Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Harmonie

Pages: [1] 2 3 ... 12
1
Finalement l’avocat m’avais reconnue en précisant bien que j’était comme mon paternel. Je déteste qu’on me compare à ce charlatan! Ce n’est pas que je n’aime pas mon père, simplement nous n’avons absolument  la même vision de la vie. Toute son entreprise était basé sur la corruption et le mensonge. Ça je l’avais compris depuis bien longtemps déjà. Depuis toute petit mon père ne parlais que d’argent et tentait toujours de tout contrôler y compris moi. Je ne sais pas comment il était à en arriver à être aussi fourbe. Pourtant il avait commencer avec rien, il avait ouvert une petite entreprise de chaussure en Italie et très vite il devint très célèbre et l’entreprise s’agrandit jusqu’à ce qu’on vienne vivre au japon il y avait implanté plusieurs de ses usines. Sans doute le pouvoir qu’il lui avait fait perdre le sens de la justice et l’amour qu’il avait pour sa famille.

En vérité je n’avais jamais eu de vrai père: un père qui t’emmène à l’école, qui joue avec toi, qui fait fuir les monstre qu’il y a sous le lit le soir. Tant de chose que je n’ai jamais connue. Pourtant je ne ressent tristesse ou aucune colère de cet abandon. Il n’était pour moi qu’une banque. Et lorsqu’il refusait de me donné de l’argent je ressentais la même chose lorsqu’on s’aperçoit que sa carte bancaire s’est fait avalé à la tirette.

 « attendez! Je n’ai rien avoir avec lui! D’ailleurs il ne faut absolument pas qu’il soit au courant de cette histoire, jamais! »

Même s’il est vrai que mon père avait eu quelque échos sur ma prostitution il n’y avait jamais vraiment cru. Pourquoi ferais-je ça alors que mon père est multi millionnaire. Et puis cette affaire serai forcément rendu publique et ça serait une énorme humiliation pour lui et je pourrais tiré un trait sur mon héritage. Et surtout ma vie serait entièrement gâché. Mais maintenant que j’étais ici cet avocat allait surement m’être d’une grande aide.je me calmai alors et m’asseyais sur la chaise devant le bureau

 «   bon tout d’abord il faut me promettre que jamais cette affaire ne sera révélé au  grand jour, ni à ma famille, ni à la presse. Je ferais tous ce qui vous voudrez pour ça, je vous donnerais tout l’argent que vous voulez et n’importe quoi que vous désirez »

Mon maintenant il fallait lui raconter la fameuse affaire, et ça c’était plus délicat. Je me sentais très honteuse c’était la première foi de ma vie que j’était si mal à l’aise moi qui d’habitude est si sur d’elle et ambitieuse!

 « bon écoutez je sais qu’avec l’argent que gagne mon père je n’aurais même pas besoin de travailler pourtant j’en avait envie et il y a quelques années j’ai commencé à faire un petit boulot après l’école…. »

Je prit une grande bouffée d’oxygène il était temps de se jeter à l’eau j’était maintenant plus déterminé que jamais!

 « voila je me prostitue! Et il se trouve qu’hier soir un de les clients était en vérité un policier, qui après en avoir bien profité m’a passé les menottes et m’a emmener au poste. Mon jugement à lieu dans 5 jours. Et maintenant je suis là car j’ai besoin de vous. Je ne sais pas comment mais il doit bien y avoir un moyen pour me sortir discrètement de cette situation n’Est-ce pas?

2
Finalement il n’avait pas mal pris le faite que je ris au contraire il avait plutôt pris ça pour un compliment, et puis il faut dire que je me suis bien rattrapée ensuite. Non pas que ce que je lui était faux, seulement je n’avais pas envie de le vexé. Seulement  j’admet moi-même que mes réactions sont parfois plus que douteuses. Il était même surpris que je lui fasse un compliment. Je ne comprend pas pourquoi je ne faisais que dire la vérité, c’est juste qu’ici les gens ont tellement peur de la différence qu’ils en  deviennent blessant. En plus il venait de me complimenter donc je n’allais surement pas être méchante avec lui.

