Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Mach Bonin

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Mach était finalement revenu à Seikusu après une longue période passée sur Terra. Et bien entendu, lorsqu’il pénétra dans son petit appartement, le frigo était vide. Et comme il ne savait pas combien de temps, il allait rester ici avant qu’une nouvelle mission l’en éloigne, le jeune homme décida d’aller faire quelques courses. Et bien sur, il lui fallut de l’argent, si bien, qu’il ouvrit l’une de ses caches dans le plancher et en sortit quelques billets avant de tout refermer soigneusement et quitter son appartement.

Le centre commercial n’étant pas loin de son appartement, le mercenaire décida d’y aller à pieds, sans s’être changé, juste retiré quelques armes, conservant un simple pistolet et son inséparable poignard pour parer à toutes éventualités. Ainsi, une fois sur place, ses armes n’étant pas visibles aux yeux des gens, pour éviter un mouvement de panique, Mach s’était directement rendu au rayon alimentaire de la grande surface, puisque s’était ce qu’il avait besoin, et de rien d’autre.

- Hmm,.. Sur quoi mes choix vont s’arrêter cette fois ?

Marmonna t il devant le rayon des plats préparés. Son panier n’était pas ben remplit pour le moment, juste un sachet de fruit qu’il avait récupéré au rayon correspondant, et quelques laitages, fromages comprit qu’il avait prit au rayon frais pour ses desserts. On aurait u supposer que s’était un choix cornélien qui le turlupinait, sur les différents plats ou le prix de ceux-ci. Mais, non, s’était surtout sur le nombre qu’il allait en prendre, car il essayait de prévoir combien de temps il allait pouvoir rester cette fois là, puisque cela serait quand même idiot d’acheter de trop et laisser le tout pourrir en son absence.

Finalement, il se décida, et prit une dizaines de plats divers avant de quitter le rayon, pour passer au suivant. Le reste alla tout de même plus vte, ne s’arrêtant que quelques secondes pour prendre ce dont il avait besoin avant de changer de rayon.  Ainsi, le seul autre rayon où il traina un peu fut à la papeterie, alors qu’il feuilleta quelques romans pour voir si l’un d’eux pouvait être suffisamment intéressant pour qu’il le prenne.

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Les terres sauvages / Quand le chaos règne [PV Brynhildr]
« le: jeudi 28 octobre 2010, 15:14:48 »
Mach se retrouvait à crapahuter dans les terres sauvages de Terra. La raisons, était qu’on avait demandé de l’aide à des mercenaires pour protéger des villages, dans un premier temps, puis partir à la poursuite de monstres et de démons. Enfin s’était ce qu’un homme qui l’avait rencontré à Nexus lui avait demandé. Celui-ci semblait apeuré et avait dit que l’ampleur de ses attaques n’avait encore été jamais vu, et que de plus en plus de villages en subissaient. Si bien que la population terrifiée n’avait d’autres moyens que d’appeler à l’aide.

L’homme en question qui avait recruté Mach, et sans doute beaucoup d’autres, avait avancé l’hypothèse que ces attaques n’étaient pas sans sens, mais au contraire préméditées, comme si quelqu’un tirait les ficelles de celles-ci, sans qu’on ne sache réellement quelles étaient ses intentions. Ainsi, le jeune homme s’était retrouvé mêlé à cette histoire, non pour la récompense, ou l’envie de faire justice, mais simplement parce que cela l’occuperait. En effet, s’était la seule mission intéressante qu’on lui proposa, et s’était aussi celle où il avait une totale liberté d’action, tant qu’il repoussait les assaillants. Même pas besoin de se préoccuper de ne pas causer de dégâts dans les villages, puisque pour la plupart de ceux qui étaient attaqués, ils avaient déjà subi beaucoup de destructions.

Ainsi, après s’être assuré de bien être équipé, avec un nombre de chargeurs conséquent, Mach avait quitté Nexus pour l’un des villages qui avait été attaqué. La route serait cependant longue, car l’homme lui avait dit qu’il aurait une bonne semaine de marche à faire avant d’atteindre le petit village. Le soldat avait donc prévu une bonne dose de nourriture et d’eau pour la route, qu’il se rationnerait tout de même pour en avoir le plus longtemps  possible, même une fois au village, puisqu’il ne saurait pas ce qui l’attendrait réellement.

Quand une semaine plus tard, il finit par arriver devant le village, il put constater l’état de délabrement, voir de ruine de la bourgade. Devant celui-ci on pouvait y voir plusieurs tentes, que cela soit celles des habitants qui ne pouvaient plus vivre chez eux, pour des raisons évidentes, ou celles de mercenaires arrivés avant lui pour protéger le village.

- Tiens en voilà un nouveau !
- Ouais, je pari qu’il ne va pas durer longtemps celui là. Actuellement, on en voit arriver qui se font tué à la première attaque.

Echangèrent deux hommes en voyant Mach arrivé. Celui-ci ne leur adressa qu’un bref regard, et vu leur état physique, il comprit que ce n’était pas de la fanfaronnade de leur part. En effet, ceux-ci étaient couverts de blessures récentes, soignées ou non d’ailleurs.  Et malgré leurs moqueries, leur expression faciale était loin de suivre leur parole. Ce qui laissa supposer à Mach, que les attaques que subissait le village étaient loin d’être des parties de plaisirs. 

- Ils n’ont pas du s’amuser longtemps !
- S’est pas peu de le dire avec une attaque par jour en moyenne ces derniers temps.

Mach se tourna alors vers un vieil homme, trop âgé pour marcher sans l’assistance d’une canne. Il semblait en avoir pas mal bavé lui aussi ces derniers jours, mais relativisait assez bien visiblement3

- Je suppose qu’on va pouvoir s’attendre à une attaque d’ici peu alors ?
- Oh, non, on devrait être tranquille à présent, ils ont attaqué à l’aube ce matin.

Suite à cette réponse le vieil homme montra une direction où les hommes les plus valeureux, ou ne voulant pas rester inactif, déblayaient les rues du village des dépouilles des montres, démons qu’ils entassaient sur un tas à la sortie du village pour les faire bruler par la suite. Alors que d’autres creusaient des tombes pour enterrer les mercenaires et villageois qui étaient tombés lors de la dernière attaque.

