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Le manoir du comte s’élevait derrière de grandes grilles forgées, au sein même de la capitale d’Ashnard. Le bâtiment reflétait la richesse de son propriétaire, sans toutefois espérer égaler le palais. Il suffisait à attirer les regards rêveurs des modestes habitants des environs. Parmi eux, quelques élus étaient pris pour le servir. Un tel édifice demandait de nombreux salariés afin de l’entretenir, s’occuper de ses résidents et préparer les somptueuses fêtes. Le comte célibataire de toujours avait une réputation bien établie au sein de la haute noblesse, hôte de prestige et grand libertin. Recevoir une invitation de sa part était un véritable honneur.
Ce soir encore, une somptueuse réception se préparait dans la grande salle. Le manoir était en ébullition pour que les préparatifs soient terminés à temps. Un thème précis avait été donné : Noir et blanc. La décoration était ainsi mise en accord et les invités devraient respecter ses couleurs pour se parer lors des festivités. De grandes statues en argent avaient été disposées, de sublimes ouvrages acquis exceptionnellement pour sa fête. L’hôte ne négligeait aucun détail pour étaler sa richesse et épater ses convives.
Un immense buffet avait été aussi prévu par de grands cuisiniers d’Ashnard et le vin coulait à flot. Enivré, les convives seraient plus à même de dévoiler leur secret. Derrière ses réceptions voluptueuses, il ne perdait jamais de vue ses ambitions politiques. Pour servir ces dernières, il possédait une arme redoutable : Kleora. Sa terranide savait charmer et obtenir les faveurs de ces nobles, souvent délaissés par leur compagne.
Alors que la fête débutait, les invités arrivaient un à un pour peupler la grande salle. L’hybride n'avait pas encore montré le bout de ses oreilles bien occupée à se préparer pour les festivités.
En retard, elle se montra enfin. Dans les étages supérieurs, elle observait les individus présents. Un visage familier l'interpella tout de suite. Plutôt que de faire une entrée grandiose par les escaliers principaux, elle opta pour une entrée discrète afin de n’attirer l’attention et de n’être dérangé sur son chemin.
Bientôt, elle rejoint les festivités à la recherche de l’homme aperçu. Une fois face à lui, Kleora lui accorda une élégante révérence en guise de salutation dans une jolie robe noire. Arrêtée au haut de sa cuisse, l’extrémité de sa queue féline était visible.
« Il est agréable de vous revoir ici, Messire. »
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Être héritier d'un petit royaume avait des bons et des mauvais points, les bons, bah une royauté aspire à bien plus de chose qu'un civile lambda, plus de richesse et de serviteur. Inconvénient, trop petit voulait aussi dire peu de poids malgré tout et cela se voyait lorsque je devais approchez des personnes de nature "moins gradé" que moi et pourtant, avec plus d'influence...
A vrai dire, on parlait de moi plus comme d'un duché en vue du nombre de terre réduite qu'autre chose. Le Royaume d'autrefois était perdu et je n'avais de titre que celui d'un bouffon... A vrai dire, je tentais d'intégrer mes terres de manière plus détourner afin d'arrêter de subir toute ses brimades et malotru.
J'avais ainsi approchez un noble qui était aussi, voir plus riche que moi, alors même que je possédais plus d'héritage que lui... Signe de ma médiocrité, si ma nature me poussait à chercher le conflit, il me fallait d'abord gagner force afin de pouvoir rentrer en guerre. Mais cela n'était pas prêt d'arriver, peut-être les générations futurs !
J'avais fait sa connaissance, ainsi que d'une très jolie chatte de compagnie avec qui je pensais, cela semblait marcher. Mais difficile à dire ou la relations désirer commence et où celle demander faisait part !
Je n'étais pas dupe, elle n'était pas libre et suivrait peut-être les schéma de son maître... A prendre garde !
Ce soir, je venais refaire mes invitations dans ce "beaux monde" et revoir la vrai "belle". J'avais choisi une tenue typique d'un autre royaume, en pensant attirer l'oeil et les curiosités, sans moquerie et... cela semblait bien marcher. J'avais pris quelques nom et prochain rendez-vous !
... par contre la chatte n'était toujours pas là. Je commençais à m'inquiétés, lorsqu'une somptueuse demoiselle me fit face, avec une superbe robe noir et des courbes gracieuses ! J'en eus un grand sourire, avant de me reprendre un peu plus gentleman, m'inclinant en premier.
- Madame. Je lui fis un baise main, caressant sa paume. Ravie de vous revoir, miss Kleora. Comment allez vous en cette belle soirée ? Vous êtes somptueuse, vous allez voler tout les regards et peut-être même quelque coeur. Lui souriais-je malicieux.
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Dès leur première rencontre, à une précédente réception organisée par son maître, Kleora avait jeté son dévolu sur le prince. Un intérêt que son maître n’appréciait guère, étant donné qu’il n’en avait donné l’ordre.
En effet, pour lui, le souverain n’était qu’un misérable héritier sans avenir, indigne de sa belle chatte. Cette dernière l’avait choisi, pour une fois qu’elle décidait d’elle-même de ses fréquentations, elle ne se laisserait pas faire, quitte à le côtoyer dans le dos de son maître.
D’ailleurs, la dernière fois, la terranide avait ambitionné de le ramener jusqu’à sa chambre. En très bon chemin pour trouver un peu d’intimité, un serviteur innocent les avait trouvés et interrompus.
Mais là n’était pas un acte volontaire, non, le pauvre homme paniqué face à un accident survenu dans une salle annexe et cherchait l’hybride pour l’aider à trouver des solutions.
Un manque de chance évident.
Mais cette fois-ci, Kleora avait prévu un peu plus, un endroit plus discret, avec la complicité de quelques serviteurs. Avant de l’amener, devait-elle encore s’assurer que le prince s’intéresse toujours à elle.
« Je vous en remercie mais le seul regard que je cherche à captiver est le vôtre. Si j’arrive à retenir votre attention toute la soirée durant, j’en serais hautement satisfaite. »
Elle marqua une courte pause.
« Je vais très bien et vous, mon cher ? Bien que ce soir, je n’ai guère le cœur à danser. Il y a une magnifique vue depuis l’étage supérieur sur les invités. Que diriez-vous de monter pour discuter au calme ? J’aimerais beaucoup que vous parliez un peu plus de votre royaume. »
Il était bien trop tôt pour s’isoler totalement. Ainsi, d’en haut, ils pourraient déjà gagner un peu plus d’intimité pour échanger. Si l’héritier en valait la peine, la chatte serait tout à fait légitime à lui donner un coup de main dans ses honorables desseins.
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Je ne connaissais pas bien les desseins de la chatte, ni ne connaissait sa liberté de mouvement. Pour moi elle était sous les ordres de son maitre et ainsi j'avais été surpris d'être interrompus la dernière fois par un serviteur pour une affaire (plus urgente ?) de celui-ci.
Alors j'eus un petit sourire à ces propos, elle voulait mon attention et ce pour toute la suite. Etait-ce pour m'éloigner des autres ? Ou parce que je lui plaisais sincèrement ? En tout cas, si j'obtenais ses faveurs, cela ne serait pas mauvais. Je m'incline à sa demande.
- J'en serais flatter.
