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Vous nous quittez déjà ? / Re : Léger ralentissement & absence.
« le: mercredi 27 mars 2024, 15:58:42 »
Bon week-end de pâques.
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Vous nous quittez déjà ? / Re : Absence marmelade
« le: mercredi 27 mars 2024, 15:56:55 »
Bonjour, merci pour les messages. Je reviens avec des nouvelles, j'ai dis adieu à mon ordinateur qui était déjà d'un autre temps. Une amie me prête une tablette le temps que je puisse m'organiser pour m'acheter un nouvel ordinateur car ce n'était pas prévu dans mes comptes. Avec une tablette je peux reprendre les rps ici, sauf que n'ayant pas l'habitude de cette ergonomie je vais mettre du temps à écrire. à bientôt.
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Vous nous quittez déjà ? / Absence marmelade
« le: mercredi 20 mars 2024, 10:50:09 »
Bonjour. Excusez-moi de mon absence, j'ai des problèmes avec mon ordinateur. Dans le meilleur des cas, le réparateur trouve le souci et l'opération n'est pas trop excessive, je fini donc par retrouver mon ordinateur vite. Dans le scénario où la réparation n'est pas rentable, il faudra attendre plus longtemps que je me trouve un nouvel ordinateur. Pardon à mes partenaires, à bientôt aussi vite que possible.
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One Shot / Re : Ne me ménage pas. - pv
« le: dimanche 10 mars 2024, 18:26:32 »Thérèse restait appuyée contre le bord de la fenêtre le buste en avant pour profiter de l'air frais sur son visage. Son client ne semblait pas se soucier des remarques qu'elle lui envoyait, décidément il n'avait rien de drôle aujourd'hui, elle soupirait pensant qu'elle allait passer une longue journée à l'entendre se plaindre.
- Vous êtes bourré pour les deux années à venir avec toutes les bouteilles vides que je suis obligée de ramasser chez vous. Je ne sais pas comment votre cœur arrive à tenir la cadence. À croire que le simple fait de se taper tout ce qui passe lui permet de faire du sport et de s'entretenir. Et 'tout ce qui est passe' ce n'est pas vraiment vrai, car Thérèse n'avait jamais fini dans son lit à regret.
La demoiselle entend en arrière la télécommande tomber, elle pousse encore un soupir, il ne peut décidément pas rester tranquille une seconde. Le vent, bien entendu, une bourrasque si particulière qu'elle en fait tomber la télécommande sans me soulever un cheveu. Il était incroyable dans son non sens. - Vous devriez manger Monsieur ça vous aiderait à avoir les idées plus claires.
Avec la musique en fond, Thérèse n'entendait pas son client se lever du canapé pour venir la rejoindre vers la fenêtre. Encore à cuver, il avait le pas léger, ou elle était trop occupée à savoir ce qu'elle allait bien pouvoir faire avec Kenji dans ses pattes pour la journée. Elle se demandait si ce n'était pas mieux quand elle ne le voyait pas de la journée, en grande réflexion sur les habitudes de son client, elle le sent brusquement se coller dans son dos.
- Qu’est-ce qui vous. Nnnn... Il ne manquait pas de culot, jamais il n'avait osé la regarder, lui faire le moindre compliment et aujourd’hui comme personne n’avait voulu de lui, il se jetait sur la bonne. Thérèse aurait pu être contente si c’était dans une autre circonstance, là, elle avait juste l’impression de servir de bouche-trou pour Monsieur qui prenait son intimité comme un bouton de lumière venant rapidement y mettre les doigts pour éclairer la pièce. Sans parler de son autre main qui ne perdait pas le nord en attrapant un de ses seins sous son chemisier. Ce contact, même si elle l’avait fantasmé depuis longtemps, elle allait y mettre court pour lui apprendre les bonnes manières et lui faire regretter de ne pas avoir jeté son dévolu plutôt sur elle. - Bougre d’imbécile.
Thérèse rattrape la main qui se perdait dans son sous-vêtement et se retourne pour se libérer de son étreinte le poussant sur l’arrière. - Je confirme, vous êtes bien bourré. Quelle idée de faire ça à son employé, vous vous prenez pour qui ? Ce n’est pas parce que vous êtes mon patron que vous devez tout vous permettre pour passer vos… Envie de baise. Elle fronçait les sourcils, appuyait son doigt sur son torse pendant qu’elle lui faisait la morale pour le faire reculer jusqu’à le guider vers son point de départ, le canapé. - Je ne suis pas comme vos… Choses que vous ramenez ici. Un dernier coup sur son torse, cette fois du plat de la main pour le faire tomber sur le canapé.
- Je ne suis pas comme elles, déjà, je suis plus belle, de très loin. Il fallait bien le préciser, c’était d’une importance capitale pour Thérèse qui cachait cette pensée depuis bien trop longtemps. - Je ne suis pas coup d'une journée non plus Monsieur. Thérèse aimait être au centre de l'attention tout le temps, s'il décidait de franchir le pas et qu'elle aimait ça, la demoiselle n'allait pas hésiter à en redemander dans le temps. Et pas seulement à son domicile, elle était sacrément perverse Thérèse quand on la connaissait.
- Et il faut me donner envie, regardez vous puant le fennec dans mon canapé à pleurer sur votre sort. Ce n'est pas digne d'un homme, pour le moment, vous êtes juste bon à vous astiquer le poireau seul dans mon coin pendant que moi, la femme de ménage s'occupe de la maison. Thérèse en avait fini avec lui, pour le moment.
- Qu’il fait chaud d’un coup, m’énerver ne me réussit pas. Thérès utilisait sa main pour éventer son visage. - Et maintenant, je suis en retard dans mon travail, je vais devoir m’y mettre sérieusement. La demoiselle de sa main libre, ouvrait les boutons de son chemisier devant son patron, dévoilant sa poitrine qui se trouvait en dessous, habillée de son étrange soutien-gorge. Elle jetait son haut sur le canapé à côté de lui, levant un sourcil de provocation dans sa direction. - ça va mieux ainsi, lever vos pieds, je vais ramasser les miettes sous votre table basse, comme ça, vous pourrez faire le phoque sur votre canapé toute la journée. Les melons à l’air, Thérèse tirait la table pour se faire un peu de place entre Kenji et celle-ci pour se mettre à genoux, dos à lui, elle se penchait en avant pour nettoyer comme elle l’avait dit sous la table. C’était plutôt l’excuse pour tortiller ses fesses juste sous son nez et entre ses jambes. Si son client avait été attentif en voyant son drôle de soutien-gorge, il pouvait voir que le bas était assorti. Sauf s’il était trop obnubilé par ses fesses qui dandinaient si proche de lui, de son anus à peine caché comme ses lèvres intimes qui s’ouvraient à ses yeux.
- Vous êtes bourré pour les deux années à venir avec toutes les bouteilles vides que je suis obligée de ramasser chez vous. Je ne sais pas comment votre cœur arrive à tenir la cadence. À croire que le simple fait de se taper tout ce qui passe lui permet de faire du sport et de s'entretenir. Et 'tout ce qui est passe' ce n'est pas vraiment vrai, car Thérèse n'avait jamais fini dans son lit à regret.
La demoiselle entend en arrière la télécommande tomber, elle pousse encore un soupir, il ne peut décidément pas rester tranquille une seconde. Le vent, bien entendu, une bourrasque si particulière qu'elle en fait tomber la télécommande sans me soulever un cheveu. Il était incroyable dans son non sens. - Vous devriez manger Monsieur ça vous aiderait à avoir les idées plus claires.
Avec la musique en fond, Thérèse n'entendait pas son client se lever du canapé pour venir la rejoindre vers la fenêtre. Encore à cuver, il avait le pas léger, ou elle était trop occupée à savoir ce qu'elle allait bien pouvoir faire avec Kenji dans ses pattes pour la journée. Elle se demandait si ce n'était pas mieux quand elle ne le voyait pas de la journée, en grande réflexion sur les habitudes de son client, elle le sent brusquement se coller dans son dos.
- Qu’est-ce qui vous. Nnnn... Il ne manquait pas de culot, jamais il n'avait osé la regarder, lui faire le moindre compliment et aujourd’hui comme personne n’avait voulu de lui, il se jetait sur la bonne. Thérèse aurait pu être contente si c’était dans une autre circonstance, là, elle avait juste l’impression de servir de bouche-trou pour Monsieur qui prenait son intimité comme un bouton de lumière venant rapidement y mettre les doigts pour éclairer la pièce. Sans parler de son autre main qui ne perdait pas le nord en attrapant un de ses seins sous son chemisier. Ce contact, même si elle l’avait fantasmé depuis longtemps, elle allait y mettre court pour lui apprendre les bonnes manières et lui faire regretter de ne pas avoir jeté son dévolu plutôt sur elle. - Bougre d’imbécile.
Thérèse rattrape la main qui se perdait dans son sous-vêtement et se retourne pour se libérer de son étreinte le poussant sur l’arrière. - Je confirme, vous êtes bien bourré. Quelle idée de faire ça à son employé, vous vous prenez pour qui ? Ce n’est pas parce que vous êtes mon patron que vous devez tout vous permettre pour passer vos… Envie de baise. Elle fronçait les sourcils, appuyait son doigt sur son torse pendant qu’elle lui faisait la morale pour le faire reculer jusqu’à le guider vers son point de départ, le canapé. - Je ne suis pas comme vos… Choses que vous ramenez ici. Un dernier coup sur son torse, cette fois du plat de la main pour le faire tomber sur le canapé.
- Je ne suis pas comme elles, déjà, je suis plus belle, de très loin. Il fallait bien le préciser, c’était d’une importance capitale pour Thérèse qui cachait cette pensée depuis bien trop longtemps. - Je ne suis pas coup d'une journée non plus Monsieur. Thérèse aimait être au centre de l'attention tout le temps, s'il décidait de franchir le pas et qu'elle aimait ça, la demoiselle n'allait pas hésiter à en redemander dans le temps. Et pas seulement à son domicile, elle était sacrément perverse Thérèse quand on la connaissait.
- Et il faut me donner envie, regardez vous puant le fennec dans mon canapé à pleurer sur votre sort. Ce n'est pas digne d'un homme, pour le moment, vous êtes juste bon à vous astiquer le poireau seul dans mon coin pendant que moi, la femme de ménage s'occupe de la maison. Thérèse en avait fini avec lui, pour le moment.