- Et je suppose que s’est la même chose sur tous les villages attaqués !
-En effet, on sait qu’une dizaine d’autre peuplades été attaquer, mais, il pourrait y en avoir bien plus qui furent rasés avant qu’on ne puisse se dire de résiste.

Le vieil homme paraissait drôlement calme malgré ce qu’l avait traversé. Mach avait pu voir d’ailleurs quelques coupures montrant qu’il avait sans doute lui aussi participer aux premiers affrontements.

- Et vous sauriez si quelqu’un a décidé d’organiser les défenses ou si s’est chacun fait comme il veut ?

La, le vieil homme soupira, répondant par la même occasion à la question de Mach, qui comprit donc qu’aucune organisation n’avait encore été mise en place pour tenter d’améliorer la défense du village. Chose qu’il aurait pu deviné en ne voyant aucune barricade, ou protection visant à empêcher les monstres de pénétrer le village. Cependant, il fallait bien reconnaitre que leur nombre actuel n’aurait sans doute pas permit une telle entreprise.

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Le quartier de la Toussaint / Quand les problèmes surgissent [PV Anéa]
« le: mercredi 20 octobre 2010, 16:02:12 »
Ce matin là, Mach arpentait les rues du quartier de la Toussaint sans plus de craintes que les autres jours. En effet, il saluait de temps en temps, une personne qu’il croisait souvent, que se soit un marchant, une fille de joie, ou toute autre relation qu’un mercenaire pouvait avoir dans ce genre d’endroit. Cependant, il se rendit vite compte que quelque chose clochait autour de lui. Bien sur s’était qu’une intuition, et le quartier en lui-même était réputé pour ses dangers, mais, l’ancien soldat avait le sentiment que quelqu’un le suivait. Cela le fit d’ailleurs plus sourire qu’autre chose. La raison était simple, puisque le ou les personnes, il ne parvenait pas encore à le déterminer, n’était visiblement pas très doué en filature, ou du moins pour dissimuler sa présence et une personne étant sur ses gardes l’aurait vite détecté.

Et Mach les avait détecté aisément, si bien, qu’il put choisir son itinéraire en tenant compte de ce facteur. Ainsi, alors qu’il passait d’une rue à l’autre, en tentant de se montrer naturel dans sa démarche. Une accélération de rythme aurait surement donné l’alerte à ses poursuivants sur le fait qu’ils avaient été repéré et les auraient donc sans doute poussé à agir plus vite. Hors, le jeune homme voulait profiter de son avantage pour les conduire dans une zone dégagée, ou du moins de toutes personnes pouvant subir des blessures par inadvertances.  Il zigzagua alors dans la foule ou passa dans des rues désertes, ayant parfois le sentiment de les avoir semé, mais, ceux-ci le retrouvaient finalement toujours, que se soit volontaire de sa part ou non.

- Vous semblez visiblement déterminer à m’avoir !

Marmonna Mach calmement, jetant un furtif coup d’œil par-dessus son épaule pour compter brièvement le nombre de ses poursuivants. Il n’en décela que cinq à première vue, et finit par tourner dans une impasse. Et cet acte était loin d’être accidentel, puisqu’il avança jusqu’au fond, passant à côté de grosse poubelles métalliques, qu’il prévoyait comme couvert éventuel, et des cartons ou tonneaux de l’autre côté de la rue. Il avança jusqu’au fond, restant face au mur.

- Et bien, on dirait qu’on est fait comme un rat !

Dit alors l’un des hommes se trouvant à l’entrée de l’impasse, quatre de ses compères de chaque côté avançant sur toute la largeur de l’impasse. Ils affichaient des sourires amusés, mais, moins que celui de Mach, qui le dissimulait toujours en leur tournant le dos.  S’ils savaient que s’était eux qui venaient de tomber dans son piège, ils riraient moins.

- Et que me voulez vous pour me suivre depuis un bon moment déjà ?

La question du jeune homme, alors qu’il se retournait lentement pour faire face au petit groupe, sembla les surprendre.  Cela ne manqua pas de le faire rire, alors que ses mains étaient dissimulées sous sa cape, posées bien sûr sur ses armes, alors qu’il avait cinq pistolets pointés dans sa direction.

- Cela, tu n’as pas besoin de le savoir.
- Je viendrais donc à penser que s’est une vengeance quelconque, bien que je ne me souviens pas de vos tronches messieurs.

La remarque ne sembla pas plaire au petit groupe, à moins que se soit le calme apparent du mercenaire qui les fasse enrager. Quoi qu’il en fut, ceux-ci n’attendirent pas plus pour déclencher le déluge en tirant de leurs armes. Cependant, en plus d’être de mauvais tireurs, ils n’avaient pas les réflexes de Mach, qui était déjà en train de plonger à couvert derrière la poubelle, en sortant son propre pistolet pour pouvoir riposter.

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Les bas fonds / Une chasse en térritoire dangereux [PV Sodom Saphyra]
« le: dimanche 10 octobre 2010, 14:29:19 »
A peine avait il eu le temps de faire un bref retour sur Terre, que la mission qu’on lui confia l’obligea à retourner sur Terra.  En effet, l’homme que Mach avait rencontré sur son monde natal, et qui en apparence semblait être assez riches, et avec de nombreuses connaissances influentes, lui avait demandé de trouver un certain objet. Le Hic était que ce dernier était sur Terra et dans une contrée contrôlée par de puissants démons d’après lui. D’ailleurs, cela surprit un peu le mercenaire, et non parce que l’homme connaissait Terra, puisque cela devenait quand même de plus en plus banal, mais parce que ce dernier semblait déjà avoir réussi à nouer des contacts avec des personnes sur son autre monde, tout en commençant à y avoir de l’influence.

- Et vous avez un moyen qui me permettrait de trouver cet objet ?

Furent les mots que prononça alors Mach, assit en face de l’homme dans l’un des bars de la ville. Ce dernier étant bien entendu flanqué de deux gardes du corps, debout derrière lui, et l’ancien soldat doutait que se soient les seuls présents.

