Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Daclusia Shadowstick

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Daclusia Shadowstick

Pages: 1 [2] 3 4 ... 8
16
Les balles s'étaient stoppées en l'air. Découpées en six parts égales. Cette fille... Elle aurait été parfaite dans le rôle d'un couteau à pizza... A pizza géante, munie d'un seul ingrédient: de la viande humaine.

Elle restait immobile, et surtout elle observait très attentivement ce qui se passait. Elle tentait d'établir ses faiblesses, pour adapter une stratégie adaptée. En toute logique, elle avait du penser que de part son petit numéro de pistolero, il craignait la confrontation directe. Manque de chance, c'était tout le contraire, les armes à feus étant son domaine le moins bien maîtrisé... Il ne tirait pas pour tuer, mais pour induire en erreur, ainsi que pour faire diversion.
Stop. Figé au beau milieu de sa course comme si on avait gelé le temps, Daclusia apparaissait arrêté en pleine course, s'apprêtant à faire un pas de plus... Qu'il ne fit pas. Pour la bonne et simple raison qu'à à peine quelques centimètres de son visage, une grande lame de vent verticale traça un joli faussé dans le sol de la court. Son visage affichait, alors qu'il reprenait une posture plus naturelle tout en faisant tournoyer ses armes sur ses indexes, une expression de défi et de provocation plus qu'arrogante. Oui,arrogant, il l'était, mais à la différence de beaucoup, il avait de quoi soutenir derrière.


" Moi? Un génie? Hun hun hun... j'en suis bien loin. Et si je ne me présente pas c'est parce que je ne donne pas mon nom quand je ne le juge pas utile. Et maintenant, si tu le permets... On passe aux choses sérieuses. Let's rock'n'roll baby! "

Tout au long de sa réplique, alors qu'il faisait encore tourner ses armes, d'imperceptibles éclairs rouges avaient commencé à traverser les bras et les flingues du JYL, qui maintenant brillaient d'une lueur écarlate. Dès que le dernier mot traversait les lèvres de celui qui les avait prononcé, les armes dégagèrent toutes deux une énorme déflagration rouge, qui s'arrêta à une quinzaine de centimètres du canon, mais qui avait propulsé, et continuer de tirer sans discontinuer des projectiles entouré du même type de lueur. Ceux-ci, chargés par l'énergie chaotique et pleine de discorde du Jyl, voyageaient vers leur cible bien plus rapidement, et dégageaient une lumière aveuglante qui laissait présumer de leur dangerosité. Ceux-ci, ils n'allaient pas se laisser couper de la même manière.

Que Misa ait décidé ou pas de les trancher, c'était son choix, mais le JYL, lui, sans même prendre la peine d'attendre le résultat, avait directement bondit du sol à la fenêtre du premier étage, et continuait de pilonner son adversaire, effectuant un très réussit wall run, qui le fit atterir sur le toit du portique de l'entrée, d'où il avait un très bon point de vue, et un avantage certain tant qu'il restait aux armes à feu. D'un autre côté, il offrait une cible facile, mais esquiver, de là où il était, et vu la distance qui le séparait de la femme qu'il affrontait, serait un jeu d'enfant.
Se recentrant, Daclusia lança un vif coup d'oeil à Misa, pour se rendre compte de si elle avait fait l'idiotie de trancher les balles, ou celle, encore plus idiote, de les prendre de plein fouet.

17
Une blonde. Et une changeforme qui plus est. Daclusia sourit. Très légèrement, mais c'était un sourire tout de même. Après avoir vu comment elle avait si facilement tué plusieurs des leurs, les lyanthropes s'écartèrent, et après quelques jappement, ainsi qu'un regard inquisiteur de Daclusia, ils s'étaient tous dispersés. Une partie était entrée dans l'école et déambulait des les couloirs. Ceux là, aux vues de la présence de l'eglise Terrane à l'intérieure, il ne leur donnait pas longtemps. Les autres avaient bondit par dessus le mur d'enceinte du lycée, et arpentaient maintenant en hurlant à la lune les rues de Seikusu, passant leurs griffes et leurs dents dans les badauds attirés par l'explosion comme s'ils avaient été en papier, pour mieux les plaquer au sol et les dévorer. Ce soir, pour ceux là, ce serait banquet ouvert. Sûrement leur dernier banquet, cela dit. Mais au moins auront-ils eu un bon moment...