- Qu’il fait chaud d’un coup, m’énerver ne me réussit pas. Thérès utilisait sa main pour éventer son visage. - Et maintenant, je suis en retard dans mon travail, je vais devoir m’y mettre sérieusement. La demoiselle de sa main libre, ouvrait les boutons de son chemisier devant son patron, dévoilant sa poitrine qui se trouvait en dessous, habillée de son étrange soutien-gorge. Elle jetait son haut sur le canapé à côté de lui, levant un sourcil de provocation dans sa direction. - ça va mieux ainsi, lever vos pieds, je vais ramasser les miettes sous votre table basse, comme ça, vous pourrez faire le phoque sur votre canapé toute la journée. Les melons à l’air, Thérèse tirait la table pour se faire un peu de place entre Kenji et celle-ci pour se mettre à genoux, dos à lui, elle se penchait en avant pour nettoyer comme elle l’avait dit sous la table. C’était plutôt l’excuse pour tortiller ses fesses juste sous son nez et entre ses jambes. Si son client avait été attentif en voyant son drôle de soutien-gorge, il pouvait voir que le bas était assorti. Sauf s’il était trop obnubilé par ses fesses qui dandinaient si proche de lui, de son anus à peine caché comme ses lèvres intimes qui s’ouvraient à ses yeux.
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Centre-ville de Seikusu / Re : Néon Musique. - pv
« le: dimanche 10 mars 2024, 18:24:31 »Dans le flou de la lumière, de ses idées qui fusaient à toute vitesse, Marmelade n’avait pas vu les deux silhouettes sombres devant elle. Avec son corps qui ne réagissait pas à la perfection à cause de la fatigue, du stress, de cette boule au ventre due à la terreur de mourir elle avait l’impression de tout voire au ralenti. Sans grande difficulté, qu’une des ombres lui attrape le bras pour la déséquilibrer, pendant que la deuxième l’attrape pour la maintenir contre elle.
- Nnnn Lafez-mouah. La tête dans quelque chose de mou, il était difficile pour elle de parler convenablement. Sans arme improvisée, Marmelade continuait à s’agiter comme elle le pouvait. Ses mains c’étaient posées sur les hanches de la femme pour tenter de se pousser en arrière sans y arriver à cause du manque de force dont elle faisait preuve actuellement.
La Crazilles tente pendant quelques secondes de reculer son visage, elle n’imagine pas un instant qu’elle se trouve contre la poitrine d’une femme qui fait tout son possible pour la calmer. Après cet épisode, stressant et il faut le noter, ridicule pour Marmelade qui n’en avait pas loupé une pour se mettre en scène dramatiquement. Elle sentait petit à petit ses forces totalement la quitter, elle avait beaucoup trop donné et le contrecoup venait de se faire sentir. Contre cette peau douce, fraîche et d’un délicieux parfum, ses yeux commençaient à se fermer. Marmelade luttait, essayant de rester lucide, encore dans son délire de mourir, mais sa fatigue était beaucoup trop importante. Pour clore cette situation loufoque en beauté, La Crazilles perdait connaissance entre les seins d’une jeune femme, se laissant se reposer de tout son poids entre ses deux énormes coussins.
C’était sûrement un bien pour un mal, cela allait permettre à son cerveau de se poser, d’arrêter de croire que tout le monde souhaite lui faire la peau. Les femmes qui se trouvaient dans cet établissement lui voulaient du bien, à son réveil, Marmelade allait rapidement le remarquer. Pas de chaînes, pas d’hommes qui lui veulent du mal, juste du réconfort et des soins. Son délire allait rapidement s’arrêter après ça, pour le moment, elle restait sans bouger totalement inconsciente, nue et la tête entre deux doux seins à se faire dorloter.
- Nnnn Lafez-mouah. La tête dans quelque chose de mou, il était difficile pour elle de parler convenablement. Sans arme improvisée, Marmelade continuait à s’agiter comme elle le pouvait. Ses mains c’étaient posées sur les hanches de la femme pour tenter de se pousser en arrière sans y arriver à cause du manque de force dont elle faisait preuve actuellement.
La Crazilles tente pendant quelques secondes de reculer son visage, elle n’imagine pas un instant qu’elle se trouve contre la poitrine d’une femme qui fait tout son possible pour la calmer. Après cet épisode, stressant et il faut le noter, ridicule pour Marmelade qui n’en avait pas loupé une pour se mettre en scène dramatiquement. Elle sentait petit à petit ses forces totalement la quitter, elle avait beaucoup trop donné et le contrecoup venait de se faire sentir. Contre cette peau douce, fraîche et d’un délicieux parfum, ses yeux commençaient à se fermer. Marmelade luttait, essayant de rester lucide, encore dans son délire de mourir, mais sa fatigue était beaucoup trop importante. Pour clore cette situation loufoque en beauté, La Crazilles perdait connaissance entre les seins d’une jeune femme, se laissant se reposer de tout son poids entre ses deux énormes coussins.
C’était sûrement un bien pour un mal, cela allait permettre à son cerveau de se poser, d’arrêter de croire que tout le monde souhaite lui faire la peau. Les femmes qui se trouvaient dans cet établissement lui voulaient du bien, à son réveil, Marmelade allait rapidement le remarquer. Pas de chaînes, pas d’hommes qui lui veulent du mal, juste du réconfort et des soins. Son délire allait rapidement s’arrêter après ça, pour le moment, elle restait sans bouger totalement inconsciente, nue et la tête entre deux doux seins à se faire dorloter.
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Royaume Terranide / Re : La nouveauté, ce n'est jamais bon signe [ PV marmelade ]
« le: dimanche 10 mars 2024, 14:45:37 »Pendant que l'homme regardait la carte, Marmelade en profitait pour ranger ses affaires dans son sac sauf son habit de pluie qui était trop sale. Elle sortait ensuite ce qui pouvait ressembler à un chiffon, confectionné en peau de bête, c'était un excellent absorbeur d'humidité en plus de nettoyer. Elle en prit un bout pour le rouler entre ses doigts pour le passer dans les commissures de ses grandes oreilles alors qu'elle se relevait attendant d'en savoir plus sur la carte et vu la mine déconfite du garde ça n'annonçait rien de bon pour la suite. Elle allait quand même attendre toutes les explications pour ne pas tirer des conclusions trop hâtives sur la situation, continuant de décrasser ses oreilles qui n'avaient pas été épargnées de la boue environnante. Quel sale temps pour mettre une Crazilles dehors, à barboter dans l'eau de pluie et la boue, le soleil de sa forêt lui manquait déjà.
Quelques minutes, après avoir analysé la carte, il était temps pour le garde de commencer son briefing à Marmelade. Comme elle se doutait ce n'étaient pas les meilleures nouvelles de l'année. - Nnnnn. Elle poussait un soupir en l'écoutant lui donner les détails qui allaient conduire sa quête. De nombreuses étapes toutes aussi difficiles les unes que les autres, il y a juste un point où elle n'était pas vraiment surprise de l'annonce.
- Je me doutais que ce n'était pas des gens amicaux, il faut un grand manque de bon sens pour capturer, réduire en esclavage, torturer et… Marmelade s'arrêtait là pour ne pas dire tuer, elle espérait que ce dernier point n'allait pas arriver. Des êtres vivants. Une montée de colère courte suite à ses idées, mais bien présente qui pendant quelques secondes laissait varier la couleur des yeux de Marmelade. De ce joli rose, un noir obscur passait dessus comme un voile d'un côté à un autre laissant légèrement son empreinte pour l'instant, rendant ce si beau rose plus foncé.
- Que je ne suis ni une espionne, ni un danger. Pour le deuxième choix, je pense te l'avoir déjà démontré. Pour être clair, elle aurait pu l'attaquer bien plutôt pour pénétrer les lignes. Même si Marmelade n'avait pas d'armes à proprement parler, il ne fallait pas oublier qu'elle vivait dans la forêt, pour ça la nature lui avait donné des attributs pour y survivre. Des dents capables de déchiqueter de la viande crue et pas forcément tendre comme celle qu'on trouve sur les étals des marchés, des griffes et malgré sa carrure svelte, Marmelade restait très forte, capable de rivaliser avec de nombreuses bêtes sauvages. Rien ne l'aurait empêché dès le début de lui sauter dessus pour le neutraliser. - À moitié. Le danger pouvait être physique, mais pas que, il y avait beaucoup de personnes qui pouvaient agir depuis l’intérieur pour mettre la pagaille et pour le moment Marmelade montrait également qu’elle suivait comme il faut les ordres. Suivant l’homme sans rechigner, ne cachant pas ses affaires pour essayer de faire des coups en douce ça n’irait pas dans son sens. Elle devait franchir cette ligne au plus vite pour continuer son chemin, elle allait répondre du mieux qu’elle peut à toutes les interrogations à son sujet.
- En route pour la suite. Marmelade fermait son sac une fois que toutes ses affaires étaient à l’intérieur le remettant sur son épaule et enroulant son kawai en boule pour le porter, évitant de mettre de la terre partout sur sa tunique. La Crazilles était prête à suivre le garde pour convaincre ses supérieurs d’avoir un laissez-passer.
Quelques minutes, après avoir analysé la carte, il était temps pour le garde de commencer son briefing à Marmelade. Comme elle se doutait ce n'étaient pas les meilleures nouvelles de l'année. - Nnnnn. Elle poussait un soupir en l'écoutant lui donner les détails qui allaient conduire sa quête. De nombreuses étapes toutes aussi difficiles les unes que les autres, il y a juste un point où elle n'était pas vraiment surprise de l'annonce.
- Je me doutais que ce n'était pas des gens amicaux, il faut un grand manque de bon sens pour capturer, réduire en esclavage, torturer et… Marmelade s'arrêtait là pour ne pas dire tuer, elle espérait que ce dernier point n'allait pas arriver. Des êtres vivants. Une montée de colère courte suite à ses idées, mais bien présente qui pendant quelques secondes laissait varier la couleur des yeux de Marmelade. De ce joli rose, un noir obscur passait dessus comme un voile d'un côté à un autre laissant légèrement son empreinte pour l'instant, rendant ce si beau rose plus foncé.
- Que je ne suis ni une espionne, ni un danger. Pour le deuxième choix, je pense te l'avoir déjà démontré. Pour être clair, elle aurait pu l'attaquer bien plutôt pour pénétrer les lignes. Même si Marmelade n'avait pas d'armes à proprement parler, il ne fallait pas oublier qu'elle vivait dans la forêt, pour ça la nature lui avait donné des attributs pour y survivre. Des dents capables de déchiqueter de la viande crue et pas forcément tendre comme celle qu'on trouve sur les étals des marchés, des griffes et malgré sa carrure svelte, Marmelade restait très forte, capable de rivaliser avec de nombreuses bêtes sauvages. Rien ne l'aurait empêché dès le début de lui sauter dessus pour le neutraliser. - À moitié. Le danger pouvait être physique, mais pas que, il y avait beaucoup de personnes qui pouvaient agir depuis l’intérieur pour mettre la pagaille et pour le moment Marmelade montrait également qu’elle suivait comme il faut les ordres. Suivant l’homme sans rechigner, ne cachant pas ses affaires pour essayer de faire des coups en douce ça n’irait pas dans son sens. Elle devait franchir cette ligne au plus vite pour continuer son chemin, elle allait répondre du mieux qu’elle peut à toutes les interrogations à son sujet.
