Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Moira

Pages: [1] 2 3
1
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 17 août 2013, 13:59:19 »
Course du matin, extrem cross et cynergie. J'ai les panards en marmelade.

14h

Coucouloucoucou tout le monde :D

2
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 16 août 2013, 10:42:08 »
10H41

Malheureuse :(
Mon frère, dans un accès de rage car il refuse de travailler, a encore tout détruit... IL a retiré tous les vetements de la penderie qu'il a jeté par terre, il a fracassé une lampe, défoncé un pied de chaise, renversé les fauteuils et arraché une des portes du placard de la salle de bain...
Je deviens folle :(

3
Tekhos Metropolis / Re : Le temps des robots (PV)
« le: jeudi 15 août 2013, 15:58:02 »
Engrangé dans le poitrail du robot, la source d’origine n’était pas dans un état impeccable. Très légèrement rouillé, une bosse à un endroit, elle était néanmoins encore assez fonctionnelle pour émettre une faible lueur clignotante.  Le cercle de vitracier, au centre même de la source énergétique, se gorgeait de lumière avait de s’éteindre et de recommencer encore.
Mais la machine ne donnait aucun signe de… vie… apparente. A une vingtaine de mètres de là, cachés derrière un monticule de cochonneries rouillées, les ferrailleux restaient en alerte, observant la scène avec l’espoir que l’intruse penchée sur la machine inanimée finisse enfin par décamper. Ils étaient déjà en train d’élaborer un plan pour s’approcher discrètement de Nu, tout occupée qu’elle était par sa trouvaille, de l’assommer et de la trainer jusqu’à leur repaire pour jouer d’elle selon leur bon vouloir, ignorant parfaitement, bien entendu, son état de cyborg.
Armés de vieux lances-fléchettes tazer, d’une matraque électrique, de câbles et d’un simple gourdin au cuir rongé, ils allaient passer à l’action. Mais ils n’eurent que le temps de sortir la tête de leur cachette pour s’y dissimuler de nouveau, ayant remarqué du mouvement en face d’eux.
Une faible lueur bleue était apparue au cœur des énormes pupilles de l’androïde. Une leur qui se mit à grossir, à s’étaler jusqu’à englober toute la surface de ses yeux. Un léger déclic se fit entendre, suivit d’un doux ronronnement qui ne tarda pas à se taire. Alors Moïra bougea enfin. Ce fut d’abord un tressautement de sa seule main valide avant quelle ne se redresse, comme le plus naturellement du monde, en position assise.
Comme regardant droit devant elle, l’androïde ne bougea plus, statufiée. Brusquement, ne s’étant absolument pas rendue compte de la présence de sa sauve, Moïra se dressa élégamment sur ses jambes. Contre son flanc, son bras droit, presque décroché de son épaule, pendait misérablement, inutilisable. Indifférente, elle se contenta de regarder droit devant elle, de tourner la tête à droite, puis à gauche, s’étonnant de l’endroit dans lequel elle venait de se réveiller : Des collines de ferrailles, des plaines de carcasses métalliques et des ilots d’épaves abandonnées.
Loin devant, un monstre s’activait à dévorer toute la pitance qui s’offrait à lui. La grue à la mâchoire de fer boulotait voracement des monceaux de ferrailles pour les compresser de son estomac, les faire fondre et les régurgiter ensuite sous la forme de gros cubes métalliques parfaitement lisses. Des cubes qui d’autres robots s’empressaient de récupérer entre leurs pinces pour les emmener vers un nouvel. Moïra pencha la tête sur le côté, raisonnement qu’elle aurait du logiquement finir dans cet état. 
— Hum... Bonjour, mon nom est Nu... Tu as un nom? Qu'est-ce que tu fais ici alors que tu as l'air neuve? Oh, il te manque quelques morceaux aussi, mais on va t'arranger ça, t'en fais pas... Enfin, si tu veux venir avec Nu bien entendu.
Sursautant et poussant un petit son étrange et rauque, l’androïde pivota pour faire face à la plus charmante femme qu’elle eut vu de toute sa courte carrière (même s’il ne lui eut pas été donné d’en voir beaucoup.). Une peau pâle, un visage exprimant la sévérité et l’amusement, une généreuse poitrine, de beaux cheveux et une tenue toute particulière si on ne comptait pas son bandeau de pirate qui lui couvrait un œil.
Un être humain, tout simplement. Du moins d’après ce que Moïra analysa, ses capteurs n’étant pas assez puissants pour constater qu’un cyborg lui faisait face. L’androïde en était charmée, dodelinant de la tête. Elle avait été toujours fière de faire savoir son individualité en étant capable d’apprécier les belles choses. Et c’était effectivement une belle chose.
Ses joues émirent doucement une très légère teinte pourpre, une coquetterie de la part du concepteur de la chaîne de production. Comme tous ses semblables, Moïra était capable de rougir.
Elle se décida donc à réponse. Mais en guise de voix, ce ne fut qu’un ensemble de gazouillis stridents et de cliquetis brusques qui s’extirpèrent du robot. La seconde d’après, une petite pétarade raisonna de la tête de l’androïde, suivie d’une fumée opaque qui s’échappa du cône à l’arrière de sa tête.
Encouragée par les mauvais traitements que l’androïde avait reçus durant ces dernières heures, sa boîte vocale venait simplement de rendre l’âme.  Moïra ne bougea plus, comme éteinte.
Brusquement, elle se mit à agiter le bras, faisant des signes de la main, pliant et dépliant ses doigts, dessinant des arabesques, en proie à une étrange panique tandis que son bras cassé fouettait ses flans.
Sous la frénésie du petit robot, des morceaux de carcasse glissèrent et se détachèrent du monticule, lui faisant perdre l’équilibre. Sous les yeux de l’adorable Nu, Moïra bascule en arrière, pirouetta, roula, arrachant d’autres vieux trucs et machins sur son passage avant de finir sa course en bas contre une voiture incendiée. La tête dans le sol, les jambes pliées et la pointe de ses « pieds » touchant son bassin, le robot resta un moment dans cette position avant de s’extirper tant bien que mal. Elle était intacte. Du moins presque…
Le crachat de petites étincelles sur son épaule attira son attention. Alors, elle se dressa follement, constatant que son bras droit était désormais purement et simplement arraché. La machine devenue dingue, Moïra se fit le devoir de retourner les gravats de fer, cherchant désespérément son membre manquant.
Elle finit finalement par se remettre debout, tenant son bras dans la dernière main qui lui restait. Les doigts ouverts, le poignet plié, son attribut avait triste mine. L’androïde leva la tête vers le monticule, observant la silhouette de Nu derrière qui le soleil se levait, projetant toute son ombre sur le robot en contrebas.
Désormais incapable de s’exprimer, Moïra se mit en tête de suivre la belle Nu, acceptant l’idée d’être réparée. En tous les cas, sa logique ne trouvait aucune solution de rechange. Son employeur avait été mécontent de ses frasques et ce n’était pas pour rien qu’elle s’était retrouvée dans cette déchetterie. C’était une sensation étrange que de n’avoir aucun objet précis ni d’ordre de mission. Et suivre la belle Nu jusqu’à son antre était désormais tout ce qu’elle avait, une solution à laquelle le petit robot se raccrochait avec conviction.