Je me redresse rapidement, surpris de savoir qu'elle n'allait pas bien, pourquoi ne pas danser ?Elle me proposait ainsi de nous éloigner pour rester à deux, tentant... et dangereux tant que je n'étais pas sur de ses intentions. Elle était belle et séduisante, mais une esclave... Je pris sa main et lui fit un baise-main.
- Je suis navré que votre coeur ne soit pas à la fête. Si ma présence peut l'aider à se sentir plus léger, ce sera avec plaisir que je vous accompagnerais.
C'était un risque à prendre, que de sauter dans la gueule du loup ou plutôt de la féline, mais si elle avait du poids auprès de son maitre, je passerais peut-être bien une bonne soirée et me ferait bien voir !
Vérifiant de ne pas attirer l'attention, main dans la main, je me laisse guider dans ce superbe manoir. Richement (trop) décorer, gardant un peu un peu lent, elle me permet de découvrir toutes la richesse des lieux, avant de belle et bien arrivé au balcon. De là nous avions une superbe vue, sur la ville et le soleil commençait à tomber, donnant une lumière sublime au loin.
- Je comprends pourquoi vous vouliez venir ici. La vue dégager et les couleurs sont... aussi fascinante que vous. Lui souriais-je charmeur, lui faisant un nouveau baise-main. Je suis tout à vous, si vous aviez des questions sur mon Royaume, ne vous privez pas. Je répondrais comme je peux. Terminais-je plantant mon regard dans le sien.
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Le balcon était un endroit romantique à souhait mais assez isolé et peu apprécié du comte pour y trouver la paix. Kleora savait qu’ici, aucun serviteur ne viendrait espionner leur discussion, surtout si cette dernière prenait un ton politique.
Beaucoup de rumeurs circulaient sur le petit royaume. Peu se faisait élogieuse envers ce dernier ; considéré comme un petit duché perdu sans importance, seul le mépris ressortait véritablement de ses conversations vaines.
« Ravi que le paysage vous plaise… Je préférais rester au centre de votre attention. »
Véritable séductrice, la chatte ne cachait nullement son attirance pour l’héritier et ses mots en étaient de parfaits révélateurs.
« Beaucoup parlent de votre ro- » Un bruit étrange alerte la féline qui s’arrête nette dans ses propos. Elle se retourne et tombe sur un couple, peu dérangé par leur présence.
Une magnifique femme rousse est collée au mur, soulevée par son amant. Sa robe est à peine relevée… Et le pantalon de son partenaire baissé sur ses chevilles. Le gémissement soudain qui a interrompu Kleora marquait le début des festivités malgré les spectateurs.
Vraiment… Leur présence ne les arrêterait pas. Le regard persistant et surpris de la chatte semblait même les exciter davantage.
Muette, l’esclave se tourne vers son interlocuteur pour le laisser prendre une décision… Rester ici et continuer à parler ? Trouver un autre endroit où des amants ne seraient pas occupés à leur besogne ? Elle s'accorderait de son choix.
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Je tente de me montrer charmant, sans trop en faire, ce qui semble lui plaire. Peut-être le compliment donner à son encontre, j'adore surtout son beau sourire, qui semble non feinté... j'espère !
Elle veut rester le centre de mon attention, une vraie séductrice ? Toutefois, ce serait un peu trop facile et... Le tableau est vite gâché par un bruit, qu'elle remarque d'abord, avant que je ne me retourne pour tomber sur une scène qui me sidère.
Alors certes je ne doute pas trop de ce qui pourrai se passer dans ces lieux, mais tout de même ! En public et on est à peine en soirée ! J'en suis sidérer et la féline ne sait trop quoi faire. C'est sûr qu'on ne peut pas rester là avec ce spectacle, mais j'aurais vraiment aimé profiter de la fin du couché de soleil. On aura le loisir de bouger après !
Je me retourne alors vers eux et les fixe, puis claque des doigts.
- Dégagez. Le ton de ma voix est neutre et pourtant ce que eux percevront est une menace, mêlé à une aura sombre et glacial, coupant toute envie, si ce n'est de fuir.
La femme panique et le repousse, fuyant la première, tendis que lui s'entremêlent avec son pantalon et s'étale au sol, nous montrant son cul, avant de vite le remettre et de s'en allez humilié et la queue entre les jambes.
J'en soupire, c'est vraiment pitoyable, un peu cacher cela aurait été peut-être sexy, mais là... juste dérangeant.
- Pardonnez cette image peu gracieuse Dame Kleora. J'espère que ce moment n'aura pas entièrement gâché cette soirée. Il est encore tôt et nous avons tous le temps devant nous pour en profiter.
Pour le coup, j'étais un peu plus innocent qu'elle en disant cela, non que je ne m'y intéresse pas, mais à cet instant, pas tout à fait.
Je prie sa main et y fit un baise-main, bien que trop nombreux, je soulignais aimé ce contact entre nous. Encore léger, mais qui ne demandait qu'a prendre son temps pour allumer un feu plus grand !
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Eux qui appréciaient se donner en spectacle étaient chassés sans préavis de leur discret lieu. Au vu de leurs visages déconfits, une dispute éclatera sans doute une fois isolés à nouveau. Mais Kleora ne réagit que d’un rire franc et moqueur. Les voir si lamentables face à la réaction inattendue du prince l’amusait hautement.
« Rien ne peut gâcher ma soirée, si je suis aussi bien accompagné. Si vous saviez les mœurs de ce manoir… On s’habitue bien vite à ces scènes indiscrètes. »
Que ce soit lors des soirées du comte, qui pour beaucoup, finissent en véritables orgies ou les serviteurs frivoles, à l’image de leur maître, la chatte tombait tous les jours sur ce genre de scènes érotiques. Le balcon était même réputé pour cela bien que ce ne soit la raison pour laquelle elle y a conduit le prince.
A côté de la luxure des invités et des employés de maison, la terranide semblait presque chaste… Enfin, elle n’était jamais vraiment intéressée par les hommes désignés par son maître. Elle les séduisait mais se préservait de tout rapport intime. Quant aux autres ? Il n’était pas assez courageux pour braver l’interdiction du comte.
« J’aimerais vous entendre parler de votre royaume. Je n’ai trouvé que peu d’écrits à ce sujet… Et les dires sont loin d’être élogieux à votre égard. Mais vous devriez ignorer leur mépris, ils sont seulement stupides. »
Si Kleora se faisait aussi curieuse, c’est que le comte ne la laissait guère sortir du manoir. Des fois, elle avait l’autorisation de sortir dans la capitale faire quelques achats mais rien de plus.
Son précédent maître, le marchand qui l’avait à sa charge, était pareil, paresseux comme aucun. Elle n’a ainsi jamais découvert le monde en dehors d’Ashnard, enfin, de sa capitale. Seuls les livres et les récits contés lui permettaient de voyager un peu.
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Je trouvais vraiment que la situation était indécente et cela m'avait amener à user de ma magie discrètement pour les écraser de pression au lieu d'en venir à user de violence physique. La chatte, elle en rigola, se moquant d'eux et me lança une information que... je n'avais qu'entendue ouïr.
J'en fus quelques peu gêner, cela voulait-il dire qu'elle avait l'habitude de flirter et d'emmener des hommes elle aussi ? Aussi souvent et facilement. A chacun sa conduite et j'essayerais de ne pas en juger, mais... du coup j'étais plus mitigé sur ce moment, sur cette "relation" qu'elle tentait de construire. Juste une énième proie ?