- Ne vous en faites pas pour cela, vous ne serez pas seuls sur cette mission ?
- Vous ne me faites pas confiance donc ?
- Loin de moi cette idée, vos qualités de mercenaires m’ont déjà été grandement recommandé. Je répondais juste à votre question, en vous disant que vous auriez un partenaire, et donc un guide pour vous aidez à le trouver. D’ailleurs, je pari qu’il vous facilitera la tache pour pénétrer cette contrée démoniaque où est censé reposer l’article que je vous demandes.

Furent les mots échangés par Mach et le commanditaire. Bien sur, il y en aurait bien d’autre pour finaliser le contrat, et que le jeune homme se fasse conduire jusqu’à un portail pour pouvoir changer de monde. Bon avant, il avait quand même demandé à l’homme qui lui servait de chauffeur de faire un détour par le quartier de la Toussaint afin que Mach puisse s’approvisionner en armes et munitions. Et vu le danger de la mission, le mercenaire ne lésina pas sur l’équipement. En effet, il prit plus de grenades et chargeurs que d’habitudes, sans compter, qu’il opta pour un fusil de plus gros calibre, et une cadence de tirs plus élevée qu’à l’accoutumée, puisqu’il était censé devoir affronter des démons d’après les dires de son patron.

Ainsi, el l’espace de vingt quatre heures, et seulement quelques jours après son retour sur Terre, Mach était de retour à Nexus. Et il ne perdit pas de temps, puisqu’après un dernier coup d’œil au papier indiquant le nom du bar dans lequel il devrait retrouver son contact, il se mit en route. Mach ne serait cependant pas surprit de découvrir que ce dernier se trouvait dans les bas fonds de la ville. Il en sourit même lorsqu’il arriva dans le quartier, puis devant la porte du dit lieu.

- Décidément, s’est toujours dans ce genre d’endroit qu’on rencontre nos coéquipiers !

Dit-il sur le ton de l’amusement avant de pénétrer dans le bar en question. Et comme on pouvait s’y attendre, personne ne tourna le regard vers lui, comme si cela ne les intéressait pas.  Et il s’avança alors, cherchant discrètement la personne qu’il devrait rencontrer parmi toutes celles présentes, et qui d’apparences n’avaient rien de recommandables pour un citoyen lambda. Posant son regard sur la pendule qui était pendue au dessus du comptoir, il put remarquer qu’il était en avance, et alla s’installer au bar lui-même et commanda à boire en attendant son contact. Le signe de reconnaissance avait été un bandeau rouge noué autour du bras, et Mach avait placé le sien de façon assez évidente.

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Le quartier de la Toussaint / Repressions des crimes sexuels [PV Jezebel]
« le: samedi 14 août 2010, 20:55:08 »
Mach s’était rendu dans le quartier de la Toussaint, et plus particulièrement dans un bar, où il savait qu’il pourrait trouver quelques boulots dans son domaine de compétences. Certes, ceux-ci étaient loin d’être légaux, mais, il ne savait rien faire d’autre, et vu sa situation actuelle, il ne pouvait pas rechigner sur ce genre d’emplois.  Mais, cette fois, la chance n’était pas avec lui, puisque tous les contrats intéressants avaient déjà trouvé preneurs, et il avait donc quitté le bar sans un mot. Le voilà donc à marcher au milieu de la rue, alors que la journée approchait de midi et que les rayons du soleil éclairaient et réchauffaient bien la ville. Quand soudain.

- AU SECOURS. A L’AIDE!

Une jeune femme appelait à l’aide, et cela attire l’attention de nombreux passants, Mach y comprit. Mach vit que les personnes tournaient toutes leurs attentions vers une ruelle étroite et sombre, sans doute la seule à posséder de l’ombre dans le quartier. Il put donc en déduire que l’agression avait lieu dans cet espace. Mais, personne ne semblait vouloir y porter assistance, au mieux quelques personnes sortirent leur téléphone portable pour appeler la police. Quand il arriva alors, il put entendre.

- La ferme traînée. Je vais m’amuser avec toi, et personne ne viendra t’aider !

Dit un homme, collant une femme contre le mur de la ruelle, la giflant avant de lui lécher le cou, d’un air vulgaire, alors que la demoiselle était répugnée et effrayée par ces attouchements, qui ne faisaient que commencer pour conduire au viol. Ce que celui-ci ne savait pas, s’était que Mach ne comptait pas rester indifférent contrairement ux passants à ses côtés. Il commença d’ailleurs à s’approcher à grand pas, levant le poing pour frapper.

- Ah tu crois çà ?

Dit Mach, en réponse à la Remarque précédant de l’agresseur. Celui-ci n’eut d’ailleurs que le temps de tourner la tête vers le nouveau venu, qui lui décocha ses poings en pleine face. La violence fut telle, que l’homme libéra la jeune femme, qui était des plus surprise, alors que son agresseur allait tomber sur une pile de cartons un peu plus loin. L’ancien se redressa, une expression assez froide sur le visage, et ne tarda pas à voir l’autre homme, assez inquiet. Mach ne s’était pas rendu compte en effet, que sa veste était à moitié ouverte et que le mouvement avait sans doute permit à l’homme de voir son arme à feu.

- Alors, on fait moins le fier quand on a de la résistance ?

S’était clairement de la provocation que Mach formulait, dans le but d’attirer l’attention sur lui, plutôt que sur la victime. Celui-ci avait d’ailleurs avancé suffisamment pour mettre la demoiselle derrière lui, niveau distance avec l’agresseur, alors que ce dernier se relevait d’un pas hésitant, se demandant s’il devait répondre à la provocation du nouvel arrivant ou tout simplement s’enfuir tant qu’il en était encore temps.

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Les alentours de la ville / Demande de Garde du Corps (PV Jessica]
« le: mardi 10 août 2010, 19:14:39 »
Pette Annonce
Objet : Cerche un Garde du Corps
Employeur ! Non communiqué
Intéressez ? Rendez vous devant le Club X

Etait l’annonce rapide que Mach était en train de lire dans le journal. Il avait d’ailleurs acheté ce dernier dans ce but, voir si par hasard l ne trouverait pas un travail fait pour lui dans ce dernier. Et même si cette annonce pouvait paraître peu détaillée, et donc en général, pour un travail qui n’avait rien de bien honnête. Pour l’ancien soldat cela ne le perturbait nullement. Au contraire, s’était peut être ce qu’il lui fallait, car dans son domaine de compétence. Sa situation n’avait d’ailleurs en elle-même rien de régulière, et l’armée aurait pu déboulé à tout moment pour venir l’arrêter pour désertion.