- En route pour la suite. Marmelade fermait son sac une fois que toutes ses affaires étaient à l’intérieur le remettant sur son épaule et enroulant son kawai en boule pour le porter, évitant de mettre de la terre partout sur sa tunique. La Crazilles était prête à suivre le garde pour convaincre ses supérieurs d’avoir un laissez-passer.
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One Shot / Re : Divin dieu. - pv
« le: dimanche 10 mars 2024, 14:43:59 »Rosa écoutait comme elle le pouvait ce que le terranide en face d’elle lui disait, sauf que le moindre bruit aux alentours la terrorisait. Elle avait peur que les hommes des enchères soient déjà là pour la récupérer et la punir pour avoir pris la fuite. Enregistrant seulement la moitié des informations, elle s’arrêta sur les mots suivants : horribles tortionnaires, ils lui jetaient un froid dans le dos, ses poils sur sa fourrure se hérissaient pendant qu’elle cherchait à se faire la plus petite possible pendant qu’elle était encore sur le sol. Cependant, le dieu n’avait pas l’intention de la laisser en boule ici, prenant ses mains dans les siens et relevant son visage pour qu’elle puisse le regarder.
- Vous m’avez aidé, ce n’est pas pour me faire du mal maintenant. Je sais que je ne peux pas vivre seule. Rosa ne se faisait pas d’illusions sur ce point, elle avait vécu toute sa vie dans un centre avec des personnes présentes pour l’aider. Tenter de fuir seule pour rechercher des gens de son espèce était de la folie, elle n’avait pas les qualités sauvages pour s’en sortir.
- Si vous avez entendu mon appel, c’est pour une bonne raison. Je ne connais rien en dieu et pourtant, vous êtes ici pour m’aider, je crois que vous êtes une bonne personne. Je suis prête à vous suivre sans en connaître les conditions, j’ai confiance en vous. Rosa se tournait vers la première solution d’être avec lui, car c’était la seule qu’elle voyait viable. Vivre seule pour chercher de l’aide n’était pas possible dans sa condition et lui proposer des conditions, elle n’était pas en mesure. Elle n’avait jamais pratiqué l’art de la négociation et s'aventurer sur ce terrain avec les idées pas claires pouvait lui coûter cher. Rosa choisissait la simplicité en faisant confiance au dieu qui l’avait déjà sauvé.
- Prenez-moi avec vous, Monsieur le Divin. Finissait-elle par dire en serrant ses mains pour qu’il comprenne qu’elle n’avait pas envie de finir seule.
- Vous m’avez aidé, ce n’est pas pour me faire du mal maintenant. Je sais que je ne peux pas vivre seule. Rosa ne se faisait pas d’illusions sur ce point, elle avait vécu toute sa vie dans un centre avec des personnes présentes pour l’aider. Tenter de fuir seule pour rechercher des gens de son espèce était de la folie, elle n’avait pas les qualités sauvages pour s’en sortir.
- Si vous avez entendu mon appel, c’est pour une bonne raison. Je ne connais rien en dieu et pourtant, vous êtes ici pour m’aider, je crois que vous êtes une bonne personne. Je suis prête à vous suivre sans en connaître les conditions, j’ai confiance en vous. Rosa se tournait vers la première solution d’être avec lui, car c’était la seule qu’elle voyait viable. Vivre seule pour chercher de l’aide n’était pas possible dans sa condition et lui proposer des conditions, elle n’était pas en mesure. Elle n’avait jamais pratiqué l’art de la négociation et s'aventurer sur ce terrain avec les idées pas claires pouvait lui coûter cher. Rosa choisissait la simplicité en faisant confiance au dieu qui l’avait déjà sauvé.
- Prenez-moi avec vous, Monsieur le Divin. Finissait-elle par dire en serrant ses mains pour qu’il comprenne qu’elle n’avait pas envie de finir seule.
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One Shot / Re : La capture est ouverte. - pv
« le: dimanche 10 mars 2024, 00:17:16 »Célestine fixait l’écran de son téléphone quand la notification le fit une nouvelle fois vibrer tout en allumant une lumière verte sur le haut, elle appuya dessus dans la seconde pour en afficher le contenu.
- Me sentir seule… Il est devin ? Célestine rigole à son interprétation. L'ennui dans cette phrase ce n’est pas qu’il avait raison, c’est qu’elle ne savait toujours pas qui c’était. Célestine avait pris le temps de lui répondre, elle ne devait donc pas commencer à faire la morte. Le problème, c’est qu’elle ne devait pas trop en dire non plus, ce numéro pourrait être une connaissance ou un hacker qui avait réussi à avoir son contact et ça… Elle n’y avait pas pensé la première fois qu’elle avait répondu, cette idée venait de lui pendre au nez d’un coup quand elle avait relu : la haut. La question qu’elle se posait, c’était comment cette personne pouvait savoir qu’elle était dans sa tour ce soir. Elle pouvait très bien être de promenade avec son père ou des personnalités importantes. Sauf qu’il était trop tard pour faire marche arrière maintenant… Mâchouillant toujours son t-shirt, elle réfléchissait à ce qu’elle pourrait bien lui répondre.
Elle ne devait pas se montrer trop sur la réserve, ne pas sembler poser trop de question, ne pas dévoiler sa position actuelle, c’était beaucoup trop compliqué de rester dans le flou tout en essayant d’en savoir plus. Elle tapotait des mots sur son clavier, pour les effacer rapidement, elle ne savait pas par où commencer, ni quoi mettre au milieu et encore moins comment finir.
- J’aurai dû attendre la réponse d’Hana, même si c’était demain. Célestine commençait à s’en vouloir d’avoir voulu prendre les devant en répondant au message. Hana devait être avec son père à essayer de combler ses caprices, elle n’avait pas le temps de s’occuper de sa fille. Envoyer un message à son père n’était pas envisageable surtout pour ça, il avait d’autres chats à fouetter. Ce soir c’était surtout des chattes qui allaient se présenter en lui, mais ça Célestine n’en savait rien du tout.
Elle mettait tellement de temps à réfléchir à ce qu’elle allait mettre dans son message qu’une nouvelle notification apparaissait sur son écran, elle appuyait dessus. En cinq mots, elle arrivait à avoir froid dans le dos, comment ça cette personne allait venir la voir, ce soir, non impossible. Dans la semaine, non plus, elle avait rendez-vous avec personne, il y avait beaucoup trop de choses qui clochaient. Célestine mit son téléphone en veille en le lançant sur le matelas du lit, elle lâcha son t-shirt pour se lever, allant vers la grande fenêtre pour regarder en bas. Tout semblait normal au pied de cette tour, elle allait maintenant contre la porte de sa chambre pour mettre son œil contre le judas pour y apercevoir le crâne d’un de ses gardes du corps, il ne semblait y avoir personne d’autre.
Elle paniquait peut-être pour rien, cependant, être trop prudent n’était pas un tort. Célestine ouvrait la porte pour y passer seulement sa tête, elle n’avait pas envie de s’afficher en petite tenue devant ses gardes du corps.
- Baki, si quelqu’un souhaite me voir ce soir, dites que je ne suis pas disponible.
- C’est noté mademoiselle, quelque chose vous dérange, vous allez bien ? Je dois prévenir votre père ?
- Non pas besoin de le déranger à cette heure, je vais bien ne vous inquiétez pas.
Elle refermait la porte de sa chambre sans ajouter un mot, elle s’assurait de bien l’avoir fermé en appuyant son épaule dessus, juste après elle remontait le verrou en chaîne qui bien que cette tour fût très high tech disposait de sécurité plus primaire. Un dernier coup d'œil dans le judas pour s’assurer que Baki ne partait pas et elle retournait se mettre dans son lit. En tailleur sur le rebord, elle n’osait plus regarder son téléphone, elle se saisissait de la télécommande de la télé pour l'allumer en enlevant le son pour être aux aguets.
- Me sentir seule… Il est devin ? Célestine rigole à son interprétation. L'ennui dans cette phrase ce n’est pas qu’il avait raison, c’est qu’elle ne savait toujours pas qui c’était. Célestine avait pris le temps de lui répondre, elle ne devait donc pas commencer à faire la morte. Le problème, c’est qu’elle ne devait pas trop en dire non plus, ce numéro pourrait être une connaissance ou un hacker qui avait réussi à avoir son contact et ça… Elle n’y avait pas pensé la première fois qu’elle avait répondu, cette idée venait de lui pendre au nez d’un coup quand elle avait relu : la haut. La question qu’elle se posait, c’était comment cette personne pouvait savoir qu’elle était dans sa tour ce soir. Elle pouvait très bien être de promenade avec son père ou des personnalités importantes. Sauf qu’il était trop tard pour faire marche arrière maintenant… Mâchouillant toujours son t-shirt, elle réfléchissait à ce qu’elle pourrait bien lui répondre.
Elle ne devait pas se montrer trop sur la réserve, ne pas sembler poser trop de question, ne pas dévoiler sa position actuelle, c’était beaucoup trop compliqué de rester dans le flou tout en essayant d’en savoir plus. Elle tapotait des mots sur son clavier, pour les effacer rapidement, elle ne savait pas par où commencer, ni quoi mettre au milieu et encore moins comment finir.
- J’aurai dû attendre la réponse d’Hana, même si c’était demain. Célestine commençait à s’en vouloir d’avoir voulu prendre les devant en répondant au message. Hana devait être avec son père à essayer de combler ses caprices, elle n’avait pas le temps de s’occuper de sa fille. Envoyer un message à son père n’était pas envisageable surtout pour ça, il avait d’autres chats à fouetter. Ce soir c’était surtout des chattes qui allaient se présenter en lui, mais ça Célestine n’en savait rien du tout.
Elle mettait tellement de temps à réfléchir à ce qu’elle allait mettre dans son message qu’une nouvelle notification apparaissait sur son écran, elle appuyait dessus. En cinq mots, elle arrivait à avoir froid dans le dos, comment ça cette personne allait venir la voir, ce soir, non impossible. Dans la semaine, non plus, elle avait rendez-vous avec personne, il y avait beaucoup trop de choses qui clochaient. Célestine mit son téléphone en veille en le lançant sur le matelas du lit, elle lâcha son t-shirt pour se lever, allant vers la grande fenêtre pour regarder en bas. Tout semblait normal au pied de cette tour, elle allait maintenant contre la porte de sa chambre pour mettre son œil contre le judas pour y apercevoir le crâne d’un de ses gardes du corps, il ne semblait y avoir personne d’autre.