- Et bien... cela doit être mouvementé. Souriais-je embarrassé.
Je me penchais sur la ville, l'écoutant à nouveau. Elle voulait en savoir plus sur mon Royaume et je souriais tristement à ces connaissances perdue ou mensongère. Elle semblait de mon côté... était-ce vraiment le cas ? Je lui souriais avec douceur.
- Ne vous inquiétez pas, j'ai l'habitude, le fort écrase le faible. Et les faibles use de ruse et de haîne pour tenter de gravir les échelons, afin d'être bien vue.
Je viens caresser sa joue, plantant mon regard dans le sien, cherchant à savoir...
- Et vous, dame Kleora ? Qu'utilisez-vous pour survivre dans cet environnement ? Pouvez-vous êtres vous ? Où qu'un pion sur l'échiquiers de votre maitre ? Suis-je une proie ou un amuse-gueule ? Si je gardais mon sourire, la fin fut un peu plus froide. Montrant que j'essayais d'en savoir plus sur sa position à mon propos.
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La gêne de l’héritier amusa Kleora, qui n’en montra rien. Il était normal de réagir ainsi quand nous n’étions pas habitués à cet environnement particulier. L’hybride elle-même a mis un temps avant de réussir à s’y faire, plutôt surprise et embarrassée lors des premières soirées. Elle fuyait les joues rouges ; aujourd’hui, encore mais indifférente, un peu intéressée par leurs pratiques.
Il ne répond qu’à une partie de ses paroles, à ce mépris qu’il subit chaque jour. Puis lui retourne la question. Un frisson lui échappe à la douce caresse de sa main.
« Je pensais pas que vous poseriez si vite cette question. Mais ma position mérite d’être éclaircie, je le conçois. Avant d’être moi-même, je dois vous rappeler qu’un esclave n’existe qu’en tant qu' objet, indigne d’être un pion. »
Elle ? Kleora ne s’était jamais considérée comme une personne, malgré son orgueil. Elle n’était qu’un objet de luxe, une fantaisie d’un noble trop riche.
« Je pense qu’agir selon ma volonté me rapproche d’être cet idéal impossible. Si je vous aide car je le désire. Personne ne l’a choisi à ma place, je me sens un peu plus moi-même. »
Autant que ses mots pouvaient faire sens dans son esprit blessé et conditionné depuis sa plus tendre enfance. Son maître ne portait aucun intérêt à lui, qu’elle avait aperçu son potentiel, la féline désirait lui tendre la main, s’approcher d’un être vivant, capable de penser et d’agir selon son unique volonté.
Pour cette même raison, il lui arrivait de désobéir, de donner son avis ou encore de limiter ses contacts avec les cibles choisies de son maître.
« Ma volonté de vous aider, mon désir pour vous n’est pour une fois un plan tordu de mon maître. »
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Son jolie minois apprécie ma délicate caresse, tandis que je la fixe et lui demande plus de détail, sur ses attentes, ses désirs et ses objectifs à mon propos. Elle fut surprise que je rentre aussitôt sur le sujet, mais continuer sur cette voie aurait fini par me gêner.
Elle me rappelle alors qu'elle est un objet, pire qu'un pion... Son mental est donc à son maitre, son choix n'est pas le sien et donc je dois la penser assujettis. Je connais bien ça... en tant que petit Royaume, je suis sujet à être "l'esclave" de plus fort que moi, de leur juridiction.
Cependant... Elle dit alors le contraire, ou plutôt semble dire que ces gestes-là, était les siens. Elle le déclare et cela me fait sourire alors qu'elle se dit être plus elle-même en faisant cela. Allant même me faire doucement rigoler au plan tordu de son propriétaire.
- Je suis content de l'apprendre. Ce serait dommage d'être charmer par une beauté, sans être réciproque. Lui souriais-je malicieux, avant de la "bloquer" contre le rebord.
Mes deux bras l'encerclent sans la toucher, appuyer sur la pierre et elle, entre. Je viens effleurer son cou de mes lèvres, humant son parfum. Le soleil dans son dos, se couchant l'illumine et lui donnerait presque une sorte d'aura.
- Par quoi pourrais-je commencer sur mon Royaume. Que vouliez-vous savoir ? Nos fruits et légumes ? Etant entre deux Royaumes aux paysages variés, nous avons une variété plutôt importante. Moins ensoleiller qu'ici par contre.
Je plante mon regard dans le sien, je prend le temps, d'apprécier le moment, le soleil couchant et la jolie féline entre mes pattes, bien que libre d'y fuir si elle se glisse sous mon bras ou le repousse. Comme elle peut bien s'y adonner, face ou contre moi. Choisissant la position pour ce petit moment romantique ?
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Dos au paysage pour n’observer que le prince, ses pupilles améthystes se perdent dans son regard rougeoyant. Le coucher du soleil se reflète sur leurs visages, sa lumière délicate s’estompe au fil des secondes.
Mais Kleora n’a d’yeux que pour l’homme devant elle ; un frisson la parcourt à ses attentions. La proximité entre eux amène leur parfum à se mêler, dans une envoûtante fragrance.
Il lui accorde enfin la possibilité de parler de son royaume… Mais l’esprit de la féline est ailleurs, portée par cette situation étrange dans un décor romantique. Son attention est retenue par les lèvres du prince, ses doigts parcourent sa joue douce… Comment peut-elle résister et revenir à la conversation ?
Dans un effort, la chatte demande :
« Decrivez-moi les paysages, les coutumes, l’alimentation… Faites-moi rêver. Je veux tout connaître de votre royaume… »
Sa caresse tombe de sa joue à son cou.
« Et de vous… »
La terranide dérive de nouveau, emportée par ses désirs. Ses doigts continuent de l’explorer, par-dessus ses habits. Elle se saisit de son col pour l’approcher à elle. Ses lèvres se lovent à son oreille ; d’une voix sensuelle, la féline continue :
« Jusqu’au goût de votre lèvre… A la chaleur de votre corps. Faites-moi oublier mon maître, cette ridicule fête… »
Kleora relâche le tissu et s’échappe sous l’un de ses bras. Ses joues sont rosies par la chaleur de son corps, animé d’un irrépressible désir. Elle reprend contenance, loin de lui, capable de résister un peu plus à l’appétit qu’il la tiraille.
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Si je n'étais pas bien sûr d'où le regard de la féline se portait, je sentais bien celui-ci sur moi, sans aucun doute, ses yeux pétillaient et appréciait la vue qu'elle avait en face d'elle, moi. J'en souris, charmé par ce regard et la caresse délicatement, ce à quoi elle me répondit.
Me demandant de décrire mon chez moi, de la faire rêver. Souhaitant tout connaître.
- Il m'en faudrait des jours...
Elle voulait ME connaître.
- Où des nuits...
Ses mains poser sur moi, m'agrippent soudain et colle nos corps, parlant un peu plus directement de ces pensées, de ses désirs, profonds... La charmeuse s'échappe ensuite de mes bras, sans me quitter du regard, elle semble peut-être un peu gêner d'avoir été aussi directe ? Je me retourne alors pour lui faire face et souris, alors que le soleil termine de descendre sous l'horizon, faisant tomber lentement, la nuit.
- Il y a certaine chose qu'on apprend mieux, dans un coin... privé. Lui lancais-je donc une proposition, suite à sa "demande".
