Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Messages récents

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Messages récents

Pages: [1] 2 3 ... 10
1
Ville-Etat de Nexus / Re : Le dieu sauvage et ces bourses pleines (PV->Neel)
« Dernier message par Kana le Aujourd'hui à 17:11:15 »
Je souris à sa vanne, comme tous les mâles j’ai envie de dire mais je garde ma bouche fermer. Je me remonte rapidement sur lui et l’embrasse tout en pressant mes seins contre son tors, les mâles aiment ça, et rapidement il vient les empoigner pour confirmer ce que je pensais. Je lui demande alors s’il a encore envie, et sa réponse ne se fit pas attendre, un gros “oui” se fit entendre. Je me couche alors sur le dos et l’invite me prendre comme il l’entendait, et il ne se fit pas prier, mais pas dans cette position.

Il claqua des mains et me retourna pour me mettre à quatre pattes, il se mis derrière moi et je peux sentir ces queues se mettre en place. Cela me faisait plaisir qu’il prenne une initiative, jusqu’à présent il avait TOUT fait pour me satisfaire moi, mais sans grand intervention personnelle. Hor j’aimais bien qu’un homme prenne soin de sa femelle, mais qu’il impose ce qu’il veut aussi. Je sentis rapidement le début de ces pénis entre en moi, mais sans défoncer les entrées, il n’y allait pas comme un barbare au moins.

Je gémis doucement à ces allée et sortie en moi, aimant particulièrement les picots qui forte mes paroi interne. Il me dit alors en m’agrippent par les épaules, qu’il me donnerait autant de sperme que mon imagination le veut, ce qui le faisais retourner dans ces mauvais travers...

- J’en veux autant que ce que tu en donner naturellement, sans interférence de ma part...

Je pense avoir été claire sur mes intentions et joins même le geste à la parole en imaginant le dieu et ces pénis me prendre comme IL le veut vraiment sans interférence de ma part. Il me prend alors par les seins, facilement trouvable grâce à la lubrification mise plus tôt, et tire sur mes tétons avant de rentre la totalité de ces pénis dans mes deux trous. Personnellement je m’agrippe aux rebords de mon lit et le laisse faire son travail de mâle alpha.

-Oh ouai... mon mâle a moi...

Je passe une main sur mon ventre pour confirmer ce que je pensais, il n’avait pas un pénis de cheval, mais je sentais quand même son pénis en moi, surtout les picots qui déclenche des gémissements incontrôlés à chaque aller et retour...
2






Elle aime tellement se faire baiser la bouche comme ça qu’elle pourrait le faire toute la journée avec autant d’hommes qu’il le faut. Et apparemment c’est nouveaux Maîtres avaient l’air d’être friands de ce genre de choses. Elle allait pouvoir s’en donner à cœur joie pour extérioriser ce côté nymphomane. Alors qu’elle était en train de subir les coûts de bassin dans sa gorge, il vient se libérer à nouveau pour venir lui faire boire ce qui allait être sa boisson favorite sans nul doute. Elle vient aspirer le sperme comme elle pouvait pour boire en plusieurs gorgées de tout, malgré la position qu’elle pouvait avoir pour finalement sentir sa grosse, bite sortir de sa bouche dans un bruit de ventouse, elle garde ses lèvres ouvertes pour respirer fortement en gardant la langue en dehors pour bien lui montrer qu’elle avait tout avalé

Haaaaa… c’était terriblement bon un goût parfaitement exquis pour ma bouche de salope

Tenshi alors lui laisser le loisir de reposer sa queue contre sa joue pour s’frotter et venir lui souiller le visage. Heureusement que son maquillage pouvait tenir. L’humidité est rester en place. Au bout d’un moment, elle se redresse pour se et reviens se mettre en position assis sur l’une des caisses., elle attrape la cravate du manager pour le tirer contre elle, afin qu’il puisse garder sa grosse queue contre sa chatte, complètement trempée et pleine de sperme et de mouille

Je suis tellement heureuse que vous puissiez valider mes aptitudes à vous satisfaire. J’espère que les autres seront du même avis que vous.…haaaan tellement comment est-ce que vous pouvez me baiser et surtout que l’endroit quel qu’il soit ne vous fait pas peur.