Le JYL et la changeforme étaient maintenant seuls, face à face au milieu de la cour extérieure, se toisant du regard avant d'entamer un combat qui serait, de toute façon, inévitable.
Dans son regard à elle, Daclusia ne vit que haine et colère à son égard. Ainsi que de l'amusement pour ce qu'elle prenait pour un bouffon qui voulait faire son petit malin en causant une destruction à grands moyens.
Dans son regard à lui, Misa n'aurait rien pu voir d'autre que la couleur rouge foncées des prunelles du JYL, ainsi que la profondeur titanesque qu'ils avaient. Il n'exprimait rien. Aucune émotion, que ce soit dans ses yeux ou sur son visage. Juste l'impression de ne pas appartenir à ce monde, ni à aucun autre.
Autour d'eux, il n'y avait qu'une cour vide, où quelques plants d'herbes tentaient tant bien que mal de survivre au béton. Quelques flammèches s'y étaient propagées. Face au JYL, derrière Misa, se trouvait le bâtiment principal, où la chaudière venait d'emporter, dans une déflagration cramoisie, une partie du bâtiment. Autrement, rien. Ils étaient sur le côté façade, donc il ne restait que la grille, séparant l'école de la rue, où quelques témoins assistaient, tétanisés, à la confrontation... Avant de se faire dévorer par un lycanthrope un peu trop affamé. La rue était devenue un vrai festival, où le sang volait et éclatait dans l'air comme des feux d'artifices, et où les cris résonnaient d'une manière si synchronisée qu'ils formaient presque un gospel plaintif, précédant un affrontement terrible. Le hasard avait bien fait les choses pour plonger les lieux dans une bonne ambiance... Si le hasard existait. Ce n'était pas la faute du JYL toute cette mise en scène, mais si elle était effective, ce n'était pas par hasard.

Daclusia attrapa sa cigerette du bout des doigts, et, d'une pichenette, la lança vers Misa Kiss. Il arborait un sourire non dissimulé. Enfin un moment où il allait s'amuser... Vraiment s'amuser. Lentement, il fit sortir ses deux revolvers de leurs étuis, alors qu'il prononçait, presque solennellement :


" Je commençais à me demander si vous alliez arriver... Mais à t'entendre, toi aussi tu chasses ici... C'est bête, j'aurais imaginé plus de réaction de la part des Tekhans... M'enfin, faudra bien que je fasse avec... "

Dégainant alors très rapidement, ses armes face à lui avec les bras croisé, il fit feu d'une courte rafale vers la créature, alors que lui même commençait à courir en cercle autour d'elle. Quoi qu'il arrive, il allait rester en mouvement, et éviter que la dame n'arrive au corps à corps. Au cas où elle s'approcherait d'un peu trop près, en tout cas, il lui réservait une surprise... Une grosse surprise...

18
Archives / Re : Mwahaha, ça, ça passe bien le temps...
« le: jeudi 23 juillet 2009, 12:53:02 »
http://armorgames.com/play/1716/gemcraft

Celui ci est très sympathique aussi.

19
Archives publiques / Re : Le dernier mot
« le: jeudi 23 juillet 2009, 12:09:59 »
"Françaises, français... Mes chers compatriotes..."

20
Le coin du chalant / [Script] Destruction; étape 1
« le: mercredi 22 juillet 2009, 22:11:26 »
http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=1867.0

Si vous avez le courage de lire, vous verrez que j'ai eu... Quelque peu la main lourde pour ce qui était sensé être une simple distraction... Maintenant que j'ai lancé le script dit "Destruction", pour tenter de mobiliser un maximum de personnes dans ce qui risque d'être un script apocalyptique, je cherche quelques personnes qui seraient d'accord pour avoir un RP en parallèle de celui-ci, soit dans le lycée, parmi les élèves évacués, en tenant compte du combat qui oppose Misa et moi même, ainsi qu'aux lycanthropes que j'ai lâché dans le lycée, soit à l'extérieur, témoins de l'explosion s'approchant pour voir de plus près, et tombant nez à nez avec les lycanthropes qui ont quitté l'enceinte du lycée...