 « vraiment c’est rare? Je ne comprend pas ce n’est pas monstrueux pourtant. Et puis tu sais d’où je viens à Tôkyô les gens ont tous des styles les plus fous les uns que les autre alors tu passerais facilement inaperçu là bas! »

Et quelque chose mis à part ces yeux m’avais interloquée: son nom, Shino, prénom qui sonnait très japonais, hors son visage ne faisait pas pensé à celui d’un asiatique serait-il originaire d’un autre pays comme moi? En tout cette rencontre n’est vraiment pas anodine.

[/b] « mais dis-moi je me trompe surement mais tu n’es pas japonais n’Est-ce pas? Pourtant ton prénom est plutôt asiatique un de t’es parents l’est peut être? Ce la voudrait dire que tu es comme moi: mes parents viennent d’Italie. » [/b]

C’est vrai que je lui posait beaucoup de question mais ça faisais longtemps que je n’avais pas put discuter aussi simplement avec une personne et d’autant plus une personne qui me ressemble donc j’étais encore plus enthousiasme.

 « humm et bien ce n’est pas que je n’aime pas l’école en réalité j’aime beaucoup apprendre de nouvelle choses mais je pense que l’école ne nous apprend pas les plus essentielles. Et puis tout est si encadré on doit tous ce suivre comme des moutons, je trouve ça très oppressant. »

3
Prélude / Re : Heyah !
« le: samedi 12 mars 2011, 16:35:11 »
bienvenvue!! \o/

4
Pour le coup je suis vraiment la fille la plus mal chanceuse de  l‘univers!

Pour la première foi de ma vie je me retrouvais dans une situation où ça allait être dure de m’en sortir en toute discrétion. Mais pour comprendre tout cela il faut revenir quelques heures en arrière.
Hier après soir je m’étais mise en tête qu’il fallait absolument que je reprenne « mes activité extra scolaire ».  Je me suis alors posé à dans une rue assez chic de la ville, il fallait absolument que je me fasse un maximum d‘argent cette nuit. Je ne suis pas rester seule bien longtemps car quelques instants après mon arriver j’ai vue s’avancer vers moi un véritable prince charmant: blond, grand, musclé et surtout portant des vêtement qui coutent incroyablement chères!

Jackpot!! Ce type était le pigeon parfait. Il s’arrêta bien évidemment devant, et la suite tout le monde l’a connait. Le hic, c’est qu’après avoir fait mon boulot je me suis retrouver menotter et malheureusement ce n’était pas un jeu! Ce mec était un flic sous couverture, ce pervers à profiter de la situation avant de m’arrêter! Enfin bref je me retrouve aussi vite au commissariat de la ville. Après quelque heures de gardes à vue et en comprenant que je n’étais à la solde d’aucun proxénète  et après avoir payer une grande caution qui épuisa presque tout l’argent que j’avais sur mon compte, ils me relâché en oubliant pas de me préciser que mon jugement aura lieu dans 5 jours.

Bon ok il était hors de question que je prévienne mon père, le truc c’est que si je ne trouvais pas vite une solution il allait être prévenue de toute façon. Je commençais à fouiller dans mes affaire et magasine tomba par terre s’ouvrant sur une page. Le destin était avec moi: le magazine disait que le célèbre avocat Hiro Atayoshi était en ville. Ce nom ne m’était pas inconnue, effectivement cet avocat avait aidé de nombreuses fois mon père dans ces affaires frauduleuse.

Ni une, ni deux, je déchirai la page du magazine pour me rendre au cartier où ce trouvait son cabinet. Arriver là bas je déboule dans salle d’attente pleine ignorant le hurlement de la secrétaire. Puis je fini par arriver vers cette fameuse porte. Je frappe deux fois puis entre. L’homme était occuper à ses papier, mais peut importe il fallait se lancer.

 « bonjour….heu je sais qu’il faut un rendez-vous mais c’est assez urgent. Je ne sais pas si vous vous souvenez de moi mais vous avez aidé mon père autrefois et maintenant j’ai besoin de vous. »

J’avais peur mais j’étais déterminé. En même je doute qu’il me reconnaisse à l’époque je n’étais qu’une enfant, rien avoir avec celle que je suis devenue.

