagnie de leur prédécesseur, sous prétexte qu'elle avait toujours été mieux traité qu'une esclave normale. Quand la journée était terminé, les autres esclaves prenaient le relai, semblant reprocher à Myriade de ne pas pouvoir apaiser la colère des marchands, comme elle le faisait autrefois avec le Maître décédé. La pauvre moinelle se faisait dérober ses repas, cracher dessus, certains se faisaient les griffes sur son dos, et comble du comble, lui arrachaient des plumes, ce qui la faisait hurler de douleur et débarquer les esclavagistes qui lui faisaient ensuite passer un sale quart d'heure.

En deux semaines, Myriade avait acquis plus de bleus et de bosses sur son corps fragile que n'importe quel autre esclave de la place du marché. Elle boitait et une de ses ailes semblait cassé, ce qui la rendait impropre à la vente. Mettre en valeur sa virginité n'y faisait rien ; il fallait lui laisser le temps de guérir, puis se débrouiller pour la vendre au plus vite.
La petite terranide fut mise dans un nouvel enclos, celui des mâles, en attendant sa guérison. Il n'y avait de place que dans celui-là, l'établi où dormaient les femelles était plein.
 Aussi incroyable que ça puisse paraître, Myriade n'était pas habituée aux attouchements ou à voir un membre masculin. Elle ne fut donc pas du tout à l'aise quand un terranide agrippa par derrière et que d'eux autres s'approchèrent pour la flairer, dégrafer le corsage de sa robe qui tombait en lambeaux, et enfin agripper un sein chacun. Même si Myriade ressentit une bouffée de chaleur agréable quand l'un d'eux se mit à lui mordiller un téton, elle se dégagea en dépliant ses ailes et réussit à s'enfuir – son collier avait toujours été bien trop grand pour son cou fin, il lui suffisait de forcer sous la panique pour sortir des griffes du métal froid et sombre.

La tori essaya de voler, mais avec son aile blessée, ce fut sur une courte distance. Elle se contenta de courir, passant à travers le marché, gagnant les rues de la ville, allant à droite et à gauche sans se soucier d'où elle allait atterrir. La liberté ne la tentait plus, elle avait fini par comprendre qu'une terranide dans Nexus était bien plus en sécurité dans son enclos que dans la rue, sans personne pour s'assurer que l'on la touchait sans autorisation.

Et maintenant, elle se trouvait là, dans une ruelle sombre, sous le palier d'une porte pour se protéger de la pluie.
Ses oreilles étaient tendus et ses yeux écarquillés par l'horreur, en voyant les premières fissures de lumière s'étendre dans l'horizon. Son cœur battait déjà à cent à l'heure, quand on lui saisit l'épaule et qu'on la jeta par terre, dans une flaque.

« Ben alors petit moineau, t'as perdu ton nid ? »

Par-dessus le ciel noir comme l'encre, il y avait à présent une silhouette à peine visible dans l'obscurité qui s'étendait à présent. Myriade s'était à peine aperçue qu'il faisait nuit, elle avait en fait passé cinq heures à fuir la baraque des marchands, et en voyant le sourire malsain que lui adressait l'inconnu, elle le regretta amèrement.
Il n'eut même pas le temps de sortir sa virilité qu'une petite main s'avançait vers son visage. Une petite main pourvue d'ongles épais et longs, de véritables griffes qui s'enfoncèrent dans son orbite droit et le firent tomber à terre en hurlant sa douleur.
Effrayée par ses cris, Myriade se releva et se lança dans une nouvelle course... qui ne dura pas bien longtemps. Quand elle gagna une ruelle un peu plus éclairée, quelque chose bloqua son chemin et la fit tomber de nouveau par terre.

En relevant la tête, elle crut voir double.

3
Place publique / Libre... comme l'eau dans un verre. [Mélinda Warren]
« le: dimanche 19 août 2012, 16:45:36 »
« Le Maître est mort, Tyls. »

Le dénommé Tyls mit un moment à saisir l'importance de ce que venait de lui dire son collègue esclavagiste. Machinalement, il enleva son chapeau rapiécé, avant de demander plus de détails, les yeux toujours écarquillés.