Nul doute que l'église saura faire ne sorte d'effacer l'évènement de la mémoire des gens... Seuls les joueurs s'en souviendront, et c'est pour ça que j'aimerais que certains d'entre vous participent. Pour faire vivre le script et enfin faire bouger le forum.

A bon entendeur... Salut!

21
Complexe d'études secondaires et supérieures / Casse-brique [PV Misa Kiss]
« le: mercredi 22 juillet 2009, 21:59:58 »
Ils étaient tous les deux là, posés sur le toit du lycée, à admirer la lune... Tous les deux avaient un fort attachement à cet astre céleste, si beau et si plein de mystères...
Lui, le chasseur, avait troqué sa blouse de scientifique contre un long manteau de cuir rouge, et son pantalon large vert kaki à un jean bien plus serré, noir comme la nuit. Ses sandales, troquées contre des rangers. Noires elles aussi. Toujours torse nu, il portait cependant sous son manteau quelques fioles de ses produits, ainsi que, dans les poches extérieures de son manteau, des balles pour une paire de pistolets qu'il portait rangées sur ses jambes. Les cheveux détachés, pendant sur le côté droit de son visage, un clope au bec.
L'autre, le vendeur, portait une tenue d'infiltration, noire, où de nombreuses sacoches côtoyaient des morceaux de cuirs faits pour protéger le corps. Les cheveux attachés derrière la tête, seule une mèche dépassait du côté gauche de son visage. Il ne portait pas ses lunettes, ni son air habituellement si bienheureux, mais un visage sévère et sérieux, caché derrière un masque sur la partie basse de son visage. Ainsi vêtu, il ressemblait presque à un ninja, ou à un assassin.

Tous deux restaient là, sans mot dire. Quand on discute avec soi même, les mots sont superflus et inutiles. Mais pour le lecteur, qui n'est ni la tête de l'un ni de l'autre, le vendeur tentait de raisonner son double. S'attaquer à un lieu aussi lourdement investi par l'église était... Dangereux... C'était la grande ligne qui revenait dans le débat. Le reste ne regardait qu'eux... Et n'aurait pas grand sens pour le lecteur. Mais la conclusion de cette réunion au clair de lune fut la suivante:


" Tu sais bien à quel point il est difficile de trouver des humains qui méritent qu'on s'intéresse à eux... Me gâche pas mon plaisir, je sais que toi aussi tu cherches la même chose! "

Sur ces mots, il avait bondit du toit de l'immeuble. Tout devait se passer sans le moindre accroc. Il avait tout planifié. Mais comme on est jamais à l'abri d'une surprise... Il enclencha les deux pistolets, des desert eagle, l'un noir avec une crosse d'ébène, l'autre blanc avec une crosse d'ivoire.
Se faufilant, ombre parmi les ombres, dans le lycée à proprement parlé, il chercha pendant un moment sur les plans la position de la chaudière, ainsi que sa correspondance dans les étages supérieurs. Au rez de chaussé, il s'agissait d'une classe vide. Idem au deuxième. Au troisième, cependant, il semblerait qu'une colle ait lieu. Au quatrième,  le vide. Y aurait quelques victimes. Tant pis. Dommages collatéraux.
Arriver au sous-sol ne fut pas facile. Il ne fallait surtout pas se faire repérer avant le début de l'opération. Et il semblerait que tous les pions aient décidé de patrouiller le même soir dans la même zone. Pourtant, après de nombreuses dérobades, un petit passage dans un conduit d'aération, et enfin un coup du lapin à un surveillant malchanceux, Daclusia était arrivé à la chaudière. La serrure étant verrouillée, il la fit céder d'une balle, en prenant bien soin de fermer toutes les portes et de camoufler le bruit au maximum. Une fois à l'intérieur, placer des charges explosives fut un jeu d'enfant. Maintenant, tout ce qu'il fallait c'était attirer un maximum de monde le plus loin possible de la zone de la chaudière, pour qu'ils puissent donner l'alerte sans sombrer dans l'inconscience à cause du souffle. Pour ce faire, le chasseur se fit voir volontairement, après être parti à l'opposé, et fit du bruit de manière à attirer une demi douzaine de surveillants dans la cour extérieure, d'où ils seraient au premières loges pour assister au feu d'artifice.