Tenshi Se mordit et se lèche la lèvre avant de se redresser pour venir l’embrasser en jouant avec sa langue de manière vulgaire et continue de faire frotter ses gros seins contre lui alors qu’elle garde ses cuisses bien ouverte pour lui montrer l’œuvre parfaite du manager sur son corps
3
One Shot / Re : Re : Re : Prince & Princesse. [ft. Tenshi]
« Dernier message par Tenshi Kazama le Aujourd'hui à 15:53:55 »






Tenshi avait elle aussi eu son orgasme en même tant que lui, elle était terriblement en colère intérieurement d’avoir pu offrir ça à un traître au lieu qu’à son futur mari mais ce n’était pas à lui qu’elle était en train d’en vouloir, mais plutôt à elle car elle venait de prendre un plaisir monumental à se faire baiser de la sorte. Alors qu’elle reste sur lui pour le laisser se vider complètement dans sa chatte il a clairement l’intention de la garder, rien que pour lui et cela à vie. Elle savait très bien qu’elle devait encore essayer de tenir Bon pour ne pas laisser sa volonté. Partir en éclat mais là toute seule il n’y avait personne pour l’aider à faire face à cet homme, bien plus puissant.

Haaaan… je n’essaye pas de cacher mon jeu…haaaaan

Elle devait se résigne toutes les paroles qu’il était en train de lui offrir n’étaient que pure vérité, la vie de noble, ce n’était pas pour elle à la base, mais elle n’avait pas vraiment le choix alors que maintenant elle ne l’avait toujours pas mais elle n’était pas tenue de tout le cinéma, qu’il fallait faire pour rester dans les bonnes Graces de sa belle-famille. Elle se laisse alors manipuler comme une poupée pour revenir à genoux et poser mains par terre pour se cambrer et mettre sa grosse poitrine. En avant, elle pouvait bien sentir le sperme qui coule sur le sol du palais, tout en regardant la grosse bite qui continue de venir la faire, languir Intérieurement. Son regard était autoritaire, et il parlait pour lui, sans avoir besoin de mots pour exprimer son désir actuel

Vous ne pouvez pas comprendre que ce résigner, ce n’est pas facile…

Elle se mordit la lèvre avant de revenir à quatre pattes entre ses cuisses pour por sa tête, faire la grosse bite. Tenshi laisse sa langue revenir contact de sa grosse queue pour la lécher surtout la longueur ne pouvant s’empêcher de gémir. Elle vient de de plus en plus se coller contre le corps de son nouveau propriétaire ouvrant bien la bouche pour venir sucer le gland en faisant bouger sa langue dessus, comment est-ce qu’elle pouvait encore lui dire non, alors qu’elle était en train de revenir le sucer sans y être vraiment forcée
4
Le temps n’est pas clément aujourd’hui. Il pleut et moi, je traîne dans les rues. J’ai faim, j’ai froid. Je suis mouillée, plus humide que la culotte d’une ado à un concert de Justin Bieber. J’ai envie de dormir, de manger, de prendre un bain. Mais je n’ai pas assez de tune. Je me suis faite virer de la chambre que j’occupais depuis mon arrivée à Washington et les clients, lorsqu’il fait un temps aussi mauvais, ne sont pas nombreux dans les rues. Depuis que j’ai dû fuir les putes de la grand rue, terminant ma soirée dans l’eau glacée du port, ma rencontre avec une étrange créature, je vais de malheur en malheur. Oh. Non. Je ne dirai pas que c’est à cause de la rouquine qui m’a sauvé la vie, mais bien à cause des trois harpies qui, si elles m’étaient tombées dessus, auraient probablement pris plaisir à me torturer ou m’offrir en pâture à leur «Johnny»…

Mes derniers billets sont coincé dans mon soutif et le peu d’affaire que je possède, dans un casier de la gare. Je n’aime pas faire ça, mais ais-je le choix ? Sans toit ? J’ai déjà perdu assez d’argent et de temps, je n’aimerais pas risquer de perdre mes maigres possessions.