Je n'avais pas trop envie de me donner en spectacle comparé à ce qui semblait pouvoir se passer par ici. Et comme la nuit tombait, cela risquait d'arriver de plus en plus ? Cette pensée fit rougir d'embarras mes oreilles, alors que je terminais le verre que j'avais monté et poser.
Puis je m'approchais d'elle, pensant à ce que je pouvais dire sur mon chez moi, mais le moment était... Disons plus propice à d'autre chose, peut-être devrais-je trouver un autre moment pour discuter calmement, que nos jeux du chat et de la souris. Bien que l'on se demanderait qui est le chat...
Je lui tendis la main et attendis que la sienne s'y pose, venant alors lui faire un baise-main... sensuel, romantant lentement son bras, glissant mon autre main autours de son bassin et effleure ses lèvres mais sans l'embrasser, venant minauder.
- je propose qu'on se trouve un coin plus tranquille, pour... faire plus ample connaissance. Je vous suis Kleora. Lui proposais-je en attendant qu'elle me dirige, c'était chez son maitre après tout, elle devait bien connaître un bon lieu pour se "reposer" tranquillement, en toute intimité.
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« Je connais l’endroit parfait pour discuter. »
Kleora prit sa main, surprise par le baise-main. Le prince se montre entreprenant tout à coup, jusqu’à joindre ses lèvres sans s’en emparer. Ses paroles, son honnêteté ont suffi à éveiller son intérêt, ses désirs à son égard ? La féline ne peut que s’en satisfaire et exaucer son souhait de gagner un endroit plus intime. Un fait écho dans son esprit : un salon isolé préparé pour les accueillir.
La dernière fois, la terranide avait bien voulu le ramener à sa chambre…Pour finalement comprendre qu’il serait difficile de contenir les imprévus et les potentielles visites indésirables. Pour cette raison, d’un pas assurée, elle le conduit à travers un couloir désertique pour rejoindre une pièce dont la chatte est seule à posséder la clé.
Elle ouvre la porte sur un salon délicatement décoré. Une cheminée allumée fait face à un sublime tapis, couverts de coussins pour leur permettre un confort, un véritable petit cocon. Un canapé était présent plus en retrait, une commode derrière et une table d’appoint sur le côté. Deux coupes de vin avaient été déposé.
« Entrez, je vais fermer derrière nous. »
De sa clé, Kleora ferme le loquet, assurant leur intimité pour la nuit.
Elle le rejoint, attrape les verres au passage et s’installe sur les coussins dans cette ambiance très romantique. Elle lève sa coupe vers lui.
« Trinquons à notre futur partenariat.. Après le claquement des verres, elle en tire une gorgée. Je suis bien décidée à vous aider dans les projets futurs de votre royaume… Bien que je désire, à cet instant précis, que vous honoriez vos paroles… Et faire plus amples connaissances. »
Aux paroles se joignent les actes. La féline se débarrasse de son verre pour s’asseoir sur les jambes du prince, tant désiré. Ses doigts se déposent sur sa joue, dans une tendre caresse. Ses lèvres effleurent les siennes.
« Me désirez-vous, Messire ? »
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La jolie féline accepte évidemment de me guider dans un lieu plus discret et agréable pour nous deux. Et alors que je suis proche, je me serais attendu à ce qu'elle tente de m'embrasser... non, elle se contient. Et prend les devants comme demandés, je la suis en silence.
Je pourrais presque pensée à un traquenard arriva dans un couloir vide et silencieux, assez sombre, avec la lune se levant paresseusement. Mais une fois dans le salon... les lieux sont plus chaleureux avec la cheminée notamment, et ses douces flammes. Tous est bien disposé avec luxe, mais aussi goût... pour une fois. Ce qui me fait sourire... c'est les coupes déjà prête, j'en rigole et en récupère une. Kleora avoue qu'elle ferme et se pose, je l'imite.
- Et bien, on dirait que je suis pris entre tes griffes, dame Kleora. Souriais-je charmeur, à ces côtés.
Je trinque et vois le breuvage... qui n'est pas empoisonné, car ainsi préparer qui sait ce qu'il pourrait y avoir et que personne ne verrait, porte fermée ! Mais mes sens ne détecte rien d'anormal aux alentours, Kleora semble vraiment sincère dans ses désirs de m'aider.
Et sans attendre, la voilà qui retire nos verres et se pose sur moi, mes mains viennes naturellement sur ses hanches, tandis que je plonge mon regard dans le sien, humant son parfum si près... son corps doux et chaud sous mes doigts. Je l'embrasse du bout des lèvres, presque chaste.
- Et bien... je peux dire que tu attise fortement ma curiosité. Et que j'ai bien envie d'en découvrir plus à ton... propos.
Mes lèvres vinrent de nouveau prendre les siennes, délicatement, lentement, rien de presser de mon côté. Mes mains caressent ses hanches et lentement, mon corps s'échauffe, prenant son temps, effleurant avec délicatesse sa queue de chatte.
- Pour ce genre de moment de connaissance, appel moi par mon prénom, Alexis.
Comme elle est l'instigatrice de cette soirée personnelle, je la laisse prendre les devants et décider du temp, appréciant le moment et ma partenaire de soirée.
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Le prince fait preuve de douceur dans ses baisers. Kleora ne se montre gourmande, appréciant la tendresse dont témoigne l’héritier. Ses doigts parcourent son torse, d’une lente et sensuelle caresse. Le ton a été instauré ; la chatte prend son temps pour découvrir son corps, goûter à sa peau. Ses lèvres se perdent dans son cou en de délicats baisers volatiles.
« Je ne suis qu’une esclave, vous êtes un prince. Ai-je vraiment le droit d’user de votre prénom ? »
Arrivées à sa taille, ses mains s’immiscent lentement sous son haut. Sa peau délicieusement chaude contraste avec les doigts froids de la féline qui explorent les reliefs tracés par ses muscles.
Avec douceur, la chatte saisit le haut pour le lui retirer. Elle s’appuie contre ses épaules pour l’obliger à s’allonger sur les douillets coussins colorés.
Au-dessus de lui, le souffle brûlant de Kleora s’écrase contre sa peau. Sa queue féline se balance par-dessus sa tête de gauche à droite. Elle le couvre son torse de lascives caresses et chastes baisers. La terranide apprécie prendre son temps, faire lentement monter le désir pour son amant… Pour qu’il en oublie ce qui les entoure et s’abandonne à la volupté.
Sa paume se pose sur le relief de son entrejambe et le flatte de délicieuses caresses. A peine éveillé, il n’a échappé à l’attention de la féline.
« Etes vous sûr que seule de la curiosité vous anime ? »
Kleora se relève pour lui retirer ses chaussures et descendre le pantalon le long de son corps. Son dernier rempart de tissu le suit. Elle prend tout de même son temps pour le mettre à nu sous ses yeux. Ses pupilles améthystes dévorent la vue offerte à son regard.
Elle revient sur lui, se déplaçant à quatre pattes, dans une démarche sensuelle pour s’asseoir sur son entrejambe. Son érection naissante est cachée sous la robe de la féline, collée et frottée contre sa culotte humide.
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J'appréciais les douces lèvres de la féline, dans un baiser lent, délicat et agréable. Je fermais les yeux en sentant ses mains sur moi, souriant contre ses lèvres, alors que je la caresse lentement, presque chastement. Ses lèvres continuait à doucement me découvrir et je viens caresser sa chevelure avant de hausser un sourcil à sa demande.