Elle paniquait peut-être pour rien, cependant, être trop prudent n’était pas un tort. Célestine ouvrait la porte pour y passer seulement sa tête, elle n’avait pas envie de s’afficher en petite tenue devant ses gardes du corps.
- Baki, si quelqu’un souhaite me voir ce soir, dites que je ne suis pas disponible.
- C’est noté mademoiselle, quelque chose vous dérange, vous allez bien ? Je dois prévenir votre père ?
- Non pas besoin de le déranger à cette heure, je vais bien ne vous inquiétez pas.
Elle refermait la porte de sa chambre sans ajouter un mot, elle s’assurait de bien l’avoir fermé en appuyant son épaule dessus, juste après elle remontait le verrou en chaîne qui bien que cette tour fût très high tech disposait de sécurité plus primaire. Un dernier coup d'œil dans le judas pour s’assurer que Baki ne partait pas et elle retournait se mettre dans son lit. En tailleur sur le rebord, elle n’osait plus regarder son téléphone, elle se saisissait de la télécommande de la télé pour l'allumer en enlevant le son pour être aux aguets.
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Royaume Terranide / Re : Lady Marmalade [Feat. Marmelade]
« le: dimanche 10 mars 2024, 00:11:00 »Incroyable, le mot était peut-être trop fort, mais c’est vrai que pour les personnes de la ville vivre dans ces conditions pouvaient le faire penser. Marmelade n’était pas seule dans cette position délicate, les terranides n’avaient pas d’avenir radieux dans ce monde, beaucoup devaient également mourir dans d'atroces souffrances comme d’autres races. Et sans aller chercher bien loin prenons juste les femmes qui pour certaines étaient vouées à servir des hommes parfois violents, peut-être qu’un jour cela allait changer et qu’une journée de la femme sera mise en avant pour montrer le combat durement menée par celle-ci pour gagner des droits.
Yunaka lui expliquait après qu’elle connaissait un peu les Crazilles à travers des livres, Marmelade a déjà eu l’occasion d’en feuilleter, toutes les informations qui s’y trouvent ne sont pas forcément valables surtout en ce qui concerne la longueur de leurs oreilles. Un fait très étrange, les humains les voient souvent avec des oreilles plus grandes qui n’arrêtent jamais de pousser, une information totalement fausse car la vie des Crazilles est très longue. Marmelade ne la coupait pas, comme Yunaka l'avait fait juste avant, elle continuait de l'écouter d'une oreille attentive parlant du lien avec la nature et pour finir par revenir sur le sujet principal avec une révélation surprenante. La tête sur les genoux Marmelade écarquillait les yeux surpris avant de se redresser comme il faut avec un sourire aux lèvres.
- Je refuse. Sur un ton ferme, elle répondait à sa demande d'une manière surprenante.
- Cette plante à plus de chance de survivre si elle se trouve à différents endroits. Imagine si nous devions faire face à une sécheresse importante, ou un feu de forêt, il ne resterait plus rien contre notre volonté. Tu n'es pas qu'une simple botaniste, tes plantes se sentent bien ici, je suis certaine qu'elle le sera aussi. Pour plus de sécurité, nous devons la confier à tes personnes de confiance. Marmelade voyait dans le futur, il ne faut jamais mettre ses œufs dans le même panier.
- Si nous arrivons à notre objectif qui est de la retrouver et de la garder en sécurité, je vais peut-être m’avancer un peu en disant ça. Marmelade passait sa main sur son menton en affichant un sourire grandissant, car elle avait hâte de voir la tête de Yunaka. J’aimerais que tu viennes dans ma forêt, comme tu l’as fait en me montrant ton chez-toi, je souhaite faire de même. Peut-être que tu pourras y trouver des espèces végétales que tu ne connais pas et que tu pourrais ramener ici. Et c’était l’occasion d’en apprendre plus sur les Crazilles, surtout sur le lien que certains comme Marmelade pouvaient entretenir avec la nature.
Yunaka lui expliquait après qu’elle connaissait un peu les Crazilles à travers des livres, Marmelade a déjà eu l’occasion d’en feuilleter, toutes les informations qui s’y trouvent ne sont pas forcément valables surtout en ce qui concerne la longueur de leurs oreilles. Un fait très étrange, les humains les voient souvent avec des oreilles plus grandes qui n’arrêtent jamais de pousser, une information totalement fausse car la vie des Crazilles est très longue. Marmelade ne la coupait pas, comme Yunaka l'avait fait juste avant, elle continuait de l'écouter d'une oreille attentive parlant du lien avec la nature et pour finir par revenir sur le sujet principal avec une révélation surprenante. La tête sur les genoux Marmelade écarquillait les yeux surpris avant de se redresser comme il faut avec un sourire aux lèvres.
- Je refuse. Sur un ton ferme, elle répondait à sa demande d'une manière surprenante.
- Cette plante à plus de chance de survivre si elle se trouve à différents endroits. Imagine si nous devions faire face à une sécheresse importante, ou un feu de forêt, il ne resterait plus rien contre notre volonté. Tu n'es pas qu'une simple botaniste, tes plantes se sentent bien ici, je suis certaine qu'elle le sera aussi. Pour plus de sécurité, nous devons la confier à tes personnes de confiance. Marmelade voyait dans le futur, il ne faut jamais mettre ses œufs dans le même panier.
- Si nous arrivons à notre objectif qui est de la retrouver et de la garder en sécurité, je vais peut-être m’avancer un peu en disant ça. Marmelade passait sa main sur son menton en affichant un sourire grandissant, car elle avait hâte de voir la tête de Yunaka. J’aimerais que tu viennes dans ma forêt, comme tu l’as fait en me montrant ton chez-toi, je souhaite faire de même. Peut-être que tu pourras y trouver des espèces végétales que tu ne connais pas et que tu pourrais ramener ici. Et c’était l’occasion d’en apprendre plus sur les Crazilles, surtout sur le lien que certains comme Marmelade pouvaient entretenir avec la nature.
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One Shot / Astral dream. - pv
« le: samedi 09 mars 2024, 18:54:02 »Hinata est une jeune femme en dernière année de commerce, elle fait tout pour ne pas se louper en travaillant jour et nuit sur ses dossiers qu'elle doit rendre, ses devoirs à apprendre pour les examens. Il lui arrive souvent de ne pas manger le midi pour réviser, tous les soirs de la semaine après les cours elle va dans des salles prévues pour les étudiants pour effectuer des révisions avec des professeurs particuliers. Un planning chargé pour réussir sa dernière année, afin de se détendre avec tout ce stress, Hinata a pour habitude de regarder un de ses groupes de musique favoris qui se nomme Astral Bonds. Elle passe en boucle les dernières musiques, regarde les vidéos de tous les concerts, s’amuse à faire des photomontages avec son membre préféré qui est Gentaro. Elle doit suivre tous les réseaux des fans comme elle pour être au courant de toutes les nouveautés et c’est en traînant sur une page fan qu’elle avait appris que le groupe se montrait très proche des admiratrices. Certaines avaient eu la chance de même les avoir dans leur lit pour une nuit en partant d’un message sur leur compte principal.
L’étudiante en commerce ne pouvait pas y croire, sauf que de nombreux commentaires allaient dans ce sens avec d’autres témoignages. Après avoir lu ça, elle hésita plusieurs semaines avant de se lancer pour envoyer un message à Gentaro. Avec ses cheveux roses et ses tatouages, il ressemblait à un badboy la rendant toute chose à chaque fois qu’il faisait une apparition. Les échanges avaient commencé avec lui, des simples banalités au début, Hinata le remerciait d’être présent dans sa vie, il lui apportait beaucoup sans le savoir. Curieuse de savoir si les autres fans disaient la vérité, elle a commencé à lui envoyer des messages à double sens, puis plus explicites et contre toute attente, il se montrait très réceptif.
Depuis maintenant un bon mois, Hinata lui parle presque tous les jours, le stade des messages coquins avaient été franchis quand elle lui envoya une photo un soir qu’elle avait un peu trop bu avec des amis. Une photo où elle lui présentait sa tenue jusqu’à sa culotte avant de l’enlever pour lui montrer la face cachée. Les photos avaient été très bien reçues, c’est comme ça qu’elle avait pris l’habitude de lui en envoyer régulièrement avant de pouvoir se rencontrer en vrai au concert qui était maintenant dans trois jours. Elle avait si hâte de faire la rencontre de Gentaro en vrai, mais pour le moment elle continuait de lui parler par message quand elle finissait sa journée à l’université.
Un rituel, elle s’installait sur son lit pour y déposer ses affaires de l’université pour toujours pouvoir réviser si Gentaro mettait du temps à répondre. Elle allumait son ordinateur et son téléphone, une fois qu’elle était prête Hinata prenait une photo d’elle pour lui envoyer.
-- Je suis enfin chez moi dans une tenue plus à l’aise pour travailler. Tu aimes bien ? –
Ce n’était pas une tenue pour travailler, Hinata l’avait acheté spécialement pour lui montrer et lui plaire, elle attendait dans sa boite aux lettres depuis ce matin. Elle avait attendu toute la journée pour lui montrer, elle espérait qu’il allait aimer.
L’étudiante en commerce ne pouvait pas y croire, sauf que de nombreux commentaires allaient dans ce sens avec d’autres témoignages. Après avoir lu ça, elle hésita plusieurs semaines avant de se lancer pour envoyer un message à Gentaro. Avec ses cheveux roses et ses tatouages, il ressemblait à un badboy la rendant toute chose à chaque fois qu’il faisait une apparition. Les échanges avaient commencé avec lui, des simples banalités au début, Hinata le remerciait d’être présent dans sa vie, il lui apportait beaucoup sans le savoir. Curieuse de savoir si les autres fans disaient la vérité, elle a commencé à lui envoyer des messages à double sens, puis plus explicites et contre toute attente, il se montrait très réceptif.
Depuis maintenant un bon mois, Hinata lui parle presque tous les jours, le stade des messages coquins avaient été franchis quand elle lui envoya une photo un soir qu’elle avait un peu trop bu avec des amis. Une photo où elle lui présentait sa tenue jusqu’à sa culotte avant de l’enlever pour lui montrer la face cachée. Les photos avaient été très bien reçues, c’est comme ça qu’elle avait pris l’habitude de lui en envoyer régulièrement avant de pouvoir se rencontrer en vrai au concert qui était maintenant dans trois jours. Elle avait si hâte de faire la rencontre de Gentaro en vrai, mais pour le moment elle continuait de lui parler par message quand elle finissait sa journée à l’université.
Un rituel, elle s’installait sur son lit pour y déposer ses affaires de l’université pour toujours pouvoir réviser si Gentaro mettait du temps à répondre. Elle allumait son ordinateur et son téléphone, une fois qu’elle était prête Hinata prenait une photo d’elle pour lui envoyer.