« Mort ? Mais... enfin, qu'est-ce qui a pu l'emporter en si peu de temps ?
- Ses migraines devaient cacher un mal plus profond, répondit l’annonciateur de la nouvelle en haussant les épaules. Ce que je sais précisément en revanche, c'est qu'on se retrouve avec son stock de plus de six cent cinquante bestioles à dispatcher dans tout le marché. Je cours dans tous les sens depuis ce matin. Là, je t'apporte ta part.
- Qui est de ?..
- soixante-dix esclaves, dont quarante-quatre femelles, qui contiennent elles-mêmes douze vierges, précisa l'arrivant en jetant un coup d'œil à son carnet de notes. »

Tyls prit un certain temps pour observer un à un les enchaînés qui se tenaient derrière celui qui les apportait. Tous semblaient en bonne santé, bien qu'un peu bouleversés par ce brusque changement de propriétaire. Leur ancien Maître était à la tête d'un petit réseau dont faisait partie les deux esclavagistes. Maintenant qu'il était parti, il revenait à eux d'écouler la marchandise et aux autorités de Nexus de décider qui deviendrait le futur possesseur de leur commerce, mais c'était une affaire qui ne serait pas réglée avant quelques semaines.
Le regard dur du vieil esclavagiste s'arrêta sur une petit silhouette qui devait lui arriver à la cuisse, emmitouflée dans une couverture, le regard vide et les yeux rougis.

« Pourquoi elle pleure, celle-là ? Aboya-il à l'adresse de son auxiliaire.
- Ah... tu n'as jamais entendu parler du sale petit secret du Maître ? »

L'esclavagiste qui tenait le carnet lança un regard de dégoût à Myriade, qui n'osait regarder personne.

« Une esclave qu'il n'a jamais voulu vendre, qu'il gardait prés de lui, qui lui chantait des berceuses tous les soirs... continua-il, son regard envers le moineau se durcissant de seconde en seconde. Apparemment, ça calmait ses douleurs au point qu'il décide de seulement la louer. Ça n'a marché qu'un temps, il semblerait... »

Il avait haussé la voix de façon à ce que la petite tori puisse l'entendre distinctement, mais ses oreilles étaient tellement sensibles qu'elle capturait le moindre de ses mots depuis le début. Il tenait à ce qu'elle se sente coupable pour une raison obscure – probablement par pure cruauté – et ça fonctionnait. Myriade ne s'était jamais senti aussi mal de sa vie. Elle craignait plus que tout la suite des évènements, d'être privé de ce train de vie plutôt confortable auquel on l'avait habitué, de devoir s'habituer à être traitée comme n'importe quelle esclave de Nexus.
Plongée dans ses pensées, l'adolescente n'avait pas entendu le vieux marchand arriver devant elle et tirer sur la couverture qu'elle tenait autour d'elle d'un coup sec. Ce fut un geste qui la fit immédiatement réagir.

« Non ! S'il vous plaît, je-
- Ferme-là, toi. Qu'est-ce que fais la couverture du Maître entre tes sales petites pattes ? Tu t'es cru privilégiée au point de piller ses biens après sa mort, peut-être ? Tu nous donnes tous envie de vomir. Lâche ça ! insista-il en haussant la voix. »

Il n'en fallut pas plus pour que les petits doigts s'ouvrent et laissent passer la matière souple et satinée. Le marchand la plia ensuite et la donna à son collègue, qui regarda d'un air mesquin Myriade se mordre la lèvre pour ne pas pleurer. Cette couverture était celle sur laquelle elle dormait quand le Maître voulait qu'elle reste auprès de lui. Elle avait encore son odeur et c'était en partie la raison du pourquoi elle voulait garder ce morceau de tissu.
Il s'était crée entre son Maître et elle une sorte de forte connexion, presque comme celle d'un père entre sa fille, mais avec des liens œdipiens qui allaient uniquement dans le sens de la terranide, et qu'elle n'aurait jamais avoué, pas même à elle-même. Le Maître lui manquait plus à elle qu'à quiconque d'autre, et elle avait encore du mal à accepter sa mort soudaine. Quand elle vit le jeune marchand s'éloigner avec son bien, elle sentit des larmes naissantes toucher ses cils, et elle baissa le regard, abattue.