5
 j’étais toujours assise par terre regardant toujours mon interlocuteur, il était plutôt silencieux et le plus étonnant dans tout ça c’est qu’après mon arrivant en trombe et mes propos assez approximatif et ressemblant plus à des parole de personne perturbé qu’à une élève normal, il ne m’ai pas pris pour une folle n’importante quel élève de cette établissement aurais fuit à la seconde même ou j’aurais débarqué.
Pourtant il fini par me répondre et tourna son visage vers moi par la même occasion. Je n’ai pas put écouter attentivement ce qu’il dit car autre chose attira bien plus mon attention: son œil, effectivement l’un de ses yeux était rouge. Je ne put m’empêcher d’éclater de rire.

 « hahahahahaha!! Ton œil il..haha..il est rouge! Pfouhahaha!! Non attend haha pardon! Promis je ne me moque pas de te toi mais….hahaha! »

 Après quelque instant passé à essayer de me calmer. J’essuyais quelques larmes de rires perlant à mes yeux, repris ma respiration, posa mon coude sur mon genou pour pouvoir posé ma tête sur ma main et regardai à présent le jeune homme en souriant. Le pauvre il va vraiment finir par croire que je suis folle

 « excuse-moi, vraiment. J’ai pas du tout envie que tu crois que je me moquais de toi c’est juste que ça m’a surprise et puis je suis contente: tu sais moi aussi je suis  dans cette école depuis peu et tout le monde ici se ressemble alors voir quelqu’un comme toi avec un œil rouge qui en plus vient sur le toi et sèche les cours c’est génial! Alors je crois que c’est pour ça que j’ai ris et puis aujourd’hui je crois que c’est un jour pas comme les autres. »

 je m’arrêtai alors de parler, pensant que je devais surement l’ennuyer avec mon long monologue dépourvu de sens. Et puis je pensai que je ne m’étais  même pas présenter, ce n’est pas parce que je ne vais pas en cours que je manque d’éducation! Et puis de garçon à l’air sympathique. Je me relevai alors dépoussièrent un peu ma jupe. Ce type était vraiment grand par rapport à moi, mais je pouvais mieux voir son visage à présent. Je sourit.

 « en plus cet œil rouge te va très bien! Tu es très mignon! Je m’appel harmonie enchantée! »

6
 finalement le garçon se décida à me parler en premier, et me demanda si moi aussi j’avais des soucis. En y repensant bien il me semble n’en avoir jamais eu, en tout cas pas de gros problèmes que je n’aurais pas mérité. À chaque fois que je me retrouvais dans une situation préoccupantes c’est que je le l’avais cherché. Pourquoi? Surement pour fuir le milieu si lisse et hypocrite auquel j’appartient. Aussi longtemps que je m’en souvienne j’ai toujours été attirée par les truc dangereux et tous ce qui pouvaient choquer ou provoqué les autres. Finalement j’avais peut être simplement besoin d’attention, en réalité je suis la fille typique de parents riche et important dont les parents sont si occupé qu’ils en délaissent leur enfant. C’est peut être ça mon souci. Mais ça ne semblait pas me préoccuper tant que ça du moins en apparence.

 je levai ma tête vers le jeune homme, les yeux écarquiller presque surprise de sa question. Avais-je l’air de quelqu’un qui a des soucis. Et puis surtout c’était la première fois qu’on me posais cette question alors je n’étais très habilité a y répondre. Cette journée même était plutôt inhabituelle.

 « des soucis? Moi? Nan… enfin je ne crois pas… je ne sais pas vraiment en faite, je crois que j’avais simplement envie d’être ici… c’est étrange »

mon esprit était encore brouiller mais j’avais bien entendu la fin de sa phrase: « toi aussi.. » ce garçon aurait-t il des ennuie. Maintenant que j’y pense c’est la première foi que je le vois. Je n’ai pas parler à beaucoup de personne dans ce lycée mais ce qui est sur c’est que s’il était déjà là à mon arriver je l’aurais remarqué. Ce type est différent des autre garçon ici, les élèves ici se ressemble tous j’ai l’impression d’être avec des robots. Mais lui a quelque chose de différent je ne sais pas quoi mais une chose le sortait du lot.

 « dois-je en déduire que tu en as? Tu es nouveau ici n’est-ce pas? Je viens souvent ici et c’est la première foi que je vois quelqu’un d’autre que moi sur ce toit. Les autres ont peur d’y allé car c’est interdit, quelle bande de mauviette »

je redevenais complètement moi-même et mon énergie revenais petit à petit, je recommençais même à sourire la crise de tout à l’heure n’était peut être qu’épisodique.

