Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Franz Nielsen

Pages: 1 [2] 3 4 ... 16
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Prélude / Re : Franz, le polymorphe [VAL.]
« le: samedi 25 août 2012, 15:56:22 »
Mis à jour de ma fiche depuis le temps, je l'ai étoffé et ajouté mes différents rps.

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One Shot / Des vacances mouvementées [Ayumu Fushii]
« le: samedi 25 août 2012, 01:31:44 »
John Duke est un homme d’une trentaine d’années, veuf depuis 5 ans, il élève seul sa fille Anna, de tout juste 18 ans, l’ayant eu très jeune avec sa défunte épouse. Il la choie du mieux qu’il peut, tout en travaillant dur pour qu’elle ne puisse manquer de rien.
Tous les ans, ils partent en vacances ensemble, seulement voilà, cette année, Anna a supplié son père d’emmener Kate, sa meilleure amie, avec eux. Jon était assez réticent à cette idée, il faut dire que Kate est du genre extravertie et provocante, et qu’il a peur qu’elle ait une mauvaise influence sur elle. Mais quand sa fille fait ses yeux de biches il ne peut rien lui refuser, et les voilà donc en route vers un bungalow qu’il a loué sur la côte.

Jon a pourtant eut raison de se méfier, Kate croque la vie à pleine dents, et pas que la vie… C’est aussi une croqueuse d’hommes, et elle adore faire rougir Anna en lui racontant ses différentes expériences. Elle compte bien essayer de la pervertir, et ce voyage tout frais payés est la parfaite occasion, plage, sable chaud, et surtout des tas de garçons…
Mais il y a quelque chose qui pourrait gâcher ces vacances, c’est le père d’Anna, elle va devoir le mettre dans sa poche et elle a déjà une idée bien précise sur la méthode qu’elle va employer…

De son côté, John n’a connu aucune femme depuis le décès de son épouse, se consacrant entièrement à son travail et à sa fille, c’est donc rien de dire que son appétit sexuel est grand et très sensible.


***


Jon Duke


Kate



(Donc je cherche une demoiselle souhaitant prendre le rôle de Kate, n’hésitez pas à répondre à lui suite de mon premier post ci-dessous ! Si besoin de plus d’informations ou de discuter sur une modif de la trame, envoyez un MP !

En espérant que l’histoire intéresse l’une d’entre vous :) )


***

Et voilà ! C’était le dernier sac ! Pour des filles de 18 ans faut dire qu’elles en ont des vêtements… D’ailleurs je me demande comment Kate peut avoir de si grandes valises quand on voit les vêtements courts qu’elle arbore ! Et forcément, c’est moi qui descends les bagages, Anna étant déjà partie investir la salle d’eau pour un bain qui risque encore de durer une bonne heure, et Kate est sans doute déjà en train de tester la mollesse des lits. Mais bon… Qu’est-ce que je ne ferais pas pour voir un sourire sur le visage de ma fille…

J’attrape une valise d’Anna, et me dirige vers la chambre qu’elle va partager avec sa meilleure amie pour lui déposer, mais à peine ai-je ouvert la porte que j’aperçois Kate en sous-vêtements, une lingerie de dentelles noirs mettant parfaitement en valeur ses formes, déjà bien développées pour son âge.
Dans un premier temps, mon instinct fait dévaler mon regard sur sa peau sa blanche et pure, suivre les courbes de ses formes, de sa poitrine en passant par sa chute de reins agrémenter d’un tatouage guidant vers ses superbes fesses rondes. Je ne sais pas pourquoi elle est en train de se déshabiller, peut-être pour essayer son maillot de bain ? Quoi qu’il en soit, mon cerveau finit par se mettre en route, et je reprends mes esprits, déposant la valise et me retournant aussitôt pour faire dos à Kate.

Excuses-moi Kate ! Je venais juste déposer une valise d’Anna ! D’ailleurs les autres sont dans le salon si tu veux.