Les rues désertes s’enchaînent, mes talons claquent sur les trottoirs et les rares personnes que je croise sont des couples ou des personnes pressées de se mettre à l’abri. Je suis nouvelle dans le coin, alors je ne sais pas quel bar accepte les racoleuses. Si ça continue, je vais réussir à tomber malade, ce qui serait la simple suite logique de mes maux.

«Hey...Luxury c’est ça ?»

Je m’arrête. Qui connaît mon prénom ici ? Je doit peut-être me méfier, après tout, on ne sait jamais, avec la chance que j’ai en ce moment…

«Tu te rappelles de moi ? Ça alors...je ne pensais pas te revoir ! Et encore moins ici !»

Cette voix me dit quelque chose. J’ose enfin me tourner et me retrouve face à une jeune femme rousse, aux tâches de rousseurs nombreuses sur son nez retroussé. Charmine...Charlène ? Quelque chose comme ça je crois.

«C’est moi ! Charlyn !!!»
«Oh mais oui ! Qu’est-ce que tu fais là ??»
«La même chose que toi j’imagine ?»

Et nous rions, là, sur ce morceau de trottoir, la pluie nous trempant, mais nous en avons l’habitude. Charlyn est une jeune fille que j’ai rencontré en Pennsylvanie et qui m’avait dit qu’elle allait essayer de rejoindre Washington et que je devrais faire comme elle. Son teint pâle éclairé par les lampadaires en cette nuit chaude malgré le temps, semble à peine plus creusé que lors de notre première rencontre. La faim n’épargne personne après tout.

«Viens, je te paie un café ! J’ai un petit coin où je traîne, qui nous mettra à l’abri. Et tu me raconteras comment tu es arrivée ici !»

Pleine d’énergie malgré sa minceur de brindille, elle m’attrape le bras et m’attire en direction du parc. Je la suis tout en l’écoutant me raconter ses aventures depuis qu’elle est arrivée. Le bus, le type du bus qui, pendant quelques temps, l’a entretenue avant de la virer, du jour au lendemain.

«Sa femme est rentrée de voyage...tu vois le genre ? La scène que ça a fait !!! Je suis sûre que t’aurais ris. Jure.»

Charlyn. Cela me fait un bien fou de la voir là. De la compagnie dans la grisaille. Un petit Soleil au milieu de la nuit. Nous marchons, les vêtements collés par la pluie. Au parc, elle me fait passer par dessus la grille, m’entraîne dans un coin protégé par les arbres. Au coeur de cette petite «jungle» il y a une tente planquée dans la végétation. On voit que c’est aménagé pour une personne seule et que ce n’est pas si récent que ça.

«Oh. Ce n’est pas le palace, mais c’est mieux que rien. Et puis personne ne vient me faire chier ici. Le gardien...je lui fais des trucs, il me laisse tranquille. C’est un compromis plutôt bien je trouve. Y a pire. Il est pas moche alors...fin...»

Elle se tait, rosit, comme si j’allais la juger. Entre pute, on ne se juge pas. On pénètre dans la tente et elle me fait m’asseoir sur un sac de couchage ouvert, pendant qu’elle sort une bouteille d’un sac. Elle a l’air bien. Même si elle a l’air d’avoir faim.

«Raconte !»

Je lui dis tout. Mon arrivée ici, l’hôtel que je peux payer avec l’argent que j’avais mis de côté, les clients qui sont plus nombreux qu’en Pennsylvanie «Ce n’est pas difficile, la ville où on était c’était un truc de catho’» Son rire est rafraîchissant. L’alcool nous réchauffe. Je continue mon récit, entrecoupé de ses petites commentaires. Les trois prostituées, l’altercation...mais je ne sais pas. Je ne me vois pas lui raconter la sirène et tout le reste. Elle va me prendre pour une folle. Alors j’élude ça et termine sur la manière dont j’ai été mise dehors de l’hôtel.