7
35 minutes

 c’est le maximum que je peut faire. Je n’en suis plus capable, non rester enfermée dans une salle de cours de 8h à 17h à écouter une personne qui nous explique des trucs qui ne nous servirons à rien plus tard, à part à exercer un métier que tu n’as pas choisi, que tu as pris par dépit pour rentré dans le moule. À devenir un adulte ennuyeux comme tout les adultes à vivre avec son mari en banlieue d’une grande ville attendant sagement qu’il rentre du travail s’occupant de tes 2 enfants qui rentrerons eux aussi dans le même moule que toi. Et ta vie ne sera qu’une suite de moment lassants et monotones.

 non moi je veut sentir la vie, être heureuse, faire mes propres choix, savourer chaque moment chaque instant de bonheur. Ne pas planifier les choses à l’avance, partir à l’aventure sur un coup de tête, seule ou à plusieurs. en amont profité! Et il a fallut 35 minute pour que je le réalise. Tout les élèves regardaient attentivement le prof dans leur yeux vidés de toute émotion je voyais déjà la lassitude qui les guettaient du haut de leur 17 ans. Quelle tristesse! Moi je regardais à la fenêtre comme d’habitude, le soleil était haut dans le ciel! C’était l’un des rares bon côté qu’il y avait dans cette ville: à Tokyo on ne voyait jamais le soleil aussi bien, caché sous un gros nuage de pollution ici tout était plus pure, plus claire alors je ne comprenais pas  pourquoi les gens étaient si chiants!

 puis au bout de ses 35min se fut comme un déclic: habituellement  je sèche souvent les cours car je m’y ennuie mais cette fois-ci tout était différent je me sentais comme prisonnière de ce lieu. Ma Main toucha la vitre qu’on ne pouvait ouvrir bloqué par un verrou. Finalement c’était véritablement une prison. À cette instant là tout se vida dans ma tête et je me levai brusquement. Le prof arrêta sa leçon et me regarda interloqué. Je me dirigeai alors vers la porte, cette porte devenais alors pour moi le Salut vers la liberté.

 «  Harmonie! Harmonie revenez tout de suite où vous aurez des problèmes! Je vais prévenir votre père! »

 je me mit alors à courir aussi vite que possible, je ne savait pas trop où j’allais mais je voulais simplement sortir d’ici. Cet imbécile de prof me fait bien rire! Qu’il prévienne mon père s’il veut à ce moment là je suis comme seule au monde et plus rien ne compte à part courir aussi loin que possible. Je franchis la porte qui me conduit vers l’extérieur. Le soleil m’éblouit tellement que je suis forcé de mettre ma mains devant mes yeux, je suis essoufflée et aveuglée et pourtant le soleil m’attire toujours autant. Et comme Icare je risquais fortement de bruler les ailes à ne jamais écouter les conseils de mon père. Mais pour l’instant tout ce qui me préoccupais c’était de pouvoir me rapprocher un peu plus près de ce ci bel astre!

je me retournai alors et mon regard se posa sur le toit de l’école. Sans réfléchir je me mit à nouveau à courir. L’école avait trois étage et jamais on a vue une personne les monté aussi vite j’ouvrai enfin cette ultime porte qui me menait enfin vers le lieu de toutes mes espérance. Et bien qu’on ne soit pas très haut j’avais l’impression d’être au sommet du monde. Je ne remarquais même pas que le toit était déjà occupé. Je m’avance jusqu’au grillage et y passa mes doigt, finalement on était toujours enfermé même au sommet. Mon espèce de transe retomba peu à peu et je retrouvai doucement mon état normal et par la même occasion mon souffle. Je remarquai alors à mes côté un jeune homme d’à peu près mon âge. J’ai du vachement l’effrayer à débouler comme une dingue, enfin! Tan pis! Toute la pression que j’avais accumuler pendant mon petit moment de folie était maintenant complètement retombé et je me sentais vidé. Mon corps se laissa alors tombé et mes yeux fixaient le ciel d’un bleu toujours aussi magnifique.