La jeune femme semble nullement gêné par mon intrusion, alors que je m’emploie à chasser de mon esprit ce que je viens de voir et me dirige vers le salon pour commencer à ranger les différentes affaires dans le mobilier.

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Même si ce n’est plus ma prof attitrée, la timidité et le manque d’assurance que je fais volontairement paraître, contraste avec l’expérience et l’assurance de la ma belle rousse, et le rapport reste toujours un peu le même. En en effet elle se fait pédagogue, rassurante, en réponse aux mots inquiets que j’ai lancé.
Je soupire lorsqu’elle extirpe mon membre de son antre chaude et humide, qui plus est avec la semence que je viens d’y délivrer. Puis elle revient m’étreindre et j’accueille ce corps sexy avec toujours la même délectation intérieure, tout en répondant aux baisers qu’elle me donne. Elle descend sa bouche le long de mon cou, et sa langue vient me faire frémir… Bon sang elle pourrait rendre fou de désir le plus chaste des hommes…

Hitomi-san… Jamais je ne pourrais regretter cette nuit avec vous. Jamais je ne pourrais avoir honte d’aimer une femme telle que vous.

Les fronts collés l’un à l’autre, nos regards se fixant, elle me déclare son amour de la plus belle des manières. Il n’y a aucun doute maintenant : Je la tiens.

Mes bras longilignes étreignent ce superbe corps, passant dans son dos pour aller saisir ses fesses et mieux la presser contre moi, pour sentir un peu plus sa poitrine contre mon torse.

Hitomi…

Mon souffle est brulant alors que ma verge reprend peu à peu sa vigueur, s’érigeant entre les cuisses de la prof’. Mes doigts arachnéens englobent la rondeur de ses fesses, mes caresses alternant entre pressions et étirements de sa peau. Ma bouche ne passe pas 10 secondes sans revenir trouver la sienne, et dans ce qui peut paraitre un sursaut d’excitation, pour le tout récent dépucelé que je suis censé être, je viens capturer entre mes lèvres le lobe de son oreille gauche. Je le suçote, le mordille, avant de murmurer avec une excitation qui fait s'envoler le vouvoiement :

Je veux tout découvrir avec toi Hitomi… Je veux te prendre dans toutes les positions, je veux t’aimer, te faire frémir…

A ces mots, je me redresse, Hitomi contrainte de poser ses mains sur le lit pour ne pas chuter, se retrouvant à 4 pattes,  et m’offrant une superbe vue de ces formes dans cette position involontairement aguicheuse. Je ne lui laisse pas le temps de se redresser à son tour, et vient prendre place derrière elle, mes mains revenant agripper sa croupe que j’avais brièvement délaissé.

A cet instant, j’ai l’impression de contempler un tableau, sa chevelure rousse ondulée tombant en cascade sur son dos, jusqu’à sa chute de reins aux courbes vertigineuses et ses fesses rondes, parfaitement galbées. Sa fleur rose, et couverte de nos fluides, semble attendre que mon gland vienne la butiner, et je ne me fais pas prier, puis c’est ma hampe qui vient frotter contre, finissant de durcir mon membre aux proportions exceptionnelles comparé au reste de mon corps.
Et d’un coup, je resserre mes doigts autour des fesses de ma prof’ et la pénètre, mon sexe n’ayant aucun mal à s’engouffrer jusqu’au fond de sa cavité encore humide et brulante. Un gémissement de plaisir s’échappe de ma bouche, lorsque je retrouve la délicieuse sensation de son vagin comprimant ma verge, alors que je la retire déjà pour commencer à la prendre ainsi en levrette, mon bassin venant claquer contre ses fesses à chaque pénétration. Et nous voilà partie dans ce qui est censé être la deuxième fois d’un jeune étudiant, sa première levrette, mais qui est en réalité la conquête d’une nouvelle proie… Et quelle proie.