«Merde alors ! Ma pauvre...c’est vrai que ici, il y a des secteurs qui appartiennent à certaines personnes et tu dois pas y foutre les pieds. Enfin. Moi ça ne m’empêche pas. Il faut juste savoir repérer les putes avant qu’elle ne te repère toi. Tu vois ?»
«C’est pour ça que tu es habillée comme une étudiante ?»
«Hahahaha...Oui. Je fais genre comme ça, si une pute ou un mac me voit sur son territoire, je ressemble à une jeune fille correcte plutôt qu’une prostituée en recherche de client.»
«C’est pas idiot...»

Nous passons une partie de la soirée à boire, puis elle s’excuse, elle a rendez-vous avec un client. Elle doit passer la nuit avec, elle ne sera de retour que demain. «Tu peux passer la nuit là si tu veux. Enfin...» Le gardien risque de prendre la mouche si il voit quelqu’un d’autre qu’elle-même.

«Oh ne t’en fais pas Charlyn. Cela m’a fait déjà plaisir de te voir. Je vais me débrouiller...ne t’en fais pas pour moi.»
«Il y a des squattes dans le coin si jamais...ou alors...tu peux peut-être aller plus au nord du parc, le gardien n’y va pas vraiment. C’est une zone en friche. La ville n’a pas encore décidé quoi y faire et attend des fonds. Il y a une vieille cabane en bois. J’aurais pu y aller, mais le gardien m’a dit que c’était un coin hanté...et j’ai toujours eu peur des fantômes tu sais bien...»

Je la remercie et accepte le second sac de couchage qu’elle possède et me propose gentiment. Nous échangeons nos numéros de téléphone et je la laisse aller à son rendez-vous. Je la regarde repasser par-dessus la grilles avec souplesse, habituée qu’elle est, avant de diriger mes pas vers la zone «hantée» soi-disant, du parc.

Il pleut moins, la Lune est plus haut dans la ciel. Si pleine qu’elle éclaire le chemin de caillou, comme si la voie m’était tracée. Le sac de couchage roulé sous le bras, j’arrive rapidement à un coin de forêt si dense qu’il me faut un moment avant de trouver une brèche pour entrer dans la végétation. Je suis obligée d’utiliser mon téléphone pour éclairer l’endroit. Les arbres ont le feuillage si épais, que la pluie ne m’atteint plus, avantage. Inconvénient ? La Lune semble disparue, tout comme le ciel et les étoiles. Malgré le silence presque pesant des lieux, je n’ai pas peur. Ce n’est pas comme si j’étais dans la jungle après tout !

Je peine à me frayer un passage, pense abandonner et me crois perdue, quand mon téléphone éclair un morceau de bois par terre. Une sorte de planche, suivie d’une autre. Un petit chemin sur le sol. Je décide de suivre la voie, jusqu’à ce que un reflet brillant me fasse éteindre vivement mon téléphone, l’oreille aux aguets. Comme je n’entends rien et que la lueur qui m’a fait sursauté à disparu aussitôt que j’ai éteint mon portable, je rallume lentement et balaie devant moi du faisceau de lumière. Ce qui m’a fait peur, c’est une vitre. Je pense que j’ai trouvé le fameux «cabanon». J’avance, mes pas plus assurés maintenant que mes talons ne s’enfoncent plus dans la terre meuble de la petite forêt.