« Bon, dit le vieil homme en s'adressant à ses nouvelles possessions, je vais bien trouver un moyen de tous vous caser. Certains vont aller directement sur le stand, on est sur le point de faire une vente aux enchères. Toi, continua-il en s'adressant directement à Myriade, tu y pars en premier.
- Ah... mais, pourquoi ?
- ...Précisément parce que tu te demandes pourquoi. Je n'ai pas envie de garder une esclave pourrie-gâtée qui n'arrive même pas à comprendre que son but principal, c'est d'être vendue. Tu te bouges et tu montes sur cette scène, avant que je m'énerve ! »

La terranide baissa les oreilles et s'empressa de partir vers l'étalage, les yeux écarquillés par la peur. Si ce nouveau maître devait être désagréable avec elle tout le temps, il valait effectivement mieux trouver un nouveaux propriétaire dés à présent.
La scène de bois supportait déjà quinze esclaves enfermés dans des cages aux barreaux assez écartés pour qu'on puisse les voir, mais assez serrés pour éviter le maximum de mouvements. Myriade passa par des sortes de coulisses, où l'on lui intima de se déshabiller, ce qu'elle refusa par pur réflexe au premier abord. Les gardes éclatèrent de rire sous son refus qu'ils jugeaient bien évidemment absurde et elle fut dévêtue de force, ne gardant que son lourd collier de fer largement trop grand pour son petit cou. Après quoi, on l'enduit d'huile parfumée et on la plaça dans une des plus petites cages en prenant soin d'attacher sa chaîne.

La foule commença à se presser dés le début de la vente et Myriade faisait tout pour éviter qu'on ne puisse la voir correctement. Ça pouvait en étonner certains, mais c'était la première fois qu'elle se retrouvait nue devant autant de personnes autres que des esclaves prenant leurs bains, et donc dans une situation aussi embarrassante. L'arrière de la cage était tapissé de barbelés qui lui piquait le dos et les ailes chaque fois qu'elle tentait de se reculer.
Chaque marchandise était libérée de sa cage quand venait son tour d'être placé aux enchères. Quand ce fut le tour de Myriade, elle sut que ce serait un véritable cauchemar d'être exposé ainsi aux yeux d'une cinquantaine de nobles libidineux. On lui demanda de se tourner, de déployer ses ailes, de se mettre à quatre pattes ou d'écarter les jambes. Elle se retenait à grand-peine de pleurer, sentant que si elle optait pour cette option, les coups pleuvraient...

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Le coin du chalant / Piou ^<^
« le: dimanche 19 août 2012, 00:54:36 »
> Vous souffrez d'un mal incurable par les traitements classiques ou la magie, et qui vous provoque des douleurs insupportables. Ce marchand qui vante les qualités curatives de sa petite esclave vous intéresse. (social/hentai non consentant)

> Personne n'a encore jamais laissé assez d'argent pour s'emparer de la virginité de la femme tori. Serez-vous le/la premier/première ? (hentai)

> Le marchand de Myriade a fini par succomber à ses migraines qui cachaient une maladie grave. Son stock est dispatché, et le moineau se retrouve seul, à vendre sur la place du marché, et va apprendre que plus aucun privilège ne lui est accordé. (social/hentai non consentant avec violence, voire BDSM)

> Une simple location pour la journée, en tant que fille de compagnie, ménagère ou escort-girl. (social)

> Même début que la trame précédente, sauf que finissez par abuser de la bonne volonté de Myriade (ou vous la droguez, la faites un peu trop boire...) et elle finira sous vos draps. (donc hentai dubcon, violent ou non selon la méthode de persuasion)

A propos de... : Je me soucie un minimum de la qualité (qui compte pour moi orthographe et ponctuation correcte) mais les lignes, ça m'est bien égal.
J'ai crée ce perso pour m'amuser avant tout et je tiens à ce qu'il en soit de même pour mes partenaires, donc si jamais quelque chose vous dérange ou si vous considérez notre futur RP comme contraignant, n'hésitez pas à me le dire, je ne mords pas (: (dans le deuxième cas, c'est avant tout pour qu'on puisse l'abréger au lieu de l'abandonner, il y aura toujours un terrain d'entente je pense)
Mon rythme de RP est... bah, en fait, je n'ai pas de rythme, c'est sans arrêt changeant ^^" je pense que c'est un détail à ne pas omettre.
Voili... ♥

5
Prélude / Myriade (Valithée)
« le: samedi 18 août 2012, 17:49:19 »
Nom : Myriade
Age : 15 ans
Sexe : Femelle
Race : Terranide-moineau
Orientation sexuelle : Inconnue
Situation de départ : Entièrement vierge, son rôle dans sa location est surtout celui d'une fille de compagnie ou d'une aide ménagère (bien qu'il soit possible de la louer pour l'acte sexuel, mais son prix pour cela s'avère tellement élevé que personne n'a encore tenté le coup)