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Quel pied… C’est vrai que le premier objectif de tout ceci est financier, mais reste que pouvoir posséder une telle créature est un réel plaisir. J’en serai presque frustré de m’imposer ce corps frêle, m’empêchant de pouvoir diriger le corps d’Hitomi comme je le souhaite, alors que j’ai envie de la prendre dans toutes les positions qui me viennent à l’esprit.
Mes coups de mandrin s’enfoncent profondément dans l’antre de ma belle rousse, étirant son vagin, l’emplissant entièrement de ma chair dure. Lorsque mes lèvres ne sont pas contre les siennes, c’est pour aller pincer la peau de son cou, ou se presser contre la douceur de sa volumineuse poitrine.

Hawwwmh ! MHM ! Oui ! Sensei !

Quel plaisir de l’entendre gémir, et en demander encore plus. Je me plie à ses souhaits, allongeant le recul de ma verge pour mieux revenir avec force la pénétrer. Mes bourses pleines de puceau claquent contre le bassin d’Hitomi, et mes gémissements de plaisir s’envolent dans la pièce. Mon corps frêle a dû mal à contenir les décharges de plaisir de chaque entrée profonde et puissante de mon sexe dans le sien. Bon sang ! Je vais déjà jouir !

AHHWM ! RHHHM !

Entre râles et gémissements incontrôlés, mes doigts se resserrent autour des cuisses de ma prof, comme pour retenir son bassin qui recule sous les chocs du mien, qui sont de plus en plus vifs et violents. Ma fine musculature est entièrement contractée par l’effort, et dans une dernière pénétration qui vient plaquer mon gland dans les tréfonds de son vagin, l’étirant de plus belle, la jouissance m’envahit.

HITOMIII-KUUN !

Tout mon être est transit par l’orgasme violent, si bien que je lâche cette familiarité que je n’avais pas osé dire jusqu’à lors. La tête projetée vers l’arrière, ma verge libère de longs et épais jets de sperme, mes muscles se détendant au fur et à mesure qu’ils emplissent le sexe d’Hitomi.
Puis après de longues secondes, mon visage vient reposer contre la douce poitrine de ma prof, que je gratifie de tendres baisers, alors que je cherche à reprendre mon souffle.
Le moins qu’on puisse dire c’est que ce fut court mais intense, après tout c’est censé être la première expérience d’un jeune puceau, mais j’espère bien que ça ne va pas s’arrêter là, je compte profiter d’elle un maximum cette nuit.
Je lève doucement mes yeux bleus vers les siens, rougies par l’émotion et la violence de l’orgasme, puis je murmure :

Je t’aime Hitomi-kun…

Après ce regard échangé, je reste dans mon rôle de jeune défloré, et s'inquiétant du plaisir de son amante et de sa « performance ».

Je… C’était court… Je n’ai pas pu me retenir d’avantage… Pardon…

Un baiser contre son téton droit pour appuyer mes propos, puis je reviens croiser son regard.

Tu as pu… Enfin… Ça va ?

Comme si j’avais du mal à trouver mes mots, comme si je ne pouvais ou n’osait pas lui demander si elle a pu atteindre l’orgasme, comme si je doutais de mes performances, ou ce que la taille de mon sexe peut procurer comme plaisir à une femme d’expériences comme elle. Bref un jeune homme amoureux s'inquiétant plus du plaisir de son amante que du sien, et doutant encore et toujours de lui. De quoi le rendre un peu plus adorable aux yeux de la sensible et douce Hitomi.

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Je suis avec attention les demandes d’Hitomi, me redressant à son niveau, la laissant s’emparer à nouveau de mon membre, alors que tout en reculant, elle m’invite à venir sur elle. Ses cuisses, bien écartées pour moi, ne laissent aucun doute sur la suite qu’elle veut donner aux évènements. Enfin je vais pouvoir prendre possession de ce superbe corps, entièrement et profondément.  Je regarde ma prof avec appréhension, alors qu’elle guide ma colonne de chaire entre ses cuisses, mon gland venant épouser son sexe. Je prends appuie de mes deux mains contre le lit, et tout en avançant vers Hitomi, mon sexe pénètre l’antre brulante et humide du sien.