Une petite porte, comme dans les contes, quelques rondins. Beaucoup de mousse et lorsque je pousse en tournant la poignée, ça résiste. Je donne deux, trois petits coups d’épaules, mon téléphone toujours en mode lampe de poche, coincé sous mon bras. La porte cède et je m’étale dans le cabanon, soulevant un nuage de poussière qui me fait tousser. Visiblement, c’est abandonné depuis longtemps, mais étonnamment, ça ne sent pas trop le moisi. Ça sent la forêt, cette odeur qu’ont les bois en automne, après un orage. Visiblement, la densité de la végétation protège l’endroit des altérations dues à l’humidité. J’éclaire autour de moi. C’est vétuste. Une simple pièce carrée, une petite table faite d’un tronc coupé, deux chaises dont une à qui il manque un pied. Il y a quelques objets qui datent d’une autre époque, un carton rempli de journaux. Les fenêtres sont pleines de toile d’araignée, mais il n’y en a pas. Comme s’il n’y avait pas assez à mangé pour que les occupantes soient restées. Ou alors elles sont planquées. L’un comme l’autre, ça ne me rassure pas beaucoup, mais au moins, je suis à l’abri et il y fait bon.

Je fouille dans mon sac à main et en sort un briquet, allume deux bougies disposées sur une planche clouée au mur. Je décide ainsi d’économiser la batterie de mon téléphone. J’ai besoin de pisser. Je ressorts de là, met un coup de pied dans quelque chose qui fait un bruit incongru dans cet endroit désert. Mon coeur manque un battement, mais lorsque je tends l’oreille, pas l’ombre d’un mouvement, rien. Rassurée, je ramasse ce qui s’avère être une vieille lampe, comme j’en ai déjà vu dans les vieux films, dont mes parents étaient si friands. Avec une des bougies, j’allume la lampe en priant pour qu’il y ai encore assez d’huile dedans et...par chance, pour une fois depuis longtemps quelques jours, elle ne tarde pas à s’éclairer.

Ce n’est pas l’endroit le plus cosy que j’aie connu, mais à côté de certaines chambres de motels, je me dis que c’est un palace. Je sors et décide d’aller uriner plus loin, prenant garde à ne pas trop m’éloigner pour ne pas risquer de me perdre. Ce serait idiot, d’autant que j’ai laissé mes affaires dans la cabane.

Il y a peau d’air, pas de bruit à part mes pas sur les planches qui servent de terrasse autour de la petite maison. Je retire mes souliers, pour ne pas m’enfoncer dans la terre en allant uriner et m’enfonce légèrement dans la nuit. Je m’accroupis après avoir baissé ma culotte, vidant ma vessie avec félicité. J’écrirai à Charlyn pour la remercier, je ne me voyais pas passer la nuit dans un squatte ou sous un pont, entre les clochards et les toxicomanes. C’est alors que le jet se tari entre mes cuisses, qu’une plainte se fait entendre. Est-ce que le bois est vraiment hanté ??
5
One Shot / Re : Première leçon [Pv]
« Dernier message par Draven Dairn le Aujourd'hui à 13:45:43 »
L’étudiante semblait particulièrement dissipée, elle avait clairement ‘esprit ailleurs… je ne l’aidais sans doute pas, ceci dit, en lui ayant parlé de Manchester, mais bon, au moins, maintenant, j’étais sûr de moi. Trop gros faisceau d’indices, maintenant pour ne pas être sûr de moi. Je lui fis un sourire, et je me contentais de presser un peu plus mes doigts sur son épaule, prouvant que j’essayais de la ramener au présent.

« Oui, bien sûr, ton esprit était à Manchester… »

Je me moquais, et je lançais mes filets. Restait à voir si elle allait être capable de rester aussi distante du sujet maintenant que j’avais dit ça. Oui, je jouais un peu à pousser les choses de plus en plus loin. Deux mois, deux fois par semaine, autant mettre à l’aise en montrant la réalité des choses... enfin bon, je jouais un peu le chaud et le froid. Parce que c’était bien plus drôle ainsi, non ?

« Il va falloir te concentrer toutefois, jeune femme, sinon, perdre sera clairement dans ton vocabulaire. Et certaines universités forcent un taux de réussite pour avoir le droit de participer aux compétitions sportives, donc si tu n’s pas assez bonne, tu devras renoncer à jouer les majorettes, peut-être. Sans compter que de mon côté, je ne vais pas juste te faire des leçons et espérer que ça passe, je m’assurerai de ton niveau de manière systématique aussi, avec ce petit jeu de carte. »

Voilà de quoi la rassurer un peu sur le fonctionnement.