Physique : Myriade fait partie de la race des terranides ailés, une espèce plutôt rare et assez mal connu du grand public, vu la fréquence à laquelle certaines personnes prennent les tori pour des anges. Cette fille n'a pourtant rien d'une céleste au sens physique du terme (parfois même au sens psychologique. Souvent, en fait...) ; ses plumes ne sont pas toutes blanches comme celles des anges, elles se mélangent à des nuances brunes et rosées, et le squelette de l'aile qui maintient toutes les plumes est noir, et d'une forme particulière. Ces apparats caractérisent Myriade et sont la partie la plus sensible de son corps,  lui arracher des plumes ou tirer sur ses ailes est un supplice pour elle et les esclavagistes ne s'en privent pas pour la faire se tenir tranquille.
Le reste de son corps, recouvert d'une peau jeune et de la couleur d'une pêche, est celui d'une terranide-oiseau classique. Ne dépassant pas le mètre cinquante, fine et aussi fragile qu'un moineau, ses formes s'accordent à son physique. Sa poitrine reste petite, mais elle est ronde et douce. Ses hanches sont très étroites, mais ça n'empêche pas ses fesses d'être attirantes. Ses jambes sont courtes, mais galbées par les nombreuses courses de son enfance. Myriade est donc un être à contraste, qui peut aussi bien être une gamine au physique ingrat aux yeux de l'un, et passer tout de suite après pour une délicate petite chose dans le regard d'un autre.
Au niveau de son visage, on remarque immédiatement les oreilles qui sont un autre détail physique propre à son espèce. Elles sont faites de plumes et longues comme celles des elfes, l'une est percée par un petit anneau d'or pur que personne ne peut lui enlever sous peine de se faire mordre la main. Les traits de son faciès sont plutôt enfantins, et ses yeux couleur caramel sont très expressifs. De courts cheveux roses complètent ce cadre poupin.
Myriade n'a qu'une seule tenue qu'elle porte habituellement et qui se compose d'un bonnet et d'une robe de paysanne dans un état discutable. Elle aime cacher ses mains entre les manches, des mains qui possèdent d'ailleurs des ongles violets d'une taille impressionnante, semblables à des griffes, voire des serres. Son marchand les coupe souvent, mais ils repoussent beaucoup trop vite. Concernant les autres habits qu'elle pourrait porter, on l'affuble souvent de costumes divers et variés selon les exigences du client qui est souvent riche pour pouvoir se payer une dame de compagnie ou une escort-girl, ou bien une simple aide ménagère. Myriade peut donc tout aussi bien porter une simple tenue de ménagère qu'une sublime robe de princesse.

Caractère : Cette terranide n'est pas le summum de l'obéissance, mais pour sa défense, son éducation est loin d'être achevée. Le marchand d'esclaves qui la possède dans son stock n'est pas un tendre, mais il n'est pas encore au courant que lorsque des séances du soir où il appelle Myriade pour calmer ses maux de têtes à l'aide de son chant, elle en profite pour lui faire subir un court lavage de cerveau qui le rend plus indulgent envers sa marchandise. De toutes façons, la frapper ne fait que la faire s'effondrer pour plusieurs jours, et il en a besoin. C'est sans doute pour cette raison qu'elle jouit un peu de ses faveurs, et donc, qu'elle ne respecte pas le profil de la terranide soumise et muette qu'on attend sur les stands de la place du marché.
Malgré son côté parfois énervant, Myriade est attachante. De par sa petite taille déjà, qui donne envie de la câliner, mais aussi à cause de son caractère joyeux et bruyant. Elle aime plus que tout jouer de la musique et est d'ailleurs douée pour ça. Loin d'être l'archétype de la gamine ingrate et capricieuse, elle met un point d'honneur à rendre service aux autres quand on la traite bien, se révélant être une parfaite petite femme d'intérieur. Mais ceux qui la battent ou l'injurient n'auront pas une miette de ses talents à se mettre sous la dent, car la jeune fille est aussi très rancunière... et une maligne, elle n'hésitera pas à utiliser ses pouvoirs pour calmer celui qui souhaite la frapper.
Mais Myriade se révèle aussi très peureuse, et si vous réussissez à la mettre hors de nuire (ce qui n'est pas vraiment compliqué vu sa carrure), elle vous obéira au doigt et à l'œil, elle a bien trop peur des coups.