Au fur et à mesure que ma hampe progresse lentement, elle écarte ses parois vaginales sous sa grosseur.  Dans un coup de reins mon gland heurte le fond de son sexe, en même temps que mon torse se plaque contre l’opulente poitrine de la jolie rousse, ma bouche revenant chercher la sienne, entre deux soupirs de plaisirs et mots fiévreux à l’intention de ma prof.

Mhmm ! Sensei ! C’est bon !

Le souffle saccadé j’entame un doux mouvement d’allers et venues, ma verge parfaitement comprimée par le vagin d’Hitomi, chacune de ses aspérités stimulant encore plus une pénétration déjà très intense. Comme si je prenais un peu plus confiance, mes mains quittent les draps du lits pour venir se positionner sur les cuisses de la jolie rousse, me permettant d’appuyer un peu plus mes pénétrations, et de commencer à imprimer un rythme plus soutenus, accompagnés par mes soupirs de plaisir toujours plus prononcés.

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Attentive, patiente, douce, et tout ça en plus de la beauté, je ne trouve pas vraiment de défauts à Hitomi, je suis certains qu’un jour elle trouvera chaussure à son pied, mais en attendant j’ai d’autres projets pour elle. Elle amène ma main droite entre ses jambes, les yeux dans les yeux, je sens déjà l’humidité se dégager de son sexe, je ne sais pas si c'est l’effet d’être avec un étudiant, ou un puceau qui l’a met dans cet état, peut être les deux ?
Répondant à ses attentes je presse mes doigts contre son sexe, les faisant doucement glisser le long de la fleure que je discerne sous le fin tissu. Je sens sa culotte s’humidifier alors que la paume de main vient frotter contre, puis je redresse mes doigts pour donner plus de fermeté à mes caresses.

Comme ça ? Hitomi ?...

J’ai vraiment hâte de pouvoir la prendre, de la sentir s’abandonner sous les coups de mon gourdin, mais patience, le jeu avant tout, si proche du but ce serai bête qu’elle commence à se poser des questions. Alors en bon puceau j’avance prudemment, mais prend bien soin de m’attarder sur les points sensible de l’anatomie de ma prof, on peut ne rien savoir mais avoir un coup de chance après tout…

Votre culotte est trempée…

Disant cela avec un ton un peu fautif, je reviens me mettre sur mes genoux et fait glisser doucement la culotte d’Hitomi, un mince filet de cyprine la reliant à son sexe. J’admire sa fleur brillante de désir, relevant un bref instant les yeux vers ma prof, avant de les reposer dessus. Je viens déposer un baiser sur sa vulve, puis un autre, goutant à ce fruit censé être défendu pour un élève. Lentement, je monte une main pour m’emparer de son sein droit, tandis que je presse l’autre contre sa fesse gauche, pour maintenir son sexe au contact de mes lèvres.

Je commence à donner de léger coup de langue contre ses lèvres vaginales, avec une maladresse volontaire, mais une précision diabolique, que l’on mettra encore une fois sur le compte de la chance du débutant. Je laisse d'avantage de place à mon appendice lingual, la laissant vagabonder sur la vulve d’Hitomi, répondant aux premiers gémissements de celle-ci par des petits cercles à l’endroit qui a provoqué ses manifestations de plaisir.
Puis ma langue semble découvrir par hasard une petite boule de chaire, dont je m’amuse à faire le tour avec une lenteur contrôlée, avant de la gratifier de quelques passages de ma langue. Je coupe mes mouvements linguales par quelques baisers un peu plus fermes, pressant même ses lèvres vaginales avec ma bouche un bref instant. Puis je lève mes yeux vers Hitomi, officiellement pour m’enquérir auprès d’elle de la qualité de mes caresses, officieusement  juste pour constater l’étendue de leurs effets.

Si je ne fais pas comme il faut… Dîtes le moi Hitomi. Je… J’ai tout à apprendre.

Avec les joues rouges et un air adorable, je regarde ma prof en attendant son verdict.