-- Je suis enfin chez moi dans une tenue plus à l’aise pour travailler. Tu aimes bien ? –
Ce n’était pas une tenue pour travailler, Hinata l’avait acheté spécialement pour lui montrer et lui plaire, elle attendait dans sa boite aux lettres depuis ce matin. Elle avait attendu toute la journée pour lui montrer, elle espérait qu’il allait aimer.
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Le parc et son sous-bois / Re : Si je vous dis « maquis » ? [PV Marmelade]
« le: samedi 09 mars 2024, 18:49:25 »Le dévorer était un grand mot sachant que Marmelade n’avait que son gland en bouche, ce n’était qu’un avant-goût à ce qu’elle voulait lui faire. Mais elle avait bien peu de comprendre que cette dégustation qu’elle lui offrait allait être de courte durée, le pauvre Eugene devait se retenir depuis bien trop longtemps. Une souffrance qui devait lui serrer les bourses et remonter le long de son vif veineux, La Crazilles pouvait lui apporter le soulagement qui ne devait pas attendre, ou pas de la façon dont il le pensait. Toujours d’une oreille attentive, elle l’écoutait baragouiner des mots qui n’avaient pas de sens dans la situation. Est-ce que c’était vraiment étonnant ? Non, il restait bizarre à sa façon et Marmelade se disait qu’il ne pouvait pas s’empêcher d’apporter sa petite touche personnelle. Elle n’avait pas passé beaucoup de temps avec, mais ça lui avait suffi pour comprendre la bête. Plongeant toujours ses yeux à travers les lunettes noires d’Eugene comme si elle pouvait transpercer le verre, elle gardait son gland en bouche. D’une langue experte, elle l’enroulait avec parfois de la tendresse en détaillant au mieux ce qu’elle avait en bouche et tantôt avec plus de sauvagerie en tournant rapidement autour pour lui faire connaître bien des sensations.
Des sensations qu’il semblait apprécier malgré tout, à la façon dont il ondulait son bassin d’avant en arrière laissant les lèvres charnues de Marmelade glisser sur son sexe. Elle avait toujours cette position d’équilibre en appui sur les cuisses d’Eugene, ses mains appuyant sur sa peau, ses ongles pénétrant légèrement dans sa chair de quoi lui laisser quelques marques quand elle décidera de se retirer. Au fur et à mesure que le temps passait, elle pouvait sentir de plus en plus son membre frétiller dans sa cavité humide et chaude, signe qu’il était proche de venir. Elle le savait, car il venait de lui signaler entre quelques gémissements, c’est à cet instant que Marmelade comprenait le lien avec ce qu’il racontait avant. Cet homme était d’une grande surprise, il pensait vraiment que Marmelade allait aspirer sa force au point de succomber avec le vif à l’air.
Marmelade glissait en arrière pour extraire la verge d’Eugene de sa bouche, non sans donner un dernier coup de langue sur le haut de son gland. Un sourire habillait ses lèvres pendant qu’elle se mettait à lui grimper dessus, à l’instar d’une féline, La Crazilles avait détaché ses mains des cuisses de son partenaire pour les mettre de chaque côté de lui le temps de parcourir son ascension. Ses fesses, qui se balançaient, se posaient sur son bas-ventre, laissant le vif d’Eugene se caler entre ses fesses. Le buste en avant, elle appuyait contre celui d’Eugene pour qu’il se laisse totalement en arrière, arrêtant de s'aider de ses bras pour se tenir. Son visage au-dessus du sien, ses lèvres presque contre les siennes, ses cheveux tombaient pour les encercler créant un cocon juste pour eux.
- Détends-toi, tu ne vas pas y laisser la vie. J’ai promis de nous sortir d’ici, je ne compte pas te laisser au fond de ce trou. Tu vas ressentir une sensation qui dépasse l’imagination, pour te sentir soulagé, libéré. Peut-être qu’après tu vas sentir une légère fatigue ou au contraire un regain d’énergie. Marmelade ne savait pas exactement comment ça fonctionnait de ce côté, parfois ses partenaires finissaient par rapidement s’endormir ou certains étaient assez en forme pour remettre le couvert dans un second round.
- Il faut te laisser aller, tu n’auras pas mal. Et tu seras toujours à mes côtés après. Marmelade finissait de parler, donnant un coup de langue sur les lèvres d’Eugene pour regagner sa place initiale. Ondulant le long du corps de l’homme, elle descendait en se frottant, ses seins passant sur son vif puis ses bourses, jusqu'à ce que sa tête se retrouve entre ses cuisses.
Comme la première fois, elle repartait de la base, embrassant ses bourses le couvrant de baisers pour atteindre une nouvelle fois son gland qu’elle remettait dans sa bouche. La différence comparée à la première fois, c’est que Marmelade déposait une main sur son sexe, ses doigts l’entourant en exerçant une chaude pression dessus. Le final allait arriver, elle se mettait en route pour lui faire connaître son premier orgasme avec elle. Il pourrait l’écrire dans son bouquin, si ce n’était pas déjà fait, peut-être bien qu’il avait déjà une page qui en parlait et qu’il l’avait oublié. Mais avant de voir le futur, Marmelade devait déjà en finir. Elle s’activait avec sa main sur la base de son sexe, pendant que sa bouche allait sur le haut sans l’enfoncer totalement dans la bouche. Son sexe, qui avait eu le droit à un peu de repos lors de sa discussion, recommençait quand même vite à remuer dans sa bouche. Des tressaillements qui en disaient long sur ce qui allait arriver, Marmelade y mettait plus d’énergie jusqu’à le faire venir.
Son vif se dressait dans sa bouche, la Crazilles sentait les veines tressaillir et rapidement suivait son nectar chaud s’échapper de son gland. Des salves de foutre, qui remplissait sa cavité humide lui gonflant les joues sous la pression importante de nectar. Elle en avalait des petites gorgées quand elle le pouvait, pendant que le surplus sortait par des petites ouvertures au coin de ses lèvres. Le temps de son orgasme, elle continuait d’agiter sa main sur la base de son vif, serrant plus fort pour qu’il puisse profiter au maximum. Son nectar, qui se déversait, devenait de plus en plus rare, laissant Marmelade respirer, pendant qu’elle se retirait les joues pleines, avalant ce qu’elle avait en bouche avec quelques gouttes de foutre qui coulait le long de son menton. Entre ses cuisses Marmelade ne disait rien, attendant une réaction d’Eugene qui était encore en vie.
Des sensations qu’il semblait apprécier malgré tout, à la façon dont il ondulait son bassin d’avant en arrière laissant les lèvres charnues de Marmelade glisser sur son sexe. Elle avait toujours cette position d’équilibre en appui sur les cuisses d’Eugene, ses mains appuyant sur sa peau, ses ongles pénétrant légèrement dans sa chair de quoi lui laisser quelques marques quand elle décidera de se retirer. Au fur et à mesure que le temps passait, elle pouvait sentir de plus en plus son membre frétiller dans sa cavité humide et chaude, signe qu’il était proche de venir. Elle le savait, car il venait de lui signaler entre quelques gémissements, c’est à cet instant que Marmelade comprenait le lien avec ce qu’il racontait avant. Cet homme était d’une grande surprise, il pensait vraiment que Marmelade allait aspirer sa force au point de succomber avec le vif à l’air.
Marmelade glissait en arrière pour extraire la verge d’Eugene de sa bouche, non sans donner un dernier coup de langue sur le haut de son gland. Un sourire habillait ses lèvres pendant qu’elle se mettait à lui grimper dessus, à l’instar d’une féline, La Crazilles avait détaché ses mains des cuisses de son partenaire pour les mettre de chaque côté de lui le temps de parcourir son ascension. Ses fesses, qui se balançaient, se posaient sur son bas-ventre, laissant le vif d’Eugene se caler entre ses fesses. Le buste en avant, elle appuyait contre celui d’Eugene pour qu’il se laisse totalement en arrière, arrêtant de s'aider de ses bras pour se tenir. Son visage au-dessus du sien, ses lèvres presque contre les siennes, ses cheveux tombaient pour les encercler créant un cocon juste pour eux.
- Détends-toi, tu ne vas pas y laisser la vie. J’ai promis de nous sortir d’ici, je ne compte pas te laisser au fond de ce trou. Tu vas ressentir une sensation qui dépasse l’imagination, pour te sentir soulagé, libéré. Peut-être qu’après tu vas sentir une légère fatigue ou au contraire un regain d’énergie. Marmelade ne savait pas exactement comment ça fonctionnait de ce côté, parfois ses partenaires finissaient par rapidement s’endormir ou certains étaient assez en forme pour remettre le couvert dans un second round.
- Il faut te laisser aller, tu n’auras pas mal. Et tu seras toujours à mes côtés après. Marmelade finissait de parler, donnant un coup de langue sur les lèvres d’Eugene pour regagner sa place initiale. Ondulant le long du corps de l’homme, elle descendait en se frottant, ses seins passant sur son vif puis ses bourses, jusqu'à ce que sa tête se retrouve entre ses cuisses.
Comme la première fois, elle repartait de la base, embrassant ses bourses le couvrant de baisers pour atteindre une nouvelle fois son gland qu’elle remettait dans sa bouche. La différence comparée à la première fois, c’est que Marmelade déposait une main sur son sexe, ses doigts l’entourant en exerçant une chaude pression dessus. Le final allait arriver, elle se mettait en route pour lui faire connaître son premier orgasme avec elle. Il pourrait l’écrire dans son bouquin, si ce n’était pas déjà fait, peut-être bien qu’il avait déjà une page qui en parlait et qu’il l’avait oublié. Mais avant de voir le futur, Marmelade devait déjà en finir. Elle s’activait avec sa main sur la base de son sexe, pendant que sa bouche allait sur le haut sans l’enfoncer totalement dans la bouche. Son sexe, qui avait eu le droit à un peu de repos lors de sa discussion, recommençait quand même vite à remuer dans sa bouche. Des tressaillements qui en disaient long sur ce qui allait arriver, Marmelade y mettait plus d’énergie jusqu’à le faire venir.
Son vif se dressait dans sa bouche, la Crazilles sentait les veines tressaillir et rapidement suivait son nectar chaud s’échapper de son gland. Des salves de foutre, qui remplissait sa cavité humide lui gonflant les joues sous la pression importante de nectar. Elle en avalait des petites gorgées quand elle le pouvait, pendant que le surplus sortait par des petites ouvertures au coin de ses lèvres. Le temps de son orgasme, elle continuait d’agiter sa main sur la base de son vif, serrant plus fort pour qu’il puisse profiter au maximum. Son nectar, qui se déversait, devenait de plus en plus rare, laissant Marmelade respirer, pendant qu’elle se retirait les joues pleines, avalant ce qu’elle avait en bouche avec quelques gouttes de foutre qui coulait le long de son menton. Entre ses cuisses Marmelade ne disait rien, attendant une réaction d’Eugene qui était encore en vie.