4
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 14 août 2013, 22:54:23 »
22h50

OMG :o Trop beau !!!! :o

5
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 14 août 2013, 22:04:06 »
21h56

Est allée courir 2 heures... Ouf j'ai gagné 7 minutes sur mon dernier temps :o Ca progresse !

Concernant Django, c'est une perle et ce n'en n'est pas une. En tant que Tarantino, il est très loin d'etre le meilleur. D'abord d'un point de vue esthétique, il a fait mieux que cela. La première partie est juste geniale pour moi ! Mais la deuxième partie sur l'arnaque à 12 000 dollars, sans vouloir spoiler, je l'ai trouvé trop longue et redondante avec un avant final légèrement... J'ai pas aimé quoi :/.
Puis c'est plein de petits détails qui font que Tarantino a essayé de se caler sur un plus grand public. C'est un très bon film d'accord, mais que les médias, les critiques disent que c'est le meilleur Tarantino, c'est insulter Kill Bill et Pulp Fiction ^-^.
Après c'est que mon avis :/.

6
Prélude / Re : Grawr ! (cri d'une lycanthrope démoniaque)
« le: mercredi 14 août 2013, 16:30:48 »
*Saute dessus, tiraille gentiment une oreille, se releve et s'en va en sifflotant*
Bienvenue  8)

7
Prélude / Re : Ayane Geko =D
« le: mercredi 14 août 2013, 07:19:31 »
Bienvenue à toa :)

8
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 13 août 2013, 22:04:48 »
22h01

Ah ? Je n'ai jamais regardé. Par contre c'est vrai que Kill bill @_@. Ce que je ne comprends pas, c'est toutes les folies qu'il y a eu sur Jango, il est loin d'etre le meilleur tarantino meme s'il est bon tout de meme.