Explosion. Tout le quartier avait du l'entendre, le JYL n'avait pas lésiné sur la dose. Le sous sol entier s'effondra sous un éboulement. La salle du rez-de chaussé, ainsi que quelques autres adjacentes partirent en fumée. La zone du premier étage ne survécu pas non plus à l'explosion. Le deuxième étage, déséquilibré et fragilisé par l'explosion, s'effondra comme un château de cartes, entrainant la salle de colle du troisième avec lui, et laissant la salle du quatrième étage branlante et sans sol.
A l'horizontale, les dégats furent plus modérés. Trois salles du rez-de-chaussé volèrent en éclat, tandis que le double s'écroula à cause du souffle. Au premier étage, les deux salles adjacentes à celle du point de la déflagration étaient détruites, ne laissant plus que des murs qui ne soutenaient plus rien. Au troisième étage, seul la salle du point de déflagration fut touchée. Dans tous les chauffages dans un rayon plutôt important autour de la chaudière, des flammes jets de vapeurs bouillants jaillirent, tandis que les plus proches explosaient sous la pression. Toute une partie du lycée venait de s'envoler, et une plus grande encore était devenue un véritable enfer à cause de la chaleur. Des flammes cramoisies dévoraient les corps du surveillant et des élèves du troisième étage, et se repaissaient des bureaux et autres matériaux scolaires, tout en léchant les quelques murs encore debout, les rendant fragiles au moindre petit choc.

Telles étaient les conséquences des bombes posées par le chasseur, qui plongeait non sans une certaine satisfaction son regard dans les flammes, qui exécutaient pour lui une danse hypnotique. Mais pas au point de lui faire oublier la dure réalité. Les pions, qui avaient bien vu l'explosion, et qui voyaient maintenant Daclusia se tenir en souriant devant les flammes, n'avaient aucun doute quand à l'identité de l'artificier. Ils foncèrent sur le chasseur qui, les voyant approcher, se contenta de sourire en les prévenant:


" Je serais vous messieurs... Je surveillerais surtout ce qui se passe autour de vous... "

Avant d'avoir pu prendre en compte le sage consel du JYL, deux des pions furent fauchés dans leurs course par deux ombres qui avaient jailli de ce qui restait de la chaudière, et qui, dans un hurlement, étaient en train de dévorer les deux pauvres surveillants. Des lycan. Directement importés d'Ashnard par un portail se trouvant dans l'ex salle de la chaudière. D'autres en sortirent, accompagnés de créatures bien moins rassurantes que de "simples" lycanthropes...
Ces bêtes monstrueuses, cependant, n'attaquaient pas Daclusia. Comme si elles avaient été amenées ici par lui... Ou plutôt parce qu'elles étaient effrayées par une bête encore plus dangereuses qu'elles...
Marchant tranquillement au milieu des créatures, qui commençaient à se répandre à travers tout le lycée, voir à l'extérieur pour certaines, Daclusia s'arrêta bien en vue, au milieu de la pelouse, et s'alluma une clope. Son plan était en marche. L'ordre d'évacuation serait sans doute bientôt donné. Et avec les fuyards, viendrait sûrement le service de sécurité... Si quelqu'un allait lui mettre des bâtons dans les roues, il viendrait ici, dans la cours, pour faire sa fête à celui qui semblait le principal coupable, sans se soucier de son double qui permettait à la petite Fouine de s'échapper de l'antre du chasseur... Étouffant un rire satisfait et malsain, du haut de son corps de presqu'adolescent, le JYL s'alluma une clope, et prononça ces paroles qui marquèrent le début réel des choses sérieuses:


" Que la fête commence! "

22
Archives publiques / Re : Le dernier mot
« le: mercredi 22 juillet 2009, 21:33:43 »
*tend une bouteille d'huile de foie de morue*

23
Archives publiques / Re : Le dernier mot
« le: mercredi 22 juillet 2009, 21:30:33 »
*tend une boîte de laxatif à Kamui*

24
Archives publiques / Re : Le dernier mot
« le: mercredi 22 juillet 2009, 21:20:04 »
*injecte de la morphine à Kamui.*

La violence n'est pas une solution, JEUNE.