 « mais qu’Est-ce qui m’a prit? »

8
cette homme savait parfaitement si prendre et on voyait au moindre de ses gestes qu’il possédait une grande expérience en matière de sexualité. En tous cas ça commençait extrêmement bien! Et même si je commençais légèrement à lui caresser l’entre jambe il semblait vouloir garder le contrôle entier de la situation, libre à lui je n’aller pas aller contre cette exquise attention.

bientôt je sentais sa langue doucement entré en moi, quelle délicieuse sensation, mon corps se cambrait sous ses coup de langue à chaque fois un peu plus violent. Mes gémissement se firent à chaque fois plus intense, mon corps bouillonnait et je sentais des gouttes perler de mon ventre, de mes seins et aussi de mon visage. La cyprine coulait à flot et cet afflue de liquide ne semblait pas le déranger au contraire il semblait  se délecter de ce doux breuvage.

  il était toujours à l’œuvre et je me redressais pour pouvoir observer le moindre de ses gestes, c’était si bon. Les yeux à demi-clos et je me forçais à fixer le plafond pour ne pas venir tout de suite. Presque instinctivement mes mains vinrent se posé sur sa tête, j’agrippait sa chevelure blonde pour appuyer un peu plus son visage contre ma fleur!

 « hummmm…. C’est si bon!! »

seulement voilà, il ne fallait absolument pas que je jouisse maintenant car je voulais moi aussi lui montré que j’étais doué pour ce genre de chose! Le hic c’est qu’a ce rythme là il aller me faire venir et vite. Je mis alors ma mains sur mon intimité ce qui le stoppa net. Je reprit peut à peu mon souffle.

n’en faites pas trop monsieur le sauveur, et montré moi votre belle engin pour que je puisse  vous prouvez tout l’étendu de mon talent! »

9
Le quartier de la Toussaint / Re : Plaisir [PV Harmonie]
« le: dimanche 13 février 2011, 17:37:32 »
j’avais toujours les yeux fermé, confiante, j’était certaine que ce type ne m’emmènerais pas dans un endroit louche. Cependant quelque chose d’étrange ce produisit. J’ouvrait alors à demi les yeux: nous n’étions plus du tout dans cette ruelle lugubre, nous nous trouvions à présent dans une grande chambre d’hôtel assez luxueuse. Comment avait-il fait ça? Me serais-je évanouie pour de vrai.

je le vis se tourner vers moi se qui m’obligeât à fermé de nouveau les yeux je devait à présent sentir les chose à l’instinct! Je sentait un odeur de cigarette, il devait certainement fumé. Ce qui était sûr c’est que nous étions seul, car je n’avais entendu personne d’autre. Bien maintenant c’était le moment de me « reveiller »

doucement j’ouvrai les yeux dans un petit gémissement comme sortie d’un profond sommeil. Je me redressai maladroitement pour donner l’illusion d’être encore dans les vapes. Je me vis se retourner silencieusement et je le regardais avec un air étonné.

 «  Ou suis-je… et hmmm qui êtes vous? J’étais dans une rue quelqu’un me pourchassais… je… je ne comprend pas très bien ce qui c’est passé »

10
Prélude / Re : Neidhart [Valibreizh]
« le: mercredi 26 janvier 2011, 23:21:39 »
"quel lâche!"

regarde ses seins

"aplati? ce type à une mauvaise vue!"

s'en va à son tour

11
Prélude / Re : Neidhart [Valibreizh]
« le: mercredi 26 janvier 2011, 22:50:41 »
même pas XD 



12
Prélude / Re : Neidhart [Valibreizh]
« le: mercredi 26 janvier 2011, 22:35:05 »
"oui oui je sais ils sont parfaits hahahaha!!"

13
Prélude / Re : Neidhart [Valibreizh]
« le: mercredi 26 janvier 2011, 21:37:38 »
bienvenue \o/

14
Le quartier de la Toussaint / Re : Plaisir [PV Harmonie]
« le: mercredi 12 janvier 2011, 12:24:14 »
Je suis la meilleure comédienne du monde! Si bonne que je mériterais même un oscar, ce garçon était tombé facilement dans mon piège c’était presque trop facile! Bientôt il me donnera tout son argent, ce n’était qu’une question de temps. De plus ce jeune homme ne semblait pas manqué d’argent il portait un costume noir avec une chemise blanche accompagné d’une veste noir des plus classe. C’est le genre de costume que seulement une poignée de personne pouvait ce permettre d’acheter. La chance était avec moi ce soir!

