Klaus était assied comme il le pouvait, à genoux dans une cage sans barreaux, fait de cloison de métal tres épaisse et protegé par la magie. Il ne voyait rien à part une fente qui donnait de la lumière, sentant cette boite bouger, comme se déplaçant. Il ferma les yeux un instant, ses grandes mains écailleuses posées sur ses genoux, entamant des chant de prière pour Ankhti et Sobek, leur demandant de l'aider et d'aider sa tribu en ces temps troublé et leur promettant de réussir cette épreuve qu'il devait traverser seul.
Quelques dizaines de minutes plus tard, il entendit la boite s'arrêter, le secouant un peu. Ouvrant de nouveau les yeux, il pouvait voir un peau fragile montrer sa tête par la fente avant de l'entendre dire
" Hey, t'a fini par te réveiller ! T'es arrivé chez toi."
Il ne comprenait pas grande chose à ses paroles, mais n'aimait pas son ton, il n'aimait pas sa voix et en le regardant dans les yeux, il ne l'aimait pas du tout.
Là, il put voir les chaînes qui le retenait à cette boite métallique glisser sur les coté, jusqu'à l'ouverture, voyant des peau fragile couvert de métal se mettant à le tirer vers l'extérieur. Tout ceux métal autour d'eux, il se demandait si c'était décoratif, car, tout ceux qu'il avait tué ou mordu qui portait cela, n'était pas bien protégé la dedans. Il trouvait même que cela avait l'air gênant, désagréable.
Mais il n'avait pas le choix et du sortir lentement de sa boite. Aveuglé un instant par le changement de lumière brusque, il grogna dans son bâillon. Il était attaché des pieds à la tête, une muselière de titane, des menottes plus large que des essieux de carosse autour des biceps et des poignées, ainsi qu'aux chevilles, toutes relié par des chaines de bateaux. Même sa queue était enchaîné, forcé dans une position inconfirtable et meme douloureuse contre son dos pour eviter qu'il ne puisse s'en servir pour se défendre.
Maintenant adapté à la lumiere, il pouvait voir l'immense hutte de pierre se trouvant devant lui. Il ne comprenait pas l'utilité d'une si grande hutte, mais n'eut pas le temps de reflechir qu'il fut tiré vers celle-ci. Qui habitait cette hutte, se demandait-il. La, il dut passer par une entrée couverte de bois qui s'ouvrit avant son arrivée. Elle était presque trop petite pour lui, mais pour les peaux fragile, elle était beaucoup trop grande à ses yeux et restait encore plus dans l'incompréhension.
Il y avait une dizaine d'hommes couvert de metal et d'arme qui se tenait autour de lui et les plus fort d'entre eux tenait la dizaine de chaîne qui étaient attacher au pauvre Kroxigor.
Entrant dans cette demeure, il ne l'aima pas du tout, beaucoup trop sombre, beaucoup trop froid, et sentant vraiment bizarre à son goût, soufflant bruyamment du museau pour essayer de chasser l'odeur. Il regarda tout ceux qui se trouvait devant lui, attendant la moindre erreur de leur part, la moindre erreur qui leur serait fatale, car il pourrait goûter à la fureur d'un Kroxigor.
Mais dans ce hall, il n'y avait pas que des peau fragile couvert de métal, mais aussi des peau fragile avec des vêtements étrange qui se mirent à le dévisager sous son passage. Il prit plusieurs inspirations et, dans toute cette puanteur, put sentir, différents effluves, telle que la peur, beaucoup de peur, mais aussi quelque chose d'autre, une odeur presque connue. Son regard se posa sur l'une des plus grande des petites personnes couverte de tissus noir et blanc.
Elle lui rappelait un petit peuple de peau fragile qu'il avait déjà vu passer prés du grande fleur et avec qui sa tribu avait déjà fait du troc. Il s'en souvenait, car, quand il n'était qu'un petit Kroxigor, leur odeur lui donnait faim, surtout lorsqu'il troquait du gibier venu d'autre endroit contre leurs matériaux.
Klaus grogna donc en la voyant là, se demandant si elle était une traîtresse ou non, mais n'eut pas le temps de s'attarder, se retrouvant tiré et piqué par des lances pour être emmené jusque dans le bureau de la maîtresse des lieux.