25
Le coin du chalant / Re : Quelques RPs ?
« le: lundi 20 juillet 2009, 23:15:02 »
J'ai toujours pas tenu la promesse que j'ai fait de repasser te voir... Demoiselle...

26
Prélude / Re : Astaroth, générale démone.
« le: samedi 18 juillet 2009, 00:57:40 »
*crève la poitrine d'Astaroth avec une aiguille*

27
Prélude / Re : Astaroth, générale démone.
« le: samedi 18 juillet 2009, 00:53:13 »
Ha oui, c'est vrai qu'avec une paire de boules de graisse pareille, on doit pas être capable de grand chose.

28
Archives / Re : Nouveaux endroits
« le: samedi 18 juillet 2009, 00:43:04 »
Le palais aux miroirs.

De l'extérieur, ce n'est rien d'autre qu'un grand cristal, qui émerge au milieu du désert comme un glaçon criant merde à la chaleur de l'été. Mais en fait, c'est une étrange bâtisse, venue d'on ne sait où, où chaque étage est une porte ouverte sur le fantasme et le fantasmagorique...

RdC: dans les miroirs, on se reflète. En touchant les miroirs, on fait sortir autant de copie de nous. A nous le libre choix de faire ce qu'on désire...

1er: dans les miroirs, on se reflète comme on se voudrait. En touchant les miroirs, on devient ce reflet. Dès les portes franchies, on redevient nous même.

2ème: dans les miroirs, se reflètent nos peurs. En regardant le miroir... nos peurs surgissent et nous dominent...

3ème: dans les miroirs, se reflètent des portails. Il y a un miroir par personne existante sur cette terre. Y piocher revient à piocher au hasard, et toucher un miroir téléporte devant nous la personne issue du miroir...

Dernier étage. Un seul miroir. Le miroir du Rised. En touchant ce miroir... Un vœu est accordé. Mais pas un voeu que l'on choisit... Un vœu qui sommeille en nous... Une fois ce miroir atteint, les portes du palais nous sont fermées... A jamais.

Le rez de chaussé est un grand Hall, où les miroirs sont les murs. Un grand escalier central permet de monter à l'étage. Tons bleutés et ambiance sereine. On se sent ici chez soi. En soi...?

Le premier étage est un une grande galerie, où les miroirs sont sur des piliers ornant la salle. Tons pourprés, chaleur étouffante. Mais pas une chaleur brûlante... Une chaleur... De désir... Un grand escalier est présent, comme à l'étage précédent... Encore faut-il pouvoir le franchir, plutôt que de succomber aux désir...

Le deuxième étage est noir. Noir comme la nuit. On ne voit rien d'autre qu'une lueur rouge. Les yeux de nos peurs. Mais on ne voit rien. Rien du tout. Ni leur forme, ni leur taille. Rien. Et peut être est-ce ça la peur la plus grande. La peur d'ignorer ce qui se passe... Trouver l'escalier... Cela relève du coup de chance...

Le troisième étage est dans des tons violets. Une grande plaine de miroirs, qui semble s'étaler à l'infini. Des portails se reflètent dans les vitres, mais... Certains semblent briller plus intensément que d'autres... Pour vous attirer peut être?

Le dernier étage... Une pièce d'architecture gothique. Vide. Grise. Du granit à première vue. Seul un élément... Un miroir... LE... Miroir....

29
Prélude / Re : Astaroth, générale démone.
« le: samedi 18 juillet 2009, 00:32:08 »
*extirpe Roger d'Elysia et emporte la jeune dame par dessus son épaule, en ayant dans l'autre main une scie à os*

Vous, mademoiselle, vous venez avec moi au lieu d'enquiquiner les personnes respectables.