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Le coin du chalant / Re : Ouverture des trames avec Marmelade [11/15]
« le: mardi 05 mars 2024, 16:33:08 »
Que faire sans Marmelade ?
(Les avatars proposés pour les rps peuvent être modifiés.)
(Si un avatar vous attire mais pas la trame, il est possible de l'adapter.)
-> Disponible une terranide sur le marché aux esclaves de Nexus, vous serez intéressé de l'adopter.
Open pour : un maitre ou une maitresse nous parlerons des détails en mp pour le caractère et de la relation entre les deux.
Caractère du personnage : brusque - sauvage - énergique - cinglante
Avatar.s proposé.s pour cette trame :
-> Rituel chamanique
Open pour : Vous avez une maladie, un mal-être, un problème qu'aucun médecin à réussit à soigner, vous devez vous tourner vers les forces sombres.
Caractère du personnage : folle - chaotique - surnaturelle
Avatar.s proposé.s pour cette trame :
-> Une autre espèce Crazilles
Open pour : découvrir un autre penchant plus primitive de cette rare.
Caractère du personnage : sauvage - violente - territoriale - brute
Avatar.s proposé.s pour cette trame :
-> Bordel ouvert pour le plaisir de tous.
Open pour : Une virée dans un bordel de la ville avec de nombreuses femmes prêtes à vous satisfaire.
Caractère des personnages : perverses - ouvertes - charmantes - joyeuses - accueillantes
Avatar.s proposé.s pour cette trame :
-> Soutien des cieux
Open pour : Des cieux vous allez recevoir l'aide d'une grande guerrière pour votre quête, elle sera à vos côtés tout ce temps.
Caractère du personnage : Guerrière - Vaillante - Loyale - Forte
Avatar.s proposé.s pour cette trame :
-> Gobeline trahie par son clan
Open pour : Une gobeline mise à la porte de son clan va se retrouvé confronté à son pire cauchemar les humains.
Caractère du personnage : Maligne - fourbe - forte en négociations - grande gueule
Avatar.s proposé.s pour cette trame :
-> Princesse en fuite
Open pour : Une princesse qui doit fuir son village à cause d'une guerre, aveugle, allez savoir si elle tombera sur des personnes qui veulent l'aider ou au contraire lui nuire.
Caractère du personnage : douce - naïve - forte mentalement - émotive
Avatar.s proposé.s pour cette trame :
-> Envie d'une femme de chambre ?
Open pour : Elle sera là pour aider à prendre soin de la maison et de vous avec ou non de la persuasion.
Caractère du personnage : douce - délicate - affectueuse - perverse
Avatar.s proposé.s pour cette trame :
-> Dans l'arène qui est là ?
Open pour : Elle est une démone attrapée, elle doit payer de ses crimes, après un long combat peut-être que quelqu'un va l'aider à sortir d'ici en lui demandant de lui offrir ses services.
Caractère du personnage : brutale - trompeuse - chaotique - maligne
Avatar.s proposé.s pour cette trame :
-> Mener une guerre ensemble ?
Open pour : Soldat de l'armée de Nexus, elle doit aller en guerre contre Ashnard, vous serez son supérieur ou son subordonné vous allez devoir faire équipe pour gagner la bataille et peut-être la guerre. Possible de jouer cette trame sur une autre planète.
Caractère du personnage : sévère - droite - têtue - fort répondant
Avatar.s proposé.s pour cette trame :
-> Envie de passer du bon temps avec une saltimbanque ?
Open pour : Elle sera présente pour vous divertir que vous soyez un roi, une reine, une personne avec assez d'argent pour vous offrir ses services. Il est possible de la croiser dans la rue après un spectacle.
Caractère du personnage : Joueuse - douce - sait faire le show - bienveillante
Avatar.s proposé.s pour cette trame :
-> Femme mûre
Open pour : Une femme en manque d'amour et de rencontre, une rencontre sur un site internet ou dans un speedating.
Caractère du personnage : douce - bienveillante - coeur sur la main - mélancolique
Avatar.s proposé.s pour cette trame :
-> Seule à la maison
Open pour : Une jeune fille est seule à la maison, elle va avoir la surprise d'un cambrioleur qui pensait avoir quartier libre pour faire son méfait.
Caractère du personnage : confiante - forte tête - têtue
Avatar.s proposé.s pour cette trame :
-> Magicienne à en devenir
Open pour : Une magicienne qui cherche à gagner en pouvoir demande de l'aide.
Caractère du personnage : maladroite - intelligente - déterminée - marrante - joyeuse
Avatar.s proposé.s pour cette trame :
(Les avatars proposés pour les rps peuvent être modifiés.)
(Si un avatar vous attire mais pas la trame, il est possible de l'adapter.)
-> Disponible une terranide sur le marché aux esclaves de Nexus, vous serez intéressé de l'adopter.
Open pour : un maitre ou une maitresse nous parlerons des détails en mp pour le caractère et de la relation entre les deux.
Caractère du personnage : brusque - sauvage - énergique - cinglante
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Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)
-> Rituel chamanique
Open pour : Vous avez une maladie, un mal-être, un problème qu'aucun médecin à réussit à soigner, vous devez vous tourner vers les forces sombres.
Caractère du personnage : folle - chaotique - surnaturelle
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-> Une autre espèce Crazilles
Open pour : découvrir un autre penchant plus primitive de cette rare.
Caractère du personnage : sauvage - violente - territoriale - brute
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-> Bordel ouvert pour le plaisir de tous.
Open pour : Une virée dans un bordel de la ville avec de nombreuses femmes prêtes à vous satisfaire.
Caractère des personnages : perverses - ouvertes - charmantes - joyeuses - accueillantes
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-> Soutien des cieux
Open pour : Des cieux vous allez recevoir l'aide d'une grande guerrière pour votre quête, elle sera à vos côtés tout ce temps.
Caractère du personnage : Guerrière - Vaillante - Loyale - Forte
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-> Gobeline trahie par son clan
Open pour : Une gobeline mise à la porte de son clan va se retrouvé confronté à son pire cauchemar les humains.
Caractère du personnage : Maligne - fourbe - forte en négociations - grande gueule
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-> Princesse en fuite
Open pour : Une princesse qui doit fuir son village à cause d'une guerre, aveugle, allez savoir si elle tombera sur des personnes qui veulent l'aider ou au contraire lui nuire.
Caractère du personnage : douce - naïve - forte mentalement - émotive
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-> Envie d'une femme de chambre ?
Open pour : Elle sera là pour aider à prendre soin de la maison et de vous avec ou non de la persuasion.
Caractère du personnage : douce - délicate - affectueuse - perverse
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-> Dans l'arène qui est là ?
Open pour : Elle est une démone attrapée, elle doit payer de ses crimes, après un long combat peut-être que quelqu'un va l'aider à sortir d'ici en lui demandant de lui offrir ses services.
Caractère du personnage : brutale - trompeuse - chaotique - maligne
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-> Mener une guerre ensemble ?
Open pour : Soldat de l'armée de Nexus, elle doit aller en guerre contre Ashnard, vous serez son supérieur ou son subordonné vous allez devoir faire équipe pour gagner la bataille et peut-être la guerre. Possible de jouer cette trame sur une autre planète.
Caractère du personnage : sévère - droite - têtue - fort répondant
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-> Envie de passer du bon temps avec une saltimbanque ?
Open pour : Elle sera présente pour vous divertir que vous soyez un roi, une reine, une personne avec assez d'argent pour vous offrir ses services. Il est possible de la croiser dans la rue après un spectacle.
Caractère du personnage : Joueuse - douce - sait faire le show - bienveillante
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-> Femme mûre
Open pour : Une femme en manque d'amour et de rencontre, une rencontre sur un site internet ou dans un speedating.
Caractère du personnage : douce - bienveillante - coeur sur la main - mélancolique
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-> Seule à la maison
Open pour : Une jeune fille est seule à la maison, elle va avoir la surprise d'un cambrioleur qui pensait avoir quartier libre pour faire son méfait.
Caractère du personnage : confiante - forte tête - têtue
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-> Magicienne à en devenir
Open pour : Une magicienne qui cherche à gagner en pouvoir demande de l'aide.
Caractère du personnage : maladroite - intelligente - déterminée - marrante - joyeuse
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Le coin du chalant / Re : Ouverture des trames avec Marmelade [11/15]
« le: mardi 05 mars 2024, 16:32:47 »
Que faire avec Marmelade ?
-> Vous cherchez à en savoir plus sur la race des Crazilles ?
Open pour : les scientifiques, les curieux, les chercheurs, les personnes en soif de découvertes.
La rencontre peut se faire dans la forêt des Crazilles ou en extérieur si Marmelade décide d’aller se promener.
Mise en place d’une relation de confiance avec le partenaire qui souhaite jouer cette trame. Apprendre à se découvrir petit à petit, ne pas brusquer l’histoire.
-> Vous cherchez à capturer un Crazilles ?
Open pour : les braconniers, les esclavagistes, des créatures dangereuses.
La rencontre peut se faire dans la forêt des Crazilles ou en extérieur si Marmelade décide d’aller se promener, il faut une bonne raison pour la découvrir.
Trame qui se dirige vers de la traque, de la soumission, de la domination envers Marmelade.
Limites : Tuer mon personnage, l’amputer, la séquestrer éternellement (Marmelade doit trouver un moyen de fuir à la fin du rp), lui arracher les yeux.
-> Vous sauvez Marmelade ?
Open pour : en fonction du danger des personnages capables de le repousser ou une tête brûlée qui va foncer pour la sauver sans avoir la force nécessaire.
Trame qui fait écho à celle de la capture, sauf qu'une échappée heureuse arrive. Une personne forte peut faire l’affaire ou une tête brûlée où nous allons jouer une fuite chaotique et amusante pour réussir à fuir.
-> Vous êtes un Crazilles ?
Open pour : un One-shot.
Possible d’être un ami de Marmelade, un membre de sa famille ou une personne avec qui elle n’arrive pas à s’entendre sur différents points.
-> Vous êtes en relation avec les Crazilles ?
Open pour : une personne de confiance qui connaît Marmelade depuis longtemps.
Personne rencontrée uniquement en extérieur, elle aurait fait votre connaissance lors d’une sortie, depuis à chaque fois qu’elle se rend en dehors de sa forêt, elle vient vous voir pour en apprendre plus sur le monde.
-> Vous êtes en difficulté ?
Open pour : une personne en difficulté qui serait arrivée jusqu’à la forêt où vit Marmelade.