« C’est bien de repenser à là d’où l’on vient mais il faut savoir aussi se focaliser sur le présent., d’accord ? »

Je lui tapotais doucement le dos, avant de retirer ma main elle avait été tremblante tout du long, preuve du malaise d’avoir quelqu’un qui avait la main sur elle. Mais elle n’avait rien rejeté. Donc je la reposais négligemment.

« Peut être devrait-on prendre quelque chose, comme des boissons chaudes, le temps que tu te recentres un peu, qu’est-ce que tu en dis ? Tu semble avoir besoin de te reprendre un peu, tu trembles comme une feuille. »

Et comme ça j’aurai le temps de trouver dans mon téléphone.
6
Centre-ville de Seikusu / Re : La mélodie déchainée de la passion [Pv.]
« Dernier message par Lilly le Aujourd'hui à 11:36:15 »
Avec les groupes à succès, il y avait toujours une part d'exubérance et de confiance frôlant les limites du correct. Quand des hordes de fans et des foules entières scandaient votre nom, il était normal de se laisser un peu entrainer dans une autosatisfaction justifiée. C'était encore plus vrai quand les artistes en question avaient pour eux le succès, la véritable passion de la musique et une connexion très particulière avec les gens comme l'avait Astral Bonds. Et en plus, et personne ne s'en plaignait, ils étaient beaux comme des dieux avec chacun leur différence et leur particularité. Si l'un développait un corps musculeux et impressionnant, l'autre affichait une stature tonique et déliée. L'ombre s'opposait à la lumière et la malice à la sincérité. Le tout formait une harmonie qui se voyait aussi bien sur scène, mais encore plus maintenant que Lilly les approchait de si près.

Le concert avait été historique et resterait longtemps dans les annales de la musique. La représentation avait été parfaite, explosive, transcendante, et les médias invités ne manqueraient pas de tarir d'éloges dans les prochaines publications.

Des monstres de scènes pareils, Lilly en avait déjà côtoyé à Vegas; des noms qui contribuaient à la légende du rock et dont les dérives plongeaient dans des barils de coke et des citernes de whisky. Plus d'une main baladeuse s'était glissée sur ses fesses ou ailleurs mais elle avait toujours su s'en sortir d'une pirouette. Elle n'était pas une groupie, ni une fille facile, et encore moins une pute. Elle, elle servait au bar ou là où on avait besoin d'elle. Elle ne s'était laissé entrainer qu'une fois par une superstar, parce qu'il était divinement beau et agréable, pas bourré ni shooté, et elle avait passé avec lui une nuit déchainée. Mais elle seule savait de qui il s'agissait et elle n'en avait parlé à personne, lui non plus d'ailleurs. Ensuite, elle n'était pas non plus une nonne, ni une sainte, et elle savait reconnaitre et apprécier les belles choses.

Yõkai plaisait aux femmes. Le mystère l'entourait et il occupait bien des fantasmes dans l'imaginaire féminin. Lilly sourit quand il passa son bras sur ses épaules. Charmeur! Ils allaient jouer, elle le savait. Elle aussi savait qu'elle attirait les hommes, c'était un peu son fond de commerce. Qui en effet voudrait d'une barmaid de cent kilos et aussi austère qu'une porte de prison?  Lilly répondit donc en lui donnant un petit coup de fesses en se déhanchant. La lumière jouait avec les ombres et elle ne l'avait pas vu se déplacer.

"Qui ne vous trouverait pas bien beaux, beau gosse?"

Gentaro aussi s'était levé, le mâle sombre à l'aura irrésistible. L'américaine se trouvait dans une position qui aurait fait crever de jalousie n'importe quelle fan. La proximité était réduite et ils se frôlaient électriquement. Elle émit un petit rire taquin.

"Irrésistible? Déjà? Je pourrais donc être l'objet de votre prochaine chanson. La muse sexy qui a bouleversé le cœur de ces beaux musiciens ... Super thème!"