En tout cas, il referma le journal, et le posa sur la table du bar auquel il était venu s’installer pour prendre son petit déjeuner et ainsi utiliser le peu de monnaie qu’il lui restait. Il appela d’ailleurs le serveur pour pouvoir payer, avant de finalement se lever, poussant sa Chaise sous la table, et se diriger vers la sortie. Le jeune homme avait laissé son journal sur la table en bois, et s’en fichait bien, maintenant qu’il avait mémorisé ce qui l’intéressait. Le bout de papier servirait donc surement à un autre client, à moins que les employés des lieux ne l’ait jeté avant.

Une fois dans la rue, le jeune homme ne se pressa pas, profitant d’être en extérieur pour s’allumer une clope, alors qu’il était appuyé contre un mur pour éviter de bloquer le passage, tout autant que pour se protéger de la légère brise matinale. En effet, celle-ci était assez forte pour faire vaciller la flamme de son briquet, et donc de l’éteindre. Une fois allumé, il la glisse entre son index et son majeur, en prenant la première bouffée, alors que son autre main range le briquet dans une poche. .

Mach se mit alors en route vers le cabaret, prenant son temps. En effet, plutôt que de choisir les transports en communs pour rejoindre le Club, le jeune homme décida d’y aller à pieds.  D’ailleurs, il se demandait s’il trouverait ce dernier ouvert, en plein milieu de la matinée, puisqu’en général, ce genre d’établissement ouvrait le soir. Ainsi quand il arriva devant l’établissement, il nota que son intuition était bonne, et s’apprêta à repartir pour passer plus tard, lorsqu’il vit soudain une personne sortir de l’établissement. Ce dernier était un homme, qui vu sa tenue, devait s’occuper du service ou du bar pensa t il. Quoi qu’il en fut, Mach s’approcha de lui.

- Excusez-moi, je cherche la personne qui a passé une annonce dans le journal publié ce matin pour une annonce de Garde du corps ? Le rendez vous pour les postulant a été donné ici, mais, il n’y avait pas l’heure ou la tranche horaire quand se présenter.

(color=green]- Une demande de Garde du corps ? On ne m’a rien dit. Peut être que s’est la chanteuse qui doit venir ce soir qui en a fait la demande pour plus de sécurité.. Mais, je ne pourrait vous le certifier.[/color]

Echangèrent les deux hommes, sans que l’ancien soldat ne soit vraiment avancé sur ce qu’il devait faire. Heureusement pour lui, son arsenal était dissimulé sous sa veste aujourd’hui, même si celle-ci était clairement d’aspect militaire par sa forme et ses couleurs. Le jeune homme travaillant au club, aurait pu parier que Mach pouvait avoir fait parti de l’armée, où d’un groupe para militaire avec son accoutrement. S’il ne supposait pas simplement que ce dernier était un simple fan de ce style vestimentaire tout court.

- Et vous ne sauriez pas quand est ce que je pourrai la voir ?

Demanda t il pour savoir à quelle heure il pourrait passer, en ayant une chance de croiser la dite personne pour s’assurer que s’était bien elle, celle qui avait demandé un Garde du Corps, en passant par les petites annonces d’un journal, plutôt qu’une agence spécialisée dans ce domaine.

- Mais qu’est ce que tu fait Franck, cela fait des plombes que tu es sorti pour vider les poubelles ?

- S’est que cet homme demande à voir la chanteuse pour une annonce qu’elle aurait peut être passée pour un Garde du corps ? D’après lui, le point de rendez vous pour l’entretien se trouve ici.

- Un Garde du Corps ? Elle n’a pas fait appel à une société privée ?

Echangèrent les deux hommes, dont le second semblait visiblement savoir ce qu’il en était, mais se montrait surprit de voir que a Star n’avait pas opté pour un service de sécurité conventionnel. Il se demandait d’ailleurs surement ce qu’elle pouvait avoir en tête.

- Et vous avez une heure de rendez vous ? Car pour le moment, la demoiselle semble assez occupée ?

- Non, je n’en ai pas, l’annonce ne donnait pas de créneaux horaires pour que les candidats se présentent. Je suis venu juste après l’avoir lu. Mais, il est peut être un peu tôt ?

Répondit calmement Mach, à l’homme qui le regardait, visiblement en train de se demander s’il prétendait bien être celui que sa candidature pour le poste de Garde du corps avait fait venir jusqu’ici. Point sur lequel, il ne semblait tout de même pas remettre en cause, malgré sa surprise sur les méthodes de recrutement employées.

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Ville-Etat de Nexus / Besoin de quelques réparations [PV Winry]
« le: vendredi 23 juillet 2010, 17:59:32 »
Depuis que Mach était à Nexus, il avait enchaîné les contrats dans une certaine tranquillité. En effet, sur ce monde, le jeune soldat déserteur n’était pas recherché, et il fallait bien gagner de l’argent pour vivre et se réapprovisionner en munitions. Et malheureusement, même s’il était capable d’entretenir son matériel, il venait toujours le temps où ce dernier cassait et devait être changé ou réparé. Et cette fois, s’était son pistolet qui venait de défaillir, en pleine mission qui plus était. Il n’avait donc guère les moyens d’en acheter un nouveau, et cherchait à présent quelqu’un apte de le réparer.

Il était donc de retour à Nexus, et arpentait les rues à la recherche d’un bricoleur qui pourrait lui être utile. Mais, jusqu’alors il avait fait chou blanc, puisque dans tout les lieux susceptible de l’aider, personne ne connaissait son modèle d’arme à feu, pourtant rependu sur Terre, et n’avait pu l’aider à la réparer. On avait finalement orienté Mach vers une rue peu fréquentée ou une boutique un peu étrange, selon certains, mais d’une efficacité rare, pourrait peut être l’aider à résoudre son problème.

Il suivit donc les indications, jusqu’à trouver une maison à un étage, dont le rez de chaussée semblait bien être une boutique, laissant supposer au déserteur que le premier devait probablement être le lieu de vie de la personne tenant la boutique. Il s’approcha alors, voyant les deux rideaux métalliques, servant normalement à fermer celle-ci, et la protéger des voleurs, rabattus sur les côtés pour indiquer qu’elle était ouverte.