- Je te donne le droit, et le devoir qu'en moment privé, tu utilise mon prénom.
Je me retins de préciser que c'était le plus agréable à gémir... Ses doigts continuaient de me caresser et relève ma tenue, je dois l'aidé à m'en débarrasser, frémissant à la froideur de ses doigts, comparé à ma peau chaude. Puis m'allonge par la "force" des choses, souriant en voyant son regard. Il est doux et chaud, je me sens bien désirer tandis qu'elle me caresse et embrasse mon corps.
Les coussins parfaitement douillets sont bien agréable et je viens gratouiller ses oreilles, tandis que ma peau se réchauffe de plus en plus et que lorsqu'elle touche mon entrejambe, elle puisse sentir que celle-ci commençait à se tendre.
- Et bien... je dois avouer qu'il y a peut-être un peu plus que de la curiosité. Lui souriais-je malicieux.
Elle termine de me dénuder, et expose mon corps à son regard améthystes... un superbe regard enchanteur !
- ... bien plus.
Sa démarche féline, venant sur moi, et cacher mon sexe qui s'érige à mesure qu'elle approche me fait un peu rougir. Mon pénis est cachée sous sa robe et je la sens bien humide.
- Très intéresser. Avouais-je venant caresser sa joue. Mais il semblerai que je ne sois pas le seul. Vins-je la taquiner.
Je la laisse toujours contrôler la situation, c'est agréable et sa change. Entre les femmes soumises, passive, celle timide et les nymphos, voir femme de joie qui te saute dessus, te font vite venir pour passer à autre chose. S'en est parfois frustrant, de ne pouvoir apprécier un rapport intime, que pousser à juste consommer l'instant au lieu de l'apprécier.
Mes mains glissent sur son corps, pendant que je la regarde chaudement et attend la suite. Cela lui déplait-il ?
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« Il est bien difficile de résister à votre charme, Alexis. »
Si le prince ne peut plus cacher son désir, il en va de même pour Kleora dont la culotte a souffert. Son bassin ondule contre le sien, dans une lascive danse. Elle peut le sentir gonfler sous ses frottements accentués… Un soupir traverse ses lèvres brûlantes. Son regard dévore le corps nu de son futur amant. Cette position, ce contact amène à une délicieuse frustration. Le fin tissu la protège d’une pénétration hâtive mais permet de ressentir le contact avec sa verge.
Il lui a laissé les rênes et la féline compte lui prouver qu’il a eu raison. Elle compte pousser son désir jusqu’à la limite, le frustrer jusqu’à ce qu’il ne soit plus capable de lui résister et ne pense qu’à assouvir ses bas instincts.
Avec cet objectif, la chatte relève son bassin. D’une main habile, elle relève la queue gonflante d’Alexis pour frotter son gland contre son entrée protégée. Lentement, il parcourt ses lèvres intimes à travers le tissu, s’appuie parfois contre sa féminité sans pouvoir obtenir satisfaction.
« Alexis… »
Ce petit manège est un véritable supplice pour la chatte autant que son amant. Elle n’est pas prête à céder… Elle tiendra tant que le prince n’en fera la demande. De sa main libre, la féline se saisit de sa culotte pour la tirer sur le côté. Le gland caresse maintenant sa fleur intime luisante et échauffe un peu plus le corps brûlant de la terranide. Son instinct lui crie de s’empaler dessus, de se donner satisfaction. Or, elle ne cède toujours pas.
Elle finit même par le relâcher pour trouver sa position initiale, assise sur lui. Elle saisit une main du prince pour la guider jusqu’à sa culotte trempée. L’autre, Kleora lui permet de passer sous sa robe pour la poser sur son sein, gémissant le prénom de l’héritier à son contact. Elle se penche sur lui pour l’embrasser, chastement… La frustration la consume à petit feu.
-
Elle me trouve irrésistible ? J'en souris, flatter.
- Vous n'êtes pas mal non plus. Lui souriais-je le regard déjà brillant d'envie.
Mais ce n'est que le début... Le défi commence, la chatte se déhanche sur moi et me permet de bien sentir sa féminité sous sa robe. D'imaginer sa culotte et son entrejambe... J'en frémis, alors que ma verge se gorge de désir, plutôt rapidement avec mon imagination et les sensations de ces frottements lascifs.
- Hmmm...
La sensation est délicieuse, et aussi brûlante. Elle rend cela encore plus ardue en frottant mon gland contre ses lèvres intimes. Mon souffle se fait plus rauque et mon corps s'embrase de plus en plus, alors que j'en remue instinctivement.
- Kleora...
Mais la féline ne compte pas s'arrêter là ! Alors que je suis déjà bien dur, je sens la chaleur et l'humidité de sa fleur contre mon gland, déglutissant d'envie de la prendre. D'excitation, mon gland perle un peu de présperme qui s'y frotte d'ailleurs et je m'en mords la lèvre.
- Diabolique... et si délicieuse.
Je pense n'avoir aucune amante qui m'échauffe autant, si sensuellement et désirablement. Je suis vraiment à bout, alors qu'elle revient au départ, me frustrant fortement, avant de me pousser à la toucher, la caresser. J'appuie délicatement sur sa culotte et découvre les contours de sa fleur intime par-dessous le très fin tissus protecteur.
Mon autre main vient caresser sa poitrine, remontant assez la robe pour voir ses courbes et son entrejambe ou est ma main. Se penchant, elle m'embrasse, délicatement... trop délicatement.
- Retire cette robe. Lui ordonnais-je, malgré une voix douce. Et à vrai dire, je l'y aide, caressant son sein, celle-ci était déjà bien relever et la tire avec délicatesse pour ne pas la déchirer malgré mes pulsions.
Ma seconde main d'ailleurs remonte sa robe dans le dos avant de retourner à sa culotte que je tente de retirer, déglutissant, je mordillle sa lèvre en me redressant comme je peux. Plantant un regard ardent sur elle, je viens mordiller ses lèvres de baiser plus fougueux, mais pas encore passionné.
- Si tu veux de la douceur, viens sur moi Kleora... Je ne peux plus attendre. Je ne me fais pas suppliant, mais la demande reste formuler et le ton de voix... empreint de désir.
Reste à savoir si elle veut continuer de diriger encore un peu, changer de préliminaire ou de position en étant... dessous.
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« Je me languis de vous goûter, Alexis… Si je venais à vous rendre visite sur vos terres, me réserverez-vous un accueil si chaleureux ? »
De sa voix langoureuse, la question ose se poser. Ses pupilles améthystes se plongent dans le regard fiévreux du prince… Dévorée par le désir, Kleora se consume peu à peu.
Le ton ferme du prince la ramène à la réalité. Avec son aide, elle se joint à lui dans la nudité… Ou presque. Sa culotte demeure comme unique rempart à son honneur.
« De la douceur? Je ne veux que vous, Alexis… Doux ou brutal, aimant ou indifférent. Je n’ai qu’une requête à vous adresser. »
Ses lèvres se haussent d’un sourire sensuel ; la cruelle féline pousse encore la patience du prince. Ses hanches ondulent contre sa virilité irrésistible ; elle s’appuie contre son extrémité tant il lui est difficile de résister à son propre désir.