Par miracle vous avez atterri dans la forêt des Crazilles, à bout de force, malade, blessé (à votre guise) c’est Marmelade qui va tomber la première sur vous, elle va accepter de vous aider.
-> Un portail en direction d'une autre planète.
Open pour : un être humain de la planète Terre.
Marmelade va franchir un portail pour arriver sur la planète Terre, dans un univers qu’elle ne connaît pas, elle va être très perturbée. Possibilité qu’elle se réfugie dans votre cave, qu’elle se montre agressive.
-> Je suis à votre écoute pour une trame totalement personnalisée.
-> Vous pouvez trouver dans le poste en dessous les trames proposées en One-shot.
-> Vous cherchez à en savoir plus sur la race des Crazilles ?
Open pour : les scientifiques, les curieux, les chercheurs, les personnes en soif de découvertes.
La rencontre peut se faire dans la forêt des Crazilles ou en extérieur si Marmelade décide d’aller se promener.
Mise en place d’une relation de confiance avec le partenaire qui souhaite jouer cette trame. Apprendre à se découvrir petit à petit, ne pas brusquer l’histoire.
-> Vous cherchez à capturer un Crazilles ?
Open pour : les braconniers, les esclavagistes, des créatures dangereuses.
La rencontre peut se faire dans la forêt des Crazilles ou en extérieur si Marmelade décide d’aller se promener, il faut une bonne raison pour la découvrir.
Trame qui se dirige vers de la traque, de la soumission, de la domination envers Marmelade.
Limites : Tuer mon personnage, l’amputer, la séquestrer éternellement (Marmelade doit trouver un moyen de fuir à la fin du rp), lui arracher les yeux.
-> Vous sauvez Marmelade ?
Open pour : en fonction du danger des personnages capables de le repousser ou une tête brûlée qui va foncer pour la sauver sans avoir la force nécessaire.
Trame qui fait écho à celle de la capture, sauf qu'une échappée heureuse arrive. Une personne forte peut faire l’affaire ou une tête brûlée où nous allons jouer une fuite chaotique et amusante pour réussir à fuir.
-> Vous êtes un Crazilles ?
Open pour : un One-shot.
Possible d’être un ami de Marmelade, un membre de sa famille ou une personne avec qui elle n’arrive pas à s’entendre sur différents points.
-> Vous êtes en relation avec les Crazilles ?
Open pour : une personne de confiance qui connaît Marmelade depuis longtemps.
Personne rencontrée uniquement en extérieur, elle aurait fait votre connaissance lors d’une sortie, depuis à chaque fois qu’elle se rend en dehors de sa forêt, elle vient vous voir pour en apprendre plus sur le monde.
-> Vous êtes en difficulté ?
Open pour : une personne en difficulté qui serait arrivée jusqu’à la forêt où vit Marmelade.
Par miracle vous avez atterri dans la forêt des Crazilles, à bout de force, malade, blessé (à votre guise) c’est Marmelade qui va tomber la première sur vous, elle va accepter de vous aider.
-> Un portail en direction d'une autre planète.
Open pour : un être humain de la planète Terre.
Marmelade va franchir un portail pour arriver sur la planète Terre, dans un univers qu’elle ne connaît pas, elle va être très perturbée. Possibilité qu’elle se réfugie dans votre cave, qu’elle se montre agressive.
-> Je suis à votre écoute pour une trame totalement personnalisée.
-> Vous pouvez trouver dans le poste en dessous les trames proposées en One-shot.
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Royaume Terranide / Re : Lady Marmalade [Feat. Marmelade]
« le: mardi 05 mars 2024, 14:55:16 »- Marmalade, c’est mon prénom. C’est vrai que la Crazilles aurait dû commencer par cette information quand elle s'est présentée au comptoir, même devant la première personne. Elle lui précisa qu’elle pouvait la nommer You si elle avait trop de mal avec son prénom, cependant, Marmelade allait faire des efforts, elle devait apprendre le langage des Hommes. Ça restait une attention très sympathique de la kitsune.
Après cette courte présentation, les deux femmes se mettent en route pour se retrouver dans l’intimité afin de rentrer dans le dur du sujet, l’objectif de cette annonce. Dans un calme religieux, la Crazilles la suit de prêt entre les couloirs de l’hôtel, voyant de la verdure apparaître sur les murs. On devait s’approcher du but et elle comprenait un peu plus pourquoi elle précisait sur son annonce qu’elle cherchait une personne qui appréciait la nature. En communion avec la nature, Marmelade pouvait facilement sentir que toutes ces plantes, qui l’entouraient, se sentaient bien. Même admirablement bien. L’écosystème que Yunaka avait construit était parfait, il convenait à divers types de plantes en même temps, Marmelade pouvait les entendre chanter leur bonheur laissant ses oreilles frémir de joie.
- C’est magnifique, je peux l’entendre. Laissait échapper Marmelade en prenant place sur une chaise laissant son sac à ses pieds.
Très bien accueillie comme depuis le début, elle l’invitait à se mettre à l’aise pour continuer la conversation et lui proposait un goûter. - Si cela ne te dérange pas, je veux bien boire. Elle sortait de la taverne où elle avait pris un bon repas, elle n’allait pas abuser. Marmelade aimait bien sortir de sa forêt pour en apprendre plus sur le monde et la culture culinaire en fait grandement partie, mais elle devait faire attention. La nourriture d’ici était souvent plus calorique que celle qu’elle consommait dans la forêt et prendre du poids pour une Crazilles pouvait se relever très problématique. Des déplacements moins efficaces dans sa forêt, des branches qui risquaient de se casser sous son poids, un essoufflement plus rapidement et ça face à une bête sauvage pouvait lui coûter la vie. C’est pour cette raison qu’elle ne demandait qu’une boisson.
- La Manordill ? Interrogea Marmelade en levant un sourcil, elle savait que parfois les plantes avaient différentes nominations, c’était le cas ici en écoutant les explications de Yunaka, tout semblait coller.
- Chez nous, nous l'appelons le délice des âmes. Tout semblait bien s’emboîter pour cette histoire. - Mon peuple a été très attristé de sa disparition et ces derniers jours, nous avons appris la nouvelle, quelqu’un aurait aperçu cette plante disparue. Nous avons pris la décision d’envoyer plusieurs personnes de ma tribu pour faire des recherches et en apprendre plus, c’est pour ça que je suis venue ici après avoir vu ton annonce. Tu as écrit : quelqu’un d’amoureux de la nature, ça pouvait coller à ma recherche et je ne me suis pas trompée. Souffla avec un grand sourire la Crazilles en se collant au fond de sa chaise, elle en profitait pour commencer à se mettre à l’aise. Le bout de son pied droit appuyait sur le talon de sa chaussure gauche pour l’enlever sans avoir à se servir de ses mains et inversement pour se débarrasser de l’autre. Sans chaussettes, Marmelade était directement bien nus sur le sol. Elle agitait ses orteils, contente de ne plus avoir de chaussures qui restreignaient ses mouvements.
- Avec ce que je viens de te dire, tu dois peut-être te demander de quelle tribu je suis issue. Marmelade allait prendre un peu les devants pour éviter un échange de questions qui pouvait durer.
- J’ai fait un long voyage pour venir jusqu’ici, car je suis issue de la tribu des Crazilles. En même temps qu’elle parlait, Marmelade tirait sur son pull par le col pour en extraire sa tête et les bras se retrouvant les seins à l’air… Dévoilant sa peau blanche et surtout ses nombreux tatouages d’un panel de couleur incroyable. Yunaka avait déjà pu en voir sur son visage, mais là, c’était une fresque qui se dessinait devant elle. - Nous vivons dans une forêt loin du monde, mais nous avons eu l’obligation d’apprendre à le connaître pour notre survie. Comme la Manordill, nous avons et nous sommes encore chassés par les Hommes.
Un dernier ajustement pour se sentir totalement à l’aise, enlever son pantalon, elle enlevait le bouton pour faire descendre ce tissu à ses chevilles soufflant encore une fois un long soupir de soulagement. Liberté chérie, qu’elle était bien, en dessous de pantalon se trouvait un pagne qui cachait son abricot, ne se retrouvant pas totalement nue face à Yunaka.
- Les Hommes ont décidé que nos yeux seraient une ressource rare, les estimant bien plus haut que les plus rares des pierres précieuses. Marmelade allait lui passer le détail du pourquoi, du comment. - Mais, en vivant depuis des milliers et des milliers d’années dans la forêt, nous avons développé une relation très particulière avec la nature qui nous entoure, nous pouvons la comprendre, l’écouter, savoir quand elle va bien ou non. C’est pourquoi nous avons décidé de partir à la recherche du délice des âmes, nous souhaitons en trouver pour la planter dans notre forêt pour assurer sa protection et la cultiver pour qu’elle ne disparaisse pas encore une fois entre de mauvaises mains.
Comme les Crazilles étaient déjà sur leurs gardes pour assurer leurs survies, ils n’avaient pas besoin de mettre en place un groupe pour la plante. Marmelade ne lui disait rien sur les rituels à base de Manordill, ce n’était pas de la plus grande importance. Les Crazilles n’allaient pas en abuser au point de la faire disparaître, ils étaient toujours respectueux de ce qui les entoure. Remontant ses jambes sur sa chaise pour déposer sa tête sur ses genoux, elle attendait de voir si Yunaka avait des questions à lui poser après ce flot d’informations.
Après cette courte présentation, les deux femmes se mettent en route pour se retrouver dans l’intimité afin de rentrer dans le dur du sujet, l’objectif de cette annonce. Dans un calme religieux, la Crazilles la suit de prêt entre les couloirs de l’hôtel, voyant de la verdure apparaître sur les murs. On devait s’approcher du but et elle comprenait un peu plus pourquoi elle précisait sur son annonce qu’elle cherchait une personne qui appréciait la nature. En communion avec la nature, Marmelade pouvait facilement sentir que toutes ces plantes, qui l’entouraient, se sentaient bien. Même admirablement bien. L’écosystème que Yunaka avait construit était parfait, il convenait à divers types de plantes en même temps, Marmelade pouvait les entendre chanter leur bonheur laissant ses oreilles frémir de joie.
- C’est magnifique, je peux l’entendre. Laissait échapper Marmelade en prenant place sur une chaise laissant son sac à ses pieds.
Très bien accueillie comme depuis le début, elle l’invitait à se mettre à l’aise pour continuer la conversation et lui proposait un goûter. - Si cela ne te dérange pas, je veux bien boire. Elle sortait de la taverne où elle avait pris un bon repas, elle n’allait pas abuser. Marmelade aimait bien sortir de sa forêt pour en apprendre plus sur le monde et la culture culinaire en fait grandement partie, mais elle devait faire attention. La nourriture d’ici était souvent plus calorique que celle qu’elle consommait dans la forêt et prendre du poids pour une Crazilles pouvait se relever très problématique. Des déplacements moins efficaces dans sa forêt, des branches qui risquaient de se casser sous son poids, un essoufflement plus rapidement et ça face à une bête sauvage pouvait lui coûter la vie. C’est pour cette raison qu’elle ne demandait qu’une boisson.