9
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 13 août 2013, 21:30:42 »
21h27

Mange un fruit mais refuse de dire lequel car c'est un secret :p.
J'ai envie de regarder un film... Mais je sais pas quoi.

10
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 13 août 2013, 10:41:06 »
10h38 se demande si elle va aller jardiner ou se pourrir les neuronnes sur the last of Us.

11
Prélude / Re : Titre pas original du tout
« le: lundi 12 août 2013, 22:45:22 »
Oh ? Tarutaru ? A l'assaut !!!!

12
Tekhos Metropolis / Le temps des robots (PV)
« le: lundi 12 août 2013, 22:31:08 »
Au cœur de la métropole de Tekhos, tels d’immenses flèches transparentes qui pointaient avec arrogance vers le ciel, les imposants buildings dispensaient leur ombre sur la cité.  L’immeuble de la firme Ambrosia se mélangeait parmi eux, gigantesque pavé métallique couvert de vitres et de fenêtres ovales. Si cet immeuble ne se caractérisait pas par l’originalité de sa façade, elle était néanmoins, alors que le soleil levant se reflétait sur tout son côté gauche, la source de toutes les attentions.
Le front collé à son carreau, Anne-Charlotte Solieta, une des 5 gérantes de l’entreprise de robotique, pouvait entendre la foule de manifestants qui se tassait au pied de sa tour. A ses côtés, en équilibre sur une roue unique, un robot majordome tenait un plateau à bout de bras, chargé d’une théière et de sa tasse assortie.
— Encore un peu de thé, Madame ? demanda t-il de sa voix grave et caverneuse.
Solieta répondu par un simple geste de la main tandis que Nestor, tel était le prénom cocasse qui lui était attribué, s’emparait des ustensiles à l’aide de sa deuxième paire de mains avant de brandir une tasse fumante ornée de deux morceaux de sucre. La gérante au chignon blond et sévère s’empara de la soucoupe sans pour autant apporter la tasse à ses lèvres, l’esprit égaré vers quelques vieux rêves d’avenir qui s’écroulaient aussi sûrement que coulait la société.
Sur son bureau, sur lequel s’entassaient divers objets tel la maquette d’une main d’androïde ouverte vers le succès, de la paperasse diverse, un ordinateur et d’autres gadgets technologique, un communicateur incrusté dans le métal se mit à clignoter avant qu’une voix fraiche et féminine ne s’en échappe.
— Madame Solieta ? Gaspard Savoureux attend à l’entrée.
— Faites entrer alors…
répondit-elle d’un soupir.
Aussitôt, le sas faisant office de porte au fond de la pièce, coulissa vers le haut, vomissant alors quelques dégénérés des anti-androïdes, Gaspard savoureux en personne, son avocat ainsi que l’une des sources de problème de la firme : Moïra. Le plus gros échec que Ambrosia ait pu produire. Le pétard mouillé de l’année. Ces nouveaux androïdes étaient ce qu’il y avait de plus prometteur… Et encore maintenant, à la simple vue de cette silhouette blanche qui se déplaçait avec toute la grace que son corps lui permettait, ses gros yeux ronds qui lui donnaient une côté poupin et sa façon de regarder tout autour d’elle avec curiosité, Madame Solieta avait encore peine à croire que c’était ce genre de robots qui avait tout foutu en l’air.
Malgré la colère qui commençait à l’envahir, la gérante afficha son sourire le plus poli, proposant à ses « invités » de s’asseoir. Aussitôt, Nestor s’empressa de faire le tour du bureau pour offrir son thé a qui voulait l’entendre, glissant silencieusement sur sa roue. Solieta ne pu s’empêcher de froncer un sourire en voyant Moïra tourner la tête vers Nestor, les bras le long du corps et aussi immobile qu’un pilier.
Costard et cravate assortie, l’avocat de la salle pris le temps de poser sa serviette sur les genoux et de déballer ses feuillets sur le bureau.
— Lors d’un léger entretien avec mon client, commença l’homme de droit, il me faisait part de cette proposition que je tiens à vous reformuler une dernière fois. A savoir que si Ambrosia admet que l’ensemble de sa chaîne de construction de ces nouveaux androïdes chefs d’orchestre est totalement défaillante, alors nous pourront alors pourront-nous parvenir à un arrangement plus favorable pour vous en termes… financiers.
— Je tiens à mon tour à reformuler ma proposition. répondit Solieta dans le langage d’affaires. Laissez-nous examiner Moïra. Nous trouveront facilement la source qui provoque ses comportements étranges, nous la reprogrammeront et, avec un dédommagement en bonus pour la gène occasionnée, vous repartirez avec un robot en parfait état de marche et nos excuses les plus sincères.
— Mon robot n’est pas une exception ! Tous vos robots sont défaillants ! Tous les propriétaires se plaignent ! cracha Gaspard savoureux dont le visage au crâne chauve virait déjà au cramoisi.
— Laissez-nous au moins vous offrir un robot de rechange !
— Vous le faites exprès on dirait…