« Chaque fois que nous nous retrouvons seuls ainsi… Permettez-moi d’oublier le comte pour ne devenir que l’esclave de vos désirs. »
Elle quitte la chaleur de ses bras et se lève. Le dernier tissu s’écrase au sol pour offrir une ravissante vue au prince. A-t-elle vraiment fini de jouer avec sa patience ? Non. La fermeté de sa douce voix exalte l’envie de la féline… Kleora attend de le voir pousser à bout dans l’épuisante frustration.
La gracieuse femme s'assoit sur son ventre ; son pieu tendu se frotte à ses fesses, cajolé en plus de quelques caresses d'une main bien baladeuse.
« Quelque soit votre réponse Alexis... Je me satisferais de connaître l'extase entre vos mains. »
-
La "lionne" semble vouloir me dévorer de bien des manières, ce que j'apprécie énormement, toutefois je garde en tête que rien ne dit qu'elle utiliserai cela contre moi. Et tant que je ne peux en être entièrement certains, je m'amuse, mais ferait attention à mes propos ! Toutefois, pas besoin de s'inquiéter si je couche avec elle. Je n'ai pas de femme et personne n'aurait à y redire.
- Oh, c'est fort probable charmante Kleora. Lui souriais-je, le regard brillant dans ces magnifiques yeux améthystes.
Mais tout cela est un peu trop... et pas assez, je "l'invite" alors à ce délester de ses derniers vêtements. Ce à quoi je l'aide, dévoilant ses belles courbes, délicieuses, que j'ai hâte de parcourir, de bien des manières !
Je lui propose la suite et... J'obtiens une réponse qui me gêne un peu à cause de son statut. Une femme libre choisirai ses préférences, mais ici, en tant qu'esclave... le peut-elle ? Je frémis toutefois à son déhancher, qui me fait mordre ma lèvre et serrer la mâchoire pour ne pas gémir et l'écouter.
Elle veut-être mienne ? C'est un peu comme ça que je le comprends, reparlant d'être esclave, c'est un peu perturbant dans ce genre de situation ou son utilisation est double. Celle qui n'a pas le choix et l'autre qui se soumet par envie.
- Hm... je ne peux promettre...
Bien que m'écoutant, déçus ? Elle se relève, j'hausse un sourcil, me redressant sur mes coudes et souris coquin lorsque sa petite culotte rejoins le sol. Dévoilant sa féminité, luisante de désir pour ma virilité.
Un silence, mais des regards langoureux l'un sur l'autre, puis elle revient sur moi, j'ai tant envie de la dévorer.
J'agrippe alors son fessier, l'empêchant de quitter mon corps et viens embrasser suavement ses jolies seins, remuant de désir sous elle. Ma langue titille son téton droit, avant de remonter dans son cou et lui murmurer.
- Tant que l'on aura assez d'intimité... On pourra retrouver ce genre de moment.
Puis mes lèvres viennent s’accapare des siennes, dans un baiser passionné, tandis que je caresse son fessier, si délicat et chaud à mes mains. Nous découvrons le corps l'un de l'autre, et cela ne semble pas être pour la dernière fois...
Sans un mot, je la renverse sur les coussins, revenant sur elle, frottant mon glaive à son fourreau.
- Je ne suis pas un homme à me vanter, mais j'espère arriver à combler tes attentes. Un sourire malicieux avant de retourner l'embrasser langoureusement, glissant ma main entre nos corps pour tenir mon érection et la diriger sur sa destination finale, sans pour autant la pénétrer, elle m'a fait languir et à mon tour.
-
Nul déception ne peut se lire dans les pupilles vives de la féline. Pourquoi le saurait-elle ? Un simple refus, empreint d’honnêteté ? Kleora n’en a que faire. Pour la première fois de sa courte existence d’esclave, elle profite d’un instant d’intimité avec un homme qu’elle a choisi, selon ses propres critères. Un homme à qui elle veut apporter son aide, la plus sincère. Il peut être difficile de gagner sa confiance mais l’hybride ne désespère pas. Ses actes vaudront mille mots.
Pour l’heure, seul l’intimité qu’ils partagent prévaut sur ses nobles intentions. Elle revient vers lui ; il la fait prisonnière de son étreinte. Un sourire fleurit sur ses lèvres habituellement inexpressives. Chaque attention est un délicat cadeau qui lui fait et suffit à lui arracher un soupir, parfois même un obscène gémissement. Entre ses lèvres se succèdent les expressions de son plaisir jusqu’à ce que le prince s’en empare.
Kleora est incapable de se lasser de ses langoureux baisers. Elle vient toujours en réclamer plus.
Par surprise, il la renverse dans leur lit de coussins et la surplombe de son corps musclé. Ses pupilles améthystes le dévorent des yeux alors que son amant se fait prêt à la posséder. Ses jambes entourent sa taille ; l’impatience la guette.
« Vous avez déjà comblé toutes mes attentes et plus encore. »
Mais c’est au tour du prince de jouer avec son désir, un retour de flammes bien mérité. Elle le sent à ses portes mais il ne les franchit pas. Les oreilles de la chatte se plaquent contre son crâne et son regard se fait suppliant.
A sa merci, l’hybride va devoir attendre qu’il décide de la satisfaire… Chaque seconde devient un véritable supplice, une infâme torture qui s’empare de son corps bouillonnant.
« Alexis… Ne me faites plus attendre, s’il vous plait… »
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Le beau sourire de la féline me séduit, elle a l'air vraiment heureuse, joyeuse de passer ce moment avec moi. Je ne ressens pas quelque chose de faux. Elle peut y prendre plaisir et se laisser allez, c'est très agréable.
Je suis rapidement satisfait de l'entendre soupirer et gémir de mes caresses, de mes lèvres sur son corps et bientôt de mes baiser. Baiser auquel elle répond avec enthousiasme et en redemande !
Je prend d'autant plus plaisir lorsque ma partenaire se laisse allez sincèrement et est heureuse du moment. Comme elle, j'apprécie cela, la chaleur de son corps et la fougue de ses lèvres à revenir prendre les miennes. C'est alors que je reprends le dessus, littéralement... Ses belles pupilles me dévorent et m'exalte encore plus tandis que ses jambes me "capture". Ses propos me surprennes encore, je l'ai déjà comblé, sans faire grand chose et plus encore répondus à cela. Elle n'avait pas confiance en elle ? Ou en moi, les humains ? Craignait que j'abuse ? La violente ? Bien que curieux, si je la questionnais, cela romprait notre moment.
Alors je retourne à un baiser langoureux, ma langue viens chercher la sienne, tandis que mon bassin frotte au sien. Mon corps tressaille de temps en temps, j'ai envie de plus, mais j'ai aussi envie de la teaser comme elle l'a fait précédemment !
Toutefois cela ne dure pas bien longtemps, après un baiser intense, elle me fait un visage triste et quémande. Une boule de feu aux creux des reins me fait dresser d'autant plus.
- Ton jolie minois va ravir mon coeur à ce rythme là. Je souris malicieux et...
Passe à l'action, j'appuie mon gland, sur les lèvres intimes de la chatte, que j'entreouvre de deux doigts. Mouillant bien, mon membre écarte ensuite facilement la féminité de la chatte et me fait pousser des soupirs de plaisir. Alors que je commence à donner de petit coup de rein pour m'enfoncer en elle.
