Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => Discussion démarrée par: Petite Crevette le dimanche 24 janvier 2010, 15:30:06
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C'était le samedi, et qui dit samedi, dit pas cours, une chose que Blanche appréciait par dessus tout, elle pouviat se balader en ville, allez dan les animalerie pour s'exclamer à chaque fois qu'elle voyait une drôle de bestiole.
Mais elle finit par ce lasser de visite qui était un peu monotone, puis elle eut une idée, une idée de gamine à vrais dire.
- Bon c'est où déjà ... Là !!!
La Petite Crevette se mit à courir, se ramassant par terre une fois et chouinant jusqu'à ce qu'une personne s'occupe un temps soit peu d'elle et repartir dans son exploration. Elle arriva dans une coin qu'elle ne connaissait pas et trouva les maison belle.
- Amstramgram, pique et pique et colégram, boure et boure et ratatam, amstramgram pique dame. Celle-ci !!!!!
La miss vit le tour de la maison, les passant ne firent pas attention, pensant que c'était une fille habitant cette maison et ayant oubliée la clé, elle trouva une fenêtre d'ouverte, sans doute pour aérer la pièce et éviter la naissance de moisissure ou tout simplement renouveler l'air.
La petite s'approcha apparemment personne, elle rentra et se mit à fouiner partout, ne se doutant nullement que elle venait d'entrer par effraction, la faute à qui d'abord ? A celui qui a laissé la fenêtre ouverte.
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On était Samedi et qui dit samedi veut dire généralement grasse matinée pour ceux ayant etudier toute la semaine et devant passer leur week end a en faire autant. Shibiyo ne derogeant pas a la regle était toujours endormi sur le lit deux place de son studio dans lequel il venait d’emménager y a quelques jours.
La chaleur qui regnait en ce moment sur le Kanto et meme tout le Japon justifia le fait que sa fenetre était entre-ouverte dans sa chambre et le salon, n’etant que peu soucieu d’eventuel voleur ( la résidence universitaire ne laissant pas rentrer n’importe qui…Visiblement une personne assez petite et discrete capable de se faufiler n’importe ou était l’exception confirmant la regle. Si beaucoup ont le sommeil lourd, Shibiyo est le contraire, et alors qu’il était en « etoile de mer » sur son lit, les draps a moitié virés et portant un simple noxer noir pour dormir quelques soit la periode de l’année d’ailleur.
Le bruit de quelqu’un fouinant et ouvrant la fenetre qui grinca legerement lui vint aux oreilles le sortant des bras de morphée, immediatement vigilant et attentif…Il se leva doucement, prenant dans sa main une eventuelle arme avec ce qu’il trouvait dans la piece. Optant pour sa ceinture dont la boucle en fer ou la laniere pourrait servir, il s’approcha a pas feutré de la porte de sa chambre…l’ouvrit lentement, jetant un œil pour voir qui venait fouiner… Ne voyant personne dans le couloir il se dirigea au salon ou il entendit des pas tres discret. Nullement ceux d’un homme de masse imposante. Se postant a coté de l’entrée, collé au mur, il attendit en retenant sa respiration que l’individu passe la porte pour intervenir…
MAINTENANT !
Il saisit le poignet qui lui sembla plutôt fin et fragile, puis d’un geste brusque mais controlé entraina le corps du voleur surpris contre le mur puis l’immobilisa en passant son bras sous sa gorge tout en tenant le poigner de l’autre main levé…Tout ce passa en quelques secondes.
« Hein ?! T’es qui toi ? «
Shibiyo en oublia les bonnes manieres en voyant que la proie qu’il venait de maitriser n’était autre qu’une jeune fille aussi frele qu’une crevette, mignonne mais vraiment jeune ( il aurait dit pas plus de 16/17 ans sous estimant l’age du a ses formes ). Il relacha machinalement son etreinte, tenant toujours la gamine par le poignet, attendant ses explications avant de peut etre appeler la police, sauf si elle l'en convenait de l'épargner... Que venait faire une collegienne chez lui un samedi matin ??