- Bonjour, je voudrais avoir vos services, si vous pouvez m’aider ?

Demanda t il en arrivant sur le seuil de la porte de la boutique. Mais, il ne sembla pas voir personne pour le moment, alors que son regard se posait sur la pièce qu’il avait sous les yeux, dont les murs étaient peints dans des tons clairs. Mais, son regard n’avait pas encore arpenté toute la boutique, puisque la première chose qu’il vit fut des rangés de rayons de matériels. S’est quand il tourna son regard vers la droite, qu’il vit un établit, avec une personne devant lui, qui semble travailler sur quelque chose, s’approchant d’une lance, mais avec un bout, qui serait plus une tronçonneuse qu’une pointe de lance normale. 

- Ah, je vous dérange peut être ?

Enchaîna t il alors, sans ayant vraiment attendu la réponse à sa première question. Mais, il attendit sur le seuil, se décalant quand même un peu pour laisser le passage libre. Et le fait qu’il cherche directement le gérant du magasin, ou un de ses employés, montrait qu’il n’était pas là pour acheter un produit, mais plutôt pour en faire réparer un, puisqu’il avait entendu que dans ce magasin cela serait sans doute possible.

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Les alentours de la ville / Fin de Concert [PV Rarabai]
« le: dimanche 11 juillet 2010, 23:07:08 »
La nuit était tombée depuis déjà quelques heures, et Mach ressortait du quartier de la Toussaint pour se reposer dans un lieu plus sécuritaire. En effet, le lieu où tous les malfrats de la ville se réunissaient ne permettait pas en général de dormir à point fermé. Ces pour ses raisons que l’ancien soldat, parfaitement apte à se débrouiller, avait décidé de louer une chambre d’hôtel dans un quartier plus calme. Ainsi, notre jeune homme marchait tranquillement, trouvant les rues plutôt désertes, malgré l’heure tardive. En effet, s’il ne se trompait pas, on était en fin de semaine, période où tous les étudiants, et diverses employés finissaient leur boulot, et allaient passer un peu de bon temps en ville, pour jouer, écouter de la musique, boire, et diverses autres activités.

Cela fut cependant calme sur une bonne vingtaine de mètres avant que de la musique, assez forte, attire son attention. Regardant alors dans la direction d’où celle-ci venait, et prenant au passage la même, Mach ne tarda pas à voir des lumières multicolores baigner la place d’où elle venait, celle-ci étant noire de monde. Le jeune homme s’avança alors derrière la foule, sans chercher à passer au travers pour se rapprocher de la scène, ou tout simplement couper pour poursuivre son chemin. En effet, les personnes en nombres bougeaient au rythme de la musique, mais le principal problème resta la densité de la foule, qui était assez compacte, alors qu’elle tournait toute son attention vers la scène au loin.

Mach leva alors les yeux pour regarder en direction de la scène, et assouvir une certaine curiosité. Et bien que les artistes étaient petits vu de loin, le jeune homme discerna quatre personnes (si j’ai bien compté sur l’image du groupe), en train de jouer et chanter leur chanson. Mais, il ne pourrait pas en dire plus, et un rapide coup d’œil à l’écran géant sur la droite lui fit penser que ses stars n’étaient encore qu’adolescente.

Il finit au bout de quelques minutes par rejoindre le bord de la place, et longer les murs, là où la foule ne s’était pas installée. Mais, à peine fit il une dizaine de mètres que les vivats de la foule se firent plus importants, alors que les remerciements des artistes mettaient fin au concert. Ce qui le fit alors avancé plus lentement encore, du fait que les spectateurs se dissipaient se dispersaient à présent pour rentrer chez eux, ou trouver un autre endroit où s’amuser. Si bien qu’il lui fallut un sacré temps pour arrivée à hauteur de la scène. Son but n’étant pas de récupérer un autographe ou tout autres choses que les fans souhaitaient, mais simplement passer de l’autre côté pour atteindre la rue que l’estrade et tout son équipement bouchait à la circulation.

Vous pourriez penser que Mach allait faire comme tout le monde le détour pour rejoindre sa destination. Mais, non, le soldat passa au dessus des barrières quand il fut certain que personne ne l’avait vu, et avança dans l’ombre vers son but. La seule attention qu’il portait à l’équipe technique du concert ou des artistes quand il les voyait passer, était que celui-ci ne le remarque pas.  Quand la voix fut libre, le jeune homme se mit à marcher, faisant moyennement attention, puisqu’il se retrouva vite dans un endroit où il n’avait aucune couverture possible. Il espérait donc ne pas tomber sur quelqu’un.

39
Les alentours de la ville / Passage à l'hôpital [PV Kina Mara]
« le: mercredi 30 juin 2010, 21:53:02 »
Mach était à l’hôpital depuis plusieurs jours déjà. En effet, il avait attrapé une maladie que le temps seul n’arrivait pas à guérir, sans compter que l’ancien soldat ne faisait rien pour, et cela avait naturellement empiré, créant diverses infections dans son organismes. Mais, de là à se rendre dans un hôpital public et légal où il risquait à tout moment de se faire identifier et donc arrêter par les autorités, loin de là. Comment avait il été amené ici ? Mach l’ignorait, et les médecins et infirmières avaient seulement pu lui dire que s’était un clochard qui avait prévenu de son état d’inconscience au milieu de la voie public, avant qu’une ambulance vienne le chercher.

Depuis ce jour, l’ancien soldat n’avait cessé de demander à quitter l’hôpital, mais à chaque fois il refusait une réponse négative, qu’il en avait pour une bonne semaine et qu’il devrait se tenir tranquille. Ce qui n’était pas trop son genre, sans compter que l’endroit ne lui plaisait guère. En effet, dans une tenue médicale, un simple pyjama bleu en tissu loin d’être agréable, le jeune homme se sentait un peu nu sans son matériel habituel. Sans compter que la chambre aux murs blancs et quelques meubles, enfin deux tables de chevets, et une armoire, la rendait plutôt morose. Le seul réconfort était peut être qu’au moins il était seul dans celle-ci, et que les infirmières étaient loin d’être moches.