Entre de chaud soupire, je viens chercher ses lèvres, encore et encore. Chacun à ses gestes durant les moments intimes, moi, j'aime particulièrement embrasser ma partenaire. Mon corps vient se coller à elle, tandis que mes bras me supporte pardessus elle pour ne pas l'écraser en étant trop pris par le plaisir de la faire "mienne".
- Hmm Kleora !
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Après avoir pris sa revanche, jouant avec sa frustration, les suppliques de Kleora font céder le prince. Elle peut sentir son gland ouvrir la voie à sa virilité plus imposante. Elle n’a de mal à la posséder tant le désir intense de la belle lui a facilité la tâche. Avec une aisance particulière, accompagné de premiers coups de rein, il vient la prendre, s’enfonçant jusqu’à sa garde. Son épée est parfaitement adaptée à son fourreau, comme si elle avait enfin trouvé sa véritable place. Et le plaisir décuplé par le jeu de frustration.
Sa voix s’élève dans la petite pièce, parfaitement insonorisée. Il pourrait la faire crier son prénom, que personne ne les entendrait… L’endroit parfait pour se laisser aller. Ses gémissements viennent être étouffés par un baiser torride. Sa langue trouve sa congénère dans une délicieuse danse. Comme son amant, elle appréciait particulièrement les baisers pendant l’acte. Ils offrent une intimité différente à ses yeux.
Elle profite jusqu’à ce que leurs lèvres se séparent. Son souffle saccadé est malmené par les gémissements et soupirs appuyés qui trahissent son plaisir en ce début prometteur.
L’entendre son prénom de sa sensuelle voix fait chavirer la chatte, un peu plus. Ses oreilles sont d’ailleurs dressées au-dessus de sa tête, sa queue a disparu sous leurs corps enlacés.
« Alexis… Montrez-moi… Votre désir… l’encourage-t-elle alors. » La féline veut le sentir se laisser aller et faire tomber ses dernières craintes à son égard. Elle veut profiter de ce moment voluptueux pour oublier ce qui les entourent et les devoirs qui les incombent. Prendre du plaisir ensemble, sans que rien ne puisse les déranger.
Kleora se fait aussi impatiente de voir jusqu’où leur relation les guidera… D’aller prochainement sur le terrain du prince pour continuer leur liaison secrète. Il y a quelque chose d’excitant à trahir ainsi son maître, d’entretenir une telle relation dans son dos.
-
Ce n'était pas ma première hybride, pourtant... La sensation que j'avais en elle était... des plus exquises. Elle était tellement prête pour moi, que je n'avais pas eu de mal à entré en elle. Ce petit jeu était une très bonne idée pour nous échauffer et nous préparer, passant pourtant les préliminaires.
Mon corps s'embrasait, tandis que mon membre érigé serait une torche allumé, s'aventurant dans une caverne moite, humide et pourtant si accueillante. J'en avais par moment des frissons, soupirant d'une voix rauque ce plaisir de faire Kleora ma chatte/féline pour la soirée... et d'autre apparemment.
Nos langues vinrent jouer ensemble pendant ce début d'ébat ou nous avons encore un peu de conscience. Petit à petit, nos corps faisait un, notre esprit aussi ?
Je déposais des baisers sur son cou, je l'aurais bien caresser, mais tenir sur un bras m'aurait demandé trop d'énergie, lorsque toute celle-ci est dirigé sur nos bassins entrelacer.
Mon regard brille, pétille de ce plaisir que nous nous offrons l'un à l'autre, j'essaye de rester encore attentif à ses réactions, venant mordiller sa lèvre, avant de gémir en donnant moi-même un coup de rein fougueux.
Chaque mouvement me donne envie de la posséder de plus en plus, mais je sais que je le regretterais, un peu parce que le jeu entre nous risquerais de s'arrêter mais aussi car en tant que esclave, elle n'aurait plus le choix et cela ternirai cette relation.
Alors je l'embrasse, j'ondule, frotte nos corps lascivement l'un contre l'autre, échangeant chaleur et gémissement. Des sourires secret, intime à la salive de nos langoureux baiser. Elle en veut plus et je n'ai aucune raison de le lui refuser.
Je caresse sa joue en ralentissant avant de reprendre de plus belle, grognant presque bestialement alors que mon bassin se fait plus vigoureux et que mes bourses claques contre sa peau si chaude et délicate.
Ce moment est un pur délice entre nous, j'hume son parfum, lèche sa peau et serre les draps en sentant que ma jouissance arrive un peu trop rapidement à mon goût. Je dois la faire durer... et me demande si je reste en elle ou non. Pour le moment je n'ai pas le choix, elle m'emprisonne de ses douces jambes.
- han... Kleora. Soufflais-je pantelant, ralentissant le rythme, pour des mouvements plus puissants et profonds, mais moins nombreux, changeant de rythme.
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Chaque attention offerte par le prince fait succomber la jeune hybride à son charme. Entre ses bras, elle se sent libre d’apprécier et de désirer un homme que son maître n’approuverait jamais. Pourtant, il est un fabuleux amant qui l’amène vers des plaisirs qu’elle n'a pas encore connus. En cet instant, aucune chaîne ne les retient d’apprécier la volupté qui unit leur corps. Sa peau est brûlante sous ses doigts et ses baisers aussi fiévreux et vorace que ses pupilles améthystes.
Sa virilité la comble si bien, que sous ce plaisir elle entrave parfois ses mouvements pour le sentir au plus profond de ses chairs. Elle le fait prisonnier de ses jambes pour succomber aux frottements intenses de son intrusion.
Il joue avec son plaisir. Quand Kleora l’implore de se lâcher, il ralentit, créant et attisant une cruelle frustration. Mais elle se sent comblé quand il abandonne quelques instants sa douceur pour la posséder plus sauvagement. Sa voix s’intensifie, ses gémissements se mêlent aux sons obscènes de leur ébat dans un mélodieux orchestre.
« Aaah… Alexis… »
La chatte a cherché à exprimer son plaisir mais les mots n’ont réussi à se former qu'en quittant ses douces lèvres. Seul le prénom de son amant est devenu audible entre ses soupirs indécents.
Encore, il vient torturer la féline, si proche de l’orgasme en changeant de rythme. La profondeur de ses mouvements lui offre des sensations différentes, toujours aussi délicieuses.
« Désirez-vous… Changer… De position ? propose-t-elle. » Il pourrait continuer ainsi comme bouger, Kleora en prendrait toujours un plaisir immoral. Mais elle pense à son amant, obligé de se maintenir pour ne pas l’écraser. Les opportunités lui sont réduites.
L’emprise de ses jambes ne le quitte pas jusqu’à ce qu’il prononce sa décision… Il pourrait aussi bien se délivrer ainsi, en elle avant de bouger. Ou elle condamnerait son étreinte si jamais la manifestait l’envie de finir ailleurs que dans son intimité. Le plaisir qui lui offre est tel que la chatte se plierait au moindre de ses désirs.
-
Ce moment est un vrai délice, supplice entre nous deux. Pardessus elle, ses mains me touchent, me caressent, tandis que je vois son visage se crisper de plaisir, miauler doucement par moment, gémir à d'autre pendant notre ébat.
J'aime comme elle m'agrippe, me retient, pour elle, presque possessive alors que mon phallus s'enfonce encore et encore dans son jardin humide.