- La Manordill ? Interrogea Marmelade en levant un sourcil, elle savait que parfois les plantes avaient différentes nominations, c’était le cas ici en écoutant les explications de Yunaka, tout semblait coller.
- Chez nous, nous l'appelons le délice des âmes. Tout semblait bien s’emboîter pour cette histoire. - Mon peuple a été très attristé de sa disparition et ces derniers jours, nous avons appris la nouvelle, quelqu’un aurait aperçu cette plante disparue. Nous avons pris la décision d’envoyer plusieurs personnes de ma tribu pour faire des recherches et en apprendre plus, c’est pour ça que je suis venue ici après avoir vu ton annonce. Tu as écrit : quelqu’un d’amoureux de la nature, ça pouvait coller à ma recherche et je ne me suis pas trompée. Souffla avec un grand sourire la Crazilles en se collant au fond de sa chaise, elle en profitait pour commencer à se mettre à l’aise. Le bout de son pied droit appuyait sur le talon de sa chaussure gauche pour l’enlever sans avoir à se servir de ses mains et inversement pour se débarrasser de l’autre. Sans chaussettes, Marmelade était directement bien nus sur le sol. Elle agitait ses orteils, contente de ne plus avoir de chaussures qui restreignaient ses mouvements.
- Avec ce que je viens de te dire, tu dois peut-être te demander de quelle tribu je suis issue. Marmelade allait prendre un peu les devants pour éviter un échange de questions qui pouvait durer.
- J’ai fait un long voyage pour venir jusqu’ici, car je suis issue de la tribu des Crazilles. En même temps qu’elle parlait, Marmelade tirait sur son pull par le col pour en extraire sa tête et les bras se retrouvant les seins à l’air… Dévoilant sa peau blanche et surtout ses nombreux tatouages d’un panel de couleur incroyable. Yunaka avait déjà pu en voir sur son visage, mais là, c’était une fresque qui se dessinait devant elle. - Nous vivons dans une forêt loin du monde, mais nous avons eu l’obligation d’apprendre à le connaître pour notre survie. Comme la Manordill, nous avons et nous sommes encore chassés par les Hommes.
Un dernier ajustement pour se sentir totalement à l’aise, enlever son pantalon, elle enlevait le bouton pour faire descendre ce tissu à ses chevilles soufflant encore une fois un long soupir de soulagement. Liberté chérie, qu’elle était bien, en dessous de pantalon se trouvait un pagne qui cachait son abricot, ne se retrouvant pas totalement nue face à Yunaka.
- Les Hommes ont décidé que nos yeux seraient une ressource rare, les estimant bien plus haut que les plus rares des pierres précieuses. Marmelade allait lui passer le détail du pourquoi, du comment. - Mais, en vivant depuis des milliers et des milliers d’années dans la forêt, nous avons développé une relation très particulière avec la nature qui nous entoure, nous pouvons la comprendre, l’écouter, savoir quand elle va bien ou non. C’est pourquoi nous avons décidé de partir à la recherche du délice des âmes, nous souhaitons en trouver pour la planter dans notre forêt pour assurer sa protection et la cultiver pour qu’elle ne disparaisse pas encore une fois entre de mauvaises mains.
Comme les Crazilles étaient déjà sur leurs gardes pour assurer leurs survies, ils n’avaient pas besoin de mettre en place un groupe pour la plante. Marmelade ne lui disait rien sur les rituels à base de Manordill, ce n’était pas de la plus grande importance. Les Crazilles n’allaient pas en abuser au point de la faire disparaître, ils étaient toujours respectueux de ce qui les entoure. Remontant ses jambes sur sa chaise pour déposer sa tête sur ses genoux, elle attendait de voir si Yunaka avait des questions à lui poser après ce flot d’informations.
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One Shot / Re : Ne me ménage pas. - pv
« le: lundi 04 mars 2024, 15:45:47 »Dans sa voiture compacte, Thérèse se préparait à arriver chez son client, une demi-heure de route plus tard, elle était devant son domicile prenant son sac à main et les clés pour entrer elle mit peu de temps pour ouvrir la porte d’entrée et la fermer derrière elle. L’odeur était aussi toujours désagréable comme l’humeur de son client qui l’interpella de la plus douteuse des manières.
- Je suis là, comme tous les jours de la semaine pour nettoyer derrière vous, ça ne change pas. Et si vous avez oublié mon prénom Monsieur, c’est Thérèse. Si Kenji peut se montrer désagréable s’était aussi le cas de Thérèse, qui avait un caractère bien forgé.
À force de subir des critiques sur son prénom, la demoiselle avait appris à répondre avec piquant quand il était nécessaire, avec Kenji elle n’hésitait pas à le remettre à sa place quand c’était nécessaire. Ajoutons qu’il était ivre une grande partie du temps, il ne se souvenait que très rare des altercations qu’il avait avec sa femme de ménage, préférant retourner entre les cuisses de ses laiderons que de parler avec elle. Thérèse, enlevait ses chaussures pour mettre des pantoufles, entrant dans le salon pour y découvrir Kenji avachi sur un canapé, télé allumée, sans femmes, ni alcool, ruminant sur son sort.
- L’avantage, c’est que ça va vous éviter d’avoir des poils entre les dents. Thérèse qui grinçait des dents à son arrivée avec sa remarque, était bien contente de le voir ainsi dans le canapé à se lamenter.
Elle allait dans la cuisine, c’était rare qu’il soit là à cette heure, elle devait donc s’en occuper, il restait son client et c’était stipulé dans son contrat. Thérèse, ouvrait le frigo pour sortir des tranches de bacon de la veille, des morceaux d’œufs qu’elle avait aussi coupé hier, la bouteille de jus d’orange pour lui verser un verre et deux tranches de pain de mie. Elle disposait tout ça dans une assiette et un plateau avant d’aller lui apporter sur le canapé, se dévoilant à lui par la même occasion. Il ne devait pas avoir l'habitude de voir un si joli lot se présenter devant lui. Elle poussait la table basse à ses pieds en se penchant en avant pour lui montrer la profondeur de son chemisier et mettant le plateau dessus.
- J’ai de la chance que Monsieur ne regardait pas une de ses sextapes, j’en aurai fait des cauchemars toute la nuit. Maintenant, vous allez manger un peu et arrêtez de pleurer dans votre canapé. Thèrese en profitait pour lui prendre la télécommande de la main, il n’avait pas l’air de s’en servir, d’une manipulation rapide, elle changeait de chaîne pour mettre une chaîne musicale avec des groupes de k-pop.
C’est bien que personne ne soi à votre domicile aujourd’hui, je vais pouvoir aérer et peut-être faire partir cette odeur de fennec qui plane dans l’air depuis que je travaille ici. Par odeur de fennec, elle parlait de relent de sexe, d’alcool et d’autres senteurs peu agréables.
Pour accompagner le geste à la parole, elle se tournait pour aller vers la fenêtre à côté de la télévision pour l’ouvrir en grand, elle en profitait pour se pencher pour mettre le museau dehors afin de respirer l’air frais de la matinée. Ce geste n’était pas innocent, le dos cambré en avant, ses fesses étaient bien tendues sur l’arrière avec sa jupe courte, son postérieur nu qu’elle trémoussait avec joie devait apparaître sous le nez de son client.
- Une si belle journée et je suis coincée ici pour jouer les nounous avec Monsieur en pleine crise existentielle.
- Je suis là, comme tous les jours de la semaine pour nettoyer derrière vous, ça ne change pas. Et si vous avez oublié mon prénom Monsieur, c’est Thérèse. Si Kenji peut se montrer désagréable s’était aussi le cas de Thérèse, qui avait un caractère bien forgé.
À force de subir des critiques sur son prénom, la demoiselle avait appris à répondre avec piquant quand il était nécessaire, avec Kenji elle n’hésitait pas à le remettre à sa place quand c’était nécessaire. Ajoutons qu’il était ivre une grande partie du temps, il ne se souvenait que très rare des altercations qu’il avait avec sa femme de ménage, préférant retourner entre les cuisses de ses laiderons que de parler avec elle. Thérèse, enlevait ses chaussures pour mettre des pantoufles, entrant dans le salon pour y découvrir Kenji avachi sur un canapé, télé allumée, sans femmes, ni alcool, ruminant sur son sort.
- L’avantage, c’est que ça va vous éviter d’avoir des poils entre les dents. Thérèse qui grinçait des dents à son arrivée avec sa remarque, était bien contente de le voir ainsi dans le canapé à se lamenter.
Elle allait dans la cuisine, c’était rare qu’il soit là à cette heure, elle devait donc s’en occuper, il restait son client et c’était stipulé dans son contrat. Thérèse, ouvrait le frigo pour sortir des tranches de bacon de la veille, des morceaux d’œufs qu’elle avait aussi coupé hier, la bouteille de jus d’orange pour lui verser un verre et deux tranches de pain de mie. Elle disposait tout ça dans une assiette et un plateau avant d’aller lui apporter sur le canapé, se dévoilant à lui par la même occasion. Il ne devait pas avoir l'habitude de voir un si joli lot se présenter devant lui. Elle poussait la table basse à ses pieds en se penchant en avant pour lui montrer la profondeur de son chemisier et mettant le plateau dessus.
- J’ai de la chance que Monsieur ne regardait pas une de ses sextapes, j’en aurai fait des cauchemars toute la nuit. Maintenant, vous allez manger un peu et arrêtez de pleurer dans votre canapé. Thèrese en profitait pour lui prendre la télécommande de la main, il n’avait pas l’air de s’en servir, d’une manipulation rapide, elle changeait de chaîne pour mettre une chaîne musicale avec des groupes de k-pop.
C’est bien que personne ne soi à votre domicile aujourd’hui, je vais pouvoir aérer et peut-être faire partir cette odeur de fennec qui plane dans l’air depuis que je travaille ici. Par odeur de fennec, elle parlait de relent de sexe, d’alcool et d’autres senteurs peu agréables.
Pour accompagner le geste à la parole, elle se tournait pour aller vers la fenêtre à côté de la télévision pour l’ouvrir en grand, elle en profitait pour se pencher pour mettre le museau dehors afin de respirer l’air frais de la matinée. Ce geste n’était pas innocent, le dos cambré en avant, ses fesses étaient bien tendues sur l’arrière avec sa jupe courte, son postérieur nu qu’elle trémoussait avec joie devait apparaître sous le nez de son client.
- Une si belle journée et je suis coincée ici pour jouer les nounous avec Monsieur en pleine crise existentielle.