Mais, s’était une maigre consolation pensait il, et il avait de nombreuses fois tenter de fausser compagnie au service médical, mais son état physique était loin d’être suffisant pour s’opposer aux infirmiers à fortes carrures du services de psychiatrie qu’on lui envoyait, même s’il était au soins généraux, car sa force était trop fortes pour ceux de ce secteurs.

- Et merde, cela fait déjà quatre jours que je suis coincé dans cette chambre, j’en ai ras le bol !

Dit-il alors qu’il se refaisait ramener manu militari dans sa chambre par un infirmier.

- Bah faudra que vous teniez encore durant trois jours. Vous ne serez pas autorisé à quitter l’hôpital avant.

Répondit l’homme qui aurait très bien pu ne pas le faire, puisque s’était à chaque fois la même rengaine. Mach fut alors déposer sans douceur sur son lit avant que l’infirmier ne reparte, fermant la porte de la chambre à clef, même s’il savait que cela n’empêcherait pas le soldat de sortir s’il le voulait. Mais, ce dernier n’était pas parti, puisqu’il avait été affecté à sa surveillance et faisait donc le piquet à côté de la porte.

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Les bas fonds / Une rencontre des plus surprenantes ! [PV Tsuki Inu]
« le: mardi 29 juin 2010, 23:15:16 »
Depuis son arrivée sur Terra, Mach avait du chercher un endroit où il pourrait se réapprovisionner en matériel, et surtout munition. Il avait donc cherché longtemps dans Nexus, avant de se retrouver dans les bas fonds. Etrangement ce lieu lui semblait assez familiers, malgré une apparence des habitants bien différentes, au niveau physique surtout, par rapport à la Terre. En effet, ce quartier de la ville lui rappelait le Quartier de la Toussaint à Seikusu, et en s’en rendant compte, il se dit que trouver ce qu’il recherchait ne serait donc sans doute pas bien compliquer.

Il était en tout cas la mi journée, et il faisait assez beau. L’ancien soldat avait ouvert sa cape de façon à ne pas avoir trop chaud, mais avait veillé à ce qu’on n’en voit pas ses armes tout de même.  Et même s’il portait des vêtements dans les teintes de vert, ceux-ci n’était plus son uniforme militaire, qui avait depuis longtemps rendu l’âme, avec de trop nombreux trous, liés à différentes épreuves, du temps ou non. Ainsi, le jeune homme portait un tee-shirt et pantalon assez classique, avec toujours ses rangers aux pieds tout de même.

La rue qu’il empruntait été assez calme, bien qu’il y avait tout de même une certaine façon, et lui se dirigeait vers une adresse, qui n’était plus très loin, où il était censé trouvé son receleur. Il ne tarda pas à y arriver et se présenter, et bien entendu demander ce qu’il cherchait. Evidemment, l’homme ne fit pas de recherche, ni ne chicana pas, sans compter qu’il ne se montrait non plus pas prudent, signe que les autorités locales ne devaient pas souvent passer dans le quartier dangereux. Il récupéra alors ses munitions avant de quitter la maison délabré qui abritait le vendeur d’armes.

Maintenant, il ne restait plus à Mach qu’à trouver un nouvel emploi qui pourrait lui permettre de renflouer un peu ses caisses, et ainsi acheter de quoi vivre et continuer son travail de mercenaire. C’est alors qu’il vit passer à ses côtés une jeunes femmes, assez jolie d’ailleurs, qui avait des oreilles et une queue de chiens. Cela ne le surprit pas, puisque depuis le temps, il avait fini par s’habituer à coir des habitants de Terra tout aussi différents les uns que les autres. Ce qui attira son attention fut plus le côté innocent que laissait paraître la démarche de cette jeune femme, et son expression visuelle assez gaie, qu’il avait pu entrevoir rapidement lorsqu’elle l’avait doublé. Ainsi, à présent, il la voyait de dos, se demandant ce qu’elle pouvait faire dans ce quartier, où elle risquait fort de vite se retrouver en danger. Pour le moment, il ne la quittait pas des yeux, un regard curieux surtout, cherchant à connaître les raisons de sa présence dans un lieu qui était tout sauf vraiment approprié pour la jeune femme, en se basant uniquement sur son apparence et le léger ressenti qu’il avait pu avoir bien entendu, ce qui pouvait très bien l’avoir induit en erreur.

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Place publique / Voler est un crime ? [PV Lust]
« le: samedi 26 juin 2010, 13:20:57 »
Voilà quelques jours que Mach était arrivé sur Terra, information qu'il avait réussi à tirer d'un clochard en état d'ébriété plus qu'avancé. Mais, le jeune soldat ne se souvenait pas de la façon dont il y était arrivé, et errait dans cette ville comme lorsqu'il était à Seikusu. La seule différence était qu'il ne se cachait que peu, puisqu'ici, aucun police ne le cherchait, ou du moins pour l'instant. Ainsi, le déserteur était toujours vêtue de la même façon, portant son ancien uniforme de campagne, bien plus confortable à celui de cérémonie, et surtout bien plus pratique pour marcher tant le confort était peu apprécié dans l'autre. Sa cape toujours sur les épaules, celle ci dissimulait en grande partie son corps, mais, il pouvait l'écarter sans problèmes quand il le souhaitait, pour avoir une liberté d'action accrue. Cependant, il ne le faisait pas, préférant dissimuler son arsenal, que de l'exposer à la vue de tous, et attirer l'attention, plus que son accoutrement le faisait déjà.

Le soleil était en tout cas au rendez vous ce jour, et malgré la chaleur, du monde se trouvait sur la place publique pour le marché hebdomadaire. Mach, était un peu en sueur, et sa tenue ne l'aidait guère, mais, il ne montrait cependant pas de fatigue plus que d'autres personnes. D'ailleurs, il n'avait pas porté plus d'attention à l'architecture de Nexus, que celle de Seikusu, puisque d'une certaine façon, pour lui, les villes se ressemblaient toutes. Il se contentait donc de regarder où il mettait les pieds, zigzagant dans la foule, regardant les étals.