30
Complexe d'études secondaires et supérieures / Sous couverture... [PV Elysia]
« le: vendredi 17 juillet 2009, 02:16:54 »
Il est 16 heures, les premiers cours se terminent. Une belle journée ensoleillée, qui laisse prévoir une belle après-midi à ceux qui viennent de sortir de cette prison scolaire, et une bonne soirée pour ceux qui préfèrent se lover dans les ténèbres de la nuit. Il y a aussi ceux qui, malgré ce beau temps, préfèreront rester en intérieur, pour surfer sur le net ou bien jouer à des jeux vidéos. Il y a ceux qui se cachent des autres pour laisser libre cours à leurs pulsions primaires. Ceux qui trainent en bande, ceux qui font du sport, celles qui passent leurs temps à faire les boutiques, en profitant par procuration du regard des hommes sur leurs corps jeunes et en pleine éclosion. Ceux qui regardent, hypnotisés, ces jeunes demoiselles exhiber leur corps de femme naissant. Ceux qui broient du noir dans des coins isolés, ceux qui jouent au golf, dans un terrain vague près d'une rivière, en utilisant des canettes de soda comme balle.
En sortant de la jeunesse, il y a les nouveaux jeunes adultes, qui entrent, intimidés, dans le monde du travail, qui vont, avec des collègues, se détendre après une dure journée de labeur. Il y a les plus anciens, qui regardent d'un bon œil la fougue de la jeunesse. Ceux qui les regardent d'un mauvais œil car la jeunesse ne respecte plus rien. Il y a les vauriens, trop téméraires, qui arrachent à des jeunes femmes leurs sacs en pleine rue, car ils pensent qu'elle sont des proies plus faciles. Il y a ces jeunes femmes, qui à défaut de griffes, ont des bombonnes lacrymogènes. Même les animaux profitent de ce temps magnifique pour s'épanouir et entamer leurs danses de séduction.

Et au milieu de tout ça, une noisette qui pose des affiches, pour annoncer un tournoi de base-ball inter-scolaire. Noisette... Mais si. Ce jeune homme, d'à peine 13 ans. Plutôt bien bâti, légèrement bronzé, avec des cheveux bruns coupés cours, qui se disputent pour savoir qui sera le plus revêche, ainsi que de grandes pupilles vert menthe, dans des yeux en forme d'amande. Étudiant au lycée de Seikusu.
...
Disparu sans laisser de nouvelles pendant plusieurs jours...
...
Et bien il était de retour, et posait des affiches. En punition, lui avait-on dit, de sa disparition aussi brusque qu'entourée de mystère. Punition donc. Il devait coller sur les murs du lycée toutes les affiches qu'on lui avait confié, traitant du tournoi de base-ball inter-scolaire qui aurait lieu dans quelques semaines. Il s'en contrefichait de ce tournoi Noisette. Il voulait s'en débarasser le plus vite possible pour... Mais bon, plus vite il collerait ces affiches, plus vite il serait libre. Il était d'ailleurs en train de poser la dernière, et se félicitait du travail accompli.
Prenant une petite pose, il s'assit, dos au mur, où il venait de poser le morceau de papier, et réfléchit pendant quelques minutes à ce qu'il allait faire maintenant, absorbé par une tâche d'une matière indéfinissable du plafond, coincée entre le rouge bordeaux et le vert vomi. Il était seul dans le couloir, aussi personne ne lui fit remarquer qu'il n'avait rien à faire là, allongé par terre comme un miséreux. à côté de lui, il y avait une classe, visiblement pas occupée, dont l'emploi du temps était libre pour le reste de la journée, et dont la porte était mal fermée. Il y avait aussi des toilettes, vide pour le moment, où les seules décorations étaient des boules de papier mâché collées aux murs, et de tags sur les portes des cabinets. Les fenêtres donnaient sur le côté ouest du bâtiment. Un peu d'herbe, et quelques fleurs, voilà tout. Puis le grillage, élément indispensable d'une école digne de respect...

Puis, entendant quelqu'un arriver dans le couloir, Noisette se redressa, se demandant bien qui pouvait passer dans un endroit aussi désert, le couloir étant un cul de sac ne menant à aucune salle de cours, et où les toilettes n'étaient pas réellement utiles, car éloignées et sales.

Pages: 1 [2] 3 4 ... 8