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Les doigts d’Hitomi mettent un terme à mes baisers qui dévoraient littéralement sa poitrine. J’accueille ses lèvres avec les miennes dans une danse sensuelle, alors qu’un soupir de plaisir plus prononcé s’échappe de mes narines, en sentant l’étreinte de la main de ma prof se resserrer autour de mon sexe.
A sa demande, nous quittons le canapé pour entrer dans sa chambre, mon peignoir toujours ouvert laisse visible ma colonne de chaire parfaitement érigée par les soins de la jolie rousse. Avant qu’elle ne puisse s’asseoir sur le lit, je m’approche d’elle, avec un air timide.

Laissez-moi vous aider à vous déshabiller Yama… Hitomi…

J’affiche un léger un sourire, alors que je m’agenouille face à elle, levant mes yeux bleus vers son visage, m’offrant une superbe vue en contre plongée sur sa poitrine qui est encore plus impressionnante de ce point de vue. Mes mains se posent sur sa taille, alors que je viens déposer un tendre baiser contre son ventre, puis je fais lentement glisser son pantalon, dévoilant la sage culotte blanche de ma jolie rousse. J’affiche maintenant un air hésitant, celui du puceau n’osant pas aller plus loin, ne sachant pas vraiment quoi faire une fois cette culotte retirée, tout du moins la peur de mal faire. Donc je laisse le morceau de tissu blanc là où il est, et remonte doucement pour venir embrasser le sein gauche d’Hitomi, puis j’arrive à sa hauteur et pose mes lèvres contre les siennes.

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Mes caresses semblent faire leurs effets sur le corps d’Hitomi, je savoure la possibilité qui m’ait donné de jouer avec sa superbe poitrine, profitant de chaque contact. Je sens la main de ma prof revenir contre ma cuisse, pour aller retrouver ma verge qui demande toujours plus d’attentions, puis son autre main se loge contre ma nuque, amenant mon visage vers son buste. Et là dans une voix particulièrement sensuelle, elle bombe ses seins en m’invitant à les embrasser. Je ne me fais pas prier, comment résister à une telle demande ? Mes lèvres se posent contre son sein gauche, l’embrassant en divers endroits, jusqu’à capturer son téton, sur lequel je fais jouer ma langue. Puis je resserre mes doigts autour de la base de ses monts de chaires, voulant les posséder totalement. Ma bouche se presse autour de sa pointe rosée, m’amusant à la dresser pour mieux y donner des coups de langue, puis je lève la tête vers elle.

Votre peau a si bon goût Yamagashi-sensei….

Ma voix est suave et mes paroles toujours aussi polies et retenues, alors que je replonge mon visage pour partir à l’assaut de son autre sein, l’embrassant à pleine bouche, pour venir là aussi taquiner sa pointe. Je descends une main volontairement hasardeuse le long de son flanc gauche, dessinant les contours de ses courbes gracieuses, jusqu’à venir étreindre le haut de sa fesse, d’un ferme et d’un galbe qui me donne une nouvelle fois envie d’en voir d’avantage.

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A la réponse positive d’Hitomi, mes mains comment à soulever son tee-shirt, dévoilant tout d’abord un ventre plat avec une peau soyeuse et sans impuretés, puis un soutient gorge laissant voir le haut de ses seins. Puis elle prend le relais, alors que j’ai qu’un mot à l’esprit : Wow… Ses deux globes sont parfaitement mis en valeur, et plus gros que ce que je ne pensais. De plus, là aussi la pureté et les proportions de sa poitrine, ne laisse aucun doute sur le fait qu’elle est parfaitement naturelle.
Le maillot va voler un peu plus loin dans la pièce, puis c’est à l’agrafe du soutient gorge de céder, faisant rebondir légèrement les seins d’Hitomi, avant qu’elle me demande de  le retirer.
Je ne peux détacher mon regard de ce buste, j’approche mes mains, encore légèrement tremblantes, jusqu’aux bretelles de son soutient gorge, déjà descendues jusqu’à ses coudes. Je les fais doucement glisser le long de ses avants bras, les bonnets commençant à quitter les globes opulents qu’ils retenaient. Puis le morceau de tissu disparait enfin, dévoilant ses seins nus aux proportions diaboliques, à la symétrie parfaites, et aux pointes rosées. C’est bien simple à cet instant j’ai l’impression qu’un dieu lui-même a sculpté ce buste, et pourtant j’en ai vue bien d’autres.