Il leur portait d'ailleurs un certain intérêt, comme s'il cherchait quelque chose de précis, mais ne s'était arrêté à aucun d'eux jusqu'à maintenant. Pourquoi ? Et bien, tout simplement parce qu'il n'avait pas encore trouvé ce qu'il voulait. Et lorsque son ventre gargouilla, sa recherche était évidente à deviner. L'ancien soldat atteint alors un comptoir de fruit et légumes, où par chance une certaine foule s'était amassée. Il se rapprocha alors d'eux, regardant par dessus les épaules des personnes présentent devant l'étal le contenu de celui ci. Il y vit des pommes, des pores, et de multitudes d'autres fruits.

Il venait de trouver de quoi faire taire sa faire pour quelques heures au moins, et ne se priva pas pour glisser prudemment une main entre deux personnes, jusqu'au panier contenant les poires. Il en attrapa une, et retira sa main rapidement avant d'être vu, et la cacha sous sa cape avant de se remettre en marche, s'éloignant du vendeur calmement, et entement comme si de rien était. Il était fort probable que personne n'ait rien remarqué, vu l'affluence, mais, il restait tout de même vigilant, et prêt à réagir à toute interpellation.

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Mach était actuellement hors de la grande ville de Seikusu, et plus précisément dans un petit village de montagne assez connu pour ses sources chaudes. Mais, ce n'était pas la raison principale de la présence de l'ancien soldat en ce lieu. En effet, le jeune homme se trouvait la pour affaire, ou du moins pour faire le bilan du contrat qu'il avait accepté et mené à terme. En gros, il venait se faire payer. Cela ne l'empêcha cependant pas de conserver la même tenue qu'à l'accoutumer, à savoir son ancien uniforme militaire auquel était attaché un harnais pour maintenir les étuis et fourreau de ses armes. Celle ci était un couteau à lame assez longue, et un pistolet automatique, qui avaient donc quelques sacoches de munitions pour ne pas se retrouver à court en cas de pépins.

Le plus souvent, le tout était dissimulé sous une longue cape de camouflage. Cependant, à ce moment là, celle ci était en partie retournée sur son dos, puisqu'il s'afférait à ranger son portefeuille. Il venait de quitter en effet, la demeure de son ancien employeur, et finissait la répartition de ses gains, sur lui même pour ne pas tout mettre au même endroit. Un voleur était si vite arrivé, même dans une petite ville tranquille comme cela semblait être le cas. Surtout que cette fois, la récompense avait été assez élevée.

Alors pourquoi faisait il cela en pleine rue, quand du monde passait autour de lui ? Tout simplement parce qu'il se fichait un peu du lieu, étant capable de se défendre. D'autant plus que ses armes étaient visibles aux yeux de tous, et devaient donc en dissuader beaucoup de faire quoi que se soit. Le simple humain avait une imagination assez débordante, et ceux ci devaient l'avoir déjà répertorié en tant que criminel ou tout autres attributs de cet acabit, et il ne pouvait leur donner tord, puisqu'il en était un.

- Bon, il est temps de rentrer, je suppose !

Marmonna le jeune homme dans la rue, son regards croisant ceux de plusieurs passants, où se posant sur divers bâtiments, ou établissements de toutes sortes, dont beaucoup étaient là pour attirer le touriste. Mais, ce n'était pas trop son genre. Il plaça alors sa cape pour dissimuler grandement ses armes, même si pour une fois, sans doute à cause de la chaleur émise par le soleil, il ne s'en servit pas pour envelopper tout son corps, laissant donc l'avant de ce dernier assez visible aux yeux de tous.

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Décidément, cela avait déjà beau faire quelques mois déjà, la police militaire était toujours aux trousses de Mach. Ce dernier s'était fait repérer par un camion de transport de l'armée, et avait donc fuit par les petites rues pour le semer. Les avis de recherches étaient vraiment disséminés partout dans les unités militaires, plus susceptibles de l'identifier que la police locale. L'homme avait donc courir, jusqu'au moment où il avait sauté par dessus un mur. Le soleil était en train de laisser sa place à la nuit, et il se retrouva face à une cour et quelques bâtiments éparpillés.

- Où suis je encore tombé ?

Marmonna alors l'homme accroupi contre le mur qu'il venait de sauter. Il montrait de ce fait qu'il n'avait encore jamais été au lycée, ce que son incorporation à une unité militaire assez jeune où il fut formé expliquait. En tout cas, l'endroit semblait désert ou presque, et il s'aventura alors sur ce nouvel endroit. Puisque le lieu était calme, autant s'en servir pour y passer la nuit en toute sécurité.

Arrivant face au plus long des bâtiments, Mach regarda par la fenêtre pour y voir de multiples rangées de bureaux, et tout le matériel nécessaire à une salle de classe. Quand soudain, il vit passer une silhouette assez grande dans la salle, et se baissa rapidement pour sortir du champ de vision de la fenêtre Il se dit que cela devait être un professeur ou le Gardien, pour veiller si tard.

- Au moins, je serais tranquille dans ce lieu pour cette nuit. Enfin j'espère !

Marmonna alors Mach, avant de se remettre en marche, courbant le dos pour rester plus bas que les fenêtres, ce qui était peut être trop prudent. Ses pas le conduire alors dans une annexe de l'édifice, et il jeta un nouveau coup d'œil pour voir que cela ressemblait à un réfectoire, et se dit que s'état parfait. Autant profiter de la nourriture qu'on peut avoir à sa disposition. Se redressant alors, il fit chaque fenêtre jusqu'à en trouver une ouverte et se faufila à l'intérieur.

La pièce était assez sombre malgré les lueurs orangées que le coucher du soleil laissait comme lumière. Cependant, Mach ne chercha pas un seul instant à allumer la lumière, alors qu'il se dirigeait vers ce qui était la cuisine, L'homme se mit alors à chercher dans le frigidaire ce qu'il pourrait manger.

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Les alentours de la ville / Rencontre dans un bar [PV D. La maudite]
« le: lundi 14 juin 2010, 11:33:53 »
Mach avait décidé de prendre un bon temps, et il ne connaissait rien de mieux que d'aller boire un verre pour cela, n'ayant jusque là pas eu énormément d'autres distraction dans sa vie, lorsqu'on est au courant de sa carrière militaire. Ainsi, l'ancien soldat avait tourné dans la ville à la recherche d'un bar, et se rendit compte qu'en trouver un était loin d'être compliqué. Ne connaissant donc pas encore bien la ville et les meilleurs établissements, le jeune homme n'avait donc pas tergiversé des heures et était entré dans le premier bar qui s'offrit à lui.

