'' Aidez-moi quelqu'un ! ''
Cette voix, c'était la voix d'une personne en détresse ! Une touche de peur dans la voix, un petit étouffement pendant que tu cries ces quelques mots, une pression contre les cordons vocaux comme si tu allais pleurer. C'était exactement un appel à l'aide ! Jamais je n'aurais fais confiance à cette voix si je le savais ce qui m'aurait arrivé. Je n'étais pas trop naïve, pas d'un seul grain ! Mais ma vocation en tant qu'agente de la B.S.A.A de l'association des S.T.A.R.S ( Section Tactique Armée pour Recherches et Sauvetages) m'avait appris et d'ailleurs j'en avais fait le serment : que lorsque quelqu'un appel à l'aide, c'est vital ! Je dois aller à son secours immédiatement au risque qu'un être humain meurt. L'être humain est une personne importante et il ne faudrait pas perdre une vie ou qu'elle se fasse changer en zombie causé par le virus-G ! Tout d'un coup, tu commences à te sentir faible, tu t'assoies, mais là, la douleur est trop grande sur ton cœur ! Tu crois que c'est une crise cardiaque et là tu t'arrêtes au bon milieu de la pièce, tu ne penses soudainement plus, tu ne vis plus et une faim te prend comme cela d'un claquement de doigt. Il faut que tu manges, de la chair fraîche ! Voilà comment tu deviens un zombie. Mais, je n'allais pas laisser tout cela se produire. Moi, Jill Valentine, j'en ai fais le serment et je tiendrais ma promesse même s'il faudrait que j'y donne ma vie ! Les cris tenaient toujours leur ténacité : '' au secours '' , '' j'ai mal '' et compagnie suivait leur route et devenait de plus en plus claire ! Même que les cris faisaient de l'écho. Je pris mon arme sur la ceinture de mon uniforme d'agente de la B.S.A.A et l'apportais droite au cœur. L'écho se faisait nettement plus fort lorsque j'arrivais proche d'une espèce de petit tunnel en demi-cercle. On pouvait apercevoir ma silhouette dans l'entrée de celui-ci. Je plissais les yeux pour apercevoir à travers la couche de brouillard qu'il y avait dans l'air. Je finis par voir une silhouette d'homme, tête vers le sol. Il semblait mal en point vue de loin. Je courrais maintenant.
« Tenez bon ! J'arrive ... et voilà ! »
Je m'accroupis vers l'homme qui exprimait des gémissements de douleur. Je le retournais et plaçais ma tête contre son torse pour voir si le cœur battait toujours. Il avait un rythme normal ... Mais alors ? Était-il vraiment souffrant ?