Yamagashi-sensei… Vous êtes… La plus belle femme que je n’ai jamais vue…

La paume de mes mains vient épouser ses seins, que je caresse lentement, appréciant leur douceur et leur divine texture, profitant de cet instant que j’attendais depuis la première fois que je l’ai rencontré, et ce n’est que le début. Après ce moment de découverte, mes pouces viennent jouer avec dextérité contre les tétons d’Hitomi, étant donné qu’elle pense que c’est ma première fois, elle peut mettre ça sur le compte de la chance, ou d’un talent inné. En tout cas, mes caresses se font plus insistantes, je joue avec cette superbe poitrine, pressant les globes l’un contre l’autre, mes pouces tournant contre leurs pointes.
L’excitation déjà bien grande pour un simple puceau, du pré-sperme perle sur mon gland, alors que je détache enfin mon attention de ses seins, pour revenir croiser son regard.

Si je ne fais pas bien… Dîtes le moi Yamagashi-sensei…

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Je frissonne au contact de la main d’Hitomi sur ma cuisse, puis mon souffle se coupe au fur et à mesure qu’elle remonte, jusqu’à atteindre ma verge, à la texture douce et légèrement nervurée de jeune puceau. Mes bourses quant à elles semblent lourdes, et gonflées de semence, alors que j’apprécie la finesse des doigts de ma prof qui parcourent ma hampe.
Je suis ses conseils et laisse aventurer ma main d’un sein à l’autre, dessinant leurs contours qui ne semblent pas en finir. J’ai très envie d’en voir plus, mais je ne dois pas oublier le rôle que j’ai à jouer, c’est assez frustrant, mais ce n’est que plus excitant. Je la vois fixer ma verge, visiblement assez agréablement surprise de ce qu’elle découvre, alors que ses premières caresses m’arrachent déjà quelques soupirs.

Yamagashi-sensei… C’est… Bon…

Je reviens coller mes lèvres aux siennes, l’embrassant avec un désir, tandis que la frustration de ses barrières de tissu me séparant de sa poitrine ne fait que grandir. J’écarte doucement ma bouche, mon souffle chaud contre la sienne, mes yeux bleus fixant les siens.

Yamgashi-sensei… Je peux… retirer votre tee-shirt ?


Qui d’autre que ce jeune gentleman Irlandais, timide et infiniment respectueux de sa professeur aurait posé une telle question ? N’importe quel autre élève aurait depuis bien longtemps fait voler ce qui le sépare de ce buste, pour en apprécier tous les plaisirs. Mes doigts viennent jouer nerveusement contre un pli du maillot d’Hitomi, attendant sa réponse avec une certaine impatience.

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Je sens la main d’Hitomi me retenir, puis elle m’embrasse à son tour, et j’accueille ses douces lèvres avec délectation. Elle me demande de rester avec elle, je sens qu’elle commence à craquer, je vais peut-être enfin pouvoir découvrir ce superbe corps, et comme pour confirmer mes pensées, elle me dit clairement qu’elle veut que je lui fasse l’amour. Je reste un peu stoïque devant ses mots, la laissant prendre mon poignet pour guider ma main vers sa poitrine.
Cette poitrine qui me nargue depuis trop longtemps, la voilà enfin à ma portée, son tee-shirt fin laisse supposer de sa grosseur, mais j’ai hâte de pouvoir la voir et surtout la toucher.