Histoire : Myriade est née sans nom, dans une tribu qui n'avait ni langage, ni sens de la morale ou de la loi. Ils n'étaient pas pour autant anarchiques ou violents ; ils avaient l'habitude d'être toujours en bande, et leur sens du partage et de la fraternité a déteint sur la petite terranide depuis son plus jeune âge. Leur forme d'expression tournait autour de la musique, leur occupation était de trouver de quoi rassasier leur appétit léger. La vie du moineau tournait autour de tâches simples et de courses dans les airs, si bien qu'elle fut habituée à un trop-plein de liberté qui occultait toute prudence.
La tempête qui fit rage et détruisit leur habitat marqua profondément la petite terranide, car elle fut meurtrière et traumatisante. Elle en garda une peur incontrôlable envers les orages et la pluie, qui ne s'est toujours pas éteinte aujourd'hui. Cet événement fit suivre l'habituel scénario où les esclavagistes ont le beau rôle. La tribu ne subit pas de morts car ils étaient incapables de se défendre, affamés et épuisés à force de voler. Elle fut par contre dispatchée aux quatre coins de Nexus, et la plupart sont morts à cause des coups ou des tentatives d'évasions.
Myriade, elle, survécut parce qu'elle eut la chance de se tenir un minimum tranquille. Elle comprit vite que l'homme de Nexus ne souhaitait pas grand-chose d'autre d'elle qu'une certaine obéissance. Elle ne perdait rien à se soumettre et gagnait un gîte et un couvert, et surtout, un toit pour éviter de se prendre ces horribles gouttes d'eau et ces éclats de lumière tombant du ciel.

Au cours de ses cinq dernières années d'esclavage, Myriade a eut deux maîtres. Le premier lui donna son nom, ainsi que les aptitudes de femme d'intérieur que possède encore la terranide aujourd'hui. Il était quelque peu poète, de l'autre bord, et celle qu'il avait acheté pour être sa femme de ménage, il l'avait finalement pris pour muse en se délectant de son chant et de sa musique. Il en fit même un commerce en s'octroyant le titre de médecin charlatan. Quand il fut découvert et battu à mort par ses clients mécontents, le petit moineau se retrouva seul dans les rues de cette ville peu accueillante, devant supporter encore une fois sa nouvelle et pire peur : durant les cinq mois qui constituèrent son statut de clocharde, une dizaine d'orages sévirent dans Nexus et l'un d'eux faillit même tomber sur la pauvre petite alors qu'elle tentait de fuir le bruit en se réfugiant sous les arbres.

Elle en arriva à pratiquement se jeter dans les bras du premier marchand d'esclaves venu, qui devint son deuxième maître. Coupe en brosse, voix forte et sombre, muscles imposants. Une sévérité certaine qui s'atténua, quand il découvrit que la petite nouvelle était capable de calmer les horribles migraines qui le torturaient et l'empêchaient de trouver le sommeil, et qu'aucune magie ou aucun remède n'arrivait à guérir.
En décidant peu après de seulement louer Myriade et de ne pas la vendre, il en fit un cas à part dans son stock, l'adoptant dans un sens, en se comportant de manière presque tendre avec elle. Il la qualifie d'ailleurs plus « d'animal de compagnie » que d'esclave de nos jours.
Les autres esclaves auraient pu en être jaloux si les gazouillis de la nouvelle n'influençait pas le comportement du marchand envers eux ; ils devenaient mieux traités et du même coup, se vendaient mieux car en meilleur état.
Quant à Myriade, elle s'estimait heureuse d'avoir de nouveau un toit où elle était correctement nourrie et traitée. Ayant vu les traitements infligés aux esclaves ordinaires sur la place du marché, elle a même encore du mal à croire qu'elle ait autant de chance.

Détails :
- Son chant a des propriétés thérapeutiques, ses gazouillis permettent de fortement atténuer la douleur, la peine, la colère, ou même carrément d'anesthésier un blessé. Selon comment elle contrôle sa voix, il peut aussi devenir carrément hypnotique et si l'on en abuse, ses effets deviendront semblables à une drogue et il deviendra impensable de s'en passer. (c'est le cas de son marchand par exemple, qui ne veut pas vendre Myriade pour cette raison uniquement, préférant la louer pour des durées variables)

- Elle ne le sait pas encore, mais en cas de fécondation, elle pondra des œufs, comme toutes les femelles de sa race, qu'elle devra couver pour qu'ils grandissent et se transforment en bébés.

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