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Centre-ville de Seikusu / Re : Un retour dans le sang et les larmes pour reprendre à zero [ Rubis ]
« Dernier message par Karl Neumann le Aujourd'hui à 00:20:51 »Son cœur battait de plus en plus fort, son souffle accélerait juste en dessous de l'hyperventilation tant il avait envie d'elle, tant il la désirait en cet instant. En la sentant se mouvoir avec lui, sentant ses caresses et ses baisers délicieux, il était plus excité et plus envieux de la faire gémir à chacune de ses attentions. Sa lame, toujours dur comme l'acier, comme le titane, massait et caressait toujours avec frénésie ses parois chaude et accueillante, frappant le fond de son fourreau avec vigueur sous les encouragements de sa belle
Le gout de ses lèvres était devenue si addictif, la douceur et la fougue de sa langue courant et dansant avec la sienne exacerbait son désir, tandis que son regard le possédait chaque seconde ou elle gardait le sien ancré vers lui. Un peu agacé, mais surtout, ne voulant pas abimé la table, Karl décida de venir l'attraper, passant ses bras autour d'elle pour venir la soulever et, même alors qu'une de ses jambes si douce à son gout pendait doucement contre la sienne, il put la tenir contre lui à la force de ses bras, venant l'amener à un endroit proche et plus confortable, n'ayant pas la force d'arriver jusqu'à la chambre, il vint l'allonger sur le canapé. Là ses va et viens reprirent avec fougue, plus lent que ses assaut répété il y a quelques secondes, mais avec une ampleur et une profondeur des plus divine, laissant ses pétales s'écarter et s'écraser contre son bas ventre sous chaque de ses coups de reins.
La, sa main de fer se mit à caresser ses cuisses avec douceur, tandis que l'autre vint à nouveau caresser sa nuque, laissant ses doigts se glisser amoureusement dans sa chevelure de neige, caressant l’arrière de sa tête tout en la soutenant tendrement alors qu'il l'embrasser comme si sa vie en dépendait. C'était d'ailleurs le sentiment qu'il avait en cet instant, comme si leur danse les gardait en vie, comme si, s’arrêtait allait le faire sombrer, ne voulant pas arrêter cet instant beaucoup trop paradisiaque, sentir son corps somptueux contre le sien, la caresses de leur courbes se frottant l'un contre l'autre, le son de savoir gémissant le plaisir qu'il lui offrait, se retrouvant à soupirer, souffler et gémir avec elle de bonheur.
Le gout de ses lèvres était devenue si addictif, la douceur et la fougue de sa langue courant et dansant avec la sienne exacerbait son désir, tandis que son regard le possédait chaque seconde ou elle gardait le sien ancré vers lui. Un peu agacé, mais surtout, ne voulant pas abimé la table, Karl décida de venir l'attraper, passant ses bras autour d'elle pour venir la soulever et, même alors qu'une de ses jambes si douce à son gout pendait doucement contre la sienne, il put la tenir contre lui à la force de ses bras, venant l'amener à un endroit proche et plus confortable, n'ayant pas la force d'arriver jusqu'à la chambre, il vint l'allonger sur le canapé. Là ses va et viens reprirent avec fougue, plus lent que ses assaut répété il y a quelques secondes, mais avec une ampleur et une profondeur des plus divine, laissant ses pétales s'écarter et s'écraser contre son bas ventre sous chaque de ses coups de reins.
La, sa main de fer se mit à caresser ses cuisses avec douceur, tandis que l'autre vint à nouveau caresser sa nuque, laissant ses doigts se glisser amoureusement dans sa chevelure de neige, caressant l’arrière de sa tête tout en la soutenant tendrement alors qu'il l'embrasser comme si sa vie en dépendait. C'était d'ailleurs le sentiment qu'il avait en cet instant, comme si leur danse les gardait en vie, comme si, s’arrêtait allait le faire sombrer, ne voulant pas arrêter cet instant beaucoup trop paradisiaque, sentir son corps somptueux contre le sien, la caresses de leur courbes se frottant l'un contre l'autre, le son de savoir gémissant le plaisir qu'il lui offrait, se retrouvant à soupirer, souffler et gémir avec elle de bonheur.