Yamagashi-sensei… Je… Je vous aime…


Je fais trembler légèrement ma main, simulant l’appréhension d’un jeune puceau prêt à toucher sa première poitrine… Et quelle poitrine, c’est un peu comme si on confiait une Ferrari à un conducteur inexpérimenté. La paume de ma main se pose finalement contre son globe droit, les couches de tissu, formés par son maillot et son soutient gorge, ne me laissent pas profiter de la texture, mais je peux déjà dire que sa poitrine semble plus grosse que ce que ses stricts décolletés laissaient imaginer, tant son sein emplit merveilleusement ma main. Je viens presser mes doigts contre à plusieurs reprises, avec une certaine lenteur et précautions, trahissant mon absence de pratique, ce qui va me permettre de mieux savourer chaque parcelle de son corps.

Je… Je n’ai… Je n’ai jamais fait ce…

Je n’arrive pas à finir mes phrases, je fixe les yeux de ma professeur, les joues rouges, alors qu’une contraction de ma verge vient parfaire sa raideur. La bosse de mon entrejambe laisse présager d’une belle taille, mais Hitomi risque d’être réellement surprise en la découvrant réllement.

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Mes yeux sont comme aspirés par ceux d’Hitomi, on parle souvent de regard « revolver », mais c’est bien au-dessous de la réalité pour elle, j’ai l’impression que ses yeux sont si perçant qu’ils passeraient à travers de n’importe quelle armure, laissant leur cible sans défense. Elle semble décider à  parler avec franchise cette fois-ci, avouant avoir pensé à moi ces derniers jours, de nous avoir même imaginés ensemble, il est claire désormais que je ne la laisse pas indifférent.
Les yeux de ma professeur se font plus insistant encore, quelle homme pourrait résister à ça ? Mon regard descend un instant vers ses lèvres pulpeuses, et à peine a-t-elle finit sa phrase, que je viens y plaquer les miennes, l’embrassant avec fougue, et fausse maladresse.
Les baisers s’enchaînent durant plusieurs secondes, j’ose même venir poser ma main gauche sur une cuisse de Yamagashi-sensi, la pressant doucement pour mieux laisser danser ma bouche contre la sienne. Et puis, comme si je m’étais laissé emporter par une pulsion de puceau, je m’écarte, les joues rouges de honte, le dos collé au canapé.

Pardon ! Je… Je ne sais pas ce qui m’a pris Yamagashi-sensei…


Une belle bosse commence à déformer le peignoir au niveau de mon entrejambe, ne laissant aucun doute sur l’organe qui en est coupable. Ma verge imposante, comparée au reste de mon corps frêle,  se met à gonfler de désir, et je faisant semblant de m’en rendre compte que maintenant, en venant croiser mes mains sur mes genoux pour dissimuler mon érection.

Je… ferais mieux d’aller voir si mes vêtements sont secs…

Ce n’était qu’une excuse, qu’une fausse tentative pour m’éclipser, espérant fermement que ma délicieuse professeur ne m’en empêche…

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Les alentours de la ville / Re : Mal tombée [Magikya]
« le: vendredi 18 mai 2012, 16:41:54 »
Je crie de rage, cette catin a réussi par je ne sais quel moyen, à se libérer de ses chaines, trop obnubilé à labourer son sexe, je ne peux réagir à temps. Elle me repousse et frappe ma verge, qui, très sensible à ce moment-là, et irradie mon corps de douleur. Je viens m’appuyer contre la chaise, et fixe ma captive avec un regard furieux, plus elle résistera plus je serai dur. Mais le fait qu’elle est réussi à se libérer montre bien l’étendue de son pouvoir, et ça elle ne pourra plus le cacher désormais.

Petite catin… Tu vas me le payer cher.

Je reprends forme humaine, et m’habille, et après un bref regard vers ma montre en argent, je repose mon regard sur la jeune femme.

Un rendez-vous m'attend. Mais ne t’inquiète pas, je vais te laisser en charmante compagnie, et on verra à mon retour si ta langue se délie.