Bon maintenant que la partie était commencé il fallait que je l’entraine dans un endroit ou nous puissions être tranquille. Après tout je ne suis pas n’importe qui, je n’allais pas me donner à lui comme ça dans une rue salle et dégoutante. De toute façon il fallait à tout prix partir de cette  endroit sinon ce type allait finir par s’apercevoir qu’il n’y avait absolument personne qui me pourchassait.

je fit alors trembler mes jambes et les larmes continuaient à ruisseler le long de mon visage. Je faisait en sorte que ma respiration s’accélère pour donner encore plus l’illusion de panique. Je le tirais alors par le bras, le suppliant de nous en aller.

 « Par pitié partons! Il va revenir j’en suis sur! Allons nous en ou il me fera encore du mal.

et sur ces quelques mots je m’évanoui dans ces bras. Bien sur tout cela n’était encore une foi que pur comédie. Maintenant il était obligé de partir. Ce garçon semblait trop gentil pour abandonné une pauvre fille en détresse en plaine rue. Maintenant il ne fallait absolument pas que j’ouvre les yeux quoi qu’il arrive!

15
Le quartier de la Toussaint / Re : Plaisir [PV Harmonie]
« le: dimanche 09 janvier 2011, 20:00:00 »
Je suis maudite! C’est vraiment ce que je vais finir par croire, depuis mon arriver dans cette ville il ne m’ai vraiment rien arriver de marrant. Et voila que maintenant mon père refuse de m’envoyer de l’argent à cause de mes mauvais résultats scolaire. Cet égoïste! Il a oser rétorquer qu’il fallait que je me trouve un travail, le naïf, s’il croit que je les attendus pour ça! Évidemment il m’a donner des idées de petits boulot: vendeuse, serveuse, nourrice. Il rêve s’il croit que je vais me rabaisser à ça! 

ces ridicule conseil m’ont bien fait rire malgré tout. 23h45 il est l’heure d’y aller. Cela faisait un moment que je n’avais pas exercer. Ce métier était le seule que je trouvais honorable. Bien évidemment la plus part des gens pense le contraire et beaucoup me montrerais du doigt s’ils étaient au courant: qu’Est-ce qu’une fille de bonne famille ce rabaisse à vendre son corps à de vieux pervers, cette jeune fille est folle!

j’avais entendu ça de nombreuse fois. Mais moi je ne voyais absolument pas ce métier comme quelque chose de dégradant. Bien au contraire, je choisissais mes clients et les faisait payer excessivement cher! Autant joindre l’utile à l’agréable: je prenais mon pied et j’amassais de l’argent, que demander de plus. Tout ces gens sont simplement jaloux!

je portait une chemise blanche outrageusement ouverte laissant apparaitre des dessous rose bonbon à dentelle noir et une mini jupe noir. Tenue plutôt simple, mais c’est bien connue la simplicité fait souvent mouche http://img10.hostingpics.net/pics/286036gfhghg11.jpg
je marchais alors dans la rue. Je ne voulais absolument pas avoir l’air d’une prostituer sinon ça aurais attiré tout les pervers.

j’aperçut alors un homme à quelque mètre de moi. Il n’étais que de dos pourtant je savais qu’il était beau! Il avait la démarche d’un homme sur de lui et élégant, une longue chevelure bleu et son corps semblait toujours musclé malgré qu’il soit recouvert d’une couche de vêtement. J’accélérait alors mon pas pour ne pas le semer. Je regardait bien autour de moi. Personne, c’est parfait je pouvais alors passer à l’action.

ma fierté refusait de me montrer sous mon vrai jour: une prostituer. Et j’avais exactement le plan parfait pour pouvoir m’approcher de lui: la demoiselle en détresse, tout les hommes craquent devant une jeune fille en danger. Je suis un véritable génie! Je pris alors un air apeuré en courant vers lui. Arriver à sa hauteur je lui agrippai le bras, essoufflée, les larmes au yeux.

 «  aidez-moi! Je vous en supplie aidez-moi! Un homme me poursuis! Je suis en danger!

il était vraiment magnifique de face un visage si beau que je fut presque troublée, mais il ne fallait pas se laisser distraire je devais jouer mon rôle à fond. Mon chemisier était bien ouvert et j’avais pris soins de bien me compresser son bras contre ma poitrine.

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