La table basse laquée était garnie de bouteilles d'alcool, de jus et de récipients pleins de trucs exotiques, rien d'autre. Il allait falloir faire avec. Lilly s'extirpa du premier piège pour foncer dans un autre et s'assit entre Roy l'idole et l'énorme Han qui aurait pu la soulever avec un doigt. Elle se fit une place en balançant des hanches et se pencha pour examiner les alcools.

"Hum ... On va éviter le sucre, la nuit va être longue et vous devez tenir. On ne va pas augmenter les taux d'alcools mais ... on ne va pas faire dans la dentelle non plus."

La patronne des shakers, c'était elle, et elle claqua quatre cocktails à faire claquer un dragon mais super bien proportionnés en goûts et en force.

Les regards pesaient sur elle. Vue de profil, son ventre plat et sa poitrine généreuse lui donnait une silhouette d'héroïne de manga.

"Les garçons ... Ça brûle. Je vais fondre si vous me matez comme ça ..."

7
One Shot / Re : Première leçon [Pv]
« Dernier message par Priscilla Nichols le Aujourd'hui à 11:17:58 »
Priscilla était un peu confuse par le tutoiement soudain de son professeur quand il avait commencé à le faire mais n'y réfléchit pas trop longuement en pensant que c'était normal pour un tuteur de tutoyer son élève. Elle ne le prit pas comme une invitation pour faire de même, étant consciente que ce serait irrespectueux envers lui. Aussi, la jeune femme commençait à se détendre de nouveau, supposant que le sujet de Manchester n'allait pas revenir pour le moment. Les mots de Tachibana-sensei étaient durs mais cela ne faisait qu'encourager Priscilla à faire de son mieux, et elle ne prévoyait pas de le décevoir sur ce point. Elle semblait bien motivée et inspirée à se donner à fond pour réussir. Un grand frisson la parcouru, la figeant pendant quelques secondes. Priscilla porta ses yeux sur la cause de son inconfort, un contact physique sur son épaule. Elle tremblait légèrement, mais continuait à sourire comme si de rien n'était.

« Bien sûr ! Perdre ne fait pas parti de mon vocabulaire ! » dit-elle d'un ton assuré bien qu'une certaine gêne était visible sur son visage.

Certaines mémoires commençait à envahir les pensées de Priscilla. Cette habitude que le couple avait pour la tourmenter, lui demander des faveurs, cette poigne sur son épaule suivit d'un chuchotement, ses ordres qu'elle ne pouvait refuser sous peine d'avoir toutes ses photos et vidéos envoyées à tous les élèves, sa réputation et son future complètement anéantis par un simple pressage de bouton. La pauvre avait vite compris qu'obéir au couple était sans doute la façon la plus facile de les divertir et de ne pas attirer des demandes trop obscènes de leur part.

Priscilla revint à ses esprits après un long moment de non réponse. Elle remarqua sa situation qui aurait pu inquiéter son tuteur et se justifia.

« Ah, désolée j'ai eu un petit moment d'absence, je dois être fatiguée à cause de cet après-midi » dit elle avec un petit rire nerveux.

La jeune femme mentait bien évidemment mais elle ne pensait pas que Tachibana-sensei allait le remarquer. Son excuse était au moins plausible.
8
One Shot / Re : Loup y es tu? [PV Tenshi]
« Dernier message par Ahro le Aujourd'hui à 10:37:57 »
Une tanière se trouvait sur leur passage après avoir marché tant de temps. Il était certain qu’aucun marchand ne s’aventurerait aussi loin d’un village humain, même si la marchandise pouvait avoir autant de valeur. Ahro avait continué à exciter la jeune Kitsune tout le long du trajet, ayant, en secret, espérer qu’elle craque un peu pour remplir son rôle de male envers elle. Mais elle semblait tenir bon, ayant l’envie de faire ça dans un cadre plus spécial peut-être. Quoi qu’il en soit, les premières gouttes de pluies commençaient à tomber. Ahro avait l’habitude de se faire mouillé par elle. Mais la renarde semblait être plus gênée par celle-ci.