Je quitte la pièce, laissant la prisonnière seule entre ses 4 murs blancs énigmatiques, ne sachant pas ce que je lui réserve. Je donne l’ordre à mes hommes de s’amuser avec elle, comme bon leur semble, et ce jusqu’à mon retour. En comptant juste le personnel à l’intérieur de ma villa, ils sont une vingtaine, et avec ceux à l’extérieur on est au-delà de trente.
Ainsi quelques minutes après mon départ, la porte de la pièce s’ouvre, et un de mes hommes y pénètre, puis un suivant, et encore un autre, au total 8 s’avancent vers elle. Ils sont tous habillés en costume noir et blanc, avec un physique tournant aux alentours des deux mètres, pour plus de 100kilos.
Ils s’avancent vers la jeune femme et l’agrippent sans ménagement, lançant des rires salassent, alors que des mains viennent retirer ce qui lui reste de tissu. D’autres viennent parcourir son corps, pétrissant ses fesses, son opulente poitrine. Plus d’une dizaine de mains s’affairent déjà sur elle, beaucoup trop pour qu’elle ne puisse faire quoi que ce soit, des doigts commencent déjà à pénétrer son sexe avec violence, puis d’autres, plus humides, viennent jouer avec contre anus.
Les bruits de braguettes se font entendre, et des chibres de toutes tailles, de toutes couleurs et de toutes odeurs commencent à se dévoiler. Trois viennent se presser contre le visage de la pauvre captive, s’y frottant, alors que les rires continuent à raisonner dans la pièce. D’autres glissent sur son dos, puis ses fesses, alors que deux hommes viennent saisir chacun une de ses mains pour la poser sur leur membre et la forcer à les masturber.
L’un des hommes qui joue avec le visage de Magikiya semble s’impatienter, il agrippe ses cheveux, et vient forcer la barrière de ses lèvres avec sa verge, l’enfonçant brusquement et si profondément que la pression de la mâchoire de la jeune femme en devient quasi-nul, l’empêchant de mordre. Il commence à lui baiser la bouche avec rudesse, n’arrêtant ses mouvements que pour exécuter une gorge profonde.
Un autre homme aussi semble ne plus vouloir attendre, et vient saisir ses petites fesses, et pénètre son vagin d’un grand coup de bassin, commençant à la prendre en levrette avec fougue. Les mains sur le corps de Magikya continuent de s’afférer avec plus de fermeté, n’oubliant aucune parcelle de sa peau, pétrissant ses seins, pinçant avec dureté ses tétons. Déjà trois doigts vont et viennent dans son anus, lui assurant une belle dilatation.
Et alors que tout ne fait que commencer, d’autres hommes franchissent de nouveau le pas de la porte.

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Mes yeux se posent sur Hitomi qui s’approche pour venir s’asseoir à mes côtés, déposant deux tasses de thé sur la table. Elle s’est changée et a opté pour une tenue très éloigné de ses habituels tailleurs, un pantalon et un tee-shirt large, sans doute a-t-elle voulu éviter les vêtements qui la mettraient trop en valeur. Mais les formes de sa poitrine restent parfaitement visibles, et savoir qu’il y a plus que ce mince tissu qui m’en sépare en est que plus excitant. Elle s’excuse une nouvelle fois du fait que notre histoire soit impossible, pourtant je sens bien qu’elle est attirée par moi, et qu’elle lutte pour se contenir.

Je comprends Yamagashi-sensei… Je n’espérais rien… Vous êtes une femme si belle, si gentille, jamais je n’ai imaginé que vous puissiez être avec quelqu'un comme moi… Mais le simple fait de vous courtiser en secret m’emplissait déjà de bonheur.

Mes lèvres s’étirent dans un léger sourire, je viens prendre ma tasse pour boire une petite gorgée de thé.

Le thé est délicieux Yamagashi-sensei…

Je me penche pour poser ma tasse, en profitant pour mieux apprécier la rondeur des seins de la jolie rousse, dessinée par les courbes de son tee-shirt.

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Archives publiques / Re : Foire aux questions[NEW]
« le: lundi 14 mai 2012, 00:40:49 »
Je te remercie  :)

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