Soupirant dans sa moustache, Gaspard repris son calme avant de se tourner vers Moïra qui n’en cessait pas de dévisager Nestor, immobile dans un angle de la pièce.
— Moïra ?
L’androïde sursauta à l’appel de son nom, se tournant vers son propriétaire, plus droite qu’un i.
— Monsieur ?
— Vous allez voir… Moïra, qu’est-ce que tu as fait à mes autres robots ?
— Eh bien Monsieur, il serait fort long d’énumérer toutes les taches que je devais ordonner au personnel de maison. Voulez-vous entendre l’ensemble de ces tâches ou bien désirez-vous une liste plus exhaustive ?

Moïra, tout en parlant de sa voix coquette et très légèrement bourdonnante, se mit à bouger les mains de gauche à droite pour appuyer ses paroles. Elle avait toujours eu l’habitude d’interpréter un ordre pour pouvoir désobéir ou se dédouaner.
— Je m’en fous ! Dis moi si oui ou merde tu as délibérément cassé mes robots !
Bien que suffisamment maligne pour échapper à certaines situations, la petite androïde ne pouvait contrefaire un ordre clair et précis. Tournant la tête une fois vers Nestor, une fois vers Madame  Solieta et une dernière fois vers son maître, elle finit finalement par répondre.
— Oui Monsieur.
Solieta resta de marbre tandis que Gaspard savoureux prenait l’assistance à parti et que le reste de l’assemblée hochait la tête avec approbation. Moïra, elle, s’était de nouveau tournée vers Nestor qui la contemplait à son tour, comme s’il eut été sceptique.
— Manifestement… ce robot a un problème de fonctionnement…
— Un gros oui ! Comme tous les autres ! Osez admettre que toute la production est défaillante !
— Nous ne pouvons tirer d’avis clair sur la situation pour le moment, tous nos clients refusent de nous restituer leur robot pour que nous puissions comprendre le problème afin de…
— Vous pensez que je me ferai avoir comme ça ?
rugit Gaspard Savoureux que son avocat tenta tant bien que mal de faire asseoir. Vous ne toucherai pas à celui-là ! Je vais personnellement veiller à ce que Moïra se retrouve à la casse !
Tournant la tête d’une personne à une autre, le visage de l’androïde semblait n’exprimer aucune émotion. C’est ce qui rendit la séparation plus facile quand, quelques heures plus tard, le corps d’une blancheur éclatante de l’androïde se retrouva au milieu des milliers de morceaux de ferraille que composaient la casse de Tekhos. Eteinte, le corps désarticulé tel une marionnette sans fil et la batterie de son poitrail simplement retiré, Moïra faisait paradoxalement tache parmi tous ces débris de fer rouillé.
Elle ne tarda pas à être la proie de vieux ferrailleurs, ces hommes écumant la casse à la recherche d’objets à revendre ou à réutiliser. Pointant l’androïde du doigt, ils s’en approchèrent avec prudence avant de se jeter dessus, essayant déjà de lui arracher un bras. Quelques câblages et une articulation avait cédé lorsque, repérant du mouvement plus loin, ils prirent la fuite. Sous le soleil montant, la cuirasse blanchâtre de Moïra semblait comme briller de l’intérieur.

13
Blabla / Re : Le Questionnaire
« le: lundi 12 août 2013, 15:50:54 »
Kitzbuhel je saurai pas comment l'écrire :) C'est en Autriche, c'est mon endroit à moi là bas <3

Le genre de chose que vous effraie le plus ?

14
Prélude / Re : Androïde Moïra - { Validée }
« le: lundi 12 août 2013, 15:34:03 »
Ce gif est à moi maintenant ! Je vais en faire une bannière !!!!
Merci beaucoup :D

15
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: lundi 12 août 2013, 11:10:38 »
11h07

Il faut le bannir alors Oo

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