-Ca ne semble pas occupé … Mais si quelqu’un d’autre venait à arriver, je le chasserai d’ici !

Une demeure temporaire restait une demeure. Elle avait trouvé quelques bois pour allumer un feu. L’allumer n’était pas si compliqué pour Ahro. Il avait l’habitude. Cependant, il pouvait observer la renarde se mettre à l’aise, usant encore de son kimono comme couverture pour le sol. Elle allait le salir à force, ce serait dommage. Elle se touchait elle-même, démontrant ses courbes à Ahro, cette belle poitrine qu’elle mettait en valeur en s’allongeant. Avait-elle envie qu’il lui saute dessus ? Ce serait encore plus excitant si elle le lui demandait, il devait bien l’avouer … Le feu ajoutait une petite dose agréable de sensualité, colorant la tanière de son éclat tout en laissant une petite odeur de bois brulé qui était la bienvenue. Le bois utilisé devait dégager ce parfum.

-Oui … Le temps que la pluie s’arrete ! A moins que la zone te plaise ?

Il s’approche d’elle alors, observant ce corps … Il vient lécher ce ventre plat, laissant sa langue remonter sur sa peau en passant par cette poitrine qu’il prend en bouche … avant de continuer son chemin vers son cou, sur lequel il laisse un délicieux suçon et il lui lèche les lèvres…

-Aurais tu, par hasard, l’envie de te reproduire ? La maintenant ?

Il lui tire alors la langue, essayant de le lui faire dire elle-même.
9
One Shot / Re : Première leçon [Pv]
« Dernier message par Draven Dairn le Aujourd'hui à 08:16:53 »
« Oh, je vois, bon, l’avantage c’est que le marketing utilise beaucoup de termes anglais, ça devrait aider pour l’apprentissage. »

Je lui souris, maintenant ‘avais compris, j’avais retrouvé, allais-je lui en parler ? c’était en balance, clairement. Je ne savais oas encore, mais ça allait se décider par la suite. En tout cas, le jeu de carte obtint un résultat pire que moyen, clairement. Je lui fis un sourire et je l’encourageais à continuer. Les réponses étaient hésitantes, longues à venir souvent, mais je voyais qu’elle appréciait ce genre de petits défis, une compétitrice dans l’âme, à n’en pas douter. Pourtant, elle était régulièrement à côté de ses pompes, un peu perturbée, par moment,, comme si elle se demandait si je savais. Et cela, c’était effacé à chaque victoire qui la faisait presque crier d’une voix assez aigue. Elle s’en excusa même.

« Ce n’est pas grave, cela montre ton implication. »

Le tutoiement était venu naturellement, sans doute parce que maintenant je savais, j’avais remis les informations en ordre et du coup, je savais pourquoi elle était ici. Et pour cette raison, je me voyais mal continuer à la vouvoyer.

« Mais ça reste loin d’être brillant… surtout que c’est un test pour collégien… il va falloir travailler dur, j’espère que tu en as bien conscience ? Et je serai intransigeant avec toi. Puisque tu es compétitrice, tu comprends parfaitement le concept que l’échec n’est pas tolérable, n’est-ce pas ? »

Je posais la main sur son épaule, un peu paternaliste, bien sûr, si elle essayait de se dérober, je ne forçais pas le contact.

« Est-ce que je peux compter sur toi pour tout donner en vue de ta réussite ? »

La question était simple, et elle convenait sans doute à une sportive compétitrice comme elle.
Bon, il fallait que je réfléchisse comment aborder Manchester…peut être que… j’avais peut-être une ou deux photos au fond de mon téléphone…

« De toute façon, tu n’as pas vraiment le choix si tu veux éviter de foirer tes études… »
10
Le coin du chalant / Re : Tu seras bienvenue chez moi !
« Dernier message par Sören le jeudi 16 mai 2024, 21:42:07 »
Je Up pour 1 RP, si ça intéresse quelqu'un !
Pages: [1] 2 3 ... 10