Manque de pot, celui ci était assez remplit, et il ne trouva que quelques places libres au comptoir. Au fond, cela lui importait peu, et l'homme prit alors l'une d'elle. Le barman finit alors de servir un homme portant d'étranges marquages, alors que d'autres s'affairaient devant un écran de télévision géant. La raison de ce monde et de ce bruit devint alors évidente, quand Mach constata qu'un match de foot avait débuté. Réfléchissant un peu, il se souvint que la coupe du monde de ce sport avait débuté, et attirait naturellement les foules.

Pour sa part, Mach n'appréciait guère ce dernier, y préférant le Tennis ou le Baseball. Il se détourna donc de l'écran pour prendre commande d'une bière à l'homme attendant qu'il passe commande. Il se mit alors à la tâche, alors que l'homme posait ses coudes sur le comptoir en croisant les bras, n'écoutant guères les commentaires sur le match.

Vous êtes nouveaux dans le secteur ?

Demanda alors le barman, attirant à lui le regard de Mach.

- En effet, je suis en ville que depuis quelques jours.

Répondit l'homme par politesse alors que le serveur posait sa bière devant lui, ne semblant guère plus attiré par le match que lui pouvait l'être. Mais d'un autre côté, lui n'avait peut être simplement pas le temps de le regarder, puisqu'il était en train de travailler. Le silence revint entre eux, et l'ancien soldat porta sa chope à la bouche buvant une gorgée de sa boisson alcoolisée.

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Mach était arrivée en ville en fin d'après midi, et avait volontairement laissé les beaux quartiers à l'écart, où sa tenue ne passerait pas inaperçue. Il se trouvait donc dans le quartier de la Toussaint, et sans doute une zone peu fréquentable, quand on observait l'état de saleté de la rue où il se trouvait. Celle ci était assez large, et bien fréquentée, ou du moins, s'était ce que le nombre de passant qu'il croisait laisser supposer. Par contre, lui ne passait pas inaperçu dans cette foule, car même si son uniforme militaire était dissimulée par sa cape, qu'il avait entouré autour de lui. Celle ci n'était pas tellement pour cacher son uniforme que ce qu'il portait en plus. En effet, Mach était armé d'un couteau à lames assez longue, et d'un pistolet, tous deux rangés dans leurs étuis à la ceinture de son pantalon. L'homme se serait bien équipé d'un fusil d'assaut avant de s'évader, mais, il aurait eu du mal à le dissimuler.

Mach jetait des regards froid aux plus curieux des citoyens, qui ne le lâchaient pas des yeux. Surtout que l'homme était sur ses gardes, car la police militaire pouvait apparaître à tout moment pour tenter de l'arrêter. D'ailleurs, il ne tarda pas à remarqué la présence de deux hommes en costume derrière lui qui semblait le suivre à distance. Mach ne comptait pour le moment pas accélérer son rythme, ce qui aurait fait comprendre à ses poursuivants qu’il les avait repérés. Mais, il marcha de façon plus aléatoire, zigzaguant dans la foule, devenue plus dense, à la sortie du travail, Jusqu'au moment où il s'engouffra dans une petite ruelle-ménager. Il s'était tellement bien dissimulé qu'une personne passant devant lui ne le verrait sans doute pas, à moins de fouiller la zone au peigne fin.

- Il est passé par là tu crois ?
- Possible, maintenant qu'on l'a perdu de vue, cela va être coton pour le retrouver. Il paraît que ce type est un pro des missions d'infiltration.

Mach venait d'entendre la discussion des deux hommes en costumes qu'il avait vraisemblablement réussi à semer, et leur conversation avait eu aussi effet de confirmation que ceux ci le suivait bien, car même s'il s n'avaient pas prononcé son nom, quelqu'un avec de telles aptitudes n'était pas courant.

- On a plus qu'à faire boucler le secteur alors, de telle façon, qu'il aura du mal à passer entre les mailles du flet.
- Contact le QG pour demander des renforts et que le périmètre soit bouclé. Je vais vérifier dans cette rue, si je ne le trouve pas par hasard.

Echangèrent de nouveau les deux hommes. Décidément, la situation ne s'arrangeait pas pour Mach. Celui ci glissa alors silencieusement une main jusqu'à son couteau, alors que des bruits de pas se faisaient entendre dans la rue. L'ancien soldat pensa alors que l'homme ne devait jamais faire de partie de chasse pour être si bruyant, et qu'on le repère donc d'assez loin. Pendant ce temps, son compagnon passait un appel radio et demandait qu'on boucle le quartier.

*Ptain, va falloir que je me fasse encore plus discret, si je ne veux pas déclencher une fusillade !*

Pensa alors Mach accroupi dans son coin, alors que les pas se faisaient de plus en plus proches. Il allait falloir qu'il quitte le quartier avant que celui ci ne soit quadrillé à la fois par l'armée, et la police locale, sans doute mise à contribution. Mach se décida donc à agir, mais attendit que son premier poursuivant arrive à sa hauteur, le dépassant juste. Là, il se redressa d'un coup, passant derrière l'homme. Mais, avant que celui ci ne réalise que sa cible se trouvait derrière lui, Mach avait déjà empoigné l'homme pour le bloquer, et de son autre main monté son couteau à sa gorge avant de lui faire une entaille si profonde que le sang gicla abondamment. Le policier qui qu'il soit y resterait, et Mach posa le corps silencieusement au sol, alors que l'autre homme était toujours en communication avec ses supérieurs, dans une position telle qu'il ne put voir la scène. Le déserteur y jeta un coup d'œil rapide, se demandant s'il s'en débarrassait ou partait de l'autre côté. En effet, s'il partait précipitamment, et que l'homme le repérait, il ne manquerait pas d'y tirer dessus, et il ferait sans doute une cible plus ou moins facile, si ce dernier savait tirer. Mais, l'éliminer était aussi difficile, puisqu'il se trouvait à l'embouchure de la rue, et les passants se faisaient toujours aussi nombreux derrière lui, malgré la nuit tombée. S'en débarrasser là créerait certes une panique dont il pourrait profiter, mais cela pourrait aussi lui nuire.

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