Ses baiser presque sauvage, son regard me désirant, tout cela me charme et me donne envie de la conquérir, de l'acquérir. Prenant autant de plaisir à donner, qu'a recevoir, je me confonds en elle, parfois lent, parfois rapide. Le frottement de ma colonne de chair contre ses parois intimes me procure d'infinie sensation et chaque seconde qui passe est plus dur que la précédente à me contenir.
Je veux la faire mienne... Nos baiser reste tout autant enflammer que nos corps, je me crispe, grogne à cet échange corporelle. Quand une phrase maladroite tombe... Kleora me vouvoie. Un frisson me parcourt, l'inconfort me guette et j'ai la désagréable sensation que nous nous sommes éloignés...
- Tutoie moi... à deux. Lui ordonnais-je avec un ton quelques peu colérique.
Je ne sais pas si c'est de la maladresse ou si cela montre le fossé entre nous. Elle vient me rappeler qu'elle n'est qu'une esclave, répondant au désir d'autrui. ... Mon exaltation s'éteint comme un feux auquel on viendrait de jeter un seau d'eau froide.
Cela ne tue pas toute excitation, mais je perds mon engouement. Si je ne fais rien rapidement, cette petite flamme va complètement s'étouffer, que ce soit par cette vérité ou ce propos maladroit.
Je me retiens alors d'un bras et glisse le second sous elle, entre ses omoplates. La poussant à se relever, tandis que je change de position, doucement, sans la lâcher, je m'asseois en position du lotus avec elle. Bien moins fougueuse, elle permet néanmoins un peu de tendresse, de caresser entre les deux partenaires entremêlés.
- Quand nous avons ce genre de moment... humm... intime. J'aimerais que tu agisse plus... naturellement. Que tu exprime aussi tes envies Kleora.
Je viens embrasser son cou, sensuellement, pendant que je caresse son dos et prend garde à ces réactions. C'est un moment qui risque de la froisser et de tout casser, alors je m'emplois à être doux et tendre.
- Ne me parle pas comme à un maître, mais comme à l'amant qui est ton égale, que tu désire. Je veux sentir ce partage, et non un sens unique ou tu te donnerais. Reçois aussi ce que je donne, non pas que physique, mais ce respect envers toi que je t'offre. Vins-je lui susurrez à l'oreille de chat.
Reste à voir sa réaction, jusqu'à la elle avait montrée son désir pourtant, mais ses paroles me revenait toujours comme un signe de soumission, celle de savoir sa "place" et non celle d'être bien là, choyez et appréciant de se laisser faire, de recevoir paradoxalement.
-
Dans ce salon de fortune, isolé du manoir, Kleora se sent libre, d’apprécier et de céder à la passion qui l’unit au fougueux prince. Il prend si ardemment possession de son corps qu’elle ne cesse d’en réclamer plus au travers de ses soupirs enflammés. Mais l’erreur est commise ; il s’énerve, à raison. Le ton change, l’atmosphère avec. Prise dans l’élan de luxure, c’est l’habitude du vouvoiement qui a pris le dessus mais loin des raisons qu’Alexis lui prête.
Pourtant, avant d’éclaircir la situation, la féline préfère lui laisser déballer ce qui lui pèse. La position change dans le même temps. Il la soulève et la décolle du sol, pour l’enlacer dans une position aussi sensuelle que tendre. Une que la chatte n’avait jamais expérimentée mais dont la douceur la ravit autant que le plaisir demeurant par sa virilité ancrée dans son antre brûlante.
Les baisers se succèdent contre sa délicate peau et en oublient presque ses mots. Entre ses bras, la terranide quitte son statut d’esclave, pour n’être qu’une simple femme liée à son amant dans les plaisirs de la chair. Au-delà de l’habitude, le vouvoiement n’a de fonction à la rabaisser à son rang d’asservie mais de respecter la royauté d’Alexis. Pourtant, elle se fera un véritable plaisir de l’abandonner dans leur intimité.
« Je ne me force, ni ne rejette mes envies avec toi, Alexis. Si je t’ai posé la question, c’est que la perspective m’enchantait tout autant que j’appréciais rester dans cette même position. Ne te prends pas tant la tête… J’apprécie le respect que tu m’offres. Et je me cède à toi car tu te donnes entier à notre plaisir. »
Kleora a parlé d’une traite quand le prince eut fini de s’exprimer. Pour ne pas lui laisser l’occasion de répondre, ses lèvres s’emparent des siennes dans un baiser doux.
Ses hanches ondulent pour accentuer les sensations autour de leur plaisir et de sa virilité piégée.
« Si tu veux connaître mes envies… J’ai envie que tu te lâches et qu’on connaisse ensemble l’extase… »
-
Je tente le coup, en soi, je suis un peu surpris de réagir ainsi. Je me fais vouvoyez si souvent, que cela ne devrait pas m'agacer. Mais dans l'intimité... je trouve juste que sa mets un fossé, et si je ne me préoccupais pas de qui je prenais, alors ce ne serait pas problématique. Sauf que là... Je n'aime pas mettre de la distance, ou alors je m'en tiendrais à un coup rapide et passer à autre chose.
Ce pourrait être ainsi, car je sais qu'elle a déjà un maitre, mais sa me froisse un peu. Si elle vient à moi, flirtant avec moi pour se rapprocher et... paf s'éloigner à mille lieux. J'exprime donc mon mécontentement, espérant ne pas la froisser aussi, sinon la soirée va s'écourter drastiquement.
Elle profite, sans baisser le regard avant de prendre la parole. Et, c'est moi, et elle à la fois. Sa manière de parler et ma compréhension de celle-ci, erronner. Non, elle est heureuse et me tutoie maintenant, je rigole un peu, plongeant mon regard dans le sien. Je me prends trop la tête comme elle le dit !
Je ne ris pas longtemps, car elle m'embrasse, fermant les yeux, je prolonge tendrement celui-ci, posant mes mains sur ses fesses, avant de caresser sa queue. Son bassin bougeant, je soupire contre ses lèvres aux frottements de mon membre en elle. R'ouvrant les yeux, mon regard brille et je donne de petit coup de rein dans cette position, moins propice aux mouvements.
- Je vois. Alors j'ai envie de te faire l'amour encore et encore, jusqu'à tomber de fatigue et t'avoir entre mes bras à ce moment-là. J'arbore un petit sourire coquin et continue. J'ai envie de venir en toi, dans différente position, je suis plutôt endurant tu sais. Plaisantais-je. Et pourquoi ne pas commencer par une position plus... animale ?
C'était basique, et peut-être la préférence de nombreux hommes, mais bon... on ne peut pas toujours être exotique !
Ce faisant, je l'embrasse suavement, caressant ses jambes et me pose sur mes coudes pour lui faire décroiser les jambes et pousser au changement. Elle fait une petite mine en devant me retirer d'elle pour cela, mais prend rapidement position. Surement aussi impatiente que moi !
La vue est des plus agréable, je me redresse et souris avec sa queue remue vivement. Je ne la fait pas attendre longtemps, je glisse de nouveau mon pieu en elle, agrippant ses hanches dans un râle de plaisir.
- Je suis... vraiment bien en toi. Admis-je rougissant un peu à mes paroles.
Revigorer par notre échange et cette position, je donne des coups de reins fougueux et profond en elle, frottant bien mon gland contre ses parois intimes, alors que je ressors presque d'elle à chaque mouvement, pour une amplitude plus importante. Nos bassins claques dans des bruits érotiques et humide, la pénétrant avec facilité et sans peine.
- Ahn Kleora !